Ayez foi en Dieu

Date: 58-0510 | La durée est de: 1 hour and 38 minutes | La traduction: Shp
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1 ... ?... un jour. Et là bien avant qu’il n’y ait une quelconque lumière sur la terre, nos corps gisaient dans cette poussière. Nous sommes formés à partir de la poussière, de la potasse, du calcium, du pétrole et de la lumière cosmique. Dieu a envoyé le Glorieux Saint-Esprit couver la terre, et comme Il la couvait, les petites fleurs ont commencé à apparaître, les oiseaux se sont envolés, et les animaux sont sortis de la terre.
Et ensuite apparut l’homme, et il pécha et se sépara de la communion avec son Dieu. Et à cause de cette chose horrible, Dieu ordonna qu’il retourne à la poussière de la terre.
Mais, ô Seigneur Dieu, nous sommes si heureux du fait qu’avant que l’homme n’y retourne, Tu as promis un Rédempteur. Et aujourd’hui, depuis qu’Il est venu et qu’Il a envoyé de nouveau le Saint-Esprit, et Celui-ci couve donc toujours la poussière, nos corps, et s’Il m’a ressuscité et a fait de moi ce que je suis maintenant, sans que j’aie fait un choix, à combien plus forte raison nous ressuscitera-t-Il de la poussière de la terre, après que nous avons fait un choix, et qu’Il nous a couvés, et que nous L’avons couvé en retour. Nous L’aimons.

2 Nous avons l’assurance bénie qu’un de ces jours, ces corps de notre humiliation seront changés et rendus semblables au corps de Sa gloire, par le pouvoir qu’Il a de s’assujettir toutes choses.
Notre requête ce soir est qu’Il vienne encore couver ce peuple, en envoyant Son Esprit dans chaque coeur, en condamnant le péché et la maladie, et en amenant les gens à comprendre qu’ils sont ici dans un but. Et ce but ne consiste pas juste à bâtir des maisons, à planter des vignes, à conduire des autos, à porter de bons habits et à aller à l’église, mais il consiste à L’adorer.
Et puissions-nous ce soir, avec tout ce qui est en nous, L’adorer en Esprit et en vérité. Accorde-le, Seigneur.
Et quand nous partirons ce soir, pour aller à nos domiciles respectifs, puissions-nous dire en chemin, comme ces deux qui revenaient d’Emmaüs : « Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous, alors qu’Il nous parlait en chemin ? » Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.

3 Cela a vraiment été un grand privilège d’être ici dans cette merveilleuse petite ville, et de servir au Nom du Seigneur, et d’avoir la communion fraternelle avec les différentes personnes que nous avons rencontrées, ainsi que ce précieux pasteur, frère Ball, je crois que c’est ça son nom, le… à qui j’ai serré la main sur l’estrade. J’aimerais dire que je crois qu’il a fait tout ce qui est en son pouvoir, humainement parlant, pour que la réunion soit une réussite pour vous. Et vous devriez apprécier un tel ministre, ainsi que tous ces autres ministres qui ont mentionné leurs noms ici, leurs églises qu’ils ont peut-être congédiées, afin de coopérer dans ces réunions. Sans pourtant me connaître, c’est juste par la foi et en croyant que vous l’avez fait. Et je prie que Dieu vous bénisse richement et abondamment pour chaque effort que vous avez fourni.

4 Et maintenant, nous sommes tristes que nous soyons obligés de partir, après juste ces deux soirées, nous allons à un endroit appelé Everett, je crois, dans votre bel état du Massachusetts, et là, de là nous continuerons ensuite jusque dans le Maine. Puis, peu après, dans quelques semaines, j’irai outre-mer, en Afrique, puis en Inde. C’est là, apparemment, que mon ministère a un plus grand impact.
Les Américains ne le reçoivent pas très bien, parce que le peuple américain est un peuple intellectuel, un peuple qui a sa pensée basée sur l’aspect psychique de la psychologie, sur l’aspect intellectuel et sur ce que leurs yeux voient : les belles constructions, les prédicateurs très sensationnels et instruits, qui sont des érudits, et ainsi de suite, et ils sont très sceptiques concernant le Surnaturel. Et ça, c’est pour accomplir l’Ecriture.

5 En Afrique, un après-midi, j’ai vu trente mille purs païens, avec des idoles dans leurs bras, accepter Jésus-Christ comme leur Sauveur personnel ; trente mille païens ayant des tatouages.
A Bombay, en Inde, avec les mahométans, les bouddhistes, les jaïns, les sikhs, et les autres, c’était juste... On ne pouvait pas les dénombrer. On a estimé à environ un demi-million la foule qui était là, parce qu’un aveugle avait recouvré la vue à l’estrade. Et en In-… en Afrique, un homme traîné à l’aide d’une chaîne comme un collier autour du cou, pareil à un chien ; n’étant même pas dans son bon sens, il était debout dans la salle, parfaitement normal, devant les gens ou plutôt sur la – la piste de course.

6 Les Américains voient même plus glorieux que cela. Je ne parle pas de vous, les chrétiens nés de nouveau.
Les gens vont ça et là et disent : « Eh bien, c’est une sorte d’hypnotisme. C’est – c’est possible que ce soit peut-être de la télépathie ou quelque chose de ce genre. » Il n’est pas étonnant que les armes soient braquées sur nous pour le jugement. Nous ne pouvons pas échapper au jugement. Voici ce que j’ai déclaré, et je ne le dis pas pour être sacrilège ni pour être singulier : « Mais si Dieu laisse cette nation s’en tirer avec le péché qu’elle commet, Il devra ressusciter Sodome et Gomorrhe, et leur présenter des excuses pour les avoir brûlés. » C’est exact. Dieu doit demeurer le même. Il aime le pécheur, mais Il hait le péché. Et Il est juste, et Il est souverain, et Il doit juger le péché.

7 Bien que notre nation patauge constamment dans le péché, les Billy Graham, les Oral Roberts, les Jack Schullers, et d’autres qui parcourent cette nation avec des réveils très remarquables, sans cesse ils... Le péché continue à progresser.
Vous ne pouvez pas leur en parler, parce que le diable s’est emparé de la nation. Cela est venu chez nous, il y a quelques années. Ils vivaient à Paris, le diable et ses anges. Et ils ont eu la Première Guerre mondiale, et l’Allemagne aurait englouti cette nation sous la terre, mais nous sommes allés les aider. Et aussitôt la guerre terminée, cela a repris une fois de plus avec le vin, les femmes, de beaux moments.
Ensuite, Satan a envoyé ses modèles ici, il a déshabillé nos femmes et apporté la disgrâce à notre nation par les modèles et la mode. Il a donc simplement pris son armée et a atterri à Hollywood.
Beaucoup d’entre vous ne permettaient pas que leurs enfants aillent au cinéma pour voir de telles histoires. Le diable est rusé ; il introduit la chose juste dans la télévision pour être sûr que vous avez fait cela. Et aujourd’hui, les gens restent à la maison au lieu d’aller aux réunions de prière et aux grands rassemblements religieux, parce qu’ils veulent voir Nous aimons Susie ou quelque chose de ce genre, ou Elvis Presley dans une partie de rock’n roll. C’est la pure vérité.

8 La colère de Dieu est enflammée contre cette nation. Et vous allez recevoir le châtiment et le jugement. Ecrivez cela sur la page de garde de votre Bible et dites que c’est frère Branham qui l’a dit. Si cela ne s’accomplit pas, je suis un faux prophète, parce que j’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Vous avez donc échappé à cette colère. Il n’y a qu’une seule voie ; les gens sont... J’ai remarqué sur vos rues et partout ici que vous avez des abris antiaériens. Cela ne vous fera pas le moindre bien. Et s’il tombait une bombe, capable de faire dans la terre une excavation d’une profondeur de 175 pieds [environ 53 m – N.D.T.], sur une surface de 3 milles carrés [environ 4,8 km carrés ] ? Et même si vous étiez à 500 pieds [environ 152 m ] sous terre, ce serait un tel choc qu’il ne vous resterait pas un seul os.
Mais je vous conduis ce soir à un vrai abri antiaérien. Vous ne creusez pas dans la terre ; il est fait de plumes… sous Ses ailes. C’est là le vrai abri antiaérien. Fuyez ce soir la colère à venir. Et, rappelez-vous, ces réunions ne sont pas dirigées contre une certaine organisation ; ce temps des disputes est passé. Dieu appelle Son Eglise, Son peuple. Et le terme « église » signifie « appelé à sortir ».
Que Dieu vous bénisse, vous les ministres ainsi que vous les fidèles. Et j’espère que notre petit séjour de deux soirées produira un – un résultat tel qu’un réveil à l’ancienne mode éclatera dans cette contrée-ci, réveil qui pêchera à la seine dans les eaux jusqu’à ce que le dernier poisson comestible soit attrapé pour le Royaume de Dieu. C’est là ma prière.

9 Billy m’a rencontré là il y a un instant et il a dit : « Papa, ils ont prélevé un offrande d’amour pour toi. » Ce n’était pas nécessaire. Je ne prends pas l’argent, et je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie, ce que… moi-même, mais il me faut avoir de l’argent pour vivre. Mon... J’ai gardé mon ministère vraiment humble, afin qu’une quelconque grosse dépense n’y soit attachée. Mes dépenses ne s’élèvent qu’à peu près cent dollars par jour, chez moi, avec un petit bureau. Eh bien, vous dites que cela peut être une somme d’argent importante ; que dépense frère Roberts en un jour, Oral Roberts ? Quelque chose entre sept et dix mille. Billy Graham fait le double. Mais mon ministère exige... Des fois je vais tenir une réunion là où il n’y a qu’une église d’une capacité de vingt personnes, si le Saint-Esprit m’y appelle. Puis, je peux me rendre à un endroit qui est… où ils peuvent avoir des millions, si c’est nécessaire. Alors quelqu’un parraine cela et paye pour cela.
Je mène donc une vie tranquille et humble en servant le Seigneur. Et je vous remercie pour l’offrande, peu importe ce que ça représente, cela va aller dans le Royaume de Dieu, au mieux de ma connaissance. Votre argent que vous y avez placé, j’en suis l’économe maintenant, en tant qu’un témoin de Christ, et je prie qu’Il vous bénisse pour cela. Je ferai de mon mieux pour veiller à ce que cela aille dans le Royaume de Dieu.
Nous espérons être de retour parmi vous un jour ou l’autre, si cela plaît – plaît à Dieu, et si c’est la volonté de cette église, du peuple.

10 Maintenant, priez pour nous alors que nous allons dans le champ missionnaire. J’essaye toujours de demander aux gens... Eh bien, là-bas ce n’est pas comme ici. Dès que vous mentionnez quelque chose, les sorciers et tout vous mettent au défi. Je n’ai jamais vu une seule fois où Dieu a manqué de remporter la victoire, de se manifester, et des milliers d’âmes recevant le salut, des sorciers se convertissant et ainsi de suite, quand cela arrive. Priez pour moi.
Maintenant, avant d’ouvrir cette Parole, disons encore un mot de prière.

11 Seigneur Dieu, les hommes qui peuvent bouger leurs mains, sont capables d’ouvrir la Bible, mais c’est au Saint-Esprit d’interpréter cette Parole. Nous demandons donc que Sa glorieuse Présence vienne et oigne les lèvres qui parlent et les oreilles qui écoutent. Accorde-le, Seigneur, car nous le demandons au Nom de Jésus, pour que nous puissions communier autour de la Parole. Amen.

12 Dans le livre de saint Marc, chapitre 11, je voudrais lire le verset 20 : Le matin, en passant, les disciples virent le figuier séché jusqu’aux racines. Pierre, se rappelant ce qui s’était passé, dit à Jésus: Rabbi, regarde, le figuier que tu as maudit a séché. Jésus prit la parole, et leur dit: Ayez foi en Dieu. Et c’est là mon texte pour juste quelques instants, et nous sommes en retard, mais je ne veux pas que vous fassez cas de cela ; ôtez cela de votre esprit pour l’instant. Nous avons… C’est peut-être notre dernière fois, beaucoup d’entre nous ne vont plus jamais se retrouver ensemble sur la terre. Accordons donc une attention particulière à Sa Parole, pendant que j’essaye, avec Son aide, de prendre pour quelques instants ce petit texte : Ayez foi en Dieu.
Vous pourriez dire : « Frère Branham, c’est un – un tout petit texte. » Mais il ne s’agit pas de sa taille ; il s’agit de ce qu’il signifie. Cette Ecriture suffit pour sauver le monde entier, pour guérir chaque personne malade qu’il y a au monde, pour ramener Jésus sur la terre.

13 Il y a quelque temps, dans l’une de mes réunions, je parlais d’un petit garçon que j’ai connu dans une certaine ville, et il faisait du bruit dans un grenier. Et dans ce vieux grenier ou dans cette vieille mansarde, il a trouvé une vieille malle, et en fouillant dans la malle, il y a trouvé un petit timbre qui avait jauni avec le temps. Et il l’a amené chez un ami collectionneur de timbres, et il a dit : « Combien m’offres-tu pour ce timbre ? » Eh bien, il s’attendait à recevoir cinq ou dix cents, pensant peut-être à un cornet de crème glacée.
Il a dit... Le collectionneur l’examina, et il sut que c’était un timbre de grande valeur ; alors il a dit : « Je vais te donner un billet d’un dollar contre cela. »
Eh bien, c’était un bon marché vite conclu pour le petit garçon. Il a pris le dollar, et le collectionneur de timbres a pris le timbre. Et voilà le garçon qui descend la rue se procurer de la crème glacée.

14 Et le collectionneur de timbres se mit à travailler sur le timbre. Quelques semaines plus tard, il le vendit à cinq cents dollars. Et puis, peu après, il fut vendu à environ trois mille dollars. Et maintenant, on dit qu’il est évalué au quart d’un million de dollars.
Vous voyez ? Il n’était pas question du petit papier jaune, parce que vous ne l’auriez même pas ramassé s’il était sur la rue. Mais ce qui le rendait si précieux, c’est ce qui était écrit sur ce petit papier jaune. Et c’est pareil pour ceci ce soir ; ce n’est qu’un bout de papier, qui n’a pas une grande valeur, mais c’est ce qui est écrit dessus qui a une si grande valeur, car c’est la Parole de Dieu. Et tous les cieux et la terre passeront, mais cette Parole ne passera point.
Un homme vaut juste ce que vaut sa parole. Vous valez juste ce que vaut votre parole. Je vaux juste ce que vaut ma parole. Si je ne peux pas accepter votre parole, c’est que je ne veux rien traiter avec vous. Je veux que vous soyez comme cela envers moi, et nous devons être comme cela envers Dieu, s’Il ne peut pas tenir Sa Parole. Alors je veux savoir qui est ce Dieu qui est capable de tenir Sa Parole. Il a donc dit : « Ayez foi en Dieu. » Si peu...

15 La foi, eh bien, c’est la chose la plus ordinaire qui soit. Vous ne pouvez même pas prendre un verre d’eau sans la foi. Vous ne pourriez pas venir assister à cette réunion sans la foi. Vous ne pouvez pas bouger votre doigt sans la foi. Il est dit dans les Ecritures que lorsqu’ils ont appliqué le sang sur le linteau de la porte, pour la pâque en Egypte, c’était appliqué avec l’hysope. Savez-vous ce qu’est l’hysope ? L’hysope est une mauvaise herbe ordinaire. On la trouve n’importe où. Et c’est de cette façon que le sang doit être appliqué sur la porte du coeur, ce soir : au moyen de quelque chose d’ordinaire, la foi.
Nous essayons de l’éloigner, et d’en faire quelque chose que personne ne peut atteindre. Elle est si simple que vous passez par-dessus elle, en essayant de la trouver. « La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas », dit l’auteur du Livre des Hébreux, au chapitre 11, verset 1.

16 Eh bien, c’est une ferme assurance des choses qu’on espère. Eh bien, ce n’est pas une simple imagination ; c’est quelque chose que vous possédez. Par exemple, si je mourais de faim et que vous veniez me voir et disiez : « Qu’est-ce qui vous sauverait la vie ? »
Je vous dirais : « Du pain. »
Et vous diriez : « Monsieur Branham, voici vingt-cinq cents. » Ces vingt-cinq cents, c’est le pouvoir d’achat pour le pain.
Eh bien, quand j’ai ces vingt-cinq cents, je peux déjà me réjouir. Vous m’avez donné le pouvoir d’achat pour le pain. Maintenant, je n’ai pas le pain ; les vingt-cinq cents, ce n’est pas le pain, mais c’est le pouvoir d’achat pour le pain. Et quand j’ai le pouvoir d’achat, c’est pratiquement le pain que j’ai.
Maintenant, c’est pareil avec la foi. Les gens regardent et disent : « Je n’ai pas assez de foi pour ma main estropiée. » Si vous aviez la foi, vous ne regarderiez même pas à votre main estropiée. Voyez-vous ? La foi est la ferme assurance des choses qu’on espère.

17 Maintenant, je peux être tout aussi heureux avec les vingt-cinq cents que je le serais avec le pain, car j’ai la chose qui achète le pain, et dès que j’arrive au marché, j’ai le pain.
Et la foi est la chose qui amène ma guérison, et peu m’importe combien de temps cela me prend pour y parvenir, j’ai la foi qui va accomplir cela, dès que j’y parviens. Saisissez-vous cela ?
Eh bien, je peux être tout aussi heureux avec les vingt-cinq cents que je le pourrais avec le pain. Et lorsqu’au fond de votre coeur vous croyez que Dieu vous a guéri, tout aussi – tout aussi réellement que vous croyez avoir la force pour franchir cette porte, ou autant que la vue – le sens de la vue déclare que cette chemise est blanche, c’est terminé. Rien ne peut ôter cela de vous, parce que cela est allé au-delà de l’intellect ; c’est entré dans votre coeur. C’est une foi réelle.

18 Eh bien, en allant me procurer ce pain, il se peut que je doive traverser des carrés de ronces, traverser des ponts, traverser des ruisseaux, et gravir la colline, mais tout au long de mon chemin, je crierai de tout mon coeur, en brandissant mes vingt-cinq cents, car je suis en route pour acheter le pain.
Et si ce soir Christ me révèle que je suis guéri, je peux me réjouir tout autant que si je pouvais sautiller sur le plancher. Peu importe que je sois encore estropié, ou que je sois encore malade, que ma tête me fasse encore mal ou que sais-je encore, je suis tout autant heureux, parce que je suis en route avec le pouvoir d’achat. C’est ça la foi.
Jésus a dit : « Ayez foi en Dieu. » Voyez combien c’est vital.
Mais maintenant, vous dites : « Ma foi est petite, et je suis sûr que Dieu ne verra pas ma foi ; elle est trop petite. »
Il a dit : « Si vous avez la foi de la taille d’un grain de sénevé », c’est le plus petit de tous les grains...

19 Mais étant moi-même un garçon de ranch qui a étudié l’agriculture, le grain de sénevé est un grain qui ne se mélange pas avec les autres grains. C’est entièrement le sénevé et cela restera le sénevé.
Et il se peut que vous n’ayez pas assez de foi pour qu’un miracle soit accompli sur vous, mais si vous avez la foi comme un grain de sénevé, accrochez-vous à cela. Cela vous conduira à la Lumière, et cela ne se mélangera à rien d’autre. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, vous, continuez à croire cela. Peu importe ce que déclarent les symptômes que vous avez, continuez de croire cela, parce que c’est la véritable foi, et elle ne se mélangera jamais avec le doute… la foi comme un grain de sénevé. Et Dieu reconnaît cette petite foi que vous avez.

20 Récemment au Canada, feu le Roi George descendait la rue. Et un de mes amis, M. Baxter, pendant qu’il se tenait dans la rue et contemplait la parade… Et toutes les écoles avaient fait sortir [les enfants], et on avait distribué aux petits enfants des drapelets britanniques à agiter devant le roi à son passage. Et pendant que le roi passait, les petits chantaient : « Vive le Roi ! », tout en agitant leurs drapelets. Lorsque la procession fut terminée, les petits amis sont retournés dans leurs écoles.
Mais dans une certaine école de la Colombie-Britannique, à Vancouver, une fillette n’était pas rentrée. Et l’enseignante en était agitée, et elle a couru dans les rues et s’est lancée à la recherche de la fillette. Où pouvait-elle se trouver ? Et au bout d’un moment, elle l’a trouvée appuyée contre un poteau télégraphique, en train de pleurer à chaudes larmes. Et l’enseignante l’a prise dans ses bras et il – elle a dit : « Que Dieu te bénisse, chérie ! Pourquoi pleures-tu ? » Et la fillette sanglotait tellement qu’elle n’arrivait même pas à le dire à l’enseignante. Son petit coeur était brisé. Et l’enseignante a dit : « N’as-tu pas vu le roi ? »
Elle a dit : « Si, j’ai vu le roi. »
« As-tu agité ton drapeau ? »
« Oui, j’ai agité le drapeau. »
« Et as-tu chanté : ‘Vive le roi’ ? »
Elle a dit : « Je me suis jointe aux autres pour chanter : ‘Vive le roi.’ »
« Et le roi est passé par ici ? »
« Oui ».
« Et tu l’as vu ? »
« Oui. »
« Eh bien, pourquoi pleures-tu ? »
Elle a dit : « Maîtresse, la raison pour laquelle je pleure, c’est que j’ai vu le roi, mais j’étais trop petite. Il ne m’a pas vue. »

21 Il n’en est pas ainsi de Jésus. Peu importe combien vous êtes petit ou combien votre foi est petite, agitez-la tout simplement ; Il la verra tout aussi bien qu’Il voit la foi des autres. Oh ! cela Le rend si aimable, si réel. Peu importe combien c’est petit, tout ce que vous Lui offrez, Il est disposé à recevoir cela.
Et puis, autre chose, la foi agit beaucoup par l’expérience. Ou puis-je rectifier cela et le dire comme ceci : « L’expérience accompagne la foi. » Généralement, lorsque vous avez fait une expérience, elle sera d’une grande aide pour votre foi.

22 Une fois, lorsqu’Israël avait été convoqué pour la bataille, et que les… contre les Philistins, et que les armées s’étaient rassemblées de part et d’autre d’une vallée… Et les Philistins, comme le monde moderne, lorsqu’ils pensent qu’ils ont un avantage sur vous, ils aiment « gonfler » pour cela, comme on le dit dans le Sud. Par exemple le… Cela veut dire en quelque sorte le fait d’épancher sa bile au sujet de cela : « Les jours des miracles sont passés. » « La guérison divine n’existe pas. » « Nous sommes la plus grande église de cette ville ; tous nos rituels déclarent que ces choses-là n’existent plus. » Mais la Bible déclare qu’elles sont réelles. Débarrassez-vous donc de vos rituels.

23 Et ainsi, ils avaient un grand provocateur du nom de Goliath, qui était... Oh ! il était comme un géant préhistorique. Ses grands doigts étaient longs de quatorze pouces [environ 35,5 cm – N.D.T.], dit la Bible. Et sa lance était semblable à une aiguille de tisserand, elle était peut-être longue comme d’ici au mur. Eh bien, qu’est-ce qu’un homme ordinaire ferait devant un tel homme dans une bataille, et qui était peut-être plusieurs fois plus grand qu’un homme de très grande taille, peut-être huit ou dix fois plus grand ?
Et alors, quand ils ont vu qu’ils avaient un tel homme, celui-ci leur a fait une proposition. Il s’est avancé. Et, vous savez, le péché est très perfide, et l’incrédulité, c’est le péché. Et l’incrédulité est très perfide ; elle vous joue beaucoup de tours qui ont l’air innocent.

24 Il s’est donc avancé et a dit : « Nous ne devrons pas répandre une goutte de sang. » Nous... « Juste pour que vous vous joigniez à l’église ; voilà tout ce qui est nécessaire. Nous ne devrons pas répandre du sang. Faisons une proposition. Choisissez-vous un homme dans votre armée, et qu’il vienne se battre avec moi. Et si je le tue, alors vous nous servirez tous. Et s’il me tue, c’est nous qui vous servirons. »
Evidemment, quand ils avaient l’avantage comme cela ! Et chaque homme dans le camp d’Israël eut peur, parce qu’il se disait qu’il serait peut-être désigné pour relever le défi. Et du roi jusqu’au dernier, tout le monde avait peur.

25 Ainsi le grand géant se présentait chaque jour et se vantait, disant : « Pourquoi ne venez-vous pas pour que nous réglions la chose ? » Personne ne bougeait. Et si dans le groupe, quelqu’un était capable de le faire, c’était Saül, le roi. D’abord il était… Les Ecritures déclarent qu’il dépassait de la tête toute son armée. Il dépassait de la tête n’importe quel homme de l’armée. Et il était un guerrier ; il avait reçu une bonne formation. Il apprenait aux hommes à combattre avec la lance. Oh ! s’il y avait un homme qui avait été formé et – et qui était apparemment capable, humainement parlant, c’était Saül.

26 C’est exactement comme aujourd’hui ; s’il devrait y avoir quelqu’un qui est formé pour la guérison divine et pour prêcher la puissance de Dieu, cela devrait être ces séminaires et ces écoles, mais ce sont généralement les plus grands poltrons que nous ayons.
Oh ! ils devraient connaître la Parole. Ils devraient connaître la puissance de Dieu. Mais bon nombre d’entre eux en sortent sans en savoir sur Dieu plus qu’un Hottentot n’en sait sur un chevalier égyptien. Je n’essaye pas de faire le malin ; je ne fais que déclarer la réalité. Et je suis... Je pense que les écoles et les universités sont une bonne chose, mais vous ne pouvez pas vous arrêter à cela. Et bien des fois, la raison pour laquelle il y a une grande faiblesse à nos chaires aujourd’hui, et qu’on ne croit pas en Dieu, et qu’on n’enseigne pas la foi pour l’expiation totale, c’est parce que les gens ont été éclos à un endroit comme cela.

27 Un prédicateur sorti du séminaire m’a toujours fait penser à un poulet de couveuse. Vous savez, un petit poulet de couveuse naît normalement, mais il ne fait que « pépier, pépier, pépier », et il n’a pas de maman vers qui aller. C’est ce à quoi cela me fait penser. Les gens crient et font des histoires sans rien savoir de plus sur Dieu, parce que tout ce qu’ils connaissent c’est l’école. Je préfère avoir un homme, même s’il ne sait pas distinguer les pois cassés du café, mais qui connaît Dieu comme étant le baptême du Saint-Esprit et qui est rempli de Sa gloire et de Sa puissance, plutôt que toute l’instruction que vous pourriez déverser dans un homme sans qu’il ne connaisse Dieu.
La raison pour laquelle il y a de la faiblesse à nos chaires, c’est parce que nous disons : « Les jours des miracles sont passés. » Regardez où se trouve notre maman ; c’est une couveuse mécanique qui en a fait éclore, pour ainsi dire, par dizaines.

28 Remarquez. Et Saul avait peur malgré toute sa formation. Et c’était l’homme le mieux équipé pour faire cela, mais il avait peur de le faire. Pourquoi ? Il n’avait jamais fait beaucoup d’expériences. Il savait qu’il fallait plus que savoir manier une lance. Et pourtant, ils étaient l’armée du Dieu vivant.
Et aujourd’hui, nos chaires et nos séminaires représentent l’armée du Dieu vivant.

29 Mais un jour, comme Dieu en a toujours eu un, vint un petit gars blond et décharné, qui avait fait une certaine expérience. Son papa lui avait donné des gâteaux et lui avait demandé d’aller là où était l’armée pour voir ses frères. Il était trop blond et trop jeune pour être dans l’armée.
La Bible dit qu’il était blond, ce qui veut dire une espèce de tout petit gars recroquevillé. Et il s’appelait David. Et le voilà qui apparaît sur la colline, et Goliath s’est vanté au mauvais moment. Il y avait un homme de Dieu dans le camp.
Il n’avait peut-être pas un col retourné, ou – ou quelque chose de ce genre. Il n’avait peut-être pas un doctorat, ou un doctorat en théologie, mais il connaissait Dieu par expérience. Et il portait son petit manteau de peau de mouton ; il n’avait ni armure ni épée. Mais il est juste monté là, et Goliath s’est présenté et il a fait sa grande fanfaronnade : « Les jours des miracles sont passés ; cela n’existe pas. »

30 David a dit : « Voulez-vous me dire que vous, des hommes formés, vous vous tiendrez là et laisserez cette grosse brute de Philistin incirconcis insulter l’armée du Dieu vivant ? » Eh bien, le courage de ce petit homme décharné ! Et cela parvint au roi. Il a dit : « Je vais le combattre. »
« Oh ! se sont-ils dit, ce garçon n’a pas toute sa tête. Il n’a pas d’instruction ; il n’a aucune instruction ; il ne sait pas ce que c’est une épée. Il ne sait pas ce que c’est une armure. Il n’a pas de doctorat, ni de doctorat en théologie, aucun des deux. Mon vieux, que peut-il donc faire ? »
La chose est donc parvenue au roi, l’évêque. Alors il a dit : « J’admire ton courage, mais je ne pense pas que tu sois capable de faire cela. »
Il a dit : « Ecoute, ô roi… »
Le roi a dit : « Eh bien, si tu veux y aller, je vais t’instruire. Je vais mettre une épée dans ta main, je vais te faire porter mon armure. »

31 Ainsi David s’est tenu là, se posant des questions. Et on lui a donné un diplôme de licence en lettres, et on lui a donné un doctorat en théologie, et on a pris l’armure de Saül et on l’a mise sur lui. Le pauvre gars était cloué au sol par le poids.
Il a dit : « Débarrassez-moi de cette affaire. » C’est bon pour les prédicateurs. « Débarrassez-moi de cette affaire. » Je ne connais rien sur votre manière de dire : ‘Aaaaamen’, et parler d’une certaine sorte de théologie. Je n’en sais rien. Je n’en ai pas reçu la formation. Mais il y a une chose dont je suis sûr, c’est que là-bas derrière la colline, je faisais paître les brebis de mon père, et un ours est venu et en a pris une, et j’ai pris cette petite fronde, et l’ai terrassé avec cela. Puis un lion est venu et en a pris une autre, et je l’ai terrassé ; il s’est relevé, et j’ai pris une épée et je l’ai tué. Et si Dieu m’a délivré de leurs pattes, à combien plus forte raison me délivrera-t-Il de cet incirconcis de Philistin ? » Saül a vu que son gilet ecclésiastique ne convenait pas à un homme de Dieu. Il a dit : « Je ne sais rien à ce sujet. Mais laissez-moi y aller avec quelque chose que j’ai expérimenté. » Béni soit le Nom du Seigneur !
Ce dont les ministres ont besoin ce soir, ce n’est pas de tant de licences en lettres ou de doctorats en théologie, mais c’est d’une expérience du baptême du Saint-Esprit, qui fait entrer la vie dans l’homme, et lui donne la foi dans le Dieu vivant, qui ne change pas… une expérience.

32 Moïse fut instruit dans toute la sagesse des Egyptiens. Et il avait suivi l’enseignement de sa mère pendant quarante ans, et il était même capable d’enseigner les maîtres de l’Egypte. Mais il a fallu à Dieu quarante ans pour faire sortir tout cela de lui derrière le désert.
Et un jour, pendant qu’il faisait paître les brebis de Jéthro, ayant fui l’Egypte, ayant fui son devoir, il s’est dit qu’il retournerait au travail, et qu’il laisserait les choses suivre leur cours, parce qu’il avait essayé de lui-même sans avoir une expérience. L’enseignement, c’est très bien, mais la lettre tue. L’Esprit vivifie. Et en présence de ce buisson ardent, il apprit plus sur Dieu en cinq minutes que durant les quarante ans d’enseignements qu’il avait reçus.
Qu’était-ce ? C’était une expérience. Il n’avait pas reçu juste une lettre à lire, ou des lois à lire, ou des livres à lire, il avait une expérience, selon laquelle Dieu était toujours vivant. Le Dieu d’Abraham était tout aussi vivant en ce jour-là, dans cette terre étrangère, qu’Il l’était quand Il parlait à Abraham ou à Adam.

33 C’est ce qu’il faut Et tout homme qui monte à la chaire doit avoir une place dans son coeur, un derrière le désert. Dieu donne cette expérience à tous Ses enfants ; là où vous rencontrez Dieu et Lui parlez, et Il vous répond, et vous êtes convaincu qu’il y a quelque chose de réel.
Tous les docteurs en théologie du monde entier pourraient donner des explications dans tel sens, et parler dans tel autre sens, mais ils ne pourront jamais vous retirer cette expérience de derrière le désert, où vous rencontrez Dieu face à face.

34 Alors, quand Moïse avait rencontré Dieu, il a ensuite fait passer les enfants d’Israël par le feu de l’enfer, car il se montra ferme, comme voyant Celui qui est invisible, pas par Son enseignement, mais par l’expérience qu’il avait.
Abraham, après qu’il fut appelé de la – hors de la vallée de Schinear, le pays des Chaldéens et de la ville d’Ur, après que Dieu lui avait parlé, qu’Il lui avait parlé lorsqu’il avait soixante-quinze ans, et Sara soixante-cinq ans, et lui avait dit : « Tu vas avoir un enfant de Sara. » ... Après que Dieu lui eut parlé, il a eu une expérience, et il pouvait appeler ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, peu importe ce que quiconque disait.

35 Pouvez-vous vous représenter ce vieux couple, Abraham et Sara, allant au centre ville pour faire quelques achats – à l’âge de cent ans presque… « Achète toute la quantité de couches, des épingles que tu peux trouver, chérie, nous allons faire un voyage maintenant. Tu vas avoir un bébé. Nous ferions mieux d’aller voir le médecin. »
« Doc, nous allons avoir un bébé, mon épouse et moi. »
Il dit : « Quel âge avez-vous ? » « Eh bien, ce vieil homme a perdu la tête. (Voyez-vous ?) Il y a quelque chose qui cloche en lui. Nous ferions peut-être mieux de l’envoyer au pavillon de la psychopathologie. Un psychiatre pourrait lui parler. »
Dieu lui avait parlé ! Et il pouvait appeler ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, et il fut de plus en plus fortifié. Il avait une expérience, il savait qu’il y avait un Dieu qui parlait. Et il était pleinement persuadé qu’Il était capable de garder tout ce qu’Il avait promis. Amen. Le mot « Amen » signifie « ainsi soit-il ».

36 Et observez-le, après les vingt-huit premiers jours, il va auprès de Sara ; il avait vécu avec elle depuis qu’elle était une jeune fille d’environ seize ans, et la voilà maintenant une vieille... Elle aurait pu être une arrière-arrière-grand-mère. Et après les vingt-huit premiers jours, il a dit (Eh bien, rappelez-vous, elle avait déjà dépassé de beaucoup d’années la ménopause.) : « Sara, comment te sens-tu ? »
« Aucune différence, chéri. »
« Eh bien, Dieu soit béni, nous allons l’avoir, de toute façon. » Une année passa. « Comment te sens-tu, Sara ? »
« Aucune différence. »
« Gloire à Dieu, ça va être un miracle plus glorieux. Nous l’aurons, de toute façon. » Vingt-cinq ans se sont écoulés : « Comment te sens-tu, chérie ? »
« Aucune différence. »
« Gloire à Dieu, nous allons l’avoir, de toute façon, parce que j’ai parlé à Dieu, qui m’a répondu, et Il est capable de faire tout ce qu’Il a promis d’accomplir. » Et Il est le même Seigneur Dieu ce soir, si jamais vous L’avez rencontré.
L’expérience s’associe à la foi. Elle appelle tout ce qui est contraire à la Parole comme si cela n’était pas. La Parole vient en premier.

37 Pendant que je me tenais là derrière le rideau ce soir, écoutant le Dr. Vayle ; c’était après que Philippe avait amené Nathanaël, ou plutôt qu’il était allé trouver Nathanaël, après que Philippe avait entendu Jésus dire à Pierre son nom et celui de son père, c’était après cela qu’il L’avait reconnu. Il a fait une expérience ; il L’a entendu dire cela. Il a dit : « Viens, c’est le Messie. »
Nathanaël ne pouvait pas croire cela. Alors il est entré dans la Présence du Seigneur Jésus ; et Jésus a dit : « Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude. »
Il a dit : « Rabbi, quand m’as-Tu connu ? »
Il a dit : « Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. » C’était après que Jésus avait dit : « Parce que Je t’ai dit ceci, maintenant tu crois ? Tu verras de plus grandes choses que celles-ci. »

38 C’était après que la femme au puits, qui était venue là comme une prostituée, aujourd’hui nous l’appellerions une femme de mauvaise réputation. Elle est venue au puits puiser de l’eau, et elle a vu ce Juif assis contre le puits. Elle ne L’avait jamais vu auparavant ; Il était un étranger dans la ville, parce que c’était une ville de Samarie. Et ici se tenait un Juif, et Il lui a demandé à boire. Et elle a dit : « Il n’est pas d’usage que vous les Juifs demandiez une telle chose à nous Samaritains. »
Et la conversation se poursuivit, Jésus essayait de contacter son esprit pour voir quel était son problème. Et Il a dit : « Va chercher ton mari, et viens ici. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « C’est vrai. Tu as eu cinq maris, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. »
Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es prophète. Or, nous savons que, lorsque le Messie sera venu, Il fera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu ? »
Il a dit : « Je le suis, Moi qui te parle. »
C’était après qu’elle eut vu Sa puissance, par Dieu, pour connaître les secrets de son coeur, qu’elle est entrée dans la ville en courant et qu’elle a dit : « Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites. Ne serait-ce pas le Messie ? » C’était après qu’elle eut vu cela. Après que le miracle avait été accompli sur eux.

39 C’était après que Jésus eut maudit l’arbre, et qu’on l’eut vu se dessécher en vingt-quatre heures, qu’Il a dit aux disciples : « Ayez foi en Dieu. » Après qu’ils eurent vu la puissance de Dieu, il leur fut demandé d’avoir foi en Dieu.
Jésus a dit dans Actes 1.8 : « Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous. » Pas avant, quand vous aurez obtenu votre doctorat, mais après que le Saint-Esprit sera venu sur vous, c’est alors que vous aurez la puissance de la foi pour croire.
C’était après qu’ils avaient attendu cette promesse pendant dix jours dans la chambre haute, les portes et les fenêtres fermées parce qu’ils avaient peur. C’était après que le Saint-Esprit est descendu sur eux comme un vent impétueux avec des langues de feu et l’Esprit. Après cet événement, ils n’avaient donc plus peur, ils descendirent dans les rues et annoncèrent à tous qu’Il était le Christ ressuscité. Après cela, ils – ils ont évangélisé le monde et ont scellé leur témoignage avec leur sang, après qu’ils avaient reçu la puissance, après qu’ils avaient eu le Saint-Esprit.

40 Oh ! comme je suis reconnaissant de savoir que cette grande foi en Dieu est toujours accompagnée d’une expérience. Et ce soir, il se peut que vous n’ayez pas cette expérience. Mais si Dieu vient ce soir dans la puissance de la résurrection du Seigneur Jésus, qui a dit dans Jean 5.19 : « Je ne fais rien à moins que le Père me le montre premièrement »…
S’Il vient et fait la même chose dans cet auditoire pour prouver... Il a dit : « Je... Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous me verrez, car je serai avec vous et même en vous jusqu’à la fin du monde. Je serai le Cep, vous serez les sarments. » Le cep ne porte pas de fruits ; c’est le sarment qui porte des fruits. Et le sarment portera les fruits de l’espèce du cep auquel il est attaché.

41 Et si vous avez poussé sur ce cep de séminaire et avez juste une formation de théologien, c’est là le genre de fruit que vous porterez. Si vous avez poussé dans ce genre d’église, c’est probablement de cette façon que vous croirez. Mais si vous avez été planté, enraciné et fondé en Jésus-Christ, vous porterez les fruits de Christ. Forcément. Si vous avez cette expérience, ces fruits ne seront pas quelque chose d’étrange pour vous. Regardons maintenant à Lui, alors que nous prions.

42 Oh ! quelle assistance merveilleuse et attentive ! Comme ce serait merveilleux pour moi de rester plus longtemps. Je suis ici depuis une demi-heure déjà. Ce soir je me demande si vous n’avez pas cette expérience qui consiste à savoir que Jésus demeure vivant ce soir, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, déclarent les Ecritures, et que vous voudriez avoir cette expérience, bien que vous soyez un membre d’église.
Maintenant, que chaque tête soit inclinée, chaque oeil fermé, et que ceux qui sont dans la dimension de la prière, prient. Que cela soit un secret entre Dieu, moi et vous. Voudriez-vous bien lever la main vers Dieu et dire : « Ô Dieu, donne-moi une vraie expérience, afin que je puisse croire réellement. »
Que Dieu vous bénisse, vous qui avez les mains levées, tout autour. Dites : « Seigneur, je – je n’ai jamais vu quelque chose comme ce dont Tu parles. » Que Dieu vous bénisse, vous qui avez les mains levées partout.

43 « Je n’ai jamais rien vu de pareil, mais mon enthousiasme c’est exactement comme celui de la reine du midi. » Voyez-vous, elle ne savait pas non plus. Elle avait appris que Dieu avait fait un grand don à l’église, et elle était une païenne, dans le paganisme. Elle devait abandonner son église, ses pasteurs, ses évêques, ses papes. Elle devait tout abandonner, ses idoles païennes. Mais son coeur brûlait ; elle avait appris qu’il y avait un don de discernement en Israël. « Elle a voyagé dans un désert chaud et brûlant pendant trois mois », comme je l’ai souvent dit, « pas à bord d’une Cadillac climatisée, mais sur le dos d’un chameau. »
Une païenne, elle n’avait jamais entendu parler de quoi que ce soit, de rien d’autre que de son temple païen, mais elle est venue devant Salomon. Elle est venue avec assez d’or pour soutenir la chose, si elle voyait que c’était vrai. Elle s’est assise et a suivi la réunion. Après avoir vu la grande sagesse que Dieu avait donnée à Salomon, l’Esprit de discernement venant du Véritable Dieu vivant, sachant que l’homme n’avait pas ce discernement, cela devait venir de Dieu, elle s’est levée et elle a dit : « Tout ce que j’ai appris est vrai et bien plus. » Elle a donné son or et ses offrandes pour soutenir ce grand don que Dieu avait accordé.

44 Et Jésus a dit qu’elle se lèvera au jour du jugement et condamnera cette génération, parce qu’elle est venue voir le don de Salomon, et Il a dit : « Voici, il y a ici plus que Salomon. » Que fera-t-elle quand elle viendra au jugement avec la Nouvelle-Angleterre, au jour du jugement, quand les gens ne veulent pas traverser la rue ? Ils ne veulent pas entrer dans... laissez de côté leur télévision assez longtemps pour venir voir. Elle se lèvera au jugement et condamnera des millions et des millions de membres d’église américains.

45 Ô Dieu, sois miséricordieux ! Les hommes et les femmes gardent leurs mains levées. Des petits enfants et des adolescents n’ont pas encore vu, et pourtant ils croient. Tu es un Dieu bon. Les disciples ont cru. Thomas a dit : « Que je mettes mes doigts dans Ses mains. »
Il a dit : « Voilà, Thomas. Tu as vu, et maintenant tu crois, et c’est bien. Mais ceux-ci croient sans avoir vu. » Il en est ainsi ce soir, Seigneur, des dizaines de mains de gens qui n’ont jamais vu, mais qui croient, juste parce que j’ai apporté la chose à partir de Ta Parole.
Je Te prie de Te manifester maintenant dans Ta grande puissance de la résurrection, car quand cette puissante bombe volera par ici, ce spoutnik avec des milliers de soldats allemands, ou plutôt de soldats russes avec leurs bombes atomiques suspendues ici, disant : « Rendez-vous, sinon vous serez réduits en poussière. », que pourrions-nous faire ? Ô Dieu, l’Eglise sera alors partie.

46 Accorde-leur la paix et la miséricorde ce soir. Puissent-ils trouver Christ comme une réalité dans leurs coeurs, parce que quand ils ont levé les mains, ils ont brisé chaque loi scientifique qui peut être brisée. La gravitation montre que nos mains doivent pendre. Mais quand ils ont levé les mains, cela a montré qu’il y avait un Esprit se tenant près d’eux. Et ils avaient un Esprit, et cet Esprit a dit : « Tu es un pécheur ; tu as tort. Tu es un membre d’église, mais tu n’es pas en ordre. » Et cet Esprit en eux a décidé qu’il leur fallait être en ordre, et ils ont défié les lois de la gravitation, et ils ont levé la main vers leur Créateur.
Tu as dit : « Nul ne peut venir à moi si le Père ne l’attire premièrement. » Alors le Père est ici en train de vous attirer. « Et tout ce qui vient à Moi, Je lui donnerai la Vie Eternelle et Je le ressusciterai au dernier jour. » Nous le croyons, Seigneur.
Maintenant, manifeste-Toi ce soir au milieu de nous. Montre que Tu es toujours vivant. Car nous le demandons au Nom de Christ, pendant que Tu guéris les malades, et nous Te glorifierons. Amen.

47 Je suis désolé de vous avoir gardés... Un petit peu, ce n’est quand même pas tard. Maintenant, je veux que vous soyez très révérencieux, juste pour quelques instants. Le moment est maintenant venu pour tout ce que j’ai dit, et tout ce que Dr. Vayle a dit, et tout ce que les Ecritures ont promis ; cela doit s’avérer vrai ou faux. Cela doit être exact ou erroné.
Je suivais, quand il a été dit : « Ce Jésus demeurant le même, tel qu’Il s’est révélé aux Juifs et aux Samaritains, mais pas aux Gentils... » Les Gentils ont eu deux mille ans pour appeler l’église. Et maintenant, c’est la fin de l’âge des Gentils. Je me demande combien ici ont appris cela et croient cela. Faites voir vos mains. Vous avez de bons enseignants par ici. Ceci est la fin de l’âge des Gentils.
Avec le même ministère, là où sont ces Juifs qui ont ces petites Bibles que frère Pethrus de Stockholm leur a envoyées là-bas, un million ou plus. Et ils y lisaient ce que Jésus a fait, disait-on, ceux qui venaient d’Iran – Iran et de là-bas, que les magazines Look et Life ainsi que d’autres ont montrés. Ces Juifs transportaient leurs bien-aimés sur le dos, ils... Nous avons tout cela à la télévision – ou sur Kodachrome couleur.

48 Et nous les avons interviewés, frère Arganbright, ainsi que plusieurs hommes d’affaires chrétiens, et ils ont dit : « Revenez-vous dans votre vieille patrie pour y mourir ? »
Ils ont dit : « Non, nous sommes revenus pour voir le Messie. »
Quand le figuier bourgeonne... L’étoile à six branches de David est hissé là-bas, le plus vieux drapeau du monde flotte de nouveau pour la première fois depuis deux mille ans, non, deux mille cinq cents ans. Pensez-y.
Ils ont dit : « Où est le Messie ? »
Et puis, quand ils ont lu ces Bibles, ils ont dit : « Si ce Jésus était le Messie, et Il prétend ici qu’Il est ressuscité des morts, que nous Le voyions accomplir le signe du prophète. Nous croirons en Lui. »
Oh ! quelle chose réelle ! Mon coeur a bondi. J’ai dit : « Je veux avoir un billet, je pars. Je vais en appeler des milliers. »
On a dit : « Vous parlez sérieusement ? » Eux croient leurs prophètes. Et quand je suis arrivé au Caire, en Egypte, à trente minutes de la Palestine, j’avais mon billet en main. On était prêt à procéder au premier appel. Quelque chose m’a frappé, disant : « Pas maintenant. La colère de Dieu n’est pas encore descendue sur les Gentils. Leur iniquité n’est pas encore à son comble. »
Je me suis dit que je me suis certainement imaginé cela. Je me suis de nouveau mis à sortir. Je me suis dit : « Je vais aller vers la rampe. » Et je me suis dirigé vers la sortie, et alors là se tenait cette Lumière que vous voyez sur la photo.

49 C’est la même Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël. C’est la même chose que ce... Si cette Lumière que vous voyez là, qu’on a ici en Amérique, qu’on a en Allemagne, qu’on a en Suisse, où on a pris l’image de cela…
Cette Lumière rendra témoignage de ce qu’Elle est. Et si cette Lumière n’est pas de Dieu, Elle ne rendra pas témoignage de Dieu. Mais si Elle fait les mêmes oeuvres que Jésus a faites quand Il était ici sur terre, Lui qui a dit qu’Il est venu de cette Lumière, qui était dans le... Moïse dans le désert. « Avant qu’Abraham fût, Je suis. » Quand Il était ici sur terre, regardez ce qu’Il a fait dans la chair. Il a dit : « Mais je viens de Dieu, et Je retourne à Dieu. » Et quand Il est retourné, après Sa résurrection, Paul L’a rencontré sur la route de Damas, et là Il était redevenu une Colonne de Feu. Cette Lumière était si proche de Paul qu’Elle l’a aveuglé, et il a dû être conduit.

50 Il pouvait ... est entré sous forme d’une Lumière dans la prison où était Pierre. Il était redevenu Cela. Le voici encore à la fin de l’âge des Gentils pour faire exactement ce qu’Il avait fait autrefois. Tout cep porte du fruit selon son espèce à travers le sarment. Si on ne fait pas la même chose que Jésus a faite, alors ce n’est pas Jésus. Certainement.
Si je vous disais que l’esprit de John Dillinger était en moi, j’aurais des pistolets, et je serais dangereux. Si Dieu vous disait que l’esprit d’un artiste était en moi, vous vous attendriez à ce que je peigne les tableaux comme cet artiste. Si je dis : « L’Esprit de Christ est en moi », alors Cela produira les oeuvres de Christ. Il l’a promis.

51 Et puis, quand je suis allé jusqu’à la rampe, Il a dit : « Ce n’est pas encore le moment, c’est encore pour une autre saison. » Alors je me suis retourné et je suis allé jusqu’à la colline de Mars, de là je suis retourné au Vatican, puis je suis rentré chez moi. Ce n’était pas le moment.
Quand ces Juifs recevront l’Evangile, ç’en sera fini de vous les Gentils. Dieu traite avec les Juifs en tant que nation, et avec nous en tant que peuple ; avec les Juifs, toujours en tant que nation, la nation d’Israël.

52 Nous sommes au temps de la fin. Ceci est un appel à l’intention des Gentils. Que Dieu soit miséricordieux. Il est ici. Vous devez être en accord avec Lui, sinon Il ne pourra rien faire pour vous.
Et si Marthe était venue là et avait dit à Jésus : « Pourquoi n’es-Tu pas venu lorsque je T’ai appelé pour mon frère ? », le miracle n’aurait jamais eu lieu. Mais elle L’a approché avec révérence et a dit : « Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. » Mais, a-t-elle dit, « maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu l’accordera. » Oh, comme c’est beau !
Il a dit : « Ton frère ressuscitera. »
Elle a dit : « Oui, Seigneur, c’était un bon garçon. Il ressuscitera à la résurrection générale. »
Il a dit : « Mais Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. »
Elle a dit : « Oui, Seigneur, je ... »
Il a dit : « Crois-tu cela ? »
Elle a dit : « Oui, Seigneur. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde. » Voilà une vraie croyante, dans la présence du vrai Saint-Esprit, qui était en Lui. Qu’est-ce qui va se produire ?

53 Je ne parle pas contre la religion de qui que ce soit, mais une certaine femme d’un – un culte qui ne croit pas au Sang divin de Christ ; ils croient qu’Il était un prophète… Ce n’est pas seulement la Science chrétienne, mais beaucoup d’entre vous protestants, on vous fait avaler la même chose. Il était Dieu.
Elle a dit : « Monsieur Branham, j’aime vous entendre parler, mais vous vantez trop Jésus, disant qu’Il est Dieu. »
J’ai dit : « Il était Dieu. Il était plus qu’un prophète ou un docteur. Soit Il était Dieu, soit Il était le plus grand séducteur que le monde eût jamais connu. »
Elle a dit : « Si je vous prouve par vos Ecritures qu’Il n’était qu’un homme, allez-vous l’accepter ? »
J’ai dit : « Si les Ecritures le disent. »
Elle a dit : « Dans Saint Jean 11, quand Il se rendit à la tombe de Lazare, la Bible dit : ‘Il pleura.’ »
J’ai dit : « Oh ! madame, est-ce là votre Ecriture ? »
Elle a dit : « Oui. »
J’ai dit : « Votre Ecriture est moins consistante que le bouillon à base de l’ombre d’un poulet qui est mort de faim. » J’ai dit : « Vous êtes plus avisée. » J’ai dit : « Quand Il est allé à la tombe, Il a pleuré comme un homme, mais quand Il a redressé Son petit corps ; en effet, la Bible dit : ‘Il n’avait ni beauté pour attirer les regards.’ Mais quand Il a redressé ce petit corps, et qu’Il a dit : ‘Lazare, sors’, et un homme qui était mort depuis quatre jours, est revenu à la vie, c’était plus qu’un homme. »

54 Quand Il est descendu de la montagne, dans notre texte de ce soir, affamé, Il était un homme. Mais quand Il a pris cinq pains et deux morceaux de poisson, et qu’Il en a nourri cinq mille personnes, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu parlant au travers d’un homme. Il était plus qu’un homme quand Il a dit à la femme au puits qu’elle avait eu cinq maris. Il était plus qu’un homme quand Il a dit à Philippe qu’Il l’avait vu sous le figuier, à quinze miles [environ 24 km – N.D.T.] de là, alors qu’il priait.
Il était un homme quand une vertu est sortie de Lui, après que la femme a touché Son vêtement, et ainsi de suite. Et Il se reposait à l’arrière d’une petite barque, très fatigué, et dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Et cette vieille petite barque, là, tel le bouchon d’une bouteille, bondissant ici et là, le diable a dit : « Nous L’avons maintenant. » Il était un homme quand Il dormait là dans la barque, mais quand on L’a réveillé, quand Il s’est avancé et a posé Son pied sur la cargue de la barque, Il a levé les yeux et a dit : « Silence, tais-toi », et les vents et les vagues Lui ont obéi. Il était plus qu’un homme.

55 Il était un homme quand Il a imploré miséricorde au Calvaire à Sa mort. Mais le matin de Pâques, quand Il a brisé les sceaux romains, a roulé la pierre, et s’est tenu de nouveau sur la terre, Il a prouvé qu’Il était plus qu’un homme. Tout homme qui ait jamais été un homme de valeur sur cette terre croyait cela. Les poètes et ainsi de suite, l’un d’eux, l’aveugle Fanny Crosby, a dit: Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur,
Ecoute mon humble cri ;
Quand Tu réponds aux autres,
Ne m’oublie pas. Toi, Fontaine de tout mon réconfort
Plus que la vie pour moi ;
Qui ai-je sur terre à part Toi,
Ou qui ai-je au ciel en dehors de Toi ?

56 Quand Eddie Perronett a écrit le cantique d’investiture, quand on a complètement rejeté et refusé sa pauvre poésie, il a saisi une plume dans cette pièce sombre, et le Saint-Esprit est venu sur lui, et il a écrit le cantique d’investiture, quand il a écrit : Que tous louent la puissance du Nom de Jésus !
Que les anges tombent sur leur face ;
Apportez le diadème royal,
Et couronnez-Le « Seigneur de tous. » Quelqu’un a dit : Vivant, Il m’a aimé,
Mourant, Il m’a sauvé,
Enseveli, Il a emporté mes péchés au loin,
Ressuscitant, Il m’a justifié à jamais pour être libre.
Un jour Il reviendra,
Oh, quel jour glorieux ! Il était plus qu’un homme ; Il était Dieu. Il est toujours Dieu ce soir.

57 Père, nous aimons lire Ta Parole, et nous savons que Tu es Dieu, et que Tu ne peux pas mourir. Tu es mort une fois pour nos péchés, et Tu es ressuscité le troisième jour, selon les Ecritures, et Tu vis éternellement pour accomplir chaque promesse.
Accorde ce soir, Seigneur, car il se peut que je ne vienne plus jamais ici, que cette ville sache que Tu es toujours vivant. Accorde-le, Seigneur.
Maintenant, je me soumets à Toi, et je Te confie chaque personne ici présente, et Te prie d’agir au travers de notre chair et de notre esprit. Que tout le monde ici rentre chez lui en Te glorifiant. Nous prions au Nom de Christ. Amen.

58 Voyez-vous, je pense qu’hier soir nous avons appelé la première partie de cartes. Cette photo de l’Ange du Seigneur, je ne sais pas si vous l’avez déjà vue ou pas, la note du FBI qui y était jointe, disait : « Autrefois je pensais que vos réunions, c’était de la psychologie, lorsque vous parliez de la Lumière. Je me demandais comment cela se faisait. » M. George J. Lacy a dit : « Monsieur Branham, l’oeil mécanique de l’appareil photo ne peut pas prendre de la psychologie. La lumière a frappé l’objectif. »
Elle est au comptoir là derrière, au stand des livres. Les garçons auront cela après le service. Nous devons l’acheter ; c’est sous copyright. Nous devons acheter nos livres ; ils sont sous copyright. Nous n’avons rien à vendre, nous... Si je ne pensais pas que cela pourrait aider quelqu’un, cela ne serait jamais ici. Ce n’est pas ma photo que vous achetez, c’est Sa photo.
M. Lacy a dit : « Il y a eu un temps où les gens mettaient en doute ces Lumières, et ils disaient que c’était une pensée psychique de l’artiste qui avait peint ces auréoles et autres qui entourent notre Seigneur et les apôtres, mais, a-t-il dit, cette photo mécanique montre que c’est la vérité. » C’est exact.
Il a dit : « Le vieil hypocrite... » Il voulait dire l’incrédule. C’est ce qu’il a déclaré. Je cite ses paroles à la lettre. Il a dit : « Les gens ne peuvent plus faire cela. » Le monde scientifique sait donc qu’Il est toujours vivant. L’église sait qu’Il est toujours vivant, parce qu’Il demeure le même.

59 Je pense qu’hier soir nous avons appelé la première partie de ces cartes de prière, n’est-ce pas ? Nous en avons appelé quinze ou vingt, et ce soir... Ce – c’est quelle série ? F ? Appelons la dernière partie. Nous... Les garçons viennent et les mélangent toutes, et ils vous les distribuent. Voyez si vous pouvez bien voir cela, nous ne savons pas qui vous êtes. Quand nous les mélangeons, vous pouvez recevoir le numéro un, le suivant recevoir le numéro cinquante, le suivant le numéro vingt-deux, et puis le suivant le numéro trois. Et puis, celui qui les distribue ne sait pas à partir d’où on va appeler ; on vient juste ici, et on les appelle ici.
Autrefois j’étais... Je demandais à un petit enfant de monter et de compter, et là où il s’arrêtait, c’est à partir de là que nous commencions. C’est incroyable, mais maman s’arrangeait pour que le petit gars s’arrête juste à son numéro. Voyez-vous? Nous avons donc toujours affaire à des êtres humains. Ainsi nous...
Et puis regardez, ici sur la… Sur l’estrade, cela ne veut rien dire. Vous pouvez être guéri là exactement comme vous pouvez l’être ici.

60 Combien savent que l’Ecriture déclare ceci, que lorsque la femme a touché Son vêtement, elle s’est vite retirée dans l’assistance, et Jésus a dit : « Qui M’a touché ? Qui M’a touché ? »
Et elle... Pierre a dit : « Mais c’est tout le groupe qui Te touche. » Il a repris le Seigneur.
Mais le Seigneur s’est retourné et a dit : « Quelqu’un M’a touché ; en effet, Je suis devenu faible. » Et Il a cherché des yeux jusqu’à ce qu’Il a trouvé la petite femme, et Il lui a dit où se localisait sa maladie, et qu’elle était guérie. Combien connaissent cette Ecriture ?
Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, agira-t-Il de la même façon aujourd’hui ? La Bible dit-Elle dans Hébreux 13:8 qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement ? Bien, et puis la Bible dit-Elle également dans Hébreux, qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités ? Qu’est-ce qu’Il est ? Il est assis à la droite de Dieu ce soir, intercédant sur base de notre confession, en tant que Souverain Sacrificateur.
Alors s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, le même Souverain Sacrificateur, Il devra agir de la même façon, sinon Il n’est pas le même. Maintenant, touchez-Le simplement par le sentiment de vos infirmités, et voyez s’Il ne se révélera pas comme étant exactement le même. Maintenant, soyez très révérencieux. Priez maintenant. Je ne dis pas qu’Il le fera.
Voyons... Par où allons-nous commencer ce soir ? Nous ne pouvons pas les appeler toutes ici. Commençons à partir de 85 jusqu’à 100. Cela fera 15 sur l’estrade en une seule fois. Très bien, qui a la carte de prière F85 ? Levez la main. F85 ? Regardez vos cartes maintenant ; peut-être qu’il y a quelqu’un qui ne peut pas se lever.

61 [Espace vide sur la bande – N.D.E.]... les mouchoirs ici ce soir dans ce panier, et vous en voulez un. Combien y croient ? Faites voir vos mains. C’est la Bible qui l’enseigne. Vous pouvez juste m’écrire. Maintenant, je ne – je ne cherche pas à avoir votre adresse ; je n’ai rien à parrainer, rien du tout. Je connais des temps durs pour réunir assez d’argent pour payer des secrétaires afin de répondre – m’aider à y répondre. Si vous m’écrivez à Jeffersonville, dans l’Indiana, je vous enverrai cela gratuitement. Prions.

62 Seigneur, ces mouchoirs viennent ici ce soir des mères et des pères, des enfants, et des petits, qui sont malades et nécessiteux, peut-être un vieux père aveugle assis quelque part dans une pièce, une pauvre mère étendue sur un lit d’afflictions, un petit bébé se traînant par terre. Tu sais tout cela. Et la Bible leur apprend que les gens retiraient du corps de saint Paul, des mouchoirs et des linges. Ils croyaient en Paul, quand ils voyaient les oeuvres de Dieu que Paul accomplissait.
Nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais nous savons que Tu es toujours Jésus, et nous Te prions, ô Père, de guérir chacun d’eux, alors que nous les envoyons aux malades et aux affligés. Avec des coeurs sincères, nous Te remercions pour ces gens qui font suffisamment confiance pour croire encore aujourd’hui. Et qu’ils soient guéris, au Nom de Christ. Amen.

63 92 ? 92 et 94 manquent, sont-ils dans la salle ? 89, 92 ? Très bien. 92 est ici. C’est le numéro 89 qui manque. S’il est dans la salle, si quelqu’un... Je voudrais que vous regardiez sur votre carte, peut-être que vous... 90 ? 93 ? 90 et 93. Très bien. Si le numéro 90 est dans l’auditoire, ou 93, je vous prie de monter. N’importe où entre... A partir d’où ai-je appelé maintenant ? De 85 à 100, n’importe où... Tous ceux qui ont des cartes de prière, de 85 jusqu’à 100...
Jetez un coup d’oeil chez votre voisin. Il se peut qu’il soit sourd-muet, et il est simplement assis là, et il ne – il ne sait pas. Vous aurez... Peut-être que c’est quelqu’un qui ne peut même pas se déplacer. Transportez-le. Jetez un coup d’oeil tout autour de vous sur les cartes de ceux qui en ont. Tout le monde est-il là maintenant ? C’est bon. C’est bien.

64 Combien n’ont pas de cartes de prière, mais veulent néanmoins que Jésus les guérisse ? Faites voir vos mains. Ayez simplement la foi, croyez de tout votre coeur. Bon, merci.
A présent, je veux que vous fassiez quelque chose. Maintenant, vous qui n’avez pas de cartes de prière, vous ne viendrez pas sur l’estrade, à ce que je sache. Maintenant, je veux que vous soyez en prière, tout calmement, et disiez : « Seigneur Jésus, ce frère nous a parlé ce soir, et il a cité l’Ecriture selon laquelle Tu demeures le même. Et Tu l’as déclaré Toi-même devant les Juifs et les Samaritains en Ton jour, et Tu as dit que Tu ne faisais rien jusqu’à ce que le Père Te l’ait montré.
La première église ou plutôt l’église orthodoxe, la vieille église juive de ce temps-là, disait que Tu étais Béelzébul, le diable, parce que Tu connaissais leurs pensées. »
« Et regarde, les gens sur qui les miracles avaient été accomplis, disaient qu’ils croyaient que Tu étais le Fils de Dieu, et c’était le signe du Messie. Maintenant, nous croyons que le Messie revient bientôt, et nous croyons que Tu Te manifestes devant nous aujourd’hui, afin que nous soyons prêts pour nous échapper. Ainsi, on nous a appris que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Dites : « Seigneur Dieu, ce soir, je Te prie de m’accorder de toucher Ton vêtement comme l’a fait la femme. Et alors, retourne-Toi et par les lèvres de frère Branham, adresses-Toi à moi, et parle-moi juste comme Tu le fis à la – la femme, et alors, Seigneur, je Te donnerai toute la louange et toute la gloire. Je croirai en Toi. »

65 Maintenant, voyez s’Il demeure le même. Quel défi ! Est-ce que vous... Mes amis, je suis sûr que vous ne saisissez pas cela. Comprenez-vous ce que cela signifie ? Et suivez ici, je ne connais personne dans cette salle, personne, à l’exception de M. Sweet, M. Vayle, M. Goad, qui sont assis juste ici, et de mon fils qui était ici il y a quelques instants ; il est parti. Très bien. Ce sont là les seules personnes que je connaisse dans cette salle, mais Dieu vous connaît tous.
Eh bien, est-ce la dame ? Voici un tableau de St. Jean 4, un homme et une femme. Je pense que c’est la première fois que nous nous rencontrons ? C’est ça. Entendez-vous la dame, ou plutôt la voyez-vous hocher la tête ? Veuillez lever la main afin qu’ils voient.
Je ne la connais pas ; je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle est une femme ; je suis un homme. Voici que nous nous tenons ici et c’est pour la première fois que nous nous rencontrons. Maintenant, s’il y a quelque chose qui cloche en elle, je l’ignore, il se peut qu’elle soit une critiqueuse. Il se peut qu’elle soit ici juste pour faire du bluff. Si tel est le cas, voyez ce qui va arriver.–E-

66 Combien ont déjà assisté à des réunions et ont vu ce qui est arrivé comme cela ? Oh ! la la. Certains s’écroulent, d’autres sont paralysés, d’autres deviennent fous et tout le reste. Il reste toujours le même Dieu, le même livre des Actes 19, juste le même. Le Seigneur décidera de cela. Que Lui le révèle.
Il se peut qu’elle soit une pécheresse ; il se peut qu’elle soit une hypocrite ; il se peut qu’elle soit une chrétienne ; je ne le sais pas. Mais ici... Quelque chose doit se produire. Qu’elle soit le juge.
Si je disais : « Madame, vous êtes malade, je vais vous imposer les mains ; vous allez vous rétablir. » Elle pourrait douter de cela ; elle n’a eu que ma parole. Mais qu’en serait-il si le Saint Esprit venait et lui disait quelque chose dont – dont elle – elle est sûre que moi j’ignore ? Alors elle en sera le juge. Si donc Il sait ce qui était, Il saura ce qui sera.

67 Maintenant, ceci c’est pour vous qui êtes au balcon ; vous n’êtes pas trop loin, jamais hors de la portée de Christ. Croyez juste là où vous êtes assis. Combien là-haut sont malades et veulent que Christ les guérisse ? Levez la main, partout ? Croyez simplement ; ayez simplement la foi.
Eh bien, nous voici juste comme dans St. Jean, chapitre 4, un homme et une femme qui se rencontrent, ils se mettent à converser, et Jésus a découvert le problème de la femme. Il lui a dit où se situait son problème, et ce qu’était son problème. Et elle a dit : « Tu dois être un prophète. Or, nous savons que c’est ce que le Messie fera. »Il a dit : « Je Le suis. »
Et elle est entrée dans la ville en courant et a dit : « Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie ? »

68 J’ai dit cela hier soir, et je le dis encore ce soir : « Cette femme en savait plus sur Dieu que 80% de nos prédicateurs américains. » C’est juste. Bien qu’elle fût une prostituée, elle a reconnu cela. Elle en savait plus sur Dieu que ces sacrificateurs, ces rabbins et autres.
Eux ont dit : « C’est Béelzébul, un démon. »
Elle a dit : « C’est le Messie », or, Il a fait cela. Alors, qui avait raison ?

69 Très bien, madame, étant donné que ce soir je ne parle qu’un peu juste pour causer avec vous, jusqu’à ce que je saisisse le... sachant que le Saint-Esprit est en train d’apporter l’onction. Maintenant, s’Il me révèle la raison pour laquelle vous êtes ici ce soir, et vous savez que je l’ignore, alors allez-vous – allez-vous dans ce cas accepter cela ? Très bien, donc.
Combien là-bas diront : « Je ferai la même chose » ? Y a-t-il quelqu’un là qui connaît cette femme ? Oui, il y en a un bon nombre. Eh bien, vous connaissez donc vos concitoyens – vos concitoyens dans la ville, vous savez tout à ce sujet. Maintenant, nous sommes donc juste... Soyez-en le juge.
Maintenant, soeur, juste pour vous parler en tant qu’homme. La seule chose que je... Ceci doit être pour ... Dieu n’est pas tenu de faire ceci, mais Il a promis de le faire. Il n’était pas tenu de guérir quand Il était ici sur terre, mais Il avait promis de le faire. Le prophète a dit : « Il a pris nos infirmités, et Il s’est chargé de nos maladies. » Il devait accomplir cela.
Et si la Bible dit : « Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement », et que c’est ainsi qu’Il s’est manifesté à la fin de cette génération-là, Il est tenu de faire la même chose aujourd’hui pour accomplir l’Ecriture.

70 Nous voici donc ici à la fin de l’âge des Gentils. Cette femme est une chrétienne, et elle est une croyante. C’est juste. Elle ne se tient pas tellement ici pour elle-même, bien qu’elle ait un problème de glande qui fait qu’elle soit trop grosse. Mais elle a autre chose sur son coeur, qu’elle désire. Et elle prie beaucoup pour cela ; son désir, c’est au sujet de son mari. C’est juste. Est-ce... C’est la vérité? Maintenant, croyez-vous ? Maintenant, soyez-en le juge.
Eh bien, je ne sais pas à présent ce que j’ai dit. Voyez-vous ? Ça se trouve là sur bande, si jamais vous voulez l’avoir. Ils ont cela sur bande. Voyez-vous ? Qu’est-ce qui est arrivé ? C’est une vision. Vous êtes peut-être quelque part ailleurs, des années dans le passé, ou peut-être dans le futur, ou quoi que ce soit. Vous êtes quelque part dans un autre monde. Vous vous abandonnez tout simplement ; c’est un don. Vous vous abandonnez au Saint-Esprit. Qu’est-ce que cela montre ? Que le même Saint-Esprit qui était dans l’Eglise primitive, et en Christ, est ici dans cette Eglise et vivra dans Son Corps, comme Il l’a promis. Cela devrait faire que la croyance, la foi, s’élève à un point où tout peut se produire. Mais pourquoi en est-il ainsi ? Nous sommes si morts en esprit.

71 Eh bien, si vous pensez que j’ai juste deviné, prenons notre temps avec la femme, et parlons-lui un peu. Très bien, madame, tout ce qu’Il a dit était la vérité. Maintenant, j’ignore ce que c’était, là le... Et vous comprenez que le fait de vous tenir devant un homme, moi, ne peut pas faire que vous vous sentiez comme vous vous sentez maintenant. Vous êtes une personne très gentille. Et vous êtes en parfait contact avec Quelque Chose, vous éprouvez une sensation très douce et très humble. C’est le Saint-Esprit.
Voyez-vous cette Lumière ? C’est cette Lumière qui fait que vous ayez cette sensation. Je regarde droit à Elle. Elle est juste autour de nous.

72 Maintenant, si Christ était ici, portant ces vêtements qu’Il m’a donnés, et que vous ayez besoin d’être guéri, Il ne pourrait pas vous guérir. Il l’a déjà fait quand Il est mort au Calvaire. S’Il fait quelque chose pour montrer qu’Il est le Christ, alors vous, croyez aux souffrances qu’Il a endurées à notre place, croyez à Sa mort, à Son ensevelissement et à Sa résurrection ; sachez qu’Il est toujours vivant, s’Il est toujours vivant après toutes ces années, et qu’Il demeure le même à tous égards. Eh bien, la guérison et le salut ont été acquis ; c’est déjà accompli. Vous devez tout simplement croire cela. Ainsi Il a simplement... La seule chose qu’Il pourrait faire serait de se manifester, montrer qu’Il est ici pour déclarer que ce qu’Il a fait là est valable ce soir.

73 Oui, la femme commence à réapparaître dans la vision. Oui, c’est un problème de glandes. Elle est trop grosse ; tout le monde peut voir cela, et c’est une maladie de glandes. Oui, je vois apparaître encore un homme ; c’est son mari, et il a un problème. C’est dans ses jambes. Il s’agit de la phlébite, toutes les deux jambes. Et voici, cet homme marche en dehors de la volonté de Dieu. Il a eu un appel au ministère, et il place autre chose avant cela ; il fait un autre travail et n’accomplit pas cet appel. Et la raison pour laquelle il fait cela, c’est parce que vous êtes vous-même une femme prédicatrice. Et il – et il s’imagine qu’un seul prédicateur dans la famille pourrait être suffisant, mais il a tort. Il... Vous n’êtes pas de cette ville ; non, vous ne l’êtes pas. Vous êtes d’une ville... Vous êtes de New York, d’une ville appelée Schenectady. Et vous vous appelez Mme Reed. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, retournez trouver la chose telle que vous l’avez crue. L’avez-vous crue ? Il en sera juste comme vous l’avez demandé. Que Dieu vous bénisse.

74 Croyez-vous au Seigneur de tout votre coeur ? Maintenant, vous qui êtes dans l’auditoire, ayez la foi. Maintenant, ne doutez pas. Ne vous déplacez pas, restez très tranquilles, je vous en prie. Voyez-vous ?
Quand les esprits quittent les gens, par exemple les mauvais esprits, ils vont d’une personne à une autre. Vous le savez. Quand vous avez une assistance qui saute et court, vous ne pouvez pas les retenir. Vous ne ... Ce n’est pas nécessaire d’essayer de prendre le temps d’expliquer la chose. Croyez simplement cela, c’est tout. Croyez simplement cela.

75 Cette dame-ci m’est inconnue, à ma connaissance. Je ne la connais pas. Vous avez l’air d’une femme bien portante, mais je ne sais pas. C’est Dieu qui le sait. S’Il me révèle votre problème, me croirez-vous ?
Pensez-vous que vous allez vous remettre de ces ulcères ? Vous étiez en train de prier pour cela, pas vrai ? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame ? Je ne vous ai jamais vue de ma vie. C’est juste, levez la main. Vous êtes une personne nerveuse, très nerveuse, c’est ce qui est à la base de vos ulcères. Allez de l’avant, et prêchez la Parole maintenant. Vous êtes une prédicatrice de toute façon, allez donc prêcher la Parole.
Vous là-bas qui avez entouré votre ami de vos bras, qu’en pensez-vous, monsieur ? Croyez-vous que je suis Son prophète, ou plutôt Son serviteur ? Croyez-vous ? S’Il me révèle ce dont vous avez besoin, accepterez-vous cela ? Evidemment, vous portez des lunettes ; un homme de votre âge devrait porter des lunettes ; mais ce n’est pas ça. Vos yeux sont malades. Vous voulez que l’on prie pour vos yeux. C’est ce que vous voulez. Vous souffrez aussi de l’arthrite. Vous voulez que l’on prie pour cela. C’est juste, n’est-ce pas ? Acceptez-vous votre guérison maintenant ? Levez la main si tel est le cas. C’est fini ; vous pouvez rentrer chez vous, portez-vous bien. Votre foi vous a guéri.

76 Qu’ont-ils touché ? Que... Je vous demande maintenant, avec révérence, qu’ont-ils touché ? Devant Dieu, je n’ai jamais vu aucun de ces hommes, je ne sais rien d’eux. Mais quelqu’un était en prière. C’était ce grand homme là qui priait. Et comme il était assis avec son corps près de l’autre homme qu’il touchait, c’est ce qui a fait cela pour cet autre homme. Maintenant, posez-leur la question. Que Dieu soit le Juge.
Maintenant, Jésus-Christ demeure-t-Il le Souverain Sacrificateur, qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités ? Est-Il vivant ce soir ?

77 Maintenant, il y a la foi dans l’assistance, soeur, je... Je suis tout simplement cette Lumière partout où Elle va. Voyez-vous ? C’est tout ce que je puis faire. Maintenant, peut-être qu’Il viendra vers vous. Si le Seigneur me révèle ce que vous voulez de Lui, croirez-vous ? Vous savez, s’il s’agit de guérison, je ne pourrais pas vous guérir. Mais je vois quelque chose, vous avez quelque chose au bras. Oh, c’est une... Vous – vous souffrez de l’hypotension. C’est ce dont il s’agit, l’hypotension. Ce n’est pas seulement ça, mais je vois un hôpital. C’est pour quelqu’un d’autre que vous vous tenez là, et c’est un ami à vous qui est hospitalisé à suite d’un accident ; il a des os brisés dans son corps. Vous êtes vous-même un enseignant, un enseignant d’école du dimanche. Maintenant, recevez cela ; il en sera juste tel que vous l’avez cru. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous. Soyez révérencieux maintenant, je vous prie. Je vous en prie, je vous en prie.

78 Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? S’Il me dit la raison pour laquelle vous êtes ici, croirez-vous cela alors ?
Maintenant, je vous en prie, restez assis tranquillement un instant. Mon fils va venir me prendre dans quelques minutes, soyez donc très révérencieux. Ne vous déplacez pas. Soyez très révérencieux. Il... Dieu est dans Son saint temple, et soyons révérencieux.
Vous souffrez d’une maladie nerveuse. Et vous avez des problèmes de la colonne vertébrale. C’est vrai. Comment l’ai-je su ? Cela a dû venir de Quelque Chose qui est présent ici et qui vous connaît. Croyez-vous que c’est le Seigneur Jésus qui me permet de faire ceci ?
Maintenant, juste un moment si l’auditoire peut encore m’entendre. Il y a un homme qui monte là. Une vision est en cours maintenant ; il s’agit de son fils. Et il est tourmenté par des troubles nerveux. Et vous voulez qu’on prie pour lui. C’est exact. Il n’est pas ici. Il habite New York. Et je vous dis, afin que vous croyiez que je suis Son serviteur, que ce garçon est de foi catholique. C’est exact. Croyez-vous maintenant qu’il... Dieu va arranger cela... ?... pour lui, acceptez-vous cela ? Très bien. Allez là, prenez ce mouchoir et envoyez-le-lui. Cela va se terminer. Que Dieu vous bénisse.

79 Ayez foi en Dieu ; ne doutez pas. Il y a une puissance maléfique qui émane constamment de cet auditoire, de quelque part.
Dieu peut guérir l’épilepsie. Croyez-vous cela ? Croyez-vous qu’Il vous rétablira ? Levez la main, là, monsieur, si vous croyez cela de tout votre coeur, en ce moment. Maintenant, ayez foi en Dieu, et ce sera complètement terminé.
C’est le diable qui d’habitude s’éloigne de nous. Il fait le mal, je... Dans un auditoire désobéissant, j’ai vu vingt-huit personnes attraper cela en une fois, après que cela avait été chassé d’un bébé, et ils ont toujours cela aussi. Rappelez-vous, quand ils sont sortis de Légion, ils sont entrés dans des cochons. Ils doivent aller quelque part.

80 Le Saint-Esprit est toujours suspendu là-bas. Il s’agit d’un homme qui est assis là à côté de lui. Quelque chose est arrivé à cet homme. Croyez-vous qu’Il peut guérir aussi les troubles cardiaques ? Vous souffrez des troubles cardiaques, et vous priiez pour en être guéri. C’est exact.
La dame qui est assise là. Le voilà aller ; voilà cette Lumière juste près de cette dame. Il est... La femme a des cataractes dans les yeux. C’est juste, n’est-ce pas, madame ? Croyez en Lui ; cela va vous quitter. Oh ! Il est réel. Si tu peux croire.
Vous croyez. Je ne vous connais pas. Mais je vous vois ; vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Et vous étiez assise dans cet auditoire hier soir, et le Saint-Esprit vous a appelée, et vous avez été guérie d’une maladie de la gorge, hier soir, AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre, votre frère. Et il n’est pas ici. Il souffre du cancer. Et il est – il est dans une ville appelée Toronto, au Canada, dans l’Ontario, au Canada. C’est exact. Ce petit mouchoir, naturellement, avec lequel vous avez essuyé cette larme, envoyez-le-lui, et ne doutez pas ; il se rétablira. Amen. Ayez foi en Dieu.
Oh ! Sa Présence vous amène-t-elle à reconnaître que Jéhovah est toujours vivant, et que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement ?

81 Je ne vous connais pas, madame. Vous m’êtes inconnue. Elle a quelque chose sur son coeur. Elle prie pour quelqu’un d’autre, c’est une femme âgée. C’est sa mère, et sa mère est paralysée ; elle est estropiée. Vous êtes l’épouse d’un ministre, et vous avez d’autres personnes sur votre coeur pour lesquelles vous priez. Ne doutez pas. Ayez la foi. Vous recevrez ce que vous demandez. Croyez-vous cela ? Que Dieu vous vienne en aide dans ce cas. Partez, et recevez cela, ma soeur. Très bien.
Le Seigneur Dieu nous connaît tous les deux, madame. Je ne vous connais pas. Mais Dieu nous connaît. S’Il me dit la raison pour laquelle vous êtes ici, croirez-vous ? L’auditoire va-t-il croire ?
Je vois un jeune homme pour lequel quelqu’un prie ; il boit. La dame qui est juste là, cette dame âgée, vous priez pour votre fils qui boit, qui s’enivre. Tenez-vous debout une minute, madame. Croyez-vous que Dieu va rendre ce jeune homme sobre et le renvoyer à la maison auprès de vous, et faire de lui un chrétien ? Seigneur Dieu du ciel, je prie pour cette précieuse mère et pour ce jeune homme, qu’il revienne à lui comme le fils prodigue et retourne, au Nom de Jésus. Amen. Ne doutez pas. Si tu peux croire.

82 Vous qui aviez la tête baissée, en prière, l’hypertension n’est rien devant Dieu pour la guérir. Croyez-vous qu’Il le fera, monsieur ? Croyez que Dieu... Vous étiez en prière, la tête baissée, à ce moment-là ; si c’est exact, agitez la main comme ceci. Très bien. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, monsieur ? Dieu vous a guéri maintenant. Partez simplement en croyant de tout votre coeur. Dieu vous l’accordera.
La petite dame pâle, la dame (C’est celle à qui vous parliez, monsieur.) qui implorait miséricorde ; croyez-vous que Dieu peut guérir cette maladie de la vésicule biliaire et vous rétablir ? Croyez-vous cela ? Levez-vous. Vous savez que vous sentez un changement. Cela vous a quittée maintenant, vous pouvez continuer votre route et vous réjouir.

83 Vous êtes ici pour une très bonne cause. Vous demandez à Dieu quelque chose qui va sortir de l’ordinaire, mais j’ai vu le Seigneur le faire. Même à votre âge, vous souhaitez toujours avoir un bébé. Vous êtes mère, mais pas de vos propres enfants, vous êtes mère des enfants des autres, des enfants de votre mari, mais vous en voulez un à vous. C’est pour cette raison qu’Anne était venue au temple. C’est ce que vous aviez à l’esprit. C’est pour cela que vous avez prié avant de quitter votre maison.
Je vois votre mari, il est Italien, n’est-ce pas ? Il souffre. Il a besoin d’être guéri de sa jambe, de ses genoux, de son bras. C’est juste. Très bien. Partez, croyez cela maintenant, et vous pouvez obtenir ce que vous demandez.

84 Croyez-vous de tout votre coeur ? Voulez-vous manger encore et vous sentir bien ? Ce mal d’estomac est si sérieux, c’est un état nerveux qui en est la cause…?...
Il y a tellement de cas de cela là-bas que je n’arrive même pas à les distinguer. Vous croyez maintenant. Une foi frappe l’assistance. Permettez que je vous montre ce que je veux dire. Regardez... Suivez ici.
Combien parmi vous – parmi vous là-bas souffrent d’une maladie nerveuse ? Levez la main. Je veux juste vous montrer. Presque quatre-vingts pour cent de l’assistance. Que tous ceux d’entre vous qui souffrent d’une maladie nerveuse se tiennent debout maintenant même, juste une minute. Tenez-vous juste ici. Je vais vous montrer la gloire de Dieu, partout. Tout celui qui est tourmenté par une maladie nerveuse, qu’il se lève. Allez-y. Restez simplement debout.

85 Jeune dame, si Dieu me révèle votre problème, croirez-vous de tout votre coeur ? Si oui, vous n’aurez plus jamais à subir cette opération. Dieu est capable de dissoudre cette tumeur, et vous serez bien portante au possible. Croyez-vous cela ? Acceptez cela.
Tout celui qui souffre d’une tumeur ou d’une grosseur, levez-vous juste maintenant. Venez en croyant.

86 Elle souffre aussi de la nervosité. Si Dieu peut faire cela ici, Il peut le faire là. Combien sont malades ou ont besoin de la guérison là, qu’ils se mettent debout juste un instant. Levez-vous un instant.
Ça paraît si vivant par-dessus l’auditoire. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Alors, croyez-moi sur parole. Le Saint-Esprit vient de couvrir complètement la salle. Ç’est comme une brume laiteuse partout. Voici le moment de votre guérison. Il n’y aura pas une seule personne faible parmi nous dans quelques minutes, si seulement vous croyez en Lui. Croyez-vous cela ?
Maintenant, tenez-vous juste ici pour votre guérison. Peu importe vos maladies, soyez prêts en cet instant. Christ a guéri chacun de vous. Êtes-vous prêt à recevoir cela ? Alors s’Il l’a déjà fait, il ne reste qu’une chose : levons les mains et louons-Le pour cela. Levons les mains.

87 Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, et Donateur de tout don excellent, nous prononçons maintenant la malédiction sur le diable ; il est vaincu, et nous réclamons la guérison pour cette assistance, maintenant même. Qu’il en soit ainsi, au Nom de Jésus-Christ.
Pendant que vos têtes sont encore inclinées, êtes-vous conscients que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici ? Si vous l’êtes, mais doutez de votre expérience, que vous n’avez pas le Saint-Esprit, ou que vous êtes un pécheur, voulez-vous monter ici en ce moment, juste dans Sa Présence, juste ici maintenant, juste autour de l’autel ? Déplacez-vous carrément et venez ici, juste une minute. Quittez carrément votre siège. Descendez simplement l’allée et venez ici juste une minute. Tenez-vous juste une minute ici autour de l’autel pour la prière. C’est juste, soldat, avancez simplement. Maintenant, vous autres, avancez tout simplement. Quittez carrément, quittez carrément vos sièges maintenant, que chacun descende carrément l’allée ici. Donnez-nous le petit accord sur le... ici…

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