La Foi Est l'Assurance
1. On apprête de nouveaux appareils pour l’enregistrement.
C’est à peine si nous savons chaque soir où nous serons. C’est vrai, je pense, le… environ le troisième déplacement en l’espace de ces quatre dernières soirées. Nous avons donc, je pense, un autre déplacement demain soir. C’est ça qui rend la chose très désagréable, juste ce genre de déplacement de lieu en lieu, et alors on peut à peine… C’est juste comme un nouvel endroit chaque soir et – et cela rend la chose très difficile.
J’espère qu’un jour ou l’autre, quand je reviendrai à Oakland, eh bien, peut-être que nous pourrons obtenir quelque chose comme cet auditorium pour une ou deux semaines. C’est alors que nous pourrons avoir un vrai réveil et une véritable série de réunions. Ne le croyez-vous pas? Oui, je le crois, moi aussi.
Notre programme n’a pas été très régulier. Eh bien, je dirais ceci : Nous sommes ici juste pour une soirée ou deux, et la prochaine fois on sera à 100 miles[160km – N.D.T] plus loin. Juste au moment où nous recevons la chose, juste au moment où les gens sont établis à un point où ils peuvent commencer à voir l’action surnaturelle de Dieu, c’est alors que l’on interrompt la réunion pour aller quelque part à deux, trois, quatre cent milles [320, 480, 643km – N.D.T.] plus loin, pour recommencer; et juste au moment où les gens entrent dans l’étape du réveil où ils peuvent être guéris et où beaucoup de choses peuvent se produire...
2. Ainsi, je pense, qu’à mon retour du Canada, eh bien, avant d’aller au Mexique ou ailleurs, je pense que nous allons simplement aménager des lieux de réveils, rester un mois entier à un endroit ou quelque chose comme cela, afin de pouvoir vraiment amener les gens… Quand ils peuvent rester assez longtemps jusqu’à ce que certains pour qui l’on a prié com… commenceront à arriver et que les rapports nous parviendront, disant que les gens sont guéris, les gens sont guéris, comme cela, et les témoignages allant…
C’est comme dans ma propre ville, Jeffersonville, dans l’Indiana. Eh bien, là-bas, il n’y a rien. Oh! la la! Aussitôt que nous arrivons dans la ville, des centaines de gens affluent de partout parce qu’ils ont… ils sont… On est installé à un seul endroit; on n’est pas en mouvement comme c'est le cas maintenant.
3. Et puis, mes amis, ça fait environ six mois que je suis en déplacement jour et nuit. Aujourd’hui j’ai passé une merveilleuse journée, seul avec Dieu. Personne n’était là, sinon le Seigneur et moi. Et je deviens plus calme quand je reste seul. Maintenant, il me reste encore cinq réunions avant de prendre mon repos ; encore cinq réunions. Et puis, au mois de mai, il me faut prendre tout un mois, aller dans les Rocky Mountains [les montagnes rocheuses – N.D.T] oh! la la! où je serai, où vous recevez on dirait… J’aime être seul avec Dieu. C’est ainsi que… que je Le trouve très précieux pour moi. Et puis, je reviendrai alors pour commencer par le Canada…
4. Maintenant, nous n’avons pas beaucoup de temps. A quelle heure devez-vous fermer l’auditorium? Vingt-trois heures? Je pense qu’ils ont dit qu’ils ferment l’auditorium à vingt-trois heures.
Ainsi, ce soir, je désire vous parler juste pour… juste consacrer un peu de temps à enseigner la Parole de foi, afin que vous sachiez comment vous approcher de Dieu.
Il y a beaucoup de ces grands et profonds sujets sur lesquels les gens prétendent beaucoup connaître. Et quand on en arrive à la confrontation finale, ils n’en savent pas grand-chose. Eh bien, c’est vrai. Et nous allons découvrir quelques-unes de ces choses ce soir.
Et à propos, après demain soir, à l’autre auditorium, j’aurai à donner un petit aperçu de l’histoire de ma vie. C’est au cas où vous aimeriez l’entendre. Aimeriez-vous entendre cela? Faites voir les mains. C’est – c’est vraiment bien. Avez-vous indiqué l’emplacement de cet auditorium?
5. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]… afin que vous ayez une idée précise, car je veux que vous soyez guéris. C’est pour ça que je suis ici. Je… C’est pour moi un grand sacrifice que d’être ici, mes amis. J’ai un foyer, une famille et je suis novice, je ne suis qu’un… un bébé dans le ministère. Ça ne fait que quelques mois depuis que j’ai reçu le don de guérison.
Je n’ai pas… Je ne…?… pas propriétaire, je vis juste dans deux pièces, dans une maisonnette, en forme de L. Ma femme puise de l’eau à quelque chose comme, presque la moitié d’un pâté de maisons. Elle en ramène encore de la maison. On m’a offert de belles maisons dans d’autres villes où l’on me dit : «Je vous bâtirai une maison d’une valeur de cinq mille dollars, juste pour vous l’offrir comme cadeau.»
6. Mes amis, ce n’est pas l’argent qui m’intéresse moi. Je – je suis – j’aurais souhaité ne devoir même jamais y penser. Et c’est la raison pour laquelle beaucoup d’entre vous m’envoient… m’offrent des cadeaux, je – je ne les prends pas; parce que ce n’est pas votre – votre argent qui compte, j’ai besoin de votre confiance. Je – je suis ici pour votre guérison.
7. Et comme je le disais concernant mon petit foyer, ma femme et mes deux enfants, j’aurais – j’aurais aimé être avec eux ce soir. Juste maintenant, il est vingt-trois heures, cette petite créature fidèle est à genoux, en train de prier pour moi maintenant. Elle sait que c’est à peu près à ce moment que le service commence. Ma gentille et brave mère, elle est en train de prier pour moi. Le petit garçon dont la mère était morte alors qu’il n’avait que deux ans, est en train de prier pour moi. Et d’une façon ou d’une autre, quand je monte à la chaire, je sens que leurs prières seront exaucées. Et je sais qu’Il est ici.
Vous ne savez combien j’aimerais les voir ce soir. Quand je les quittais à l’aéroport, pour venir, il y a quelques mois, ils s’accrochaient à mon manteau et pleuraient. Le médecin qui fréquente mon église m’a dit que je ne vivrai qu’une année de plus. Il a dit qu’au rythme où j’allais, je tomberai mort de crise cardiaque un soir à la chaire. Et mon petit garçon a peur de cela, il ne fait donc que pleurer, disant : «Papa, ne pars pas.»
8. Mais il y a quelque chose qui me pousse vers les malades et les affligés. Et, mes amis, je ne peux vous aider que si vous croyez en moi; c’est le seul moyen pour moi de pouvoir faire quoi que ce soit pour vous.
J’aimerais donc être là ce soir. Vous ne savez combien j’aimerais… Beaucoup parmi vous savent ce que c’est que d’être loin de la maison, n’est-ce pas? Mais je…C’est… Je dis que c’est juste une petite cabane. Mais on n’a pas besoin d’une grande maison pour se faire un foyer. C’est le caractère à l’intérieur qui fait un foyer. Et je suis reconnaissant d’avoir un foyer.
Ainsi, que Dieu vous bénisse. Et priez pour moi et je vous en dirai davantage après demain soir.
9. Et maintenant, ce soir, mes amis, s’il vous plaît, gardez les petits enfants aussi patiemment que possible, et vous, faites de même. Accordez-moi toute votre attention juste pendant quelques instants, et je vais essayer de vous expliquer, au mieux de ma connaissance, la raison de ma présence ici ce soir, et comment vous devez vous approcher de Dieu pour recevoir votre guérison.
J’ai beaucoup souffert et je sais ce que c’est qu’être malade. Et je – je veux vous aider. Et je ne le peux que si vous croyez.
Je souhaite saisir cette occasion tout de suite… j’ai tant de choses à l’esprit, et je suis fatigué et épuisé. Mais j’aimerais remercier le ministre, son nom m’échappe, celui qui nous a permis, je pense, d’avoir cet auditorium ce soir, sacrifiant ses services, le Révérend Jack Walker. S’il est dans l’assistance, Frère Walker, que Dieu vous bénisse, mon frère, vous et votre… qu’Il fasse de vous… [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
10. … Père, nous sommes très reconnaissants de cette nouvelle occasion que nous avons ce soir de nous tenir devant Ton aimable peuple pour lui parler du jour et de l’heure où nous vivons, juste avant la venue de Ton Bien-aimé Fils pour enlever une Eglise, un peuple appelé à sortir, qui est lavé dans le Sang, né de nouveau et prêt à aller à la rencontre d’un Dieu saint, le Sang du saint Christ de Dieu leur servant de pont.
Bénis-nous ensemble ce soir, pendant que nous nous attendons à Ta Divine Présence. Et puisse l’Ange que Tu as envoyé dans la pièce cette nuit-là pour parler à Ton serviteur, la raison même de notre présence ici ce soir, puisse-t-Il se tenir à la chaire à côté de Ton humble serviteur ce soir pour confirmer chaque parole qui est prononcée. Et que de grands miracles et prodiges accompagnent cela.
Père, bénis le ministre, frère Walker, qui nous a donné cet auditorium ce soir. Que lui et les siens soient bénis. Donne-lui du succès dans Ton ministère, une branche portant du fruit. Et qu’il ait beaucoup de trophées à déposer à Tes pieds, en ce glorieux jour-là. Bénis le ministre qui a parrainé ce programme ici dans cette ville, frère Moss, tous les autres ministres, les collaborateurs. Ô Dieu, que leurs églises soient des flammes de feu, des témoignages pour la gloire de Dieu, en ces derniers et mauvais jours où nous vivons sous les ombres, juste avant la Venue du Juste.
Oh! parle au peuple ce soir, Père, d’une façon remarquable. Et qu’il y ait la foi et que le Saint-Esprit étende Ses ailes de part et d’autre de cet auditorium ce soir. Et que la vertu vienne de telle sorte que beaucoup, beaucoup de grandes guérisons miraculeuses soient accomplies, afin que Sa renommée soit répandue partout dans toutes les régions de la Côte Ouest de cet hémisphère. Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.
11. Maintenant, mes amis, comme je l’ai dit, nous nous sommes déplacés tant de fois. Je pense que beaucoup d’entre vous ici n’ont même jamais appris comment le don de guérison divine est venu. Mais la seule chose que je veux que vous fassiez ce soir, c’est de me croire. Si vous croyez, vous verrez la gloire de Dieu, j’en suis sûr. Le succès n’a pas été comme je l’espérais, dans les quelques dernières soirées, bien que les estropiés, les affligés, les sourds, les muets, les boiteux… Mais ça semble très lent, depuis que nous avons atteint la Côte Ouest.
Frère Charles Fuller me parlait quand nous étions là à Long Beach, et il m’a parlé, disant : «Frère Branham, a-t-il dit, la raison pour laquelle, a-t-il dit, cette Côte Ouest ici a tout au nom de la guérison divine, a-t-il dit, il y a des adorateurs de Blue Flame, les adorateurs de Father Divine et tout, le tout au nom de la guérison divine.» Il a dit : «C’est une grande pierre d’achoppement.» Eh bien, cela …C’est peut-être ça, mes amis, je ne sais pas ; mais cela n’empêche pas la puissance de Dieu de guérir.
12. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]…de l’adoration et le Guérisseur divin. Et maintenant, personne ne peut accomplir un miracle en Son Nom et parler de Lui à la légère. C’est ce qu’Il a dit. Si donc quelqu’un amène les gens à être guéris, j’en suis reconnaissant, mais je crois vraiment de tout mon cœur, alors que nous abordons le sujet ce soir, que vous, peut-être si Dieu nous aide, que vous saisirez la vision et vous verrez ce que sont réellement le jour et le temps dans lesquels nous vivons. Et alors, vous verrez et vous croirez.
13. Que Dieu nous aide, alors que je lis une portion des Ecritures maintenant. Là, dans l’épître aux Hébreux, au chapitre 11, nous allons commencer à lire les trois premiers versets. Ecoutez très attentivement, car mes paroles ne sont que les paroles d’un mortel, elles failliront, mais la Parole de Dieu ne faillira jamais. Elle est toujours vraie.
or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.
Pour l’avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable.
C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde à été formé par la Parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit…a… été fait de choses visibles.
C’est par la foi, qu’Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn; c’est par elle qu’il fut déclaré juste, Dieu rendant témoignage à ses dons; et c’est par elle… parle encore, quoique mort.
14. Le système de sonorisation est un peu fort… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Très bien, maintenant je pense que cela peut aller un peu – un peu mieux, en quelque sorte, cela produit un écho à partir de… Très bien.
Maintenant, je voudrais tirer mon texte du chapitre 3, plutôt du verset 3, et de la dernière… l’une des dernières phrases : «Dieu rendant témoignage à ses dons». Et maintenant, mon sujet se trouve au chapitre 1, ou plutôt au verset 1 (Excusez-moi), au verset 1 : «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.»
15. Le jour dans lequel nous vivons, c’est un jour qui est caractérisé par une paix instable et un repos instable partout. Les gens courent ça et là, cherchant tout ce qu’ils peuvent chercher. Presque tout le monde peut se faire des adeptes; peu importe ce qu’on enseigne ou ce qu’on pense, quelqu’un l’écoutera. Et c’est un jour dont les prophètes ont parlé.
Les gens, quand ils ont faim, ils mangeront n’importe où. Quand les enfants et les gens crèvent de faim, ils mangeront dans une poubelle, alors qu’avant ils mangeaient à une belle table. Mais s’ils ont faim, ils mangeront quelque part. Je pense donc que les vrais et authentiques ministres de l’Evangile devraient être à l’œuvre; ils devraient donner aux gens des bonnes choses, la nourriture au temps convenable.
16. Maintenant, mon sujet concernant… Comme je vous l’ai affirmé, je ne suis pas un prédicateur, j’ai seulement le don de guérison, que je confesse humblement provenir de Dieu. Je ne suis pour rien quant à la venue de ce don. J’étais… cela a été préordonné par Dieu il y a des années et des années. Je n’y suis pour rien… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] … la terre qui a produit cela. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
17. C’est ça la clé des Ecritures. La foi, celui qui s’approche de Dieu doit croire que Dieu existe et qu’Il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu.
C’est par la foi que ce monde a été créé. C’est par la foi que les choses ont été formées et amenées à l’existence. Dieu a simplement vu cette goûte de rosée pendre là dans les airs, peu m’importe comment vous voulez l’appeler. Et Il a tout simplement parlé et Il a dit : «Que la lumière soit.» Et la lumière fut. Et ensuite Il a manifesté la terre, Il l’a séchée et tout le reste. Tout cela a été créé par Dieu au moyen d’un acte de foi. C’est par la foi que tout l’univers a été créé.
C’est par la foi que vous êtes ici ce soir. Beaucoup d’entre vous, vous avez dit à vos employeurs que vous retournerez demain au travail. Comment savez-vous que vous le ferez? Vous avez dit à votre femme : «Je serai à la maison après le service.» Comment le savez-vous? Vous avez peut-être dit à quelqu’un de venir vous prendre en taxi à vingt-trois heures. Comment savez-vous que vous serez ici? Il se peut que vous vous retrouviez dans l’Eternité avant vingt-trois heures ce soir. Voyez? Mais tout cela, c’est par la foi. Tout, c’est par la foi.
18. Eh bien, beaucoup de gens parlent de ce sujet, la foi, mais ils n’en savent pas grand-chose. Maintenant, écoutez mes amis, je – je vous aime et je veux que vous compreniez ceci. Il y a tellement de gens qui parlent de la foi, qui ne connaissent pas un seul principe de la foi. Maintenant, nous sommes ensemble, vous et moi; peut-être que nous ne nous rencontrerons plus jamais de ce coté-ci de l’Eternité. Mais je… si j’avais un lieu où nous pourrions rester ensemble, et où je pourrais exposer progressivement la chose jusqu’au point où vous pourriez comprendre cela plus clairement que maintenant, en effet, beaucoup d’entre vous vont penser… Et vous êtes…probablement beaucoup auront de moi une fausse impression ce soir, pendant que j’essaye de mon mieux de vous apporter ceci, et vous penserez que je me glorifie, mais ce n’est pas ça, mes amis bien-aimés. C’est pour votre bien, si seulement je peux vous amener à voir ce que – ce que Dieu a fait pour vous.
19. Eh bien, certains – beaucoup de gens passent dans la ligne, et ils disent : «Oh! J’ai la foi pour être guéri.»
Et, mes amis, quand ils y passent, je sais qu’ils n’ont pas assez de foi pour guérir d’un mal de dent. C’est vrai. Et certains passent ayant le cancer, et ils disent : «J’ai la foi pour être guéri.» Ils n’ont pas la foi.
Ce soir, ma leçon sur les Ecritures c’est : La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Voyez, c’est une ferme assurance. C’est quelque chose de précis, quelque chose que vous possédez réellement. Ce n’est pas quelque chose que vous imaginez ni quelque chose que vous pensez avoir, mais c’est un acte réel et précis que vous avez. Voyez-vous ce que je veux dire?
20. Eh bien, il n’y a pas longtemps… Je vais vous raconter une petite histoire sur quelqu’un qui est venu afin que vous voyiez ce qu’est la foi. La foi est un don en soi. Vous pouvez en avoir une portion, mais il y a un don de foi.
C’est juste comme certains parmi vous qui oignent les malades, et prient pour eux, et vous obtenez un résultat. Ce n’est pas là un don de guérison, cela est une portion de foi. Mais cela n’est pas un don personnel de guérison, car il n’y a qu’un seul don personnel de guérison ; il n’y a qu’un seul don personnel de foi, il n’y a qu’un seul don personnel de – de miracles et autres. Il y en a eu dans les Ecritures, les Apôtres en avaient. Et beaucoup… ils ont fait de puissantes œuvres de… Philippe et tous les autres… Mais cela était un don de guérison.
21. C’est comme quand nous quittons la ville, comme beaucoup de gens disent… J’ai remarqué à certains endroits, après mon départ, certains d’entre eux, peut-être quinze ou vingt, disaient : «Le Seigneur m’a donné le don de guérison.» Eh bien, que Dieu bénisse leurs cœurs.
D’autres disent : «Frère Branham, voulez-vous m’imposer les mains pour que je reçoive le don de guérison?»
J’aurais souhaité le faire, j’aurais aimé faire passer chacun de vous dans cette ligne ici ce soir; et je dirais qu’il n’y aura plus un seul malade d’ici quelques semaines à Oakland. C’est vrai. Mais ce n’est pas à moi de le donner; c’est… [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
22. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Prenons cette portion de l’Ecriture «une ferme assurance des choses qu’on espère».
Il y a trois choses : L’espérance, la charité et la foi. Est-ce vrai? Eh bien, l’espérance est un élément, la foi en est un autre, et la charité en est un autre. La charité, c’est l’amour.
J’ai vu beaucoup de gens passer, des gens aimables, de vrais chrétiens, mais ils n’avaient pas assez de foi pour être guéris, et un pécheur passe et il a la foi pour être guéri. Voyez?
C’est un tout autre élément. Il ne s’agit pas de votre bonne façon de servir Dieu ; c’est un – un élément que vous possédez vous-même. Maintenant, je veux que vous compreniez ceci, parce que c’est pour votre bien.
23. Il y a quelques semaines, quelques mois plutôt j’étais chez moi pour quelques nuits. Et, oh! la la! à peu près trois cents personnes s’étaient rassemblées dans la maison et dans la cour ce jour-là, et vers deux heures du matin, ma femme m’a amené au lit. Et pendant que j’étais étendu en travers du lit, oh ! la la! – mes jambes ont eu des crampes et ont été endolories.
J’étais couché là, et j’ai entendu un véhicule s’approcher par-devant. Et j’ai dit : «Oh! la la! quelqu’un arrive.»
Et elle a dit : «Eh bien, écoute, je vais à la porte.»
Et pendant qu’elle se dirigeait vers la porte je me suis endormi.
Et j’ai entendu quelqu’un dire : «Eh bien, ça fait longtemps depuis que l’enfant est malade.» Et un petit bébé pleurait au point que ses cris n’avaient même plus rien d’humain, c’était quelque chose comme … vous qui lisez mon petit livre intitulé ‘La vision céleste’… Combien dans – dans l’auditoire ont lu cela? Voyons. La vision céleste. Voyez, quelque chose de ce genre.
Ce tout petit enfant, il avait environ huit, dix semaines. Et il était – il n’arrêtait pas du tout de pleurer. Et la mère a dit : «Eh bien, j’ai – je… nous avons voyagé toute la journée et toute la nuit pour arriver ici. Elle a dit : «Nous avons vu où il … Frère Branham devait être à la maison et nous avons amené le bébé.»
24. Oh! la la! le pauvre petit. Je ne pouvais pas dormir. Et je suis sorti là et j’ai prié pour le petit bébé. Puis, je me suis assis, et là dans le fauteuil juste un instant, je m’entretenais avec la mère. Ils venaient de loin, du Nord de l’Ohio. Et pendant que nous étions assis là, mes amis, le petit a cessé de pleurer. Il avait donc pleuré jour et nuit. Oh! Pour moi cela vaut plus que tout l’argent du monde.
Et là, j’ai jeté un coup d’œil, et la mère s’est mise à pleurer, de très grosses larmes dégoulinant sur la petite couverture. Le vieux papa, assis là en salopette, avait probablement dépensé une bonne partie de ses revenus pour venir, il s’est approché et m’a entouré de son bras, il a dit : «Je vous aime, Frère Branham.»
Oh! la la! un des meilleurs cœurs qui aient jamais battu, était sous une vieille chemise bleue. C’est vrai.
25. Il ne s’agit pas de votre façon de vous habiller; ce qui compte, c’est ce qui est en vous. C’est exact. Et là, je savais qu’il était sincère là-dessus, Ce n’était pas de l’hypocrisie. Il le disait du fond de son cœur, il m’aimait. Et j’ai regardé le petit bébé, et la mère, quand je suis entré dans l’autre chambre, elle était [Espace vide sur la bande – N.D.E.] il ne faisait que nous sourire. Et mes amis, cela vaut tout, n’est-ce pas? C’est vrai. Cela vaut tout. Et ensuite ils ont dit… Ma femme a dit : «Eh bien, je vais vous apprêter du café ou quelque chose, si vous le désirez.»
Et ils ont dit : «Eh bien, nous allons attendre un petit moment.»
Et ma femme a dit : «Eh bien, alors…»
«Je vais vous dire quoi, ai-je dit, je vais m’étendre sur ce fauteuil, et laisser la mère et les autres aller au lit pour dormir un tout petit peu.»
26. Et ainsi, nous leur avons donné un lit, et moi, je me suis installé dans un fauteuil pour essayer de me reposer jusqu’à l’aube. Et juste à ce moment-là, une autre voiture est arrivée, et un jeune homme s’est avancé jusqu’à la porte. Et il a dit : «Frère Branham?»
J’ai dit : «Oui.» Je cherchais à me réveiller.
Il a dit : «Je sais que vous avez vraiment sommeil.»
J’ai dit : «Oui.»
Il a dit, il m’a parlé, disant : «Je viens de Morengo, dans l’Indiana» Il a dit : «Ma jeune sœur se meurt de l’appendicite ; il faut qu’elle soit opérée ce matin» Il a dit : «Voudriez-vous venir auprès d’elle?»
Eh bien, cette… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… et dans ma vieille bagnole Ford, qui m’attend là à Houston, dont tout le côté était bosselé par mes genoux, à l’endroit où je cognais mes genoux comme cela, essayant de rester éveillé, pendant que j’allais prier pour les malades. Je quittais une réunion pour aller à une autre. Et je suis entré dans le champ, avec ma main hors de la portière de la voiture, disant : «Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse», profondément endormi.
Jamais je n’oublierai le jour où, venant de Houston, je – il y avait… j’ai entendu une voiture klaxonner et je me suis rendu compte que j’étais du mauvais côté de la route, seulement je ne pouvais pas me réveiller. Voyez?
J’avais passé là quinze jours et quinze nuits à prier pour les malades et voyant des choses merveilleuses. Mais, oh! la la! mes amis, si ma vie s’écourtait, quelqu’un d’autre peut-être pourra subsister, à cause de ma mort.
27. Et cet homme m’a dit, ce jeune homme, il a dit : «Ma jeune sœur…», il m’a dit qu’il était membre d’une église. Je ne mentionnerai pas le nom ici, parce que ce n’est pas indiqué, je ne critique la religion de personne. Et de toute façon, cette église est mon pire ennemi. Ils prétendent que la guérison divine et le reste, ça n’existe pas.
Et j’étais à mon église, l’église Baptiste de Milltown, où j’étais allé tenir un réveil. Beaucoup d’entre vous ont vu dans le petit livre intitulé «Jésus Christ est le même hier aujourd’hui et éternellement.»
Il y avait là une jeune fille qui pesait 47 livres [environ 25,5 kg – N.D.T], elle avait 27 ans et pesait 47 livres; elle répondait au nom de Géorgie Carter, elle avait la tuberculose, et elle était membre de cette même église. Et elle disait que, les voisins disaient : «Que…» Elle était restée couchée sur son dos, neuf ans et six mois. Et les gens disaient : «Qu’elle se rétablisse, et nous croirons cela.»
Mais, mes amis, ce soir elle est ma pianiste dans l’église Baptiste de Milltown. Mais est-ce que les gens croient? Non, même si quelqu’un ressuscitait des morts, ils ne croiraient pas.
28. Et à propos, un homme qui gisait à la morgue, déclaré mort par trois médecins au moment où je suis entré là où il se trouvait, ce soir il conduit une locomotive en Pennsylvanie, et les gens ne croient toujours pas. C’est vrai. C’est vrai. Ils ne veulent pas croire.
L’heure est arrivée où les yeux des gens sont tellement aveuglés par les soucis du monde et d’autres soucis qu’ils ne voient même pas Dieu. Il est juste au milieu d’eux et ils passent à côté, comme il en était au temps de Christ, ils ont manqué de Le reconnaître.
29. Et alors, cette dame, ou plutôt cet homme m’a demandé : «Voudriez-vous venir?»
J’ai dit : «Oui, monsieur.»
Il a dit : «Peut-être que je ferais mieux de vous y amener.»
J’ai dit : «Non, je m’efforcerai de rester éveillé.»
Et ma femme s’est mise à pleurer, disant : «Eh bien, chéri, tu vas t’endormir quelque part.»
Et je suis monté dans ma vieille voiture et je me suis mis à rouler à petite vitesse, j’ai dit : «Je vais le surveiller.» En allant, je me pinçais et me mordais les doigts, et je prenais de la salive et m’en essuyais les yeux et que sais-je encore, m’efforçant de rester éveillé. Je sais que cela a l’air très peu hygiénique, mais je – je faisais tout pour essayer d’atteindre cette enfant-là.
30. Et nous avons parcouru environ 8 miles [environ 13 km – N.D.T.] sur une vieille route, là loin, dans une municipalité rurale, et là était couchée une jeune fille âgée de – d’environ huit, dix-sept ou dix-huit ans. Et elle était couchée là dans un état terrible. Quand je suis entré dans la chambre, elle était très nerveuse et elle a demandé : «Oh! Est-ce vous frère Branham?» Elle a dit…
J’ai dit : «Croyez-vous, sœur?»
Elle a dit : «Oh! oui, je crois.»
Elle a dit : «Je – je – je crois.» Elle a dit : «Peu m’importe ce que dit mon église.» Elle était membre de la même église que Géorgie Carter.
Elle a dit : «Peu m’importe ce que dit mon église, moi je crois. Je crois.»
Et alors, ils… cet homme, le père, est venu à ma rencontre, m’a serré la main, et il … il m’a conduit vers le lit, et a dit : «Monsieur, a-t-il dit, elle va être opérée ce matin.» Et il a dit : «Elle est… Nous craignons qu’elle ne soit en mesure d’effectuer le voyage.» Il a dit : «Nous devons l’amener jusqu’à New Albany, dans l’Indiana.» Ça faisait environ 40 miles [64 km – N.D.T.] jusqu’au premier hôpital. Et elle avait environ 8 miles [environ 13 km – N.D.T.] à effectuer dans la campagne, juste oh! la la!… Juste une zone non cultivée de part et d’autre d’une clôture[en anglais «fence row» – N.D.T.], on y descend comme ça, là où des camions effectueraient presque un voyage pour y descendre. Eh bien, je – j’ai assisté et aidé dans des opérations et…
31. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] … et c’était … Je savais que cette enfant ne pouvait pas arriver à l’hôpital; qu’elle mourrait avant d’y arriver. Il se peut qu’il y ait des médecins assis ici maintenant, il y a généralement des médecins qui viennent suivre les réunions. Et son côté était enflé et avait rougi, l’appendice s’était rompu et était prêt à éclater à tout moment.
Eh bien, souvent j’ai accompagné le Docteur Adair, le médecin de notre ville, celui qui fréquente mon église. Et on faisait l’opération, et on faisait une – une incision. Et quand cela éclatait et se répandait sur la table, alors – alors, parfois, on fait sortir les intestins, et on les asperge et on les nettoie afin d’éviter la péritonite et on fait une incision en forme de V et on y installe un tube pour faire le drainage. Parfois, les gens étaient guéris.
Mais cette enfant-là ne pouvait pas… Cet appendice aurait éclaté, et elle avait encore 30 miles [48 km – N.D.T.] ou plus de route à parcourir. Et elle serait morte avant d’arriver là.
32. Eh bien, mes amis, cette jeune fille me regardait et elle a dit : «Oh!, Frère Branham, pensez-vous que je vais survivre?»
Et j’ai dit : «Je le crois.» Mais, elle a dit… j’ai lui ai demandé : «Maintenant, croyez-vous?»
Elle a dit : «oh! oui oui, je crois. Bien sûr, peu m’importe ce que mon église dit. Je – je crois. Géorgie Carter était guérie.» Elle a dit : «Moi aussi, je serai guérie. J’ai peur de l’opération.»
Voyez, juste comme cela. Des voisins s’étaient rassemblés là.
33. Maintenant, écoutez, voici où je veux en venir avec vous maintenant là-dessus. Cette fille pensait qu’elle croyait, juste comme beaucoup d’entre vous qui passerez dans cette ligne, ce soir. Vous pensez que vous croyez, mais elle ne croyait pas.
Maintenant, beaucoup d’entre vous ont des problèmes gynécologiques, et peut-être, juste l’une ou l’autre chose qui… peut-être des ulcères d’estomac. Et il vous – vous faut prendre votre… Vous avez peut-être un peu de temps.
Mais pour cette fille-là, il y avait une urgence. Sa vie était en danger. Quelque chose devait être fait. J’ai alors dit : «Sœur, je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments, mais vous – vous ne croyez pas.»
Eh bien, c’est juste comme le frère le dit ici, quand vous avez la tête haute, peu importe où vous vous trouvez dans le bâtiment… Je ne dis pas ceci, mes amis, n’oubliez pas, je vous le dis uniquement pour votre bien. Ce n’est pas moi, mais c’est Dieu. Je sais quand vous faites la grosse tête, je le sens. Que vous soyez derrière moi, où que vous soyez, c’est comme la nuit dernière, il y avait une dame assise là, derrière moi, faisant la grosse tête. Je le savais tout le temps. Ainsi donc, c’est entre Dieu et l’individu, vous voyez. Je n’y peux rien. Ils – ils font obstacle aux gens. Plusieurs fois, des choses sont bloquées.
34. Ainsi donc, cette fille a dit : «Oh! Je crois, je crois, Frère Branham.» Eh bien, elle pensait qu’elle croyait.
Maintenant écoutez, elle avait de l’espérance. Mais la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Voyez-vous ce que je veux dire?
Maintenant, j’ai dit : «Sœur, c’est un cas ordinaire, ai-je dit, je vais prendre un peu de temps et vous accorder une possibilité de recevoir peut-être une grande foi et vous en tirer grâce à cela ; mais il vous faut avoir une attention soutenue, maintenant même. Car je vais être sincère avec vous : vous ne survivrez pas jusqu’à voir l’hôpital.»
Or, les parents n’avaient pas beaucoup apprécié cela en ce moment-là. Mais je préférerais être sincère avec vous, vous faire savoir la vérité… Ne préféreriez-vous pas que je sois sincère avec vous?
Et rappelez-vous, mes amis, je ne combats pas contre la chair et le sang; c’est une puissance spirituelle. Je dois être sincère devant le Dieu Tout-Puissant. Voyez? Ainsi, étant donné que je sais le danger qu’il y a pour ma propre vie, et non seulement pour la mienne, mais pour la vôtre… Et alors, elle a dit qu’elle – qu’elle croyait, mais elle ne croyait pas.
«Eh bien, ai-je dit, maintenant, écoutez.» Maintenant, je veux que vous remarquiez ceci, et je veux que vous soyez très attentifs maintenant pour saisir chaque mot, afin que l’on puisse partager cela, un petit quelque chose que Dieu a permis là. Et je verrai si vous avez la foi. J’ai dit : «Sœur, vous n’avez pas la foi.»
Elle a dit : «Oh! Révérend Branham, j’ai la foi pour croire toute chose.»
35. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.] … Si vous avez la foi, je voudrais vous demander quelque chose pour vous démontrer plutôt que – que vous n’en avez pas.
Maintenant écoutez ceci et saisissez-en chaque parole. Il y avait dans la pièce un fil qui pendait à un chandelier, et au bout de ce fil se trouvait un petit bracelet et cela avait… C’était un bracelet blanc avec de petits objets rouges à l’intérieur et avec lequel un enfant jouait probablement, vous savez, en balançant cela dans la chambre. Peut-être que certains d’entre vous calment leurs propres enfants de cette manière-là, en balançant quelque chose autour comme cela, pour jouer avec, pour les amuser.
36. Et j’ai vu ce petit bracelet qui pendait. Il était… J’ai dit à la jeune dame, j’ai dit : «A quelle distance vous trouvez-vous de ce bracelet-là?»
Elle a dit : «Prob… à peu près à quinze pieds [quatre mètres et demi – N.D.T.] »
J’ai dit : «Maintenant, vous tous, les adultes qui êtes ici, vous tous, tournez simplement le dos vers moi.»… J’ai dit : «Eh bien, rien ne sera fait pour blesser qui que ce soit. J’ai dû simplement parler à cette fille parce qu’elle devait en fait saisir la pensée.»
Et c’est la raison pour laquelle j’aborde ces choses avec vous ce soir. Nous avons encore deux soirées et quelque chose doit être fait. Voyez-vous? Maintenant, je ne veux pas que vous alliez dire quelque chose de faux à ce sujet, car vous aurez peut-être à en répondre au jugement.
Et j’ai alors dit : «Quelque chose doit être fait tout de suite.» Et j’ai dit: «Maintenant, vous les parents, tournez simplement le dos.»
Et quelques voisins étaient assis avec elle, et ils m’ont tous tourné le dos, et ils ont tourné leurs chaises. Je me suis adressé à la jeune dame, j’ai dit : «Maintenant, vous m’avez dit que vous avez la foi pour tout croire.»
Elle a dit : «Oui, monsieur.»
«C’est depuis quand que vous avez mangé?»
Et elle a dit : «A peu près trois jours.» Elle a dit : «Je ne peux même pas garder l’eau dans mon estomac.»
Et vous connaissez ce que c’est que l’appendice, et elle faisait aussi la fièvre.
37. Et j’ai dit : «Maintenant, si vous croyez de tout votre cœur et que vous me prouvez maintenant que vous avez la foi… Maintenant regardez tout droit à ce bracelet ;» et ça pendait là à mi-hauteur, «et faites balancer cela sans arrêt dans la pièce. Faites donc balancer cela d’avant en arrière dans cette pièce, et puis arrêtez-le. Et je croirai que vous avez la foi.»
Elle a dit : «Oh! Frère Branham, a-t-elle dit, oh! la la! pourquoi me demandez-vous pareille chose?»
J’ai dit : «Je voulais voir si vous aviez la foi.»
J’ai dit : «Jésus a dit : ‘Tout est possible si vous croyez’.»
38. Eh bien, mes amis, ça c’est de la foi pure. Les magiciens utilisent souvent cela pour jouer des tours et tout, faire éclater des verres et tout. Cela s’accomplira si vous croyez. Mais j’essaye de fonder votre – la pensée sur la foi, afin que vous sachiez de quoi je parle. Et je veux que vous restiez maintenant tranquilles, pour comprendre cela. Réveillez-vous afin que, quand j’aurai terminé avec ceci, vous sachiez ce qu’il en est.
39. Alors elle a dit : «Eh bien, Frère Branham, personne ne peut faire ça.»
J’ai dit : «Oh! si, tout celui qui croit le peut.»
Et elle a dit : «Eh bien, je ne crois pas que quelqu’un puisse faire cela.»
J’ai dit : «Je pensais que vous aviez dit que vous croyiez pour toutes choses.»
Voyez-vous comment elle s’est fait prendre là même? J’ai dit : «Vous avez dit que vous croyiez toutes choses. Je veux que vous le prouviez.»
Et elle a dit : «Je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un qui puisse faire cela. Ça, c’est matériel, Frère Branham.» Elle a dit : «Pouvez-vous le faire?»
J’ai dit : «Oui, madame.»
Et elle a dit : «Eh bien, puis-je vous voir faire cela?»
J’ai dit : «Si vous le voulez.»
Elle a dit : «Je le veux bien.»
40. Alors évidemment, fixant ma pensée sur cela, j’ai amené la jeune fille à regarder à cela, et non pas moi. Comme souvent dans une réunion, je peux prendre n’importe quel enfant qui louche, qu’il y a dans cette réunion, vous l’amenez ici, et sans même prier pour lui, vous me laissez le regarder simplement droit dans les yeux comme cela, je ferai que ses yeux deviennent droits. Mais dès que je tourne la tête…[Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
41. J’ai utilisé cela comme exemple. Elle est rentrée, elle a pensé qu’elle n’allait plus revenir dans la ligne, elle devait faire deux ou trois jours avant qu’elle entre. Mais quand elle est revenue cette fois-là, elle a dit : «Frère Branham, vous m’avez dit de revenir dans la ligne.»
Il y a des centaines de gens entassés partout, debout dans le… très tôt le matin, elle est arrivée tout trempée, elle est entrée pour qu’on prie pour elle. Et alors, quand Dieu a guéri ses yeux là, que les deux yeux étaient devenus droits et qu’elle était normale, elle s’en est allée en se réjouissant. Voyez? C’est là la différence entre votre foi et la foi de Dieu.
42. Eh bien, et puis naturellement, en fixant mes yeux sur ce bracelet – ce que vous pouvez faire vous-même, si vous ne doutez pas de cela dans votre cœur – ça s’est mis à tourner. Et puis, ça s’est balancé d’avant en arrière, tout autour, en diagonale, et je l’ai arrêté.
Elle a dit : «Frère Branham, a-t-elle dit, ça c’est du spiritisme.» [Frère Branham rit. – N.D.E.]
J’ai dit : «Je – je pensais que peut-être vous alliez dire quelque chose de ce genre.» Oh! la la! N’est-ce pas étrange que des gens qui professent connaître Dieu connaissent si peu de choses à Son sujet? N’est-ce pas vrai?
Elle a dit : «Vous savez, nous sommes membres de l’Eglise de Christ.»
Excusez-moi, je ne voulais pas mentionner cela. Excusez-moi, vous de l’Eglise de Christ, je ne voulais pas mentionner cela. Voyez? De toute façon, elle a dit : «Nous parlons là où la Bible parle et nous nous taisons là où la Bible se tait.»
Vous savez que vous avez ce slogan. J’ai remis cela en question quelques fois.
J’ai dit : «Très bien.»
Elle a dit : «On ne peut pas trouver pareille chose dans la Bible, au sujet d’une telle chose.»
J’ai dit : «Je – je pensais que c’est ce que vous diriez.» J’ai dit : «Certainement, cela se trouve dans la Bible.»
Et elle a dit : «Eh bien, jamais je… je ne crois pas cela.»
«Très bien, ai-je dit, vous ne croyez pas cela?»
Elle a dit : «Non, montrez-moi où ça se trouve dans la Bible.»
43. J’ai dit : «Un jour, Jésus passait près d’un arbre, Il a voulu y trouver des fruits. Il n’y avait pas de fruit. Il a maudit l’arbre, et cela s’est mis à sécher. Et quand Ils sont passés par-là à midi, l’arbre séchait. Pierre a remarqué cela et il a dit que l’arbre avait vite séché. Il a dit : ‘Si vous dites dans votre cœur que cet arbre soit déraciné et jeté dans la mer et que vous n’en doutiez pas, il vous obéira.’» A-t-Il dit cela?
Et j’ai dit : «Il a dit : ‘Si vous dites à cette montagne, ôte-toi de là et que vous ne doutiez pas dans votre cœur, cela s’accomplira aussitôt !’ Est-ce qu’Il l’a dit?» Certainement, Il l’a dit.
J’ai dit : «Je sais que votre pasteur qui ne croit pas, cherchant à justifier son incrédulité, a dit qu’il s’agissait d’une montagne de péché. Je – je suis allé moi-même à l’école, il était à genou près du Mont des Oliviers. C’était le Mont des Oliviers. Si vous dites dans votre cœur que cela soit déplacé, et que vous n’en doutiez pas…» J’ai dit : «La foi de quelle dimension?»
Et Il a dit : «Si vous aviez la foi de la grosseur d’un grain de sénevé…»
J’ai dit : «Maintenant, si la foi de la grosseur d’un grain de sénevé peut déplacer cette montagne, combien plus petite doit être la foi qu’il vous faudrait avoir pour mettre en mouvement ce bracelet?»
44. Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, je me suis souvent demandé pourquoi Il a parlé du grain de sénevé. Je pourrai lâcher cette pensée. Le grain de sénevé est la plus petite de toutes les semences. C’est vrai. Mais rien ne peut se mélanger avec le grain de sénevé. C’est entièrement le sénevé. Vous ne pouvez pas mélanger cela avec le chou frisé ni rien et faire croître cela. C’est entièrement du sénevé. Si vous avez autant de foi que ça, entièrement la foi, sans qu’elle soit mélangée avec autre chose, demandez ce que vous voulez ; cela vous sera accordé. Mais ça ne doit pas vaciller, ça doit être l’authentique sénevé, si vous savez de quoi je parle.
Très bien, et j’ai dit : «Combien plus en faut-il?»
«Eh bien, a-t-elle dit, écoutez, j’aimerais vous poser une question» Elle a dit : «Est-ce Dieu qui a bougé cela ou est-ce le diable qui a bougé cela?»
J’ai répondu : «Ce n’est ni l’un ni l’autre qui a bougé cela.»
Elle a dit : «Comment donc cela a-t-il bougé?»
J’ai dit : «C’est moi qui l’ai bougé.»
Elle a dit : «Eh bien, vous êtes à une distance de 15 pieds [environ 5 mètres – N.D.T] de cela, ou plus.»
J’ai dit : «Non, c’est ma foi qui a bougé cela.» Voyez? Si vous demandez quelque chose et que vous n’en doutiez pas… Voyez-vous ce que je veux dire?
45. [Un grincement se fait entendre. – N.D.E.]… la foi, mais vous avez le libre arbitre ; vous êtes un être humain. Vous pouvez ne pas aimer cela dans votre cœur, et je ne pourrai pas vous toucher si vous le faisiez.
Jésus ne pouvait pas accomplir beaucoup d’œuvres puissantes à cause de quoi? [L’assemblée répond : «de l’incrédulité» – N.D.E.]. C’est vrai. Voyez-vous combien les gens en savent peu au sujet de… combien les gens en savent peu au sujet de la foi? C’est étonnant, mes amis, de voir combien les gens en savent peu. Ils en parlent trop et pourtant ils en savent si peu.
46. Et puis, elle a dit : «Eh bien, voulez-vous donc me dire que… Qu’est-ce que cela a à voir avec Dieu, quel rôle, là?»
J’ai dit : «Maintenant écoutez, il y a eu un Ange qui est descendu dans la pièce et m’a dit que jadis, bien avant ma naissance, j’ai été prédestiné à avoir un don de guérison divine. Et Il est venu me dire une nuit dans la pièce que Dieu avait envoyé le don, et que c’était un don de guérison divine pour le peuple. Et si je pouvais amener les gens à me croire (à me croire) et que j’étais sincère dans ma prière, rien ne résisterait à la prière.»
J’ai dit : «Par conséquent, ayant parlé face à face avec cet Etre surnaturel, je crois cela de tout mon cœur. Et si je peux vous amener à me croire de tout votre cœur, c’est ce qui amène Dieu en action et alors vous êtes guérie. Votre foi vous a sauvé.» Voyez-vous ce que je veux dire? Votre foi pour croire vous a sauvé. Pas ce que vous vous êtes fabriqué et que vous vous êtes imaginé, mais ce dont vous êtes vraiment sûr, une démonstration même des choses qu’on ne voit pas. Voyez-vous ce que je veux dire?
Alors la jeune fille a dit : «Frère Branham, je sais certainement qu’il y a quelque chose à un niveau élevé que je n’ai jamais atteint.» Elle a dit : «J’essayerai de tout mon cœur, et que Dieu ait pitié de moi.» Elle a dit : «Que je croie.»
Et j’ai alors saisi sa main. Il y a eu une vibration émanant de cet appendice rompu, j’ai prié pour elle et cela s’est arrêté immédiatement. J’ai dit : «Que Dieu vous bénisse, sœur. Maintenant, votre foi vous a sauvée.»
47. Quelques instants plus tard, j’étais assis dans le fauteuil, et je me suis endormi. Le soleil se levait, j’ai dû me reposer juste un peu avant de rentrer à la maison, parce que je craignais de – de craquer quelque part en route et de faire un accident. Et j’étais assis là, ils ont appelé l’ambulance et ils leur ont dit que ce n’était plus nécessaire. Quand j’ai été – j’ai été réveillé par l’un des membres de la famille, eh bien, la fille avait quitté le lit et avait pris un demi-litre de glace. Et la … Elle n’a plus jamais été opérée depuis lors. Elle se tenait sous la véranda et me disait au revoir d’un signe de la main. Elle a dit : «Au revoir, Frère Branham.» Son témoignage a été publié dans le «Herald of Truth» [Le Héraut de la Vérité – N.D.T.] il n’y a pas longtemps. Madame Edith Wright, à – à Milltown, ou à Depaw, dans l’Indiana, c’était elle là – là.
48. Très bien. Bon, vous voyez ce qu’est la foi. C’est quelque chose…Maintenant, écoutez, amis ; je sais que vous tous vous êtes… au moins vous savez ceci : Ce corps est dirigé par cinq sens. Est-ce vrai? Très bien, il a cinq sens, c’est tout ce qui dirige ce corps humain. Maintenant, écoutez très attentivement, et accordez-moi votre attention maintenant. Le sens, cinq sens, est-ce vrai? La vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe, est-ce vrai? Ces cinq sens dirigent tout le corps humain. Est-ce vrai? La vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. Or, aucun d’eux ne manifeste la foi. La foi est le sixième sens, que certaines personnes connaissent, (comme vous aimez appeler cela), comme de la télépathie mentale ou – ou tout ce que vous voulez ou souhaitez appeler cela, beaucoup de noms injurieux, mais pour moi c’est la foi. Et cela est au-dessus de tous les cinq sens du corps humain. Voyez-vous ce que je veux dire? [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]… grand…
La foi est le seul sens précis et sûr, et c’est le sixième sens. La foi est plus que la vue. La foi est plus que le toucher. On ne touche pas la foi. On ne goûte pas la foi. La foi n’a pas d’odeur. On ne voit pas la foi. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.
49. Tenez, voyez-vous cette Bible? Maintenant, j’ai besoin de cette Bible. Maintenant, je la regarde. Maintenant, j’en ai besoin. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles que je ne vois pas. Voyez-vous ce que je veux dire?
Ici dans ma poche, je pense avoir un vieux canif Barlow que je porte depuis des années. Maintenant, je ne vois pas ce canif. Je ne touche pas ce canif, je ne goûte pas ce canif. Je ne le sens pas. Mais je sais que ce canif est là-dedans. Comment le savez-vous? C’est parce que je crois qu’il est là-dedans. Maintenant, si cela ne s’y trouve pas, la foi l’y mettra, s’il n’y est pas.
Cela vous suffoque [L’assemblée rit. – N.D.E.] je le sais. Mais – mais c’est vrai. Si vous croyez, tout est possible. Vous avez peur de recevoir Dieu, mes amis, vous avez peur. Maintenant, il se peut que j’aie laissé ce canif là sur la commode, là où je me suis changé il y a quelque temps. Mais tout aussi sûr que cela, si ce canif est sur cette commode en ce moment même, si je le crois de tout mon cœur, il se retrouvera dans ma poche. Cela vous suffoque. Mais Dieu est capable de le mettre là, si vous le croyez.
50. Tenez. J’aimerais vous montrer quelque chose. Venez ici, Révérend Kidson. Est-ce bien, sœur Marse? [Quelqu’un répond : «Oui.» – N.D.E.] Voudriez-vous vous lever juste un instant? Je veux vous montrer quelque chose, mes amis. Tenez-vous juste ici. Et ne vous en faites pas, ce n’est pas pour vous donner en spectacle, sœur, mais c’est pour la gloire de Dieu.
Maintenant, écoutez, mes amis, je veux vous montrer quelque chose. Je crois qu’il y a une – une femme debout devant moi. Pouvez-vous me dire que je suis dans l’erreur? [Frère Kidson réplique : «Vous ne…» – N.D.E.] Mais… [Vous n’entendez pas de femme? – N.D.E.]
Non, je n’entends aucune femme.
[Vous ne touchez aucune femme? – N.D.E.]
Non, monsieur.
Ne savez-vous pas comment je sais qu’il y en a une là?
[Vous ne goûtez aucune femme? – N.D.E.]
Non.
[Comment pouvez-vous dire qu’il y a là une femme? – N.D.E.]
«C’est parce que le sens de la vue me dit que je vois une femme.»
[«Hum! eh bien, en êtes-vous sûr?» – N.D.E.]
«Je suis certain qu’il y a une femme là debout. Croyez-vous que j’ai raison?»
[Oui. – N.D.E.]
Auditoire, croyez-vous que j’ai raison?
Eh bien, est-ce possible que je sois dans l’erreur? Oui. Chacun de nous peut être aveuglé, selon notre vue. Il se peut que ça soit une vision. Ne l’oubliez pas, les cinq sens du corps ne sont pas si certains. La foi est sûre.
51. Maintenant, je sais néanmoins qu’une femme se tient là, car le sens de la vue me dit qu’une femme se tient là. Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, vous pensez que vous pouvez m’en dissuader, me dire qu’il n’y a pas de femme là debout. Essayez-le donc une fois. Essayez de me dire que je ne vois pas une femme qui se tient devant moi. Pensez-vous que vous pouvez m’en dissuader? Non, non, car je sais que ce sens de la vue est certain, et je regarde cette femme, et je sais qu’elle se tient là. Pourtant tout ce que je sais, c’est par le sens de la vue.
Maintenant, j’aimerais que vous observiez. Maintenant, je vais fermer les yeux. Maintenant, j’ai senti la main d’une femme. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
52. Je peux dire que c’est une femme. Elle porte un chapeau de femme. Elle a une chevelure de femme; c’est une main de femme. Je sais que c’est une femme, parce que je la touche. Pensez-vous que vous puissiez m’en dissuader?
[Non. – N.D.E.]. Hein? C’est certain, je le sais, que c’était une femme. Je lui ai tourné le dos, mais je sais pourtant que c’est une femme. Voyez-vous? C’est parce que le sens du toucher me dit qu’il y a une femme là. Voyez-vous ce que je veux dire?
Eh bien, la vue me dit qu’il y en avait une là en ce moment. Je ne la touche pas. Ça c’est le sens de la vue. Je sais qu’elle se tient là, parce que je la regarde.
Je ferme les yeux. Je sais qu’elle se tient là maintenant, parce que…non pas parce que je la vois, parce que je touche sa main. Je sais qu’elle se tient là. Je ne la vois pas, et pourtant je la touche. Le sens du toucher déclare qu’une femme se tient là. Voyez-vous ce que je veux dire?
53. Maintenant, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration, voyez-vous? C’est sûr et certain, tout aussi sûr que ma vue, tout aussi certain que mon toucher… C’est une démonstration des choses qu’on ne voit pas. C’est tout aussi sûr que ça. Voyez-vous ce que je veux dire?
Il y a tellement des gens qui cherchent à s’enthousiasmer et ils disent : «Je… j’ai la foi.» Mais, mes amis, elle n’est pas là. Si elle était là, elle réagirait, voyez-vous? Comprenez-vous ce que je veux dire?
54. Maintenant, écoutez… Merci, Sœur Marse, que Dieu vous bénisse.
Maintenant, écoutez. Eh bien, j’ai vu la femme, mon sens de la vue a déclaré qu’elle était là. Je savais donc qu’elle était là par le sens de la vue. J’ai fermé les yeux. Je n’ai pas utilisé la vue. Je l’ai alors touchée, et le sens du toucher a déclaré qu’elle était là. Le sens du toucher était tout aussi certain que le sens de la vue, parce que c’était une démonstration certaine.
Or, la foi est une démonstration certaine des choses qu’on ne voit pas, qu’on ne touche pas, qu’on ne goûte pas, qu’on ne sent pas et qu’on n’entend pas. Maintenant, regardez ici. Je vais fermer les yeux maintenant. Regardez.
55. C’était du jus d’orange. [Frère Kidson dit : «Vous ne voyez pas d’oranges.» – N.D.E.]
Non, monsieur.
[Vous n’entendez pas d’oranges. – N.D.E.]
Non, Monsieur.
[Vous ne touchez pas d’oranges. – N.D.E.]. Non, monsieur. [Vous ne sentez pas l’odeur des oranges. – N.D.E.]
Non, monsieur.
[Qu’est-ce qui vous fais penser que c’est une orange?]
C’est parce que j’ai goûté cela.
[Etes-vous sûr? – N.D.E.]
Je suis sûr que c’était du jus d’orange. Cela ne pouvait pas être du citron, cela ne pouvait pas être du raisin, cela ne pouvait pas être de la pamplemousse. C’était le jus d’orange, de par le sens du goût. Je – je n’en ai pas senti l’odeur, je n’ai pas entendu cela; je ne l’ai pas touché, je ne l’ai pas vu, et pourtant le sens du goût m’a fait savoir que c’était du jus d’orange. Pensez-vous que j’ai raison? [Vous avez raison. – N.D.E.]
Certainement, c’est du jus d’orange. Eh bien, le sens du goût a confirmé que c’était du jus d’orange. Maintenant, vous pouvez beau me dire que c’était de l’eau, je sais que c’est du jus d’orange. J’ai goûté cela. Voyez-vous? Vous pouvez aussi le goûter. Et si vous avez le sens du goût, vous le reconnaîtrez aussi. Et si vous avez la foi, vous saurez exactement de quoi je parle.
Maintenant, regardez encore ici. Maintenant, regardez ici. Je sens l’odeur du parfum. C’est le parfum.
[Frère Kidson dit : «Vous ne voyez pas cela.» – N.D.E.]
Je ne vois pas de parfum.
[«Vous ne l’entendez pas.» – N.D.E.]
Je n’entends pas le parfum.
[Vous ne goûtez pas cela. – N.D.E.] Je ne goûte pas cela.
[Vous ne touchez pas cela. – N.D.E.] Non. [«Qu’est-ce qui vous fait penser que c’est du parfum?»] Parce que j’en sens l’odeur. [«Amen.» – N.D.E.] C’est vrai. Le sens de l’odorat me fait savoir que le parfum était sous mon nez. [Une rayure se fait entendre – N.D.E.]
…moi? Essayez-le. Très bien, je sais que c’était du parfum. Je n’ai pas vu cela, n’est-ce pas? Ai-je vu cela? J’avais les yeux fermés. Ai-je goûté cela? Non, je n’ai pas mis cela dans la bouche. Ai-je touché cela? Je n’ai point posé mes mains dessus, ni rien d’autre. Comment ai-je alors su cela? Ai-je entendu cela? Non, j’ai senti l’odeur de cela, et c’était une démonstration certaine que c’était du parfum. Je sais cela. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
56. [Musique de fond – N.D.E.] Maintenant… [Frère Kidson dit «…Vous ne touchez pas la musique.» – N.D.E.] Non, monsieur. [Vous ne goûtez pas la musique. – N.D.E.]
Non, monsieur. [«Eh bien, qu’est-ce qui vous fait penser que c’est de la musique?» – N.D.E.]
J’entends cela et je sais que c’est de la musique.
[«En êtes-vous sûr?» – N.D.E.]
J’en suis sûr. La dame est en train de jouer Crois seulement. Pensez-vous que je dis la vérité?
[Vous dites la vérité – N.D.E.]
Essayez de m’en dissuader! Je ne vois pas cela. Je ne goûte pas cela. Je ne touche pas cela. Je ne sens pas l’odeur de cela. Mais j’entends cela. Est-ce que j’étais sûr? Suis-je sûr d’avoir raison? Pourquoi?
57. Maintenant, il y a les cinq sens du corps. Eh bien, ils sont sûrs, n’est-ce pas? Vous savez quand ils fonctionnent, vous le savez. Maintenant, vous regardez un auditoire. Vous savez que vous me regardez.
Eh bien alors, mes amis, la foi… Voilà! La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas; elle est sûre. Vous savez cela. Il n’est pas nécessaire que quelqu’un vous dise quelque chose de plus à ce sujet. Elle est tout autant manifeste que n’importe lequel de ces cinq autres sens du corps. Savez-vous ce que je veux dire? Combien ont maintenant une idée générale de ce que je veux dire? Faites voir les mains. Voyez, voyez?
58. Ce n’est pas ce que vous essayez de vous faire croire vous-même. Maintenant, par exemple, j’essaye de me faire croire que j’entends de la musique. Je – je ne peux pas y arriver. Puis-je me faire croire que je suis en train de sentir l’odeur du parfum? Ça n’y est simplement pas. Je dois absolument sentir cela. Voyez-vous ce que je veux dire?
Et la foi est sûre à ce point. C’est un acte de certitude. Vous savez cela. Oh la la ! j’espère que vous voyez cela, ce que je veux dire.
59. Voyez, c’est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. On ne voit pas cela. On ne goûte pas cela. Quelqu’un dira : «Je ne me sens pas mieux.»
Eh bien, qu’a-t-il? Pourquoi ne vous sentez-vous pas mieux? Si vous avez la foi, qu’il vous soit fait selon votre foi. Est-ce vrai? Voyez?
Peu importe comment vous vous sentez, vous êtes guéri de toute façon. Peu importe ce que vous voyez, vous êtes guéri de toute façon. Voyez-vous ce que je veux dire? C’est un – vous savez cela. Rien ne peut ôter cela de votre cœur. Vous savez cela. C’est un fait réel là même. Oh! la la!
Si seulement vous pouviez voir cela, mes amis, quelque chose arriverait. Si seulement vous pouviez savoir de quoi je parle, quelque chose réagirait à l’instant même. Voyez? C’est sûr. Cela est bel et bien là, tout aussi certain que le sont ces cinq autres sens. Ces derniers relèvent de l’homme naturel. La foi est de Dieu. L’homme naturel peut se tromper, mais pas Dieu. Oh! la la!
60. Bien, cela nous ferait crier. Pensez-y. Et les gens me disent qu’ils ont la foi, mais ils disent qu’ils ne peuvent pas croire à la guérison divine. Mes amis, si vous ne croyez pas à la guérison divine, vous êtes perdus. C’est vrai. Comment allez-vous – si vous ne pouvez pas avoir assez de foi pour que Dieu rapièce ce corps afin de Se glorifier dedans, combien plus de foi vous faudra-t-il avoir pour croire que Dieu prendra ce vieux corps mortel pour le rendre immortel et l’enlever? C’est une véritable guérison divine. Oh! la la! Il y aura de graves déceptions au jour du Jugement, à la résurrection, c’est vrai.
61. La foi… Nous devons en arriver au point où nous serons enlevés comme Enoch. C’est vrai. Il avait reçu la foi, le témoignage, selon lequel cela était agréable à Dieu. Enoch n’avait-il pas… Notre prochain passage des Ecritures dit qu’Enoch avait eu un témoignage par la foi, comme quoi il était agréable à Dieu. Est-ce vrai? Et la Bible dit : «Sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu.» Ainsi, vous devez avoir le même genre de foi pour croire et être sûr. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
62. Un don de guérison... pas un don de miracle, bien que cela soit accompagné de beaucoup de miracles. Mais c’est un don de guérison, les gens sont guéris. Ils sortent, on prie pour eux, ils reviennent. Oh! la la! ils sont guéris. Attendez que je quitte la ville, mes amis. Longtemps après mon départ, vous entendrez des gens venant dans vos églises dire : «Eh bien, ce cancer, c’est parti.» Cette – cette surdité que j’avais – eh bien, je – j’entends maintenant.» «Mon affliction, eh bien, cela m’a simplement quitté!»
63. C’est juste la simplicité de … Ce n’est pas quelque chose que vous pouvez faire par excitation. Il ne s’agit pas de l’excitation. Je vois les gens venir dans la ligne, ils se mettent simplement à s’agiter. Ils disent : «Ô Dieu, alléluia! Amen ! Gloire à Dieu!» Ne faites pas cela. Vous gênez la foi, là. Vous gênez Dieu. Approchez-vous avec respect et levez simplement la main et croyez. C’est tout. La foi, vous ne vous excitez pas pour cela. La foi est quelque chose qui est déjà dans votre cœur. Venez simplement et croyez. Voyez-vous ce que je veux dire?
Oh! mes amis! oh! la la! je vous aime. Je ne vous parlerais pas si directement si je ne vous aimais pas; mais je vous aime trop pour vous voir manquer ça. Voyez-vous? Vous – vous devez comprendre.
64. Et maintenant écoutez, maintenant venons-en très vite à mon texte afin que nous puissions nous dépêcher. Dieu a rendu témoignage à l’offrande d’Abel. Dieu rend toujours témoignage à ses dons. Est-ce vrai?
Maintenant, je veux que vous remarquiez que lorsque les enfants d’Israël étaient en esclavage pendant 420 ans, là en Egypte, amenés là par Joseph, quand ils étaient descendus… Peu après, il s’est levé un Jo… ou plutôt un Pharaon qui n’avait point connu Joseph. Et alors le peuple est entré dans l’esclavage. Et ils ont eu à construire des maisons en pailles, des briques, du matériel en paille, et en chaume. Et alors, ils se sont mis à réclamer à grands cris un libérateur auprès de Dieu. Est-ce vrai? Et ils ont crié et crié. Et Dieu avait préordonné un libérateur (Est-ce vrai?), Moïse.
65. Et quand Moïse a atteint l’âge de maturité, il est sorti et a vu deux Egyptiens maltraiter un Hébreu, et il a tué les Egyptiens et les a enterrés. Et le lendemain, quand il a rencontré des Hébreux qui se battaient, ils lui ont dit : «Eh bien, veux-tu nous tuer comme tu as tué l’Egyptien?» Maintenant écoutez, soyez tranquille.
Moïse, le libérateur même, le don de Dieu au peuple, ils ne l’ont pas compris. Voyez-vous ce que je veux dire? Ils n’ont pas compris Moïse. Et Moïse se disait qu’assurément ils comprendraient qu’il était le don qui leur était envoyé pour les délivrer. Mais ils ne l’ont pas compris.
Et maintenant, les amis, ne me comprenez pas mal. Puis-je dire ceci avec révérence dans mon cœur, sachant que je vais dans l’Eternité, que je comparaîtrai un jour en Jugement? Des milliers de gens manquent de reconnaître leur don. Voyez-vous? Ils ne peuvent pas comprendre cela. Et ils regardent et disent : «Oh! ce n’est qu’un homme.»
C’est vrai. Etait-ce Dieu ou Moïse qui a délivré le peuple? C’était Dieu en Moïse, voyez? Ils ont réclamé le libérateur, et quand Dieu leur a envoyé le libérateur, ils ont manqué de reconnaître cela, parce que c’était par un homme. Mais ce n’était pas un homme; c’était Dieu dans l’homme. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
66. … qui habite en Moi, est Celui qui fait les œuvres.» Vous voyez? Mais il était le don de Dieu pour le monde. Dieu L’a donné pour vous et moi. N’êtes-vous pas heureux de cela? Ecoutez, c’est Dieu qui L’a donné.
Eh bien alors, les gens qui croient que c’est Dieu qui L’a donné, peuvent être sauvés. Mais ceux qui ne le croient pas, ne peuvent pas être sauvés. Est-ce vrai?
Et il n’y a pas du tout d’autre moyen pour entrer dans le Royaume, excepté par Lui. Est-ce vrai? Eh bien alors, si vous le croyez, vous pouvez être sauvé. Mais si vous ne croyez pas cela, vous ne pouvez pas être sauvé, parce qu’Il est le don de Dieu.
Ecoutez, les Ecritures déclarent : «Nul… Nous savons que Dieu était avec Christ, car nul ne pouvait faire les œuvres qu’Il faisait si Dieu n’était avec lui.» Est-ce vrai? Alors, qu’était-ce? Dieu rendait témoignage que c’était Son Fils unique. Est-ce vrai? Dieu rendait témoignage de cela; Il a dit : «Celui-ci est Mon Fils.» Il a dit : «Si vous ne Me croyez pas, croyez à cause de ces œuvres mêmes.» Est-ce vrai? Il a dit : «L’homme rend témoignage de lui-même», vous savez ce que disent les Ecritures, «mais si – s’il rend témoignage et que ce qu’il dit n’est pas vrai, alors ne Me croyez pas. Mais si Je rends témoignage et que ce que Je dis est vrai, Mon Père en rendra témoignage.»
Et si je vous parle d’un don de guérison divine et que Dieu n’en rende pas témoignage, laissez ça de côté. C’est faux. Mais si Dieu rend témoignage de ça, croyez que c’est le don de Dieu pour vous. C’est vrai. Voyez-vous ce que je veux dire?
67. Je n’aime pas devoir apporter ceci comme ça, mes amis, mais j’espère que vous lisez cela entre les lignes. Remarquez donc. Voyez, c’est le don de Dieu. Après que Jésus – quand Il est parti… Il a été enlevé. Beaucoup de gens sont venus à Jésus sans jamais être guéris. Il a prié pour beaucoup sans qu’il y ait des résultats, parce qu’ils ne croyaient pas. Ils ne croyaient pas qu’Il était le Fils de Dieu. Ils disaient : «Eh bien, Il se fait Lui-même Dieu! Il pardonne les péchés sur la terre : Un blasphème!» Ne voyez-vous pas?
Ils ont dit cela d’Elie. Ils ont dit la même chose de Moïse. «Eh bien, nous aurions aimé mourir là en Egypte plutôt que d’être amenés ici pour mourir de faim dans le désert.»
Voyez, le messager de Dieu a toujours été rejeté. Vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas? J’espère que vous le savez, mes amis. Que Dieu bénisse vos cœurs. Je – je veux que vous compreniez cela, mes amis.
68. Eh bien, ils ont donc eu besoin d’un Sauveur. Dieu a envoyé Christ au monde comme Sauveur.
Ensuite, après que Jésus s’en est allé, beaucoup parmi le peuple bien-aimé de Dieu étaient malades et affligés. Dieu a donné à Pierre le don de guérison divine. Maintenant cela…, les gens étaient guéris parce que Dieu rendait témoignage au don de la guérison divine qui était en Pierre, tout comme Il a rendu témoignage qu ‘Elie était le prophète, que Moïse était le libérateur, que Christ était le Fils. Il en a rendu témoignage au travers de Pierre qu’Il était le guérisseur. L’a-t-Il fait? Et les gens ont eu une idée. Et ils rassemblaient même une foule de gens de sorte que Pierre ne pouvait pas prier pour chacun d’eux, et eux savaient que cet apôtre était le don de Dieu pour eux. Et il ne leur a jamais serré la main, en disant : «Que Dieu vous bénisse.» On faisait sortir les gens du bâtiment, on les étendait dans la rue, afin que même l’ombre de Pierre puisse passer sur eux et qu’ils soient guéris. Est-ce vrai? Pourquoi? C’est parce qu’ils savaient que Pierre était le don de guérison envoyé au peuple par Dieu. Oh! J’espère que vous comprenez cela, mes amis; écoutez. Vous voyez, c’était le don de Dieu. Mais alors, j’aimerais vous poser une question. Est-ce Pierre qui accomplissait la guérison? [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
69. Dieu n’est pas dans des objets matériels. Dieu est dans les hommes. Le Saint-Esprit n’est jamais tombé sur des organisations, il est tombé sur des hommes. Et aujourd’hui, tant de gens disent : «Ils ne sont pas de ma foi.» Eh bien, si vous êtes de la foi de Christ, c’est tout pareil. Dieu ne s’occupe pas de… votre organisation ne vaut pas ça pour Lui. Et les gens atteignent un point où c’est tout simplement un grand milieu organisé. Et cela – c’est la raison pour laquelle j’ai préféré tenir cela dans un auditorium.
Si c’est dans une – une église des unitaires, les trinitaires ne voudront pas venir. Si c’est dans une église des trinitaires, les unitaires ne voudront pas venir. Si c’est dans une église méthodiste, les baptistes ne voudront pas venir. Si c’est dans une église baptiste, les méthodistes ne voudront pas venir. Un corps… Quelqu’un a dit : «Maintenant, devrions-nous encore nous faire baptiser pour que nous venions pour qu’on prie pour nous?»
Miséricorde! C’est aussi païen que jamais. C’est vrai. Non ! Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps. C’est vrai. Peu importe qui vous êtes, et où vous êtes. C’est vrai. Ainsi, cela importe peu, l’organisation dont vous êtes membre. Il ne vous faut pas être membre de l’Eglise baptiste, ni de l’Eglise méthodiste, ni de l’Eglise pentecôtiste ni de quoi que ce soit. Il vous faut avoir foi en Dieu. C’est vrai.
Maintenant, et franchement, il ne vous faut pas être membre d’une église. Mais si vous êtes guéri et que vous vous mettiez de nouveau à pécher, cela reviendra encore sur vous, et pire qu’auparavant. Allez donc quelque part à une église et servez Dieu. Dieu ne vous guérit pas pour la gloire du diable. Il vous guérit pour Sa gloire.
70. Maintenant regardez comment les gens faillissent. Eh bien, Moïse a failli... je m’imagine comment il a failli... Il détestait vraiment se présenter là et parler aux gens, parce qu’il se disait que ce serait s’exalter soi-même. Il pensait que les gens diraient : «Eh bien, regardez cet homme.»
Nous en avons eu beaucoup dans le monde aujourd’hui. Nous en avons eu beaucoup qui sont venus et ont dit : «Dieu a fait ceci et Il a fait cela.» Mais Dieu n’a pas rendu témoignage à cela. Mais si Dieu rend témoignage, Il honorera Son don. Est-ce vrai?
71. Oui, bien sûr. Dieu a honoré l’offrande de – d’Abel, Il a honoré le don de Moïse, et Moïse pensait que les gens comprendraient, mais ils n’ont pas compris.
Et aujourd’hui, certainement, on dirait que personne n’a besoin de venir plus près que vous l’êtes maintenant pour savoir de quoi je parle. Très bien, mais cela passe par-dessus la tête de la majorité. Et, mes amis, je vous aime, et je veux vous voir rétablis.
Eh bien, quand ils ont réclamé un libérateur, Dieu a envoyé le libérateur, ils ont manqué de reconnaître cela. Moïse était le don de Dieu en Israël. Croyez-vous cela?
72. Ainsi jusqu’à Elie, le prophète, c’étaient des dons de Dieu. Plusieurs d’entre eux apparurent comme faux prophètes. Juste à l’époque d’Elie, de faux prophètes apparurent, mais Dieu rendit témoignage de la prophétie d’Elie. Si c’est de Dieu, Dieu en rendra témoignage. Et il y eut Elie et il était le don de Dieu en Israël. Le croyez-vous?
Il était même le pasteur d’Achab. Il était le pasteur de Jézabel. Elle ne voulait pas accepter qu’il était son pasteur, mais c’était l’homme qui lui avait dit quel genre de vie elle menait. C’est vrai. Il était son pasteur. Elle le haïssait, et pourtant il était le don auquel Dieu avait pourvu pour elle, là, pour lui révéler ses péchés, mais elle a manqué de le reconnaître. Savez-vous de quoi je parle?
73. Puis Jésus vint. Et Jésus… Ecoutez. Jésus était le don de Dieu à Israël, au monde. Est-ce vrai? Jésus était le don de Dieu. «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils unique.» Croyez-vous cela? [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
Et ce n’était pas les apôtres. Pensez-vous que Moïse était le – le libérateur parce que c’était Moïse, à cause de Ses facultés, de son intelligence? Eh bien, il disait qu’il était un homme à la bouche embarrassée. C’était Dieu en Moïse, un don au peuple. C’était Dieu en Christ. Il disait : «Ce n’est pas Moi, c’est Mon Père qui habite en Moi.»
C’est la raison pour laquelle Marthe a dit : «Seigneur…» (le sermon d’hier soir), elle a dit : «Je sais que Tu es le Christ, le – le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.» Elle croyait cela. Et là, les gens croyaient en lui.
74. Et regardez Pierre quand il est passé, eh bien, c’était un mortel. Il était né d’une chair de péché comme vous et moi. C’est vrai. Mais le peuple avait besoin d’un guérisseur, alors ils l’ont envoyé – Dieu a envoyé Pierre accomplir cette œuvre particulière. Jean, représentait l’amour. Pierre n’avait pas dans son cœur l’amour que Jean avait. Jean était le canal d’amour de Dieu. Voyez-vous?
Tenez donc, quand Il a pris Pierre, Jacques et Jean – l’espérance, la foi et la charité… Ne voyez-vous pas? Ces gens qui étaient des dons, eux trois : l’espérance, la foi et la charité... L’espérance était dans Jacques, c’était lui qui avait mis l’Eglise en ordre. La foi était en Pierre, et la charité était en Jean. L’espérance, la foi et la charité; c’étaient des représentants de Dieu sur la terre.
Et on plaçait les gens à l’ombre de Pierre et ils étaient guéris.
Oh! Mes amis. Oh! la la! ne pensez pas que je crie après vous mes amis. Vous pouvez penser que je suis excité, mais je ne le suis pas. Je cherche à vous faire comprendre assez précisément mon sujet pour que vous voyiez de quoi je parle.
75. Maintenant, les pentecôtistes prient ces 30 ou 40 dernières années pour un don de guérison.
Nous vivons aux jours où nous avons la meilleure médecine qu’on ait jamais eue. Nous avons les meilleurs hôpitaux qu’on ait jamais eus. Nous avons les meilleurs médecins jamais eus. Nous avons les meilleurs médicaments jamais utilisés. Et nous avons plus des maladies que jamais.
Ce soir, des milliers et des centaines de milliers de précieux saints de Dieu souffrent. Et ils crient sans arrêt, ils ont réclamé pendant des années que Dieu restitue à l’Eglise le don de guérison divine. Et après que Dieu a mis les orbites en mouvement, il y a 37 ans, qu’Il a préordonné cela et l’a envoyé, des centaines de gens passent à côté de cela sans le reconnaître, mes amis.
76. Eh bien, ça s’est accompli. Je n’aime pas dire ceci. Que Dieu soit miséricordieux ! Ecoutez, mes amis, là dans l’autre partie du pays, là à Phœnix, là à Houston, là à San Antonio, là dans l’Arkansas, à travers le pays, des milliers qui passent par-là sont guéris de toutes sortes des maladies et afflictions. Oakland, reconnais ton jour! Un jour, je vous rencontrerai à la barre du Jugement de Dieu, et vous reconnaîtrez que je vous ai témoigné de la vérité du Dieu Tout-Puissant. Vous avez réclamé cela. Quoi? Si vous, vous honorez cela autant que vous y croyez, Dieu rendra témoignage de Ses dons. C’est vrai. Il l’a fait pour Abel. Il l’a fait pour Elie. Il l’a fait pour Moïse. Il l’a fait pour Pierre. Il l’a fait pour Paul. Il l’a fait pour tous, et Il le fera encore aujourd’hui.
Quand la Pentecôte était descendue pour la première fois et que le baptême du Saint-Esprit s’était mis à tomber au début, les gens ont dit : «C’est du fanatisme.» Mais Dieu a rendu témoignage de cela, que c’était ainsi. C’est pourquoi je suis avec vous ce soir, parce que je sais que c’est la main de Dieu. Beaucoup d’entre eux sont entrés dans des ismes avec ça, mais il y a un authentique article de la Pentecôte. Dieu en a rendu témoignage. C’est vrai. Et Il a fait la même chose ce soir d’une autre façon. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
77. Et j’entrais dans un drugstore ; et quand je suis entré, j’ai remarqué un gars qui me regardait un peu drôlement. Je suis entré au magasin et j’en suis ressorti, et je tenais le bouchon d’une bouteille. Et je n’ai jamais oublié cette histoire. Et j’étais encore en uniforme.
Et, il a mis sa… Cet homme a mis sa main sur mon épaule, et il m’a regardé, il a dit : «Monsieur, a-t-il dit, je vois que vous êtes un agent de service public.» Il a dit : «Je pensais vous poser une question.» Il a dit : «Vous pourriez penser que je suis un peu fou.»
Et j’ai dit : «Qu’y a-t-il, monsieur?»
Il a dit : «J’habite à Paducah, dans le Kentucky.» Il a dit : «Depuis environ deux ans, ma santé se détériore.» Il a dit : «La semaine dernière, j’ai eu un songe particulier.» Il a dit : «J’ai rêvé que je devais venir à Jeffersonville, dans l’Indiana, pour rencontrer quelqu’un du nom de Branham pour qu’il prie pour moi.» Il a dit : «Savez-vous si oui ou non il y a des Branham qui habitent ici?»
Oh! la la! Vous ne savez pas comment je me suis senti. Je me suis dit : «Oh! Dieu rend témoignage.»
Et j’ai dit : «Oui, monsieur.» J’ai dit : «Je sais qu’il y a des Branham qui habitent ici».
Il a dit : «Savez-vous s’il y en a un qui prie pour les malades?»
J’ai dit : «C’est moi.»
Il m’a simplement regardé comme ça, et les larmes ont commencé à couler sur ses joues. Il m’a simplement pris par la main, je l’ai pris par la main, j’ai enlevé mon chapeau, je l’ai déposé par terre, et j’ai posé mon fusil dedans, je me suis agenouillé au bord de la rue et je me suis mis à prier pour lui là même, dans la rue.
Quand je me suis relevé, il y avait des mères debout, retenant leurs petits enfants, et des hommes qui avaient enlevé leurs chapeaux comme ça, attendant la fin de la prière.
Beaucoup de choses avaient été accomplies à Jeffersonville et les gens savaient ce qui se passait. Et quand nous nous sommes levés, ils étaient tous là debout, les têtes inclinées, suivant la prière.
Je me suis relevé. Et le frère, il m’a entouré de ses bras et s’est mis à me tapoter comme cela. Je ne l’ai plus jamais revu depuis ce jour-là. Dieu l’avait guéri.
78. Et j’étais là à Houston, au Texas, aux réunions du révérend Kidson. Et un matin, me tenant là, oh! la la ! comme je méditais, je priais! Il y avait… nous tenions des réunions pendant le jour. Et des centaines de gens venaient dans la ligne et étaient guéris.
Et tout à coup, une dame est entrée en courant. Oh! le bâtiment était à peu près long comme cet auditorium, la salle principale ici. Et la dame est entrée en courant au fond. Elle tenait un petit garçon dans ses bras, et elle s’est assise. Et elle était très agitée. Et la ligne de prière d’à peu près de quatre personnes côte à côte qui avançaient comme cela.
Et elle s’est levée et a dit : «Un instant, un instant !» Et tout le monde s’est arrêté.
Elle a dit : «Je n’aimerais pas arrêter cette ligne de prière, mais je voudrais vous dire...»
Elle était très nerveuse, tremblante, un peu excitée.
79. Elle a dit : «J’habite là à l’ouest de Houston.» Eh bien, Houston est une très grande ville de plusieurs kilomètres de large, et nous étions à l’est. Elle a dit : «Ce matin, ma voisine, la mère de ce petit enfant, a-t-elle dit, son père était un vieux prédicateur méthodiste.» Elle a dit : «Il est mort il y a vingt ans.» Elle a dit : «Avant sa mort, il allait partout, prêchant et disant qu’un jour Dieu restituerait le don à l’Eglise pour les Gentils, avant la fin de la dispensation des Gentils, comme Il l’a fait pour les Juifs.»
Et elle a dit : «Sa fille, voici son enfant, a-t-elle dit, elle est un peu faible.»
Et elle a dit : «Ce matin, après avoir fait le ménage de la maison, elle a dressé son balai à franges et elle s’est couchée en face du pied du lit, et elle se reposait.» Et elle a dit : «Tout à coup, elle a eu un songe. Elle a vu monter un gros nuage sombre.» Et elle a dit : «De ce nuage est sorti… commencer à se retirer.» Et elle a dit : «Son défunt père est apparu et il a dit : ‘Lève-toi, prends l’enfant et va à Houston Gospel Tabernacle. [Tabernacle Evangélique de Houston – N.D.T.] Le don de guérison divine se trouve là.’»
Eh bien, elle s’est dit que ce n’était qu’un songe. Jamais elle n’avait entendu parler du Houston Gospel Tabernacle. Elle est donc restée là quelques instants, puis elle s’est rendormie, et elle a rêvé de cela une deuxième fois. Le gros nuage sombre est revenu. Son défunt père est tout droit sorti du nuage en marchant. Elle a dit : «Bien, c’est étrange, j’ai rêvé de papa pour la deuxième fois.» Elle a dit : «Il a dit : ‘Prends l’enfant.’» Eh bien, elle s’est levée et a bu quelque chose et elle a fait un petit tour de la maison, et elle est rentrée se coucher – s’est encore couchée. Et quand elle est rentrée, elle a rêvé de cela une troisième fois. Le gros nuage sombre est revenu. Et son… [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
80. On a appelé le bureau de renseignements pour vérifier si les choses existaient selon le rêve. Eh bien, je ne crois pas à tous les rêves. Ainsi donc, on a ppelé, mais on répondit : "Vos jeunes gens auront des visions, vos vieillards auront des songes."
Et alors elle - elle a appelé le bureau de renseignements et on lui a dit : "Oui, il existe un Houston Gospel Tabernacle très loin à l'ouest, sur la 67e rue." Et on lui a dit : "A l'est de la 67e rue."
Et la dame, la mère, tellement faible qu'elle ne pouvait pas… Eh bien, l'enfant était - avait une paralysie infantile, ses petites jambes étaient estropiées. Et elle ne pouvait pas amener l'enfant.
Mais elle a fait venir la voisine. Et la voisine a sans arrêt changé de bus et voiture jusqu'à ce qu'elle a pris une voiture qui l'a déposée juste à environ deux pâtés de maison de l'église. Et un agent se tenait là. Et elle lui a demandé : "Savez-vous où se trouve le Houston Gospel Tabernacle?"
Il a répondu : "Oui, madame. Juste là où se trouve cette foule de gens, là dans la rue, a-t-il dit, ils ont un service de guérison."
81. Eh bien, la pauvre dame était si faible et lorsqu'elle est arrivée là, elle... Vous pouvez vous imaginer comment elle s'était sentie ; elle est entrée directement là et elle a vu cela. Et elle m'en a parlé - et j'ai dit : "Amenez-moi l'enfant."
Oh! la la! Vous savez ce qui s'est passé, n'est-ce pas? Certainement. Et je me suis dit que même si les gens… les anges du ciel en savent quelque chose, Dieu rendra témoignage de cela. Ses œuvres seront manifestées quoi qu'en pensent les gens. C'est juste. C'est vrai, mes amis. Que Dieu bénisse vos cœurs.
82. J'étais là à Camden, dans l'Arkansas, avec frère Adams, je me demande si seulement l'un des frères Adam est ici ce soir. Et étant chez lui, il m'a entraîné dehors, des milliers avaient assisté au service. Et un jour, on me faisait sortir du service et j'ai entendu continuellement quelqu'un crier : "Pitié, Pitié! Oh! où êtes-vous Révérend?"
Et je me suis retourné. Frère Adam a dit : "Vous ne pouvez pas vous Arrêter." Vous savez, c'était un homme de couleur.
Et pourtant, même dans l'Arkansas, si vous serrez ne fût-ce que la main à un homme de couleur, on vous jettera en prison. Et voilà donc, ils ont une loi comme cela là-bas. Vous pouvez lui parler, mais ne le touchez pas. Eh bien, ça ce n'est pas juste ! Non. C'est un humain comme vous ou moi, ou n'importe qui d'autre. C'est tout à fait vrai. Je ne sais pas ce que vous en pensez. Mais je veux décharger mon âme à ce sujet. C'est juste. Assurément. Je suis pour Abraham Lincoln et cela est juste. Et regardez...
83. Là se tenait ce pauvre homme de couleur, criant : "Oh! Révérend!"
Frère Adam a dit : "Venez, Frère Branham." Il a dit : "Oh! la la! Regardez cette foule, a-t-il dit, ils font pression à cause de vous." Et on m'a tiré hors de la foule. Ils ne veulent pas être durs, mais ils essayent de me prendre… parce que, mes amis, quelquefois les gens viennent tout autour et ils vous piétinent presque à mort. Et on vous tire tout simplement. J'aime les gens. Que Dieu bénisse leur cœur.
J'aimerais me tenir là même et toucher chacun d'eux et prier pour eux jusqu'à ce que je sois simplement... et que le souffle quitte mon corps.
La dernière soirée, lorsque j'ai quitté le bâtiment, ils ont dû presque m'étendre dans la voiture, même mon cœur et tout avait des secousses et bondissait comme ça.
84. Vous ne réalisez pas la tension qu'il y a à avoir le contrôle sur ces démons. Lorsqu'ils se présentent et qu'ils sont dans la salle et vous en êtes responsable. Et s'il arrive quelque chose dans le bâtiment? Eh bien, on vous mettrait en prison et on interdirait la réunion pour toujours. Est-ce vrai? Voyez, voyez-vous ce que ça représente pour vous? Vous n'en savez pas la responsabilité. Et ici donc… et si fatigué de toute façon après six mois de voyage.
85. Alors je - j'ai dit : "Une minute." Il criait tout simplement, le pauvre. Il tenait son chapeau en main, il avait des cheveux gris. Il disait : "Révérend, Révérend ;" Sa femme a dit : "Tu ne peux pas l'atteindre, chéri. Tu ne peux pas l'atteindre."
Et j'ai dit : "Une minute, juste une minute." Et alors je me suis retourné et je l'ai regardé, j'ai dit : "Qu'y a-t-il, monsieur?"
Et frère Adam et l'autre homme m'ont amené là où il était. Et j'ai dit : "Qu'y a-t-il?"
Il a dit : "Révérend, Révérend."
Voyez, il me tenait comme cela. Il a dit : "Révérend", en posant sa main sur moi.
J'ai dit : "Oui."
86. Il a dit : "Une minute, Révérend." Il a dit : "J'ai parcouru une longue distance pour arriver ici". Il a dit : "La nuit d'hier, a-t-il dit, ma vieille mère qui est morte il y a environ 20 ans presque," et il a dit : "Elle était une chrétienne, et cela fait plus de douze ans que je suis aveugle." Il a dit : "Et hier soir ou plutôt avant hier soir, j'ai rêvé… [Espace vide sur bande - N.D.E.] que Dieu avait envoyé son don de guérison divine et que c'était à Camden, dans l'Arkansas, et que moi je ne vous laisse pas passer." Il a dit : "Révérend, ne me passez pas, je vous en prie." Pensez-vous que je pouvais le passer. Peu importe qui il était. C'est Dieu. Peu importe si on vous met en prison.
87. Alors me tenant là, près de ce pauvre vieil homme, j'ai pris ses mains - ses yeux avaient crevé suite à une explosion, j'ai pris ses mains et pendant que je priais pour lui, sa femme pleurait, les larmes coulaient et tombaient de son manteau comme cela. Elle se tenait là.
Après que j'avais fini de prier il... Ses yeux… Il était très émerveillé, il a regardé autour de lui, il s'est mis à battre les yeux; il a dit : "Et chérie, n'est-ce pas là une automobile qui est parquée juste là?" C'était notre voiture à bord de laquelle on roulait. Des larmes coulaient sur ses yeux - de ses yeux. Il s'est mis à lever les mains et à se réjouir.
Oh! Frère, Dieu rendra témoignage à ses dons. Les cieux et la terre peuvent passer, mais Dieu va agir. Il y aura quelqu'un qui recevra cela. Bien sûr que oui, si vous venez et honorer ce que Dieu a fait pour vous. C'est vrai. Dieu rendra témoignage à Son don. C'est maintenant même le temps de commencer.
88. Ecoutez, il n'y a pas longtemps j'étais dans - j'étais là dans l'Illinois. Et écoutez, ceci me vient à l'esprit alors que nous parlons de l'homme de couleur. Il y avait… J'étais dans un grand amphithéâtre. Beaucoup d'entre vous savent de quel endroit je parle. Et là, en regardant tout autour et en voyant différentes choses, j'ai vu un vieil homme de couleur, avec une petite couronne de cheveux blancs autour de sa tête. Il venait comme cela, en train de contempler. Et après un instant, il s'est approché d'un - un objet. Il s'est arrêté. Il a ôté son chapeau. Il l'a tenu derrière lui. Il a incliné la tête. J'ai vu qu'il offrait une prière.
Et après qu'il eut fini de prier, je me suis approché de lui et j'ai dit : "Monsieur, ai-je dit, je suis un prédicateur." J'ai dit : "Je vous ai vu prier. Qu'y a-t-il de si saisissant au sujet de la boîte?" Il a levé les yeux vers moi, de pauvres vieilles joues rugueuses et ridées, et les larmes coulant sur ses deux joues, il a dit : "Rev… Pasteur? a-t-il dit, regardez simplement là."
Et, je me suis redressé et j'ai regardé là, et c'était comme s'il y avait là une vieille petite robe, j'ai dit : "Je ne vois qu'un costume." Et c'est ce que beaucoup de gens voient, les signes naturels. J'ai dit : "Je ne vois qu'un costume."
Il a dit : "Voyez-vous cette sorte de cercle qui est là dessus, pasteur?"
Et j'ai dit : "Oui, monsieur."
Il a dit : "Palpez juste ici sur mon côté." Il a dit : "Ce sont là les marques d'une ceinture d'esclave. C'est le sang d'Abraham Lincoln."
Il a dit : "C'est le sang d'Abraham Lincoln qui m'a délivré de la ceinture d'esclave. Pourquoi ne devrais-je pas ôter mon chapeau et offrir une prière?"
89. Et ce soir, je pense que si un homme de couleur, à cause de la liberté et de son droit, a pu ôter son chapeau devant le sang d'Abraham Lincoln, que devriez-vous faire, vous chrétiens, devant le Sang de Jésus-Christ? Voyez? Oh! mes amis, je m'attendais à plus de foi à Okland et à Los Angeles aussi.
Je vais vous dire que les gens qui ont reçu cela, il n'y a pas longtemps, c'étaient les Espagnols d'Arizona. Ils ont très vite saisi la pensée. Ils ont reconnu que c'était le don de Dieu pour eux. Ils sont venus directement sur l'estrade. Et j'ai vu ces chères vieilles mères espagnoles s'évanouir et tomber et être retirées de la ligne avant d'arriver jusqu'à moi. Eux ont cru à cela.
L'une d'elle est venue, elle avait même eu un songe qu'elle... elle ne connaissait même pas l'anglais. Et elle a vu cet Etre Surnaturel se tenir là. Vous avez eu cette lettre, ici n'est-ce pas? [Frère Branham pose une question à quelqu'un sur l'estrade. - N.D.E.] Beaucoup… Pourquoi? Dieu rendra témoignage de Son don. Est-ce vrai? Oh! mes amis, vous savez de quoi je parle. Comprenez-vous maintenant de quoi je parle? De la foi, croyez cela. Venez, il ne s'agit pas de l'homme; il s'agit de Dieu dans l'homme. Vous savez ce que je veux dire.
90. [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]... je T'en prie, ô Dieu, que les gens viennent ce soir juste comme ils l'ont fait du temps des apôtres. Qu'ils viennent, réalisant que ceci est le temps apostolique pour eux, c'est maintenant l'heure où ce qu'ils avaient demandé est maintenant là. Le Saint-Esprit sous forme de guérison pour leurs corps. Accorde-le, Dieu bien-aimé. Que beaucoup de gens soient guéris ce soir. Aie pitié, Père.
Et que tous ceux qui viennent ce soir viennent comme l'ont fait ces gens-là lorsqu'ils sont passés près de Ton humble serviteur, Simon Pierre. Et ils se couchaient à son ombre et étaient complètement guéris, parce qu'ils avaient reconnu Dieu dans l'homme. Qu'ils reconnaissent Dieu comme on L'avait reconnu en Moïse. Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Que - ce soir ils reconnaissent Dieu dans Son peuple. Accorde-le, Père bien-aimé. Sois miséricordieux maintenant et bénis chacun d'eux.
Et, ô Dieu bien-aimé, je prie maintenant pour ma petite église chez moi, qui vient de tenir des services ce soir, pleurant, suppliant que je retourne chez moi. Ô Dieu, les gens venant des différents coins du pays se rassemblent... Prends soin de mon petit orphelin, s'il te plaît, Dieu bien-aimé.
Oh! je suis ici, m'efforçant, essayant de mon mieux, Dieu bien-aimé, d'obéir à ce qui m'a été dit de faire. Et que les gens voient, ô Père, quel sacrifice ça représente, et ce que Tu as fait pour eux. Et qu'ils reconnaissent ce jour et que beaucoup soient guéris et rétablis, de leurs maladies, et qu'ils rendent témoignage dans cette ville. Car nous le demandons dans le beau Nom de Jésus-Christ, Ton Fils bien-aimé. Amen.
91. Mes amis, les gens tombent simplement de part et d'autre. Oh! combien je souhaiterais que vous puissiez, que vous... Je sais que vous le faites. Que Dieu bénisse vos cœurs. J'ai simplement confiance pour croire que vous le faites.
Chantons tous maintenant tandis que la chorale joue, et tous : "Crois seulement." Maintenant, que chacun élève très haut la voix. Allons-y maintenant.
Crois seulement, crois seulement;
Tout est possible
(C'est bien, je vais reculer à l'ombre, derrière le microphone…?… Je me mets juste ici.)
Crois seulement,
Tout est possible
… seulement
92. Juste une minute maintenant. Croyez-vous que Dieu est parmi nous ce soir? Croyez-vous cela? Croyez-vous qu'Il vous a envoyé la délivrance à vous qui l'avez réclamée? Croyez-vous qu'Il vous a envoyé la guérison? Croyez-vous cela de tout votre cœur? Alors chantons cela, nos mains posées sur nos cœurs, disant :
Seigneur, je crois, Seigneur je crois;
Tout est possible, Seigneur je crois;
Seigneur, je crois, oh! Seigneur, je crois
Tout est…
93. [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]… l'heure est venue. Nous croyons que Tu viens bientôt. Tu as envoyé Ton don pour glorifier Ton Saint Fils. Il étend Sa sainte main pour guérir au moyen de Son Eglise. Viens en aide aux gens ici ce soir. Pendant que la musique joue doucement et lentement, que les gens croient. Père, si j'ai dit quelque chose de faux, pardonne-moi. Je Te prie de faire comprendre aux gens que ceci est le temps auquel Tu as rendu témoignage. Et qu'ils sachent que Ton serviteur n'est pas venu parce qu'il l'a désiré; c'était Ta volonté que je vienne, Père. Et qu'ils se débarrassent de tout scepticisme, de toute pensée sceptique et qu'ils viennent ce soir pour être guéris. Car nous le demandons au Nom de Jésus et pour Sa gloire. Amen.
Maintenant vous êtes-vous débarrassés de tout scepticisme? Avez-vous vraiment tout oublié au sujet de vos pensées sceptiques? Allez-vous venir pour être guéris ce soir? Croyez-vous cela? Dites : "Amen", tous ceux… Que Dieu vous bénisse, mes amis.
94. Maintenant, on va prendre une photo. Et je vais vous dire ce que je fais de ces photos. Je les accroche dans ma chambre. Chaque soir quand je suis à la maison, je prie pour elles. Combien veulent que je prie pour eux quand je regarderai à cette photo? Que Dieu bénisse vos cœurs.
Eh bien, soyez sûr de ne pas rater le service de demain soir, et du soir suivant, l'histoire de ma vie, le soir suivant, je veux que vous écoutiez cela. Et que Dieu vous bénisse maintenant, pendant que nous nous levons avec révérence pour un instant ; on va prendre la photo. Maintenant, le photographe va vous dire quoi faire. [Le photographe dit : "Eh bien, veuillez vous asseoir maintenant, s'il vous plaît." - N.D.E.] Si ceux qui sont au balcon, se levaient, ce serait de loin mieux, ce serait beaucoup mieux… N'est-ce pas vrai, photographe, s'ils se tenaient debout, ce serait une photo de loin plus belle? Surtout au balcon, n'est-ce pas vrai? Ça fait une photo plus jolie… Très bien, vous au balcon, tenez-vous debout. On veut que ceux qui sont aux balcons se lèvent, partout. C'est bien…?… en présence de…?… [La ligne de prière continue, mais Frère Branham s'écarte du micro et tout n'est pas très audible, et le texte qui suit n'est pas complet. - N.D.E.]
95. C'est par la foi qu'Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn, c'est par elle qu'il fut déclaré juste, Dieu rendant témoignage à Ses dons. Père céleste, je Te remercie pour Ton témoignage maintenant, en approuvant ce que Tu as fait par notre bien-aimé Jésus. Que L'Ange qui m'avait parlé dans la pièce cette nuit-là soit présent à côté de Ton serviteur pour confirmer la Parole, L'accompagnant de beaucoup de miracles et de prodiges. Nous réalisons que Satan est…?… Et que beaucoup de gens soient guéris ce soir, et que leur foi soit élevée en ce moment pour croire le témoignage. Et qu'ils soient guéris de toutes sortes de maladies. Que chaque esprit soit soumis à Ton serviteur, pour la gloire de Dieu; nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
96. Maintenant…?… La volonté de Dieu est de la guérir…?… juste avant le…?… tourmentant…?… sœur. Je t'adjure par Jésus…?… Dieu Tout-Puissant, je Te prie de bénir notre sœur qui est souffrante et puisse-t-elle en ce…?… se rendre compte que c'est…?… gens, que Tu rendes témoignage à Ton don. Toi démon, sors d'elle, au Nom de Jésus-Christ.
Maintenant, comment pouvez-vous…?… Croyez-vous que Dieu vous a dit…?… Croyez-vous de tout votre cœur, sœur? Dieu bien-aimé, il est impossible pour elle de ne pas être guérie, et elle dit qu'elle croit de tout son cœur. Et Tu m'as dit que si j'amenais les gens à me croire, que Tu m'as envoyé dans ce but et que si j'étais sincère dans la prière, aucune maladie ne résisterait à cette prière. Ô Dieu, j'ai rendu témoignage à Ton don dans plus de onze Etats. Et maintenant, je Te prie, Père, d'accorder…?… que notre sœur soit comptée parmi ceux qui ont la foi. Sors d'elle, toi…?…
97. [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]…?… Père céleste, je pense à outre mer, comment Tu as œuvré avec ces aimables saints…?… comment Tu…?… s'humilier pour croire en Dieu… Et je Te prie de bénir notre bien-aimé frère, comme il est près…?… Il est dans le besoin…?… Je Te prie, ô Dieu, aie pitié de lui. Toi démon, sors de lui au Nom de Jésus-Christ…?… Croyez-vous maintenant de tout cœur?…?…
Viens…?… C'est ça la vérité. Vous voulez être guérie, n'est-ce pas? Croyez-vous que Dieu écoute la prière de frère Branham? Très bien.
Père céleste, comme cette jolie fillette est…?… les petits yeux bleus levés vers le…?… et souriant…?…la foi pour croire qu'elle va recevoir ce qu'elle a demandé. Et cette vibration…?… Sois miséricordieux envers elle, père. Toi, démon, sors d'elle au Nom de Jésus-Christ.
…?…mon cœur…?… Notre père céleste, sois miséricordieux ; une jolie fillette souffre ce soir, et Tu es ici pour rendre…[Fin de l'enregistrement - N.D.E.]
98. Croyez-vous…?… Père céleste, sois miséricordieux envers notre sœur qui souffre…?…Tu sais tout…?… Oh…?… pour comprendre que le Dieu Tout-Puissant a…?… Seigneur, et Il rend témoignage à Ses…?…Toi démon…?… de la quitter…?… au nom de Jésus-Christ. Amen.
Dieu bien-aimé…?… Je crois ce qu'ils…?… Je prie ce soir, Père, pour mon cher frère qui souffre, Satan cherche à lui ôter la vie. Bénis-le, Dieu bien-aimé…?…Toi démon, sors de lui au Nom de Jésus-Christ…?… là aux balcons, gardez la tête inclinée, je vous prie. Cela l'avait quitté et puis, c'est revenu directement sur lui. Et j'ai compris que quelqu'un avait levé la tête. Ne faites pas cela…?…
Maintenant, juste un instant…?… Inclinez la tête et croyez de tout votre cœur. Père céleste, Tu as promis…?… de guérir les gens. Je sens que le grand Messager, l'Ange de Dieu qui guérit se tient près de la chaire à présent. Par conséquent, avec toute la foi que Tu as…?… parce que mon frère est dans…?… Comment ce démon qui est venu pour l'envoyer prématurément à la tombe… Sors de lui et…?… au Nom de Jésus-Christ…?… Toute vibration s'est arrêtée dans ma main…?… Partez, que Dieu vous bénisse avec…?…
99. [Il est difficile de saisir les paroles - N.D.E.]…?… Si c'était le cas, cela vibrerait…?… [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Partez et croyez, mon frère…?… tout maintenant?…?… Je vois…?… maintenant même. Je vous vois…?… La Bible le dit clairement…?… si vous croyez, car tout est possible si vous croyez…?… Dix-neuf cents ans sont passés. Il est monté en haut, et Il a fait des dons aux hommes, et maintenant Dieu rend toujours témoignage à Son don. Par conséquent, par obéissance à ce qui a été donné par commission…?… Je réprimande ce démon ; sors de lui au Nom de Jésus-Christ…?…
Peut-être que j'accorderai une pause à l'auditoire. Levez la tête. S'il y en a parmi vous qui voudraient voir… Combien m'ont entendu expliquer ce qu'étaient les vibrations…?… Faites voir les mains. Combien ici comprennent comment le don est venu, la vibration sur la main? Faites voir les mains. Vous voyez tous ce que c'est…
100. [Il est difficile de saisir les paroles - N.D.E.]…?… juste cet homme…?… Voyez-vous ces…?… Je pensais que j'étais…?… cette vibration ici. Voyez? Mais c'est…?… Maintenant, que tout le monde incline la tête et prie…?… Maintenant, rappelez-vous, ceci peut aller d'une personne à une autre, soyez donc sûr de garder votre tête inclinée…?…
Père céleste, sois miséricordieux, ô Dieu, envers notre bien-aimée sœur, qui a le droit, Père, ce soir d'être guérie; elle est venue réclamer son privilège que Dieu lui a donné, celui d'avoir été guérie par le Sauveur Jésus de Nazareth. Par conséquent, ô Père, donne à Ton serviteur la foi. Que je puisse être capable de monter maintenant même jusqu'à atteindre cette…?… cette foi…?… Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, je te réprimande, Satan, quitte-la…?…
Je vous en prie, ne levez pas la tête, mes amis. Maintenant, cela fait obstacle à cette femme. C'est très… ça doit être un cancer plutôt qu'une maladie de femme, parce que ça c'est beaucoup, beaucoup aggravé. Maintenant, gardez la tête inclinée…?… Croyez-vous de tout votre…?… croyez-vous de tout votre cœur que je suis capable de faire cela par Jésus-Christ? Croyez-vous que tout ce que vous avez à faire c'est simplement de croire?…?… il y a des têtes levées quelque part, mon ami. Gardez la tête inclinée…?…
Bien-aimé Père céleste, sois miséricordieux envers notre… [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]
101. Ainsi, si quelque chose arrive sur le…?… comme cela, maintenant, qu'arriverait-il si vous aviez un…?… Vous voyez? Des fois je me pose simplement la question… J'aimerais… chez vous, mais je…?… là-bas une personne qui se meurt veut que je puisse aller par avion, affréter un…?… Une femme appelle depuis…?… le Missouri, a-t-on dit, elle s'est accrochée au téléphone, elle s'est agenouillée au… près du téléphone, pleurant, me suppliant de prier…?… d'être là au téléphone comme cela, de ne pas raccrocher pour que son…?… On voulait affréter un avion pour que j'aille directement dans le Missouri où un petit enfant se mourait…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.]…?…
Oh! la la! C'est pathétique, mais que peut - que peut faire un homme? Cela vous fera perdre la tête, à l'idée que…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.]…?… de telles choses qui arrivent de partout.
Je parlais à ma femme et elle disait qu'il y a des foules de gens et tout, oh! la la! Et mille cinq cents lettres viennent de gens dans l'espace de dix jours à mon…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.]
102. Maintenant, cette fillette est aveugle, il n'y a pas de vibrations dans sa main. Elle est estropiée, et bien sûr que ça ne produit pas de vibrations, c'est juste une maladie causée par des microbes. Eh bien, il me faudra simplement croire…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.] Je crois que Dieu la guérira…?… Croyez-vous cela? Maintenant, rappelez-vous, je dis…?… Je ne veux pas…?… vous…?… Dieu va nous parler…?… des soirées, je dois dire à l'église, peut-être donner quelques témoignages sur des choses.
Maintenant, gardez la tête inclinée, je vais demander à Dieu de tout mon cœur de… Rappelez-vous que je ne suis pas un guérisseur, c'est Dieu.
Petite fille, tu aimes Jésus, n'est-ce pas, chérie? Eh bien, je vais demander à Jésus de t'accorder de recouvrer la vue, de te faire marcher…?… Bien-aimé Jésus, le…?… fils, envoie Tes bénédictions divines sur cette fillette, et ces yeux qui sont maintenant aveugles, puissent-ils voir de nouveau, et puisse ce corps qui est maintenant estropié être rétabli. Je Te prie, Père, d'accorder cela au Nom de Ton Fils bien-aimé Jésus-Christ. Peux…?… voir ces lumières…?… Vois-tu cela? Maintenant, regarde là…?… Maintenant lève les yeux vers moi…?… Vois-tu là-haut? Vois-tu cela? Vois-tu cette ombre par ici?
Très bien, vous pouvez relever la tête, auditoire.[Rayure sur la bande - N.D.E.]…?… le cristallin et tout étaient complètement couverts, on dirait de…?… Mais le rétrécissement est suffisamment… Quand quelque chose meurt ça se rétrécit. Est-ce vrai? Les yeux de l'enfant se sont suffisamment rétrécis au point qu'elle peut voir les lumières de la salle et identifier ma main devant son visage…?… Lève les yeux dans cette direction [Rayure sur la bande - N.D.E.]
103. [L'enregistrement n'est pas clair. - N.D.E.]…?… Disons tous : "Gloire au Seigneur."…?… Oh ! la la !…?… Maintenant, nous allons publier son témoignage dans le journal, à savoir qu'elle voit, pour que vous puissiez le voir. Quel est son nom, sœur? Ronna Mae Promise. Voyez cela dans le journal…?…
Votre cancer est…?… Très bien. Combien croient maintenant? Que Dieu bénisse votre cœur…?… Maintenant, voici un sourd-muet. Il y a une vibration…?… dans sa main. Très bien. Inclinez la tête, tout le monde. Maintenant, voici la vibration. Ça, je peux dire par la façon dont cela…?… [Espace vide sur la bande - N.D.E.]… placez votre signe sur cela…?… il faut que ce soit la foi, juste ma propre foi pour croire cela. Maintenant, j'aimerais que vous incliniez la tête, partout.
Combien dans cet auditoire croient que je suis capable de faire cela par Jésus-Christ? Veuillez lever la main. Très bien. Très bien, s'il y a un si grand nombre de gens qui croient, vous verrez la gloire de Dieu. Inclinez la tête, partout.
104. [Quelqu'un dit qu'il n'a jamais dit à Frère Branham ce qu'était son problème. - N.D.E.] Vous n'avez pas besoin de nous le dire, mon ami. Cela est connu. Il n'y a pas de secrets pour Dieu; et Il révèle Ses secrets à Ses serviteurs. Vous avez vu des choses qui ont été accomplies, même des habitudes et des choses. Il y a quelqu'un qui est passé il y a quelques instants, qui avait une habitude. Lorsque j'ai regardé cette personne, je n'ai pas voulu dénoncer cela. Les maladies vénériennes ou des habitudes. Je ne dois pas faire cela. Vous comprenez, à moins que vous vouliez que je le fasse. Si vous me le demandez, si vous voulez savoir…Bien sûr, aussitôt que vous avez fait cela, j'ai senti cette vibration…?… des bouchons dans les oreilles.
Maintenant inclinez la tête, tout le monde; soyez vraiment aimables et calmes; et soyez vraiment respectueux et vous verrez la gloire de Dieu.
105. Père céleste, oh, j'ai dû me hâter de venir dans cette ville et je dois me hâter d'en repartir. Et apparemment, c'est…?… au moment où nous amenons les gens à un point où ils commencent à croire et où des choses s'accomplissent, alors nous devons repartir. Je prie que Tu trouves convenable de nous envoyer encore ici.
Et maintenant, ici se tient - ici se tient devant moi cet homme, et Satan a bouché ses oreilles pour l'amener un jour à marcher devant un véhicule ou quelque chose comme cela, et être tué sur ses pieds, oh, il a essayé de faire du mal à ce pauvre frère, mais nous sommes ici pour le rétablir, Père.
Et maintenant, j'ai parlé aux gens ce soir sur Ta visitation, celle de l'Ange de Dieu. Et puisses-Tu confirmer cela maintenant sous leurs yeux car cette ligne de la foi devra commencer… [Rayure sur la bande - N.D.E.]
106. [La partie suivante était sur une bande enregistrée auparavant avec ce sermon. - N.D.E.] A présent nous allons avoir un solo de trompette par mon brave ami, frère F.F. Bosworth : Frère Bosworth.
[Frère Bosworth joue un solo. - N.D.E.]
Oh! la la! C'était très bien, Frère Bosworth. Nous avons certainement apprécié cela. Et je me demande, pendant que vous êtes en train d'accorder votre instrument-là, si nous pouvons avoir une petite mélodie de "A la Croix". C'est pour ainsi dire mon chant préféré. Je me demande si vous pourriez jouer cela. Très bien, Frère Bosworth.
[Frère Bosworth joue "A la Croix." - N.D.E.]
Oh! la la! c'est comme lors du réveil d'autrefois, d'il y a longtemps. Dites donc, nous nous réjouissons certainement ici par cette petite visite ici avec frère et sœur McAnally ce soir. Je me demande, Frère Hooper si vous avez un mot que vous aimeriez dire au micro maintenant. [Frère Hooper dit quelques paroles. - N.D.E.]
Oui oui. Frère McAnally est presque le meilleur chasseur de sanglier de la région. Il est le meilleur en mon absence. Très bien. J'aimerais entendre un mot de la part de ma femme ici. Très bien, chérie, que vas-tu dire? [Sœur Meda Branham dit : "Certainement, je suis heureuse du privilège que j'ai d'être en Arizona et de rencontrer des amis comme frère et sœur McAnally. - N.D.E.]
Frère Bosworth, que pensez-vous de l'Arizona et de ces gens ici?
[Frère Bosworth dit quelques paroles. - N.D.E.]
[Frère McAnally fait un commentaire sur la chasse au sanglier - N.D.E.]
[Frère Bosworth joue un autre solo. - N.D.E.]
Frère Mac, tout ce que vous avez fait pour nous pendant ce voyage depuis que nous sommes ici… Et j'ai confiance au Dieu Tout-Puissant qu'un jour, nous pourrons être de nouveau ensemble. Que Dieu vous bénisse, frère. J'ai toujours désiré entendre la voix de votre femme. Sœur McAnally, même si je suis à des kilomètres, mais quand vous jouerez ceci, pensez à moi.
[Sœur McAnally dit quelques paroles. - N.D.E.]
Ok, eh bien; merci, sœur McAnally. Ç'a été très très bien. Oh! c'est juste une petite femme timide. En quelque sorte, j'aime pourtant cela. Frère Bosworth, vous en avez un autre là, sur cette vieille trompette-là? Nous…nous aimerions vraiment en entendre un autre pour frère Mac et les autres. Que Dieu vous bénisse, frère. Très bien, Frère Bosworth.
[Frère Bosworth joue un autre solo. - N.D.E.]
Bien, Frère Bosworth. Merci beaucoup. Frère Hooper, vous avez un autre mot à dire? Rien à dire? Chérie, oh! la la! Mac, dites-nous quelque chose très rapidement à ce micro, s'il vous plaît.
[Frère MacAnally dit quelques paroles de plus au sujet de la chasse. - N.D.E.]
OK, c'est bien. Voulez-vous dire un mot, Frère Bosworth? Dites quelque chose d'autre.
[Frère Bosworth parle pendant une minute et demie. - N.D.E.]