PrĂ©dication Les esprits sĂ©ducteurs de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 55-0724 | La durĂ©e est de: 2 heures |
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Les esprits séducteurs
1 Bonjour, mes amis. Je suis heureux dâĂȘtre ici ce
matin et de savoir que, de vous voir tous ici, croyant que le Seigneur
est avec nous aujourdâhui; Il nous a donnĂ© un peu dâombre, pour que ce
ne soit pas trop chaud ici dans le tabernacle pour la réunion du matin.
Et maintenant nousâŠ
2 Je crois, est-ce quâil y a des enfants⊠Est-ce
quâon a envoyĂ© les enfants Ă leurs classes, FrĂšre Neville? Jâai vu des
petits. Je me demandais simplement sâils avaient envoyĂ© les classes
dans leursâleurs autres locaux, leur salle de lâĂ©cole du dimanche.
3 Maintenant, priez pour moi. Il y a une décision
importante que jâĂ©tais censĂ© prendre hier soir, et je dois la prendre
aujourdâhui. Et que lâĂ©glise prie. Jâai uneâjâai une rĂ©union, la
prochaine qui est prĂ©vue, câest juste sur la ligne du rideau de fer, en
Allemagne, et alors, câest assez dĂ©licat. Priez pour moi. Et alors,
câest, nous pourrons commencer tout de suite dans le grand stade de
cricket, en Allemagne, quâHitler a construit juste avant la guerre, une
belle grande enceinte, oĂč quatre-vingt mille personnes peuvent
sâasseoir. Et nous pouvons lâavoir pour dix soirs dâaffilĂ©e. Et alors,
nous espérons commencer tout de suite là -bas, et nous rendre ensuite en
Alsace-Lorraine, en France, puis Ă Berlin, revenir⊠je veux dire, Ă
Berlin, entre lĂ -bas etâet la France.
4 Ă notre retour nous nous rendrons, si le Seigneur
le veut, Ă une convention Ă Chicago. Elle commence, je pense, ma
participation, ce sera les cinq, six, sept, huit et neuf, Ă Chicago, Ă
la convention, Ă lâĂ©glise suĂ©doise. Et ensuite, ils⊠M. Boze⊠certains
dâentre vous qui demeurez aux environs de Chicago, une convention avait
été prévue pour prochainement⊠qui commençait le premier août, ou,
câest-Ă -dire le premier septembre, en SuĂšde. Et je suis si heureux
dâapprendre quâils ont votĂ© que ce soit moi qui y aille, et que ça a
Ă©tĂ© unanime et Ă cent pour cent. Jâai Ă©tĂ© content de ça, mais je dois
aller, soit lĂ -bas ou bien ici, lĂ . Priez que le Seigneur me conduise Ă
lâendroit prĂ©cis oĂč le plus grand nombre dâĂąmes seront sauvĂ©es, et oĂč
le meilleur sera accompli pour le Royaume de Dieu. Alors, ils font une
convention lĂ -bas etâet, eux en SuĂšde, et il disait quâil y aurait
vingt-cinq, trente-cinq mille personnes à la convention, au départ, et
beaucoup de ces gens ne sont pas sauvés.
5 Et puis, ici, en Allemagne, eh bien, ils ont un
stade oĂč quatre-vingt mille personnes peuvent sâasseoir. Ăvidemment,
nous⊠en Suisse, dâoĂč nous venons dâarriver, nous avons eu une sĂ©rie de
rĂ©unions formidables lĂ -bas, beaucoup dâentre vous nâen ont
probablement pas encore entendu parler. Le Seigneur nous a bénis
puissamment, il y a eu cinquante mille conversions en cinq soirs, Ă âĂ âĂ
Zurich, en Suisse.
6 Et alors, FrĂšre Jack Shuler, beaucoup dâentre vous
le connaissent, il est méthodiste, le fils du vieux Bob Shuler. Ils
sont Ă Belfast en ce moment, etâet dâaprĂšs ce quâon dit, ils causent
tout un remue-mĂ©nage, lĂ -bas, pour lâĂvangile, mĂȘme plus encore que ce
que Billy Graham avait eu à ses réunions. Jack est un jeune homme
vraiment trĂšs bien, rempli de zĂšle et dâamour. Et, ilâil y met tant de
sincĂ©ritĂ© que je crois quâil est un grand serviteur du Seigneur. Et
priez pour FrĂšre Shuler. Etâet il y a Jack Shuler, et Jack MacArthur
aussi, qui est avec lui. FrÚre Jack MacArthur est un grand prédicateur,
lui aussi. Et lĂ , il y a les hommes dâĂ©glise qui disent que câest le
plus grand réveil qui se soit jamais produit en Irlande. Alors, nous
sommes, alors⊠Allez en priĂšre tous les jours pour cesâpour ces hommes.
Ce sont tous les deux des hommes jeunes, qui ont moins de, une
quarantaine dâannĂ©es, je pense, ou moins, avec des familles et tout, et
de bons enseignants de lâĂvangile, solides, et nous les aimons.
7 Et maintenant, jeâje vous prie de ne pas
mâoublier, afin que, et que Dieu me donne de prendre la bonne dĂ©cision
en ce moment. Il y a des fois oĂč on ne sait pas quelle direction
prendre. Vous ĂȘtes-vous dĂ©jĂ retrouvĂ©s dans ces situations-lĂ ? Je pense
que Paul sâest retrouvĂ© dans cette situation-lĂ , une fois, nâest-ce
pas? Il était tiraillé des deux cÎtés. Et comme il se rendait là -bas,
eh bien, il a vu un ange en vision, qui lui a dit: «Viens en
MacĂ©doine.» Alors, le Seigneur a toujours Son Ange, nâest-ce pas? Si je
peux seulement ĂȘtre aussi humble dans mon cĆur que Paul lâĂ©tait, Ă ce
sujet.
8 Et maintenant, ce soir, souvenez-vous des services
dâĂvangile, ici au tabernacle, venez tous. Vous qui ĂȘtes des environs
de Louisville, je dois parler Ă lâĂglise de la Porte Ouverte, ce soir,
pendant quelques heures, Ă sept heures et demie, jusquâĂ neuf heures et
demie, chez FrĂšre Cobbles. Jâavais lâintention de venir ici deux fois.
Mais câest un homme si gentil, et il a tĂ©lĂ©phonĂ©. FrĂšre Cobbles, câest
un monsieur trÚs bien, un frÚre. Tu⊠je suis sûr que tu le connais, un
frÚre trÚs bien, et je ne pouvais pratiquement pas lui refuser ça.
Priez. Par-dessus tout, priez, et priez que Dieu nous donne deâde
prendre la bonne décision.
9 Maintenant, avant dâaborder le Message de
lâĂvangile, câest une matinĂ©e oĂč nous devons consacrer des petits
enfants. Et moi aussi, jâai un tout-petit, ici, Ă consacrer au
Seigneur. Or, bien souvent, dans bien des Ă©glisesâŠ
Entendez-vous comme il faut, tout au fond? Si oui,
est-ce que ça va? Avec les ventilateurs quâil y a ici, je⊠tout
simplement, on ne sâentend mĂȘme pas soi-mĂȘme. Non, çaâça va pour moi.
Jâai bien peur que je pĂ©rirais sans ça.
10 Donc, lesâles petits enfants, parfois ils les
aspergent, Ă lâĂ©glise, quand ils sont tout petits bĂ©bĂ©s. Et,
Ă©videmment, cette pratique est issue de lâĂ©glise catholique, le baptĂȘme
des petits enfants, ou de les «baptiser», comme ils disent, quand ce ne
sont que des tout-petits. LâĂ©glise mĂ©thodiste a adoptĂ© cela, le baptĂȘme
des nouveau-nés, et beaucoup, et, je pense, plusieurs autres. Je pense
que câest ce qui distingue les nazarĂ©ens des mĂ©thodistes Ă lâancienne
mode, ça a Ă©tĂ© le baptĂȘme des nouveau-nĂ©s, et ensuite, il y a de petits
groupes qui se sont formés à partir de là , et tout. Mais, de quelque
façon quâon le fasse, ça ne⊠je ne pense pas que ça ait tellement
dâimportance. Parce quâaprĂšs tout, je pense que le Calvaire a vraiment
montrĂ© clairement, lĂ -bas, ce quâil en Ă©tait de tout cela, parce que
Jésus y est mort, pour sauver les petits enfants, et pour sauver le
monde.
11 Et un petit enfant, quel que soit le genre de
parents quâil a, combien pĂ©cheurs, ça nây changerait rien, car le Sang
de JĂ©sus-Christ le purifie, voyez-vous, et câest Lui lâAgneau de Dieu
qui Îte le péché du monde. Ce bébé ne peut pas se repentir. Il ne sait
pas se repentir. Il nâa aucune raison dâĂȘtre ici, aucune raison qui lui
est propre. Il ne peut pas vous dire pourquoi il est ici. Mais Dieu lâa
envoyĂ© ici, et le Sang de JĂ©sus-Christ le purifie dĂšs lâinstant oĂč il
vient au monde. Et ce, jusquâĂ ce quâil arrive Ă lâĂąge de raison, et
alors il sait ce qui est bien et ce qui est mal, et alors, ce quâil
fait, il faut quâil se repente du mal quâil a fait en connaissance de
cause. Câest exact. Donc, certains les aspergent, et ils pensent quâils
ne vont pas au Ciel.
12 Il y a un enseignement qui dit que si le bébé est
né de parents remplis du Saint-Esprit, eh bien, le bébé ira au Ciel;
mais, sinon, ça sâarrĂȘte lĂ , le bĂ©bĂ© nâexiste tout simplement plus. Ăa,
câest carrĂ©ment une erreur. Quâest-ce que ça peut changer, que ce soit
des parents remplis du Saint-Esprit? Tous, câest le dĂ©sir sexuel, et le
bĂ©bĂ©, il naĂźt de la mĂȘme maniĂšre. Alors, tous, ils sont «nĂ©s dans le
pĂ©chĂ©, conçus dans lâiniquitĂ©, venus au monde en disant des mensonges».
VoilĂ âvoilĂ les termes Scripturaires de la chose.
13 Donc, et alors le Sang de Jésus-Christ purifie et
fait lâexpiation pour cet enfant. Sâil mourait, il irait directement
dans la PrĂ©sence de Dieu, parfaitement, mĂȘme sâil Ă©tait nĂ© des parents
les plus pĂ©cheurs du monde, jusquâĂ ce quâil atteigne lâĂąge de raison,
oĂč il sait ce qui est bien et ce qui est mal. Ensuite, ce quâil fait Ă
partir de lĂ , il doit ĂȘtre pardonnĂ© pour ça. Il doit demander, sa
propre repentance, Ă partir de lĂ . Mais, pendant quâil est bĂ©bĂ©âŠ
14 Maintenant, la ligne de conduite que nous
essayons de suivre, ici au tabernacle. Câest le seul endroit au monde
oĂč je vais, oĂč je prĂȘche la Doctrine, câest ici au tabernacle, parce
quâici, câest notre Ă©glise. Et nous prĂȘchons la Doctrine ici, pour
garder les gens alignés. Les autres hommes, dans leurs églises, ils
prĂȘchent ce quâeux, ils croient. Et ce sont mes frĂšres, et nous pouvons
avoir des petites divergences entre nous, mais nâempĂȘche que nous
sommes quand mĂȘme frĂšres. Et⊠mais ici, dans le tabernacle, nous
prĂȘchons ce que nous considĂ©rons ĂȘtre la Doctrine Biblique. Et,
là -dedans, nous voyons, pour ce qui est de la consécration des enfants,
ce que nous appelons une consécration, la seule fois, dans la Bible,
que nous pouvons trouver, ou, dans le Nouveau Testament, oĂč des petits
enfants aient jamais eu quoi que ce soit Ă voir, ou que Christ ait eu
quoi que ce soit Ă voir Ă ce sujet, dans une cĂ©rĂ©monie, câest quâIl les
a pris dans Ses bras, quâIl leur a imposĂ© les mains et les a bĂ©nis, et
II a dit: «Laissez venir Ă Moi les petits enfants. Ne les en empĂȘchez
pas, car le Royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent.»
15 Maintenant, dâaprĂšs ce que nous avons compris,
câest Ă nous quâil revient de poursuivre lâĆuvre quâIl Ă©tait venuâvenu
accomplir. Sa mort au Calvaire, II a été avec nous et Il est reparti
du⊠II est sorti de Dieu, pour venir dans le monde, Il est reparti de
Dieu, ou, du monde, pour retourner Ă Dieu, et Il est revenu sous la
forme du Saint-Esprit, et II est avec nous, en nous, jusquâĂ la fin du
monde, exĂ©cutant, dans Son Ăglise, la mĂȘme Ćuvre que celle quâIl avait
accomplie quand Il était ici sur terre. Et, conformément à cela, nous
amenons nos enfants les uns aux autres, aux ministres, et ils prient
pour eux, ils leur imposent les mains, et les consacrent Ă Dieu. Juste
une petite cérémonie pour exprimer notre reconnaissance pour ce que le
Seigneur a fait pour nous et pour les petits enfants.
16 Maintenant, si votre petit a été aspergé, ou
quelle que soit la façon dont ça se passe à votre église, réfléchissez.
Nous nâavons pas un mot Ă dire contre ça. Câest bien. Mais, dans
lâĂcriture, nous ne trouvons quâun seul passage, câest celui oĂč JĂ©sus
les a bĂ©nis, Lui-mĂȘme. Câest ce que je lirai, si le Seigneur le veut,
dans laâdans la Parole, ici. Nous trouvons, dans Luc, au⊠je crois que
câest auâau chapitre 10, et Ă partir du verset 13.
On lui amena des petits enfants, afin quâil les
touchĂąt. Mais les disciples reprirent ceux qui les amenaient.
Jésus, voyant cela, fut indigné, et leur dit:
Laissez venir Ă moi les petits enfants, et ne les en empĂȘchez pas; car
le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent.
Je vous le dis en vérité, quiconque ne recevra pas
le royaume de Dieu comme un petit enfant nây entrera point.
Puis il les prit dans ses bras, et les bénit, en
leur imposant les mains.
17 Câest beau, nâest-ce pas? II a dit: «Maintenant,
laissez venir Ă Moi les petits enfants. Ne les en empĂȘchez pas, car le
royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent, qui ressemblent Ă
ce petit enfant.» Et Il les a pris dans Ses bras et les a bénis.
18 Maintenant, combien nous aimerions, ce matin, si
nous pouvions avoir JĂ©sus assis ici, en personne, sur lâestrade, dire
«Seigneur, voudrais-Tu bénir mon enfant?» Oh, que ce serait⊠pour nos
yeux humains, et nos cĆurs qui brĂ»lent de voir ça. Mais Il est ici
quand mĂȘme; en effet, II nous a donnĂ© la commission de le faire. Et ce
que nous avons fait, Lui, Il le reconnaĂźt. Comme nous recevons ceux
quâIl a envoyĂ©s, nous recevons Celui qui lâa envoyĂ©, vous voyez. Donc,
Il est ici ce matin. Et si SĆur Gertie veut bien venir au piano, et
jouer notre vieux chant que nous chantions, il y a longtemps, celui-ci
«Amenez-les Ă lâintĂ©rieur, amenez les petits Ă JĂ©sus.» Je crois quâil
est dans le livre, lĂ , quelque part. Je nâen suis pas sĂ»r. «Amenez les
petits Ă JĂ©sus.» Et si vous avez un bĂ©bĂ©, un petit bĂ©bĂ© qui nâa pas Ă©tĂ©
consacré, et que vous voulez le consacrer ce matin, eh bien, nous
serons contents de le faire.
19 Y a-t-il des ministres dans la salle, des
prédicateurs, qui voudraient simplement venir se tenir avec nous ici
pendant que nous consacrerons ces enfants au Seigneur? Nous serons
contents de vous avoir avec nous, alors que vous vous avancez. TrĂšs
bien, est-ce quâil y est, dans le livre? Lâas-tu trouvĂ©, FrĂšre Neville?
Il nây est pas. TrĂšs bien, combien le connaissent, Amenez-les Ă
lâintĂ©rieur? TrĂšs bien, maintenant chantons-le. Tous en chĆur, pendant
que les mÚres amÚnent leurs bébés. TrÚs bien. TrÚs bien.
âŠĂ lâintĂ©rieur, amenez-les Ă lâintĂ©rieur,
Amenez-les Ă lâintĂ©rieur, en dehors des lieux du pĂ©chĂ©;
Amenez-les Ă lâintĂ©rieur, amenez-les Ă lâintĂ©rieur,
Amenez à Jésus les égarés.
Amenez-les Ă lâintĂ©rieur, amenez-les Ă lâintĂ©rieur,
Amenez-les Ă lâintĂ©rieur, en dehors des lieux du pĂ©chĂ©;
Amenez-les Ă lâintĂ©rieur, amenez-les Ă lâintĂ©rieur,
Amenez les petits à Jésus.
20 Pouvons-nous courber la tĂȘte un instant. Notre
PĂšre CĂ©leste, debout autour de lâautel, ce matin, il y a les mĂšres et
les pĂšres qui ont dans leurs bras leurs petits rejetons, que Tu leur as
gracieusement donnés. Ils sont tellement reconnaissants de les avoir,
Seigneur, et ils les amĂšnent ici, Ă lâautel, ce matin, dans la maison
de Dieu, pour les consacrer, Te donner leur vie. Tu as donné. Et nous
Te prions, ĂŽ Dieu, de nourrir et de bĂ©nir chacun dâeux. Conduis-les, et
que les Anges gardiens de Dieu veillent sur chacun. Donne-leur une
longue vie de bonheur et de joie. Puissent-ils devenir les hommes et
les femmes de Dieu de demain, Ă supposer quâil y ait un demain.
21 Ă Dieu, nous Te prions de susciter des
prédicateurs, des prophÚtes et des docteurs, de ce groupe de bébés qui
sont autour de lâautel ce matin. Et quand nous serons vieux et que nous
ne pourrons plus continuer Ă avancer, que quelquâun devra nous emmener
dâun lieu Ă lâautre, que nous puissions nous tenir lĂ et entendre
lâĂvangile, prĂȘchĂ© par ceux qui sont ici aujourdâhui. Accorde-le,
Seigneur. Et, un jour glorieux, quand tout sera terminé, que nos vies
seront arrivĂ©es Ă leur terme, que ces parents autour de lâautel, que
nous soyons comme Jacob, autrefois, quand il a béni tous ses enfants,
et quâil leur a dit quelle serait leur fin, au dernier jour. Ensuite,
en levant les yeux, il a dit: «Vous savez, je vais ĂȘtre recueilli
auprÚs de mon peuple.» Et, un jour glorieux, lui et tous ses rejetons,
seront rĂ©unis dans un pays meilleur. Ce nâest pas Ă©tonnant que Balaam
ait dit: «Que ma fin soit semblable à la sienne.» à Dieu, je Te prie
dâaccorder ces bĂ©nĂ©dictions aux parents.
22 Et maintenant, comme nous nous avançons pour leur
imposer les mains, quelleâquelle merveilleuse⊠et quelle humble façon
de faire Tu as choisie, Seigneur, que nous, les hommes de cette terre,
nous ayons le privilÚge de bénir les petits enfants en Ton Nom, en
sachant ceci, que ce que nous demandons nous est accordé. Comme nous
nous avançons pour les bénir, puisse Jésus, la Personne tout-invisible,
Celui qui est omnipotent, se tenir tout prÚs et bénir chaque enfant,
alors que nous leur imposons les mains et que nous les Lui offrons. Car
nous le demandons en Son Nom. Amen.
23 FrĂšre Glenn Funk, il a ses trois petits enfants Ă
faire consacrer au Seigneur.
[Espace non enregistré sur la bande. FrÚre Branham
consacre des bĂ©bĂ©s. âN.D.Ă.]
âŠuneâune petite penderie, tout lĂ -bas, au nord du
pays, Tu mâas promis cet enfant. PĂšre, puissent Tes bĂ©nĂ©dictions
reposer sur lui.
Joseph, mon garçon, je te donne à Dieu. Et puisse ta
vie ĂȘtre une bĂ©nĂ©diction. Puisses-tu ĂȘtre prophĂšte, Joseph. Puisse la
grĂące de Dieu reposer avec toi. Puisse le Dieu de ton pĂšre, le Seigneur
Jésus-Christ, te bénir à jamais, faire de ta vie une bénédiction pour
les autres.
Au Nom de Jésus-Christ, je le bénis. Amen.
[Espace non enregistré sur la bande. FrÚre Branham
consacre des bĂ©bĂ©s. âN.D.Ă.]
24 Vous aimez les petits enfants? Il y a chez les
tout-petits un je ne sais quoi, qui fait que chaque mĂšre veut que son
enfant soit béni.
Or, câest pareil pour notre PĂšre CĂ©leste vis-Ă -vis
de nous, les adultes, ce matin. Il veut que chacun de nous, nous soyons
bénis. Il nous présente une certaine chose, Il nous la tend,
simplement, comme pour dire: «Voici, Je veux que tu sois béni, Mon
enfant.» Nâest-Il pas merveilleux? Alors, nous pouvons apprĂ©cier un bon
PÚre Céleste comme ça.
25 Maintenant, concernant les bénédictions des
petits bĂ©bĂ©s, vous savez, je lisais justement ici dans lâĂcriture,
lâautre jour, quelque part ici, câĂ©tait dans lâAncien Testament, lĂ ,
uneâune chose glorieuse que jeâjâai vraiment apprĂ©ciĂ© dâavoir pu lire.
Voici, câest ici mĂȘme. «Et NathanaĂ«l rĂ©pondit Ă David: âFais tout ce
que tu as dans le cĆur, car Dieu est avec toi.â» Voyez? Fais ce que tu
as dans le cĆur. Et bien des fois jeâjâai constatĂ© ceci, mon ami
chrĂ©tien, que jâai prononcĂ© des choses sans savoir ce que jâallais
dire, et jâai constatĂ© quâelles sâĂ©taient accomplies. Ce que vous dites!
26 Il a été dit, une fois, Jésus était descendu de
la montagne et Il a vu un arbre sur lequel il ne se trouvait rien,
seulement des feuilles, il nây avait pas de fruit, et Il a dit: «Que
dorénavant personne ne mange de ton fruit.»
27 Le lendemain, en passant, les apĂŽtres ont vu que
les feuilles Ă©taient sĂšches. Il a dit: «Regarde, lâarbre a sĂ©chĂ© en un
instant.»
28 Jésus a dit: «Ayez foi en Dieu; car tout ce que
vous demanderez en priant, croyez que vous lâavez reçu, et cela vous
sera accordé. Et tout ce que vous direz; ce que vous aurez dit vous
sera accordĂ©.» RĂ©flĂ©chissez à ça. Oh! Alors, peut-ĂȘtre que le grand
Saint-Esprit de Dieu, ici Ă lâautel. Vous dites⊠Eh bien, il nâa pas
besoin dâĂȘtre dĂ©corĂ©. Ăa nâa pas besoin dâĂȘtre un lieu minutieusement
préparé.
29 Jacob a pris une pierre, une fois, pour y poser
sa tĂȘte, et elle est encore reconnue aujourdâhui: la pierre de Scone.
Ou, la pierre de Scone, les grands hommes de la terre portent encore
cette pierre partout, ils intronisent les rois au-dessus de cette
pierre, juste une vieille pierre banale qui se trouvait dans le champ.
BĂ©thel, câĂ©tait juste un tas de pierres empilĂ©es
lâune sur lâautre, et câest devenu la maison de Dieu, la demeure. Jacob
a dit: «Ce nâest autre lieu que la maison de Dieu.» Juste un tas de
pierres empilĂ©es lâune sur lâautre.
30 Ce quâil faut, ce nâest pas les grandes choses
compliquĂ©es. Ce quâil faut, câest la simplicitĂ© et la foi pour croire,
voilĂ ce quâil faut. VoilĂ ce qui produit le rĂ©sultat.
31 Bon, sachant que le temps file vite, nous
essaierons de ne pas vous retenir trĂšs longtemps, sachant quâil fait
chaud et que lâĂ©glise est bondĂ©e de gens. Alors, je vais vous parler
seulement quelques instants ce matin, sur un petit sujet ici, qui
pourrait⊠jâai confiance que ça vous aidera. Et maintenant, avant de
quitter la maison, jâai notĂ© trois ou quatre petites choses. Jâai dit:
«Je vais attendre pour voir de quoi le Seigneur voudra que je parle
quand jâarriverai lĂ -bas.» Jâai Ă©crit Ă peu prĂšs six petites choses,
ici, des petits sujets, et jâen ai Ă©crit un, je lâai mis dans ma poche,
comme ceci. Je me suis dit: «Eh bien, quand je monterai en chaire,
peut-ĂȘtre quâIl me dira de quoi parler.» Maintenant je ne suis pas plus
avancĂ© que je lâĂ©tais lĂ -bas. Alors, de toute façon, je vais lire un
passage de lâĂcriture, ici, et que le Seigneur nous aide Ă Le
comprendre. Le chapitre 14 de Luc, et commençons vers le trente-⊠le
verset 31, du chapitre 14 de Luc.
Ou quel roi, sâil va faire la guerre Ă un autre roi,
ne sâassied dâabord pour examiner sâil peut, avec dix mille hommes,
marcher Ă la rencontre de celui qui vient lâattaquer avec vingt mille?
Sâil ne le peut, tandis quâil est soit⊠est encore
loin, il lui envoie une ambassade pour demander la paix.
Ainsi donc, quiconque dâentre vousâŠ
32 Je veux que vous soyez trĂšs attentifs. Bon,
dâabord Il a dit⊠Câest une parabole. Il a dit: «Bon, il y a un roi qui
va venir, et il a vingt mille soldats; et ce roi-ci va marcher Ă sa
rencontre, et il nâa que dix mille soldats. Et, donc, dâabord, il
sâassied et sâinterroge, Ă savoir sâil est prĂȘt, sâil peut y arriver ou
pas.» TrÚs bien.
âŠdâentre vous ne renonce pas Ă tout ce quâil possĂšde
ne peut ĂȘtre mon disciple. (Voyez?)
33 Maintenant, que le Seigneur ajoute Sa bénédiction
Ă cette Parole. Maintenant pouvons-nous courber la tĂȘte un petit
instant.
34 Notre PÚre Céleste, Toi qui connais toutes
choses, et qui ne fais aucun cas de la personne de lâhomme, car,
quâest-ce que lâhomme, pour que Tu te souviennes de lui? Tu as fait
lâhomme, et il est tout comme la fleur des champs: aujourdâhui, il est
beau, demain il est coupé, jeté au four, il se flétrit. Et je Te prie,
ĂŽ Dieu, dâĂȘtre misĂ©ricordieux envers nous aujourdâhui, et de donner Ă
chacun de faire un inventaire aujourdâhui. Nous sommes ici, pour ainsi
dire, dans la maison de correction. Nous sommes ici pour apprendre et
pour savoir comment vivre, alors, que tout cela sorte de Ta Parole
aujourdâhui, ĂŽ Dieu Ăternel. Beaucoup de Tes enfants se sont rassemblĂ©s
ici, et beaucoup dâentre eux sont Tes enfants depuis des annĂ©es, mais
nous revenons quand mĂȘme tous Ă la maison de Dieu, pour apprendre, pour
savoir. Et moi, Ton serviteur, je désire Te connaßtre davantage. Et je
Te prie de faire descendre lâinspiration de lâĂvangile sur chacun de
nous, sur Ton serviteur, et que Ta Présence, et Ton inspiration sur
nous partout dans ce bĂątiment, soient tellement grandes aujourdâhui,
que nous repartirons avec le dĂ©sir dans notre cĆur dâĂȘtre de meilleurs
serviteurs pour Toi, quâil nous aura Ă©tĂ© profitable dâĂȘtre ici. Ă Dieu
miséricordieux, accorde ces bénédictions, au Nom de Jésus, Ton Fils.
Amen.
35 Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses
bénédictions à la Parole, que nous lisons. Je voudrais prendre comme
thÚme, ce matin, là : «Les esprits séducteurs ou la Parole de Dieu?» Or,
câest un sujet assez bizarre, mais comme nous sommes dans le
tabernacle⊠Et, mercredi soir passé⊠Dimanche matin passé, je parlais
dâunâdâun petit jubilĂ© de lâĂvangile.
36 Et, mercredi soir passĂ©, jâai prĂȘchĂ© sur la femme
qui portait ceâce collier sur sa tĂȘte, ou⊠Elle avait perdu une de ses
drachmes, et elle balayait la maison et essayait de la retrouver avant
le retour de son mari. Et nous avons vu que cette femme était une femme
comme celles de lâOrient, et elle⊠et elle reprĂ©sentait lâĂglise. Et
autrefois on ne portait pas lâalliance au doigt. On la portait autour
de la tĂȘte, et il y avait neuf drachmes dessus. Et quand une femme
devenait une prostituée, on enlevait une drachme, et ça montrait
quâelle Ă©tait une prostituĂ©e. Et donc, cette femme-lĂ avait perdu une
drachme, sans ĂȘtre une prostituĂ©e, mais son mari avait Ă©tĂ© absent, et
elle se dĂ©pĂȘchait dâessayer de trouver cette drachme, pour la remettre
dans son collier; en effet, quand son mari arriverait, il saurait
quâelle avait Ă©tĂ© surprise Ă se livrer Ă la prostitution, ce qui aurait
pour résultat un ménage brisé, et tout. Et, pendant quelques instants,
jâai appliquĂ© ça Ă lâĂ©glise, qui a perdu beaucoup de grandes choses. Et
câest le moment oĂč le PĂšre va venir, alors, nous devons les rechercher.
Maintenant, sachant que dans lâĂ©glise, et, notre tabernacleâŠ
37 Jeâje voudrais parler des Esprits sĂ©ducteurs, ce
qui devrait, en rĂ©alitĂ©, sâintituler DĂ©monologie. On entend tellement
parler de démons ces jours-ci, mais on entend trÚs peu parler de la
façon de sâen dĂ©barrasser. Tous, nous sommesâsommes bien au courant
quâil y a des dĂ©mons, mais comment sâen dĂ©barrasser, voilĂ ce quâil
faut voir, aprĂšs. Et maintenant, il y a⊠Comme jâai, par la grĂące de
Dieu, de nombreuses occasions de traiter avec ces choses quâon appelle
les dĂ©mons, et de les affronter sur lâestrade et dans ma marche
quotidienne, et⊠eh bien, jâaimerais examiner lâĂcriture ce matin, et
voir ce que ces choses-lĂ sont, au juste.
38 Or, nous avons appliqué ça, dans le service de
guérison, toujours du cÎté guérison. Le cancer, la tumeur, la
cataracte, la tuberculose, toutes ces choses ne sont pas des choses
naturelles, elles sont surnaturelles, et ce sont des dĂ©mons. LâĂcriture
le confirme clairement. Mais il sâagit lĂ de dĂ©mons dans le corps, qui
se manifestent par des tumeurs, comme un cancer, il y a une vie dedans,
et la vie de ça, câest un dĂ©mon. Une cataracte qui prend de
lâextension, une tuberculose qui se propage, et dâautres maladies, ce
sont des dĂ©mons. Ăa, câest sous une forme physique.
39 Maintenant, ce matin, nous allons parlerâparler
des dĂ©mons sous une forme spirituelle, dans lâĂąme. Ils sont dans lâĂąme,
tout comme ils sont dans le corps. Et nous sommes bien obligés
dâadmettre que nous voyons quâils sont dans le corps des gens, sous
forme de cancers etâet de diffĂ©rentes maladies quâil y a dans le corps
humain.
40 Tout derniĂšrement, on a mĂȘme dĂ©clarĂ© que le
cancer est une maladie de quatriĂšme dimension, quâil se trouve dans une
autre dimension. Bien sĂ»r, il sâagit de dĂ©monologie. Toute maladie est
une maladie de quatriÚme dimension, au départ.
41 Or, mais, bon, un cancer dans le corps ou bien un
cancer dans lâĂąme, le dĂ©mon peut pĂ©nĂ©trer dans les deux endroits. Or,
il arrive souvent et Ă bien des gens dâavoir des bonnes pensĂ©es, comme
quoi⊠et de braves gens, qui essaient, souvent, deâde se reposer sur
une petite thĂ©ologie quelconque quâils ont, ou sur quelque chose qui
leur a été enseigné dÚs leur enfance, et ils constatent, malgré tout
ça, quâau fond de leur ĂȘtre, quâau fond de leur Ăąme, il y a encore
quelque chose qui nâest pas en ordre. Vous⊠il y en a beaucoup ici ce
matin, sans doute que partout oĂč on trouve des chrĂ©tiens rassemblĂ©s, on
trouve des gens qui ont de ces esprits en eux, quâils⊠Câest quelque
chose dâindĂ©sirable. Ils nâen veulent pas. Ils disent: «Oh, si
seulement je pouvais arrĂȘter de mentir! Si seulement je pouvais arrĂȘter
de convoiter! Si seulement je pouvais arrĂȘter ceci ou cela!» Or, ça, ce
sont des démons. Et, bon, ils se présentent sous la forme de religion,
souvent. (Vu que câest lâĂ©cole du dimanche, câest un temps
dâenseignement, alors, examinons ceci.) Or, ils se prĂ©sentent sous la
forme de religion, souvent.
42 Maintenant, dans lâĂcriture, une fois, il y avait
un homme du nom de Josaphat, un grand homme, un homme religieux. Et il
est allĂ© voir un autre roi, qui Ă©tait le roi deâdâIsraĂ«l. Et lui,
Josaphat, câĂ©tait le roi de Juda. Et il est descendu voir Achab, le roi
dâIsraĂ«l, et ils se sont attachĂ©s solidement ensemble, et ils ont fait
une alliance lâun avec lâautre, de monter combattre Ă Ramoth en Galaad.
Et ils lâont fait sans avoir dâabord priĂ©.
43 Oh, si seulement les gens pouvaient se rendre
compte! Câest pour ça que je suis venu ce matin, vous demander de
penser Ă moi, comme je dois aller outre-mer. En toutes choses, priez!
II est venu quelquâun lâautre jour, qui disait:
«FrĂšre Branham, pensez-vous que câest mal de faire telle chose?»
44 Jâai dit: «Pourquoi vous questionnez-vous Ă ce
sujet?» Voyez? Sâil y a une question dans votre esprit, laissez ça de
cÎté, ne le faites pas du tout. Tenez-vous en à ça, simplement. Quand
vous vous apprĂȘtez Ă faire quelque chose, et quâil y a une question, Ă
savoir si câest bien ou mal, tenez-vous loin. Ne vous y aventurez pas
du tout, alors vous saurez que vous avez raison.
45 Or, on devrait considérer toutes choses en
priÚre, premiÚrement. «Cherchez premiÚrement le Royaume de Dieu et Sa
justice, et toutes ces autres choses seront données par-dessus.» Je
suis sûr et certain, ce matin, que si les hommes et les femmes
pouvaient seulement en arriver Ă cette position, oĂč leur Ăąme, leur
pensée, leur attitude, soient parfaites aux yeux de Dieu, ce serait une
des églises les plus puissantes qui aient jamais existé.
46 Regardez bien, pendant quelques instants, le cÎté
physique. Maintenant, nous sommes⊠avons⊠souvent⊠nous avons ça depuis
des années, nous avons ce que nous appelons un «détecteur de mensonge».
Vous pouvez vous mettre ça au poignet, ils lâinstallent autour de laâla
tĂȘte des personnes, et vous pouvez aller lĂ et faire tout ce que vous
pouvez pour que votre mensonge sonne vrai, la machine va marquer du
cĂŽtĂ© nĂ©gatif chaque fois, parce que lâĂȘtre humain nâa pas Ă©tĂ© fait pour
mentir. Mentir, câest une chose trompeuse, dure, une vilaine chose.
Jâaimerais mieux avoir un ivrogne avec moi, nâimporte quand, quâun
menteur. Voyez? Un menteur! Et votre corps nâa pas Ă©tĂ© fait pour
mentir. Peu importe combien pĂ©cheur vous ĂȘtes, vous ĂȘtes quand mĂȘme un
fils de Dieu déchu. La personne la plus pécheresse de cette ville,
aujourdâhui, Dieu ne vous avait pas destinĂ© Ă ĂȘtre pĂ©cheur. Il voulait
que vous soyez un de Ses fils ou une de Ses filles. Vous avez été fait
selon Sa propre nature. Mais câest Ă cause du pĂ©chĂ© que vous avez fait
ça. Et peu importe combien vous essayez dâimiter et essayez de faire
quâun mensonge ait lâair vrai, ils ont un instrument scientifique qui
prouve que câest faux. Vous aurez beau le dire avec toute lâinnocence
que vous voudrez, la machine va quand mĂȘme marquer du cĂŽtĂ© nĂ©gatif; en
effet, il y a un subconscient au fond de lâĂȘtre humain, et ce
subconscient sait ce qui est la vérité. Et peu importe ce que vous
dites ici, au dehors, ce subconscient sait que câest un mensonge, et la
machine va marquer selon le subconscient.
47 Par conséquent, si jamais un homme ou une femme
pouvaient en arriver à amener leurs pensées, et leur témoignage, et
leur vie, Ă sâaligner tellement sur Dieu (amen) que le canal du
Saint-Esprit soit en unitĂ© parfaite avec Dieu, quâest-ce qui se
produirait! Si cet homme et cette femme pouvaient jamais sâaligner, lĂ ,
avec la libertĂ© dans leur cĆur, avec la foi qui vient du plus profond
de leur ĂȘtre!
48 Bien des gens viennent Ă lâautel pour quâon prie
pour eux, ils ont une foi intellectuelle. Ils confessent leurs péchés
et adhĂšrent Ă lâĂ©glise, par une foi intellectuelle. Ils y croient, dans
leurâleur esprit. Ils y croient parce quâils lâont entendu. Ils y
croient parce quâils savent que câest la meilleure ligne de conduite.
Mais ce nâest pas ça que Dieu regarde. Il ne regarde pas votre foi
intellectuelle.
49 Il regarde le cĆur, oĂč, Ă lâintĂ©rieur, Dieu⊠Et
quand cela vient du cĆur, alors tout est possible. Votre confession
correspond Ă votre vie. Votre vie parle aussi fort que votre confession.
50 Mais quand votre confession déclare une chose, et
que votre vie vĂ©cue, câest autre chose, il y a quelque chose qui ne va
pas quelque part. Ăa, câest parce que vous avez une foi intellectuelle,
et non une foi qui vient de votre cĆur. Et cela indique quâau dehors,
ici, il y a une connaissance de Dieu; mais Ă lâintĂ©rieur, ici, il y a
un dĂ©mon, qui doute. «Je crois Ă la guĂ©rison divine, mais ce nâest pas
pour moi.» Voyez? «Ah, ça pourrait ĂȘtre vrai, mais je ne le crois pas.»
Vous saisissez? Au dehors, vous dites «oui»; Ă lâintĂ©rieur, votre
conscience dit «non». Ce mĂȘme appareil scientifique prouverait que ce
nâĂ©tait pas vraiment ça, le prouverait.
51 Remarquez, quand ces rois, avant de se lancer,
ils auraient dû⊠Josaphat, avant mĂȘme de faire une alliance avec Achab,
premiÚrement, il aurait dû dire: «Prions pour voir quelle est la
volonté du Seigneur.»
52 Présentez-moi un prédicateur, présentez-moi un
chrétien, présentez-moi une ménagÚre qui est chrétienne, présentez-moi
un cultivateur ou un ouvrier dâusine, qui va donner la premiĂšre place Ă
Dieu en toutes choses, je vous montrerai là un homme qui réussira en
dépit de tout ce que le diable pourra lui infliger. Il cherche Dieu,
premiĂšrement. Nous devons avoir, premiĂšrementâŠ
53 Mais eux ne lâont pas fait. Ils avaient tous la
tĂȘte dans les nuages, parce quâAchab, il avait un royaume splendide, et
il avait accompli un tas de choses, et il avait ses parures imposantes,
son or et son argent, câĂ©tait un homme qui avait trĂšs bien rĂ©ussi; mais
câĂ©tait quand mĂȘme un incroyant.
54 Et câest lĂ quâen est le monde aujourdâhui. Câest
lĂ quâen est lâAmĂ©rique aujourdâhui. Câest lĂ quâen sont les Ă©glises
aujourdâhui. On a construit des Ă©glises parmi les meilleures qui aient
jamais été construites. On a eu des érudits parmi les plus raffinés
quâon ait jamais eus. On a enseignĂ© une thĂ©ologie parmi les meilleures,
et tout, et on a appris Ă chanter comme des Anges, mais il y a quand
mĂȘme une faiblesse quelque part. Il y a une faiblesse, parce quâils
sont allés aprÚs la doctrine des hommes et les esprits séducteurs, au
lieu de revenir Ă la Parole de Dieu. Ils essaient de suivre le modĂšle
des choses du monde. Ils ont essayé de mettre des lumiÚres brillantes
sur les choses, comme Hollywood.
55 Ici, lâautre jour, une dĂ©nomination bien connue,
des sphĂšres du Plein Ăvangile, Ă Kansas City, ou, excusez-moi, Ă
Denver, Ă la convention: ils construisent une Ă©glise dâun million de
dollars. Alors que des milliers de missionnaires attendent de recevoir
cinquante cents de cette mĂȘme dĂ©nomination, pour porter lâĂvangile aux
paĂŻens. Ce dont nous avons besoin aujourdâhui, câest dâun rĂ©veil
orientĂ© vers lâĆuvre missionnaire, envoyĂ© de Dieu, nĂ© du Saint-Esprit,
oĂč on aura le zĂšle de Dieu, pour sâenfoncer dans les jungles, lĂ -bas,
et faire quelque chose pour Dieu, au lieu de construire de belles
grandes Ă©glises et dâessayer de surpasser le voisin.
56 Je prĂ©fĂ©rerais adorer dans une mission, oĂč on
aurait fait le ménage, ou dans un bar, et avoir la liberté du
Saint-Esprit et lâamour de Dieu qui brĂ»le dans les cĆurs, plutĂŽt que
dâĂȘtre assis dans la plus grande cathĂ©drale du monde, et dâĂȘtre pris
dans le carcan des doctrines dâhommes et des dogmes. Ce dont nous avons
besoin aujourdâhui, câest dâun rĂ©veil qui secoue, de revenir Ă la
Vérité, de revenir à la Parole de Dieu de nouveau.
57 Alors, quand ils sont allĂ©s lĂ , au bout dâun
moment Josaphat a un peu repris ses sens, et il a dit: «Est-ce quâil
nây a pas⊠Eh bien, consultons lâĂternel Ă ce sujet.»
58 Il a dit: «TrÚs bien», Achab a dit ça, et il a
envoyĂ© quelquâun chercher cent⊠quatre cents prĂ©dicateurs trĂšs bien
formés. Il les a fait venir là , et il a dit: «Ce sont tous des
prophétiseurs.»
59 Et alors, ils se sont lancés dans leurs
incantations, et ils se sont mis à invoquer. Et ils ont dit: «Oui,
vas-y, monte en paix. LâĂternel est avec toi.»
60 Et, aprĂšs que ces quatre cents, tous, ils ont eu
rendu tĂ©moignage quâils devraient monter en paix, Josaphat, malgrĂ© tout
ça, il savait⊠Est-ce que vous saisissez? Voyez-vous, au fond du cĆur
de cet homme juste, il y avait quelque chose qui lui disait que quelque
chose ne tournait pas rond quelque part. Il y avait quelque chose qui
clochait.
61 Achab a dit: «Bon, nous en avons quatre cents
ici, et, dâun commun accord, tous, ils disent: âVa, lâĂternel est avec
toi.â»
Mais Josaphat a dit: «Nâen aurais-tu pas encore un?»
62 Il a dit: «Eh bien, pourquoi est-ce quâil nous en
faudrait un de plus, aprĂšs quâon a eu quatre cents des hommes les plus
instruits du pays? Ils disent tous: âVas-y!â» Ăa, câĂ©tait intellectuel.
Mais Josaphat, au fond de son cĆur, il savait quâil y avait quelque
chose qui clochait. Alors, il a dit: «Nous en avons encore un, câest
Michée. Mais je le hais.» Il a dit: «Il est toujours là à prononcer du
mal, et Ă tempĂȘter quand il nâa aucune raison de le faire, et il
dénigre les églises et tout.» Il a dit: «Je le hais.»
Il a dit: «Va le chercher, et voyons ce quâil dira.»
63 Et quand Michée est arrivé, il a dit⊠Ils ont
dit: «Maintenant, Ă©coute, dis la mĂȘme chose que les autres.»
64 Il a dit, il a dit: «Je dirai seulementâŠÂ» Nous y
voilà . «Je dirai seulement ce que Dieu dit.» Amen. «Peu importe ce que
votre prophÚte dit, et ce que ceci dit, et ce que votre église dit, et
ce quâils disent. Je dirai ce que Dieu dit. Dieu le mettra sur mes
lĂšvres, et je dirai ce quâIl dit.» Ce quâil nous faut aujourdâhui,
câest dâautres MichĂ©e, qui diront ce que Dieu dit. Remarquez, alors ils
lâont emmenĂ© lĂ -bas, et il a dit: «Donnez-moi la nuit.» Alors, cette
nuit-lĂ , lâĂternel est allĂ© le voir, et il est revenu le lendemain
matin. Quand les deux rois se sont assis à la porte, il a dit: «Vas-y,
monte.» Il a dit: «Vas-y, monte. Mais», il a dit, «jâai vu IsraĂ«l,
comme des brebis dispersĂ©es qui nâont pas de berger.»
65 Alors, un des prédicateurs, en grande tenue, il
sâest avancĂ© et il lâa giflĂ©, il a dit: «Par oĂč lâEsprit de Dieu est-Il
allé quand Il est sorti de moi?»
Il a dit: «Tu le verras bien quand tu reviendras.»
Oui.
66 Il a dit: «Ăcoute bien, lĂ !» Il a dit: «Nous
sommes les serviteurs de Dieu. Nous sommes quatre cents, et toi, tu es
tout seul.»
67 Mais MichĂ©e a dit: «Je vais vous dire oĂč est
votre problĂšme.» Amen! Il a dit: «Jâai eu une vision.» Amen! Il a dit:
«Et jâai vu Dieu, assis sur Son trĂŽne. Jâai vu lâarmĂ©e du Ciel, qui se
tenait auprÚs de Lui. Et nous savons que la Parole de Dieu a prononcé
des malĂ©dictions sur cet homme, Ă cause de la façon dont il sâest
conduit.»
68 Vous ne pouvez pas bénir ce que Dieu a maudit,
non plus que le diable peut maudire ce que Dieu a bĂ©ni. Câest une
affaire individuelle, peu importe combien on est pauvre, ou stupide, ou
illettré, ou sans instruction. Ce que Dieu a béni est béni. Ce que Dieu
a maudit est maudit. Sachez faire la distinction entre ce qui est bien
et ce qui est mal.
69 MichĂ©e savait trĂšs bien que ce nâĂ©tait pas le
Seigneur qui Ă©tait avec ces prĂ©dicateurs. Eh bien, quâest-ce qui se
passait avec ces prĂ©dicateurs? Remarquez ce quâils avaient fait.
CâĂ©taient ceux qui Ă©taient les mieux habillĂ©s. CâĂ©taient ceux qui
Ă©taient les mieux nourris. Ils sâĂ©taient rĂ©unis, pour leurs fĂȘtes, et
tout, et pour leurs alliances, tant et si bien quâils en Ă©taient
arrivĂ©s au point oĂč tout ce quâils connaissaient, câĂ©tait leur propre
théologie. Et la Bible dit que Michée, quand il regardait la vision, il
a dit: «Dieu a dit: âQui pouvons-nous envoyer lĂ -bas pour sĂ©duire
Achab?â Et un esprit de mensonge a dit: âJâirai lĂ -bas et je sĂ©duirai
Achab en me servant de ces prédicateurs, pour amener Achab à aller
lĂ -bas, afin dâaccomplir la Parole de Dieu.â»
70 Maintenant, aujourdâhui, tant de gens Ă©coutent, â
lâĂ©cole du dimanche, lĂ , jâaime ça, â regardez, tant de gens Ă©coutent
les esprits séducteurs au lieu de prendre la Parole de Dieu. Des
esprits, ils sont dans le monde. Ce sont des démons. Et ils pénÚtrent
dans des lieux, et ils sâintroduisent parmi les hommes, les ministres.
Ils sâintroduisent parmi les membres dâĂ©glise. Ils sâintroduisent parmi
de braves gens. Et ils les entraĂźnent dans une allusion. Et ils disent
des choses, et ils font des choses, et ils enseignent des choses, et
ils pratiquent des choses, qui sont contraires Ă la Parole de Dieu.
Aujourdâhui, les ministres, Ă leur assemblĂ©e, ils permettent Ă leurs
fidĂšles de jouer aux cartes dans les Ă©glises, beaucoup dâentre eux. Or,
ça, ce nâest pas seulement les catholiques, il y a beaucoup de
protestants qui le font.
71 Ce quâils ont essayĂ© de faire, câest de produire
un substitut. Ils ont essayĂ© dâadopter un nouveau plan. Ils ont essayĂ©
dâadopter lâinstruction, pour remplacer le Saint-Esprit. Vous nây
arriverez jamais, si instruit que soit lâhomme que vous avez. Je trouve
que câest une bonne chose quâil soit instruit. Mais sâil nâa pas le
Saint-Esprit avec ça, son instruction ne lui servira à rien.
Lâinstruction ne remplacera jamais la conduite du Saint-Esprit. Amen.
72 Remarquez, ils⊠au lieu de Ceci, ils ont essayé
dâadopter une poignĂ©e de main, pour remplacer lâexpĂ©rience de jadis,
quâon avait autrefois. Aujourdâhui lâĂ©glise sâest modernisĂ©e. Ils
sâavancent et ils donnent la main dâassociation, et câest Ă peu prĂšs
comme ça quâils font. Mais ça ne remplacera jamais le banc des
pĂ©nitents, dâautrefois, oĂč les pĂ©cheurs criaient Ă Dieu et se mettaient
en rĂšgle avec Lui. Câest exact.
73 Aujourdâhui, ils essaient de remplacer la dĂźme de
Dieu. Ils essaient dâadopter quelque chose. Ils essaient de faire
quelque chose de différent. Ils vont là -bas faire des parties de loto,
dans les églises, faire des loteries. Les loteries ne remplaceront
jamais la dĂźme de Dieu. Les soupers, la vente de couvertures, les
pique-niques, pour se procurer de lâargent pour sâacquitter de
différentes dettes, ces choses ne remplaceront jamais la dßme et
lâoffrande Ăternelles de Dieu. Jamais. Et pourtant, câest ce que nous
essayons de faire.
74 Quâest-ce que câest? Ce sont des esprits
séducteurs, qui descendent, qui essaient de sub-⊠substituer quelque
chose Ă la Parole de Dieu. Dieu nâa aucun substitut Ă Sa Parole. Elle
est Ăternelle, pour toujours. Dieu nâa rien Ă substituer Ă la foi. La
foi nâa aucun substitut. LâespĂ©rance ne remplacera jamais la foi. La
foi est seule. Elle se tient seule. Elle ne remplacera jamaisâŠ
LâespĂ©rance ne pourra jamais la remplacer. LâespĂ©rance est une ferme
assurance des choses quâon espĂšre, une dĂ©monstration de celles quâon ne
voit pas, ou plutĂŽt, la foi. Voyez? LâespĂ©rance, câest une chose; la
foi, câen est une autre. LâespĂ©rance espĂšre la chose; la foi la
possĂšde. Lâune, câest une foi intellectuelle; lâautre, câest une
révélation directe de Dieu. Elle ne la remplacera jamais. Nous
essayons, mais nous produisons tous ces substituts.
75 Nous essayons de construire de grandes églises,
au lieu dâenvoyer des missionnaires. Un autre substitut. JĂ©sus nâa
jamais Ă©tabli qui que ce soit pour quâil construise une Ă©glise. Ăa nâa
jamais Ă©tĂ© Ă©tabli dans la Bible. Nous avons Ă©rigĂ© des sĂ©minaires, câest
par ça quâils ont remplacĂ© les missionnaires. Nous⊠JĂ©sus ne nous a
jamais dit de construire un séminaire. Rien contre les séminaires.
Lâinstruction, ils essaient de remplacer par ça. Elle ne le fera
jamais. La commission de JĂ©sus, câĂ©tait: «Allez par tout le monde, et
prĂȘchez la Bonne Nouvelle Ă toute la crĂ©ation», pour le temps de la
fin. Alors, tous les substituts que nous avons ne remplaceront jamais
ce qui est véritable.
76 Lâautre jour, jâen ai fait lâexpĂ©rience, dâun
substitut. Jâai eu ma premiĂšre rage de dents, on a Ă©tĂ© obligĂ© de
mâarracher une dent. Ce matin, jâai une fausse dent, qui a Ă©tĂ© posĂ©e
lĂ . Câest Ă peine si jâarrive Ă parler. Elle ne remplacera jamais la
vraie. Non monsieur! Oh! la la!
77 Vous aurez beau prendre un homme et bien
lâhabiller, le fabriquer en bois, en craie, ce que vous voudrez, et
lâarranger aussi bien que vous pourrez. Il nâa aucun sentiment, aucune
conscience. Il ne remplacera jamais un vrai homme. Et câest pareil pour
une fausse conversion, oĂč on sâavance et dit: «Jâai adhĂ©rĂ© Ă lâĂ©glise.
Je vais essayer dâamĂ©liorer ma conduite.» Ăa ne remplacera jamais la
véritable conversion à la maniÚre ancienne, envoyée de Dieu, opérée par
le Saint-Esprit, qui fait quâun homme est diffĂ©rent, dans son cĆur. Ăa
ne peut pas la remplacer, parce quâil nây a pas de Vie lĂ -dedans, il
nây a rien qui puisse lui donner la Vie.
78 Il nây a pas longtemps, ici, jâai vu le grand
artiste qui a produit ce⊠le sculpteur, je veux dire, qui a dépeint
MoĂŻse. Son nom mâĂ©chappe en ce moment. Câest un artiste grec. Ăa lui a
coĂ»tĂ© sa vie. Et quand il lâa eu parachevĂ©e, au point quâil la trouvait
parfaite, ça lâa tellement Ă©lectrisĂ©, de voir cette statue de MoĂŻse,
quâil lâa frappĂ©e au genou, et il a dit: «Parle, MoĂŻse!» Elle avait
lâair si rĂ©elle! Elle reflĂ©tait si parfaitement le modĂšle, elle
ressemblait tellement Ă MoĂŻse, Ă ce quâil avait dans sa pensĂ©e, quâil
lâa frappĂ©e avec le marteau, pour quâelle ressente quelque chose.
79 Ăa fait penser Ă lâĂ©glise. Peu importe combien
vous substituez, quelle grande assemblée vous avez, comme vous chantez
bien vos cantiques, combien votre assemblée est bien habillée, combien
vous avez de ceci, cela, ou autre chose, vous aurez beau frapper,
ressentir, ou quoi encore. Ăa ne remplacera jamais la Vie, tant que
Christ ne sera pas descendu, sous la forme du Saint-Esprit, dans cette
église, et ne lui aura pas donné une expérience nouvelle, naßtre de
nouveau. Ăa ne remplacera jamais la Parole de Dieu. La Parole de Dieu
se tient seule.
80 MichĂ©e avait la Parole. Il savait quâil avait la
Parole. Il avait la Parole Ă©crite, et il Lâavait aussi par vision. Il
savait ce que Dieu avait dit dans Sa Parole. Il savait ce que Dieu
avait dit par la vision. Les deux concordaient. Il savait que câĂ©tait
la VĂ©ritĂ©, câest pourquoi il nâa pas eu peur.
81 Mais cet esprit sĂ©ducteur, regardez ce quâil a
fait aujourdâhui. Pour produire plus de membres dâĂ©glise, pour produire
de meilleurs membres dâĂ©glise, il a fait tomber les barriĂšres de tout
lâenseignement Ă la maniĂšre ancienne, du Saint-Esprit. Il a permis aux
hommes de fĂȘter ensemble, en sociĂ©tĂ©, au sous-sol, oĂč ils sâamusent Ă
des jeux. Ăa ne sera jamais un substitut Ă la chambre haute, oĂč ils
priaient pour recevoir le Saint-Esprit. Il a permis aux femmes de se
rĂ©unir et de raconter des blagues, et tout, et de sâadonner Ă toutes
sortes de futilitĂ©s, qui nâont aucune valeur. Ăa ne remplacera jamais
une rĂ©union de priĂšre. Les femmes, la façon dont elles sâhabillent pour
sortir, aujourdâhui, câestâcâest une honte.
82 Jâai entendu une rĂ©flexion que FrĂšre Neville a
faite, il disait: «Les pauvres Américains», il disait, «ils ont envoyé
tous leurs vĂȘtements outre-mer.» Câest vrai. Ils se promĂšnent en
sous-vĂȘtements. Ils⊠Câest vrai. Ils doivent les avoir donnĂ©s aux
missionnaires, parce que les missionnaires⊠Ce sont les gens et les
paĂŻens de lâautre pays qui les portent. Les gens dâici, ils sâen
passent, on dirait quâils aiment ça.
83 Je vous le dis, il y a quelque chose qui a été
perverti, câest la prĂ©dication de lâĂvangile du Seigneur JĂ©sus-Christ.
Ce sont des dĂ©mons qui vous font dĂ©shabiller. Il nây a jamais eu quâune
seule personne dans la Bible qui ait arrachĂ© ses vĂȘtements de sur elle,
câĂ©tait un homme qui Ă©tait possĂ©dĂ© du dĂ©mon. Et celui-ci se prĂ©sente
sous une forme attĂ©nuĂ©e aujourdâhui, comme sâil Ă©tait sociable, comme
sâil Ă©tait bon, comme sâil nây avait pas de mal à ça. «Il fait plus
frais, et ça vous donnera plus de fraßcheur si vous enlevez vos
vĂȘtements.» Les hommes qui se promĂšnent dans les cours, Ă moitiĂ© nus,
et les femmes, câest pareil. Mais, vous en ĂȘtes arrivĂ©s au point oĂč il
nây a pas plus de respect mutuel quâon en aurait pour des chiens.
Quâest-ce quâil y a? Je ne cherche pas Ă vous blesser. Je cherche
simplement Ă vous dire quâil sâagit de possession par des dĂ©mons, et
vous Ă©coutez des esprits sĂ©ducteurs qui vous disent: «Il nây a pas de
mal à ça», mais câest un mensonge.
84 Un grain de blé ne peut produire que du blé. Si
vous ĂȘtes chrĂ©tien, vous ne ferez pas ça. Vous ne pouvez pas le faire.
Vous ne pouvez tout simplement pas le faire. Vous avez une foi
intellectuelle, et vous dites: «FrÚre Branham, je crois la Bible.»
Votre vie montre que non. Amen. Les esprits séducteurs contre la Parole
de Dieu.
85 MichĂ©e savait Ă quoi sâen tenir, il savait. Il
avait la Parole de Dieu. CâĂ©tait un homme qui nâĂ©tait pas populaire du
tout. Personne ne lâaimait, parce quâil disait la VĂ©ritĂ©; par contre,
ils aimaient ces prédicateurs.
86 Maintenant, une autre chose qui sâest produite.
Je crois et je pense que tout homme qui a une expérience avec Dieu, ou
femme, forcĂ©ment quâils manifesteront un peu dâĂ©motion. Je le crois
vraiment. Câest exact. Mais savez-vous quoi? Ils ont adoptĂ© les
Ă©motions, pour remplacer le baptĂȘme du Saint-Esprit. Tout ce quâils
ont, câest beaucoup de bruit, mais avec rien dedans. Menez une vie
aussi sainte que vous menez une vie bruyante, et là ça ira bien pour
vous. Les Ă©motions, certainement, câest bien; «lâexercice corporel est
utile à peu de chose». Mais des esprits séducteurs se sont introduits
dans le groupe des gens de la sainteté, et ils les ont amenés à se
reposer uniquement sur le fait que «parce quâils peuvent crier», ou
«parce quâils peuvent danser, parce quâils peuvent manifester de
lâĂ©motion».
87 Ce vieux bonhomme, lĂ -bas, qui Ă©tait Ă la tĂȘte de
tous ces prophĂštes, les prĂ©dicateurs, il Ă©tait tellement sĂ»r quâil
avait raison, quâil sâest fait une paire de cornes, et il dansait
partout, et il a causĂ© encore plus dâĂ©moi. Il allait repousser lâautre
armĂ©e, de lâAssyrie, hors du pays. Mais câĂ©tait un mensonge! La Parole
de Dieu avait dit autre chose. Amen. Voyez-vous, vous pouvez avoir des
Ă©motions, exact, si câest la chose juste qui vous pousse Ă ĂȘtre Ă©mu, si
câest lâĂ©motion juste qui agit sur vos Ă©motions.
88 David a dansĂ© devant lâĂternel, et sa femme a ri
de lui. Et Dieu a regardé, du haut du Ciel, Il a dit: «David, tu es un
homme selon Mon cĆur.» Mais ses motifs Ă©taient droits. Sa vie Ă©tait
droite, derriÚre tout ça.
89 Donc, simplement parce quâon peut avoir des
Ă©motions, ça ne veut pas dire quâon est sauvĂ©. Parce quâon va Ă
lâĂ©glise, ça ne veut pas dire quâon est sauvĂ©. Ne croyez pas ces
esprits séducteurs. Un vrai Esprit de Dieu, une vraie Parole de Dieu,
câest la VĂ©ritĂ© de Dieu, laquelle est une Semence de Dieu, et elle
produira Dieu dans votre vie: dâĂȘtre rempli de piĂ©tĂ©, sanctifiĂ©, saint.
90 On constate quâau milieu de bien des gens oĂč il y
a des émotions, et tout, on se retrouve avec des commérages et des
mĂ©disances, et toutes sortes de choses impies. FrĂšre, ça, câest de
lâacide sulfurique dans lâĂ©glise. Câest une puissance dĂ©moniaque. Un
esprit chez des hommes et des femmes, qui vont se rĂ©unir et chercher Ă
imposer quelque chose, en disant «Ceci nâest pas en ordre, et ceci
nâest pas en ordre, et cela nâest pas en ordre.» Si vous remontez Ă la
source, neuf fois sur dix, câest la personne mĂȘme qui cause tout le
remue-mĂ©nage qui nâest pas en ordre. Amen. Dieu dĂ©teste la discorde
entre frĂšres. Soyez respectueux, soyez saints, aimez Dieu, restez avec
Lui. Tant que vous savez que votre vie concorde avec la Bible, que vous
avez un cĆur pur, une pensĂ©e pure, de lâamour envers votre frĂšre, que
vous faites tout ce que vous pouvez pour lâavancement du Royaume de
Dieu, et que vous faites ces choses, que vous vous habillez
correctement, que vous vivez correctement, que vous parlez
correctement, que vous allez aux endroits corrects, alors, vous pourrez
avoir toutes les émotions que vous voudrez, et tout le monde y croira.
91 JĂ©sus a dit: «Vous ĂȘtes le sel de la terre. Si le
sel perd sa saveur, il ne sert plus quâĂ ĂȘtre jetĂ© dehors, et foulĂ© aux
pieds par les hommes.» Si vous ĂȘtes juste du sel, sans plus, ça ne sert
Ă rien. Mais si vous avez la saveur, Ă lâintĂ©rieur, soyez salĂ©s, et le
monde aura soif. Devenez salés, ils auront soif. Oh! la la!
92 Des esprits sĂ©ducteurs qui vont de lâavant, des
démons, déguisés. Regardez, nous sommes au dernier jour. Nous sommes au
temps de la fin. Le monde est sur le point dâaboutir, comme un furoncle
douloureux quelque part, qui va éclater un de ces jours, et ce qui est
au centre va en sortir dâun coup. Il est devenu dĂ©goĂ»tant. Aucun
onguent ne peut le guĂ©rir. Ils ont refusĂ© leâle sĂ©rum. Ils ont refusĂ©
le traitement. Prenez, par exemple, un furoncle qui grossit, lĂ , si
vous ne prenez pas de pĂ©nicilline ou quelque chose pour lâĂ©liminer, ou
telle ou telle chose, il va simplement continuer Ă grossir jusquâĂ ce
quâil Ă©clate.
93 Câest ce que le monde a fait. Il a commencĂ©, il
nây a pas longtemps, Ă se laisser aller. Ils sont partis dans des
grandes idées, des esprits de fausseté se sont introduits et se sont
mis à dire aux gens ceci, cela ou autre chose. Nous nous sommes divisés
en neuf cents et quelques dénominations différentes, chacune avec une
opinion diffĂ©rente. Ils disent: «Nous croyons ceci, point final! Câest
tout ce que nous croyons.» Ils ne peuvent pas laisser le Saint-Esprit
entrer. Ils ne peuvent pas avoir la priorité. Dieu a eu un groupe de
gens qui pouvaient pousser des cris, alors, tout le monde a été obligé
de pousser des cris. Il y en a eu qui pouvaient parler en langues,
alors, tout le monde a été obligé de parler en langues. Ils sont tous
devenus pareils, au point que câest devenu (quoi?) complĂštement
contaminé par des esprits séducteurs, qui séduisent les gens, pour les
amener Ă produire ces Ă©motions, alors que Dieu nâest pas lĂ -dedans du
tout. Ensuite, ils repartent et vivent nâimporte comment, comme ils en
ont envie, et ensuite on se dit «chrétien».
94 Et le monde est là qui regarde ça, ils disent:
«Eh bien, regardez-moi ça! Je suis aussi bon quâeux.»
95 Câest comme je le disais, lâautre soir, au sujet
du cochon, au sujet du pécheur. On ne peut pas blùmer⊠Un pécheur est
un pĂ©cheur. Nâessayez pas de le rĂ©former. Nâessayez pas de lui dire
ceci, cela ou autre chose. Il est un pécheur, au départ. Il est un
cochon, au dĂ©part. Il ne sait pas faire mieux. Sâil va au cinĂ©ma, et
quâil y a va le dimanche, et quâil va aux matchs de base-ball, et quâil
fait toutes ces choses, il est un pécheur, au départ. Sa nature est
comme celle du cochon. Le vieux cochon va enfoncer son museau dans le
tas de fumier, et il va manger tous les grains quâil y a dedans, et
tout; eh bien, voilĂ , câest un cochon. Vous ne pouvez pas le blĂąmer.
Câest un cochon. Et câest comme ça pour les pĂ©cheurs. Seulement, quand
vous qui vous dites chrétien, vous allez enfoncer votre nez là -dedans
avec lui, alors, vous ne valez pas mieux que lui, au contraire, vous
ĂȘtes pire. Sortez de ce milieu-lĂ . LĂąchez le monde. LĂąchez prise. Que
Dieu ait lâemprise. LĂąchez prise.
96 Comment faire pour lĂącher prise? Tant de gens se
demandent, aujourdâhui, ils disent: «Eh bien, FrĂšre Branham, comment
faire pour lùcher prise?» Je sais que vous avez entendu beaucoup de
thĂ©ologie sur le sujet, «lĂąchez prise». Bien des gens se font suer Ă
essayer de lùcher prise. Beaucoup de gens en viennent à dire: «Je
voulais faire un jeûne de quarante jours, pour arriver à faire quelque
chose.» Vous nâavez pas besoin dâun jeĂ»ne de quarante jours. Vous avez
besoin de lĂącher le monde et toutes ces choses diaboliques, et de
recevoir la Parole de Dieu dans votre cĆur. Il faut quâon vous enseigne
comment y arriver. Vous nây arrivez pas en sautant en lâair, et vous
nây arrivez pas non plus en faisant un jeĂ»ne de quarante jours. Câest
en abandonnant votre cĆur au Dieu Tout-Puissant que vous y arrivez.
97 Câest comme un petit bĂ©bĂ©. Jâai remarquĂ© mon
petit bébé, qui est au fond là -bas, sa mÚre essayait de lui mettre sa
petite veste, ce matin. Il voulait mettre son petit bras dans la
manche. Il nâarrivait pas Ă mettre son bras dedans; il ne sait pas
comment. Il faut quâon guide son petit bras. Il veut mettre son bras
dedans, mais il se dĂ©mĂšne, partout autour. Il nâarrive jamais dans la
manche. Il sait quâil nâest pas dans la manche.
98 Et vous aussi, vous le savez, que vous nâĂȘtes pas
en rĂšgle avec Dieu, quand vous ĂȘtes encore lĂ Ă mĂ©dire, Ă mentir, Ă
faire toutes sortes de choses. Vous ne pouvez pas ĂȘtre en rĂšgle avec
Dieu, peu importe de combien dâĂ©glises vous faites partie, tant que
votre Ăąme nâa pas Ă©tĂ© convertie. FrĂšre, ça, câest Ă la maniĂšre
ancienne, mais câest ce qui vous fera bouillir et qui mettra du jus
dans votre Ăąme. Exact!
99 Il essaie de mettre son bras dedans, il lui faut
quelquâun pour lâorienter, lui montrer comment mettre son bras dedans.
Alors, une fois que son bras est dans sa petite veste, lĂ , il sait que
tout va bien.
100 Câest pareil pour chaque chrĂ©tien nĂ© de nouveau.
Une fois quâil a vraiment pĂ©nĂ©trĂ© en Dieu, il compare sa vie Ă la
Parole de Dieu, et il constate quâil est alignĂ© sur Elle, en tous
points. Il a la patience, la bonté, la quiétude, la douceur, la
puissance, la foi, lâamour, la joie, la paix. Il nâest pas ballottĂ©
comme une mer agitée. II ne se tracasse pas pour chaque petite chose
qui arrive. Il ne saute pas ici et lĂ , comme un bouchon de liĂšge sur un
ocĂ©an battu par les vents. Il est inĂ©branlable. Son cĆur est pur. Ses
pensées sont pures. Ses intentions sont pures. Son choix est le bon. Et
il sait quâil est alignĂ© sur la Parole de Dieu. Lâenfer tout entier ne
peut pas le faire broncher. Il est bien aligné, par la Parole de Dieu.
Il a lâamour Divin, de la puretĂ© dans son cĆur Ă lâĂ©gard de tous les
hommes et de toutes les femmes. Il a⊠Il sâest abstenu des choses du
monde, pour lui, elles sont mortes; il nâen veut plus. Mais, vous ne
pourriez pas amener une jeune fille remplie du Saint-Esprit Ă mettre
une paire de ces vĂȘtements indĂ©cents et Ă sortir avec ça, pour rien au
monde. Non monsieur.
101 Bon, il est inutile dâaller lui dire quâelle a
tort, parce quâelle ne vous croira pas, parce quâelle ne connaĂźt rien
dâautre que ça. Câest lĂ quâelle trouve sa joie. La femme qui enfile
ces petites choses, pour aller dehors en fin de journĂ©e, au moment oĂč
les hommes rentrent chez eux, du gouvernement, et elle dit: «Je passe
la tondeuse dans la cour», pour que⊠Et vous me dites que câest bien?
Femme, je ne veux pas dire que vous ĂȘtesâque vous ĂȘtes mauvaise. Je ne
veux pas dire que vous ĂȘtes immorale. Mais vous ne vous rendez pas
compte, sĆur, quâun esprit impur sâest emparĂ© de vous. Pour quelle
raison le feriez-vous? Vous avez assez de bon sens pour savoir que ça
ne donne pas plus de fraĂźcheur. Ăa donne plus chaud. Il y a lĂ un
esprit impur.
102 Vous dites: «Moi? Moi, je suis allĂ© Ă lâĂ©glise!»
Nebucadnetsar Ă©tait un grand homme. Mais, parce quâil est devenu
hautain, Dieu lui a donnĂ© un esprit de bĆuf, et Il lui a fait manger de
lâherbe, pendant sept ans, et ses ongles ont poussĂ© comme ceux de
certaines femmes, dans les parages, ici. Câest exact. Et il a Ă©tĂ©
possédé du démon.
103 Un homme a Ă©tĂ© possĂ©dĂ© du dĂ©mon, et il sâest
dĂ©shabillĂ©. On ne pouvait pas lui mettre de vĂȘtements. Voyez-vous ce
que je veux dire? Ce sont des esprits séducteurs.
104 Votre église tolÚre ça. Votre prédicateur a peur
de dire quoi que ce soit, il a peur que vous ne payiez plus votre dĂźme.
Voilà la raison. Voilà le problÚme. Oh, bonté! Comment allez-vous faire
pour prĂȘcher Ă une bande de buses, sans les avoir dâabord amenĂ©es Ă se
convertir et Ă se mettre en rĂšgle avec Dieu? Elles vont passer tout
leur temps Ă fouiller dans des choses qui sont mortes. Ce dont vous
avez besoin, câest dâune vidange, et quâun rĂ©veil Ă lâancienne mode
parcoure le pays de lâest Ă lâouest, pour amener les hommes et les
femmes Ă se mettre en rĂšgle avec Dieu. Laissez tomber les choses du
monde. Laissez tomber les prédications insignifiantes, qui mettent la
pĂ©dale douce. Amen. PrĂȘchez lâĂvangile. Dieu lâa dit. «Si vous aimez le
monde, ou les choses du monde, lâamour de Dieu nâest mĂȘme pas en vous.»
105 Les gens peuvent sauter en lâair, et pousser des
cris toute la soirée, et parler en langues comme si on versait des pois
sur une peau de vache desséchée; le lendemain matin, repartir aussitÎt,
avec un tempĂ©rament colĂ©rique capable dâaffronter une scie circulaire,
aller dire quelque chose dans lâĂ©glise, qui va entraĂźner une division
de toute lâĂ©glise. Ce nâest absolument rien dâautre que des esprits
séducteurs, démoniaques! Il faut revenir à la Parole, là , Dieu est la
puretĂ©, Il est saint. Amen. Câest exact. Les esprits sĂ©ducteurs contre
la Parole de Dieu!
106 Il y a un homme, ici, il nây a pas longtemps,
qui a amené une petite femme⊠Les catholiques en ont une douzaine, là .
Dans sa période de ménopause, ça sort de ses mains et de son front. Si
un bon prĂ©dicateur rempli du Saint-Esprit⊠câest ce que je pensais. Cet
homme avait une bouteille de cette affaire qui sortait des mains de
cette femme, et il se promenait partout en oignant les gens de ça.
Fiou! MisĂ©ricorde! Câest antichrist! Peu importe quâil y ait du sang
qui sorte de son nez, ou de sa tĂȘte, ou de nâimporte oĂč, frĂšre, aucun
sang ne remplacera JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu. Câest le seul Sang
que je connaisse. Elle aurait beau avoir de lâhuile qui coule dâune
main et du vin de lâautre, mais, si vous vous en servez pour quelque
forme de religion que ce soit, câest du diable. De voir que des
prédicateurs se laissent prendre à des affaires pareilles!
107 Ce quâil nous faut, câest de revenir au Manuel,
de revenir Ă la Parole de Dieu! Ceci est la Parole de Dieu, la vieille
Bible bénie. Vous dites: «Eh bien, ça me fait peur, de devenir comme
ça, FrĂšre Branham. Jâai peur de perdre de ma joie.» Quâest-ce quâil y
a? Vous ne savez pas ce que câest que la joie.
108 Je lâai dit, je ne condamne pas lâivrogne parce
quâil sort et quâil sâenivre. Il est tout mĂ©lancolique. Il ne sait pas.
Il se lĂšve, le matin, il a le cafard, la gueule de bois. Il sort et va
se chercher deux ou trois bouteilles de biĂšre, et il sort et va se
chercher du whisky, et toutes sortes de choses comme ça.
Cette espĂšce de petit fumeur de cigarette, qui
sâassied lĂ et qui fume, et il se fait sortir ça par le nez comme sâil
Ă©tait un train de marchandises. Câest la seule, â je ne le blĂąme pas, â
câest la seule joie quâil connaĂźt. Câest tout ce quâil connaĂźt. Il est
un cochon, par nature.
109 Honte Ă vous qui prĂ©tendez ĂȘtre chrĂ©tiens et qui
allez chercher votre joie dans des choses pareilles, alors que
lâĂvangile du Saint-Esprit est une Ă©norme centrale productrice de joie.
LâĂvangile du Saint-Esprit est une intoxication parfaite, pour tout
homme qui a le cafard. Si vous buvez Ă lâĂvangile de JĂ©sus-Christ, que
vous ĂȘtes remplis du Saint-Esprit, vous serez ivres jusquâĂ ce que vous
quittiez ce monde, amen, une joie ineffable et glorieuse. Il y a une
stimulation continuelle. Câest une intoxication continuelle, ivre jour
et nuit! Amen. VoilĂ la Parole de Dieu.
110 LâĂ©glise en vient Ă adopter dâautres choses. Il
leur faut faire une petite fĂȘte, oĂč ils vont tous Ă la plage, pour se
dĂ©tendre. Une partie de cartes, on se rĂ©unit, pour fraterniser. Câest
exact. Une soirĂ©e de danse, parfois chez lâun des membres, parfois au
sous-sol de lâĂ©glise. Une soirĂ©e de danse, adopter, essayer de trouver
quelque chose pour satisfaire. Quâest-ce quâil y a? Câest une grande
bande de cochons, de toute façon. Ce sont des cochons, au dĂ©part. Sâil
leur arrivait dâentrer en contact avec Christ, ils auraient tellement
de joie que pour eux ces choses-là seraient mortes et enterrées.
LâĂvangile, ivres de lâEsprit, une joie ineffable et glorieuse.
111 Ne condamnez pas le pécheur; ayez pitié de lui.
Allez, quâil fume sa pipe, quâil boive son alcool, quâil fasse sa
partie de cartes. Câest lĂ quâil trouve son plaisir. Ne le blĂąmez pas.
Quand il rentre à la maison et tout, fatigué, épuisé, il veut avoir du
plaisir. Ce que vous devez faire, câest vivre une vie tellement
sanctifiĂ©e que vous pourrez lui prouver quâil a dix mille fois plus Ă
retirer de lâĂvangile que de ces choses. [espace non enregistrĂ© sur la
bandeâN.D.Ă.] Et sâil meurt dans cet Ă©tat-lĂ , il ira en enfer, avec son
alcool. Ăa, câest lâintoxication du diable. Si, Ă lâheure de sa mort,
il tire encore sur sa vieille pipe, Dieu est son Juge. Si, Ă lâheure de
sa mort, il va encore à ces soirées de danse, et sort encore en portant
ces vĂȘtements indĂ©cents, Dieu est leur Juge.
112 Mais une chose est sûre, si vous mourez sous
lâonction de la Puissance du Saint-Esprit, â comme Ătienne, quand il a
levé les yeux et a vu la face de Dieu, il a dit: «Je vois le Ciel
ouvert, et JĂ©sus debout Ă la droite», â vous ĂȘtes en route vers le
Ciel, comme une hirondelle vers son nid. Amen.
113 Les esprits séducteurs contre la Parole de Dieu!
LĂąchez prise, abandonnez-vous. «Comment est-ce quâon fait ça, FrĂšre
Branham?» Abandonnez-vous, câest tout. Câest tout ce que vous avez Ă
faire. Prenez la Parole de Dieu. Ne cherchez pas Ă fabriquer quoi que
ce soit. Nâallez pas vous agenouiller Ă lâautel, en donnant des coups
dessus, et en criant Ă tue-tĂȘte: «à Dieu, donne-moi le Saint-Esprit!
Seigneur, donne-moi le Saint-Esprit!» Il ne viendra pas, quand vous
donnez des coups sur lâautel. Ăa ne sert Ă rien, ça. Non. Ce nâest pas
de cette façon-lĂ quâIl vient. Câest en Le prenant au Mot!
114 Regardez Pierre. Pierre avait des ennuis, il
allait mourir, semblait-il. Et il a vu le Seigneur venir, en marchant
sur lâeau. Il a dit: «Seigneur, si câest Toi, ordonne que jâaille vers
Toi.
Le Seigneur a dit: «Viens.»
115 Alors, Pierre a dit: «Bon, un instant, Seigneur,
laisse-moi faire un jeûne de quarante jours, pour voir si je peux
marcher sur lâeau ou pas. Ă Seigneur, fais que je sois assez oint de
lâEsprit pour danser dans lâEsprit et parler en langues dans cette
barque, ensuite je pourrai y aller»? Non monsieur! Il a pris Dieu au
Mot, il a lĂąchĂ© prise et il sâest abandonnĂ©. Dieu lâa menĂ© Ă bon port.
116 Et si Dieu avait rencontrĂ© MoĂŻse, quâIl lui
avait dit «MoĂŻse, va lĂ -bas en Ăgypte dire Ă Pharaon: âLaisse aller Mon
peupleâ», et que MoĂŻse avait dit: «Permets-moi dâabord de faire un
jeĂ»ne de quarante jours, pour voir si jâai assez de foi pour TâobĂ©ir, ĂŽ
Dieu. Donne-moi quelque chose, nâimporte quoi, Seigneur. Ăcoute, je
veux voir si je peux entrer dans lâEsprit, avant.» MoĂŻse nâa jamais
posé de questions, il a simplement pris Dieu au Mot, et il est parti.
Câest comme ça que vous devez faire: prendre Dieu au Mot. Alors vous
saurez que vous ĂȘtes capable dâaccomplir la chose. Il nâa pas attendu
que quelque chose dâautre se produise, il est simplement allĂ© de
lâavant et il lâa fait.
117 Que dire dâĂlie, quand il est descendu de la
montagne du Carmel, aprĂšs ĂȘtre restĂ© longtemps lĂ -haut? Il a rencontrĂ©
une pauvre veuve. Elle Ă©tait uneâelle Ă©tait une Ă©trangĂšre, une femme
des nations. Et quand il lâa rencontrĂ©e, lĂ -bas, elle ramassait du bois
dans la cour. Et Dieu lui a dit: «Va chez cette veuve.» CâĂ©tait tout un
endroit pour un prédicateur!
118 Le voilĂ donc qui va chez cette veuve. Et, Ă ce
moment-lĂ , elle avait deux morceaux de bois. Il a dit: «Quâest-ce que
tu fais?»
119 Elle a dit: «Je ramasse du bois. Jâai juste
assez de farine pour faire deux ou trois gĂąteaux de maĂŻs. Câest tout ce
qui me reste. Il y a trois ans que nous nâavons pas eu de pluie.» Elle
a dit: «Ensuite je vais faire ces gùteaux de maïs. Moi, et mon fils,
nous les mangerons, aprÚs quoi nous mourrons.»
120 Il a dit: «Fais-mâen un premiĂšrement!» AllĂ©luia!
Oh, je sais que je suis un peu fou, mais je suis du cÎté du Seigneur en
tout cas. Il a dit: «Fais-mâen un premiĂšrement. Car, AINSI DIT LE
SEIGNEUR.» Voilà .
121 Quâest-ce? «Cherchez premiĂšrement le Royaume de
Dieu et Sa justice.» Non pas le Royaume de Dieu, et «un peu de bruit»,
non pas le Royaume de Dieu et «un peu dâĂ©motion», non pas le Royaume de
Dieu et «un peu de ceci ou de cela». Mais «Dieu, et Sa justice; et
toutes ces autres choses vous seront données par-dessus.» Donnez la
premiĂšre place!
122 Alors, cette veuve a entendu ça. «La foi vient
de ce quâon entend, ce quâon entend vient de la Parole.» Elle a dit:
«Ăa, câest la Parole du Seigneur, car voila un saint homme de Dieu.
Câest le prophĂšte de Dieu, alors je sais que câest la vĂ©ritĂ©. Et câest
la Parole de Dieu.»
123 Alors, elle nâa pas couru demander aux voisins
comment faire. Elle ne voulait pas aller partager⊠dire aux voisins,
dire «Bon, quâest-ce que vous en pensez? Il y a ce prĂ©dicateur chez
moi, qui dit ceci. Suzie, quâest-ce que tu en penses?»
124 Elle est entrĂ©e, et elle sâest mise Ă vider.
Elle sâest abandonnĂ©e. Elle a abandonnĂ© ce quâelle avait, pour pouvoir
en avoir plus. VoilĂ ce dont le monde a besoin aujourdâhui, câest dâune
bonne sĂ©ance Ă lâancienne mode, oĂč on abandonne ce quâon a. AllĂ©luia!
Elle sâest vidĂ©e, pour pouvoir ĂȘtre remplie. Elle a vidĂ© toute lâhuile
quâelle avait et, toute lâhuile quâelle avait et toute la farine
quâelle avait, pour le prĂ©dicateur, pour le Royaume de Dieu. Et quand
elle a eu tout vidé là -dedans, Dieu est descendu, Il a rempli le pot de
farine, Il a rempli la cruche dâhuile. Elle a de nouveau vidĂ© le
contenu dans lâassiette du prĂ©dicateur. Il est venu les remplir de
nouveau. Il remplissait. Chaque fois quâelle vidait, Il remplissait.
125 Je dirai ceci, aujourdâhui, si les hommes
Ă©taient prĂȘts Ă se vider de toutes ces absurditĂ©s, de cette excitation,
et de cette imitation du christianisme, et Ă laisser le Saint-Esprit
prendre sa place, un rĂ©veil prendrait naissance Ă lâintersection de la
HuitiÚme rue et de la rue Penn, qui se répandrait dans le pays tout
entier. Cessez ces absurdités, revenez à la Parole de Dieu. Videz-vous,
pour pouvoir ĂȘtre remplis. LĂąchez prise, et Dieu aura lâemprise.
Videz-vous, et Dieu vous remplira. Toutes ces choses insignifiantes:
«Vous devez faire ceci, et vous devez faire cela; il faut que vous
fassiez ceci, et que vous fassiez cela.» Oubliez ça. Videz votre ùme de
ces choses!
126 Dites: «à Dieu, que je sois dÚs ce tout⊠ce
jour, entier Ă Toi. Seigneur, je mâapproche avec un cĆur brisĂ©. Je
mâapproche avec un esprit contrit. Je Tâaime. Tu sais que je Tâaime. Et
je veux oublier toutes ces sottises: tous ces jeûnes de quarante jours
pour voir si je peux mâapprocher davantage de Dieu, et tout ceci, cela
et autre chose, toutes ces absurdités.»
127 ArrĂȘtez ça! Il nây a rien dans la Parole qui
vous dise de faire un jeĂ»ne de quarante jours. Absolument rien. Il nây
a absolument rien qui vous dise de jeûner, à moins que Dieu ne vous le
dise. Si vous jeĂ»nez, vous nâaurez pas faim, et tout le reste. Pendant
votre jeûne, frÚre, vous serez joyeux et heureux tout le temps. Il a
dit: «Ne vous montrez pas aux hommes comme les hypocrites, qui prennent
un air abattu et triste. âJe fais un jeĂ»ne de quarante jours, mes
dentiers ne mâiront plus. Jâai perdu trente livres, et on mâa dit que
jâavais meilleure mine aprĂšs.â» Oh, que dâabsurditĂ©s! Ce sont des
esprits séducteurs, qui viennent du diable.
128 De sâavancer Ă lâautel, dire «gloire, gloire,
gloire», jusquâĂ ce que vous nâarriviez presque plus Ă dire autre
chose, et de dire quâ«il faut que vous parliez en langues avant de
recevoir le Saint-Esprit». Que dâabsurditĂ©s! Videz-moi ça!
129 Sortez ça de votre systÚme, et approchez-vous,
en vous fondant sur la Parole de Dieu! Il a dit: «Repentez-vous, chacun
de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos
péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Si Dieu ne tient pas
Sa Parole, Il nâest pas Dieu. Amen. Videz-vous. Soyez remplis. Amen.
Fiou! Jâaime ça. Câest Sa Parole. Dieu lâa dit. Câest exact. Et quand
Dieu a dit quelque chose, Dieu sâen charge. Bien. Tous les prĂ©paratifs
que vous faites, dâaller Ă lâĂ©glise autant que vous le faitesâŠ
130 Câest comme ici, Ă lâusine de construction de
wagons, oĂč ils construisent tout un tas de fourgons, ou tout un tas de
wagons de voyageurs. Jâai dĂ©jĂ travaillĂ© lĂ . Et ils prennent, ils
construisent ces grands wagons, et tout. Ils le plaquent avec du bois
dur, de lâacajou, sur tous les cĂŽtĂ©s, et tout est trĂšs beau, puis ils
le placent sur le rail. Mais câĂ©tait tout ce quâil y a de plus mort. La
locomotive était là , pas de vapeur. Elle restait là .
131 Ce quâil lui faut aujourdâhui, câest du feu sous
la chaudiĂšre. Ce quâil lui faut aujourdâhui, câest de la vapeur.
LâĂ©glise, ce quâil lui faut aujourdâhui, pour bouillir; la chose la
plus bouillante, la plus chaude qui existe pour faire bouillir le péché
et en dĂ©barrasser votre vie, câest lâamour. Et si vous ne pouvez pas
vous aimer les uns les autres, comment allez-vous faire pour aimer
Dieu, que vous nâavez pas vu? Lâamour cache une multitude de pĂ©chĂ©s.
Tombez amoureux de Dieu, alors vous vous aimerez les uns les autres,
alors vous aimerez lâĂ©glise, vous aimerez la Cause, vous aimerez tout
ce qui est saint, et vous vous abstiendrez des choses du monde.
132 Des esprits séducteurs qui circulent en disant
aux gens ceci, cela ou autre chose, quâ«ils doivent faire ceci, quâils
doivent faire cela». Câest parce que les dĂ©nominations sont apparues,
avec leur petite révélation, qui leur fait dire: «Eh bien, je crois
quâun homme⊠Je crois que de crier, ça existe dans la Bible.» Câest
exact. Câest la vĂ©ritĂ©. Ils ont formĂ© une dĂ©nomination avec ça: «Quand
vous criez, vous Lâavez.» Mais vous ne Lâavez pas.
133 Une autre apparaßt, celle-là dit: «Parler en
langues.» Câest exact. Câest dans la Bible. «Eh bien, quand vous parlez
en langues, vous Lâavez.» Mais beaucoup dâentre eux ont parlĂ© en
langues, et ils ne Lâavaient pas. Voyez? Ce nâest pas ça. Non monsieur.
Beaucoup dâentre eux ont dit: «Eh bien, il nous faut
prophétiser.»
134 Regardez ces prophĂštes, lĂ , qui se mettaient des
cornes sur la tĂȘte, ils sautaient en lâair et ils prophĂ©tisaient.
Michée a dit «Vous mentez tous.» Amen. Exact. Dieu ne vient pas comme
ça. Dieu vient au cĆur sincĂšre, qui sâapproche avec un esprit brisĂ©,
contrit. «Celui qui va en semant avec larmes, reviendra certainement
dans lâallĂ©gresse, quand il portera ses prĂ©cieuses gerbes.» Amen.
Comprenez-le bien, mon ami.
135 Tellement de dĂ©monologie, des dĂ©mons Ă lâĆuvre
dans les Ăąmes humaines! Observez oĂč est le fruit qui est produit.
Observez le genre de vie que la personne mĂšne. Voyez leur conduite,
observez leur maniĂšre dâagir, voyez quels sont leurs motifs. Il est
tout aussi impossible⊠Si je vous disais: «Le seul moyen⊠Il y a ici
des voitures, toutes alignĂ©es ici. Le Ciel, câest Ă Charlestown. Vous
ne pouvez pas y aller Ă pied. Le seul moyen pour vous dây aller, câest
en voiture. Et tous les hommes qui traversent la ligne doivent apporter
cinq gallons [vingt litresâN.D.T.] dâessence.» Sa voiture est ici, mais
sâil nâa pas dâessence, il ne pourra pas la faire marcher. Eh bien,
câest exactement, parfaitement, comme ça, au Ciel. Si vous mourez sans
Dieu, peu importe la vie que vous avez menée et le nombre de voitures
que vous avez construites, si lâamour de Dieu nâest pas lĂ pour vous
tirer jusque dans le Royaume de Dieu, vous ĂȘtes perdu.
136 Il y a un négatif et un positif. Peu importe
combien de courant positif passe ici, sâil nây a pas de fil de terre,
ça ne sâallumera jamais. Câest exact. Vous devez ĂȘtre enracinĂ©s et
fondĂ©s dans lâamour de Dieu. Oh, frĂšre! Mettez le nĂ©gatif et le positif
ensemble, vous aurez une LumiĂšre, la bonne vieille LumiĂšre de
lâĂvangile. Elle se rĂ©pandra dâun rivage Ă lâautre. Sans quoi vous ne
Lâaurez jamais. Peu importe combien vous pouvez secouer et sauter avec
le positif, vous devez avoir le fil de terre, pour que la lumiĂšre
brille. Amen.
137 Avez-vous déjà remarqué? Installez un fil de
terre ici, là -dessus, et tout ça va descendre ici, dans la
sous-station, directement dans la terre. Et chaque fois quâun homme
sâenracine et se fonde dans la Parole de Dieu, alors il est enracinĂ© et
fondĂ© au Calvaire, lĂ -bas, câest lĂ que lâancre, le poteau dâattache,
de Dieu, a Ă©tĂ© amenĂ©, pour que brille la LumiĂšre de lâĂvangile. Amen.
138 Vous savez ce quâil y a? Les gens qui sont dans
ces grandes morgues froides, formalistes, lĂ -bas, qui prĂ©tendent quâils
prĂȘchent lâĂvangile. Un petit prĂ©dicateur est venu me voir hier, il
fait partie dâune des plus grandes dĂ©nominations quâil y a dans le pays
aujourdâhui, Ă part les catholiques. Il disait: «FrĂšre Branham, jâen ai
assez.» Il disait: «Ils vont tous nous obliger, nous les prédicateurs,
Ă porter la soutane, et le col tournĂ© vers lâarriĂšre, etâet Ă prĂȘcher
certaines choses. Et ils vont nous dire quoi prĂȘcher, tous les
trimestres.» Il disait: «Je ne peux plus endurer ça.» Il disait:
«Quâest-ce que je dois faire? Est-ce que je dois me mettre Ă prĂȘcher
lâĂvangile?»
139 Jâai dit: «FrĂšre, tant que vous ĂȘtes affiliĂ© Ă
cette dĂ©nomination, respectez-la. Dites simplement ce quâil faut quâils
disent. Mais allez voir votre ancien, ou votre surveillant de lâĂtat,
et dites: âMonsieur, je suis nĂ© de nouveau de lâEsprit de Dieu. Voici
la Parole de Dieu. Si vous me permettez de prĂȘcher Cela, je resterai
dans votre Ă©glise. Sinon, je pars. Remplacez-moi par quelquâun
dâautre.â» Câest comme ça quâil faut faire. Nây allez pas par quatre
chemins. Ne soyez pas nĂ©gatif. Prononcez-vous, dites ce quâil en est.
Exact.
140 Il a dit: «FrÚre Branham, pensez-vous que
jâaurais une assemblĂ©e?»
141 Jâai dit: «En quelque lieu que soit le Cadavre,
lĂ sâassembleront les Aigles.» Câest exact, ils vont suivre.
142 Câest comme cet homme, une fois, qui faisait
Ă©clore des poussins. Bon, ce nâest pas une plaisanterie. Je ne le dis
pas pour plaisanter. Je le dis pour en venir Ă quelque chose. Il allait
faire couver sa poule, et il nâavait pas assez dâoeufs. Il a mis un Ćuf
de canard sous une poule. Et quand ils ont tous éclos, ce canard était
la créature la plus bizarre à voir que ces poussins avaient jamais vue.
Alors, la poule gloussait pour appeler les poussins, et les petits
poussins venaient, mais le canard ne connaissait pas ce langage-lĂ .
Mais, un jour, la vieille poule les a menés derriÚre la grange. Il y
avait un ruisseau lĂ -bas, derriĂšre la grange. Quand ce petit canard a
flairĂ© lâeau, il a foncĂ© vers lâeau Ă toute vitesse. La vieille poule a
dit: «Cott! cott! cott!» Et le petit canard a dit: «Coin! coin! coin!»
Il avait mis le cap sur lâeau. Pourquoi? CâĂ©tait un canard, par nature.
Quand il a flairĂ© de lâeau, frĂšre, il nâa pas pu se tenir Ă distance,
puisquâil Ă©tait un canard.
143 Et je le dis, aujourdâhui, tous ceux qui veulent
vraiment trouver Dieu, ils ne permettront à aucune église de leur
dicter des choses quâils ne peuvent pas vivre, telle ou telle chose. Si
vous avez la nature de Dieu en vous, vous vous tournerez vers la
sainteté, vous vous tournerez vers ce qui est bien. Vous défendrez ce
qui est bien. Vous ferez ce qui est bien. Vous penserez ce qui est
bien. Vous vivrez selon ce qui est bien. Si vous ĂȘtes un canard, vous
aimez lâeau. Si vous ĂȘtes un chrĂ©tien, vous aimez Christ. Si vous ĂȘtes
un dĂ©mon, vous aimez les choses du diable. Si vous ĂȘtes une buse, vous
mangerez des choses mortes. Si vous ĂȘtes un cochon, vous mangerez du
fumier. OĂč en ĂȘtes-vous aujourdâhui? Exact. Vous prĂ©tendez ĂȘtre ici, en
haut, Ă manger les choses du Seigneur, et ensuite vous descendez
fouiller avec le diable? Il y a quelque chose qui ne va pas, lĂ .
ArrĂȘtez dâĂ©couter ces esprits; ce sont des dĂ©mons. Peu importe si vous
devez rester seuls. Tous les hommes et les femmes qui ont fait quelque
chose de leur vie, pratiquement, ont été des hommes et des femmes qui
se sont tenus seuls avec Dieu.
144 Regardez MichĂ©e, qui sâest tenu lĂ comme, pas
comme le rocher de Gibraltar, mais comme le Rocher des Ăges. Il a dit
«Je ne dirai rien⊠Ce que le sĂ©minaire dit, ça mâest Ă©gal. Ce que mon
assemblĂ©e dit, ça mâest Ă©gal. Ce que le roi dit, ça mâest Ă©gal. MĂȘme
sâils me coupent la tĂȘte, je dirai seulement les paroles que Dieu
mettra dans ma bouche.» Il avait raison. Il avait raison.
145 Et aujourdâhui, hommes et femmes, ne prĂȘtez
aucune attention Ă ce que le monde a Ă vous offrir, au traitement quâil
prescrit, au genre de vaccin quâils ont contre le microbe, alors quâils
affirment: «Si vous adhĂ©rez Ă lâĂ©glise, tout ira bien pour vous.» Ăa,
câest un faux vaccin. Pourquoi? Vous avez encore la maladie du pĂ©chĂ©.
Câest exact. Mais, je vous le dis, il y a une chose, frĂšre, qui vous
vaccinera contre le pĂ©chĂ©, câest de venir au Sang prĂ©cieux du Seigneur
JĂ©sus-Christ, et dâĂȘtre rempli du Saint-Esprit, voilĂ ce qui vous
vaccinera contre tout pĂ©chĂ©, et vos dĂ©sirs sâorienteront vers le Ciel,
vous nâaurez pas de temps Ă accorder aux choses du monde.
Prions.
146 Notre PÚre Céleste, alors que nous voyons ces
esprits sĂ©ducteurs sur les gens, et sachant quâils mĂ©prisent les choses
de Dieu, je Te prie, ĂŽ Dieu, de te saisir de chaque homme et chaque
femme qui sont ici aujourdâhui. Que ce jour, Seigneur, soit celui oĂč
ils prendront conscience que leur vie ne cadre pas avec la Parole. Et
quâils ont Ă©coutĂ© ce quâil ne fallait pas, que le diable les a
tranquillisĂ©s avec ces espĂšces de magazines dâhistoires vĂ©cues, ces
espĂšces dâĂąneries du monde, cette espĂšce de cinĂ©ma et de tĂ©lĂ©vision
sale. Ă Dieu, quâun chrĂ©tien puisse regarder des choses pareilles,
câest inconcevable! Ă Dieu, ça nous rend malades. Tu as dit que ça Te
rendait malade, comme pour vomir. Tu as dit: «Un chien retourne à ce
quâil avait vomi, et unâet un cochon retourne dans son bourbier.» Un
vieux chien vomira quelque chose. De voir une espĂšce dâhypocrite qui
prĂ©tend ĂȘtre nĂ©, mais qui ne lâest quâĂ moitiĂ©, venir Ă lâautel, et on
dirait que vous allez vomir le monde; ils repartent de plus belle,
manger cette chose-lĂ de nouveau. Ă Dieu, purifie Ta maison, Seigneur.
Alléluia! Envoie le Saint-Esprit, pour convaincre les gens de leur
culpabilitĂ©, Ă la maniĂšre dâautrefois, au point de purifier les goĂ»ts
dâun homme, et de purifier son Ăąme, et de le purifier entiĂšrement, et
de faire de lui une crĂ©ature qui est en route pour le Ciel. Lui donnerâŠ
Le faire rajeunir et renouveler ses vieux, comme lâaigle, pour quâil
puisse prendre son vol et monter au-dessus des choses de ce monde,
monter en flĂšche vers les Cieux, lĂ -bas, dâoĂč il pourra voir les ennuis
venir de loin. Accorde-le, Seigneur.
147 Câest Ă eux, aux aigles, que Tu as comparĂ© Tes
prophĂštes ils avaient lâĆil de lâaigle, ils pouvaient monter trĂšs haut
et voir les choses bien longtemps avant quâelles arrivent. Ă Dieu,
bénis cette petite église. Bénis ces gens qui viennent ici. Bénis les
nouveaux venus parmi nous aujourdâhui. Quâils sachent que ce Message ne
sâadressait Ă aucun individu en particulier, mais quâil sâadressait
spécialement, Seigneur, à ceux qui sont profondément dans le besoin;
sachant quâun jour nous devrons comparaĂźtre ensemble en jugement devant
Dieu, et sachant que nous serons tenus pour responsables dâavoir connu
la VĂ©ritĂ© et de ne pas Lâavoir dĂ©clarĂ©e. PĂšre, je prie quâIl sera pris
Ă cĆur par chacun. Au Nom de JĂ©sus.
148 Alors que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e pendant un
petit instant, je me demande si quelquâun ici ce matin voudrait dire
«FrĂšre Branham, jâen ai assez de toutes ces choses. Jâai des petites
mesquineries, qui me collent Ă la peau depuis si longtemps. Jeâje parle
toujours quand je ne devrais pas. Jeâje fais des choses que je ne
devrais pas faire, et je le sais, ce nâest pas digne dâun chrĂ©tien. Je
ne veux pas faire ça; Dieu sait que je ne le veux pas. Et je ne veux
plus Ă©couter ce vieil esprit-lĂ . Câest ce qui mâa empĂȘchĂ© de faire du
progrĂšs toute ma vie, qui mâa empĂȘchĂ© dâavoir vraiment lâamour et la
liberté en Christ. Je voudrais que vous priiez pour moi, FrÚre Branham,
que çaâça parte aujourdâhui.» Voulez-vous lever la main? Toutes les
tĂȘtes inclinĂ©es. Que Dieu vous bĂ©nisse. Oh! la la! des douzaines de
mains! Des espĂšces de petites mesquineries, des espĂšces de petites
choses qui vous font bavarder, ou déclencher des petites querelles au
sein de lâĂ©glise, vous faire prendre parti dans ce genre de chose. Oh,
ça, ce nâest vraiment pas de Dieu. Câest de la discorde entre frĂšres.
Ne faites pas ça. Vous ne voulez pas de ça. Vous ne voulez pas de ça,
et des espĂšces de petites choses, de petites colĂšres, et tout le reste,
qui vous empĂȘchent de faire du progrĂšs.
149 Dites: «à Dieu, je ne veux plus de cette
chose-lĂ . Jâen ai assez. Je suis prĂȘt aujourdâhui Ă laisser tomber tout
ça. Je mâapproche maintenant, Seigneur, et je veux me dĂ©barrasser
complÚtement de mon égoïsme. Si mon frÚre ne me traite pas bien, je
prierai quand mĂȘme pour lui. Si mon papa ne me traite pas bien, je
lâaimerai quand mĂȘme. Si ma femme ne me traite pas bien, ou mon mari,
je continuerai mon chemin, dans lâhumilitĂ© devant Dieu. Seigneur, je
regarde uniquement à Ton Royaume. Je veux que ma pensée soit droite. Je
veux que mon cĆur soit rempli de joie. Je veux continuer mon chemin,
quand les ennuis sont vraiment lĂ Ă bourdonner tout autour de moi, je
veux quand mĂȘme garder mes mains levĂ©es et mon cĆur pur devant Toi,
Seigneur, sachant ceci, quâun jour jâirai Ă Ta rencontre. VoilĂ le
genre dâexpĂ©rience que je veux. Seigneur, rends-moi comme ça, Ă partir
dâaujourdâhui.»
150 Voulez-vous lever la main, quelquâun qui
nâaurait pas levĂ© la main tout Ă lâheure. Que Dieu vous bĂ©nisse. Que
Dieu vous bĂ©nisse. SĆur, donnez-nous la note, pendant que nous avons la
tĂȘte inclinĂ©e. JusquâĂ quel point, vraiment, Ă©tiez-vous sĂ©rieux? Ne le
prenez pas comme un jeu, lĂ . Ce nâest pas le moment de jouer. Câest le
moment de recevoir. Câest le moment oĂč vous devez Lâobtenir. Venez,
videz-vous de toutes ces choses, tout de suite. Le voulez-vous? Venez,
donnez tout ce que vous avez Ă Dieu. Dites: «à Dieu, je nâai pas
grand-chose. Je ne suis quâune petite mĂ©nagĂšre. Je ne peux pas faire
grand-chose, Seigneur, mais jeâje peux lire Ta Bible, je peux prier
tous les jours. Je peux me débarrasser de toutes les ordures qui
embarrassent mon esprit. Je peux me débarrasser de toutes ces choses.
Je suis coupable de beaucoup de choses dont ce prédicateur a parlé ce
matin, alors jeâje me vide de tout ça aujourdâhui. Je nâen veux pas. Ă
Dieu, remplis-moi dâamour. Remplis-moi de la chose qui me fera aimer
mon ennemi le plus acharné. Je le veux vraiment, Seigneur.»
151 Pendant quâelle joue, ici, ne voulez-vous pas
venir maintenant, et vous tenir Ă lâautel un petit instant, alors que
nous nous rassemblerons pour un mot de priĂšre. Si vous ĂȘtes vraiment
sĂ©rieux Ă ce sujet, maintenant, si vous ĂȘtes vraiment prĂȘt Ă abandonner
cette chose, vous ne repartirez jamais de cet autel aujourdâhui avec ça
sur votre cĆur, si vous venez avec sincĂ©ritĂ©. Et dites: «Je mâavance
simplement pour me tenir lĂ , un petit instant, FrĂšre Branham, oui,
pendant que vous prononcerez un mot de priĂšre pour moi
personnellement.» Jeâje voudrais que vous veniez, prier. Voulez-vous
venir maintenant? Avec la tĂȘte inclinĂ©e, qui voudrait se lever et venir
Ă lâautel, se tenir autour de lâautel?
Ne passe pas prĂšs de moi sans tâarrĂȘter, ĂŽ doux Sauveur,
Ăcoute mon humble cri;
Alors que Tu en appelles dâautres,
Oh, ne passe pas prĂšs de moi sans tâarrĂȘter.
Sauveur, Sauveur,
Ăcoute mon humble cri;
Alors que Tu en appelles dâautres,
Oh, ne passe pas prĂšs de moi sans tâarrĂȘter.
152 Peu importe depuis combien de temps vous ĂȘtes
chrétien, si vous avez encore de ces esprits qui vous parlent, qui vous
font sortir de vos gonds, qui vous font parler de quelquâun. Quand
quelquâun se prĂ©sente et se met Ă parler de quelquâun dâautre, tout de
suite vous vous mettez de la partie et, oh, vous les dénigrez vraiment.
Câest mal, ça, frĂšre. Ne faites pas ça. Ăa finira par vous empĂȘcher
dâentrer dans le Pays promis. Si vous avez de ces espĂšces de petites
choses que vous ne devriez pas avoir, si lâamour de Dieu nâest pas
vraiment dans votre cĆur, ne voulez-vous pas ĂȘtre assez femme, assez
homme, pour vous avancer et dire: «à Dieu, ici mĂȘme je vais me vider
tout ça, ce matin, ici mĂȘme. Je vais repartir de cet autel une personne
différente.» Voulez-vous venir?
153 Y aurait-il un pĂ©cheur, qui nâa jamais acceptĂ©
JĂ©sus, et vous savez que vous ĂȘtes un pĂ©cheur, vous ne Le connaissez
pas comme votre Sauveur? Vous dites: «FrÚre Branham, oui, je trouvais
que jâavais beaucoup de plaisir. Je vais aux soirĂ©es dansantes et aux
fĂȘtes, et toutes ces choses. Je regarde des Ă©missions quâil nâest pas
convenable de regarder. Et jeâje fais des mauvaises lectures. Je lis
des espĂšces de livres qui contiennent des histoires vulgaires. Je
prends mĂȘme assez plaisir Ă les lire. FrĂšre, il y a quelque chose qui
ne va pas chez vous. Ce sont vos goûts, ça; voyez-vous, faites-moi voir
ce quâun homme lit, faites-moi voir ce quâil regarde, Ă©couter la
musique quâil Ă©coute.
154 Lâautre jour, je roulais en voiture, une
certaine personne sâest Ă©tirĂ© le bras et a allumĂ© ma radio, une espĂšce
de musique vulgaire. Jâai dit: «Ăteins-moi ça. Je ne veux pas entendre
ça.» De lâespĂšce de boogie-woogie.
Il a dit: «Mais, moi, jâaime Ă©couter ça.»
Jâai dit: «Ta nature est de travers. Tu as tort.»
155 Quand jâĂ©tais ici, quelques jours plus tard, Ă
flanc de montagne ou, Ă flanc de coteau, Ă la pĂȘche, avec cette
personne. Les petits oiseaux chantaient. Les alouettes sâĂ©gosillaient.
La vieille hirondelle volait dans les airs, ou le rossignol, chantant
les louanges. Jâai criĂ© trĂšs fort Ă ce garçon, jâai dit: «Regarde, mon
garçon, câest ça ma musique. Que ça, ça reste allumĂ©. Câest ça ma
radio. Dieu les fait descendre vers moi pour quâils chantent pendant
que je suis ici. Câest ce qui apaise mon Ăąme.»
156 Câest mieux que toutes ces affaires de fous,
tous ces vieux juke-box avec leurs beuglements, qui nâarrĂȘtent pas, on
ne peut mĂȘme pas manger dans les endroits publics. Câest la nourriture
du diable. Câest la maison du diable, câest tout gĂąchĂ© par le pĂ©chĂ©.
Est-ce que vous vous vautrez lĂ -dedans, et y prenez plaisir? Quand ils
mettent de lâargent dans ces espĂšces de boĂźtes, et quâon entend toutes
ces saletĂ©s, vous y prenez plaisir? Honte Ă vous. Vous ĂȘtes rĂ©trograde.
Vous ĂȘtes loin de Dieu. Vous ne connaissez pas Dieu. Si vous
connaissiez Dieu, dans le pardon de vos pĂ©chĂ©s, vous nâĂ©couteriez
jamais des absurditĂ©s pareilles. Ce serait mort, pour vous. Ăa vousâça
vous ferait vomir. Vous nâen voulez pas. Vous avez une nourriture
meilleure. Vous aimez Dieu. Ne voulez-vous pas venir, ce matin, vous
agenouiller ici avec ceux qui ont fait leur confession, ce matin?
157 Il y a ici des hommes et des femmes, agenouillés
ici, qui sont chrétiens depuis des années. Je ne dis pas que ce ne sont
pas des chrĂ©tiens. Mais ce que je mâefforce de faire, câest de leur
dire que ce dĂ©mon, qui les hante, les empĂȘche de recevoir la plĂ©nitude
de la Joie. Le Saint-Esprit, câest la Joie. Eh bien, moi, je suis ivre
au réveil, je suis ivre au coucher, je suis ivre toute la journée, ivre
toute la nuit. Oh, jeâjâaime vraiment ça. Je vais Ă la pĂȘche, avec
ceci: «Ne passe pas prĂšs de moi sans tâarrĂȘter, ĂŽ doux Sauveur. Ăcoute
mon humble cri.» Je vais à la chasse, je chante les louanges de Dieu.
Je prĂȘche, partout oĂč je vais. Ne voulez-vous pas ĂȘtre comme ça?
Remplis du Saint-Esprit, Il vous stimule. Oh! la la! Les écouter
chanter ces vieilles chansons sales? Vous pouvez chanter ceci:
Je vais Ă la Terre promise,
Je vais Ă la Terre promise,
Oh! qui veut venir avec moi?
Je vais Ă la Terre promise.
Je vais Ă la Terre promise,
Je vais Ă la Terre promise,
Oh! qui veut venir avec moi?
Je vais Ă la Terre promise.
Je vais atteindre des murs bénis,
Cité des bienheureux.
Je veux voir la face du PĂšre,
Me reposer dans Son sein.
Je vais Ă la Terre promise,
Je vais Ă la Terre promise,
Oh! qui veut venir avec moi?
Je vais Ă la Terre promise.
158 Ne voulez-vous pas venir, y aller avec nous? Je
me rappelle, nous Ă©tions environ cinq cents debout lĂ -bas, la fois oĂč
jâai baptisĂ© cent vingt personnes, Ă peu prĂšs Ă cette pĂ©riode de
lâannĂ©e, ici, au bord de la riviĂšre, au moment oĂč cette grande Ătoile
du Matin est descendue et a brillé au-dessus de la riviÚre. Alléluia!
Une Voix En est sortie et a dit: «Un jour, tu rĂ©pandras lâĂvangile dans
le monde entier.» Comment un pauvre petit garçon de ferme ignorant
pourrait-il jamais faire ça? La grùce de Dieu! Amen.
159 Oh! qui veut venir? Débarrassez-vous, rejetez
tout fardeau maintenant. NâĂ©coutez pas ces esprits sĂ©ducteurs. Venez
écouter la Parole de Dieu, AINSI DIT LE SEIGNEUR! «Heureux ceux qui ont
faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.»
160 Courbons la tĂȘte maintenant, pendant que nous
prions avec ces gens qui sont Ă lâautel.
Chers enfants, je veux que vous vous rappeliez, ce
matin, que vous ĂȘtes lĂ pour rejeter le fardeau. Vous ĂȘtes lĂ pour
rejeter tout fardeau et le péché qui vous enveloppe si facilement. Paul
a dit, dans Hébreux, au chapitre 12:
âŠpuisque nous sommes environnĂ©s dâune si grande nuĂ©e
de témoins, rejetons tout fardeau et le péché⊠nous enveloppe si
facilementâŠ
Et que dirai-je encore? Car le temps ne permettrait
de⊠parler de Gédéon, de Balak, de Barak, de Samson, de Jephthé, de
David, de Samuel, et des prophĂštes,
Qui, par la foi, vainquirent des royaumes,
exercĂšrent la justice, obtinrent une promesse, fermĂšrent la gueule du
lion,
Ăteignirent la puissance du feu, Ă©chappĂšrent au
tranchant de lâĂ©pĂ©e, guĂ©rirent de leurs maladies, et furent desâŠ
vaillants⊠lâennemi en dĂ©route.
Et des femmes recouvrĂšrent leurs morts par la
rĂ©surrectionâŠ
Dâautres subirent du tourment, les moqueries et le
fouet⊠en plus, mĂȘme, les chaĂźnes et la prison;
Dâautres qui subirent des Ă©preuves⊠la moquerie⊠le
fouetâŠ
Eux tous, à la foi desquels il a été rendu
tĂ©moignageâŠ
Tous ceux-là , à la foi desquels il a été rendu
tĂ©moignage, nâont pas obtenu ce qui leur Ă©tait promis, Dieu ayant en
vue quelque chose de meilleur pour nous, afin quâils ne parvinssent pas
sans nous Ă la perfection.
Nous donc⊠puisque nous sommes environnĂ©s dâune si
grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le péché⊠nous
enveloppe si facilement, pour que nous puissions courir avec
persévérance dans la carriÚre qui nous est ouverte,
Ayant les regards sur Jésus, le chef et le
consommateur de la foi, qui, en vue de la joie qui lui était réservée,
a souffert la croix, mĂ©priser lâignominie, et sâest assis Ă la droite
du trĂŽne de Dieu.
161 Jésus, dans Sa priÚre, a dit: «PÚre, Je me
sanctifie Moi-mĂȘme.» JĂ©sus sâest sanctifiĂ©, pour lâĂglise. Il aurait pu
se marier, mais Il ne lâa pas fait. Il sâest sanctifiĂ©. Il a dit
«Sanctifie-les, PÚre, par la Vérité. Ta Parole est la Vérité.»
162 Maintenant rejetons tout fardeau. Vous avez un
tempérament colérique? Vous avez quelque chose en vous, qui vous pousse
Ă parler quand vous ne devriez pas parler? Ă Dieu! DĂ©posez-le lĂ
maintenant. DĂ©posez-le, et regardez le Feu de lâautel descendre et
Ă©liminer tout ça, regardez lâamour de Dieu lĂ©cher tout ça. Regardez
tout ce vieil égoïsme, la façon dont vous parliez à votre femme, la
façon dont vous parliez Ă votre mari, la façon dont vous parliez Ă
votre voisin, la façon dont vous avez parlĂ© des gens de lâĂ©glise,
dĂ©posez tout ça sur lâautel ce matin, et le Feu de Dieu descendra et
Ă©liminera tout ça Ă lâinstant mĂȘme, et au lieu de toutes ces choses,
câest lâamour Divin qui brĂ»lera.
163 Vous avez de la maladie? DĂ©posez-la sur lâautel,
dites «Seigneur, la voici. Crée en moi un esprit pur. Crée en moi une
puissance guérissante.» Voyez ce que Dieu fera. Dieu le fera, ce matin.
164 Notre PÚre Céleste, nous nous courbons dans Ta
PrĂ©sence, pour ceux qui sont Ă lâautel. Que Ta grĂące repose sur chacun
dâeux, PĂšre. Maintenant, alors quâils⊠Seigneur, je ne peux pas le
faire Ă leur place. Ils doivent le faire eux-mĂȘmes. Aucun homme ne peut
le faire Ă leur place. Ils doivent le faire, eux seuls. Que, du fond de
leur ùme, maintenant, ils disent: «à Dieu, ce tempérament colérique, je
le dĂ©pose ici, Seigneur. Je ne le reprendrai jamais. Quoi quâil
advienne, je laisserai tomber, Ă partir de maintenant. Ma langue, qui
sâest laissĂ©e si facilement aller Ă prendre parti dans des tas de
cancans, Seigneur, je la dépose ici. Je ne la reprendrai plus jamais.
Sanctifie ma langue, Seigneur. Que je sente les Anges passer, comme
ĂsaĂŻe, quand il a dit: âMes lĂšvres sont impures. Malheur Ă moi!â» Et
lâAnge est venu, a pris les pincettes, et est allĂ© chercher des pierres
de Feu sur lâautel, et Il en a touchĂ© ses lĂšvres, et lâa sanctifiĂ©. Ă
Dieu, sanctifie tous les bavards, ce matin, qui ont de mauvais propos
et sĂšment la discorde. Accorde-le, Seigneur.
165 Toutes les maladies qui se sont courbées ici,
dans ce bùtiment, les gens affligés de maladies, sachant que ça aussi,
ce sont des démons. à Dieu, en tant que Ton serviteur, je les réprime,
au Nom de JĂ©sus. Quâils sortent de tous les malades. Et que toute
personne impure, qui a des pensées impures, vulgaires, de la
convoitise, les hommes et les femmes également, Î Dieu, fais sortir
tout cela dâeux. Tous ceux ici qui essaient de se dĂ©barrasser de la
cigarette, et du petit verre quâils prennent en sociĂ©tĂ©, et de leurs
petites fĂȘtes, et des choses Ă©goĂŻstes; ĂŽ Dieu, stimule leur cĆur par le
Saint-Esprit, Ă tel point quâil nây aura plus aucun dĂ©sir de ces
choses. Il nây aura plus de place; vous serez tellement remplis du
Saint-Esprit, Ă partir de ce moment-lĂ .
166 à Dieu, fais de cette petite église un buisson
ardent. Fais-en un lieu rempli du Saint-Esprit, fais-en un Feu ardent,
afin que le monde se détourne pour y voir la gloire de Dieu. à Dieu,
commence par cette petite poignée de gens, de deux ou trois cents
personnes, ici, ce matin. Accorde-le, Seigneur.
167 Purifie chaque cĆur, chaque mĂ©thodiste, chaque
baptiste, chaque catholique, chaque presbytérien, chaque pentecÎtiste.
Seigneur, ĂŽte tout cela de leur cĆur, et quâils viennent Ă Toi
aujourdâhui. Accorde-le, PĂšre. Je recommande leur ĂȘtre Ă Toi, et je Te
les confie, au Nom de Jésus-Christ, pour la purification de leur ùme et
la guérison de leur corps. Amen.
168 Je me demande, Ă lâautel, y avez-vous laissĂ©
votre fardeau? Avez-vous le sentiment quâils ont Ă©tĂ© dĂ©posĂ©s lĂ ? Si
vous avez le sentiment quâils ont Ă©tĂ© dĂ©posĂ©s lĂ , câest Ă vous dâen
juger. Câest vous qui priez. Moi, jâai prĂȘchĂ©. Câest Ă vous de prier.
Est-ce que votre fardeau a Ă©tĂ© laissĂ© lĂ , frĂšre, sĆur? Pouvez-vous
vraiment le laisser là ? Si vous le pouvez, levez la main, dites «Oui, Î
Dieu, maintenant, je le laisse ici. Mon désaccord, je le laisserai ici,
Ă lâautel.» Quâen est-il de vous, au bout de lâautel, ici, Ă ma droite,
madame? Pouvez-vous le laisser lĂ ? Pouvez-vous laisser ce vieux
fardeau, déposé là , dire: «Oui, ma foi regarde à Toi, Toi, Agneau du
Calvaire.» Pendant que nous le chantons, tous ensemble, maintenant.
Ma foi regarde Ă Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Ă Sauveur Divin;
Ăcoute ma priĂšre,
EnlÚve toute ma culpabilité,
Que je sois dĂšs ce jour Entier Ă Toi.
169 Levons-nous, trĂšs respectueusement, tous.
Maintenant écoutez attentivement, tout le monde, là . Que personne ne
parte. Juste⊠La rĂ©union nâest pas terminĂ©e. Je veux que vous pĂ©nĂ©triez
dans cette petite atmosphÚre sacrée, cette petite atmosphÚre solennelle.
Et dans ce labyrinthe,
Entouré de malheurs,
Oh, sois mon Guide!
Disperse ces ténÚbres,
Viens essuyer mes larmes,
Et que je sois tout Ă Toi DĂšs aujourdâhui.
Ne le chantez pas au voisin, maintenant. Fermez les
yeux, et chantons-le lentement, en levant nos mains vers Dieu.
Et dans ce labyrinthe,
Entouré de malheurs,
Oh, sois mon Guide!
Disperse ces ténÚbres,
Viens essuyer mes larmes,
Que jamais loin de Toi Je ne mâĂ©gare.
Jâai un PĂšre de lâautre cĂŽtĂ©,
Jâai un PĂšre de lâautre cĂŽtĂ©,
Jâai un PĂšre de lâautre cĂŽtĂ©,
Sur lâautre rivage.
Oh, un beau jour, jâirai Le voir,
Un beau jour, jâirai Le voir,
Un beau jour, jâirai Le voir,
Sur lâautre rivage.
Oh, ce beau jour peut ĂȘtre demain,
Ce beau jour peut ĂȘtre demain,
Ce beau jour peut ĂȘtre demain,
Sur lâautre rivage.
170 Je me demande, maintenant, combien ici ont un
pĂšre dans lâautre Pays? Levez la main. Combien ont une mĂšre dans
lâautre Pays? Levez la main. Combien ont un Sauveur dans lâautre Pays?
Levez la main.
Quelle heureuse rencontre ce sera!
Quelle heureuse rencontre ce sera!
Quelle heureuse rencontre ce sera!
Sur lâautre rivage.
171 Je veux que vous fassiez quelque chose.
Maintenant, pendant que nous le chantons encore, je veux que vous
serriez la main de quelquâun qui est prĂšs de vous, dites: «FrĂšre, sĆur,
prie pour moi, que je te rencontre dans lâautre Pays.» Ne le faites pas
si vous ne le pensez pas réellement. Combien veulent se rencontrer?
Combien veulent rencontrer LĂ -bas tous ceux qui sont ici? Nous, bien
sĂ»r que câest ce que nous voulons. Maintenant serrons-nous simplement
la main les uns les autres, et disons: «Je veux te rencontrer, frÚre,
je veux te rencontrer de lâautre cĂŽtĂ©.» Maintenant, pendant que nous le
chantons: «Jâai un Sauveur de lâautre cĂŽtĂ©.» TrĂšs bien.
Jâai un Sauveur de lâautre cĂŽtĂ©,
Jâai un Sauveur de lâautre cĂŽtĂ©,
Jâai un Sauveur de lâautre cĂŽtĂ©,
Sur lâautre rivage.
Oh, un beau jour, jâirai Le voir,
Un beau jour, jâirai Le voir,
Un beau jour, jâirai Le voir,
Sur lâautre rivage.
172 Est-ce que vous ne vous sentez pas bien et mĂȘme
trÚs bien comme ça? «Jésus, garde-moi prÚs de la croix.»
JĂ©sus, garde-moi prĂšs deâŠ
Là une précieuse fontaine,
Gratuite pour tous, un flot qui guérit,
Coule de la fontaine du Calvaire.
Levez tous la main, maintenant.
Dans la croix, dans la croix,
Est ma gloire Ă jamais;
JusquâĂ ce que mon Ăąme ravie trouve
Le repos au delĂ de la riviĂšre.
Dans la croix, dans la croix,
Est ma gloire Ă jamais;
JusquâĂ ce que mon Ăąme ravie trouve
Le repos au delĂ de la riviĂšre.
Je Lâaime, je Lâaime,
Parce quâIl mâa aimĂ© le premier
Et a acquis mon salut
Au Calvaire.
Que Dieu soit loué!
173 Maintenant, silencieusement, courbons simplement
la tĂȘte. Et Ă notre belle façon bien Ă nous, louons-Le simplement, avec
nos mains levĂ©es, en disant: «Merci, Seigneur, dâavoir sauvĂ© mon Ăąme.
Merci, Seigneur, de mâavoir guĂ©ri. Merci, Seigneur, de tout ce que Tu
as fait, dâavoir pourvu Ă une douce dĂ©livrance, dâavoir pourvu Ă un
salut gratuit. Merci, Seigneur.» Nous Tâoffrons ce sacrifice dâactions
de grĂąces. Nous Te louons, parce que Tu es si charmant. Tu es le Lis de
la VallĂ©e, lâĂtoile du Matin, la Rose de Saron, le Tout-en-Tout. Tu es
le PÚre, le Fils, le Saint-Esprit; Celui qui était, qui est, et qui
vient; le grand Alpha, Oméga. Tu es Celui qui est Merveilleux, le
Prince de la Paix, la Racine et la Postérité de David. Tu es Tout! Et
nous Te remercions, Seigneur, pour tout ce que Tu as fait. Nous Te
remercions pour Ta Parole, car Elle est une LumiĂšre sur notre sentier.
Oh, nous Te prions, Seigneur, de nous permettre de marcher dans la
LumiÚre. Accorde-le, PÚre. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.
174 TrĂšs bien. Pendant que nous nous asseyons, pour
un instant. «Nous marcherons dans la LumiÚre.»
Oui, nous marcherons dans la LumiĂšre,
LĂ oĂč la misĂ©ricorde Ă©tincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
JĂ©sus, la LumiĂšre duâŠ
Allons-y, les saints, chantons-le maintenant!
Oui, nous marcherons dans la LumiÚre (la pureté, la sainteté),
LĂ oĂč la misĂ©ricorde Ă©tincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la LumiÚre du monde.
Venez, confessez-Le comme votre Roi,
Jésus, la LumiÚre du monde;
Alors les cloches du Ciel carillonneront,
Jésus, la LumiÚre du monde.
Tout le monde!
Oui, nous marcherons dans la LumiĂšre (une LumiĂšre sur mon sentier),
LĂ oĂč la misĂ©ricorde Ă©tincelle,
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la LumiÚre du monde.
175 Est-ce que vous ne vous sentez pas bien comme
ça? Combien se sentent bien? Levez simplement la main maintenant,
dites: «Je me sens vraiment bien.» Le Saint-Esprit vous a bien récurés.
Alors, nous allons (quoi?) marcher dans la LumiĂšre. NâĂ©coutez rien deâŠ
La LumiĂšre, quâest-ce que câest? «Ta Parole est une Lampe.» Et, donc:
Oui, nous marcherons dans cette LumiĂšre,
LĂ oĂč la misĂ©ricorde Ă©tincelle,
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
JĂ©sus, la LumiĂšre duâŠ
176 Ăa, câest merveilleux, nâest-ce pas? Il semble
quâon ne peut pas clore la rĂ©union. Le Saint-Esprit est lĂ qui nous
agrippe! Ne ressentez-vous pas la mĂȘme chose? Câest comme si je ne
pouvais pas terminer. Câest vraiment comme si je ne pouvais pas.
LâĂvangile est sanglant,
Du sang des disciples morts pour la Vérité,
Cet Ăvangile du Saint-Esprit est sanglant.
Le premier qui mourut pour ce plan du Saint-Esprit
Fut Jean-Baptiste, mais il est mort comme un homme;
Ensuite vint le Seigneur Jésus, ils Le crucifiÚrent,
Il prĂȘcha que lâEsprit sauverait les hommes du pĂ©chĂ©.
Il y a eu Pierre et Paul, et lâapĂŽtre Jean,
Ils abandonnĂšrent leur vie pour que luise cet Ăvangile;
Ils mĂȘlĂšrent leur sang, avec les prophĂštes de jadis,
Pour que la véritable Parole de Dieu soit apportée avec droiture.
Puis ils lapidĂšrent Ătienne, il prĂȘchait contre le pĂ©chĂ©,
Il les rendit si furieux quâils lui fracassĂšrent le crĂąne;
Mais il mourut dans lâEsprit, il rendit lâĂąme,
Et alla rejoindre les autres, la foule de ceux qui avaient donné leur
vie.
Il est toujours sanglant, oui, Il est sanglant,
Cet Ăvangile du Saint-Esprit est sanglant,
Du sang des disciples morts pour la Vérité,
Cet Ăvangile du Saint-Esprit est sanglant.
Ăcoutez!
Les Ăąmes sous lâautel crient: «Combien de temps encore?»
Avant que le Seigneur punisse les malfaiteurs;
Mais il y en aura dâautres qui donneront le sang de leur vie,
Pour cet Ăvangile du Saint-Esprit et Son flot cramoisi.
Il est toujours sanglant, alléluia, Il est sanglant,
Je veux ĂȘtre lâun dâentre eux.
Cet Ăvangile du Saint-Esprit, Il est sanglant,
Du sang des disciples morts pour la Vérité,
Cet Ăvangile du Saint-Esprit est sanglant.
177 Jâaimerais partir de cette chaire mĂȘme. Amen.
Oh, comme câest merveilleux! Mes frĂšres ont donnĂ© le sang de leur vie.
Il y en aura dâautres qui feront la mĂȘme chose. Ne vous en faites pas.
LâĂ©preuve de force va venir, trĂšs bientĂŽt. Ou bien vous y entrerez, ou
bien vous sortirez. Elles sont toutes en train de sâaffilier,
maintenant, dans le Conseil des Ăglises, et elles y entrent toutes.
Elles se regroupent toutes ensemble.
Et il y en aura dâautres qui donneront le sang de leur vie,
Pour cet Ăvangile du Saint-Esprit et Son flot qui purifie.
II est sanglant, oui, II est sanglant, (Oh, alléluia!)
Cet Ăvangile du Saint-Esprit est sanglant,
Du sang des disciples morts pour la Vérité,
Cet Ăvangile du Saint-Esprit, Il est sanglant.
178 Oh! Jâai lâimpression que lâEnlĂšvement est juste
au-dessus de lâĂ©glise. Oh, je me sens tellement bien comme ça! Tous les
péchés sont sous le Sang. Voyez-vous, le Saint-Esprit aime la Parole.
Câest de la Parole que le Saint-Esprit se nourrit, voyez-vous. Oh! la
la! Il descend et vient parmi les gens, les purifie de leurs péchés,
leur enlĂšve leur maladie, leur enlĂšve le cafard. Me voilĂ ivre, aussi
ivre que je peux lâĂȘtre, ivre de lâEsprit, lâamour qui jaillit de mon
cĆur. Peu importe ce que qui que ce soit a jamais pu faire, câest
pardonnĂ©. Votre ennemi le plus acharnĂ©, câest fini. Qui que ce soit qui
ait jamais bavardé ou dit quoi que ce soit, si je⊠eh bien, je⊠tout
ça, câest parti, câest tout nettoyĂ© maintenant.
Et II est sanglant, oui, Il est sanglant,
LâĂvangile du Saint-Esprit est sanglant,
Du sang des disciples morts pour la Vérité,
Cet Ăvangile du Saint-EspritâŠ
Oh! la la! Comme câest merveilleux!
Quel moment merveilleux pour vous,
Quel moment merveilleux pour moi;
Si nous nous préparons tous à rencontrer Jésus notre Roi,
Quel moment merveilleux ce sera.
Moment merveilleux pour vous,
Un moment merveilleux pour moi;
Si nous nous préparons tous à rencontrer Jésus notre Roi,
Quel moment merveilleux ce sera.
Vous aimez ça? Tout le monde, allons-y!
Oh, moment merveilleux pour vous,
Un moment merveilleux pour moi;
Si nous nous préparons tous à rencontrer Jésus notre Roi,
Quel moment merveilleux ce sera.
179 Jâai comme lâimpression quâon a un rĂ©veil Ă
lâancienne mode dans lâĂ©glise. Pas vous? Simplement un bon vieux
nettoyage, rĂ©curage; un moment merveilleux, Ă lâancienne. Est-ce que
vous ne vous sentez pas bien? Oh!
Je Le louerai, je Le louerai,
Je louerai lâAgneau immolĂ© pour les pĂ©cheurs.
Chantons-le maintenant, tout le monde. Vous le
connaissez? Je le connais. Viens; aide-moi Ă le faire chanter, FrĂšre
Neville. Et vous, tous ensemble maintenant, levons simplement les
mains, chantez-le avec moi, maintenant, lĂ , ce matin.
Je louerai lâAgneau immolĂ© pour les pĂ©cheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,
Car Son Sang a effacé toutes les taches.
Maintenant, tout le monde, allons-y! Je Le louerai,
je Le louerai,
Je louerai lâAgneau immolĂ© pour les pĂ©cheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,
Car Son Sang a effacé toutes les taches.
Amen. Nâest-ce pas merveilleux?
Ville de perle blanche,
OĂč jâai une demeure, une harpe, une couronne;
Maintenant jâattends, je veille, je prie,
En attendant cette Ville blanche quâa vue descendre Jean.
180 Amen. Merveilleux! Oh! Maintenant levons-nous,
tous. JâespĂšre que vous vous sentez bien. Souvenez-vous des rĂ©unions de
ce soir. Maintenant nous voulons chanter notre bon vieux cantique que
nous avons lâhabitude de chanter en nous sĂ©parant.
Nous courbant au Nom de Jésus,
Tombant prosternés à Ses pieds,
Au Ciel, nous Le couronnerons Roi des rois,
Notre voyage terminé.
TrĂšs bien. Tous ensemble, maintenant. TrĂšs bien.
Nous courbant au Nom de Jésus,
Tombant prosternés à Ses pieds,
Au Ciel, nous Le couronnerons Roi des rois,
Notre voyage terminé.
Précieux Nom (précieux Nom), Nom si doux! (Nom si doux!)
Espoir de la terre, joie du Ciel;
Précieux Nom (précieux Nom), Nom si doux! (Nom si doux!)
Espoir de la terre, joie du Ciel.
181 Quelle matinée merveilleuse! Quel moment
merveilleux! Maintenant courbons la tĂȘte un petit instant. Que chacun
regarde directement Ă Christ en ce moment, votre Sauveur.
Silencieusement, je veux que vous Lui donniez les actions de grĂąces et
la louange. Dites: «Seigneur, combien je Te rends grĂąces dâavoir
sanctifié mon ùme. Combien je Te rends grùces de tout ce que Tu as fait
pour moi. Que Ton Esprit soit sur moi tout au long de la journée,
Seigneur. Guide-moi. Dirige-moi. Bénis-moi.» Que Dieu vous accorde
cette bĂ©nĂ©diction, câest lĂ ma priĂšre.
Maintenant, pendant que nous courbons la tĂȘte, FrĂšre
Neville, si tu veux bien terminer par un mot de priĂšre.
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