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PrĂ©dication UN HOMME APPELÉ DE DIEU de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 58-1005E La durĂ©e est de: 1 heure 56 minutes .pdf La traduction VGR
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UN HOMME APPELÉ DE DIEU

1          ...Neville. C’est vraiment regrettable que vous deviez rester debout le long des murs. Je suis passĂ© devant le bĂątiment en me rendant Ă  un autre rendez-vous, il y a environ une heure et demie, et les gens faisaient demi-tour Ă  la porte, ils repartaient. J’ai rencontrĂ© Billy, lĂ -bas, et il m’a dit que tout Ă©tait en place pour le service, depuis cet aprĂšs-midi. Donc, nous avons tout simplement fait ces petites rĂ©unions, ici. Nous ne les avons mĂȘme pas annoncĂ©es dans les journaux locaux. Alors, nous passons simplement quelques moments de communion ensemble.

2          Et maintenant, il y a toujours beaucoup d’activitĂ©, comme les gens qui ne sont pas de la ville le sauraient : ici, dans ma ville, c’est toujours Ă  la hĂąte, aller en vitesse ici, et lĂ , et on est pressĂ©. Alors, je commence un peu Ă  m’y faire. J’en suis au point oĂč je ne laisse pas ces choses-lĂ  m’affecter, autant que possible. Et, vous savez, il faut passer un petit peu de temps, et il faudrait en passer plus, avec le Seigneur. Si on ne le fait pas, alors on n’entre pas dans la rĂ©union avec la fraĂźcheur du Saint-Esprit. Et quand on arrive, comme c’est le cas aujourd’hui, oĂč ça a vraiment Ă©tĂ© Ă  grand, Ă  grand dĂ©ploiement, eh bien, parfois, c’est assez difficile pour moi d’arriver sans ĂȘtre un peu Ă©nervĂ© et Ă  la hĂąte, vous voyez, et sans que je sois tout agitĂ©. Quand je suis comme ça, alors, je n’arrive pas Ă  trouver le Saint-Esprit nulle part.

3          Alors, mais ça me fait de la peine qu’il y ait des gens debout dans–dans les allĂ©es et Ă  l’extĂ©rieur, autour. Et il y en a qui approchent, ils regardent Ă  l’intĂ©rieur, ils montent dans leur voiture et repartent. J’aurais voulu avoir l’école secondaire, ici, pour faire juste quelques soirs de rĂ©unions, mais c’est la pĂ©riode des classes, et c’est assez difficile pour moi de l’avoir pendant cette pĂ©riode. Mais je veux dire que je vous apprĂ©cie vraiment, chacun de vous, que vous soyez Ă  l’intĂ©rieur ou Ă  l’extĂ©rieur, et votre belle collaboration, et tout ce que vous avez fait.

4          Et, ce matin, Ă  l’école du dimanche, j’ai remerciĂ© les gens pour l’offrande qui m’a Ă©tĂ© donnĂ©e hier soir, une offrande non sollicitĂ©e. Franchement, j’avais dit au pasteur, ici, Ă  notre bien-aimĂ© pasteur, FrĂšre Neville, et aux autres, que je prĂ©fĂ©rais qu’ils ne fassent pas ça. Mais ils l’ont fait quand mĂȘme, alors je voulais mentionner quelque chose lĂ -dessus. Bon, cette salle est petite, environ trois cents personnes peuvent s’y asseoir, pas plus que ça, je ne pense pas. Et l’offrande a Ă©tĂ© de trois cent vingt-quatre dollars, ce qui reprĂ©sente une offrande moyenne d’un dollar par personne. C’est la meilleure offrande qui m’ait jamais Ă©tĂ© donnĂ©e, de toute ma vie, considĂ©rant le nombre de personnes. GĂ©nĂ©ralement, la moyenne sera d’environ vingt-quatre cents par personne, vingt-cinq. Vingt-sept cents, c’est une offrande considĂ©rable, par personne. Mais dans ce cas-ci, l’offrande moyenne a Ă©tĂ© d’environ un dollar par personne. Et j’apprĂ©cie vraiment beaucoup cela.

5          Et peut-ĂȘtre que ce matin, je n’ai pas eu l’occasion de m’exprimer Ă  quelques-uns d’entre vous. Nous avons trouvĂ© des gelĂ©es, une boĂźte de gelĂ©es sur le perron, et des petits cadeaux qui nous ont Ă©tĂ© envoyĂ©s. Ma femme et moi, nous voulons vous exprimer notre gratitude. Et je suis sĂ»r que nous ferons vraiment de notre mieux, que tout sera utilisĂ© pour le Royaume de Dieu.

6          Et tout ça me donne vraiment le dĂ©sir d’avoir un trĂšs grand endroit oĂč nous pourrions simplement continuer, sans arrĂȘt, pendant longtemps et nous occuper des gens. Mais, ce soir mĂȘme, aprĂšs le service, je suis censĂ© partir; je ne pourrai pas partir ce soir, mais demain matin de bonne heure, je partirai.

7          Je reviens samedi soir prochain. Je repars dimanche matin, pour le Colorado. Et c’est tout simplement continuel, les voyages se succĂšdent.

8          Et puis, ma prochaine rĂ©union outre-mer est en janvier, et ce sera en Australie et en Nouvelle-ZĂ©lande, et par lĂ . Maintenant, je voudrais que vous priiez pour moi. Je tiens vraiment beaucoup Ă  vos priĂšres.

9          Et puis, je voudrais... que tous, nous soyons reconnaissants au Dieu Tout-Puissant, qui a fait de si grandes choses pour nous pendant ces petites rĂ©unions. Je crois que, pour le temps qu’on a passĂ©, plus de choses ont Ă©tĂ© accomplies pendant ces rĂ©unions que toute rĂ©union que j’aie jamais faite, de toute ma vie, Ă  ce tabernacle. Le Seigneur, semble-t-il, a vraiment dĂ©versĂ© les bĂ©nĂ©dictions.

10        J’ai pensĂ© que, peut-ĂȘtre, pendant ces rĂ©unions, d’aprĂšs une vision que j’ai eue, que mon ministĂšre va se transformer en un ministĂšre meilleur et plus grand. Or, la chose va arriver, aussi vrai que vous, les gens, vous avez entendu prĂ©dire ces trois autres ministĂšres, ou ces deux autres. Celui-ci sera exactement comme ça, sauf plus grand. Mais, le premier soir, j’ai simplement invitĂ© les gens Ă  s’avancer Ă  l’autel, et lĂ  c’est tout de suite retournĂ© au discernement. Le deuxiĂšme soir, je les ai emmenĂ©s dans la piĂšce, c’est tout de suite allĂ© au discernement. Et les deux derniers soirs, alors, nous les avons fait venir ici, sur l’estrade, tout de suite c’est allĂ© au discernement.

11        Mais simplement pour vous donner un compte rendu de certaines choses, un ministre aveugle a recouvrĂ© la vue sur l’estrade.

12        Et deux petites filles, hier soir, assises dans un fauteuil roulant, souffrant de maladies dont personne ne sait ce que c’est, aucun mĂ©decin. Elles avaient les pieds Ă©normes, et les orteils qui tombaient, les doigts qui tombaient, et il n’y avait rien qu’on puisse faire pour elles. Et juste au moment oĂč il y avait l’onction de l’Esprit, je suis allĂ© vers elles, et au Nom du Seigneur JĂ©sus, j’ai maudit cette maladie, et les voilĂ  qui se sont levĂ©es du fauteuil roulant. Et, ce matin, elles allaient et venaient ici dans le Tabernacle, comme n’importe quel autre enfant, et elles sont venues et ont Ă©tĂ© baptisĂ©es du baptĂȘme chrĂ©tien, ici mĂȘme dans le baptistĂšre, ce matin.

13        Pendant que je prenais quelques minutes pour Ă©tudier, tout Ă  l’heure, quelques-uns de mes amis, FrĂšre Hoover, un ministre du Kentucky, est arrĂȘtĂ© en passant et il a laissĂ© un message Ă  ma femme, comme quoi hier soir, quand j’appelais les gens dans l’auditoire, des femmes qui n’avaient pas de carte de priĂšre, ni rien, Ă©taient simplement assises lĂ , Ă  prier. Et il y avait une femme qui n’avait pas mangĂ© un repas depuis je ne sais plus combien de temps; des tumeurs dans l’estomac, tout plein. Et le Seigneur l’a appelĂ©e et l’a guĂ©rie. Ce matin, elle s’est levĂ©e et elle a pris un petit-dĂ©jeuner normal, et elle est ici quelque part, ce soir.

14        Et il y en a d’autres dont ils parlaient, et, oh, le temps ne nous permettrait pas – les choses que notre Seigneur a faites. Alors, pour nous, ça nous donne du courage, de savoir que c’est tout proche, quelque chose est sur le point d’arriver, quelque chose de glorieux.

15        Hier soir, aprĂšs le service, aprĂšs le Message, je n’ai jamais, Ă  aucun moment, jamais vu le Saint-Esprit oindre les gens plus intensĂ©ment qu’Il ne l’a fait hier soir. Nous nous attendons encore Ă  la mĂȘme chose, ce soir. Et maintenant priez pour moi.

16        Et je voudrais lire dans la Parole de Dieu bĂ©nie. Et avant de lire la Parole, adressons-nous donc Ă  Lui, avec nos tĂȘtes inclinĂ©es, un petit instant.

17        Cher PĂšre CĂ©leste, nous venons Ă  Toi ce soir, notre corps est peut-ĂȘtre un peu fatiguĂ©, mais, oh, combien notre esprit est rafraĂźchi! Les signes du Dieu vivant, qui montrent qu’Il est avec nous, et qu’Il nous bĂ©nit, et qu’Il nous donne ce qu’Il a promis, infiniment au-delĂ  de tout ce que nous pouvons faire ou penser. Et si nous avons trouvĂ© grĂące Ă  Tes yeux, en croyant Ă  Ton Fils, le Seigneur JĂ©sus, nous Te demandons de bien vouloir, ce soir, nous visiter de nouveau par une double portion de Ton Esprit. Puisse-t-Il se rĂ©pandre avec une grande puissance et en grande mesure sur chaque personne ici, afin qu’ils croient l’Évangile et qu’ils reçoivent la Puissance du Saint-Esprit dans leur vie. Sauve ceux qui peuvent ĂȘtre sauvĂ©s, ce soir, Seigneur, et guĂ©ris ceux qui sont prĂȘts Ă  recevoir la guĂ©rison. Accorde-le, Seigneur.

18        De voir les gens, qui se sont pressĂ©s en foule Ă  l’entrĂ©e, qui sont restĂ©s debout devant les portes, et des centaines qui ont dĂ» repartir sans entrer dans la petite Ă©glise, ça nous rappelle que JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement. En effet, Ă  l’époque oĂč Il nous a visitĂ©s, ici, sous la forme d’une chair humaine, la foule Ă©tait si compacte qu’ils n’avaient mĂȘme pas pu Lui amener un homme, alors ils ont Ă©tĂ© obligĂ©s de faire descendre celui-ci par le toit du bĂątiment. Nous prions, ĂŽ Dieu, que ce soir, chaque personne de cette foule qui a dĂ» se presser ainsi pour entrer soit rĂ©compensĂ©e, comme cet homme l’a Ă©tĂ©.

19        BĂ©nis Ta Parole, alors que nous La lirons. Et qu’Elle soit une Lampe, une LumiĂšre sur notre sentier. Car nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen.

20        [Quelqu’un parle Ă  FrĂšre Branham.–N.D.É.] Non. Rosella Griffith? [“Oui.”]

21        On vient de me rapporter Ă  l’instant que la jeune fille que j’avais demandĂ©e ce matin... une alcoolique qui avait Ă©tĂ© appelĂ©e pendant la rĂ©union, Ă  Chicago. En effet, elle Ă©tait assise au balcon, et alors le Saint-Esprit lui a parlĂ© et a dĂ©clarĂ© qu’elle Ă©tait alcoolique. Et cinq grands mĂ©decins de Chicago l’avaient condamnĂ©e. Les Alcooliques Anonymes l’avaient condamnĂ©e. Et elle a Ă©tĂ© appelĂ©e, avec un AINSI DIT LE SEIGNEUR. Elle a Ă©tĂ© guĂ©rie. À partir de ce moment-lĂ , elle n’a plus jamais eu l’envie de boire de l’alcool.

22        Et une autre jeune fille qui Ă©tait au balcon, un peu plus haut qu’elle, c’était une de ses amies, des gens qui habitaient Calumet City. Si quelqu’un sait ce que c’est, ça, c’est une ville frontiĂšre, et lĂ -bas, c’est pire qu’à Paris, en France, il s’y passe toutes sortes de vilaines choses. Et il lui a Ă©tĂ© dit qu’elle faisait du trafic de drogue, et qu’elle dansait avec Fred Astaire. Et son pĂšre a protestĂ©. Mais elle s’est levĂ©e et elle a dit : “Papa, cet homme a parfaitement raison.” Maintenant elle est mariĂ©e, cette jeune fille, et elle s’est mise en route, avec son mari, Ă  prĂȘcher l’Évangile.

23        Rosella fait de l’action missionnaire, Ă  tous les services dans les prisons et lĂ  oĂč elle peut s’infiltrer, elle va dire aux alcooliques qu’il y a un espoir, et c’est en Christ.

24        Elle Ă©tait trĂšs accablĂ©e Ă  cause de son pĂšre. Pas plus tard qu’avant-hier, nous avons eu un entretien privĂ© de dix minutes. Cette jeune fille a soutenu de façon trĂšs marquĂ©e les rĂ©unions, au cours des quatre ou cinq derniĂšres annĂ©es. Donc, elle m’a fait un petit compte rendu de dix minutes, Ă  la roulotte, pendant un entretien, oĂč elle disait : “FrĂšre Branham, quoi que vous puissiez faire, je suis terriblement accablĂ©e Ă  cause de mon pĂšre. Il vous aime, mais il refuse carrĂ©ment de venir Ă  Christ.”

25        J’ai dit : “Rosella, Dieu sait comment faire ça. Il sait comment l’amener Ă  le faire.”

26        Et la nouvelle nous arrive Ă  l’instant, qu’il est enseveli sous une charge de calcaire. Prions pour lui.

27        Seigneur, de la bouche de sa fille loyale, et alors qu’il est bloquĂ© lĂ -dessous, qu’il pourrait mourir lĂ ; ĂŽ Dieu, fais qu’il ne meure pas, mais que son Ăąme regarde en haut et se souvienne que Tu es Dieu, Celui qui peut exaucer la priĂšre sous un amoncellement de calcaire; tout comme Tu as pu le faire dans le ventre d’une baleine, ou dans la fournaise ardente, ou dans la fosse aux lions. Tu es encore le mĂȘme. Fais qu’il sorte de lĂ , Seigneur, un ChrĂ©tien lavĂ©. Nous savons que toutes choses concourent au bien de ceux qui T’aiment. Et nous prions que cette chose-lĂ  en soit une, alors que nous la remettons entre Tes mains, au Nom de JĂ©sus. Amen.

28        Pour la lecture de la Parole, ce soir, dans le Livre de II Rois, j’aimerais lire, au chapitre 2, simplement un petit texte, dont je vais tirer un contexte, Dieu voulant.

Lorsque l’Éternel fit monter Élie au ciel dans un tourbillon, Élie partait de Guilgal avec ÉlisĂ©e.

Élie dit Ă  ÉlisĂ©e : Reste ici, je te prie, car l’Éternel m’envoie jusqu’à BĂ©thel. Élie rĂ©pondit : L’Éternel est vivant et ton Ăąme est vivante! je ne te quitterai point. Et ils descendirent Ă  BĂ©thel.

Les fils des prophĂštes... Ă©taient lĂ  Ă  BĂ©thel sortirent vers ÉlisĂ©e, et lui dirent : Sais-tu que l’Éternel enlĂšve aujourd’hui ton maĂźtre au-dessus de ta tĂȘte? Et il rĂ©pondit : Je le sais aussi; taisez-vous.

Élie lui dit : ÉlisĂ©e, reste ici, je te prie, car l’Éternel m’envoie Ă  JĂ©richo. Il rĂ©pondit : L’Éternel est vivant et ton Ăąme est vivante! je ne te quitterai point. Et ils allĂšrent Ă  JĂ©richo.

Les fils des prophĂštes... Ă©taient lĂ  Ă  JĂ©richo s’approchĂšrent d’ÉlisĂ©e, et lui dirent : Sais-tu que l’Éternel enlĂšve aujourd’hui ton maĂźtre au-dessus de ta tĂȘte? Et il rĂ©pondit : Je le sais aussi; taisez-vous.

Élie lui dit : Reste ici, je te prie, car l’Éternel m’envoie au Jourdain. Il rĂ©pondit : L’Éternel est vivant et ton Ăąme est vivante! je ne te quitterai point. Et ils poursuivirent tous deux leur chemin.

29        Que le Seigneur ajoute Ses bĂ©nĂ©dictions Ă  Sa Parole. Mon sujet de ce soir, c’est : Un homme appelĂ© de Dieu.

30        Je vais essayer d’ĂȘtre aussi bref que possible, parce que nous allons avoir une longue ligne de priĂšre dans quelques minutes seulement, mais simplement pour vous permettre de voir un peu Ă  quelle Ă©poque nous vivons. Nous entendons ce cri, Ă  la radio, et Ă  diffĂ©rents endroits, et il provient de cƓurs sincĂšres : “Seigneur, donne-nous un rĂ©veil, en notre temps.” Et dans des lettres provenant de ChrĂ©tiens partout dans le monde, nous entendons ce cri, et c’est quelque chose qui touche le cƓur. Ça inspire, ça Ă©lĂšve, ça stimule l’ñme, d’entendre le peuple du Seigneur rĂ©clamer un rĂ©veil.

30        a  Et Dieu a fait une promesse : “Si le peuple qui est appelĂ© de Mon Nom se rassemble et qu’il prie, alors Je l’exaucerai des Cieux.” Et alors, nous, ce soir, nous voulons rĂ©flĂ©chir lĂ -dessus. Et, souvenez-vous qu’au milieu de tous ces cris, Dieu ne peut pas envoyer de rĂ©veil tant qu’Il n’aura pas des hommes qui soient en Ă©tat de le porter. Nous ne pouvons pas avoir de rĂ©veil tant que nous n’aurons pas des hommes, des hommes appelĂ©s de Dieu, des hommes formĂ©s par Dieu, qui n’ont pas Ă©tĂ© formĂ©s dans les Ă©coles de thĂ©ologie et dans les Ă©coles normales, mais des hommes solides, des hommes de foi, que Dieu a instruits Ă  l’école de Sa solide formation. Des hommes qui n’ont pas peur de braver les flammes! Des hommes qui sont entrĂ©s dans la PrĂ©sence de Dieu, qui connaissent Sa puissance, qui connaissent Son omnipotence, et qui connaissent Sa puissance de guĂ©rison! Des hommes qui ont Ă©tĂ© formĂ©s pour connaĂźtre le Dieu vivant! C’est bien de les former par la Parole, mais “la lettre tue; c’est l’Esprit qui vivifie”.

31        Et avant que nous puissions avoir ce rĂ©veil, Dieu doit appeler des hommes et les former : des hommes formĂ©s par Dieu pour porter ce Message. Ils ne se prĂ©occupent pas de l’opposition. Ils sont disposĂ©s Ă  aller Ă  la fournaise ardente dans la dĂ©faite, ou Ă  la fosse aux lions, ou n’importe oĂč. Ils sont prĂȘts Ă  y aller, parce qu’ils ont Ă©tĂ© dans la PrĂ©sence de Dieu, et ils savent qu’Il existe. Que ce soit dans la victoire ou dans la dĂ©faite, ils vont quand mĂȘme tenir le coup. VoilĂ  le genre de formation que Dieu donne aux hommes. Et c’est trĂšs Ă©trange, de penser que Dieu ferait ça, que c’est comme ça que Dieu forme Ses hommes, mais c’est ce qu’Il fait. Vous savez, il y a ce vieux cantique que nous chantons :

Certains passent par les eaux, certains passent par les flots,

Certains passent par de dures épreuves, mais tous passent par le Sang.

32        Dieu fait passer Son peuple par de grandes Ă©preuves, pour les purifier. Et parfois, il faut des annĂ©es pour le faire. Moi, ce que je crois, ce soir, c’est que Dieu est maintenant mĂȘme en train de former de tels hommes, pour faire face Ă  la ligne de bataille, des hommes qui passent au travers, et qui, des fois, sont secouĂ©s jusqu’à perdre pied. Parfois, on dirait que tout est en train de s’écrouler, et pourtant, au milieu de tout ça, ils connaissent ce Dieu vivant, et ils continuent Ă  regarder en avant, ils continuent Ă  avancer.

33        Et bien des gens qui prient pour avoir un rĂ©veil, je me demande si eux, parfois, ceux qui prient, si ce ne sont pas leurs priĂšres mĂȘmes qui bloquent les fontaines de bĂ©nĂ©dictions. Alors qu’ils sont peureux, et qu’ils ont peur de faire confiance Ă  Dieu, peur de Le prendre au Mot, peur de croire qu’Il vit encore aujourd’hui, alors que Sa Bible dĂ©clare en termes clairs “qu’Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement”.

34        Dieu n’appelle que trĂšs rarement les hommes intelligents, ceux qui sont instruits, les intellectuels. Ils ont leur rĂŽle Ă  jouer, et ce sont de grands hommes. Mais gĂ©nĂ©ralement, quand Dieu veut que le travail se fasse, Il va chercher quelqu’un qui sait Ă  peine son alphabet. Sondez les Écritures. Fouillez dans l’histoire. Les hommes qui ont Ă©tĂ© quelqu’un pour Dieu, ce n’étaient pas des hommes qui avaient beaucoup d’instruction, mais des hommes qui, en fait, n’avaient aucune instruction, seulement ils avaient le dĂ©sir dans leur cƓur de servir Dieu. Il est allĂ© chercher le laboureur, le berger, le pĂȘcheur, le chasseur, ceux qui vivaient dans la nature. Dans la tranquillitĂ© et la quiĂ©tude de la nature, lĂ  Dieu pouvait leur parler. Et c’est ceux-lĂ  qu’Il a appelĂ©s.

35        Et s’il se trouve qu’Il lance Son appel Ă  quelqu’un de trĂšs intellectuel, alors, cette personne va finir par retourner Ă  ses conceptions intellectuelles. Et au bout d’un certain temps, quand il est question d’accomplir des choses phĂ©nomĂ©nales, il est trop impliquĂ© avec les gens du monde pour accepter quelque chose comme ça. Donc, il finit par aboutir dans une dĂ©nomination, et il continue Ă  dĂ©vier et devient ministre. Et il n’y a pas de mal Ă  ça, je n’ai rien contre la personne qui ferait ça.

36        Mais quand Dieu se prĂ©pare Ă  faire quelque chose dans le domaine du surnaturel, en gĂ©nĂ©ral Il va chercher un homme en qui Il peut mettre Sa confiance, et Il l’oint et Il l’envoie, et celui-ci ne recule devant rien pour s’acquitter de sa tĂąche. VoilĂ  le genre d’homme qu’il nous faut aujourd’hui; non pas des Ă©rudits aux maniĂšres raffinĂ©es, mais des hommes qui connaissent Dieu dans la Puissance de Sa rĂ©surrection.

37        Par exemple, il y a eu un homme, dans la Bible, qui s’appelait MoĂŻse, qui avait reçu toute sa formation. Il connaissait toute la thĂ©ologie. Il savait tout ce qu’il devait savoir. MĂȘme que, s’il avait eu besoin de quelque instruction que ce soit, il pouvait enseigner aux maĂźtres d’IsraĂ«l, ou, de l’Égypte; il n’avait besoin d’absolument rien. Et la Bible nous dit qu’il fut instruit dans toute la sagesse des Égyptiens. Voyons, il pouvait enseigner Ă  leurs Ă©rudits. Il pouvait enseigner des choses Ă  leurs savants. Il Ă©tait au summum, du cĂŽtĂ© intellectuel. Et pourtant, Dieu a mis quarante ans Ă  le vider de tout ça, lĂ -bas dans le dĂ©sert. Et quand il a Ă©tĂ© vidĂ© de toutes les conceptions intellectuelles qu’il avait de Dieu, lĂ -bas dans le dĂ©sert, le mĂ©tal Ă©tait alors prĂȘt Ă  ĂȘtre façonnĂ© de nouveau.

38        C’est comme ça que Dieu s’y prend, Ses hommes, Il les vide de toutes leurs peurs et de tout leur intellectualisme, et alors le grand MaĂźtre Potier les installe sur le tour, et Il se met Ă  les façonner de nouveau. Des ouvriers dignes! C’est l’homme de Dieu. Qui pourrait former un homme, mieux que Dieu Lui-mĂȘme? Observez comment Il s’y prend pour les former.

39        Nous pourrions en considĂ©rer encore un autre, qui s’appelait David. Dieu formait David, Ă  l’époque oĂč il n’était encore qu’un petit garçon. Le prophĂšte Samuel est venu verser de l’huile sur sa tĂȘte, il l’a oint, parce que Dieu allait former David pour qu’il devienne un guerrier puissant. Et regardez quelle formation Il lui a donnĂ©e.

40        Je lisais, il y a quelque temps, ici, Ă  Green’s Mill, lĂ  oĂč j’ai l’habitude d’aller pour prier, le passage oĂč Dieu a dit Ă  David : “Je t’ai pris au pĂąturage, derriĂšre les quelques brebis de ton pĂšre, lĂ -bas, et J’ai rendu ton nom grand comme celui des grands qui sont sur la terre.”

41        Et je pense Ă  la solide formation qu’Il a donnĂ©e Ă  David. Il ne l’a pas du tout instruit dans une Ă©cole quelconque, mais Il l’a instruit dans Son Ă©cole Ă  Lui. David Ă©tait un chasseur et un berger. Quand il a Ă©crit les Psaumes, il a parlĂ© de verts pĂąturages et d’eaux paisibles, parce que lĂ -bas, il Ă©tait seul, tout seul. Il n’était pas contaminĂ© par les choses du monde.

42        Dieu doit Ă©loigner un homme des choses du monde, pour pouvoir le tranquilliser, pour qu’il puisse Ă©couter Dieu, cette petite Voix tranquille. Puis, une fois qu’il a fait le contact avec Dieu, il ne recule plus devant rien, alors. Remarquez qu’il ne se prĂ©occupe pas de ce que qui que ce soit peut dire; il a Ă©tĂ© dans la PrĂ©sence de Dieu. Il connaĂźt Dieu dans la Puissance de Sa rĂ©surrection.

43        Et alors, David, nous voyons celui-ci; un jour, Dieu a permis qu’un ours vienne enlever l’une de ses brebis. David s’est lancĂ© Ă  la poursuite de cet ours. Il n’y a aucun doute qu’il avait priĂ©, puisqu’un peu plus tard, il a confessĂ© l’avoir fait. Il avait priĂ© et il avait demandĂ© Ă  Dieu. Il Ă©tait le gardien de cette brebis. Il ne pouvait pas perdre cette brebis. Il fallait qu’il sauve cette brebis, Ă  tout prix. Il a pris sa petite fronde, et il s’est lancĂ© Ă  la poursuite de cet ours, et il l’a tuĂ©. Il fallait qu’il sauve cette brebis. Vous voyez Ă  quoi Dieu l’entraĂźnait?

44        Dieu veut que Ses bergers sauvent les brebis; qu’importe de quoi on peut le traiter et ce qu’il doit endurer. Sauvez ces brebis!

45        Quand Il a vu que David avait Ă©tĂ© courageux devant cet ours, Il a simplement augmentĂ© un peu la puissance de l’animal, et Il a envoyĂ© un agneau... un lion, qui est venu enlever l’un des agneaux.

46        Et le lion est un animal fĂ©roce. Oh, en Afrique, quand je les chassais... Un lion est capable de tuer dix hommes en moins de temps qu’il n’en faut pour dire : “Ouf!” Oh, c’est une bĂȘte trĂšs puissante! Un grand rugissement, et voilĂ , les hommes se consument, tout simplement. Et l’homme qui meurt sous la puissance du lion, il ne ressent absolument aucune douleur. C’est tellement effrayant, d’entendre ce rugissement qu’il pousse. Ces grosses pattes, Ă©normes, en une seconde, il met en piĂšces une douzaine d’hommes.

47        Et de penser, un petit garçon! La Bible dit qu’il avait “le teint rosĂ©â€. Ça veut dire qu’il n’était qu’un petit bout d’homme; avec une petite fronde. Vous savez ce que c’est, c’est un petit morceau de cuir, avec une corde de chaque cĂŽtĂ©. Et un lion affamĂ©, qui avait dĂ©jĂ  le goĂ»t du sang dans sa gueule, est venu et il a enlevĂ© une brebis. David a levĂ© les yeux vers Dieu, et il a dit : “Je ne peux pas perdre celle-lĂ . Aide-moi, Seigneur.” Et il a terrassĂ© le lion avec sa fronde. Et quand le lion s’est dressĂ© contre lui, ce petit garçon, alors que le lion pesait environ cinq cents livres [deux cent vingt-sept kilos] ou plus, ce petit garçon n’en pesait peut-ĂȘtre que soixante-dix ou quatre-vingts [trente-deux ou trente-six kilos]. Il a sorti son couteau de sa petite ceinture. Et quand le lion s’est relevĂ©, – quelques coups de patte, et il aurait tuĂ© dix hommes, – il a saisi le lion par la barbe et il l’a tuĂ©.

48        Du courage! Dieu ne veut pas des lĂąches. Il ne peut pas se servir de vous si vous avez peur de prendre Sa Parole et de croire en Lui. Il veut des hommes courageux, qui ne prĂȘteront attention Ă  rien d’autre qu’à ce que le Seigneur dit. C’est avec ceux de cette trempe-lĂ  qu’Il agit. Qu’importe ce que l’église peut dire, ce que le pasteur peut dire, la position que peut prendre l’église, lui, il prend position pour Dieu et pour la justice, et pour Sa Parole. VoilĂ  les hommes que nous... que Dieu enverra, en ces jours, pour Son rĂ©veil, que Son peuple rĂ©clame par la priĂšre.

49        Quelques annĂ©es plus tard, quand il est allĂ© voir ses frĂšres Ă  la bataille, il y avait une espĂšce de grand gĂ©ant lĂ -bas, qui avait des doigts de quatorze pouces [trente-cinq centimĂštres]. Et il se vantait, il disait : “Maintenant que quelqu’un vienne donc me combattre. Si vous me battez, je me rendrai; si c’est l’inverse, alors c’est nous qui servirons.” Celui qui se rendra, ce sera, Ă©videmment, ce sera celui qui aura perdu.

50        VoilĂ  comment le diable aime procĂ©der. Quand il pense qu’il a le dessus sur vous, il vous dira : “Tu ne rĂ©ussiras pas Ă  faire passer ça. Tu ne peux pas prĂȘcher la guĂ©rison Divine dans l’église mĂ©thodiste, dans l’église baptiste.” Eh bien, vous, les prĂ©dicateurs mĂ©thodistes, entrez donc en contact avec Dieu, une fois, et voyez si vous le pouvez ou pas. Ah. Vous n’y arriverez jamais avec votre thĂ©ologie, ce qu’ils enseignent. Vous devrez entrer en contact avec Dieu, et savoir qu’Il existe.

51        Ils disent : “Les pentecĂŽtistes.” Il y a quelques annĂ©es, il y avait un groupe de gens qui se tenaient lĂ , au coin, ils n’avaient mĂȘme pas de–de bĂątiment oĂč ils pouvaient aller. Mais avez-vous lu le magazine Life, l’autre jour, ce qu’ils disaient d’eux? C’est l’un des plus grands phĂ©nomĂšnes que cet Ăąge ait jamais connus : la montĂ©e de l’église pentecĂŽtiste. Certainement. “Et ils produisent plus de convertis en un an, que toutes les autres Ă©glises ensemble.” C’est ce que disait le magazine Life. Pourquoi? Il se peut qu’ils soient dans la confusion sur certains points, mais, frĂšre, ils sont courageux; ils se tiennent lĂ , avec fermetĂ©, et ils appellent les choses par leur nom, noir, c’est “noir”, et blanc, c’est “blanc”. Quand le rĂ©veil va se manifester, finalement, il va se manifester parmi eux. Regardez bien et vous verrez si ce n’est pas le cas. Ils vont ĂȘtre remis dans la bonne voie, un de ces jours.

52        Et, David. Quand SaĂŒl a mis son armure sur lui, et qu’il a dit : “David, si tu as l’intention de combattre ce gars-lĂ , ce gĂ©ant...” Il a dit : “Voyons, tu n’es qu’un gamin, qu’un jeune homme, et lui, il Ă©tait guerrier dĂšs sa jeunesse. Comment vas-tu faire pour le combattre?”

53        Écoutez ce petit David. Vous voyez, il ne l’a pas dit comme ceci : “Monsieur SaĂŒl, votre honneur. Mon pĂšre m’a envoyĂ© Ă  l’école primaire, au collĂšge, Ă  l’école secondaire. J’ai un doctorat. Je–je–j’ai les compĂ©tences nĂ©cessaires pour faire ceci. Je suis un homme intelligent.” Ce n’est pas du tout comme ça qu’il l’a dit.

54        Il a dit : “Mon seigneur,” il a dit, “quand je gardais les brebis de mon pĂšre, lĂ -bas, un ours est venu en enlever une, et je l’ai tuĂ©. Et un lion est venu en enlever une, et je l’ai renversĂ©. Et quand il s’est relevĂ©, je l’ai tuĂ©.” Et il a dit : “Le Dieu qui m’a dĂ©livrĂ© des pattes de l’ours et du lion, peut aussi me dĂ©livrer des mains de ce Philistin incirconcis.” Un homme formĂ© par Dieu!

55        SaĂŒl Ă©tait lĂ , avec toute la formation qu’un homme puisse recevoir, pour savoir combattre. David ne s’y connaissait pas du tout en Ă©pĂ©es. Il ne s’y connaissait pas du tout en armures. Eh bien, SaĂŒl est allĂ© lui mettre sa grande armure, et le petit David se tenait lĂ , les jambes arquĂ©es, presque. Ils ont constatĂ© que son vĂȘtement ecclĂ©siastique n’allait pas Ă  un homme de Dieu; ça ne faisait que l’écraser. Et tous nos crĂ©dos et tout ne feront jamais le poids contre l’équipement de Dieu, lĂ -bas.

56        Oh, nous pourrions vraiment continuer sans arrĂȘt, et dire beaucoup de choses, de bien des personnages diffĂ©rents. Mais allons directement Ă  notre texte, pour faire vite.

57        Élie prenait de l’ñge, et il savait qu’avant longtemps il allait devoir quitter ce monde. Et Dieu avait trouvĂ© un homme, qui Ă©tait un homme honnĂȘte, qui Ă©tait un homme bon. Il s’appelait ÉlisĂ©e. Maintenant, si vous remarquez, l’un s’appelait Élie, et l’autre ÉlisĂ©e.

58        Or, il n’est pas du tout allĂ© vers le formalisme, et tout, allĂ© dans les Ă©coles de thĂ©ologie pour le trouver, ni dans les grandes Ă©coles secondaires de l’époque. Qu’est-ce qu’il a fait? Il est allĂ© dans le champ et il a trouvĂ© un homme qui labourait avec douze paires de bƓufs. Quoi donc? ÉlisĂ©e, celui qui labourait, il savait apprĂ©cier une ligne droite. Et il savait que s’il se retournait pour regarder en arriĂšre, il vacillerait et sortirait du chemin. Et Dieu savait qu’un homme qui savait tracer un sillon droit en labourant, saurait qu’on ne met pas la main Ă  la charrue pour ensuite ne serait-ce que regarder en arriĂšre. Il n’a jamais attendu d’avoir de l’instruction, il n’avançait pas en vacillant sur le chemin. Il a simplement tuĂ© le bƓuf, il l’a offert en sacrifice, et il est parti avec Élie, aussitĂŽt qu’il a eu ce manteau sur lui. Il Ă©tait prĂȘt, plein de bonne volontĂ©. Dieu savait qu’Il pourrait lui donner la capacitĂ©.

59        Maintenant, Dieu doit le mettre Ă  l’entraĂźnement. Il en avait eu, Il l’avait entraĂźnĂ© Ă  garder les yeux sur le sillon, avec douze paires de bƓufs, et un seul homme qui labourait derriĂšre eux. Il lui avait enseignĂ© la patience, Ă  ĂȘtre patient, Ă  entraĂźner ces bƓufs Ă  marcher bien alignĂ©s.

60        Plus tard, il a eu Ă  former des hommes; les amener Ă  s’en tenir Ă  la Bible, Ă  la Parole, Ă  s’aligner sur Dieu, Ă  rester bien alignĂ©s.

61        Et puis, il a mĂȘme fallu que Dieu fasse un peu son Ă©ducation. Il a dit : “Maintenant, reste ici, parce que je vais Aa Guilgal. L’Éternel m’y a appelĂ©.”

62        Et le prophĂšte, aprĂšs avoir senti cette Puissance sur lui, ce manteau d’Élie, il a dit : “L’Éternel est vivant et ton Ăąme est vivante! je ne te quitterai point.”

63        Il est allĂ© Ă  Guilgal, qui est le–le lieu de la confession chrĂ©tienne et du baptĂȘme. Et alors il a dit : “Reste donc ici, maintenant. C’est suffisant. Tu as fait ta confession et tu as Ă©tĂ© baptisĂ©. C’est suffisant. Je m’en vais Ă  BĂ©thel”, ce qui veut dire “la maison de Dieu”.

64        Or, bien des gens qui font seulement profession de quelque chose se seraient contentĂ©s de ça. “Oh, je viens d’adhĂ©rer Ă  l’église, et j’ai de la communion. Pourquoi ne pas rester ici?”

65        Mais, Ă©coutez. ÉlisĂ©e ne pouvait pas avoir ce genre d’idĂ©e lĂ . Il avait dĂ©jĂ  senti la Puissance de Dieu. Il savait qu’il pouvait recevoir plus que ça. Alors, il a dit : “L’Éternel est vivant et ton Ăąme est vivante! je ne te quitterai point.” Oh, j’aime vraiment ça!

66        Et il est allĂ© Ă  BĂ©thel, Ă  la maison de Dieu, et il y a trouvĂ© une bande d’érudits. C’étaient tous des prĂ©dicateurs qui avaient reçu une solide formation, ils sont venus par lĂ  lui dire, ils ont dit : “Mon seigneur, sais-tu quoi? Tu vas te faire avoir. Sais-tu qu’Élie te sera enlevĂ©? Il est trop vieux. Il ne peut plus vivre encore trĂšs longtemps. Élie te sera enlevĂ©, et toi, tu vas rester lĂ , comme un fanatique.”

67        Je vais vous dire quelque chose maintenant. Un homme qui a dĂ©jĂ  goĂ»tĂ© Ă  Dieu, ne voudra pas, ou, ne peut pas Ă©tancher sa soif Ă  une citerne faite de main d’homme. Il ne le peut pas. LĂ , toute la thĂ©ologie qu’ils avaient lĂ -bas Ă  l’école des prophĂštes, ça n’étancherait pas la soif de cet homme de Dieu, qui avait goĂ»tĂ© Ă  Dieu.

68        Et ils insistaient : “Oh, tu devrais rester ici. Et, voyons, dans six semaines, nous pourrions te donner ton doctorat. Et, tu sais, ce ne serait pas bien long, au bout d’environ quatre ans de formation ici, nous pourrions te donner le droit de prĂȘcher. Tu sais, si tu faisais tes preuves, que ça allait bien, nous t’enverrions Ɠuvrer pour notre dĂ©nomination.” Ça, ça ne satisfera pas un homme de Dieu. “Nous te formerons pour que tu deviennes ministre, si tu acceptes seulement de rester avec nous environ quatre ou cinq ans, ici.”

69        Il n’avait pas de temps pour ce genre de chose. Il Ă©tait en route vers cette Source. Il Ă©tait dĂ©jĂ  au-dessus de tout ça. Il avait dĂ©jĂ  goĂ»tĂ© au Ciel, dans son Ăąme.

70        Et il a dit : “Sais-tu que ton chef va t’ĂȘtre enlevĂ©?”

71        Écoutez ce qu’il a dit. “Oui, je le sais. Mais taisez-vous.” Autrement dit : “Ne gaspillez pas votre salive. N’essayez pas de m’en parler. N’essayez pas de me parler de ce que je suis en train de faire. Je sais oĂč je vais et ce que je poursuis.” [FrĂšre Branham tape trois fois dans ses mains.–N.D.É.]

72        Ô Dieu, donne-nous des hommes comme ceux-lĂ , des hommes formĂ©s par Dieu, qui ont appris Ă  ne pas dĂ©vier, en vacillant de ce cĂŽtĂ©-ci, et en vacillant de ce cĂŽtĂ©-lĂ .

73        “Je sais oĂč je vais. Et ne m’en parlez pas. Avalez donc votre salive. Ne cherchez pas Ă  me dĂ©courager, parce que ça ne servira Ă  rien.”

74        Oh, si seulement les gens qui reçoivent de la priĂšre avaient autant de courage!

75        “Oh, les jours des miracles sont passĂ©s. Ce n’était pas rĂ©el, ça. Regarde bien, tu vas retomber malade.

76        – Avalez donc votre salive. Ne me parlez pas de ça. Je continue Ă  avancer. Le rĂ©veil va venir. Dieu l’a promis.” Oh, vous, les fils de Dieu, transportez-vous dans cette sphĂšre, lĂ -bas : sans peur. Sans peur! Prenez Dieu au Mot.

77        “Je sais qu’il–qu’il va m’ĂȘtre enlevĂ©. Mais ce n’est pas ça qui me... Ici, vous n’avez rien qui m’intĂ©resse. Tous vos diplĂŽmes, et vos doctorats, et vos licences en lettres, et tout ce genre de chose, ça ne me satisfait pas. Avalez donc votre salive.

            – Eh bien, tu vas perdre la boule lĂ -bas.

78        – Eh bien, si je perds la boule, que je perde la boule. Je suis en route.” Il continuait, il avançait.

            – Tu ne rĂ©ussiras pas Ă  passer la rampe avec ça.

79        – Je sais que moi, je ne rĂ©ussirai pas Ă  passer la rampe, mais Dieu, Lui, Il va me faire passer au travers”, a-t-il dit.

“Eh bien, ÉlisĂ©e s’en va au Jourdain

– J’y vais avec lui.

Dieu exige le Jourdain, de chaque vie.

80        Alors, ÉlisĂ©e est venu. Il a dit : “Bon, ÉlisĂ©e...” Élie a dit Ă  ÉlisĂ©e : “Tu n’es qu’un jeune homme,” peut-ĂȘtre quelque chose comme ceci, “et, en rĂ©alitĂ©, tu es sans instruction.” Le vieux prophĂšte voulait l’éprouver. Il a dit : “Tu n’es qu’un jeune homme. Tu as trĂšs peu d’instruction. Voyons, tu ne... C’est, en rĂ©alitĂ©, tu n’as mĂȘme pas complĂ©tĂ© tes Ă©tudes primaires. Tout ce que tu sais faire, c’est labourer. Alors, tu ferais mieux de rester ici, et, peut-ĂȘtre, obtenir ta licence en lettres. Tu vois? Tu ferais mieux de rester et d’obtenir ton diplĂŽme.”

81        Mais pas ÉlisĂ©e, pas cet homme qui avait touchĂ© Dieu, une fois, qui avait senti cette Puissance de l’onction sur lui. Il a dit : “L’Éternel est vivant et ton Ăąme ne mourra jamais! je ne te quitterai point.” Il avait un but. Il avait vu la vision. Il savait ce qui allait se produire.

82        Et ils sont tous les deux allĂ©s au Jourdain. Le Jourdain, ça veut dire la “mort”. Ils sont lĂ , le vieil homme et le jeune homme. En rĂ©alitĂ©, ça reprĂ©sente Christ et Son Église. Et ils Ă©taient lĂ , prĂšs du Jourdain. VoilĂ  cette eau qui descend, des collines de la JudĂ©e, les grands rapides qui mugissent, comme ça. Et ÉlisĂ©e, ses cheveux gris qui lui descendaient dans le dos, et ses yeux ĂągĂ©s obscurcis qui regardaient de l’autre cĂŽtĂ© du Jourdain... Et le jeune homme qui guettait chacun de ses mouvements. L’un, le jeune homme, attendait une vision, pour exĂ©cuter la volontĂ© de Dieu. L’autre rentrait Ă  la Maison. Ils Ă©taient tous les deux au Jourdain. ÉlisĂ©e, quant Ă  lui... Il rentre Ă  la Maison.

83        ÉlisĂ©e avait eu une vie pĂ©nible. Cette femme prĂ©dicateur, lĂ -bas, elle lui avait menĂ© la vie dure, JĂ©zabel, et Achab. Et les pierres, et tout ce qu’il avait endurĂ©! ÉlisĂ©e se sentait fatiguĂ©. Et il savait qu’il avait combattu un bon combat, et qu’il avait achevĂ© la course. Juste de l’autre cĂŽtĂ© du Jourdain, il serait Ă  la retraite.

            Mais ÉlisĂ©e guettait cet Esprit qui Ă©tait sur lui.

84        Alors, si vous remarquez, chaque croyant, quand vous en serez au point oĂč vous devez vous dĂ©faire de tout, vous sentirez les vagues froides du Jourdain clapoter contre vos pieds. Allez-vous traverser, ou n’allez-vous pas traverser? Le Jourdain, c’est la “sĂ©paration”, se sĂ©parer.

85        Et debout lĂ -bas sur la colline, il y avait encore ces prĂ©dicateurs, qui criaient trĂšs fort Ă  ÉlisĂ©e : “Tu ferais mieux de ne pas traverser. Tu vas aller trop loin.” On en entend, de ces rĂ©flexions-lĂ , encore aujourd’hui.

86        Mais ÉlisĂ©e a dit : “Si Dieu est Dieu, et que c’est lĂ  Son prophĂšte, c’est moi qui dois le remplacer. Et pour le faire, j’ai besoin de Son Esprit. Je n’ai pas besoin de leur Ă©cole. Si leur Ă©cole avait fait l’affaire, c’est eux qui le remplaceraient. Mais c’est moi que Dieu a appelĂ© Ă  le faire, et j’ai besoin de Son Esprit.”

87        Si les Ă©coles ecclĂ©siastiques avaient eu Ă  prendre la place, et la Puissance que JĂ©sus a offerte, elles l’auraient prise il y a des annĂ©es : les mĂ©thodistes, les baptistes, les catholiques, les presbytĂ©riens. Mais elles ne le feront jamais!

88        Il faut l’Esprit de JĂ©sus-Christ! Et vous traverserez le Jourdain, toutes les dĂ©nominations derriĂšre, et tout le reste, et vous vous tiendrez seul avec Dieu.

89        Alors, Il s’est tenu lĂ  avec lui, au Jourdain. ÉlisĂ©e levait les yeux, il savait que quelque part de l’autre cĂŽtĂ©, Dieu allait le rencontrer. Il a enlevĂ© son manteau, et il a tournĂ© le regard vers le jeune homme, et il a frappĂ© le Jourdain. Et Ă  ce moment-lĂ , le Jourdain s’est ouvert. Et ils l’ont traversĂ© Ă  sec.

90        Voyez-vous, le Jourdain n’est pas si terrible, aprĂšs tout, s’il y a Quelque Chose avec vous pour dĂ©gager la voie.

91        Oh, quand ils sont arrivĂ©s de l’autre cĂŽtĂ©! AttachĂ©s Ă  chaque buisson, il y avait un cheval et un char. Le Roi des rois avait envoyĂ© une escorte, pour faire monter Élie Ă  la Maison. C’était fini, pour Élie. Il en avait eu assez, environ quatre-vingts et quelques annĂ©es, Ă  argumenter avec ces gens, lĂ -bas, et Ă  devoir... endurer la faim, et les disputes, et tout le reste. Il Ă©tait prĂȘt Ă  rentrer Ă  la Maison. Et il a tournĂ© le regard vers ÉlisĂ©e.

92        ÉlisĂ©e, lui, il voulait voir une vision. Oh, il aurait bien pu s’y arrĂȘter, Ă  toute cette instruction, lĂ -bas, il aurait bien pu s’arrĂȘter lĂ -bas. Ça ne les menait Ă  rien. Dieu allait le former Ă  Sa maniĂšre Ă  Lui. Alors, quand il a regardĂ© lĂ , qu’il a regardĂ©, tous–tous ces buissons, attachĂ©s lĂ , ces chars de Feu et ces chevaux de Feu, cela a eu un effet sur ÉlisĂ©e. Il a vu une vision. Oui, frĂšre!

93        Quand Dieu eut fait monter Élie, il est reparti avec une double portion de son Esprit. Alors il Ă©tait prĂȘt pour le rĂ©veil.

94        Remarquez, alors, cet homme, qui n’avait Ă©tĂ© qu’un jeune laboureur avant ça, Dieu a rendu son nom immortel. Tous les prophĂštes qui se tenaient lĂ , qui l’observaient, ils ont Ă©tĂ© forcĂ©s de se prosterner devant lui, parce qu’il avait la Puissance de Dieu sur lui. [FrĂšre Branham donne trois coups sur la chaire.–N.D.É.]

95        L’heure vient oĂč Dieu forcera le monde Ă  se prosterner aux pieds des hommes et des femmes qui ont fait le grand saut, qui ont traversĂ© le Jourdain et sont sĂ©parĂ©s des cho-... se sont sĂ©parĂ©s des choses du monde. FrĂšre et soeur, ce soir, quoi que vous fassiez, quoi que vous pensiez, traversez le Jourdain avec Dieu. Passez de l’autre cĂŽtĂ©, et sĂ©parez-vous, laissez le monde derriĂšre vous. Laissez Dieu vous former pour que vous soyez Ă  Son service Ă  Lui. Nous vivons au jour qui prĂ©cĂšde ce rĂ©veil, mais Dieu est Ă  la recherche, Il cherche Ă  trouver des cƓurs.

96        Regardez. Il a trouvĂ© un homme qui s’appelait Paul, oh, un pharisien prĂ©tentieux. Mais Il a Ă©tĂ© obligĂ© de le tabasser un peu, comme on dit, avant qu’il puisse devenir un disciple. Regardez ce qu’Il a fait, tout au long des Ăąges, aux hommes. Il a Ă©tĂ© obligĂ© de les prendre et d’extraire d’eux tout ce qu’ils avaient comme thĂ©ologie. Et Paul, dĂšs qu’il a vu la vision, il n’est pas montĂ© Ă  JĂ©rusalem, voir Gamaliel, le grand docteur, le plus grand en IsraĂ«l, celui qui l’avait instruit. Il n’est jamais retournĂ© vers lui, pour le consulter. Allons, ce n’est que quatorze ans plus tard qu’il est retournĂ© Ă  JĂ©rusalem. Mais il est descendu en Égypte, Ă  une rĂ©union de priĂšre. LĂ  Dieu lui a permis d’écrire un grand nombre des Livres du Nouveau Testament. Voyez? Dieu cherche des hommes. Il y avait quelqu’un qu’Il voulait utiliser pour Ă©crire ce Testament, alors Il a simplement choisi Paul. Et Il a fait sortir de lui tout ce qu’il avait comme thĂ©ologie. Et Paul a dit qu’il lui avait fallu oublier tout ce qu’il avait appris jusque-lĂ , pour connaĂźtre Christ.

97        Dieu, aujourd’hui, Il essaie de nous vider de tout ce qui est du monde, de nous amener Ă  nous vider complĂštement, et Ă  ĂȘtre des hommes et des femmes sans peur, qui aiment Dieu, et qui vont rester avec Dieu, qui vont franchir la ligne de sĂ©paration, le Jourdain, afin qu’Il puisse nous utiliser pour Sa gloire.

98        C’est maintenant l’heure oĂč je veux que vous rĂ©flĂ©chissiez sĂ©rieusement. Si vous n’avez jamais traversĂ© ce lieu-lĂ , si vous n’avez jamais franchi cette ligne-lĂ , que vous dites encore : “Eh bien, ma mĂšre faisait partie de telle Ă©glise.” C’est bien. Ça, ça ne prend pas votre place Ă  vous. Voyez?

99        Dieu appelle des hommes et des femmes, aujourd’hui, Ă  se placer au front de bataille. Il ne les appelle pas Ă  aller Ă  Guilgal, et Il ne les appelle pas Ă  aller Ă  JĂ©richo non plus, ni Ă  BĂ©thel. Il... Ceux-lĂ  pĂ©riront. Mais Il les appelle Ă  traverser le Jourdain; pour qu’Il puisse vous faire entrer Ă  l’école de Sa Puissance Ă  Lui, vous former et vous façonner.

100      Regardez ce qu’Il fait ici mĂȘme, maintenant, Il fait descendre l’Esprit de Son Fils. Il accomplit des signes, des prodiges et des miracles, ce que le monde n’avait pas vu dans les derniers deux mille ans. Le monde scientifique En a pris la photo, la Colonne de Feu, l’Ange du Seigneur. Elle est accrochĂ©e, Ă  Washington, D.C., ce soir, dans la galerie de l’art religieux, le seul Être surnaturel qui n'ait jamais Ă©tĂ© photographiĂ© avec preuve scientifique. Il produit Ses mĂȘmes signes et prodiges.

101      Qu’est-ce que c’est? C’est de traverser le Jourdain. De vous retrouver seul avec Dieu. De rester lĂ , dans la fournaise de Son affinerie Ă  Lui. De vous mettre sur le grand tour du MaĂźtre Potier, et de Le laisser vous façonner. Ce soir, alors que nous sommes en priĂšre, alors que nous venons Ă  ce lieu-lĂ , mettez-vous lĂ  sur Son tour, et dites : “Seigneur, me voici. Façonne-moi et forme-moi Ă  Ta maniĂšre Ă  Toi.” Et Dieu le fera.

102      Pendant que nous courbons la tĂȘte un petit instant, pour un mot de priĂšre. Juste avant de prier, je voudrais poser cette question aux gens qui sont Ă  l’intĂ©rieur et Ă  l’extĂ©rieur. Combien ici, sincĂšrement, aimeraient aller avec JĂ©sus, au Jourdain, ce soir, et y traverser vers un lieu oĂč vous pourrez voir une vision et voir ce qu’il en est vraiment de Dieu? Voulez-vous lever la main? Que Dieu vous bĂ©nisse. Regardez donc! Je pense qu’il doit y avoir deux cents mains dans ce bĂątiment, qui se sont levĂ©es. Descendre au Jourdain; pas au sĂ©minaire. ÉlisĂ©e est passĂ© lĂ -bas sans s’arrĂȘter.

            Ils disaient : “Reste ici.”

103      Il a dit : “Je ne veux pas. Ça, c’est fait de main d’homme.” Ah, ça n’étanchera jamais cette soif, d’un homme qui a soif de Dieu. Aucune expĂ©rience de sĂ©minaire, aucun–aucun diplĂŽme en lettres, ni rien d’autre n’arrivera jamais, jamais, Ă  Ă©tancher cette soif, tant que vous n’aurez pas bu Ă  la Source de la Vie.

            Vous qui avez levĂ© la main, priez avec moi, maintenant.

104      Dieu bien-aimĂ©, pendant ces quelques minutes de service, des hommes et des femmes debout le long des murs, des garçons et des filles; et Ă  l’extĂ©rieur, appuyĂ©s contre les fenĂȘtres; il fait chaud. Mais, malgrĂ© tout, il y a quelque chose en eux, Tu as attirĂ© leur attention, sinon ils se seraient Ă©loignĂ©s. Ils ne seraient pas restĂ©s lĂ , debout, comme ça.

105      Seigneur Dieu, c’est parce qu’ils savent qu’ils ne sont que des ĂȘtres humains. Et nous avons lu dans le journal, que l’un de nos honorables anciens maires, en Ă©coutant parler le Vice-prĂ©sident, a Ă©tĂ© emportĂ©. Un autre, Ă  un match de base-ball, l’autre soir, un homme cĂ©lĂšbre, est parti subitement. Et leur Ăąme est quelque part, ce soir. Ô Dieu, nous aurons Ă  passer par lĂ , un jour. Peut-ĂȘtre pas de la mĂȘme maniĂšre, mais nous devons partir.

106      Alors, permets que les hommes reprennent leurs sens et qu’ils se rendent compte que de faire partie de l’église, sans plus, ce n’est pas ça que Tu exiges. Tu veux que les hommes soient remplis de l’Esprit, nĂ©s, taillĂ©s, gravĂ©s par le feu du Saint-Esprit, marquĂ©s au fer rouge, des hommes qui ont franchi la ligne, des hommes appelĂ©s de Dieu. Et nous croyons que Tu enverras le rĂ©veil que Billy Graham et beaucoup d’autres rĂ©clament par la priĂšre. Quand Tu auras amenĂ© des hommes Ă  se retrouver seuls, loin de leur Ă©cole de thĂ©ologie, loin de leurs maniĂšres prĂ©tentieuses, des hommes sans peur, des hommes qui font preuve de–de caractĂšre quand il s’agit de Toi, qui croient en Toi et qui Te prennent au Mot.

107      Ô Dieu, que beaucoup de ceux qui sont ici prĂ©sents en ce moment, acceptent de donner tout ce qu’ils ont au Seigneur JĂ©sus, et de se dĂ©faire complĂštement du monde, d’aller plus loin que Guilgal, le lieu de la confession et du dĂ©part chrĂ©tien. Aller plus loin que l’école des prophĂštes qui sont installĂ©s lĂ , avec leur thĂ©ologie. Aller jusqu’au Jourdain, vers une vision ouverte, quand ils auront traversĂ©, constater que le Dieu vivant vit encore.

108      Plus tard, nous voyons que ce prophĂšte a regardĂ© tout autour de lui, et il y avait lĂ  ces mĂȘmes Anges de Feu, et ces mĂȘmes chars, Ă  Dothan, un jour.

109      Ils sont encore ici, ce soir, Seigneur. Appelle Tes hommes, appelle Tes femmes, Tes garçons, Tes filles, Seigneur. Adresse des paroles de paix Ă  leur cƓur, et qu’ils traversent, de l’autre cĂŽtĂ© des choses du monde. Car nous le demandons au Nom de JĂ©sus et Ă  cause de Lui. Amen.

110      Je voudrais chanter ça, un petit instant, trĂšs doucement, en adoration.

Jésus, doux Maßtre,

RĂšgne sur moi,

Soumets mon ĂȘtre,

Sois-en le Roi.

Je suis l’argile,

Toi le Potier,

Rends-moi docile,

Ton prisonnier.

Tous en chƓur maintenant, dans l’adoration.

Jésus, doux Maßtre,

Maintenant consacrez-vous Ă  ce chant, par ce chant, Ă  Dieu.

RĂšgne sur moi,

Soumets mon ĂȘtre,

Sois-en le Roi.

Je suis l’argile,

Toi le Potier,

Rends-moi docile,

Ton prisonnier.

111      Doucement, maintenant, en adoration, maintenant. Ne regardez pas autour de vous. Regardez seulement vers Dieu.

Jésus, doux Maßtre, (Que ce soit vraiment sérieux.)

RĂšgne sur moi,

Soumets mon ĂȘtre,

Sois-en le Roi.

Je suis l’argile,

Toi le Potier,

Rends-moi docile,

Ton prisonnier.

112      Je pense que ce serait vraiment bien. Aimez-vous adorer? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Le Message est terminĂ© maintenant. Adorons donc, pendant une minute, avec nos tĂȘtes inclinĂ©es; ce chant de nouveau. Que ça vienne vraiment de votre cƓur.

Jésus, doux...

RĂšgne sur moi,

Soumets mon ĂȘtre,

Sois-en le Roi.

Je suis l’argile,

Toi le Potier,

Rends-moi docile,

Ton prisonnier.

113      Seigneur, accorde ceci. Depuis ces petits enfants jusqu’à l’homme et la femme les plus ĂągĂ©s, que tous ceux qui sont dans Ta PrĂ©sence Divine, que le Saint-Esprit, Ă  l’instant mĂȘme, agisse sur leur foi et enlĂšve tous les doutes, tous les petits Ă©checs, et qu’ils soient façonnĂ©s selon Ta volontĂ©. Pendant qu’ils sont sur Ton grand tour de potier, nous remettons nos Ăąmes pour une consĂ©cration, un remodelage. Accorde-le, ĂŽ Dieu, au Nom de JĂ©sus, Ton Fils. Amen.

114      J’aime vraiment ça. Pas vous? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Dans la tranquillitĂ©, ressentir le Saint-Esprit. Oh, aprĂšs un Message dur, ensuite cette douceur du Saint-Esprit! Cela vient de la Parole. Je vais chanter un couplet de ça, du moins je vais essayer.

Il est sanglant, oui, Il est sanglant,

Cet Évangile du Saint-Esprit, Il est sanglant,

Du sang des disciples morts pour la Vérité,

Cet Évangile du Saint-Esprit est sanglant.

 

Le premier qui mourut pour ce plan du Saint-Esprit

Fut Jean-Baptiste, mais il est mort comme un homme;

Ensuite vint le Seigneur Jésus, ils Le crucifiÚrent,

Il prĂȘcha que l’Esprit sauverait les hommes du pĂ©chĂ©.

 

Il y eut Pierre et Paul, et l’apître Jean,

Ils abandonnùrent leur vie pour que luise cet Évangile;

Ils mĂȘlĂšrent leur sang, avec les prophĂštes de jadis,

Pour que la véritable Parole de Dieu soit apportée dans toute Sa droiture.

 

Puis ils lapidĂšrent Étienne, il prĂȘchait contre le pĂ©chĂ©,

Il les rendit si furieux qu’ils lui fracassùrent le crñne;

Mais il mourut dans l’Esprit, il rendit l’ñme,

Et alla rejoindre les autres, la foule de ceux qui avaient donné leur vie.

 

Les ñmes sous l’autel crient : “Combien de temps encore?”

Avant que le Seigneur punisse tous les malfaiteurs;

Mais il y en aura d’autres qui donneront le sang de leur vie,

Pour cet Évangile du Saint-Esprit et Son flot cramoisi.

Tous en chƓur maintenant.

Il est sanglant, oui, Il est sanglant,

Cet Évangile du Saint-Esprit, Il est sanglant,

Du sang des disciples morts pour la Vérité,

Cet Évangile du Saint-Esprit est sanglant.

115      Qu’est-ce qu’ils ont Ă©tĂ©? Des hommes que Dieu a formĂ©s et appelĂ©s. [espace.non.enregistrĂ©.sur.la.bande–N.D.É.] Comment Dieu pourrait-Il jamais utiliser un lĂąche, pour mettre Sa Parole en lui? Il a peur. C’est pour cette raison qu’ils En ignorent tout. Des hommes qui n’ont pas peur, que Dieu a circoncis par le Saint-Esprit; Dieu vit en dedans. Pour lui, qu’il doive sceller son sang ou pas, que lui importe, sceller son tĂ©moignage avec son sang; ça lui est Ă©gal. C’est pour Christ qu’il vit. “Christ est ma vie, et la mort m’est un gain.” C’était leur sentiment lĂ -dessus. Amen.

116      Maintenant, c’est le moment de la ligne de priĂšre. Ce sera une ligne de priĂšre qui commence tĂŽt, il est tout juste huit heures vingt [vingt heures vingt]. Mais nous voulons prier pour les gens. Et maintenant je voudrais que vous, ceci... Toute la prĂ©dication que nous pourrions faire ne–ne pourrait se comparer avec une seule Parole prononcĂ©e par Dieu Lui-mĂȘme.

117      Maintenant, pour commencer la ligne de priĂšre, et nous avons promis de prier pour tous. C’est ce que nous ferons, Dieu voulant. Chaque soir, nous avons distribuĂ© des cartes de priĂšre. Et lĂ -dessus, nous disions que... Chaque soir, nous appelions un groupe de gens parmi celles-lĂ , pour le discernement. Mais les gens, alors, certains d’entre eux repartaient le mĂȘme soir. Nous avions une rĂ©union formidable, l’Esprit descendait, et les gens repartaient. Le lendemain soir, il fallait en distribuer d’autres.

118      Si je ne me trompe pas, n’est-ce pas Fannie Wilson que je suis en train de regarder, au fond lĂ -bas? [Soeur Wilson dit : “C’est exact.”–N.D.É.] Je me rappelle avoir emmenĂ© cette femme, il y a environ dix-sept... Oh, plus que ça, environ vingt-... [“193       2.”] En 193     2, elle se mourait de la tuberculose, et le mĂ©decin de cette ville l’avait condamnĂ©e. Et elle avait fait une hĂ©morragie, au point que les couvertures et tout, Ă©taient imbibĂ©s de sang. Son mari et sa fille sont venus me chercher, un matin. Je suis allĂ© lĂ -bas, et j’ai invoquĂ© sur elle le Nom du Seigneur JĂ©sus. C’est peut-ĂȘtre quelques jours plus tard, par un froid hivernal, que je l’ai baptisĂ©e au Nom du Seigneur JĂ©sus, Ă  la riviĂšre. Et elle est retournĂ©e sur la route, Ă  l’arriĂšre d’un vieux camion Ă  bĂ©tail, trempĂ©e jusqu’aux os. Elle vit encore ce soir, parce que Christ a accompli cela. C’est la premiĂšre fois que je la vois, depuis bien des annĂ©es. C’est en promenant mon regard sur l’auditoire que je l’ai vue.

119      Dieu vit toujours. C’est vrai. Et Il a dit : “Parce que Je vis, vous pouvez vivre aussi.”

120      Maintenant, j’aimerais vous prĂ©ciser un peu de quoi il s’agit, ici, parce que, sinon, alors vous pourriez repartir en disant : “Eh bien, ça, je ne comprends pas.”

121      Maintenant, ce que je soutiens, c’est que “JĂ©sus-Christ est encore le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement”. Or, s’Il est le mĂȘme, Il doit ĂȘtre le mĂȘme, dans tous les Ă©lĂ©ments qui Le constituent, le mĂȘme dans–dans Sa puissance, le mĂȘme dans Sa force, le mĂȘme dans tout ce qu’Il Ă©tait.

122      Et quand Il Ă©tait ici sur terre, Ă  un moment donnĂ©, quelques Grecs sont venus et ils ont dit : “Messieurs, nous voudrions voir JĂ©sus.”

123      Et je crois que c’est le dĂ©sir de tout homme ou toute femme qui ont jamais entendu parler de JĂ©sus, ils veulent Le voir. Et s’Il n’est pas le mĂȘme, alors nous ne pouvons pas Le voir. Mais s’Il est le mĂȘme, nous pouvons Le voir, sinon Il aurait dit quelque chose de faux. “Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je,” le pronom personnel, “Je serai avec vous, et mĂȘme en vous, jusqu’à la fin de l’ñge.” Et puis, JĂ©sus a promis d’ĂȘtre dans Son Église, Ă  faire les mĂȘmes choses qu’Il avait faites Ă  l’époque, jusqu’à la fin de l’ñge. Or Il a dit : “Un peu de temps”, le monde ne Le verrait plus. Eh bien, alors, comment ferions-nous pour Le voir? Il faudrait que nous voyions Son Esprit, s’Il est en nous, et il faudrait que cet Esprit fasse la mĂȘme chose que ce qu’Il avait fait Ă  l’époque, sinon Ce ne serait pas le mĂȘme Esprit.

124      “Je suis le Cep, vous ĂȘtes les sarments.” Et si nous portons... Si le sarment est attachĂ© au Cep, le sarment portera le genre de fruit que lui fait produire le Cep. Eh bien, le premier Cep qui est sorti... Le premier sarment qui est sorti du Cep, c’était un sarment de PentecĂŽte : visions, puissances, guĂ©risons, baptĂȘme du Saint-Esprit, grands signes et prodiges. Le sarment suivant devra ĂȘtre un sarment de la mĂȘme espĂšce. Et ainsi de suite jusqu’à la fin, ils devront ĂȘtre pareils. C’est ce que JĂ©sus a dit.

125      Maintenant, voyons ce qu’Il Ă©tait hier. Si nous pouvons dĂ©couvrir ce qu’Il Ă©tait hier... Maintenant j’abrĂšge, Ă  cause de l’heure; je vais donner environ cinq minutes d’instructions. Et si nous pouvons voir ce qu’Il Ă©tait hier, alors nous pourrons voir ce qu’Il est aujourd’hui, et ce qu’Il sera Ă©ternellement. Vous ĂȘtes d’accord lĂ -dessus? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.]

126      Maintenant, quand Il Ă©tait ici sur terre, Il est venu comme Messie, Il a Ă©tĂ© baptisĂ© par Jean-Baptiste; Il n’avait encore fait aucune Ɠuvre. Et Il s’est engagĂ© dans Son ministĂšre du dĂ©but. À qui avait-Il Ă©tĂ© envoyĂ©? Aux Juifs.

127      Or, nous comprenons bien qu’il n’y a que trois nationalitĂ©s de gens dans le monde, ce sont : les Juifs, les Gentils et les Samaritains; c’est-Ă -dire le peuple de Cham, de Sem, et de Japhet. Les Juifs, les Gentils et la Samarie.

128      Vous vous souvenez? Pierre, qui avait les clĂ©s du Royaume, leur a lancĂ© un appel, le Jour de la PentecĂŽte, aux Juifs. “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ.”

129      Philippe est allĂ© prĂȘcher aux Samaritains. Ils ont tous cru, et ils se sont repentis, et ils avaient dĂ©jĂ  Ă©tĂ© baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ; seulement, le Saint-Esprit n’était pas descendu sur eux. Pierre avait les clĂ©s. Il est allĂ© leur imposer les mains, et ils ont reçu le Saint-Esprit.

130      Et ensuite, Corneille, qui Ă©tait une personne des nations, il a eu une vision, comme quoi il devait envoyer chercher un homme du nom de Pierre, Simon Pierre, qui Ă©tait logĂ© chez un homme qui Ă©tait corroyeur. Et quand Pierre est arrivĂ© lĂ -bas, “comme Pierre prononçait encore ces Mots, le Saint-Esprit descendit sur eux”. Alors Pierre a dit : “Quelqu’un pourrait-il refuser l’eau? Ceux-ci ont reçu le Saint-Esprit, comme nous L’avons reçu au commencement.” Tous les sarments qui sortent sont exactement pareils. Voyez?

131      Maintenant, quand JĂ©sus a rencontrĂ©... Or, Il n’est pas venu vers les gens des nations. Combien savent ça? Il a interdit Ă  Ses disciples d’aller vers les gens des nations. Combien savent ça? “N’allez pas vers les paĂŻens, mais allez plutĂŽt vers les brebis perdues d’IsraĂ«l. Allez, prĂȘchez, et dites : ‘Le Royaume des Cieux est proche’, aux brebis perdues d’IsraĂ«l.”

132      Or, qui attendait Sa venue, Ă  cette Ă©poque-lĂ ? Pas les gens des nations; nous Ă©tions des paĂŻens, des Anglo-Saxons. Nous Ă©tions des Romains, nous adorions le soleil et tout. Nous n’attendions pas du tout un Messie, mais les Juifs et les Samaritains, eux oui. Maintenant, comment S’est-Il fait connaĂźtre aux gens qui L’attendaient?

133      Reportons-nous maintenant Ă  Jean, chapitre 1, et seulement pour un instant, maintenant. Et Ă©coutez attentivement.

134      Le premier Juif qu’on Lui a amenĂ©, quand Philippe, ou... AndrĂ© s’est converti, et qu’il est allĂ© trouver son frĂšre, Simon Pierre, il a amenĂ© Simon devant JĂ©sus. Et JĂ©sus lui a dit quel Ă©tait son nom, et ce qu’était son pĂšre. Combien savent ça? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] D’aprĂšs vous, quel effet est-ce que ça a produit sur cet homme qui, plus tard, allait avoir les clĂ©s du Royaume dans sa main? Ainsi Il a prouvĂ© qu’Il Ă©tait le Messie.

135      Sans tarder, alors, Philippe s’est converti, et il est allĂ© trouver NathanaĂ«l. Ça, c’est un trajet de trente milles [quarante-huit kilomĂštres], de l’autre cĂŽtĂ© de la montagne. Il est arrivĂ© Ă  la maison, et je peux l’entendre dire : “Oh, Mme NathanaĂ«l, oĂč est NathanaĂ«l?

            – Oh, il est dans la–dans l’oliveraie.”

136      Il est allĂ© lĂ -bas, Ă  toute vitesse : “NathanaĂ«l, oĂč es-tu?” Et il l’a trouvĂ© sous un arbre. NathanaĂ«l priait. Il a attendu qu’il ait fini de prier. Et il a dit, non pas : “Bonjour, NathanaĂ«l, comment vas-tu! Comment vont les rĂ©coltes?” Oh, il avait un message! C’est pareil pour tout homme qui a rencontrĂ© JĂ©sus. Il ne perd pas son temps Ă  des futilitĂ©s. Il a dit : “Viens voir Qui nous avons trouvĂ©, JĂ©sus de Nazareth, le fils de Joseph!”

137      Et maintenant, je peux voir NathanaĂ«l secouer ses vĂȘtements, vu qu’il avait Ă©tĂ© en priĂšre. Il a dit : “Allons, Philippe, Ă  ma connaissance, tu as toujours Ă©tĂ© un brave homme, et un homme honnĂȘte. Allons, peut-il sortir quelque chose de bon de Nazareth? Eh bien, tu sais, si le Messie venait, c’est Ă  JĂ©rusalem qu’Il viendrait, Il viendrait de l’église.” C’est ce que les gens pensent aujourd’hui. Voyez? “Il viendrait de JĂ©rusalem. CaĂŻphe n’a pas du tout annoncĂ© ça, Ă  la derniĂšre rĂ©union. De mĂȘme, aucun des thĂ©ologiens n’a annoncĂ© ça. Alors, Ă  ma connaissance, tu as toujours Ă©tĂ© un homme honnĂȘte. Aurais-tu perdu le nord?

            – Oh, non. Viens donc voir.”

            Il a dit : “Est-ce que quelque chose de bon...”

138      Il lui a donnĂ© la meilleure rĂ©ponse qu’un homme aurait pu lui donner, il a dit : “Viens voir toi-mĂȘme.”

139      Maintenant, alors qu’ils faisaient route, je peux entendre NathanaĂ«l dire... ou Philippe dire Ă  NathanaĂ«l : “Sais-tu quoi? Tu te souviens de ce brave pĂȘcheur, lĂ -bas, qui n’avait mĂȘme pas su signer le reçu, quand tu lui avais donnĂ©, achetĂ© du poisson?

            – Oui. Je crois qu’il s’appelait Simon.

            – Oui, c’est ça.

140      – L’autre jour, je l’ai emmenĂ© devant ce Messie, et dĂšs qu’Il l’a vu, Il a dit : ‘Tu t’appelles Simon. Ton pĂšre s’appelle Jonas.’ Et je... Ça ne m’étonnerait pas, quand tu vas te prĂ©senter devant Lui, qu’Il te dise qui tu es.”

Il a dit : “Ah, là, attends une minute, pas moi.”

141      Alors, le lendemain, ils sont arrivĂ©s. Et c’était pendant que JĂ©sus faisait la ligne de priĂšre, comme d’habitude Il priait pour les malades. Et quand il... il s’est avancĂ©, et il est allĂ© dans l’auditoire. JĂ©sus a levĂ© les yeux, et Il a vu venir Philippe, qui emmenait un homme, dans l’allĂ©e. Et Il l’a regardĂ©, Il a dit : “Voici un IsraĂ©lite, dans lequel il n’y a point de fraude.”

142      N’est-ce pas que c’est bizarre comme Doctrine? Ça, c’était JĂ©sus hier. C’est JĂ©sus aujourd’hui, s’Il est le mĂȘme.

143      Et cet homme s’est arrĂȘtĂ©. Je peux voir NathanaĂ«l. Philippe lui donne un coup de coude, il dit : “Qu’est-ce que je t’avais dit? Qu’est-ce que je t’avais dit?”

144      Il a dit : “Rabbi”, ce qui veut dire docteur, ou le nom qu’on donnerait Ă  ça aujourd’hui, vous savez. En fait, le vrai mot, en hĂ©breu, ça veut dire docteur. Il a dit : “Rabbi, quand m’as-Tu dĂ©jĂ  vu? Comment sais-Tu quoi que ce soit Ă  mon sujet? Je ne T’ai jamais vu de ma vie. Comment sais-Tu que je suis un IsraĂ©lite? Comment sais-Tu que je suis juste, honnĂȘte et franc? Tu ne m’as jamais vu de Ta vie. Comment se fait-il que Tu me connaisses?”

145      Il a dit : “Avant que Philippe t’appelle, quand tu Ă©tais sous l’arbre, Je t’ai vu”, Ă  trente milles [quarante-huit kilomĂštres], de l’autre cĂŽtĂ© de la montagne, la veille. Quels yeux!

146      Maintenant, qu’est-ce qu’il a dit? Il a dit : “Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’IsraĂ«l.” Si les Juifs ont reconnu ça... Maintenant attendez. Ça, c’étaient les Juifs Ă©lus. Combien croient Ă  l’élection? Oh, il y a bien des gens qui ne le recevront jamais. Voyez? La Bible le dit. Mais cet homme avait l’Esprit de Dieu en lui. Et il l’a confessĂ©, il a dit : “Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’IsraĂ«l.”

147      Mais les thĂ©ologiens de l’époque, les sacrificateurs et les grands docteurs, ils Ă©taient lĂ  Ă  L’écouter. Et savez-vous ce qu’ils ont dit? Ils ont dit : “C’est un diseur de bonne aventure. Il a l’esprit de BĂ©elzĂ©bul sur Lui.” JĂ©sus... Ils ne l’ont jamais dit Ă  haute voix. Non, non.

148      Mais JĂ©sus s’est retournĂ© et Il les a regardĂ©s. Il a dit : “Vous pouvez M’appeler ainsi et vous en tirer. Mais il viendra un temps oĂč le Saint-Esprit viendra, et alors, quand vous prononcerez une seule parole contre Lui, alors qu’Il fera la mĂȘme chose, ce ne vous sera jamais pardonnĂ©, ni dans ce siĂšcle, ni dans le siĂšcle Ă  venir.”

149      Alors, lĂ , qu’est-ce que nous avons sur les bras? Ça, c’étaient les Juifs. Les Juifs vĂ©ritables, honnĂȘtes, ceux-lĂ  ont cru qu’Il Ă©tait le Messie.

150      Les docteurs et les thĂ©ologiens, qu’est-ce qu’ils Ă©taient? La semence du serpent, comme nous l’avons vu. Il a dit : “Vous avez pour pĂšre le diable.” Pourtant, c’étaient des hommes intelligents, brillants, saints. Ils n’auraient pas touchĂ© Ă  une paille... Saints. Ils n’auraient pas violĂ© le sabbat. Ils n’auraient pas mangĂ© de viande. C’étaient des hommes saints, mais ils n’ont pas vu ce qu’il en Ă©tait. Voyez-vous, ils avaient Ă©tĂ© formĂ©s par l’homme.

Dieu forme Ses hommes pour qu’ils soient solides. C’est exact. Des hommes appelĂ©s de Dieu!

151      Alors, un jour, Il–Il... Ça, c’est ce que les Juifs en ont pensĂ©. C’est de cette façon-lĂ  qu’Il S’est fait connaĂźtre aux Juifs. Combien savent que c’est ce que dit l’Écriture? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Bien. Maintenant, s’Il S’est fait connaĂźtre aux Juifs, ça, c’était JĂ©sus, hier, avec les Juifs.

152      Maintenant, vous dites : “Les Samaritains attendaient Sa venue.” Oui, effectivement, mais pas les gens des nations. Seulement les Samaritains.

153      Et la premiĂšre fois qu’Il a rencontrĂ© les Samaritains, – il fallait qu’Il passe par la Samarie, – Il s’est arrĂȘtĂ©, et Il a envoyĂ© Ses disciples chercher de la nourriture, vers midi. Il s’est assis au bord d’un puits. Une femme est arrivĂ©e, elle s’est mise Ă ... Bon, nous, dans notre pays, on la considĂ©rerait comme une femme de mauvaise vie, une fille de trottoir, vous savez, une prostituĂ©e. Donc, elle est arrivĂ©e et elle s’est mise Ă  faire descendre le seau dans le puits, pour puiser de l’eau. Et elle a entendu une Voix qui disait : “Femme, apporte-Moi Ă  boire.” Elle a regardĂ© par lĂ , et un Juif d’un certain Ăąge Ă©tait assis.

154      Il avait Ă  peine une trentaine d’annĂ©es, mais la Bible dit qu’Il en paraissait cinquante. Ils disaient : “Tu es un Homme qui n’a pas plus de cinquante ans, et Tu dis que Tu ‘as vu Abraham’?”

155      Il a dit : “Avant qu’Abraham fĂ»t, Je suis.” Voyez? Il devait paraĂźtre vieux Ă  cause de Son travail; Son corps humain.

156      Et elle a regardĂ© par lĂ . Elle savait qu’Il Ă©tait Juif. Elle a dit : “Monsieur, vous n’avez pas coutume, vous les Juifs, de demander ce genre de chose lĂ  aux Samaritains. Nous n’avons pas de relations entre nous.”

157      Il a dit : “Femme, si tu savais Ă  Qui tu parles, c’est toi qui Me demanderais Ă  boire. Et Je t’apporterais, te donnerais de l’eau qu’on ne vient pas puiser ici.” Qu’est-ce qu’Il Ă©tait en train de faire? De contacter son esprit. Voyez? Regardez bien, Il va Se faire connaĂźtre aux Samaritains, maintenant.

158      Et elle a dit : “Mais, Tu dis : ‘Adorer Ă  JĂ©rusalem.’ Nous, nous disons : ‘Sur cette montagne.’”

159      Il a dit : “L’heure vient, et elle est dĂ©jĂ  venue, oĂč ce n’est ni sur cette montagne ni Ă  JĂ©rusalem que vous adorerez Dieu, mais en Esprit et en VĂ©ritĂ©. C’est ce que le PĂšre recherche.”

160      Qu’est-ce qu’Il Ă©tait en train de faire? De capter son esprit. Et au bout d’un moment, quand Il a trouvĂ© quel Ă©tait son problĂšme... Combien savent quel Ă©tait son problĂšme? Elle avait eu cinq maris, et elle vivait avec le sixiĂšme. Alors, Il a dit : “Femme, va chercher ton mari, et viens ici.”

            Elle a dit : “Je n’ai pas de mari.”

161      Il a dit : “C’est exact. Tu en as... en as eu cinq, et celui avec lequel tu vis maintenant, ce n’est pas le tien.”

162      Elle s’est arrĂȘtĂ©e et elle L’a regardĂ©. Or, elle n’a pas dit : “Tu es BĂ©elzĂ©bul, monsieur. Tu es un diseur de bonne aventure.” Elle en savait plus long sur Dieu que la moitiĂ© des prĂ©dicateurs de Jeffersonville, c’est vrai, elle qui Ă©tait une prostituĂ©e. Elle a dit : “Seigneur, je vois que Tu es prophĂšte.”

163      Regardez bien, un “prophĂšte”. Et si vous allez chercher les rĂ©fĂ©rences pour ce mot, vous le verrez, c’est le ProphĂšte dont MoĂŻse avait annoncĂ© la venue, voyez-vous : “L’Éternel, ton Dieu, te suscitera un ProphĂšte comme moi.”

164      Elle a dit : “Je vois que Tu es prophĂšte.” Elle savait qu’il n’y avait aucun autre moyen qu’Il sache ces choses; Il n’aurait pas pu savoir. Elle a dit : “Je vois que Tu es prophĂšte.” Maintenant Ă©coutez ceci : “Nous, les Samaritains,” pas les Juifs, lĂ , les Samaritains, “nous savons que le Messie, quand Il sera venu, Il nous annoncera ces choses.” Voyez-vous quel genre de signe ils attendaient? Le signe du Messie. “Le Messie, quand Il sera venu, Il nous annoncera ces choses, mais Toi, qui es-Tu?”

Il a dit : “Je Le suis, Moi qui te parle.”

165      Elle a laissĂ© tomber sa cruche, et elle est allĂ©e Ă  la ville en courant, elle a dit : “Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?”

166      Si c’était le signe du Messie en ce temps-lĂ , il faut que ce soit le signe du Messie aujourd’hui. S’Il est... Maintenant, souvenez-vous, il n’y a pas eu une seule fois oĂč ce miracle a Ă©tĂ© accompli devant une personne des nations. C’était interdit. Pourquoi? Les gens des nations ont eu deux mille ans d’églisologie.

167      Mais maintenant, c’est la fin de la dispensation des nations. Et la Russie, les communistes, ont mĂȘme une bombe dirigĂ©e droit vers vous, pour y mettre fin. Ne vous en faites pas, ça va venir. La Bible l’a dit. Elle arrivera avec votre nom Ă©crit dessus, et en une seconde elle sera rĂ©duite en poussiĂšre, toute la nation le sera. Ce sera l’anĂ©antissement total. Remarquez, et c’est l’action de Dieu. Je sais que chez eux, c’est un monarque qui a toute libertĂ©, qu’ils sont une bande de paĂŻens. Mais est-ce que Dieu n’a pas suscitĂ© les nations paĂŻennes pour mettre IsraĂ«l au pas, dans le passĂ©? La Bible dĂ©clare que la Russie et le communisme font tout simplement le jeu de Dieu, pour exterminer carrĂ©ment les gens de la face de la terre.

168      Mais avant que cela puisse se produire, l’EnlĂšvement aura lieu et emportera l’Église Ă  la Maison, avant que cela puisse se produire. Et si c’est proche Ă  ce point-lĂ , combien proche est l’EnlĂšvement? Encore plus proche. Alors, vous voyez pourquoi nous... pourquoi je prĂȘche comme je le fais, alors que je lutte de toutes mes forces; alors que Dieu fait tout ce qu’Il peut afin de faire pĂ©nĂ©trer cela dans les Élus, de faire sortir de lĂ  la Semence de la femme, pour que la semence du serpent puisse recevoir le chĂątiment. C’est tout Ă  fait exact. C’est ce qu’Il a promis de faire.

169      Maintenant, si JĂ©sus S’est fait connaĂźtre devant les Juifs et devant les Samaritains, par ces signes-lĂ , et qu’Il nous laisse aller comme ça, sans manifester le mĂȘme signe devant nous, alors Il est injuste; s’Il nous laisse nous en tirer comme ça, simplement en disant : “Nous sommes mĂ©thodistes. Nous sommes baptistes. Nous sommes catholiques. Nous sommes presbytĂ©riens.” Non monsieur. Il nous laisserait nous en tirer avec une thĂ©ologie froide.

170      Il faut qu’Il vienne, avec des signes, des prodiges, exactement comme Il l’a fait la premiĂšre fois, s’Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement. Nous sommes arrivĂ©s Ă  ce jour-lĂ . Nous y sommes maintenant. La Bible, le tĂ©moignage, l’Esprit, la science, tout est lĂ  pour prouver que nous en sommes lĂ . Oh, je... Oh, j’aimerais avoir la force d’enfoncer ça dans les gens, de le leur faire voir.

171      Vous, les gens de Jeffersonville, ici, vous ĂȘtes ma famille. J’ai grandi avec vous. Et je–je vous aime. Ne–ne pensez pas que je suis un fanatique. Est-ce que c’est ça que vous pensez des prĂ©dictions qui ont Ă©tĂ© faites? Retournez en arriĂšre, Ă  l’inondation de 37, vous, les gens, quand vous avez ri, ici mĂȘme Ă  l’église, et que j’avais dit “qu’il y en aurait vingt-deux pieds [six mĂštres soixante-dix] de haut au-dessus de la rue Spring”, six mois avant que ça arrive. Indiquez-moi une seule fois oĂč quoi que ce soit aurait Ă©tĂ© dit, un AINSI DIT LE SEIGNEUR, qui n’ait pas Ă©tĂ© l’exacte VĂ©ritĂ©. Indiquez-moi une seule chose qu’Il aurait dite. Jamais! C’est la VĂ©ritĂ©, et Cela reste encore la VĂ©ritĂ©, et Ce sera toujours la VĂ©ritĂ©.

172      Maintenant nous ne pouvons pas faire venir... Il doit y avoir une centaine de personnes ou plus, qui sont ici pour qu’on prie pour elles. Nous ne pouvons pas les faire venir toutes du mĂȘme coup. Nous en ferons venir autant que nous pourrons en mĂȘme temps, et puis nous continuerons Ă  les faire venir, jusqu’à ce qu’elles soient toutes venues. Maintenant je vais commencer... je crois. Billy Paul Ă©tait ici, n’est-ce pas? Est-ce qu’il est lĂ -bas? Dites-lui de venir. Je veux voir ce qu’il en est, s’il a distribuĂ©... Tu as distribuĂ© quoi, comme cartes de priĂšre? [FrĂšre Billy Paul dit : “Q, de un Ă  cent.”–N.D.É.] Les Q, Q, Q. La carte de priĂšre, c’est Q. Regardez sur votre carte de priĂšre. Il y a un Q dessus. De un Ă  cent. TrĂšs bien. Nous ne pouvons pas les faire venir toutes en mĂȘme temps, mais nous pouvons en faire venir un petit nombre Ă  la fois, jusqu’à ce que nous les ayons toutes fait venir. Nous voulons que les gens viennent, un Ă  un, jusqu’à ce qu’on ait priĂ© pour tous.

173      Maintenant regardez. Je veux que tout le monde, Ă  l’intĂ©rieur et Ă  l’extĂ©rieur, rĂ©flĂ©chisse Ă  ceci. Au terme de ces rĂ©unions, je remets cette Ă©glise entre les mains du pasteur, FrĂšre Neville, je vous remets Ă  lui, et lui Ă  Dieu. FrĂšre Neville ici. Je vous invite tous Ă  revenir. FrĂšre Neville est un soldat courageux. C’est un vrai serviteur de Christ. Un ancien prĂ©dicateur mĂ©thodiste, je crois, il a Ă©tudiĂ© au collĂšge Asbury, et il a Ă©tĂ© formĂ©, il a Ă©tudiĂ© tous les thĂ©ologiens, au sĂ©minaire de thĂ©ologie, il a l’expĂ©rience de ce qu’ils enseignent. Mais, un jour, il en Ă©tait au point oĂč il savait qu’il lui fallait recevoir autre chose, et il a franchi la ligne. Il est le pasteur, ici, un homme rempli de l’Esprit, un vrai prĂ©dicateur, un vrai thĂ©ologien. Et je vous demanderais, vous les gens de cette ville, de cette collectivitĂ©, si vous n’avez pas d’église, et que vous voulez entendre le vrai Évangile, venez Ă©couter FrĂšre Neville. Il prend position pour la mĂȘme Chose que moi. Absolument, un soldat vraiment courageux. Nous tous, ici, nous aimons FrĂšre Neville. Il y a longtemps qu’il est ici avec nous, et nous l’aimons.

174      Maintenant, si JĂ©sus-Christ, par l’Esprit, revient ici ce soir, et qu’Il fait les mĂȘmes choses qu’Il avait faites pour les Juifs et les Samaritains quand Il Ă©tait ici sur terre, s’Il fait la mĂȘme chose pour vous, les gens des nations, combien d’entre vous diront : “Je vais croire en Lui de tout mon cƓur, et je vais l’accepter ici mĂȘme”? Peu m’importe de quelle Ă©glise vous faites partie. Ça n’a...

175      Vous dites : “Voulez-vous que je cesse d’aller Ă  l’église mĂ©thodiste?” Non monsieur. “À l’église baptiste?” Non monsieur.

176      Allez oĂč vous voudrez, car Dieu a des enfants dans chacune de ces Ă©glises-lĂ . Certainement qu’Il en a. Et vous ĂȘtes peut-ĂȘtre l’un d’entre eux. Et je vous aime tout autant que si vous Ă©tiez un membre du Branham Tabernacle. Pour moi, ça ne change absolument rien. Ça, vous le savez, par mon ministĂšre, partout. Je crois que Dieu aime Ses enfants, quelle que soit la marque qu’ils affichent. C’est ce que vous ĂȘtes dans votre cƓur qui compte. Mais nous vous invitons simplement Ă  venir fraterniser. Vous serez les bienvenus parmi nous.

177      Maintenant, tout le monde sait, et vous les gens de Jeffersonville, vous le savez, aprĂšs toutes ces choses si nombreuses qui ont Ă©tĂ© dites, et faites, et prĂ©dites, toutes, elles se sont accomplies aussi parfaitement que... Combien ici, de Jeffersonville, savent que c’est la vĂ©ritĂ©? Levez la main, ceux qui le savent, des alentours, lĂ . Maintenant, vous qui n’ĂȘtes pas de la ville, vous voyez ce que je veux dire? Combien de ceux qui ne sont pas de la ville ont dĂ©jĂ  assistĂ© Ă  mes rĂ©unions, et ont vu les choses arriver de façon trĂšs prĂ©cise comme Cela avait Ă©tĂ© dit? Levez la main, pour les gens de Jeffersonville. Voyez? La Bible dit : “Que par la bouche de deux ou de trois tĂ©moins, toute parole soit Ă©tablie.” Ça a fait le tour du monde. Alors, qu’est-ce que nous attendons? Nous avons dĂ©jĂ  tout entre nos mains, grĂące au Seigneur JĂ©sus. “Il nous a donnĂ© toutes choses gratuitement.”

178      Maintenant nous allons commencer la ligne de priĂšre. Et si JĂ©sus-Christ accomplit, ici, ce soir...

179      Maintenant, combien d’entre vous ont entendu parler de la photo du Seigneur JĂ©sus, cette LumiĂšre? Vous En avez tous entendu parler, presque tous. Elle se trouve Ă  Washington, D.C., elle a Ă©tĂ© remise au meilleur homme qu’Edgar Hoover a eu ces derniĂšres annĂ©es, George J. Lacy, du service des empreintes digitales et documents. Nous avons sa–sa signature lĂ  mĂȘme sur son Ă©crit. Comme quoi, effectivement... Il a dit qu’à un moment donnĂ© il avait pensĂ© que c’était de la psychologie, que je lisais dans les pensĂ©es des gens. Il a dit : “Mais, Monsieur Branham, l’Ɠil mĂ©canique de cet appareil photo ne captera pas de la psychologie.” Il a dit : “La LumiĂšre a frappĂ© l’objectif.” Et nous avons tout ça par Ă©crit, le document est fourni avec la photo : la LumiĂšre a frappĂ© l’objectif.

180      Combien sont encore vivants, depuis la premiĂšre fois qu’Elle est apparue devant le genre humain, ici, Ă  la riviĂšre, alors que je baptisais des centaines de personnes lĂ -bas, ce jour-lĂ ? Dans le bĂątiment, levez la main. Il y a trois ou quatre mains, ceux qui sont encore vivants, et ça, c’était il y a bien des annĂ©es, ici Ă  la riviĂšre, quand Elle est descendue, et que le Message du Seigneur est venu. Il est restĂ© exactement le mĂȘme! Est-ce qu’Il a produit exactement ce qui avait Ă©tĂ© dit lĂ ? Que le ministĂšre que j’allais prĂȘcher ferait naĂźtre un rĂ©veil dans le monde entier, juste avant la seconde Venue de Christ. Regardez ce qu’il a produit. Voyez? C’est de lĂ  que sont sortis Oral Roberts, et tous ces autres. Voyez? Et c’est allĂ© partout dans le monde, vers toute nation, tout peuple, toute langue. Les feux du rĂ©veil brĂ»lent, de grands services de guĂ©rison. Voyez?

181      Maintenant, tenez-vous prĂȘts. À l’intĂ©rieur, Ă  l’extĂ©rieur, oĂč que vous soyez, recevez Christ. Voulez-vous le faire, ce soir?

182      Maintenant, je me remets dĂšs maintenant entre les mains du Seigneur JĂ©sus, pour que je puisse m’abandonner Ă  l’Esprit, dans le seul but d’exalter JĂ©sus-Christ; non pas moi-mĂȘme, mais JĂ©sus-Christ; pour que ces gens, les gens de chez moi, mes amis, de la ville et de l’extĂ©rieur de la ville, sachent que l’Évangile que j’ai prĂȘchĂ©, c’est la... l’absolue VĂ©ritĂ©. Et Christ est ici pour confirmer que C’est la VĂ©ritĂ©, par Sa Parole et par Son Esprit.

183      Il va falloir les appeler seulement un Ă  la fois. Alors il va falloir... Nous allons commencer par le numĂ©ro un, Q, numĂ©ro un. Qui a celle-lĂ ? Si–si vous ne pouvez pas vous lever maintenant, les anciens vont vous porter. Nous voulons nous occuper de chacun de vous. Q, numĂ©ro un. FrĂšre Hickerson, Billy Paul... Ou, attendez, Doc va l’aider, ici. Q, numĂ©ro un, voulez-vous lever la main, la personne qui a celle-lĂ . Es-tu sĂ»r que c’était bien Q? Ou, eh bien, oh, excusez-moi. TrĂšs bien. Avancez-vous jusqu’ici. Montrez-lui comment, par l’allĂ©e, lĂ . Q, numĂ©ro un. TrĂšs bien.

184      NumĂ©ro deux, levez la main, s’il vous plaĂźt. TrĂšs bien, une dame qui est assise par ici, tout au fond. TrĂšs bien, madame, venez. Venez de ce cĂŽtĂ©-ci; si vous voulez bien la laisser passer. Les frĂšres qui sont lĂ  vont l’aider, les huissiers et tout. Q, numĂ©ro trois, levez la main. NumĂ©ro trois. Voulez-vous lever la main, la personne qui a la carte Q, numĂ©ro trois. Regardez si cette dame qui passe, lĂ , si c’est elle qui a la carte. Vous–vous ne l’avez pas? [Une soeur dit : “FrĂšre Branham, j’avais demandĂ© une carte. Mais j’ai vu quelqu’un de mes amis, qui Ă©tait lĂ  avec un garçon malade.”–N.D.É.] Vous–vous ne pouvez pas faire ça. [“Je ne peux pas?”] Non. Vous devez la garder et Ă©couter les instructions. Nous allons nous occuper du petit quand mĂȘme. Voyez? Vous n’avez qu’à venir quand on appelle votre numĂ©ro Ă  vous. Le petit pourra venir quand on l’appellera, lui. Voyez? Ça va.

185      NumĂ©ro un, deux. Qui a le numĂ©ro trois? Levez la main. NumĂ©ro trois. NumĂ©ro quatre.

186      Maintenant, ça, c’était vraiment un beau geste de votre part, soeur, qui que soit cette personne, cette dame qui voulait faire ça. Voyez? Mais, voyez-vous, si–si on appelle leur numĂ©ro, ils vont venir, simplement... Si on ne les appelle pas, nous allons nous en occuper quand mĂȘme. Voyez? Nous voulons que vous soyez exactement Ă  votre place, pour que vous ayez votre place Ă  vous aussi, voyez-vous. Voyez? Bien.

187      NumĂ©ro trois. NumĂ©ro quatre. NumĂ©ro cinq. Q, numĂ©ro cinq, levez la... Tout au fond, une jeune femme. NumĂ©ro six. TrĂšs bien, le jeune homme. NumĂ©ro sept. L’homme juste ici. NumĂ©ro huit.

188      Nous sommes obligĂ©s de procĂ©der comme ceci. Voyez-vous, on ne pourrait pas y arriver; on se retrouverait tout entassĂ©s, si on disait : “Tous ceux qui veulent qu’on prie pour eux.”

189      Je vais vous montrer quelque chose, si vous voulez voir pourquoi nous sommes obligĂ©s de les mettre en ligne. Tous ceux qui sont ici et qui aimeraient venir pour qu’on prie pour eux, levez la main, tout le monde, qui que vous soyez. Regardez-moi ça. Qui va venir en premier? Voyez? Il faut qu’il y ait quelqu’un.

190      Billy vient ici, il prend ces cartes, il les mĂ©lange devant vous, et il donne une carte de priĂšre Ă  tous ceux qui en veulent une. Vous pourriez avoir la cinq, la six, et parfois on commence ailleurs. Mais ça ne change rien, ça, par oĂč on... Et puis ceux qui sont dans l’auditoire, en fait, ils sont guĂ©ris avant ceux qui sont sur l’estrade, parfois. Combien savent ça, ceux qui ne sont pas d’ici aussi bien que ceux... Mais, bien sĂ»r, ça n’a rien Ă  y voir.

191      NumĂ©ro six, celle-lĂ  y est-elle? NumĂ©ro sept. NumĂ©ro huit. Qui a la carte de priĂšre numĂ©ro huit? Elle y est dĂ©jĂ ? NumĂ©ro neuf.

192      Huit, numĂ©ro huit, nous voulons que vous y soyez, lĂ . C’est peut-ĂȘtre quelqu’un Ă  l’extĂ©rieur. Si c’est ça, que quelqu’un lĂšve la main, ou quelque chose comme ça, quelqu’un Ă  l’extĂ©rieur, qui n’a pas pu entrer. NumĂ©ro huit. FrĂšre Collins, est-ce qu’il y aurait quelqu’un lĂ -bas, la carte de priĂšre numĂ©ro huit, qui essaie d’entrer? TrĂšs bien, la carte de priĂšre numĂ©ro huit. TrĂšs bien.

193      NumĂ©ro neuf. La carte de priĂšre numĂ©ro neuf, levez la main. Peut-ĂȘtre qu’ils sont sortis, et qu’ils n’ont pas pu rentrer. S’ils entrent, mettez-les dans la ligne.

194      NumĂ©ro dix, levez la main. L’homme qui est lĂ -bas, tout au fond. Venez, monsieur. Je suis content de voir que vous avez Ă©tĂ© appelĂ©. Vous Ă©tiez debout lĂ -bas, les jambes endolories. NumĂ©ro dix.

195      NumĂ©ro onze. Levez la main, la personne qui a la carte de priĂšre Q, numĂ©ro onze. TrĂšs bien, onze.

            Douze, Q, numĂ©ro douze. Tout au... TrĂšs bien, douze.

196      Treize. Treize. Levez simplement la main, s’il vous plaĂźt, pour que je puisse voir. La carte de priĂšre treize, Q, treize. Quatorze. Quatorze. Quinze. Combien de cartes as-tu distribuĂ©es, Billy, cent? Treize, quatorze et quinze ne sont pas lĂ . Les cartes de priĂšre treize, quatorze et quinze, ĂȘtes-vous ici? Quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt.

197      Q, d’abord, et aprĂšs ce sera J, et ensuite, on continuera comme ça Ă  les faire passer dans la ligne. Je pense qu’ils essaient de faire passer celles-lĂ  d’abord, voyez-vous. Une fois que nous aurons appelĂ© celles-lĂ , nous passerons aux autres, au fur et Ă  mesure. Qu’est-ce que vous dites? [Un frĂšre parle.–N.D.É.] C’est ça. Vous voyez, nous avons distribuĂ© les cartes de priĂšre ce matin, et les gens, peut-ĂȘtre qu’ils ne sont pas revenus. Voyez? Bien.

198      Commençons avec ce petit nombre-lĂ . Comment... Est-ce que tu as Ă  peu prĂšs le nombre qu’il te faut, dans la ligne, maintenant? TrĂšs bien. Maintenant, qui a quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf et vingt, dans les Q? Vingt et un, vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq. Maintenant, tenez-vous simplement prĂȘts, aussitĂŽt qu’ici, ce sera terminĂ©. Notre ligne est pleine, ici, pour le moment. Ensuite nous nous occuperons de celles-lĂ , et ainsi de suite comme ça, pour toute la ligne, et aprĂšs nous passerons tout de suite aux autres cartes, les J, lĂ  oĂč nous nous Ă©tions arrĂȘtĂ©s, et ainsi de suite comme ça, jusqu’à ce qu’elles soient toutes passĂ©es.

199      Maintenant, soyez vraiment respectueux, pendant quelques instants. Maintenant, j’aurais bien voulu qu’on ait assez de places assises. J’aurais bien voulu trouver un moyen d’avoir ça, mais on ne l’a pas. Mais, maintenant, je voudrais que vous soyez aussi respectueux que possible. Bon, il est encore tĂŽt. Il est neuf heures moins dix [vingt heures cinquante]. Le service sera terminĂ© d’ici une demi-heure. Alors, c’est la fin du service, et alors, maintenant, soyez bien respectueux. Restez bien tranquilles. Ne vous dĂ©placez pas.

200      Combien ici n’ont pas de carte de priĂšre, mais vous voudriez quand mĂȘme qu’on prie pour vous? Levez la main. Eh bien, vraiment il y en a partout. Maintenant, si vous n’avez pas de carte de priĂšre, je voudrais vous donner un passage de l’Écriture.

201      À un moment donnĂ©, notre Seigneur s’en allait ressusciter une petite fille morte, qui n’était pas encore morte, la fille de ZachĂ©e. Et une femme s’est dit, dans son cƓur : “Je crois qu’Il est un Homme saint. Je crois qu’Il est le Messie.” Elle avait une perte de sang depuis plusieurs annĂ©es. Elle s’est glissĂ©e Ă  travers la foule et elle a touchĂ© Son vĂȘtement. Avez-vous dĂ©jĂ  lu cette histoire?

            Et JĂ©sus s’est arrĂȘtĂ©, Il a dit : “Qui M’a touchĂ©?”

202      Et Pierre L’a rĂ©primandĂ©. Il a dit : “Eh bien, ils Te touchent tous. Alors pourquoi dis-Tu : ‘Qui M’a touchĂ©?’”

203      Il a dit : “Je me suis affaibli. De la vertu, de la force, est sortie de Moi.” Vous voyez quel effet ça a sur vous, une vision? “Je me suis affaibli. De la force est sortie de Moi.”

204      Et Il a promenĂ© le regard sur l’auditoire, jusqu’à ce qu’Il trouve la femme. Elle Ă©tait effrayĂ©e. Elle a pensĂ© qu’elle avait fait quelque chose de mal. Mais Il l’a regardĂ©e, Il lui a parlĂ© de sa perte de sang, et Il a dit : “Ta foi t’a sauvĂ©e.” Combien savent que c’est la VĂ©ritĂ©? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.]

205      Maintenant, vous qui Ă©tudiez la Bible, est-ce que la Bible dit que “JĂ©sus-Christ, maintenant mĂȘme, est un Souverain Sacrificateur, notre Souverain Sacrificateur, qui peut ĂȘtre touchĂ© par le sentiment de nos infirmitĂ©s”? Combien savent ça? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Eh bien, s’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut ĂȘtre touchĂ© par le sentiment de nos infirmitĂ©s, comment agirait-Il, s’Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement? Il faudrait qu’Il agisse de la mĂȘme maniĂšre qu’en ce temps-lĂ . Pas vrai? [“Amen.”]

206      Bon, eh bien, maintenant Il n’a pas de corps physique, car celui-ci est Ă  la droite de Dieu. Mais Il a nos corps Ă  nous, Ă  travers lesquels Il agit, et c’est Son Esprit qui agit Ă  travers nous, comme Il l’avait dit. “Je serai avec vous, en vous; vous ferez aussi les Ɠuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, davantage, car Je m’en vais au PĂšre.” Il se tiendrait lĂ , Ă  notre place. Voyez? Mais Il nous oindrait de l’Esprit.

207      Maintenant, vous qui ĂȘtes dans l’auditoire, regardez donc par ici. Et ne me regardez pas seulement comme FrĂšre Branham. Dites simplement : “Seigneur JĂ©sus, Tu es un Souverain Sacrificateur, et Tu es dans ce bĂątiment. Et je voudrais que Tu sois touchĂ© par mes infirmitĂ©s, alors que je Te dis que je suis malade. Donne-m’en la confirmation, et fais que FrĂšre Branham se retourne, comme, – par Ton Esprit, – et qu’il me parle, comme Tu as parlĂ© Ă  cette femme. Ce sera rĂ©glĂ©.” Je mets votre foi au dĂ©fi, au Nom du Seigneur, de faire ça. Maintenant voyez si c’est vrai ou pas. Demandez-le Ă  Dieu, et voyez si ça ne se passera pas exactement comme ça. Maintenant soyez vraiment respectueux.

208      Maintenant vous pouvez faire venir les patients. Ou, est-ce que c’était cet homme? TrĂšs bien. Le premier dans la ligne, dans cette partie de la ligne...

209      Il y a beaucoup de monde ici. Nous essayons d’empĂȘcher les gens de venir, les gens de Jeffersonville, de laisser venir seulement les gens qui ne sont pas de la ville, ceux qui se sont pressĂ©s en foule Ă  l’entrĂ©e. En effet, dans une ligne de ce genre, si les personnes Ă©taient d’ici, des environs de Jeffersonville, elles diraient : “Voyons, FrĂšre Branham connaĂźt ces gens-lĂ . Bien sĂ»r, c’est ça.” Mais, Ă©videmment, ils n’ont jamais Ă©tĂ© en Afrique, en Inde, et en Asie, et en Europe, et tout autour du monde, Ă  d’autres endroits. Mais, Ă  ma connaissance, il n’y a.

210      Je crois que tous ceux qui sont dans cette ligne, ici, en ce moment, il me semble bien que tous ces gens me sont inconnus. Est-ce que vous m’ĂȘtes tous inconnus? Levez simplement la main, si c’est le cas. Bien. C’est bien. Combien dans l’auditoire me sont inconnus, ou bien vous savez que je ne sais pas ce qui ne va pas chez vous? N’importe qui, peu importe qui c’est. Bien sĂ»r que non, voyez-vous. Mais Lui, oui. Maintenant, je ne dis pas qu’Il le fera. Mais s’Il le fait, alors, ça prouvera qu’Il est prĂ©sent, ici mĂȘme.

211      Bon, cet homme-ci, je crois, a levĂ© la main, comme quoi lui et moi Ă©tions des inconnus l’un pour l’autre. Nous sommes des inconnus. [Le frĂšre dit : “Exact.”–N.D.É.] Je n’ai jamais vu cet homme de ma vie. Je n’ai... [“Je ne vous ai jamais vu.”] Il ne m’avait jamais vu de sa vie, avant maintenant. Nous sommes entrĂ©s dans le bĂątiment, et nous nous sommes vus, maintenant, pour la premiĂšre fois.

212      Maintenant, voilĂ  une image parfaite, de Philippe qui va chercher NathanaĂ«l, et de NathanaĂ«l qui se prĂ©sente devant JĂ©sus. Bon, non pas que lui soit NathanaĂ«l, ou moi JĂ©sus. Maintenant, n’allez pas penser ça. Mais ça se passe des annĂ©es plus tard, selon une promesse qui avait Ă©tĂ© faite en ce temps-lĂ . Et ici, il y a deux hommes qui ne se sont jamais rencontrĂ©s de leur vie, tout comme ces deux-lĂ , en ce temps-lĂ . Et si JĂ©sus est encore le mĂȘme, il pourra abandonner son esprit Ă  la foi, et je pourrai abandonner mon esprit Ă  la foi, Ă  Christ, par un don Divin du Saint-Esprit, et le mĂȘme miracle pourra s’accomplir. Pas vrai? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Et c’est surnaturel. Vous dites : “Un miracle?” Eh bien, comment pourrais-je savoir ces choses, si je ne l’ai jamais vu? Je lĂšve les mains. Nous ne nous sommes jamais rencontrĂ©s auparavant. Nous voici, debout ici pour la premiĂšre fois. Dieu le connaĂźt; moi pas.

213      Maintenant, rappelez-vous, soyez en priĂšre pour moi. Maintenant, parfois, dans ces–dans ces moments-lĂ , l’Esprit oint, et Il l’a fait, lĂ , Ă  tel point que c’est un peu... Eh bien, je–je voudrais simplement que vous restiez bien tranquilles. Soyez vraiment respectueux. Regardez bien. Soyez en priĂšre.

214      Maintenant, je voudrais simplement que vous, monsieur, je ne vous connais pas, mais vous ĂȘtes ici pour une raison que j’ignore. Mais quelle qu’elle soit, si le Seigneur JĂ©sus me disait ce que vous voulez recevoir de Lui, sans que vous me le disiez, ça prouverait qu’Il est prĂ©cisĂ©ment ce que j’ai dit qu’Il Ă©tait, le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement. Le croyez-vous? [Le frĂšre dit : “Bien sĂ»r.”–N.D.É.] Bien. Il le croit. Et maintenant, l’auditoire le croit. Et le Seigneur a dit qu’Il le ferait, dans Sa Bible.

215      Maintenant, c’est ici qu’on verra, soit que je dis la VĂ©ritĂ© par la Bible de Dieu, soit que la Bible a fait une promesse qu’Elle ne peut pas tenir, ou bien que je suis un hypocrite; l’un ou l’autre. Voyez? C’est vrai. Vous voyez dans quelle position on se retrouve. J’ai fait ça devant bien, bien des milliers de personnes, des critiqueurs et tout. Mais je sais qu’Il fait la promesse, et qu’Il tient Sa promesse.

216      Je vois que Cela commence, ici mĂȘme, maintenant. Je vois les gens qui sont autour de vous; sur les estrades, dans les rĂ©unions Ă  l’extĂ©rieur, on ne laisse jamais personne se tenir autour. Voyez? Il y a des malades ici. AussitĂŽt que Cela commence, on peut Le ressentir. C’est le Saint-Esprit. Soyez vraiment respectueux maintenant, simplement respectueux maintenant, pour que nous puissions parler. Oui, monsieur. Le Seigneur JĂ©sus nous aime tous les deux, car nous sommes deux hommes pour lesquels Il est mort. Et c’est la premiĂšre fois que nous nous rencontrons. Si vous ĂȘtes dans le besoin, Dieu peut pourvoir Ă  ce besoin, parce qu’Il l’a promis.

217      Mais maintenant, cet homme, s’il a le cƓur honnĂȘte, il est conscient qu’il est en train de se passer quelque chose. Il ne peut pas se faire une idĂ©e exacte de ce que c’est. Mais cet Ange que vous voyez sur la photo, Il s’approche de plus en plus de cet homme, et celui-ci disparaĂźt peu Ă  peu devant mes yeux. Cet homme souffre du cƓur, et il est atteint du diabĂšte. C’est exact. C’est AINSI DIT L’ESPRIT. Si c’est exact, levez la main.

218      Maintenant, si je ne vous ai jamais vu, comment saurais-je quoi que ce soit Ă  votre sujet? Par un moyen, par le mĂȘme moyen qui le Lui avait fait savoir, lĂ -bas. Pas vrai? [Le frĂšre dit : “C’est vrai.”–N.D.É.] Est-ce que l’auditoire croit ça? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”]

219      Maintenant, pourquoi–pourquoi ne pas prendre notre temps, un tout petit peu, pour que vous voyiez que ce n’était pas quelque chose que j’ai juste devinĂ©. Prenons autre chose, voyons si le Saint-Esprit voudra bien nous rĂ©vĂ©ler autre chose. Parlons tout simplement Ă  cet homme qui est lĂ , pendant un instant. Peut-ĂȘtre qu’il y a autre chose dans sa vie, peut-ĂȘtre qu’il y a autre chose qui ne va pas chez lui. Je ne sais pas.

220      Je ne sais vraiment pas ce que j’ai dit. Il faudrait que je vĂ©rifie sur l’enregistrement, ici, parce que, voyez-vous, c’est une vision, on voit la situation de la personne. Oui, je le vois maintenant. C’est quelque chose qui a rapport Ă  son sang. C’est du sucre. Oui, c’est du diabĂšte. Il est atteint du diabĂšte sucrĂ©, ce qui a engendrĂ© des problĂšmes cardiaques, il a le cƓur qui palpite, c’est causĂ© par ça. Il y a un bout de temps qu’il a ça. Et il n’est pas de cette ville. Mais il est de l’Indiana, d’un endroit situĂ© prĂšs d’un endroit qui s’appelle quelque chose comme Borden. Vous... Je vois Borden. Vous ĂȘtes de Borden. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est ça.

221      Et il y a quelque chose qui ne va pas, dans votre vie.

Voici une autre chose. Je vois apparaĂźtre une femme, ici, dans la vision, parce que vous ĂȘtes... C’est votre femme, et elle a besoin d’une guĂ©rison. Et elle souffre d’un genre de toux. C’est un problĂšme d’asthme, voilĂ  ce qu’elle a.

222      Et vous avez quelque chose qui ne va pas, dans votre vie, que vous essayez de faire. Vous ĂȘtes de foi pentecĂŽtiste, parce que vous, je vous vois Ă  une rĂ©union pentecĂŽtiste oĂč ils poussent des cris et tapent des mains. Et vous essayez de renoncer... Vous fumez. C’est de ça que vous essayez de vous dĂ©barrasser, de fumer la cigarette. C’est tout Ă  fait exact. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est la vĂ©ritĂ©. N’est-ce pas? Bien sĂ»r que oui. Voyez? Croyez-vous qu’Il est ici prĂ©sent, en ce moment? Êtes-vous prĂȘt Ă  accepter votre guĂ©rison?

Courbons la tĂȘte.

223      Seigneur Dieu, Toi qui as ressuscitĂ© JĂ©sus-Christ, qui est prĂ©sent en ce moment : cet homme, Seigneur, qui est ici pour que les bĂ©nĂ©dictions de Dieu reposent sur lui, nous Te prions de lui donner ce que son cƓur dĂ©sire, au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen.

224      Rentrez chez vous, allez constater qu’il en sera exactement comme vous l’avez cru. C’est ainsi qu’il en sera. Que Dieu vous bĂ©nisse.

225      Croyez-vous? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Le Dieu Tout-Puissant, qui a Ă©crit cette Bible, dont l’Esprit est prĂ©sent, sait qu’à ma connaissance, je n’ai jamais vu cet homme de ma vie, avant cette minute mĂȘme. Mais je sais une chose : le Saint-Esprit est ici mĂȘme. Je ne sais pas ce qu’Il fera, mais je sais qu’Il est ici.

226      Est-ce que c’est cette dame? TrĂšs bien. Sommes-nous des inconnus l’un pour l’autre? Bon, vous–vous–vous m’avez vu Ă  des rĂ©unions, mais je ne vous connais pas. [La soeur dit : “Non. Non.”–N.D.É.] C’est exact. TrĂšs bien. Alors, vous ĂȘtes ici dans un but.

227      Maintenant, il se pourrait que cette femme soit ici... Peut-ĂȘtre qu’elle est ChrĂ©tienne; peut-ĂȘtre que non. Peut-ĂȘtre que c’est une critiqueuse. Si oui, regardez bien ce qui va arriver. Voyez? Et je ne sais pas pourquoi elle est lĂ .

228      Ma mĂšre est assise quelque part dans le bĂątiment, une femme ĂągĂ©e. Pensez-vous que je voudrais lui faire du mal, la pauvre? Pensez-vous que je me prĂ©senterais devant elle, comme un imposteur? Certainement pas. J’aimerais mieux descendre de l’estrade, tout simplement, et rentrer chez moi; le Message, je L’ai prĂȘchĂ©. Mais le Message ne se limite pas qu’à ça. Christ est le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement. Peu importe ce que le monde peut en dire, nous devons prendre position pour cela quand mĂȘme. Dieu a dit de le faire.

229      Je ne vous connais pas; et, naturellement, vous Ă©tiez assise Ă  la rĂ©union, oĂč il y avait peut-ĂȘtre des centaines et des centaines de personnes, je n’aurais aucun moyen de vous reconnaĂźtre. Mais maintenant, voici une image de Jean 4 : un homme et une femme qui se rencontrent pour la premiĂšre fois. Notre Seigneur et la femme de Samarie, qui se rencontrent de nouveau. Bon, ils ont conversĂ©. Il a contactĂ© son esprit, Il a su ce qui n’allait pas chez elle, et Il le lui a dit, et elle a reconnu qu’Il Ă©tait le Messie. Feriez-vous la mĂȘme chose? Vous le feriez.

230      Est-ce que l’auditoire fera la mĂȘme chose, toutes les femmes qui sont lĂ -bas? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Puisse Dieu l’accorder. Oui.

231      Cette femme souffre de–de nervositĂ©. Il y a longtemps qu’elle a ça, depuis bien des annĂ©es en arriĂšre. Je peux la voir quand elle Ă©tait encore une jeune femme. Mais ce n’est pas ça la chose primordiale pour laquelle elle veut que je prie. C’est l’arthrite, qui l’a rendue infirme. C’est pour ça que vous voulez que je prie.

            Maintenant croyez-vous? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.]

232      Maintenant parlons-lui encore un peu. Puisse le Saint-Esprit accorder ceci. Cette femme, en fait, elle est de–d’ascendance Ă©trangĂšre. Son nom est Hanson. C’est vrai. NorvĂ©gienne ou SuĂ©doise, l’un des deux. Vous n’ĂȘtes pas de cette ville. Vous ĂȘtes d’un endroit qui s’appelle Canton. Et ça se trouve dans une grande rĂ©gion oĂč il y a beaucoup de blĂ©. C’est le Minnesota. VoilĂ  d’oĂč vous venez. C’est vrai. Maintenant rentrez chez vous; vous ĂȘtes guĂ©rie. JĂ©sus-Christ vous rĂ©tablit. Racontez aux gens les bonnes choses que le Seigneur a faites pour vous.

233      Je pense bien que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. [La soeur dit : “Oui. J’ai Ă©tĂ© aux rĂ©unions, mais vous ne me connaissez pas.”–N.D.É.] Je ne vous connais pas. Non, madame. Mais le Seigneur, Lui, Il vous connaĂźt. Vous ĂȘtes ici dans un but. Je ne sais pas. Mais si le Seigneur JĂ©sus me rĂ©vĂšle ce pour quoi vous ĂȘtes ici, vous saurez si c’est la vĂ©ritĂ©. Si je venais lĂ , et que je dise : “Vous ĂȘtes malade, madame.” C’est sĂ»r, vous ĂȘtes dans la ligne de priĂšre, ça montre que... [espace.non.enregistrĂ©.sur.la.bande]

234      Votre examen a rĂ©vĂ©lĂ© que vous avez un problĂšme au foie. Il a dit que c’était une cirrhose. C’est exact. Parlons-lui donc une minute. Simplement... Croyez-vous que le Seigneur JĂ©sus qui a parlĂ© Ă  la femme au puits, est le mĂȘme JĂ©sus aujourd’hui? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Vous le croyez? Vous avez, vous semblez avoir un trĂšs bon esprit. Vous n’ĂȘtes pas d’ici. Vous venez de l’est, de l’Ohio. C’est exact. C’est de Dayton, dans l’Ohio, que vous ĂȘtes venue. [“C’est exact.”] C’est exact. Je vois un...

235      Vous priez pour quelqu’un d’autre. C’est un garçon. Il souffre du cƓur. Il a aussi des ulcĂšres, c’est un garçon de tempĂ©rament nerveux. C’est exact. Et vous priez pour son Ăąme, parce qu’il n’est pas sauvĂ©. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai, n’est-ce pas? [“Mon fils.”] Vous ĂȘtes guĂ©rie. Retournez-vous-en. Dites-lui de prendre courage. JĂ©sus-Christ...

236      Je ne vous connais pas, madame, je ne vous connais pas. Dieu, Lui, Il vous connaĂźt. Si Dieu me dit quel est votre problĂšme, croirez-vous que je suis Son serviteur? Il s’agit seulement de confirmer que c’est Lui. Voyez-vous, ce que je veux faire, c’est amener ces gens, qui passent dans la ligne de priĂšre, Ă  voir qu’Il est ici.

237      Il s’est passĂ© quelque chose, dans la rĂ©union. Il y a deux femmes qui sont lĂ , elles portent toutes les deux des lunettes. Quelqu’un L’a touchĂ©, Il compatit aux infirmitĂ©s de quelqu’un. Je pouvais seulement voir la femme, ce qu’il... Vos problĂšmes d’oreilles sont terminĂ©s maintenant. Regardez la dame, comme elle ressemble Ă  celle-ci. Elles se tenaient lĂ . Je les voyais. Mais il y en avait une qui faisait ceci, alors que celle-ci, il n’y avait rien.

238      La raison de ça, c’est que cette femme-ci se tient lĂ  pour quelqu’un d’autre. C’est exact. Et cette femme, c’est votre voisine. Elle a de l’arthrite. Et vous vous tenez lĂ  pour elle. Et je vous vois prier pour elle, parce qu’elle n’est pas sauvĂ©e. Et vous priez pour elle. C’est un beau geste. Mettez ce mouchoir sur elle, celui que vous avez Ă  la main. Dites-lui de ne pas douter, et d’abandonner sa vie Ă  Christ, et son arthrite s’en ira.

239      [espace.non.enregistrĂ©.sur.la.bande–N.D.É.] ...pourquoi pleurez-vous, soeur? Vous croyez en Dieu? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que Dieu peut me dire pourquoi vous pleurez, et quel est votre dĂ©sir? Si vous le croyez, levez la main. Croyez-vous que cette hernie s’en ira de lui? Si vous le croyez, elle partira. Ayez seulement la foi. Ne doutez pas, c’est tout.

240      Bonjour. Je pense que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Le Seigneur JĂ©sus nous connaĂźt tous les deux. Vous ĂȘtes une femme vraiment jeune. Mais vous n’ĂȘtes pas ici pour vous-mĂȘme. Je vois apparaĂźtre un hĂŽpital, un lit. C’est votre mĂšre, c’est pour elle que vous priez, et elle est recouverte de l’ombre de la mort. Elle souffre de la vĂ©sicule biliaire, de tumeurs, et elle a aussi un cancer, une ombre noire, le cancer. Prenez ce mouchoir, sur lequel vous pleurez, posez-le sur elle, et invoquez le Nom du Seigneur, et ne doutez pas. Si vous ne doutez pas, Dieu la sortira de lĂ , et la rĂ©tablira. Maintenant, ne doutez pas. Allez, au Nom du Seigneur, et croyez.

241      Êtes-vous convaincus que Christ vit? [L’assemblĂ©e dit : Amen.”–N.D.É.]

242      [FrĂšre Branham fait une pause.–N.D.É.] Il y a quelque chose, tout... Oh, c’est cette femme qui est assise tout au fond, en arriĂšre, lĂ , sur ce siĂšge. Elle souffre de maux de tĂȘte. Et elle priait le Seigneur, lĂ , elle essayait de s’occuper de cet enfant. Il vous a exaucĂ©e, soeur. C’est fini maintenant. Levez-vous, simplement, pour donner la louange Ă  Dieu pour ça, madame. Donnez simplement la louange Ă  Dieu pour ça. Voyez?

243      Qu’est-ce qu’elle a touchĂ©? Elle ne m’a jamais touchĂ©. Mais elle a touchĂ© le Souverain Sacrificateur. Je ne connais pas cette femme. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais Dieu l’a guĂ©rie Ă  l’instant mĂȘme. Est-ce que ça prouve que JĂ©sus est le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Bien sĂ»r que oui. Si tu peux le croire! Tout est possible Ă  ceux qui croient.

244      C’est dans l’auditoire maintenant, il y a quelqu’un qui prie. Voyez-vous, c’est selon l’endroit oĂč la force prĂ©domine, lĂ  oĂč est l’Esprit. Je ne peux que suivre et dire ce qu’Il dit; je ne sais pas. Oh, c’est la femme qui remet ses lunettes, aprĂšs avoir pleurĂ©. La raison pour laquelle elle pleurait, c’est parce que l’Esprit est sur elle. Le voilĂ . Ce problĂšme intestinal qui vous a fait souffrir; ayez la foi, il s’en ira et ne reviendra jamais. Je ne connais pas cette femme. Je ne l’ai jamais vue. Elle ne m’a jamais touchĂ©. Elle a touchĂ© le Souverain Sacrificateur.

Si tu peux le croire!

245      Il a saisi une autre femme. Tous ceux qui le veulent, je voudrais que vous regardiez par ici. Regardez cette femme qui pleure; regardez l’autre femme qui est assise dans son Ă©tat normal; regardez l’autre femme assise Ă  cĂŽtĂ© d’elle, elle pleure. Elle souffrait du cƓur, la petite dame qui est assise juste lĂ , qui me regarde avec... Oui. C’est exact. Vous aviez des problĂšmes cardiaques. N’est-ce pas? Vous ne les avez plus. L’ardeur de votre foi a attirĂ© Dieu, et vous L’avez touchĂ©.

Oh, c’est formidable, ça!

[Frùre Branham fait une pause de vingt-cinq secondes.–N.D.É.]

246      Vous voyez cette dame qui est assise juste lĂ , la tĂȘte baissĂ©e, en train de prier? Une femme aux cheveux gris, qui m’est inconnue, assise lĂ . Oui. Vous vous ĂȘtes retournĂ©e pour la regarder. Elle a des problĂšmes de vĂ©sicule biliaire. Elle a priĂ© Dieu de lui enlever ça. Et lĂ , vous Ă©tiez en train de prier : “Seigneur, fais qu’il m’appelle.” C’est exact. Si c’est exact, levez la main. Comment ai-je pu savoir quelle Ă©tait votre priĂšre? Vous ne les avez plus. Votre foi vous a guĂ©rie. Rentrez chez vous et soyez rĂ©tablie.

247      Croyez-vous? Si tu peux le croire, tout est possible. Mais vous devez croire.

248      Il se dĂ©place toujours dans ce secteur-lĂ , de ceux qui sont assis par lĂ . Juste ici, la deuxiĂšme du bout, de l’hypertension. Si vous le croyez de tout votre cƓur, soeur, c’est fini. Croyez-vous en Dieu, Le prenez-vous au Mot? TrĂšs bien. Levez la main. C’est pour ça que vous priiez : “Seigneur, fais que je sois la prochaine qu’il appelle, j’ai de l’hypertension.” Je vous suis inconnu. Si c’est vrai, faites signe de la main. TrĂšs bien. Vous ne l’avez plus. Rentrez chez vous et soyez rĂ©tablie.

249      Vous voyez ce que c’est? C’est la foi. Si vous pouvez le croire! Croyez-vous? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Voyez-vous, ces gens sont lĂ , sans carte de priĂšre ni rien. Êtes-vous prĂȘts Ă  croire? Est-ce que c’est comme ça que le Seigneur JĂ©sus a agi quand Il Ă©tait sur terre?

250      Tenez, est-ce que–est-ce que c’est celui-ci, l’homme qui est venu? Bien. Vous ne pouvez pas savoir quelles sont les rĂ©percussions, vous tous. Vous du Branham Tabernacle, maintenant, regardez un peu ici, le dessus de ma main. Voyez? Vous savez que je ne suis pas comme ça d’habitude. Qu’est-ce que c’est? L’Esprit du Seigneur. C’est l’onction.

251      Bien des gens ne comprennent pas ce que c’est que l’onction. Ils pensent que c’est de pousser des cris. Ça, c’est la joie. La puissance, c’est quelque chose qui vient de façon solennelle. Voyez? Ça, c’est la joie du Seigneur. Ceci, c’est la Puissance du Seigneur : de guĂ©rir quelqu’un, de le rĂ©tablir. Regardez ce qu’Il a fait pour cette petite fille qui Ă©tait assise lĂ , l’autre soir, infirme; pour l’homme qui Ă©tait aveugle; pour les autres, d’un bout Ă  l’autre, partout.

252      Bonjour, monsieur. Je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Nous ne nous connaissons pas. Je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas. Si c’est exact, levez la main. TrĂšs bien, c’est la premiĂšre fois que nous nous rencontrons. Respectueux, maintenant. Voici un homme, et lui et moi... beaucoup plus jeune que moi, nous avons les mains levĂ©es, l’un vers l’autre, devant Dieu, comme quoi c’est la premiĂšre fois que nous nous rencontrons. JĂ©sus connaĂźt cet homme. Et il doit y avoir quelque chose qui ne va pas; il se tient lĂ . Je ne sais pas.

253      Mais si j’ai dit la vĂ©ritĂ©, et Dieu a confirmĂ© par de nombreux tĂ©moins que je vous ai dit la vĂ©ritĂ©, que “c’est par Ses meurtrissures que vous avez Ă©tĂ© guĂ©ris”. C’est au temps passĂ©. Vous devez vous approprier cette foi solide, pour pouvoir monter au-dessus de ces choses.

254      Regardez ce cancer qui est disparu ici, ce soir! Maintenant, regardez bien les tĂ©moignages qui vont suivre, ces ombres noires de la mort. Votre charmant docteur aura beau faire tout ce qu’il peut pour vous sauver la vie. Mais quand Dieu dit quelque chose, c’est rĂ©glĂ©. Et ce n’était pas moi. Moi, je n’ai rien Ă  y voir.

255      Maintenant, il y a environ deux cents personnes qui sont ici pour qu’on prie pour elles. Je veux me reposer juste une minute, maintenant. Et ensuite, nous allons simplement commencer Ă  prier pour les gens, les faire venir; pas les faire passer dans une ligne, mais me tenir ici Ă  prier pour eux. Je veux prier pour tous ceux qui veulent qu’on prie pour eux.

256      Mais, partout dans l’auditoire, et ceux qui sont sur l’estrade, je veux que vous reconnaissiez que JĂ©sus-Christ est ici. En ĂȘtes-vous tous conscients? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Tout le monde en est conscient. [“Amen.”]

257      Maintenant, pour que ce soit une affaire rĂ©glĂ©e Ă  tout jamais dans votre esprit. Cet homme et moi, nous sommes ici avec les mains levĂ©es vers Dieu, c’est la premiĂšre fois que nous nous rencontrons. S’Il lui dit quel est le secret de son cƓur, tout comme Il l’avait fait Ă  la femme au puits, ou Ă  Philippe, ou tout au long, partout au long de Son ministĂšre, s’Il le fait, est-ce que ce sera pour vous tous la confirmation que c’est carrĂ©ment Lui, le Seigneur JĂ©sus? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.]

258      Pour vous aussi, monsieur? [Le frĂšre dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] Je n’ai aucun moyen, aucune idĂ©e de ce que peut ĂȘtre votre problĂšme. Je ne sais pas si vous ĂȘtes un pĂ©cheur ou un ChrĂ©tien. Je ne pourrais pas vous le dire. Lui, Il le sait; Dieu le sait. Mais moi, je ne peux pas vous le dire. Mais si Lui, Il me le dit... Mais vous ĂȘtes ChrĂ©tien. [“Oui.”] En effet, dĂšs que votre esprit capte l’onction de cet Esprit qui est sur moi, il L’accueille, alors je sais que vous ĂȘtes ChrĂ©tien.

259      Et vous ĂȘtes recouvert d’une ombre trĂšs marquĂ©e. C’est un problĂšme de sang. Vous avez consultĂ© des mĂ©decins. Et ils veulent pratiquer une opĂ©ration, et cette opĂ©ration, c’est, je les entends, il y a deux mĂ©decins qui se consultent, et ils veulent enlever un organe de votre corps, qui s’appelle la rate. C’est exact. [Le frĂšre dit : “Oui.”–N.D.É.]

260      Vous n’ĂȘtes pas de cette ville, mais vous venez d’une grande ville oĂč se trouve un grand institut d’une certaine religion. C’est Wheaton. Et votre nom est Karl Rhodes, Rhodes, quelque chose comme Karl Rhodes. TrĂšs bien, monsieur. Si vous croyez de tout votre cƓur, vous pouvez rentrer chez vous, et Dieu Ă©pargnera votre vie. Le croyez-vous? [Le frĂšre dit : “Je le crois.”–N.D.É.]

            Prions.

261      Seigneur JĂ©sus, je chasse maintenant ce mal de notre frĂšre. Et, au Nom de JĂ©sus-Christ, qu’il vive, pour la gloire de Dieu. Amen.

Que Dieu vous bénisse, frÚre. Allez votre chemin, dans la joie!

262      Combien d’entre vous croient maintenant, de tout votre cƓur? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.]

Maintenant, est-ce que ceux-lĂ  sont les seuls pour qui on va prier? TrĂšs bien.

263      Eh bien, votre mal de dos est parti, pendant que vous Ă©tiez assis lĂ -bas, alors vous pouvez continuer votre chemin, et vous rĂ©jouir, si vous le voulez. Continuez simplement comme ça, en disant : “GrĂąces soient rendues Ă  l’Éternel, qui est bon!”

264      Allez manger votre souper. Votre problĂšme d’estomac est parti quand vous ĂȘtes venu dans la ligne, alors vous pouvez repartir avec ce que vous vouliez, vous aussi. Croyez seulement, de tout votre cƓur.

265      Vous n’aurez plus de problĂšmes d’arthrite, si vous le croyez. Continuez simplement votre chemin, en vous rĂ©jouissant et en louant Dieu, si vous le voulez bien, frĂšre. TrĂšs bien. TrĂšs bien.

266      Croyez-vous de tout votre cƓur? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Combien croient Dieu? [“Amen.”] Maintenant je vais juste aller de ce cĂŽtĂ©-ci un petit instant.

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