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LâORDRE DE LâĂGLISE
1 FrĂšres,
nous avons convoqué cette
assemblĂ©e ici, ce soir, dans le but de savoir comment diriger lâĂglise
du Dieu
vivant, Ăglise dont nous croyons faire partie.
2 PremiĂšrement,
je voudrais dire quâĂ la
suite de mes voyages autour du monde, pour autant que je sache, je
considĂšre
que câest ici lâun des endroits les plus spirituels, oĂč vous sentez
lâEsprit de
Dieu plus que dans nâimporte quel autre endroit que je connaisse.
Jâavais deux
autres endroits en tĂȘte, mais, maintenant, cela ne semble plus ainsi;
car lâun
dâeux est entrĂ© dans les organisations, et lâautre estâest en quelque
sorte
tombé.
3 On
mâa donc appelĂ© hier, me disant que
vous vouliez tous une rĂ©union oĂč vous pourriez me poser des questions
concernant vos fonctions dans cette église. Et je... voilà pourquoi je
suis ici
ce soir, câest afin de placer lâĂ©glise, ou de vous donner les choses
que je
crois ĂȘtre essentielles pour que cette Ă©glise continue Ă aller de
lâavant.
4 FrĂšres,
je suis sûr que vous comprenez
bien que, lorsque jâai fait remarquer que cet endroit Ă©tait
spirituel... Ce
nâest pas le plus grand endroit au monde, et ce nâest pas celui oĂč nous
avons
le plus de chants, le plus de cris, le plus de clameurs, le plus de
parlers en
langues, et tout ça. Ce nâest pas cela. Mais câest en raison de la
qualité de
lâEsprit qui rĂšgne ici, dans ce tabernacle. Je dĂ©sire donc louer et
remercier
FrĂšre Neville etâet vous, les frĂšres ici, les administrateurs, les
diacres, le
surveillant de lâĂ©cole du dimanche, et vous tous, pourâpour ce que vous
avez
fait jusquâĂ maintenant afin dâaider Ă le garder ainsi. Cela a Ă©tĂ©
longtemps un
sujet de priĂšre pour moi â et câest mon dĂ©sir depuis mon tout jeune Ăąge
â de
voir lâĂ©glise mise en ordre et maintenue en ordre.
5 Maintenant,
lorsque nous avons
consacrĂ© lâĂ©glise, je vous ai dit que jâaurais, un peu plus tard,
quelque chose
à vous dire sur la façon de mettre tout cela en ordre, tel que cela
devrait
ĂȘtre dirigĂ©. Et vous avez commencĂ©... aprĂšs mon dĂ©part, nous avons eu
parmi
nous différents prédicateurs, et ainsi de suite. Et puis, FrÚre
Neville, encore
tout jeune chez nous, est aussi venu. Et jâai pensĂ© quâil serait
préférable
dâattendre que FrĂšre Neville soit mieux affermi dans la foi, avant de
présenter
ce que je suis sur le point de dire. Mais maintenant, voyant combien il
fait
des progrĂšs dans la foi, comprend en quoi consiste la Doctrine, etâet
joue le
rĂŽle dâun fidĂšle tĂ©moin de Christ, sâen tenant Ă ce que nous croyons
ĂȘtre la
VĂ©ritĂ©, je pense que câest maintenant lâheure et le moment propice pour
lui
parler de cela... et avec vous qui ĂȘtes anciens ou autre, ici dans
lâĂ©glise,
afin que vous receviez ces ordres et que vous vous en souveniez; ils
sont au
mieux de ma connaissance devant Dieu. Et je mâattends Ă ce que vous les
exĂ©cutiez de la maniĂšre que je vous les donne, parce que quelquâun doit
ĂȘtre la
tĂȘte, ici. Vous devez avoir...
6 Or,
je ne cherche pas Ă âĂ âĂ usurper
lâautoritĂ©, ou quelque chose comme ça. Mais, vous voyez, si un homme,
ou quoi
que ce soit, possĂšde deux tĂȘtes, ilâil ne sait pas oĂč aller. Dieu nâa
jamais eu
deux tĂȘtes Ă Son Ăglise; jamais. Il a une seule tĂȘte. Il a toujours
traité,
dans chaque gĂ©nĂ©ration, et, comme nous lâavons Ă©tudiĂ© dans les
Ăcritures, câest
toujours avec un seul individu quâIl traite. Parce que, quand vous avez
deux
hommes, vous avez deux opinions. Cela doit aboutir Ă un absolu final,
et mon
absolu est la Parole, la Bible. Et, en tant que pasteur de lâĂ©glise
ici, mon
absolu est la Parole. Et jeâje sais que vous, les frĂšres, vous me
considérez un
peu comme votre absolu, en ce que... Tant que je suis Dieu, comme Paul
le
disait dans lâĂcriture : âSuivez-moi, comme je suis Christ.â
7 Et
je mâattends Ă ce que vous, frĂšres,
si Ă nâimporte quel moment vous me voyez mâĂ©loigner de lâĂcriture, vous
veniez
vers moi en privĂ©, et me disiez oĂč jâai tort. Peu mâimporte que vous
soyez lâun
des administrateurs ou le... ou que vous soyez le concierge, qui que
vous
soyez, il est de votre devoir envers moi, en tant que frĂšre en Christ,
de me
dire quand jâai tort selon les Ăcritures. Sâil y a une question,
assoyons-nous
et tirons cela au clair ensemble.
8 Et
je suppose que câest pour cela que
vous ĂȘtes venus vers moi ce soir, que vous mâavez amenĂ© ici. Câest
parce quâil
y a des questions qui semblent se poser dans votre esprit â ces choses
que
jeâque jâai ici. Or, rappelez-vous, frĂšres, que je ne sais pas... aucun
de ces
billets nâest signĂ©... on les a Ă©crits, mais je ne sais pas qui les a
écrits.
Seulement ce sont des questions qui vous préoccupent, et je suis ici
pour y
répondre de mon mieux.
9 Et
souvenez-vous : Dieu sâattend Ă ce
que je veille Ă rester avec la Parole; et je mâattends Ă ce que vous
veilliez Ă
appliquer la Parole, voyez-vous, voyez-vous, dans cette église. Et
gardez-la
spirituelle, car, souvenez-vous-en, toutes les forces duâdu royaume
enténébré
de Satan seront tournĂ©es contre vous, tandis que vous commencez Ă
grandir dans
le Seigneur. Vous devez ĂȘtre des soldats, pas seulement de nouvelles
recrues.
Vous ĂȘtes des soldats ĂągĂ©s maintenant, et vous avez Ă©tĂ© entraĂźnĂ©s au
combat. Et
Satan viendra parmi vous, et vous poussera Ă vous disputer entre vous,
sâil le
peut. Repoussez-le tout de suite; vous ĂȘtes frĂšres; et câest lâennemi.
Nous
sommes ici pour déployer un étendard en ce temps de la LumiÚre du soir,
tandis
que le monde est assombri et que tout le royaume de lâĂ©glise est en
train
dâentrer dans le Conseil des Ăglises. Et, trĂšs bientĂŽt, ils vont
essayer de
clouer un Ă©criteau Ă cette porte, ici : âFermĂ©.â Alors, nous devrons
nous
rencontrer Ă dâautres endroits, parce quâils fermeront certainement ces
églises
un de ces jours, si nous ne prenons pas la marque de la bĂȘte. Et câest
Ă nous
de rester fidĂšles Ă Dieu jusquâĂ ce que la mort nous libĂšre, et câest
ce que
nous avons lâintention de faire.
10 Maintenant,
passons directement Ă ... Et
si, Ă un certain moment, nâimporte lequel de ces points devait ĂȘtre mis
en
question, jâaimerais demander que cette bande soit passĂ©e devant les
membres de
cette église, voyez-vous, lors de vos réunions, ou avant la réunion,
juste
avant que la réunion commence. Mettez cette bande, et passez-la! Et
puisse
cette assemblée comprendre que ces hommes sont liés à Dieu par le
devoir, pour
avoir prĂȘtĂ© serment devant cette Ă©glise, dâaider au maintien de ces
principes.
Il se peut que vous ne soyez pas dâaccord avec eux; mais si je vous
laisse
diriger, alors câest moi qui ne serai pas dâaccord avec vous. Il nous
faut
avoir quelque part une source oĂč doit se trouver un absolu. Et, pour
autant que
je sache, je donne cela sous le Saint-Esprit, Le laissant, Lui, ĂȘtre
mon
Absolu. Et que cette bande soit votre absolu sur ces questions.
Maintenant,
la premiĂšre, câest :
220.
Comment lâĂ©glise devra-t-elle agir lors de demandes dâaide financiĂšre
pour de
la nourriture ou des vĂȘtements ? Commentâcomment agir ? Queâque devrait
faire
lâĂ©glise ?
11 Nous
sommes conscients que lâĂ©glise est
responsable des siens; des membres de notre assemblée, nous sommes
entiĂšrement
responsables, aussi longtemps que nous avons les moyens de subvenir Ă
leurs
besoins. Nous sommes responsables des nĂŽtres, câest-Ă -dire des membres
réguliers, qui sont fidÚles au Tabernacle, qui y viennent et adorent
avec nous.
Nous sommes liés par le devoir envers eux, en tant que nos frÚres et
sĆurs qui
ont fait leurs preuves comme membres de cette assemblée.
12 Or, nous
savons bien que des millions de
gens ce soir sont sans nourriture, sans vĂȘtements, et nous aimerions
pouvoir
les aider tous, faire tout notre possible; mais, financiĂšrement, nous
ne le
pouvons pas. Nous ne pouvons pas subvenir aux besoins du monde entier,
mais
nous sommes liés par le devoir envers les nÎtres. Et je pense à ce
sujet que...
Ensuite, sâil nous reste quelque chose, et que vous vouliez aider des
gens qui
ne sont pas membres de cette assemblĂ©e, sâil y a quelque chose que vous
aimeriez leur donner, cela devrait ĂȘtre rĂ©glĂ© par le conseil des
diacres.
13 Les
diacres sont ceux quiâqui doivent
régler ce conflit, ou plutÎt ce problÚme, parce que, dans la Bible,
lorsque
survint cette dispute concernant la nourriture, les vĂȘtements, et ainsi
de
suite, dans le Livre des Actes, on fit appel aux apĂŽtres Ă ce sujet, et
ceux-ci
dirent : âChoisissez donc parmi vous sept hommes, de qui lâon rende un
bon
tĂ©moignage et qui soient pleins du Saint-Esprit, afin quâils puissent
sâoccuper
de ces choses; pour nous, nous continuerons Ă nous appliquer Ă la
Parole de
Dieu et Ă la priĂšre.â
14 Ce nâest
pas le devoir du pasteur de
sâoccuper de la nourriture, et ainsi de suite. Câest censĂ© ĂȘtre fait
par les
diacres; ce nâest pas la fonction des administrateurs, câest la
fonction des
diacres de le faire. Et puis, ceci devrait ĂȘtre... Souvenez-vous que,
dans la
Bible, ils pourvoyaient aux besoins des leurs. Une fois, une dispute
sâĂ©leva
entre les Grecs et les Juifs, parce que lâun recevait un peu plus que
lâautre.
Mais il sâagissait lĂ de gens qui avaient vendu tous leurs biens et les
avaient
donnĂ©s Ă lâĂ©glise pour la soutenir. Et cela devait ĂȘtre rĂ©parti entre
eux Ă
parts Ă©gales. Câest alors que survint une petite dispute. VoilĂ dâoĂč
sont venus
nos premiers diacres. Et câest une de leurs fonctions de sâoccuper de
cela.
15 Je pense
que, puisquâils sont des
nĂŽtres, que ce sont nos propres fidĂšles, nous devrions prendre soin
dâeux, et,
sâil y a des plaintes, elles devraient ĂȘtre adressĂ©es au prĂ©sident du
conseil
des diacres. Cela devrait ensuite ĂȘtre rĂ©glĂ© par le conseil des
diacres, qui
verra ce quâil peut faire Ă ce sujet. Toutes les demandes relatives au
vĂȘtement, Ă la nourriture, Ă une aide financiĂšre, ou quoi que ce soit,
devraient passer par les diacres. Alors, les diacres, une fois quâils
ont
dĂ©cidĂ© quâilsâquâils... ce quâils vont faire Ă ce sujet, devraient
alors
soumettre cela au trésorier, pour savoir si le trésorier est en mesure,
en ce
moment, de dĂ©bourser ce montant ouâou dâacheter ces vĂȘtements, ou ce
dont il
peut ĂȘtre question. Le conseil des diacres, donc, devrait se rĂ©unir Ă
ce sujet.
Cela ne concerne ni les administrateurs ni le pasteur. Câest
entiĂšrement
lâaffaire des diacres.
Maintenant, passons Ă la question
numéro deux :
221.
Suffit-il de dire ouvertement, de la chaire, que les langues et
lâinterprĂ©tation devraient se faire dans une rĂ©union avant le service ? Câest la
deuxiĂšme
question qui se trouve sur ce bout de papier ici, cette petite carte.
16 Eh bien,
ceci regarde le pasteur,
voyez-vous, parce quâaprĂšs tout, ilâil est Ă la tĂȘte de la partie
spirituelle.
Les diacres sont des policiers dans lâĂ©glise, pour maintenir lâordre et
sâoccuper de ces choses, nourrir les pauvres, et ainsi de suite. Les
administrateurs sont responsables des finances et du bĂątiment. Câest de
cela
quâils doivent sâoccuper. Mais le pasteur a la supervision de la partie
spirituelle. Ceci te reviendrait donc, FrĂšre Neville.
17 Maintenant,
il y a quelque temps,
lorsquâon a Ă©tabli lâordre dans lâĂ©glise... Certes, je crois au parler
en
langues, Ă lâinterprĂ©tation et Ă tous les merveilleux dons spirituels
que Dieu
a choisi de placer dans lâĂ©glise. Mais nous vivons dans un jour tout Ă
fait
semblable aux temps bibliques, oĂč les Ă©glises... Maintenant, si vous
remarquez
Paul... il a fondĂ© lâĂ©glise qui se trouvait Ă ĂphĂšse, lâĂ©glise
dâĂphĂšse, qui
était une église bien établie. Avez-vous remarqué ? Nous croyons que
Paul â et
il lâa dit lui-mĂȘme â parlait en de nombreuses langues. Et nous savons
quâil
avait des dons de langues; non pas celles quâil avait apprises, mais
celles qui
lui furent données spirituellement, selon sa déclaration, là dans les
Corinthiens. Pour gagner du temps, je ne prendrai pas la Bible pour
vous le
lire, parce que cela nous ferait rester ici trop longtemps ce soir, et
je nâai
pas beaucoup de temps. Et donc... Mais câest simplement pour que vous
puissiez
voir cela clairement.
18 Or, Paul
nâa jamais eu Ă parler une
seule fois Ă lâĂ©glise dâĂphĂšse, Ă lâĂ©glise de Rome, ou Ă nâimporte
laquelle de
ces autres églises, concernant leurs dons spirituels et la façon de les
placer
en ordre. Mais il devait constamment en parler aux Corinthiens, parce
quâils
insistaient tout le temps lĂ -dessus. Et Paul dit, lorsquâil vint au
milieu
dâeux, que sâils dĂ©couvraient que lâun avait une langue, et un autre
avait un
psaume, et... Il remercia le Seigneur pour tous ces merveilleux dons,
et tout
cela. Et, si vous remarquez, dans le premier ou deuxiĂšme chapitre aux
Corinthiens, Paul leur indiquait quelle était leur position en Christ,
comment
ils étaient placés en Christ.
19 AprĂšs leur
avoir dit cela, il commença
ensuite, comme un pĂšre, Ă laisser tomber le fouet sur eux, disant :
âJâai
appris quâil y a des disputes au milieu de vous, et jâai appris que
vous vous
enivrez Ă la table du Seigneur.â Il ne les a pas rejetĂ©s du
Christianisme; et
vous, les frĂšres, ne faites pas cela non plus, les rejeter du
Christianisme.
Mais câest de leur maniĂšre de se conduire dans la maison de Dieu quâil
est
question.
20 Maintenant,
voici ce que je dirais,
comme Paul autrefois lâa dit : âLorsque vous vous assemblez, si un
parle, quâun
autre interprĂšte. Sâil nây a pas dâinterprĂšte, alors, quâon se taise.
Mais,
sâil y a un interprĂšte...â
21 Or, jâai
observĂ© lâĂ©glise ici, et je
vous ai vus grandir. Jâai vu beaucoup de dons spirituels agir parmi
vous. Pour
ĂȘtre franc, jâai dĂ» venir vers FrĂšre Neville Ă propos de lâun dâeux,
avec une
Parole du Seigneur, afin de le corriger dans quelque chose quâil
faisait.
22 Et si
je... si le Seigneur... le
Saint-Esprit mâa Ă©tabli surveillant du Troupeau, alors il est de mon
devoir de
vous dire la Vérité. Et je suis trÚs reconnaissant à FrÚre Neville
dâavoir Ă©tĂ©
attentif à la Vérité. Je peux seulement Le dire comme Il me le dit.
23 Maintenant,
Ă ce sujet, comme jâai
remarquĂ© que votre Ă©glise grandissait, jâai remarquĂ© cela. Et, dans
lâĂ©glise,
voici de quelle façon nous procĂ©dions au commencement, et câest ainsi
que
nousânous le voulons de nouveau.
24 Maintenant,
si vous ne faites pas
attention, quand des bĂ©bĂ©s... La premiĂšre chose quâun bĂ©bĂ© fait, câest
dâessayer de parler, alors quâil ne peut pas parler. Voyez-vous ? Il
fait beaucoup
de bulles et de bruit, etâet ainsi de suite, mais il pense quâil est
simplement... quâil peut mĂȘme parler mieux que le prĂ©dicateur Ă ce
moment-lĂ .
Eh bien, nous ne trouvons pas cela seulement dans la vie naturelle,
mais nous
trouvons aussi cela dans la vie spirituelle. Câest un tout-petit. Aussi
si vous
essayez de corriger ce bébé et de lui donner une petite fessée, parce
quâil
gazouille et quâil essaie de parler, vous dĂ©truirez cet enfant,
voyez-vous, et
vous lui ferez du mal. Il est préférable de laisser ce bébé grandir un
peu,
jusquâĂ ce quâil puisse effectivement articuler ses mots correctement
et,
alors, dites-lui quand. âPas quand papa est en train de parler, ou que
maman
est en train de parler.â Mais, au moment favorable, laissez-le placer
son mot.
Me comprenez-vous ? Maintenant, laissez-le parler quand câest son tour
de
parler.
25 Or, si
jamais jâai eu quelque chose qui
a Ă©tĂ© une Ă©charde dans ma chair, lors de mes rĂ©unions au dehors, câest
lorsque
quelquâun se lĂšve, tandis que je suis en train de parler, et donne un
message
en langues, venant ainsi couper lâEsprit. Je reviens justement de
rĂ©unions Ă
New York et Ă diffĂ©rents endroits, oĂč les ministres laissent cela se
passer
continuellement. Et ce nâest rien dâautre queâque de la confusion.
Voyez-vous ?
Quand Dieu est en train dâĆuvrer selon une certaine suite dâidĂ©es,
Il... ce
serait... Il irait Ă lâencontre de Son propre dessein si, essayant de
vous
amener, avec lâassemblĂ©e, Ă lâidĂ©e de faire un appel Ă lâautel, Il
laisse
quelque chose venir interrompre cela.
26 Prenons un
exemple. Disons que nous
sommes assis Ă la table, en train de parler, et que nous sommes en
train de
parler du Seigneur. Et voici que Junior sâapproche de la table en
courant,
détourne toute notre attention de ce que nous sommes en train de faire,
et se
met Ă crier de toutes ses forces : âPapa! Maman! Oh! la la! Je viens de
frapper
un coup de circuit, lĂ -bas avec lâĂ©quipe! Et nous avons fait ceci, et
cela, et
encore autre chose!â Et ce, tandis que nous sommes au beau milieu dâun
sujet
tout Ă fait sacrĂ©. Or, quâil ait frappĂ© un coup de circuit, câest trĂšs
bien, Ă
ce match de base-ball, câest trĂšs bien. Mais il nâest pas Ă sa place
lorsquâil
interrompt le message, ce dont nous Ă©tions en train de parler. Quâil
attende
son tour, et quâalors il nous dise ce quâil a fait Ă ce match de
base-ball.
27 Maintenant,
nous constatons exactement
la mĂȘme chose, en ce qui concerne les dons, aujourdâhui. VoilĂ pourquoi
Dieu ne
peut pas confier beaucoup de dons spirituels aux gens : ils ne savent
pas
comment les maĂźtriser. Câest ce qui se passe aujourdâhui, câest la
raison pour
laquelle nous nâen avons pas davantage.
28 Nous
dĂ©couvrons aussi quâil y a beaucoup
dâimitation des dons spirituels. Mais je ne crois pas que ce soit le
cas ici,
dans notre Ă©glise. Jâen suis reconnaissant. Je ne crois pas que ce soit
de
lâimitation, pas du tout. Je crois que nous avons des dons
authentiques, mais
nous devons savoir comment maĂźtriser ces dons.
29 Ainsi
donc, lorsque vous commencez Ă
faire quelque chose correctement... Câest comme lorsque vous travaillez
pour un
patron. Si vous dĂ©butez dans un emploi, et que vous ĂȘtes disposĂ© Ă
recevoir des
ordres, alors le patron aura confiance en vous, et il vous attribuera
une
fonction toujours plus élevée.
30 Maintenant,
je crois que câest
maintenant lâheure pour le Branham Tabernacle de savoir comment
utiliser ces
dons que Dieu nous donne, de telle sorte que Dieu puisse nous confier
quelque
chose dâencore plus grand que ce que nous possĂ©dons dĂ©jĂ . Mais nous ne
pouvons
pas continuer... Quand vous voyez un homme Ă qui lâon doit constamment
répéter,
et tout... Et rappelez-vous : âLâesprit des prophĂštes est soumis au
prophĂšteâ,
dit lâĂcriture. Quand vous voyez un homme que vous devez corriger (ou
une
femme), et que cette personne ne reste pas Ă sa place, tandis que vous
lui
dites la VĂ©ritĂ© selon lâĂcriture, alors cela montre que lâesprit qui
est sur
eux nâest pas de Dieu. Parce que la Bible dit que âlâesprit des
prophĂštesâ â ou
le fait de prophĂ©tiser, câest-Ă -dire tĂ©moigner, prĂȘcher, parler en
langues ou
quoi que ce soit (parce que les langues, lorsquâelles sont
interprétées, sont
des prophĂ©ties) â est soumis au prophĂšte, et la Parole est le prophĂšte.
Ainsi
nousânous voyons quâil est dĂ©placĂ© pour un homme ou une femme de se
lever brusquement
et donner un message (peu importe combien ils ont envie de le faire)
pendant
que le prédicateur est en chaire.
31 Maintenant,
voici ce que je propose pour
le Branham Tabernacle, voyant ces dons que nous découvrons parmi
nous... Et
nous avons ici quelques personnes avec de merveilleux dons. Or, chacun
de ces
dons est un ministĂšre particulier. Ce sont des dons, comme prĂȘcher est
un don,
comme la guĂ©rison est un don, comme dâautres choses sont des dons; ce
sont des
dons, ce sont des ministÚres particuliers. Et il est exigé de chaque
homme
quâil sâattende Ă son propre ministĂšre.
32 Par
conséquent, que le Branham
Tabernacle fonctionne ainsi, et en ce jour â particuliĂšrement en ce
jour-ci â
oĂč nous avons eu tant de (je ne veux pas dire ceci, mais...), tant de
faux-semblants. Nous ne voulons pas faire semblant. Aucun homme, aucune
personne honnĂȘte, ne veut possĂ©der un faux-semblant. Si nous ne pouvons
pas
possĂ©der le vrai, alors nâayons rien du tout; attendons jusquâĂ ce que
nous
recevions effectivement le vrai. Je crois que vousâvous, les hommes,
vous serez
dâaccord avec cela. Nous ne voulons pas du tout de faux-semblant.
FrĂšres, nous
ne pouvons pas nous mettre Ă faire semblant de quelque chose, et nous
attendre
Ă quitter ce monde. Nous devons avoir ce qui est vrai, ce qui est
authentique.
Si nous ne lâavons pas, attendons jusquâĂ ce que nous lâayons pour de
vrai, et
ensuite nous en dirons quelque chose. Voyez-vous ?
33 Maintenant,
je dirais ceci : Que tous
ces hommes et ces femmes qui parlent en langues, et prophétisent, et
donnent
des messages... Et jeâje suis dâaccord avec vous, les frĂšres, pour
croire
quâils sont authentiques. Or, la Bible dit : âĂprouvez toutes choses,
et
retenez ce qui est bon, car câest par des lĂšvres balbutiantes et en
dâautres
langues que Je parlerai Ă ce peuple. Voici le repos dans lequel Jâai
dit quâils
entreraient.â Cela se trouve dans le Livre dâĂsaĂŻe.
34 Voici donc
ce que je suggérerais, afin
que, dans le sanctuaire, un seul don se manifeste Ă la fois â et cela
nous
ramĂšne encore dans la ligne de ce que jâessaie de dire : Si lâun parle,
que
lâesprit des prophĂštes soit soumis au prophĂšte. Comprenez-vous ? Donc,
que ceux
qui ont un ministĂšre pour le Corps de Christ... Maintenant, je le dis,
alors,
que cela se fasse : Que ceux qui ont un ministĂšre pour le Corps de
Christ
sâattendent Ă leur ministĂšre, parce que câest un ministĂšre qui vient de
Christ,
pour lâĂ©glise. Mais vous ne pouvez pas tous exercer ce ministĂšre en
mĂȘme temps;
il doit y en avoir un Ă la fois.
35 Au Branham
Tabernacle, ce sera comme
suit: Que ceux qui parlent en langues, et ceux qui interprĂštent les
langues, et
ceux qui ont des prophĂ©ties Ă ĂȘtre donnĂ©es Ă lâĂ©glise, se rĂ©unissent de
bonne
heure, avant le dĂ©but de la rĂ©union. Quâils se rĂ©unissent dans une
piÚce désignée
Ă cette fin, et quâils sâattendent au ministĂšre du Seigneur.
36 Et le
pasteur doit faire de mĂȘme avant
de venir devant lâauditoire. Il doit prendre la Bible, Ă©tudier dans la
tranquillitĂ© de sa chambre, dans lâEsprit, et ĂȘtre oint pour venir
parler
devant lâauditoire. Sâil ne le fait pas, il sera dĂ©sorientĂ© lorsquâil
se
présentera là . Que chaque homme et chaque femme ayant un don spirituel
viennent
devant le Seigneur. Et, vu que le pasteur a un ministĂšre individuel...
Il est
un prophÚte; le mot anglais preacher [en français : prédicateur]
signifie
âprophĂšteâ, câest-Ă -dire celui qui apporte la Parole.
37 Que ceux
qui ont des ministĂšres devant
ĂȘtre rattachĂ©s Ă quelquâun dâautre, â comme lâun qui parle en langues
et
lâautre qui interprĂšte, â quâils sâattendent ensemble Ă leur ministĂšre.
Ils ne
peuvent pas rester dans un bureau privé, parler en langues, et venir
ensuite
rĂ©pĂ©ter Ă lâautre ce quâil a dit, parce quâil aurait dans ce cas Ă la
fois les
langues et lâinterprĂ©tation, voyez-vous. Maintenant, sâil a cela, trĂšs
bien;
nous voulons le recevoir ainsi. Et nous voulons que lâĂ©glise bĂ©nĂ©ficie
de ces
dons qui sont dans notre église. Dieu nous les a envoyés, et nous
voulons que
notre Ă©glise bĂ©nĂ©ficie de ces dons spirituels. Ainsi, que lâhomme qui
parle en
langues, et celui qui interprĂšte, et celui qui prophĂ©tise, quâils se
réunissent
avant mĂȘme que lâĂ©glise ne sâassemble. Quâils se rencontrent dans une
piĂšce Ă
part et sâattendent au ministĂšre du Seigneur pour lâĂ©glise. Est-ce
compris ?
38 Alors, par
exemple, si FrĂšre Neville,
disons... Laissez-moi... Pardon, laissez-moi dire ceci. Si FrĂšre
Collins parle
en langues et que FrĂšre Hickerson donne lâinterprĂ©tation, ils ont donc
un
ministĂšre en commun pour lâĂ©glise. Or, ce nâest pas le ministĂšre de
FrĂšre
Neville. Câest votre ministĂšre Ă vous, pour lâĂ©glise. Je donne ceci
comme
exemple. Alors vous, frĂšres, devriez ĂȘtre tout aussi intĂ©ressĂ©s Ă
mettre votre
ministĂšre Ă sa place dans la maison de Dieu, que le pasteur est
intéressé à le
faire pour le sien, parce que câest tout aussi essentiel pour vous de
le faire.
Mais vous ne pouvez pas le faire dans lâintimitĂ© de votre chambre, si
vous
parlez, et si vous interprétez; vous devez vous réunir. Donc,
rĂ©unissez-vous Ă
lâĂ©glise, dans une piĂšce Ă part, parce que vous avez un ministĂšre
privé. Ce
nâest pas un ministĂšre qui sâexerce ouvertement. Câen est un qui doit
aider
lâĂ©glise, voyez-vous. Câest quelque chose pour aider lâĂ©glise; mais
cela ne
doit pas ĂȘtre exercĂ© au milieu de toute lâassemblĂ©e. Cela doit ĂȘtre
fait
seulement de la maniĂšre que je vous lâindique. Voyez-vous ? Alors, tout
ce que
FrĂšre Collins dit, et dont FrĂšre Hickerson donne lâinterprĂ©tation (par
exemple), alors, que FrĂšre... quelquâun mette par Ă©crit ce que câest.
Et alors,
sâil sâagit de la venue...
39 Maintenant,
nous savons tous que le
Seigneur vient. Nous sommes au courant de cela. Et si FrĂšre Neville se
levait
chaque soir, et disait : âVoici, le Seigneur vient! Voici, le Seigneur
vient!â,
ce serait trĂšs bien, voyez-vous. Mais il dit cela (le pasteur) sur
lâestrade,
car il a la Parole pour cela. Et sâil est un pasteur, un prophĂšte pour
lâĂ©glise, ou plutĂŽt un pasteur, il doit Ă©tudier la Parole du Seigneur,
et vous
dire ce qui est écrit dans la Parole du Seigneur, concernant la venue
du
Seigneur; et vous ĂȘtes avertis par Cela. Un autre ministĂšre pour
lâĂ©glise, avec
lequel il nâaurait aucun rapport, est celui des langues, et de
lâinterprĂ©tation
des langues (ce qui est la prophĂ©tie), ou lorsquâun prophĂšte parle;
câest
quelque chose qui nâest pas Ă©crit dans la Parole. Ce qui est Ă©crit dans
la
Parole, câest lui qui doit lâapporter. Mais ce qui nâest pas Ă©crit dans
la
Parole, câest ce que vous devez lui dire. Comme, par exemple : âDites Ă
FrĂšre
Wheeler : AINSI DIT LE SEIGNEUR, quâil nâaille pas demain Ă sa carriĂšre
de
sable, parce quâun camion va capoterâ, ou quelque chose comme ça. Et
cela doit
se faire. Vous lâavez prononcĂ©, et il lâa interprĂ©tĂ©. Ensuite, dĂ©posez
cela sur
lâestrade, une fois que votre ministĂšre est terminĂ©. Le...?... soir,
aprĂšs que
lâĂ©glise... aprĂšs quâon a entonnĂ© les cantiques, et ainsi de suite, si,
Ă ce
moment-lĂ , votre ministĂšre est terminĂ©, quâon annonce la prophĂ©tie qui
a été
donnée.
40 Et je ne
pense pas que nous ayons... Ou,
si câest le cas, que ceci soit ajoutĂ©. Lorsque ces gens se rĂ©unissent,
que ceux
qui ont de la sagesse viennent premiĂšrement, parce que, vous voyez, si
lâun
parle en langues, et donne une interprĂ©tation selon lâĂcriture, cela ne
peut
pas ĂȘtre reçu, Ă moins que ce ne soit attestĂ© par deux ou trois
personnes. Deux
ou trois tĂ©moins de plus (voyez-vous ?) doivent attester cela, quâils
croient
que câest la Parole du Seigneur. Câest que, parfois, dans ces
ministĂšres
mineurs, comme dans nâimporte quel autre ministĂšre, vous trouvez de ces
esprits
qui sont faux. Voyez-vous ? Ils sây glisseront en coup de vent. Et nous
ne
voulons pas de ça! Non. Nous voulons que ces ministĂšres soient prĂȘts Ă
ĂȘtre mis
Ă nu, sâils doivent ĂȘtre mis Ă nu, parce que tout ce qui est de Dieu...
on nâa
pas Ă sâinquiĂ©ter de le mettre Ă nu. Cela rĂ©sistera Ă lâĂ©preuve si cela
vient
de Dieu.
41 Câest
comme le pasteur : si quelquâun
conteste avec lui sur la Parole, il nâa pas besoin de se rĂ©tracter, il
sait
exactement de quoi il parle. âMontez un peu ici!â Voyez-vous ? Et câest
pareil
pour ces autres ministĂšres. Cela doit ĂȘtre pareil.
42 Maintenant,
si lâun parle en langues et
donne un message... Or, il y a des gens qui parlent en langues, tandis
quâils
ne font que âsâĂ©difier eux-mĂȘmesâ, dit la Bible. Ils passent simplement
un bon
moment. En parlant en langues, ils se sentent... Et ils parlent
effectivement
en langues. Ils parlent vraiment en langues. Et câest lâEsprit qui le
fait.
Mais, sâils sont assis, lĂ , dans lâauditoire, en train de parler en
langues, ne
faisant que sâĂ©difier eux-mĂȘmes, alors ce nâest aucunement profitable Ă
lâĂ©glise. Cet homme sâĂ©difie lui-mĂȘme, ou cette femme, ou qui que soit
la
personne. Voyez-vous ?
43 Parler en
langues, en tant que don de
Dieu pour lâĂ©dification, comme Paul le dit dans lâĂcriture, a pour but
dâĂ©difier lâĂ©glise. Cela doit donc ĂȘtre un message direct de Dieu Ă
lâĂ©glise,
en dehors de ce qui est Ă©crit ici, dans la Bible. Voyez-vous ? Câest
quelque
chose qui...
44 Si vous me
demandiez : âFrĂšre Branham,
comment dois-je ĂȘtre baptisĂ© ?â, je peux vous le dire tout de suite.
Vous
nâavez pas besoin de parler en langues pour me le dire. Il est Ă©crit,
ici mĂȘme
dans la Bible, ce quâil faut faire Ă ce sujet. Voyez-vous ? Je nâai pas
besoin
de... Vous nâavez pas besoin de poser des questions lĂ -dessus, ni
besoin que
quelquâun parle en langues pour vous le dire, voyez-vous. Câest dĂ©jĂ
écrit.
45 Mais si
vous dites : âFrĂšre Branham, que
dois-je faire ? Jâai ici une dĂ©cision Ă prendre, savoir si je dois
choisir
cette Ă©glise-ci ou bien aller dans une autre Ă©gliseâ, ou quelque chose
comme
ça. Ou : âEst-ce que je devrais faire ceci, cela ?â Eh bien, il faudra
que cela
vienne de Dieu. Voyez-vous ? Câest Dieu qui doit nous dire cela. Mais
cela
devra venir par lâentremise dâun autre ministĂšre, parce que la Parole
ne dit
pas : âQuâOrman Neville quitte le Branham Tabernacle et aille au Fort
Wayne
Gospel Tabernacle.â Voyez-vous ? Il nâest pas dit cela, ici, dans la
Parole,
voyez-vous. Câest donc Ă cela que servent ces dons.
46 Par
exemple, si une personne venait ici
et quâelle dise : âCroyez-vous Ă la guĂ©rison Divine ?â Nous prĂȘchons
cela, nous
y croyons; nous croyons dans lâonction dâhuile.
47 Mais voici
un homme qui dit quâil
ânâarrive pas Ă ĂȘtre exaucĂ©. Quâest-ce qui se passe ?â Dans ce cas-lĂ ,
il faut
que ce soit Dieu qui, par les langues, lâinterprĂ©tation, par la
prophétie, ou
dâune autre maniĂšre, aille dans la vie de cet homme et mette en
évidence cette
chose quâil a faite et lui en parle. VoilĂ un ministĂšre qui
nâappartient pas au
pasteur, il appartient au ministĂšre de ces dons, mais ceux-ci ne
doivent pas ĂȘtre
exercĂ©s lĂ , dans lâauditoire. Voyez-vous ?
48 Or, Paul
nâa pas une seule fois eu Ă
dire Ă cesâdire Ă ces Ă©glises dâĂphĂšse quoi que ce soit Ă ce sujet,
elles
Ă©taient en ordre... Ă lâĂ©glise de Rome, ou Ă aucune de ces autres
églises. Il
nây avait que lâĂ©glise de Corinthe; eux nâarrivaient jamais Ă se... Or,
Paul
croyait au parler en langues. Il y avait donc le parler en langues dans
lâĂ©glise dâĂphĂšse, au mĂȘme titre quâils lâavaient dans lâĂ©glise de
Corinthe,
voyez-vous. Mais il pouvait parler aux ĂphĂ©siens de choses plus grandes
que
seulement le parler en langues et lâinterprĂ©tation des langues.
49 Donc, si
quelquâun Ă©crit un message, qui
a été donné en langues ou donné par prophétie, et le dépose sur
lâestrade, il
doit ĂȘtre lu par le pasteur avant que la rĂ©union commence â lâAINSI DIT
LE
SEIGNEUR de ces personnes qui ont parlé et interprété. Et si cela
arrive
exactement comme le disait lâinterprĂ©tation, nous lĂšverons les mains et
rendrons grĂąces Ă Dieu pour Son Esprit au milieu de nous. Si cela
nâarrive pas,
alors ne le faites plus, tant que ce mauvais esprit ne sera pas sorti
de vous.
Dieu ne ment pas, Il est toujours vrai.
50 Ainsi,
vous voyez, vous ĂȘtes assez
grands maintenant pour agir comme des hommes, pas comme des enfants
(âgou, gou,
gouâ). Il doit y avoir un sens Ă ce que vous faites.
51 Que
lâĂ©glise, maintenant quâelle est en
train de se mettre en ordre, parvienne Ă cet ordre-ci. Si lâun
prophétise... Si
un homme du peuple vient parmi vous et que vous parliez en langues,
vous serez
un barbare pour lui. Il ne sait pas de quoi vous parlez. Voyez-vous ?
Et, Ă
vrai dire, en ce jour oĂč il y a eu tant de confusion Ă ce sujet, cela
amĂšne une
pierre dâachoppement. Mais, si lâun parle en langues et quâun autre
interprĂšte
et donne le message, que, de cette estrade, on lise ce qui doit
arriver; et si,
ensuite, cela arrive, vous verrez ce qui se produira. Dites-leur que
âdemain Ă
telle heure, ou la semaine prochaine Ă telle heure, une certaine chose
arriveraâ. Alors, si lâincroyant qui est assis lĂ Ă©coute cela, et voit
que cela
a été prédit avant que cela arrive, alors, ils sauront quelle sorte
dâesprit
est parmi vous. Ce sera lâEsprit de Dieu. Câest ce que Paul a dit. âSi
lâun
peut prophĂ©tiser et rĂ©vĂ©ler les choses secrĂštes, toute lâassemblĂ©e ne
tombera-t-elle pas, ou plutĂŽt, lâincroyant, en disant : âDieu est au
milieu de
vousâ ?â Voyez-vous ? Parce que cela ne peut pas ĂȘtre...
52 Mais
maintenant, nous ne voulons pas...
âLorsque nous Ă©tions enfants,â Paul a-t-il dit, âJâagissais comme un
enfant,â
a-t-il dit aux Corinthiens, âje parlais comme un enfant.â Il avait
lâintelligence dâun enfant. âMais lorsque je suis devenu adulte, jâai
fait
disparaĂźtre ce qui Ă©tait de lâenfant.â
53 Câest
maintenant moi qui suis en train
de vous le dire, à vous, voyez-vous. Il y a quelques années, vous étiez
des
enfants avec ces dons, vous amusant de-ci, de-lĂ . Mais vous ĂȘtes passĂ©s
par une
longue Ă©cole, maintenant. Câest le moment dâĂȘtre des hommes, et non pas
de les
utiliser simplement pour vous amuser. Ces dons sont sacrés, ils sont de
Dieu,
et on ne joue pas avec eux. Laissons Dieu sâen servir. Câest ce Ă quoi
votre
ministĂšre veut arriver. Et câest la maniĂšre de mettre le Branham
Tabernacle en
service. Etâet si, une fois, ceci est mis en doute, que cette bande
serve de
tĂ©moin, montrant que câest ainsi que cela doit se faire au Branham
Tabernacle.
54 Si un
étranger devait venir... parce que
vous en avez tout le temps, vu que câest ici un tabernacle
interdénominationnel. Il y a des gens qui viennent ici et qui ne sont
pas aussi
bien instruits Ă ce sujet, pas du tout, ils ne savent pas ce quâil faut
faire.
Et leur propre pasteur, ils se lĂšveront dâun bond, et interrompront son
message, et briseront lâappel Ă lâautel, et parleront en langues, et
feront
toutes ces choses. Vous avez reçu une meilleure formation que cela.
Voyez-vous
? Aussi, aprĂšs le service... Sâil devient turbulent, alors câest au
diacre
dâaller vers eux. Ne laissez pas votre pasteur ĂȘtre obligĂ© de le faire,
Ă moins
quâil nây ait aucun diacre prĂ©sent. Mais câest Ă un diacre de sâoccuper
de
cela. Voyez-vous ?
55 Maintenant,
aprĂšs le service... Si la
personne se lĂšve simplement et donne un message, et que le pasteur veut
sâarrĂȘter une minute avant de continuer, câest trĂšs bien, voyez-vous,
cela
regarde le pasteur. Mais alors, que le diacre, immĂ©diatement, â avant
que cette
personne ne quitte le bĂątiment, â la prenne Ă part et lui parle Ă ce
sujet. Et
sâils mettent cela en doute, rĂ©fĂ©rez-les Ă cette bande magnĂ©tique, en
disant :
âVoici ce que lâĂ©vĂȘque, ou le surveillant de lâĂ©glise (qui, en fait,
est un
Ă©vĂȘque...nâimporte quel surveillant)...â Voyez-vous ? Câest ainsi quâon
appelle
cela dans la Bible, âla charge dâĂ©vĂȘqueâ, voyez-vous, il sâagit du
surveillant
gĂ©nĂ©ral de lâĂ©glise. Donc : âCe sont les ordres et la façon dont
procĂšde notre
église. Maintenant, nous aimons que vous veniez donner votre message.
Mais, si
vous avez un message de la part du Seigneur, et que câest... donnez-le,
quâon
monte ici et quâon le dĂ©pose sur lâestrade, et notre pasteur le lira Ă
lâassemblĂ©e, un message pour cette assemblĂ©e.â Mais ce ne doit pas ĂȘtre
juste
une rĂ©pĂ©tition des Ăcritures et des choses comme cela. Ce doit ĂȘtre un
message
direct pour les gens : quelque chose qui est sur le point dâarriver, ou
quelque
chose quâils devraient faire. Est-ce compris ? TrĂšs bien.
222. Y
a-t-il une meilleure façon de maintenir lâordre dans lâĂ©glise que de
devoir,
pour les diacres, constamment rappeler ces choses aux gens, en leur
répétant ? Non. Je
viens
dâexpliquer cela. Câest la question numĂ©ro trois.
56 Vous, les
diacres : votre devoir est de
maintenir lâordre dans lâĂ©glise, avec gentillesse et bienveillance. Et
puis,
vous ĂȘtes censĂ©s, si quelquâun fait du dĂ©sordre dans lâĂ©glise, ou entre
ici,
par exemple, un ivrogne ou quelquâun qui entre...
57 Comme
lorsquâon a tirĂ© sur ce pasteur
qui se trouvait sur lâestrade lĂ -bas, lâautre soir. Vous avez entendu
parler de
cela, de cet ivrogne qui est entré avec un fusil de chasse à deux
coups. Il
appelait sa femme, en hurlant etâet... il voulait voir sa femme et
sâest avancĂ©
vers le pasteur. Le pasteur lui a donc montré sa femme, assise là ,
mais, comme
il allait lâabattre en plein dans lâĂ©glise, le pasteur commença Ă lui
parler,
et au lieu queâau lieu que... Lâhomme armĂ© se retourna et tira sur le
pasteur Ă
la chaire. Puis il tira sur sa femme, et, finalement, retourna lâarme
contre
lui-mĂȘme.
58 Maintenant,
sâil y avait eu lĂ un groupe
de diacres, quand cet homme a franchi la porte avec son fusil, ils
lâauraient
encerclé de leurs bras et lui auraient arraché ce fusil. Voyez-vous ?
Voyez-vous ? VoilĂ âvoilĂ des diacres qui travaillent avec ordre. Or, Ă
présent
que les choses se passent comme elles se passent maintenant, on peut
bien
sâattendre Ă nâimporte quoi. Mais, rappelez-vous, les diacres sont les
policiers de Dieu dans la maison de Dieu. Peu importe ce que les autres
en
pensent. Parfois un policier doit aller arrĂȘter quelquâun, peut-ĂȘtre
lâun de
ses amis. Mais, vu quâil est assermentĂ©, il doit le faire de toute
façon. Câest
son devoir envers sa ville. Voyez-vous ?
59 VoilĂ le
devoir du diacre envers
lâĂ©glise. Donc, si quelquâun se lĂšve brusquement et se met Ă
interrompre le
pasteur, ou quelque chose comme ça, tandis que le pasteur donne son
message,
les diacres sont censés aller vers de telles personnes, deux ou trois
dâentre
eux, et dire : âPourrions-nous vous parler, frĂšre ?â Voyez-vous ? De
lâĂ©glise,
amenez-le dans le bureau, ici, ou dans un autre bureau, et parlez-lui Ă
ce
sujet. Dites : âVous ne devez pas interrompre.â Vous savez, il y a
uneâil y a
une grosse amende, prévue par la loi, quand on interrompt un service,
de toute
façon. Voyez-vous ? Mais si des gens, par exemple, un délinquant, ou
quelque
chose comme ça, viennent parmi vous, vous savez, quelque fanatique
religieux,
etâet quâils commencent Ă se conduire mal, alors les diacres... Etâet,
si les
diacres ne semblent pas capables de maĂźtriser la situation, alors le
conseil
dâadministration, ou nâimporte qui dâautre dans lâĂ©glise, peut
sâapprocher et
porter secours Ă cette personne, vous savez.
60 Etâet
maintenant, laissez-moi encore
poser cette question :
Y a-t-il
une meilleure façon de maintenir lâordre dans lâĂ©glise que de devoir,
pour les
diacres, rappeler ces choses aux gens, en leur répétant ?
Maintenant... Ă lâoccasion.
61 Maintenant,
je pense que leâle pasteur,
de temps en temps... ou bien : passez cette bande; quâelle serve de
témoin! Les
diacres sont des policiers, et leur parole fait loi. Voyez-vous ? Et
câest
lâĂ©glise, et mĂȘme les lois du pays, qui leur confĂšrent lâautoritĂ© de
faire de
cette maison de Dieu un endroit correct. Et quiconque sâoppose ainsi Ă
un
diacre est passible deâde deux Ă dix ans de prison fĂ©dĂ©rale. Si vous
leur dites
de sortir et quâils ne le font pas, ou quelque chose comme ça,
quelquâun qui
aurait une conduite dĂ©sordonnĂ©e nâest pas conscient de ce quâil est en
train de
faire. Il sâexpose, se rend passible de toutes sortes dâamendes, de
nâimporte
quoi.
62 Et alors,
sâil devait arriver que
quelquâun... Comme, par exemple, si quelquâun se lĂšve brusquement et a
une
conduite dĂ©sordonnĂ©e... Sâil sâagissait simplement de quelquâun qui
parle en
langues ou quelque chose, je nâinterviendrais pas dans ce cas-lĂ ,
voyez-vous.
Laissez faire, parce que... si ce sont des étrangers. Mais, si ce sont
nos
propres fidĂšles, alors, le soir suivant, vous, les diacres, prenez
simplement
cette bande et dites : âMaintenant, nous allons vous faire entendre les
ordres
pour lâĂ©glise avant de commencer le service. Je veux que tout le monde
comprenne.â Vous, pasteurs, et vous tous, pouvez Ćuvrer ensemble comme
cela.
223 .Bien. FrĂšre Branham,
quâen est-il de
lâĂ©cole du dimanche ? FrĂšre Branham, concernant lâĂ©cole du dimanche
(câest ça),
devrait-elle avoir lieu avant le service de prédication ?
63 Oui, nous
lâavons toujours fait ainsi.
Ayez lâĂ©cole du dimanche avant le service de prĂ©dication. Cela donne
alors
lâoccasion aux petits de lâĂ©cole du dimanche dâassister Ă leurs
classes, et de
quitter. Etâet sâils veulent... Les petits enfants ne comprennent pas;
et sâil
fallait quâils restent assis pendant toute la durĂ©e de la prĂ©dication,
et
quâensuite ils assistent Ă lâĂ©cole du dimanche, ces petits seraient
épuisés.
Que lâĂ©cole du dimanche se fasse en premier. Fixez une heure; quâĂ
lâheure
dite, lâĂ©cole du dimanche commence. Le surveillant de lâĂ©cole du
dimanche doit
veiller Ă cela, Ă ce que lâĂ©cole du dimanche commence Ă lâheure, Ă
lâheure
fixĂ©e, et se termine Ă lâheure. LâĂ©cole du dimanche a tant de temps qui
lui est
alloué, ensuite elle doit se terminer.
224. Est-ce
que celui qui enseigne la classe des adultes devrait ĂȘtre quelquâun
dâautre que
le Pasteur ?
64 Sâil en a
été convenu ainsi. Si le
pasteur veut enseigner lâĂ©cole du dimanche, et ensuite apporter le
message plus
tard, ça, câest tout Ă fait bien, sâil veut tenir les deux services.
Sinon,
alors ayez quelquâun pour enseigner lâĂ©cole du dimanche aux adultes
(voyez-vous), pour votre classe dâadultes. Ainsi, siâsi le pasteur
pense Ă
quelquâun dâautre, et que cette personne veut bien le faire,
donnez-vous trente
minutes, ou le temps que vous allouerez à votre école du dimanche,
trente,
trente-cinq ou quarante minutes, quel que soit le temps convenu.
65 Il devrait
y avoir une cloche ici. Et,
lorsquâon donne un coup de cloche, cela signifie... ou bien la cloche
de
lâĂ©glise, lorsquâelle tinte, dehors, cela indique que câest lâheure de
congĂ©dier lâĂ©cole du dimanche. Et, lorsque cette cloche sonne, cela
signifie
que tout doit rentrer dans lâordre, Ă lâinstant mĂȘme.
66 On devrait
prévoir une certaine période
de temps pour un ou deux cantiques, ce que vous désirez chanter; que ce
ne soit
pas trop long, car vous fatigueriez les gens en les retenant trop
longtemps.
Voyez-vous ? Donnez simplement un coup de cloche, chantez un cantique,
ou ce
que vous aurez décidé, et ensuite envoyez chacun à sa classe. Et,
aussitĂŽt que
câest lâheure, disons, par exemple, dix heures, ou dix heures trente,
ou dix
heures quinze, lâheure choisie, alors faites tinter la cloche, et que
chaque
moniteur congĂ©die sa classe, et vienne dans lâauditoire, ici. Et
ensuite...
donnez alors le rapport, le rapport de lâĂ©cole du dimanche, et ensuite
donnez-leur la permission de se retirer. Et que tous ceux qui désirent
rester
pour le service de prédication viennent ensuite. Voyez-vous ? Alors,
câest en
ordre.
Des
questions ? Combien... [Quelquâun demande Ă FrĂšre
Branham : âAutrement dit, nous avons des
classes sĂ©parĂ©es ?ââN.D.Ă.]
67 Oh oui!
Vous devriez avoir... Un enfant
de trois ans ne peut pas comprendre ce quâun enfant de quatorze ans
comprendrait. Je crois quâil en est question un peu plus loin.
225.
Combien de classes devrait-il y avoir ?
68 Vous
devriez placer vos classes... Par
exemple, une classe réservée aux tout-petits, qui veulent avoir des
âflanellographesâ, ne peut pas convenir Ă un garçon ou une fille de
quatorze
ans. Voyez-vous ? Vous devriez avoir quelquâun qui sâoccupe dâune
classe pour
ces petits bĂ©bĂ©s, une vieille mĂšre, ou quelquâun comme ça, qui sait
comment
sâen occuper. Pour les autres classes, je pense quâil faudrait
quelquâun qui
soit davantage en mesure dâapporter la Parole. Voyez-vous ? Il devrait
y avoir
des classes, disons, par exemple, une classe pour ceux de... enfin, au
moins
trois classes.
69 Il devrait
y avoir une classe pour les
tout petits bébés, il devrait y avoir... à partir de cinq ans environ.
Et tous
les autres, en dessous de cet Ăąge, devraient rester avec leur mĂšre, et
devraient, si nĂ©cessaire, ĂȘtre emmenĂ©s dans la nursery pendant la
prédication,
sâils se mettent Ă faire du bruit. VoilĂ Ă quoi sert la nursery.
70 Je pense
que les classes devraient ĂȘtre
réparties comme ceci : une pour les petits bébés de cinq ou six ans
jusquâĂ
huit, neuf ou dix ans, quelque chose comme ça. Puis ceux de dix ans
jusquâĂ
quinze devraient ĂȘtre dans la classe des adolescents. Et ensuite, la
classe des
adultes, pour ceux qui ont au-dessus de quinze ans, parce quâils...
sâils sont
assez grands pour... De nos jours, ils peuvent se trouver un emploi, et
ils
veulent presque voter Ă cet Ăąge-lĂ ; alors, ilsâils devraient ĂȘtre
capables
dâentendre la Parole, de venir dans la salle principale pour cela.
226. Qui
devraient ĂȘtre les moniteurs ?
71 Nous y
voilĂ ! Câest Ă vous dâĂ©lire vos
moniteurs. Et vous devriez le faire, les placer lĂ , trouver quelquâun!
Convoquez lâĂ©glise et dites : âQui... qui ici se sent conduit par le
Seigneur
?â Et alors, choisissez un moniteur qualifiĂ©. Et que cela se fasse.
Cela doit
ĂȘtre fait avec le plus grand sĂ©rieux, frĂšres. Si le moniteur ne remplit
pas les
conditions requises, alors changez de moniteur.
72 Le jour
oĂč, devant Dieu, je penserai
quâOrman Neville nâest plus qualifiĂ© pour ĂȘtre pasteur ici, jâen ferai
part Ă
lâĂ©glise. Quand je verrai une chose qui me fera penser que vous, les
diacres,
nâĂȘtes pas qualifiĂ©s pour ĂȘtre diacres, je mentionnerai Ă lâĂ©glise que
âjâai
dĂ©couvert quâun certain diacre ici fait quelque chose quâil ne devrait
pas faire,
quâil ne remplit pas son poste convenablementâ, et ainsi de suite; mĂȘme
chose
dans le cas dâun administrateur, ou de qui que ce soit. Je ne peux ni
faire
adopter ni faire rejeter, câest lâĂ©glise qui doit faire cela. Mais
certainement
que je prĂ©senterai cela devant lâĂ©glise, voyez-vous, parce que câest ce
qui
devrait se faire. Câest ce que je suis censĂ© ĂȘtre, en tant que
surveillant; je
suis censé regarder et voir ce qui se passe. Nous allons au Ciel, non
pas ici
quelque part, Ă un rallye, ou quelque chose, pour avoir beaucoup de
plaisir, et
pour sâĂ©craser les uns les autres, et pour jouer au base-ball. Nous
sommes ici,
avec, dans nos mains, la chose la plus bénie qui existe sur la terre :
la
Parole de Dieu. Et cela doit ĂȘtre dirigĂ© dans un ordre pieux.
Qui
devraient ĂȘtre les moniteurs ?
73 Câest Ă
vous de les sélectionner. Mais
je prendrais... Pour les bébés, je prendrais une femme ùgée, qui soit
capable
de faire cela. Mais, pour les adolescents, je choisirais un moniteur
qui soit
strict, et non pas toujours en train de faire des pique-niques oĂč lâon
fait
rĂŽtir des saucisses. Câest trĂšs bien, sâils veulent faire un
pique-nique oĂč
lâon rĂŽtit des saucisses, mais, quand toute la chose est axĂ©e
lĂ -dessus...
Axez-la sur la Parole! Que ce soit quelquâun qui soit capable de manier
la
Parole. Et ce sera... Cette église représente, non pas un... Des
pique-niques
aux saucisses rĂŽties, câest trĂšs bien, etâet des petits pique-niques oĂč
vous
allez ensemble pour fraterniser, câest bien. Câest ce que vous devriez
faire pour
divertir les enfants. Mais, dans cet endroit-ci, câest la Parole de
Dieu. Les
pique-niques aux saucisses rĂŽties, câest quand vous vous retrouvez, ou
quelque
chose comme ça, mais pas ici, dans la maison de Dieu. Et ces... Nous
savons,
bien sĂ»r, nous savons quâici nous ne croyons pas dans toutes ces
sottises, ces
rĂ©unions mondaines, et toutes ces choses. Nousânous... Vous avez plus
de bon
sens que cela.
227. Qui
devrait ĂȘtre Ă la tĂȘte de lâĂ©cole du dimanche, pour la garder dans
lâordre ?
74 Le
surveillant de lâĂ©cole du dimanche.
VoilĂ son travail. Il nâest pas censĂ© avoir quoi que ce soit Ă faire
avec les
diacres, les administrateurs, les pasteurs, ou nâimporte qui dâautre.
Il a sa
propre fonction. Qui est le moniteur de votre école du dimanche, je ne
le sais
pas. Mais ce moniteur de lâĂ©cole du dimanche doit voir Ă ce que chaque
classe
soit Ă sa place, et que chaque moniteur soit prĂ©sent, ou voir Ă
remplacer ce
moniteur par un autre moniteur si lâun dâeux nâest pas lĂ ce jour-lĂ .
75 Alors,
juste avant... Pendant laâla
leçon, le surveillant de lâĂ©cole du dimanche doit passer et recueillir
les
offrandes qui ont Ă©tĂ© faites, les collectes de lâĂ©cole du dimanche, et
préparer
un rapport sur le nombre de personnes présentes, et le nombre de Bibles
quâil y
avait dans cette classe, et ainsi de suite, et rédiger un rapport
lĂ -dessus. Il
doit ensuite venir devant lâauditoire juste avant la prĂ©dication, quand
on lui
fera signe, au moment du rapport de lâĂ©cole du dimanche, aprĂšs que
lâĂ©cole du
dimanche est terminée, et dire combien il y avait de moniteurs, combien
étaient
prĂ©sents, combien... le total de lâĂ©cole du dimanche, le montant total
des
offrandes, et ainsi de suite. Les diacres, les administrateurs, les
pasteurs,
ne sont pas censĂ©s faire cela. Ils nâont rien Ă voir lĂ -dedans. Câest
le
travail du surveillant de lâĂ©cole du dimanche.
76 Et puis,
sâil voit que lâĂ©cole du
dimanche a besoin de certaines choses, il doit alors soumettre cela
auâau
conseil dâadministration. Les administrateurs auront dâabord une
réunion à ce
sujet, puis, si les administrateurs voient quâil y a suffisamment de
fonds et
ainsi de suite (par lâentremise du trĂ©sorier), on pourra alors
effectuer
lâachat. Sâil veut quelque chose, de la littĂ©rature, ou quoi que ce
soit, ou
des Bibles; ou sâils veulent acheter une Bible Ă celui qui, vous savez,
peut
trouver le plus de mots et citer le plus de passages de lâĂcriture, ou
sâil y a
un prix, ou quelque chose du genre, quâils ont lâintention de dĂ©cerner,
et
quâils veuillent acheter cela par lâintermĂ©diaire de lâĂ©glise, alors,
que ce
soit prĂ©sentĂ© auxâauxâauxâaux diacres. Puis, que ceux-ci se renseignent
pour
savoir sâilâsâilâsâil y a ce quâil faut dans la caisse. Voyez-vous ?
77 Et cela,
je pense que cela rĂšgle les
cinq questions qui se rapportaient Ă cela.
Maintenant, la suivante, câest :
228. FrĂšre
Branham, en ce qui concerne lâordre de lâĂ©glise, nous avons essayĂ©
dâagir
dâaprĂšs notre comprĂ©hension des ordres donnĂ©s lors de la dĂ©dicace de la
nouvelle église. Et, en agissant ainsi, certains se sont mis en colÚre
et ont
quittĂ© lâĂ©glise. Dâautres ne veulent rien Ă©couter de ce que nous
disons,
spécialement les enfants. Nous avons parlé aux parents au sujet de
leurs
enfants, et ils refusent de sâen occuper. Avons-nous donc mal compris,
ou nous
y prenons-nous mal ? Merci.
Laissez-moi donc répondre à ceci, un
élément à la fois, comme ils se présentent.
En ce qui
concerne lâordre de lâĂ©glise, nous avons essayĂ© dâagir dâaprĂšs notre
compréhension de ce qui a été donné lors de la dédicace de la nouvelle
église.
78 Câest
correct; vous agissez bien. Cela
doit probablement venir des diacres, je pense, puisquâil est tout Ă
fait
question ici du travail des diacres. TrĂšs bien.
Et, en
agissant ainsi, nous avons souvent... des gens se sont souvent mis en
colĂšre
contre nous.
79 Ils
agissent de mĂȘme envers moi! Ils le
feront pour nâimporte quel homme. Voyez-vous ? Si une personne fait
cela, câest
que quelque chose ne va pas chez cette personne. Ils ne sont pas en
rĂšgle avec
Dieu, car lâEsprit de Christ est soumis Ă lâenseignement de Christ, Ă
la maison
de Christ, Ă lâordre de Christ. Voyez-vous ? Et nâimporte quel homme
qui... ou
nâimporte quelle femme, ou nâimporte quelle personne, ou enfant, qui se
mettrait en colĂšre contre un diacre consacrĂ© qui leur dirait dâĂȘtre...
ou nâimporte
quel parent qui se mettrait en colĂšre contre un diacre... Vraiment,
nous
souhaitons avoir dans cette église tous ceux que nous pouvons y faire
entrer;
mais si cela ne fait que causer des ennuis ailleurs, câest quâil y a
une épine,
ou plutĂŽt un lapin dans le tas de bois, comme on avait coutume de dire.
Cette
personne-lĂ nâa pas raison.
80 Sâils
partent, il nây a quâune chose Ă
faire : les laisser partir, et prier pour eux. Voyez-vous ? Ensuite,
peut-ĂȘtre
que quelques-uns des diacres pourraient aller à leur église... ou
plutĂŽt aller
chez eux, un jour ou lâautre, pour savoir pourquoi ils sont partis, et
leur
demander ce qui nâallait pas. Et puis sâils... Pour voir sâil peut les
rĂ©concilier. Sâil ne le peut pas, alors, quâil prenne avec lui deux ou
trois témoins,
afin quâeux puissent se faire comprendre. Et alors, sâils nâarrivent
pas Ă se
faire comprendre, en ce cas, quâon le dise devant lâĂ©glise, sâils sont
membres
de cette église. à ce moment-là , ils sont...
81 Mais,
sâils ne sont pas membres de
lâĂ©glise... bien sĂ»r, sâils ne sont pas membres de cette assemblĂ©e, on
devrait
leur apprendre Ă se plier Ă la discipline. Voyez-vous ? Ilsâils doivent
obĂ©ir Ă
nos ordres, parce que ce sont les ordres de lâĂ©glise. Ce sont des
choses que
nous ne voulons pas faire, des choses que moi-mĂȘme, je nâaime pas
faire. Mais
ce sont des choses qui doivent ĂȘtre faites. Je me mets moi-mĂȘme en
avant, et je
leur dis maintenant, par cette bande, que cela vient de moi. Ils
peuvent
mâentendre parler et savoir que câest moi, et non pas vous, les frĂšres.
Vous
mâavez posĂ© ces questions, Ă moi, et jây rĂ©ponds de mon mieux, dâaprĂšs
la
Parole de Dieu.
82 âMaintenant,
si ces gens se mettent en
colĂšre et vous quittent, que dit lâĂcriture Ă ce sujet, FrĂšre Branham ?â
83 âIls sont
sortis du milieu de nous,
parce quâils nâĂ©taient pas des nĂŽtres.â Câest rĂ©glĂ©! âIls ont quittĂ©
lâĂ©gliseâ,
câest ce quâils ont fait. TrĂšs bien.
Dâautres ne
veulent rien écouter de ce que nous disons, spécialement les enfants.
84 Les
enfants sont censĂ©s savoir ce quâest
la discipline; ils devraient lâapprendre Ă la maison. Mais, mĂȘme sâil
sâagit
des miens, si mes enfants viennent ici Ă nâimporte quel moment, et
quâils se
conduisent mal, je ne veux pas que vous fassiez la moindre exception;
quâil
sâagisse de Sara, de RĂ©becca, de Joseph, de Billy, ou de nâimporte qui,
dites-le-moi, je mâen occuperai. Sâils ne peuvent pas se conduire
convenablement, alors ils ne viendront plus Ă lâĂ©glise, jusquâĂ ce
quâils aient
appris Ă bien se tenir. Ceci nâest pas une arĂšne, câest la maison de
Dieu. Ce
nâest pas un endroit pour jouer, et patiner, et Ă©crire des billets, et
rire, et
plaisanter, câest la maison de Dieu. Tout devrait se passer pieusement.
85 Vous venez
ici pour adorer, pas mĂȘme
pour vous rencontrer. Ceci nâest pas unâceci nâest pas un terrain de
pique-nique, ce nâest pas un endroit pour se rendre visite. Câest le
lieu de
visitation du Saint-Esprit. Ăcoutez ce que Lui a Ă dire, non pas les
uns les
autres; nous ne venons pas ici pour fraterniser les uns avec les
autres. Nous
venons ici pour fraterniser avec Christ. Ceci est la maison
dâadoration. Et les
enfants doivent ĂȘtre disciplinĂ©s, et sâils... par leurs parents. Que
cela se
sache! Si ces diacres... Si les parents de ces enfants ne veulent pas
écouter
ce que disent les diacres, alors ces parents eux-mĂȘmes devraient ĂȘtre
corrigés.
Nous avons
parlĂ© aux parents au sujet des enfants, et ils refusent de sâen occuper.
86 Sâils sont
membres de cette église,
alors vous devriez en prendre deux ou trois avec vous, et rencontrer ce
parent en
privĂ©, dans lâun des bureaux. Peu mâimporte de qui il sâagit; quâil
sâagisse de
moi, de FrÚre Neville, de Billy Paul et son petit garçon, de FrÚre
Collins et
lâun de ses enfants, ou de nâimporte lequel dâentre vous. Nous
sommes... Nous
nous aimons les uns les autres, mais nous sommes liés par le devoir
envers Dieu
et envers cette Parole. Quâil sâagisse de Doc, peu importe qui câest,
nous
devons nous appeler Ă lâĂ©cart, et ĂȘtre honnĂȘtes les uns avec les
autres.
Comment Dieu peut-Il arriver Ă traiter avec nous ? Si nous ne sommes
pas
honnĂȘtes les uns avec les autres, alors comment le serons-nous avec Lui
?
Voyez-vous ?
87 Câest un
ordre, nous devons nous occuper
de la maison de Dieu! Et les diacres sont censés savoir comment faire
cela.
Voyez-vous ? VoilĂ pourquoi je vous dis maintenant de veiller Ă ces
choses.
Appelez-les... Et, si vous en parlez aux parents et quâils refusent
dâĂ©couter,
quâils refusent dâentendre raison, alors prenez un autre diacre, ou un
des
administrateurs, ou quelque bonne personne de cette église, et
appelez...
Prenez votre... prenez votre conseil de diacres, tous les diacres
réunis, et
dites : âFrĂšre Jones, FrĂšre Henderson, FrĂšre Jackson,â celui dont il
est
question, âleurs enfants se conduisent mal; nous leur avons parlĂ© deux
ou trois
fois de leurs enfants, et ils refusent dâĂ©couter.â
88 Alors,
faites venir FrĂšre Jones, ou
FrĂšre Un tel, et dites : âFrĂšre Jones, nous vous avons fait venir ici
pour
avoir un entretien avec vous. Nous vous aimons, et nous... vous ĂȘtes
une partie
de nous. Vous ĂȘtes lâun des nĂŽtres. Permettez-moi de vous passer cette
bande et
de vous faire entendre ce que FrĂšre Branham a dit Ă ce sujet.
Voyez-vous ?
Maintenant, nous vous avons demandé de faire en sorte que ces enfants
se
conduisent bien. Voyez-vous ? Sâils ne veulent pas se conduire
convenablement,
et si vous nâarrivez pas Ă faire en sorte quâils se tiennent comme il
faut Ă
lâĂ©glise, alors confiez-les Ă quelquâun pendant que vous venez Ă
lâĂ©glise,
jusquâĂ ce quâils apprennent Ă bien se tenir dans la maison de Dieu.
Voyez-vous
? Donc, câest un ordre, il doit ĂȘtre exĂ©cutĂ©! Voyez-vous ?
Maintenant, lâautre question
continue :
Avons-nous
donc mal compris ?
89 Non
monsieur! Vous nâavez pas mal
compris! Câest bien exact. Je le rĂ©pĂšte. Les ordres... Quand vous ĂȘtes
dans
lâarmĂ©e, on ne vous demande pas : âVoulez-vous aller faire une certaine
chose
?â Si vous ĂȘtes dans lâarmĂ©e, vous ĂȘtes obligĂ© de le faire. Voyez-vous
? Et
câest pareil pour... Je suis obligĂ© de prĂȘcher lâĂvangile! Je suis
obligé de
prendre position pour Ceci, sans me soucier de ce que les autres
hommes,
frÚres, et ainsi de suite, peuvent en dire; je suis obligé de le faire.
Il me
faut ĂȘtre blessant, et mettre des hommes en piĂšces, mais, si je...
90 Vous ne
voulez pas devenir comme Oswald,
voyez-vous. Si vous ne pouvez pas ĂȘtre en dĂ©saccord avec un homme, et
ensuite
lui serrer la main et conserver les mĂȘmes sentiments Ă son Ă©gard, alors
quelque
chose ne va pas chez vous. Si je ne peux pas ĂȘtre en dĂ©saccord avec un
homme â
en dĂ©saccord profond et total â et quand mĂȘme penser de lui autant de
bien
queâque Christ le ferait, alors, mon esprit Ă moi nâest pas juste. Je
nâai pas
lâEsprit de Christ. Voyez-vous ?
91 Sâil dit :
âEh bien, FrĂšre Branham, je
crois que votre enseignement est ceci, cela.
92 â TrĂšs
bien, frĂšre, retrouvons-nous pour
discuter, vous et moi. Nous verrons cela ensemble. Nous irons seuls
dans la
piĂšce dâĂ cĂŽtĂ©, et nous discuterons.â Et le voilĂ qui me met en piĂšces;
et je
dois, Ă mon tour, lui rĂ©pondre certaines choses. Si, dans mon cĆur, je
ne peux
pas avoir les mĂȘmes sentiments Ă son Ă©gard, me disant âquâil est
toujours mon
frĂšre et que jâessaie de lâaiderâ, alors, jamais je ne pourrai lâaider.
Il nây
a aucun moyen pour moi de lâaider. Si je ne lâaime pas, Ă quoi bon
aller lĂ -bas
? Dites-lui : âCommençons par le commencement, frĂšre : Je ne vous aime
pas.
Aussi, laissez-moi faire disparaĂźtre cela de mon cĆur tout de suite,
avant que
nous entrions lĂ , parce que je ne peux pas vous aider, tant que je ne
vous aime
pas.â
93 Et câest
vrai! Et câest la façon!
Voyez-vous ? Continuez, vous avez agi tout Ă fait bien. Câest ainsi que
cela
devrait ĂȘtre. Vous nâavez pas du tout mal compris.
93a Nous y prenons-nous
mal ?
94 Non! Câest
la bonne façon de mener cela.
Que lâordre soit maintenu, parce que câest constamment... Maintenant,
les
petits enfants et les petits bébés des mÚres, et ainsi de suite,
pleureront,
câest certain, et sâils se mettent Ă pleurer trop, et quâils
interrompent votre
pasteur qui est lĂ -haut, rappelez-vous : vous ĂȘtes ses gardes du corps.
Vous
ĂȘtes ses gardes du corps dans lâĂvangile. Voyez-vous ? Et si cela
interrompt le
message du Seigneur, vous ĂȘtes des diacres, alors, que devez-vous faire
? Câest
comme un homme qui parle en langues; il est lié par le devoir. Et un
homme qui
prĂȘche est liĂ© par le devoir Ă la Parole. Il est liĂ© par le devoir Ă
ces
choses. Chacun de vous est lié par le devoir à une fonction, et
câestâcâest
précisément dans ce but-là que nous sommes ici.
95 Maintenant,
nous ne voulons pas trop
vous retenir, et je sais que jâai un rendez-vous dans quelques minutes,
alors
je vaisâje vais donc essayer de faire vite, aussi vite que possible.
229. FrĂšre
Branham...
(Il y a trois, deux questions ici sur cette carte.) FrĂšre
Branham, quelle devrait ĂȘtre la ligne de conduite, lorsquâil
sâagit de recueillir des offrandes dans lâĂ©glise pour des gens ?
Comment cela
devrait-il se faire ? \
96 Je pense
que recueillir des offrandes
dans lâĂ©glise pour des gens ne devrait pas se faire, Ă moins que ce ne
soit
pour votre pasteur. Et je pense que si quelquâun venait ici pour
demander
lâaumĂŽne, ou pour quelque chose comme ça, ou si quelquâun Ă©tait
vraiment dans
le besoin, par exemple, un de nos membres, quelquâun de lâassemblĂ©e...
si
câĂ©tait, disons, lâun de nos frĂšres, et quâils aient des problĂšmes, eh
bien, je
pense que, dans ce cas-lĂ , cela devrait ĂȘtre annoncĂ© de lâestrade. Et
que ce
soit le pasteur qui le fasse. Je pense quâil est de son devoir de faire
cela;
sâil sâagit dâun frĂšre qui a besoin de quelque chose, quâil soumette
alors cela
Ă lâĂ©glise, si câest ainsi quâon veut faire.
97 Si câest
quelquâun qui est dans le
besoin, etâet que vous ne voulez pas recueillir dâoffrande pour la
personne qui
est dans le besoin, alors, que les conseils se réunissent pour convenir
ensemble de certaines sommes Ă sortir de la caisse afin de les donner Ă
cette
personne. Mais, si le niveau de la caisse est bas Ă ce moment-lĂ , et
quâils
nâont pas les moyens de le faire, alors cela devra ĂȘtre recueilli.
Queâque cela
soit discuté en conseil, que les ordres soient donnés au pasteur, et
que le
pasteur demande la chose en question. Quâil dise : âCe soir... notre
FrĂšre
Jones a eu un terrible accident. Sa maison a brûlé, et, ce soir, en
tant que
ChrĂ©tiens, nous allons nous unir et nous engager personnellement Ă
faire notre
possible pour aider FrĂšre Jones Ă retrouver sa maison.â Voyez-vous ?
Ouâou quoi
que ce soit. Voyez-vous ? Nousânous ferons cela. Que cela soit dit de
lâestrade; câest la façon de le faire. Ensuite, que les montants pour
lesquels
on sâest engagĂ© soient versĂ©s, et quâon les remette au trĂ©sorier de
lâĂ©glise.
Et que ces montants soient payĂ©s par lâentremise du trĂ©sorier de
lâĂ©glise, et
quâils leur soient remis. Etâet quâon donne un reçu Ă la personne,
parce que je
ne sais pas si on peut avoir un remboursement dâimpĂŽts ou pas; je le
pense
bien, pour quelque chose comme ça.
98 Bien.
Mais, pour ce qui est, par
exemple, dâunâdâun Ă©tranger qui entre ici, un Ă©tranger qui entre, par
exemple... Un homme qui entre et dit : âEh bien, voici ce qui en est :
Jeâjeâje
suis en voyage, et un de mes pneus a éclaté; il me faut un pneu neuf.
Recueillez donc une offrande pour moi ce soir, pour un pneu neuf.â
Maintenant,
on ne doit pas faire cela! Non. On ne doit pas le faire. Et sâil
sembleâsâil
semble que ce soit quelque chose de valable, touchant quelquâun que
vous
connaissez, le conseil peut se rĂ©unir, et dĂ©cider dâun certain montant
dâargent
Ă sortir de la caisse afin dâacheter un pneu Ă cet homme, ou ce dont il
était
question. Ou bien, si les fonds de lâĂ©glise sont peu Ă©levĂ©s, et que le
conseil
décide que... Le pasteur ne devrait rien avoir à faire là -dedans, les
diacres
sont censĂ©s sâen occuper, voyez-vous, ou les conseils. Et maintenant,
si
cela... Si cela a été convenu, alors confiez au pasteur... le pasteur
pourra
avoir soin de recueillir lâoffrande. Mais, remarquez, si câest un
étranger, et
que ce soit un besoin urgent, que quelquâun ait besoin dâun peu
dâargent et que
vous pensiez que câest pour une bonne cause (or ceci, câest mon
opinion), si
câest vraiment pour une bonne cause, et que vous savez que câest pour
une bonne
cause...
99 Maintenant,
premiĂšrement, si vous alliez
regarder, dans mes livres, Ă la maison, le nombre de personnes qui sont
passĂ©es, en disant : âJe suis le rĂ©vĂ©rend Un tel, de telle et telle
église, et
jâaiâjâai eu des ennuis sur la route, et jâaiâjâai besoin dâun jeu de
pneusâ,
sachant que je revenais justement dâune rĂ©union oĂč jâavais reçu une
offrande,
ou quelque chose comme ça â jâĂ©tais prĂȘt Ă lui donner, pour quâil aille
sâacheter un jeu de pneus. Quand jâallais ensuite prendre connaissance
des
registres : jamais un ministre de ce nom, et ayant vécu à cet endroit,
nâavait
existĂ©. Et il y a dix ou vingt mille dollars â câest inscrit sur les
livres â
quâau fil des annĂ©es jâai distribuĂ©s, comme cela; je nâai jamais rien
su dâeux,
ni oĂč ils Ă©taient. Je finissais par apprendre... dâautres ministres
disaient :
âMais, il mâa soutirĂ©, Ă moi, tel et tel montant!â
100 Or, lâĂ©glise nâest
responsable que des
siens! Câest vrai. Ils sont responsables des leurs.
101 Mais, sâil semble y
avoir une cause
valable, et puis si vousâsi vous, les administrateurs, vous pouvez
peut-ĂȘtre
dire : âAttendez donc une minute. Cet homme, sa voiture est bien
lĂ -bas, cela
lui est bien arrivĂ©. Il nâest pas de notre assemblĂ©e, voyez-vous, mais
câest
bien ça.â Alors, sâils veulent procĂ©der ainsi, et veulent dire quelque
chose de
spécial pour une personne du dehors...
102 Mais pas pour les
nĂŽtres, voyez-vous, pas
pour nos propres fidĂšles. Quand il est question de nos propres fidĂšles,
cela
doit ĂȘtre recueilli ici mĂȘme, parmi lesâles leurs, leurs frĂšres ici,
voyez-vous.
103 Mais, sâil sâagit de
quelquâun, Ă
lâextĂ©rieur... si un homme dit quâil a faim, et que quelquâun veut
retirer
quelque chose de sa poche pour lui faire lâaumĂŽne, cela vous regarde.
Mais je
parle des fois oĂč lâĂ©glise est sollicitĂ©e. Donc, si lâon demande aux
membres de
lâĂ©glise de faire un don, alors...
104 Maintenant, bien sûr,
si vous avez un
Ă©vangĂ©liste qui prĂȘche ici, alors vous prenez... vous... vous aurez
convenu
avant quâil vienne, vous savez, soit de lui donner une offrande, ou de
lui
payer un salaire, ou ce quâil voudra.
105 Mais si cette personne
est ici, et que
câest pour une bonne cause, et que le pasteur... et que le conseil ait
donné
son approbation, et en ait informé le pasteur, alors, que le pasteur
dise :
âUne certaine personne est assise ici. Nous ne connaissons pas cet
homme. Il
est entré, et il nous a demandé... Il dit que ses enfants ont faim.
Nous
nâavons pas le temps... nous nâavons pas eu le temps dâexaminer
laâlaâlaâla
demande.â Voyez-vous ?
106 Sâil y a quelque chose
comme ça, alors
nosânos... Sâil y a quelque chose concernant quelquâun des nĂŽtres, nos
propres
diacres vont examiner ces demandes, voyez-vous. Et, si câest valable,
alors
faites-le. Si ce nâest pas valable, alors ne le faites pas, vous nâen
avez pas
lâobligation. Mais, maintenant, sâil sâagit dâun homme qui est ici,
alors, que
le pasteur dise : âMaintenant, le conseil dâadministration mâa dit ne
pas
connaĂźtre cette personne. Mais cet homme est assis ici, et il dit
sâappeler Jim
Jones (ou quel que soit son nom). Il est assis juste lĂ . âVoulez-vous
vous
lever, Monsieur Jones ? Maintenant, Monsieur Jones, Ă la fin du
service,
tenez-vous Ă la porte de derriĂšre, en sortant.â Et si quelquâun a le
désir dans
son cĆur de faire quelque chose pour cet homme, donnez-le-lui en
sortant.â
Est-ce bien compris ?
107 Lâavez-vous... Pour
ceux qui écoutent la
bande... Lâun des... FrĂšre Collins lâa manquĂ© sur sa bande, je veux
donc
Ă©noncer de nouveau cette dĂ©claration. Si... parce que câest un des
diacres.
108 Siâsi jamais un homme
entre, pour une
urgence, et dĂ©sire recevoir une offrande de lâĂ©glise, alors, que les
administrateurs ou les diacres se rĂ©unissent, et... quâils se
réunissent, et
quâils prennent une dĂ©cision, et disent ensuite au pasteur... Cela
pourrait
ĂȘtre fait comme ceci : Quâils... que le pasteur dise que âcet homme,â
et quâil
donne son nom, ânous ne le connaissons pas. La rĂšgle habituelle, ici,
est de se
renseigner avant de recueillir une offrande pour des gens, lorsquâil
sâagit des
nĂŽtres. Mais cet homme, ici, dit quâil est en difficultĂ©, il doit faire
face Ă
un imprévu, il a des enfants malades et il a besoin de se procurer des
médicaments pour ses enfants (ou quel que soit cet imprévu). Il est ici
:
âVoulez-vous vous lever, monsieur ?ââ Voyez-vous ? Faites-le lever, et
dites :
âMaintenant, vous, ici, vous voyez qui câest. Alors, Ă la fin du
service, cet
homme se tiendra Ă la porte de devant, et, en sortant, ceux dâentre
vous qui
ont envie de contribuer, vous ĂȘtes libres de le faire; nous lâavons
seulement
annoncĂ© dans lâĂ©glise.â Vous ne donnez pas par lĂ votre approbation Ă
cela,
vous faites seulement lâannoncer. Voyez-vous ? Câest faire preuve
dâhospitalitĂ©
envers un étranger. Voyez-vous ? Vous comprenez à présent ? TrÚs bien.
109 Je pense quâon a vidĂ©
cette question-lĂ .
230. Quâen
est-il des bandes ?
Bien. Ătant donnĂ©... Quâen est-il des
bandes ? (Il y a un point dâinterrogation.) Ătant
donné que beaucoup écrivent au bureau, vous blùmant pour les
mesures prises par rapport aux bandes. Aussi, quâen est-il des autres,
autour
de lâĂ©glise, qui vendent des bandes, alors que monsieur Maguire doit
payer des
droits dâauteur sur celles-ci ?
110 TrĂšs bien. Les bandes
se font par contrat.
Et, si je... Je ne sais pas exactement quand le contrat expire, mais
les
administrateurs, ceci regarde les administrateurs; non pas les diacres,
mais
les administrateurs; non pas le pasteur, mais les administrateurs. Les
administrateurs, de temps Ă autre, ilsâils rĂ©digent un contrat, si jâai
bien
compris. (Et si ceâce nâest pas juste, alors, que les administrateurs
veuillent
bien me corriger.) Donc, ces administrateurs ont une entente avec la
personne
qui fait les bandes, et les bandes sont données par concession.
111 Personne dâautre ne
peut faire des bandes
Ă moins dâen avoir reçu lâautorisation de la personne qui dĂ©tient la
concession. Et celles-ci ne peuvent pas ĂȘtre vendues, sans la
permission de la
personne qui dĂ©tient la concession, parce que câest la loi, voyez-vous,
qui
régit la concession. Voyez-vous ? Et si le... celui qui détient la
concession
veut laisser un tel faire des bandes, câest son affaire. Sâil veut
laisser tout
le monde faire des bandes, câest son affaire; sâil veut que tout le
monde vende
des bandes, cela regarde la personne qui détient la concession. Il
devrait
avoir unâun petit mot, signĂ© du dĂ©tenteur de la concession,
lâautorisant Ă
faire et Ă vendre des bandes, parce quâainsi il est en rĂšgle avec la
loi;
sinon, lâhomme qui possĂšde la concession... Vous vous rendriez passible
de...
Si câĂ©tait uneâune personne mĂ©chante, et qui cherche Ă crĂ©er des
ennuis, elle
pourrait vraiment le faire. Si vous passez par-dessus cette
concession... parce
que câest exactement la mĂȘme chose quâun droit dâauteur, voyez-vous,
câest la
mĂȘme chose. Vous nâavez pas le droit de faire cela. Câest passible
dâune grosse
amende.
112 Ainsi, si ces
personnes font des bandes,
peut-ĂȘtre ont-elles lâaccord de monsieur Maguire, quiâqui a... qui
perçoit des
droits dâauteur sur les bandes. Et, maintenant... et je ne suis pas au
courant
de cela, parce que je ne suis pas ici, avec vous, assez souvent pour
ĂȘtre au
courant de ces choses et de qui il est question. Je suppose que
monsieur
Maguire la détient toujours, parce que là -bas en Californie, ou en
Arizona oĂč
jâhabite, je crois savoir quâon achĂšte toujours des bandes venant de la
Californie. FrĂšre Sothmann, le beau-pĂšre de monsieur Maguire, qui est
notre
frĂšre ici dans lâĂ©glise... Je pense que monsieur Maguire la dĂ©tient
toujours,
laâla concession lĂ -dessus.
113 Maintenant, des
plaintes, il y en a eu
depuis le début, au sujet de la façon dont sont faites les bandes. Or,
quand il
y a une plainte concernant quoi que ce soit qui ait rapport aux
finances de
cette église, il est du devoir des administrateurs de voir à ce que
cette
question soit tirée au clair. Voyez-vous ? Il ne devrait absolument
rien y
avoir!
Maintenant,
vous voyez quâil est dit, ici sur cette carte :
Ils
écrivent au bureau, vous blùmant.
114 Franchement, jâai reçu
beaucoup de lettres
à ce sujet, et ils veulent savoir pourquoi ils ne reçoivent pas leurs
bandes.
Maintenant, vous connaissez votre contrat avec celui qui a la
concession.
DâaprĂšs ce que jâai compris, les bandes... Jeâje ne veux rien avoir
affaire
avec, pour moi-mĂȘme, mais, si quelquâun peut utiliser les bandes pour
lâavancement de lâĂvangile, alors : âAmen!â
115 Au début, FrÚre
Roberson et les autres
commencĂšrent Ă les produire, FrĂšre Beeler et plusieurs autres
commencĂšrent Ă
les produire. Puis nos deux frĂšres, FrĂšre Mercier et FrĂšre Goad, les
produisirent pendant des années. Et, bien entendu, chacun des hommes
qui les a
produites a Ă©tĂ© lâobjet de plaintes, chacun dâeux. Mais on dirait que,
derniĂšrement, les gens se plaignent beaucoup de ce quâils ne reçoivent
pas leurs
bandes. Des gens mâont tĂ©lĂ©phonĂ© de lâautre bout du pays. Autre chose :
On se
plaint de recevoir des bandes déjà utilisées sur lesquelles on aurait
réenregistré; on y entend une chose une minute, et puis on entend autre
chose
par-dessus, et alors on nâarrive mĂȘme plus Ă comprendre ce qui sây
trouve.
116 Or, les gens qui
paient pour ces bandes
devraient recevoir une bande authentique. Peu mâimporte ce quâils
doivent faire
pour lâobtenir, nous voulons voir nos clients, et nos frĂšres (et câest
ce
quâils sont, nos clients et nos frĂšres, et ainsi de suite), ils doivent
recevoir une bande de toute premiÚre qualité. Vous, les
administrateurs,
veillez-y! Veillez Ă ce que ces gens soient satisfaits. Sâils ne sont
pas
satisfaits, leur argent doit leur ĂȘtre retournĂ© immĂ©diatement.
117 Quelquâun mâa
téléphoné, pour me dire que
cela faisait des mois quâils attendaient des bandes. Maintenant, je ne
sais pas
comment FrĂšre Maguire sâoccupe de cela. Jeâje ne suis pas au courant.
Je ne
sais rien Ă ce sujet, et je... Ce nâest pas mon affaire dâĂȘtre au
courant de
cela; câest son affaire Ă lui, avec eux et les administrateurs. Je ne
cherche
pas Ă mâinterposer, mais je suis simplement en train de vous en donner
la
législation. Voyez-vous ? La loi veut que ces bandes, à partir du
moment oĂč
quelquâun passe une commande, ces bandes sont censĂ©es ĂȘtre en route;
dans la
journĂ©e qui suit, ou deux, trois, quatre, ou cinq jours aprĂšs quâon a
commandé
ces bandes, celles-ci doivent ĂȘtre Ă la poste. Autrement la concession
peut
ĂȘtre retirĂ©e en tout temps, quand ces ordres ne sont pas observĂ©s.
Voyez-vous ?
118 Maintenant, tous les
six mois ou tous les
ans, on doit renouveler cela; ce contrat doit ĂȘtre renouvelĂ©. Vous ĂȘtes
censés
vous rencontrer à la date précise mentionnée sur la concession. Et
alors,
dâautres personnes sont censĂ©es venir aussi Ă ce moment-lĂ , et vous
ĂȘtes censĂ©s
aviser dâautres gens qui ont posĂ© des questions au sujet des bandes; et
quâon
vienne avec le contrat, quâon sâassoie, et quâon en discute.
119 Maintenant, ces ordres
doivent ĂȘtre
exécutés! Voyez-vous ? Et on doit les exécuter correctement, parce
quâil y a
des plaintes. Ils se sont plaints de Léo et de Gene, ils se sont
plaints de
chacun, ils se plaignent de FrĂšre Maguire, et il y aura des plaintes
avec
quelquâun dâautre; seulement voyons de quoi on se plaint.
120 Maintenant, quand les
bandes commencent Ă
sâempiler, quâil y en a des caisses, que les lettres arrivent par
douzaines, et
que... Voyez-vous, cela ne retombe pas sur celui qui fait les bandes,
câest sur
moi que cela retombe. Câest toujours Ă moi quâils sâen prennent Ă ce
sujet. Or,
il est de mon devoir, en tant que Chrétien, de veiller à ce que les
gens en
aient pour leur argent; et je veux que vous, les administrateurs, vous
veilliez
Ă cela. MĂȘme sâil faut les vendre plus cher, acheter des bandes de
meilleure
qualité, acheter une meilleure machine, nous voulons que celui qui fait
ces
bandes les fasse correctement. Voilà ce qui nous intéresse! Les bandes
doivent
ĂȘtre bien faites! Et le client doit ĂȘtre satisfait, sinon arrĂȘtez
complĂštement
de faire les bandes, et nous nâaurons plus de bandes, nous laisserons
simplement ceux qui le veulent en faire. Mais, sâils ont lâintention de
les
faire payer, alors quâils veillent Ă ce que les gens en aient pour leur
argent,
parce que câest faire preuve de Christianisme. Ce nâest pas plus que...
121 Quand ils viennent ici
pour entendre
lâĂvangile, je veux leur donner le meilleur de ce que je peux leur
donner.
Voyez-vous ? Et quand ils viennent ici, je veux que vous veilliez Ă ce
que tous
et tout marchent bien. Câest la raison pour laquelle je vous dis, Ă
vous, les
diacres, les administrateurs et les pasteurs, ici ce soir, que vous
devez
exécuter ceci à la lettre, parce que les gens viennent ici pour trouver
Dieu;
et nous devons avoir ces choses en ordre.
122 Et les bandes aussi
doivent ĂȘtre mises Ă
leur place. Sâil faut les vendre plus cher... si vous utilisez des
bandes de
deuxiĂšme qualitĂ©, alors procurez-vous de meilleures bandes. Sâil faut
les
vendre plus cher, vendez-les plus cher, mais que la personne reçoive la
contre-valeur du prix demandé.
123 Je ne suis intĂ©ressĂ© Ă
aucuns droits
dâauteur, pas un sou, et le Tabernacle non plus nâest pas intĂ©ressĂ©. Je
ne veux
pas que vous le soyez. Ne soyez pas intéressés à cela, aux droits
dâauteur.
Sâils en paient... Je pense quâon est obligĂ©s dâen percevoir un peu, de
ces
droits dâauteur, Ă©tant donnĂ© que câest fait ici. Je crois que câest
quelque
chose quâil a dit Ă monsieur Miller et aux autres, concernant la loi,
que nous
devions percevoir certains droits dâauteur, ou quelque chose. Câest Ă
vous tous
de vous occuper de cela. Je ne me mĂȘle pas de cela, je fais seulement
vous
exposer la chose. Câest Ă vous autres de vous en occuper. Je ne peux
pas
mâoccuper de tout. Je vous indique simplement de quelle façon cela
devrait et
doit ĂȘtre dirigĂ©. Et vous avez bien compris que jâai dit : âDoit ĂȘtre
dirigĂ©â!
Nous voulons donc que cela soit dirigé correctement.
124 Et sâil est nĂ©cessaire
dâavoir une
meilleure machine, alors procurez-vous une meilleure machine. Si câest
nĂ©cessaire... Or, je leur ai dit, jâai dit : âChaque fois que je
partirai en
voyage missionnaire, avant de partir, je vous signalerai les sermons
que je
vais prĂȘcher lĂ -bas, quelque chose que jâai dĂ©jĂ ...â Et je vous ai
promis â
jâai dâailleurs lâintention de reprendre cela Ă nouveau dimanche soir â
quâavant de prĂȘcher un nouveau message, je le donnerais premiĂšrement
dans ce
tabernacle, parce quâil semble quâon y obtient un meilleur
enregistrement. Vous
vous souvenez de cela ? Alors, je viens ici, je prĂȘche mes messages, et
je vais
ensuite voir le frĂšre qui sâoccupe des bandes pour lui signaler quels
services... Ils me demandent : âLesquels ? Quâallez-vous prĂȘcher ?â Et
je dis :
âEh bien, ce soir-lĂ , ce sera tel et tel; et cet autre soir, tel et
tel.â Ils
peuvent ainsi les prĂ©parer dâavance, et les mettre Ă la disposition des
clients, sur place. Ils lâont lĂ , avec eux. Et câest une bande de
meilleure
qualitĂ© que celle quâon obtiendrait dans ces rĂ©unions, parce quâelle
est faite
ici au Tabernacle, oĂč lâacoustique est bonne. Voyez-vous ?
125 Or, comme
jâentreprends cette grande
tournĂ©e dâĂ©vangĂ©lisation, ce que je vais faire maintenant, Ă
lâĂ©tranger, et
tout, je ne peux pas le promettre, vous voyez, je ne peux pas promettre
que je
prĂȘcherai mon premier message ici. Parce que, lorsque vous prĂȘchez les
messages
Ă diffĂ©rents endroits, vous devez avoir quelque chose... Celaâcela
finit par
perdre de son intĂ©rĂȘt pour vous, et, en ce cas, forcĂ©ment que cela
perdra de
son intĂ©rĂȘt pour ceux qui lâĂ©coutent. Vous devez faire quelque chose de
différent, vous voyez, et apporter ce qui convient comme message
lĂ -bas. Mais
alors, quâon installe sur le terrain, ou dans lâendroit en question,
une
machine qui fera un enregistrement parfait.
126 Et quâon produise une
bande parfaite, et
que chaque bande soit Ă©coutĂ©e et vĂ©rifiĂ©e avant dâĂȘtre envoyĂ©e; sinon,
arrĂȘtez
tout cela, ne vous en occupez plus du tout, et que chacun fasse ses
propres
bandes. Voyez-vous ? Mais, faites-le comme il faut, voyez-vous, afin
que ces plaintes
cessent! Nous ne voulons aucune plainte, aucune! Sâil y a une plainte,
quâon
sâen occupe, alors ce sera rĂ©glĂ©.
127 Maintenant, je vais
faire aussi vite que
possible. Billy a peut-ĂȘtre encore deux questions ici, ou trois, et
nous aurons
terminé.
231. FrĂšre
Branham, jusquâoĂč un diacre peut-il ou devrait-il aller pour maintenir
lâordre
dans lâĂ©glise ? Devrions-nous maintenir lâordre, ou bien attendre que
FrĂšre
Neville nous dise ce quâil faut faire ?
128 Ce nâest pas le
travail de FrĂšre Neville,
câest votre travail! Voyez-vous ? Vous ne dites pas Ă FrĂšre Neville
quoi
prĂȘcher, et comment le prĂȘcher! Voyez-vous ? Câest votre travail, Ă
vous, les
diacres, vous ĂȘtes censĂ©s faire cela. Occupez-vous de cela! Cela ne
concerne en
rien FrĂšre Neville. Câest votre travail, voyez-vous.
129 Maintenant, si un
policier est ici, dans
la rue, et quâil voit un homme en train de voler quelque chose Ă
lâarriĂšre
dâune voiture, doit-il appeler le maire et dire : âEh bien, Votre
Honneur,
monsieur le Maire, je travaille pour vous dans les forces de police.
Voici :
Jâai trouvĂ© un homme dans la rue, quiâqui Ă©tait en train de voler les
pneus
dâune voiture la nuit passĂ©e. Je me demandais : Quelle est votre
opinion
lĂ -dessus ?â Voyez-vous ? Voyez-vous, cela nâaurait pas de sens,
nâest-ce pas ?
Non monsieur! Sâil est en train de faire quelque chose de mal,
arrĂȘtez-le!
130 De mĂȘme, si un homme
fait quelque chose de
mal, ici, Ă lâĂ©glise, ou nâimporte qui, arrĂȘtez-les, parlez-leur. Ne
soyez pas
arrogants; mais, sâils refusent dâĂ©couter, parlez de façon Ă vous faire
comprendre. Voyez-vous ? Voyez-vous ? Comme de dire Ă un enfant :
âRetourne
lĂ -basâ, alors quâil se conduit mal. Diacres, restez Ă votre place!
Placez...
Vous ĂȘtes quatre; que deux restent Ă lâavant et deux Ă lâarriĂšre, dans
les coins,
ou quelque part comme ça. Et surveillez trĂšs attentivement au cas oĂč
des
renégats, et tout, entreraient, vous voyez. Montez la garde.
Rendez-vous Ă
votre poste, et restez-y, câest votre siĂšge; ou alors, tenez-vous
debout prĂšs
dâun mur, et observez tous ceux qui entrent.
131 Le diacre prend soin
de la maison de Dieu.
Si quelquâun entre, parlez-lui. Soyez lĂ pour les saluer, serrez-leur
la main.
Câest... Vous ĂȘtes le policier. âPouvons-nous vous montrer le vestiaire
?â, ou
: âVoulez-vous vous asseoir ?â âPouvons-nous vous apporter un livre de
chants,
ou quelque chose ?â, ou : âNous aimerions que vous puissiez vous plaire
ici
etâet prier, etâet nous sommes contents de vous avoir parmi nous ce
soir.â
Conduisez-les jusquâĂ une place, et dites : âAimeriez-vous ĂȘtre plus
prĂšs, ou
aimeriez-vous ĂȘtre ici, vers lâarriĂšre ?â, ou nâimporte oĂč ailleurs.
Câest
faire preuve dâhospitalitĂ©.
132 Un policier, ou le
diacre, câest comme la
police militaire Ă lâarmĂ©e : de la courtoisie, mais accompagnĂ©e
dâautoritĂ©.
Voyez-vous ? Vous savez ce quâest la police militaire. En fait, sâil
exerce ses
droits, je pense quâil est comme un aumĂŽnier, vous voyez. Il fait
preuve de
courtoisie, et tout, mais il dĂ©tient tout de mĂȘme une autoritĂ©.
Voyez-vous ?
Vous devez lui obéir, voyez-vous. Il remet... Si les recrues sortent et
sâenivrent, il les remet Ă leur place. Et le diacre aussi doit les
remettre Ă
leur place.
133 Maintenant,
rappelez-vous, le diacre est
le policier. Et la fonction de diacre est en fait plus stricte que
presque
nâimporte quelle fonction dans lâĂ©glise. Je ne connais pas de fonction
plus
stricte que la fonction de diacre. Câest vrai, parce quâil aâil a un
vrai
travail, et câest un homme de Dieu. Câest un homme de Dieu autant que
le
pasteur est un homme de Dieu. Certainement quâil lâest. Câest un
serviteur de
Dieu.
134 Or les
administrateurs, eux, ce quâils ont
reçu de Dieu câest le devoir de surveiller les finances, et de
sâoccuper de
ces... des choses qui se passent, comme ce que je vous ai dit au sujet
des
bandes, etâet au sujet des autres choses qui se passent ici : le
bĂątiment, et
les rĂ©parations, et sâoccuper des finances, et ainsi de suite. Câest de
cela
quâils sont les administrateurs : la propriĂ©tĂ©, les finances et ces
choses. Les
diacres nâont rien Ă voir avec cela. Et les administrateurs nâont rien
Ă voir
non plus avec la fonction de diacre.
135 Maintenant, si les
diacres veulent
demander de lâaide aux administrateurs pour une certaine chose, ou les
administrateurs aux diacres, vous travaillez tous ensemble. Mais ce
sont vos
tĂąches, distinctes. Voyez-vous ? TrĂšs bien.
136 Non, ne demandez pas Ă
FrĂšre Neville. Si
FrĂšre Neville vous demande de faire quelque chose, alors, il estâil est
votre
pasteur. Avec courtoisie, amour et tout... Sâil disait : âFrĂšre
Collins, FrĂšre Hickerson,
FrĂšre Tony, ou quelquâun, voulez-vous voir ce qui se passe lĂ -bas au
coin ?â Ă
votre poste, comme cela, vous savez, comme un véritable homme de Dieu!
137 Rappelez-vous, vous ne
travaillez pas pour
le Branham Tabernacle. Vous ne travaillez pas non plus pour FrĂšre
Neville ou
pour moi. Vous travaillez pour JĂ©sus-Christ. Voyez-vous ? Vous... Câest
Lui que
vous... Et IlâIl a Ă©gard Ă votre loyautĂ©, au mĂȘme titre que celle du
pasteur ou
de nâimporte qui dâautre, Il compte sur votre loyautĂ©. Et nous voulons
montrer
notre loyauté.
138 Quelquefois cela
devient difficile. Câest
difficile pour moi de voir un prĂ©dicateur que jâaime de tout mon cĆur,
assis lĂ
â et je dois lui parler sans mĂ©nagement, voyez-vous, mais, dans
lâamour, avec
une main tendue pour lâaider. Vous voyez ? Ils viennent vers moi et me
disent :
âFrĂšre Branham, vous ĂȘtes vraiment une personne formidable. Pourquoi ne
pouvez-vous pas faire un petit compromis sur ce baptĂȘme, et sur ceci,
cela et
autre chose, cette sĂ©curitĂ©, et cette semence du serpent ?â
139 Je dis : âFrĂšre, je
vous aime. Mais
prenons donc lâĂcriture, et voyons qui a raison et qui a tort.â
Voyez-vous ? Je
dois ĂȘtre capable de...
140 âOh! mais, FrĂšre
Branham, je vous dis que
vous avez tout Ă fait tort!â Voyez-vous, le voilĂ qui sâemporte.
141 Je dis : âEh bien,
peut-ĂȘtre que oui.
Alors, si câest le cas, certainement que vous me direz... Vous savez oĂč
jâai
tort, alors montrez-moi oĂč jâai tort, et je suis prĂȘt Ă lâaccepter.â
Voyez-vous
?
142 Câest la mĂȘme chose
ici : âEh, lĂ ! Ce nâest
pas Ă vous de dire Ă cet enfant de sâasseoir!â Or, le diacre est leâest
le
gardien de la maison de Dieu. Voyez-vous ? Maintenant, si vous... Il
prend soin
de la maison de Dieu et la garde en ordre. Câest ce que dit lâĂcriture.
Si vous
connaissez autre chose que doit faire un diacre, venez me le dire.
Voyez-vous ?
Câest la mĂȘme chose ici. Mais câestâcâest votre devoir de faire cela,
oui,
dâappuyer vos dires.
143 Et vous ne devriez le
demander Ă personne,
câestâcâest simplement votre devoir. FrĂšre Neville ne demande Ă
personne,
lâĂ©glise nâest pas obligĂ©e de demander, je veux dire, lesâles
administrateurs
ne sont pas obligĂ©s dâaller demander Ă FrĂšre Neville sâil veut quâon
pose un
toit sur le Tabernacle. Voyez-vous ? Non, non; cela ne concerne pas
FrĂšre Neville.
Cela ne me concerne pas. Câest votre affaire. Les diacres ne sont pas
obligés
de...
144 Câest pareil pour le
pasteur. âSur quoi
allez-vous prĂȘcher ? Je ne veux pas que vous fassiez ceci.â Ce nâest
pas leur
affaire de dire cela; il est sous la direction de Dieu, voyez-vous, le
pasteur.
Et alors, siâsiâsi... FrĂšre Neville prĂȘche un message que le Seigneur
nous a
donné, et nous sommes tous ensemble là -dedans. Et, si je dis quelque
chose de
faux Ă FrĂšre Neville, Dieu me tient pour responsable de cela. Câest
vrai.
Ainsi, Dieu est le MaĂźtre de tout cela. Voyez-vous ? Et nous ne faisons
que
travailler, comme Ses ambassadeurs, vous voyez, ici, en occupant ces
fonctions.
232.
Veuillez...
(Passons Ă la question suivante. Je pense quâaprĂšs celle-lĂ , nous en
avons encore
une, puis nousânous terminerons.) Veuillez
expliquer précisément comment les dons des langues doivent opérer dans
notre
Ă©glise ? Je lâai dĂ©jĂ fait. Quand lâĂ©glise peut-elle ĂȘtre mise en
ordre... ou Ă
quel endroit les dons doivent-ils opĂ©rer ? Nous venons dâexpliquer cela.
233.
Exactement combien de c-h-r-i-s-t-m-a... Peux-tu
voir ce que câest ?
[Billy Paul rĂ©pond Ă FrĂšre Branham : âInstruments.ââN.D.Ă.] Oh,
instruments. Combien dâinstruments devons-nous avoir
dans lâĂ©glise, en dehors de lâorgue et du piano ?
145 Eh bien, cela dépend
si vous avez un
orchestre Ă cordes, ou bien autre chose, vous voyez. Je ne sais pas ce
que vous
avez. Ce que ceci veut dire, je ne le comprends pas. Seulement lâorgue
et le
piano sont la propriĂ©tĂ© de lâĂ©glise. Maintenant, si le directeur de
chants
dĂ©cidait dâavoir des trompettes, et des cornets, et ainsi de suite,
comme cela,
et que des gens soient venus dans lâĂ©glise sachant jouer de ces
instruments...
Et ils font partie dâun orchestre, etâet alors, Ă©videmment, cela
concerne vos
administrateurs, il faudrait voir avec les administrateurs sâils ont
lâargent
pour acheter ces instruments, et ainsi de suite, ou comme cela. Je
suppose que
câest la question posĂ©e.
146 Mais, sâils possĂšdent
leurs propres
instruments, formidable! Sâils nâont pas dâinstruments Ă eux et quâils
font
partie dâun orchestre ici... Ce ne doit pas ĂȘtre simplement quelquâun
qui vient
ici, juste pour jouer de temps en temps, pour sâen aller ailleurs
ensuite; il
doit sâagir dâun orchestre dans lâĂ©glise. LâĂ©glise nâachĂšterait pas
uneâune
trompette Ă un homme qui en joue ici aujourdâhui, et demain soir
ailleurs, et
encore ailleurs, qui passe nous voir de temps Ă autre pour en jouer un
peu. Non
monsieur! Il doit sâagir dâun orchestre ici mĂȘme, dâun orchestre bien
constitué
avec leâle directeur. Alors, lâĂ©glise... vous pouvez leur parler
dâacheter des
instruments.
234.
Veuillez expliquer comment nous devons... comment nous, les diacres,
pouvons
tenir les gens dans le sanctuaire, avant... Veuillez expliquer. [Billy Paul
lit la
question Ă FrĂšre Branham : âComment
tenir les gens tranquilles dans le sanctuaire, avant et aprĂšs
lâassemblĂ©e ?ââN.D.Ă.]
Oh! TrĂšs bien.
147 Voici ce que je
suggérerais, frÚres.
Maintenant, câest lĂ une chose importante. Je souhaiterais que nous
ayons plus
de temps Ă y consacrer, car câestâcâest... celaâcela a de lâimportance
pour
nous, voyez-vous. Maintenant, lâĂ©glise nâest pas...
148 Si on veut... si vous
voulez passer cette
bande un soir avant la réunion, afin que les gens puissent comprendre,
alors
passez-la; seulement cette portion-ci de la bande, pas davantage,
seulement
ceci. Quelle que soit la portion que vous vouliez passer pour quelque
chose en
particulier, avancez la bande jusquâĂ ce que vous arriviez au passage
en
question, et faites-le passer. Voyez-vous ? Parce que câest ce quâon
questionne.
149 Maintenant, les
diacres de lâĂ©glise, et
comme je lâai dit, ils sont la police de lâĂ©glise. Mais lâĂ©glise nâest
pas une
maison de rencontres gĂ©nĂ©rales pourâpour fraterniser, avoir des
relations amicales
et prendre ses Ă©bats. LâĂ©glise est un sanctuaire de Dieu! Nous venons
ici... Si
nous voulons nous rencontrer les uns les autres, alors, que jâaille
chez vous,
et vous, venez chez moi, et allez les uns chez les autres pour vous
rencontrer.
Mais de sâamuser de-ci de-lĂ dans lâĂ©glise, de parler, et des choses
comme
celles-lĂ , ce nâest pas bien, frĂšres. Nous venons ici... Nous ne devons
plus du
tout penser Ă ces choses. Si nous venions ici...
150 Regardez comment nous
avions lâhabitude de
faire, il y a bien des années. Soeur Gertie était la pianiste. Lorsque
jâĂ©tais
le pasteur ici, je devais ĂȘtre pasteur, diacre, administrateur, et tout
le
reste Ă la fois, voyez-vous. Mais jeâjâĂ©tais obligĂ© de le faire.
Maintenant
vous nâĂȘtes pas obligĂ©s dâagir ainsi, voyez-vous, parce que vous avez
des
hommes qui peuvent sâacquitter de cela. Mais, lorsque... Jâavais des
huissiers,
FrĂšre Seward, et les autres, Ă la porte. Ils empilaient des livres prĂšs
de la
porte, sur une chaise ou quelque chose; lorsque quelquâun entrait, on
leur
montrait oĂč suspendre leur manteau, ou bien on les menait jusquâĂ leur
siĂšge,
on leur donnait un livre de chants, et on leur demandait de rester en
priĂšre.
Alors, tout le monde restait assis Ă sa place et priait silencieusement
jusquâau moment oĂč cela commençait. Voyez-vous ? Alors, au moment de
commencer... Soeur Gertie, la pianiste, sâavançait et commençait Ă
jouer avant,
tandis que les gens se rassemblaient.
151 Je suggérerais que
votre organiste vienne
ici, et quâelle joue de la trĂšs belle musique. Si elle ne peut pas ĂȘtre
lĂ ,
enregistrez-la et passez ensuite la bande, ou quelque chose comme ça.
Quâil y
ait de la musique, de la musique sacrée et trÚs douce, en train de
jouer.
Alors... Et demandez aux gens... Et, si les gens se mettent Ă parler et
Ă se
conduire mal, quâun des diacres aille au microphone, ici sur la chaire,
et dise
: âChut! Chut! Chut!â, comme cela. Quâil dise : âAu Tabernacle, ici,
nous
voulons que vous veniez pour y adorer. Alors, ne faisons pas de bruit.
Ăcoutez
la musique. Trouvez un siĂšge, et assoyez-vous. Soyez respectueux.
Voyez-vous ?
Priez ou lisez la Bible. Câest ici, dans ce sanctuaire, que le Seigneur
habite.
Et nous voulons que tous soient vraiment respectueux et quâils adorent,
et non
pas quâils se promĂšnent partout pour parler, avant les services.
Rassemblez-vous; et vous ĂȘtes venus ici pour parler au Seigneur.
Voyez-vous ?
Soyez en priĂšre, silencieusement, voyez-vous, ou bien lisez votre
Bible.â
152 Lorsque je suis allé
dans lâĂ©glise Marble
Church, de Normand Vincent Peale... (Vous avez entendu parler de lui,
vous
voyez.) Et je suis allĂ©... (Câest un Ă©minent professeur en psychologie,
vous
savez.) Je suis donc allĂ© dans son Ă©glise; et jâai pensĂ© : âCombien je
souhaiterais que mon Tabernacle agisse ainsi de nouveau.â Ces diacres
étaient
lĂ , debout prĂšs de la porte, quand vous entriez; ils vous tendaient,
bien sûr,
une fiche dâĂ©cole du dimanche, et vous menaient jusquâĂ ... Il fallait
vider les
lieux trois fois, vous savez, car elle pouvait seulement contenir
quatre ou
cinq cents personnes, vous savez; et New York est une grande ville, et
câest un
homme populaire. Je crois quâil leur fallait avoir une classe Ă dix
heures, et
une Ă onze heures. Les deux fois le mĂȘme sermon, exactement le mĂȘme
service, la
mĂȘme feuille de papier. Mais, une fois le service terminĂ©, ils avaient,
je
crois, cinq minutes pour que lâĂ©glise soit exactement... Et personne
dâautre ne
pouvait entrer, tant quâils nâĂ©taient pas sortis. Puis les diacres
ouvraient le
chemin, et lâĂ©glise se remplissait pour lâautre service. Ils avaient
ces
vieilles banquettes, vous savez, on entrait comme ceci, pour sâasseoir
sur ces
bancs fermĂ©s par une porte. Câest vraiment Ă lâancienne mode. Je pense
quâil y
a au moins deux cents ans quâelle est lĂ , cette vieille Ă©glise Marble
Church.
153 Vous auriez pu
entendre une épingle tomber
nâimporte oĂč dans cette Ă©glise, et tout le monde Ă©tait en priĂšre
pendant au
moins trente minutes avant quâon ait attaquĂ© la premiĂšre note Ă lâorgue
â le
prĂ©lude. Et tout le monde Ă©tait en priĂšre. Je me suis dit : âOh! que
câest
merveilleux!â Alors, lorsque le prĂ©dicateur... Le prĂ©lude... je pense
quâils
jouaient un prĂ©lude pendant environ trois Ă cinq minutes, âQue Tu es
grand!â,
ou quelque chose comme ça. Et, Ă ce moment-lĂ , tout le monde arrĂȘtait
de prier
et écoutait le prélude. Voyez-vous, cela permettait de passer de la
priĂšre au
prĂ©lude. Et puis, lorsquâils jouaient cela, le directeur de la chorale
dirigeait ensuite la chorale. Puis, il y avait un cantique de
lâassemblĂ©e avec
le chĆur. Ils Ă©taient alors prĂȘts pour leur leçon dâĂ©cole du dimanche.
Voyez-vous ? Etâet quand câĂ©tait terminĂ©, il nây avait eu rien dâautre
quâune
adoration divine pendant tout ce temps; et câest dans ce but-lĂ quâon y
était
venu.
154 Et je pense que ce
serait une bonne chose
si notre église... Je dis simplement ceci : Nous pouvons le faire.
Voyez-vous ?
Faisons-le. Si quelquâun fait quelque chose, et que... et que je pense
que ce
serait une bonne chose, alors, si câest une bonne chose, faisons-la.
Voyez-vous
? Nous ne voulons pas remettre Ă plus tard une bonne chose; nous le
ferons de
toute façon. Voyez-vous ? Donc, allez-y, etâet tenez-vous lĂ ; et sâils
se
mettent... si, un matin ou quelque chose comme ça, les gens se mettent
Ă causer
ensemble, que quelquâun â lâun des diacres ou quelquâun â sâavance et
dise :
âOn a Ă©tabli une rĂšgle, ici au Tabernacle...â
155 Je ne sais pas sâils
le font;
peut-ĂȘtreâpeut-ĂȘtre. Je ne suis jamais ici, vous voyez, je ne sais pas.
Je ne
suis jamais ici avant les services.
156 Mais, quand ils
entrent et quâils
commencent Ă parler, alors, que quelquâun monte sur lâestrade et dise :
âChut!
Chut! Chut! Minute!â Voyez-vous ? Queâque... Faites venir une petite
soeur,
faites-la monter ici pour jouer de la musique. Sinon, enregistrez-la,
et
faites-la jouer... ou de la musique dâorgue. Et dites : âVoici, il y a
un
nouveau rĂšglement dans le Tabernacle : Lorsque les gens entrent ici, on
ne doit
ni chuchoter, ni parler, mais adorer. Voyez-vous ? Encore quelques
minutes, et
le service commencera. En attendant, ou bien lisez votre Bible, ou bien
inclinez la tĂȘte et priez silencieusement.â Faites comme cela quelques
fois, et
bientĂŽt ils auront tous compris. Voyez-vous ? Voyez-vous ?
157 Vous entendez
quelquâun parler, et ensuite
cela diminue... AprÚs quelques fois comme ça, vous en arrivez au point
oĂč il ne
reste plus que... Vous voyez quelquâun parler, tandis que personne
dâautre ne
parle, vous voyez, alors lâun des diacres pourra aller directement vers
la
personne et lui dire : âNousânous voulons que vous adoriez pendant le
service,
vous voyez.â Voyez-vous ? Ce nâest pas une maison de conversation,
câest une
maison dâadoration. Comprenez-vous ?
Je pense que
câĂ©tait cela : Veuillez expliquer... (Oui. Voyons
voir.) Veuillez expliquer comment... les
diacres devraient... dans le sanctuaire ? Oui, voilĂ . Câest juste.
Câest
cela.
Bon,
maintenant, voici la derniĂšre :
235. FrĂšre
Branham, quand nous avons eu des occasions concernant le début de
service... euh...
euh... Non, ânous avons eu des plaintesâ. Câest
Ă©crit vraiment petit. â...eu des
plaintesâ, nâest-ce pas ce qui est Ă©crit ? [Billy Paul rĂ©pond :
âOuiâ, et
continue dâaider FrĂšre Branham Ă lire la petite Ă©criture.âN.D.Ă.] ...eu des plaintes sur le dĂ©but du service.
Nous avons... (Voyons voir.) Nousânousânous
avons des chants, des tĂ©moignages, et des priĂšres, des requĂȘtes de
priĂšre, et
des chants spĂ©ciaux, et... peut-ĂȘtre entrons-nous... entrons-nous dans
le
message Ă onze heures... ou plus tard, mais nous nâavons pas beaucoup
de temps
pour la Parole. Certaines personnes sâimpatientent et doivent partir
avant que
ce... avantâavant que ce soit fini. Sâil vous plaĂźt expliquez combien
il doit y
avoir de chants, et Ă quelle heure il faut commencer le message. Et
quelque...
quelquefois nous avons des requĂȘtes de priĂšre, et cela se termine en
réunion de
tĂ©moignages, des choses qui neâne semblent pas ĂȘtre Ă propos.
158 Maintenant, jâespĂšre
que jâai bien saisi
cela. Billy essayait de mâaider, ici. Pour ceux qui Ă©couteront la
bande, il
faut... Au cas oĂč quelquâun dans... dans une rĂ©union, dans le service,
en
Ă©coutant cela, se demanderait ce que câĂ©tait, eh bien, câĂ©tait Billy
qui
essayait de mâaider Ă lire, parce que câest Ă©crit trĂšs, trĂšs petit, et
je
nâarrivais pas Ă le dĂ©chiffrer. Je vois Ă peu prĂšs ce dont il sâagit;
câest :
âCombien de chants devrions-nous chanter avant de commencer le service,
et Ă
quelle heure le service devrait-il commencer ?â
159 Maintenant, la
premiĂšre chose que je veux
faire ici, câest une confession. Et, quand jâai tort, je veux admettre
que jâai
tort. Voyez-vous ? Et jeâet jeâje vais faire ici la confession que
câest moi
qui ai en quelque sorte conduit le bal, parce que câest moi qui ai tenu
ces
longs services et tout, et câest ce qui a entraĂźnĂ© lâĂ©glise dans cette
habitude. Mais cela ne devrait pas ĂȘtre ainsi. Et maintenant,
souvenez-vous,
je... je ...je vous disais tous que, dimanche soir, si le Seigneur le
veut, que
dimanche soir... et jâessaie de limiter dorĂ©navant mes services â mĂȘme
sâil me
faut pour cela rester une semaine de plus â Ă environ trente ou
quarante
minutes tout au plus, pour mes services.
160 Câest que jâai
découvert ceci : un service
qui... qui est bien préparé, et dont le message est apporté avec
puissance; si
vous allez trop loin, vous épuisez les gens, et ils ne saisissent pas.
La
raison pour laquelle jâai donnĂ©... Et ça, je lâai toujours su.
Voyez-vous ? Les
orateurs qui ont le plus de succĂšs sont ceux qui ont exactement...
Jésus était
un homme qui parlait peu; observez Ses sermons. Observez le sermon de
Paul, le
jour de la PentecĂŽte : cela lui a probablement pris quinze minutes, et,
avec
puissance, il apporta lĂ quelque chose quiâquiâqui a envoyĂ© trois mille
Ăąmes
dans le Royaume de Dieu, voyez-vous. Tout droit au but! Voyez-vous ?
161 Et jeâje suis
coupable. Câest que, la raison
pour laquelle jâai fait cela, ce nâest pas parce que je ne savais pas
ce qui en
était, mais je fais des bandes, voyez-vous, et ces bandes seront
passées dans
des maisons pendant des heures, et des heures, et des heures. Mais,
comme vous
le verrez dimanche prochain, la raison pour laquelle je lâai fait (ce
dimanche
qui vient), la raison pour laquelle jâai fait ces choses... peut-ĂȘtre
que je
pourrais le dire tout de suite sur la bande : La raison pour laquelle
jâai fait
cela, câest Ă cause de lâĂ©norme poids que jâai sur moi dâapporter le
Message de
cette heure. Maintenant, le Message a été apporté. Donc, aprÚs le
premier de
lâan, je ne prendrai que trente minutes ou quelque chose comme ça, dans
mes
rĂ©unions, partout oĂč je vais, et je vais mĂȘme essayer de rĂ©gler ma
montre Ă
trente minutes, ou de ne pas dépasser quarante, au maximum; apporter ce
Message
avec puissance, et faire lâappel Ă lâautel ou ce que jâai lâintention
de faire,
ou appeler la ligne de priĂšre; et ne pas prendre autant de temps, parce
quâil est
vrai que cela épuise les gens. Je sais cela.
162 Mais, écoutez : Je
pense quâau cours de
lâannĂ©e, nous nâavons mĂȘme pas eu une douzaine de personnes qui se sont
levées
et sont sorties, alors que parfois je les garde ici pendant deux ou
trois
heures. Voyez-vous ? Câest vrai. Câest que nous avons ĆuvrĂ© Ă faire ces
bandes
qui vont partout dans le monde, voyez-vous. Et les gens, lĂ -bas,
resteront
assis pendant des heures, à écouter cela; des prédicateurs, et ainsi de
suite,
en Allemagne, en Suisse, en Afrique, en Asie, et partout, voyez-vous,
écouteront cela.
163 Mais, voyez-vous, pour
ce qui est du
sanctuaire, de lâĂ©glise... Et câest en ordre. Si vous ĂȘtes ici pour
faire une
bande, et que vous avez une bande de deux heures, alors mettez-y un
message de
deux heures. Mais, si vous nâĂȘtes pas en train de faire une bande dans
un but
comme celui-là , alors abrégeons notre message, voyez-vous,
raccourcissons notre
message. Je vais vous dire pourquoi : Certains sont vite rassasiés, et
dâautres
peuvent emmagasiner davantage, voyez-vous, câest comme ça, et vous
devez tenir
le juste milieu.
164 Or, bien des fois,
nous gĂątons nos
services par une rĂ©union faite de tĂ©moignages qui sâĂ©ternisent, et je
sais que
jâen suis moi-mĂȘme coupable. Et quand on allait... quand on avait
lâhabitude de
tenir des réunions dans la rue... Quelque vieux frÚre se tenait là ; il
se
tenait lĂ , et, quand on lui demandait de faire la priĂšre, il se mettait
Ă prier
pour le maire de la ville, et pour le gouverneur de lâĂtat, et pour le
prĂ©sident de lâUnion, etâet pour tout le monde comme cela, et pour tous
les
pasteurs autour de lui, en les énumérant un par un, et pour Soeur Jones
qui est
Ă lâhĂŽpital, et des choses comme cela. Et les gens qui se tenaient lĂ ,
qui
passaient au milieu de cette réunion dans la rue,
continuaientâcontinuaient
simplement à marcher. Voyez-vous ? Il les épuisait, voilà tout.
Seulement...
165 Voyez-vous,
lâessentiel, câest... Votre
priĂšre doit se faire dans le secret, votre longue priĂšre principale.
Priez
toute... Entrez dans le secret de votre chambre, et fermez la porte.
Câest lĂ
que vous devez prier toute la journée, toute la nuit, ou pendant deux
heures.
Priez lĂ . Mais ici, tandis que vous avez lâattention des gens, que
votre priĂšre
soit courte, rapide, allez droit au but. Que tout votre service... et
que la
majeure partie du temps de votre service soit placée dans cette Parole.
Câest
lâessentiel. Faites pĂ©nĂ©trer cette Parole aussi profondĂ©ment que vous
le
pouvez. Voyez-vous ? Faites parvenir la Parole aux gens.
166 Maintenant, voici ma
suggestion.
Maintenant... Et maintenant, rappelez-vous : je me suis confessé
coupable
dâavoir menĂ© le bal, mais je vous ai aussi dit pourquoi jâai agi ainsi;
jâenregistre des bandes de deux heures pour les envoyer outre-mer, et
partout â
câest un Message, voyez-vous. Mais lâĂ©glise ne devrait pas modeler
cela, le
message donné ici au Tabernacle, sur ces bandes de deux heures,
destinĂ©es Ă
ĂȘtre envoyĂ©es Ă diffĂ©rents endroits, voyez-vous, et Ă ĂȘtre distribuĂ©es
comme
cela.
167 Maintenant, voici
lâordre que vous...
Laissez-moi juste vous donner un exemple, â est-ce que vous me le
permettez ? â
une suggestion. Je serais dâavis que lâĂ©glise ouvre ses portes Ă une
heure
prĂ©cise. Que lâassemblĂ©e entre, pendant quâon joue les cantiques. Et
que tous
entrent pour adorer, non pas pour bavarder. Et ne les laissez pas
bavarder
aprĂšs; dites-leur de quitter, et de sortir, de ne pas bavarder. Sâils
veulent
bavarder, il y a assez de place dehors. Mais ici, câest le sanctuaire,
quâil
soit tenu propre. Maintenant, si lâEsprit du Seigneur agit ici, que
cela reste
lâEsprit du Seigneur. Voyez-vous ? Etâet Il continuera Ă agir. Si vous
ne le
faites pas, notez bien ce que je vous dis : cela va crouler;
assurément. Et
tenons... Câest notre devoir. Câest pour cela que je suis ici ce soir.
Tenons
donc cette chose alignĂ©e, avec cesâavec ces ordres.
168 Maintenant, regardez,
je dirais ceci :
Ordinairement, Ă moins dâavoir fait une annonce spĂ©ciale, et de leur
avoir dit
que vous alliez enregistrer un message... Voyez-vous ? Maintenant, si
FrĂšre
Neville apporte un message ici, quâil... sâil a un message quâil veut
faire
parvenir aux gens sur bande, ou quelque chose, alors quâil dise :
âDimanche
soir prochain, nous enregistrerons une bande de deux heuresâ, ou une
bande de
trois heures, ou quel que soit le cas. âNous allons avoir une bande de
deux ou
trois heuresâ, ou quoi quâil en soit, âdimanche soir prochain.â Alors,
les gens
sont au courant. Et, quand ils arrivent, dites : âNous allons
enregistrer un
message ce soir. Jâai un message ici que je dĂ©sire voir enregistrĂ© pour
ĂȘtre
distribuĂ© Ă lâextĂ©rieur. Je... je me sens conduit Ă envoyer ce message
Ă
lâextĂ©rieur, et il sera enregistrĂ©. Il peut durer deux heuresâ, trois
heures,
ou quelle que soit la durée; dites cela.
169 Mais, ordinairement,
tout comme je le fais
lorsque je vais quelque part, comme Ă lâune de ces rĂ©unions dâHommes
dâAffaires, ou que je suis dans mes rĂ©unions Ă lâextĂ©rieur oĂč jâai une
ligne de
priĂšre... si je me tenais lĂ , et que je donne un message de trois
heures le soir,
avant dâavoir le service de guĂ©rison, voyez-vous dans quelle position
cela me
mettrait ? Voyez-vous ? Eh bien, les gens... le lendemain soir, votre
assemblée
ne serait plus que la moitiĂ© de ce quâelle Ă©tait. Voyez-vous ? Câest
quâils ne
peuvent tout simplement pas tenir le coup, ils doivent aller
travailler, et
tout.
170 Voici ce que je
suggérerais :
Ordinairement... Maintenant, jâai observĂ© FrĂšre Neville hier soir,
quand il a
prĂȘchĂ©. Je sais que tous, nous... CâĂ©tait un message saisissant. Jâai
pris des
notes, que jâai ici dans ma poche, pour mâen servir dans mes propres
messages!
Câest vrai. Le moyen dâĂ©chapper, voyez-vous. Et câĂ©tait un message
merveilleux.
Vous avez vu comme il a fait vite ? Voyez-vous ? Environ trente cinq
minutes,
voyez-vous, et il avait terminĂ©. Voyez-vous ? Ăa, câĂ©tait trĂšs bien.
Maintenant... Et FrĂšre Neville, habituellement, ses messages sont comme
cela.
Voyez-vous, ce nâest pas long. Voyez-vous ? Mais ce qui tue votre
réunion, ce
sont toutes ces choses qui traĂźnent en longueur avant que vous en
arriviez au
but. Voyez-vous ? Bien.
171 Etâet quand vous
faites cela... Or, je
sais... Maintenant, regardez. Je ne dis pas cela pour vous déprécier,
vous, les
administrateurs, ou les diacres, ou le pasteur, mais, voyez-vous, je
vous dis
simplement la VĂ©ritĂ©. Et câest ainsi que cela doit ĂȘtre. Maintenant,
vous... Ce
qui fait cela... Maintenant, tous, vous avez bon caractĂšre. Chacun des
hommes,
ici, vous avez bon caractĂšre. Si ce nâĂ©tait pas le cas, je dirais :
âTous, sauf
FrĂšre Un tel; lui nâa pas bon caractĂšre. Nous prions tous pour lui.â
Mais
vousâvous avez effectivement bon caractĂšre; vous ĂȘtes des hommes
patients,
gentils et tranquilles. Câest bien! Mais ne soyez pas effĂ©minĂ©s pour
autant!
172 Jésus aussi avait bon
caractĂšre, mais
lorsque ce fut le moment de dire certaines choses : âIl est Ă©crit : âLa
maison
de Mon PĂšre est une maison de priĂšreâ, et vous en faites une caverne de
voleurs.â Voyez-vous ? IlâIl savait quand parler et quand ne pas le
faire.
Câestâcâestâcâest ce que nous devons faire. Voyez-vous ? Jamais il nây
a eu une
personne comme JĂ©sus. Il Ă©tait Dieu! Et souvenez-vous : Il a mĂȘme...
Parlez-moi
de quelquâun qui est diacre dans lâĂ©glise! IlâIl sâest vraiment rendu
maĂźtre de
la situation! Il tressa des cordes; et Il ne prit pas le temps de les
faire
sortir gentiment, Il les fit sortir Ă coups de fouet, voyez-vous, de la
maison
de Dieu. Il jouait lĂ le rĂŽle de diacre, afin dâĂȘtre un exemple pour
vous, les
diacres. Voyez-vous ? Il Ă©tait votre exemple. Et maintenant... âIlâil
est écrit
: âLa maison de Mon PĂšre est une maison de priĂšre.ââ Or, souvenez-vous
: Jésus
Ă©tait lĂ un diacre, â vous savez cela, â JĂ©sus jouait le rĂŽle de diacre.
173 LorsquâIl en vint au
rĂŽle de pasteur,
quâa-t-Il dit ? : âVous, pharisiens aveugles, conducteurs dâaveugles.â
Voyez-vous ? Il jouait alors le rĂŽle de pasteur.
174 Et lorsquâIl leur a
dit ce qui allait
arriver, Il a joué le rÎle de prophÚte. Voyez-vous ?
175 Puis, quand ils
réclamÚrent le paiement du
tribut, Il joua le rĂŽle dâadministrateur. âPierre, va, jette lâhameçon
dans la
riviĂšre, et le premier poisson que tu attraperas aura une piĂšce de
monnaie dans
la bouche. Paie-les.â Voyez-vous ? âPayez vos dettes lĂ©gitimes; rendez
à César
ce qui est Ă CĂ©sar, et Ă Dieu ce qui est Ă Dieu.â
176 Il était à la fois
pasteur, prophĂšte,
administrateur et diacre. AssurĂ©ment quâIl lâĂ©tait. Ainsi, vous voyez
ce quâIl
a fait, alors, que cela soit votre exemple, dans cette maison, ici, le
Branham
Tabernacle, qui se veut une maison oĂč tout Lâhonorera, chaque fonction,
chaque
position. Afin de ne pas devoir se rĂ©tracter, quâon use de bontĂ©, de
douceur et
de bienveillance, mais tout en respectant la consigne Ă la lettre â
chaque
homme Ă son poste. Voyez-vous ? Câest ainsi, câest ainsi quâIl le
désire.
Jamais Il nâa Ă©tĂ© insolent. Lorsque câĂ©tait le moment dâappeler les
choses par
leur nom, Il lâa fait. Lorsque câĂ©tait le moment de tĂ©moigner de la
douceur, Il
a témoigné de la douceur. Il était doux, aimable et compréhensif; mais
sévÚre,
et tout marchait rondement avec Lui. Et Il a fait cela pour vous servir
dâexemple. Bien. Le Saint-Esprit vient de me donner cela. Je nâavais
jamais
pensĂ© Ă cela auparavant, Ă Lui comme diacre, mais Il lâĂ©tait pourtant.
Voyez-vous ? IlâIl a fait office de diacre.
177 Maintenant, je dirais
ceci : Si vos
services commencent, disons, Ă sept heures trente [dix-neuf heures
trente]; si
câest Ă cette heure-lĂ , alors ouvrez lâĂ©glise une demi-heure avant, Ă
sept
heures [dix-neuf heures]. Que la pianiste... Dites Ă lâorganiste... La
payez-vous ? Est-ce que vous payez lâorganiste ? Est-elle payĂ©e... ou
la
pianiste ? Elle le fait volontairement. Demandez-lui gentiment. MĂȘme si
elle
veut ĂȘtre payĂ©e pour cela, ou quâon lui donne quelque chose pour cela,
dites-lui que nous dĂ©sirons quâelle soit lĂ une demi-heure avant le
service. Et
si elle dit : âEh bien, je ne peux pas le faireâ, ou quâil y ait
quelque chose,
du mécontentement, alors faites-la venir ici pour enregistrer une bande
de
douce musique dâorgue, vous voyez. Et que... passez-la. Elle nâa pas
besoin
dâĂȘtre ici chaque fois; prĂ©parez la bande. Voyez-vous ? Et que lâun des
diacres, un administrateur, ou celui qui ouvre, le concierge, la mette,
quâil
mette la bande, et que celle-ci joue pendant que les gens arrivent.
Voyez-vous
? Parce que... Si les diacres ne sont pas lĂ , ou quelquâun, quâun
administrateur, ou quelquâun, soit ici pour le faire. Et quâelle joue
pendant
une demi-heure.
178 Mais quâĂ sept heures
trente précises
[dix-neuf heures trente], la cloche sonne sur le toit du bĂątiment.
Voyez-vous ?
Est-ce que vous avez encore la cloche Ă lâextĂ©rieur ? Oui. TrĂšs bien.
Alors,
que votre cloche sonne Ă sept heures trente [dix-neuf heures trente].
Et cela
veut dire que nous nâallons pas nous promener de long en large dans
lâĂ©glise,
et serrer la main aux Jones, et tout. Que le directeur de chants soit Ă
son
poste. Si le directeur de chants nâest pas lĂ , que les diacres veillent
Ă ce
que... ou... veillent Ă ce quâil y ait quelquâun pour commencer Ă
diriger les
chants, lorsque cette cloche se met Ă sonner. âOuvrez votre livre de
cantiques,
Ă tel numĂ©ro.â Voyez-vous ? Que cela se fasse Ă lâheure, Ă sept heures
trente
précises [dix-neuf heures trente]!
179 Bien. Ensuite ayez un
chant de toute
lâassemblĂ©e, et puis peut-ĂȘtre encore un deuxiĂšme chant collectif. Et
ensuite,
que quelquâun que vous aurez dĂ©jĂ dĂ©signĂ©, si possible, conduise dans
la
priĂšre. Que leâle pasteur ou... En fait, le pasteur ne devrait pas ĂȘtre
lĂ ; le
directeur de chants devrait faire cela. Câest FrĂšre Capps, je pense.
Voyez-vous
? Câest lui qui saurait ce quâil faut faire. Queâque ce soit lui qui
demande Ă
celui qui aura Ă©tĂ© dĂ©signĂ©... ou bien quâil conduise lui-mĂȘme dans la
priĂšre.
Demandez Ă lâassemblĂ©e de se lever pour la priĂšre. Voyez-vous ? Quâils
se
lĂšvent, et que quelquâun conduise dans la priĂšre. Maintenant, si vous
ne faites
pas attention...
180 Maintenant, nous
croyons que chacun
devrait venir Ă la maison de Dieu, et prier. Câest unâcâest un lieu de
priĂšre.
Mais, lorsque vous ĂȘtes dans ce sanctuaire, mĂ©nagez votre temps.
Voyez-vous ?
Si vous les faites tous venir autour de lâautel, vous dĂ©couvrirez quâil
y aura
quelquâun qui restera lĂ pendant quinze ou vingt minutes; et alors,
tout votre
temps est écoulé.
181 Que... Voyez-vous,
câest Ă la maison que
vous devez prier. JĂ©sus a dit : âLorsque vous priez, ne vous tenez pas
debout
comme font les hypocrites, pour une longue... pour faire une longue
priĂšre, et
dire ceci, cela et autre chose, etâet tout cela pour lâapparence.â
Voyez-vous ?
Il a dit : âQuand tu pries, entre dans ta chambre, dans le secret de ta
chambre, et ferme la porte derriĂšre toi; prie ton PĂšre qui voit dans le
secret,
et Il te le rendra.â VoilĂ la façon dont il faut prier. Câest ce quâIl
a dit de
faire.
182 Mais, quand vous...
quelquâun, quand ils
entrent, que le directeur de chants dise : âTrĂšs bien...â AprĂšs le
premier
chant, que quelquâun fasse la priĂšre, la personne en question. Juste
une courte
priĂšre. Ne vous levez pas pour prier pour tous les gouverneurs, et
ainsi de
suite, comme cela. Sâil y a une requĂȘte de priĂšre, quâon la fasse
connaĂźtre,
quâon la transmette, demandez-leur de la transmettre par Ă©crit. Dites :
âVoici,
ce soir, dans la priĂšre, souvenons-nous de Soeur Une telle, de FrĂšre Un
tel Ă
lâhĂŽpital, de telle personne, telle personne et telle personne.
Souvenez-vous donc
dâeux dans la priĂšre, comme vous prierez. FrĂšre Jones, voulez-vous nous
conduire dans la priĂšre ? Levons-nous.â Voyez-vous ? Que cela soit
déposé sur
lâestrade. Dites-leur... Quâils sâhabituent Ă cela. âSi vous avez une
requĂȘte
de priĂšre, dĂ©posez-la ici [FrĂšre Branham frappe sur la chaire.âN.D.Ă.],
ici.
Nâallez pas dire : âQui a une requĂȘte maintenant ? Voudriez-vous la
faire
connaĂźtre en...â Et puis, voilĂ que quelquâun se lĂšve et dit : âGloire
Ă
Dieu!â, vous savez. Il commence comme cela, et bientĂŽt vous rĂ©alisez
quâil
sâest Ă©coulĂ© une demi-heure avant quâils se rassoient, quelquefois.
Voyez-vous
?
183 Nous sommes
responsables de cette
église-ci, pas des autres; ceci est notre responsabilité envers Dieu.
Ces
postes sont votre responsabilité envers Dieu. Voyez-vous ? La raison
pour
laquelle je me tiens ici ce soir, en train de vous dire tout cela,
câest parce
que câest ma responsabilitĂ© envers Dieu. Votre responsabilitĂ© Ă vous
est
dâexĂ©cuter cela. Voyez-vous ?
184 Bien. Et quand quelque
chose comme cela...
Que quelquâun conduise dans la priĂšre. Et ça, câest trĂšs bien. Quâils
conduisent dans la priĂšre, et quâensuite ils sâassoient.
185 Et si vous avez un
chant spécial...
Maintenant, je ne dirais pas ceci, je ne serais pas dâaccord... Si
quelquâun
veut chanter un chant spĂ©cial, annoncez-le dans lâĂ©glise. Dites-leur
que pour
tout chant spĂ©cial, ou quelque chose quâon dĂ©sire chanter, il faut
aller voir
le directeur de chants avant le début de la réunion. Faites ainsi.
Dites, par
exemple : âJe regrette, frĂšre, jâaimerais vraiment le faire, mais
jeâjâai dĂ©jĂ
un chant spĂ©cial pour ce soir. Peut-ĂȘtre que... Si vous me dites que
vous serez
ici tel soir, je lâinscrirai au programme, si vous voulez. Voyez-vous ?
Mon
programme est dĂ©jĂ rĂ©digĂ©, ici.â
186 Queâque FrĂšre Capps,
ou celui qui dirige
les chants... Ayez un directeur de chants, peu importe de qui il
sâagit.
Seulement ne les laissez pas se tenir lĂ et dire... et se conduire
comme sâils
Ă©taient des prĂ©dicateurs. Voyez-vous ? Quâils se tiennent lĂ et quâils
dirigent
les chants â câest leur affaire.
187 Câest lâaffaire du
pasteur de prĂȘcher,
voyez-vous. Non pas de diriger les chants; ils ne doit pas diriger les
chants,
câest au directeur de chants de diriger les chants. Lui est
responsable... et
il devrait sortir â fraĂźchement sous lâonction du Saint-Esprit â
directement du
bureau, quelque part, lorsque le moment est venu. Il nâa mĂȘme pas
besoin de se
trouver sur lâestrade, pendant que tout cela se dĂ©roule. Quâil reste
plutĂŽt
dans le bureau, lĂ -derriĂšre, voyez-vous, ou ici, derriĂšre, quel que
soit
lâendroit oĂč il se trouve. Lâinterphone ici lâavertira, au moment venu,
quâil
peut entrer. Lorsquâil entendra ce dernier... Sâil y a un chant
spécial, par
exemple, un solo, un duo ou autre, comme troisiĂšme chant. Voyez-vous ?
188 Vous aurez donc eu
deux chants collectifs,
la priĂšre, lâoffrande (si vous avez lâintention de la recueillir). Et
que
chaque homme soit Ă son poste. Dites : âBon, pendant que nous chantons
ce
dernier cantique, que les huissiers veuillent bien sâavancer pour
lâoffrande du
soir.â Voyez-vous ? Et, comme on finit de chanter ce cantique, les
huissiers se
tiennent lĂ . Maintenant, dites : âTrĂšs bien, maintenant nous allons
prier, et,
en faisant la priĂšre, nous voulons nous souvenir de telle personne ici,
et de telle
autre personneâ, et faites-en la lecture, comme cela, Ă la suite. âTrĂšs
bien.
Que tout le monde se lĂšve. FrĂšre, voulez-vous nous conduire dans la
priĂšre ?â
Ensuite, câest terminĂ©.
189 Alors, pendant quâils
chantent ce deuxiĂšme
cantique, ou ce que vous ĂȘtes en train de chanter, vous... recueillez
votre
offrande, si vous avez lâintention de recueillir votre offrande.
Laissez-la...
Voici comment je ferais : votre premier chant, puis votre offrande du
soir,
ensuite continuez avec votre deuxiĂšme chant, et poursuivez. Et que
votre
dernier chant... Que votre dernier chant, voyez-vous, soit le signal
dâappel
pour le pasteur. Et, aussitĂŽt que lâon a chantĂ© ce dernier cantique,
que
lâorgue commence Ă jouer leâle prĂ©lude, et, Ă ce moment-lĂ , votre
pasteur
entre. Voyez-vous ? Tout est en ordre. Tout le monde est silencieux. Il
nây a
rien Ă ajouter. Chaque diacre est Ă son poste. Le pasteur se tient lĂ .
190 Il entre, salue son
auditoire, ouvre son
cahier, et il dit : âCe soir, nous allons lire dans la Bible.â
Voyez-vous,
quand il est prĂȘt, il dit : âNous allons lire dans la Bible.â Et il est
bon,
parfois, de dire : âPar respect pour la Parole de Dieu, levons-nous
comme nous
lisons la Paroleâ, voyez-vous. Ensuite, lisez. âCe soir, je vais lire
un
passage du Livre des Psaumesâ, ou autre. Ou bien faites-le lire par
quelquâun
dâautre : le directeur de chants, un associĂ©, ou quelquâun qui est lĂ
avec
vous. Que cette personne en fasse la lecture, si vous voulez. Mais le
mieux
serait que vous le lisiez vous-mĂȘme, si vous le pouvez. Ensuite lisez,
comme
cela, et puis abordez votre sujet. Voyez-vous ? Et, jusque lĂ , environ
trente
minutes se sont écoulées; il est alors environ huit heures [vingt
heures].
191 Et, de huit heures
[vingt heures] Ă
environ neuf heures moins le quart [vingt heures quarante-cinq], soit
pendant
trente Ă quarante-cinq minutes, apportez cette Parole, comme le
Saint-Esprit
vous La donne, voyez-vous, comme cela. Apportez-La simplement comme Il
vous dit
de le faire, voyez-vous â sous lâonction.
192 Ensuite faites votre
appel Ă lâautel.
Dites : âSi quelquâun ici, dans cette Ă©glise, aimerait accepter Christ
comme
son Sauveur, nous vous demandons, vous invitons Ă venir maintenant Ă
lâautel.
Vous nâavez quâĂ vous lever.â Voyez-vous ?
193 Et siâet si personne
ne se lĂšve, dites :
âY a-t-il ici quelquâun qui soit candidat au baptĂȘme, qui se soit dĂ©jĂ
repenti
et qui dĂ©sire ĂȘtre baptisĂ© dans lâeau pour la rĂ©mission de ses pĂ©chĂ©s ?
Sâils
dĂ©sirent venir... nous vous en donnons maintenant lâoccasion.
Voulez-vous
venir, tandis que lâorgue continue Ă jouer.â Voyez-vous ?
194 Si personne ne vient,
dites : âAlors, y
a-t-il ici quelquâun qui... qui nâait jamais reçu le baptĂȘme du
Saint-Esprit,
et qui désirerait le faire ce soir, qui désirerait que nous priions
pour vous
?â Eh bien, peut-ĂȘtre que quelquâun sâavancera. Dans ce cas-lĂ , que
deux ou
trois lui imposent les mains, prient pour lui, et lâenvoient tout de
suite dans
une des piĂšces. Que quelquâun soit lĂ , avec lui, quelque part, pour lui
enseigner comment arriver au baptĂȘme du Saint-Esprit. LâassemblĂ©e nâest
pas du
tout avec eux Ă ce moment-lĂ .
195 Si quelquâun sâavance
pour... veut
accepter Christ, et se tient lĂ , Ă lâautel, pour quâon prie pour lui,
faites
votre... que lâon prie. Et, Ă ce moment-lĂ , dites simplement :
âMaintenant,
inclinez vos tĂȘtes, car nous allons prier.â Et dites : âCroyez-vous ?â
196 Ă la moindre petite
chose qui risquerait
de retarder lâassemblĂ©e dâune façon ou dâune autre, envoyez-les tout de
suite
dans la piÚce réservée à la priÚre; et accompagnez-les, ou bien envoyez
quelquâun avec eux. Et laissez lâassemblĂ©e continuer, voyez-vous, ainsi
vous ne
les avez retenus en aucune maniĂšre.
197 Et alors, pendant
que... avant... Au bout
de quelques minutes, dites... Si personne ne vient, alors dites : âY
aurait-il
quelquâun qui aimerait quâon lâoigne dâhuile ce soir, Ă cause dâune
maladie ?
Nous prions pour les malades ici.â
198 âJâaimerais vous voir
en privé, FrÚre
Neville.â âEh bien, venez me retrouver dans le bureau. Voyez un des
diacres, et
ils sâoccuperont de cela.â Voyez-vous ? âJâai quelque chose Ă vous
dire,
frĂšre.â âEh bien, un des diacres ici vous conduira dans le bureau, et
nous...
je vous verrai tout de suite aprĂšs la rĂ©union.â
199 âBien. Nous allons
maintenant nous lever
pour terminer.â Voyez-vous ? Et le tout nâa pas dĂ©passĂ© une heure et
quarante-cinq minutes! Voyez-vous ? Voyez-vous ? Une heure et trente
minutes,
et votre service est terminé. Vous avez eu un court et rapide impact;
vousâvous
avez produit votre effet; vous avez fait... Alors tout le monde est
satisfait
et retourne à la maison réjoui. Voyez-vous ? Si vous ne faites pas
ainsi,
alors, vous voyez, si vous laissez... Voyez-vous, vousâvousâvous ĂȘtes
pleins de
bonnes intentions, voyez-vous, mais...
200 Voyez-vous, il y a
maintenant environ trente-trois
ans que je me tiens sur cette estrade â trente-trois ans â et partout
dans le
monde. Il faut bien que vous ayez appris un petit quelque chose pendant
tout ce
temps, câest inĂ©vitable. Voyez-vous ? Sinon vous feriez mieux
dâarrĂȘter! Ainsi,
voyez-vous, jâai dĂ©couvert ceci. Maintenant, si vous traitiez
uniquement avec
des Saints, oh, alors vous pourriez rester toute la nuit si vous le
vouliez,
mais vous... voyez-vous, vous ne traitez pas quâavec eux. Vous essayez
dâen
attirer dâautres. Ce sont ceux-lĂ que vous cherchez Ă attraper; vous
devez donc
travailler sur leur terrain. Voyez-vous ? Alors, ne... Amenez-les ici,
et puis,
que la Parole soit annoncĂ©e. Et alors, voyez-vous, il nây a aucun lieu
de se
plaindre. Sâil y a quelque chose quâils veulent discuter avec vous,
alors, trĂšs
bien, vous nâavez quâĂ les conduire dans le bureau. Seulement ne
retenez pas
lâassemblĂ©e.
201 Et il y a aussi de ces
gens qui se
lĂšveront, en disant : âEh bien, ayons donc une bonne rĂ©union de
tĂ©moignages.â
Voyez-vous ? Maintenant, mon but, en disant ceci, nâest pas de
critiquer; mon
seul but est de vous dire la Vérité. Voyez-vous ? Mon but est de vous
dire la
VĂ©ritĂ©. Voyez-vous ? Jâai dĂ©couvert que les rĂ©unions de tĂ©moignages
font
quelquefois plus de mal que de bien, voyez-vous. Câest tout Ă fait vrai.
202 Or, si quelquâun avait
un témoignage
bouillant, pendant une période de réveil, vous savez, tandis que vous
tenez des
rĂ©unions de rĂ©veil, vous savez, par exemple, quelquâun qui vient dâĂȘtre
sauvé,
et qui veut dire quelques mots, eh bien, Dieu soit béni, laissez-le
décharger
son Ăąme, vous voyez, sâil... Sâil veutâsâil veut le faire, voyez-vous,
dans le
temps dâun rĂ©veil, sâil veut dire : âJâaimerais simplement rendre
grĂąces au
Seigneur pour ce quâIl a fait pour moi. Il mâa sauvĂ© la semaine
derniĂšre, et
mon cĆur brĂ»le de la gloire de Dieu. GrĂąces soient rendues Ă Dieuâ, et
ensuite
se rasseoir. Amen! Câest bien. Continuez. Voyez-vous ? Câest en ordre.
203 Mais, lorsquâon dit :
âAllons, venez. Ă
qui le tour ? Ă qui le tour ? Ăcoutons un mot, Ă©coutons un mot de
tĂ©moignage!â
Maintenant, si vous avez prévu une réunion, un certain soir, exprÚs
pour cela,
voyez-vous, oĂč vous... âCe soir... Mercredi soir prochain, au lieu de
la
réunion de priÚre, il y aura une réunion de témoignages. Nous voulons
que tous
y assistent. Ce sera une rĂ©union de tĂ©moignages.â Et, lorsque le moment
est
venu de tĂ©moigner, lisez la Parole, priez et dites : âNous avons
annoncé que
cette soirĂ©e serait rĂ©servĂ©e aux tĂ©moignages.â Ainsi, laissez les gens
tĂ©moigner pendant cette pĂ©riode dâune heure, ou de quarante-cinq
minutes, ou de
trente minutes, ou la pĂ©riode en question, et alorsâet alors, allez-y
ainsi.
Vous voyez ce que je veux dire ? Je pense que cela aidera votre
assemblée, et
que cela facilitera tout, si vous le faites ainsi.
204 Maintenant, il se fait
tard, alors...
FrĂšres, frĂšres, jây ai rĂ©pondu de mon mieux. Je vois ce qui est sur
votre cĆur.
CâĂ©taient lĂ , pour autant que je sache, les questions que vous aviez
posées.
Et, Ă partir de maintenant, vous ĂȘtes au courant. Et si jamais cela
préoccupait
votre esprit, reprenez la bande. Demandez... Ăcoutez la bande. Que ce
soit pour
les diacres, pour les administrateurs, ou pour quiconque, passez la
bande.
Passez-la aussi Ă lâassemblĂ©e, si elle veut lâentendre. TrĂšs bien. Et
câestâcâest, pour autant que je sache, la volontĂ© de Dieu pour ce
tabernacle,
situĂ© ici, Ă lâangle de la HuitiĂšme rue et de la rue Penn. Câest ainsi
que je
vous commissionne, vous les frĂšres, dâexĂ©cuter ceci sous la conduite du
Saint-Esprit, avec toute bonté et avec tout amour, démontrant aux gens,
par
votre bienveillance, que vous ĂȘtes ChrĂ©tiens. Et ChrĂ©tien ne veut pas
dire un
bĂ©bĂ© qui peut ĂȘtre poussĂ© nâimporte oĂč, cela veut dire un homme qui est
plein
dâamour, mais qui, nĂ©anmoins, est tout aussi plein dâamour pour Dieu
quâil ne
lâest pour lâassemblĂ©e. Vous voyez ce que je veux dire ?
205 Y a-t-il une question
? On arrive bientĂŽt
Ă la fin du ruban, et jâai quelquâun qui mâattend lĂ -bas. Ă quelle
heure est-il
censĂ© ĂȘtre lĂ ? [Billy Paul rĂ©pond : âMaintenant.ââN.D.Ă.] Maintenant.
Il va
venir tout seul ? [Billy Paul rĂ©pond : âJâirai le chercher.â] TrĂšs
bien. TrĂšs
bien.
206 Je sais que nous
allons sortir,
maintenant, si on nâaânâa rien Ă ajouter. Sâil nây a rien, nous allons
terminer. Oui, FrĂšre Collins ? [FrĂšre Collins dit : âIl serait
peut-ĂȘtre
prĂ©fĂ©rable dâarrĂȘter la bande.ââN.D.Ă.] [espace.non.enregistrĂ© sur la
bande]
207 Eh bien, frĂšres, je
suis content dâavoir
été avec vous ce soir, et avec FrÚre Neville, les diacres, les
administrateurs,
le surveillant de lâĂ©cole du dimanche, vous tous. Nous mettons notre
confiance
dans le Seigneur quâIl vous aidera maintenant Ă exĂ©cuter ces ordres,
pour le
Royaume de Dieu. La raison pour laquelle jâai dit ceci, câest que je
pense que
vous ĂȘtes passĂ©s de lâĂ©tat dâenfants Ă celui dâadultes. Quand vous
étiez un
enfant, vous parliez comme un enfant et vous compreniez comme un
enfant, mais
maintenant vous ĂȘtes un homme. Alors, agissons comme des adultes dans
la maison
de Dieu, nous conduisant correctement, et honorant nos fonctions et
honorant
chaque fonction. Chaque don que le Seigneur nous a donné, mettons-y de
lâordre,
et honorons Dieu avec nos dons et nos fonctions.
Prions.
208 PĂšre
CĂ©leste, nous Te remercions ce soir de ce rassemblement dâhommes qui
ont reçu
des fonctions ici, afin de mener Ă bien lâĆuvre du Seigneur qui a Ă©tĂ©
entreprise ici à Jeffersonville, dans cette église. à Dieu, puisse Ta
main ĂȘtre
sur eux. Puisses-Tu les aider et les bĂ©nir. Puisse lâassemblĂ©e et les
gens
comprendre et savoir que ceci a pour but lâavancement du Royaume de
Dieu, afin
que nous puissions devenir des hommes qui ont de lâintelligence, et
connaĂźtre
lâEsprit de Dieu, et savoir ce quâil faut faire. Accorde-le, PĂšre.
Puissions-nous repartir maintenant avec Tes bénédictions. Et puisse le
Saint-Esprit veiller sur nous, nous conduire et nous protéger, et
puissions-nous toujours ĂȘtre trouvĂ©s fidĂšles au poste. Au Nom de
Jésus-Christ,
je fais cette priĂšre. Amen.
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