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UNE FOI EPROUVEE PRODUIT DES RESULTATS
1
Restons
debout pendant un moment pour la prière, je vous prie. Inclinez la tête
maintenant alors que nous entrons en contact avec l'Auteur avant de
lire Son
Livre.
Ô Dieu,
nous venons encore dans Ta Présence ce soir avec les actions de grâces
de nos
cœurs. Et nous Te remercions pour tout ce que nos yeux ont vu, que nos
oreilles
ont entendu, le Grand et Puissant Dieu vivant se révélant aux fils des
hommes
en ce jour, juste avant la Venue de Jésus dans un corps de chair. Et
quand nous
Le verrons, nous L'aimerons et nous serons enlevés dans les airs avec
Lui pour
aller à la rencontre du Seigneur et être éternellement avec Lui. C'est
cela la
grande attente de nos cœurs, pendant que chaque jour nous attendons,
priant,
soupirant, travaillant jusqu'au coucher du soleil.
2
Et,
Seigneur, pendant que nous nous sommes réunis ce soir ici, dans ce
bâtiment en
cette soirée de sabbat, nous voudrions Te demander de nous accorder une
bénédiction spéciale ce soir, d'envoyer des anges du Ciel afin qu'ils
prennent
position dans toutes les allées et dans chaque rangée. Et puissent-ils
apporter
Ta Parole, Seigneur, aux cœurs de ces gens. Circoncis les oreilles afin
qu'elles entendent. Circoncis les lèvres qui vont parler. Et ensuite,
Seigneur,
circoncis les yeux qui regarderont. Et donne-nous une foi
exceptionnelle afin
que la grande puissance du Dieu vivant puisse nous pénétrer ce soir et
qu'il
n'y ait pas une seule personne faible au milieu de nous,
spirituellement ou
physiquement, lorsque ce service sera terminé.
Ô
Seigneur, accorde ces choses, parce que nous T'aimons et nous aimons
T'adorer
et Te glorifier au milieu de Ton peuple. Nous avons un objectif,
Seigneur, et
c'est Te servir. Un motif qui est de faire comme Toi, Tu voudrais que
nous le
fassions. Accorde-nous donc Ton Saint-Esprit pour ces choses. Nous le
demandons
au Nom de Jésus. Amen.
3
Juste
très peu d'annonces, et on va entrer vite dans le service, à cause de…
ou
plutôt dans le message, parce que beaucoup sont debout. Demain soir,
Dieu
voulant, nous aimerions vous apporter un message d'évangélisation. Et
le sujet
sera : Le Puissant Conquérant. Et, ensuite, mardi soir, Dieu voulant,
j'aimerais prêcher sur Quand l'aigle éveille sa couvée et voltige sur
ses
petits.
Puis,
mercredi soir, nous nous attendons à avoir un grand apogée dans la
réunion, et
nous prions qu'un jour, le long de cette route, quelque chose arrive
aux gens,
qui mettra leurs cœurs en feu pour Dieu au point qu'un réveil à
l'ancienne mode
éclatera en Nouvelle Angleterre. On a essayé cela sur la côte ouest, on
a
essayé cela dans le Middle East, on a essayé cela dans le Sud, mais
c'est comme
si c'est ici le dernier endroit où on doit essayer cela, en Nouvelle
Angleterre. C'est ici à Plymouth Rock que nos ancêtres débarquèrent,
pour cette
liberté de religion. C'est à partir de ce sol sacré, ici, que des
hommes et des
femmes en prière sont partis pour établir cette grande économie
spirituelle que
nous avons le privilège de servir aujourd'hui. Aucun Américain ne
pourrait
avoir honte de ses ancêtres qui ont débarqué dans ce pays et qui
allaient à
l'église portant des armes, qui sont venus ici pour la liberté de
religion. Ils
voyageaient à dos de cheval, couverts dans de vieux chariots, ils ont
combattu
les Indiens et tout pour pouvoir aller à l'église. Leur sang a baigné
ce sol.
Si nous sommes sincères et croyons en ce Dieu en qui ils ont cru et que
nous
servions avec la même révérence qu'ils avaient en Le servant, nous
verrons de
nouveau un réveil. Et je crois que cela commencera en Nouvelle
Angleterre. Dieu
est disposé à le faire, si nous sommes disposés à continuer cela.
4
Ouvrons
maintenant les Ecritures pour lire juste un petit texte, afin de
trouver un
contexte. Saint Marc chapitre 11, verset 22, juste un verset des
Ecritures.
Et Jésus leur
répondit en disant : Ayez foi en Dieu.
J'aimerais
prendre cela comme notre texte ce soir : "Ayez foi en Dieu." Et le
sujet c'est : Une Foi éprouvée produit des Résultats.
Et
maintenant, vous diriez : "Frère Branham, pour une réunion, et ici où
plusieurs centaines de personnes sont réunies, ne pensez-vous pas que
vous
lisez un texte trop court pour la taille de l'auditoire de ce soir,
juste
quatre mots : Ayez foi en Dieu? Non, c'est suffisant. C'est assez. Si
seulement
nous croyons ce que nous avons lu et agissons sur base de cela, cela
suffit
pour convertir le monde entier. Cela suffit pour guérir chaque personne
malade
dans le monde entier ce soir. Ayez foi en Dieu. C'est un pardon pour
tous ceux
qui veulent être pardonnés. Mais si cela doit être un pardon, cela doit
être
reçu comme un pardon.
5
Il y a
quelque temps, ou plutôt quelques années, on m'a raconté que, dans les
premiers
jours de notre jeune Amérique, un homme avait commis un crime
militaire. Et il
était coupable et condamné à être fusillé par un peloton d'exécution au
terme
d'un certain nombre de jours. Mais un brave homme qui connaissait le
président
(Je pense qu'à l'époque c'était Lincoln) est allé voir monsieur Lincoln
et a
plaidé pour la vie de cette chère personne, en disant : "Monsieur
Lincoln,
cet homme a peut-être commis ce crime, mais vous avez le pouvoir de le
relâcher
ou de le mettre à mort." Et il a dit : "C'est un être mortel ; il a
été élevé dans un bon foyer. Pourquoi ne lui donnez-vous pas une chance
?"
Et
monsieur Lincoln, ce gentil et généreux gentleman chrétien, a dit : "Je
le
ferai." Et il a écrit sur un petit bout de papier : "Monsieur Untel
est gracié. Abraham Lincoln."
Et cet
homme a couru aussi vite que possible chez le prisonnier et il a dit :
"Monsieur, j'ai obtenu la grâce pour toi." Et il a déposé cela devant
lui.
"Oh,
a-t-il dit, ça, ce n'est pas une grâce. Ce n'est qu'un bout de papier."
Mais il
a dit : "C'est la grâce pour toi, le nom de monsieur Lincoln est
dessus,
et il est le président des Etats-Unis."
Il a
répondu : "Si c'était le papier authentique de monsieur Lincoln, cela
devrait avoir une bordure dorée, cela devrait porter un sceau et tout."
Il a dit
: "Mais, monsieur, ça, c'est la signature du président." Mais il a
refusé de recevoir cela, il pensait que cet homme ne faisait que lui
rendre la
vie plus misérable. Et le lendemain matin, il a été exécuté au lever du
soleil.
Et alors une déclaration fut signée par le président des Etats-Unis,
disant que
cet homme avait été gracié la veille, mais voici qu'il était exécuté!
Et alors?
Cela fut crié - examiné dans les cours fédérales de notre pays, et
voici la
décision qui fut prise : "La grâce n'est grâce que si elle est acceptée
comme grâce." Et c'est ce qu'est chaque Parole de Dieu ; c'est le salut
pour ceux qui reçoivent cela comme tel. Et c'est la guérison pour ceux
qui
reçoivent cela comme la guérison. C'est juste cinq petits mots, mais
qu'est-ce
que cela signifie? Avoir foi en Dieu. Ou plutôt quatre petites lettres
- mots…
6
Il y a
une petite histoire très extraordinaire qui m'a toujours frappé, celle
d'un
petit garçon que je connaissais à Louisville, au Kentucky. Un jour, il
était
monté au vieux grenier, à la recherche de quelques vieilles reliques.
Et là, il
découvrit dans une malle un petit timbre postal d'un demi-pouce carré
[1,27 cm²
- N.D.T.]. Cela avait jauni ; c'était un papier sans importance. Mais
le petit
ami s'est dit : "Tu sais, je pourrais obtenir avec cela cinq cents, de
quoi me procurer un cornet de crème glacée." Il a donc descendu la rue
jusque chez un collectionneur de timbres, et il a dit : "Monsieur,
combien
me proposez-vous pour ce timbre?"
Le
collectionneur a mis une loupe dessus, et il a dit : "Je t'offre un
dollar." Rapidement le marché fut conclu. Et le petit gars courut vite
au
stand de crème glacée pour se procurer toute la quantité de crème
glacée qu'il
pouvait tenir. Et deux semaines plus tard, le collect… le
collectionneur de
timbres vendit ce timbre à cinq cents dollars. Un peu plus tard, cela
se vendit
à cinq mille dollars. La dernière fois que j'ai entendu parler de ce
timbre, il
valait le quart d'un million de dollars. Ce n'était pas le papier, ce
n'était
pas la dimension ; c'est ce qui est sur le papier qui compte.
Il ne
s'agit pas de la grandeur du texte que j'ai lu ni du papier sur lequel
cela a
été écrit, il s'agit de ce que j'ai lu. C'est la Parole du Dieu
éternel. Les
cieux et la terre passeront, mais cette Parole demeurera pendant tous
les âges
et toute l'éternité. Elle ne peut jamais changer, c'est la Parole de
Dieu. Et
approchons-nous-en aussi respectueusement que possible.
7
Jésus a
dit : "Ayez foi en Dieu." L'Epître aux Hébreux, au chapitre 11, dit
que la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une
démonstration
de celles qu'on ne voit pas. Or, rappelez-vous, ce n'est pas la
conception
intellectuelle de quelque chose, c'est une ferme assurance. C'est
quelque chose
que nous possédons.
Venez
ici une minute, monsieur. Combien ont déjà entendu ce vieux dicton :
"Voir, c'est croire "? J'aimerais vous montrer combien c'est de la
folie. Il y a cinq sens qui contrôlent le corps humain : la vue, le
goût, le
toucher, l'odorat, l'ouïe. Nous savons que c'est vrai. Tout le monde
place une
grande confiance dans ce qu'il voit, mais ce n'est pas tout à fait
exact. Je
regarde un homme qui est debout devant moi ; il est plus grand que moi,
et il
est bien plus gros que moi. Il porte plutôt un complet sombre avec
comme de
petites - de petites fleurs à sa cravate. Combien croient que c'est la
vérité?
En effet, vous voyez cela. Mettez-vous derrière moi. Donnez-moi votre
main. A
présent, je ne vois pas cet homme, mais cependant je sais qu'il est là.
Voulez-vous discuter avec moi? Comment le sais-je? Il m'est impossible
de le
voir. Mais j'ai un autre sens, qui est le toucher. Je le touche
maintenant ; je
ne le vois pas. C'est le même homme, parce qu'il portait une
montre-bracelet
ronde sur son bras gauche quand il est venu ici. C'est donc le même
homme. Mon
sens du toucher déclare que c'est lui autant que ma vue le pouvait.
Alors voir,
ce n'est pas croire. Maintenant toucher, c'est croire. Eh bien, reculez
juste
un instant. Eh bien, je ne le touche pas maintenant; mais voir, c'est
croire.
Maintenant, toucher, c'est croire. Vous voyez la différence? Je vous
remercie,
monsieur.
8
Commencez…
Jouez un morceau, quelque chose de familier. Combien croient que la
musique
joue? Levez la main. Maintenant, baissez la main. Merci. Combien ont vu
cela?
Je pensais que voir, c'était croire. Cette fois-ci, je ne vois pas la
chose ;
je ne touche pas non plus la chose ; mais cependant, j'ai un sens de
l'ouïe.
C'est l'ouïe qui déclare la chose.
Maintenant,
cette chemise est blanche. Et tous ceux qui sont ici qui ne sont pas
daltoniens
savent que c'est blanc. La foi, c'est quoi? "Une ferme assurance des
choses qu'on espère, une démonstration de celles que vous ne voyez pas,
que
vous ne goûtez pas, que vous ne sentez pas, que vous ne touchez pas,
dont vous
ne sentez pas l'odeur, que vous n'entendez pas. C'est un autre sens,
qui est
appelé la foi. Les sens du corps disent qu'il y a deux sens. L'âme dit…
Je veux
dire cinq. L'âme dit qu'il y en a deux : la foi et l'incrédulité.
Maintenant,
si ce soir votre foi dit que vous serez guéri, et que vous en soyez
certain, et
si votre foi déclare cela exactement tel que votre vue dit que ça,
c'est blanc,
c'est terminé. Vous avez la chose. Voyez-vous ce que je veux dire?
"C'est
une démonstration des choses qu'on ne voit pas." Les gens qui ont la
foi
n'ont pas peur. On dit que les lâches meurent dix mille morts, tandis
qu'un
héros ne meurt jamais, celui qui a la foi et qui croit.
9
Eh bien,
si la foi est la ferme assurance des choses… C'est juste comme ceci.
Qu'en
serait-il si je me tenais là mourant de faim et que vous veniez vers
moi et
disiez : "Monsieur Branham, que puis-je faire pour vous sauver la
vie?"
"Si
j'ai un pain, ma vie sera sauvée."
Vous
diriez : "Très bien, Monsieur Branham, un pain coûte vingt-cinq
cents."
"Oui,
monsieur."
"Voici
vos vingt-cinq cents." Eh bien, les vingt-cinq cents, ce n'est pas le
pain
; c'est le prix d'achat du pain. Et dès que je reçois les vingt-cinq
cents dans
ma main, je peux être tout aussi heureux que ma vie soit sauvée que je
le serai
en mangeant le pain, car j'ai le prix d'achat du pain. Et lorsque vous
croyez
que Dieu a envoyé Jésus pour vous guérir, et que vous avez accepté
cela, vous
êtes tout aussi heureux avant de cesser de souffrir que vous ne l'êtes
après
que vous… Je veux dire que vous êtes tout aussi heureux pendant que
vous avez
mal et que vous souffrez que vous le serez après votre souffrance ;
c'est plus
que ça. Si j'avais les vingt-cinq cents, je ne pourrais pas dire que
j'ai le
pain. Mais je suis certain qu'aussitôt que je vais chez l'épicier, je
vais avoir
le pain. Eh bien, il se peut que j'aie à passer un long moment. Il se
peut que
j'aie à traverser des carrées d'épines et - et à escalader des portails
et - et
à gravir les montagnes et à descendre des vallées, mais je me réjouis
tout le
temps, en tenant mes vingt-cinq cents. J'aurai le pain puisque j'ai le
pouvoir
d'achat. Eh bien, c'est ce qu'est la foi. La foi, c'est quelque chose
tel que
vous pouvez montrer et démontrer que vous avez la chose. Ce n'est pas
de
l'imagination produite par un - un état mental ; c'est quelque chose
que vous
possédez. La foi, c'est une ferme assurance des choses qu'on espère,
une
démonstration de celles qu'on ne voit pas, qu'on n'écoute pas, qu'on ne
touche
pas, dont on ne sent pas l'odeur, qu'on n'entend pas.
10 Maintenant,
bien des fois… S'il y a quelqu'un qui devrait être équipé pour avoir la
foi,
c'est un étudiant de la Bible, quelqu'un qui a lu la Bible, qui a
enseigné la
Bible. Voilà la personne qui devrait avoir la foi. Mais, des fois,
c'est
vraiment le contraire. J'ai vu sur cette estrade des saints qui mènent
une
bonne vie, marchant devant Dieu, traverser l'estrade sans être guéris,
et une
prostituée vient après et elle est guérie. Dieu ne vous guérit pas sur
base des
mérites de votre salut ; Il vous guérit sur base des mérites de votre
foi. Vous
devez croire en Lui. En effet, des fois les chrétiens pensent que Dieu
leur
doit cela, que "Je suis un brave ; j'ai fait ceci et cela". Quand
vous avez de telles pensées, vous ne recevez rien de Dieu jusqu'à ce
que vous
débarrassiez votre esprit de cela. C'est vous qui devez à Dieu, ce
n'est pas
Dieu qui vous doit.
11 Et,
remarquez, citons maintenant quelques Ecritures, ou plutôt quelques
personnages
pour soutenir ces petites choses que nous avons déclarées. Une fois,
Israël
était en guerre contre les Philistins. Et l'armée des Philistins
s'était
rassemblée vers la montagne d'un côté, et Israël s'était rassemblé vers
la
montagne de l'autre côté. Une vallée les séparait. Et c'est comme par
exemple
l'ennemi, quand il pense avoir le dessus sur vous, il peut alors faire
parade.
Mais qu'il soit une fois acculé dans un coin…
Eh bien,
ils avaient parmi eux un homme gigantesque qui était presque comme un
géant
préhistorique. Et il s'appelait Goliath. Ses doigts mesuraient 14
pouces [35 cm
- N.D.T.]. Et son épée était comme une ensouple des tisserands,
peut-être
longue comme la moitié de ce hall. Et voyez quel type énorme et
gigantesque il
était. Je vais donc vous faire remarquer combien l'incrédulité peut
être
astucieuse. Voici de quelle manière il a parlé : "Hommes d'Israël,
pourquoi devrions-nous répandre le sang? Pourquoi des choses comme être
déchiquetés nous tous? Concluons une entente. Choisissez un homme et
envoyez-le
ici. S'il me tue, nous vous servirons. Si je le tue, vous nous
servirez."
Bien sûr, quand on a le dessus. Un géant énorme, vous savez, quelqu'un
qui a un
doctorat en lettres, un doctorat en droit. Oh! il s'était effectivement
bien
préparé et était prêt. Et il a lancé ce défi.
12 C'est
comme aujourd'hui, ils ont essayé d'apporter Christ aux nations par
l'instruction, par de meilleures communautés, par l'Union Chrétienne
des Jeunes
Gens [Y.M.C.A. en anglais - N.D.T.] et tout. Ces choses sont bonnes ;
elles ont
leur place. Mais elles ne remplaceront jamais le Saint-Esprit. Le
capitaine Al
Farrar, l'un des agents du FBI, responsable de la jeunesse, un soir à
Tacoma,
alors qu'il me filait depuis trois ou quatre semaines lorsque j'ai fait
cette
déclaration selon laquelle chaque centime prélevé dans mes campagnes
allait tout
droit à une cause juste... Et ils avaient un… un homme avait là un
petit
garçon. Et ils l'ont envoyé à la réunion et il avait une hanche… Les
médecins
avaient fait des radiographies ; il n'avait pas d'os iliaque. Et
lorsque le
petit garçon fut amené, étendu sur un lit, le Saint-Esprit lui dit qui
il
était, ce qui était arrivé, sa petite foi, et Il lui a demandé de se
lever de
son lit. Et le petit garçon obéit et sauta. Sa mère dit : "Il ne peut
pas,
il n'a pas d'os iliaque." Et il sauta juste des bras de sa mère et
courut
dans la rue en criant à tue-tête. Sa mère tomba dans le lit où le
garçon avait
été étendu. Puis on amena le garçon chez
le médecin pour faire une radiographie, le capitaine Al Farrar. Et le
médecin
dit : "Il a un os iliaque parfait."
13 Le
capitaine Al Farrar m'a amené au sous-sol, là où ils entraînent ces
jeunes
policiers au tir. Se tenant là, il me dit : "Frère Branham, je suis un
baptiste, mais j'aimerais connaître ce Saint-Esprit dont vous parlez."
J'ai dit : "Eh bien, capitaine, Il est le même pour les baptistes que
pour
n'importe qui."
Et il a
dit : "Frère Branham, pensez-vous qu'Il pourrait me donner le
Saint-Esprit?"
J'ai dit
: "Que celui qui veut vienne."
Il a dit
: "Je vais chercher un bel appartement quelque part, et là vous me
rencontrerez; et peut-être qu'Il nous donnera le Saint-Esprit. Je vais
chercher
le meilleur appartement de la ville, de Tacoma."
J'ai dit
: "Ce n'est pas nécessaire, capitaine."
Il a dit
: "Eh bien, où puis-je aller pour qu'Il vienne à ma rencontre?"
J'ai dit
: "Ici même."
Il a dit
: "Dans ce stand de tir?"
J'ai dit
: "Il est entré un jour dans le ventre d'un gros poisson pour une
personne, dans une fournaise ardente pour une personne, et dans une
fosse aux
lions pour une personne. Il viendra exactement ici à vous, capitaine."
Et
là, à genoux, il donna son cœur au Seigneur Jésus, il devint un homme
béni. Il
vit aujourd'hui en louant Dieu. Presque toute sa troupe a reçu le
Saint-Esprit
depuis que lui L'a reçu. Oh! il y a quelque chose de réel ; les hommes
soupirent après cela.
14 Et
ce
grand Goliath a dit : "Faisons comme cela." Or, s'il y avait un
homme, de toute l'armée d'Israël, qui pouvait faire cela, c'était bien
Saül. La
Bible dit qu'il dépassait de la tête tous les hommes de son armée. Il
était
plus proche de Goliath en taille que quiconque dans l'armée. Et puis,
en plus,
c'était un guerrier. Il savait combattre. Il savait manier la lance,
lever le
bouclier, donner une raclée. Il formait des hommes. Il était un évêque.
Il
savait ce qu'il faisait. Mais cependant, malgré toute son instruction
et toute
sa formation, il était un lâche. En effet, quoique croyant en Dieu, il
n'avait
cependant jamais vu Dieu en action : une expérience. C'est la raison
pour
laquelle vous ne pouvez pas avoir de grandes réunions sur la guérison
divine en
Amérique; c'est le manque d'expérience. Les gens ne savent pas qui est
Dieu ;
ils Le prennent juste pour un certain être historique. Il est le Dieu
d'aujourd'hui.
15 Ainsi,
un
jour, pendant que Goliath faisait sa grande vantardise, il y avait un
petit
homme recroquevillé, un homme apparemment rude, portant un petit
manteau de
peau de mouton. Et son papa lui avait donné des raisins pour faire des
tartes
aux raisins, et il l'avait envoyé vers l'armée pour rendre visite à ses
frères.
Il s'appelait David. Et, au moment où David arrivait au camp, Goliath
se
présenta et fit encore sa vantardise, disant : "Pourquoi l'un de vous
ne
se présente-t-il pas pour se battre avec moi?" Il le dit au mauvais
moment. Il se faisait qu'il se trouvait là un petit homme, apparemment
rude et
qui, peut-être, n'avait pas beaucoup d'instruction, mais qui
connaissait Dieu.
Il n'avait pas la formation que Saül avait, mais il connaissait un Dieu
dont
Saül ne connaissait rien. Il dit aux hommes d'Israël : "Voulez-vous me
dire que vous vous tiendrez là et laisserez cet incirconcis de
Philistin défier
l'armée du Dieu vivant? Je vais aller me battre avec lui." Oh! la la!
Une
toute petite créature recroquevillée, vilaine. La Bible dit qu'il était
rougeaud, un jeune homme d'environ dix-sept, dix-huit ans, ayant plutôt
peut-être des épaules voûtées à cause de durs labeurs. "Je vais aller
me
battre avec lui." Eh bien, Goliath pouvait d'un seul doigt l'entourer
par
la taille, mais David était courageux, car il savait qu'il était en
ordre.
16 Et
lorsqu'un homme sait qu'il est en ordre, rien ne peut l'ébranler. Comme
Moïse,
il ne regarde pas à gauche et à droite. Un véritable serviteur de Dieu
n'a pas
du tout à regarder à gauche et à droite. Il ne fait pas attention au
froncement
des sourcils de l'ennemi ou aux applaudissements agréables d'un homme.
Il se
réjouit de la communion avec l'Eternel Dieu qui l'a envoyé, s'il sait
où il se
tient. Peu importe que son ennemi aime cela ou que ses amis se moquent
de lui,
cela ne change rien du tout pour un véritable serviteur de Christ. Il a
un
travail à faire et il n'a pas à regarder pour voir. "Qu'en pensez-vous?
Ceci vous plaît-il?" Il regarde par là et se réjouit de la Présence du
Dieu vivant. C'est ça l'ennui aujourd'hui ; il nous faut voir si notre
dénomination croit la chose. Que Dieu ait pitié! Si jamais j'en arrive
à ce
point, je fermerai la Bible et quitterai le champ missionnaire. Il vous
faut
plaire à Dieu, vous avez une commission.
17 Par
ses
paroles, David a fait honte à ses frères. Ses frères ont dit : "Oh !
nous
connaissons ta malice ; tu essaies de faire quelque chose, tu essaies
de te
faire voir." Alors la nouvelle est parvenue à Saül. Saül a dit :
"Amenez ici ce petit gringalet." Il a dit : "Que veux-tu dire, mon
fils, en faisant une telle observation? Tu n'es qu'un enfant, et lui
est un
homme de guerre depuis sa jeunesse. Eh bien, tu n'as pas la moindre
chance."
David a
dit : "Seigneur, laisse-moi simplement aller." Voyez-vous, il savait
que Dieu avait promis de bénir Israël. Lorsque Dieu fait une promesse,
Il s'en
tiendra à Sa promesse. Dieu a promis de guérir Ses enfants, Il doit
s'en tenir
à cette promesse. Dieu a promis de nous envoyer le Saint-Esprit, Il
doit s'en
tenir à cette promesse. N'ayez pas peur. Peu importe ce que les autres
milieux
disent, ce que le voisin dit, qu'est-ce que Dieu a dit?
18 Et
Saül
croyait la chose d'un point de vue intellectuel, mais David avait une
expérience. Saül a dit : "Mais avant de pouvoir faire ceci, tu dois
recevoir une instruction universitaire. Tu vas - tu ferais mieux de
porter mes
titres ; je vais te donner mon diplôme." Alors il le revêtit de son
armure
et de son casque. Pouvez-vous vous représenter cela? Un homme qui
dépassait
toute son armée de la tête, mettant un casque sur ce tout petit gars
qui
n'avait même pas cette taille-ci? Cela a couvert sa tête, ses oreilles,
ses
épaules et tout, je pense. Et ses très larges épaules… A quoi
ressemblait David
alors qu'il se tenait là, dans cette tenue somptueuse comme cela, avec
ses
genoux pliés? Il a dit : "Débarrassez-moi de ce truc. Je n'en sais
rien."
Saül vit
que son gilet ecclésiastique n'allait pas à un homme de Dieu. "Je ne
sais
rien de votre doctorat et tout, a-t-il dit, mais laissez-moi aller avec
cette
expérience que j'ai." Amen.
Je me
sens très religieux, je suis honnête. Il se peut que vous pensiez que
je fais
le fou, mais si vous sentiez ce que je sens, vous agiriez peut-être de
même
aussi. Je me sens comme David lorsqu'il a dansé devant l'Arche de
l'Eternel, et
sa femme s'est moqué de lui. Il a dit : "Tu n'as pas aimé ça, regarde
ceci."
Dieu a
dit : "C'est un homme selon Mon cœur." Il savait de quoi il parlait.
19 Et
il a
dit : "Eh bien, tu ne peux pas te battre contre ce géant."
Il a dit
: "Débarrassez-moi simplement de tous ces diplômes et de ces… de tous
ces
documents ecclésiastiques et tout. Laissez-moi libre une fois." Il a
dit :
"Laissez-moi vous raconter quelque chose. Au fond là-bas, quand je
faisais
paître les brebis de mon père, un ours est venu un jour et en a attrapé
une. Et
j'ai pris ma fronde et je l'ai terrassé. Et j'ai pris l'agneau et je
l'ai
ramené. Puis, un lion est venu, en a donc attrapé une et s'est enfui.
Je l'ai
aussi terrassé. Et lorsque je suis allé vers lui, il s'est redressé
contre moi,
et je l'ai tué." Il a dit : "Le Dieu qui m'a délivré de la patte de
l'ours et de la griffe du lion, combien plus me délivrera-t-Il des
mains de ce
Philistin incirconcis qui défie l'armée du Dieu vivant!"
Voyez-vous,
il avait la foi parce qu'il avait une expérience. Les hommes et les
femmes qui
n'ont jamais connu Dieu, qui n'ont fait que lire ce qui Le concerne,
n'ont pas
une grande expérience ; ils ne savent quoi faire. Mais quand un homme a
déjà
rencontré Dieu et a eu une expérience, cela règle la question.
20 David
a
dit : "S'Il a fait cela pour sauver la vie d'un agneau, à combien plus
forte raison pour la vie de Son peuple." Et il a dit : "Comment
vas-tu t'y prendre?"
Il a dit
: "Je vais prendre cette petite fronde." Et il a ramassé cinq pierres,
il les a mises entre cinq doigts; la fronde, vous savez ce que c'est;
nous, les
garçons, nous en avons fait usage.
Et quand
il s'est avancé pour l'affronter, le vieux géant s'est moqué de lui, en
disant
: "Tiens! tu n'as même pas d'instruction. Tu n'utilises même pas une
bonne
grammaire. Comment vas-tu t'y prendre?" Mais qu'avait-il? Il avait cinq
pierres (J-é-s-u-s) enveloppées dans ses bras de la f-o-i. Quelque
chose devait
arriver. Il avait fait une expérience de la foi en Jésus. Dieu a dirigé
la pierre
avec précision, et le géant s'est écroulé. Et les autres ont pris
courage.
Il y a
quelques années, lorsque les églises, les églises du Plein Evangile
disaient :
"Les jours des miracles sont passés", mais quelqu'un s'est levé un
jour. Eh bien, nous avons tous pris courage et nous avons combattu
l'ennemi
jusqu'à le coincer au mur, nous l'avons découpé et mis en pièces. Il
est temps
que David agisse encore, un homme qui a la foi.
21 C'est
Abraham qui fut appelé de la cité d'Ur, du pays des Chaldéens, des
nations,
dans la vallée de Schinear. C'était juste un homme ordinaire, mais Dieu
lui
avait parlé à l'âge de soixante-quinze ans, et Sara sa femme en avait
soixante-cinq ; ils étaient mariés depuis qu'ils étaient - qu'elle
avait
environ dix-huit ans, mais ils étaient sans enfant. Et Dieu dit à
Abraham
qu'ils allaient avoir un bébé. Et Abraham crut Dieu et appela les
choses
contraires à ce que Dieu avait dit comme n'existant pas, croyant que
Dieu était
capable de tenir Sa promesse.
Pouvez-vous
vous imaginer un vieil homme de soixante-quinze ans et une vieille
femme de
soixante-cinq ans, pensez-y donc, aller chez le médecin pour dire :
"Docteur, nous voudrions avoir une chambre apprêtée à l'hôpital ; ma
femme
va avoir un bébé" ?
"Quoi?
Environ vingt-cinq ans après la ménopause?"
"Oui,
elle va avoir un bébé. Nous avons été en ville et nous nous sommes
procuré
toutes les couches que nous pouvions acheter avec toutes les épingles,
les
chaussons et tout. Nous allons avoir le bébé."
"Comment
le savez-vous, monsieur?"
"Dieu
l'a dit. Cela règle le problème. Dieu l'a dit."
"Eh
bien, a-t-il dit, le pauvre vieux type a quelque peu perdu la tête. Il
y a
quelque chose qui cloche en lui." Et chaque homme qui a pris position
pour
Dieu a été pris pour un névrosé ou comme ayant quelque chose qui
cloche. C'est
quelque chose qui ne va pas. Il a changé de position, du pécheur
mourant qu'il
était, il est devenu un saint qui vit éternellement, appelant ces
choses qui
n'étaient pas comme si elles étaient, puisque Dieu l'a dit.
22 Pourriez-vous
vous imaginer après les premiers vingt-huit jours ? Je peux voir
Abraham aller
dire : "Sara, ma chérie, comment te sens-tu?"
"Aucun
changement."
"Eh
bien, que Dieu soit béni ! Nous allons l'avoir de toutes les façons.
Certainement." Une année est passée.
"Comment
te sens-tu, Sara?"
"Aucun
changement."
"Gloire
à Dieu, nous allons l'avoir de toutes les façons."
Vingt-cinq
ans se sont écoulés. Il a cent ans et elle, quatre-vingt-dix, une
vieille
petite grand-mère avec un petit chole - châle. "Comment te sens-tu,
chérie?"
"Aucun
changement."
"Que
Dieu soit béni, nous allons l'avoir de toutes les façons." Pourquoi? Il
a
tenu bon et croyait que ce que Dieu avait dit, Dieu était capable de
tenir Sa
promesse. Et vous êtes supposés être les enfants d'Abraham. Si vous
n'êtes pas
guéri la première soirée lorsque vous avez accepté votre guérison, vous
dites :
"Eh bien, je pense qu'il n'y a rien dans cela." Peu importe ce qu'il
y a, Dieu l'a dit et cela règle le problème. Continuez simplement à
avancer.
Abraham croyait en Lui.
23 Moïse,
après quarante ans de théologie, la meilleure formation qui pouvait
être donnée
à un homme, eh bien, il n'avait pas besoin de revoir ses notions de
mathématiques ou de n'importe quelle autre étude qu'il voulait... avait
étudiées en Egypte, de sa médecine. Eh bien, les Egyptiens avaient la
médecine
et des choses que nous n'avons pas aujourd'hui. Ils ont construit des
pyramides
que nous ne sommes pas capables de construire. Ils teignaient les
habits avec
une teinture qui paraît encore naturelle. Ils embaumaient les corps,
faisaient
des momies ; nous ne sommes pas capables d'en faire aujourd'hui. Ils
étaient
plus intelligents que nous. Et Moïse était instruit dans toute la
sagesse des
Egyptiens, au point qu'il pouvait enseigner leurs maîtres.
Mais un
jour, il est allé dans le désert avec une foule de gens, plus de deux
millions
de personnes, il les a conduits pendant quarante ans. Et à leur sortie
du
désert, il n'y avait pas un seul homme faible parmi eux. Certains
d'entre vous,
médecins, n'aimeraient-ils pas connaître ce que docteur Moïse avait
comme
prescription? Combien de bébés naissaient chaque soir? Le docteur Moïse
avait
une prescription dans sa mallette. J'ai un petit secret. Voulez-vous
que je
vous lise cela? Le voici, pour vous tous qui êtes médecins : "Je suis
l'Eternel qui te guérit de toutes tes maladies." C'était là sa
prescription. Cela a marché pendant quarante ans pour plusieurs
millions de
gens sans qu'il y ait un seul homme faible parmi eux. En effet, un jour
derrière le désert, Dieu vint vers lui et il eut une expérience.
Lorsqu'il a
tué l'Egyptien, il a regardé d'un côté et de l'autre pour avoir tué un
homme;
il eut peur. Il n'avait jamais rencontré Dieu. Mais après avoir
rencontré Dieu,
il est descendu et a noyé toute l'armée égyptienne, et il n'a jamais
regardé
derrière. Il avait la foi. Il savait ce que cela signifiait.
Evidemment, il
croyait en Dieu et il avait tenu bon, puisqu'il avait vu Celui qui est
invisible. Après avoir trouvé et rencontré Dieu, après avoir fait une
expérience, il avait foi en cela.
24 C'était
Philippe qui, après avoir entendu Jésus dire à Simon son nom et le nom
de son
père, a dit à Nathanaël : "Viens et vois Qui nous avons trouvé."
C'est
après que Nathanaël est venu dans la Présence de Jésus que Jésus a dit
:
"Voici un Israélite dans lequel il n'y a point de fraude."
Il a dit
: "Comment m'as-Tu connu?"
Il a dit
: "Avant que Philippe t'appelât, lorsque tu étais sous l'arbre."
C'est
après cela qu'il dit : "Tu es le Roi d'Israël, Tu es le Fils de
Dieu", après qu'il eut fait une expérience.
C'était
après qu'une prostituée, qui se tenait au puits, eut vu un Juif et que
ce Juif
lui eut demandé à boire qu'Il a dit : "Demande-Moi à boire."
Et Il
vit où était son problème et lui dit qu'elle vivait avec son sixième
mari, ce
qui n'était pas correct. C'était après cela qu'Il dit à la femme son
péché, et
elle courut dans la ville et dit : "Venez voir un homme qui m'a dit ce
que
j'ai fait, ne serait-ce pas le Messie?" C'était après qu'elle eut vu
cela,
après que cela eut agi sur elle. Quelque chose de réel arriva.
C'était
après que la femme eut touché Son vêtement et qu'elle eut été guérie
que tout
l'auditoire voulut toucher Son vêtement. C'était après l'arrêt de la
perte de
sang qu'elle put donner le témoignage; après.
25 Et
dans
notre passage de l'Ecriture ce soir, Jésus dit, lorsqu'Il parla à cet
arbre :
"Que jamais personne ne mange de toi." Et le lendemain, l'arbre avait
séché. Et Pierre vit cela. Que faisait-Il? Il enseignait Ses disciples.
Et
Pierre dit : "Regarde, l'arbre que Tu as maudit hier a séché."
Il a dit
: "Ayez foi en Dieu." Après que Pierre eut vu un miracle qu'Il avait
accompli, Il dit : "Si tu dis à cette montagne : 'Ôte-toi de là,' et
que
tu ne doutes pas, mais crois que ce que tu as dit va s'accomplir, tu le
verras
s'accomplir." Il y a quelque chose d'authentique qui suit une
expérience.
26 Et,
frère,
ce soir, le monde cherche quelque chose d'authentique. Les gens de
cette nation
et du reste du monde regardent à l'Eglise pour avoir quelque chose
d'authentique. La science nous a apporté la mort. La société nous a
apporté la
corruption. Les organisations ecclésiastiques nous ont apporté la
confusion.
Les gens veulent quelque chose de réel. Lorsqu'ils voient cela être
manifesté,
ils sont disposés. Dieu a cela. Nous parlons d'un Dieu, où est-Il?
27 Il
y a
quelque temps… Cela m'amène à raconter une expérience. Comme vous le
savez,
j'aime faire la chasse. Je n'y vais pas tellement pour abattre du
gibier ; j'y
vais juste pour être seul avec Dieu. Et j'avais l'habitude de faire la
chasse
ici près de l'Etat de la Nouvelle-Angleterre, par ici près de la
rivière
Androscoggin, aux environs du lac Umbagog, Moosehead, lorsque je
n'étais qu'un
jeune garçon, aux environs des monts White. Et je me souviens du
compagnon de
chasse que j'avais là. Il était un des meilleurs chasseurs avec lequel
j'ai
chassé, un petit yankee typique, un très brave homme. On ne pouvait
jamais
l'égarer dans les bois, on n'avait pas à s'inquiéter à son sujet, on le
laissait aller. Et il s'y connaissait. Mais il était l'un des hommes
les plus
méchants que j'aie jamais vus. Oh ! il était cruel. Il avait l'habitude
de
tirer sur les petits faons juste pour m'indisposer.
Eh bien,
si la loi dit que vous pouvez tirer sur un faon, c'est en ordre. Eh
bien, ce
n'est pas le problème de la taille de la biche, mais il ne sert à rien
d'en
tuer dix ou quinze pour se montrer méchant. Abraham tua un veau et Dieu
le
mangea. Ainsi, qu'il s'agisse du faon, cela ne change rien ; le
problème, c'est
être méchant et vouloir se montrer. Et il en est ainsi de beaucoup de
gens
aujourd'hui. Ils aiment simplement faire le malin alors qu'ils en
savent mieux.
Ils vous traitent de saint exalté, de fanatique ou l'une ou l'autre
chose comme
cela, lorsqu'ils veulent faire simplement le malin. Ils ne se rendent
pas
compte que ce n'est pas vous qu'ils blessent ; ils blessent Dieu.
"Avez-vous assisté à ce réveil? Honte à vous." Heureux sont vos yeux.
28 Mais
cet
homme, il tirait sur ces petits cerfs juste pour m'indisposer. Et je
disais :
"Pourquoi fais-tu ça?"
"Oh
! disait-il, prédicateur, tu n'es qu'un peureux. C'est ça votre
problème, vous
les prédicateurs ; vous n'êtes que des peureux." Il disait : "J'aime
faire la chasse avec toi, Billy, mais tu es trop bon. Tu ne devrais pas
être
ainsi ; tu devrais être un homme."
Je
disais : "Burt, on ne juge pas un homme d'après sa brutalité ; on juge
un
homme d'après son caractère." J'ai vu des hommes mesurant six pieds
[1,82
m - N.D.T.], pesant deux cent vingt livres [environ 100 kg - N.D.T.],
tout
musclés, et qui n'avaient pas un gramme d'homme en eux. C'est vrai. On
juge un
homme d'après son caractère. Je veux dire celui qui arracherait un bébé
des
mains d'une femme afin de la violer, on n'appelle pas ça un homme. Le
principe…
Christ n'était pas très grand et Il n'avait aucune beauté pour attirer
nos
regards. Il n'a jamais eu d'égal. On juge un homme par son caractère,
d'après
ce qu'il est en lui.
Et alors
il a dit : "Oh ! ressaisis-toi!"
29 Et
l'autre
année, lorsque je suis monté là, il s'était fait un petit sifflet. Et
il
pouvait faire entendre avec ce petit sifflet exactement le cri du petit
faon.
J'ai dit : "Tu ne vas certainement pas utiliser ça."
"Oh
! a-t-il dit, te voilà. Tu es un peureux, mon garçon." Nous sommes
allés
faire la chasse ce jour-là et il a commencé à neiger un peu. C'est
comme vous,
frères, qui avez levé la main l'autre soir, que vous faisiez la chasse
à la
biche en suivant juste les traces dans la neige, une neige d'environ
six pouces
[environ 15 cm - N.D.T.]. Et nous sommes partis pour toute la journée ;
les
biches étaient rares dans la contrée, de sorte que nous ne trouvions
même pas
une trace. Lorsque c'est la saison de la chasse, les biches se cachent.
Et
c'était tard pendant cette saison, presque à la fin. Et je suis arrivé
tard
pour voir si je pouvais trouver un gros mâle errant quelque part ou
entrer dans
les bois. Et nous avons fait la chasse partout jusque à midi sans voir
une
seule trace. Alors nous sommes arrivés dans une petite percée presque
aussi
grande que cet auditoire, et j'ai vu l'homme se baisser rapidement. Et
j'ai
pensé qu'il rentrait sa main dans son manteau pour prendre son
déjeuner.
Généralement, c'est ce que nous faisions. Nous apportions notre
déjeuner ; à
midi, nous mangions, puis nous nous séparions et retournions faire la
chasse
vers le camp le soir, allant dans des directions différentes, à travers
toutes
les par-… d'autres parties et ainsi de suite, peut-être pour effrayer
les
biches et les diriger vers l'un de nous.
30 Et
lorsqu'il s'est assis, je me suis dit qu'il prenait son déjeuner, mais
il
faisait sortir le petit sifflet de sa poche. Je me suis dit : "Il ne va
certainement pas faire siffler cela." Mais il le porta à sa bouche et
laissa échapper un sifflement, un bruit pareil au cri d'un petit bébé
qui
pleure. Et juste dans la percée, une énorme et belle biche se dressa;
oh! elle
était si belle, avec de très longues oreilles, des veines sur le visage
et de
grands yeux noirs. Elle était gracieuse à voir. Eh bien, une biche,
c'est la
femelle du cerf. Elle se dressa; elle s'était cachée derrière un
buisson. Et
Burt regarda en arrière vers moi d'un air embarrassé. Je me suis dit :
"Burt, tu ne vas certainement pas faire cela." Et il fit de nouveau
retentir cela. Elle s'avança carrément en plein dans la percée.
Eh bien,
vous frères, vous savez que c'est inhabituel pour une biche de se
montrer comme
cela dans une percée au milieu de la journée, pendant la saison de la
chasse,
avec la neige sur le sol. Elle s'est carrément avancée. Qu'était-ce?
Elle était
une mère ; elle avait quelque chose d'authentique. Un bébé pleurait, et
elle
était de nature une mère. Elle s'est avancée dans la percée.
31 Je
le vis
tirer le levier de son fusil, de ce modèle 30-06, et il y introduisit
cette
balle à pointe ronde de 180 grains. Et il était un tireur d'élite.
Cette
lunette s'est abaissée, les fils croisés de la lunette pointaient le
cœur loyal
de l'animal. Je me suis dit : "Ô Dieu, il va carrément faire sauter son
précieux cœur en elle", il n'était qu'à moins de vingt yards [environ
20 m
- N.D.T.]. Quand le levier descendit, la biche se retourna. Elle savait
que le
chasseur était là. Mais son bébé était en détresse. Elle ne faisait pas
semblant ; elle était une vraie mère. Elle avait quelque chose de réel.
Elle
n'était pas une hypocrite ; elle était authentique. Elle s'est avancée
encore.
Et j'ai vu Burt pendant qu'il pointait son fusil pour faire sauter son
cœur. Je
me suis retourné ; j'ai dit : "Je ne peux pas regarder ça. Comment
peut-il
faire sauter le cœur de cette précieuse mère à la recherche de son
bébé?
Comment peut-il faire sauter son cœur?" Je me suis dit : "Ô Dieu, ne
le laisse pas faire cela."
Je me
suis retourné, tendant l'oreille pour entendre à tout moment la
détonation de
ce fusil; mais le coup ne partait pas. Je me retournais pour regarder
et le
canon du fusil allait comme ceci. Je l'ai regardé, il jeta le fusil par
terre ;
il me saisit par les jambes du pantalon et il dit : "Billy, j'en ai
marre.";
Il a dit : "Conduis-moi à ce Jésus qui peut produire l'amour."
Qu'était-ce? Il avait vu la manifestation du véritable amour. Il avait
vu
quelque chose de réel. Et là, sur cette berge enneigée, je l'ai conduit
au
Seigneur Jésus, parce qu'il avait vu quelque chose de réel. Cette mère,
elle ne
faisait pas semblant comme un membre d'église ; elle était authentique.
32 Mon
ami,
c'est ce que le monde veut voir aujourd'hui en vous et en moi. Ils ont
besoin
de quelque chose de réel. Comment pourriez-vous l'avoir sans que vous
naissiez
de l'Esprit de Dieu et n'en ayez l'expérience? Comment pouvez-vous
avoir la
foi, s'il n'y a pas en vous quelque chose pour vous donner la foi?
L'authentique… Voulez-vous avoir ce genre d'amour de Dieu dans votre
cœur comme
cette mère biche en avait pour son bébé, pour manifester ce genre
d'amour sans
égoïsme, ni cupidité, ni quoi que ce soit, au point que lorsque vous
descendez
la rue, les voisins diront : "Si jamais il y a une femme sainte et
pieuse
ou un homme saint et pieux, le voilà"? C'est ce que les gens veulent.
Il
vaut mieux me vivre un sermon que m'en prêcher un. Inclinons la tête
juste un
instant.
33 Ô
Dieu,
alors que je pense à nouveau aux expériences, j'ai vu des hommes très
brutaux,
impies, indifférents, devenir des chrétiens doux et humbles en un
instant,
parce qu'ils avaient vu quelque chose de réel. Ô Dieu, accorde ce soir
que
chaque homme et chaque femme, chaque garçon et chaque fille qui est ici
et qui
n'a pas encore eu une vraie expérience pour pouvoir avoir une foi
réelle, Te
reçoive ce soir comme son Sauveur personnel et reçoive le Saint-Esprit
qui
donne la foi. "Nous qui sommes morts en Christ, dit l'Ecriture, nous
sommes devenus la postérité d'Abraham et nous sommes héritiers selon la
promesse." Et Christ était la Semence d'Abraham, et le Saint-Esprit
nous a
apporté… Etant morts avec Lui, Il nous fait entrer en communion et, par
le
Saint-Esprit, Il nous donne la foi d'Abraham. Ô Dieu, ce soir, accorde
que nous
ayons cette foi et cet amour, cette chose qui fait que Christ
représente
beaucoup pour nous, au point que cela est plus que l'adhésion à une
église,
plus que se cacher derrière un voile religieux, plus que tout, comme
l'a dit
l'aveugle Fanny Crosby : "Plus que la vie pour moi." Accorde, ô
Seigneur, que Ton Saint-Esprit parle aux cœurs en cet instant.
34 Pendant
que nous avons la tête inclinée (et votre tête est inclinée vers la
poussière
d'où Dieu vous a tiré, et un jour vous retournerez à cette poussière,
vers où
votre tête est maintenant inclinée), aimeriez-vous avoir, mon ami
pécheur,
rétrograde, ou membre d'église froid et indifférent (Tout ça, c'est le
péché),
aimeriez-vous avoir l'amour de Dieu dans votre cœur, aussi riche que
l'amour
maternel qui était dans le cœur de cette biche? Voudriez-vous avoir une
expérience comme celle-là, qui vous permettra de tenir lorsque votre
cœur
battra pour la dernière fois dans votre corps et, toujours avec des
bras pleins
d'amour vous regarderez de l'autre côté du Jourdain, attendant que les
anges
viennent emporter votre âme à la Maison? Pensez-y juste un instant ; il
s'agit
de votre âme. Dieu est ici, Celui-là qui va vous donner ce genre
d'amour.
Si vous
voulez avoir cela, levez simplement les mains doucement vers Lui
pendant que
j'offre une prière pour vous partout dans le bâtiment. Que Dieu vous
bénisse
vous, vous, vous et vous. En haut au balcon, à ma droite.
35 Mesdames,
vous savez combien vous aimez vos bébés, n'est-ce pas? La Bible dit :
"Une
mère oublierait-elle son petit bébé qu'elle allaite? Oui, il se peut
qu'elle
l'oublie, mais Moi, Je ne pourrais jamais t'oublier. Ton nom est gravé
dans la
paume de Ma main." Vous savez combien vous aimez votre bébé, n'est-ce
pas?
Dieu vous aime plus que ça. Pourquoi franchiriez-vous la ligne de
démarcation
entre la miséricorde et le jugement, alors qu'Il vous aime comme cela?
Oh, quel
amour le Père avait pour la race déchue d'Adam, en offrant Son Fils
unique pour
qu'Il souffre et nous rachète par Sa grâce! Considérez quel amour Il
nous a
manifesté. Ne pouvez-vous pas manifester un peu d'amour pour Lui?
Voulez-vous
lever la main avec autant d'amour et dire : "Ô Dieu, me voici. Je sais
que
mon cœur n'est pas en ordre avec Toi. Je confesse que je suis un
chrétien, mais
je sais au fond de mon cœur que quelque chose ne va pas. Je n'ai qu'une
confession, je n'ai pas la foi. Je veux que Tu sois miséricordieux
envers moi,
ô Dieu."
36 Gardez
la
tête inclinée pendant que… Au balcon, à ma gauche, voulez-vous lever la
main et
dire : "Ô Dieu, sois miséricordieux!" Que Dieu vous bénisse, monsieur.
Que Dieu vous bénisse, madame, vous, vous, vous, partout. Au balcon
vers
l'arrière, voulez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse. Vous
jeunes gens
là-haut, qui êtes au tournant de votre vie, les jeunes dames ici, alors
que
vous êtes juste au moment le plus dangereux. Demain soir, j'aimerais
parler de
cela. Vous êtes au carrefour, ma chérie. J'ai aussi deux jeunes filles
chez
moi. Que Dieu soit miséricordieux, mon enfant. Acceptez Jésus comme
votre
Sauveur ce soir, avant que quelque chose n'arrive. Votre précieuse âme
pour
laquelle Jésus est mort, ne voulez-vous pas Le recevoir? Levez
simplement la
main. Jeunes garçons, levez la main. Que Dieu vous bénisse. Quelqu'un
d'autre,
où que ce soit dans le bâtiment, dites : "Frère Branham, souvenez-vous
de
moi." Que Dieu vous bénisse ici, monsieur. Et que Dieu vous bénisse par
ici. Derrière, au fond, que le Seigneur vous bénisse. Vous qui vous
tenez sur
les côtés, voudriez-vous simplement… Quelqu'un qui a besoin de Dieu,
qu'il lève
simplement la main et dise : "Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi.
Je
veux accepter Jésus ici maintenant." Que Dieu te bénisse, mon petit.
Que
Dieu vous bénisse, monsieur. Très bien, alors que nous gardons la tête
inclinée.
37 Seigneur,
Tu as dit dans Ta Parole : "Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne
l'attire premièrement." Il y a donc plusieurs mains qui se sont levées
ici
ce soir, des mains des hommes, des femmes, des enfants, des
adolescents. Cela
montre donc que le Père attire Son peuple. "Et tous ceux qui viendront
à Moi,
Je leur donnerai la Vie Eternelle, as-Tu dit. Et ils ne périront
point."
Oh ! combien nous aimons citer Ta Parole! Tu as dit : "Celui qui entend
Ma
Parole et croit en Celui qui M'a envoyé a la Vie Eternelle et il ne
viendra
point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie." Alors, quel
genre de personnage pourrait être cet homme? Si beaucoup ont fait cette
profession mais n'ont pas les fruits de l'Esprit pour accompagner cela,
alors
ils sont séduits. "Si vous aimez le monde ou les choses du monde,
l'amour
de Dieu n'est point en vous."
Seigneur,
chaque homme connaît sa position, chaque personne ce soir, et ils ont
levé la
main, certains pour montrer qu'ils étaient dans l'erreur et qu'ils
veulent
avoir le vrai amour dans leur cœur. Maintenant, ô Saint-Esprit, qu'ils
viennent
ici ou qu'ils restent assis là, il faut Ton Esprit pour faire cela. Et
si Tu
t'approches suffisamment d'eux et si leur cœur est encore assez doux
pour que
Tu puisses les amener à lever leur main, à combien plus forte raison
pourras-Tu
y établir Ta demeure? Accorde-le, Seigneur. Je Te les confie maintenant
comme
des dons d'amour et de petits souvenirs du message de ce soir. Au Nom
de
Jésus-Christ, qu'ils reçoivent Ton Esprit et vivent plus vaillamment
avec plus
de véritable amour à manifester que la pauvre mère biche dont j'ai
parlé il y a
quelques instants. Je demande ceci au Nom de Jésus. Amen.
38 Oh
! la
Parole ne fait-Elle rien en vous? Combien aiment la Parole? Evidemment.
"L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort
de
la bouche de Dieu." Je me demande si vous connaissez cet accord, vous
pouvez nous le donner maintenant. Je ne suis pas un chanteur, mais
j'aime
chanter, après que la Parole est sortie. Vous avez été si révérencieux.
J'aime
L'adorer avec de vieux cantiques. N'aimez-vous pas cette vraie douceur?
Connaissez-vous ce cantique : Je L'aime, je L'aime, parce qu'Il m'aima
le
premier? Avez-vous déjà entendu cela. Faites entendre vos… voir vos
mains. Très
bien, donnez-nous l'accord. Si quelqu'un pouvait m'aider ici, je vous
en prie.
Très bien. Très bien, donnez-nous l'accord.
Je
L'aime (Levons nos mains pendant que nous chantons cela), je L'aime
Parce
qu'Il m'aima le premier
Et
acquit mon salut
Sur le
bois du Calvaire
Oh !
cela ne vous fait-il pas quelque chose? Chantons-le encore ; allons-y,
tout le
monde, tout en étant juste à votre place maintenant.
Je…
(Levez simplement vos yeux vers Lui et croyez en Lui) je L'aime
Parce
qu'Il m'aima le premier
Et
acquit mon salut
Sur le
bois du Calvaire
39 Ô
Dieu,
oh, du fond de mon… [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Ô Seigneur, et
du fond
de ces cœurs qui ont levé ces mains, nous T'aimons, ô Jésus, parce que
Tu nous
as aimés le premier, lorsque nous étions désagréables. Tu es venu, Tu
nous as rachetés
par Ton Sang, et Tu nous as lavés de nos péchés, et Tu nous as rendus
blancs
dans le Sang de Ton précieux corps, et Tu nous as accordé le privilège,
par le
Saint-Esprit, d'être scellés dans le Royaume de Dieu et d'être appelés
fils et
filles de Dieu. Ce que nous serons à la fin n'est pas encore manifesté,
mais
nous savons que nous aurons un corps semblable à Son propre corps
glorieux, car
nous Le verrons tel qu'Il est.
Ô Dieu,
mon cœur bondit en pensant qu'un jour, quand Tu reviendras, ceux qui
ont la Vie
Eternelle se lèveront de la poussière de la terre… On ne peut
simplement pas
cacher la vie. Ô Dieu, je pense qu'on peut beau placer une petite
semence sous
une pierre, mettre la pierre dessus ; mais aussi sûr que le soleil
chaud
commence à baigner la terre, ce petit germe de vie se frayera une voie
autour
de cette pierre et pointera sa tête en haut. On ne peut pas cacher la
vie. Il
se peut que nous soyons enterrés sous des pierres, dans des marécages,
au fond
de la mer, où que ce soit, mais quand le Fils de Dieu viendra, une
brise chaude
de l'éternité commencera à baigner la terre, Ses enfants lavés dans Son
Sang
lèveront leurs têtes et loueront Dieu. Nous Te remercions pour cela,
car cela
vit en nous maintenant.
40 Et
nous Te
remercions, ô Dieu saint, nous T'aimons et nous Te prions de venir au
milieu de
nous maintenant, de façon audible et visible. Non pas qu'il nous faille
avoir
cela, Seigneur, mais c'est pour encourager ceux qui viennent de Te
recevoir
comme leur Sauveur et ceux qui sont malades à Te croire. Beaucoup
d'entre eux
ici ce soir croient sans avoir rien vu. Philippe, comme je l'ai dit,
après
qu'il T'a entendu dire à Pierre son nom, a cru en Toi. Ensuite,
Nathanaël,
après que Tu lui as dit qui il était, d'où il venait et où il se
trouvait
lorsque l'apôtre l'a trouvé, il crut après avoir entendu cela. La
femme, après
qu'on lui eut dit son problème, crut alors. Mais, ô Seigneur Dieu, nous
croyons
avant d'avoir vu quoi que ce soit de cela. Tu as dit : "Combien plus
grande sera leur récompense."
Mais, ô
Seigneur, selon Ta Parole, Tu es lié par le devoir de Te manifester
comme Tu
l'as fait dans les premiers jours. Voici la race mourante des Gentils.
L'Eglise
a été choisie, prise ; des milliers à travers les âges dorment dans la
poussière. Ceci est le temps de la fin. Viens, ô Seigneur Jésus, et que
les
gens sachent que ce Dieu que nous adorons n'est pas un Dieu historique,
mais
qu'Il est plutôt au temps présent, le même hier, aujourd'hui et
éternellement.
Toute la gloire Te sera rendue. Amen.
41 Au
mieux
de ma connaissance, cela fait environ trois soirées ou c'est cela pour
nous. Je
pense que celle-ci est la troisième soirée, jeudi, vendredi, ou plutôt
vendredi, samedi et dimanche. La première soirée, je pense que nous
avons
distribué des cartes de prière et nous avons simplement appelé les
gens,
suivant leurs numéros, à monter à l'estrade un à un. Hier soir, il
semblait y
avoir une si grande onction que nous n'avons même pas pris les cartes
de
prière, le Saint-Esprit a parcouru le bâtiment, Il a appelé les gens
d'une
façon ou d'une autre.
Et ce
soir, étant donné que nous avons très peu de temps, il est vingt et une
heures
moins le quart, nous pourrons sortir à vingt et une heures quart. Vous
voyez,
tout ce que je pourrais dire, c'est très bien. Mais tous les
prédicateurs du
monde peuvent prêcher, nous pourrions les écouter ; mais une seule
Parole
venant de Jésus signifierait plus que ce que nous tous pouvons dire.
Vous
voyez, les gens peuvent dire : "Oh ! oui, c'était autrefois dans un
autre
jour." Mais Il est ici aujourd'hui exactement comme Il était à
l'époque.
42 Combien
dans ce bâtiment, ce soir, n'ont jamais assisté à l'une de nos réunions
auparavant? Faites voir votre main. Pas beaucoup, c'est bien ça. Je
suis
heureux de voir que le groupe maintient sa position. Je n'aime pas voir
les
gens venir et remplir le lieu pour une soirée, puis s'en aller en
disant :
"Oh ! ça suffit pour moi." Cela montre qu'il y a quelque chose qui
cloche. Vous voyez? Oh ! si j'ai mangé un biscuit salé avant hier, cela
pourrait être très bien, mais il m'en faut de temps en temps. "L'homme
ne
vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche
de
Dieu."
A vous
qui êtes ici pour la première fois, je ne prétends pas être un
guérisseur, mon
cher ami. Personne d'autre n'est guérisseur. C'est Dieu le Guérisseur.
Je crois
que la guérison divine, c'est quelque chose que Dieu a accompli pour
nous par
Son Fils Jésus, lorsque ce dernier a été offert en sacrifice au
Calvaire.
43 Ceci
me
vient à peine à l'esprit, je dois le dire. Il y a quelque temps,
j'étais dans
un studio, là où Charles Fuller et Stewart Hamblen et bien d'autres
sont passés
pour se faire photographier. Il s'est fait que j'ai été appelé par… au
même
studio. Et ainsi, le jeune homme qui était là sortait fraîchement de la
- d'une
école fondamentaliste et il avait assurément de l'instruction. Et il
dit à mon
manager, il dit : "J'aimerais que vous laissiez monsieur Branham
ici." J'ai jeté un coup d'œil; en effet, lorsque je vais aux déjeuners,
les
gens utilisent ces grands mots. Je ne comprends pas de quoi ils
parlent. Je
m'assieds à côté du manager et, si je ne comprends pas de quoi ils
parlent, je
le cogne avec mon genou et il prend alors la parole. Ainsi, il a dit :
"J'aimerais que vous laissiez monsieur Branham ici." Quelque chose en
moi me dit qu'il allait me faire passer par un interrogatoire. Alors,
monsieur
Baxter a dit à la fin : "D'accord, mais vous devez l'amener là-bas dans
trente minutes."
Il a dit
: "J'aimerais prendre quelques poses de profil." Je savais que ce
n'était pas exactement ça. Aussi, dès que le manager est parti, il a
dit :
"Monsieur Branham, j'aimerais vous dire qu'en tant qu'homme, je vous
respecte. Mais votre théologie est fausse."
J'ai dit
: "Qu'a-t-elle de faux, monsieur?"
Il a dit
: "Eh bien, premièrement, a-t-il dit, enseignez-vous la guérison divine
par l'expiation?"
J'ai dit
: "Chaque bénédiction rédemptrice vient de l'expiation."
"Eh
bien, a-t-il dit, Monsieur Branham, si la guérison divine faisait
partie de
l'expiation, la souffrance n'existerait plus."
J'ai dit
: "Le salut de l'âme fait-elle partie de l'expiation, monsieur?"
Il a dit
: "Oui."
J'ai dit
: "La tentation existe-t-elle?"
"Bien
sûr."
J'ai dit
: "Alors, la souffrance existe."
44 Il
a
commencé à utiliser de très grands mots ; j'ai dit : "J'étais parmi les
pentecôtistes pendant longtemps, mais je n'avais jamais reçu le don
d'interprétation. Parlez-moi le langage de Roi Jacques." Vous voyez?
J'ai
dit : "Je ne sais pas de quoi vous parlez." J'ai dit : "Vous me
parlez dans une autre langue, monsieur. Je ne suis qu'un montagnard du
sud des
Etats-Unis. Mais je connais réellement le Seigneur Jésus. Il se peut
que je ne
connaisse pas très bien le Livre, mais j'en connais l'Auteur." Et j'ai
dit
: "Parlez-moi simplement en des termes simples."
Il a dit
: "Appliquez-vous la guérison divine à l'expiation dont Esaïe a parlé
autrefois?"
J'ai dit
: "Oui, monsieur, c'est exactement ça."
Il a dit
: "Je crois que vous êtes un homme consciencieux, Monsieur Branham."
Il a dit : "Si je vous démontre par la Bible que cela était déjà aboli,
serez-vous assez homme et assez gentleman pour accepter cela?"
J'ai dit
: "Certainement, je le ferai certainement."
Il a dit
: "Matthieu, je pense, chapitre 8 ; les gens Lui ont amené des malades
et
des affligés et Il les a guéris, afin que soit accompli ce dont avait
parlé le
prophète Esaïe, en disant : 'Il a pris nos infirmités et Il s'est
chargé de nos
maladies.'"
J'ai dit
: "Alors, vous voulez dire que l'expiation dont Il parlait dans Esaïe a
été accomplie à ce moment-là?"
Il a dit
: "Certainement."
J'ai dit
: "Alors, qui a guéri l'homme qui était à la porte ainsi que les
autres?" J'ai dit : "Monsieur, c'était un an et six mois avant que
l'expiation ne fût faite. Alors l'expiation avait plus de puissance
avant
qu'elle ne soit effective qu'elle n'en a eu après qu'elle soit devenue
effective."
45 Alors
il
s'est mis de nouveau à utiliser ses grands mots. J'ai dit : "Un
instant." J'ai pris cette Ecriture que je viens d'utiliser : "Tout ce
que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu et vous le
verrez
s'accomplir." J'ai dit : "Cela inclut-il la guérison divine ou quoi
que ce soit?"
Il a dit
: "Eh bien, quoi que ce soit…" J'ai dit… Il a dit : "Ça ne
concernait pas la guérison divine." J'ai dit : "Mais Jésus a dit :
'Tout.' Vous, vous avez dit : 'A l'exception de ceci', mais Jésus a dit
:
'Tout.' Maintenant, qui a raison, vous ou Lui? Il a dit : 'Que toute
parole
d'homme soit mensonge et la Mienne la vérité.' Qui a raison?" J'ai dit
:
"Voulez-vous reconnaître, monsieur, que c'était dans la Parole?" Il
s'est étranglé lui-même là. Il a dit : "C'était dans la Parole, mais
pas
dans l'expiation." Oh ! oh! Il avait donc dit quelque chose qu'il ne
fallait
pas. Vous connaissez le vieux dicton qui dit : "Donnez à la vache
suffisamment de corde et elle s'étranglera elle-même." C'est ce qu'elle
fera. C'est là un proverbe du Texas, mais c'est la vérité. J'ai dit :
"Tenez-vous-en à cela."
46 J'ai
dit :
"Il était une fois un roi, qui était un homme juste et honnête ; il
tenait
sa parole. Il était un homme honnête. Il avait établi les lois dans son
royaume." Et j'ai dit : "Un jour, un esclave avait commis un crime.
On l'a traîné devant la justice du roi et le roi a prononcé sa peine.
Il n'y
avait pas de pardon pour ce cas. L'homme devait mourir. Alors, il a dit
:
'Monsieur, nous n'avons pas d'expiation pour ce péché. Tu dois mourir.
Je dois
te faire décapiter sur ce billot d'exécution.' Et l'homme s'est mis à
trembler.
Le roi a dit : 'Attends un instant, ressaisis-toi.' Il a dit : 'Que
puis-je
faire pour toi avant de te décapiter, ou plutôt avant que je n'ordonne
cela?'
Il a dit : 'Donnez-moi un verre d'eau.' Mais il n'arrivait pas à le
tenir. On
allait le décapiter; il n'arrivait simplement pas à tenir le verre. Et
le roi a
dit : 'Un instant, ressaisis-toi. Je ne te décapiterai pas avant que tu
ne
boives cette eau.' L'esclave jeta cela à terre."
J'ai dit
: "C'est un homme juste ; il tient sa parole ; sa justice dit : 'Cet
homme
doit mourir, mais il ne peut pas tenir sa - sa parole.'"
"Oh
! a-t-il dit, c'était là une gaffe de la part du roi."
J'ai dit
: "Alors Dieu a fait une gaffe en mettant cela dans Sa Parole sans
permettre cela dans l'expiation. Allez-y, frère." J'ai dit : "Votre
argument
est moins consistant qu'une soupe faite avec l'ombre d'un poulet mort
de faim.
Vous savez mieux que ça." Certainement, c'était ça. Dieu a mis toutes
les
bénédictions rédemptrices dans l'expiation lorsque Jésus est mort. "Il
a
été blessé pour nos transgressions, brisé pour nos iniquités; le
châtiment qui
nous donne la paix est tombé sur Lui, et c'est par Ses meurtrissures
que nous
sommes guéris." Il vous appartient de regarder pour vivre. Il s'agit de
vous, je n'y puis rien, moi.
47 Un
prédicateur, s'il vient ici prêcher la guérison divine par l'imposition
des
mains, il devra vous prêcher cela avec la Parole. L'imposition de ses
mains ne
vaudra pas plus que le baptême ou quoi que ce soit d'autre. Il vous
faut avoir
la foi. Si vous n'avez pas la foi, vous descendrez un pécheur sec et
remonterez
un pécheur mouillé. Vous êtes toujours un pécheur si votre cœur n'a pas
été
changé. Le baptême ne veut rien dire, ce n'est qu'une expression
extérieure de
l'œuvre intérieure de la grâce qui a été accomplie. Et peu importe le
nombre de
fois que les prédicateurs vous imposent les mains, peu importe combien
ils le
font, cela ne veut rien dire à moins que vous croyiez réellement la
chose.
Et puis,
Jésus, lorsqu'Il était sur la terre, Il n'a accompli qu'un petit signe
pour
montrer aux gens qu'Il était le Messie. Et ils ont cru cela. Et Il a
promis
qu'Il était le même hier, aujourd'hui et éternellement. Et Il le
demeure. Et
nous sommes à la fin de cet âge maintenant, l'âge des nations. Jésus
est venu
sous la forme du Saint-Esprit pour prendre le peuple, le reste du
peuple, les
Gentils, à cause de Son Nom, avant que les spoutniks [satellites
lancées par
les Russes - N.D.T.] ne commencent à exploser. Cette semaine, j'espère
aborder
cela.
Très
bien, offrons un autre mot de prière pendant que vous qui avez des
cartes de
prière vous vous apprêtez. Nous allons appeler les cartes de prière.
Hier… La
soirée précédente, nous les avons utilisées ; hier soir, nous ne les
avons pas
utilisées. Ce soir, nous allons appeler les cartes de prière. Où est
Billy?
Demandez-lui où se trouvent ces cartes, quelle série il a distribuée et
combien
de cartes. X1 à 100 .
48 Seigneur,
Tu es Jéhovah. Il y a une centaine de cartes de prière qui se trouvent
ici.
Tous sont malades, Seigneur, sinon ils n'auraient pas pris des cartes.
Je ne
sais pas exactement par où commencer, mais Toi, Tu le sais. Aide-moi, ô
Dieu,
bénis ce peuple. Parle à ceux qui sont dans l'auditoire. Révèle-leur
que le
même Jésus, le Souverain Sacrificateur que cette femme toucha par le
sentiment
de ses infirmités, reste le même aujourd'hui, et qu'Il agit et fait
exactement
ce qu'Il avait déjà fait. Que nous Te voyions ce soir, ô Seigneur. Et
lorsque
nos cœurs se réjouiront, nous nous sentirons comme ceux qui revenaient
d'Emmaüs.
Lorsque tu les as eus enfermés et que tu étais à l'intérieur avec eux,
Tu as
fait quelque chose exactement comme Tu l'avais fait avant Ta
crucifixion. Ils
ont compris que c'était le même Jésus, parce qu'Il a agi de la même
manière.
Premièrement, Il est allé directement à la Parole pour montrer qu'Il
était le
Christ. Puis, Il a accompli quelque chose pour montrer qu'Il était
ressuscité
des morts. Ils ont accouru et ont dit : "Le Seigneur est réellement
ressuscité des morts. Et notre cœur ne brûlait-il pas au-dedans de
nous,
lorsqu'Il nous parlait en chemin?"
Accorde
ces mêmes choses ce soir. Ce soir, fais exactement ce que nous avons
dit que Tu
as fait avant Ta crucifixion. Et par cela, nous saurons, ô Seigneur,
avec ceux
qui sont ici, que Tu es toujours vivant. Que l'église s'humilie, et Ton
serviteur avec. Nous nous abandonnons à Toi, afin que Tu agisses ce
soir par
nous entièrement, afin que la gloire revienne à Ton Nom, que les cœurs
des
faibles soient fortifiés, que les pécheurs soient sauvés et que la foi
soit
apportée à ceux qui ont perdu courage. Nous le demandons au Nom de
Christ.
Amen.
49 Jusqu'où
avons-nous appelé? La première partie, nous avons appelé le numéro 1,
n'est-ce
pas? N'avons-nous pas appelé à partir du numéro... [Espace vide sur la
bande -
N.D.E.]
Et Il
regarda tout autour jusqu'à ce qu'Il découvrît la femme. Et Il lui dit
son état
et qu'elle était guérie; sa foi l'avait guérie. Est-ce juste? La Bible
dit…
Ceci, c'est pour les nouveaux venus. La Bible dit qu'Il est le même
hier,
aujourd'hui et éternellement, et qu'Il est le Souverain Sacrificateur
(en ce
moment même) qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.
Est-ce
juste? Eh bien, comment agira-t-Il s'Il est le Souverain Sacrificateur,
le même
hier, aujourd'hui, éternellement? Il devra agir de la même manière.
Est-ce
vrai? Alors regardez à Lui, et croyez, et voyez. Dites simplement ceci
dans
votre cœur : "Seigneur Dieu, frère Branham ne me connaît pas. Il n'a
aucune idée sur moi. Mais Toi, Tu me connais, ô Seigneur ; aide-moi
donc, et
laisse-moi toucher Ton vêtement. Et donne-moi la confirmation en
parlant par
frère Branham exactement comme Tu l'avais fait avec cette femme-là."
Voyez
s'Il est le Souverain Sacrificateur. Je défie votre foi de croire cela.
50 Maintenant,
le Seigneur voulant, mercredi soir, je vais essayer de venir à la
chaire sans
parler, venir simplement et laisser frère Vayle ou quelqu'un d'autre
parler,
afin que nous puissions simplement… Je veux que vous voyiez la
différence dans
les réunions. Voyez, c'est… La prédication se fait sous une onction.
Ceci est
un don prophétique, quelque chose de tout à fait différent ; c'est le
même
Esprit, mais une onction différente. Voyez-vous, en prêchant, vous êtes
béni et
vous donnez. Vous aimez cela. Je peux faire cela toute la nuit. Mais
une vision
va vous épuiser plus que huit heures de prédication. Combien
comprennent cela
par les Ecritures? Certainement. Jésus, une femme Le toucha ; Il devint
faible,
le Fils de Dieu. Daniel vit une vision et il eut l'esprit rempli
d'épouvante
pendant plusieurs jours. Vous souvenez-vous de cela? Certainement.
51 Maintenant,
à ma connaissance, je ne connais personne de ceux qui sont devant moi,
à
l'exception de monsieur Goad qui est ici et qui enregistre les bandes,
monsieur
Vayle que voici, mon fils, monsieur Sweet qui se tient là, ainsi que
les frères
qui sont là. Mais devant moi, au balcon et partout, tous ceux qui me
sont
inconnus, levez la main, partout. Très bien, mais vous réalisez que
Dieu vous a
connu avant même que vous veniez sur la terre. Croyez-vous cela?
Combien
croient que les dons et les appels sont sans repentir? La Bible dit
qu'il y a
cinq dons dans l'Eglise. Dieu a établi dans l'Eglise des apôtres ou des
missionnaires, des apôtres, des prophètes, des docteurs, des
évangélistes, des
pasteurs. Absolument. S'il y a un apôtre, il y a un prophète. S'il y a
un
prophète, il y a un docteur. S'il y a un docteur, il y a un pasteur ou
un
évangéliste. Voyez-vous? Vous ne pouvez simplement pas dire qu'il y a
un
pasteur et un évangéliste, mais pas de prophète ni d'apôtre. Dieu
continue à
établir… Aussi longtemps qu'Il a Son Eglise, Il continue à édifier Son
Eglise.
Certainement.
52 Maintenant,
on n'impose pas les mains les uns aux autres pour obtenir ces dons.
Dieu les a
établis dans l'Eglise. Jésus-Christ était le Fils de Dieu depuis le
jardin
d'Eden et Il a été annoncé comme étant la semence de la femme. Jean-
Baptiste
était la voix de celui qui crie dans le désert, sept cent douze ans
avant sa
naissance, la voix de celui qui crie dans le désert. Combien savent
cela? Bien
sûr. Combien savent que Jérémie 1.4 dit : "Avant même que tu ne fusses
formé dans le ventre de ta mère, Je te connaissais, Je t'avais
consacré, Je
t'avais établi prophète des nations "? Les dons et les appels, ce n'est
pas ce que quelqu'un a fait ; c'est ce que Dieu a fait. On naît et on
grandit
avec ; c'est ce que Dieu a fait.
Eh bien,
Il appelle certains d'entre nous à prêcher, d'autres à enseigner,
d'autres à
différentes opérations de l'Esprit. Or, il y a douze… ou plutôt neuf
dons
spirituels dans le corps local. Vous voyez?
Eh bien, il y a un don de prophétie ; cela peut être ici sur une
personne ce soir et peut-être ne plus jamais revenir sur elle. Cela
vient et
s'en va tout simplement. Il y a tout à fait une différence entre un
esprit de
prophétie et un prophète. Un esprit de prophétie doit être jugé par
deux ou
trois personnes ayant le discernement, avant que cela ne soit donné à
l'église.
Ne… Lorsque les anciens prophètes se tenaient là, Esaïe et Jérémie, ils
avaient
l'AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ils étaient nés prophètes, ils l'étaient
depuis le
berceau.
53 Pasteurs,
docteurs, ce n'est pas un quelconque séminaire qui vous a établi dans
cet
ordre, mais c'est Dieu qui vous a placé là comme pasteur ou docteur.
C'est là
la différence. Vous êtes peut-être allé pour l'argent, si ce sont les
séminaires qui vous avaient envoyé. Mais quand vous êtes allé pour
Dieu, quand
vous êtes allé pour le bien de l'Eglise et pour la gloire de Dieu, que
vous
ayez à boire de l'eau plate et à manger des biscuits secs, cela n'a
aucune
importance pour vous ; vous prêchez quand même. Critiqué ou pas,
populaire ou
pas, cela ne change rien, vous y allez de toute façon. Que Dieu bénisse
ces
hommes. Beaucoup parmi ceux qui sont assis ici ce soir sont des
guerriers, ils
ont préparé le chemin sur lequel je cours en toute liberté. Vous vous
êtes
tenus au coin des rues et vous avez prêché, prophétisé et dit que la
chose
allait venir ; la voici. C'est vous qui avez préparé le chemin, frères.
Attendez
que les récompenses soient attribuées pour voir qui recevront ces
récompenses,
c'est vous. Certainement. C'est vous qui avez posé la fondation de
l'Eglise
dans ces derniers jours. Maintenant, Dieu commence à se mouvoir
au-dessus de
cette fondation que vous avez posée. Combien c'est merveilleux! J'aime
ce
cantique : Que Tu es grand! Que Tu es grand!
54 Est-ce
la
première femme? Très bien. Maintenant, je demande toute votre attention
juste
pour quelques instants. Eh bien, ne vous déplacez pas ; restez vraiment
tranquilles. Soyez révérencieux. Maintenant, tenez, toute la
prédication que
j'ai donnée et tout le reste, cette Bible déclare qu'Il est aujourd'hui
le même
qu'Il était à l'époque. Eh bien, si ce n'est pas le cas, alors à quoi
sert
cette Bible? Si c'est le cas, embrassons-La et mourrons avec Elle, car
Il est
toujours Dieu. S'Il est Dieu, Il tient Sa promesse. S'Il ne tient pas
Sa
promesse, Il n'est pas Dieu. Je sais donc qu'Il est Dieu. Eh bien,
c'est là que
je me tiens, par un don divin, pour Le représenter. Le représenter,
Lui, pas me
représenter, moi; je n'ai rien à y avoir.
Si vous
n'avez pas cru ce que j'ai dit, je peux beau me tenir ici des heures
durant,
rien n'arrivera. C'est vous qui faites cela, ce n'est pas moi. C'est
votre
propre foi. Pourquoi amenez-vous les gens ici? Eh bien, de cette
manière,
j'isole une personne avec moi. Hier soir, il y avait tout un groupe,
des
centaines qui sont venues à Christ. Il y a donc eu une telle explosion
dans la
réunion ; les visions ont commencé à apparaître au-dessus de
l'assemblée avant
que cela ne commence. Vous voyez? Mais ici ce soir… J'ai parcouru toute
cette
foule hier soir; ce soir, nous n'en avons pas beaucoup. Etant donc un
peu
fatigué, j'ai appelé une ligne de prière pour que quelqu'un se tienne
ici, afin
que l'onction puisse se mettre d'abord en marche, puis cela ira là-bas.
Voyez?
Elle va d'abord survoler et dépasser droit quelqu'un à l'estrade, aller
là tout
derrière, là-haut aux balcons et saisir cela. Combien ont vu cela
arriver? Bien
sûr. Ô Dieu, si Tu t'éloignes tout simplement des gens, ceux qui se
tiennent
ici sur l'estrade ne seront jamais guéris. Ceux qui sont là seraient
guéris.
Cela dépend de ce que l'on croit.
55 Je
reçois
la dame qui est ici. Je n'ai jamais vu cette dame. Il se peut qu'elle
soit une
hypocrite ; il se peut qu'elle soit une infidèle ; il se peut qu'elle
soit une
séductrice. Je ne sais pas qui elle est. Il se peut qu'elle soit une
sainte, je
ne sais pas. Mais ceci est un tableau juste comme c'était au puits :
une femme et
un homme se rencontrant pour la première fois. Je suppose que ce soit
la
première fois que nous nous rencontrons, est-ce juste?
Maintenant,
si le Seigneur Jésus reste le même hier, aujourd'hui et éternellement,
s'Il se
tenait ici habillé de ce costume qu'Il m'a donné en Afrique… Et s'Il se
tenait
ici habillé de ce costume, et que la femme disait : "Je suis malade.
Veux-Tu me guérir, Seigneur?" J'aimerais vous demander maintenant
(faites
attention): Pourrait-Il la guérir? Certainement pas. Il ne peut pas
faire ce
qu'Il a déjà fait. Voyez? Il a déjà fait cela. Elle pourrait dire : "Je
suis une pécheresse ; sauve-moi."
Il
dirait : "Je l'ai déjà fait ; veux-tu recevoir cela?" Est-ce juste?
Lorsque vous L'acceptez comme votre Sauveur personnel, comme Celui qui
affranchit…
Eh bien,
si je disais à cette dame, en tant que serviteur de Dieu : "Madame,
vous
êtes malade. Je vous impose les mains, vous allez vous rétablir." Cela
pourrait être la vérité. Elle pourrait se poser des questions
là-dessus.
Elle
dirait : "Oui, je crois que frère Branham est peut-être un brave homme.
Mais c'était frère Branham." Mais maintenant, qu'en serait-il si
quelque
chose arrivait ici, que Quelque chose rentrait dans sa vie et dévoilait
ici son
problème que moi, j'ignore, et disait la chose? Il faut donc plus que
frère
Branham. Est-ce juste? Il faut un Etre surnaturel.
Les
pharisiens ont dit : "C'est Béelzébul."
Les
vrais croyants disaient : "C'est le Fils de Dieu." Voudriez-vous
croire que c'était le Fils de Dieu? Que le Seigneur vous bénisse.
Maintenant,
au Nom de Jésus-Christ, je prends chaque esprit qui est ici sous mon
contrôle
pour la gloire de Dieu. Soyez révérencieux.
56 Maintenant,
madame, nous voici encore là. C'est la première fois que nous nous
rencontrons
dans la vie. Si tel est le cas, levez la main. Nous sommes probablement
nés à
des années d'intervalles, à des kilomètres de distance, et je suis
beaucoup
plus âgé que vous. C'est la première fois que nous nous rencontrons.
Mais si le
Seigneur Dieu, le Seigneur Jésus qui parlait à cette femme au puits
jusqu'à ce
qu'Il découvrît où était son problème et qu'Il lui dît son problème… Il
se peut
que vous… Avez-vous déjà lu cette histoire? Et elle avait… vivait dans
l'adultère. Et quand Il lui a dit cela, elle reconnut, elle ne Le
traita pas de
Béelzébul, elle dit : "Seigneur, Tu dois être un prophète. Nous savons
que, quand le Messie viendra, Il nous dira ces choses."
Il dit :
"Je le suis, Moi qui te parle."
Et elle
est entrée dans la ville en courant et elle a dit : "Venez voir un
homme
qui m'a dit les choses que j'ai faites ; ne serait-ce pas le Messie?"
Eh bien,
s'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement, Il doit agir de la
même
manière ; en effet, je l'ai bien dit qu'Il a déjà accompli la guérison.
Maintenant, s'Il se tenait ici, alors votre maladie a déjà été guérie,
si vous
êtes malade. Je ne sais pas si vous êtes malade. Mais s'Il… Si vous
êtes malade
ou si vous avez un besoin financier, si c'est un besoin spirituel, si
c'est,
oh, n'importe quoi, Il pourrait vous révéler cela, étant donné qu'Il
est le
Fils de Dieu, si le Père le Lui révélait, car Il a dit : "Je ne fais
que
ce que le Père Me montre premièrement." S'Il fait cela,
l'accepterez-vous?
L'auditoire ferait-il la même chose? Que le Seigneur vous bénisse
maintenant.
Soyez révérencieux.
Vous
dites : "Frère Branham, vous êtes en train de gagner du temps." Bien
sûr que oui, j'attends cette onction. Si elle ne vient pas, je serai
obligé, eh
bien, de congédier l'auditoire et de rentrer chez moi. C'est tout ce
que je
peux faire. Mais elle est effectivement venue. Très bien.
57 Eh
bien,
si l'auditoire entend encore ma voix, la femme semble s'éloigner de
moi. Elle
est consciente qu'il se passe quelque chose, car son esprit sait que se
tenir
devant un homme ne lui donnerait pas un tel sentiment. Cet Ange de
Lumière que
vous voyez sur la photo se tient juste entre cette femme et moi. Et
cette femme
souffre ; ce pour quoi elle veut que je prie, c'est une très grande
nervosité
dont elle souffre. Et c'est comme si elle a un goitre à l'intérieur,
pour
lequel elle veut que je prie. C'est la vérité. Si c'est juste, madame,
agitez
la main.
Croyez-vous?
Eh bien, quoi que cela ait été, je l'ignore. C'est enregistré. Qu'elle
en soit
cependant le juge. Maintenant, le même Seigneur Jésus qui connaissait
où se
situait le problème d'une femme autrefois, la première fois qu'ils se
sont
rencontrés, Il est ici ce soir, agissant à travers Son Eglise. "Je suis
le
Cep ; vous êtes les sarments." Ce sont les sarments qui portent des
fruits. "Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (Il
s'agit
de cet âge de l'Eglise-ci), mais vous, vous Me verrez (l'Eglise du
temps de la
fin), car Je serai avec vous, même en vous", le temps de la fin.
58 Eh
bien,
vous dites : "Vous avez deviné cela, Frère Branham, quoi que ce fût."
Juste la maladie ou quelque chose, l'affliction. Très bien. J'ai
demandé au
jeune homme qui enregistre, c'était juste l'affliction ou la maladie.
Parlons
alors à cette dame, voyez-vous, ainsi cela ôtera de vous toute
superstition. Il
se peut qu'il y ait quelque chose d'autre qui ne va pas en elle, je
l'ignore.
Si tel est le cas, ne pensez pas à cela. Allez simplement - simplement
de
l'avant, soyez à l'aise. Croyez simplement que vous êtes dans Sa
Présence.
Oui,
cette femme a un goitre dû à la nervosité. Elle est aussi très
nerveuse. Elle
fait sans cesse tomber des choses. Elle a quelqu'un sur le cœur. C'est
une
femme âgée. Elle souffre de la cataracte ; c'est sa mère. Et, en plus,
elle a
un enfant pour lequel elle prie. Et cet enfant fait une sorte de crise,
disons
qu'il s'évanouit ; ce sont des convulsions. C'est AINSI DIT LE
SEIGNEUR. C'est
la vérité, madame, n'est-ce pas? Agitez la main si c'est vrai.
Croyez-vous que
Christ répond à votre requête maintenant? Allez voir cela. Il vous sera
fait
selon votre foi. Que Dieu vous bénisse.
59 "Si
tu peux croire." Que tout le monde soit révérencieux maintenant, soyez
révérencieux. Vous ne savez pas ce qui pourrait arriver. Je me demande
si
l'auditoire est conscient de ce qu'il y a ici. Eh bien, vous allez
admettre que
c'est un miracle. Combien savent que c'est un miracle? Accomplit-Il
toujours
des miracles? Eh bien, cela ne peut venir que de deux sources : du
diable ou de
Dieu. J'aimerais que quelqu'un me dise où on a appris qu'un démon
prêche
l'Evangile et demande au pécheur de se repentir. Quand avez-vous vu
cela se
faire? Cela ne se fait pas. Les pharisiens pensaient que cela se
faisait. Et
Jésus a dit que, lorsque le Saint-Esprit ferait cela, parler contre
cela ne sera
pas pardonnable. Combien savent cela? Soyez donc révérencieux.
60 Nous
sommes des inconnus l'un à l'autre. Je ne vous connais pas. Si le
Seigneur
notre Dieu révèle la raison pour laquelle vous vous tenez ici,
croirez-vous que
je suis Son serviteur, qu'Il est ressuscité des morts et qu'Il est
vivant ce
soir? Vous êtes ici afin que je prie pour un - un endroit qui doit être
opéré.
C'est une grosseur. C'est juste. Si Dieu me dit où se trouve cette
grosseur,
croirez-vous que je suis Son prophète? C'est dans votre flanc droit.
C'est
juste. Partez, croyez maintenant, vous n'aurez plus à subir cette
opération.
61 Je
pense
que nous sommes des inconnus, monsieur. Une fois dans le ministère du
Seigneur
Jésus, après qu'une pareille chose fut faite, un homme appelé Philippe
alla
trouver Nathanaël et l'amena à la réunion. Et là, deux hommes se
rencontrèrent
: Jésus et Nathanaël. C'était la première fois qu'ils se rencontraient
; Il a
dit : "Tu es un homme intègre et honnête." Il aurait pu être un
hypocrite. Il aurait pu être un mahométan. Il aurait pu… ou plutôt être
un
idolâtre ; Jésus savait qu'il était un Israélite et Il lui dit où il
était
avant de venir.
C'est la
première fois que nous nous rencontrons. Si Jésus reste… Soyez très
révérencieux. La vision a quitté cet homme, elle apparaissait avec la
Lumière.
Maintenant, soyez révérencieux, ne vous déplacez pas, je vous prie.
Voyez-vous?
Chacun de vous est un esprit. Maintenant nous ne traitons pas avec le
naturel ;
nous traitons avec le spirituel. Chacun de vous a une âme. Vous avez un
esprit.
Juste un peu d'incrédulité, et on peut sentir cela, juste un petit
mouvement.
C'est juste comme si tout est bien réglé. "Oh ! dites-vous, Frère
Branham,
quand a-t-on vu cela dans la Bible?" Lorsque Jésus alla ressusciter la
fille
de Jaïrus, les gens faisaient des histoires ; Il les fit tous sortir de
la
maison. Il a conduit un homme hors de la foule, même hors de la ville,
et Il
lui a redonné la vue.
62 Cela
est
parti pour une raison, monsieur. Mais Il est bon ; Il reviendra. Si
Dieu me
révèle la raison pour laquelle vous êtes ici, croirez-vous que je suis
Son
serviteur? Croirez-vous? Voilà cela de nouveau. Vous êtes conscient
qu'il se
passe quelque chose maintenant. Vous souffrez de quelque chose dans le
dos.
C'est une maladie de la colonne vertébrale. Et cela vous rend très
nerveux. Et
vous vous réveillez la nuit à cause de la prostatite que vous avez.
Voilà
l'origine de votre nervosité. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. En dehors de
ça,
vous êtes un prédicateur. C'est juste. Et vous priez pour quelqu'un, un
petit-fils, un cas de polio. Croyez-vous en Dieu? Alors, allez trouver
les
choses telles que vous croyez. Que Dieu vous bénisse.
63 Sommes-nous
des inconnus l'un à l'autre? Cela vient de cette partie… Soyez très
révérencieux. Ne doutez pas, mais croyez toutes choses. Voici la chose.
C'est
un vieux couple qui est assis juste ici. Cette chère vieille mère me
regarde,
elle souffre de troubles de la vésicule biliaire. C'est son petit mari
qui est
assis à côté d'elle, et il a la bronchite. Et cet homme était un
soldat, car je
le vois à la bataille, portant un petit casque rond. C'est le gaz qui a
provoqué cette bronchite, et vous êtes un soldat de la Première Guerre
mondiale. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ayez foi en Dieu. "Si tu peux croire."
Assis
juste là-derrière, au fond, des troubles de la vésicule biliaire,
croyez-vous
que le Seigneur Jésus vous rétablit aussi, madame, vous qui avez un
petit châle
verdâtre? Vous avez eu une sensation très drôle lorsque j'ai dit
"vésicule
biliaire" à cette dame, n'est-ce pas? Il y a une traînée noire entre
vous
deux, mais cela vous a quittées toutes deux maintenant. Votre foi vous
a
guéries. Que Dieu vous bénisse.
Jésus-Christ
est le même hier, aujourd'hui. Vous, qui que vous soyez, qu'on a
appelé, si je
ne sais rien de vous et que je ne vous ai jamais vu de ma vie, levez la
main,
si c'est juste là. Vous y êtes. Qu'est-ce? Je n'ai jamais vu ces gens.
Qu'est-ce que cela manifeste? Jésus, Celui qui est mort, qui est
ressuscité et
qui a promis d'être dans Son Eglise pour faire la même chose. Il est
ici. Leur
foi les a guéris. Ayez la foi et croyez.
64 Etes-vous
la dame pour laquelle on doit prier? Je ne vous connais pas, il m'est
impossible de vous connaître. C'est la première fois que nous nous
rencontrons.
Mais Dieu connaît votre vie et votre cœur. S'Il me révèle quelque chose
que
vous savez que j'ignore, allez-vous accepter cela, sachant que vous et
moi,
nous nous tiendrons dans Sa Présence un de ces jours pour rendre compte
? Vous
avez certainement eu beaucoup de hauts et de bas dans votre vie,
essayant de
votre mieux de vaincre ; il y a une traînée noire derrière vous. Et
maintenant,
ce n'est pas pour cela que vous êtes ici. Vous avez confessé vos péchés
; ils
sont sous le Sang. Mais vous vous tenez ici pour une amie. Et la
personne est
hospitalisée, elle vient d'avoir un bébé. Et elle a eu une sorte de
crise.
C'est l'asthme, cela lui a presque ôté la vie et vous voulez qu'on prie
pour
elle. Croyez-vous qu'elle va se rétablir? Partez et trouvez cela ainsi.
Que
Dieu vous bénisse. Soyez révérencieux.
65 Bonsoir,
monsieur! L'Eternel Dieu nous connaît tous deux. Vous êtes un homme
beaucoup
plus âgé que moi. Je pense que c'est la première fois que nous nous
rencontrons. Serais-je assez hypocrite pour me tenir ici devant un
homme de
votre âge, si je ne pensais pas pouvoir faire quelque chose par Christ
qui
m'aide à vous aider, monsieur? Si mon pauvre papa était en vie, il
aurait à peu
près votre âge, je pense. Je donnerais n'importe quoi ce soir pour le
voir. Il
est allé au-delà du voile. Un jour, vous vous en irez, et moi aussi. Je
ne peux
faire qu'une chose : servir le mieux possible selon la capacité que
Dieu me
donne pour vous aider. Si Dieu me révèle et me dit quelque chose qui
est dans
votre vie, ou quelque chose pour lequel vous êtes ici et que vous êtes
certain
que j'ignore, cela vous donnera-t-il l'envie d'accepter cela? S'Il sait
ce que
vous avez été, Il saura certainement ce que vous serez. Si je disais :
"Oh
! vous serez ceci, cela", vous auriez le droit de douter de cela. Mais
s'Il vous dit le passé, s'Il connaît le passé, alors Il saura
certainement le
futur.
Vous
êtes cardiaque. Et je vous vois essayant de faire votre travail, mais vous vous abaissez, la main sur le genou,
vous souffrez de l'arthrite (Tout à fait exact), des troubles
cardiaques et
l'arthrite. Croyez-vous que je suis Son prophète, mon-… ou plutôt Son
serviteur, monsieur? Vous avez quelqu'un d'autre sur le cœur.
Croyez-vous que
l'Eternel Dieu pourrait rétablir aussi votre femme qui est ici avec
vous? Elle
a très mal au dos. C'est juste. C'est la vérité. Monsieur Barker,
croyez-vous
que Dieu peut vous rétablir et guérir aussi votre femme? Alors partez
et
trouvez cela ainsi. Dieu soit avec vous.
66 "Si
tu peux croire…" Et si je ne vous disais rien et vous disais pourquoi
vous
êtes assis dans un fauteuil alors que vous étiez guéri, croiriez-vous
cela?
Croyez cela de tout… Continuez simplement votre chemin, car vous êtes
guéri.
Et si je
vous disais que vous pouvez prendre votre souper, que vos maux
d'estomac sont
terminés, croiriez-vous cela? Partez, prenez-le.
Croyez-vous
que Dieu peut guérir le diabète et vous rétablir? Continuez simplement,
en
disant : "Merci, Seigneur, rétablis-moi." Vous pouvez avoir cela.
Ayez foi en Dieu.
La
nervosité et des maux d'estomac aussi. Croyez-vous que Dieu peut vous
rétablir?
Continuez votre chemin et réjouissez-vous et dites : "Merci,
Seigneur."
67 Approchez,
monsieur. Des troubles cardiaques et vous souffrez un peu de
l'arthrite.
Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Continuez simplement à avancer.
Croyez-vous
que Dieu va vous guérir de ce diabète? Alors, levez-vous simplement et
continuez à avancer ; continuez à marcher ; croyez.
Regardez
ici, jeune dame, croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette maladie
de
femmes? Continuez à avancer.
Des
troubles cardiaques et la nervosité. Continuez simplement à avancer.
L'asthme.
Continuez simplement à avancer, en croyant Dieu.
Approchez,
monsieur. Le diabète ne représente rien pour l'Eternel Dieu ; continuez
simplement à avancer, en croyant de tout votre cœur.
68 Que
pensez-vous, madame? Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Croyez-vous
cela de
tout votre cœur? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Je ne vous
connais pas,
n'est-ce pas?
Maintenant,
un instant, je vous prie. Quelque chose s'est produit dans l'auditoire.
Cet
homme-là, étiez-vous sur l'estrade tout à l'heure, monsieur? Une
Lumière
environ-… Non, c'est la dame qui est juste derrière lui, au bout,
là-derrière,
qui souffre des intestins. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir,
madame?
Tenez-vous debout et acceptez alors Christ. Que Dieu vous bénisse. N'y
pensez
plus et soyez donc guérie.
Cette
dame âgée qui est assise là, à côté de vous, elle souffre de
l'arthrite.
Voulez-vous placer la main sur elle, madame, vous qui venez d'être
guérie?
Croyez cela maintenant, madame. Soyez guérie, pendant que la
bénédiction est
sur cette femme, elle va vous la transmettre. Si tu peux croire, tout
est
possible. Croyez-vous cela?
69 Et
vous,
jeune dame, qui êtes assise là, ayant la main portée à la bouche,
croyez-vous
que Dieu peut vous guérir de ce goitre et vous rétablir? Levez la main,
si vous
le croyez. Je défie votre foi. La dame qui est assise à côté de vous,
qui
pleure là, elle a des ulcères, des problèmes de jambes et des troubles
cardiaques. C'est vrai, madame. Si vous croyez que Dieu va vous guérir,
levez
la main. Priez. Que certains d'entre vous Le touchent.
Voici
une vieille petite dame assise ici, avec des fleurs sur son chapeau ;
elle a la
main baissée et est en prière. Croyez-vous que Dieu peut me dire le
motif de sa
prière? Une vieille petite mère aimable, elle prie pour son fils, son
petit-fils qui a la polio. C'est vrai, n'est-ce pas, madame? Que Dieu
vous
bénisse.
Croyez-vous
que Dieu peut me dire le motif pour lequel vous priez? Il est Dieu.
70 Est-ce
la
dame? Est-ce… Si Dieu me révèle votre problème, me croirez-vous? Merci.
Vous
avez de petits kystes sur tout le corps. C'est juste. Certainement. Et
Il va
vous le dire, afin que vous soyez convaincue; vous avez ici en votre
compagnie
quelqu'un qui doit partir ; c'est votre cousin, il a un problème de la
poitrine. Dites-lui que c'est terminé. Il peut rentrer chez lui de
toute façon.
Madame, vous êtes Canadienne du New Brunswick. Juste. C'est juste.
Dites donc,
vous êtes mademoiselle Ashley. Continuez votre chemin et
réjouissez-vous.
Croyez-vous
en Dieu de tout votre cœur? Alors, mettez-vous debout et donnez-Lui
gloire et
louange, et chacun de vous peut être guéri en ce moment même. Levez la
main et
chantez : Je Le louerai, je Le louerai.
Eternel
Dieu, Créateur des cieux et de la terre…
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