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Moise, Le Grand Serviteur
1 Je me suis dâabord dit que câĂ©tait votre jeune garçon qui Ă©tait assis lĂ , FrĂšre Wood, lĂ au bout, lĂ oĂč Ă©tait cette femme qui Ă©crivait, mais ce nâest pas lui. Quand jâai ouvert les yeux, lâAnge du Seigneur Ă©tait suspendu lĂ . Je me suis dit que câĂ©tait David qui Ă©tait assis lĂ . Mais ce nâest pas David, je ne le pense pas. Ce nâest pas vous David Wood, nâest-ce pas? Vous lui ressemblez vraiment comme un frĂšre jumeau, vous qui ĂȘtes assis juste ici. Ce nâest pas David Wood.
Je viens de voir quelque chose ĂȘtre accompli. Amen. Oh, câest merveilleux! Les voies du Seigneur dĂ©passent lâentendement, nâest-ce pas? Amen. «Si tu crois, a-t-Il dit, tout est possible.»
TrĂšs bien, nous allons ouvrir la Parole. Je pense que je vais tout simplement garder cela pour moi-mĂȘme et laisser le Seigneur le rĂ©vĂ©ler, oh, selon quâIl le trouve nĂ©cessaire.
2 LĂ dans le Livre des Nombres, chapitre 20 maintenant, rapidement. Nous allons essayer de consacrer vingt minutes environ Ă la prĂ©dication, le Seigneur voulant. Et maintenant, soyez prĂȘts. Je ne sais pas ce qui va se passer maintenant. Le Seigneur JĂ©sus peut simplement tout faire pour nous. Lâaimez-vous? Dites : «Amen.» [LâassemblĂ©e dit : «Amen.» â N.D.E.] Eh bien, le mot «amen» signifie «ainsi soit-il». Voyez? Ainsi donc, nous Lâaimons vraiment.
LâEternel parla Ă MoĂŻse, et dit :
Prends la verge, et convoque lâassemblĂ©e, toi et ton frĂšre Aaron. Vous parlerez⊠au rocher, et il donnera ses eaux; tu feras sortir pour eux de lâeau du rocher, et tu abreuveras lâassemblĂ©e et leur bĂ©tail.
MoĂŻse prit la verge qui Ă©tait devant lâEternel, comme lâEternel le lui avait ordonnĂ©.
Maintenant, jâaimerais parler juste pendant quelques instants sur ceci : «MoĂŻse, le grand serviteur.»
3 Vous sentez-vous mieux, sĆur, vous qui ĂȘtes assise lĂ en train dâĂ©crire? Cette petite dame assise⊠Vous vous sentez beaucoup mieux maintenant, nâest-ce pas? Vous ĂȘtes guĂ©rie, madame. Cette vieille affection de cĆur et autres qui vous dĂ©rangeaient, ainsi que lâaffection des reins, cela aussi, la varice aussi vous dĂ©rangeait, nâest-ce pas vrai? Si câest vrai, faites signe de la main. Vous avez Ă©tĂ© guĂ©rie tout Ă lâheure. Amen. Gloire au Seigneur.
Je lâai regardĂ©e et je lâai vue il y a quelques instants, elle avait lâair trĂšs triste, et il mâest arrivĂ© de regarder encore, et jâai vu lâAnge se tenir lĂ . Il ressemble beaucoup Ă David. Vous devriez rencontrer Monsieur Wood, qui est ici. Il ressemble Ă son jeune garçon, assez pour ĂȘtre son sosie. Jâai regardĂ© de nouveau et je me suis dit : «Peut-ĂȘtre que câest David», en effet je sais que David mâaime et me croit. Et alors, jâai regardĂ© lĂ , Cela Ă©tait suspendu au-dessus de cette petite dame. Et puis, jâai vu ce quâĂ©tait sa maladie. Tout dâun coup, jâai regardĂ© de nouveau, alors elle Ă©tait en train de sourire. Je me suis dit : «Je ferais tout aussi mieux de le lui dire, de lui faire savoir que câest fini, afin quâelle puisseâŠÂ» Amen. Et elle prenait note de ce que je disais ou quelque chose comme cela, lĂ . TrĂšs bien. Oh, nâest-Il pas merveilleux? Câest ainsi que ça opĂšre. Câest juste ainsi que ça se passe. Juste⊠Vous ne pouvez pas⊠Vous ne pouvez simplement pas Le vaincre. Il est ici mĂȘme pour nous venir en aide.
4 Bon, le Seigneur a dit, nous sommes⊠Il a dit Ă MoĂŻse de prendre la verge. Eh bien, nous aimerions parler de cette verge, et cette verge a trait au jugement. Jâaime vraiment parler de MoĂŻse. Il Ă©tait un â un sacrificateur, un roi, un lĂ©gislateur; MoĂŻse Ă©tait en tout un type du Seigneur JĂ©sus-Christ.
Il Ă©tait nĂ© dans ce monde un bel enfant. En dâautres termes, il Ă©tait nĂ© prophĂšte. On nâa pas eu peur du roi lorsquâon a vu Dieu⊠Ce qui sâĂ©tait passĂ© Ă la naissance de MoĂŻse, cela nâest pas Ă©crit, mais quelque chose sâĂ©tait passĂ© Ă la naissance de MoĂŻse. En effet, ses parents avaient vu cela, et ils Ă©taient tellement sĂ»rs quâils ne se sont pas souciĂ©s de ce que disait le roi. Ils savaient que leur fils serait en sĂ©curitĂ©, aussi nâont-ils pas eu peur.
5 Il a donc Ă©tĂ© retirĂ© des joncs, et â et il a Ă©tĂ© Ă©levĂ© correctement, Ă tous Ă©gards, il est allĂ© au dĂ©sert, il a conduit les enfants dâIsraĂ«l : il Ă©tait un lĂ©gislateur, un sacrificateur, et il Ă©tait en tout ce quâĂ©tait Christ. Il lâĂ©tait sous forme de type, et Christ Ă©tait lâantitype.
Eh bien, si nous remarquons bien, MoĂŻse, Ă lâĂąge dâenviron quarante ans, a refusĂ© dâĂȘtre considĂ©rĂ© comme⊠de la fille de Pharaon. La vie de MoĂŻse Ă©volue en cycle â en trois cycles : le premier cycle, quarante ans; le deuxiĂšme, quatre-vingts ans; et enfin, cent vingt ans, il est mort, juste un⊠parfait. Je peux parcourir les Ecritures et montrer cela, en rapport avec les dispensations de la grĂące, lâeau, le sang et lâEsprit; la justification, la sanctification et le baptĂȘme du Saint-Esprit; la premiĂšre, la deuxiĂšme et la troisiĂšme Venues de Christ. Tout ce que vous voulez voir sous forme de type, se trouve lĂ en plein⊠Tout dans les Ecritures arrive suivant ces â ces Ă©crits, juste comme ça.
6 Eh bien, et MoĂŻse, quand il⊠La premiĂšre tranche de quarante ans, il a appris⊠Savez-vous qui Ă©tait lâenseignante de MoĂŻse? Sa mĂšre. Il ne pouvait pas avoir de meilleure enseignante que ça; en effet, sa mĂšre Ă©tait payĂ©e comme prĂ©ceptrice pour Ă©lever son propre fils. Je vous assure, Dieu avait certainement voilĂ© les yeux Ă Satan lĂ , nâest-ce pas? Certainement. Et MoĂŻse, ayant donc appris de sa mĂšre quâil avait Ă©tĂ© Ă©levé⊠Sa mĂšre Ă©tait spirituelle, peu de choses sont dites Ă son sujet, mais frĂšre, jâaimerais ĂȘtre lĂ dans la gloire lorsquâelle recevra sa couronne (Oui, oui) pour voir ce qui se passera. Elle a enseignĂ© ce petit enfant au milieu mĂȘme de ses ennemis, lĂ mĂȘme dans cette fournaise ardente. Et elle lui a dit que câĂ©tait lui qui dĂ©livrerait les enfants de Dieu de cet endroit-lĂ .
7 MoĂŻse, sachant cela, en tant quâĂ©rudit, il a dit : «Je pense que je vais simplement rĂ©gler cette affaire.» Il avait alors quarante ans, alors il sâest dit : «Je suis assez grand pour faire cela.» Il a alors pris les choses en main, mais il a Ă©chouĂ©. Et chaque fois que nous prenons les choses en main, nous allons Ă©chouer. Suivez simplement la conduite du Seigneur. Ce que le Seigneur vous dit de faire, faites-le donc, et vous nâĂ©chouerez jamais. Vous ne pouvez pas Ă©chouer, car vous suivez la conduite du Seigneur.
Si seulement MoĂŻse avait attendu juste un peu, et quâil ait laissĂ© les choses mĂ»rir, laisser la situation atteindre⊠et la saison. Vous ne pouvez pas planter le maĂŻs maintenant, et aller le moissonner dans une heure. Vous devez le laisser lĂ , pour que â que la semence meure, pourrisse et quâune nouvelle vie sous forme de maĂŻs sorte au printemps.
Câest ainsi que nous nous y prenons donc. Nous plantons la semence dans les cĆurs des gens afin que, lorsque ce glorieux moment de la moisson arrivera (voyez-vous ce que je veux dire?), cela puisse â cela puisse se matĂ©rialiser, et ce sera une glorieuse chose.
8 Or, MoĂŻse, aprĂšs avoir pris la situation en main, sâest rendu compte quâil Ă©tait un Ă©chec total, il a fui loin de Pharaon et de la PrĂ©sence de Dieu, et il Ă©tait devenu un Ă©tranger, au loin, pendant quarante ans. Il a Ă©pousĂ© une jeune fille Ă©thiopienne qui Ă©tait alors dâun tempĂ©rament colĂ©rique. Et MoĂŻse aussi lâĂ©tait. Et câĂ©tait ça son problĂšme. Et je mâimagine que par moment les choses ne se passaient pas en toute tranquillitĂ© lĂ derriĂšre le dĂ©sert. Mais câest Dieu qui lui avait donnĂ© cela.
9 Eh bien, si vous pensez avoir Ă©pousĂ© une femme au tempĂ©rament un peu colĂ©rique, câest peut-ĂȘtre Dieu qui cherche Ă vous adoucir un peu (Voyez-vous?), la mĂȘme chose, vice-versa.
SĂ©phora Ă©tait donc une â elle avait plutĂŽt un tempĂ©rament colĂ©rique. Elle lâa dĂ©montrĂ© quand elle a coupĂ© le prĂ©puce de son fils, et lâa jetĂ© devant MoĂŻse, en disant : «Tu es pour moi un Ă©poux de sang.» Oh! la la! Je mâimagine que par moment les choses ne se passaient pas en toute tranquillitĂ©. Et puis, lĂ derriĂšre, Dieu Ă©tait⊠Que faisait-Il? Il formait le caractĂšre de ce jeune garçon, ou plutĂŽt de cet homme, par rapport au programme de Dieu de lâĂ©poque.
MoĂŻse attendait lĂ derriĂšre, et alors⊠Et il Ă©tait lĂ . Quâa-t-il fait? Il sâest mis Ă travailler pour son beau-pĂšre, Jethro, il paissait ses troupeaux lĂ au dĂ©sert. VoilĂ devant nous ce soir une image parfaite dâun croyant sans communion avec Dieu.
10 MoĂŻse Ă©tait lĂ , sans communion, et rien nâest mentionnĂ© comme quelque chose que Dieu aurait fait pour lui pendant ces quarante ans, de surnaturel ou de nâimporte quelle maniĂšre. Il nâavait pas de communion. Et dĂšs que lâĂ©glise perd la communion avec Dieu, les miracles sâarrĂȘtent, les signes et les prodiges sâarrĂȘtent, les rĂ©veils sâĂ©teignent; et Dieu se retire carrĂ©ment lorsque vous perdez la communion.
La chose Ă faire, câest de garder (câest ce que je cherchais Ă dire il y a quelque temps) lâamour de Dieu dans votre cĆur. Gardez la communion avec Lui, et Il ajoutera ces autres choses, au fur et Ă mesure que nous mĂ»rissons. Ne le pensez-vous pas?
Ainsi donc, MoĂŻse nâavait pas de communion, pas de communion lĂ , dans un pays Ă©tranger, parmi les Ă©trangers, ce nâĂ©tait pas son propre peuple⊠Sa femme Ă©tait son peuple. Ces gens-lĂ Ă©taient des Ethiopiens, mais lui Ă©tait un Juif. Et lĂ , il Ă©tait complĂštement hors de la portĂ©e de Dieu, apparemment; et Dieu le sait tout le temps, que peu importe le gĂąchis que Dieu â que lâhomme peut causer en abĂźmant le programme de Dieu, Dieu va arranger cela. Câest vrai.
11 Soyons-en donc sĂ»rs, il y aura une Eglise qui paraĂźtra devant Dieu, sans tache, sans dĂ©faut, ni ride. Dieu le fera. Et si moi je nĂ©glige de prĂȘcher la vĂ©ritĂ©, et que frĂšre Joseph nĂ©glige de prĂȘcher la vĂ©ritĂ©, et que vous les frĂšres lĂ -bas, vous nĂ©gligez de prĂȘcher la vĂ©ritĂ©, il est dit : «De ces pierres-ci, Dieu peut susciter des enfants Ă Abraham.» Il⊠Quelquâun prĂȘchera et combattra pour la foi qui a Ă©tĂ© transmise aux saints une fois pour toutes. Quelquâun ira de lâavant avec cette Eglise. Câest vrai.
Ainsi, peu importe combien lâimage a Ă©tĂ© abĂźmĂ©e, il a fallu quarante ans Ă Dieu pour arranger ce que MoĂŻse avait fait dans environ trois jours, juste pour arranger cette image-lĂ une fois de plus. Et Il a tout simplement pris MoĂŻse, lâa placĂ© lĂ et lui a donnĂ© une femme au tempĂ©rament colĂ©rique pour le redresser un peu, et Dieu a continuĂ© Ă rĂ©parer lâimage une fois de plus, jusquâĂ ce quâIl lâeĂ»t mise au point. Mais Il Ă©tait dĂ©terminĂ© Ă faire cela, et Il a ordonnĂ© Ă MoĂŻse de le faire. Oh, jâaime vraiment ça.
12 Ce quâIl est⊠Ce que Dieu est dĂ©terminĂ© Ă faire sâaccomplira. Oh, cela ne vous donne-t-il pas un sentiment merveilleux? Ce que Dieu est dĂ©terminĂ© Ă faire sâaccomplira absolument. Câest vrai. Il le fera de toute façon.
Quel temps voyons-nous donc, alors que Dieu refait Son tableau. Et un jour, alors que MoĂŻse Ă©tait sans communion avec Dieu, il sâest peut-ĂȘtre dit : «Eh bien, la vision de dĂ©livrer les enfants dâIsraĂ«l a donc complĂštement disparu, câest terminĂ©. Je pense que je vivrai et mourrai ici au dĂ©sert, et câest tout ce quâil en est. Pourquoi suis-je nĂ© dans ce monde»? Ou⊠peut-ĂȘtre en marchant lĂ . Il tenait un bĂąton en main. Il marchait lĂ , et Dieu lui est apparu sous la forme dâun â un Ange, dans un buisson ardent. Et MoĂŻse a vu cela. Je mâimagine quâil a dit : «Eh bien lĂ , Ă un endroit Ă©loignĂ© comme celui-ci, il nây a pas de bergers Ă part moi, je me demande comment ce buisson est en feu. Quelquâun sâest-il glissĂ© par ici pour mettre du feu Ă ce buisson?» Il a observĂ© cela, il a observĂ© cela, cela ne⊠Dieu a une façon dâattirer votre attention, je ne sais trop comment, nâest-ce pas?
13 Un jour, Il a attirĂ© lâattention de JaĂŻrus, le petit JaĂŻrus, alors quâil ne voulait pas croire Ă la guĂ©rison divine. Il y croyait, mais Il voulait le cĆur de JaĂŻrus, alors Il⊠Tout ce quâIl a pu faire, câĂ©tait de frapper la fille de JaĂŻrus et de la laisser mourir, afin que JĂ©sus vienne lĂ la ressusciter, juste â juste pour bien attirer lâattention de JaĂŻrus. Voyez-vous? Câest Dieu qui fait cela. Parfois, Il vous fait vous coucher sur le dos, parfois vous tombez malade, afin quâIl puisse vous amener Ă regarder en haut, et que vous vous rendiez compte.
Câest comme les histoires du vieux berger de⊠qui avait une brebis, et qui lui avait cassĂ© une patte. Et on lui a demandĂ© : «Comment cette brebis sâest-elle cassĂ© la patte?»
Il a dit : «Câest moi qui lui ai cassĂ© la patte.»
On lui a dit : «Eh bien, vous ĂȘtes un berger cruel, pour casser la patte Ă votre propre brebis.»
14 Il a dit : «Non.» Il a dit : «Cette brebis ne faisait pas cas de moi et, a-t-il dit, alors, jâai dĂ» lui casser la patte pour que je puisse la porter, la dorloter un peu, lui donner une nourriture spĂ©ciale, afin quâelle puisse mâaimer et me suivre.»
Câest ainsi que Dieu doit parfois faire, nous briser un peu de temps en temps pour nous donner un peu de nourriture spĂ©ciale, vous savez, pour nous aimer un peu plus. Savez-vous que câest exactement Ă cause de cela que je suis prĂ©dicateur de lâEvangile ce soir ? Câest parce quâIl est venu au moment oĂč jâĂ©tais malade, alors que le mĂ©decin avait dit que je ne pourrais plus vivre. Câest tout Ă fait vrai. Cela mâa changĂ©, cela mâa secouĂ©.
Je dĂ©testais lâidĂ©e mĂȘme dâĂȘtre un prĂ©dicateur. Et une fois, pendant que jâĂ©tais⊠Jâavais le championnat du poids coq, un ami a dit : «Dis donc», je portais un costume bleu. Il a dit : «Tu as lâair dâun de ces petits prĂ©dicateurs baptistes qui prĂȘchent sur des caisses.»
15 Et jâai dit : «Ecoute, mon ami, tu ris en disant ça,» ai-je dit. JâĂ©tais bien sur le point de me battre avec mon partenaire, il nây avait rien de prĂ©dicateur en moi. Voyez-vous ce que Dieu a fait? Il a dĂ» me faire coucher sur le dos, alors que les docteurs disaient : «Tout est fini.»
Et puis, Il est venu et mâa accordĂ© un petit traitement spĂ©cial, en dĂ©versant, on dirait, de lâhuile, vous savez, et Il a dit : «Bon, Je tâaime.»
Jâai dit : «Oui, Seigneur. Moi aussi, je Tâaime.» Cela Ă©tant, nous sommes donc devenus des amis. Câest ainsi que JĂ©sus sây prend parfois, Il doit dĂ©verser un peu de Baume de Galaad, vous savez, pour adoucir un peu les choses et vous montrer quâIl vous aime, Il vous guĂ©rit, Il veut que vous soyez rĂ©tabli ; et vous, vous Lâaimez, vous Le servez, vous croyez en Lui. Nâest-Il pas merveilleux?
Donc, câest comme ça quâIl a fait avec MoĂŻse lĂ -bas. Et MoĂŻse sâest tenu Ă lâĂ©cart (son attention avait Ă©tĂ© attirĂ©e), il a regardĂ© lĂ . Et il sâest dit : «Eh bien alors, MoĂŻse, tu penses donc queâŠÂ»
16 Je mâimagine que le Seigneur avait vu le pauvre vieux MoĂŻse boitiller lĂ , avec sa longue barbe blanche et ses longs cheveux blancs, se disant : «Eh bien, ça fait des annĂ©es, jâai eu une vision et je pensais que le Seigneur dĂ©livrerait certainement les enfants dâIsraĂ«l, mais le Seigneur mâa tournĂ© le dos maintenant. Je me retrouve ici derriĂšre en train de me livrer Ă une bataille acharnĂ©e. Je pense donc quâil me faudra rester comme ça.»
Et je mâimagine que Dieu a dit : «Pauvre homme, Je â Jâai dĂ» faire cela pour te laisser te rendre compte⊠Mais Je vais te montrer maintenant que Je suis avec toi.»
Alors, Il a tout simplement attirĂ© son attention lĂ . Il voulait avoir un entretien avec â avec MoĂŻse. Vous savez, parfois Dieu doit vous laisser tomber malade, et vous vous retrouvez Ă lâhĂŽpital, lĂ oĂč le mĂ©decin vous dira que vous nâallez plus vivre, pour avoir un entretien avec vous. Vous rĂ©clamerez cela, ne vous en faites pas. Attendez seulement que le mĂ©decin dise⊠Oh, vous dites : «Je ne crois pas dans la guĂ©rison divine, ça nâexiste pas. Câest du non-sens.» Laissez que le mĂ©decin dise quâil nây a plus dâespoir. Dieu vous accorde â un entretien avec vous. Ne vous en faites donc pas. Il a une façon de faire les choses. Il fait cela Ă Sa façon. AllĂ©luia! Oh! la la!, cela me donne vraiment envie de devenir un vrai mĂ©thodiste qui pousse des cris.
17 Ecoutez. En effet, câest Dieu qui fait cela. Voyez-vous? Il le fait simplement Ă Sa façon. Il⊠Il a une façon de faire des choses, nâest-ce pas? Et je suis trĂšs content de ce quâIl en a une. Amen.
Ainsi, nous voyons donc quâIl â quâIl a eu un entretien avec MoĂŻse quand ce dernier a dit : «Eh bien, câest une scĂšne trĂšs Ă©trange â Ă©trange.» Vous savez, Dieu fait parfois des choses de façon un peu Ă©trange pour avoir un entretien. Câest vrai.
Quelquâun est venu vers moi et il a dit : «Hein ! On dit quâil y a un saint exaltĂ© par ici qui va prĂȘcher ce soir. Je pense que je vais bien y aller pour voir ce quâil en est.»
Le pasteur baptiste de Milltown, qui est chez moi Ă lâĂ©glise baptiste de Milltown, ce soir, William Hall, cet homme-lĂ Ă©tait venu parce quâon avait fait une annonce dans un journal, disant : «Dites donc, vous devriez venir entendre ce gars prĂȘcher. Câest un petit Billy Sunday.»
18 Alors, il est arrivĂ© lĂ , et oh, câĂ©tait quelquâun du commun de mortel. Les cheveux lui pendaient au visage, il avait une dent ressortie, et il tenait une grande pipe dâĂ©pi de maĂŻs, quâil a tapĂ©e sur le mur de lâĂ©glise, comme ça, alors quâil lâĂ©teignait, il est entrĂ© et a dit : «OĂč est ce petit Billy Sunday? Jâaimerais lâentendre.»
Les frĂšres diacres ont dit : «Eh bien, asseyez-vous, Monsieur Hall.» CâĂ©tait un gars difficile.
Et puis, il a dit : «Peut-ĂȘtre que je ferais mieux de mâapprocher davantage. Jâaimerais voir Ă quoi ressemble ce Billy Sunday», a-t-il dit, sâen moquant simplement. Voyez-vous? Et ce soir-lĂ , il fut sauvĂ©. Amen. Et câest lui qui est le pasteur lĂ , dans cette mĂȘme Ă©glise ce soir.
19 Voyez-vous? Dieu a une façon de vous attirer, nâest-ce pas? Il vous amĂšnera une fois Ă lâĂ©cart.
Alors, Il sâest dit : «Eh bien, ceci paraĂźtra un peu Ă©trange Ă MoĂŻse, quelque chose dâextraordinaire. Je vais donc envoyer cette Colonne de Feu lĂ , dans ce buisson, et laisser cela⊠En effet, câest Cela qui le conduira tout Ă travers le dĂ©sert, aprĂšs tout. Ainsi donc, Je vais simplement laisser cela brĂ»ler, pour faire venir MoĂŻse ici.»
Il a donc attirĂ© lâattention de MoĂŻse. Alors, ce dernier sâest davantage approchĂ©, vous savez, et il sâest dit : «Eh bien, ceci paraĂźt Ă©trange. Cette chose ne se consume pas.» Lorsquâil sâen est assez approchĂ©, du point de vue de la distance⊠Oh, jâaimerais arriver lĂ , pas vous ? Du point de vue de la distance. Juste mâen approcher, du point de vue de la distanceâŠ
Il a dit : «Moïse.»
Il a dit : «Oui, Seigneur. Me voici.»
«Ăte donc tes souliers. Le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte.»
MoĂŻse a donc ĂŽtĂ© ses souliers, il sâest davantage approchĂ©, il a dit : «Quâest-ce, Seigneur?»
20 Et Il a dit : «Jâai entendu⊠Eh bien â eh bien, MoĂŻse, Je ne te dis rien sur ce que Jâai vu en toi, mais Jâai entendu les gĂ©missements de Mon peuple, et Je me suis souvenu de Mon alliance avec Abraham (Amen. Sa Parole, en dâautres termes). Je me souviens de Ma promesse Ă Abraham.».
La mĂȘme promesse quâIl avait faite Ă Abraham, Il vous lâa faite, car vous ĂȘtes la semence dâAbraham. Et Il a dit : «Je me souviens de Ma promesse Ă Abraham, et Je suis descendu pour dĂ©livrer Mes enfants, pour les ramener Ă la Terre Promise, et Je tâenvoie.»
MoĂŻse a dit : «Oh! eh bien, Tu vois que je â je ne parle pas trĂšs bien.» Il a dit : «Je ne suis pas Ă©loquent.» Et il a dit : «Je â je ne parle pas bien.» Et il a dit : «Jâai la langue embarrassĂ©e.» Il a dit : «Je suis â je â je ne peux absolument pas faire cela.» Il a dit : «Eh bien, ah, Aaron est en route vers ici», et tout le reste.
Et alors Il a dit : «Quây a-t-il dans ta main, MoĂŻse?»
Il a dit : «Un bĂąton.» Câest tout ce quâil avait, juste un vieux bĂąton quâil avait ramassĂ© quelque part lĂ au dĂ©sert, câĂ©tait avec ça quâil donnait des coups aux â aux brebis pour les faire franchir les portes, il les faisait avancer avec partout oĂč il allait. Juste un vieux bĂąton quâil avait coupĂ©, en effet il a dit que câĂ©tait un bĂąton.
21 Dieu a dit : «MoĂŻse, jette-le par terre.» Et quand MoĂŻse lâa jetĂ© par terre, il est devenu un serpent. Il⊠MoĂŻse a fui. Et Dieu a dit : «Ramasse-le.» Et MoĂŻse lâa pris par la queue et cela est redevenu un bĂąton.
MoĂŻse, je pense, a pu dire : «Jâai vu des scĂšnes Ă©tranges aujourdâhui», alors â en voyant ce bĂąton devenir un serpent. Eh bien, que reprĂ©sentait ce bĂąton? Câest ce dont nous allons parler. Que reprĂ©sentait ce bĂąton?
Ce nâĂ©tait plus un bĂąton ordinaire. En effet, câĂ©tait la verge du jugement du Dieu Tout-Puissant. Que reprĂ©sentait cela? La croix. Et puis⊠Pourquoi⊠Comment cela reprĂ©sentait-il la croix? En effet, dans le naturel, câĂ©tait le bois. Dans le spirituel, ça devenait un serpent. Et comment un serpent peut-il reprĂ©senter JĂ©sus?
Le serpent, devenu un reptile, un serpent, reprĂ©sentait le pĂ©chĂ© dĂ©jĂ jugĂ©. Car Satan avait introduit le pĂ©chĂ© dans le jardin dâEden par le serpent, celui-ci nâĂ©tait pas un reptile ; câest le chaĂźnon manquant entre lâhomme et lâanimal. Il se tenait debout lĂ comme un â ou â ou il marchait tout droit, et il Ă©tait le plus rusĂ© de toutes les bĂȘtes (pas des reptiles), des bĂȘtes des champs. Et aprĂšs quâil a Ă©tĂ© maudit, il a Ă©tĂ© dĂ©pouillĂ© de ses jambes et il a rampĂ© sur le ventre. Et cela montrait quâil Ă©tait dĂ©jĂ jugĂ©, quand il Ă©tait devenu un reptile.
22 Et alors, Christ Ă©tait devenu pĂ©chĂ© sous forme du serpent dĂ©jĂ jugĂ©, lâAgneau immolĂ© depuis la fondation du monde. Voyez-vous cela?
Bon, il a ramassĂ© le bĂąton, et ce que ce bĂąton avait de surnaturel, câest que ça devenait un serpent. Le surnaturel, câest que ça devenait un serpent dans la main de MoĂŻse. Le naturel, câest que câĂ©tait un bĂąton dans la main de MoĂŻse; la croix plus Christ, le jugement.
Voici MoĂŻse descendre en Egypte, comme je lâai souvent dit : «CâĂ©tait lâinvasion par un seul homme.» Il amenait sa femme, il Ă©tait vite parti la chercher, il lâavait placĂ©e sur un mulet, avec un enfant Ă chaque hanche, et le voilĂ se diriger vers lâEgypte, allant lĂ pour faire la conquĂȘte. Pouvez-vous vous reprĂ©senter une invasion par un seul homme, qui va en Egypte pour faire la conquĂȘte? Mais il lâa fait, parce que Dieu avait promis quâil le ferait.
23 Et pendant quâil Ă©tait lĂ , quand MoĂŻse arriva, il agita son bĂąton sur les fleuves, et ils sont devenus du sang. Puis, il agita cela vers le ciel et le soleil devint noir. Et dans toutes les directions oĂč il pointait ce bĂąton devant lui, un jugement frappait. Le jugement prĂ©cĂ©dait le bĂąton, car ce bĂąton Ă©tait la verge du jugement. Comprenez-vous cela?
Eh bien, quand il voulait des mouches, il levait ce â ce bĂąton en lâair, comme ça, et il rĂ©pandait de la poussiĂšre, et quand la poussiĂšre sâĂ©parpillait au vent, les mouches venaient de partout : le jugement, le jugement divin.
Il a fait descendre le feu du ciel, lâĂ©clair sur la terre, de grandes grĂȘles et tout, qui ont tuĂ© le bĂ©tail, et ont tuĂ© les Egyptiens, et tout le reste : le jugement, le jugement de Dieu devant MoĂŻse.
24 Bon, de mĂȘme que MoĂŻse allait avec le bĂąton de jugement devant lui, de mĂȘme pour lâEglise ce soir, ce bĂąton, câest JĂ©sus-Christ. Si ces Egyptiens avaient donc pu arracher ce simple petit bĂąton des mains de MoĂŻse, ils lâauraient fouettĂ© avec. Et quand le â quand le diable a rĂ©ussi Ă priver la DivinitĂ© au Nom de JĂ©sus-Christ, il a fouettĂ© lâEglise. Mais de mĂȘme que le bĂąton de jugement prĂ©cĂ©dait MoĂŻse pour apporter le jugement, pour apporter le jugement, de mĂȘme le Nom de JĂ©sus nous prĂ©cĂšde pour recevoir notre jugement, endurer le jugement de nos maladies, endurer le jugement de notre mort, endurer le jugement de nos troubles.
Prends le Nom de Jésus avec toi,
Comme bouclier contre tout piĂšge,
Quand les tentations tâenvironnent,
Murmure ce saint Nom dans la priĂšre.
25 Lorsque la maladie commence Ă tâenvironner, murmure ce Nom de JĂ©sus. Quâest-ce? Câest le symbole du jugement de Dieu : Christ dĂ©jĂ jugĂ© pour vos pĂ©chĂ©s; Christ dĂ©jĂ jugĂ© pour votre tentation; Christ dĂ©jĂ jugĂ© pour votre maladie. Voyez-vous ce que je veux dire? CâĂ©tait la verge du jugement de Dieu. Et tant que cette verge Ă©tait agitĂ©e, le jugement frappait.
Cette nuit-lĂ , MoĂŻse, aprĂšs avoir fait sortir les enfants dâIsraĂ«l⊠lâarmĂ©e de Pharaon vint lĂ , la Colonne de Feu descendit, et Elle se suspendit entre IsraĂ«l et Pharaon avec son armĂ©e qui pourchassait. Elle Ă©clairait IsraĂ«l et projetait des tĂ©nĂšbres sur Pharaon, et Elle les a gardĂ©s sĂ©parĂ©s (amen), sâinterposant entre les deux. Oh! je suis trĂšs content aujourdâhui quâIl sâinterpose entre nous deux.
Dans la maladie, Il sâinterpose entre la mort et la vie, Il sâinterpose Ă mon profit. Il est Celui qui tient la mort dans une main et la vie dans lâautre. Il est le lien qui unit lâhomme Ă Dieu, le trait dâunion.
26 Alors Il est descendu pour sâinterposer entre les deux. Et Il a Ă©clairĂ© du cĂŽtĂ© dâIsraĂ«l pour quâils continuent Ă marcher, et Il a projetĂ© des tĂ©nĂšbres pour retenir Pharaon. Ce mĂȘme Ange de Dieu se trouve dans lâEglise ce soir, Ă©clairant lâEglise pour quâElle continue Ă marcher et projetant des tĂ©nĂšbres sur ceux qui rejettent Cela. Nous, nous sommes les enfants de la LumiĂšre. Amen.
Comment pouvez-vous voir alors que vous marchez dans les tĂ©nĂšbres? Vous ne le pouvez pas. Vous ne savez pas oĂč vous allez. Mais si vous ĂȘtes dans la lumiĂšre, et Christ est la LumiĂšre⊠Et Il Ă©claire ces croyants, tandis quâIl projette des tĂ©nĂšbres sur les incroyants. Il indique le chemin au croyant, et pour lâincroyant, ce sont les tĂ©nĂšbres et le tĂątonnement.
27 Et il en est de mĂȘme ce soir. Pendant que nous marchons vers la Terre promise, Dieu projette la LumiĂšre sur le sentier de la guĂ©rison divine, du parler en langues, des cris, des gloires de Dieu, Il manifeste cela aux enfants de la LumiĂšre, et Il projette des tĂ©nĂšbres lĂ derriĂšre, afin que les autres trĂ©buchent, ne sachant pas oĂč ils vont.
Rappelez-vous, ce mĂȘme bĂąton, cette main qui tenait cette verge de jugement, quand MoĂŻse est descendu lĂ , il y avait lĂ le sentier de Dieu, passant par la â la mer Rouge, il a agitĂ© cela sur la mer Rouge, et la mer Rouge, voyant le jugement, eut peur et recula, de part et dâautre, formant des piliers. Et les enfants dâIsraĂ«l, en marche, ont traversĂ© le fond de la mer Ă sec.
28 Et quand les incirconcis ont tentĂ©, prĂ©tendant ĂȘtre quelque chose alors quâils nâĂ©taient rien, quand ils se sont mis Ă faire la mĂȘme chose, Dieu les a simplement confondus, Il a enlevĂ© les roues Ă leurs chars, Il a effrayĂ© les chevaux, lĂ au fond de la mer, et câĂ©tait un trĂšs grand fatras. Et de lâautre cĂŽtĂ©, ce mĂȘme jugement, lĂ oĂč il y avait le pĂ©chĂ© dans la vallĂ©e⊠Gloire Ă Dieu. Savez-vous ce qui se passera? Cette mĂȘme Colonne de Feu, qui leur servait de guide, quand Elle est descendue dans cette vallĂ©e, Elle est passĂ©e droit au-dessus de lâeau et a frayĂ© un chemin que les autres qui suivaient derriĂšre sans la conduite du Saint-Esprit, nâont pas pu suivre le chemin que les circoncis avaient suivi. AllĂ©luia! Oh, cela fait que je me sens religieux, dây penser.
29 La bataille est engagĂ©e. Un jour, il nous faudra en arriver Ă ces deux immenses vallĂ©es sombres, ou plutĂŽt des piliers appelĂ©s une vallĂ©e, câest lĂ oĂč nous serons entourĂ©s des murs, de part et dâautre, la vallĂ©e de lâombre de la mort. David a dit : «Je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi.»
Et alors, ils ont vu cette glorieuse et grande LumiĂšre de la Colonne de Feu tournoyer au-dessus de lâeau, ils ont vu ces immenses collines Ă©pouvantables qui Ă©taient lĂ , peut-ĂȘtre que lâeau avait 40 brasses de fond [72 m â N.D.T.], tout au fond, dans cette boue, au fond, et lâAnge du Seigneur conduisait. IsraĂ«l savait que si lâAnge du Seigneur prĂ©cĂ©dait, frayait une voie, alors il nây avait pas Ă craindre sur la voie. Amen.
Un de ces jours, il nous faudra aussi traverser la vallĂ©e de lâombre de la mort, juste comme eux autrefois. Nous ne craindrons aucun mal, tant que lâEtoile du matin ira devant nous, Ă©clairant la voie, nous permettant de marcher. Et juste de lâautre cĂŽtĂ©, il y a la Terre promise. Amen. Je suis trĂšs heureux pour cela. Remarquez.
Puis, lorsquâils sont arrivĂ©s de lâautre cĂŽtĂ©, ces incirconcis ont dit : «Eh bien, si eux ont Ă©tĂ© capables de faire cela, nous aussi nous le pouvons», mais ils se sont noyĂ©s dans la mer, ils Ă©taient confus, ils ont Ă©tĂ© noyĂ©s et ils ont coulĂ© dans la mer.
30 Les autres ont continuĂ©. Un jour, quand ils ont eu besoin dâeau, Dieu a parlĂ© Ă MoĂŻse⊠Ecoutez attentivement. Oh, jâaimerais que vous compreniez cette partie-ci. En voici le lien dâor. Ils â le peuple avait soif, et ils se sont demandĂ© : «OĂč pouvons-nous trouver Ă boire? Nos petits enfants meurent de faim.»
Lorsque leurs petits enfants Ă©taient tombĂ©s malades, Dieu avait Ă©levĂ© un serpent dâairain, un autre symbole, un autre bĂąton, comme celui que MoĂŻse tenait en main, seulement câĂ©tait sous forme dâun symbole avec un serpent enroulĂ© sur cela. QuâĂ©tait-ce? Le jugement. Ils ont tirĂ© profit de leur police dâassurances (Amen.), tirer profit du Calvaire. Eh bien, MoĂŻse⊠JĂ©sus a dit : «Comme MoĂŻse Ă©leva le serpent dâairain dans le dĂ©sert, il faut de mĂȘme que le Fils de lâHomme soit Ă©levĂ©.»
31 Il a Ă©tĂ© Ă©levĂ© pour deux raisons (comme ils se faisaient des reproches, se disputaient les uns avec les autres, se querellaient et mĂ©prisaient MoĂŻse. Ils ont pĂ©chĂ© et ils sont tombĂ©s malades), et ce serpent a Ă©tĂ© Ă©levĂ© pour deux raisons : pardonner leur Ă©tat de rĂ©trograde et guĂ©rir leurs maladies. «Et Il Ă©tait blessĂ© pour nos pĂ©chĂ©s, et câest par Ses meurtrissures que nous avons Ă©tĂ© guĂ©ris.»
Câest lâEcriture, chaque partie de Cela, chaque Parole, la Parole Ă©ternelle de Dieu, qui ne peut jamais passer⊠Amen. Je suis trĂšs heureux de ce fondement, qui a Ă©tĂ© posĂ© par JĂ©sus-Christ, la Pierre Angulaire. Et nous sommes les pierres qui forment ensemble le temple du Dieu vivant, par notre confession et notre foi au Seigneur JĂ©sus-Christ. La mĂȘme LumiĂšre qui Ă©tait parmi eux se dĂ©place dans ce bĂątiment.
32 Observez MoĂŻse⊠Eh bien, il est dit quâil sâen alla, pria et dit : «Eternel, ce peuple a maintenant soif, mais il nây a pas dâeau Ă leur donner, et ils me rĂ©clament de lâeau.» MoĂŻse et Aaron sont allĂ©s Ă la tente dâassignation, ils se sont prosternĂ©s devant lâEternel, et la Gloire de la Shekinah de Dieu les a environnĂ©s. Amen! La Gloire de la Shekinah, la PrĂ©sence de Dieu les a environnĂ©s.
Eh bien, frĂšre, Cela nâest pas plus que ce que vous avez senti dans une bonne rĂ©union du Saint-Esprit Ă lâancienne mode, lorsque la Gloire de la Shekinah de Dieu descendait parmi vous, câest la mĂȘme chose.
MoĂŻse a levĂ© les mains devant Dieu, il Ă©tait pratiquement transfigurĂ© devant eux, Dieu a dit : «MoĂŻse, jâirai devant toi, Je me tiendrai Ă la brĂšche, sur le rocher.» Jâaime ça. «Jâirai devant toi et Je me tiendrai sur le rocher pour pourvoir Ă une voie pour toi. Et lorsque tu arriveras lĂ , frappe le rocher. Prends donc la verge et convoque le peuple, et va frapper ce rocher, il fera sortir de lâeau du rocher.» Oh! la la! «Je Me tiendrai sur le rocher devant toi.»
Ecoutez. MoĂŻse a dĂ» attendre. Dieu a prĂ©cĂ©dĂ© MoĂŻse et sâest tenu sur le rocher. Et jâaimerais que vous remarquiez lâapplication spirituelle de cela. Lorsque nous voyons la Parole de Dieu se dĂ©voiler simplement, vous ne faites que â ne faites que vous baigner lĂ -dedans. Je peux, et je sais que vous le faites aussi.
33 Et lĂ , MoĂŻse a donc pris la verge, le bĂąton du jugement, il sâest rendu au rocher, et Dieu se tenait lĂ sur le rocher. Et MoĂŻse a frappĂ© le rocher. Et alors, les eaux ont jailli, pas un tout petit flot, comme on le voit dans le tableau des artistes. Ăa, je peux le faire tarir Ă force de boire, si jâavais soif. Mais regardez. Il en a jailli assez dâeau pour abreuver deux millions de gens, plus leurs chameaux et leurs bĂȘtes. Ăa jaillissait Ă flots⊠AllĂ©luia!
Câest un beau type de ce que JĂ©sus a dit, quâIl Ă©tait le Rocher qui Ă©tait dans le dĂ©sert â dans le dĂ©sert. Il nâest pas Ă©tonnant que les gens aient criĂ© en ce jour-lĂ , lorsquâIl est arrivĂ© Ă JĂ©rusalem, montĂ© sur ce cheval, ce petit mulet. Alors les gens ont criĂ©, ces gens de Nazareth ont criĂ© : «Hosanna ! Hosanna Ă Celui qui vient au Nom du Seigneur !»
Certains de ces sacrificateurs empesés et prétentieux ont dit : «Faites taire ces gens.»
«Eh bien, a-t-Il dit, sâils se taisent, ces pierres crieront aussitĂŽt.»
34 Câest quoi, ces pierres? Ces pierres ont Ă©tĂ© lavĂ©es par ces mĂȘmes Eaux, ou arrosĂ©es par la Parole. Ils doivent crier. Il a dit : «Sâils se taisent, ces pierres crieront aussitĂŽt.» Quelque chose devait se passer. Les pierresâŠ
Remarquez, plus tard, lorsquâils ont eu besoin dâeau, tout ce quâils devaient faire, câĂ©tait parler au rocher. Un jour, ils ont eu faim, et ils se sont mis Ă chercher Ă manger, ils ont trouvĂ© du miel dans le creux du rocher, suspendu dans le creux.
Le creux, câest le symbole de la â la marque de la lance dans le flanc du Seigneur JĂ©sus. Le creux dans le rocher, câest lĂ que ça a Ă©tĂ© frappĂ©, et lĂ , un essaim dâabeilles Ă©taient venues former une ruche. Et il y avait du miel dans le rocher. Amen. Quelle belle chose !
Samson, lorsquâil allait voir sa femme, son amie, un lion surgit⊠CâĂ©tait un tout petit homme, dâĂ peu prĂšs cette taille, il avait sept petites boucles des cheveux qui pendaient, câĂ©tait un drĂŽle de petit ayant lâair femmelette, et les gens nâarrivaient pas Ă comprendre comment un tel homme pouvait ĂȘtre si fort. Et un Ă©norme et vieux lion a surgi, il sâest dit : «Eh bien, eh bien, regardez-moi ça, ce qui arrive.» Samson, un drĂŽle de tout petit homme, effĂ©minĂ©, sâest tenu lĂ . Et ce lion a surgi, et il Ă©tait de loin plus grand que Samson. Et alors, quâest-il arrivĂ©?
35 Ce nâest pas Samson qui sâest avancĂ© le premier pour dire : «Tiens, je vais te dĂ©chirer», mais lâEsprit de lâEternel est venu sur lui. Câest ce qui avait fait la chose. Il a tĂątĂ© derriĂšre, il a senti ces sept tresses qui pendaient. CâĂ©tait lâalliance. Il nâa donc pas eu peur du lion. En face de la mort, il nâa pas eu peur de cela.
Si vous pouvez tĂąter derriĂšre⊠Si Samson a pu sentir les sept tresses, et reconnaĂźtre que câĂ©tait une alliance parce quâil Ă©tait nĂ© nazirĂ©en, Ă combien plus forte raison un homme nĂ© du Saint-Esprit peut-il sentir la puissance de Dieu et reconnaĂźtre que câest lâAlliance pour tuer lâennemi qui est devant lui. Quâil sâagisse de la maladie, quâil sâagisse de la tentation, quoi que ce soit, vous ne pouvez pas supporter cela, quand lâEsprit de Dieu vient.
36 Il sâest avancĂ© et a saisi ce lion, lui un petit bout dâhomme aux cheveux bouclĂ©s, il a saisi ce lion par les mĂąchoires et lâa dĂ©chirĂ©. AllĂ©luia! Tout ce dont vous avez besoin, câest dâune seule chose : Christ, lâAlliance. Pouvez-vous tĂąter cela? Amen. Oh! la la! LâAllianceâŠ
Alors, quand il a dĂ©chirĂ© ce vieux lion, juste comme si câĂ©tait un tout petit lapin ou quelque chose comme cela, il lâa taillĂ© en piĂšces, comme ceci, et il a jetĂ© son vieux cadavre lĂ , et sâen est allĂ© lĂ . Quelques jours aprĂšs, il est passĂ© par lĂ , il y avait une ruche dâabeilles qui Ă©tait formĂ©e lĂ -dedans. Et il a mangĂ© le miel le plus doux quâil ait jamais mangĂ©, dans cette ruche dâabeilles qui Ă©tait formĂ©e dans la carcasse du lion qui allait le tuer. En effet, lâEsprit de Dieu Ă©tait descendu et lâavait dĂ©livrĂ©.
37 Et si vous avez un problĂšme ce soir, et que vous sentiez lâEsprit de Dieu se mouvoir sur vous, taillez cette chose en piĂšces. Et la chose suivante, vous savez, vous aurez un tĂ©moignage qui Ă©branlera les bardeaux de la maison. Amen. Vous ĂȘtes dans lâalliance, circoncis par le Saint-Esprit. Amen. Manger du miel doux, câest vraiment bon.
Alors quelquâun se tiendra lĂ et dira : «Oui, frĂšre, je crois dans la guĂ©rison.»
Grùce étonnante, quel doux son,
Qui sauva un vil comme moi,
Autrefois, jâĂ©tais perdu, mais maintenant, je suis retrouvĂ©.
JâĂ©tais aveugle, mais maintenant, je vois. Amen.
38 Autrefois, on me conduisait par le bras, je portais de trĂšs grosses lunettes, comme ça, et câest Ă peine si je voyais oĂč jâallais, mais maintenant jâai un tĂ©moignage. Car jâai reconnu ma position en JĂ©sus-Christ. Il a fait une alliance, jâai reçu cela et jâai cru en Lui. Et aujourdâhui, câest du miel doux Ă manger, le dire aux autres. Maintenant, remarquez une fois de plus, vite. Nous allons en arriver lĂ âŠ
Alors, quand le rocher a Ă©tĂ© frappé⊠Câest un trĂšs beau type⊠Ces gens pĂ©rissaient et se mouraient. Et câĂ©tait un type de «Dieu a tant aimĂ© le monde quâIl a donnĂ© Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne pĂ©risse point, mais quâil ait la Vie Eternelle.»
39 Au milieu dâun peuple qui pĂ©rissait, qui mourait, une nation qui pĂ©rissait, qui mourait, Dieu a tant aimĂ© ceux qui Ă©taient indignes. Regardez Ă quel point ils Ă©taient indignes. Mais Dieu a tant aimé⊠Oh, nâeĂ»t Ă©tĂ© Son amour, Dieu aurait dĂ©truit le monde entier ce soir. Mais Il ne le peut pas. Son amour ne le Lui permettra pas. Ainsi «Il a tant aimĂ© le monde quâIl a donnĂ© Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne pĂ©risse point, mais quâil sâabreuve gratuitement des Eaux de la Vie. Que quiconque veut vienne.» Il y en a assez, des bĂ©nĂ©dictions de bontĂ© coulent Ă flots. «Celui qui croit en MoiâŠÂ» En dâautres termes, prenez cela comme ceci : «Celui qui croit en Moi, une trĂšs grande source jaillira du sein de son Ăąme, elle bouillonnera jusque dans la Vie Eternelle.» Oh, quelle belle chose!
40 Remarquez, Dieu a pris tous les jugements de la mort. La mort qui devait me frapper, lâenfer oĂč je devais aller, Dieu, avec Ses jugements de la mort et de la maladie, Christ Lâa rencontrĂ© Ă la brĂšche, Il Ă©tait suspendu entre les cieux et la terre. Et Dieu Lâa frappĂ©, Ă cause de lâiniquitĂ© de nous tous.
Et lĂ , le jugement a frappĂ©. Et ce soir, cet emblĂšme de la croix, câest un bandeau aveuglant sur les yeux du monde, mais pour ceux qui continuent Ă marcher avec la croix devant eux, le prix du jugement a Ă©tĂ© payĂ©.
Regarde à Jésus maintenant et vis.
Car câest Ă©crit dans Sa Parole, allĂ©luia,
Ce nâest que ça que nous regardons pour vivre.
41 Si vous ĂȘtes malades, regardez et vivez. Si vous ĂȘtes dĂ©couragĂ©s, regardez et vivez. Si vous avez des ennuis, regardez et vivez. Si vous ĂȘtes morts dans le pĂ©chĂ© et dans les offenses, regardez et vivez. Câest tout. Car la croix va devant nous.
Dieu place devant nous cet emblĂšme, la croix, sachant que câest par lĂ que vient⊠Câest juste comme le serpent, ce nâĂ©tait pas le bĂąton; câĂ©tait le serpent qui Ă©tait prĂ©sentĂ© lĂ , qui faisait lâexpiation. Ce nâest pas la croix en bois que nous portons, câest le Saint-Esprit qui est enroulĂ© sur ce â ce grand signe-lĂ , lâemblĂšme sur le Calvaire, lorsque la Vie du Saint-Esprit qui Ă©tait en Christ Ă©tait sortie de Lui. Cela est allĂ© à «quiconque peut vienne», depuis cette croix. Et la croix, câest le signe de Dieu devant nous ce soir pour suivre JĂ©sus. Oh! la la!
42 Je pense Ă Dieu, se tenant lĂ sur le rocher. Dieu Ă©tait ce rocher, et la verge du jugement de MoĂŻse⊠Le jugement, le jugement de Dieu a frappĂ© Christ, Il est mort Ă notre place, Lui lâInnocent pour les coupables. Et de Lui est sortie la cellule de sang. Et le sang qui donne la Vie a coulĂ© de Son dos afin que nous puissions ĂȘtre guĂ©ris; et cela a coulĂ© de Son cĆur, afin que nous puissions ĂȘtre sauvĂ©s; et cela a coulĂ© sur Son front et tout, pour notre iniquitĂ©, pour notre paix, et tout cela Ă©tait sur Lui. Et Il Ă©tait lĂ , un malfaiteur qui saignait, suspendu entre le ciel et la terre, Il Ă©tait lĂ oĂč le Dieu saint, en regardant du haut des cieux, ne voyait plus le pĂ©cheur, car Il regardait au travers du jugement dont le prix avait Ă©tĂ© payĂ© lĂ -bas, tout le prix suprĂȘme. Oh! jâespĂšre que vous voyez cela, mon ami chrĂ©tien!
43 Et il a regardĂ© lĂ . VoilĂ . Et pour Dieu, câest terminĂ©. Le prix est payĂ©. Vous ĂȘtes libre. Câest ça le problĂšme quâont les gens ce soir. Ils ne savent pas quâils sont libres.
Il y a quelque temps, un vieux fermier avait un â avait un champ de maĂŻs. Les corbeaux passaient continuellement picorer son maĂŻs, alors il a dressĂ© un piĂšge et il en a attrapĂ© un. Il a dit : «Je vais une fois pour toutes rĂ©gler la question pour les autres; il a liĂ© ce corbeau par les pattes Ă une clĂŽture, et ce pauvre vieux corbeau boitillait en sautillant, boitillait en sautillant, il nâarrivait pas Ă sâen aller, parce quâil Ă©tait liĂ©. Il crevait de faim, il mangeait tout ce quâil y avait tout autour, ce quâil pouvait atteindre. Il mourait de faim. Et il Ă©tait arrivĂ© au point oĂč il ne pouvait tout simplement plus sâenvoler ni sautiller.
44 Tous les autres corbeaux passaient par lĂ et lui criaient : «Viens, Johnny Corbeau. Allons au sud. Lâhiver arrive. Tu vas mourir lĂ . Allons, Johnny Corbeau.»
Il disait : «Je ne le peux pas. Je suis lié.»
Un jour, un homme de bien est passĂ© par lĂ . Il a dit : «Ce pauvre vieux corbeauâŠÂ» Il lâa vu boitiller tout autour. Il sâaffaiblissait. Alors, il a pris le vieux corbeau, il lâa un peu tapotĂ©, il lui a dĂ©liĂ© les pattes, comme ça, il lâa libĂ©rĂ©, il a dit : «TrĂšs bien, mon vieux, va-t-en.»
Cet homme sâen est allĂ©. Mais le vieux corbeau a continuĂ© Ă tourner en rond, dĂ©crivant le mĂȘme cercle â le mĂȘme cercle. Voyez-vous? Il avait Ă©tĂ© dĂ©liĂ©, mais il ne le savait pas. Les autres corbeaux sont passĂ©s par lĂ et ont dit : «Viens, Johnny Corbeau. Allons au sud. Lâhiver arrive.»
Il a dit : «Je ne le peux pas. Je suis toujours lié.»
45 Câest pareil ce soir pour les hommes et les femmes qui ne connaissent pas leur position en JĂ©sus-Christ. Le diable peut vous avoir liĂ© avec la tuberculose, il peut vous avoir liĂ© avec un cancer, il peut vous avoir liĂ© avec plusieurs choses. Mais Christ, lâHomme de bien, a endurĂ© votre jugement, lĂ , Il vous a libĂ©rĂ© ce soir. Que Dieu bĂ©nisse votre cĆur. Vous pouvez vous Ă©lever par la puissance du Saint-Esprit. Nâallons pas au sud, mais marchons vers la Gloire comme la grande ArmĂ©e du Dieu vivant. Nous sommes libres. Ne pouvez-vous pas entendre les autres dire : «Viens»?
Autrefois, jâĂ©tais liĂ© par une chaĂźne du pĂ©chĂ©, mais ce soir je suis libĂ©rĂ© par JĂ©sus-Christ. Amen.
46 Le jugement, certainement, Christ a portĂ© notre jugement, Lui lâInnocent pour les coupables. Il a Ă©tĂ© fait pĂ©chĂ©, afin que nous ne soyons plus de pĂ©cheurs. Il a Ă©tĂ© fait⊠Câest notre maladie quâIl a portĂ©e, afin que nous nâayons plus Ă porter cela. Câest notre chagrin quâIl a portĂ©, afin que nous nâayons plus de chagrins «comme les autres qui nâont pas dâespĂ©rance», dit lâEcriture. Il Ă©tait⊠Tout ce dont nous avons besoin se trouve juste en Lui. Croyez-vous cela? Certainement.
Croyez-vous cela pour votre affection de cĆur, vous la dame assise lĂ ? Croyez-vous cela pour votre maladie de cĆur? Acceptez-vous rĂ©ellement cela de tout votre cĆur, maintenant? Alors câest votre maladie de cĆur quâIl a portĂ©e; vous nâavez donc plus cela. Amen. Si vous le croyez, vous pouvez lâobtenir. AllĂ©luia! Certainement.
47 «Il Ă©tait blessĂ© pour nos pĂ©chĂ©s, brisĂ© pour nos iniquitĂ©s, le chĂątiment qui nous donne la paix est tombĂ© sur Lui, et câest par Ses meurtrissures que nous avons Ă©tĂ© guĂ©ris.» AprĂšs quâIl⊠Ce Rocher a Ă©tĂ© frappĂ© une seule fois, Dieu a parlĂ© Ă MoĂŻse, Il a dit : «Vas-y, MoĂŻse. Tout ce que tu as Ă faire maintenant, câest te mettre Ă parler Ă ce rocher. DĂ©sormais, chaque fois que tu as besoin dâeau, parle-lui. Tu nâas plus Ă le frapper. Tu nâas pas Ă marteler toute la nuit. Tu nâas pas Ă tâinquiĂ©ter, implorer, prier, jeĂ»ner et ainsi de suite. Parle simplement au Rocher (AllĂ©luia), et Il te donnera de Ses Eaux.» Amen. «Parle au Rocher, et Il fera jaillir Ses Eaux.»
Tenez, il y eut une fois une femme atteinte dâune perte de sang, et qui avait dĂ©pensĂ© tout son bien. Aucun mĂ©decin nâarrivait Ă la guĂ©rir. Et un jour, elle longeait la rive, et elle vit ce Rocher spirituel passer en roulant, alors elle a parlĂ© au Rocher. Juste comme cette femme a fait ici, il y a de cela quelques minutes, elle a parlĂ© au Rocher et du Rocher ont jailli les Eaux de guĂ©rison. AllĂ©luia!
48 Il y eut un petit homme du nom de JaĂŻrus qui, Ă vrai dire, aimait le Seigneur, mais câĂ©tait un adorateur en secret. Et un jour, sa fillette mourut. Il nây avait plus dâespoir, mais il a parlĂ© au Rocher, et le Rocher lui a donnĂ© non seulement lâeau, mais aussi la Vie, les Eaux de la Vie, gratuitement.
Dâautres femmes, Marthe et Marie, aimaient JĂ©sus. Celui-ci a quittĂ© leur maison. Et leur frĂšre Ă©tait mort et pourrissait lĂ dans la tombe. Un jour, elles ont appris que le Rocher passait en roulant dans la ville. Marthe qui traĂźnait un peu Ă faire cuire de bons dĂźners pour JĂ©sus, et tout, elle nâaccordait peut-ĂȘtre pas beaucoup dâattention aux choses spirituelles, mais dans son cĆur, elle croyait cela. En effet, elle a alors montrĂ© ce quâelle Ă©tait. Elle est sortie en courant, elle sâest agenouillĂ©e et a parlĂ© au Rocher. Et en retour, le Rocher a parlĂ© Ă lâEternitĂ© et a ressuscitĂ© un homme mort, en le faisant sortir de sa tombe. AllĂ©luia!
49 Une nuit, quand un groupe de gens Ă©taient lĂ dans une drĂŽle de petite pirogue qui Ă©tait en train de tanguer comme un bouchon de liĂšge, de place en place, il nây avait plus dâespoir pour eux dâĂȘtre sauvĂ©s. Et il est arrivĂ© quâils se sont rendus compte que lĂ , Ă lâarriĂšre de la pirogue, se trouvait le Rocher. Ils ont parlĂ© de leurs difficultĂ©s au Rocher et il y a eu du calme, les vents se sont repliĂ©s et sont retournĂ©s Ă leur creux. AllĂ©luia! La mer qui Ă©tait agitĂ©e sâest calmĂ©e, comme un enfant que la mĂšre berce en chantant. Elle⊠ils ont parlĂ© au Rocher et le Rocher a produit la â la substance quâils rĂ©clamaient.
Etes-vous en bons termes avec Lui ce soir pour Lui parler ? Pouvez-vous Lui parler de votre mal de poitrine â de poitrine, vous qui ĂȘtes assis lĂ ? Croyez-vous que Dieu vous a guĂ©ri? Vous venez de Lui parler, nâest-ce pas? Nâest-ce pas que vous avez dit : «Seigneur, guĂ©ris-moi»? Vous Lui avez parlĂ©, et votre mal de poitrine a quittĂ© maintenant. «Parle au Rocher. Il donnera de Ses Eaux.» AllĂ©luia!
50 MoĂŻse, lorsque son temps Ă©tait arrivĂ© et que tout avait Ă©chouĂ©, Dieu a dit : «Monte», et il est montĂ© au sommet du Mont Nebo pour voir la Terre promise. La mort est venue lĂ en tourbillonnant dans lâair. MoĂŻse savait que la mort Ă©tait tout autour de lui. Alors, il a regardĂ© tout autour, il a regardĂ© et lĂ Ă cĂŽtĂ© de lui, il y avait â il y avait un Rocher.
MoĂŻse est montĂ© sur le rocher. Il lâavait suivi tout au travers du dĂ©sert, ou plutĂŽt le rocher avait suivi MoĂŻse. Il est montĂ© sur le rocher, et Dieu lui a envoyĂ© les porteurs des cercueils, les Anges, et ils lâont emmenĂ©, loin du rocher. AllĂ©luia! Ce rocher lâavait nourri lorsquâil avait faim, il lui avait donnĂ© de lâeau lorsquâil avait soif, et il lâa amenĂ© Ă la maison dans la GloireâŠ?⊠à sa mort.
51 Ma priĂšre ce soir, câest : «Seigneur JĂ©sus, amĂšne-moi au-dessus des choses du monde au point oĂč je pourrai ĂȘtre en bons termes avec Toi pour Te parler. Afin quâun jour, lorsque je parcourrai la vallĂ©e de lâombre de la mort, je mâattende Ă voir ce Rocher se tenir lĂ .» AllĂ©luia! «Garde-moi en bons termes pour Lui parler. Je veux moi-mĂȘme Lui parler.»
Vous avez besoin de Lui parler. Il est ici ce soir et Il est en bons termes avec chacun de vous pour lui parler, si vous voulez Lui parler. Croyez-vous cela? Pour tout ce dont vous avez besoin, levez-vous maintenant mĂȘme. Oh! la la!
Oh, jâai envie de mettre cette Ă©glise sur mes Ă©paules, je peux marcher avec cela. Quoi? Le Rocher, JĂ©sus-Christ est ici.
52 Oh, je ne suis pas excitĂ©. Je sais exactement oĂč je me tiens. Je sais exactement de quoi je parle. Oh! si seulement je pouvais exprimer mes sentiments! Si seulement je pouvais dire Ă cette audience ce que je ressens rĂ©ellement en Ă©tant sous lâonction de ce Rocher, JĂ©sus-Christ! Il a dĂ©jĂ payĂ© le prix de votre jugement, câest votre maladie quâIl a portĂ©e, câest votre chagrin quâIl a portĂ©, la question est rĂ©glĂ©e devant Dieu. Avez-vous peur de vous confier en Lui?
Vous nâavez pas Ă ĂȘtre jugĂ©. Vous nâavez pas Ă vous considĂ©rer comme digne, jamais vous ne serez digne. Mais Christ qui a payĂ© le prix Ă©tait digne Ă votre place. Ne cherchez pas Ă racheter quelque chose, vous nây arriverez pas, car vous nâavez pas dâargent pour cela. Mais Dieu a lâargent, Il a envoyĂ© Christ, Il a payĂ© la facture, Il vous a rachetĂ© de votre maladie, de vos chagrins, de vos ennuis, de votre pĂ©chĂ© et de votre Ă©tat de rĂ©trograde. Il a envoyĂ© lâargent, câĂ©tait JĂ©sus-Christ, et Il a fait un dĂ©pĂŽt en banque au Calvaire, sur le Mont Golgotha. Et ce soir, chacun de vous est libre, si seulement vous croyez cela.
53 Ă Christ de Dieu, je Te parle, comme MoĂŻse autrefois, en faveur de ces gens qui pĂ©rissent Ă cause des maladies et des ennuis. Ă Dieu Ă©ternel, redresse la tĂȘte depuis les collines Ă©ternelles, Seigneur, et reçois ces gens dans Ton Royaume et recon⊠Seigneur, puisse le Saint-Esprit oindre tellement ces gens, ce soir, quâils sentiront leur alliance, comme Samson autrefois, lorsquâil tĂątait la chevelure de lâalliance. Puisse le Saint-Esprit envelopper chaque cĆur ce soir au point que les gens se rendront compte que câest lâalliance que Tu fais avec eux, et quâils peuvent sâen aller libres.
Je condamne chaque maladie, chaque affection, chaque pĂ©chĂ©. Je le dis en tant que Ton serviteur, Seigneur, avec des paroles dâhumilitĂ© envers Toi, mais avec une rĂ©primande acerbe contre le diable : «Satan, tu as perdu la bataille. Tu ferais mieux dâabandonner. Au Nom de JĂ©sus-Christ, sors de chaque personne qui est ici, afin quâelle puisse ĂȘtre libre.» Amen.
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