Le Puissant conquérant

Date: 58-0329 | La durée est de: 56 minutes | La traduction: Shp
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1 Restons debout juste un instant pendant que nous prions.
Notre Dieu miséricordieux, ce soir, nous sommes reconnaissants pour le temps et le privilège de nous rassembler une fois de plus pour Te servir. Nous ne savons pas ce que cette soirée nous réserve, mais nous faisons confiance à Ta grâce, qu’elle pourvoira à tout ce dont nous avons besoin. Nous Te demandons d’être miséricordieux envers ceux qui ont vraiment besoin du salut ce soir. Puissent-ils venir à cette Fontaine remplie du Sang, tiré des veines d’Emmanuel. Puissent les malades et les affligés venir aussi aux Eaux guérissantes, abandonnant ce soir à la piscine leurs béquilles, leurs brancards, leurs maladies et leurs afflictions. Agite l’eau, Seigneur, accorde à Ton peuple la grâce de croire à Ta Parole et à Ta Présence.
Et ce soir, quand nous quitterons, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : « Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin ? » Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2 Les jeunes gens ont donc des bandes, et celle-ci sera la dernière soirée où ils pourront les vendre. Toute vente s’arrête ce soir, car nous ne vendons pas le dimanche. Nous faisons juste… J’en ai toujours fait un principe, ne pas vendre le dimanche. Toutes les bandes… Ils ont quelque cinq cents messages qui remontent à l’époque où nous tenions de longues lignes de prière sans être enroué.
Monsieur Mercier les a là derrière, au kiosque, je ne sais où. J’ai dit là derrière, c’est devant. Et vous pouvez en acheter. Ils les vendent moins cher.
Il n’y a pas longtemps, j’ai commandé une bande d’un évangéliste, et elle coûtait environ neuf dollars. Ces jeunes gens vendent les leurs à trois dollars, je pense. Et ils en gagnent juste assez, à peine, pour pouvoir rester dans des réunions avec moi.
Ce Monsieur Mercier et monsieur Goad, l’un d’eux était catholique, et l’autre, je ne sais pas… Je ne pense pas qu’il était membre d’une quelconque église, Gene. Ils se sont transformés en petits agents de FBI pour venir vérifier si ces visions se produisaient à la maison ou pas. Vous n’en voyez qu’un aspect. Ici, vous n’en voyez qu’un moindre aspect. C’est à la maison que se produisent les véritables visions. Ce qui arrive ici, c’est ce que vous provoquez par votre propre foi. A la maison, c’est ce que Dieu opère ; et ailleurs, quand nous sommes seul, à la pêche, ou quelque part, on se détend un peu.

3 Nous avions des livres, mais jamais je n’en ai écrit un seul, cependant c’est monsieur Lindsay qui les écrit, ou c’est plutôt lui qui a écrit l’un. Monsieur Stadsklev a écrit l’autre. Mais nous sommes complètement à court de deux. Nous en aurons d’autres bientôt.
Eh bien, demain, c’est le sabbat, et il y aura de bons prédicateurs ici qui croient dans ce genre de ministère. Ils parrainent, et collaborent dans cette réunion. Ils seront très heureux de vous avoir dans leurs églises. Et je dis que je souhaiterais que vous fréquentiez l’une de ces bonnes églises, demain, si vous êtes en visite ici. Je suis sûr que vous aurez un accueil chaleureux, et peut-être qu’ils ont déjà pris des dispositions pour cela.
Et alors, demain après-midi, il y aura un autre service ici à 14h30’. Et ensuite, demain soir, il y aura le service de clôture à 19h30’. Nous serons contents de vous revoir à ces moments-là; nous espérons et nous croyons que demain soir, comme toujours, ce sera la soirée la plus glorieuse pour la guérison. Car c’est toujours la, cette grande expectative, on attend, c’est soit qu’on va entrer maintenant ou pas.

4 Généralement, cela suscite… Parfois, généralement, il y a vingt fois plus de gens guéris la dernière soirée, parce qu’ils ont été bien édifiés, ils ont observé et attendu, puis, ils ont placé leur… ils ont exercé leur foi. Eh bien, si votre église a un service demain soir et que vous êtes malade, demandez simplement à votre pasteur ; je suis sûr qu’il vous permettra de venir, si vous n’entrez pas dans cette ligne ou qu’on ne prie pas pour vous ce soir.
S’il y a un quelconque mérite à attribuer à la famille Branham, il revient à ma femme. C’est elle qui se tient entre le public et moi. Je suis allé la chercher aujourd’hui. Je pensais être timide, elle l’est plus que moi.
Je lui disais ce que je vous avais dit hier soir, que comme je suis né en 1909, je suis censé avoir environ vingt-cinq ans. Mais je crois qu’il me faut arrondir cela à vingt-sept, parce que ça fait vingt-sept ans que je prêche, et les autres années n’ont pas compté après tout ; il n’y a que celles pendant lesquelles j’ai prêché et servi le Seigneur.
J’ai demandé à ma femme : « Chérie, aimerais-tu monter à l’estrade ? »
Elle a dit : « Je m’évanouirais. » Mais je vais lui demander de bien vouloir se lever juste un instant, pour vous permettre de connaître la femme la plus douce au monde, mon épouse, madame Branham [L’assemblée applaudit. – N.D.E.] Merci. Elle est assurément timide. J’en entendrai parler plus tard.

5 Frère Vayle lui avait dit : « J’aimerais vous inviter sur l’estrade, soeur Branham. » Elle a dit qu’elle avait même eu peur de venir à la réunion, redoutant qu’il le fasse, alors elle a attendu pour venir avec moi.
Eh bien, ce soir, nous aimerions lire une portion des Ecritures dans le Livre de l’Apocalypse, chapitre 6, et nous… juste comme passage des Ecritures. J’aimerais lire les deux premiers versets.
Je regardai, quand l’Agneau ouvrit un des sept sceaux, et j’entendis l’un des quatre êtres vivants qui disait comme d’une voix de tonnerre : Viens.
Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre.
Je souhaiterais prendre pour sujet juste pour quelques instants : Le Puissant Conquérant.

6 Il y a environ trois ans, Billy et moi atterrissions à Lisbonne, au Portugal, et nous sommes allés au vieux musée d’esclaves. Il y avait des écrits en anglais que nous pouvions lire. Alors, nous avons vu qu’il y avait eu là un vaillant héros (Je ne me rappelle pas son nom pour l’instant) qui avait conquis ce pays. Et puis, après que les Turcs l’eurent occupé pendant plusieurs années, vinrent les Espagnols, puis un autre héros était venu. Il l’avait conquis et en a reçu toute sa gloire. Les héros et les conquérants, les héros et les conquérants… C’est ce qui s’est passé tout au long de l’âge. Et un… Le mot conquérant veut dire vainqueur. C’est un grand mot, et c’est un – un mot remarquable.
Il y a quelque temps, je me suis tenu là où Constantin s’était tenu, alors qu’il était en route vers Rome, et qu’il était troublé par cette bataille qui venait. Et certains des ses soldats, évidemment, étaient des chrétiens ; et les chrétiens étaient tous dans la servitude sous l’Empire romain. Alors cette nuit-là, pendant qu’il dormait, le Seigneur a dû lui apparaître. Il vit en songe une croix blanche. Une voix lui a parla, disant : « Par ceci tu vaincras. »

7 La première fois que j’ai lu cela, mon coeur en était vraiment réjoui : « Par ceci, tu vaincras. » Et il a réveillé tous ses soldats à minuit, et il leur a fait peindre une croix blanche sur leurs boucliers, car c’était par la croix qu’ils allaient conquérir. Et ils ont conquis.
Et puis, il y a environ trois ans, j’ai eu le privilège de me retrouver en Belgique. Je me suis arrêté là pendant quelques instants, à Bruxelles, pas très loin de Waterloo.
Et là, j’ai trouvé un petit livre, alors j’ai lu sur Napoléon; quel vaillant guerrier il fut ! Et, en réalité, il n’était pas Français. Pour commencer, il méprisait les Français, mais il est allé s’associer avec eux, et puis... un vaillant soldat et un conquérant.
Et juste à quelques kilomètres de là où je me tenais se trouvait une partie de l’ancienne relique. Alors, j’ai lu sur sa vie, son ambition de réaliser quelque chose de grand. Il s’y prenait par des signes dans la lune et dans des étoiles. Et quand il était un jeune homme, il était un prohibitionniste.

8 Et à l’âge de trente-trois ans, il a conquis le monde. Et comme il n’y avait plus rien pour lui à conquérir, il s’est assis et a pleuré. Il n’y avait plus personne à conquérir. Il avait déjà conquis le monde. Il avait conquis les gens au point que ceux-ci s’évanouissaient rien qu’à entendre le nom de Napoléon.
On avait tellement peur de lui que les mamans, quand ils allaient mettre leurs enfants au lit la nuit, au lieu de dire : « Si tu ne te montres pas gentil, le croque-mitaine va venir t’attraper. » Elles disaient : « Si tu ne te montres pas gentil, Napoléon va venir t’attraper. » Les enfants plongeaient en toute vitesse leurs petites têtes sous la couverture. Il tenait à ce que tout le monde ait peur de lui. Mais une chose juste telle que la peur ne conquiert jamais la chose correcte.

9 Je me souviens d’un vaillant héros qui est très souvent oublié dans nos lectures. Beaucoup parmi vous, les hommes et les femmes de mon âge, peuvent se souvenir de lui. Cela était arrivé en Suisse il y a plusieurs années.
La Suisse, c’était des Allemands qui étaient allés s’installer là dans des montagnes. Ils ne voulaient pas de guerre. Ils étaient allés s’y installer pour vivre paisiblement. Et ils sont toujours un peuple pacifique.
Alors, un jour, les étrangers ont envahi la Suisse, ils allaient arracher aux Suisses leur pays; ceux-ci ont quitté leurs maisons, ils sont descendus dans les-les vallées pour affronter cette armée qui venait à leur rencontre.
Et, oh ! ça a dû être un spectacle pitoyable ce jour-là, de voir une poignée de petits Suisses acculés contre les montagnes tenant des morceaux de bois, des bâtons, des pierres, des faux et des sabres pour combattre avec.
Et à leur rencontre venait une armée si puissante et si bien entraînée : tout le monde était revêtu des armes, de très longues lances bien affûtées, devant eux, et chaque personne marchait parfaitement au pas.

10 Et là se tenaient les petits Suisses qui ne savaient que faire. Et, finalement, il y eut un jeune homme du nom d’Arnold von Winkelried qui s’avança. Et il dit : « Hommes suisses, aujourd’hui, je vais donner ma vie en sacrifice pour ma nation. » Il dit : « Ce matin, de l’autre côté de la montagne, j’ai embrassé ma femme ainsi que mes trois petits enfants pour la dernière fois en guise d’au revoir. Je ne les reverrai plus jamais. » Et il a dit : « Je veux que vous tous, vous veilliez sur eux, mais aujourd’hui, je dois donner ma vie en sacrifice pour la Suisse. »
Ils lui ont demandé : «Arnold von Winkelried, que vas-tu faire ? »
Il a dit : « Suivez-moi simplement et battez-vous avec tout ce que vous avez. » Il a regardé tout autour jusqu’à repérer là où il y avait la plus grande concentration de lances. Il a levé les mains vers le ciel et a crié à tue-tête, disant : « Place à la liberté! » Il s’est mis à courir. Et il a de nouveau crié : « Place à la liberté ! »
Et comme il fonçait vers l’armée, les mains levées, la poitrine exposée aux lances, plus d’une centaine de lances se braquèrent sur lui, il les saisit se les enfonça dans son sein, et il est mort là avec ces lances dans son sein.
Une telle démonstration d’héroïsme dérouta les étrangers, et ils étaient en débandade. Alors, les Suisses les ont pourchassés avec leurs morceaux de bois et les bâtons, et ils ont bouté cette armée hors du pays. Et, depuis lors, ils n’ont plus jamais connu de guerre. C’était une véritable victoire, une véritable conquête. Jamais cela n’a été égalé ni dépassé, une telle démonstration d’héroïsme.

11 Et aujourd’hui, quand les hommes veulent parler des héros, oh ! comme ils aimaient adorer les héros… Et nous apprécions cela, mais, oh ! frère, il n’y a jamais eu un héros comme le Seigneur Jésus.
Un jour, quand la race d’Adam était acculée, investie par les puissances du diable, toutes les grandes unités du spiritisme et toutes sortes d’ismes avaient investi la race d’Adam ; les maladies, les afflictions et tous les ennemis de la race humaine avaient investi la race d’Adam. Mais il y en eut Un qui parla au Ciel, disant : « Je vais descendre sur la terre pour donner Ma vie pour la race d’Adam. » Et Il est descendu sur la terre, Il a repéré là où il y avait la plus grand concentration des lances : la mort. Il a foncé là, Il a attrapé la lance de la mort dans Son précieux coeur au Calvaire et Il a conquis la mort.

12 Et quand Il est rentré dans la Gloire, Il a envoyé le baptême du Saint-Esprit à Ses sujets, en disant : « Prenez Ceci et combattez de toutes vos forces avec. » Oh ! frères, l’homme cherche à prendre autre chose, prenons ce que Christ nous a envoyé pour combattre avec, tout ce qui est en nous. Il ne nous faut pas être des gens entraînés. Il nous faut être bien disposés. Dieu veut des ouvriers bien disposés. Napoléon, à l’âge de trente-trois ans, s’était assis et avait pleuré, c’était un alcoolique, il fut vaincu, avant que son royaume passât. Mais Jésus, à l’âge de trente-trois ans, a conquis la mort, le séjour des morts et la tombe. Oh ! Il était le Puissant Conquérant. Quand Il était ici sur terre, la maladie faisait front à la race d’Adam.
Et un jour, aussitôt après que Son ministère eut commencé, Jésus entra chez Simon Pierre. Et la belle-mère de celui-ci était couchée malade, elle avait la fièvre. Jésus toucha simplement sa main, et Lui, le Puissant Conquérant, a conquis cette fièvre et celle-ci l’a quittée.

13 Un jour, un groupe de démons dans un homme du nom de Légion a affronté Jésus. Cet homme maîtrisait tout le monde, alors personne ne pouvait même pas passer là où il était. Les démons allaient et possédaient ce pauvre homme, au point que ce dernier secouait et brisait des chaînes en deux. Et la police ne pouvait rien faire contre lui. Et quand ces démons venaient sur lui, il pouvait même briser les chaînes, parce que les démons lui donnaient ce genre de force. Je me demande ce soir, vous qui êtes dans des civières et des fauteuils roulants, si un homme oint par le diable à ce point-là voit sa force humaine multipliée par trois ou par quatre, que pourrait faire un homme oint du Saint-Esprit ? Il pourrait…?... plier ces fauteuils roulants, s’en allait pour la gloire de Dieu si l’onction de l’Esprit du Dieu vivant venait sur lui. Et cette légion possédait cet homme… « Que dites-vous donc là, Frère Branham, que des légions viennent sur les justes ? »
La Bible dit : « Les anges de Dieu campent autour de ceux qui L’aiment. »

14 Un jour, il y avait un vieux prophète à Dothan, son nom était Elisée. Et un matin, Guéhazi, son serviteur, se leva et voici, toute l’armée de la Syrie avait entouré Elisée. Alors, il a dit : « Mon père, nous sommes envahis par toute l’armée de la Syrie. » Et ce vieux prophète, aussi calme que possible, se réveilla et promena son regard sur des dizaines de milliers de soldats. Alors, il a dit : « Eh bien, ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux. » Mais le jeune homme ne voyait pas cela.
Il a dit : « Ô Dieu, ouvre les yeux de ce jeune homme pour qu’il voie. » Et quand Dieu lui a ouvert les yeux, les montagnes étaient embrasées, les chars de feu étaient tout autour de ce vieux prophète.
Et l’Esprit du Seigneur Dieu est dans cette salle ce soir pour libérer et affranchir. Car le Puissant Conquérant a payé le prix, et les hommes ont le droit d’être guéris et être renvoyés quittes. Oh ! combien précieuse est Sa Parole pour nous ! Les démons ont été conquis. La maladie a été vaincue.
Un soir, sur un océan orageux, alors qu’il n’y avait plus d’espoir, la petite barque était sur le point de sombrer, les disciples ont vu Jésus venir en marchant sur l’eau, ils ont eu peur parce qu’ils pensaient que c’était un fantôme. C’est exactement ainsi que sont les gens aujourd’hui, n’est-ce pas ? Il était l’unique Etre qui pouvait les secourir. C’était leur unique espoir. Et pourtant, ils eurent peur de Lui.

15 Et aujourd’hui… Oh ! suivez-moi. L’unique espoir qu’il y a aujourd’hui, c’est ce dont les gens ont peur. C’est le réveil à l’ancienne mode, à la saint Paul, et le retour au Saint-Esprit de la Bible. Ne pensez pas que cela vous amènera à mal vous comporter. Ça, c’est le travail du diable, faire que vous ayez peur de Christ. Mais c’est l’unique salut qui reste pour chaque nation, c’est le Seigneur Jésus et la puissance de Sa résurrection. Mais les gens En ont peur.
Mais avez-vous remarqué, peu importe combien ils priaient, combien ils étaient organisés à tirer la barque, comment ils pouvaient disposer leurs voiles (En effet, c’étaient des marins et des pêcheurs), mais c’est quand le Puissant Conquérant est entré dans la barque que les vents et les vagues ont aussitôt cessé.

16 Quelque chose change quand Il arrive. Vous ne serez plus jamais le même quand Jésus arrive. Vous n’avez jamais rien vu qui puisse prendre Sa place. Aucun plaisir du monde ni rien ne pourra jamais prendre la place du Puissant Conquérant.
Je pense que l’Association des Alcooliques Anonymes, c’est une bonne chose. Mais elle ne prendra jamais la place de Jésus-Christ. Je pense que les médecins et les hôpitaux, c’est une bonne chose. Les médicaments, c’est bien, mais ils ne prendront jamais la place du baptême du Saint-Esprit. Impossible, un point trait. Il n’y a rien là qui puisse le faire, car ce sont des produits fabriqués par l’homme, par leur propre force. Il faut le Saint-Esprit béni pour y arriver.

17 Quand Il était sur terre, Il était un Puissant Conquérant. Et puis, Il a conquis quelque chose d’autre. C’était la croix. Et la croix, c’était la mort. C’était un symbole de l’exécution publique. Et Le voilà partir. Considérons-Le juste un moment. Oh ! vous, mon ami, ce soir, vous qui vous tenez là debout jusqu’à avoir mal aux pieds, vous qui êtes restés assis ici pendant des heures, jetons un coup d’oeil.
Le voilà gravir Golgotha. Il y a du bruit dans la rue. Je peux entendre certains dire : « Voilà passer ce fanatique religieux. Voilà passer Celui qui démolissait nos églises. » Ecoutez-les. Et je peux Le voir gravir la colline, Son petit visage pâle tout enflé, et le tas de crachats de moqueurs suspendus à Sa barbe, une couronne d’épines placée sur Sa tête, du sang et des larmes chaudes de tristesse dégoulinant de Ses joues. C’est une façon de conquérir, n’est-ce pas ?

18 Les hommes et les femmes ne sont pas disposés à souffrir pour conquérir. Cependant, c’est uniquement par la souffrance que vous pouvez vaincre.
Le voilà partir. Chaque fois que la croix cognait contre le vieux pavé, Il éprouvait une douleur au niveau de Ses petites épaules. Et j’ai remarqué de petites taches rouges partout sur Sa robe. Et plus Il gravit la colline, davantage ces petites taches s’agrandissent. Peu après, elles forment toutes une seule immense tache de sang. Et Son fardeau cognait contre Ses jambes… L’abeille de la mort s’est mise à bourdonner autour de Lui. Il devait goûter l’aiguillon de la mort. Et quand cette abeille s’est mise à bourdonner autour de Lui, Il a reconnu que la mort L’attendait. Mais Il devait vaincre. C’était le but de Sa naissance, conquérir, pas avec une bombe atomique, mais en sacrifiant Sa vie à Jéhovah Dieu.
Le voilà gravir la colline, l’abeille commence à bourdonner de plus en plus fort. Et, finalement, elle enfonce son aiguillon dans la chair la plus précieuse qui ait jamais vécu sur terre. Il était Dieu. Ecoutez, mes amis. Quand une abeille ou un insecte qui a un aiguillon… si jamais cette abeille enfonce bien profondément l’aiguillon, elle le perd, elle ne peut plus piquer.

19 Et c’est pourquoi Dieu a été fait chair. Jésus-Christ était plus qu’un prophète. Il était Dieu manifesté dans la chair, et l’aiguillon de la mort est resté dans Sa chair, et Il l’a arraché au Calvaire. La mort n’a plus d’aiguillon pour un croyant, car le Puissant Conquérant a conquis la mort au Calvaire.
Une trentaine d’années plus tard, à sa mort, bien prêt, Paul a dit : « Ô mort, où est ton aiguillon ? Où est ton aiguillon ? » Jésus avait arraché l’aiguillon de la mort. Il avait conquis l’aiguillon au Calvaire. Béni soit Son Saint Nom. Il a arraché l’aiguillon de la mort pour vous et moi. Par Sa mort et par notre mort, cela ne peut plus nous piquer. Oh ! elle peut bourdonner et faire une grande parade, mais elle n’a plus d’aiguillon. Son aiguillon… Je peux pointer le Calvaire et dire : « C’est là que ton aiguillon a été conquis dans la chair du Seigneur Jésus. » Oh ! Je L’aime. Là, Il conquit la mort. Ce n’était pas fini pour Lui. On a fait descendre Son petit corps avec l’aiguillon dedans et on L’a déposé dans la tombe de Joseph. Mais la Bible dit que Son âme est descendue dans le séjour des morts. Il a continué à conquérir. Il est allé prêcher aux âmes en prison, à celles qui ne s’étaient pas repenties du temps de Noé.

20 Suivons-Le, vous et moi, pendant quelques minutes. Maintenant, vous avez une idée de ce qu’Il était. Nous Le voyons conquérir la mort au Calvaire. Voilà Son âme descendre dans les régions des perdus, des hommes et des femmes, Il ouvre la porte de cette prison sombre, il y avait là de belles jeunes dames qui dansaient elles-mêmes. Il y avait là les prédicateurs qui avaient rejeté le message de Dieu. Il y avait dans cette prison des membres d’église, des athées, des païens, des Juifs, tous ceux-là qui avaient refusé d’écouter le message d’un homme juste.
Et je peux Le voir frapper à la porte, et dire : « C’est Moi, dont Enoch avait parlé, disant que Je viendrais. C’est Moi le Fils de Dieu né de la vierge. Je viens de mourir sur la terre, et Je dois vous attester que Je suis l’accomplissement de cette Parole-là. »

21 Aucune miséricorde ne pouvait être accordée, et les portes étaient fermées. Son âme était descendue jusque dans l’abîme même sans fond du séjour des morts. Et là, un coup est frappé à la porte. Le diable ouvre la porte. Et il dit : « Oh ! Te voila. Je pensais T’avoir eu quand j’ai fait tuer Ada… Abel. J’étais sûr de T’avoir eu chaque fois que je tuais les prophètes. Et quand j’ai fait décapiter Jean, j’étais pratiquement sûr. Mais finalement, Tu es arrivé. »
Je peux L’entendre dire : « Satan, tu as fait ton dernier bluff. Je suis le Conquérant. Mon Sang est encore chaud sur la croix du Calvaire. Tu ne vas plus bluffer ces gens. Je suis descendu te dire que J’ai payé le prix de leurs péchés et de leurs maladies. Car le prophète a dit que Je serais blessé pour leurs péchés, et que c’est par Mes meurtrissures qu’ils seraient guéris. Je suis venu te dire que tu as perdu la bataille. La dette a été payée. » Il a arraché les clés de la mort et du séjour des morts qui étaient à son flanc. Il lui a donné un coup et l’a précipité dans la fournaise où se trouve sa place…

22 Il y en a d’autres qui attendent. Il y a une place appelée paradis où il y avait beaucoup d’autres personnes ; c’étaient des gens qui étaient morts avec une bonne foi. Ils aimaient Dieu, mais ils ne pouvaient pas entrer dans la Présence de Dieu parce qu’ils étaient sous le sacrifice d’un animal. Le sang d’un animal ne pouvait pas faire l’expiation pour le sang humain.
Savez-vous que quand la vie se forme, il y a un esprit dans la cellule du sang ? Et quand l’adorateur offrait le sang de l’agneau et que cette cellule était brisée, cet agneau prenait simplement la place du véritable Agneau. Alors, quand l’adorateur plaçait ses mains sur le petit agneau, alors que la gorge de celui-ci était tranchée, les mains de l’adorateur étaient couvertes de sang ; alors, le petit agneau, gigotant, mourait. Finalement, il se raidissait et c’en était fini de lui. L’adorateur rentrait avec le même désir qu’auparavant : commettre l’adultère, mentir, voler. Pourquoi ? La cellule de sang, une fois brisée, la vie qui était dans la cellule du sang, c’était la vie d’un animal. Elle ne pouvait pas revenir sur la vie de l’homme.
Mais quand le Fils de Dieu, une fois cette cellule de sang brisée, le Saint-Esprit qui était en Lui revient sur l’adorateur, et il n’a plus le désir de pécher. L’adorateur est parfaitement purifié et libéré. Alors, Il a dit : « Satan, J’ai vaincu. »

23 Il va au paradis. Observons-Le un moment. Il doit conquérir le paradis. Abraham, Isaac et Jacob, ils se promenaient au paradis. Et, puis après, on a frappé à la porte d’une façon étrange. Abraham ouvre la porte, il se tient là, étonné. Il dit : « Sara, viens un instant ici. Reconnais-tu Celui qui Se tient là ? »
Eh bien, elle répondit : « Abraham, mon seigneur, c’est le même Homme qui était venu à la tente ce jour-là, qui avait le dos tourné vers moi alors que je riais sous cape. Puis, Il s’était retourné et m’avait dit que j’avais ri. »
Oh ! la la ! Vers ce moment-là, Daniel, curieux, ne pouvait plus se contenir. Il s’est avancé en courant. Il a regardé par-dessus l’épaule de Sara et a dit : « Voilà cette Pierre que j’avais vue se détacher sans le secours d’aucune main. »

24 Ezéchiel ne pouvait pas se contenir plus longtemps. Il a dit : « Que se passe-t-il, frères ? » Il regarde par-dessus l’épaule de Daniel, il dit : « Frères, c’est la Roue dans la Roue que j’avais vue tourner là loin dans l’air. »
Il a dit : « J’ai conquis. Sortons. La prochaine chose à conquérir, c’est la tombe. Venez, allez avec Moi, Mes enfants. »
Je peux entendre Abraham dire : « Pouvons-nous faire un petit arrêt ? »
« Oui, Je vais juste parler à Mes disciples pendant quarante jours. »
Le matin de Pâques, Il a conquis le sceau romain. Il a conquis la tombe de Joseph. Il a brisé le sceau, Il a détruit la corruption et Il est ressuscité triomphalement.

25 Le voilà monter dans les airs avec Ses disciples, avec les saints de l’Ancien Testament, Il dépasse la lune, les étoiles, des sphères et des sphères. Et peu après, ils voient la cité. A votre avis, qu’est-ce qui s’est passé ? Regardons dans la Bible et voyons ce qui s’est passé. Je vais citer la prophétie de David. Les saints de l’Ancien Testament, quand ils ont aperçu la cité, Jésus était en tête de l’armée en marche. Les saints de l’Ancien Testament se sont écrié : « Portes éternelles, élevez vous, élevez-vous, que le Roi de Gloire fasse Son entrée. » Et tous les anges se sont rassemblés au sommet du bâtiment.
Vous savez, on dit que quand Néron conquérait une ville, les gens s’évanouissaient, criaient et le considéraient comme un dieu. Quand Adolphe Hitler est entré en France, il s’est tenu à l’Arche de Triomphe pendant des heures, tous les cieux étaient sombres avec des avions, et des soldats marchant au pas de l’oie…
Et quand Staline est entré en Allemagne, après la victoire de la Russie, des dizaines de milliers de soldats russes croisaient leurs jambes et esquissaient le salut de victoire alors que Staline était là debout pendant des heures. Oh ! cela a dû être une chose glorieuse!

26 Il n’y a pas longtemps, je parlais à un soldat, il disait : « Billy, après que j’eus combattu pendant si longtemps, quand notre navire est entré au port de New York… » Il a dit : « J’avais passé quatre ans outre-mer. Tout ce que j’avais vu, c’était l’enfer et la mort. » Il a dit : «Certains soldats étaient estropiés, d’autres sans jambes, d’autres sans bras. On nous a tous amenés sur le pont. »
Il a dit : « Quand j’ai vu la statue de la liberté là, et que j’ai reconnu que je passais sous son bras… Juste là derrière il y avait tout ce qui m’est cher : Ma maman, mon papa, ma femme, mes enfants. » Il a dit : « Les soldats se sont écroulés sur le pont en pleurant. » Et si cela fait agir ainsi un homme qui a passé quatre ans dans la bataille, le fait de revenir à la maison, qu’en sera-t-il quand nous passerons sous la vieille croix rugueuse, quand la dernière bataille aura été menée et que nous aurons vaincu ? Oh ! Quel moment ce sera !

27 Et quand on leur rétorqué : « Qui est le Roi de Gloire ? »… Alors, les saints de l’Ancien Testament se sont écrié : « L’Eternel des armées, Puissant dans la bataille. » Vous connaissez les Ecritures. Le grand ange Gabriel doit avoir enfoncé un bouton. Ces immenses portes se sont ouvertes. Juste sous l’Arche de la vieille croix rugueuse passèrent Jésus ainsi que les soldats de l’Ancien Testament. Juste là dans les rues de Jérusalem, ils passèrent avec des anges, chantant et criant (Quel accueil à la Maison!) jusque devant ce grand Trône blanc. Et Il a dit : « Père, voici ceux qui ont cru en Toi. J’ai conquis et la mort et le séjour des morts, et la tombe. »
Et je peux entendre le Père dire, Il a dit : « Assieds Toi sur Mon Trône ici, Fils, jusqu’à ce que Je fasse de Ton ennemi Ton marchepied. » Et Jésus est monté à la droite du Dieu du Ciel, sur Son Trône dans les lieux très hauts. C’est là qu’Il est assis ce soir. Quelques heures auparavant, c’était : « Voici, voici l’Homme de chagrin. Regardez-Le exposé.» Mais Il se tient là, le Puissant Conquérant, depuis qu’Il a déchiré le voile en deux.

28 Il a tiré les rideaux afin que nous puissions regarder de l’autre côté du rideau de temps. Il a ôté chaque bluff du diable en payant tout le prix et, ce soir, Il est le Conquérant. Et la Bible dit que nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés.
Ainsi, les chrétiens qui sont ici ce soir ont la situation sous contrôle. Nous avons vaincu le péché ; nous avons vaincu la mort ; nous avons vaincu le séjour des morts ; nous avons vaincu la tombe ; nous avons vaincu la maladie, parce que Jésus est pour nous le Puissant Conquérant.
Cette Parole, c’est la grâce. Cette Parole a été écrite pour servir de grâce. De savoir qu’Il est un Puissant Conquérant, c’est la grâce pour chacun de vous, si vous le recevez comme grâce. Il y a quelque temps, un homme allait être fusillé. Il avait commis un crime militaire. Il – il avait été condamné à mort. Alors, un bon ami à lui est allé voir Abraham Lincoln qui était alors président des Etats-Unis d’Amérique. Il a imploré miséricorde pour son ami.
Et monsieur Lincoln, qui était plutôt pressé, prit un morceau de papier et un stylo, et y griffonna : « Je soussigné, Abraham Lincoln, gracie tel homme. » Et cet homme l’a remercié et a détalé vers la prison.

29 Son ami prisonnier a dit : « Oh ! Je ne crois pas ça. Ça n’a pas l’air vrai. Ça devrait être rédigé de façon vraiment classique. Ça devrait porter de grands sceaux dorés. Je ne crois pas que ça soit une grâce. » L’autre n’arrivait pas à le persuader pour qu’il croie. Il ne pouvait pas croire cela. Et le lendemain matin, il est passé devant le peloton d’exécution. Et alors, voilà un homme mort, alors que la veille le président avait signé sa grâce sur un bout de papier. L’affaire fut portée devant la cour fédérale. Et voici l’arrêt qui a été rendu : « La grâce n’est grâce que si elle est reçue comme grâce. »
Et le Saint-Esprit ne peut pas venir dans des endroits classiques ; Il ne peut pas venir dans de grandes dénominations ; Il ne peut pas venir par des prédicateurs bien entraînés et raffinés ; et c’est une Grâce. C’est le Salut, c’est l’affranchissement du péché. C’est un billet pour le Ciel. C’est la guérison pour les malades qui veulent recevoir Cela comme grâce.

30 Eh bien, si vous n’avez jamais fait cela, je vous demanderais d’y penser pendant les prochaines minutes alors que nous gardons nos têtes inclinées avec révérence dans la Présence de Dieu.
Avez-vous, vous mes amis égarés, avez-vous déjà goûté à la bonté du Seigneur pour vous ? Savez-vous qu’il n’y a rien que vous puissiez faire par vous-même ? Si le Salut vient par les oeuvres, alors Jésus est mort en vain.
Vous pouvez être membre de la plus belle église de l’Ohio, néanmoins être tout aussi éloigné de Dieu que l’ivrogne étendu dans les bars, seulement vous êtes un pécheur religieux. Et le mot péché, c’est quoi ? C’est l’incrédulité. « Celui qui ne croit pas est déjà condamné. »

31 Vous pouvez vous tenir juste en face du Saint-Esprit et dire : « C’est une bande de saints exaltés. Oh ! Si la chose était de Dieu, elle passerait par les catholiques, ou les presbytériens, ou les méthodistes, ou les baptistes, ou par une grande dénomination. » Très bien. C’est le pardon et la guérison pour vous si vous voulez croire cela. C’est envoyé par Dieu, le Père. Et Satan a été dépouillé de toute la puissance qu’il a jamais eue. Tout cela vous appartient ce soir. Ne voulez-vous pas recevoir cela ?
Eh bien, nous n’avons pas de place ici pour un appel à l’autel, mais j’aimerais que vous sachiez dans vos coeurs, pendant que toutes les têtes sont inclinées, tous les yeux fermés… Pendant que les chrétiens prient, vous qui savez que vous n’êtes pas en ordre avec Dieu, voudriez-vous lever la main vers Dieu, pour dire par là : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je veux maintenant que Tu me pardonnes. Et je T’accepte comme le Conquérant de ma propre vie, de mes péchés et de ma désobéissance » ?

32 Que Dieu vous bénisse, jeune fille. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, vous là derrière, monsieur. Y en a-t-il d’autres dans la salle principale ? Là au fond, oui, beaucoup parmi vous là derrière, huit à dix mains. Ici à gauche…Oui, que Dieu vous bénisse ici, monsieur, vous ici. Là tout au fond encore… Oui. Au balcon, le premier balcon à ma gauche, combien là aimeraient dire : « Frère Branham, je sais que je suis en erreur. Eh bien, j’aime encore le monde comme autrefois. J’aime toujours les choses du monde. » Alors, mon ami, la Bible dit : « L’amour de Dieu n’est même pas en vous. »
« Mais, Frère Branham, je suis membre d’une église. » Cela ne veut rien dire. Satan l’était aussi, de la plus grande église qu’il y avait.
Judas était membre de la véritable organisation, de la véritable église. Il était le trésorier de l’Eglise du Seigneur Jésus-Christ. Mais son coeur n’était pas en ordre avec Dieu. Pourquoi n’avait-il pas confessé son péché ? Parce que Satan l’avait vaincu.

33 Est-ce là votre situation ce soir, mon vieil ami ? Voudriez-vous simplement lever la main pour dire : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi » ? Le balcon à ma gauche. Que Dieu vous bénisse. Au balcon du dessus, là tout en haut. Que Dieu vous bénisse partout là. C’est bien. Levez simplement les mains ; voyez quel changement. C’est Dieu qui vous parle. Ne–ne rejetez pas Son Esprit. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Il y a quelque trente ou quarante là…
Les balcons au fond, tant les balcons inférieur que supérieur, voudriez-vous simplement lever les mains, pendant que tout le monde est en prière ? Dites : « Ô Dieu, sois miséricordieux. » Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Là en haut, c’est bien. Dieu voit votre main là au fond, même dans l’ombre.
Très bien, les balcons ici à droite, tant supérieur qu’inférieur, voudriez-vous lever la main pour dire : « Ô Dieu, sois miséricordieux » ? Que Dieu vous bénisse ici même. C’est bien. Que Dieu bénisse par ici, d’un bout à l’autre de la rangée là. Je sais que je ne suis pas en ordre, Frère Branham, Dieu connaît mon coeur. Je ne suis pas en ordre, ainsi je demande à Dieu d’être miséricordieux envers moi. »

34 Ceux qui sont dans les vestibules et dans les allées tout au fond, voulez-vous lever la main pour dire… Que Dieu vous bénisse. C’est bon. C’est bien. Là dehors, Dieu vous verra même à l’extérieur du bâtiment. Il vous verra. Ce n’est pas nécessaire que moi, je vous voie, mais Lui vous verra. « J’accepte maintenant mon pardon. »
Vous direz : « Frère Branham, à quoi me sert-il de lever la main ? » Oh ! mon ami, cette religion du Seigneur Jésus est prise à la légère.
Si vous êtes vraiment sincère, vous êtes passé de la mort à la vie maintenant même.
Laissez-moi vous citer les passages des Ecritures. Jésus a dit : « Celui qui écoute ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. » C’est ce que ça veut dire.

35 Y en aurait-il d’autres qui aimeraient simplement lever la main ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Oui, quelqu’un qui n’a pas encore… Que Dieu vous bénisse vous, là au balcon, une fois de plus. C’est bien. « Sois miséricordieux envers moi, ô Dieu. J’accepte maintenant Christ. Il est le Conquérant. Je ne peux pas faire cela. J’ai de mauvaises habitudes et autres que je n’arrive pas à vaincre, mais je m’attends à ce qu’Il le fasse pour moi maintenant. » Il le fera. Accordez-Lui simplement l’occasion. Allez-vous lever la main ? Que Dieu vous bénisse, là au fond. C’est bien. 1, 2, 3, 4, là au fond une fois de plus.
Combien ici ont réellement… Vous avez reçu Christ comme votre Sauveur personnel, mais vous n’êtes jamais parvenu à vaincre la chair. Voudriez-vous lever la main pour dire : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi » ? C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Oh ! oui. Beaucoup de mains partout. Dieu verra chacune d’elles. S’Il connaît le passereau qui tombe dans la mer, combien plus votre main levée.
Combien n’ont pas encore reçu le Saint-Esprit, qui voudraient Le recevoir ce soir, et voudraient lever la main vers Lui pour dire : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi » ? Oui, des centaines, partout. Maintenant, prions.

36 Dieu miséricordieux, Je T’apporte maintenant, en présence des anges de Dieu et de ce groupe, littéralement des milliers de gens qui sont dans le besoin ce soir, beaucoup parmi eux acceptent Christ pour la première fois. Beaucoup parmi ceux qui ont adhéré à l’église et qui n’ont jamais été capables de vaincre ou de crucifier la chair et qui ont besoin du baptême de l’Esprit, beaucoup sont ici.
Je Te prie, ô Dieu, de pourvoir à tout ce dont ils ont besoin. Moi, je ne suis que Ton serviteur, et je Te les confie maintenant, Seigneur. Tu les connais tous. Pardonne-leur leurs péchés. Remplis-les de Ton Esprit.
Et maintenant, puissent leurs précieux yeux s’ouvrir pour voir l’Homme de chagrin. Le voir dévoilé. Il est maintenant le Puissant Conquérant. Il a conquis les âges. Il a conquis la mort, Il est toujours vivant, et Il le sera aux siècles des siècles. Puissent-ils Le voir dans la puissance de Sa résurrection, se tenir là, glorieux dans Sa Majesté divine tel qu’Il était en Galilée. Puisse-t-Il accomplir et faire ce qu’Il faisait il y a plusieurs années.

37 Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Dispensateur de tout don excellent, envoie-nous ce soir, alors qu’il ne reste que quelques coups de souffle à cet âge mourant et à cette génération mourante, donne à ces enfants ce soir le Pain de Vie afin qu’ils puissent voir que Tu vis toujours et que Tu es toujours le Puissant Conquérant. Accorde-le, Seigneur. Et maintenant, ils sont les fruits du message, Tu les donnes à Ton Fils comme offrande d’amour. Nul ne peut les arracher de Ta main. Puissent-ils trouver une bonne église, être baptisés du baptême chrétien ; et puis, puissent-ils vivre fidèlement à Toi jusqu’à ce qu’ils Te rencontreront là, lors de cette glorieuse Venue de Christ. Accorde-le, Père ; ils sont à Toi maintenant. Au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Amen.
Je L’aime,…?...Levez cela. Je L’aime, je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Oh ! Cela fait quelque chose en vous, n’est-ce pas ? Chantons-le une fois de plus, les mains levées, tout le monde, alors tout le monde. Je L’aime, (Regardez ça.) je L’aime,
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Avec nos têtes inclinées maintenant, disons tous ensemble la prière modèle. Notre Père qui es aux Cieux,
que Ton Nom soit sanctifié,
que Ton règne vienne,
que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel,
donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien,
pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
Car c’est à Toi qu’appartiennent
le règne, la puissance et la gloire aux siècles des siècles. Amen.

38 [Espace vide sur la bande – N.D.E.] …Qui SUIS, cette Colonne de Feu qui était dans le buisson ardent. Et s’Il est venu de là et qu’Il y est retourné, s’Il est venu de Dieu, Il a été manifesté dans la chair pour conquérir la mort dans la chair, puis, Il est retourné à Dieu, c’est qu’Il est redevenu une Colonne de Feu. Combien savent cela. Cela est-il prouvé par la Bible ?
Quand Paul était en route vers Damas, qu’est-ce qui lui avait abîmé les yeux ? Une Lumière qui avait brillé comme le soleil dans sa force. Combien le savent ? Et comme il ne savait pas ce que c’était, Paul a demandé : « Qui es-Tu ? »
Qu’a-t-Il répondu ? « Je suis Jésus. » Est-ce vrai ? Donc, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. « Comment le savez-vous, Frère Branham, au point d’en être si sûr? » Si c’était l’Esprit, nous savons que c’est Lui (Pour moi, c’est Lui.)… Si c’est l’Esprit, Il manifestera la Vie de Christ. Sinon, alors ce n’est pas la Vie de Christ. Cela fait de Jésus le même hier, aujourd’hui et… Combien savent que Jésus a dit : « Je ne fais rien à moins que le Père Me le montre premièrement » ?

39 Venez, madame. Maintenant, vous là dans l’assistance, vous qui n’avez pas de carte de prière, voudriez-vous prier maintenant même et croire ? Combien là savent que la Bible dit (le Nouveau Testament) que Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités ? Très bien. S’Il l’a fait, et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, quand est-ce qu’Il l’avait fait ? (Voyez ?) Une femme avait touché Son vêtement, alors Il s’est retourné et a demandé : « Qui (question), qui M’a touché ? » Et personne n’a dit mot. Et Jésus a repéré cette femme et lui a révélé sa maladie, Il lui a dit que sa foi l’avait sauvée. Est-ce vrai ? Il est le même aujourd’hui : Le Souverain Sacrificateur. Il doit agir de même s’Il est le même. Priez donc. Vous tous là dans l’assistance, tenez-vous tranquilles et soyez respectueux.
Bien, voici une petite femme de l’âge de ma mère à peu près, je suppose. Et à ce que je sache, je n’ai jamais vu cette petite dame de ma vie. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, madame ? Nous le sommes. Nous ne nous connaissons pas.
Bon, voici de nouveau le tableau de Saint Jean 4 : Un homme et une femme se rencontrent pour la première fois. Eh bien, si cette Bible est la Parole de Dieu qui dit : « Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement », Il a dit : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. » Et Il s’est révélé aux Juifs en disant à Philippe où Nathanaël était… ou plutôt à Nathanaël, qu’il se trouvait sous un arbre lorsque Philippe l’avait appelé. Il a manifesté cela devant Pierre en sachant qui Pierre était, quel était son nom et quel était le nom de son père. Il a manifesté cela devant la femme au puits en lui révélant (c’était une Samaritaine), en lui révélant qu’elle avait eu cinq maris. Et elle est entrée dans la ville en courant et a dit : « Ne serait-ce pas le – le Messie, le Christ ? » Mais Il n’a jamais fait cela devant un Gentil, pas une seule fois. Pourquoi ? La coupe de l’iniquité des Gentils n’était pas encore pleine. Maintenant, c’est le temps des Gentils.
S’Il s’est fait ainsi connaître et aux Juifs et aux Samaritains, Il devra faire la même chose devant les Gentils, sinon Il n’est pas le même. Rappelez-vous maintenant, on est donc dans la Présence du Christ. Soyez respectueux, priez. Que Dieu vous bénisse maintenant.
Maintenant, vous qui êtes ici dans la ligne de prière, vous tous qui m’êtes inconnus, levez la main pour montrer que je ne vous connais pas, vous dans la ligne de prière. Très bien. Et vous, là-bas, soyez simplement en prière. Croyez.

40 Père céleste, maintenant, la suite de la réunion devra être conduite par Ta divine puissance. Ton serviteur ne peut rien dire de lui-même, mais je compte sur Ton Esprit, Seigneur, comme ces gens ont reçu Cela ce soir. Ces jeunes enfants ici, qui viennent de naître dans le Royaume, une douzaine d’entre eux, qu’ils sachent que Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant, et que Tu n’est pas mort. Tu as vaincu la mort. Tu es le Puissant Conquérant qui se tient toujours parmi nous : le même hier, aujourd’hui et éternellement. Aucun royaume, aucun César, aucun Hitler, aucun Napoléon, aucun d’eux ne peut subsister. Ils ont conquis par la voie du–du péché, ils sont morts et ils ont péri. Mais Tu as conquis par la justice, et Tu as conquis la mort pour vivre à jamais. Puisque Tu vis, nous vivons aussi. Donne-nous cette assurance ce soir, Seigneur, que Tu es le–le Grand et Puissant Conquérant, en demeurant vivant deux mille ans après. Tu es toujours le même pour accomplir les mêmes oeuvres, faire la même chose que Tu avais faite autrefois.
Je me confie en Toi et Je prends sous mon contrôle chaque esprit qui se trouve ici au Nom de Jésus-Christ. Amen.

41 Si le Seigneur notre Dieu, ma soeur, me révèle ce pour quoi vous êtes ici, ou quelque chose dont vous, vous savez que moi je ne sais rien, cela vous amènera-t-il à croire de tout votre coeur, que vous recevrez ce que vous demandez ? Eh bien, peu importe ce que vous pouvez être. Je… S’Il vous dit quelque chose, et vous savez que moi je n’en sais rien… Evidemment, je ne vous connais pas, alors je ne saurais rien. Si je vous disais : « Vous êtes malade», peut-être que j’ai deviné, peut-être. Et qu’ensemble, si je vous imposais les mains et disais : « Vous allez vous rétablir, il vous faudrait me croire sur parole. Mais si Lui vous dit ce que vous avez été, ou ce qui cloche en vous, alors vous saurez si c’est la vérité ou pas. Ça devrait être Lui. Et s’Il sait ce qui a été, combien plus saura-t-Il ce qui sera. Voyez ? Alors, c’est au-delà de tout doute. Que Dieu me garde, alors que je me tiens ici, sur cette estrade, confessant être serviteur de Christ, de dire autre chose que ce qui vous aidera. Et tout ce que je peux faire pour vous aider, cela doit venir par Lui.
Eh bien, si cette assistance entend encore ma voix après que j’ai parlé à la femme, elle semble s’éloigner de moi. Elle porte un grand intérêt pour quelque chose. Elle souffre. Elle est dérangée par une maladie des nerfs. Puis aussi, elle a un mal de poitrine, comme des contractions à la poitrine. Mais je la vois à genoux, tout près d’une vieille chaise, et voici ce qu’elle dit [Espace vide sur la bande – N.D.E.] : « Seigneur, veux-Tu me donner le Saint-Esprit ? » Elle cherche le baptême du Saint-Esprit. AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Levez les mains pour montrer que c’est la vérité. Qui sait ce que vous êtes et ce que vous désirez à part Dieu ? Croyez-vous que vous allez recevoir ce que vous demandez ?
Prions. Dieu bien-aimé, comme je vois ses petites et faibles mains se lever, je Te prie d’être miséricordieux envers elle et de lui accorder ce qu’elle désire. Je le demande au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Recevez maintenant (Vous le recevez.) ce que vous demandez.

42 Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, vous et moi. C’est notre première rencontre, mais le Seigneur Dieu nous connaît tous deux. Nous, vous et moi, nous allons un jour nous tenir au Trône du jugement de Christ pour rendre compte de notre vie. Vous le savez, n’est-ce pas ? Vous êtes chrétien ; en effet, votre esprit semble accueillant. Et vous souffrez de nerfs. C’est vrai. Et je vous vois essayer de quitter votre chambre ou de marcher, et vous tombez facilement. Il s’agit de l’arthrite. Vous soufrez de l’arthrite. Et il y a quelqu’un qui continue à apparaître devant moi, c’est une personne âgée, elle est très nerveuse. C’est votre mère. Elle est extrêmement nerveuse, elle souffre du coeur. Et on dirait que je vois une rivière ou quelque chose comme cela. Oh ! elle est tout près d’une ville du nom de Covington, dans le Kentucky, elle se trouve quelque part là.
Que le Seigneur notre Dieu vous accorde le désir de votre coeur. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant et vous recevrez exactement ce que vous demandez. Croyez-vous au Seigneur Dieu ? Croyez-vous qu’Il peut vous accorder ce que vous demandez ? Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Cette autre personne est mourante. Il s’agit de quelqu’un. Je vois un… deux petits enfants. Ce sont des fillettes. Oh ! c’est votre soeur, c’est pour votre soeur que vous vous tenez ici, vous jouiez ensemble, vous vous teniez les mains et gambadiez ensemble. C’est vrai. Puis, je vois un… Dites donc, elle est ici à l’hôpital, elle est couverte de l’ombre de la mort : une mort double. Elle est couverte de l’ombre de la mort naturelle à la suite d’une récente intervention chirurgicale pour le cancer, et elle n’est pas sauvée. Elle a besoin de Christ comme son Sauveur. Croyez-vous que Dieu vous accordera cela, ce que vous demandez ? Prions.
Ô Eternel et Miséricordieux Jéhovah, accorde à cette femme ce qu’elle a demandé. Accorde-le, Seigneur. Que Tes bénédictions reposent abondamment sur elle au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame.

43 Croyez-vous ? Ayez foi en Dieu. Cet enfant… Non, cela s’ouvre encore. C’est un homme assis là même à la rangée de devant, en train de prier, il souffre d’hypertension. C’est l’homme en costume gris, avec une petite cravate ; vous priez, monsieur, afin que Dieu m’amène à vous parler. Si c’est vrai, levez-vous. Très bien. Votre hypertension vous a quitté. Vous êtes guéri maintenant, poursuivez votre chemin et soyez bien portant. Je – je ne connais pas cet homme ; je ne l’ai jamais vu. Si nous ne nous connaissons pas, mettez-vous debout une fois de plus, monsieur, si nous ne nous connaissons pas. Je ne vous connais pas (c’est vrai.), faites signe de main comme ceci. Vous avez touché Quelque Chose. Qu’avez-vous touché ? Le Souverain Sacrificateur. Allez donc de l’avant ; vous êtes bien portant. Votre foi vous a sauvé.
Si tu peux croire, tout est possible. Ayez simplement foi.
Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je le vois. C’est notre première rencontre. Le Seigneur Dieu nous connaît tous deux. Maintenant, que tout le monde soit vraiment respectueux. Oh ! c’est beau, n’est-ce pas ? N’est-ce pas… Oh ! je n’arrive pas à exprimer cela. Être dans la Présence du Seigneur Jésus, penser, l’Alpha et l’Omega est présent, l’Etoile du matin, le Puissant Conquérant. Si tu peux croire. Vous souffrez d’une maladie gynécologique ; c’est un trouble féminin. Cela vous rend très nerveuse. Cette femme souffre d’une tumeur, qui se trouve sur une glande féminine. Vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous êtes d’une ville qui est près d’une grande rivière. C’est le Cincinnati. Il y a quelqu’un d’autre là auquel vous êtes intéressée et pour qui vous priez. C’est un enfant, c’est un petit enfant qui a quelque chose qui cloche dans le tube digestif. Il a subi une intervention chirurgicale pour cela. Et c’est l’enfant d’une de vos parentés, un cousin. Les parents de cet enfant prient aussi, mais ils ne prient pas comme vous ; ils tiennent les chapelets en mains, ce sont des catholiques. Mademoiselle Judy Braun, rentrez (C’est ça votre nom), rentrez à Cincinnati et recevez ce que vous avez demandé, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Ayez foi en Dieu.

44 Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Si tu peux croire maintenant, tout est possible. Soyez respectueux. Une dame assise ici même, en train de prier, souffre de la gastrite, vous croyez que le Seigneur Dieu vous rétablira, madame. C’est votre mari qui est juste derrière vous. Il prie pour un homme qui est estropié. Croyez-vous de tout votre coeur que vous recevrez ce que vous avez demandé ? Si vous croyez cela avec elle, monsieur, vous pouvez alors avoir ce que vous demandez. La dame juste derrière vous prie aussi pour… Oh ! Elle souffre du diabète, elle veut en être guérie. Croyez-vous que le Seigneur vous rétablira ? En petite robe à carreaux, levez la main très haut afin que les gens voient. Très bien, vous pouvez rentrer chez vous ce soir. Croyez de tout votre coeur et vous recevrez ce que vous avez demandé. Qu’avez-vous touché ? Vous êtes très loin de moi, à trente ou quarante pieds [9 ou 12 m], mais vous avez touché le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. «Si tu peux croire, tout est possible.» Je vous défie de croire.

45 Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je dois simplement suivre cette Lumière telle qu’Elle évolue. Je suis désolé de vous garder debout là, mais je dois simplement suivre Cela. Voyez ? Il y a quelqu’un là en train de prier. Oh ! Qu’est-ce qui peut arriver si seulement–seulement ils croient une fois !
Bon, cette dame couchée ici est paralysée. Elle passe devant moi. Si seulement vous avez assez de foi, madame, vous pouvez vous lever de ce brancard et rentrer chez vous. Voyez ? Ayez donc foi maintenant. Il continue simplement à faire de plus en plus sombre. Ne faites pas ça. Continuez… Que ça devienne Lumière.
Si le Seigneur Dieu me dit ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous cela ? Vous saurez si c’est la vérité ou pas. Alors, vous saurez que Quelque Chose de surnaturel a dû me le révéler. Croirez-vous, comme le pharisien, que c’est Béelzébul ? Alors, vous aurez la rétribution qu’il avait eue. Si vous croyez que c’était Christ, vous recevez la récompense de Christ. Mais cela dépend évidemment de vous. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez de Hamilton. C’est vrai. Vous souffrez d’une maladie gynécologique. C’est un utérus ulcéré. C’est vrai. Si Dieu me révèle qui vous êtes, cela vous réjouira-t-il ? Patty Bratt. C’est vrai. Reprenez votre chemin maintenant, réjouissez-vous et soyez heureuse. Ne doutez pas ; croyez simplement de tout votre coeur. Croyez-vous ?

46 Si le Seigneur Dieu révèle votre maladie, croirez-vous cela ? Vous êtes nerveuse. Vous souffrez des yeux, vous allez les perdre, devenir aveugle. Et, afin que vous sachiez que je suis un serviteur du Seigneur Dieu, vous avez dans votre corps une grosseur qui est cachée à mes yeux. Cette grosseur se trouve sur votre épaule gauche. C’est vrai, levez la main. Maintenant, allez et croyez. Vous recevrez cela. Amen.
Placez votre main sur la mienne, madame. Si Dieu me révèle votre maladie, croirez-vous que je suis Son serviteur. C’est votre dos. Poursuivez votre chemin maintenant, votre mal de dos vous a quittée. Amen.
«Si tu peux croire.» Croyez-vous, madame ? Si Dieu révèle votre problème, croirez-vous que je suis Son serviteur ? Votre coeur. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Soyez guérie. Si Dieu me révèle votre maladie, croirez-vous, soeur ? Vous toussez, l’asthme. Poursuivez votre chemin et soyez rétablie.
Croyez-vous, madame ? Si Dieu révèle votre maladie, croirez-vous en Lui de tout votre coeur ? Alors, le cancer ne vous tuera jamais, et vous serez rétablie. Croyez-vous cela ? Poursuivez votre chemin et réjouissez-vous.
La maladie de coeur vous a quitté pendant que vous étiez assis là dans le fauteuil. Poursuivez simplement votre chemin en vous réjouissant et en étant heureux.
L’arthrite vous quittera si vous... si seulement vous continuez à vous réjouir, en croyant en Lui de tout votre coeur.

47 Croyez-vous ? Juste un instant. Ayez donc foi. Quelque chose s’est passé ici même dans l’assistance. «Si tu peux croire.» Quelque chose s’est passé. J’ai…?... en moi. S’il vous plaît, ne pensez pas que c’était de l’imitation, mais c’est juste une faiblesse qui m’a promptement envahi et quelque chose s’est passé. J’en suis sûr. La petite dame assise là, en train de me regarder… Oui, madame. Vous souffrez de la hernie. Vous avez des hémorroïdes. C’est tout à fait vrai. Vous cherchez à croire. Levez-vous une minute. Vous suis-je inconnu ? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas ? Si c’est vrai, levez main. Mais vous étiez en train de prier. Qu’est-ce qui vous regarde en face, petite fille ? Les vôtres ? Regardez-moi. Vous croyez que je suis Son serviteur. Vous voulez aussi une prière pour cette enfant. Si Dieu me révèle ce qui cloche chez cette enfant, allez-vous croire que je suis Son serviteur ? Cette enfant, à vrai dire, souffre des nerfs. Je vais vous dire comment elle agit : Je vous vois essayer de la forcer à manger. Elle ne veut pas manger, vous continuez à lui donner toutes sortes de tonic et autres pour l’amener à manger. Est-ce vrai ? Levez la main. Imposez-lui la main. Ayez foi en Dieu. C’est le tonic le plus fort qu’elle ait jamais pris. Elle mangera désormais. Au Nom du Seigneur Jésus.
Madame, n’est-ce pas étrange, quand j’ai dit que cet enfant va manger, un sentiment vraiment étrange vous a envahie, lorsque j’ai parlé de cet enfant; c’est parce que vous souffrez de la gastrite. C’est vrai. Levez la main si c’est vrai. La vôtre aussi est partie, vous pouvez donc toutes deux rentrer chez vous, bien portantes.
Croyez-vous ? ...?... Croyez-vous ? Maintenant, qu’en est-il de cela là ? Qu’en est-il de vous, couché sur cette civière, ce brancard ? Combien parmi vous ici aimeraient croire de tout leur coeur ? Est–est-Il toujours le Puissant Conquérant ? Est-Il vivant ce soir, le même hier, aujourd’hui et éternellement ? Maintenant, vous êtes tous plus que vainqueurs en Lui.
Croyez-vous cela ? Alors, imposez-vous les mains les uns aux autres, priez les uns pour les autres et vous vous lèverez de vos civières… Certains parmi vous les prédicateurs, allez là…?... C’est ça.
Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, au Nom du Seigneur Jésus, nous réprimandons chaque…?... puissance. Sors, Satan, tu es vaincu ; le Puissant Conquérant t’a vaincu. Tu es…?... et …

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