Ecoutez-le (adoption)

Date: 60-0712 | La durée est de: 1 hour and 43 minutes | La traduction: Shp
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1 Merci beaucoup. Vous pouvez vous asseoir. Je suis très content d’être encore ici à l’église ce soir, où nous… L’église, ce n’est pas exactement ce bâtiment d’église, mais une église, c’est un rassemblement des gens. Et nous espérons que le Seigneur Dieu nous accordera Ses multiples et glorieuses bénédictions ce soir. Et…
Je pensais donc au… dans… hier, à avoir dix jours de réunions, et je vois qu’on commence à ramener encore les malades. Eh bien, combien aimeraient avoir un service de guérison demain soir ? Seriez-vous intéressés à un autre… de guérison ? C’est bien. Ça va, nous demanderons alors aux jeunes gens de distribuer des cartes de prière, tôt, demain après-midi, ou plutôt demain soir, vers… A quelle heure commencez-vous ? C’est à 19h que vous ouvrez. Demain après-midi, vers 19h…
Et, eh bien, on verra combien de gens pourront donc venir pour le service de prière pour les malades, et nous ferons tout notre possible pour prier pour tout celui pour qui nous savons prier, ou plutôt nous pouvons prier.

2 Et alors, hier soir, nous parlions de la discipline dans l’église. Et je pense, si seulement nous pouvons amener l’église dans une bonne attitude spirituelle, il y aura alors un–un vrai réveil et ce sera de loin mieux pour nos prières pour les malades. Tant que notre–notre–notre condition dégringole, alors nous–nous ne semblons simplement pas le relever comme il nous le fallait. Mais quand tout le monde avait bien prié, qu’il était en harmonie et dans une grande attente, je m’avançais à l’estrade, et souvent, il y avait cinq ou six, sept mille personnes et il n’y restait aucune de faible aussitôt qu’on passait à l’estrade. Tout le monde sortait de fauteuils roulants, de civières, de brancards et tout, il marchait aussitôt, parce qu’il… on était dans une grande attente.
Eh bien, là, c’était tout au début du ministère avant qu’il y ait quelqu’un d’autre dans le champ. Et cela donc… ça s’est un peu relâché pendant un temps. Et puis, après, tout le monde était… C’était nouveau, et les gens s’attendaient vraiment à tout. Maintenant, si vous avez la même attente, vous aurez les mêmes résultats. Voyez-vous ?

3 En effet, c’est Dieu qui guérit les malades. Voyez ? Un–un homme ne peut pas guérir les malades, parce que cela ne relève pas de son pouvoir. Guérir les malades ne relève pas du pouvoir du médecin. Un médecin ne guérit pas les malades. Il ne fait qu’assister les malades. C’est Dieu qui guérit toutes les maladies. Voyez ? Voyez ? Si vous vous cassez le bras, un–un médecin peut le remettre en place, ou suturer à un endroit si vous vous êtes blessé au bras, ou arracher une dent si elle est mauvaise, ou l’appendice, mais il ne peut pas guérir l’endroit d’où cela a été arraché. La guérison, c’est–c’est–c’est une multiplication de cellules qui croissent et–et se ressoudent. Et c’est la vie qui fait cela. Et Dieu est la Vie. Ainsi donc, ce–c’est ainsi que s’opère la guérison. C’est par la grâce et la miséricorde de Dieu.
Et le corps humain est bien constitué, si on pouvait… Dieu savait que nous connaîtrions des accidents, Il savait que nous nous blesserions et tout. Un médecin, je pense, m’a dit il y a quelque temps que cette nouvelle opération qu’on effectue sur le coeur et qui consiste à placer des valves en plastique dans le coeur si celles du coeur ont été rongées par le rhumatisme articulaire aigu, je ne pense pas qu’il y ait un autre endroit du corps où on pourrait l’effectuer ; c’est uniquement à cet endroit-là que cette valve en plastique peut couvrir le reste des artères du coeur, que cela s’emboîte comme ça, et ça tient. Ailleurs, dans le corps, ça serait directement éjecté. Voyez, Dieu savait que cette opération serait nécessaire.

4 Si vous vous coupiez la main, que vous vous coupiez les artères en deux… Et si c’était un tuyau d’eau, si vous–si vous bloquez un tuyau d’eau quelque part dans la ville, observez. Quelque chose doit exploser quelque part. Il y aura un refoulement. Mais Dieu a si bien arrangé cela que ce sang va contourner et continuer comme si de rien n’était. Si ce n’était pas le cas, il retournerait à votre coeur et vous tuerait en une seconde. Si jamais vous vous coupez la moindre des veines, cela vous tuerait en une seconde. Mais Dieu savait que nous aurions des lésions et tout, alors Il–Il a préparé notre corps en conséquence.
Ainsi donc, il nous – nous faut reconnaître que tout cela, c’est la bonté de Dieu. Et comme notre bienveillant frère Oral Roberts l’a si bien dit : «Dieu est un Dieu bon », Il l’est certainement. Et alors, nous savons qu’Il est un Dieu bon, mais nous n’aimerions pas trop compter là-dessus. Rappelez-vous, Il est aussi un Dieu de justice. En effet, Sa sainteté fait de Lui la justice, et Ses lois doivent être observées, Ses exigences. Ainsi donc, s’Il est un Dieu bon, Il doit être bon.

5 Souvent, nous nous embrouillons sur ce qu’est la bonté. Nous confondons ce qu’est la sympathie, la compassion. Suivez ceci, juste un instant, concernant la compassion. Combien croient que Jésus-Christ était compatissant ? Eh bien, certainement qu’Il l’était.
Eh bien, Il est descendu à la piscine de Bethesda, et là était couchée une foule. Il faut deux mille personnes pour former une foule. Il y avait donc une foule couchée là, des boiteux, des aveugles, des estropiés, des gens aux membres atrophiés, attendant que l’eau soit agitée. Et Jésus a cherché du regard dans cette foule de gens jusqu’à ce qu’Il a repéré un homme qui était… eh bien, il n’était pas estropié. Il a dit : « Pendant que je descends à la piscine, quelqu’un d’autre me devance. »
Il… Sa maladie, il l’avait depuis trente-huit ans ; elle n’allait pas le tuer. C’était chronique, peut-être la tuberculose, ou une maladie de prostate, ou quelque chose comme cela. Il était couché sur un grabat. Et Jésus l’a guéri, et s’en est allé, laissant cette grande foule de gens aux membres atrophiés, des boiteux, des estropiés et des aveugles (Est-ce vrai ?) ; et pourtant, Il avait de la compassion, un Sauveur compatissant.

6 Avez-vous remarqué ce qu’Il avait dit, quand Il avait été interrogé à ce sujet au verset 19 ? Il a dit : «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. »
Etre compatissant, c’est faire la volonté de Dieu. Et c’est ce qu’est un véritable chrétien compatissant, c’est faire la volonté de Dieu. Nous confondons tout cela aujourd’hui. Nous cherchons à y injecter l’élément humain.

7 Par exemple, concernant l’amour, nous cherchons à utiliser l’amour, l’amour de Dieu, comme nous le faisons pour l’amour humain. Vous ne pouvez pas tomber amoureux de Dieu comme vous tombez amoureux de votre femme. Vous ne pouvez pas tomber amoureuse de Dieu comme vous tombez amoureuse de votre mari, ou de votre amie, ou de votre ami. Ce sont deux amours tout à fait différents. L’un… Même les termes grecs sont différents. L’un d’eux est appelé Phileo, c’est l’amour que vous avez pour votre épouse. Ce genre d’amour vous ferait tuer un homme par… jaloux… Mais l’amour Agapao, qui est l’amour divin, plutôt que de tuer cet homme, il vous amènerait à prier pour son âme pécheresse. C’est exact. Voici combien c’est différent.
Et nous mélangeons l’élément humain avec l’élément chrétien, l’élément divin, et alors nous en obtenons de là un gâchis. En effet, nous ne connaissons que par mesures : pouces, pieds, kilomètres et autres, par once, par grammes et autres ; c’est tout ce que nous savons. Nous sommes limités dans le temps. Dieu est Eternel ; Il n’a pas de pouces, ni de kilomètres ; pas d’hier, ni de demain. Tout est éternité pour Lui. Et nous cherchons à réduire la grande pensée infinie de Dieu au niveau de notre petite pensée limitée. Et, oh ! nous ne faisons que nous embrouiller. Ainsi, la meilleure chose à faire, c’est lire Sa Parole et, rappelez-vous, Sa Parole ne se contredira pas.

8 Ça fait trente et un ans que je suis dans le ministère, et j’ai offert un an de salaire à quiconque pourra me montrer un passage des Ecritures qui contredit un autre, et qui ne peut pas être redressé par la Parole de Dieu. C’est vrai. Quand les gens vous disent que la Parole se contredit, dites-leur qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent.
Dieu L’a écrite en énigmes et en paraboles, de sorte qu’Il peut La cacher aux yeux des sages et des intelligents, et La révéler aux enfants qui veulent apprendre. Jésus a loué le Père pour avoir fait cela. Est-ce vrai ? En effet, vous ne La connaissez pas en La lisant comme un journal ; c’est une révélation spirituelle. Et Elle est révélée à ceux qui s’intéressent à L’apprendre.

9 Or, vous ne L’apprendrez jamais à l’école ; vous ne L’apprendrez jamais par la théologie ; c’est par révélation qu’on doit L’apprendre. En effet, la Bible entière, et le... et tout le plan du salut, et tout dans la Bible, le salut aussi est basé sur une révélation de Jésus-Christ. Le saviez-vous ? Quand ils étaient descendus de la montagne, Jésus a dit : « Qui dit-on que Je suis, Moi, le Fils de l’homme ? »
Certains ont dit : « Tu es Elie, Moïse, les prophètes et ainsi de suite. »
Il a dit : « Mais Qui dites-vous que Je suis ? »
Alors, Pierre a dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »
Il a dit : «Tu es heureux, fils, Simon, fils de Jonas, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux qui T’a révélé ceci. Et sur ce roc, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. »

10 Eh bien, l’Eglise catholique romaine dit qu’Il parlait de Pierre, ce qui signifie un caillou. Si c’est cela, ce dernier a rétrogradé aussitôt après. Alors, vous voyez le genre d’église où vous vous retrouveriez. Et, de l’autre côté, l’Eglise protestante dit qu’Il l’a bâtie sur Lui-même. Eh bien, si vous remarquez bien la Parole, ce n’était pas sur Lui-même, le rocher. Non, c’était sur la révélation spirituelle de Lui-même qui avait été donnée à Pierre. C’est ce qui s’était passé en Eden. Comment Adam… Comment Abel a-t-il–a-t-il su qu’il fallait un agneau plutôt que le fruit du champ ? Par révélation spirituelle. Voyez ? Ça a toujours été par révélation spirituelle. « Sur ce rocher, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. »
Oh ! Permettez-moi de dire ceci ce soir, chrétien. C’est là que beaucoup de gens manquent de voir le–le Message de Dieu. C’est là que beaucoup de gens manquent de voir les vérités. La–la Bible devient un énigme pour eux.

11 Quelqu’un m’a dit, il n’y a pas longtemps, un grand homme, oh ! il a dit : « Jean devait avoir mangé quelques (je pense) piments rouges, quelque chose comme cela, et il a eu un cauchemar sur l’île de Patmos. »
J’ai dit : « Honte à vous ! C’est sacrilège de dire pareille chose contre la Parole de Dieu. » J’ai dit : « Elle est entièrement le véritable plan de Dieu, sans mélange. »
Mais il est–il est simplement question de vous abandonner à l’Esprit de Dieu et de Le laisser vous révéler Cela. Il La révélera à l’enfant qui veut apprendre. Quand nous en arrivons à confesser que nous ne savons rien, et que nous laissons Son Esprit accomplir Sa volonté au travers de nous, alors Il nous enseignera. Mais quand nous connaissons tellement de choses qu’Il ne peut pas nous enseigner, alors nous ne pouvons aboutir nulle part.

12 Et je dis aujourd’hui, si jamais il y a eu un temps où cette nation devait être appelée à la prière, la nation entière… pas juste pendant une heure… non, pas quelques instants de prière silencieuse quelque part ; elle a besoin des réunions de prière jour après jour, semaine après semaine, dans toute la nation, jusqu’à ce que Dieu exauce, et nous fermons tous les débits de boisson, et nous faisons disparaître toutes les sociétés de tabac, nous faisons disparaître tout péché qui existe, nous amenons les femmes à s’habiller une fois de plus, nous amenons les hommes à se comporter comme des gentlemen, et nous ramenons à l’église des réunions de prière à l’ancienne mode comme celles que nous avions autrefois. C’est l’unique moyen pour nous de jamais avoir la paix. Et je sais qu’ils ne le feront pas (voyez ?), parce que la Bible dit qu’ils ne le feront pas. Et ils ne le feront pas.
Nous aurons bien à affronter le temps de la fin. Et pour vous, église, ce soir, apprêtez-vous, car vous ne connaissez pas la minute ni l’heure où Il pourra apparaître.
Inclinons maintenant la tête, juste avant d’ouvrir la précieuse Parole de notre Seigneur pour la lecture.

13 Vraiment, notre Père céleste, Tu le sais, chaque parole et chaque pensée sont enregistrées. Et nous voyons aujourd’hui, et nos coeurs sont zélés pour cette glorieuse Eglise du Dieu vivant, alors que nous voyons approcher l’heure de la Venue du Seigneur, et nous savons que Tu avais prédit que l’église deviendrait tiède ; que Tu la vomirais de Ta bouche, parce qu’elle n’était ni chaude ni froide. Ô Dieu, c’est pourquoi le–le véritable serviteur de Dieu, son coeur réclame le réveil.
Nous pensons aux grands hommes qui parcourent cette nation aujourd’hui, consacrent toute leur vie à cela, tout ce qu’ils ont, oh ! cherchant à appeler l’église à revenir. Et ils sont… C’est l’avertissement de Dieu. Et, Père, je Te prie ce soir, au Nom du Seigneur Jésus, d’envoyer un réveil ici à Klamath Falls, et dans toute cette contrée, un réveil qui sauvera l’âme, qui ranimera l’église, de sorte que tous les saints du Dieu vivant se mettront à prier et à jeûner. Car il est écrit : « Si les gens sur qui est invoqué Mon Nom s’assemblent et prient, Moi, J’exaucerai alors du haut des Cieux. »

14 Accorde-le, Seigneur, ce soir, que ce sentiment froid, indifférent et lourd que les gens attrapent dans l’église, il se contenta de savoir qu’ils fréquentent l’église, et qu’ils en sont membres. Ô Dieu, brise ce vieux sentiment d’égoïsme, Seigneur, et cette fausse satisfaction. Nous Te prions de leur donner la portion satisfaisante d’un nouveau baptême du Saint-Esprit et de remplir leur coeur et leur âme de feu. Qu’il y ait de grandes campagnes de guérison et des réveils à travers le pays. Que les malades soient guéris. Nous voyons ici ce soir des gens couchés, ici, sur des brancards et de petits lits, ceux qui sont là, dans l’auditoire, souffrant de maladie de coeur, de cancer, Seigneur, cherchant à rassembler la foi quelque part pour être guéris. Qu’ils sachent que c’est Toi qui es le Guérisseur de toutes nos afflictions.

15 « Venez à Moi, vous tous qui êtes chargés et fatigués, Je vous donnerai du repos. » Accorde-le, Seigneur, ce soir. Puissent les gens ce soir sentir l’onction du Saint-Esprit. Puisse-t-Il s’emparer de chaque coeur ! Que cela soit tellement clair pour nous ce soir qu’il n’y aura pas parmi nous un seul pécheur ni un seul rétrograde. Qu’il n’y ait pas une seule personne qui reste malade, ou une seule personne de faible, à la fin de ce service. Accorde-le, Père. Bénis Ta Parole.
Comme nous parlons donc de la discipline dans l’église, Seigneur, nous Te prions d’oindre les paroles. Et puisse cela être agréable à Tes yeux. Car nous le demandons au Nom de Jésus et par amour pour Lui. Amen.

16 Comme texte ce soir, j’aimerais juste prendre une portion dans Matthieu, chapitre 17, et… les quelques dernières Paroles du verset 5 : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. Et, le Seigneur voulant, j’aimerais utiliser, ou plutôt tirer un contexte à partir de ces trois derniers mots du verset 5 : Ecoutez-le. [Hear ye Him] Trois mots…
Cependant, comme je l’ai dit hier soir, ce sont de très courts passages, mais c’est tout ce qu’il nous faut savoir. C’est une valeur. Si seulement nous faisions ce que ce petit texte nous invite à faire, il n’y aurait pas une seule personne déçue dans cette salle ce soir. Juste L’écouter. Tout ce qu’Il ordonne, faites-le. Et alors, si vous êtes malade, écoutez-Le. Si vous êtes pécheur, écoutez-Le. Si vous avez besoin de quelque chose, écoutez-Le. Il a tout ce dont vous avez besoin pour ce pèlerinage. Il garde ça pour vous, attendant de vous le donner. Le prix est déjà payé. Il n’y a pas de prix à payer pour cela ; écoutez-Le simplement. Ecoutez-Le, ce qu’Il a à dire.

17 En pensant aux petites choses, rien que ce passage des Ecritures là même, est suffisant ; ces trois mots suffisent pour déclencher un réveil dans le monde entier et sauver chaque personne là au monde.
Il y a quelques années, je lisais un article dans un magazine qui faisait de la publicité, je pense, pour l’essence Sinclair, ou une certaine marque remarquable d’essence. Et on disait qu’un galon d’essence Sinclair dans un type de machines, si c’est de fabrication robuste, soulèverait le sphinx à une hauteur de 25 cm de la terre.
Et je me suis dit : « Oh ! comme la société Sinclair aime vanter la puissance de son essence, et qu’une petite quantité peut beaucoup faire ! Mais je pensais ce soir qu’une seule goutte du Sang de Jésus-Christ peut faire sortir chaque pécheur de la boue d’argile et débarrasser chaque hôpital de la maladie, fermer chaque prison et chaque service pénitentiaire, débarrasser chaque asile de fous de ses malades et de ses affligés, répandre de la joie partout au monde, avec une seule goutte du Sang du Seigneur Jésus-Christ.

18 Et puis, quand on vient à une réunion et qu’on choisit un–un court passage comme celui-ci… Rappelez-vous, je fais cela avec tout ce qu’il y a dans mon coeur, en priant, cherchant à trouver exactement ce que je pense que le Saint-Esprit me conduit à enseigner ou à prêcher.
J’ai souvent dit, si seulement je pouvais avoir une seule goutte du sang littéral de notre Seigneur Jésus dans un récipient, oh ! comme je tiendrais cela dans mes mains, je presserais cela sur mon coeur et je m’écrierais : « Ô Père ! je tiens maintenant le Sang du Seigneur Jésus sur mon coeur. » Quel enthousiasme ! Quelle joie ! Quelle bénédiction ce serait pour moi d’avoir dans un petit verre, ou quelque chose comme cela, une seule goutte du Sang du Seigneur Jésus !
Mais, vous savez, aux yeux de Dieu, j’ai plus que cela ce soir. Je vous serre ce soir sur mon coeur, vous, les rachetés par Son Sang. Il a eu plus de considération pour vous que pour Son propre Sang ; en effet, Il l’a offert afin de pouvoir vous sanctifier et vous faire entrer dans Sa Présence. Oh ! ce sont de petites choses. Ce ne sont pas de grandes choses que nous faisons, ce sont de petites choses que nous ne faisons pas.

19 Hier soir, je parlais du petit timbre postal. Et je parlais du roi George, le feu roi George d’Angleterre, lors de son passage en Colombie-Britannique et de son séjour à Vancouver. Toutes les écoles avaient fermé pour voir le roi. Et les Canadiens, voulant témoigner leur royauté à leur… plutôt leur loyauté à leur roi… ils ont remis à tous les petits enfants un drapelet britannique, afin de se tenir avec à la route. Et quand sa majesté, le roi, passerait, ils agiteraient ces drapelets pour montrer qu’ils étaient derrière lui, et qu’ils étaient ses sujets. Et les enseignants avaient fait sortir tous les petits enfants. Après le passage du roi, tous les petits enfants d’une certaine école étaient rentrés, sauf une toute petite fillette.
Alors, la maîtresse était très inquiète. Elle a donc fait venir tous les enfants plus âgés et leur a demandé : « Qu’est-il arrivé à la petite Martha ? »
Et on n’arrivait pas à la retrouver. Ils ont dit : « Eh bien, elle était dans notre groupe. » Mais ils n’arrivaient pas à la retrouver.

20 Alors, la maîtresse, hystérique, a couru dans la rue et elle s’est mise à chercher cette fillette qui n’était pas rentrée. Et après que tout le monde était parti, que les rues étaient dégagées, les gens ayant suivi le roi, en chantant : Que Dieu sauve le roi…, on a retrouvé cette fillette derrière un poteau télégraphique, sa petite tête appuyée contre ses mains, pleurant à s’en briser le coeur.
Alors, la maîtresse l’a prise. Et elle a dit : « Martha, chérie, pourquoi pleures-tu ? » Elle a dit : « N’as-tu pas agité ton drapelet pour le roi ? »
Elle a dit : « Si, maîtresse, je–je l’ai agité. »
Elle a dit : « Eh bien, alors, n’as-tu pas vu le roi ? »
Elle a dit : « Si, maîtresse, je l’ai vu. »
Elle a dit : « Alors, pourquoi pleures-tu tant, chérie ? »
Alors, elle a dit : « Tu sais, maîtresse, moi, j’ai vu le roi. Mais j’étais si petite que lui ne m’a pas vue. »
Il n’en est pas ainsi avec notre Roi Jésus. Peu m’importe combien vous êtes petit, combien peu vous faites, vous ne pouvez rien faire de très insignifiant sans que Lui sache tout à ce sujet. Il connaît chaque petit chagrin, chaque petite douleur que vous endurez, chaque petite déception que vous avez, peu importe combien c’est insignifiant. Il connaît tout à ce sujet.

21 Vous savez, notre Seigneur, Il vient parmi les hommes. Parfois, Il vient dans de grands groupes de gens. Parfois Il vient là où il y en a peu. Il nous est rapporté qu’Il a une fois rencontré cinq cents personnes après Sa résurrection. Et après, nous avons un passage où Il a rencontré soixante-dix, douze, et même trois. Et puis, nous avons des fois où Il ne rencontrera qu’une seule personne. C’est ce qui fait de Lui Dieu pour moi, c’est parce qu’Il est humble.
J’ai eu le privilège de beaucoup voyager et de rencontrer de grands hommes. Quand je rencontre quelqu’un qui cherche à se faire grand, vous pouvez toujours catégoriser cet homme-là ; il ne vaut pas grand-chose. De grands hommes, ce sont ceux qui cherchent à vous faire croire que c’est vous qui êtes grand. Mais si c’est quelqu’un qui veut se faire grand, si vous fouillez jusqu’au bout, vous trouverez que c’est un collet monté. Eh bien, ce n’est pas… Je ne dis pas ça pour être ennuyeux.

22 Un groupe de frères méthodistes qui venaient de recevoir le Saint-Esprit est venu à mon église, là où j’étais pasteur, et c’étaient de grands hommes, ils habitaient en Indiana. Ils ont dit : « Frère Branham, après que nous avons reçu le Saint-Esprit, nous avons lu certains livres. » Ils ont dit : « Devrons-nous nous attendre au Seigneur et chercher qu’Il nous révèle notre ministère ? »
J’ai dit : « Ne le faites pas du tout. »
Il a dit : « Eh bien, un livre disait… »
J’ai dit : « Mais, un instant, frère. » Si vous prenez donc quelqu’un de tellement zélé qu’il veut toujours faire quelque chose, Dieu ne peut pas faire confiance à cette personne-là. Si vous regardez dans la Bible, l’homme que Dieu utilisait, c’était quelqu’un qui cherchait à s’en éloigner. C’est celui-là que Dieu utilisait. Prenez par exemple Paul, Moïse et les autres, ils ont cherché à se dérober à la cause même.

23 S’il est donné à un homme de faire quelque chose et qu’il est très zélé pour cela, la chose suivante, vous savez, il va s’enorgueillir. Mais si un homme ne veut pas faire cette chose-là, peut-être que Dieu peut de toute façon l’utiliser pendant un instant. Et si seulement on peut tirer quelque chose de lui… Mais les hommes qui, généralement, veulent partir, faire exploser le monde, le tailler en pièces, généralement Dieu ne peut pas leur faire confiance, parce qu’Il ne peut pas… Il veut faire cela de lui-même. Il s’y prend à sa manière. Si un homme ne veut pas aller, alors Dieu aura pratiquement à le pousser là-dessus. C’est le genre d’homme que Dieu utilise généralement dans les Ecritures.
J’ai dit : « Vivez simplement pour Lui, aimez-Le de tout votre coeur, et Il vous placera là où Il désire que vous soyez. » C’est exact. Nous cherchons à prendre l’un la place de l’autre ; nous ne pouvons pas faire cela. Nous devons toujours garder notre appel, ce à quoi Dieu nous a appelés.

24 Maintenant, nous aimerions dire, concernant ce passage des Ecritures de ce soir, du chapitre 17, qu’une fois rentrés chez vous, je souhaiterais que vous lisiez tout le chapitre.
Eh bien, nous voyons que Jésus était sur le point de faire quelque chose de grand, à une grande occasion qui s’était présentée. Et chaque fois que Dieu est sur le point d’accomplir de grands événements, la première chose qu’Il fait généralement, c’est de l’annoncer d’abord en haut, dans les cieux. Il déclare toujours Ses oeuvres dans les cieux avant de les accomplir sur la terre.
Par exemple, à la naissance du Seigneur Jésus : Qui étaient les premiers à venir ? Qu’est-ce qui avait déclaré cela premièrement ? Une étoile s’est mise à parcourir les cieux. Les mages sont venus depuis l’orient jusqu’à–jusqu’à Jérusalem, depuis l’Inde, trois mages.

25 Quand j’étais en Inde… on les voit toujours comme ça, ils s’assoient juste sur la route, ceux qu’on appelle les sages ou les mages, les contemplateurs des étoiles, comme certains les appellent.
Mais Dieu déclare toujours des événements au ciel avant de les accomplir sur la terre. Et celle-ci était une occasion spéciale ! Pierre, plus tard, dans sa vie, s’y est référé comme une montagne sainte.
Eh bien, je ne crois pas que l’apôtre voulait dire que cette montagne-là était sainte ; en effet, ce n’était qu’une montagne. Des batailles ont été livrées là et tout. Ce n’était pas une sainte montagne. Mais le Dieu saint avait été sur cette montagne-là, ce n’était pas une sainte montagne.
Nous entendons beaucoup de choses aujourd’hui au sujet de la sainte église ou du peuple saint. Il n’existe pas d’église sainte ni de peuple saint ; c’est le Saint-Esprit dans les gens qui amène la sainteté. Il n’y a pas d’église sainte, ni de peuple saint ; c’est le Saint-Esprit dans l’Eglise.

26 Eh bien, à cette occasion, Dieu a choisi trois personnes pour servir de témoins. Il a amené à l’écart Pierre, Jacques et Jean. Et si vous remarquez, chaque fois qu’Il allait faire quelque chose de grand, Il prenait ces trois-là. Vous vous demandez pourquoi ? Pierre, Jacques et Jean : l’espérance, la foi et la charité ; le plus grand don de Dieu : l’espérance, la foi et la charité. Jean, évidemment, était l’amour qui est la charité ; et Jacques, c’est l’espérance ; et Pierre, c’était la foi. Et Il a pris l’espérance, la foi et la charité pour donner… pour faire savoir, ou pour placer en eux ce qu’Il allait faire.
Eh bien, nous voyons que lorsqu’Il est monté à cet endroit-là, appelé plus tard la sainte montagne, ou le lieu saint où Dieu était, nous voyons que là-haut, lorsqu’ils sont arrivés sur la montagne, Dieu avait trois témoins du Ciel pour rendre témoignage. Sur la montagne se trouvaient Moïse, Elie et Jésus. Ainsi donc ici sur terre, il y avait trois êtres : Pierre, Jacques et Jean. Il y avait Moïse, Elie et Jésus, trois témoins du Ciel, trois témoins sur la terre.

27 Quand Dieu est sur le point de faire quelque chose, Il a toujours un témoin pour ça. Je suis très content aujourd’hui de ce que nous pouvons regarder tout autour avant la Venue du Seigneur et voir les témoins de Son apparition, voir dans l’Eglise les signes de l’imminente venue du Seigneur Jésus-Christ, voir cela être littéralement accompli. Même le dernier signe qui devait être donné à l’Eglise avant l’apparition du Seigneur Jésus, cela est accompli dans l’Eglise maintenant même. La dernière chose… Rappelez-vous, Il a dit : « Ce qui arriva du temps de Sodome, arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. » Regardez ce que les pécheurs faisaient à Sodome. Regardez ce que l’Ange du Seigneur a fait alors qu’Il était descendu pour attester cela. Regardez ce que les trois Anges ont fait, tous les trois. Regardez le monde d’aujourd’hui dans ce péché. Regardez l’Eglise d’aujourd’hui dans sa condition semblable à celle de Lot. Regardez l’Eglise appelée à sortir combattant comme Abraham. Aujourd’hui, l’homme ou la femme qui essaye de vivre pour Dieu a un combat pour continuer à le faire. Vous devez vous hâter pour entrer dans le Royaume de Dieu.

28 Oh ! c’est pitoyable ! Mais considérons cela. Observez, il y avait là le pécheur. Regarder quel péché c’était. Les hommes s’étaient tellement souillés qu’ils ne faisaient plus l’usage naturel de la femme. Considérez le monde d’aujourd’hui. Il y a beaucoup de péchés qui se sont infiltrés dans l’église et dans le pays au point que tout est criblé de péché. C’est vrai.
Je sais que cela a l’air démodé. Un prédicateur m’a amené à l’écart il n’y a pas longtemps et a dit : «Frère Branham, savez-vous pourquoi votre ministère n’est pas le plus grand ministère en Amérique aujourd’hui ? »
J’ai dit : «Peu m’importe ce qu’il est en Amérique, j’aimerais savoir ce que cela est dans le Livre du Ciel là-haut, c’est ce que cela est là-bas. »
Il a dit : «Eh bien, je vous assure, je vais vous le dire plutôt. C’est parce que vous réprimandez le gens comme cela. » Il a dit : «Vous–vous–vous les engueulez, et vous blessez leurs sentiments. »
Il a dit : «Si seulement vous arrêtez de faire cela, alors, a-t-il dit, votre ministère prospérera, et–et tout. »
J’ai dit : «Monsieur, laissez-moi vous dire quelque chose. Quand on en arrive au point où je dois faire des compromis sur la Parole de Dieu, alors j’arrêterai et je quitterai le champ de travail, et je laisserai Dieu appeler quelqu’un d’autre pour le faire. » Comment peut-on se tenir tranquille ? Si vous devez être honnête, soyez honnête. Citez-moi quelqu’un dans n’importe quel âge… Citez-le-moi. J’ai dit : « Vous m’avez appelé prophète, je n’appelle pas… C’est vous-même qui avez dit cela. C’est vous qui l’avez dit. Et alors, si je… si le Seigneur m’oint pour quelque chose, comment puis-je alors rester tranquille ? Comment peut-on faire cela ? Quelqu’un doit crier contre cela. C’est vrai. »

29 De ces pierres, Dieu est capable de susciter des enfants à Abraham. Mais il nous faut être sincères et dire la vérité là-dessus. Avez-vous remarqué… ? Oh ! certainement, le ministère ne fait rien en Amérique comme outre-mer. Absolument pas, parce que l’Amérique est un territoire consumé. C’en est fini d’elle. Elle a été ratissée.
Jésus a dit que le Royaume est semblable à un filet qu’un homme a pris et jeté dans la mer et qu’il a retiré. Parfois, il y avait des langoustes ; il avait attrapé des serpents, des lézards, des grenouilles et des poissons. Peu après, vous n’avez qu’un filet plein de lézards et de grenouilles. Tous les poissons sont déjà dedans.

30 De même, nous ne faisons que pêcher à la seine jusqu’à ce que le dernier soit attrapé, et alors Jésus viendra. Comment savoir qui ils sont ? Vous jetez simplement le filet de l’Evangile et vous tirez. C’est pourquoi je suis venu ici auprès de mes frères me tenir dans ce coin quelque part, jeter le filet avec eux, attraper par mon ministère, tirer cela et dire : « Les voilà, frères. » Qu’est-ce ? Eh bien, mais ceci est un territoire consumé. Avez-vous remarqué dans le passé lorsque c’était venu vers vous pour la première fois en Oregon ? Les gens affluaient de partout, des milliers et des milliers s’entassaient. Oh ! c’était bien. Je ne faisais que passer prier pour les malades. Mais quand je suis revenu et que je me suis mis à présenter la Vérité, présenter l’Evangile, oh ! plusieurs se sont détournés.

31 Comparez cela à l’époque de notre Seigneur. Quand Il guérissait les malades et les affligés, beaucoup de gens venaient à Lui. Quand Il a nourri cinq mille personnes, beaucoup de gens étaient venus. Mais quand Il s’est mis à établir les choses et à dire la Vérité, que s’est-il passé ? Eux tous ont commencé à se détourner. Il… Même les soixante-dix se sont détournés. Et Il a dit aux disciples : « Voulez-vous pas aussi partir ? »
Et Pierre a fait cette décla… ces paroles remarquables qu’il a dites : « A qui irions-nous ? » Voyez ? Mais, eh bien, cela n’avait pas arrêté Ses miracles. Il est allé droit de l’avant. Et–et quelques jours après cela, Il–Il a ouvert les yeux d’un homme qui n’avait même pas de globes oculaire dans les orbites. Ces miracles devenaient plus grands, mais la foule diminuait, et Lui devenait plus au moins populaire, jusqu’à ce qu’on L’a crucifié à la croix.

32 Et si nous avons l’Esprit de Dieu, ça sera exactement pareil, parce que l’Esprit de Dieu demeure le même, les gens aussi. C’est vrai.

33 Et bien, nous voyons qu’Il a pris ceux-ci pour servir de témoins à ce qu’Il allait faire. Il y a certainement quelque chose qui se passer lorsque Dieu rassemble Ses témoins. Et Il… Ce qu’Il allait faire là, ce que nous appelons… c’était le placement du fils.
Dans l’Ancien Testament, nous voyons que quand un homme avait un grand domaine et qu’il avait un–qu’il avait un fils né dans son foyer, alors ce fils là, naturellement, était un fils aussitôt né. Mais, cependant, il n’avait pas d’héritage jusqu’à ce qu’il occupe une position, qu’il soit adopté dans la famille. On appelle cela l’adoption. Eh bien, cela paraît étrange. Mais cependant, c’est là que l’Eglise pentecôtiste, à mon avis, s’est éteinte (ou plutôt s’est arrêtée) plutôt que de continuer d’avancer. Eh bien, moi aussi, je suis pentecôtiste. Et si je n’avais pas le Saint-Esprit, je ne me tiendrais pas ici en train de vous en parler. Mais… Et si je ne vous aimais pas, je ne vous en parlerais pas.

34 Mais écoutez, quand un–quand un enfant naissait, dans un vieux foyer orthodoxe, eh bien, le père avait beaucoup à faire. Alors il… le fils était fils aussitôt né.
Eh bien, c’est ce qu’est l’Eglise pentecôtiste, aussitôt née, ou n’importe quelle autre église, aussitôt entrée dans le Royaume de Dieu par la naissance, on est fils et filles de Dieu. Mais nous nous sommes arrêtés là. Quand l’Eglise pentecôtiste a reçu le don du parler en langues et de l’interprétation, ils se sont arrêtés là. Ce n’est pas là où s’arrêter ; là, c’est le point de départ. Eh bien, nous avons partout des ressources inexploitées. Tout est possible à celui qui croit. Chaque promesse de la Bible nous appartient.
Le problème, nous pouvons aller auprès de nos–nos concitoyens du Royaume de Dieu, nos frères méthodistes et Baptistes, Nous pouvons leur parler de la guérison divine et de la puissance de Dieu ; ils vont se référer à ce que Moody a dit à ce sujet, à ce que quelqu’un d’autre a dit à ce sujet, regardant en arrière.

35 Nous pouvons dire à nos frères pentecôtistes : «Eh bien, ce que nous avions jadis, quand nos aïeux avaient reçus cela il y a cinquante ans… » Ne regardez jamais en arrière ; regardez en avant. Continuez à regarder devant. La science ne fait pas cela. Par ses recherches, la science va découvrir Dieu avant le prédicateur, si nous ne tirons pas attention à cela. C’est exact.
Eh bien oh, la science ! Il y a quelque trois cents ans, un savant Français disait, preuve à l’appui, en tournant une balle, comme la terre, il disait : «Si un homme (c’était scientifiquement prouvé). Si un homme peut filer à la vitesse vertigineuse de 56 km par heure, la pesanteur le soulèverait de la terre. » Aujourd’hui, pensez-vous que la science moderne suivrait cela ? Absolument pas. L’homme file à 30218 km par heure aujourd’hui. Et il ne s’arrête même pas là ; il continue. Et nous, nous essayons de regarder derrière pour voir ce que quelqu’un d’autre a dit.

36 Tout est possible à celui qui croit. Nous avons à notre portée des ressources inexploitées de Dieu pour manifester Dieu. Nous sommes fils et filles de Dieu. Quand Dieu créa l’homme, Il le créa un dieu. Il lui donna le règne sur la terre. Mais par sa déchéance, il fit tombé cela. Mais ce qu’il a perdu par Adam lui a été restitué par Christ. Il a dit : «Si tu dis à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’, et que tu ne doutes pas dans ton coeur, mais que tu crois que ce que tu as dit s’accomplira, tu pouvais recevoir ce que tu as dit »… ? Tout, quoi que vous désirez, quand vous priez, croyez que vous recevez cela et vous la recevrez. Amen. Il nous a restitué tout ce qui était perdu en Adam.
Mais aujourd’hui, nous, nous pensons qu’à aller à église, à inscrire notre nom dans le registre, à être immergés ou aspergés, ou quoi que se soit, serrer la main à l’assemblée, au pasteur, règle la question. Et alors, nous sommes arrivés à la pentecôte. Nous recevons le Saint-Esprit ; il est descendu sur nous, nous nous sommes mis à parler en langues et à louer Dieu. Et la Puissance de Dieu est descendue, et nous avons parlé en langues, nous les avons entendus interpréter cela, faire de fortes déclarations et tout, des prophéties. Cela paraissait bien, mais nous nous sommes simplement arrêtés. Cela ne qu’est le commencement. Continuez simplement d’avancer ; continuez d’avancer sans cesse. Dieu conte sur nous.

37 Quand ce fils naissait dans ce foyer, du point de vu position, c’était un fils, un fils à papa. Mais alors, que faisait ce père ? Il n’avait pas de temps pour rester avec ce seul fils ; ses affaires étaient grandes. Alors, il louait le service d’un précepteur ou un éducateur ou un enseignant. Il fouillait dans le pays jusqu’à trouver le bon genre d’homme, parce qu’il s’agissait de son enfant. Et il voulait que cet enfant soit élevé comme il faut ; en effet, cet enfant allait un jour hériter de tout ce qu’il avait. Mais il fouillait partout jusqu’à trouver le genre d’homme qu’il faut, non pas un de ces hommes qui cherchent à mettre une plume à son chapeau, dire un mensonge, ou : « Oh ! votre enfant évolue très bien », alors que ce n’était pas le cas. Et il aurait à faire le rapport sur le progrès de cet enfant-là. Eh bien, c’était là le placement d’un fils.
Les prédicateurs ici présent comprennent et savent de quoi je parle, le placement d’un fils, Paul dans Galate et ailleurs, le placement d’un fils, l’Ancien testament…

38 Je pense que King James a eu cette pensée-là, le traducteur, quand il a dit : « Dans la maison de Mon Père, il y a plusieurs demeures. » Une maison était un domaine. Et dans la maison du Père… Comme dans l’Ancien Testament, dans la maison du Père, il y avait beaucoup de serviteurs. Et il allait auprès de ses serviteurs, il n’avait pas le temps d’éduquer son fils, il prenait quelqu’un d’autre pour le former à sa place, un homme correct.
Et c’est ce que Dieu nous montrait ici sur ce que nous appelons la montagne de la Transfiguration, ce qu’Il faisait Lui-même. Dieu n’a jamais demandé à un homme de faire quelque chose qu’Il ne ferait pas Lui-même. Souvenez-vous-en. Dieu ne vous demandera pas de faire quoi que ce soit s’Il ne l’a pas fait Lui-même.

39 Observez donc. Eh bien, comme ce fils était… commençait à atteindre l’âge scolaire, ce tuteur allait avec ce fils, restait avec lui, faisait rapport au père sur son évolution. Si le fils perdait du temps, ne s’occupait pas des affaires du père, alors, combien ce tuteur devait avoir honte en s’avançant devant le père pour dire : « Monsieur, je suis désolé de vous le dire, mais votre–votre fils n’évolue pas très bien. Il… Ça ne marche simplement pas ; il ne veut pas apprendre ; il ne fait pas cas. »
Eh bien, alors, Dieu, après qu’Il a quitté la terre, qu’Il a laissé Son église ici sur la terre, Il a choisi un Précepteur pour Son Eglise. Il a un Précepteur, Quelqu’Un de sincère, Quelqu’Un qui rapporte la Vérité, le genre correct de Précepteur. Ce n’était pas un archevêque, ni un pape, ni un surveillant général. Il a envoyé le Saint-Esprit afin d’être le Surveillant général et le Précepteur de l’Eglise. Mais nous, nous avons adopté les évêques et tout le reste comme précepteurs de l’église. Ce n’est pas le programme de Dieu. C’est le Saint-Esprit qui est notre Enseignant. Le Saint-Esprit est le Précepteur de l’Eglise. Nous avons adopté toutes sortes de pensées, toutes sortes de codes de théologie, et tout, alors que le Saint-Esprit devait nous conduire…

40 Eh bien, c’est la raison pour laquelle l’église se retrouve dans la condition où elle est ce soir. C’est qu’elle est sous la conduite de l’homme et non de l’Esprit. Les fils et les filles de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu. L’Esprit de Dieu doit conduire l’Eglise. Eh bien, l’homme peut dire n’importe quoi, mais le Saint-Esprit vous dira la Vérité sur vous.
Eh bien, ce soir, comment pensez-vous que le Saint-Esprit doit se sentir alors qu’Il doit s’avancer devant le Père pour dire : « Père, oh ! Ton Eglise, hum ! Tu sais quoi ? Ton Eglise, la moitié d’entre eux ne vient même pas à l’église le dimanche. Non. Le mercredi soir, ils restent à la maison pour voir Nous aimons Suzy, n’importe quoi qui passe à la télévision, vous savez. Ils aiment les choses du monde plus que la louange et la puissance de Dieu. » C’est vrai.

41 Je n’ai rien contre la télévision. Il y a de bonnes choses qui y passent. Mais dès qu’un chrétien reste à la maison, ne va pas à l’église pour voir des scènes folles comme cela, quelque chose s’est passé dans la vie de cette personne-là. Le Saint-Esprit est allé quelque part. Vous n’êtes pas occupé aux affaires du Père.
Que pensez-vous qu’Il ferait si, en avançant devant le Père, Il devra dire que Ses filles, Ses enfants, Ses filles bien-aimées portent des habits immoraux, ce qu’on appelle des shorts ? Ses filles…

42 J’en ai parlé il n’y a pas longtemps, une femme a dit, elle a dit : « Ecoutez… ?… Frère Branham. » Elle m’a rencontré là derrière le bâtiment, elle a dit : « Ecoutez, Frère Branham, moi, je ne porte pas de shorts. » Eh bien, j’ai dit : « C’est très bien. »
Elle a dit : « Moi, je porte les pantalons pour femme. »
J’ai dit : « Ça, c’est pire. » C’est vrai.
La Bible dit que c’est une abomination pour une femme de porter des habits d’hommes. Dieu ne change pas. Il a créé l’homme pour que ce dernier paraisse comme un homme et une femme comme une femme. Mais, aujourd’hui, des hommes sont devenus des femmelettes, ils ne savent même pas comment s’habiller. C’est vrai. Et les femmes, les filles de Dieu, fument la cigarette, c’est le plus grand sabotage que le monde ait jamais connu.
Je n’ai pas peur que la Russie frappe l’Amérique. L’Amérique est en train de se frapper elle-même. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picore sur la pomme qui l’abîme, c’est le vers en son sein. C’est ça le problème des églises et de la nation aujourd’hui. C’est le péché en son sein. Loin de Dieu…

43 Une dame a dit, elle a dit : « Frère Branham, on ne fabrique plus d’habits. Nous sommes obligées de porter ce genre d’habits. »
Soeur, on fabrique toujours des tissus, et on fabrique des machines à coudre. Il n’y a pas du tout d’excuses pour ça.
Quel est le problème ? C’est un esprit impur qui est venu sur elles. Autrefois, c’était mauvais pour nos femmes pentecôtistes de se couper les cheveux. Aujourd’hui, vous avez attrapé quelque chose, n’est-ce pas ? Qu’est-il arrivé ? Certaines parmi elles avaient l’habitude de dire qu’elles avaient des maux de tête, de terribles maux de tête.
Vous savez, la Bible dit que si une femme se coupe les cheveux, elle déshonore son mari. Il n’est pas correct de vivre avec une femme qui déshonore. Je ne veux pas dire que vous êtes méchantes ; mais je veux dire que le diable et certaines chairs efféminées, qui devraient être là-bas dehors comme éleveurs des cochons plutôt que des prédicateurs, ils devraient être là et dire la vérité à ce sujet afin que vous sachiez ce qu’est la vérité. Est-ce vrai, frères ?

44 J’avais un ami méthodiste, un vieux, qui avait l’habitude de chanter un cantique : Nous avons laissé tomber les barrières,
Nous avons laissé tomber les barrières,
Nous avons fait des compromis avec le péché.
Nous avons laissé tomber les barrières,
Les brebis sont sorties ;
Mais comment les boucs sont entrés ? Vous voyez ? Quel est le problème ? Ils ont laissé tomber les barrières, l’étalon à l’ancienne mode du Saint-Esprit qui dirige l’Eglise et la conduit dans toute la Vérité. Eh bien, c’est la vérité. Ça peut être démodé, ça peut blesser un peu.

45 Vous savez, depuis que j’étais un petit garçon, il y a une seule chose que je n’arrive pas à supporter, c’est l’huile de ricin. Je–je peux juste flairer ça, et je tombe malade pendant une semaine. Et quand nous étions des petits enfants, maman avait l’habitude d’aller là où il y avait… au magasin, à la boucherie, prendre des peaux d’animaux. Elle les faisait bouillir, ou plutôt griller dans une vieille cuvette et en extrayait la graisse pour faire le–le cake, comme nous l’appelons, du gâteau de maïs. Nous avions le dolique, le navet vert ; c’était très bon à manger.
Et, mais comme nous ne prenions que cela au dîner, au petit-déjeuner et le souper, alors cela… Nous, chaque samedi soir, nous tous les petits enfants, nous devions prendre un bain. Je me rappelle que maman nous faisait entrer dans un grand baignoire en bois de cèdre. Et on commençait avec le bébé qui prenait le premier le bain. Et nous étions là à dix. Moi, j’y allais le dernier, dans la même eau, on y ajoutait simplement davantage, on la chauffait. Et puis, nous tous les enfants qui fréquentions l’école, on devait prendre une dose d’huile de ricin.
Oh ! quand c’était mon tour, je me pinçais le nez. Je disais : « Maman, maman, non, s’il te plaît. Oh ! cela me rend simplement–simplement très malade. » Je me rappelle que ma pauvre petite maman, qui venait du Sud, disait : « Mais, écoute, Billy, si ça ne te rend pas malade, ça ne te fera pas de bien. »

46 Et c’est comme ça que je prêche l’Evangile. Si ça ne vous rend pas malade, ça peut stimuler certains de vos… gastronomiques de la Bible, et ça met les choses en marche. C’est vrai. C’est vrai. Nous avons besoin de l’Evangile à l’ancienne mode ; nous avons besoin de la puissance de Dieu, nous avons besoin d’avoir de nouveau la puissance de Dieu, le Saint-Esprit, et que toutes les stars d’Hollywood et de la télévision sortent.
Vous savez, madame, j’aimerais vous dire quelque chose. Et je vais m’en prendre aux hommes juste dans une minute. Mais, madame, j’aimerais vous dire quelque chose. Saviez-vous que c’est un esprit impur qui est venu sur vous ? Savez-vous qu’une petite dame descendant la rue habillée tout sexy, savez-vous que cette femme aura à répondre d’avoir commis adultère ? Eh bien, elle peut être aussi pure que le lys aux yeux de son ami, ou de son mari. Mais la Bible dit, Jésus dit : « Si… Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur. »
Et alors, si vous vous habillez comme cela et qu’un pécheur vous regarde de cette façon-là, au jour du Jugement, dont il aura à répondre pour avoir commis adultère, ça sera avec vous. Ça sera votre faute, parce que vous vous êtes exposée à ses yeux. Peut-être que vous ne reviendrez pas demain soir, mais vous allez entendre cela une fois. Voyez ? C’est vrai. C’est vrai. C’est un esprit mauvais et impur.
Et que pensez-vous que le Saint-Esprit pense quand Il vient devant le Père pour dire que Ses enfants agissent comme cela ?

47 Il y a des années, là dans le–dans le Sud, quand on prenait les gens de couleur et qu’on les vendait comme esclaves, cela n’a jamais été correct… Absolument pas. Dieu–Dieu a créé l’homme ; l’homme a fait des esclaves. Et on passait, on achetait ces pauvres gens juste comme on achèterait des voitures d’occasion dans un parking, juste avoir un acte de vente et les vendre… On avait des négociants qui passaient voir ces gens. Et ils prenaient ces hommes très costaux, les séparaient de leurs femmes et on les amenait à avoir des enfants avec des femmes plus fortes, ou vice-versa, et on reproduisait une espèce d’esclaves meilleure.
Souvenez-vous d’Abraham Lincoln, quand il a enlevé son chapeau, et a tapé ses mains comme ceci, disant : « C’est mauvais et, un jour, je m’attaquerai à cela. » Que Dieu nous accorde encore un président comme Abraham Lincoln ! Oui. Quand il a dit cela, il avait raison.

48 Je me rappelle qu’il y a quelque temps ici à l’Illinois, j’étais dans un musée. J’ai vu un vieil homme de couleur qui passait par là, portant une petite couronne de cheveux autour de sa tête. Il contemplait le musée et, peu après, il s’est arrêté et a regardé. Il a reculé et s’est mis à pleurer, les larmes lui coulaient sur le visage. Il priait. Je l’ai observé pendant quelques minutes, je me suis avancé tout près de lui, j’ai dit : « Bonjour, oncle. »
Il a dit : « Bonjour. »
Et j’ai dit : « Je suis prédicateur. » J’ai dit : « J’aimerais juste savoir pourquoi vous priiez. Qu’est-ce qui vous a ému ? »
Il a dit : « Venez ici. »
J’ai regardé : Sous une petite vitrine, il y avait une tenue. J’ai dit : « C’est une tenue. Je ne vois rien d’émouvant à ce sujet, qui puisse amener un homme à reculer d’un bond et à offrir une prière. »
Il a dit : « Mais regardez ! J’ai encore sur moi les traces de la ceinture d’esclavage. » Il a dit : « Et là se trouve le sang d’Abraham Lincoln ; et le sang d’Abraham Lincoln m’a débarrassé de la ceinture d’esclavage. Cela ne vous émouvrait-il pas aussi ? »
J’ai reculé et je me suis dit : « Si le sang d’Abraham Lincoln a pu émouvoir un esclave du fait qu’il lui a enlevé une ceinture, que devrait faire le Sang de Jésus-Christ, alors qu’il est prêché dans sa puissance devant une église qui affirme être née de nouveau ? Qu’est-ce que cela devrait faire ? »

49 Un jour, alors qu’ils étaient… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Et on prenait des fouets et on les fouettait pour les amener à–pour les amener à travailler. Et on a remarqué un jeune homme dans une certaine plantation, on n’avait pas à le fouetter. Frère, il avait le torse bombé, le menton relevé, il était bien à la tâche. Et ce négociant a dit : « J’aimerais acheter cet esclave-là. » « Oh ! mais, a dit le propriétaire, celui-là n’est pas à vendre. »
Il a dit : « Eh bien, il est beaucoup différent des autres. »
Il a dit : « Oui, j’ai appris cela. »
« Eh bien, a-t-il dit, je suppose que c’est lui leur chef. »
Il a dit : « non, il n’est qu’un esclave. »
Il a dit : « Eh bien, peut-être que vous le nourrissez mieux que les autres. »
Il a dit : « Non, ils mangent tous ensemble là, à la cuisine. »
Il a dit : « Eh bien, qu’est-ce qui le rend si différent des autres ? »
Et le propriétaire a dit : « Je m’étais posé cette question pendant longtemps moi aussi. Mais j’ai fini par découvrir que là, dans sa patrie, là d’où il vient, son père est chef de tribu. Et, quoiqu’étranger dans un autre pays ici, loin de la maison, il sait néanmoins qu’il est le fils d’un chef. Et il se comporte en conséquence. »

50 Frère, soeur, si un Africain dans un pays étranger peut se comporter comme fils d’un chef, ne devrions-nous pas, en tant que fils et filles de Dieu, agir comme cela et nous conduire comme des fils et des filles de Dieu, alors que notre Père, c’est Lui le Roi ? Alors, les femmes devraient s’habiller comme les filles de Dieu. C’est vrai !
Et l’homme… Oh ! la la !… N’importe quel homme qui laisse sa femme porter des shorts et fumer la cigarette, j’ai peu de considération pour cet homme-là en tant qu’un homme. C’est vrai. Il est sensé être le chef de la maison. Cela montre qui est le patron là. C’est tout à fait vrai. Oui. Oh ! j’ai…

51 On ne jauge pas un homme par des muscles ; ça, c’est pour les bêtes. L’homme se mesure par le caractère. J’ai vu des hommes qui pesaient deux cents livres [99 kg], avec un amas de muscles, mais qui n’avaient pas une seule once d’homme en eux. Il peut arracher une enfant des bras de sa mère et la violer ; ça, ce n’est pas un homme ; ça, c’est une bête, c’est une brute. L’homme, c’est le caractère. Il n’y a jamais eu un homme semblable à Jésus-Christ. Mais la Bible dit qu’Il n’avait pas de beauté pour attirer nos regards. Probablement que c’était un tout petit Homme, au dos voûté ou quelque chose comme cela… Nous avons tous détourné de Lui le visage. Mais Il… Jamais Il n’a existé de caractère comme celui-là. C’est ce qu’est un véritable homme. On ne le jauge pas par des muscles, mais par des marques aux genoux sur son pantalon, laissées par la prière à genoux. C’est ainsi qu’on mesure un homme, par le caractère. C’est vrai.

52 Oh ! comme le Saint-Esprit a dû rougir en se présentant devant le Père pour dire : « Tu sais quoi ? Tes serviteurs font des compromis. Ils se mettent à dire que les jours des miracles sont passés, que la guérison divine n’existe pas, et qu’ils n’ont pas besoin de tous ces cris, de parlers en langues et de dons. Qu’ils soient simplement une église. Ils ont ôté toute la gloire de la puissance dans l’église et peut-être qu’ils en ont fait une espèce d’organisation. »
C’est vrai. Mais tant que l’organisation s’attend à la puissance de Dieu, Dieu bénira cette organisation. C’est la raison pour laquelle je suis pentecôtiste aujourd’hui. En effet, je pense qu’elle a plus de puissance de Dieu en elle que n’importe quelle organisation que j’aie jamais vue. Mais dès que la puissance de la Pentecôte quitte l’Eglise pentecôtiste, je partirai avec elle. C’est vrai, certainement. Restez attachés à Dieu.

53 Quand les Israélites suivaient–suivaient la Colonne de Feu, chaque fois qu’Elle s’arrêtait, ils campaient juste en-dessous d’Elle. Martin Luther fut le premier à voir le Feu quitter l’Eglise romaine. Et il sortit avec le Feu sous la justification : « Le juste vivra par la foi. » Il a construit son organisation, il a écrit tous ses crédos et les a marqués avec des points, un point. « C’est tout. C’est ce que nous, les luthériens, nous croyons. » La chose suivante, vous savez, la Colonne de Feu s’est mise à se déplacer. Luther n’a pas pu se déplacer avec Elle. Pourquoi ? Parce qu’il avait déjà établi ses crédos. Son église s’était organisée. Tout tournait autour de cela.
John Wesley a vu Cela, la sanctification, la deuxième oeuvre de grâce, et il a suivi Cela. Il a consumé le monde, il a porté la justification en Angleterre et en Amérique. Tous–tous les grands hommes… L’un des plus grands réveils que nous ayons jamais eus fut le réveil wesleyen, cela fut compté parmi–parmi les plus grands que nous ayons jamais eus.
Mais qu’ont-ils fait après avoir trouvé la sanctification ? Ils ont formé une organisation avec cela, ils ont érigé une petite clôture : « Nous, les méthodistes, nous croyons ceci, cela, ceci et cela. » Et ils ont terminé leur doctrine par un point. « C’est ce que nous croyons. »

54 L’Ange du Seigneur s’est déplacé. Eh bien, les méthodistes n’ont pas pu aller avec Lui. Les pentecôtistes L’ont vu. Le baptême du Saint-Esprit, la restitution des dons, les voici aller tout aussi loin que possible, laissant les méthodistes juste dans l’ombre. Les pèlerins de la sainteté, les nazaréens et les autres qui ne pouvaient pas avancer, ils sont simplement allés de l’avant avec ça. Et quand… La chose suivante, vous savez, eh bien, qu’est-il arrivé aux pentecôtistes ? Ils ont formé un petit club.
La Colonne de Feu est directement allée de l’avant. Suivons Cela. Prenons nos églises, prenons nos frères, prenons les luthériens, les baptistes et les méthodistes. La Pentecôte, je le dis, ce n’est pas une organisation ; la Pentecôte est une expérience. J’ai été baptiste, et j’avais la bénédiction de la Pentecôte. Il y a des méthodistes, des luthériens et toutes les autres ici qui reçoivent le Saint-Esprit, les catholiques, les Juifs, les infidèles, tout celui qui viendra, qui croira au Seigneur Jésus-Christ et L’acceptera dans la plénitude de Sa puissance.

55 Il est le Tuteur de l’Eglise. C’est Lui qui l’est. Laissez le Saint-Esprit vivre dans l’Eglise et frayer le chemin. C’est alors que vous tiendrez de véritables réunions. Ecoutez votre pasteur. Ne le laissez pas, laissez cela. Voyez, si le diable ne peut pas vous empêcher de voir la véritable–la véritable chose de Dieu, il vous poussera à l’extrême avec cela, comme ça. Il vous amènera à être un fanatique. Vous n’avez pas à devenir fanatique. Il y a beaucoup de choses réelles, des choses authentiques, plutôt que d’être un fanatique. Oh ! la la ! Tous les cieux de la Pentecôte en sont pleins.
Mais écoutez votre pasteur, un homme de bien envoyé de Dieu, un enseignant qui vous enverra et vous dira exactement quoi faire, parce qu’il est lui-même oint du Saint-Esprit. Et écoutez-le, il s’en tiendra bien à la Parole. Il s’accrochera exactement à ce que dit la Parole. Et Dieu bénira cette Parole-là. Peu m’importe où, Il bénira cela parce qu’Il a promis de le faire. C’est vrai. Il s’y accrochera.

56 Restez attaché à la Parole. Et cette Parole est la Vie. Et chaque fois que vous recevez la Parole, vous recevez la Vie. Recevez-La dans votre coeur et croyez-La comme étant votre bien propre. Et chaque promesse est vôtre. Après que vous avez reçu le Saint-Esprit, Dieu vous donne un carnet de chèques avec le Nom de Jésus mentionné au bas, pour tout ce que vous désirez. Avez-vous peur de le remplir ?
« Demandez ce que vous voulez en Mon Nom, Dieu vous l’accordera. » J’aime ça. Oh ! la la ! Restez là avec une foi toute pure. Demandez et croyez, et cela s’accomplira. C’est comme ça qu’il faut faire.

57 Eh bien, quand le Père s’avancera devant, ou plutôt quand le Tuteur s’avancera devant le Père… Eh bien, souvenez-vous-en, Il ne prendra pas un gars qui va juste essayer de mélanger les choses et : « Eh bien, je vous assure, c’est un bon garçon. C’est un bon payeur à l’église, et nous ne pouvons pas l’écarter du comité des diacres, quoiqu’il soit marié trois ou quatre fois. Mais nous ne pouvons pas faire cela, parce que, si nous le faisons, c’est lui le principal soutien de l’église. » C’est un obstacle à l’église, absolument.
Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est une église remplie du Saint-Esprit, véritable, authentique, purifiée, pleine du Saint-Esprit, prête remplie, et ointe du Saint-Esprit de Dieu. Oui, oui. Je crois que le… Si nous manquons de prêcher cela, Dieu suscitera les baptistes, ou les presbytériens, ou quelqu’un pour le faire. Il le fera certainement, parce qu’Il doit avoir là une église sans tache ni ride. Il le fera.
Ainsi, frères, secouons-nous simplement, relevons-nous de la poussière, secouons-nous et engageons-nous dans la grande et vieille voie de l’Evangile, marchons dans cette grande voie. Tout ce qu’il faut faire, c’est : « En avant, soldats chrétiens. » Il n’y a donc pas de temps de fainéanter ou de se relâcher ; mettons-nous en marche pour le Royaume de Dieu.

58 Eh bien, eh bien, nous voyons donc… et qu’arrivait-il si ce jeune garçon était un bon garçon ? Oh ! comme le Tuteur devait se réjouir en s’avançant devant le Père et dire : « Père, Je suis très content de Te parler. Tu sais, Ton garçon est exactement comme Toi. Tu sais, il lit Ta Parole et dit : ‘C’est tout à fait la Vérité. C’est ce que Mon Père a dit. Mon Père ne peut pas mentir. Je crois cela exactement tel qu’Il l’a dit.’ »
Oh ! comme le Père devait dire : « C’est–c’est Mon garçon ! » Voyez ? Eh bien, c’est ce que Dieu veut que nous fassions.

59 Eh bien, eh bien, si ce garçon-là était né (Maintenant, écoutez), si ce garçon-là était né dans un foyer comme fils, mais qu’il ne devenait pas un–un bon garçon qui ne suivait pas les instructions de son Père, qui ne s’occupait pas des affaires de son père, ce garçon-là restait toujours un fils. Mais il n’avait jamais d’héritage. Le saviez-vous ? Il n’avait jamais d’héritage. Le saviez-vous ? Il n’avait jamais d’héritage. C’était juste un paria. Il restait toujours un fils.
Et lorsque vous recevez le Saint-Esprit, vous êtes un fils de Dieu ou une fille de Dieu. C’est assez vrai. Mais si vous n’obéissez pas à Dieu, vous ne marchez pas dans la Lumière, vous ne marchez pas dans la Parole, vous ne croyez pas en Dieu, alors vous n’aurez pas d’héritage. Eh bien, c’est tout à fait ainsi que Dieu le fait cependant.

60 Eh bien, remarquez ceci. Eh bien, qu’arriverait-il si ce jeune garçon était un gentleman convenable ? Il aimait vraiment son Père. Il aimait s’occuper des affaires de son père. Il aimait voir tous les champs de vigne entretenus correctement, chaque homme à son poste du devoir. Et s’il trouvait un homme en train de défiler devant le travail, il s’avançait vers lui, passait ses bras autour de lui et disait : « L’autre jour, eh bien, papa, il s’est avancé là, il a vu cet homme en train de défiler devant le travail. Il s’est alors avancé, a posé la main sur son épaule et a dit : ‘Monsieur, tu es serviteur de mon père.’ » Voyez ? Et il a commencé… juste comme vous l’auriez fait.
Oh ! le père dira : « Tu sais, j’aime vraiment ce jeune garçon. C’est mon fils. » Comme nous le disons en Amérique, c’est un fils tout craché, vous savez ? « Ce–ce–c’est mon garçon, je suis fier de lui. »

61 Savez-vous ce qui arrivait par la suite quand ce garçon atteignait un certain âge ? Ce garçon-là était adopté dans la famille. Eh bien, que faisait-on ? On l’amenait en un lieu public, on le revêtait d’une robe spéciale et on faisait une cérémonie. Et toute la population de la ville s’assemblait et regardait. Et alors, on regardait ce garçon, et le père faisait une cérémonie d’adoption. Après… Oh ! ne manquez pas ceci. Après que ce fils-là était adopté, son nom sur le carnet des chèques était tout aussi valable que celui de son père.
C’est là que Dieu cherche à amener Son Eglise. Dire simplement à cette montagne : « Ôte-toi de là », et elle se déplacera : l’autorité, les fils de Dieu. Toute la création gémit, attend la manifestation des fils de Dieu, attend qu’on en arrive là où on dira à la maladie : « Ôte-toi ! », et il en sera ainsi. L’aveugle recouvrira la vue. Le sourd et le muet, nous prions pour eux aujourd’hui, mais en ce temps-là nous ordonnerons. Il n’avait pas dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, ils prieront pour les malades. » Il a dit : « Ils chasseront les démons. » Non pas : « Je vais », « ils feront. »
« Si vous dites à cette montagne (non pas si Moi, Je dis), si vous dites à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’ et que vous ne doutez pas dans votre coeur. » Ce dont nous avons besoin, c’est de l’adoption. Les fils et les filles de Dieu ont besoin de l’adoption.

62 Mais comment l’église, l’Eglise pentecôtiste, et les Eglises méthodiste et baptiste, peuvent-elles être adoptées avant d’en arriver à la discipline ? Il nous faut premièrement être disciplinés. Dieu ne peut pas confier cette puissance à l’église. Il est difficile de dire ce que vous feriez.
Comment un père peut-il confier ses affaires à un garçon qui peut simplement abîmer tout l’héritage ? Il ne le peut pas. L’église doit en arriver à être disciplinée. Dieu est à l’oeuvre maintenant même pour cela : la discipline.

63 Eh bien, le père faisait sortir ce fils-là, et il faisait une cérémonie. Et il disait : « Celui-ci est mon fils, et je l’adopte dans ma famille. Tout ce qu’il dira, c’est moi qui le dis aussi. »
Eh bien, Dieu faisait là la même chose pour Jésus. Il faisait exactement ce qu’Il leur avait ordonné de faire. Il… Jésus avait plu à Dieu. Et Il L’a amené là-haut, Il a pris trois témoins terrestres : Pierre, Jacques et Jean (l’espérance, la foi et la charité). Il a fait descendre Moïse et Elie comme témoins de cette glorieuse adoption. Et que faisait-Il ? La Bible dit qu’Il fut transfiguré. Et Son vêtement brillait comme le soleil, une robe spéciale… Amen ! Une robe spéciale, une onction spéciale… et quand ils ont regardé, ils L’ont vu briller de la gloire de Dieu. Et une Voix a dit : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. » Oh ! la la !

64 Ce que Dieu veut faire avec l’Eglise ce soir, ce qu’Il veut faire avec un individu, c’est trouver quelqu’un. Trouver… Le Saint-Esprit cherche des hommes. Il peut en prendre un à un certain endroit, parler à cette personne, oindre cette personne pour lui donner quelque chose de spécial, de grandes puissances et des dons pour accomplir Sa volonté et faire Sa volonté.
Mais comment peut-il faire cela, alors qu’Il doit constamment venir et dire : « Oh ! c’est terrible ! Ils–ils… ils–ils courent après ceci. Ils courent après une erreur. Ils–ils ne vont pas à l’église. Ils–ils–ils… C’est… » Regardez que… dans quelle condition se trouve l’église. Alors, si Dieu ne peut pas faire cela pour le groupe, Il va se choisir des individus pour faire cela. De ces pierres, Dieu est capable de susciter des enfants à Abraham.

65 Remarquez, aussitôt que le premier pincement de coeur surnaturel s’était produit, Pierre était vraiment comme le monde aujourd’hui. Aussitôt que le surnaturel s’était produit, le glorieux miracle s’était accompli… Eh bien, juste comme du temps de Moïse, il y avait une foule de gens de toutes espèces.
Moïse descendit en Egypte. Mais quand il est allé là, que s’est-il passé ? Il a opéré quelques miracles. Et alors, les croyants et les incroyants s’étaient mis tous ensemble, parce que les miracles excitent les gens. Et il y a eu une foule de gens de toutes espèces qui était allée avec lui, et c’est cette foule de gens de toutes espèces qui avait souillé le camp. Amen. Ce n’est pas pour chercher à être ignorant, mais… ?… ou quoi ?
C’était la chose même qui avait ruiné Israël dans sa marche, cette foule de gens de toutes espèces. Et si ce n’est pas là le type même d’aujourd’hui, je ne sais pas quoi. Une foule de gens de toutes espèces, les croyants et les incroyants mélangés… On les fait entrer dans l’église, et tant qu’ils viennent et se font baptiser, c’est tout ce qui est nécessaire. Frère, vous êtes sensé mourir avant d’être enseveli. La foule de gens de toutes espèces…

66 Alors, Pierre devint tout excité. Et il a dit, aussitôt qu’il a vu le Surnaturel, il a dit : « Construisons ici trois tentes », très vite. La même chose que Luther avait faite, la même chose que Wesley avait faite, et la même chose que nos frères pentecôtistes, nous tous, nous avons faite.
« Oh ! nous formerons un ceci pentecôtiste, un cela pentecôtiste, et un cela pentecôtiste. Nous formerons notre organisation. Eh bien, alors, ceux-ci croient qu’Il vient sur un cheval blanc. »
« Eh bien, nous n’y croyons pas. Nous, nous croyons qu’Il vient sur une nuée blanche. »
« Eh bien, qu’ils s’en aillent, ils ne sont pas des nôtres. »

67 Oh ! vous y êtes. Le surnaturel est accompli. Et alors, voici venir… Le Seigneur fait des dons et a envoyé des hommes il n’y a pas longtemps : notre bienveillant frère Tommy Osborn, frère Roberts et d’autres. Et quand ils sont allés et que le Surnaturel s’est mis à s’accomplir… Ce que… Ils n’ont simplement pas su rester dans leur dénomination et évoluer. La première chose, vous savez, ils ont dû aller convertir les gens de la pluie de l’arrière-saison, de la pluie de la première saison, de la pluie intérieure, de la pluie extérieure. Oh ! la la ! oh ! la la ! Pluie, Pluie, la Pluie, pluies.
Qu’est-ce ? Le surnaturel avait été accompli, et il y a eu une foule de gens de toutes espèces. C’est vrai. Cela excite les–les gens. Une foule de gens de toutes espèces accompagne cela.

68 Eh bien, écoutez. Pendant que Pierre parlait encore, il parlait encore, disant : « Construisons trois tentes, une pour Moïse, une pour Elie, et une pour Jésus. »
Et avant même qu’il n’ait terminé… Suivons ce que les Ecritures disent : « Comme il parlait encore, la Voix se fit entendre du Ciel et dit : ‘Oublie cela.’ » En d’autres termes : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé. Ecoutez-le. »
N’écoutez pas Moïse. Je suis content de cela. Je suis très content. Moïse représentait la loi. La loi ne pouvait sauver personne. La loi était un policier. La loi condamne et jette en prison ; elle ne peut pas vous faire sortir. La grâce, oui. Mais la loi vous jette en prison ; elle vous condamne. La grâce vous fait sortir.

69 Alors, il a dit : « Je construirai une autre tente. Nous en construirons une pour tous ceux qui veulent observer la loi, nous les laisserons aller ici. Et nous formerons une organisation par ici, les observateurs de la loi. Après, nous aurons ceux qui croient dans les prophètes. »
Eh bien, que représentait Elie ? Il représentait la justice de Dieu. Il était un puissant prophète. Il était monté au sommet de la montagne. Le Seigneur l’avait envoyé là-haut. Quelqu’un est allé se mêler des affaires de Dieu, lui disant où aller et quoi faire. Et il s’est levé et a dit : « Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et vous consume. » Un feu est descendu et a consumé les cinquante. Eh bien, ils sont retournés, ils en ont fait rapport au roi.
Il a dit : « Oh ! cela… ce que c’était, il–il–il y a eu probablement un vent chaud, vous savez, ou quelque d’autre. Ils ont été frappés par un éclair. Je vais envoyer un autre groupe de cinquante. »
Alors, il a envoyé un autre groupe de cinquante, et Elie s’est levé et a dit : « Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et les consume. » Un autre groupe de cinquante est allé. Ce n’était pas une tempête de chaleur cette fois-là, vous voyez. Voyez, ils ne comprenaient simplement pas. Mais c’était la justice de Dieu.

70 Je ne veux pas Sa justice. Je ne veux pas Sa loi. Je veux Sa miséricorde. J’implore la miséricorde. Ô Seigneur ! ne me juge par aucune loi. Je–je serai condamné ; je ne subsisterai pas. Ne–ne me fais pas passer par la justice, je–je devrais être… je devrais aller en enfer, parce que je suis un pécheur. Mais, Seigneur, accorde-moi Ta miséricorde, Ton amour, Ta grâce.
Dieu dit : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. » Non pas Moïse, pas la justice, pas la loi, mais écoutez-Le. » Il a de la miséricorde pour vous. Il a des dons pour vous. Il est monté en haut et Il a fait des dons aux hommes. Et c’est exactement ce que Dieu a fait avec Son Fils quand il L’a adopté là.

71 Eh bien, en d’autres termes, ne M’écoutez plus. Je suis Dieu, mais J’ai adopté Mon Fils. Nul ne peut venir au Père si ce n’est par le Fils. Ecoutez-Le. Oh ! la la ! Comme Dieu aimerait prendre Son Eglise aujourd’hui et L’adopter ! Il lui accordera la naissance ; eh bien, Il veut L’adopter. Mais nous ne voulons pas nous tenir tranquilles. Si cela se déclenche parmi les méthodistes, les baptistes n’auront rien à faire avec la chose. Si cela est suscité dans une église, l’autre n’aura rien à faire avec cela. C’est la perversion, c’est la dépravation. Pourquoi ? C’est une foule de gens de toutes espèces. C’est toujours la même chose.
Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un rassemblement, d’une réunion de prière, et rester là jusqu’à ce que Dieu envoie l’adoption par le Saint-Esprit, qu’Il fasse descendre le Saint-Esprit et place dans l’Eglise des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes, des pasteurs. C’est ce dont nous avons besoin. C’est ce dont l’Eglise a besoin. Elle ne fera pas de compromis ; Elle s’attachera à la Parole, une Eglise qui ne flirtera pas avec le monde, une Eglise qui n’aura rien à faire avec le péché, qui tournera le dos au péché, qui marchera dans la sainteté et la beauté de Dieu, vivant pour Dieu. Vivre ou mourir, cela ne change rien tant que je suis pour Dieu. Qu’est-ce que cela change ?

72 Dieu cherche à trouver cela dans l’église. Il cherche à faire cela. Il fait cela de temps en temps juste pour montrer aux gens qu’Il fait cela. Et pourquoi ? Quand Dieu agite Ses dons devant l’église, et qu’ensuite l’église… Comme je l’ai dit l’autre soir, c’est comme cet enfant avec cette femme-là dans le bazar, qui ne semblait même pas faire cas des objets. Le vendredi, le samedi, le dimanche, le lundi, le mardi, cinq soirées… Cet espace très vaste ici, et deux cents sièges sont inoccupés dans un auditorium qui en compte mille deux cents. Avoir faim et soif de la justice… Voyez-vous ce que je veux dire ? Je ne vous réprimande pas, mais je vous apporte simplement la vérité. C’est ça.

73 Savez-vous ce qu’est le problème ? C’est parce que les gens aiment aller à l’église. Aujourd’hui, les gens aiment le loisir. Ils ont été… Le peuple américain aime beaucoup le loisir, c’est ce qu’il lui faut. Cela–cela–cela nourrit l’esprit qui est en eux. C’est un esprit qui aime le loisir. Il vous faut les divertir.
Dieu ne divertit pas les gens. Il les réprimande. Le jugement commence par la maison de Dieu. Et lorsqu’il en arrive au point où l’église doit avoir des soupers de soupe, des danses, des jeux d’arnaque, et toutes sortes de non-sens de ventes de charité pour payer leurs prédicateurs, que Dieu aie pitié de cette église-là. C’est vrai.
Nous avons besoin du Saint-Esprit avec puissance et de l’adoption, de telle sorte que nos ministères se manifesteront. Amen ! Mais les gens, dès qu’ils se mettent à voir quelque chose, ils commencent à voir un–un certain ministère : « Voici, frère Untel a un certain ministère. »
Eh bien, ils vont là et disent : « Oh ! oui, c’est très bien. Oui, oui. C’est o.k. Eh bien, o.k, où irons-nous demain ? » Autre chose. Voyez ? Cela ne les attire même pas du tout. Ils ont juste vu tellement de la bonté de Dieu qu’ils s’en éloignent à l’aveuglette.

74 Cela me rappelle une vieille histoire anglaise. On raconte qu’il y avait une fois un homme qui avait lu au sujet de la mer, combien elle était belle, combien elle était grande, magnifique, salée, avec des vagues saumâtres qui sautaient, et les–les mouettes qui survolaient. Et quelle chose merveilleuse ! Il n’avait jamais vu la mer. Et alors il … Un jour, il–il a eu assez d’argent pour se rendre à la mer. Il est passé par le … jusqu’à ce qu’il était arrivé tout près des rivages. Il a rencontré un vieux loup (c’est un marin) qui revenait de la mer.
Et il a dit : « Où vas-tu, mon bonhomme ? »
Il a dit : « Oh ! j’ai lu au sujet la mer. Je vais à la mer. Je vais contempler cela de mes propres yeux, ces belles et magnifiques vagues, comme elles se brisent, ainsi que la grande mer salée et blanche. Je vais flairer l’air salé et en remplir mes poumons, ensuite entendre les cris des mouettes et autres. » Oh ! comme il s’était tellement réjoui de savoir qu’il allait voir la grande étendue d’eau !
Alors, le vieux loup l’a regardé et a dit : « Eh bien, je suis né là-bas ça fait cinquante ans. Je ne vois rien de très alarment, des très attrayant là. » Voyez ? Il avait tellement vu cela que c’était devenu très ordinaire pour lui, ce n’était plus jolie. Il n’y avait rien là. Il se tenait simplement là, ballotté sur des vagues, et il ne faisait pas attention à cela.

75 Eh bien, c’est ce qui est arrivé à l’église au sujet de Dieu. Nous voyons l’Esprit de Dieu descendre dans un réveil, secouer les gens, les faire sortir des fauteuils roulant. Et–et les boiteux marchent, les aveugles voient, l’Esprit de Dieu descend dans la réunion, discerne même les pensées du coeur. Et de grandes choses prophétiques se produisent ; c’est parfait chaque fois, tout à fait. Et l’église dit : « Eh bien, ça va. » et ils sont en train de mâcher de grandes boulettes de chewing-gum, étant assis, vous savez : « Oui, c’est en ordre. Mais nous irons voir Lucie demain soir, et nous n’allons simplement pas à… (voyez ?) Le pasteur veut nous condamner. Laissez-le nos condamner. Nous irons à cette autre dénomination, s’il veut nous condamner. Nous irons adhérer au… Si on nous chasse de l’Eglise de Dieu, nous irons chez les Assemblées. Si on nous chasse de chez les Assemblées, nous irons chez les unitaires. Si on nous chasse de chez les unitaires, nous irons chez les binitaires. Et nous… on nous chasse de chez les binitaires, nous irons chez les trinitaires. Et nous avons beaucoup d’endroits. » Voyez ?

76 Oui, vous avez de la place. Mais, frères, il y a seulement de la place pour Christ en vous si vous voulez venir à Lui ?. Oh ! que Dieu ait pitié de l’église aujourd’hui ! J’arrêterai après ce soir, parce que je n’aimerais pas vous amener à vous fâcher. Mais je–j’ai eu à consacrer ces soirées pour enfoncer cela en vous, pour vous faire savoir que l’église est dans une condition horrible. Certainement. Notre zèle, nous sommes lents, vous savez, et mous, comme on dirait. Dieu ne veut pas que nous soyons comme cela. Il veut que nous… Je pense à ceci : Ne me dites pas en poésie mélancolique,
Que la vie n’est qu’un rêve dénué de sens !
Et que l’âme qui sommeille est morte,
Et les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être.
Oui, la vie est réelle ! Et la vie est solennelle !
Et la tombe n’en est pas le but.
J’aime un certain vers de ce psaume de la vie :
La vie de tous les grands hommes nous rappelle
Que nous pouvons rendre notre vie sublime,
Et en nous séparant, laisser derrière nous,
Des empreintes de pas sur le sable du temps.
Des empreintes de pas que peut-être un autre frère
Naufragé et désespéré,
Naviguant sur l’océan sombre de la vie,
Puisse reprendre courage.

77 Combien d’ivrognes verront les empruntes d’un ivrogne converti et qui mène une vie sainte et pieuse ? Combien de femmes aimeraient tenir ferme en voyant une femme royale se tenir là, habillée comme une dame et agir comme une dame, fréquenter l’église, tout son coeur abandonné à Dieu ? C’est alors que vous êtes scellé. C’est alors que vous êtes marqué. Tout le monde vous connaît.
Vous êtes le sel de la terre, mais si le sel a perdu sa saveur, il ne sert plus à rien, ça sera jeté, foulé au pied par l’homme.

78 « Ô Dieu ! que l’Eglise pentecôtiste vive ! C’est ma prière. Que Dieu nous amène à un niveau. J’aurais souhaité qu’Il le fasse ici même, ce soir. J’aurais souhaité qu’Il prenne ce groupe ici présent ce soir et qu’Il nous adopte, qu’Il nous adopte comme Ses fils et Ses filles. Nous sommes Ses fils et Ses filles par naissance, mais qu’Il nous adopte comme Ses fils et Ses filles. Quelle puissante réunion ça serait ! Comme Dieu placerait des dons dans cette église ici même ce soir qui pourrait… Eh bien, d’ici demain après-midi, il y aurait quelque chose… Tout le monde ici saurait que quelque chose est en cours dans cette salle de classe ici. Ça se ferait certainement. Les gens le sauraient, parce que l’Esprit de Dieu serait en train de vivre parmi les gens.
Oh ! Combien j’aimerais faire cela ! N’aimeriez-vous pas cela, vous tous ? Ne vous fâchez pas contre moi du fait que j’ai été très dur à ce sujet. Mais, comme je l’ai toujours dit (mon frère ici dit qu’il est charpentier), si vous n’enfoncez pas profondément un clou, il ne tiendra pas. Cela sera simplement fragile. Ainsi, j’espère que cela ne sera pas fragile. J’espère que cela restera bien en place, bien en place. Et accrochez-vous-y bien de deux mains.

79 Cela me rappelle, qu’il y a des années, j’avais l’habitude de monter dans le Colorado au début de la saison de chasse. J’aime chasser l’élan et la biche. Je prenais mes vacances. Et un jour, j’ai vu là une scène que je n’ai jamais oubliée. J’étais… Ça fait plusieurs années, j’étais au bord derrière le Continental Divide. C’est là qu’il y a ce qu’on appelle le Troublesome River. J’avais l’habitude d’exploiter un ranch là, dans le… au branchement de l’est à l’ouest de Troublesome River, et l’association Hereford faisait paître dans la vallée. Si vous arrivez à cultiver une tonne de foin, vous pouvez placer une vache dans le pâturage. Et chaque ranch et découpé… beaucoup de tonnes de foin ; et vous (je pense que c’est pareil pour vous ici en Origon)… vous placez votre vache dans le pâturage.
Et j’avais l’habitude de m’y rendre au moment du rassemblement du bétail, quand on prenait le bétail et qu’on amenait là. Il y avait une clôture démontable pour séparer ce qui appartenait au particulier de celui de l’Etat. Et je m’asseyais là, ma jambe sur le pommeau de la selle, et j’observais le garde alors qu’il se tenait là, observant ce bétail passer.

80 Eh bien, le nôtre était le tripod, et monsieur grimes là avait le diamond bar. Et, oh ! on avait vingt ou trente différents exploitants de ranch qui faisaient passer leur bétail en courant.
Eh bien, j’ai remarqué que ces exploitants de ranch ne faisaient pas beaucoup attention à la marque qui se trouvait sur la vache. Savez-vous ce qu’ils regardaient ? Ils regardaient l’étiquette de sang à l’oreille. Voyez ? Il fallait être un authentique Hereford, sinon on ne pouvait pas aller dans ce pâturage.
Et je pense que c’est ce que Dieu fera au jour du Jugement. Il ne va pas se soucier de savoir si l’on est membre des–des Assemblées, ou de l’Eglise de Dieu, ou membre de n’importe quoi. Il va rechercher cette étiquette de sang, frère. Si cela est là, vous entrerez. Sinon, peu m’importe la marque que vous portez, vous serez rejeté. C’est tout.

81 Alors, un jour là, là loin dans la montagne, cela avait… le vieux garde et moi étions de très bons amis, de bons chasseurs. Et il a pris un cheval… on est allé sur l’embranchement ouest. Et j’étais là sur l’embranchement est, ce qu’on appel le Corral Peaks. Et il n’y avait pas encore de neige là et… ou il n’y en avait pas assez pour que ça reste. C’était tôt. Et la tempête de neige n’était pas encore venue, alors les animaux étaient là-haut.
Alors, j’ai attaché mon cheval et j’ai effectué un déplacement d’une journée tout près de la limite des arbres. Et alors, l’un de ces orages d’automne, d’octobre, a éclaté. Et alors peut-être qu’il pleuvra aussi fort que possible, ensuite il tombera de la neige fondue, puis de la neige, ensuite le soleil apparaît, ensuite de nouveau la pluie. (Vous savez comment ça se passe en automne.) Et il y a eu un orage. Et j’étais là très haut, à la limite des arbres. Et c’était trop sec pour retrouver les traces des animaux.

82 Alors, j’étais… j’étais derrière un arbre et j’étais moi-même juste, on dirait accroupi derrière un arbre comme ceci (Si ce n’est pas une expression horrible). Mais je me tenais derrière l’arbre pour déposer mon fusil. L’orage était passé. Et après que l’orage était passé, il faisait frais pendant que l’orage passait. Et il a plu très abondamment. Et après l’orage, je me tenais là, pensant à Dieu.
Je me suis dit : «Ô Dieu ! comme Tu es merveilleux ! » Je vois toujours Dieu dans la nature. C’est là que vous Le voyez. Je me suis dit : « Tu es si merveilleux, Seigneur. Oh ! j’aurais souhaité que Tu descendes vers moi et que Tu me ramènes à la Maison à partir d’ici. » Je me suis dit : « Que… »
A ma mort, qu’on dise sur moi la prière des Indiens à ma mort : « Seigneur Dieu, Glorieux Père de l’Esprit, puisse-t-Il longer le long sentier des gibiers et qu’Il rencontre Ses bien-aimés de l’autre côté. »
Je me suis dit : « Oui, Seigneur, laisse-moi aller vers un tel pays en quittant ce monde. »

83 Et, alors que je me tenais là, l’orage s’est arrêté. Et j’étais en train de méditer profondément, puis je me suis levé, j’ai regardé tout autour. Il m’est arrivé de remarquer, alors que je regardais là loin vers l’ouest, vers l’Oregon de ce côté-ci, et des fissures dans des montagnes, qu’il ne faisait tard dans l’après-midi. Le soleil passait par là, on dirait, un très gros oeil de Dieu, dirait-on : « Ses yeux sont sur le passereau. »
Je me suis dit : « Ô Dieu, Te voilà dans le coucher du soleil ! »
Et alors, j’ai regardé et, là où la–la pluie avait gelé sur l’arbre toujours ouvert, là s’était formé un arc-en-ciel qui avait apparu dans la vallée. Là loin au sommet de la montagne, un vieil ours gris a hurlé. Et sa compagne a répondu là vers le bas. Le vieil élan mâle s’est mis à beugler. Il s’était perdu pendant l’orage comme cela. Vous parlez de la profondeur qui appelle la profondeur ! Oh ! la la ! je me suis dit : «Pourquoi devrais-je donc quitter pareil endroit ? Pour moi, c’est chez moi. Je souhaiterais pouvoir rester ici pour toujours. »

84 Je m’étais senti comme Pierre : « Construisons trois tabernacles, et restons simplement ici. C’est ici la demeure. » J’ai entendu Dieu dans le cri de cet ours, appelant sa compagne. Je me suis dit : « Oui, ô Dieu, c’est Ton appel à mon endroit. J’ai entendu de même l’élan, j’ai vu l’arc-en-ciel apparaître, et je me suis dit : ‘L’arc-en-ciel signifie l’alliance. Tu es l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, les deux bouts de l’arc-en-ciel, Celui qui était et qui est venu, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du matin, le Lys de la vallée, la Rose de Saron. » Oh ! la la ! Tout ce qu’Il était…
Et je me suis dit : «Dans l’arc-en-ciel, l’alliance, tel qu’Il apparaît dans Apocalypse 1, là Il avait l’aspect de l’arc-en-ciel, le Premier et le Dernier. De Benjamin à… de Ruben à Benjamin, le Premier et le Dernier, et tout… » Cela… Les Ecritures ne faisaient que se déverser. Je me suis dit : «Ô Dieu, que Tu es si glorieux ! Que Tu es si grand ! »

85 Je me suis mis à marcher d’un pas lourd, tournant autour de l’arbre, aussi vite que possible, de toutes mes forces, en criant : « Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! » Tournant simplement comme ça. Je me suis arrêté et j’ai dit : « Ô Dieu, que Tu es grand ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! » Oh ! j’étais là comme toute l’armée du salut. Je passais un bon temps. Je ne faisais pas cas de qui que ce soit d’autre. Eh bien, j’étais à trente cinq, quarante miles [cinquante six km], [64 km] loin de la civilisation. Je criais à Dieu.
Ne croyez-vous pas qu’un baptiste crie ? Vous auriez dû m’entendre. Je tournais donc tout autour de cet endroit-là de toutes mes forces en criant des louanges de Dieu. Je me suis dit : « Oh ! comme c’est merveilleux ! Combien j’aimerais rester ici, Seigneur ! Oh ! Si je n’avais pas une autre campagne, je resterais simplement ici avec Toi, jusqu’à ce que Tu viennes me prendre. Oh ! Comme c’est merveilleux ! »

86 Mais, juste comme il en était pour Pierre et les autres, en ce jour-là, au bas de la montagne, se trouvait un jeune garçon malade à guérir. Je savais donc qu’il me fallait retourner dans quelques jours. Et je me tenais là. Et tout d’un coup, un petit drôle d’écureuil de pin… (je ne sais pas si vous en avez ici ou pas)… Oh ! C’est un–un policier en tenue bleue dans le bois, c’est la bête la plus bruyante que j’aie jamais entendue, elle sautillait sur… Il y avait là un arbre abattu depuis longtemps, et elle sautait sur la souche et s’est mis à faire : Chatte, chatte, chatte. Chatte, chatte, chatte. Chatte, chatte, chatte.
Et je me suis dit : « Qu’est-ce qui t’agite tant, petit animal ? Eh bien, tu n’es pas trop grand pour faire quoi que ce soit. Qu’est-ce qui te fait donc crier ? » J’ai dit : « Oh ! Pourquoi es-tu tant agité ? Oh ! t’ai-je effrayé ? Si tu n’as pas aimé cela, observe un peu ceci. Laisse-moi te montrer comment je peux vraiment le faire. » Alors, j’ai de nouveau tourné autour de l’arbre. Je me suis dit : « Comment trouves-tu cela ? » J’ai dit : « Oh ! la la ! notre Créateur est merveilleux. Tu devrais Le louer. » Mais j’ai remarqué qu’il ne me regardait pas. Il inclinait sa petite tête de côté, et cet oeil-là ressortait sur sa joue, vous savez, en regardant vers le bas comme ça.

87 Et, peu après, de là vint en rampant… Le vent avait forcé un grand aigle brun à descendre. Oh ! c’est un bel oiseau. J’aime un aigle. Et il a sauté sur cela et je me suis dit : « Oh ! c’était ça ! Oui, oui. C’est pour cela que tu faisais des histoires. Tu avais peur de cet aigle-là. »
Ce grand aigle a sauté là et, oh ! quel immense oiseau ! Ses gros yeux gris battant… Et je me suis dit : « Seigneur, pourquoi–pourquoi as-Tu détourné mon attention de l’arc-en-ciel, du loup, et de tout ceci, rien que pour–pour ceci ici ? Eh bien, qu’y a-t-il de divin dans cet aigle-là ? » Et je me suis dit : « Je ne vois rien de divin dans ce petit écureuil drôle et je ne vois rien de divin dans cet aigle. Qu’y a-t-il de si divin en lui ? »

88 Et je me suis mis à observer. Je me suis dit … Je l’ai observé ; j’ai dit : « Sais-tu que je pourrais te tirer dessus ? » J’ai dit : « Voici mon fusil ici ; je peux tirer sur toi. » Il était mieux avisé que ça. Cela ne l’a pas du tout dérangé. Je me suis dit : « N’as-tu pas peur de moi ? As-tu eu peur du fait que j’ai crié comme cela ? C’était notre Créateur. Je ne fais que Le louer. Tu le devrais, toi aussi. »
Alors, juste je… Si quelqu’un était entré dans le bois, il aurait pensé qu’il y avait un fou par là. Mais cela m’importait peu. Je passais un bon moment. J’adorais le Seigneur. C’est ça le problème avec vous, lorsque vous devenez trop empesé et que vous avez trop peur. Nous avons besoin de Dieu. Il nous faut reconnaître qu’il n’y a personne ici à part Dieu et moi ; C’est tout. C’est tout. Et c’est vrai. Nous nous mettons à nous poser des questions : « Que dira de moi le voisin. ? » Eh bien, vivez correctement, et le voisin saura ce qui se passe après tout, lorsqu’il vous fréquentera.

89 Ainsi donc, j’ai suivi ce petit écureuil drôle, vous savez. Et je l’ai observé là. Et cet aigle… Je me suis dit : « Qu’est-ce qui te rend si–si sûr de toi ?»
Je me suis mis à l’observer. Et il a bougé ses grandes ailes, vous savez, ses plumes, il les a hérissées comme cela, vous savez, essayant un peu de les arranger. Je me suis dit : « Je vois. Oui, oui. Tu as confiance dans ces ailes. Tu sais qu’avant que je puisse mettre ma main sur ce fusil-là et que je le place à l’épaule, tu seras dans cet arbre-là et je ne te verrai même plus jamais. » Voyez ?
Et je me suis dit : « Si tu peux avoir une si grande confiance dans ces ailes (en effet, Dieu t’a donné ces ailes pour échapper au danger), à combien plus forte raison l’Eglise du Dieu devait-elle avoir confiance dans la Puissance de Dieu qui peut la faire échapper aux maladies, aux affections, aux troubles, à la mort et à l’enfer, fuir auprès de Dieu un jour, dans les bras du Seigneur Jésus » Juste… je me suis dit : « Il–il continue à ressentir. Tant qu’il peut sentir ses ailes en état de voler, il est tout en ordre. Il savait où il se tenait. »

90 Et pourtant, le Saint-Esprit peut descendre sur une église, et les gens vont repousser ça une fois de plus : « Oh ! je ne sais pas. Si vous priez pour moi une fois de plus, peut-être que ça ira. » Voyez ? C’est juste… Oh ! la la ! C’est horrible. Oui, cela… Je l’ai observé là pendant un instant. Je vais vous dire ce qui est arrivé à cet oiseau. Je l’ai observé pendant un instant, je l’ai regardé là et je me suis dit : « Oh ! je t’apprécie. Je Te vois, ô Dieu, dans cet aigle-là. »
Ainsi donc, peu après, il n’avait pas peur de moi, il a compris que je–je–je–je l’appréciais. J’apprécie n’importe quoi qui a une – qui a une colonne vertébrale. Je déteste voir une personne venir à l’église et juste, oh ! toutes les louanges et tout, retourner et avoir honte de témoigner dans la rue, avoir honte de réclamer les bénédictions pour les repas qu’il va prendre dans un restaurant, ou… Oh ! la la ! Un lâche, Dieu ne peut pas utiliser un lâche ; Il veut des hommes. Il veut ôter ces bréchets et placer une colonne vertébrale là. C’est comme le vieux Buddy Robinson disait : « Seigneur, donnes-moi une colonne vertébrale de la taille d’une scie. Remplis le pignon de mon âme de Ta connaissance et aide-moi à combattre le diable tant que j’ai une dent, et après, que je le coince avec les gencives… jusqu’à ma mort. » C’est ça donc le genre de témoignage que nous devrions tous avoir. Cela… Vous souvenez-vous de Buddy Robinson, beaucoup parmi vous, les anciens frères nazaréens ?

91 Eh bien, je–j’ai observé ce vieil aigle, je me suis dit : « Eh bien, tu sais, tu m’es vraiment un oiseau favori. Je–je t’apprécie beaucoup. J’ai prêché plusieurs fois à ton sujet. » Et j’ai dit : « Je–je t’apprécie vraiment beaucoup. » Et Il était fatigué d’entendre ce vieil écureuil de pin faire : chatte, chatte, chatte, chatte, chatte, chatte. C’est comme s’il allait le tailler en pièces. Eh bien, il ne pouvait rien faire, il était trop petit. Il en avait marre. Alors, il a tout simplement fait un grand bond, il a battu deux fois environ ses ailes, et alors j’ai pleuré.
Je me tenais là, les larmes coulant sur mes joues alors que j’observais cet aigle. Oh ! comme Dieu a dû le placer là pour un but ! Il n’a plus jamais battu ses ailes. Il est tout simplement monté au-dessus de l’arbre, environ deux fois, et puis il savait bien comment disposer ses ailes dans ce vent-là. Et à chaque coup de vent, il allait un peu plus haut, un peu plus haut, un peu plus haut jusqu’à ce qu’à ne devenir qu’un petit point.

92 Il a laissé ce drôle petit écureuil de pin lié à la terre, perché là, faisant : « Chatte, chatte, chatte. Les jours des miracles sont passés. Le Saint-Esprit n’existe pas. Tout cela…?… Ce parler en langues, c’est entièrement faux. La Pentecôte n’existe pas. Cela a existé là très loin il y a longtemps. » Il savait bien comment disposer ses ailes à la puissance du vent. Combien l’église devrait savoir comment disposer sa foi à la puissance de Dieu, non pas sauter d’une église à une autre, mais chevaucher sur la gloire de Dieu jusqu’à ce que vous ayez dépassé là où vous entendrez ceci : « Les jours des miracles sont passés. Le Saint-Esprit n’existe pas. » Un non-sens !

93 Qu’en pensez-vous, madame ? Croyez-vous que c’est la vérité ? Croyez-vous cela aussi, soeur ? Si vous le croyez, vous pouvez vous envoler loin de ce brancard ce soir, si vous le voulez.
Ce n’est pas juste aller à telle autre réunion, aller à telle autre, demander à tel de prier pour vous, ou à tel autre de prier pour… Qu’un certain prédicateur, un certain évangéliste… : Disposez simplement vos ailes. Disposez votre foi : « Je ne serai pas ébranlé. » Alléluia ! Et chaque fois que le Saint-Esprit vient, naviguez là-dessus ; allez davantage plus haut.
C’est ça. Croyez-vous cela de tout votre coeur ? Si vous le croyez, frère, sachez simplement comment disposer vos ailes. Dieu l’a promis ; Dieu ne peut pas mentir ; Dieu est toute la vérité. Si je pouvais vous guérir, je le ferais. Je ne peux guérir personne. Je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un qui puisse le faire. Mais c’est vous-même, vous, vous-même, qui avez la foi en Dieu. Le Saint-Esprit ne fait que se déverser en flot dans cette salle ce soir (Croyez-vous cela ? Assurément. ), réprimandant et châtiant même son église et la purifiant. C’est ce que Dieu veut faire.

94 Les anciens batteurs d’ors… Savez-vous comment il reconnaissait que c’était du très bon or pur ? Il prenait cet or là, et le battait, le battait, le retournait, et le battait jusqu’à le dépouiller de toute la scorie à force de battre. Savez-vous comment ils savaient qu’ils avaient ôté toute la scorie ? C’est quand ils voyaient leur propre reflet là-dedans, alors ils reconnaissaient que toutes les pyrites et toutes les autres matières en étaient enlevées. Toute la pierre et les matières en étaient ôtées. C’était de l’or pure, quand le batteur arrivait avoir son reflet.
C’est ainsi que Jésus s’y prend avec Son Eglise. Il la bat, la tourne, la bat, la tourne, la bat. Comment un prédicateur ose-t-il être assez efféminé pour ne pas proclamer la Parole de Dieu et dire aux hommes et aux femmes qu’ils vivent mal ? Leur dire que c’est mauvais de porter des habits immoraux, c’est mauvais de fumer la cigarette, c’est mauvais de rester à la maison et de ne pas aller à l’église, c’est mauvais de jouer aux jeux d’argent, de faire de course dans des voitures et de faire des histoires comme l’église le fait aujourd’hui, jouer à la loterie et autres. Que Dieu me préserve d’en arriver à faire cela. Absolument pas.
Battez cette chose-là jusqu’à ce que… Jésus bat cela avec le Saint-Esprit jusqu’à voir Son propre reflet là-dedans. Alors, vous pourrez voir les oeuvres de Christ être accomplies dans l’Eglise ; alors Elle est prête pour l’Enlèvement. L’or pur… Croyez-vous cela, vous tous ?

95 Très bien, combien de malades y a-t-il ici ? Levez la main. Vous avez dit que vous étiez des croyants, n’est-ce pas ? Très bien, je vais vous demandez de faire quelque chose. Vous–vous, les deux pasteurs, j’aimerais bien que vous descendiez vers cette civière-ci. Vous, les deux pasteurs, j’aimerais que vous alliez à cette civière-là. Je vais vous montrer qu’il ne s’agit pas des hommes. Amen. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Maintenant, ces hommes croient. Ces autres aussi, mais j’ai choisi ces deux-là. Le témoignage se fait par deux. Très bien. Combien croient parmi le reste d’entre vous maintenant ? Très bien. Eh bien, la Parole de Dieu est-Elle vraie ? Assurément. Elle est vraie. Maintenant, si… La prière de la foi sauvera le malade. Est-ce vrai ? Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru. Est-ce vrai ? Maintenant, si cela n’est pas vrai, alors vous n’êtes pas sauvés. C’est le même Dieu qui a dit cela. Voyez-vous ? Donc, vous n’êtes pas sauvé, il n’y a pas de cieux, il n’y aura pas–il n’y aura pas d’au-delà, si ce n’est pas vrai.
« Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Maintenant, tout celui qui est un croyant… Il n’a pas été dit : « Voici les signes qui accompagneront les prédicateurs. « Voici les signes qui accompagneront (qui que ce soit) qui auront cru : Ils imposeront les mains aux malades, el les malades seront guéris. »

96 Vous attendez qu’on prie pour l’enfant, n’est-ce pas, soeur ? Le bébé est malade ou quelque chose comme cela, voulez-vous qu’ont prie pour lui ? L’enfant est gravement malade. Etes-vous prédicateur, frère ? Très bien, allez imposer la main à ce petit enfant aux cheveux roux qui est là-bas. Je regarde tout autour pour voir si je peux voir quelqu’un d’autre qui aimerait qu’on lui impose la main.
Très bien, eh bien généralement nous faisons le discernement. Et nous pouvons avoir cela aussi toute suite. Oh ! assurément, certainement ! C’est bien–c’est bien en ordre, si–si–si nous–si nous croyons cela. Mais il vous faut croire cela : « Si tu peux croire, tout est possible. »

97 Eh bien, rappelez-vous que si nous priions et demandions à Dieu sincèrement, cette église-ci… Maintenant, nous formons une unité ; nous sommes ensemble. Si nous demandons sincèrement à Dieu, alors Dieu est tenu de prendre soin de ce que nous–ce que nous avons demandé. Est-ce vrai ?
« Si vous demandez quoi ce soit en Mon Nom, Je le ferai. » Est-ce vrai ? Attendez donc. Est-ce la vérité ? Assurément. Je croirai cela de tout mon coeur. Je l’ai déjà fait. Il y a trente-un ans que j’attends ce… Saint Jean 5:24, si vous voulez le noter, pensez simplement à une poignée ou à deux douzaines d’oeufs. Voyez ? Saint Jean 5.24 : « Celui qui écoute Ma Parole et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle, il ne passera en jugement mais il est passé de la mort à la Vie. »

98 Je crois cela. Je… Quand j’étais jeune garçon, je suis devenu prédicateur, alors que j’étais un jeune garçon. J’ai prêché depuis lors. J’ai donné ma vie pour l’Evangile. J’aurais souhaité avoir dix mille vies à donner pour Cela. C’est vraiment merveilleux. J’apprécie tout cela. Eh bien, vous pouvez… Vous… Si ce n’est pas vrai, alors je… Si ce n’est pas vrai, alors cet autre n’est pas vrai. Si Ceci n’est pas vrai, alors cela n’est pas vrai. Si c’est Ici ce que, alors ce que est Ici. Voyez ? Nous sommes–nous sommes–nous sommes donc prêts. Etes-vous prêts pour la prière ?
Très bien, maintenant, tout le monde ici présent, j’aimerais que vous imposiez les mains à quelqu’un à côtés de vous. Et, frères, j’aimerai que l’un soit au pied et l’autre à la tête de ces brancards-ci, que vous imposiez les mains à cette petite… à ce petit garçon-là, à ces gens-là. Maintenant, levons-nous.

99 Oh ! la la ! J’aime vraiment ce genre de moment. Juste quelque chose. Tout le monde à le souffle coupé on dirait : « Qu’est-ce qui va se passer ? » Observez ce qui se passe. Si seulement vous tournez… Déployez simplement votre foi maintenant. Laissez simplement votre foi descendre et dites : «Cette soeur va être guéri. Celui-ci va être guéri. Cet homme, cette femme-ci, celui-ci, celui-là, celui-là, et cet autre, ils vont tous être guéris. Ils vont être guéris. Ça sera la fin de cette chose. Demain, il y aura un très grand changement dans les gens. Eh bien ! oh ! la la ! ça sera merveilleux. » Ne croyez-vous pas cela ?
Que sommes-nous ? L’Eglise de Dieu. Comment savons-nous maintenant que Dieu ne va pas nous adopter nous tous ce soir pendant que nous faisons ceci ? Nous sommes en train d’obéir à Ses commandements.
Maintenant, que chacun de vous, juste comme c’est… comme c’était votre… Ne priez pas pour vous-même maintenant. Priez pour la personne à qui votre… qui vous a imposé la–la main. Maintenant, inclinons la tête, là tout le monde, les mains les uns sur les autres. J’aimerais que, vous tous, vous répétiez cette prière après moi.

100 Ô Dieu Tout-Puissant, créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tous dons excellents, mon Père, accorde-moi la foi pour cette personne à laquelle j’impose les mains. Laisse-moi croire de tout mon coeur que cette personne va être guérie par Ta Puissance. Si j’ai péché, si je n’ai pas cru en Toi de n’importe quelle manière, pardonne-moi. Je Te rendrai toute gloire et toute la louange. Je Te promets ceci au Nom de Jésus. Amen.
Maintenant, gardez vos têtes inclinées. Maintenant, vous savez ce que vous avez dit. Maintenant, vous… c’est vous qui avez dit cela. Maintenant, c’est la–la prière que Dieu a fait passer par vos lèvres pour quelqu’un. Souvenez-vous donc, cette autre personne a offert la même prière pour vous. Maintenant, enfermez-vous avec Dieu. Il n’y a là personne à part Dieu et vous maintenant. Rien que par la foi, ressentez cette vertu de Dieu venir pour descendre dans ce corps malade. Le Saint-Esprit, vous l’avez senti il y a quelques instants. Ressentez-vous maintenant même ? Cette action, ce sentiment doux qui vous traverse, chargeant votre corps, c’est Sa puissance de guérison.

101 Ô Dieu, Tu es prêt. Grand Jéhovah Tu es le Dieu Eternel. Envoi Ton Saint-Esprit maintenant, Seigneur. Que chaque personne présente soit remplie de Ta Puissance, au point qu’elle ira d’une main à une autre, d’un endroit à un autre, jusqu’à ce que tous les malades soient guéris. Alors ils reconnaîtront que la guérison ne vient pas d’un seul homme, que cela appartient à Dieu. Ils prient les uns pour les autres.
La prière de la foi sauvera le malade. Dieu les relèvera. S’ils ont commis un quelconque péché, que cela leur soit pardonné. Accorde-le, Seigneur. Exauce notre prière. Je prie pour eux tous. Je prie pour mes frères prédicateurs, et tout celui qui a imposé la main à quelqu’un d’autres, que le Saint-Esprit soit tellement réel pour eux qu’ils pourront ressentir la Puissance de Dieu. Cela leur donnera tellement de courage que ceci deviendra l’heure de notre adoption pour ce groupe de gens, qu’ils seront adoptés par la puissance, dans le domaine du Seigneur Jésus-Christ, et que la puissance de Dieu puisse déferler sur tout le monde maintenant, et que chacun d’eux soit guéri.

102 Oh ! Tu es proche, Seigneur. Tu es ici. Je le sais sans l’ombre d’un doute que Tu es ici, et Ta puissance est en train d’agir maintenant. Ce que Tu as béni sera béni. Ce que Tu dis sera accompli. Ce que Tu as placé dans leur coeur sera comme tel. Qu’il en soit ainsi, Seigneur.
Nous attaquons Satan. Toi, mauvais esprit, toi qui es en train d’incriminer, toi la puissance maléfique qui as lié ses gens, toi, qui as fait cette chose mauvaise, tu as perdu la bataille. Jésus-Christ est mort. Oui, Il est ressuscité le troisième jour et Il t’a dépouillé de chaque droit légitime que tu avais. Tu n’es qu’un bluffeur, et nous repoussons ta main de cela ce soir, Satan. Toi mauvais esprit, lâche ses gens. Nous t’adjurons, au Nom de Jésus-Christ, que tout le doute soit ôté de ses gens maintenant même, et que le Saint-Esprit entre dans leur corps et qu’Il le libère chacun de la maladie, des afflictions, des tourments, des afflictions et de puissances maléfiques. Oh ! Satan, tu es vaincu. Au Nom de Jésus, tu es vaincu. Tu es perdu. Tu es… tu n’es qu’un bluffeur, et nous avons repoussé ta main. Sors, nous te disons, nous t’ordonnons au Nom de Jésus de quitter cet auditoire. Et que tous les malades, que tous les affligés soient rétablis pour la Gloire de Dieu. Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !

103 Je peux, je vais, je crois vraiment.
Je peux, je vais, je crois vraiment
Que Jésus me guérit maintenant. Le Grand Médecin est ici maintenant,
Le compatissant Jésus,
Réconforte les coeurs brisés
Pas un autre Nom que Celui de Jésus. Si vous n’arrivez pas à bouger le doigt, bougez-le maintenant. Si vous ne pouvez pas entendre d’une oreille, placez votre doigt dans l’autre oreille. Peu importe ce que vous êtes, votre situation ne s’améliorera jamais à moins que vous exerciez votre foi. Accordez à Dieu une possibilité maintenant. Accordez à Dieu une possibilité de faire quelque chose pour vous. La prière de la foi a été offerte, les mains vous ont été imposées. Et maintenant, par le commandement du Seigneur Jésus, j’ordonne que le diable vous quitte et que, vous tous, vous soyez rétablis. Amen. Croyez-vous cela ?

104 Que tout celui qui croit cela se mette debout et accepte sa guérison maintenant au Nom du Seigneur Jésus. Amen. C’est ça. Alléluia ! C’est ça. Ne doutez pas. Levez-vous directement. Amen. Gloire au Seigneur. Vous pouvez recevoir…?… être rétablie aussi. Ne doutez pas. Sortez-en directement et soyez libéré. Gloire au Seigneur ! C’est bien. Amen. Levons maintenant les mains et louons Dieu, tout le monde. Vous êtes guéris…?… N’êtes-vous pas guéri ? Alléluia

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