Prédication Expectative / 50-0405 / New York, New York, USA // SHP | 1 heure et 38 minutes |
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Expectative |
E-1 Merci...?... Bonsoir, assistance. Je suis trĂšs content dâĂȘtre ici Ă cette derniĂšre soirĂ©e de nos rĂ©unions ici dans le... ce beau pays que jâaime de tout mon coeur, lâAmĂ©rique. Je pense Ă nos aĂŻeux quand ils chantaient:
Que longtemps dure la flamme de notre pays,
Brillant de la sainte lumiÚre de liberté,
ProtĂšge-nous par Ta puissance,
Ă Grand Dieu, notre Roi.
E-2 Je suis trĂšs reconnaissant dâaller dans dâautres nations reprĂ©senter une nation comme celle-ci, lâAmĂ©rique, oĂč nous avons la libertĂ© de religion, et nous pouvons parler commeâcomme nous nous sentons conduits par lâEsprit de Dieu. Et je suis content que... de sentir lâappel de lâEvangile, que JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu, mâa appelĂ© Ă aller dans dâautres pays pourâpour leur prĂȘcher.
Chaque fois, dans mes voyages, je me souviendrai de cette derniĂšre soirĂ©e, je me souviendrai de New York, je me souviendrai de vous tous. Vous avez Ă©tĂ© trĂšs gentils envers nous, durant ce court sĂ©jour que nous avons eu. JâespĂšre quâun jour, vous mâaccorderez de revenir pourâpour ĂȘtre encore avec vous, et... Merci.
Toute ma vie, jâaiâjâai apprĂ©ciĂ© des amis. Il nây a rien que jâaime comme les gens, et je voulais que les gens mâaiment.
E-3 Lorsque jâĂ©tais plus jeune, je nâavais pas tellement dâamis. JâĂ©tais plus ou moins... Eh bien, je... Quand jâĂ©tais jeune, comme je ne fumais pas, je ne dansais pas, et tout le reste, eh bien, les gens pensaient que jâĂ©tais une poule mouillĂ©e. Puis, plus tard, dans mon Ă©glise, quand je fus converti il y a quelques annĂ©es, je compris que lâEvangile Ă©tait la puissance de Dieu; alors, je passais pour un fanatique Ă leurs yeux. Et puis, plus tard, quand jâai dĂ©couvert quâil y avait un groupe qui me croyait et qui mâacceptait comme leur frĂšre, oh! la la! certainement que je suis reconnaissant pour... que Dieu mâait placĂ© Ă vos cĂŽtĂ©s.
Et, maintenant, je remercie chacun de vous qui avez chantĂ©, il y a quelques instants, Car je prie pour toi. Câest ce que je veux que vous fassiez. Câestâcâest sur la priĂšre que je compte. Câest le secret de tous les mystĂšres de Dieu. Câest la clĂ© qui ouvre la porte de toute chose de Dieu, câest la priĂšre. Si vous priez et que vous croyez quand vous priez, alors croyez que vous recevez ce que vous demandez, et Dieu le fera connaĂźtre.
E-4 Un prĂ©dicateur mâa appelĂ© de Louisville il y a quelques instants. Il Ă©tait tout embrouillĂ© et il avait quittĂ© son Ă©glise parce que quelquâun lâen avait fait sortir... Il a dit: «FrĂšre Branham, jâaimerais bien en ĂȘtre fixĂ©.» Il a dit: «On mâa dit que jâĂ©tais lâune ou lâautre chose dans lâĂ©glise.» Et il a dit: «Jâai quittĂ© mon Ă©glise, et je suis... Je ne sais que faire maintenant.»
Jâai dit: «Je vous conseillerais de retourner directement Ă votre Ă©glise.»
Dieu nâappelle pas les gens Ă sortir de leurs Ă©glises, Il les appelle Ă Lui, Ă Lui-mĂȘme, Ă nous unir.
E-5 Je sais quâune fois les gens du Plein Evangile Ă©taient considĂ©rĂ©s comme des fanatiques. On vivait dansâdans lâallĂ©e, nâimporte oĂč quâon pouvait trouver une place pour prĂȘcher. Et... Mais maintenant, les cheveux de Samson ont poussĂ©, et on est unis. Quand ils Ă©taient divisĂ©s en diffĂ©rentes dĂ©nominations et avaient un prĂ©jugĂ© religieux, eh bien, Dieu ne pouvait pas traiter avec les gens. Mais maintenant que ce mur mitoyen est tombĂ©, que nous sommes rĂ©unis comme un seul bloc, câest lâEglise la plus puissante sur la surface de la terre.
Et, vous savez, pratiquement tous les tableaux cĂ©lĂšbres, avant dâĂȘtre accrochĂ©s au musĂ©e, doivent dâabord passer par la commission de censure et doivent passer par les critiques. Ensuite, aprĂšs quâils sont passĂ©s par les critiques, câest alors quâils peuvent ĂȘtre accrochĂ©s au musĂ©e.
Eh bien, je pense que câest le cas de notre petite Ă©glise. Elle a subi toute critique, elle a Ă©tĂ© taxĂ©e de tous les noms sales et ridicules. Mais je pense que Dieu va lâaccrocher au musĂ©e un de ces quatre matins et lâemporter dans lâEnlĂšvement, et jeâjâaimerais ĂȘtre avec eux quand ils partiront.
E-6 Nâoubliez pas de prier pour moi. Et lorsque vousâlorsque vous priez, nâimporte quand que vous pensez Ă moi, chantez Crois seulement, sâil vous plaĂźt. Câest ma chanson favorite. Câest une...
Câest Paul Rader qui lâa composĂ©e. Paul Rader Ă©tait mon ami. Et un soir, je venais dâentrer dans lâĂ©glise et on jouait cela. Je ne savais mĂȘme pas que câĂ©tait lui le compositeur. Et câĂ©tait juste aprĂšs que lâAnge du Seigneur mâavait visitĂ©. Alors, quelque chose mâavait bien frappĂ©. Et depuis lors, câest devenu la chanson qui sert de thĂšme de campagne: Crois seulement.
Si je mâen vais et que je doive ĂȘtre enseveli avant la Venue de JĂ©sus, les dispositions sont prises afin quâau moment oĂč on mâensevelira, eh bien, on se mette Ă chanter Crois seulement, tout est possible. Si vous apprenez que je suis parti Ă cette heure-lĂ , voudriez-vous juste vous arrĂȘter quelque part et vous souvenir de moi? Fredonnez pour vous-mĂȘme Crois seulement. Car je crois quâun jour, jâen ressortirai.
E-7 Nous nous dirigeons vers une chambre noire, une chambre de la mort. Tout le monde entre dans cette chambre-lĂ . Et Ă chaque battement de coeur, nous nous en approchons dâun pas de plus. Un jour, jâentrerai dans cette chambre-lĂ . Et quand jâen arriverai Ă mon dernier battement de coeur, je nâaimerais pas y entrer comme un lĂąche; jâaimerais ĂȘtre revĂȘtu de Sa justice, mâenvelopper dans cela et entrer dans cette chambre-lĂ , Le connaissant dans la puissance de Sa rĂ©surrection. Et quand on... lâange sâĂ©criera, la Voix, la trompette retentira, jâaimerais sortir dâentre les morts.
JâespĂšre vous voir tous lĂ . Combien jâaimerais recevoir tout le monde ce soir, mâasseoir et vous parler pendant des heures. Cela mâest pratiquement impossible. NĂ©anmoins, je vais vous donner un rendez-vous et, par la grĂące de Dieu, je le tiendrai. Si vous le prenez avec moi, un jour, quand ça sera terminĂ©, nous nous assiĂ©rons Ă cĂŽtĂ© des riviĂšres de la Vie lĂ -bas; lĂ nous parlerons simplement pendant mille ans avec chacun de nous, parler simplement des choses dâautrefois.
E-8 Je crois que cela aura lieu. Je crois que ça va ĂȘtre rĂ©el, juste comme la Bible dit que ça sera. Et je... Nous nâaurons pas moins de temps. Alors, quand jâaurai terminĂ© de parler avec vous tous, nous allons simplement avoir la mĂȘme durĂ©e de temps, et ce sera un moment glorieux. Et nous dĂ©ployons des efforts, nous dĂ©battant pour atteindre ce lieu-lĂ .
Jâai... Ce nâest pas pour prendre trop de votre temps, mais je... Juste avant de partir dâici, jâaimerais simplement dire quelques mots. Je pensais, il y a quelques instants, quand je suis arrivĂ©, Ă quelques-uns de mes amis dâArkansas et de diffĂ©rentes parties du pays qui sont venus pour nous dire au revoir demain. Et jâen suis certainement reconnaissant.
Je vois une jeune fille ici au piano. Et elle Ă©tait juste dans une rĂ©union et... lĂ oĂč je prĂȘchais, ou jâessayais de prĂȘcher. Je ne suis pas un prĂ©dicateur, seulement je... Elle avait reçu le baptĂȘme de lâEsprit Ă laâĂ la rĂ©union. Ainsi donc, jâĂ©tais content de la voir.
Et frĂšre Moore venait de me dire quâil y en a plusieurs ici qui viennent de diffĂ©rentes parties du pays. Et nous en sommes reconnaissant. JâespĂšre revenir un jour auprĂšs de vous tous une fois de plus.
E-9 Maintenant, dans lâEvangile selon saint Luc, chapitre 2, jeâje souhaite juste lire quelques paroles. Jâenvisageais venir un peu plus tĂŽt et parler juste un peu plus, mais jeâje crois que nous devons lire la Parole de Dieu Ă chaque service. Voyez, mes paroles failliront, comme celles de tous les mortels, mais la Parole de Dieu ne peut pas faillir. Elle demeure Ă©ternellement vraie.
Et juste vous parler pendant un court moment avant de former la ligne de priĂšre; Saint Luc, chapitre 2, Ă partir du verset 25...
Quand je regarde la Bible, jâai de petits caractĂšres ici, une Bible Scofield, pendant que vous tous, vous prenez ce chapitre, cela me rĂ©jouit beaucoup de voir la Bible et de pouvoir lire.
Une fois, jâĂ©tais pratiquement aveugle. On devait me conduire ici et lĂ . Jâavais perdu la vue. Je portais des lunettes trĂšs Ă©paisses. Et Ă un moment donnĂ©, mes yeux ont changĂ©, de la cĂ©citĂ© Ă la vue, et je peux... Quand on examine mes yeux, câest vingt sur vingt. Et je peux lire un journal de petits caractĂšres Ă cinq pieds [1,5 m] de moi. Câest la grĂące de Dieu qui a fait cela.
E-10 Si le monde entier doutait de Cela, je croirais toujours Cela de tout mon coeur. Si je priais pour dix mille personnes outre-mer, ou ici, et que toutes les dix mille mouraient un moment aprĂšs que jâaurai priĂ© pour eux, je dirais toujours que la guĂ©rison divine est vraie. Câest la Parole de Dieu. Et si je prĂȘche Ă dix mille et quâeux tous mouraient, quâils Ă©taient morts pendant vingt ans, et quâils revenaient me dire que JĂ©sus nâexiste pas, que Dieu nâexiste pas, quâil nây a pas dâĂ©ternitĂ©, et que JĂ©sus nâĂ©tait pas le Fils de Dieu, et que jâen Ă©tais Ă lâarticle de la mort, je dirais: «Laissez-moi aller auprĂšs de Lui, je prends ma barque.» Peu importe ce que quelquâun dâautre dirait, je crois en Lui de tout mon coeur. Câest vrai. Je crois en Lui.
Au verset 25, nous lisons lâadoration de SimĂ©on qui prophĂ©tisait.
Et voici, il y avait Ă JĂ©rusalem un homme appelĂ© SimĂ©on. Cet homme Ă©tait juste et pieux, il attendait la consolation dâIsraĂ«l, et lâEsprit Saint Ă©tait sur lui.
Il avait Ă©tĂ© divinement averti par le Saint-Esprit quâil ne mourrait point avant dâavoir vu le Christ du Seigneur.
Il vint au temple, poussĂ© par lâEsprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant JĂ©sus pour accomplir Ă son Ă©gard ce quâordonnait la loi,
il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:
Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur sâen aller en paix, selon ta parole,
Car mes yeux ont vu ton salut.
E-11 Inclinons la tĂȘte juste un instant pour la priĂšre.
Notre PĂšre cĂ©leste, alors que nous entrons dans Ta PrĂ©sence maintenant, nous consacrant nous-mĂȘmes, ainsi que ce bĂątiment et tout ce quâil y a Ă lâintĂ©rieur, Ă Ton service ce soir, nous nous rendons compte que ceci peut ĂȘtre la derniĂšre fois pour certains ici dâentendre lâEvangile, ou dâavoir le privilĂšge dâĂȘtre dans lâĂ©glise; et ceci peut Ă©tablir la destinĂ©e Ă©ternelle de leur ĂȘtre. Ainsi, aide-nous ce soir, PĂšre, Ă ĂȘtre trĂšs respectueux et trĂšs loyaux envers lâEvangile, et vis-Ă -vis de lâappel que Tu nous as donnĂ© pour aller dans ce monde. Et je Te remercie ce soir, PĂšre, du privilĂšge que jâai de me tenir devant cette assistance de gens.
Je me suis souvent dit que je chĂ©rirai beaucoup un rĂ©cipient contenant une seule goutte du Sang de Ton Fils si je lâavais entre mes mains, mais je sais que, ce soir, je tiens plus que Cela, selon Son Ă©valuation. Il y a devant moi les rachetĂ©s par Son Sang, ceux pour qui Il a donnĂ© Son Sang, afin quâils Lui appartiennent.
E-12 Et, PĂšre, il mâincombe ce soir de parler Ă ces gens. Ainsi, puisse Ton Esprit diriger chaque parole. Et combien nous Te sommes reconnaissants pour la grĂące de Dieu, de savoir quâautrefois nous Ă©tions Ă©trangers, sĂ©parĂ©s de Dieu, sans misĂ©ricorde, sans espoir. Christ est mort pour nous, Ă notre place, portant notre opprobre et nos pĂ©chĂ©s dans Son propre corps, sachant quâun jour Il viendra. Nous ne savons pas maintenant Ă quoi nous ressemblerons, mais nous savons que nous aurons un corps semblable au Sien, car nous Le verrons tel quâIl est. Et, PĂšre, ça sera un corps glorifiĂ©, exempt de maladies, de tristesse, de chagrin et de la mort. Oh! Nos esprits gĂ©missent dans lâattente de cette dĂ©livrance.
Et aide-nous ce soir, PĂšre, alors que nous continuons le voyage maintenant, sachant que Tu as pourvu Ă une voie, afin que les malades soient guĂ©ris et que les perdus soient sauvĂ©s. Alors que nous sommes assemblĂ©s ici, comme des mortels en route vers lâĂ©ternitĂ©, aide-nous Ă affectionner les choses dâEn Haut, lĂ oĂč Christ est assis Ă la droite de Dieu. Accorde-le, PĂšre. Et puisse lâAnge de Dieu, qui mâa guidĂ© dans la vie, qui mâa nourri depuis ma naissance, ĂȘtre ici ce soir pour guĂ©rir les malades et les affligĂ©s, car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimĂ©, JĂ©sus-Christ. Amen.
E-13 Juste comme petit sujet, si je devais lâappeler ainsi, jâaimerais parler pendant une minute ou deux sur le mot Expectative.
Nous recevons toujours ce Ă quoi nous nous attendons. Quand les gens sâattendent Ă quelque chose, eh bien alors, ils obtiennent gĂ©nĂ©ralement ce quâils attendent. Ce qui compte, câest lâattitude mentale que vous affichez.
Rappelez-vous ceci, et ne lâoubliez jamais. Une bonne attitude mentale envers nâimporte quelle promesse de Dieu la fera sâaccomplir, une bonne attitude mentale envers nâimporte quelle promesse de Dieu.
Il ne faut pas de dons de guĂ©rison pour guĂ©rir les malades. Toute personne ici prĂ©sente a le droit dâaffronter Satan nâimporte oĂč, sâil est chrĂ©tien, et de le vaincre sur nâimporte quel terrain oĂč il peut se tenir.
Quand JĂ©sus-Christ Ă©tait ici sur terre, et en Lui demeurait la plĂ©nitude de la DivinitĂ© corporellement, toutes les grandes puissances de Dieu Ă©taient dans Son Fils, JĂ©sus-Christ. En effet, les Ecritures nous rapportent que Dieu Ă©tait en Christ, rĂ©conciliant le monde avec Lui-mĂȘme. Toute chose Lui a Ă©tĂ© donnĂ©e; toutefois Il ne disait que ce que le PĂšre Lui disait. Il ne guĂ©rissait que celui quâIl avait dâabord vu ĂȘtre guĂ©ri. En effet, Il a dit: «En vĂ©ritĂ©, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-mĂȘme, mais Il ne fait que ce quâIl voit faire au PĂšre.» Câest Saint Jean 5.19.
E-14 Saint Jean 5.1: Il est passĂ© prĂšs de la piscine de BĂ©thesda, il y avait des multitudes de boiteux, dâestropiĂ©s, dâaveugles, de paralytiques, qui attendaient que lâeau soit agitĂ©e. Et quand les eaux Ă©taient agitĂ©es, alors la premiĂšre personne Ă y entrer, avec foi, recevait la guĂ©rison. Ils Ă©taient obligĂ©s de croire cela. Et alors, la vertu de lâange entrait dans la personne, elle Ă©tait guĂ©rie. Et puis, les gens attendaient un autre moment, peut-ĂȘtre une ou deux semaines, un ou deux mois. Et elles restaient couchĂ©es lĂ , des multitudes de gens.
JĂ©sus passa par lĂ , Il vit un homme qui nâĂ©tait pas estropiĂ©, mais qui avait une indisposition qui avait durĂ© trente-huit ans. Et Il a dit: «Veux-tu ĂȘtre guĂ©ri?»
Et il a dit: «Je nâai personne pour me jeter dans lâeau.»
Il a dit: «Prends ton lit, et va chez toi.»
Et câĂ©tait un jour de sabbat, mais lâhomme prit son lit et obĂ©it. Et quand Il fut interrogĂ©, au verset 19 de ce mĂȘme chapitre, par les Juifs, les sacrificateurs de lâĂ©poque, Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-mĂȘme, mais Il ne fait que ce quâIl voit faire au PĂšre.»
E-15 Cela Ă©tait chaque fois vu dâavance, ce qui allait arriver, grĂące aux dons de lâEsprit. Câest la rĂ©vĂ©lation de Dieu, ce qui est rĂ©vĂ©lĂ©. Et par consĂ©quent, vous ne faites que rĂ©pĂ©ter un acte, reprĂ©senter une scĂšne que vous avez dĂ©jĂ vu arriver.
Beaucoup de gens sâembrouillent des fois au sujet des dons et des appels. Les dons et les appels sont sans repentir. Dieu ordonne dâavance ces choses et Il les envoie sur terre. Et puis, Il les confirme, quâils existent.
Il nây a pas longtemps, un homme sâest avancĂ© vers moi. Eh bien... Souvent, ils le font, et il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, le Seigneur a dit: âFaites ceci.â Si vous nâallez pas Ă tel endroit, ou telle chose, que vous ne faites pas telle chose, le Seigneur va vous frapper et vous arracher ce don.»
E-16 Eh bien, ce nâest pas vrai. Ce nâest pas vrai. Les dons et les appels sont sans repentir. Il y a des esprits qui sont dans lâĂ©glise. Câest vrai, tels que les dons de prophĂ©tie, de guĂ©rison et autres. Mais ils sont dans le corps entier. Ils peuvent descendre sur une personne ce soir, une prophĂ©tie, et cela peut ne jamais redescendre sur la mĂȘme personne; cela peut ĂȘtre quelque part ailleurs dans le corps. Et ces esprits sont censĂ©s ĂȘtre jugĂ©s. «Quâune personne parle, que deux ou trois jugent», a dit Paul.
Eh bien, ceux-lĂ sont des esprits de dons qui sont dans lâĂ©glise. Mais lâunique personne qui a le droit de dire AINSI DIT LE SEIGNEUR, câest un prophĂšte confirmĂ©. Vous nâavez jamais vu quelquâun juger EsaĂŻe, ou JĂ©rĂ©mie, ou ces gens-lĂ . Ils Ă©taient des prophĂštes, ordonnĂ©s dâavance et nĂ©s dans ce monde pour ĂȘtre prophĂštes. Et ils voyaient dâavance la chose en vision et, ensuite, ils disaient: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», car le Seigneur avait dĂ©jĂ dit cela.
Alors, ce dont lâĂ©glise a besoin aujourdâhui, câest dâun bon enseignement de lâEvangile Ă lâancienne mode. Câest vrai. Savoir oĂč ils... Je ne veux pas juste parler dâun enseignement dâĂ©rudit; je veux parler dâun enseignement spirituel. Il y a des gens qui parlent de Dieu, maisâmais qui ne savent rien Ă Son sujet. Vous ne... Voyez, vous devez en venir au fait et traiter effectivement avec lâesprit lui-mĂȘme, vous voyez, pour savoir de quoi vous parlez.
E-17 Et alors, Siméon était un homme, un grand homme, conduit par le Saint-Esprit. Croyez-vous dans la conduite du Saint-Esprit? Certainement. Nous tous qui sommes chrétiens, nous croyons que le Saint-Esprit nous conduit.
Alors, SimĂ©on Ă©tait un grand homme. CâĂ©tait un homme honorable, un sacrificateur; et il approchait les quatre-vingt-dix ans, selon ce qui nous est rapportĂ©. Et il restait au temple.
Et, rappelez-vous, il jouissait dâun grand prestige, en tant que sacrificateur, ou docteur, lĂ enâen IsraĂ«l. Mais le Saint-Esprit lui avait rĂ©vĂ©lĂ© quâil ne mourrait point avant dâavoir vu premiĂšrement Christ. Et il nâa pas eu peur de dĂ©clarer cela Ă tous. Peu importe sa rĂ©putation, ou son prestige, ou son titre, le Saint-Esprit lui avait rĂ©vĂ©lĂ© quâil ne mourrait point avant dâavoir vu premiĂšrement Christ.
E-18 Eh bien, regardez. Personne nâavait jamais vu Christ. On en avait parlĂ© depuis lâaube mĂȘme du temps, depuis le commencement, dans le jardin dâEden. Et quatre mille ans sâĂ©taient Ă©coulĂ©s, et chaque grand homme avait attendu Sa Venue sur terre. Le sang juif, je pense, est le sang le plus pur quâil y a sur terre ce soir, dans lâattente de la Venue du Messie. Et ilsâils attendaient la naissance de cet Enfant-lĂ . Et ils Lâattendaient.
Ainsi donc, eux tous avaient attendu. Mais SimĂ©on a eu une rĂ©vĂ©lation du Saint-Esprit, quâil ne mourrait point avant dâavoir vu premiĂšrement Christ. Il ne mourrait point avant dâavoir vu Christ. Et il a annoncĂ© Ă tout le monde que câest ce qui arriverait. Il nâavait pas peur que cela nâarrive pas. Il savait que, puisque le Saint-Esprit lâavait dit, cela devait arriver.
Quand Dieu vous dit quelque chose, câest une vĂ©ritĂ© Ă©tablie. Vous ne pouvez pas vous en dĂ©tacher et cela doit arriver.
E-19 Quelquâun a dit: «FrĂšre Branham, nâavez-vous pas peur de commettre une erreur lorsque vous ĂȘtes... quelquâun monte Ă lâestrade, que vous lui disiez une maladie qui nâest pas vraie?» Non, monsieur.
«Nâavez-vous pas peur...»
Tenez, lâautre jour, un homme a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© dans le sud pour avoir dit Ă un autre quâil Ă©tait infidĂšle Ă sa femme et tout le reste, il a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©, car câĂ©tait une rumeur. Eh bien, assurĂ©ment, si câest une rumeur, tout peut arriver. Vous le faites de vous-mĂȘme. Mais lorsque vous ĂȘtes sous la promesse divine de Dieu, il nây a point de peur en Dieu. Câest vrai. Cela doit arriver. Câest parfait. Cela nâa jamais failli, et cela ne faillira jamais, car Dieu ne peut pas mentir.
Vous ne pouvez croire en Dieu que quand Il vous parle et vous donne une rĂ©vĂ©lation; alors, vous agissez sur base de ce quâIl ordonne de faire.
E-20 Eh bien, ce sacrificateur nâavait pas honte de rapporter aux gens quâil croyait que JĂ©sus Ă©tait... ou que Christ naĂźtrait et quâil Le verrait avant sa mort.
Eh bien, remarquez. Quand Dieu vous fait une promesse, Il lâaccomplira. Vous nâavez pas Ă craindre quâIl ne tienne pas Sa Parole, car Dieu tiendra Sa Parole. Je... Câest vrai. Vous devez simplement Lui faire confiance.
E-21 Et puis, voici ce que je constate. Oh! la la! Quand JĂ©sus naquit alors, eh bien, la... Il nây avait pas de radio ni de presse, comme nous en avons aujourdâhui. Ils devaient se transmettre le message de bouche Ă oreille.
Et huit jours plus tard, Marie a amenĂ© le petit Enfant JĂ©sus au temple pour accomplir ce quâordonnait la loi, offrir des tourterelles, ouâou des pigeons si on Ă©tait pauvre et ainsi de suite; elle devait offrir le sacrifice pour sa purification Ă elle.
Et remarquez, tout ceci me frappe quand jây pense. Eh bien, SimĂ©on Ă©tait probablement lĂ quelque part dans une piĂšce de priĂšre, ou en dehors du temple. Et peut-ĂȘtre que, ce matin-lĂ , il y avait probablement cinquante enfants, dirions-nous, en ligne, attendant la circoncision.
Mais remarquez, juste quand Marie a fait entrer JĂ©sus, le Saint-Esprit a parlĂ© Ă SimĂ©on, ailleurs, dehors. Et il a Ă©tĂ© conduit par le Saint-Esprit tout droit vers lâEnfant Christ. Il est entrĂ© en ce moment-lĂ mĂȘme, il Lâa pris dans ses bras et a dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur sâen aller en paix, car jâai vu Ton salut.» Pensez-y.
E-22 Eh bien, il avait la promesse. Et nâest-ce pas Ă©trange que le Saint-Esprit qui avait donnĂ© cette promesse-lĂ , une fois la promesse accomplie, que le Saint-Esprit ait conduit SimĂ©on, celui-lĂ qui avait la promesse, tout droit vers Cela? Voyez-vous comment Il sây prend?
Eh bien, je ne crois pas quâil y ait quelquâun ici... Combien ici sont malades ce soir et aimeraient quâon prie pour eux? Faites voir les mains, partout dans la salle. Je ne crois pas que vous soyez venus pour ĂȘtre vus. Je ne crois pas que vous ĂȘtes venus pour critiquer. Je crois que vous ĂȘtes venus parce que vous vous attendez Ă ĂȘtre guĂ©ris. Et vous croyez dans la guĂ©rison, nâest-ce pas? Vous croyez dans la guĂ©rison divine. Et la raison mĂȘme pour laquelle vous croyez dans la guĂ©rison divine, câest quâil y a quelque chose en vous qui vous fait croire dans la guĂ©rison divine.
Et nâest-ce pas le mĂȘme Saint-Esprit ce soir, sâIl a promis dâenvoyer ces choses dans les derniers jours? A-t-Il promis dâenvoyer ceci dans les derniers jours: «Et dans les derniers jours», dit Dieu? Comme Il avait promis dans Marc 16: «Allez par tout le monde...» Câest New York. Voyez? «PrĂȘchez la Bonne Nouvelle Ă toute la crĂ©ation. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Il lâa promis. Et aussi, Il a promis la pluie de la premiĂšre et de lâarriĂšre-saison. Et nous vivons maintenant, ça fait des annĂ©es, sous la pluie de lâarriĂšre-saison.
E-23 Et juste avant que Dieu ne rompe les relations avec les Juifs, Il a placĂ© neuf dons spirituels dans lâEglise. Et juste avant la fin de lâĂąge des Gentils, Il restaure dans lâEglise ces neuf dons spirituels, donnant Ă lâĂ©glise des Gentils son dernier appel avant de retourner vers IsraĂ«l.
Et maintenant, ce soir, pendant que ces dons sont promis et que vous ĂȘtes malade, ne pensez-vous pas que le Saint-Esprit vous a conduit ici ce soir juste comme Il avait conduit SimĂ©on vers JĂ©sus quand Il vint? Le mĂȘme Saint-Esprit conduisant... Le fait mĂȘme pour vous de croire dans la guĂ©rison montre quâil y a lĂ derriĂšre quelque chose qui vous fait croire dans la guĂ©rison.
Tenez, avant quâil soit créé un dĂ©sir dans votre coeur, il doit y avoir un CrĂ©ateur pour crĂ©er cette crĂ©ation-lĂ . Nâest-ce pas vrai?
En dâautres termes, câest comme ceci: avant quâil y ait une nageoire sur le dos dâun poisson, il devait premiĂšrement y avoir de lâeau pour quâil y nage, sinon, il nâaurait pas eu des nageoires. Voyez-vous ce que je veux dire?
Avant quâil y ait un arbre qui pousse sous terre, il a dĂ» y avoir premiĂšrement une terre oĂč il pousserait, sinon il nây aurait pas eu dâarbre.
Et si vous avez dans votre coeur le dĂ©sir dâĂȘtre guĂ©ri par la guĂ©rison divine, il doit y avoir une Fontaine de la guĂ©rison quelque part, sinon ce dĂ©sir-lĂ ne serait pas dans votre coeur.
E-24 Sâil y a un dĂ©sir dâadorer Dieu... MĂȘme les Hottentots et les Indiens dans les annĂ©es passĂ©es, ils adoraient des objets, car la crĂ©ation mĂȘme de... lâadoration Ă©tait dans leur coeur, et ils adorent quelque chose. Ils adoraient quelque chose comme leur CrĂ©ateur. Et cela montrait quâil y avait un CrĂ©ateur quelque part Ă adorer, un Dieu.
Sâil y a dans votre coeur une faim pour davantage de Dieu, il doit y avoir pour vous davantage de Dieu quelque part Ă trouver.
E-25 Ma mĂšre avait une superstition. Les petits enfants que je... elle nous a eus dix. Et quand les petits enfants Ă©taient... Ils avaient eu lâhabitude de se lĂ©cher les lĂšvres. Et elle disait quâils rĂ©clamaient de goĂ»ter quelque chose. Elle y mettait peut-ĂȘtre du sel. Cela ne marchait pas. Peut-ĂȘtre quâelle mettait un peu de miel, ça ne marchait pas. Peut-ĂȘtre un peu de pastĂšque, ça ne marchait pas. Mais peu aprĂšs, quand elle trouvait ce quâils voulaient goĂ»ter, eh bien, ils Ă©taient... On arrĂȘtait de se lĂ©cher les lĂšvres.
Eh bien, câĂ©tait peut-ĂȘtre une superstition. Mais ceci, quand il y a une faim de quelque chose dans le coeur humain, il doit y avoir Quelque Chose qui crĂ©e cette faim lĂ -dedans.
En dâautres termes, David a dit: «Quand la profondeur appelle la profondeur...» Et quand il y a une profondeur qui appelle, il doit y avoir une profondeur quelque part pour rĂ©pondre. Et sâil y a une profondeur qui appelle pour davantage de Dieu, pour la guĂ©rison, il doit y avoir une Fontaine de guĂ©rison et la puissance de Dieu quelque part pour rĂ©pondre. Croyez-vous cela? De tout mon coeur, je sais que câest la vĂ©ritĂ©. Et quand nous appelons, alors il y a en nous quelque chose qui nous dit quâil y a un Pays au-delĂ de la riviĂšre.
E-26 Jâai enseveli une femme et une enfant il y a quinze ans; je me tenais Ă la tombe quand, on dirait, tout cĂ©dait autour de moi, toute ma famille. Alors, on jetait des fleurs sur le cercueil de la petite enfant, morte quelques heures aprĂšs la mort de sa mĂšre. Et jâavais le coeur brisĂ©, je nâarrivais pas, on dirait, Ă supporter plus longtemps. Jâai entendu le prĂ©dicateur dire: «Tu es poussiĂšre, tu retourneras Ă la poussiĂšre. Tu es terre, tu retourneras Ă la terre. Tu es cendre, tu retourneras Ă la cendre.»
Et on dirait quâune brise parcourait les arbres, disant:
Il y a un pays au-delĂ de la riviĂšre,
Que nous appelons le doux au-delĂ ,
Nous atteignons ce rivage par la décision de la foi;
Un Ă un nous atteignons le portail,
Pour demeurer lĂ avec les immortels,
Un jour, les cloches dâor retentiront pour toi et pour moi.
E-27 [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]... quelque chose appelle, une profondeur. Il y a un lieu plus glorieux, un Pays meilleur. Voyez-vous ce que je veux dire? Je mâattends Ă ce que cela soit lĂ . Je mâattends Ă Dieu. Quand je priais dans la piĂšce il y a quelques instants, avant dâentrer dans la salle, on dirait que Quelque Chose Ă©tait venu sur moi, qui a dit que quelque chose allait se produire ici ce soir, une grande guĂ©rison spontanĂ©e. Je mây attends. Dieu a...
Jâose dire ceci Ă vos pasteurs. Vous dĂ©couvrirez quâau moins soixante Ă quatre-vingt pour cent de tous les malades dans cette salle seront guĂ©ris dans la prochaine heure. Je... Voyez, si ce nâest pas vrai, vous pouvez me coller lâĂ©tiquette de faux prophĂšte. Je sais de quoi je parle. Câest vrai.
E-28 Eh bien, jeâje crois cela. Jâai priĂ©, jâai demandĂ© Ă Dieu de bien vouloir se mouvoir sur les gens dans ce service, et que dâune façon ou dâune autre... En effet, je nâatteins quâun certain nombre. Mais jâai demandĂ© au PĂšre de bien vouloir juste... Et pendant que je priais, Quelque Chose dâapaisant est venu sur moi. Jâai alors su que Dieu allait exaucer ma priĂšre. Je ne sais pas ce qui arrivera, mais quelque chose va arriver qui vaâqui va accomplir cela. Jâaimerais que vous soyez constamment en priĂšre.
Remarquez donc. Quand vous vous attendez Ă quelque chose... SimĂ©on sâattendait Ă ce que JĂ©sus vienne pendant quâil Ă©tait vivant. Il sây attendait, et Dieu lâa rĂ©compensĂ© pour sa foi. Je mâattends Ă ce que Dieu guĂ©risse au moins soixante ou quatre-vingt pour cent de gens ici prĂ©sents ce soir, quâils soient parfaitement rĂ©tablis avant la fin de ce service. Je crois cela de toute mon Ăąme. Voyez? Je mây attends.
E-29 Daniel sâattendait Ă ce que Dieu le dĂ©livre de la fosse aux lions.
Les enfants hĂ©breux, quand ils sont entrĂ©s dans la fournaise ardente, ils ont dit: «Notre Dieu est capable...» Ils sâattendaient Ă ce que Dieu les dĂ©livre. Ils ont effectuĂ© le dernier pas avant quâIl vienne, mais Il est toujours tout au bout. JĂ©sus arrive Ă lâheure la plus sombre, câest alors que JĂ©sus vient. Ils sây attendaient.
La femme Ă la perte de sang avait une attente. Si elle pouvait toucher le bord de Son vĂȘtement, câĂ©tait terminĂ©. Quand elle toucha le bord de Son vĂȘtement, son attente fut comblĂ©e.
Si vous ĂȘtes venu ce soir, vous attendant Ă ĂȘtre guĂ©ri, vous serez guĂ©ri. Si vous ĂȘtes venu ce soir, vous attendant Ă trouver quelque chose Ă critiquer dans la rĂ©union, vous trouverez certainement cela. Vous obtenez ce pour quoi vous ĂȘtes venu. Câest vrai.
E-30 Remarquez. Lâaveugle BartimĂ©e avait une attente. Sâil pouvait arriver auprĂšs de JĂ©sus, il... ou attirer Son attention, il serait guĂ©ri. Alors, on cherchait Ă le faire asseoir, mais il criait de plus belle: «Toi, Fils de David, aie pitiĂ© de moi», car il savait que si jamais il pouvait attirer lâattention de JĂ©sus vers lui, il sâattendait Ă ce que JĂ©sus le guĂ©risse.
Si vous vous attendez Ă ĂȘtre guĂ©ri ce soir, vous serez guĂ©ri. Tout ce qui fait lâobjet de votre expectative...
Juste une pensĂ©e de ma vie intĂ©rieure... Je pars maintenant dâici peu pour traverser vers un autre pays. Ainsi, je vais vous raconter juste une petite chose. Il y a des choses qui se passent en rapport avec ceci, amis, que personne ne connaĂźt. Câest vrai. Je ne raconte pas auxâaux gens tout ce que Dieu dit. Tout le monde a cela dans sa vie. Câest votre affaire privĂ©e, entre Dieu et vous.
E-31 Mais ceci a Ă©tĂ© une chose glorieuse, si jamais je ne revenais pas. Je sens que Dieu a confirmĂ© et prouvĂ© que jâai dit la vĂ©ritĂ© Ă la nation, si jamais je ne revenais. Câest vrai. Il a scientifiquement prouvĂ© cela. Il a prouvĂ© cela Ă plusieurs reprises, que jâai dit la vĂ©ritĂ©. Cet Esprit conduit. Il accomplit des choses que... Souvent, dans ma chambre, jeâje peux ĂȘtre lĂ en train de prier et je vois des choses qui vont arriver dans des rĂ©unions, je rĂ©unis mes organisateurs et tout, et je leur annonce des choses qui vont arriver en plein dans la rĂ©union, des heures avant que cela arrive donc, des fois des semaines avant que cela arrive. Et certaines choses... Non pas que je sache ça, mais Dieu me le montre, et je sais que ça doit ĂȘtre ainsi. Je le crois.
E-32 Il nây a pas longtemps Ă Fort Wayne, nous tenions une rĂ©union, une rĂ©union glorieuse, lĂ oĂč Paul Rader avait lâhabitude de prĂȘcher, B.E. Rediger, beaucoup parmi vous connaissent ces prĂ©dicateurs de renommĂ©e nationale et internationale. Et jâĂ©tais dans une piĂšce quand on chantait Crois seulement, dans la piĂšce mĂȘme oĂč Paul Rader avait composĂ© le cantique, il y a quelques mois. Et nous restions Ă lâhĂŽtel Indiana. Souvent, on ne fait pas savoir aux gens lâendroit oĂč je reste.
Eh bien, câest ce qui mâest difficile, avoir Ă passer au milieu des gens que je sais quâils mâaiment. Et juste jeâje... Mon coeur les rĂ©clame Ă grands cris. Mais vousâvous... Il y en a beaucoup. Cela me soutire pratiquement la vie. Câest...
Quand ces vibrations frappent la main ici, parfois, observez mon frĂšre et les autres. Ils me surveillent. Ils savent quand jâen ai assez; ils vont me tenir et me faire vite quitter lâestrade. Parfois, amis, ça en est complĂštement fini de moi. On me fait circuler dans la ville pendant peut-ĂȘtre deux ou trois heures, essayant de me faire revenir Ă moi-mĂȘme. Cela mâĂ©puise complĂštement.
E-33 Vous pouvez penser que câest Ă©trange. Vous pouvez penser que câestâque câest drĂŽle, pour quelque chose comme cela, un don, mais cela vous Ă©puise. Cela vous vide. Ce nâest pas comme prĂȘcher lâEvangile, ou juste imposer les mains aux malades, câest un Etre Divin qui opĂšre au travers du corps dâun mortel. Jâai vu ma main gonfler tellement quâil me fallait la maintenir dans de lâeau chaude pendant pratiquement une heure pour quâelle rĂ©cupĂšre la sensibilitĂ©, aprĂšs des vibrations Ă©mises par des cancers hideux et autres, comme ça marche. Pratiquement, personne ne connaĂźt ces choses. Mes organisateurs et les autres le savent.
Mais je me rappelle, dans cette rĂ©union-lĂ , on avait dĂ©couvert oĂč je restais. Et le lendemain, eh bien, câĂ©tait pathĂ©tique de voir les gens.
E-34 Je me rappelle, dans une rĂ©union dans... lĂ dans une autre rĂ©union oĂč jâĂ©tais, jâavais tenu un service du soir, lĂ Ă Missouri, dans une ville bien vaste. Et quand jâai quittĂ© lâauditoire, câĂ©tait petit, juste environ... une assistance Ă peu prĂšs comme celle de ce soir. Je suis montĂ© au... au troisiĂšme Ă©tage. Jâai quittĂ© leâle tabernacle, ou lâauditorium, je suis montĂ© au troisiĂšme Ă©tage de lâhĂŽtel, et je me suis endormi juste un moment avec mes habits, en travers du lit. Et je devais rencontrer ma femme le lendemain au Poplar Bluff, et on avait une Ă©mission radiophonique, qui couvrait jusquâen Arkansas.
Et je me rappelle, pendant que jâĂ©tais couchĂ© lĂ , environ dix minutes, jâai entendu quelquâun frapper Ă la porte. Et quand je suis allĂ© Ă la porte, câĂ©tait le gĂ©rant de lâhĂŽtel. Il a dit: «Est-ce vous rĂ©vĂ©rend Branham?»
Jâai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Eh bien, monsieur Branham, il vous faudra quitter lâhĂŽtel.»
«Eh bien, ai-je dit, quâai-je fait, monsieur?»
Il a dit: «Eh bien, nous ne pouvons pas avoir ceci autour de lâhĂŽtel.»
Il a ouvert la porte et, amis, il y avait environ quatre files de ligne de priĂšre, depuis la porte jusque lĂ , dans le couloir, jusque dans la rue, des gens se suivaient lĂ . Et jâai jetĂ© un coup dâoeil lĂ . Il a dit...
Jâai dit: «Eh bien, je ne sais que faire, monsieur.»
Il a dit: «Vous descendez lâissue de secours, et je descendrai appeler un taxi pour vous. Il passera par lâallĂ©e et vous prendra.»
Je suis descendu lĂ et il neigeait. Jâai regardĂ© dehors, jâai vu ces vieilles petites mĂšres lĂ dehors tenant des histoires au-dessus de leurs enfants pour protĂ©ger leur visage de la neige; des gens appuyĂ©s sur des cannes, et ceux qui tremblaient de paralysie. Je ne pouvais simplement pas passer outre lĂ .
E-35 Je suis allĂ© lĂ dehors dans la rue et jâai commencĂ© une ligne de priĂšre. Ils ont contournĂ© la rue et ont commencĂ© Ă affluer. Et le Seigneur guĂ©rissait, ils jetaient leurs bĂ©quilles et autres, sâen allant en courant. Et les policiers Ă©taient partout lĂ , rĂ©glant la circulation. Nous avions passĂ© lĂ un glorieux moment, car les gens croyaient quâils seraient guĂ©ris.
E-36 Maintenant, Ă Fort Wayne, ils avaient dĂ©couvert lâhĂŽtel oĂč nous logions, lâIndiana Hotel. Et alors, en cette soirĂ©e-lĂ , nous nous sommes engagĂ©s Ă descendre. Nous nâarrivons simplement pas Ă sortir. CâĂ©tait vraiment plein de gens. CâĂ©tait terrible. Et alors, nous avions environ trois autres jours Ă passer lĂ .
Ainsi donc, le garçon dâhĂŽtel... Mon frĂšre a louĂ© les services dâun garçon dâhĂŽtel. Et il lui a indiquĂ© la voie par laquelle nous allions descendre et traverser le... passer par la piĂšce abritant le systĂšme de rĂ©chauffement et sortir dans lâallĂ©e. Ainsi donc, câĂ©tait difficile Ă faire. Mais on mâa fait descendre, on a continuĂ© vers le lieu des rĂ©unions, on a remontĂ© lâallĂ©e, ma femme et lâune des infirmiĂšres de chez les Mayo qui avait Ă©tĂ© guĂ©rie du cancer. Et elle Ă©tait avec nous.
Ainsi donc, ellesâelles mâamenaient prendre un petit-dĂ©jeuner, et je mangeais dans un petit restaurant appelĂ© Toddle House, je pense que câĂ©tait ça. Et... Non, câest Hobbâs House. Et un matin, nous descendions, le deuxiĂšme matin; jâavais relevĂ© mon manteau pendant que nous descendions la rue, et je portais ma fillette. Et tout dâun coup, le Saint-Esprit est descendu. Croyez-vous dans la conduite de lâEsprit? Et jâai donnĂ© lâenfant Ă ma femme, et elle a dit: «Quây a-t-il, chĂ©ri?»
Jâai dit: «Le Saint-Esprit me conduit.»
E-37 Et jâai senti lâAnge du Seigneur... Vous avez vu la photo. Cela est simplement descendu. Et faites simplement ce quâIl ordonne. Et je pensais que nous nous dirigions droit au Hobbâs House, nous Ă©tions Ă peu prĂšs Ă un pĂątĂ© de maisons de lĂ . Et lâEsprit du Seigneur a dit: «Tourne Ă ta gauche.»
Et je suis descendu, jâai simplement continuĂ© Ă marcher. Elles me suivaient. Et je me suis arrĂȘtĂ© Ă une place appelĂ©e CafĂ©tĂ©ria Miller. Je suis descendu au sous-sol, on dirait, lĂ oĂč se trouvait la cafĂ©tĂ©ria. Et aussitĂŽt... Jâai commandĂ© des pruneaux, je pense, et du pain grillĂ©, je me suis assis pour manger. Alors, jâai entendu quelquâun dire: «Gloire au Seigneur.»
Jâai regardĂ© lĂ , une dame venait de se lever, les larmes lui coulant sur les joues. Et madame Morgan, lâinfirmiĂšre, a dit: «Voyez? Vous vous ĂȘtes fait prendre maintenant.» Voyez?
Et jâai dit: «Juste un instant.»
La dame sâest avancĂ©e, elle a dit: «FrĂšre Branham, a-t-elle dit, je vous ai suivi rĂ©union aprĂšs rĂ©union.» Elle a dit: «Jâai un frĂšre ici. Son coeur est perforĂ© au niveau du diaphragme.» Elle a dit: «Rien ne peut ĂȘtre fait pour lui.» Elle a dit: «Il ne peut vivre quâun petit moment de plus.» Elle a dit: «Nous avons vendu nos biens pour suivre. Nous avons fait tout notre possible pour entrer dans la ligne. Nous avons reçu des cartes, mais elles nâont jamais Ă©tĂ© appelĂ©es.» Et elle a dit: «Nous sommes Ă court dâargent et tout.» Elle a dit: «Nousânous ne pouvons rien faire.» Elle a dit: «Jâai priĂ© toute la nuit.» Elle a dit: «Ce matin, jâĂ©tais Ă genoux Ă cĂŽtĂ© du lit, Ă lâhĂŽtel, et je me suis endormie.» Et elle a dit: «Jâai vu en songe que je devais venir ici Ă la cafĂ©tĂ©ria Miller Ă neuf heures.» Jâai regardĂ© ma montre, il Ă©tait bien exactement... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
E-38 Croyez-vous au fait dâĂȘtre conduit? Câest le Saint-Esprit qui avait conduit SimĂ©on. Ceci est donc la vie intĂ©rieure. Et jâai dit: «Faites venir votre frĂšre ici.»
Eh bien, en un instant, le Seigneur lâa guĂ©ri. Il criait et pleurait. Il a dit: «Je ne me suis jamais senti comme ceci depuis que jâĂ©tais un petit garçon.»
Ils Ă©taient sortis du bĂątiment, je me suis rassis pour manger, et Quelque Chose mâa simplement fait me lever. Je suis sorti, ma femme et les autres mâont suivi. AussitĂŽt que jâavais franchi la porte, jâai entendu quelquâun dire: «Oh! Dieu merci.» Une petite femme habillĂ©e en noir. Elle sâest agenouillĂ©e dans la rue. Elle sâest mise Ă pleurer. Et jâai dit: «Levez-vous, soeur.»
Elle sâest levĂ©e. Elle a dit: «FrĂšre Branham.» Elle venait de Chicago. Elle a dit: «Jâai le cancer de sein.» Elle a dit: «Jâai fourni tous mes efforts pour vous atteindre, partout.» Elle a dit: «Je nây arrive pas.» Et elle a dit: «Ce matin, je commençais Ă manger. Et je pleurais, car il me fallait rentrer chez moi.» Elle a dit: «LâEsprit du Seigneur a dit: âVa te tenir devant la cafĂ©tĂ©ria Miller Ă neuf heures dix.â»
E-39 La chose Ă©tait lĂ . Je lâai rencontrĂ©e lĂ dans lâArkansas lâautre jour, criant simplement; il y a de cela des semaines. Elle a dit: «Le tout... tout a disparu. Câest parti.»
Et je mâengageais Ă descendre la rue. Je mâengageais... Ma femme a dit: «Ne vas-tu pas manger?»
Jâai dit: «Non. LâEsprit du Seigneur est en train de conduire.»
Et jâai traversĂ© la rue. Je me dirigeais vers un drugstore pour acheter quelques petits livres de coloriage. Nous devions garder lâenfant enfermĂ©, une fillette de trois ans, dans une piĂšce toute la journĂ©e, avec nous. Ainsi, je passe mon temps dans la priĂšre. Câest ainsi que je connais ces choses, câest en priant, en priant.
Alors que je mâengageais pour traverser la rue, Quelque Chose a dit: «ArrĂȘte-toi.»
Jâai dit: «Oh! la la!» Je me suis retournĂ©.
Ma femme a dit: «OĂč vas-tu?»
Jâai dit: «Vous toutes, allez droit Ă lâhĂŽtel. Il a autre chose Ă faire pour moi.» Alors, jâai reculĂ© au coin pour voir les moulinets (jâaime la pĂȘche et tout), jâai reculĂ© lĂ , pour me rassurer que personne ne me regardait, et jâai inclinĂ© la tĂȘte et jâai dit: «PĂšre, que veux-Tu que je fasse?»
Et je me tenais lĂ . Pas juste imaginer donc. Jâai entendu une Voix dire: «Va au coin.»
E-40 Je suis descendu au coin, de lâautre cĂŽtĂ© de la rue. Je me suis tenu lĂ , et on sâest mis Ă siffler, et la circulation allait reprendre dans la rue. Alorsâalors, ils sont passĂ©s lĂ suivant les feux. Etâet je me tenais lĂ depuis environ dix minutes. Et jâai simplement continuĂ© Ă me tenir lĂ . Peu aprĂšs, un autre coup de sifflet a retenti, un groupe de gens a traversĂ© la rue, tout aussi occupĂ©s que possible.
Jâai vu une dame en petite robe Ă carreaux venir derriĂšre. Elle portait un petit... canadien...?... Elle portait un porte-monnaie sur le bras. Elle a traversĂ© la rue, et lâEsprit du Seigneur a dit: «Approche-toi dâelle.»
Et je me suis directement avancĂ© vers elle comme cela, et elle est passĂ©e Ă cĂŽtĂ©, regardant par terre, elle est passĂ©e Ă cĂŽtĂ© de moi. Eh bien, je me suis dit: «Câest Ă©trange. Peut-ĂȘtre que Dieu a simplement fait quelque chose lĂ que je nâai pas reconnu.»
E-41 Elle a fait environ quinze pieds [4,5 m]. Elle sâest retournĂ©e et a regardĂ© comme cela. Elle a dit: «Oh! FrĂšre Branham.» Et elle a ditâelle a dit: «Oh!...» Elle sâest simplement mise Ă se taper. Elle a dit... Oh! Elle ne savait pas ce qui Ă©tait arrivĂ©.
Jâai dit: «Quel est le problĂšme, soeur?»
Elle a dit: «Je viens du Canada.» Elle a dit: «Jâai dĂ©pensĂ© tout lâargent que jâavais. Ma rente sâĂ©lĂšve juste Ă cent cinquante dollars.» Elle a dit: «Jâai une main atrophiĂ©e.» Elle a dit: «Jâai passĂ© la nuit derriĂšre dans un couloir, jâavais cinq cents pour le cafĂ© ce matin.» Elle a dit: «Jâallais ici sur la route faire de lâautostop et retourner chez moi.» Une jeune femme, dâenviron trente ans. Elle a dit: «Je descendais ici Ă environ deux pĂątĂ©s de maisons, et Quelque Chose mâa dit: âTourne de ce cĂŽtĂ©-ci.â»
Oh! la la! La chose Ă©tait lĂ . Jâai dit: «Tendez-moi la main, soeur.»
Et sa main sâest Ă©tendue lĂ . Et ce gros policier irlandais qui se tenait lĂ , regardait. Il a dit: «Je vous connais, FrĂšre Branham.»
Et il est venu en courant. Oh! la la! Une foule de gens, lĂ . On a dĂ» chercher une Ă©quipe pour quitter. Tout le monde lĂ , un service de guĂ©rison. Le Seigneur Ă lâoeuvre.
E-42 Dieu conduit. Vous croyez cela, nâest-ce pas? Câest vrai. Il nây a pas longtemps, jâĂ©tais de retour dâune rĂ©union, je sortais. Cela est arrivĂ© dansâdans ce... Ă Camden, dans lâArkansas. Je sortais dâune rĂ©union. Et, juste voir comment le Seigneur traite.
Dâabord, juste avant que jâaie enlevĂ© mon uniforme. JâĂ©tais garde-chasse de lâIndiana il y a trois ans. Et Ă ... Juste avant que jâaie enlevĂ© mon uniforme... Le Seigneur mâavait appelĂ©, Il mâĂ©tait apparu, lâAnge du Seigneur, je vous ai racontĂ© comment cela Ă©tait arrivĂ©.
E-43 Alors, je descendais (ma fillette venait de naĂźtre), je descendais lui acheter des tĂ©tines de biberon pour son thĂ© Ă lâherbe aux chats, ou je ne sais pas comment on appelle cela. Et jâavais un chĂšque de vingt-huit dollars que jâallais toucher. Et je suis entrĂ©... Alors, un bus sâest arrĂȘtĂ© lĂ sur la rue Spring, dans la petite ville oĂč jâhabitais. Jâai remarquĂ© un homme au comportement Ă©trange en descendre et il mâa regardĂ©. Je suis entrĂ© dans le drugstore, jâai touchĂ© le chĂšque, etâet jâai achetĂ© les tĂ©tines de biberon, puis je suis revenu. Et quand je quittais la rue, quelquâun a posĂ© sa main sur moi. Je me suis retournĂ©. Il a dit: «Monsieur, je vois que vous ĂȘtes un agent dâun service public.»
Et jâai dit: «Oui, monsieur. Je travaille pour le service de la conservation de la nature de lâIndiana.»
Il a dit: «Comme vous ĂȘtes un agent de service public, jâaimerais vous poser une question.»
Jâai dit: «Oui, monsieur.»
Et il a dit: «Je ferais mieux de vous raconter dâabord.» Il a dit: «Maâma santĂ© se dĂ©tĂ©riore depuis environ deux ans.»
E-44 Et lâAnge mâĂ©tait apparu il y avait environ quatre ou cinq jours avant cela, et Il mâavait parlĂ© de ceci. Et il a dit... ou du don. Et il a dit: «JâĂ©tais... jâhabite Ă Paducah, dans le Kentucky.» Il a dit: «Hier soir, jâai eu un drĂŽle de songe.» Il a dit: «Jâai vu un Ange descendre du Ciel. Et Il est descendu, Il mâa dit de venir dans cette ville de Jeffersonville et de chercher quelquâun du nom de Branham pour quâil prie pour moi.» Il a dit: «Pourriez-vous savoir oĂč serait quelquâun ici, nâimporte qui, du nom de Branham?»
Oh! la la! Mon coeur semblait bien ĂȘtre gros comme ça. Et jâai dit: «Ma mĂšre gĂšre une pension juste au coin.»
Il a dit: «Vous ĂȘtes...»
Jâai dit: «Ma mĂšre.»
Il a dit: «Est-ce que votre nom, câest Branham?»
Jâai dĂ» lui passer mes bras. Jâai dit: «FrĂšre, venez ici au coin.» Et jâai commencĂ© Ă lui raconter ce qui Ă©tait arrivĂ©. Alors, il sâest mis Ă pleurer. Nous nous sommes agenouillĂ©s lĂ dans la rue, lĂ mĂȘme dans la rue, et jâai priĂ© pour lui. Et quand je me suis relevĂ©, les gens retenaient leurs enfants, avaient ĂŽtĂ© leurs chapeaux par respect, lĂ dans la rue. Et Dieu est descendu des Cieux et Il lâa guĂ©ri lĂ .
E-45 Quelques semaines plus tard, je sortais dâun bĂątiment, et jâai entendu quelquâun crier: «PitiĂ©, pitiĂ©!»
Quatre policiers me faisaient sortir, me faisant traverser la foule. Des milliers de gens mâentouraient. Et la veille au soir, lâAnge du Seigneur Ă©tait entrĂ© directement dans la salle oĂč jâĂ©tais, Il Ă©tait descendu. Il y avait lĂ des boiteux, des estropiĂ©s, des aveugles et tout. Jâessayais dâexpliquer, amenant les gens Ă croire cela. Je disais: «Ne pouvez-vous pas croire?» Je disais: «Je vous ai dit la vĂ©ritĂ©.» Et je disais: «Câest la vĂ©ritĂ©.»
Mon frĂšre passe Ă cĂŽtĂ© me rappeler le temps. Je sais que je parle trop. Câest vrai. Mais jeâje vous aime, et jeâje veux... Et jâaimerais vous raconter ceci de toute façon.
Et il y avait un... Quand je suis arrivĂ© lĂ sur leâsur le lieu, je parlais, je leur parlais de lâEsprit du Seigneur. Et juste en ce moment-lĂ , Il est entrĂ© par la porte de devant, Il est arrivĂ© lĂ . Jâai dit: «Je nâaurai plus Ă parler. Il est ici Lui-mĂȘme.»
E-46 Et Il a directement parcouru la salle comme ça. Il a tournoyĂ© lĂ oĂč jâĂ©tais, comme cela. Et les aveugles, les sourds, les muets et tout le reste, Ă©taient juste... se levaient et marchaient dans la salle en glorifiant Dieu.
Le lendemain, quatre agents de police me faisaient sortir dâuneâdâune Ă©glise oĂč je parlais. Je sortais du bĂątiment, et jâai entendu quelquâun crier: «PitiĂ©, pitiĂ©, pitiĂ©!»
Et jâai regardĂ© lĂ ; un vieil homme de couleur aveugle se tenait Ă lâĂ©cart de la foule, une petite couronne de cheveux blancs tout autour de sa tĂȘte, portant un bonnet, criant: «PitiĂ©, pitiĂ©!»
Il ne pouvait pas se tenir avec des blancs, évidemment. Et il criait comme cela. Et je partais, alors Quelque Chose est entré en action et a dit: «Va là -bas.»
Et jâai dit: «Allons lĂ oĂč se trouve cet homme-lĂ .»
Et il a dit... lâagent de police a dit: «Oh! FrĂšre Branham, vous ne pourrez pas imposer votre main Ă cet homme-lĂ .» Il a dit: «On vous arrĂȘterait.» Il a dit: «Vous ne pouvez pas faire cela; vous ĂȘtes en Arkansas.»
Jâai dit: «Eh bien, regardez. Mais le Saint-Esprit me dit dâaller lĂ ...»
Il a dit: «Vous provoqueriez une émeute raciale.» Il a dit: «Vous ne pouvez pas faire cela. Ici, on est au Sud.»
Et jâai dit: «Je nây peux rien, oĂč que ce soit. Le Seigneur me dit dâaller ici, et je...»
E-47 Ils mâont accompagnĂ©. Ils ont formĂ© un cercle autour. Et je nâoublierai jamais. Jâai entendu sa femme dire: «ChĂ©ri, le pasteur vient vers toi, le pasteur.»
Et alors, jâai quittĂ©, je me suis avancĂ© lĂ oĂč il Ă©tait. Et il a dit: «Estâestâestâestâest-ce vous, pasteur Branham?» Il a dit: «Puis-je tĂąter votre visage?» Et il a placĂ© ses vieilles mains tremblantes sur mon visage.
Jâai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Pasteur Branham, pouvez-vous écouter juste un instant mon histoire?»
Jâai dit: «Oui, monsieur. Allez directement de lâavant.»
Et les gens cherchaient Ă percer, mais les autres se tenaient les bras, empĂȘchant les gens. Et il a dit: «Pasteur Branham, a-t-il dit, ma vieille mĂšre avait une âligion comme la vĂŽtre.» Une âligion comme la vĂŽtre. Il a dit: «Elle ne mâa jamais dit un mensonge de toute sa vie.» Il a dit: «Elle est morte voici maintenant dix ans.» Il a dit: «Cela fait environ huit ans que je suis devenu aveugle.» Et il a dit: «Hier soir, a-t-il dit, je nâavais jamais entendu parler de vous de ma vie.» Et il a dit: «Hier soir, vers vingt heures, a-t-il dit, jâhabite Ă quelque cent cinquante miles [240 km] dâici.» Il a dit: «Ma vieille mĂšre se tenait juste Ă cĂŽtĂ© de mon lit. Et elle a dit: âMon enfant chĂ©ri, descends Ă Camden, en Arkansas, et cherche quelquâun du nom de pasteur Branham, et tu recouvreras la vue.â»
Oh! la la! Jâai simplement imposĂ© ma main sur son pauvre vieux visage ridĂ© et noir. Jâai dit: «Seigneur JĂ©sus, je ne comprends pas ceci. Mais je rĂ©clame sa vue en Ton Nom.»
Et alors que je faisais descendre ma main, amis, Dieu me jugera à la barre du Jugement, et alors que je faisais descendre les mains, les larmes ont commencé à couler sur ses joues. Il a dit: «Chérie, je vois.»
Elle a dit: «ChĂ©ri!» Elle sâest mise Ă crier, disant: «Peux-tu voir?»
Il a dit: «Chuuu, câest une voiture rouge qui est parquĂ©e juste lĂ .» Il a dit: «LĂ se tient pasteur Branham.» Et il criait comme cela. Et il Ă©tait lĂ , parfaitement guĂ©ri.
E-48 Il y a quelques mois, je revenais de Dallas, mon avion avait Ă©tĂ© clouĂ© au sol. Je vais vous raconter ceci avant de partir. Mon avion Ă©tait co-... clouĂ© au sol Ă Memphis, dans le Tennessee. Je suis restĂ© toute la nuit et, le lendemain matin, on nous a appelĂ©s pour dire que lâavion dĂ©collerait Ă neuf heures.
Et je suis descendu. Jâavais rĂ©pondu Ă certaines lettres, jâallais Ă la poste, tenant ma mallette. Je descendais Ă la poste pour expĂ©dier les lettres, et je descendais la rue en chantant ce petit cantique que vous, les pentecĂŽtistes, vous chantez: Je suis si heureux de dire que je suis lâun dâentre eux. Nâest-ce pas ça? Quelque chose au sujet des gens, racontant partout. Jâessayais de chanter cela, vous savez. Et jâallais traverser la rue, alors Quelque Chose mâa dit: «ArrĂȘte-toi.»
E-49 Jâai repris, et jâai compris que CâĂ©tait lâEsprit du Seigneur. Jâai reculĂ© dans le coin dâune banque. Jâai dit: «PĂšre, que veux-Tu que je fasse?»
Il a dit: «Fais demi-tour.»
Je suis descendu, passant Ă cĂŽtĂ© de lâhĂŽtel, jâai continuĂ© Ă marcher, chantant, pour moi-mĂȘme: Crois seulement, tout est possible... Conduit par lâEsprit, je suis allĂ© lĂ loin prĂšs de la riviĂšre, vers de petites cabanes des hommes de couleur, lĂ -bas Ă la riviĂšre... Et je descendais. Il a dit: «Tourne maintenant Ă ta droite.»
Je descendais une petite colline, comme ceci. CâĂ©tait un bon matin, le soleil montait, les fleurs Ă©taient en floraison Ă Memphis. Et jâĂ©tais... Le soleil se levait au-dessus de la colline, et il avait plu la veille au soir; ainsi donc, il faisait tout beau lĂ dans le Sud. Alors, jâai regardĂ©, il y avait un genre de tante Jemima appuyĂ©e sur le portail. Elle avait un... Au lieu de... Elle avait nouĂ© une chemise dâhomme autour de la tĂȘte. Elle regardait par-dessus le portail. Je venais en marchant, faisant... [FrĂšre Branham fredonne.âN.D.E.], descendant la rue, en regardant, me demandant oĂč le Seigneur me conduisait. Elle regardait, elle avait des larmes sur ses grosses joues grasses. Elle a dit: «Bonjour, pasteur.»
Jâai dit: «Bonjour, tantine.» Cela mâavait frappĂ©: «Pasteur?» Je me suis retournĂ©, jâai dit: «Me connaissez-vous?»
Elle a dit: «Oui, monsieur.»
Et jâai dit: «Connaissez-vous mon nom?»
Elle a dit: «Non, monsieur.»
Jâai dit: «Comment avez-vous su que je suis pasteur?»
Elle a dit: «Pasteur, a-t-elle dit, avez-vous dĂ©jĂ lu au sujet de la femme sunamite qui avait eu un enfant avec... Le Seigneur lui avait promis un enfant, et lâenfant Ă©tait mort?»
Et jâai dit: «Oui.»
Elle a dit: «JâĂ©tais ce genre de femme. Jâavais promis au Seigneur dâĂ©lever mon enfant pour Lui.» Et elle a dit: «Le Seigneur nous a donnĂ©, Ă mon mari et moi, un beau garçon.»
Elle a dit: «Pasteur, il a pris une mauvaise voie quand il avait environ... il y a quelques annĂ©es.» Elle a dit: «Il a attrapĂ© uneâune maladie dangereuse, une maladie vĂ©nĂ©rienne.» Et elle a dit: «Cela sâest beaucoup dĂ©veloppĂ© en lui, nous nâavions pas soupçonnĂ© cela.» Et elle a dit: «Et maintenant, il est couchĂ© dans la piĂšce, mourant.» Elle a dit: «Le mĂ©decin lui a administrĂ© toutes sortes de piqĂ»res.» Et elle a dit: «Il nâarrive pas Ă se rĂ©tablir.» Et elle a dit: «Il est inconscient depuis hier. Le mĂ©decin Ă©tait revenu ici, il a dit: âAttendez-vous au pire Ă tout moment.â Il nây a pas dâespoir pour lui. Son sang Ă©tait quatre plus, et rien ne pouvait lâaider, pas du tout.» Et elle a dit: «Il se meurt.»
Et elle a dit: «Je me suis agenouillĂ©e.» Et elle a dit: «Jâai priĂ©.» Elle a dit: «Jâai priĂ©: âĂ Seigneur, a-t-elle dit, je suis une femme comme la Sunamite. OĂč est Ton Elie?â Et je me suis juste mise Ă prier, a-t-elle dit, jâai priĂ© et priĂ©.» Et elle a dit: «Ce matin, juste avant lâaube, a-t-elle dit, le Seigneur a dit: âTiens-toi Ă ce portail-ci.â»
E-50 Et là , son dos était mouillé, de se tenir là . Elle ne me disait rien de faux. Elle a dit: «Et regardez.»
Oh! la la! Je me suis mis Ă ... Je suis entrĂ© dans la maison. Il y avait un grand gaillard costaud. Et elle lâa tapotĂ©. Il Ă©tait couchĂ© lĂ , tenant uneâtenant une couverture en main, faisant: «Hum, hum, hum», comme ça. Et il disait: «Maman, il fait trĂšs sombre. Hum! Je ne sais oĂč je vais, maman», comme cela.
Elle a dit: «Mon enfant chéri, reconnais-tu maman?»
Mon enfant chĂ©ri! Il Ă©tait... Evidemment, peu importe votre Ăąge, vous ĂȘtes lâenfant de votre mĂšre, malgrĂ© tout. Peu importe ce que vous avez fait, vous ĂȘtes toujours le fils de votre mĂšre.
Et elle était là , le tapotant et le chérissant. Elle a dit: «Reconnais-tu maman?» Elle disait: «Reconnais-tu maman?»
Il ne semblait pas la reconnaĂźtre. Il criait: «Maman», continuant sans cesse; il Ă©tait dans un Ă©tat dâinconscience, on dirait.
Et alors, elle a dit: «Pouvons-nous prier, pasteur?»
Jâai dit: «Oui, madame.»
E-51 Alors, cette vieille sainte sâest agenouillĂ©e et a priĂ©. Oh! la la! Ăa vous pince simplement le coeur. Je me suis relevĂ©, et jâai touchĂ© ses pieds. Ils Ă©taient froids et collants; la mort Ă©tait sur lui. Et alors, nous nous sommes encore agenouillĂ©s et on sâest mis Ă prier. Et jâai dit: «Dieu bien-aimĂ©, je ne sais pourquoi Tu mâas envoyĂ© ici. Mais Tu mâas fait faire demi-tour sur la route comme cela, Tu mâas amenĂ© ici. Et je sais que le temps de prendre lâavion est passĂ©.» Cependant, lâavion avait un retard de deux heures. Alors, jâai dit: «Jeâje ne sais pourquoi Tu mâas amenĂ© ici. Mais maintenant, par obĂ©issance Ă la conduite de lâEsprit, jâimpose les mains Ă ce garçon au Nom de Ton Fils, JĂ©sus-Christ.»
Il a dit: «Maman, il fait clair.»
Quelques instants aprĂšs, il sâĂ©tait levĂ© et Ă©tait sur ses pieds. Je suis passĂ© par lĂ il y a quelques mois. Il mâa rencontrĂ© Ă la gare Abbey. Il a dit: «FrĂšre Branham, je suis parfaitement rĂ©tabli maintenant. Et tout cela mâa quittĂ©.»
E-52 Oh! FrĂšre, soeur, le Dieu mĂȘme qui avait conduit SimĂ©on est ici ce soir. Câest vrai. Il peut conduire ceux-lĂ mĂȘmes... Heure aprĂšs heure, je peux tĂ©moigner.
Mais regardez. Au mĂȘme moment, il y eut une vieille prophĂ©tesse aveugle du nom dâAnne. Regardez-la. Quand SimĂ©on a pris lâEnfant JĂ©sus, Ă©tant conduit par le Saint-Esprit, allant droit vers Lui... Ne croyez-vous pas que câest le mĂȘme Saint-Esprit ce soir?
Et regardez, une vieille femme aveugle, Anne, se faufilait Ă travers la foule, se frayant un chemin dans la foule. Personne ne lui en avait parlĂ©. Mais elle alla droit lĂ oĂč Il Ă©tait, leva les mains et bĂ©nit Dieu. Le Saint-Esprit lâavait conduite au milieu des gens.
E-53 Il guide le poisson dans des eaux sans chemin, des oiseaux dans lâair sans chemin. Oh! la la! Il peut guider Son peuple, si seulement vous Le laissez faire. Nous sommes conduits par lâEsprit de Dieu. Nous sommes ici, nous attendant Ă ce que Dieu fasse quelque chose ce soir. Et je crois quâIl est ici maintenant pour faire quelque chose en ce moment-ci, guĂ©rir les malades.
PĂšre, nous Te remercions pour Ton Esprit et Ton amour. Je mâattends ce soir, PĂšre, Ă Te voir Te mouvoir sur les coeurs des gens et leur faire voir Ton divin programme, conduire les gens que Tu as appelĂ©s en ce jour-ci. Et je crois, PĂšre, que Tu vas faire sâaccomplir ce soir ce que Tu mâas rĂ©vĂ©lĂ©, que plusieurs malades vont ĂȘtre guĂ©ris ce soir. Accorde-le, PĂšre. Exauce la priĂšre de Ton humble serviteur. Car je le demande au Nom de JĂ©sus. Amen.
E-54 Pendant que je me mets Ă prier, priez avec moi, sâil vous plaĂźt, et priez pour moi. Les frĂšres formeront la ligne de priĂšre. Et priez avec moi. Combien feront cela pour moi, car lorsque je sors, je... sâIl mâoint quand je reviendrai. Peut-ĂȘtre que je ne serai pas en mesure de beaucoup parler. Mais, voyez, amis, je ne peux pas compter sur moi-mĂȘme. Je dois compter sur Cela. Je ne dis rien; câest Cela qui parle.
Maintenant, regardez. Quand Dieu fait quelque chose Ă lâestrade, vous tous, croyez cela. Ceci nâest rien que pour montrer lâattitude de Dieu. Si cela peut sâaccomplir une fois, cela devrait ĂȘtre une preuve pour vous tous que JĂ©sus est ici pour faire cela. Est-ce vrai?
MoĂŻse Ă©tait un prophĂšte envoyĂ© de Dieu. Il avait deux signes pour montrer aux gens quâil Ă©tait... quâil avait le Message de Dieu. Et quand il a accompli ces deux signes, les gens lâont cru. Il nâavait plus jamais eu Ă accomplir cela davantage; les gens lâavaient cru.
Et si je venais vers vous comme cela, et que je posais des questions sur ces choses, ne croiriez-vous pas de tout votre coeur? Si je pouvais accomplir les signes que Dieu mâa promis dâaccomplir, alors vous tous, vous devriez croire de tout votre coeur. Nâest-ce pas vrai? Câest vrai.
E-55 Eh bien, avant mĂȘme que je monte Ă lâestrade, ou que jâaille prier pour les gens, jâaimerais que vous croyiez. Alors, quand vous verrez ces choses se passer, jâaimerais que chacun de vous me promette ceci: que vous ferez exactement ce que Dieu ordonne.
Je Lui ai demandĂ© de laisser cet Ange oint, qui vient vers moi, se mouvoir au-dessus de cette assistance et de toucher lâun et puis lâautre, comme cela, et de les guĂ©rir ce soir pendant que le service est en cours. Je vais demander. Je Lui ai demandĂ© de faire cela. Et je crois quâIl le fera. Je le crois de tout mon coeur. Croyez aussi, et que Dieu vous bĂ©nisse. [LâassemblĂ©e chante: Crois seulement.âN.D.E.]
E-56 Inclinons la tĂȘte juste un instant. Ă PĂšre, aide-nous maintenant Ă recevoir Ton Fils bien-aimĂ© et Sa promesse, sachant que Son Esprit est parmi nous ce soir. Et je Te demande de guĂ©rir chaque personne malade dans la salle. Je le demande par le Nom de JĂ©sus-Christ. Amen. Maintenant, vous pouvez vous asseoir si vous le voulez.
E-57 Que tout le monde soit trĂšs respectueux. Et maintenant, il peut y avoir des Ă©trangers qui nâont pas encore entendu parler comment lâEsprit de Dieu qui mâa donnĂ© ce ministĂšre opĂšre. Cela mâa Ă©tĂ© donnĂ© par un Ange Ă ma naissance. Cela sâest manifestĂ© il y a trois ans. Cela mâa toujours suivi, Cela me faisait savoir que Cela Ă©tait proche. Puis, Cela est venu vers moi, CâĂ©tait un Homme. Il a Ă©tĂ© vu dans des rĂ©unions plusieurs fois. Câest un Homme grand et costaud, dâenviron 200 livres [90,7 kg], aux cheveux noirs tombant sur Ses Ă©paules. Il a tĂ©moignĂ© quand Il est arrivĂ©, Il a dit: «Je suis envoyĂ© de la PrĂ©sence de Dieu pour te dire que ta naissance et ta vie, câest pour montrer que tu dois amener un don de guĂ©rison aux peuples du monde.» Et Il sâest mis Ă me dire diffĂ©rentes choses qui arriveraient.
Je Lui ai dit que je nâĂ©tais pas instruit et que je ne pouvais pas aller. Il mâa dit quâil me serait donnĂ© deux signes.
Jâai dit: «Les gens ne me croiront pas, car je ne suis pas assez instruit pour leur parler.»
Il a dit: «Il te sera donnĂ© deux signes, comme il en a Ă©tĂ© donnĂ© au prophĂšte MoĂŻse.» Il a dit: «Un signe sera que tuâtu dĂ©tecteras les maladies par ta main. Quand les gens entreront en contact avec toi, eh bien, tu pourras leur rĂ©vĂ©ler les maladies dont ils souffrent par un discernement spirituel.» Et puis, Il a dit: «Si tu es sincĂšre, il arrivera alors que tu rĂ©vĂ©leras aux gens les secrets de leurs coeurs et les choses quâils ont faites dans leur vie, qui ont peut-ĂȘtre empĂȘchĂ© leur guĂ©rison, et tout.»
E-58 Et jâai dit: «Je vais... Jeâje suis... Ils ne me croiront pas.»
Il a dit: «Je serai avec toi.»
Alors, jâai dit: «Jâirai.»
Et la LumiĂšre sâest mise Ă se condenser dans la piĂšce, Elle est montĂ©e... LâAnge est montĂ© dans la LumiĂšre, formant une LumiĂšre trĂšs sacrĂ©e, comme Ce que vous voyez sur la photo, et Il sâen est allĂ©. Il revient soir aprĂšs soir, et Il entre dans des rĂ©unions.
Je ne prĂ©tends pas... Afin que tout le monde sache avec certitude, je ne prĂ©tends pas ĂȘtre un GuĂ©risseur divin. Les journaux et autres appellent Cela comme ça, mais câest une erreur. Personne ne peut guĂ©rir, mĂȘme pas JĂ©sus. JĂ©sus ne prĂ©tendait pas ĂȘtre un GuĂ©risseur divin. Il disait: «Ce nâest pas Moi qui fais les oeuvres, câest Mon PĂšre qui demeure en Moi; câest Lui qui fait les oeuvres.»
Aucun mortel ne peut donc sâattribuer le mĂ©rite de la guĂ©rison divine. Ainsi donc, si Lui nâa pas pu sâattribuer le mĂ©rite de la guĂ©rison divine, alors certainement que moi, je ne le ferai pas. Aucune chair ne peut se glorifier; cela vient par lâEsprit de Dieu. Câest Lui le GuĂ©risseur.
E-59 Mais jeâje... Cela dĂ©tecte les maladies et diffĂ©rentes choses qui arrivent, qui se passent dans la vie des gens, et parfois sâils sont... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] ...?... Eh bien, cela dĂ©nonce et leur fait savoir quâils sont des pĂ©cheurs. Sâils ont un pĂ©chĂ© secret dans leur vie, non confessĂ©, rappelez-vous, Cela le dĂ©noncera; etâet Cela vous en parlera.
Et câest donc la raison pour laquelle, quand les gens viennent, parfois quand ils, disons, ils viennent vers moi lorsque je ne suis pas sous lâonction, ils disent: «Oh! Jeâjeâje suis un croyant, FrĂšre Branham.» Je les crois sur parole. Mais sous lâonction, vousâvous percevez clairement quâils sont ici en bas; vous devez monter ici en haut, Ă ce niveau-ci, disons, si je lâillustre. Voici le don ici en haut, et vous venez en croyant que vous ĂȘtes ici en haut; cela ne fait pas que vous soyez ici en haut. Vous devez Ă©lever votre foi ici en haut. Alors, quand cette foi croit parfaitement, la puissance qui vous retient doit quitter.
E-60 Je nâai jamais vu cela faillir. Peu importe Ă quel point on est aveugle, estropiĂ©, boiteux, ou nâimporte... Y a-t-il ici quelquâun qui a dĂ©jĂ assistĂ© Ă mes rĂ©unions auparavant? Faites-nous voir les mains, ceux qui ont assistĂ© Ă mes rĂ©unions. Est-ce que je dis la vĂ©ritĂ©? Cela arrive-t-il? Si oui, levez vos mains. Tout celui qui vient Ă lâestrade, peu importe ce qui cloche chez lui... Câest vrai. Puissent leurs secrets ĂȘtre dĂ©voilĂ©s; leurs... maintenant, leurs...
Je ne peux pas guĂ©rir. Mais je sais certainement sâils ont assez de foi pour ĂȘtre guĂ©ris ou pas. Voyez? Ceâcâest ce quâil en est ici.
Mais pendant que Dieu se meut ici en haut, Il va aussi se mouvoir lĂ en bas. Voyez? Et, rappelez-vous donc, quand Il fait quelque chose ici...
E-61 Eh bien, tout ce que MoĂŻse pouvait faire, câĂ©tait accomplir ces miracles, mais les gens devaient croire en lui. CâĂ©tait lĂ la confirmation quâil Ă©tait envoyĂ© de Dieu. Comprenez-vous? Câest la confirmation que ce quâil disait Ă©tait vrai. Si un homme dit quelque chose et que Dieu ne rende pas tĂ©moignage Ă cela, alors cet homme est en erreur. Mais si un homme dit quelque chose et que Dieu rende tĂ©moignage aprĂšs cela, alors cet homme est vĂ©ridique. Voyez? Pas seulement une fois, mais Ă plusieurs, plusieurs, plusieurs reprises; ça doit ĂȘtre le... unâun temps. Eh bien, câest ce quâa fait MoĂŻse et il a prouvĂ© aux gens.
Eh bien, si vous... si ces... Si Dieu exauce ce soir et prouve que ce que je vous ai dit est la vĂ©ritĂ©, alors, Ă©coutez ma parole. Dieu guĂ©rira tout le monde dans la salle. Câest siâsi vous promettez de Le servir et de croire en Lui.
E-62 Maintenant, rappelez-vous donc, en quittant la salle, mettez-vous Ă tĂ©moigner que vous ĂȘtes guĂ©ri. «La foi est une ferme assurance des choses quâon espĂšre, une dĂ©monstration de celles quâon ne voit pas.» Si ces gens viennent ici, ce nâest pas exactement la foi, câest une foi dans un sens, mais leur foi doit ĂȘtre Ă©difiĂ©e. Partez en tĂ©moignant que vous croyez cela et que vous ĂȘtes guĂ©ri, alors vous serez guĂ©ri. Eh bien, croyez-vous cela? Tout comme vous aviez tĂ©moignĂ© que vous avez Ă©tĂ© sauvĂ©, cela opĂšre la justice. TĂ©moignez que vous ĂȘtes guĂ©ri, cela opĂšre la guĂ©rison, et Dieu accordera cela.
TrĂšs bien. Maintenant, voyons par oĂč commencer laâla ligne. TrĂšs bien, Ă partir dâici mĂȘme. TrĂšs bien. Que tout le monde soit trĂšs respectueux.
E-63 DâoĂč venez-vous, soeur? De New York. Vous ĂȘtes de cette ville-ci. Maintenant, si vous remarquez la patiente... Juste leâlâEsprit du Seigneur est ici, et laâla patiente, jeâje ne la connais pas. Elle est de New York. Mais uneâune sensation trĂšs Ă©trange... Observez les gens, quand ils arrivent Ă environ huit ou dix pieds [2,4 m ou 3 m], vous verrez lâexpression sur leur visage. Eh bien, la dame, je ne la connais pas.
Mais vous Ă©prouvez une sensation Ă©trange, nâest-ce pas, madame? Etrange, trĂšs drĂŽle. Eh bien, afin que cette assistance sache, voudriez-vous avancer juste un peu plus prĂšs du micro? Câest la vĂ©ritĂ©, nâest-ce pas? [La soeur rĂ©pond: «Câest la vĂ©ritĂ©.»âN.D.E.] Une sensation trĂšs drĂŽle, trĂšs Ă©trange. Câest sacrĂ©.
Ce que câest, la LumiĂšre que vous voyez sur la photo est maintenant ici sur lâestrade. Vous pourrez ne pas ĂȘtre... Cela peut apparaĂźtre clairement. Vous pouvez voir Cela. Mais Il est ici. Je sais que Cela est ici. Tout semble devenir laiteux partout dans la salle. Et câest... Je sais que Cela est ici. Voyez-vous? Lâonction vient maintenant.
E-64 Maintenant, voyons. Jâaimerais que vous soyez en priĂšre. Câest...?... souffrant de ces choses...?... nerveux...?.... Câest vrai. Et vous en souffrez depuis un temps...?... marcher. Vous nâavez pas servi Dieu comme vous le devriez. Je peux voir cela. Vous en avez eu le dĂ©sir, mais vous ne lâavez pas fait. Aimeriez-vous dĂ©sormais Le servir? Promettez-vous cela? Il nây a aucun moyen pour moi de le savoir, si ce nâest par Dieu. Est-ce vrai? Je vous vois essayer. Vous avez mĂȘme priĂ© avant de venir ici, cherchant Ă trouver une faveur, nâest-ce pas? Vous Ă©tiez agenouillĂ©e Ă cĂŽtĂ© dâun fauteuil tout rĂ©cemment, il y avait lĂ une petite table, Ă droite; vous Ă©tiez en train de prier (Est-ce vrai?), cherchant Ă trouver grĂące. Personne, Ă part Dieu, vous et moi, ne sait cela. Est-ce vrai?
Si donc moi, par lâEsprit de Dieu, je vous rĂ©pĂšte maintenant la mĂȘme chose, comme ce qui a Ă©tĂ© dit Ă la femme au puits... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] Quand le MaĂźtre Ă©tait lĂ , Il lui a rĂ©vĂ©lĂ© la chose cachĂ©e qui lâempĂȘchait de jouir de la libertĂ©. Elle a dit quâelle Lâavait acceptĂ©. Elle a dit: «Venez voir un Homme qui mâa tout dit.»
Son Esprit est ici maintenant, opĂ©rant au travers de Son serviteur, vous disant... Croyez-vous cela? Je vous ai dit la chose qui vous bloque. Vous allez Lâaccepter maintenant, nâest-ce pas?
E-65 Inclinons la tĂȘte. PĂšre cĂ©leste, Tu es ici pour guĂ©rir notre soeur. Accorde, Dieu bien-aimĂ©, que Tu la guĂ©risses maintenant, corps et Ăąme. Puisse-t-elle quitter la salle maintenant en se rĂ©jouissant. Pardonne-la, Seigneur, de tout pĂ©chĂ©. Accorde-le, PĂšre, quâelle devienne Ton enfant Ă partir de maintenant, voyant quâelle Tâimplore, voyant cette faute quâelle a commise lĂ , PĂšre, et Ton esprit a Ă©tĂ© capable de dĂ©noncer cela ici mĂȘme Ă lâestrade.
Mais, toi démon, sur base de la confession de foi de cette femme dans le Fils de Dieu, je viens au Nom de Jésus-Christ, confessant le don de guérison divine. Tu es dévoilé. Tu ne peux plus te cacher. Sors de cette femme, par Jésus-Christ.
Quelque chose vous a quittĂ©e. Lâacceptez-vous? Vous ĂȘtes guĂ©rie. Vous y ĂȘtes. Vous vous sentez diffĂ©rente maintenant, nâest-ce pas? TrĂšs bien. Vous pouvez redresser la tĂȘte. Soeur, vos pĂ©chĂ©s vous sont pardonnĂ©s, et vous ĂȘtes guĂ©rie maintenant. Redressez-vous et quittez lâestrade. Vous ĂȘtes bien portante. Marchez trĂšs vite.
[Un frĂšre dit: «Ce que jâaimerais que vous remarquiez ici Ă ce sujet, câest que frĂšre Branham discerne ceci entiĂšrement par lâEsprit de Dieu. Sur cette carte-ci, il est mentionnĂ©: âEtes-vous sauvĂ©e?â La femme dit en rĂ©ponse: âNon?â Jâaimerais vous faire remarquer comment lâEsprit de Dieu dĂ©tecte avec exactitude ce qui est dans la vie de chaque individu.»âN.D.E.]
E-66 Que tout le monde soit trĂšs respectueux, tout aussi respectueux que possible. TrĂšs bien. Faites venir votre patient donc.
Et que tout le monde soit respectueux, etâet quâil y ait justeâjuste la foi. Maintenant, voici ce que jâaimerais que vous fassiez. Jeâje sais dĂ©jĂ que Dieu va accorder ce que je Lui demande ce soir. Jâaimerais que vous regardiez dans cette direction. Câest Ă peine que jâarrive Ă distinguer avec exactitude qui est-ce, mais jâaimerais que vous regardiez dans cette direction et que vous croyiez de tout votre coeur tout ce qui a Ă©tĂ© dit.
E-67 Oui, lâEsprit du Seigneur est ici maintenant. La dame a le dos tournĂ©. Je lui ai tournĂ© le dos. Jâaimerais que vous vous approchiez un peu plus prĂšs, madame, ici de lâestrade, vous. Vous mâĂȘtes inconnue. Mais je peux vous dire ce qui cloche chez vous. Allez-vous accepter cela comme envoyĂ© de Dieu? Vous avez souffert de lâarthrite, nâest-ce pas? Levez les mains; vous ĂȘtes guĂ©rie. JĂ©sus-Christ vous guĂ©rit maintenant. Martelez vos pieds de haut en bas, comme ceci. Comme ceci, en haut, en bas; vos pieds, en haut et en bas, comme ceci. Eh bien, quittez lâestrade tout aussi... on dirait, en vousâvous et moi, trĂšs vite. [Un frĂšre dit: «Sur la carte de la dame, il est mentionnĂ© arthrite.»âN.D.E.]
E-68 Que tout le monde croie de tout son coeur. Maintenant, ayez simplement foi, croyez. Maintenant, câest comme ça. LâEsprit du Seigneur est ici. Ceci peut dĂ©tecter, discerner.
Monsieur, vous debout lĂ . Croyez de tout votre coeur maintenant. Me croyez-vous? Mâacceptez-vous en tant que serviteur de Dieu? Croyez-vous que je suis Son prophĂšte, envoyĂ© ici pour vous, afin que vous soyez guĂ©ri? Allez-vous donc obĂ©ir Ă ce que je vous dis de faire? Allez-vous le faire, si je peux vous dire ce pour quoi vous voulez quâon prie pour vous? Vous souffrez aussi de lâarthrite. Est-ce vrai? Levez les mains comme ceci. Sautez comme ceci, car JĂ©sus-Christ vous guĂ©rit. Amen. Maintenant, vous pouvez parcourir lâestrade. Vous ĂȘtes guĂ©ri, mon frĂšre. Redressez-vous. Que Dieu vous bĂ©nisse, mon bien-aimĂ© frĂšre. Vous ĂȘtes guĂ©ri.
Maintenant, que tout le monde soit trĂšs respectueux. Continuez simplement Ă prier maintenant.
E-69 LĂ loin dans lâassistance, on dirait que ça a Ă©tĂ© bien reconnu. Quand ils sâapprochent, des fois, ils deviennent inconscients, quand ilsâquand ils viennent; et par consĂ©quent, ils neâils ne se rendent pas compte avec exactitude que câest... Il va lĂ , serrant la main Ă ses amis. Pouvons-nous dire: «Merci Seigneur», tout le monde...?...
[Un frĂšre dit: «Sur la carte de cet homme, il est mentionnĂ© arthrite.»âN.D.E.]
E-70 Tout le monde peut comprendre comment les cartes sont distribuĂ©es. Vous voyez, ces gens-ci sont... Vous avez Ă©tĂ© dans des rĂ©unions pendant trois soirĂ©es. Que pensez-vous quâil arrivera dans une semaine ou deux, comme la foi des gens commence Ă ĂȘtre Ă©difiĂ©e? Eh bien, ils monteront aux balcons, ils viendront avec des fauteuils roulants, se lĂšveront simplement, sortiront de fauteuils dâun bond et courront, car ilsâils croient. Et quand ils croient de tout leur coeur, cela attire simplement la force de lâEsprit de Dieu droit vers les gens, tout droitâdroit vers eux. Eh bien, si le... si... Il vous faut croire; il vous faut avoir foi, avoir... Vous...
Combien croient en Dieu? Faites voir les mains. Croyez-vous en Christ? Croyez-vous dans le Saint-Esprit? Maintenant, jâaimerais vous poser une question. Croyez-vous que je vous ai dit la vĂ©ritĂ©? Câestâcâest... Voyez, si vous croyez cela, câest ce qui apporte la bĂ©nĂ©diction. Il a dit: «Si tu amĂšnes les gens Ă te croireâte croire, et que tu es sincĂšre quand tu pries, rien ne rĂ©sistera Ă la priĂšre.»
E-71 Maintenant, rappelez-vous, je ne peux pas guĂ©rir. Cela dit seulement ce qui arrive quand les gens sont lĂ , ilsâils se mettent Ă regarder, ils se posent des questions, et... Et puis, quand lâEsprit commence Ă leur parler et leur rĂ©vĂ©ler leurs maladies et leurs afflictions, eh bien, leur foi sâĂ©lĂšve directement et la chose les quitte.
Maintenant, si je peux dire que le... ce qui est sur vous, ce qui est Ă la base de cela par lâEsprit de Dieu, je sais donc quand cela quitte. Câest comme MoĂŻse, sâil pouvait dire dâavance ce qui allait arriver et que cela Ă©tait arrivĂ©, nous croyons que la crĂ©ation a Ă©tĂ© faite selon Sa Parole, nâest-ce pas? En effet, câest Dieu qui parle dans les deux sens.
TrĂšs bien. Maintenant, jâaimerais que tous prient et soient trĂšs respectueux, partout dans la salle. OĂč que vous soyez, tout le monde, soyez respectueux. Mais maintenant, priez. Nâinclinez pas la tĂȘte jusquâĂ ce que je vous le demande, vous...
TrĂšs bien, vous pouvez faire venir votre patient, frĂšre. Maintenant, que tout le monde soit tout respectueux.
E-72 Je sens toujours que ce soir quelque chose de glor-... Eh bien, parfois, quand lâEsprit du Seigneur est trĂšs prĂšs, eh bien, Câest... Je perds de vue ce que je dis. Voyez-vous? Mais maintenant, juste Ă remarquer maintenant mĂȘme que je... Si je peux essayer de vous dire... Cela commence Ă descendre, maintenant, pour cette patiente. Voyez-vous, je ne connais pas la dame, je ne sais rien Ă son sujet. Eh bien, juste un instant. Quand CelaâCela Ă©tablit le contact, Cela est sur moi maintenant. Maintenant, quand je mâempare de... Approchez-vous de moi...?... Oh! Elle est sourde. TrĂšs bien. Que tout le monde incline la tĂȘte, partout maintenant.
Notre PĂšre cĂ©leste, Toi qui as ressuscitĂ© JĂ©sus dâentre les morts, Tu es ici pour guĂ©rir notre soeur et manifester Ta puissance divine. Et nous avons hardiment fait la dĂ©claration que rien ne peut rĂ©sister au don de Dieu, ce qui sera dit; et la femme, apparemment, a la foi. Je Te demande de la dĂ©livrer ce soir de cette affliction que Satan a placĂ©e sur elle, quâelle devienne un tĂ©moignage de la puissance de guĂ©rison de Dieu dans sa communautĂ©, que son tĂ©moignage dĂ©clenche un rĂ©veil Ă lâancienne mode. Accorde-le, Seigneur.
Toi, esprit de surditĂ©, qui es venu sur la femme, je tâadjure par JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu, quitte la femme. Sors dâelle.
Tu te sentais trĂšs mal derniĂšrement, nâest-ce pas? Câest un rĂ©gime de tuberculose. Oui. Tout cela a quittĂ©.
TrĂšs bien. Vous pouvez redresser la tĂȘte, assistance. Je vais placer mes doigts dans ses oreilles.
E-73 Mâavez-vous entendu? [La soeur rĂ©pond: «Oui.»âN.D.E.] Dites: «Amen.» [«Amen.»] Je vais mettre... Mâentendez-vous maintenant? Dites: «Amen.» [«Amen.»] Jâaime JĂ©sus [«Jâaime JĂ©sus.»] Vos yeux vous dĂ©rangent. DerniĂšrement, vous vous ĂȘtes sentie faible, nâest-ce pas? TrĂšs faible; et le soir, surtout lâaprĂšs-midi. Jâai attendu que vous recouvriez votre ouĂŻe afin que vous compreniez. Tard les aprĂšs-midi, vous devenez trĂšs faible. Et la nuit, non pas... Vous ĂȘtes... Vous avez un... des nuits agitĂ©es et tout. Maintenant, ce qui est Ă la base de cela, câest que vous souffrez de la tuberculose, soeur. Jâai perçu cela Ă partir des vibrations. Mais tout est parti maintenant. Vous ĂȘtes guĂ©rie; votre ouĂŻe est correcte; vous ĂȘtes parfaitement normale; vous pouvez enlever vos lunettes et quitter lâestrade...?... Vous ĂȘtes guĂ©rie.
TrĂšs bien, faites venir votre...?... Que tout le monde dise: «Merci, JĂ©sus.» Amen. Câest bien. TrĂšs bien.
[Un frĂšre dit: «Sur sa carte, il y a: SurditĂ© et glaucome des yeux.»âN.D.E.]
E-74 Jâaimerais que vous regardiez dans cette direction juste un instant. Vous avez Ă©tĂ© extrĂȘmement nerveuse toute votre vie. Et lâautre chose qui cloche chez vous maintenant, Ă©videmment vos yeux vous ont causĂ© des ennuis... lâastigmatisme, câest ce qui ne va pas avec vos yeux. Vous avez eu des troubles dâestomac. Nâest-ce pas vrai? Oui. Je vous vois assise au bureau, louchant, cherchant Ă lire alors que vous Ă©tiez une petite fille. Un certain jour, quand une certaine chose est arrivĂ©e, vous portiezâportiez une robe rose Ă carreaux...?... Maintenant, quand vous... Maintenant que vous souffrez ainsi de lâulcĂšre peptique Ă lâestomac, cela vous cause des troubles dâestomac. Nâest-ce pas vrai? Maintenant, une sensation trĂšs Ă©trange vous envahit. Nâest-ce pas vrai? Soeur bien-aimĂ©e, JĂ©sus-Christ vous guĂ©rit. Ătez vos lunettes; rentrez chez vous manger ce que vous voulez, car vous ĂȘtes guĂ©rie maintenant. Que Dieu vous bĂ©nisse.
Que tout le monde soit trĂšs respectueux et prie. TrĂšs bien. Vous pouvez faire venir votre patient. [Un frĂšre dit: «NervositĂ©, troubles dâestomac, troubles dâyeux. Remarquez quâelle a reçu sa guĂ©rison maintenant, sans priĂšre.» - N.D.E.]
E-75 Croyez de tout votre coeur, que vous... Vous essayez de croire. Vous ĂȘtes une femme malade, nâest-ce pas? Vous avez connu une profonde dĂ©pression, nâest-ce pas? Vous avez eu des ennuis. Et vous savez de quoi je parle. Je ne le dirai pas. TrĂšs bien. Puis-je avoir votre main? Il y a autre chose; oh! câest le cancer, soeur. Câest vraiment dommage. Mais croyez-vous que JĂ©sus-Christ vous guĂ©rira et vous rĂ©tablira? Je vais... Afin que... Voyez, vous avez eu des ennuis et des Ă©preuves. Evidemment, maintenant, cette sensation Ă©trange est sur vous, câest lâEsprit du Seigneur.
Jâaimerais que vous regardiez ici afin que vous ayez plus de foi pour croire. Voici donc ce que jâappelle des vibrations. Approchez-vous. Jâaimerais que vous observiez ma main, lĂ . Jâaimerais que vous regardiez son aspect. Voyez-vous comment ça devient tachetĂ© et noir? Et comment cela garde de petites choses blanches, qui parcourent lĂ ? Je vais enlever votre main, et je vais placer ma main dessus. Eh bien, cela nâest pas lĂ maintenant, nâest-ce pas? Cela a lâaspect de la main de nâimporte qui. Je vais placer cette main ici dessus. Ăa a un aspect tout aussi normal, nâest-ce pas?
Mais, rĂ©vĂ©rend Lindsay, voudriez-vous avancer? Je vais placer la main de rĂ©vĂ©rend Lindsay lĂ -dessus. Tout aussi normal. Je vais placer ma propre main; câest normal. Maintenant, observez. Je vais prendre cette main ici mĂȘme et la placer lĂ -dessus. Maintenant, regardez-la. Voyez-vous comment elle gonfle, devient trĂšs rougeĂątre, tachetĂ©e de sang, ces petites choses blanches? Câest ça votre cancer, soeur. Câest la vie dâun dĂ©mon qui cherche Ă vous ĂŽter la vie. Et cela bouge par ici maintenant. Cela se fait sentir parfaitement sur mes poignets et mes bras. Voyez-vous? Cela me monte droit au coeur. Et câest ce qui est Ă la base.
E-76 Maintenant, jâaimerais que vous observiez ma main. Et alors, si elle demeure ainsi, câest que votre vie est trĂšs courte. Si ça quitte... Vous avez la foi. Je mâattends Ă ce que cela quitte Ă tout moment. Mais jusque-lĂ , ça nâa pas quittĂ©. Mais vous ĂȘtes... vous souffrez deâde vertige aussi, cela est causĂ© par lâhypertension. Etâet autre chose, câest le moment, votre nervositĂ© est causĂ©e par la mĂ©nopause, un changement de vie, ça agit sur vous. Est-ce vrai? Vous avez aussi des enfants, nâest-ce pas?
Jeâje veux... je veux que vous... Oui. Je veux que vous me croyiez de tout votre coeur. Maintenant, pour confirmer que ce que je vous dis est vrai, jâaimerais que vous observiez ma main. Si cela sâarrĂȘte comme... Jâaimerais que vous preniez cette autre main et que vous sentiez ces petites choses alors quâelles se dĂ©placent sur ma main; ça se fait voir. Câestâcâest la vie de ce cancer-lĂ . Il se dĂ©place, on diraitâon dirait quâon sent cela faire: thrrrrr, thrrrrr, thrrr. [FrĂšre Branham illustre.âN.D.E.] Maintenant, si ça sâarrĂȘte, jâaimerais que vous voyiez cela.
E-77 Or, la Bible dit: «Toute parole sera Ă©tablie sur la dĂ©position de deux ou trois tĂ©moins.» Est-ce vrai? Vous ĂȘtes chrĂ©tienne, et moi... Et vous croyez, et vous venez maintenant, vous ĂȘtes une inconnue. Je vous ai dit ce qui clochait chez vous, et ce qui vous est arrivĂ© dans la vie. Est-ce vrai? Câest un tĂ©moignage, nâest-ce pas? Vous regardez ici Ă quelque chose de surnaturel qui arrive sur ma main, est-ce vrai? Ăa fait deux tĂ©moins. Que cela demeure, câest trois; que cela quitte, câest trois.
Mais ceci dĂ©termine si vous serez bien portante ou pas. Maintenant, ilâ il nây a rien dâautre que Dieu peut faire pour vous amener Ă croire. Nâest-ce pas vrai? Maintenant, jâaimerais que toute lâassistance incline la tĂȘte pendant que le patient observe ma main.
E-78 Notre PĂšre cĂ©leste, nous nous souvenons du temps oĂč NathanaĂ«l Ă©tait venu auprĂšs de Toi. Philippe Ă©tait parti le chercher, et quand il est arrivĂ© auprĂšs de NathanaĂ«l, il lâa trouvĂ© en priĂšre. Et il a dit Ă NathanaĂ«l: «Viens voir Qui jâai trouvĂ©, JĂ©sus de Nazareth, Celui dont MoĂŻse, le prophĂšte, avait parlĂ©.»
Il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
Il a dit: «Viens, et vois.»
Et quand il est arrivĂ© dans la ligne de priĂšre, ĂŽ Dieu, nous pouvons voir lâEsprit de Dieu mettre JĂ©sus en action. Il a dit: «VoilĂ un chrĂ©tien. VoilĂ un croyant, vraiment un IsraĂ©lite», en dâautres termes.
Et NathanaĂ«l a dit: «Quand mâas-Tu connu?»
Il a dit: «Avant que tu viennes, tu priais sous un arbre.»
Et il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi dâIsraĂ«l.»
Oh! Tu as promis que Ton Esprit serait toujours parmi nous, mĂȘme jusquâĂ la fin du monde. Et Tu es ici ce soir pour dĂ©tecter, rĂ©vĂ©ler et guĂ©rir par la foi. Et, PĂšre, nous sommes trĂšs reconnaissants de ce que Tu as dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plusâplus. Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, mĂȘme en vous, jusquâĂ la fin du monde.» Combien nous sommes reconnaissants de ce que Tu es ici Ă New York avec nous ce soir dans cet auditorium. Et notre soeur que voici, pour qui on a priĂ©, est une chrĂ©tienne... Et nous avons appris que toutes choses concourent au bien de ceux qui Tâaiment. Et, PĂšre, je lui ai dit tout ce que Tu as placĂ© dans ma bouche, et je mâattends Ă ce que Tu la guĂ©risses. Ne voudrais-Tu pas accorder cela, Seigneur, avant quâelle... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]... emportĂ©e? Je Te demande de lâaccorder. Donne-moi la foi, PĂšre, dans cet affrontement alors quâelle observe ma main.
E-79 Toi dĂ©mon, au Nom de JĂ©sus-Christ, quitte la femme. Evidemment, vous voyez, cela ne sâest pas fait. Cela a commencĂ©...?... les mains. [Une soeur parle en langues.âN.D.E.]
Seigneur Jésus, Fils de Dieu.
Accorde Tes bénédictions, Î Dieu, à cette mortelle. Accorde-le, PÚre.
[Un frĂšre interprĂšte.âN.D.E.] [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
Vous voyez ce qui est arrivĂ©, nâest-ce pas, soeur? Câest parti. La dame est guĂ©rie. [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
Maintenant, la dame, dâoĂč ĂȘtes-vous? Ma main est tout aussi normale que celle de nâimporte quel homme. Est-ce vrai?
Maintenant, la dame est ici debout, elle se regarde. Câest une femme de New York. Je nâai point bougĂ© ma main. Elle est tout aussi normale que celle de nâimporte quel homme, nâest-ce pas? Cela est simplement parti, cela a simplement disparu. Maintenant, câest... VoilĂ les trois tĂ©moins. Et le Saint-Esprit, parlant par lâĂ©glise, a tĂ©moignĂ© que Cela a Ă©tĂ© envoyĂ©. Maintenant, il y a...?... il y a... votre guĂ©rison est accomplie, soeur. Que Dieu vous bĂ©nisse. Vous pouvez rentrer chez vous et...
Inclinons la tĂȘte et rendons grĂące.
E-80 Faites venir votre patient, sâil vous plaĂźt. PĂšre, je Te prie dâĂȘtre misĂ©ricordieux. Que Ton peuple voie, PĂšre bien-aimĂ©, Tes oeuvres et quâil Te connaisse. Je demande cette bĂ©nĂ©diction par JĂ©sus-Christ. Amen. [Un frĂšre dit: «Sur la carte de la dame figuraient les mots cancer depuis trois ans.»âN.D.E.]
E-81 Dieu Tout-Puissant, Tu as promis, par Ton Fils JĂ©sus, de chasser ces esprits Ă©touffants de la femme. Sors dâelle, Satan. Je tâadjure par JĂ©sus, le Fils de Dieu. Dâaccord. Vous pouvezâvous pouvez voir ce qui lui est arrivĂ©. Le goitre a directement quittĂ© sa gorge. Eh bien, que Dieu vous bĂ©nisse...?...
Mes amis, Il est ici pour guĂ©rir tout le monde. Croyez-vous cela? Maintenant, regardez. Jâaimerais vous poser une question. Câest lâEsprit du Seigneur qui parle. Les gens nâont pas Ă monter ici Ă lâestrade pour ĂȘtre guĂ©ris, ils peuvent ĂȘtre guĂ©ris nâimporte oĂč dans la salle.
Or, le seul fait que ces gens ont des cartes de priĂšre et quâils sont montĂ©s... Voyez, nous distribuons cinquante cartes ou une centaine. Et puis, nous venons Ă la rĂ©union, onâon bat simplement ces cartes, de 1 Ă 50, ou je ne sais...
E-82 Nous avons donc connu un temps oĂč les gens sâassemblaient simplement sâils ne pouvaient pas obtenir la carte numĂ©ro 1, ils ne voulaient pas venir. Et sâils nâobtenaient pas un numĂ©ro entre 15 ou 20, ce que nous prenions en une soirĂ©e, ils ne voulaient pas de carte. Alors, nous avons eu Ă battre ces cartes. Et puis, on demandait par quel numĂ©ro nous allions commencer. Au lieu de cela donc, nous les laissions simplement se rassembler, nous distribuions les cartes, nous choisissions un numĂ©ro quelque part dans ce groupe. Et puis, on appelait, on priait pour tous ceux pour qui nous pouvions prier le soir. Eh bien, câestâcâest le procĂ©dĂ© que nous avons trouvĂ© le plus efficace. Et les gens montent Ă lâestrade.
Le seul bien quâil y a Ă venir Ă lâestrade, câest juste avoir soi-mĂȘme... câest juste de se tenir ici, afin que cela... Vous nâavez pas Ă venir pour ça, car Dieu peut rĂ©vĂ©ler ici mĂȘme maintenant le secret de chaque coeur dans cette salle.
E-83 Et voici une seule chose que je connaisse: il y a ici un grand, un grand groupe de gens qui croient. Il semble y avoir une pression qui vient de partout. Dieu peut tout faire. Tout est possible Ă ceux qui croient. Est-ce vrai? Oui, oui.
Maintenant, Il peutâIl peut parler lĂ dans lâassistance. Mais maintenant, regardez, sâIl a confirmĂ© que ceci est la vĂ©ritĂ©, croyez-vous que câest la vĂ©ritĂ©? Câest lâEsprit du Seigneur JĂ©sus-Christ. Rappelez-vous, si jamais je ne vous revois, je vous ai dit la vĂ©ritĂ©. Et maintenant, Dieu guĂ©rira, et Il guĂ©rira tout le monde ici, si seulement vous croyez cela.
Cela... Maintenant, je Lui ai demandĂ© de faire cela ce soir. Et jeâje crois en Dieu. Je crois quâIl va faire ce que je Lui ai demandĂ© de faire. En effet, jeâje me dis: Et si câĂ©taient ma mĂšre, mon pĂšre, mon frĂšre, ou mon enfant, ou je ne sais qui, qui Ă©tait assis lĂ dans lâassistance, ou malade...
E-84 Il y avait une petite fille qui regardait simplement dans cette direction, tout Ă lâheure, une douce petite crĂ©ature, et elle est... Ses petites vibrations sont montĂ©es. Il y a un... je... Elle est assise ici, une petite fille aux cheveux noirs. ChĂ©rie, tiens-toi debout. Jâaimerais te regarder juste une minute. Regarde ici. Oui, tiens-toi debout. LĂšve les yeux dans cette direction, chĂ©rie.
Vous vouliez que cette enfant entre dans la ligne de priĂšre, nâest-ce pas, soeur? Si je peux, par lâEsprit de Dieu, vous dire ce qui cloche chez cette enfant, allez-vous mâaccepter comme serviteur de Dieu? Lâenfant a une grosseur Ă la gorge. Est-ce vrai? Cela la dĂ©range. Câest quelque chose Ă sa gorge qui dĂ©... Est-ce vrai, chĂ©rie? Avale, et place ta main sur ta gorge. JĂ©sus-Christ te guĂ©rit maintenant. Que Dieu te bĂ©nisse, chĂ©rie. Est-ce vrai, mĂšre? Dieu sait tout au sujet de toute chose.
E-85 Il y a un homme assis ici devant moi, tenant une canne Ă la main. Bien-aimĂ© frĂšre, me croyez-vous? Regardez dans cette direction. Vous souffrez de coeur, nâest-ce pas? DĂ©posez cette canne par terre et sortez de la salle. Vous ĂȘtes guĂ©ri, monsieur. Vous nâen avez plus besoin.
Croyez-vous tous en JĂ©sus-Christ? Jâaimerais que vous regardiez dans cette direction et... Câest... Dieu connaĂźt tous vos coeurs.
Il y a une femme assise ici, assise ici en blouse rouge. Regardez dans cette direction, soeur. On dirait que vous avez des ennuis. Câest votre mari qui est assis lĂ , il vous tient, votre chĂ©ri. Regardez ici. Vous souffrez. Vous avez connu des ennuis tout rĂ©cemment, nâest-ce pas? Vous avez Ă©tĂ© Ă une clinique ou Ă un hĂŽpital. Oui, vous avez subi une intervention chirurgicale, nâest-ce pas? CâĂ©tait chez les frĂšres Mayo. Est-ce vrai? Je peux voir lâinstitution. Cela se place entre vous et moi. Câest une intervention chirurgicale sur la vĂ©sicule biliaire, si je ne mâabuse. Est-ce vrai? Vous vous inquiĂ©tez Ă ce sujet, car vous ĂȘtes faible. Levez-vous. JĂ©sus-Christ vous guĂ©rit maintenant. Vous ĂȘtes guĂ©rie. Nâayez pas peur.
E-86 Tout le monde, croyez. Câest bien. Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur. Rassurez-vous, Il connaĂźt toute chose. Croyez-vous cela?
Voici une pauvre vieille dame de couleur assise lĂ , portant un chapeau noir. Levez-vous. Vous Ă©tiez sourde, femme. Vous pouvez entendre maintenant. JĂ©sus-Christ vous guĂ©rit. Vous Ă©tiez sourde. Est-ce vrai? Entendez-vous trĂšs bien maintenant? Pouvez-vous mâentendre? AssurĂ©ment. Vous ĂȘtes guĂ©rie. JĂ©sus-Christ vous rĂ©tablit...
Eh bien, Il guĂ©rira tout le monde dans la salle maintenant mĂȘme. Croyez-vous cela? Levez-vous une minute. Levez les mains. Prions.
LĂ au balcon. Vous lĂ , qui souffrez du cancer, vous ĂȘtes guĂ©ri. JĂ©sus-Christ vous a guĂ©ri.
Vous qui ĂȘtes lĂ , estropiĂ©, sortez de ce fauteuil-lĂ . JĂ©sus-Christ vous guĂ©rit.
Vous, ici mĂȘme, cet homme lĂ , il y a un... Oui, monsieur, frĂšre. JĂ©sus-Christ vous a guĂ©ri tout Ă lâheure. Câest vrai. Quittez cet endroit-lĂ .
LĂ mĂȘme, assis lĂ mĂȘme au balcon. Cette jeune fille debout lĂ mĂȘme. Ce sont des yeux louches. Câest fini. Regardez et voyez. Vos yeux sont droits.
Oh! Il est ici, amis. Il guérit en cette minute-ci. Tout le monde, levons les mains ainsi que nos voix pour louer le Seigneur Jésus.
E-87 Maintenant, je rĂ©primande chaque puissance de doute, chaque esprit dĂ©moniaque, quâil lĂąche cette assistance en ce moment-ci, au Nom de JĂ©sus-Christ.
Vous dans les fauteuils, levez-vous. Vous qui ĂȘtes malades, vous ĂȘtes guĂ©ris.
Dieu Tout-Puissant, je Te confie ceci et loue...?... Seigneur Dieu du Ciel et de la terre, envoie Ta puissance sur cette assistance qui attend, en accomplissant ce que Tu as promis. Je réclame maintenant une délivrance totale de chaque malade dans la salle, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.
Acceptez cela. Croyez-le. Maintenant mĂȘme, je sens la pression, quâil y a des centaines de gens maintenant mĂȘme qui sont guĂ©ris. Si je vous ai dit la vĂ©ritĂ©, je vous dis la vĂ©ritĂ©. Maintenant, Dieu a confirmĂ© ce...
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