ET PUIS JESUS VINT

Date: 57-1213 | La durée est de: 1 hour and 51 minutes | La traduction: SHP
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1.         Restons debout, et inclinons la tête juste un instant pour la prière.

Eternel Dieu saint, nous venons maintenant même dans Ta Présence par le moyen de la prière nous offrir à Toi en tant que Tes serviteurs. Nous Te demandons de nous bénir de façon spéciale ce soir, ainsi que Tes chers enfants qui attendent dans cette salle où il fait froid.

            Et nous pensons à un certain jour où la mort va refroidir nos corps. Et ce soir, puissions-nous, si nous ne nous sommes pas préparés, puissions-nous nous préparer à faire face à cette heure-là, afin que lorsque la mort entrera dans notre chambre pour nous prendre de cette vie-ci et nous amener à celle de l’au-delà, nous puissions affronter cela avec joie, avec foi, tout en ayant la certitude que nous connaissons Celui qui a dit : « Je suis la Résurrection et la Vie. »

2.         Et, ô Père, s’il y a quelqu’un ici ce soir qui ne peut pas faire face à cet événement avec ce grand cri de victoire de saint Paul : « J’ai combattu le bon combat et j’ai achevé la course », que ceci soit sa soirée de préparation. Guéris les malades et les nécessiteux, Seigneur. Bénis-nous par ces quelques Paroles et reçois la gloire, car nous le demandons au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

            C’est une grande déception pour nous tous ce soir que notre chaudière soit en panne, et qu’on n’ait pas de feu. Donc, ce serait cruel de ma part de vous retenir très longtemps. Et en tout cas, c’est très gentil de votre part d’être venus, et je vous en remercie. Et j’ai appris par mon fils, qui venait de me parler à la porte, que demain les réunions devront se tenir (je pense que vous l’avez annoncé) à Brooklyn.

3.         Cependant, le Bienveillant Seigneur du Ciel voulant, au mois de mai nous tiendrons pendant tout le mois, ici dans les Etats de la Nouvelle-Angleterre, une grande série de réunions. Merci. Et – et ils se préparent présentement. Et il y a un homme d’affaires qui est dans le comité, qui va d’église en église, de lieu en lieu, et nous avons besoin de la pleine coopération de toutes les églises.

            Peu importe le point de vue de votre religion, si vous croyez que Jésus-Christ est le Fils de Dieu et L’avez accepté comme votre Sauveur, vous êtes mon frère, vous êtes ma sœur. Et, si Dieu vous a agréé avec vos particularités, et moi avec mes particularités, nous devrions être assez reconnaissants pour nous reconnaître les uns les autres comme des frères et des sœurs. Voyez-vous ? Et nous travaillons tous pour un seul grand but, c’est-à-dire pour Son Royaume. Et tout ce qui est contraire à cela, c’est de toute façon un faux motif.

4.         Bon, je suis vraiment désolé pour ceci, et je suis sûr que frère Hutchinson est embarrassé à en avoir honte. Mais c’est quelque chose auquel nous ne pouvions rien. C’est un problème qui est survenu ici. Le – le bâtiment est peut-être très vétuste, et la chaudière de même. Mais je vais juste vous parler quelques instants en lisant un passage des Ecritures et en me dépêchant. Nous allons prier ensuite pour les malades et adorer le Seigneur, et nous allons entrer directement dans le service maintenant, et – et L’adorer.

            Demain après-midi, le Seigneur voulant, je désire parler sur le sujet que j’avais prévu pour ce soir à un autre endroit, un sujet que je pense être plus ou moins opportun pour l’Eglise aujourd’hui. Le sujet devrait être : Ecoutez-Le. Et demain soir, je désire parler sur : Un moyen remarquable de reconnaître un don de Dieu. Maintenant, que le Seigneur accorde ses bénédictions.

5.         La raison pour laquelle je désire lire Sa Parole et parler là-dessus, c’est puisque mes paroles sont celles d’un homme. Elles failliront parce que je ne suis qu’un homme. Mais la Parole de Dieu est Sa Parole bénie qui ne peut faillir. Je désire donc lire dans Saint Jean 17 ou plutôt… Excusez-moi, Saint Jean chapitre 11, les quatre premiers mots du verset 17.

                        Et puis Jésus vint.

            Vous diriez : « Frère Branham, votre texte est très court. » La longueur ou la taille du texte ne change rien. C’est ce qu’il est qui compte. Le… Il s’agit de la valeur. Et des fois, nous accordons de la valeur à de longues prières, et à des moments qu’on tire beaucoup en longueur. Mais, parfois ce n’est pas ça.

            Je pensais à un petit ami, il n’y a pas longtemps, au fait je savais qu’il n’était pas un ami, mais je connaissais ce garçon. Il fouillait dans un vieux grenier au-dessus dans une maison. Et dans une vieille malle qu’on gardait, il a trouvé un petit timbre postal d’environ un pouce et demi carré [environ 3,81 cm – N.D.T.]. Et sur ce petit timbre postal… il l’a considéré, et s’est dit : « C’est un vieux timbre. » Ainsi, le petit garçon pensait à une crème glacée à sucer, il descendit la rue à toute vitesse pour se rendre chez le collectionneur de timbres et il a dit : « Dites donc, combien m’offrez-vous pour ce timbre ? »

6.         Et le collectionneur de timbres a examiné cela, sachant que c’était un timbre de valeur, il a dit : « Je t’offre un dollar pour ce timbre. » Oh ! le marché fut vite conclu. Avec cela, il allait se procurer une bonne quantité de crème glacée. Il a donc vendu le timbre. Le collectionneur de timbres l’a revendu à 50 dollars. Et après, il fut revendu à 500 dollars. Plus tard, il fut revendu à 250.000 dollars. Et il continue son cours.

            Voyez-vous, il ne s’agit pas de la taille, il s’agit de la valeur de la chose. Le petit timbre, le petit bout de papier était insignifiant, mais c’est la valeur de ce qui était écrit sur ce petit timbre qui faisait sa grande valeur. Et il en est ainsi de la Parole de Dieu. Elle a une si grande valeur que nous pouvons ancrer notre âme dans chaque petit texte ou plutôt chaque petit mot, car c’est la Parole immortelle de Dieu. Et toutes les autres choses failliront, mais la Parole de Dieu ne faillira jamais.

7.         Cela me fait penser à une fillette, il n’y a pas longtemps, au Canada. Il y a quelques années, quand j’étais à Vancouver, le feu grand roi George visitait Vancouver. Et j’ai remarqué l’émotion de mon manager, monsieur Baxter, pendant qu’il regardait passer le roi et la reine. La reine était dans sa plus belle tenue, et le roi, quoi que souffrant de la sclérose en plaques en plus de troubles gastriques, se tenait correctement dans son carrosse, et il s’adressait à ses sujets et les saluait, ou plutôt le peuple, à son passage.

            Et monsieur Baxter a dit qu’il se tenait là et qu’il a pleuré parce que le roi passait. C’était la première fois qu’il le voyait, et juste à ce moment-là, il était ému, devant la petite scène du passage du roi. Je me suis dit : « Oh ! qu’en sera-t-il quand notre Roi des rois passera…?... Juste Le voir un bref instant dans la gloire, quand notre voyage sera terminé, ces petites soirées froides dans les salles de conférence ainsi que les déceptions disparaîtront alors comme si de rien n’était.

8.         Les écoles avaient fait sortir les enfants pour voir le roi. Et les – les enseignants voulaient se montrer patriotiques, ils ont donc remis à chaque enfant un drapelet, un drapelet canadien ou britannique à agiter au passage du roi. Et j’aime Jésus parce qu’Il voit chaque petite chose que nous faisons. Vous dites : « Frère Branham… »

            J’ai peut-être vu l’homme compter la collecte. Il est possible que vous n’ayez eu que quelques pièces d’un centime à mettre dans la collecte, mais Jésus a vu cela. Il se pourrait que vous ne… Vous dites : « Eh bien, je n’ai pas fait vraiment grand-chose pour Lui. » Mais quoi que ce soit que vous ayez fait, Il l’a vu.

            La femme qui a mis juste quelques pièces de un centime dans la collecte, Jésus a dit qu’elle avait donné plus que les riches, parce que pour sa dîme, elle avait donné tout ce qu’il lui fallait pour vivre. Peu importe combien notre service devra être petit, bref et court à cause des conditions atmosphériques et des circonstances, Jésus verra notre sincérité. Et je suis sûr qu’Il répondra.

9.         Je parlais de la fillette et disais qu’ils ont tous agité leurs drapelets… Il s’est produit là un incident qui est toujours resté marqué dans mon esprit. Il s’agissait d’une fillette, juste une toute petite, qui portait son drapelet sur l’épaule, et qui était allée pour l’agiter devant le roi à son passage. Mais après que toute la foule s’est dispersée, la petite ne s’est pas fait voir avec les autres fillettes. Alarmée, la maîtresse est allée à la recherche de la fillette dans les rues.

            Et la fillette fut retrouvée avec sa petite tête appuyée contre un poteau télégraphique, en train de pleurer. La maîtresse lui a alors demandé : « Pourquoi pleures-tu ? N’as-tu pas vu le roi ? N’as-tu pas agité ton drapeau ? »

            Elle a dit : « Si, maîtresse. J’ai agité mon drapeau comme les autres. »

            Elle a dit : « N’as-tu pas vu le roi ? »

            Elle a dit : « Si, maîtresse, j’ai vu le roi. »

            « Eh bien, a-t-elle dit, alors pourquoi pleures-tu ? »

            Elle… La fillette lui a répondu en disant : « J’ai vu le roi, mais j’étais si petite que le roi ne m’a pas vue. »

10.       Mais c’est si différent avec Jésus. Il voit chaque petit mouvement que vous faites, et chaque petite parole aimable que vous prononcez, et chaque petit geste affectueux que vous faites. Tout cela représente beaucoup pour Lui.

            Ces petites Paroles-ci, composées de ces quatre lettres, qui ont été lues ce soir comme texte, peuvent sceller votre destinée éternelle, votre attitude envers elles. Voilà donc qui les rend si importantes. Ces petites Paroles peuvent vous libérer du péché ce soir. Ces petites Paroles peuvent vous condamner ce soir. Ces petites Paroles peuvent vous libérer de la maladie et de la souffrance ce soir, si vous les recevez. Mais il faut qu’elles soient reçues.

11.       Il y a quelques années, au temps d’Abraham Lincoln, je crois que c’était sous son règne, quand il était président des Etats-Unis. Un soldat avait commis un forfait. Et il fut jugé par la cour et déclaré coupable du crime, et la sentence de mort fut prononcée, la peine pour le – pour son crime. Il devait passer devant un peloton d’exécution pour être fusillé.

Quelqu’un est allé voir le président et a intercédé pour lui. Et quand il… Le président eut compassion et il prit juste un bout de papier sur lequel il écrivit : « Gracié. Président Lincoln.»

Et il courut vite vers le soldat et lui tendit cela, et il dit : « Tu es gracié par le président des Etats-Unis. »

12.       Eh bien, il prit le petit bout de papier et dit : « Oh ! une si petite chose m’accorder la grâce ? Eh bien, je n’accepterai pas ça ! » Et il a jeté cela par terre.

            Et l’homme a ramassé cela, et s’est approché du soldat et a dit : « Monsieur, quand bien même c’est un morceau de papier de brouillon qui vient du bureau du président, mais cela porte sa signature, et tu es gracié. » Mais il a refusé d’accepter cela. Et le lendemain matin il fut fusillé au lever du soleil conformément à la peine pour l’acte qu’il avait commis, à la loi sur ce cas.

            Et il y avait donc là la signature du président attestant que cet homme était gracié. Mais l’homme fut exécuté après que le président avait signé qu’il était libre. Cela fut jugé ensuite à – à la Cour Suprême de notre belle nation. Et l’arrêt de la Cour Suprême était le suivant (et suivez cela ce soir) : une grâce n’est pas une grâce si elle n’est pas reçue comme une grâce. Et ces paroles sont votre grâce si vous les recevez comme votre grâce pour vos péchés, pour vos maladies, pour votre indifférence envers Dieu. C’est votre grâce qui est écrite.

13.       Comme il est dit : Puis Jésus vint… C’était peut-être… Comme tout le monde connaît le contexte de ceci, nous n’aurons pas le temps de vous présenter cela en détail ce soir dans cette salle froide. Mais c’était au moment où Son ami Lazare était mort. Marthe et Marie étaient Ses amies intimes. Et Il passait beaucoup de temps avec elles. Et une fois Jésus a reçu une vision de la part du Père, et Il… Dieu Lui avait dit de quitter cet endroit-là et de se rendre ailleurs, parce que Lazare allait mourir.

            Eh bien, vous diriez : « Frère Branham, ce n’est pas écrit dans les Ecritures. » Mais dans Saint Jean 5.19, Jésus a dit : « Je ne fais rien à moins que le Père Me le montre premièrement. Je ne fais rien de Moi-même. Le Fils ne peut rien faire, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, Il le fait pareillement. » Et si vous L’observez, cette grande vision a fait qu’Il s’en aille pendant quatre jours. Et on Lui a envoyé un message pour qu’Il vienne, disant que Lazare était malade.

14.       Eh bien, nous ne savons pas exactement de quoi il souffrait, mais un certain historien a dit qu’il était mort d’une hémorragie aux poumons. De toute manière, sa maladie empira, et peut-être que le médecin ne pouvait rien faire pour lui. Et alors peu après, il est devenu si malade qu’il est mort. Et quand il est mort, Jésus a dit : « Notre ami Lazare dort. »

            Et ils ont dit : « Eh bien, s’il dort, il va – il va bien. » Eh bien, voyez-vous, les gens ne comprennent pas, et aujourd’hui, bien des fois nous ne comprenons pas ce que le mot mort signifie. Mort signifie séparation, ça ne veut pas dire que vous êtes mort pour toujours. Vous êtes tout simplement séparé de vos amis. Vous êtes en vie quelque part ailleurs.

            Et remarquez, les disciples ont dit : « Eh bien, si donc il dort, il va bien. »

15.       Jésus leur a parlé selon leur propre entendement : « Lazare est mort. Et, à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là, mais Je pars le réveiller. » Oh ! quelle chose merveilleuse ! Pas : « Je vais aller voir si Je peux le réveiller. » « Je vais aller le réveiller. »

            Pouvez-vous vous imaginer la déception de cette petite famille ? Ils avaient été excommuniés de l’église où ils adoraient, et où leur père avait adoré, parce qu’ils avaient accepté Jésus comme le Messie. Et là, je peux entendre les moqueries des incroyants, qui disaient : « Où est votre Evangéliste, votre Guérisseur ? Oh ! quand c’est le tour de Son propre copain, Il le laisse mourir. »

16.       Mais nous avons appris que tout concourt au bien de ceux qui aiment le Seigneur. Dieu fait tout marcher conformément à Sa grande horloge au fur et à mesure qu’elle tourne.

            Alors au moment le plus sombre que cette petite famille eût jamais connue, elle avait été excommuniée de son église, humiliée par les associations de leur église, leur Ami en qui ils avaient placé tant de confiance les avait abandonnés, et apparemment tout espoir était parti, Lazare était mort et enterré depuis quatre jours…

            La corruption s’installe en 72 heures, en trois jours. Peut-être que son nez s’était déjà affaissé sur son visage. C’est la première chose qui se produit : le nez se replie, puis il s’affaisse. Et les vers de la peau s’étaient installés dans son corps. Et ce fut donc exactement à ce grand instant crucial, à l’heure la plus sombre qu’ils n’avaient jamais connue, que Jésus vint alors. Oh ! C’est vraiment Son propre de faire cela. Il vient à l’heure la plus sombre. Jésus est venu.

17.       Cependant alors, je vais encore prendre un temps de plus pour dire ceci, à savoir que lorsque Jésus vient, s’Il n’est pas accepté, alors Il ne Lui sert à rien de passer par chez vous. Et quand Il est si bon en venant se montrer, vous devriez alors être assez reconnaissant pour Le recevoir, pour croire en Lui.

            Eh bien, la petite Marthe était très lente concernant les choses spirituelles. C’était Marie qui s’asseyait et écoutait aux pieds de Jésus. Je pense cependant que dans ce passage Marthe a montré très exactement de quoi elle était faite. Ayant appris que Jésus venait, elle s’est mise en route et a traversé les rues pour Le rencontrer. Eh bien, apparemment elle avait le droit de Le réprimander, et de dire : « Pourquoi n’es-Tu pas venu quand nous T’avions appelé ? » Mais pour Marthe, le problème n’était pas s’Il était venu ou pas. L’important était que finalement Il était là.

18.       Et ce soir, ça ne change rien du tout que nous ayons eu des réunions de prières, et ce que nous avons fait et ainsi de suite. Il est ici. C’est l’essentiel. Combien d’échecs nous avons eus et ainsi de suite, Il est ici maintenant. Il est venu. Et c’est à l’heure la plus sombre pour nous… Dans l’histoire du monde où nous vivons maintenant, nous savons qu’aussi bien la politique, la religion, tout semble être en ce moment dans un chaos. Puis Jésus vint.

            Remarquez cela. Alors, quand elle est allée à la rencontre de Jésus, plutôt que de Lui faire un reproche cinglant, elle a dit… Quand elle L’a vu… Oh ! j’aime cela. Elle est tombée devant Lui, et son beau visage relevé vers la face du Maître, elle L’a vite reconnu comme son Seigneur.

19.       Vous souvenez-vous hier soir, quand j’ai prêché sur la porte dans le cœur, après que le Seigneur est venu aux autres portes que nous devons Lui ouvrir ? Et Il ne peut pas entrer jusqu’à ce que chaque porte soit ouverte, et alors Il est votre Seigneur. Voilà le problème ici à Newark. Voilà le problème aux Etats-Unis. Voilà le problème de l’église dans le monde entier.

            Vous voulez L’accepter comme Sauveur, mais jamais comme Seigneur, rarement. Seigneur, c’est celui qui a la propriété, le contrôle. Il contrôle vos émotions. Il contrôle votre foi. Il contrôle votre amour. Il contrôle votre vie. Il a le plein contrôle de votre être, et vous marchez dans l’Esprit du Seigneur Jésus-Christ. Et la Bible dit : « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent non selon la chair, mais selon l’Esprit. » L’autorité de Christ vous contrôle.

20.       Quand un homme vous frappe au visage, cette Autorité vous contrôle. Quand quelqu’un dit du mal de vous, l’autorité de Christ vous contrôle. Quand le médecin dit : « Je suis désolé, ma connaissance médicale me déclare que vous mourrez forcément ; il n’y a plus rien qu’on puisse faire », mais l’autorité de Christ vous contrôle par Sa Parole : « C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. » L’autorité…

            Il ouvre la porte et dit : « Voici Je me tiens à la porte. Je te donne la foi pour avoir le dessus sur ces choses. » Alors vous ignorez tout le reste.

            Vous dites : « Je voudrais être un chrétien, mais mes voisins se moqueraient de moi. » Alors Christ prend l’autorité sur vos émotions. « Je voudrais témoigner devant mon patron, mais j’ai peur de le faire » ; alors Christ prend l’autorité.

21.       Et Il a pris l’autorité dans le cœur de Marthe. Et alors, elle est tombée à Ses pieds et a dit : « Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. » Oh ! cela L’a sûrement ému. Rappelez-vous qu’il était mort depuis quatre jours. Et tout, les ténèbres et tout s’étaient installés ; tout espoir était parti.

            Peut-être que c’est la même situation pour des gens qui sont ici ce soir. Peut-être que votre bien-aimé médecin, le docteur qui vous a soigné pendant des années dit : « Je ne peux rien faire d’autre. Vous devez mourir. » Et maintenant, qu’en est-il de l’autorité de Christ ? Il est venu, et Il est ici pour vous aider.

            « Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. » Jésus avait eu une vision de la part du Père pour aller ressusciter Lazare, malgré tout, Il a interrogé la femme. « Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. » Ecoutez la déclaration suivante de cette femme. « Mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. » Oh ! j’aime cela. « Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. » Oh ! j’aimerais prêcher là-dessus un moment. Marthe lisait la Bible.

22.       C’est là que les gens manquent d’avoir la foi. Ils ne lisent pas la Bible. Marthe avait lu là où la Sunamite avait perdu son enfant. Tout allait bien aussi longtemps qu’elle pouvait parvenir auprès du prophète. Et elle est restée avec ce prophète jusqu’à ce qu’elle a obtenu le désir de son cœur ; en effet, cette Sunamite avait compris que Dieu était dans ce prophète.

            Et le prophète a cherché à lui donner un mouchoir à poser, comme c’était… Je pense que c’est de là que Paul a tiré l’idée de poser des mouchoirs sur les malades. Et il avait un bâton en main, et il a dit à Guéhazi : « Va le poser sur l’enfant. »

Mais la femme n’avait pas foi dans le bâton, elle avait foi dans le prophète. Elle a dit : « Je ne te quitterai pas. »

23.       Et Marthe a vu donc la même chose. Elle a dit : « Si Dieu était dans Son prophète, certainement qu’Il est dans Son Fils. » Elie était le représentant de Dieu au temps de la Sunamite. Jésus était le représentant de Dieu au temps de Marthe. Et Son Eglise est Sa représentante en ce jour-ci. Son Eglise, le Corps des croyants, est Sa représentante. « Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit à l’Eglise. » Oh ! la puissance de l’Eglise chrétienne est inactive ce soir à cause de l’incrédulité.

            Remarquez, tandis qu’ils continuaient : « Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, maintenant même, Seigneur, ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. »

            Il se pourrait que le médecin ait dit : « Il ne vous reste que quelques jours. »

            « Mais, maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas… »

24.       Est-Il vivant ? Pourriez-vous Lui parler ? Il vit pour toujours pour faire intercession à la droite de Sa Majesté. Il ne dort jamais. Il n’est pas mort, mais Il est ressuscité. Et Il est le même en principe, en puissance, en action, en œuvres, hier, aujourd’hui et éternellement : Hébreux 13.8. Toujours vivant pour faire intercession. Et Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. « Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera. »

            Parfois je pense à cette histoire de Jonas. Et je la compare aux gens d’aujourd’hui qui considèrent leurs symptômes au lieu de considérer la Parole de Dieu. Vous savez, Jonas était rétrograde. C’est une forte déclaration pour un baptiste, mais il était rétrograde ; et il se retrouvait dans le ventre de la baleine au fond de l’océan, avec les mains et les pieds liés derrière lui.

            Et il se trouvait dans le ventre de la baleine au fond de la mer, il a refusé de considérer les symptômes. Et de tout côté qu’il se retournait, c’était le ventre de la baleine. Mais il n’a pas voulu regarder à cela. Il a dit : « Je refuse, car ce sont de vaines idoles. Je regarderai une fois de plus à Ton saint temple. » Vous ne pouvez pas cacher un croyant à un endroit où il ne saurait prier.

25.       Et quand Jonas s’est tourné dans le ventre de la baleine et qu’il a regardé en direction du temple, au mieux de sa connaissance, là où Salomon, lors de la dédicace, avait prié en disant : « Si Ton peuple a des ennuis et regarde en direction de ce lieu saint, alors exauce des cieux. » Et Dieu a honoré la prière de Jonas, et Il l’a gardé en vie trois jours et trois nuits et a pourvu à l’oxygène pour lui. Et il fut délivré à l’endroit où Dieu voulait qu’il aille.

26.       Et si Dieu a pu faire cela pour un homme qui regardait à un temple terrestre, bâti par un homme terrestre qui a rétrogradé plus tard et s’est tourné vers des idoles, si Dieu a pu honorer cet homme parce qu’il croyait dans la prière de Salomon, à combien plus forte raison honorera-t-Il votre prière ce soir, vous qui ne devez pas regarder à vos symptômes ni à quoi que ce soit autour de vous, mais qui regardez au Ciel où Il est assis dans la Présence de Dieu, avec Son propre Sang comme intercession pour vos péchés, pendant qu’Il intercède ?

            « Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui vous donne… est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que vous êtes guéri. » Dans la Présence du Père, à toujours vivant pour faire intercession. Pensez-y.

            Ensuite qu’est-il arrivé ? Quand ceci s’est produit, elle a dit : « Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. »

27.       Ecoutez-Le. Observez Ses émotions. Oh ! combien Il désire avoir de tels cœurs ce soir. « Ton frère ressuscitera », a-t-Il dit.

            Ecoutez cette belle jeune fille Juive : « Oui, Seigneur, il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. »

            Eh bien, jamais un homme n’avait été en mesure de dire ceci auparavant, ou depuis lors, ou ne le pourra jamais, en dehors de Lui. La Bible dit : « Il n’avait ni beauté ni éclat pour attirer nos regards », c’était probablement un Homme de petite taille. Il a redressé Ses petites épaules, Il a dit : « Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. » C’était Sa promesse éternelle. Et Il a dit Lui-même : « Les Ecritures ne peuvent être anéanties. » Quelle consolation avons-nous donc ce soir, quand Dieu dit quelque chose ? « Où l’avez-vous enseveli ? »

            Il y a quelque temps, une dame me parlait ; elle a dit : « Révérend Branham, une seule chose à propos de vos prédications, vous vantez trop Jésus. »

            J’ai dit : « Madame, je ne saurais Le vanter assez. »

            Eh bien, elle a dit : « Vous en faites Dieu, alors qu’Il n’était qu’un prophète. »

            « Oh ! ai-je dit, excusez-moi. Il était Dieu. »

28.       Il était Dieu. Dieu manifesté dans la chair. S’Il n’était qu’un prophète, nous sommes tous perdus. Il n’était ni Juif ni Gentil. Il était Dieu. Son Sang provenait de la puissance créatrice de Dieu, et des cellules de sang qui avaient été créées. Marie n’était qu’un incubateur. C’était tout. La femme donne l’œuf. L’homme donne le germe de vie. Pour Lui, il n’y a pas eu un homme, le mâle en tant que sexe, mais Son Père céleste a créé les cellules de sang, par conséquent ce Sang était le propre Sang de Dieu, non pas…?...

            C’est là que repose notre espérance bénie ce soir, juste là. « Mon espoir n’est fondé sur rien d’autre que le Sang de Jésus et Sa justice ; quand tout cède autour de mon âme, alors Il est mon espoir et mon appui. » Eddie Perronett a dit : « Sur Christ le Roc solide je me tiens ; tout autre terrain est sable mouvant. » Que c’est beau !

            « Je suis. » Pas « Je serai ». « Je suis maintenant, éternellement la Résurrection et la Vie. » Je suis si heureux de Le connaître comme mon Sauveur.

29.       « Où L’avez-vous enseveli ? »

            Cette femme a dit : « Monsieur Branham, si je vous prouvais avec la Bible qu’Il n’était qu’un homme, allez-vous accepter cela ? »

            J’ai dit : « Si la Bible le dit. »

            Elle a dit : « Je peux le prouver. » Et elle a utilisé Saint Jean chapitre 11. Elle a dit : « Quand Jésus s’est rendu à la tombe de Lazare, la Bible dit qu’Il a pleuré. »

            J’ai dit : « C’est juste. »

            Elle a dit : « S’Il pouvait pleurer, cela prouve donc qu’Il était un Homme. »

            J’ai dit : « Il était un Homme, mais Il était l’Homme-Dieu. »

30.       C’est juste. J’ai dit : « Quand Il s’est rendu à la tombe en pleurant, Il était un homme. Mais quand Il s’est tenu là et qu’Il a redressé Ses petites épaules et a dit : ‘Lazare, sors !’ et qu’un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu sur ses pieds et est revenu à la vie, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu qui parlait au travers des lèvres d’un Homme. »

            C’était vrai. Il était un homme quand, venant de la ville, Il a regardé sur un arbre pour chercher quelque chose à manger. Il était un homme. Mais quand Il a pris deux poissons et cinq pains d’orge et qu’Il a nourri cinq mille personnes avec, c’était plus qu’un homme.

            Il était un homme quand la vertu est sortie de Lui à cause des guérisons et tout qu’Il avait opéré pendant la journée. Quand Il était dans cette petite barque cette nuit-là, dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Et cette petite barque était ballottée comme un bouchon de bouteille là comme cela…

31.       C’était un homme quand Il était endormi. Mais quand Il a posé Son pied sur la cargue de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit : « Silence ! tais-toi ! » et que les vagues et les vents Lui ont obéi, Il était plus qu’un homme quand Il a fait cela. Il était Dieu.

32.       Il était un homme à la croix, quand Il implorait miséricorde. Il était un homme quand Il est mort. Mais le matin de Pâques, quand la tombe s’est ouverte, que les sceaux furent brisés, que la mort et les séjours des morts ne pouvaient plus Le retenir, qu’Il est sorti triomphalement, Il était plus qu’un homme. Il n’est pas étonnant qu’Il ait fait tressaillir les cœurs des croyants, des poètes et autres.

            L’un d’eux a écrit :

            Vivant Il m’aima ; mourant Il me sauva ;

            Enseveli Il emporta mes péchés au loin ;

            Ressuscitant Il me justifia gratuitement pour toujours ;

            Un jour Il va venir, oh ! quel jour glorieux !

            Il a été le thème de l’Eglise, des poètes et des prophètes à travers les âges.

33.       Parfois pendant les heures sombres, alors Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre que les enfants hébreux eussent jamais connue. Un matin, le roi a fait chauffer la fournaise sept fois plus que jamais, l’heure la plus sombre que ces hommes n’avaient jamais connue; et puis Jésus vint, chevauchant les vagues du ciel, et Il les a rafraîchis avec une brise.

            C’était peut-être l’heure la plus sombre que la femme à la perte de sang eût jamais connue. Elle avait dépensé tout son bien, peut-être que la ferme avait été mise en gage et ainsi et suite. Le… Et aucun médecin n’avait pu la guérir. Et c’était l’heure la plus sombre qu’elle eût jamais connue, mais alors Jésus vint (c’est vrai), juste à temps.

34.       L’homme qu’on avait amené et qu’on avait étendu près de la piscine de Bethesda, près des eaux, était malade depuis trente-huit ans ; personne ne pouvait l’aider. Et il était couché sur un grabat, sans secours. C’était probablement son heure la plus sombre. Puis Jésus vint et lui porta assistance.

            C’était le vieil aveugle Bartimée qui était assis à l’extérieur des murs de Jéricho et qui tremblotait dans le vent, quand le vent froid de novembre soufflait. Il était aveugle. Il était pauvre. Que pouvait-Il faire ? C’était son heure la plus sombre. Puis Jésus vint. C’est ce que fait Jésus.

35.       Après la mort du Seigneur Jésus, les disciples avaient marché toute la journée en compagnie de Quelqu’un, sans savoir qui Il était ; c’était Cléopas et son ami. Ils sont arrivés à Emmaüs et ils ont dit : « Es-Tu juste un étranger pour ignorer que Jésus que nous espérions être le Roi d’Israël est mort, et – et qu’Il a été crucifié et – et a été enseveli, et voici le troisième jour ? Es-Tu juste un étranger par ici ? Ignores-Tu ce qui est arrivé ? »

            Alors, quand Il les a eus tous dans une petite maison, un petit restaurant, et que la serveuse ayant pris leur commande s’était retirée et avait ramené un pain, alors Jésus a fait quelque chose, Il l’a fait tel que personne d’autre ne pouvait le faire de cette façon-là. Et quand Il s’est révélé, et qu’Il a fait cela juste tel qu’Il l’av      ait fait avant Sa crucifixion, leurs yeux s’ouvrirent. Leurs cœurs furent rendus légers. C’était l’heure la plus sombre qu’ils eussent connue. Puis Jésus vint.

            Cette heure où nous vivons, ce grand chaos dans lequel nous nous trouvons maintenant, c’est l’heure la plus sombre que le monde ait jamais connue. Où est l’espoir ? Le Spoutnik est dans le ciel, des bombes atomiques, des missiles guidés, la guerre. N’importe quelle petite nation peut détruire le monde…?... une heure, ce qui pourrait…

36.       Même si nous avions un président comme celui que nous avons aujourd’hui, Dwight Eisenhower, le président des Etats-Unis, un merveilleux homme, oh ! même si nous en avions un dans chaque comté, nous ne serions pas en sécurité. Même si nous avions des abris tout en dessous de ces endroits et tout, nous ne serions pas toujours en sécurité. Il n’y a qu’un seul lieu sûr ; c’est en Christ, le Fils du Dieu vivant. C’est Lui l’abri. Nous demeurerons sous Ses ailes. Nous reposerons en sécurité.

            Peut-être que certains d’entre vous ici font face à leur heure la plus sombre. Peut-être qu’aujourd’hui les médecins vous ont dit qu’il n’y avait aucun espoir. Mais il y a un espoir. Jésus est venu à cette heure sombre. Il est venu vers Son Eglise. Il se révèle et Il fait des choses justes comme Il le faisait sur terre quand Il était ici avant Sa crucifixion pour accomplir Sa Parole.

37.       Quand Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un guérisseur. Il a dit : « Ce n’est pas Moi qui fais les œuvres ; c’est Mon Père qui demeure en Moi. » Le même Père qui était en Lui est en vous. « Je leur donnerai la Vie Eternelle. » Et tout le monde sait que ce mot éternel vient du mot grec Zoe, et Zoe, c’est une partie de la propre Vie de Dieu qui est en vous.

            Tout ce qui a un commencement a une fin. Votre vie mortelle a eu un commencement ; elle a une fin. La terre a eu un commencement ; elle a une fin. Mais des choses qui n’ont pas eu de commencement sont celles qui n’ont pas de fin. Et il n’y a qu’une seule chose qui n’a ni commencement ni fin, et c’est Dieu. Et vous êtes devenu un fils et une fille de Dieu, un participant de Sa Majesté, vous avez la Vie Eternelle, et vous ne pouvez pas périr pas plus que Dieu ne peut périr.

38.       Oh ! c’est là que je repose ma foi, juste là. Que les bombes [explosent] ou quoi que ce soit, qu’on soit réduit en poussière ; moi, j’irai au Ciel. Voilà tout. Certainement, voilà notre espérance et notre foi. Qu’a-t-Il fait ? Est-Il allé çà et là, guérissant les gens ? Oui. Comment ? Selon que le Père le Lui montrait. Quand Philippe a trouvé Nathanaël et qu’Il l’a amené auprès de Lui, Il a dit : « Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude. »

            Il a dit : « Comment m’as-Tu connu, Rabbi ? »

            Jésus a dit : « Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. »

39.       Le pharisien incrédule a dit : « Il est Béezébul. Il a un esprit de bonne aventure. »

            Jésus a dit : « Si vous dites cela de Moi, Je vous pardonnerai. Mais quand le Saint-Esprit sera venu pour faire la même chose, un seul mot contre Lui ne sera jamais pardonné. » Considérez donc ce soir le blasphème chez les nations. De quoi traitent-ils cela ? D’un devin accompli, d’un Béelzébul diseur de bonne aventure. Il ne reste rien que le jugement divin.

            Quand vous méprisez la miséricorde, il ne reste que le jugement pour vous. C’est vrai. Ne soyez pas séduit. Observez le jour dans lequel vous vivez. Voyez ce que Christ a dit. Il a promis ces choses à Son Eglise.

40.       Quand la femme au puits, quand Il l’a regardée, le Père Lui a donné une vision d’aller jusqu’à Jéri-… pour quitter Jéricho, et sur Son chemin Il devait passer par Samarie. Il a renvoyé Ses disciples. Personne ne savait pour quelle raison.

            Une dame est sortie, ou plutôt une femme, pourrions-nous dire, parce que dans cette nation nous croyons que c’était une femme de mauvaise réputation. Et elle puisait de l’eau, et Il a dit : « Femme, apporte-Moi à boire. »

            Elle a dit : « Il n’est pas de coutume que vous Samaritains demandiez ou plutôt que vous Juifs demandiez pareille chose aux Samaritains. »

            Il a dit : « Mais si tu savais à Qui tu parles… » Oh ! frère, sœur, si seulement vous saviez de Qui je parle. Voyez-vous ?

41.       « Si seulement tu savais à qui tu parles, c’est toi qui Me demanderais à boire. Et Je te donnerai de l’eau que tu ne viens pas puiser ici. »

            « Eh bien, a-t-elle dit, le puits est profond. » La conversation s’est poursuivie au sujet de l’adoration sur une montagne.

            Alors Jésus a trouvé où était son problème, et Il a dit : « Va chercher ton mari et viens ici. »

            Elle a dit : « Je n’ai pas de mari. »

            « Eh bien, a-t-Il dit, c’est juste. Tu n’as pas de mari parce que tu en as eu cinq et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. »

42.       Le secret de son cœur était révélé là. Maintenant, écoutez ce que la Samaritaine a dit. Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es un prophète. » Combien elle était différente des érudits juifs, des pharisiens qui étaient censés être avisés !

            Les pharisiens disaient : « Eh bien, Il est Béelzébul. C’est un diseur de bonne aventure. Il est possédé d’un esprit démoniaque. C’est ce qui fait qu’Il… »

            Mais ils ne pouvaient pas comprendre. Cela s’est toujours passé exactement tel qu’Il l’avait dit. L’homme cherche donc à tout comprendre. Vous ne le pouvez pas. On ne connaît pas Dieu par les mathématiques. On ne le connaît pas non plus par la science. On connaît Dieu par la foi, et c’est par la foi seulement qu’on Le connaît. Il vous a élus pour la Vie Eternelle par Sa prescience. « Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire. » C’est juste. Et si vous pouvez voir cela et comprendre que Dieu est avec vous, combien chacun de vous devrait être heureux !

43.       Maintenant, remarquons tandis que la conversation s’est poursuivie pendant quelques instants. Elle a dit : « Je vois que Tu es un prophète. Nous savons, nous les Samaritains, nous savons que lorsque le Messie viendra, Celui qu’on appelle Christ, Il fera ces choses. Il nous annoncera ce genre de choses. »

            Eh bien, c’est le signe du Messie. Les Juifs ont reconnu cela. Philippe est allé prendre Nathanaël, et au départ Nathanaël ne voulait pas croire cela. Il a dit : « Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? »

            Il a dit : « Viens et vois. » Voilà la meilleure façon pour être convaincu, c’est de venir, c’est de voir par soi-même. Venez et découvrez. Sondez cela au moyen des Ecritures.

44.       Jésus a dit : « Sondez les Ecritures, car ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. » Sondez les Ecritures. Et quand Nathanäel est venu et qu’on l’a amené, et que Jésus a accompli le miracle en lui disant où il était avant de venir à la réunion, eh bien, il a reconnu. Il a dit : « Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël. »

            La Samaritaine a dit : « Nous savons… Je sais que Tu es un prophète. Tu dois être un prophète, autrement… mais nous savons que lorsque le Messie viendra, Celui qu’on appelle Christ, Il nous annoncera ces choses. Mais je ne sais pas qui Tu es. »

            Ecoutez-Le : « Je le suis Moi qui te parle. » Elle a laissé tomber sa vieille cruche d’eau et elle est allée dans la ville pour témoigner. « Venez voir un homme qui m’a dit les secrets de mon cœur. Ne serait-ce pas le Messie même ? »

45.       Et comme Il s’en allait, Il a dit ceci : « Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Vous en ferez de plus grandes. » Et l’expression « plus grandes », tout le monde sait qu’il signifie « davantage ». Vous ne pourriez faire de plus grandes en qualité, seulement en quantité, parce que là Il était dans une seule Personne. Dieu était rep-… était représenté dans une seule Personne. Maintenant Il est représenté partout dans l’Eglise universelle. « Vous en ferez davantage, car Je vais à Mon Père. Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. » Le monde, kosmos, là ça signifie que c’est l’ordre du monde. « Le monde ne Me verra plus, mais vous vous Me verrez, car Je (un pronom personnel) serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. »

46.       Les derniers jours dans lesquels nous vivons, les grands docteurs et tout… Il n’y a pas longtemps quelqu’un m’a demandé : « Les docteurs étaient-ils dans l’erreur ? »

            J’ai dit : « En tant qu’une personne sans instruction, je ne voudrais pas dire que les érudits étaient dans l’erreur. Ce qu’ils ont enseigné c’était bien, mais seulement ils ne sont pas allés assez loin. » Il est question de s’abandonner au Saint-Esprit, pas de créer un tas de fanatisme, mais de créer un Evangile solide qui repose juste ici sur la Parole éternelle de Dieu. Et Dieu est obligé de soutenir Sa Parole.

            Je m’excuse de vous garder aussi longtemps. Inclinons la tête juste un instant. Et pendant que vous avez la tête inclinée, je me demande s’il y a quelqu’un ici ce soir qui fait peut-être face à son heure la plus sombre, et qui dirait : « Ô Seigneur Jésus, aie pitié de moi, un pécheur. Je ne souhaite pas mourir et aller dans les tourments. Et je sais que si je meurs dans l’état où je suis ce soir, ce sont les tourments qui m’attendent. Je n’ai aucune assurance. »

47.       Il se peut qu’avant le lever du jour on envoie chercher un médecin, et qu’en sortant de votre chambre il dise : « C’est une crise cardiaque. Il n’y a rien à faire. » Et vous serez parti. Vous pourriez partir pendant que vous êtes sur la rue avant de quitter ici. Vous pourriez partir pendant que nous sommes dans ce bâtiment avant la fin du service. Et vous désirez qu’on se souvienne de vous dans la prière, voudriez-vous lever les mains vers Christ et dire : « Frère Branham, priez pour moi ? » Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, et vous, il y a tout simplement les mains partout. C’est merveilleux.

            Maintenant, Père céleste, pour être obéissant en tant que Ton serviteur, je Te recommande ceux-ci. Et quelqu’un pourrait dire : « Pourquoi vous leur avez demandé de lever la main ? »

48.       Oh ! Père, nous réalisons qu’ils défient les lois de la gravitation. Alors que selon les lois de la gravitation Tu étais censé reposer dans la tombe, cependant la Parole de Dieu avait dit : « Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption, et Je ne livrerai pas Son âme au séjour des morts. » Et les lois de la gravitation ont été brisées, et Il fut élevé jusque dans la gloire.

            A l’intérieur de ces gens… leurs bras mortels devraient pendre, selon les lois et les statistiques de la science, mais en eux il y a un esprit qui réalise qu’ils ont tort. Oh ! quelque vingt ou trente personnes dans ce bâtiment ce soir ont levé la main vers leur Créateur, parce qu’en eux se trouve quelque chose qui dit : « Tu as tort. Accepte-Moi. » Et cela a défié les lois de la gravitation, a dirigé leurs mains vers le Créateur.

49.       Père, reçois-les. Si cela vient de leurs cœurs, ils sont Tes enfants dès cette heure-ci. Accorde, Seigneur, qu’ils se fassent baptiser d’eau, et qu’ils trouvent une bonne église chrétienne quelque part et Te servent jusqu’à ce que la mort les libère. 

Et maintenant, Père, Je te les confie. Ils sont les dons d’amour que Tu donnes au Fils, car ils sont des signes de la grâce de Christ. Et je Te prie d’être avec eux.

            Maintenant, comme les malades et les affligés sont ici, je Te prie, ô Dieu, de venir en aide ce soir tandis que nous prions pour eux. Dans cette heure très sombre, que chaque œil soit oint avec du collyre. Que leurs yeux s’ouvrent et qu’ils comprennent comme ceux qui revenaient d’Emmaüs. Et tandis que ce petit groupe quitte ce soir cette petite église où il fait froid, comme ceux qui avaient quitté la tombe froide, et qui étaient en route pour Emmaüs, puissent-ils rentrer chez eux comme ceux-là, en se réjouissant, en disant : « Nos cœurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous, lorsqu’Il nous parlait en chemin ? »

            Maintenant, Seigneur, la seule façon que cela puisse se faire ce soir, ce n’est pas par ce pauvre message, j’en suis sûr, mais, Seigneur, si Tu te manifestes et fais ici ce soir les choses que Tu faisais avant Ta crucifixion, les gens sauront que les Ecritures sont véridiques : Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

50.       A présent, en tant que Tes serviteurs, nous nous confions à Toi comme un petit troupeau de brebis qui a erré dans ce petit enclos ce soir. Et maintenant Seigneur, manifeste Ton amour et Ta Présence, car Tu as promis que là où deux ou plus seront assemblés : « Je serai au milieu d’eux. » Accorde-le, Père, nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen. Je suis…?... Oui, monsieur.

            [Un frère dit : « Nous avons de très bonnes nouvelles, c’est que nous serons à Newark, New Jersey, USA, demain après-midi. » – N.D.E.] Grâces soient rendues au Seigneur…?... [« Par la merveilleuse grâce de Dieu, nous avons obtenu le centre social qui a un chauffage tout neuf, et mille deux cents sièges confortables, et nous y serons. C’est juste à quatre pâtés de maisons d’ici, sur High Street, au numéro 652. Et nous y serons demain après-midi, à 15 heures. Et… Ok, c’est très bien. » L’assemblée rit.]

51.       [J’avais remarqué que Beaucoup n’étaient pas très contents lorsqu’on a dit que demain après-midi nous devrions être à Brooklyn. Mais maintenant, Dieu a ouvert une voie et le révérend Branham sera ici et va servir. Nous aurons beaucoup de temps. Nous ferons que ce soit au chaud, bien et confortable, et c’est seulement à quatre pâtés de maisons d’ici. Vous pouvez annoncer cela ; informez vos amis. Nous placerons des gens ici pour indiquer l’endroit à ceux qui viendront ici pour la réunion, et tout se passera très bien. N’oubliez pas cela maintenant, c’est sur High Street au numéro 652, le centre social qui compte mille deux cents sièges. A propos, je trouve que c’est une belle réunion ce soir, une merveilleuse réunion, et nous sommes vraiment désolés que vous n’ayez pas été à cent pour cent bien confortables. Je me sens bien. Je dois avouer cela. Gloire au Seigneur ! Amen.]

52.       Je crois vraiment que c’est une bénédiction de la part de Dieu. Inclinons la tête juste un instant. Maintenant, le Dieu Tout-Puissant qui peut contrôler les circonstances, qui pouvait arrêter les vagues sur la grande mer, ça doit être Ton désir qu’un autre service se tienne ici, car Tu as déjoué le plan de l’ennemi, notre ennemi, et Tu nous as accordé cet endroit. Nous Te remercions pour ceci, et pour avoir placé cela sur les cœurs des hommes, ou qui que ce soit qui a fait cela. Nous Te remercions, Père, pour cela. Et puissions-nous T’adorer demain après-midi avec une grande joie, au Nom de Jésus. Amen.

            Si c’était possible ce soir, je souhaiterais que tout le monde soit sûr de bien comprendre ceci : je – je ne suis pas un guérisseur divin, et je ne crois pas non plus que quelqu’un soit un guérisseur divin. Je crois que le Guérisseur divin c’est le Dieu Tout-Puissant. Je crois que Jésus-Christ a acquis votre guérison quand Il est mort au Calvaire. Il fut…

53.       Le – le Sang qui a coulé de Ses plaies, c’est le même Sang qui a coulé de Ses meurtrissures. « Il était blessé pour nos péchés ; c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris. » La… C’est une œuvre achevée que Dieu a accomplie. Je sais, aimable ami, que beaucoup de choses ont été dites qui n’auraient pas dû être dites. C’est juste. Et bien des choses ont été déclarées qui n’auraient pas dû l’être.

            Bien sûr, c’est… On s’attend tout simplement à cela. Voyez-vous ? Mais il doit y avoir la… S’il n’existe pas un faux dollar, alors le vrai n’existe pas. Nous devons donc avoir cela. Et nous savons que tant de choses ont été dites à ce sujet, tout comme toucher un mât totémique ou quelque chose comme ça. Ce n’est pas ça. Il n’y a pas de puissance de guérison dans un homme. La puissance de guérison est dans votre foi dans l’œuvre du Fils de Dieu achevée au Calvaire. Autant que je connaisse l’Evangile, c’est tout aussi clair.

54.       Maintenant, tout d’abord, la foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole de Dieu. Eh bien, cela règlerait la question s’il s’agissait de vous ou moi, mais pas avec le Seigneur. Il est si bon qu’Il envoie des dons dans l’Eglise : premièrement des apôtres, ce qui signifie missionnaires. Missionnaire et apôtre, c’est le même mot, un envoyé. Des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes, des pasteurs, ils sont tous pour le perfectionnement de l’Eglise. Est-ce juste ? Toutes ces choses, c’est dans ce but-là. Eh bien, Dieu a donné ceci.

            Et puis dans chaque groupe local, Il a placé neuf différents dons spirituels pour garder cette Eglise dans l’ordre pendant que nous attendons Sa Venue. Maintenant, ce soir je… Voici ce que je déclare : Jésus n’est pas mort. Il est vivant.

55.       A Bombay, en Inde, en Afrique du Sud, où notre Seigneur béni… j’ai vu trente mille purs païens venir à Christ en une seule fois, à – à Durban, en Afrique du Sud, où je dois retourner aussitôt. Ce serait… Je ne pourrais aucunement essayer de faire une estimation quant à Bombay, en Inde, les gens ont vu notre Adorable Seigneur faire les mêmes choses qu’Il faisait quand Il était ici sur terre.

            Les hindous, les mahométans, ont par milliers accepté Christ comme leur Sauveur personnel, quand nous avons lancé un défi pour une épreuve de force. Et le maire de Durban a dit… ou plutôt le – le maire de Bombay, qui était assis à la – l’estrade quand un homme qui était complètement aveugle a reçu la vue, a accouru et a saisi ce dernier, et l’a embrassé comme cela. Des milliers et des milliers, aussi loin que les lumières de projecteurs vous permettaient de voir, ont accepté le Seigneur Jésus.

56.       Vous savez, les amis, Jésus n’a jamais dit : « Allez par tout le monde et construisez des églises. » Ce n’est pas mal, les églises. Il n’a jamais dit : « Allez bâtir des écoles. » Ce n’est pas mal, les écoles. Mais là où nous avons failli, c’est là où Il a dit : « Prêchez la Bonne Nouvelle. » La Bonne Nouvelle, ce n’est pas construire des églises ou des écoles, quoique celles-ci soient une bonne chose, mais l’Evangile n’est pas venu en Parole seulement, mais avec puissance et démonstration du Saint-Esprit, c’est ça l’Evangile. C’est un Evangile vivant, pas des paroles enchanteresses, mais une foi vivante dans le – le Seigneur Dieu qui vit pour toujours parmi nous.

            Maintenant, s’Il est vivant, comme le dit la Bible, et a fait une promesse selon laquelle Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, que les choses qu’Il a faites nous les ferions aussi, eh bien, pour moi, c’est la vérité, ou ce n’est pas la vérité. Eh bien, si c’est la vérité, ma vie repose sur cela. Si ce n’est pas la vérité, alors je ne veux rien à voir avec cela. C’est de cette manière-là que nous devrions considérer ces choses. Et ce soir, ayez solennellement cela à l’esprit.

57.       Nous procédons comme suit : nous distribuons des cartes de prière juste quelques minutes avant le début du service, on amène un tas de cartes de prière et on les mélange et on les distribue à tous ceux qui en veulent. De là, nous commençons quelque part sur les cent, ou tout ce qu’on a distribué, on appelle quelques personnes à l’estrade jusqu’à ce que l’église soit ointe du Saint-Esprit, cela vous montre que Christ est présent. Alors les gens commencent à regarder, et tandis qu’ils regardent, ils tirent [quelque chose] de Lui.

            Maintenant, regardez. Avez-vous froid, très froid ? Pouvez-vous attendre encore juste une minute ? Très bien. Permettez-moi d’essayer… Il n’y a pas moyen de l’expliquer. C’est inexplicable. Vous ne pouvez pas expliquer Dieu. Mais imaginons quelque chose comme ceci juste un instant.

            Disons que nous sommes tous des petits garçons et des petites filles nous tenant tout autour d’un très grand cirque, là où il y a un cirque, et nous n’avons pas de quoi payer pour entrer. Et cela… Le Seigneur m’a juste fait un peu plus grand de taille que ces hommes-ci, mais Il les a faits un peu plus forts que moi. Dieu a fait de certains d’entre nous (le Corps de Christ) des prédicateurs, des pasteurs, des docteurs, des voyants et ainsi de suite. Tout cela constitue l’Eglise.

58.       Eh bien, maintenant, peut-être que je suis assez grand pour pouvoir regarder en haut, et en me hissant à l’aide de mes mains, regarder à travers un trou et voir quelque chose à l’intérieur ; et vous dites : « Que vois-tu ? »

            Je dis : « Une girafe. »

            « Qu’as-tu vu d’autre ? » Je devrais me hisser encore.

            Maintenant, si monsieur Loyal veut que je sache ce qui se passe à l’intérieur, il me soulèvera tout simplement et me portera en haut et dira : « Vois-tu tout ce qui se passe ? », puis il me déposera. Eh bien, en me hissant moi-même, pour ainsi dire, cela m’affaiblit, mais quand monsieur Loyal me soulève, je suis là par sa force. Alors cela ne me dérange pas.

            Eh bien, j’ai dit cela pour que vous puissiez suivre très attentivement. Quand notre Seigneur était ici… Maintenant, nous savons qu’Il est ici ce soir, mais l’Esprit que nous avons ce soir n’est qu’une petite portion de Son Esprit. Voyez-vous ? Or, en Lui habitait corporellement la Plénitude de la Divinité, et… Il avait l’Esprit sans mesure. Nous, nous L’avons avec mesure.

59.       Maintenant, disons que si je prenais une cuillerée de l’eau de l’Atlantique ici (eh bien, vous ne manqueriez jamais la chose), mais les mêmes substances chimiques qui sont dans cette cuillerée, tout l’Atlantique contient le même genre de substances chimiques. Et si l’Esprit de Dieu est dans Son Eglise, Il fera exactement la même chose qu’Il faisait. Forcément.

            Maintenant, en rapport avec notre sujet de ce soir, quand Il est allé vers Lazare, Il ne L’a pas du tout entendu dire quelque chose. Il se réjouissait tout simplement avec eux parce que Dieu avait accompli un miracle. Dieu L’a soulevé et Lui a montré ce qui allait arriver, Il L’a envoyé là-bas. Il est resté les quatre jours, Il est retourné, Il a ressuscité Lazare et Il a fait cela…

            Observez-Le. « Vous dites qu’Il a ressuscité Lazare ? » Certainement, à la tombe.

            Observez-Le à la tombe. Il a dit : « Père, Je Te remercie de ce que Tu M’as déjà entendu, mais c’est à cause de ceux-ci qui se tiennent à côté que J’ai dit cela. » Voyez-vous ? Le Père Lui avait déjà montré ce qu’il fallait faire. C’est ce qu’Il a dit.

60.       Maintenant, remarquez encore. Quand la femme à la perte de sang… Il n’avait pas eu une vision à son sujet ; et elle est venue avec sa propre foi et elle L’a touché, parce qu’elle savait qu’Il était le Fils de Dieu. Et elle L’a touché, et Il a dit : « Qui M’a touché ? »

            Eh bien, les gens ont dit… Pierre L’a réprimandé, en disant : « Seigneur, eh bien, c’est tout le monde qui Te touche ! »

            Il a dit : « J’ai connu que la vertu est sortie de Moi, la force. Je me suis affaibli. »

61.       Et Il a cherché des yeux partout jusqu’à ce qu’Il a trouvé la petite femme, et Il a dit : « A présent, ta perte de sang est terminée. C’est ta foi qui a fait cela. C’est ta foi qui a fait cela, pas Ma foi, c’est ta foi qui a fait cela. Ta foi t’a sauvée. » Et observez là le mot sauver, c’est exactement le même si vous êtes sauvé physiquement ou spirituellement. « Ta foi t’a sauvée. »

            Maintenant, le Seigneur Jésus vient ce soir, et Il montre des visions qui annoncent des choses à l’avance, comme mes frères le savent. Oh ! la la ! On pourrait écrire une encyclopédie sur ce qu’Il a fait. Et pas une seule fois cela n’a failli quelque part. Demandez à quiconque. Pas une seule fois.

            Son Glorieux Etre est descendu et a permis que Sa photo soit prise avec nous ici, laquelle photo est ici à Washington DC, par George J. Lacy du FBI, le responsable pour les empreintes digitales et les documents, à Houston, au Texas, où elle a été prise. Vous avez vu pendant les réunions la Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

62.       « Je viens de conduire les enfants d’Israël dans la Colonne de Feu, Je… de Dieu, Je retourne à la même forme. » Il a rencontré Paul sur la route de Damas, une Colonne de Feu. Personne d’entre eux n’a vu Cela à part Paul, et Cela a aveuglé ses yeux. Voyez-vous ? Il fut aveugle pour un temps. Il est ici ce soir, le même Seigneur Jésus, faisant exactement les mêmes choses.

            Maintenant, vous dites : « Mais, Frère Branham, si j’avais une infirmité, et si Jésus était ici, j’irais Le toucher. Eh bien, Frère Branham, est-ce que je peux vous toucher ? » Cela ne ferait pas le moindre bien, pas le moindre bien. Ce serait autant que toucher votre mari ou votre frère, ou quelqu’un qui est assis là, toucher le siège. Comme le disait notre brave ami, frère Roberts : « Touchez votre siège ou votre radio, ou quelque chose » : un point de contact.

63.       Mais prenez Jésus comme votre point de contact, frère. Voyez-vous ? Amenez-Le vers vous. Vous dites : « Eh bien, Frère Branham, s’Il était juste ici je Le toucherais. » Le Nouveau Testament dans l’épître aux Hébreux dit cela, qu’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Vous pouvez Le toucher juste là où vous vous trouvez. « Comment le saurai-je ? » Juste comme c’était alors. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Levez les yeux et touchez-Le. Voyez-le se tourner pour vous dire ce dont vous avez besoin.

Maintenant, même s’Il ne fait pas cela, la Parole a donc malgré tout raison. Je suis un faux prophète. Je suis un faux docteur. Mais j’enseigne la Parole. Et la Parole a raison. La Parole a raison. Je fais toutes sortes d’erreurs, mais la Parole n’a jamais tort. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

64.       Maintenant, je voudrais prier, et priez avec moi pour chaque personne malade. J’aurais souhaité avoir la puissance pour venir guérir chacun de vous. Je n’en ai pas. Vos médecins font ce qu’ils peuvent. C’est très bien. Mais ils ne peuvent pas guérir. Il n’y a jamais eu un médicament, jamais une opération qui ait guéri. Rien n’a jamais guéri en dehors de Dieu. Jamais un hôpital n’a guéri un malade. Demandez à n’importe quel médecin.

            Ils peuvent remettre en place un os, ôter une obstruction, arracher une dent ; mais qui opère la guérison ? Ils remettent un os en place, mais qui opère la guérison ? Certainement. Psaumes 103.3 dit : « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. » La médecine ne crée pas des cellules. Si elle peut créer des cellules, alors elle peut créer un homme. Mais Dieu est le seul Créateur. Satan ne peut pas créer. Il pervertit seulement ce que Dieu a créé. Il n’y a qu’un seul Guérisseur, c’est Dieu. Parlons-Lui maintenant pour votre…?...

65.       Père très saint, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, nous nous inclinons humblement dans Ta Présence, et nous tournons nos faces vers la poussière d’où Tu nous as tirés. Et si Ton Fils bien-aimé tarde, un jour nous retournerons à la poussière d’où nous sommes venus. Mais l’âme qui est au-dedans de nous vient du Grand Esprit de Dieu qui est éternel.

            Et nous Te remercions pour cette glorieuse espérance que nous avons. Sa glorieuse Parole bénie nous a promis… Il a dit quand Il était ici sur terre : « Tout ce que vous demanderez à Mon Père en Mon Nom, Je le ferai. » Seigneur et Jéhovah Dieu, nous venons au Nom de Ton Fils Jésus. Et nous Te demandons de confirmer ce soir Ta propre Parole qui révèle que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Pardonne-nous nos sottises, nos péchés. Ôte toutes nos transgressions, Seigneur. Cache-les sous Ton Sang. Nous plaidons les uns pour les autres. Et nous savons dans ce petit bâtiment ce soir, qui n’est pas un très bon endroit où venir, dirions-nous, que Tu viens malgré tout dans la maison la plus humble. Tu vas dans des prisons et dans les granges, ou dans les porcheries pour sauver un homme. Tu es si bon. Nous t’aimons tant.

66.       Seigneur, sois près de nous maintenant. Révèle-Toi à nous, et fais ces choses que Tu faisais quand Tu étais ici sur terre. Honore la foi de ce peuple qui est resté assis pendant ce long message ce soir dans cette salle où il fait froid. Récompense-les en guérissant leurs corps, en ôtant leurs maladies. Tu as pardonné les péchés à ceux qui ont levé leurs mains il y a quelques instants. Et maintenant, tires-en gloire pour Toi-même. Car nous le demandons humblement pour la gloire de Dieu.

            Et maintenant, Seigneur, dès cet instant, c’est entre Tes mains. J’ai fait de mon mieux. Oins-nous maintenant, Seigneur. Oins-les pour qu’ils croient. Oins-moi pour que je croie. Et parle à travers nous, et par nous, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

            Combien nous sommes reconnaissants pour l’Esprit de Dieu ! Combien Il agit merveilleusement parmi nous, et pour cela, nous rendons grâces et louanges pour toutes Ses œuvres merveilleuses ! [Quelqu’un prophétise. – N.D.E.]

67.       Grâces soient rendues au Seigneur. Père, nous Te sommes très reconnaissants et sommes pleins de gratitude envers Toi. Accorde que ceci soit un moment de réjouissance comme jamais auparavant. Accorde aux gens le désir de leurs cœurs. Amen.

            Maintenant, si je comprends bien les Ecritures, je crois qu’il y a des dons qui entrent dans l’Eglise, selon lesquels le Saint-Esprit parle et déclare à Son peuple les choses qu’Il désire faire. Et, par conséquent, les – les gens qui ont parlé étaient tout à fait en ordre après que j’avais terminé de parler. Et maintenant, le message dit aux gens qu’Il vous a déjà accordé la bénédiction. C’est à vous de recevoir cela.

Maintenant, puissiez-vous le faire respectueusement pendant que nous appelons la ligne de prière. Voyons où on en était. Combien ? Eh bien, L ? Série L de 1 à 100. De 1 à 50. Commençons, étant donné que ce sont les réunions maintenant même. Et qui a L numéro 1, carte de prière 1, L numéro 1 ? Voudriez-vous simplement lever la main pour que nous puissions voir si nous les avons en ordre. Très bien. Numéro 1 ? Voudriez-vous venir juste ici, madame ?

68.       Numéro 2. Maintenant, regardez sur la carte de votre voisin, car il est possible qu’il ne soit pas en mesure de… Numéro 2, voudriez-vous lever la main, si possible ? Très bien. Numéro 2, madame, voudriez-vous venir ici ? Numéro 3, voudriez-vous lever la main ? L numéro 3. La dame là derrière.

            Numéro 4, numéro 4, voudriez-vous lever la main, s’il vous plaît ? Numéro 4, cette dame ici. Voudriez-vous venir juste ici dans la ligne ? Numéro 5, voudriez-vous lever directement la main, s’il vous plaît ? Si je pouvais voir le numéro 5, le gentleman ici, voudriez-vous venir ? Numéro 6, voudriez-vous…

            [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… le temps, et il se fait tard. Maintenant, nous désirons partir. Maintenant, d’abord, je désire dire merci de votre fidélité pour patienter. Dieu nous a récompensés maintenant et Il nous offre un bel endroit chaud pour demain après-midi. Que Dieu soit avec vous.

            Le matin, allez quelque part, à votre église, partout où on tiendra des cultes. Saluez vos pasteurs et invitez-les aussi pour demain après-midi. Nous serons heureux de les avoir.

69.       Maintenant, voici le moment de l’épreuve de force. Voici une dame. Je suppose que nous sommes des inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas ? Nous ne nous connaissons pas. Je n’ai jamais vu la dame de ma vie, et elle ne m’a jamais vu, à ce que je sache, à moins que ce soit dans une réunion quelque part. M’avez-vous déjà vu ? Vous ne m’avez jamais vu, nullement. C’est la première fois que nous – qu’elle – que nous nous voyons dans la vie. Et c’est vrai.

            Et puis la dame debout ici, il y a… Elle est ici à l’estrade pour une certaine raison. Je ne sais pas. Dieu sait cela. Il se peut qu’elle soit malade. Je ne sais pas. Elle a l’air d’une femme en bonne santé. Je ne pourrais le dire. Je ne sais pas. Elle pourrait avoir des ennuis financiers. Il pourrait s’agir de problèmes de foyer. Je ne sais pas. Elle a certainement besoin de quelque chose de la part de Dieu, sinon elle ne se tiendrait pas ici. Si ce n’est pas le cas, Dieu sait tout à ce sujet de toute façon.

70.       Si… Elle pourrait être ici comme une critiqueuse. Si c’est le cas, observez ce qui va arriver. Voyez-vous ? Eh bien, nous – nous ne savons pas. C’est juste une femme. L’un des garçons, Billy ou Gene, ou Leo, ou qui que ce soit qui a distribué les cartes de prière tout à l’heure, lui a simplement donné une carte et c’est… Elle – elle a simplement été appelée ici. C’est tout ce que nous savons. Est-ce juste, madame ? C’est tout ce que nous savons, ce qui est devant nous.

            Maintenant, si j’avais le pouvoir de guérir la femme au cas où elle serait malade, je le ferais. Mais je n’ai pas ce pouvoir-là. Mais si Jésus se tenait ici, vêtu de ce complet que je porte, Il ne pourrait pas non plus la guérir. Le savez-vous ? Combien savent cela. C’est un peu difficile pour vous de lever la main, mais c’est la vérité. Pourquoi ? Il l’a déjà fait. Il l’a fait quand Il est mort au Calvaire. Combien savent cela ? Certainement. Certainement.

            Alors que ferait-Il ? Il ferait quelque chose pour lui faire savoir que c’était Lui. Il dirait peut-être quelque chose comme ceci : « Mon enfant… » Si elle est une chrétienne, je ne le sais pas. Mais si elle l’est, Il dirait : « Mon enfant, ne crois-tu pas ce que… que Je – Je suis mort dans ce but-là ? »

            – Si, Seigneur, je le crois.

– Eh bien, pourquoi Me demandes-tu cela ?

71.       Mais Il pourrait dire : « Eh bien, maintenant, il y a quelque chose dans ta vie qui ne devrait pas être là, ou il y a quelque chose que tu as fait ou que tu n’as pas fait », ou quelque chose comme ça, qui ferait qu’elle sache que Jésus est présent. Est-ce juste ? Si… Est-ce ce qu’Il a fait autrefois ? Il a dit…

            Tenez – tenez, pour les nouveaux venus. Voici un tableau ce soir, exactement comme c’était au temps de la Bible. Voici un homme et une femme : Saint Jean 4. Tout ce que j’essaie de faire, au mieux de ma connaissance, je le situe dans la Bible. Si ce n’est pas dans la Bible… Eh bien, ça pourrait être Dieu de toute façon, mais j’aime vraiment faire ce qu’Il dit de faire, voyez-vous, et alors je suis – je suis sûr. Dieu peut faire des choses qui ne sont pas écrites dans la Bible, mais j’aime m’en tenir exactement à la Bible. Alors je – je suis certain que c’est juste.

            Dans l’Ancien Testament, les gens avaient un… Combien savent comment on testait un prophète, un message ou un songe ? La chose était dite, racontée devant l’Urim Thummim. Combien en ont déjà entendu parler ? Faites voir votre main. L’Urim Thummim était le… d’Aaron. Bien sûr, les ministres lèvent la main. C’était le pectoral d’Aaron. Et Dieu a toujours opéré par le surnaturel.

72.       Et quand le prophète se mettait à parler ou le songeur à raconter son songe, si cela venait de l’Eternel, un conglomérat de lumières se mettait à briller, une Lumière surnaturelle brillait sur cet Urim Thummim. Alors c’était Dieu. C’était vrai. Mais si cela ne brillait pas, peu importe combien la chose semblait bonne, ce n’était pas vrai. Dieu avait rejeté cela.

            Eh bien, cette sacrificature d’Aaron a pris fin, mais aujourd’hui nous avons une nouvelle sacrificature. Cet Urim Thummim a pris fin, mais nous avons un nouvel Urim Thummim. Et c’est la Parole de Dieu. Ce que nous faisons ou disons, si cela ne brille pas dans la Parole, je laisse cela tranquille. Mais il faut que la chose vienne de la Parole.

            Maintenant, voici une scène comparable à celle de Saint Jean 4, un homme et une femme ; en effet, nous voici devant Dieu, cette chaire, la Bible, pour dire que nous ne nous sommes jamais vus de la vie. Nous sommes totalement des inconnus l’un pour l’autre. Maintenant, si Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et s’Il fait les choses qu’Il faisait… Il a dit : « Je ne fais rien, à moins que le Père Me le montre premièrement. » Nous savons tous cela, Saint Jean 5.19.

73.       Maintenant, si Jésus vient et prend tout simplement ce corps, ma voix… Maintenant souvenez-vous, Jésus est à tout point de vue tel qu’Il était, à l’exception d’un corps physique. Comprenez-vous cela ? Que sommes-nous ? Il est le Cep et nous sommes donc les sarments. Le cep ne porte pas le fruit. Ce sont les sarments qui portent le fruit, mais l’énergie doit provenir du cep. Le cep doit envoyer la puissance pour produire le fruit.

            Eh bien, s’Il est ressuscité des morts (nous savons qu’Il l’est), et si donc Dieu m’a envoyé faire ceci… Je ne suis pas un prédicateur, comme – comme tel. Je n’ai pas l’instruction requise pour être un prédicateur. Mais si par un don, s’Il me permet d’avoir des visions et de parler à cette femme, exactement comme à la femme au puits, et qu’Il me révèle quelque chose qui est dans votre cœur que vous désirez, allez-vous croire que c’est Lui ? Vous savez que cela doit provenir d’une certaine source surnaturelle. Combien savent que ce serait une source surnaturelle ?

74.       Eh bien, si vous croyez cela, cela dépend donc de ce que vous en pensez. Si vous dites : « Oh ! eh bien, c’est un liseur de la pensée. » Eh bien, c’est votre récompense que vous recevrez. Mais si… Mais, bien sûr, là vous… Je ne le dirais pas de cette façon-là. Vous… Ce serait terrible, car ce serait exactement la même chose que les gens avaient faite, le blasphème contre le Saint-Esprit (Voyez-vous ?), ce qui est impardonnable.

            Eh bien, c’est ce dont il s’agit, ils blasphèment quand ils qualifient les œuvres qu’Il faisait de Béelzébul. Combien savent cela ? Et Jésus a dit que cela ne serait jamais pardonné (Voyez-vous ?), qualifier l’œuvre de Dieu par le Saint-Esprit de Béelzébul ou d’un certain mauvais esprit. Voyez-vous ?

            Or, si le Seigneur Jésus révèle la chose… Je ne dis pas qu’Il va le faire. Mais s’Il le fait, croirez-vous ? L’auditoire croira-t-il si… Quelqu’un connaît-il la femme, là-bas ? Je suppose que vous la connaissez, oui, beaucoup d’entre vous. Très bien. Maintenant, si je dis : « Madame, vous êtes malade, et vous allez être guérie », vous aurez le droit de douter de cela. Si – si… A moins que vous… cela dépend tout simplement de la foi que vous avez en ce que je dis.

75.       Mais si le Saint-Esprit remonte dans le passé comme Il le fit avec Philippe ou comme Il le fit avec la femme au puits, et lui dit quelque chose qu’elle a fait, vous saurez si c’est vrai ou pas. Vous le saurez. Si donc Il sait ce qui a été, Il sait certainement ce qui sera. Comprenez-vous ?

            Vous dites : « Frère Branham, cherchez-vous à gagner du temps pour quelque chose ? » Oui. J’attends l’Ange du Seigneur, la – l’onction. Elle n’est pas encore exactement venue sur moi. C’est juste. C’est la raison pour laquelle je continue à lui parler. Notre Seigneur a continué de parler à la femme…?...

            Mais maintenant, la femme est consciente maintenant que quelque chose est en train de se passer. Si mon auditoire peut encore entendre ma voix, il y a une Lumière juste au-dessus de la femme. Madame, vous êtes consciente qu’une sensation très douce et humble vient de vous envahir. Si c’est juste levez les mains pour…?... Voyez-vous ? Entre vous et moi, je vois cette Lumière.

76.       Et la dame est très très malade et elle est couverte de l’ombre de la mort. Elle souffre d’une terrible maladie nerveuse, d’un cancer de nerfs. Et elle a une tumeur au cerveau. C’est vrai. C’est vrai, n’est-ce pas, madame ? Agitez la main pour que les gens le sachent.

            Maintenant, vous voyez… Je ne l’ai jamais vue. Et maintenant même, je ne sais pas ce que je lui ai dit. Maintenant, vous avez entendu une Voix. Ce n’était pas moi. C’était Lui. Voyez-vous ? C’était Lui. En effet, je ne sais pas quoi Lui dire. Eh bien, pour que l’auditoire puisse savoir, voyez-vous, plus vous lui parlez, plus c’est… Nous n’avons que quelques personnes debout ici. Parlons encore un petit peu à la femme.

            Juste vous parler ; en effet, plus je vous parle, évidemment, évidemment plus je deviens faible. Les visions affaiblissent. Vous souvenez-vous du grand prophète Daniel qui a eu une vision et il eut l’esprit troublé pendant plusieurs jours ? Voyez-vous ? Jésus fut touché par l’infirmité d’une femme et Il a dit que la vertu est sortie de Lui.

77.       Mais pourquoi donc pourrait-Il – me permettrait-Il de me tenir debout et d’en avoir même plus en une seule soirée que Lui, selon ce qui est mentionné dans la Bible ? C’est parce qu’Il a fait une promesse. « Vous en ferez davantage », la même chose, mais en plus grand nombre. Voyez-vous ? Moi, un pécheur sauvé par grâce, et Lui, le Fils de Jéhovah, mais Il a fait la promesse. Ses Paroles sont la vérité. « Vous en ferez davantage, parce que Je m’en vais au Père. »

78.       Oui, madame, je voulais – je voulais juste voir. Oui, je vois la femme, si l’auditoire peut encore entendre ma voix, je ne sais pas à quel point je parle fort maintenant, parce que la dame s’éloigne de moi, et elle est couverte de l’ombre de la mort (c’est vrai), elle est couverte par une hideuse ombre noire, qui est le cancer.

            Et aussi, elle est préoccupée au sujet de quelqu’un d’autre pour qui elle prie. Et il s’agit de son mari qui est ici dans cette salle. Je sens son esprit agir. Et son mari a des douleurs terribles dans le dos, et il a une sorte de maladie cardiaque, une maladie qui se localise autour du cœur.

Et je vous vois tous les deux quelque part. Vous êtes dans une sorte de réunion, ou en train de faire quelque chose. Il y a un… Vous levez la main pour… Vous êtes dans un – dans une sorte de grande réunion, il n’y a pas très longtemps de cela. Et vous avez levé la main pour être convertie. Et c’était dans une ville appelée Triton, Trenton. Trenton, c’est Trenton, dans le New Jersey, et c’était lors des réunions d’Oral Roberts. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous que le Seigneur Jésus-Christ est présent ? Ça peut être votre heure la plus sombre, mais Jésus est venu. Prions.

Très gracieux Seigneur, j’impose les mains à cette femme, parce que Tu as dit : « Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru ; s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris. » Seigneur, Tu tiens toutes Tes promesses, et je prie que notre sœur soit rétablie, et que l’esprit méchant de la maladie soit chassé d’elle, et que les désirs de son cœur lui soient accordés ; car je le demande humblement au Nom de Jésus qui ne peut faillir. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma sœur. Que la paix de Dieu repose maintenant sur vous. Allez, ne doutez de rien. Vous irez bien. Que Dieu vous bénisse.

79.       Bonsoir madame. Vous êtes une étrangère pour moi du fait que je ne vous connais pas, mais toutefois votre visage me dit quelque chose. Juste une minute. Oh ! vous avez été dans une réunion, et vous avez été guérie d’une maladie des intestins. Et vous êtes maintenant ici pour quelqu’un d’autre. Et il s’agit d’une femme qui a été brûlée avec un… Et vous êtes une infirmière. Je vous vois dans un hôpital, une infirmière. Et la femme est gravement brûlée, et vous vous tenez ici pour elle. Et je vous entends appeler son nom : « Bethie. » C’est juste. Maintenant, le Dieu qui vous avait guérie va la guérir aussi.

            Père, au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus, manifeste de la miséricorde envers la requête de cette femme, et puisse-t-il se faire que les choses qu’elle désire lui soient accordées. Nous demandons ceci au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu qui a dit : « Demandez en Mon Nom, il vous sera donné. » Amen. Que le Seigneur vous accorde l’objet de votre requête, ma chère sœur. Que Dieu soit avec vous, sœur, et vous accorde…

80.       Avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas ? Vous… Très bien, monsieur. Vous l’avez donnée à quelqu’un d’autre. Très bien. Si vous continuez à croire… Vous désirez que Dieu vous guérisse de cette maladie nerveuse dont vous souffrez. C’est juste. Si vous continuez à croire, vous pouvez l’obtenir. Vous L’avez touché.

            Je vous suis inconnu, madame. Et voici un beau tableau des Ecritures. Voici une – une femme, une femme de couleur, et moi un Blanc. Et puis je suis descendant des Anglo-saxons ; elle, elle vient de l’Ethiopie. C’était le même tableau dans Saint Jean 4, une Samaritaine et un Juif.

81.       Et le problème qui se posait, c’était qu’il y avait une ségrégation en ces jours-là comme il y en a eu dans le Sud pendant des années, mais Jésus leur a fait savoir qu’il n’y avait aucune différence dans la couleur de la peau d’une personne. C’est juste. Ce sont tous des enfants de Dieu. C’est juste dû à la région où nous avons grandi, ça n’a rien à voir dans notre relation avec Dieu. Et c’est le même tableau.

            Maintenant, madame, nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant dans la vie. C’est la première fois que nous nous rencontrons. Si c’est juste, voudriez-vous bien lever vos mains avec moi ? C’est la première fois que nous nous rencontrons. Maintenant, si notre Seigneur Jésus… Quand un Juif… Il a rencontré un Juif et lui a dit où il était, sous un arbre, Il a dit qu’Il l’avait vu. C’était à 30 milles [environ 48 km – N.D.T.] de l’autre côté de la montagne : des yeux particuliers. Mais Il a dit : « Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre. » Et il a reconnu que ce miracle ne pouvait venir que de Dieu. Et il a dit : « Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël. »

82.       Quand Il a parlé à la Samaritaine, une femme d’une race autre que la Sienne, Il lui a dit quel était son problème, elle a rapidement reconnu que c’était là le signe du Messie. Et s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement parmi les races avec lesquelles Il a traité alors, n’est-Il pas le même aujourd’hui ? S’Il s’est manifesté de cette façon pour leur prouver qu’Il était le Messie, n’est-Il pas obligé de se manifester à nous de la même façon en ce jour ? S’Il est le même, Il se manifestera de la même manière. L’auditoire croit-il cela ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Puisse-t-Il l’accorder.

            La dame n’est pas ici pour elle-même. Elle est ici pour quelqu’un d’autre. Il s’agit d’un frère. Je vous vois venir ensemble. Et ce frère est maintenant même dans une condition horrible. C’est un alcoolique. Il est étendu ivre, et il était tellement ivre que vous ne pouviez pas le désenivrer assez pour l’amener à la réunion. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous ? Prions.

            Ô Jéhovah Dieu, exauce la requête de cette femme sincère qui est debout ici. Que Ton Esprit vienne vers elle et lui accorde l’assurance dans le cœur qu’elle a obtenu ce qu’elle a demandé. Accorde-le, Seigneur. Nous la bénissons tandis que nous lui imposons les mains. Au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, puisse-t-elle partir, et qu’elle reçoive en Jésus-Christ ce qu’elle a demandé. Amen. Ne doutez pas du tout. Vous obtiendrez ce que vous avez demandé.

83.       Nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Le Seigneur nous connaît tous deux. Mais si notre Sauveur béni me révèle le motif de votre présence ici, allez-vous L’accepter et croire en Lui, sachant qu’Il vous accordera ce que vous demandez ? Dites dans votre cœur ce que vous désirez, priez et demandez à Dieu. Et maintenant, priez tout simplement Dieu dans votre cœur et Il va… Je suis sûr qu’Il va vous l’accorder.

            Maintenant, si la dame et les gens dans l’église peuvent encore entendre ma voix, la dame souffre des troubles féminins, d’une maladie de femmes. C’est juste. Cela est dû à l’accouchement d’un enfant. Le petit est à la maison, et quelque chose ne va pas en lui. Le bébé a un problème. Il est tout gonflé. Il a… Ses mâchoires sont toutes enflées, et il a quelque chose à la tête, une maladie au niveau de la tête. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Soyez le juge. Ces Paroles sont la vérité. Dieu, qui a donné la promesse par Sa Bible, est toujours vivant : « Demandez et vous recevrez. » Et ô Grand Jéhovah qui ne peut faillir, je bénis Ton enfant que voici au Nom de Jésus, Ton Fils. Et puisse-t-elle recevoir ce pour quoi elle est venue. Puisse-t-elle trouver cela ainsi, car nous l’envoyons chez-elle au Nom de Jésus-Christ pour être guérie. Amen. La prière de la foi sauvera le malade, Dieu le relèvera.

84.       Soyez vraiment respectueux. Je sais qu’il commence à faire froid. Il fait froid ici. Mais essayons de prendre encore une ou deux personnes. Qu’en est-il de vous dans l’auditoire, croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Croyez simplement ; touchez Son vêtement ; dites : « Seigneur Jésus, je crois en Toi. Je crois que la Bible dit la vérité. Et je crois que Tu es ressuscité des morts. »

Vous dites : « Frère Branham, ces choses devraient se faire devant le monde entier. » Je le sais. Mais ils ne le sauront pas jusqu’à ce que nous serons partis. Les gens n’ont jamais su cela pendant les âges. Même les disciples n’ont pas su cela. Ils ont dit : « Elie doit-il venir premièrement ? »

            Il a dit : « Il est déjà venu, et vous ne l’avez pas reconnu. » Croyez.

85.       Croyez-vous qu’elle se rétablira si je le demande pour vous au Seigneur ? Vous avez une amie qui a le diabète. Croyez-vous cela ? Vous avez un mouchoir sur lequel vous désirez que je prie, n’est-ce pas ? On a amputé une jambe à cette femme. C’est juste. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Apportez-moi votre mouchoir. C’est pour cela que vous l’avez amené. Faites-le sortir de votre sac à main et amenez-le-moi. Ayez la foi. Amenez-le juste ici, juste ici. Je le savais, madame, par la révélation de Jésus-Christ. Vous avez touché Quelque chose, n’est-ce pas, madame ? Vous avez vu que vous n’alliez pas entrer dans la ligne de prière, mais vous priiez. J’ai vu votre prière. Maintenant, pas moi… C’est – c’est Quelque chose ; c’est le Saint-Esprit. Voyez-vous ? Je vous parle tout simplement au fur et à mesure qu’Il me parle. Maintenant, prions.

            Maintenant, Père céleste, la Bible nous enseigne qu’on retirait du corps de saint Paul des mouchoirs et des linges, parce que les gens avaient vu l’Esprit de Dieu agir dans cet homme, et ils avaient la foi pour croire leur apôtre. Et ils ont envoyé ces mouchoirs aux malades et aux affligés, et la Bible dit que des esprits mauvais sont sortis d’eux et que des maladies étaient guéries.

86.       Maintenant, nous sommes conscients que nous ne sommes pas saint Paul, mais nous savons que Tu es toujours Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et nous avons appris que lorsque la mer Rouge coupait aux enfants d’Israël la route vers la Terre promise, Dieu a regardé à travers la Colonne de Feu et la mer eut peur, elle se retira et laissa un chemin sec pour qu’Israël traverse vers la promesse.

            Ce soir, Seigneur, quand ce mouchoir sera placé sur le corps malade de cette personne qui désire tant être guérie, je prie que Tu regardes à travers le Sang de Ton Fils ; et que la femme passe de la maladie à la promesse de la bonne santé et sois rétablie, car nous envoyons cela dans ce but-là ; au Nom du Fils de Dieu, Jésus-Christ. Amen. Maintenant, que personne ne touche cela.

            Maintenant, croyez-vous de tout votre cœur ? Croyez-vous que le Seigneur Jésus est ici pour rétablir, pour guérir les malades et les nécessiteux ? Très bien. Je crois que si nous prions juste ici maintenant pour chacun, vous sortirez alors de cette froideur qui… Croyez-vous que Dieu vous guérira ? Croyez-vous qu’Il le fera ?

87.       Etes-vous conscients que Jésus est venu ? Est-ce conformément… Combien de lecteurs de la Bible savent que Dieu a promis cela, que Jésus a promis cela ? Ce sont les choses qu’Il a faites. Maintenant, souvenez-vous, votre frère n’a rien à voir avec cela. C’est votre foi dans la résurrection de Jésus.

            Est-ce un malade ? Est-ce… Oh ! excusez-moi, monsieur. Je ne devais pas vous passer, non. Mais étant donné que vous vous tenez ici, nous sommes des inconnus l’un à l’autre, à ce que je sache, nous les sommes. Maintenant, vous êtes un homme, et notre ami du nom de Philippe est allé trouver Nathanaël et l’a amené là où un homme a rencontré notre Seigneur béni. Maintenant, vous et moi, étant des inconnus, c’est exactement la même chose, car nous ne nous connaissons pas. Mais vous et moi, nous rencontrons Jésus maintenant.

            Et maintenant, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il peut me révéler où se situe votre problème. Et s’Il le fait, serez-vous assez respectueux pour croire que vous êtes dans Sa Présence ? Vous savez qu’il y a Quelque Chose. Le fait de vous tenir devant moi, un homme, ne ferait pas que vous sentiez ce que vous ressentez maintenant. Vous savez qu’il y a Quelque chose qui est sur…

88.       Pourquoi vous ai-je appelé parmi les malades pour que je prie pour les malades ? La Lumière était déjà sur vous. Et je sais que le Saint-Esprit veut que je vous parle. C’est la raison pour laquelle j’ai fait cela ; en effet, je me préparais à prier pour tout l’auditoire. Mais quand je me suis tourné et que j’ai senti l’Esprit de Dieu de ce côté-ci, et que j’ai regardé et que la Lumière vous environnait complètement… Maintenant, les larmes coulent sur vos joues parce que vous savez que vous êtes dans Sa Présence. Moi, je ne pourrais jamais vous faire ressentir cela. Je ne le peux pas, je suis un homme.

            J’aurais souhaité que l’auditoire puisse seulement savoir ce que c’est, ce dont je parle. Je sais… Vous n’avez pas besoin de sentir quelque chose ; croyez quelque chose. Mais c’est parce que sa foi est tellement ancrée. D’une façon ou d’une autre, il se rend compte qu’il est dans la Présence de Quelque Chose d’autre qu’un homme. Voyez-vous ? Observez l’expression des visages de gens, alors qu’ils s’avancent et qu’ils entrent dans Sa Présence. Eh bien, Sa Présence bien sûr est aussi là. Mais…

            Si notre Père céleste, celui-ci étant un homme et nous nous tenons ensemble reconnaissant que nous ne nous sommes jamais vus auparavant dans la vie, si Dieu dit à l’homme ce qu’il désire, alors Dieu s’intéresse certainement à ses désirs. Est-ce juste ? Eh bien, les autres d’entre vous vont-ils tous croire alors d’un commun accord ?

89.       Maintenant, monsieur, que le Seigneur Jésus accorde cela. Je ne… Il n’est pas nécessaire que je vous regarde ni quoi que ce soit, mais juste pour vous parler. Je ne regarde pas ces gens dans l’auditoire et ainsi de suite. Mais… Puisse le Seigneur exaucer la requête. Maintenant, si vous êtes malade, vous savez que je ne peux pas vous guérir. Mais il faut que l’Esprit de Dieu fasse cela, et ainsi que votre foi en Lui. Certainement qu’avec la foi que vous avez, vous recevrez cela.

            Mon frère, vous n’êtes pas ici à cause de la maladie. Vous êtes ici avec le désir dans votre cœur de recevoir le baptême du Saint-Esprit. C’est pour cela que vous êtes ici. C’est juste. Aussi, votre femme, elle a certains problèmes spirituels, mais néanmoins elle a mal ; elle est nerveuse et elle a des douleurs dans son corps. C’est juste. Croyez-vous que vous allez recevoir cela ?

90.       Je vous vois quelque part ailleurs. Vous avez été auparavant à l’une de mes réunions, mais vous n’étiez pas entré. Ce n’était pas non plus dans cette ville. C’était dans une ville où il y a un grand lac, et je vois Joseph Boze debout à côté. C’était à Chicago. Vous étiez à Chicago, cherchant le Seigneur pour le baptême du Saint-Esprit. AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Prions.

            Rédempteur béni, Tu as donné la promesse qui ne peut jamais faillir. Que Ton Saint-Esprit vienne maintenant même, et place profondément, richement la foi du Seigneur Jésus dans le cœur de cet homme, et que tout ce qu’il désire ce soir lui soit manifesté et lui soit accordé.

            Et puisse-t-il, en quittant ce bâtiment, descendre la rue en se réjouissant et en disant : « Nos cœurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous, car ce soir Jésus s’est rendu réel à nous. » Accorde-le, Seigneur. Je bénis mon frère que voici au Nom de Jésus-Christ, afin qu’il reçoive ce qu’il a demandé. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, monsieur. Vous recevrez ce que vous avez demandé. Que Dieu soit avec vous.

91.       Croyez-vous ? Très bien. Voulez-vous approcher ? Quelqu’un là derrière pensait que c’était de la lecture des pensées, il y a juste quelques instants, ou plutôt de la télépathie. Pour vous prouver la chose, madame, ne me regardez pas, mais posez votre main sur la mienne. Si le Seigneur me révèle votre maladie, allez-vous croire que je suis le serviteur de Dieu ? Vous avez des troubles cardiaques. C’est juste. Croyez-vous que Dieu va vous en rétablir ? Alors, partez et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus.

            Croyez-vous, monsieur, de tout votre cœur ? Croyez-vous que Dieu va vous guérir ? Très bien. Alors le diabète va vous quitter et vous pouvez partir et être rétabli. Croyez-vous cela ? Très bien. Voyez-vous, il ne s’agit pas de cela. Voyez-vous ?

            Une maladie de femmes et aussi un cœur nerveux, c’est juste. Partez et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus. Ce n’est pas de la télépathie. C’est l’Esprit du Dieu vivant dans ces grands jours de ce…?... Croyez-vous cela ? Levons alors les mains vers Dieu, et je désire que vous fassiez cette prière avec moi.

92.       Ô Dieu [L’assemblée répète la prière après frère Branham. – N.D.E.], Créateur du ciel et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur nous et guéris-nous. J’accepte maintenant Jésus-Christ comme mon Guérisseur.

            Maintenant, restez enfermé avec Lui. C’est votre prière. C’est votre confession. Croyez que cette même Lumière glorieuse qui est ici à la chaire est en train de tourbillonner à travers cette salle. Oh ! comme c’est merveilleux ! Recevez votre guérison. Que le Seigneur Jésus vous rétablisse.

            Ô Seigneur Dieu, Créateur du ciel et de la terre, je prie pour ces gens afin que les ténèbres et les ombres de l’incrédulité soient…?... maintenant même, Satan… réprimandé.

93.       Satan, tu as perdu la bataille. Sors. Au Nom du Seigneur Jésus, nous t’adjurons de quitter ce peuple afin qu’il soit sain et bien portant ; nous demandons cela au Nom de Christ.

            Je crois en tant que serviteur de Christ que chacun de vous est guéri maintenant même. Je le crois. Je crois que tous ceux qui désirent une marche intime avec Christ devraient descendre directement ici ce soir et se tenir debout. Vous pécheur pénitent, descendez ici à l’autel maintenant même. Et s’Il peut vous sauver et… Descendez ici et demandez un petit mot de prière, et rendez grâces pour Sa bonté. Allez-vous le faire ? Vous qui croyez que vous êtes guéris, tenez-vous debout ; rendez-Lui gloire.

            Donnez-nous un accord, Je vais Le louer. Tout le monde avec les mains levées…

Je vais Le louer,

Je vais Le louer,

Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs ;

Rendez-Lui gloire vous tous les peuples,

Car Son Sang peut ôter chaque tache.

Elevons-Le et chantons cela maintenant.

Je vais Le louer,

Je vais Le louer,

Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs ;

Rendez-Lui gloire vous tous les peuples,

Car Son Sang peut ôter chaque tache.

Up