Prédication Puis Jésus Vint / 57-0407E / Jeffersonville, Indiana, USA // SHP | 1 heure et 12 minutes |
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Puis Jésus Vint |
E-1 Et au Nom glorieux de Ton Fils oint, le Seigneur JĂ©sus-Christ, nous Te remercions pour Sa Vie et pour Sa grĂące qui ont Ă©tĂ© rĂ©pandues dans nos coeurs par le Saint-Esprit. Et si seulement nous nous arrĂȘtions pour compter les nombreuses bĂ©nĂ©dictions qui nous ont Ă©tĂ© accordĂ©es, elles seraient innombrables. Nous sommes reconnaissants pour notre santĂ© et pour toutes les grandes bĂ©nĂ©dictions que lâargent ne pourrait acheter; Tu nous les as richement accordĂ©es par Ta grĂące. Et nous sommes un peuple privilĂ©giĂ© de Te connaĂźtre.
E-2 Et câest le dĂ©sir de notre coeur que ceux qui ne Te connaissent pas, et qui ne sont pas en bons termes avec Toi, puissent Te connaĂźtre, et que leurs pĂ©chĂ©s soient pardonnĂ©s, et quâils soient en bons termes avec Toi, PĂšre. Car Tu as dit: «Je suis doux et humble», que la croix est douce, et les fardeaux lĂ©gers. Et nous Te prions simplement de manifester cela Ă chacun ce soir.
Si par hasard il y a ici quelquâun qui ne Te connaĂźt pas, puisse-t-il venir ce soir et Te recevoir. Aide les chrĂ©tiens alors quâils continuent leur voyage. BĂ©nis ces cantiques que lesâles gens ont chantĂ©s ce soir. Et aide-nous dans ce rĂ©veil qui vient, pendant ces cinq soirĂ©es, Seigneur; nous sentons que câest Ta volontĂ© que nous consacrions ces soirĂ©es au service juste avant que nous cĂ©lĂ©brions la glorieuse rĂ©surrection, la crucifixion et la rĂ©surrection de notre Seigneur. Sois avec nous. Viens dans Ta Parole, Seigneur, et assiste-nous, et puissions-nous communier autour de la Parole par lâEsprit de Dieu. Nous prions au Nom de Christ. Amen.
E-3 Câest un grand privilĂšge dâessayer de se tenir devant une personne et de parler du Seigneur JĂ©sus. Et jâai remarquĂ© dans mon ministĂšre quâil importe peu Ă Dieu quâil y ait douze personnes ici ou quâil y en ait des milliers. Il a toujours le mĂȘme message pour les gens, câest-Ă -dire Sa grĂące.
Notre sujet ce soir commence avec lâun des plus beaux contextes des Ecritures. Je pense que toutes les Ecritures sont parfaites. On ne peut pas trouver Ă redire Ă la Parole de Dieu. Elle est tout simplement parfaite. Mais le texte que nous allons Ă©tudier est lâun des textes les plus remarquables des Ecritures. Câest un des sceaux de Sa qualitĂ© de Messie.
Vous savez, un homme peut venir sur terre et faire toutes sortes de dĂ©clarations et toutes sortes de promesses, mais sâil nâest pas en mesure dâaccomplir ces promesses, alors ses promesses ne servent Ă rien. Mais lorsquâun homme vient, et quâil peut faire une promesse, et quâensuite il est en mesure dâaccomplir cette promesse-lĂ , cela confirme sa parole. Et Il Ă©tait le seul Homme qui ait jamais vĂ©cu sur terre qui pouvait faire cette dĂ©claration: «Jâai le pouvoir de donner Ma Vie, et Jâai le pouvoir de La reprendre.»
E-4 Jâai eu dans mon ministĂšre le privilĂšge de me tenir prĂšs des tombes de beaucoup de fondateurs de grandes religions, de grands fondateurs tels que Mahomet et beaucoup dâautres, des religions dominantes du monde. Mais chacune dâelles a un endroit portant une inscription oĂč son fondateur mort a Ă©tĂ© enterrĂ©, et oĂč il repose jusquâĂ ce jour. Et cependant, dans le naturel je nâai jamais eu le privilĂšge de me tenir prĂšs de cette tombe ouverte, oĂč Christ avait Ă©tĂ© dĂ©posĂ©, et qui ne pouvait pas Le retenir. Car câest Lui qui avait dit: «Je donne Ma Vie; personne ne peut Me LâĂŽter. Je La donne et Je La reprends.»
Et câest la seule religion au monde dont il peut ĂȘtre prouvĂ© quâelle est vraie, la religion chrĂ©tienne. Notre Seigneur, non seulement Il est mort pour Son peuple, mais Il est ressuscitĂ© pour leur justification. Et Il est montĂ© en haut, et ce soir Il est assis sur le TrĂŽne de Dieu, et Son Esprit vit dans Son Eglise avec Son peuple, accomplissant les mĂȘmes oeuvres quâIl avait accomplies lorsquâIl Ă©tait ici sur terre, poursuivant Son ministĂšre.
E-5 Et aprĂšs ce matin, le Saint-Esprit est descendu dâune maniĂšre tellement merveilleuse et nous a tellement baignĂ©s de Sa glorieuse beautĂ© que jâĂ©tais tout simplement inspirĂ© de prononcer ces paroles et de dire: «Un glorieux jour, lorsque tous les dons qui sont dans lâEglise seront simplement mis de cĂŽtĂ© sur le manteau, pour ainsi dire, et le Saint-Esprit Lui-mĂȘme prendra simplement lâEglise sous un tel contrĂŽle de lâamour divin que les malades seront guĂ©ris, les aveugles verront, les boiteux marcheront, sans quâon leur impose les mains. Ce sera simplement une glorieuse unitĂ©.»
Et alors que nous nous tenions ici ce matin dans cet Ăąge et dans lâheure oĂč nous sommes, nous avons vu cet homme marcher, ou plutĂŽt nous avons vu ĂȘtre emmenĂ© ici cet homme qui Ă©tait courbĂ© au point que sa tĂȘte Ă©tait entre ses genoux, et qui souffrait dâune maladie de la colonne vertĂ©brale qui lâavait courbĂ© comme cela, qui lâavait inclinĂ©, et pendant quâil Ă©tait assis lĂ , il a commencĂ© Ă plier le dos dâavant en arriĂšre. Et puis, de voir cet homme retourner sâasseoir aprĂšs ĂȘtre passĂ© par la ligne de priĂšre, et de savoir quâil avait dĂ©clarĂ© que ça faisait plusieurs annĂ©es quâil Ă©tait trĂšs dur des deux oreilles, et de voir le Seigneur JĂ©sus dĂ©boucher ces oreilles de maniĂšre si parfaite que lâhomme peut entendre les murmures les plus lĂ©gers, retourner sâasseoir et mettre ses mains sur ses oreilles et crier, un homme dâaffaires, un homme qui a parcouru des centaines de kilomĂštres en voiture pour arriver ici.
E-6 Ensuite, aprĂšs cela sur lâestrade, les tĂ©moignages de ces enfants qui viennent ici, des gens qui Ă©taient gravement atteints de toutes sortes de maladies, des gens venus des quatre coins du pays, qui donnent des tĂ©moignages de leurs maladies et qui racontent quâils se mouraient du cancer et de diffĂ©rentes choses, et les voici parfaitement guĂ©ris. Câest simplement une des confirmations de la continuitĂ© de Sa qualitĂ© de Messie. Câest une confirmation que le christianisme est la vĂ©ritĂ©. Il nâexiste aucune autre religion qui soit la vĂ©ritĂ© en dehors du christianisme. Et câest en Christ que se trouve la VĂ©ritĂ©. Et Il est... La religion de Christ nâĂ©tait pas morte avec Christ; elle Ă©tait peut-ĂȘtre morte avec Lui, mais elle est ressuscitĂ©e aussi avec Lui. Et ce soir Il continue de prouver Sa glorieuse qualitĂ© de Messie.
E-7 Nous apprenons dans un certain petit livre intitulĂ© Le Prince de la maison de David que je lisais il y a quelque temps ... Je pense quâil a Ă©tĂ© Ă©crit par un homme qui sâappelait Ingraham. Et il semble quâil est en partie vrai et que cela est tirĂ© des anciens manuscrits en peau dâanimaux, qui datent de bien, de bien des annĂ©es; en fait, il y avait une jeune Juive en Palestine, Ă la mĂȘme Ă©poque oĂč JĂ©sus Ă©tait sur terre. Et elle Ă©crivait Ă son pĂšre qui se trouvait Ă Alexandrie, elle correspondait rĂ©guliĂšrement avec son pĂšre Ă propos de Jean-Baptiste et de JĂ©sus qui se disait ĂȘtre le Messie. Et dans ces lettres elle donne un beau tableau de notre contexte de ce soir. Elle dit que Marthe, Marie et Lazare Ă©taient des amis intimes de JĂ©sus, quâaprĂšs la mort de Joseph, ils Ă©taient partis... Il Ă©tait allĂ© habiter avec eux pour ĂȘtre avec eux. Lazare suivait une formation pour devenir scribe au temple. Et Marthe et Marie Ă©taient... Et aussi ils nâavaient pas de pĂšre et de mĂšre; alors ils fabriquaient de petites tapisseries pour le temple, de petits vĂȘtements et tout, des travaux dâaiguille. Et cela constituait leur occupation. Et JĂ©sus est allĂ© habiter avec eux avant mĂȘme quâIl se fasse connaĂźtre comme le Messie.
Et Lazare sâĂ©tait rendu au fleuve pour entendre la prĂ©dication de Jean. Alors il est revenu et leur a rapportĂ© quâun grand prophĂšte Ă©tait sorti de la GalilĂ©e, du dĂ©sert, et que ce prophĂšte proclamait que la Venue du Messie Ă©tait proche. Et Lazare ne se doutait pas que Celui-lĂ mĂȘme Ă qui il parlait Ă©tait le Messie Lui-mĂȘme. Et un jour, il a persuadĂ© JĂ©sus, pour ainsi dire, dâaller avec lui entendre ce prophĂšte prĂȘcher.
E-8 Et Jean se trouvait lĂ , il nâutilisait pas des termes pompeux, câĂ©tait juste un homme ordinaire, il nâĂ©tait pas habillĂ© comme les souverains sacrificateurs... En effet, Dieu nâest pas dans la maniĂšre de sâhabiller. Dieu ne se prĂ©occupe pas tellement de cela, aussi longtemps que nous sommes habillĂ©s dâune maniĂšre dĂ©cente et que nous avons une bonne apparence. Vous nâĂȘtes pas obligĂ© de porter un col retournĂ© ou de porter un turban sur la tĂȘte. Dieu dĂ©sire que vous ayez un coeur humble et soumis. Câest ce que Dieu cherche.
Et lorsquâil a vu JĂ©sus venir au baptĂȘme de Jean, Jean sâest retournĂ©, il a regardĂ© et a dit: «Voici lâAgneau de Dieu qui ĂŽte les pĂ©chĂ©s du monde.»
Et aprĂšs que JĂ©sus a Ă©tĂ© baptisĂ© par Jean, il est dit que plus tard Il Ă©tait retournĂ© chez Lazare et Marthe. Et pendant quâIl vivait lĂ , Il mangeait Ă leur table, Il dormait dans leur lit lĂ Ă BĂ©thanie... Et un jour, Dieu parla Ă JĂ©sus et Lui dit: «Je veux que Tu quittes cet endroit et que Tu ailles lĂ oĂč Je Te montrerai.»
E-9 Or, nous savons que la Bible dit dans Jean 5.19, JĂ©sus a dit: «Je ne fais rien Ă moins que le PĂšre Me le montre premiĂšrement.» Et maintenant, Dieu Lui avait donc montrĂ© ce quâIl devait faire, sinon Il nâaurait jamais quittĂ© BĂ©thanie. Alors Il est parti, Il a effectuĂ© un voyage dâenviron un jour ou deux, et peu de temps aprĂšs Lazare est tombĂ© malade. Et ensuite, on a envoyĂ© chercher JĂ©sus pour quâIl vienne. Mais au lieu de venir, JĂ©sus a simplement ignorĂ© lâappel.
Eh bien, nâĂ©prouveriez-vous pas un sentiment Ă©trange si le pasteur faisait cela? Avec cela vous aurez comme impression: «Eh bien, il ne se soucie pas de nous.» Mais oh! si vous pouvez simplement vous arrĂȘter une minute pour vous souvenir de ceci: «Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.» Rien au monde ne peut aller mal aussi longtemps que vous ĂȘtes en Dieu. «LâEternel affermit les pas du juste.»
Et ensuite, ils ont de nouveau envoyĂ© chercher JĂ©sus. Et Il a semblĂ© ignorer leur appel, Il a simplement continuĂ©. AprĂšs quatre jours, Il a dit: «Notre ami Lazare dort. Et, Ă cause de vous, Je me rĂ©jouis de ce que Je nâĂ©tais pas lĂ .» En effet, sâIl avait Ă©tĂ© lĂ , ils auraient essayĂ© de Lâamener Ă faire quelque chose qui nâĂ©tait pas la volontĂ© de Dieu.
E-10 Oh! combien je pourrais mâarrĂȘter ici un instant. Combien de fois avec de bonnes intentions les gens essaient dâappeler les hommes en dehors de la volontĂ© de Dieu. Un homme devrait connaĂźtre absolument son appel. Vous devriez savoir ce que vous faites. Et non pas juste y aller au grĂ© des circonstances, ou laisser lâargent vous tirer dâun endroit Ă un autre, ou la popularitĂ©. Peu importe combien vous ĂȘtes populaire ou combien vous ĂȘtes riche, vous devriez toujours chercher dâabord la face de Dieu pour connaĂźtre Son plan et Sa volontĂ©.
Eh bien, quand Lazare Ă©tait malade, cela semblait Ă©trange que JĂ©sus nâait pas voulu revenir. Par contre Il a dit: «Je suis heureux de ce que Je nâĂ©tais pas lĂ .» Parce quâils Lâauraient persuadĂ©, en disant: «Maintenant, pourquoi ne viens-Tu pas ici? Pourquoi ne veux-Tu pas faire ceci?» Et «pourquoi ne le ressuscites-Tu pas? Tu en as ressuscitĂ© dâautres.»
E-11 Mais JĂ©sus Ă©tait avisĂ©. JĂ©sus connaissait ce quâĂ©tait la volontĂ© du PĂšre. Et, oh! quel privilĂšge bĂ©ni que nous puissions connaĂźtre la volontĂ© du PĂšre! Si nous cherchons la face de Dieu, Dieu nous fera connaĂźtre Sa volontĂ©. Je prĂ©fĂ©rerais savoir que je suis dans la volontĂ© de Dieu mĂȘme si je ne parlais Ă personne dâautre, plutĂŽt que de prĂȘcher Ă dix mille personnes chaque soir tout en Ă©tant en dehors de la volontĂ© de Dieu; je prĂ©fĂ©rerais connaĂźtre la volontĂ© de Dieu.
Je crois que câest David qui a dit: «Je prĂ©fĂ©rerais ĂȘtre un paillasson dans la (ou quelque chose de ce genre)âdans la maison de mon Seigneur, plutĂŽt que de demeurer sous les tentes de la mĂ©chancetĂ©.» Quel privilĂšge de trouver notre place et dây demeurer! Peu importe comment le diable secoue, ce quâil dit, comment il se moque, restez simplement dans la volontĂ© de Dieu.
E-12 Remarquez, ensuite JĂ©sus a dit: «Eh bien, il estâil est mort.» Les gens ont pensĂ© quâil dormait. Il a dit: «Il est mort, et Ă cause de vous Je me rĂ©jouis de ce que Je nâĂ©tais pas lĂ . Mais Je vais le rĂ©veiller.»
Oh! la la! nĂ©anmoins ce nâĂ©tait pas: «Je vais voir si Je peux; Je vais aller essayer», mais: «Je vais aller le rĂ©veiller.» Car Il savait. Dieu Lui avait montrĂ© par une vision que Lazare allait sortir de cette tombe. Et ce nâĂ©tait pas une supposition.
Oh! si Dieu... Chaque fois que Dieu montre une vision de ce qui va arriver, il en sera exactement ainsi, si la vision vient de Dieu: forcĂ©ment. Combien je pourrais mâarrĂȘter ici dans mon texte, et citer pendant des heures des cas que je connais. Jâai connu des cas oĂč je pouvais dire: «à Dieu, certainement que Tu le feras.» Je suis simplement allĂ© et jâai essayĂ© de tester ma foi face Ă cela. Mais souvent cela ne marche pas. Mais lorsque Dieu montre une vision, oh! la la! cela doit simplement arriver; cela ne peut pas faillir. Et parce quâIl le fait maintenant, câest la preuve infaillible quâIl est toujours le Messie, que Sa qualitĂ© de Messie est scellĂ©e par des miracles et prodiges de la confirmation de Sa sainte Parole.
E-13 Et puis, de penser que Lazare, lorsquâil est tombĂ© malade... Personne ne sait ce quâest la maladie jusquâĂ ce quâil ait cela dans sa propre famille. Et je suis sĂ»r que chacun de nous ce soir peut compatir avec Marthe et Marie, du fait que la seule personne qui leur procurait du pain, leur frĂšre Ă©tait alitĂ©, et peut-ĂȘtre que les mĂ©decins lâavaient abandonnĂ©. Nous avons appris quâil Ă©tait mort suite Ă une hĂ©morragie pulmonaire, câĂ©tait probablement la tuberculose. Et il est mort de cette maladie-lĂ , et pendant quâil Ă©tait trĂšs malade, le mĂ©decin lâa abandonnĂ©, et puis JĂ©sus nâĂ©tait pas revenu auprĂšs de Son ami.
Eh bien, câĂ©tait vraiment un moment sombre. Pouvez-vous imaginer ces deux belles jeunes femmes envoyer chercher JĂ©sus pour quâIl vienne, et Lui refuse de venir? AprĂšs quâils eurent quittĂ© leur Ă©glise, et quâils eurent reniĂ© la vieille religion orthodoxe, et quâils se furent sĂ©parĂ©s de leurs associĂ©s du monde, et quâils eurent placĂ© toute leur confiance dans cet Homme, Christ, Celui quâils croyaient ĂȘtre le Messie, Christ, et ensuite Il les déçut?
E-14 Oh! nous avons tous fait ce genre dâexpĂ©rience. Je me souviens que lorsque je venais de me convertir, ma famille pensait que jâavais perdu la tĂȘte. «Bien, disaient-ils, si tu gardes ce genre de religion, tu seras dans un asile dâaliĂ©nĂ©s dâici quelques jours.» Vous avez subi le mĂȘme traitement de la part des gens qui se sont moquĂ©s de vous, et de vos associĂ©s qui ont dit que vous ĂȘtes tombĂ©s dans lâextrĂ©misme. Mais aussi longtemps que votre foi se trouve en Christ, tout ira bien. Ne vous en inquiĂ©tez jamais.
Et je peux me souvenir que les gens... Jâai rencontrĂ© mon ami et les jeunes filles avec lesquels je sortais, je les ai rencontrĂ©s dans la rue et ils ont dit: «Billy, tu es devenu un saint exaltĂ©.» Cela ne me disait rien, car je savais que quelque chose sâĂ©tait produit. Quelque chose Ă©tait arrivĂ©. Et dans mon coeur, je croyais que câĂ©tait le vĂ©ritable et authentique Saint-Esprit. Vingt-quatre ans sont passĂ©s, et cela est encore ancrĂ© lĂ ce soir. Jâai la mĂȘme dĂ©termination de Le servir que le premier soir oĂč je Lui avais fait la promesse lĂ dans cette petite remise en bois. Certainement. Quelque chose sâĂ©tait ancrĂ©.
Des heures sombres sont venues; des moments tragiques sont venus; des dĂ©ceptions sont venues; la mort est venue; mais malgrĂ© tout cela je me repose sur cette merveilleuse espĂ©rance, car Il a dit: «Je suis la RĂ©surrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand mĂȘme il serait mort.»
Ma foi ne repose sur rien dâautre
Que le sang de Jésus et Sa Justice;
Quand tout cĂšde autour de mon Ăąme,
Alors Il est toute mon espérance et tout mon appui.
Sur Christ, le Roc solide, nous nous tenons;
Tous les autres terrains, câest du sable mouvant. (Certainement.)
E-15 Oh! cela a dĂ» ĂȘtre un moment sombre lorsque leur mĂ©decin les a dĂ©laissĂ©s, lorsque leur Ami les a dĂ©laissĂ©s. Et Lazare Ă©tait alors mourant. Et le quatriĂšme jour, il a fait des hĂ©morragies pour la derniĂšre fois et il est parti pour ĂȘtre avec Dieu. On lâa emportĂ©, on a retirĂ© le sang de son corps, on a mis des aromates et du nard dans ses veines, on lâa enveloppĂ© de linges, et on lâa dĂ©posĂ© dans la tombe. Et il est restĂ© lĂ pendant quatre jours, mort. Son corps sentait.
Eh bien, tout le monde sait que le corps humain commence Ă se dĂ©sagrĂ©ger aprĂšs environ soixante-douze heures. Câest la raison pour laquelle JĂ©sus devait ressusciter avant que les trois jours ne soient accomplis. La corruption sâinstalle en soixante-douze heures.
Et David a dit dans la Bible, huit cents ans avant que Christ naisse, sous lâinspiration du Saint-Esprit, il a dit: «Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption, Je ne livrerai pas Son Ăąme au sĂ©jour des morts.» Câest la raison pour laquelle il a dit: «DĂ©truisez ce corps, et Je le ressusciterai en trois jours.» Il savait quâaucune corruption nâallait sây installer. Alors Il est mort le vendredi aprĂšs-midi, et Il est ressuscitĂ© le dimanche matin, parce quâIl savait quâaucune cellule de ce corps saint ne pouvait ĂȘtre touchĂ©e par la corruption. Car la Parole de Dieu est si infaillible. Oh! la la! Il tient Sa Parole Ă la lettre. «Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption, Je ne livrerai pas Son Ăąme au sĂ©jour des morts.» La Parole infaillible de Dieu ne pouvait faillir.
E-16 Son corps reposait lĂ , bien sĂ»r, les gens se posaient des questions. Ils disaient: «Trois jours et trois nuits.» Mais Il avait dit que câĂ©tait dans lâintervalle de trois jours et trois nuits. Il savait que cela ne pouvait pas ĂȘtre trois jours et trois nuits pleins parce que la corruption allait sâinstaller.
Alors voici Lazare; quatre jours ont passĂ©. Le nez sâĂ©tait dĂ©jĂ affaissĂ© sur son visage. Les doigts Ă©taient dĂ©jĂ recroquevillĂ©s. Les vers avaient commencĂ© Ă grouiller dans son corps et Ă ronger sa chair. Oh! cela a dĂ» ĂȘtre lâheure la plus sombre que cette petite famille eĂ»t jamais vĂ©cue; leur Ami Ă©tait parti, leur Ă©glise les avait excommuniĂ©s. Leur frĂšre Ă©tait mort. Et les gens se moquaient dâeux et les raillaient, alors que ces deux jeunes filles Ă©taient assises ensemble chez elles, avec leur voile noir sur le visage, selon la coutume des gens de lâOrient, assises lĂ , pleurant et portant le deuil de leur frĂšre dĂ©cĂ©dĂ©.
E-17 Les voilà . Seuls ceux qui ont été dans ce genre de maisons, seuls ceux qui sont restés aux cÎtés de leur bien-aimé... Nous savons, beaucoup parmi vous savent comment nous nous tenons aux cÎtés de nos bien-aimés. Roy, je peux vous voir assis à cÎté de ce jeune homme. FrÚre Roberson, je peux vous voir, vous et soeur Roberson, vous tenir aux cÎtés de sa mÚre. Oh! combien beaucoup parmi vous... Je me vois me tenir aux cÎtés de mon petit bébé qui était mort et qui avait environ huit mois. Nous savons ce que signifient ces choses. Oh! quels moments sombres!
Mais câĂ©tait lâheure la plus sombre que cette petite famille eĂ»t jamais connue, et Ă ce moment-lĂ JĂ©sus vint sur la scĂšne. Câest souvent de cette maniĂšre quâIl le fait. Câest Ă lâheure la plus sombre, que JĂ©sus vient alors sur la scĂšne.
E-18 Un matin, loin lĂ Ă Babylone, il y a de nombreuses annĂ©es, lorsque trois enfants hĂ©breux qui avaient Ă©tĂ© amenĂ©s captifs loin de leur patrie... Ils Ă©taient tristes parce quâils Ă©taient captifs. Ils Ă©taient tristes parce quâils nâavaient aucun endroit pour adorer. Cependant ils restaient toujours fidĂšles Ă Dieu.
Et un groupe de sĂ©ducteurs vint, ils proclamĂšrent alors que quiconque ne sâinclinerait pas devant la statue (ce qui Ă©tait contraire Ă leur religion) serait jetĂ© dans la fournaise ardente. Et le roi avec grand bruit vint et dit: «Quiconque ne sâinclinera pas devant cette statue devra entrer dans cette fournaise ardente et ĂȘtre consumĂ©.»
E-19 Eh bien, câĂ©tait lĂ un moment de test. Et il y a toujours un moment de test. Tout fils qui vient Ă Dieu doit premiĂšrement ĂȘtre testĂ©, Ă©prouvĂ©. Oh! jâaime cela. Oh! je ne rĂ©clame pas cela, mais quand cela passe, ça produit de beaux fruits de la douceur. Le temps de test, lorsque le feu est trĂšs chaud, chaque chrĂ©tien au travers des Ăąges est passĂ© par ce temps de test.
Et la Bible dit que si nous nâarrivons pas Ă supporter ce test, nous devenons des enfants illĂ©gitimes et nous ne sommes pas des enfants de Dieu. Alors un vĂ©ritable enfant, au moment du test, avec ce... Ils ne marchent pas par la vue, leurs yeux naturels sont fermĂ©s aux choses qui les entourent. Ils marchent seulement par la foi du Seigneur JĂ©sus-Christ, ils regardent Ă Sa Parole et croient quâIl tiendra chaque Parole exactement tel quâIl lâa promis. Le temps de test, les Ă©preuves...
E-20 Et nous voyons que lorsque ce moment de test vint pour ces trois enfants hĂ©breux, ils ont prouvĂ© quâils Ă©taient fidĂšles. Ils ont dit: «Nous ne nous inclinerons pas devant cette statue.»
Oh! la la! alors la grande proclamation qui avait Ă©tĂ© signĂ©e, on est allĂ© et on les a mis ensemble et on leur a liĂ© les mains derriĂšre le dos, on les a fait monter sur une grande planche ou une passerelle afin de les jeter dans la fournaise qui avait rendu les cieux littĂ©ralement rouges: on lâavait chauffĂ©e sept fois plus que dâhabitude. Et pendant quâils avançaient sur cette planche, sachant dans leur coeur quâils ne voyaient pas comment Dieu allait le faire, mais ils savaient que Dieu pouvait le faire. CâĂ©tait leur privilĂšge de marcher vers leur mort, pour ainsi dire, afin de garder la Parole de Dieu.
E-21 Et alors quâils sâavançaient lĂ , peut-ĂȘtre que câĂ©tait lâheure la plus sombre quâils eussent jamais vĂ©cue. Ils nâavaient aucunâaucun chez eux oĂč aller sur cette terre; ils Ă©taient des captifs. Ils Ă©taient simplement comme des esclaves. Ils avaient Ă©tĂ© dĂ©portĂ©s de leur patrie; il ne leur Ă©tait pas autorisĂ© dâadorer en public. Les gens adoraient des idoles en ce pays-lĂ , alors ils ne pouvaient pas se mĂȘler Ă lâidolĂątrie. Ils ne pouvaient pas non plus jouir des privilĂšges dont ils jouissaient dans leur patrie. Ils Ă©taient des captifs. Mais il est une chose, câest que vous ne pouvez pas sĂ©parer un croyant de son Dieu; non, câest impossible.
Et ce matin-lĂ , alors quâils sâavançaient lĂ , sachant quâils se tenaient seuls avec Dieu... Et pendant quâils faisaient des pas en montant, peut-ĂȘtre, lâheure la plus sombre quâils eussent jamais atteinte... Et la chaleur de la fournaise commençait Ă briller sur leur visage. Et comme ils faisaient leur dernier pas dâadieu Ă ce monde pour entrer dans cette fournaise ardente, alors JĂ©sus vint juste Ă ce moment-lĂ . Et Il descendit dans cette fournaise ardente, ayant arrachĂ© une palme des arbres Ă feuilles persistantes du Ciel, et Il a Ă©loignĂ© dâeux le feu en Ă©ventant, et aprĂšs que la fournaise a brĂ»lĂ© peut-ĂȘtre pendant une heure ou plus, le roi en eut assez et il dit: «Ouvrez et voyons ce qui est arrivĂ©.»
E-22 Et lorsquâils ont retirĂ© le grand couvercle de la fournaise, et que ce grand couvercle en acier ou en airain est tombĂ©, le roi a regardĂ© Ă lâintĂ©rieur, et il a dit: «Combien de personnes avons-nous jetĂ©es lĂ -dedans?»
On a dit: «Nous en avons jeté trois.»
Il a dit: «Il y en a quatre lĂ -dedans, et lâUn dâeux semblable au Fils de Dieu.» Des moments sombres et terribles pourraient venir; des moments de test pourraient venir; mais JĂ©sus est toujours sur la scĂšne, si seulement nous sommes fidĂšles et sincĂšres.
Il y eut autrefois une petite femme qui avait dĂ©pensĂ© tout son argent pour payer des mĂ©decins. Elle avait vendu la ferme et lâattelage. Peut-ĂȘtre que tout ce quâelle possĂ©dait, elle lâavait vendu et avait donnĂ© cet argent aux mĂ©decins dans lâespoir dâĂȘtre guĂ©rie. Aucun dâeux nâavait pu lui faire du bien. Et alors quâelle Ă©tait seule, son petit corps Ă©tait frĂȘle parce quâelle perdait du sang depuis plusieurs annĂ©es. Et rien ne semblait pouvoir lâaider. Et lĂ ... Elle avait entendu dire... Vous savez, «la foi vient de ce quâon entend, de ce quâon entend la Parole de Dieu». Elle avait entendu dire que de lâautre cĂŽtĂ© de la GalilĂ©e, il y avait lĂ un ProphĂšte qui guĂ©rissait les malades. Mais elle nâavait pas dâargent pour traverser le lac. Elle ne pouvait pas ramer dans une barque elle-mĂȘme; elle Ă©tait tellement frĂȘle. Elle nâavait pas dâargent pour payer quelquâun dâautre, parce quâelle avait dĂ©pensĂ© tout ce quâelle avait pour payer les mĂ©decins et son Ă©tat restait tout aussi critique.
E-23 Un matin pendant quâelle Ă©tait assise dehors, comme nous pouvons nous le reprĂ©senter, sur la vĂ©randa, de ses petits doigts tremblant elle essayait de faire quelques petits crochets ou tricots. Alors quâelle regardait, il y eut un petit bruit provenant du bord de la mer. Et une petite barque fut poussĂ©e dans les saules, et elle a regardĂ©. Et câĂ©tait juste aprĂšs le moment oĂč, assise lĂ , elle se disait: «Maintenant, jâai perdu tout mon argent, que vais-je faire? Probablement que la semaine suivante je serai chassĂ©e de la maison. Le crĂ©ancier immobilier lâa dĂ©jĂ prise. Nous nâavons mĂȘme pas de quoi manger ni rien du tout. Et je nâarrive Ă obtenir aucun secours.»
CâĂ©tait probablement lâheure la plus sombre quâelle eĂ»t jamais connue. Et Ă ce moment-lĂ la petite barque a accostĂ©, et JĂ©sus vint. Elle est descendue jusquâĂ la riviĂšre, son petit corps tremblant. Et, souvenez-vous, parce que JĂ©sus est venu, chaque dĂ©mon en enfer essayera de vous tenir loin de Lui. Câest juste. Vous pourriez entendre le message, mais le diable se mettra juste sur votre Ă©paule et dira: «NâĂ©coute pas; nâĂ©coute pas; nâĂ©coute pas.» Mais ne le croyez pas.
Il a dit: «Que celui qui veut vienne boire aux Eaux de la Vie, gratuitement.» Ne lâĂ©coutez pas, car il est un dĂ©mon.
E-24 Et la petite dame est descendue jusque lĂ oĂč JĂ©sus venait, et les gens se rassemblaient autour de Lui, les pauvres, et les autres. Et lĂ se tenaient les sacrificateurs et tous lesâles grands conducteurs de sa religion. Ils se moquaient de Lui et disaient: «Eh! câest Toi qui guĂ©ris les malades, nâest-ce pas? Eh bien, nous avons beaucoup de malades; laisse-nous Te voir les guĂ©rir. Eh bien, câest Toi qui ressuscites les morts, nâest-ce pas? Nous en avons un cimetiĂšre plein par ici; laisse-nous Te voir les ressusciter.»
Il ne leur a point prĂȘtĂ© la moindre attention. Il a simplement continuĂ©. Il avait une seule chose Ă faire. CâĂ©tait la chose que Dieu Lui avait montrĂ© de faire; pas plus pas moins.
E-25 Lorsque le chrĂ©tien arrive Ă ce point-lĂ oĂč vous mettez tout de cĂŽtĂ© et que vous nâĂ©coutez pas tous les scandales et tout quâon raconte, et tout ce qui se passe, et que vous nâavez quâun seul motif, câest-Ă -dire celui de faire la volontĂ© de Dieu pour lâaccomplissement de laquelle Il vous a envoyĂ©, il y aura un jour diffĂ©rent, et une Ă©glise diffĂ©rente. La voici qui descend vers cette foule. Et JĂ©sus marchait de Son pas lent et ferme. Et les gens accouraient vers Lui et disaient: «Es-Tu le prophĂšte? Es-Tu ceci? Es-Tu cela? Dis donc, et si Tu venais ici pour faire telle chose pour moi? Laisse-moi Te voir accomplir un miracle. Nous aimerions Te voir changer de lâeau en vin. Voici une cruche pleine dâeau; jâaimerais avoir un peu de ce vin-lĂ . On a dit que câĂ©tait un bon vin. Fabrique ce vin; laisse-moi en tester le goĂ»t.»
E-26 Il nâa mĂȘme pas levĂ© Sa tĂȘte; Il a simplement continuĂ© Ă marcher. Cela me pousse Ă Lâaimer. Vous savez, il faut ĂȘtre une toute petite personne mesquine pour faire des histoires et se disputer. Un grand homme ne prĂȘtera jamais attention Ă quelque chose de ce genre. Les chrĂ©tiens ne prĂȘtent pas attention Ă ce que dit le monde. Sâils veulent dire tout ce quâils dĂ©sirent, ils ont... Ils sont trop grands pour prĂȘter attention Ă ces toutes petites histoires. Ils continuent tout simplement dâavancer, ils vont simplement de lâavant.
La petite femme se disait: «Eh bien, câest le seul moment oĂč je Le verrai, câest ma derniĂšre chance. Câest la seule chance que jâaie jamais eue, et je crois rĂ©ellement que si seulement jâarrive Ă toucher le vĂȘtement de cet Homme, je serai guĂ©rie.» Quelle foi! Quel moment!
E-27 Et lĂ , alors que la foule essaie de lâempĂȘcher dâapprocher, elle sâagenouille dâune certaine maniĂšre, elle se faufile Ă travers cette foule jusquâĂ ce quâelle touche Son vĂȘtement. Et elle est retournĂ©e et sâest tenue dans la foule. JĂ©sus sâest retournĂ© et a dit: «Qui Mâa touchĂ©?»
Eh bien, la foule a dit: «Personne ne Tâa touchĂ©.» Tout le monde a niĂ© lâavoir fait.
Et Pierre Lâa repris; il a dit: «Seigneur, câest tout le monde qui Te presse.»
Il a dit: «Mais Je sens quâune force est sortie de Moi.» Il a cherchĂ© des yeux partout jusquâĂ ce quâIl lâa trouvĂ©e, et Il a dit: «Ta foi tâa sauvĂ©e.»
Son heure la plus sombre... Et la Bible dit quâelle a senti en elle que la rougeurâla perte de sang sâĂ©tait arrĂȘtĂ©e.
E-28 NâĂ©tait-ce pas le mĂȘme Seigneur JĂ©sus ici ce matin pour cet homme assis lĂ , qui avait un cancer Ă un stade avancĂ©, au point quâilâle mĂ©decin disait quâil ne lui restait que peu de temps Ă vivre. Et quand il est passĂ© Ă lâautel en cette heure la plus sombre quâil nâait jamais connue, quinze minutes aprĂšs il est retournĂ© lĂ , et il a dĂ» passer ici pour dire: «Toute cette sensation de lourdeur mâa quittĂ©.» A lâheure la plus sombre, puis JĂ©sus vint.
FrĂšre Burns qui est assis lĂ -bas, lorsque son aimable petite compagne qui est dans la gloire ce soir, quel moment câĂ©tait, il Ă©tait Ă©tendu lĂ Ă lâhĂŽpital de Louisville, atteint du cancer de la rate. Et les mĂ©decins lâabandonnaient dĂ©jĂ .
E-29 Et frĂšre Wood et moi Ă©tions dans laâla forĂȘt pour chasser lâĂ©cureuil. Et nous sommes rentrĂ©s, et quelque chose mâa contraint dâaller Ă Louisville. Eh bien, je ne sais pas. Et jâai dit: «FrĂšre Wood, roulez droit jusquâau virage; je vais Ă Sucliffs.» Et lorsque vous reviendrez, vous pourrez me prendre. Jâai attendu et attendu; je nâarrivais pas Ă le trouver nulle part. Et aprĂšs un moment je lâai vu prendre lâautre virage et dĂ©passait la rue, pensant que Sucliffs câĂ©tait une autre rue plus loin. Si cet homme avait seulement regardĂ©, il aurait vu que Sucliffs ce nâĂ©tait pas lĂ . Et il est en contact avec Sucliffs. Il sait oĂč se trouve cette ville.
E-30 Mais la petite soeur Burns, qui se repose auprĂšs de Dieu ce soir, Ă©tait chez elle; elle a pris la petite photo oĂč lâAnge du Seigneur est au-dessus, et elle sâest agenouillĂ©e devant Cela et a dit: «à Dieu, aide-moi Ă trouver frĂšre Branham pour mon cher mari.»
Et elle sâest rendue au centre-ville pour payer une facture dâĂ©lectricitĂ©, sans savoir oĂč je me trouvais dans ce vaste monde. Et elle est venue, jâai attendu plus dâune demi-heure, et je voyais sans cesse la camionnette passer lâautre virage. Jâai dit: «Il sâest Ă©garĂ©; je dois aller lĂ -bas.»
Et juste au moment oĂč jâarrivais au virage, il y est arrivĂ© pour que je monte dans la camionnette, et juste Ă ce moment-lĂ , soeur Burns est arrivĂ©e au virage. Et lĂ par une priĂšre de la foi, Dieu a guĂ©ri son mari. Et le voilĂ assis ce soir. CâĂ©tait lâheure la plus sombre, puis JĂ©sus vint. Nous pensons tout simplement que nous sommes perdus, et que nous sommes abandonnĂ©s, et lorsque vous commencez Ă sentir... Continuez simplement de tenir bon; Il sera lĂ . Ne vous inquiĂ©tez pas.
E-31 CâĂ©tait lâheure la plus sombre que la petite Georgie Carter eĂ»t jamais connue, lĂ Ă Milltown. Elle Ă©tait membre dâune Ă©glise qui ne croyait pas dans la guĂ©rison divine. Ils tournaient la guĂ©rison divine en dĂ©rision et sâen moquaient. Et cette jeune fille Ă©tait couchĂ©e lĂ dans cet Ă©tat, et le Seigneur mâa parlĂ© ici sur le lit, Il a dit: «Va Ă Milltown.» Je nâavais jamais entendu parler de cette ville. Je suis venu sur cette estrade mĂȘme et jâai dit: «Le Seigneur mâenvoie Ă un endroit appelĂ© Milltown. Il sây trouve un petit agneau qui est retenu dans les buissons. Et il crie pour un secours.»
Personne ne savait oĂč cela se trouvait. Et frĂšre George Wright, qui est ici ce matin, a dit: «Je sais oĂč cela se trouve. Câest juste en contrebas de chez moi.»
E-32 Je suis allĂ© lĂ -bas le samedi suivant. Jâai cherchĂ© partout et jâai commencĂ© une sĂ©rie de rĂ©unions dans la vieille Ă©glise baptiste. Et ensuite, monsieur Hall mâa conduit lĂ -bas pour prier pour cette petite fille. Et jâai priĂ© pour elle. Sa famille est sortie de la maison; ils ne voulaient rien Ă voir avec cela, parce que leur Ă©glise leur avait dit que toute personne qui irait Ă mes rĂ©unions serait excommuniĂ©e.
Elle Ă©tait couchĂ©e lĂ depuis neuf ans et huit mois, Ă plat sur le dos, elle nâĂ©tait mĂȘme pas capable de faire un mouvement. Elle avait pleurĂ©, elle avait priĂ© Ă tel point que vous pouvez aller aujourdâhui et voir son petit lit Ă piliers, elle avait ĂŽtĂ© en frottant toute laâtoute la peinture de lâarriĂšre de ce lit en implorant Dieu de faire quelque chose. Et cependant son Ă©glise formaliste, qui Ă©tait froide et indiffĂ©rente, ne croyait pas dans la guĂ©rison divine et refusait que quiconque vienne prier pour elle alors quâelle Ă©tait dans cet Ă©tat-lĂ .
E-33 Son papa Ă©tait un diacre ou quelque chose lĂ dans lâĂ©glise, et sa maman et tous les autres Ă©taient de grands piliers de lâĂ©glise. Et lĂ , ils avaient Ă©tĂ© renvoyĂ©s, tout espoir avait disparu. Les mĂ©decins lâavaient abandonnĂ©e depuis cinq ans. Elle ne pesait quâenviron trente-sept livres [environ 17 kg], il ne lui restait que les os. Ses petites jambes ressemblaient Ă des manches Ă balai. Et elle Ă©tait Ă©tendue lĂ , ayant juste la peau sur les os.
Un jour que jâallais lĂ -bas, sa maman a fui; son papa avait quittĂ© la maison; ils nâavaient rien Ă faire avec ce fanatique. Et un jour, je suis entrĂ© pour prier pour elle; jâai dit: «Jeune fille, veux-tu te lever et ĂȘtre baptisĂ©e au Nom du Seigneur JĂ©sus pour ĂȘtre lavĂ©e de tes pĂ©chĂ©s, et vas-tu Le servir?»
Jâai dĂ» approcher pour entendre ce quâelle disait. Elle a dit: «Je ferai nâimporte quoi.»
E-34 Jâai vu posĂ© sur monâson lit... lĂ Ă©tait posĂ© mon petit livre intitulĂ©: JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. Jâai priĂ© pour elle; apparemment cela nâa fait aucun bien. Jâai tenu des rĂ©unions pendant deux semaines. Je suis allĂ© baptiser lĂ , Ă Tottenâs Ford. Et les rĂ©unions se terminaient ce jour-lĂ , ce soir-lĂ . Et pendant que je baptisais, il y avait lĂ -bas un autre ministre qui se moquait et tournait en dĂ©rision la pensĂ©e mĂȘme du baptĂȘme dâeau en utilisant le Nom du Seigneur JĂ©sus-Christ. Il avait dit: «Si lâun de mes fidĂšles qui est sous cette tente sâapprochait de cet homme, quâil sorte dâici maintenant. Je ne veux rien Ă voir avec eux.»
E-35 Et il se fit que monsieur Wright Ă©tait assis lĂ , il sâest carrĂ©ment levĂ© et est sorti. Et le dimanche mĂȘme qui a suivi, je nâai pas ouvert la bouche pour dire un mot Ă propos de cet homme. Je suis simplement montĂ© lĂ Ă cet endroit pour ĂȘtreâpour baptiser lĂ , Ă Tottenâs Ford. Et lorsque je suis entrĂ© dans lâeau, il y avait lĂ des gens venant de son rĂ©veil qui se tenaient sur le rivage pour se moquer de moi pendant que je baptiserais au Nom du Seigneur JĂ©sus. Et lorsque je suis entrĂ© dans lâeau, Ă ce moment-lĂ JĂ©sus vint. Voici venir toute son assemblĂ©e portant de beaux vĂȘtements, avançant en pataugeant dans cette eau boueuse, criant: «à Dieu, aie pitiĂ© de moi.» Et je les ai tous baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ juste lĂ , dans ce point dâeau. Je suis allĂ© chez frĂšre George, et frĂšre George a dit: «FrĂšre Branham, venez souper dans quelques minutes.»
Et jâai dit: «Je dois prier.»
E-36 Je suis allĂ© dans les bois, et je nâarrivais pas Ă prier ici et lĂ . Et tout dâun coup, pendant quâil faisait presque sombre, jâai regardĂ©, il y avait une LumiĂšre qui brillait dans un petit cornouiller. Et Elle a dit: «LĂšve-toi de ton... Tiens-toi debout et prends la direction de chez les Carter.»
La petite Georgie Ă©tait Ă©tendue lĂ , pleurant et disant: «Oh! maman, je vais ĂȘtre oubliĂ©e. Il va partir aujourdâhui, et je ne pourrai plus le voir.»
Et ce soir-lĂ , câĂ©tait le service de clĂŽture de ce grand rĂ©veil. Et elle Ă©tait lĂ , tout espoir perdu, Ă ce quâil semblait. Et Ă ce moment-lĂ JĂ©sus vint. Et cette jeune fille Ă©tait Ă©tendue lĂ , ne pesant que trente livres et quelques [13,6 kg], quand je suis entrĂ© lĂ et lui ai imposĂ© la main. Jâai dit: «Soeur, le Seigneur JĂ©sus mâest apparu il y a quelques instants lĂ sur le flanc de la colline et mâa dit de venir ici pour tâimposer les mains, afin que tu sois guĂ©rie.»
Ce petit corps lĂ osseux, qui nâavait pas quittĂ© le lit depuis neuf ans et huit mois, sâest tenu debout, et a couru au piano, et sâest mis Ă jouer:
Jésus, garde-moi prÚs de la croix,
LĂ oĂč il y a une fontaine prĂ©cieuse,
Gratuite pour tous, un flot guérissant,
Qui coule de la montagne du Calvaire.
CâĂ©tait lâheure la plus sombre que Georgie eĂ»t jamais connue, puis JĂ©sus vint.
E-37 Le membre du CongrĂšs, Willie B. Upshaw, qui avait passĂ© soixante-six ans dans un fauteuil roulant, quâon poussait de la salle du CongrĂšs de lieu en lieu, on avait priĂ© pour lui des centaines de fois. Il Ă©tait le vice-prĂ©sident de lâAssociation Baptiste du Sud, les baptistes du Sud, câĂ©tait un grand homme, un homme formidable, un homme qui aurait Ă©tĂ© prĂ©sident des Etats-Unis en 1926, sâil avait vendu son droit dâaĂźnesse; mais il dĂ©testait le whisky. Et il a basĂ© sa candidature sur la prohibition lorsque le parti dĂ©mocrate allait lâĂ©lire. Les gens disaient quâils allaient le faire, et ils lâauraient fait. En effet, cela aurait pu se faire facilement; il Ă©tait bien aimĂ©, mais il a dit: «Je nâĂ©changerai pas mon droit dâaĂźnesse mĂȘme pour ĂȘtre prĂ©sident du monde.» AllĂ©luia! Ă Dieu, donne-nous de tels hommes ici dans notre Maison Blanche. Absolument.
E-38 Il Ă©tait alors couchĂ© lĂ infirme, son dos Ă©tait brisĂ© depuis lâĂąge de dix-sept ans, et il en avait alors quatre-vingt-six. Un soir lĂ -bas, devant dix mille personnes, lorsque Roy Davis lâa envoyĂ© lĂ ... Et il est entrĂ© lĂ , dans un fauteuil roulant, aprĂšs que Roy Davis a priĂ© pour lui et des centaines dâautres personnes. Je nâavais jamais de ma vie entendu parler de cet homme. Il Ă©tait assis lĂ au fonds dans une autre rĂ©union. Je me suis avancĂ© sur lâestrade, et Ă ce moment-lĂ jâai regardĂ© et jâai vu une meule de foin, et un petit garçon en train de jouer. Comme le Saint-Esprit commençait Ă rĂ©vĂ©ler la chose, Il lâa dĂ©signĂ© et a dit quâil Ă©tait un membre du CongrĂšs et que JĂ©sus-Christ lâavait guĂ©ri.
Le voilĂ , un invalide qui Ă©tait restĂ© soixante-six ans dans un fauteuil roulant, Ă quatre-vingt-six ans, Ă lâheure la plus sombre quâil eĂ»t jamais connue, tout espoir pour sa guĂ©rison avait disparu, puis JĂ©sus vint; et un homme qui avait Ă©tĂ© dans un fauteuil roulant pendant soixante-six ans sâest tenu debout et a couru Ă lâestrade, Ă quatre-vingt-six ans; et il a touchĂ© ses pieds, il a sautillĂ©, il sâest tenu dans une rĂ©union de Billy Graham, et il a chantĂ©: Je me repose sur les bras Ă©ternels, sur le perron de la Maison Blanche. A lâheure la plus sombre, puis JĂ©sus vint.
CâĂ©tait lâheure la plus sombre quâAbraham eĂ»t connue; lorsquâil avait cent ans, puis JĂ©sus vint.
E-39 Un soir, aprĂšs avoir prĂȘchĂ© longuement, Il a congĂ©diĂ© Ses disciples, ils sont montĂ©s dans une barque et ils sont partis sans Lui. Et il semble que... LorsquâIl les a congĂ©diĂ©s, alors la petite barque Ă©tait sur la mer, et une petite tempĂȘte sâest levĂ©e; et le diable a dit: «Je les ai eus loin de Lui maintenant. Jâai eu ces saints exaltĂ©s loin de leur MaĂźtre. Je vais donc voir Ă quel point ils vont apporter le Message dans le monde entier. Je vais les noyer tous ici.»
Alors une grande tempĂȘte sâest levĂ©e. Le diable sâest mis Ă souffler en grognant, et la tempĂȘte est survenue, et la petite barque a commencĂ© Ă ĂȘtre ballotĂ©e dans tous les sens comme ceci. Les voiles se sont brisĂ©es; les rames ont cĂ©dĂ©; la barque Ă©tait remplie dâeau; et câĂ©tait le moment le plus sombre. Il ne fait aucun doute quâils sâĂ©taient accrochĂ©s lâun Ă lâautre et criaient. Ils se disaient: «Oh! oĂč est-Il parti? Que Lui est-il arrivĂ©? Pourquoi nâavons-nous pas attendu et ne Lâavons-nous pas pris avec nous? Pourquoi ne Lâavons-nous pas amenĂ© avec nous dans la barque?»
E-40 Et bien des fois vous pouvez penser la mĂȘme chose. Mon ami, il se pourrait que vous soyez parti sans Lui, mais, souvenez-vous, Il vous observe toujours. Il sait exactement oĂč vous ĂȘtes. Peut-ĂȘtre quâil y a des problĂšmes dans votre foyer; peut-ĂȘtre quâil y a des problĂšmes dans votre Ăąme; peut-ĂȘtre quâil y a des problĂšmes dans votre corps; quoi que ce soit, ne vous inquiĂ©tez pas, Ses yeux sont sur vous; Il vous observe.
Il avait gravi une montagne jusquâau sommet; Il observait lĂ et voyait chaque tour que le diable jouait. AllĂ©luia! Il nâest pas seulement montĂ©, mais Il a gravi les remparts du Calvaire, pas seulement du Calvaire, mais les remparts de la Gloire. Et Il est assis ce soir Ă la droite de la MajestĂ©. Il regarde la terre en bas. Il ne peut mĂȘme pas se former uneâune ondulation sur lâeau sans quâIlâcâest avec Sa permission. La mer ne peut pas bouger, une feuille ne peut pas bouger; un oiseau ne peut pas voler.
E-41 Oh! bĂ©ni soit le Nom du Seigneur. Il est au-dessus de toute domination et de toute autoritĂ©. La terre Lui a donnĂ© le nom le plus vile qui puisse ĂȘtre donnĂ©. Dieu Lui a donnĂ© le Nom le plus Ă©levĂ© qui puisse ĂȘtre donnĂ©. La terre Lâa placĂ© dans le lieu le plus bas oĂč on pouvait le mettre, dans une tombe des pĂ©cheurs. Mais Dieu Lâa Ă©levĂ© dans les lieux les plus Ă©levĂ©s; eh bien, Il est si Ă©levĂ© quâIl doit baisser le regard pour voir les cieux. Son oeil veille sur le moineau, et je sais quâIl veille sur moi. Il veille sur vous. Il connaĂźt chaque pensĂ©e quâil y a dans votre esprit. Il connaĂźt chaque acte que vous posez. Il sait tout ce qui vous concerne. Câest juste.
E-42 Vous direz: «Mais jâai rĂ©trogradĂ©, FrĂšre Branham.» Cela ne change rien du tout. Il sait exactement en quoi vous avez rĂ©trogradĂ©. Il sait exactement oĂč vous vous trouvez. Vous direz: «Eh bien, FrĂšre Branham, moi aussi je suis parti sans Lui. Jâavais eu autrefois une occasion de parler. Jâavais eu autrefois lâoccasion deâde devenir un chrĂ©tien. Jâavais eu lâoccasion. Le prĂ©dicateur avait fait lâappel [Ă lâautel]; jâaurais dĂ» y aller. Jâai essayĂ© une fois; jâai Ă©chouĂ©. Jâai fait ceci, jâai fait cela.»
Peu importe ce que vous avez fait, Il a toujours Son oeil sur vous. Ces disciples Ă©taient partis sans Lui, et lâheure la plus sombre vint lorsque le diable les a surpris loin de lĂ , loin de Sa PrĂ©sence. Il sâest mis Ă envoyer des tempĂȘtes sur eux. Peut-ĂȘtre que câest ce quâil est en train de vous faire ce soir. Il pourrait vous donner le cancer; il pourrait vous donner ceci; il pourrait vous donner cela. Il pourrait vous donner un foyer brisĂ©; il pourrait vous donner un coeur brisĂ©. Il pourrait vous donner des soucis; il pourrait vous donner des maux de tĂȘte. Je ne sais pas ce quâil fera, mais je suis certain dâune chose: Dieu a toujours Son oeil sur vous.
E-43 Ceci peut ĂȘtre lâheure la plus sombre pour vous. Je ne sais pas; mais Dieu le sait. Et juste Ă cette heure la plus sombre, lorsquâils Ă©taient sur le point de couler, alors JĂ©sus vint, marchant sur les eaux, tout tranquillement. Les grandes vagues sâaplatissaient tout simplement devant Lui alors quâIl avançait. Pierre a dit: «Seigneur, si câest Toi, ordonne que jâaille vers Toi.»Il a dit: «Viens, marche jusquâici. Demandez, et vous recevrez; cherchez, et vous trouverez; frappez, et lâon vous ouvrira. Car on ouvre Ă celui qui frappe; et celui qui cherche trouve.» Certainement. Il veille toujours.
Et ce qui est Ă©trange lĂ -dedans, pendant que ces disciples Ă©taient impuissants et sans espoir, et lorsque JĂ©sus vint vers eux, câĂ©tait la seule chose qui pouvait les aider. Mais eux ils avaient peur de Lui. Ils avaient peur de Lui.
E-44 Et je dĂ©clare aujourdâhui, mon ami, alors que les nations ont Ă©chouĂ©, alors que les peuples ont Ă©chouĂ©, alors que les communautĂ©s ont Ă©chouĂ©, alors que lâĂ©glise a Ă©chouĂ©, alors que tout le reste a Ă©chouĂ©, on dirait que câen est complĂštement fini de nous. Et Ă tout moment, Ă nâimporte quelle heure, vous pourriez entendre un hurlement, vous nâaurez pas fini de hurler que le monde entier sera dĂ©truit. Une explosion des bombes fera cela; câest tout ce quâon a Ă faire, juste une seule explosion. Ils nâont pas besoin de quitter Moscou; ils peuvent simplement rester lĂ et larguer une bombe sur la 4e Rue, Ă Louisville. Et nous pouvons nous tenir juste ici et en larguer aussi une sur Moscou.
Et que va-t-il arriver avec ces grands navires qui sont lĂ sous la mer comme ceci, avec ces missiles pointĂ©s droit sur ces villes? Il y en a un de ce cĂŽtĂ©, pointĂ© dans cette direction et un de ce cĂŽtĂ©, pointĂ© dans cette direction-lĂ . Lorsque le premier missile explosera, ceux-lĂ exploseront comme cela. Que va-t-il arriver? A quoi vous servira alors votre maison? A quoi vous servira alors votre argent? Quel bien votre copain vous fera-t-il ou votre copine vous fera-t-elle? Quel bien nâimporte quoi vous fera-t-il? Si vous nâĂȘtes pas en ordre avec Dieu, câen sera fini de vous pour toujours.
E-45 Voici lâheure la plus sombre que le monde ait jamais connue depuis le commencement du temps. Il nây a jamais eu, dans lâhistoire du monde, un temps aussi sombre que maintenant mĂȘme. Le cancer fait rage. Imaginez que jâai entendu lâautre jour cette dĂ©claration: «Cette annĂ©e il y aura en AmĂ©rique plus de morts causĂ©s par le cancer dĂ» Ă la cigarette (des gens qui mourront cette annĂ©e en AmĂ©rique) plus que tous ceux qui Ă©taient morts durant les quatre annĂ©es de la guerre de CorĂ©e.» Le cancer fait rage. Des maladies surgissent, et toutes sortes de choses se produisent. Eh bien, nous ne savons pas Ă quoi nous attendre. Les mĂ©decins ne savent pas ce quâil faut appeler maladie, alors ils disent tout simplement que ce sont des virus.
E-46 Quâest-ce quâun virus? Interrogez un mĂ©decin. Câest une chose dont il ne sait rien. Il dit simplement que câest un virus. Câest tout. Il y a de petits microbes et des dĂ©mons qui circulent, dont lâhomme nâa jamais entendu parler auparavant. Tout est en mouvement. Tout, nous essayons de juguler cela Ă lâaide de substances naturelles. Mais lorsque nous essayons de le faire, cela dĂ©clenche quelque chose dâautre. Câest juste.
Lorsque vous administrez de la pĂ©nicilline Ă un homme pour telle chose, cela dĂ©clenche autre chose. Lorsque vous administrez ceci... Câest... Vous ĂȘtes complĂštement hors du chemin. Dieu a une voie, et nous ferons tout aussi bien dây entrer. Les Ă©glises ont Ă©chouĂ©; les presbytĂ©riens ont Ă©chouĂ©; les mĂ©thodistes ont Ă©chouĂ©; les baptistes ont Ă©chouĂ©; les pentecĂŽtistes ont Ă©chouĂ©; les pĂšlerins de la saintetĂ© ont Ă©chouĂ©; lâĂ©glise de Dieu a Ă©chouĂ©; nous avons tous Ă©chouĂ©. Câest juste.
E-47 Vous ne pouvez pas dire: «Je suis un mĂ©thodiste et je suis en sĂ©curitĂ©.» Vous ne pouvez pas dire que vous ĂȘtes un baptiste et que vous ĂȘtes en sĂ©curitĂ©. Que vous soyez mĂ©thodiste ou presbytĂ©rien, quoi que vous soyez, ou pentecĂŽtiste, vous ne pouvez pas dire que vous ĂȘtes en sĂ©curitĂ©. Ce nâest pas le fait dâĂȘtre un membre dâĂ©glise, parce que lâĂ©glise a lamentablement Ă©chouĂ©... Les maladies font tellement rage que, je crois, cinq personnes sur huit ou quelque chose comme cela mourront du cancer cette annĂ©e. Pensez-y. Et des maladies de toutes sortes, de nouvelles maladies et tout apparaissent, câest terrible dây penser. Et les automobiles tuent des gens chaque jour. Et des gens conduisent sur la route dans un Ă©tat de grande nervositĂ©, et ils hurlent.
Eh bien, hier je marchais sur la rue Ă Louisville, et une femme a voulu me gifler pour mâĂ©carter de la rue. Je marchais de cĂŽtĂ© comme ceci, et ma femme Ă©tait avec moi. Et jâai entendu quelquâun derriĂšre moi etâla foule Ă©tait simplement... Et une femme dâapparence idiote, fumant une cigarette, a dit: «Eh bien, si vous ne savez pas de quel cĂŽtĂ© de la rue vous devez marcher, quittez la rue!»
Jâai dit: «Eh bien, madame...»
Elle a dit: «Taisez-vous!»
E-48 Vous y ĂȘtes. Vous y ĂȘtes. Quâest-ce? Les gens sont nĂ©vrosĂ©s; câest un problĂšme mental.
Et les mĂ©decins dĂ©clarent que neuf AmĂ©ricains sur dix souffrent de dĂ©ficience mentale. MĂȘme les psychiatres qui sont censĂ©s dĂ©celer les problĂšmes mentaux perdent la tĂȘte et deviennent fous. On les attache avec des menottes dans les asiles dâaliĂ©nĂ©s. La folie gagne du terrain. Le viol gagne du terrain. Le whisky gagne du terrain. Le pĂ©chĂ© gagne du terrain. La dĂ©bauche gagne du terrain. Il nây a aucun moyen dâarrĂȘter cela. Le communisme se rĂ©pand comme un flot. Il nây a aucun moyen dâarrĂȘter cela, parce que ces gens sont dans le gouvernement et partout ailleurs.
E-49 Oh! mais Dieu soit louĂ©, juste en cette heure la plus sombre, voici alors JĂ©sus venir, sâavançant avec Ses bras Ă©tendus et accomplissant des miracles et des prodiges, et accordant le salut et la misĂ©ricorde aux gens. Lâheure la plus sombre que ce monde ait jamais connue, alors que le rocher de Gibraltar volera en morceaux un jour, mais le Rocher des Ăąges restera Ă©ternellement comme un mĂ©morial de la rĂ©surrection passĂ©e.
Que Dieu vous bĂ©nisse, les amis. Que Dieu vous bĂ©nisse, les enfants. Vous pouvez ĂȘtre pauvre; vous pouvez ne pas savoir dâoĂč vous viendra le prochain repas; mais une chose est certaine: vous ĂȘtes tout aussi le bienvenu Ă la Fontaine de la Vie ce soir que lâhomme le plus riche du monde. Venez sans argent, sans rien payer; câest ouvert Ă quiconque veut.
Câest lâheure la plus sombre que la famille eĂ»t jamais connue. ConsidĂ©rez les familles qui sont brisĂ©es. LâAmĂ©rique seule connaĂźt plus de cas de divorce que tout le reste du monde mis ensemble. Le divorce fait rage. OĂč sont parties lâhonnĂȘtetĂ©, et laâla sincĂ©ritĂ©, et la fĂ©minitĂ© de nos femmes amĂ©ricaines?
E-50 ConsidĂ©rez les hommes, tout ce quâils font câest rouler Ă tombeau ouvert sur les routes, en essayant dâĂ©carter de la route tout ce quâils peuvent, ils vont lĂ etâpour prendre de la biĂšre avant de rentrer chez eux. ConsidĂ©rez nos jeunes adolescentes qui descendent la rue, des cigarettes Ă la main et ainsi... Peu importe combien la mĂ©decine donne des avertissements: «Câest le cancer; câest le cancer.» Ils sâen foutent. Ils sâen foutent. Ils vont carrĂ©ment tirer des bouffĂ©es de toute façon. Un prĂ©dicateur peut se tenir lĂ et prĂȘcher de tout son coeur et leur dire que câest mal; ils diront: «Oh! espĂšce de vieux fanatique.» Le monde est prĂȘt pour le jugement, et nous allons le recevoir. Retenez ma parole. Ăa ne prendra pas longtemps que quelque chose arrive.
E-51 Lorsque jâai vu ce rĂ©veil, il sâest rĂ©pandu en quelque temps. Il a connu du succĂšs. Je me tenais lĂ ce matin-lĂ , lorsque lâEtoile du matin Ă©tait suspendue lĂ Ă la riviĂšre, il y a vingt et quelques annĂ©es, lorsquâIl a dit: «Le Message balayera le monde.» ... Et il y a eu une effusion du Saint-Esprit de la PentecĂŽte Ă lâancienne mode, et les feux du rĂ©veil et des services de guĂ©rison ont couvert la terre.
Ils ont commis beaucoup dâerreurs. Tout rĂ©cemment les journaux ont Ă©crit dans le McCraw ou MacCallâs lorsque cet homme Ă©tait assis dans ma rĂ©union lĂ , Ă Minneapolis... Certains parmi eux, monsieur Peterson et les autres sont venus me dire quâil Ă©tait dans la rĂ©union. Jâai dit: «Cela ne fait aucun doute. Mais vous nâavez jamais correctement examinĂ© vos articles. Vous disiez: âCâest A. A. Allen qui a Ă©crit ce livreâ, et A. A. Allen nâavait rien Ă faire avec cela. Dans ce cas, si câĂ©tait une grosse erreur, je crois quâil y a beaucoup dâerreurs dans le reste.» Jâai dit: «SincĂšrement, ces frĂšres mĂ©ritent peut-ĂȘtre beaucoup de critiques; ils ont commis beaucoup dâerreurs. Câest juste. Mais frĂšre, je prĂ©fĂ©rerais ĂȘtre trouvĂ© sur le champ de bataille en train de commettre des erreurs plutĂŽt que dâĂȘtre un critiqueur de lâhomme qui essaie de sauver des Ăąmes pour Dieu. Quâest-ce que vous vous faites Ă ce sujet?»
E-52 BĂ©ni soit le Nom du Seigneur Dieu. La puissance du Seigneur JĂ©sus-Christ est tout aussi suffisante ce soir; câest le seul Rocher; câest lâunique espoir; câest lâunique foi, et Christ vous lâa prĂ©sentĂ©e. ...vivre ou rejeter et mourir. Câest lâheure la plus sombre que le monde ait jamais connue. Mais JĂ©sus est venu. Et Il est ici maintenant. Ses bĂ©nĂ©dictions sont ouvertes. Son cĂŽtĂ© est percĂ©. Ses mains sont tendues. Et que celui qui veut vienne boire gratuitement aux fontaines de la Vie. Faites votre choix. Votre destinĂ©e Ă©ternelle dĂ©pendra de votre attitude envers JĂ©sus-Christ. Ceci pourrait ĂȘtre votre derniĂšre chance. Et pendant que nous inclinons nos tĂȘtes maintenant pour un mot de priĂšre, je demanderai Ă la soeur de sâapprocher du piano. Pendant que chaque personne est en priĂšre, jâaimerais que vous rĂ©flĂ©chissiez bien lĂ -dessus.
OĂč pourriez-vous aller ce soir? Quâarriverait-il ce soir si une crise cardiaque vous foudroyait? Ceci pourrait ĂȘtre la derniĂšre occasion que vous avez. RĂ©flĂ©chissez bien maintenant. Si câest le cas, ne voulez-vous pas saisir cette occasion? Vous direz: «Eh bien, je suis jeune.» Oh! frĂšre, soeur, Dieu ne tient aucunement compte de lâĂąge. Vous pourriez traverser cette ligne pendant que vous ĂȘtes jeune ou pendant que vous ĂȘtes vieux; cela importe peu. Voyez?
E-53 Notre PĂšre cĂ©leste, nous Te confions maintenant ce Message au Nom de Christ. Câest lâheure la plus sombre que le monde eĂ»t jamais connue. Câest le moment le plus sombre qui ait jamais Ă©tĂ© Ă©crit dans lâhistoire de lâhumanitĂ©. Il y a des missiles dans lâair; des soucoupes volantes, comme on les appelle. Tu as dit quâil y aurait des signes dans le ciel. Et sur la terre, il y a de grands tremblements de terre Ă divers endroits, des Ă©ruptions volcaniques, de grandes vagues dans la mer (Tu as dit: «Au bruit de la mer.»), les hommes rendant lâĂąme. Vraiment, le monde ne sait que faire. Câest ce que dĂ©montre la premiĂšre bombe atomique. La perplexitĂ© des temps, lâangoisse parmi les nations... Tu as dit: «Lorsque ces signes arriveront, alors levez vos tĂȘtes, votre dĂ©livrance approche.»
E-54 Et je pense Ă ces Juifs lĂ -bas; je vois cette Ă©toile Ă six branches de David, le plus ancien drapeau du monde, flotter lĂ -bas. Pourquoi la nation ne voit-elle pas cela? Et de penser que notre propre nation va sâallier aux Arabes, Ă ce quâil semble. Ils seront maudits, Ă coup sĂ»r. Ils ont rejetĂ© laâla misĂ©ricorde de Dieu. Maintenant ils doivent passer en jugement. Voyez-vous ce vieux drapeau flotter lĂ -bas? Voyez-vous le dĂ©sert fleurir comme une rose? Voyez les Juifs revenir de trĂšs loin lĂ en Iran, oĂč ils sont restĂ©s pendant deux mille cinq cents ans. La Bible a dit quâils seraient ramenĂ©s Ă JĂ©rusalem sur les ailes dâun aigle. Voyez-vous ces grands avions dâUnited Airlines les ramener sur les ailes dâun aigle, pour ainsi dire? Ils dĂ©barquent des navires et ils regardent et demandent: «OĂč est le Messie?»
E-55 Tu as dit: «Lorsque le figuier commencera Ă pousser ses bourgeons, sachez que lâĂ©tĂ© est proche.»
Nous le voyons bourgeonner. Et nous voyons tous les autres arbres bourgeonner; nous savons que câest proche. Nous voyons IsmaĂ«l et Isaac lĂ -bas Ă la porte, ils se disputent comme Tu lâas dit, chaque prophĂ©tie est en train de sâaccomplir maintenant mĂȘme. Ă Dieu, aie pitiĂ© et sauve les perdus. Sâil y en a un ici ce soir, Seigneur, qui a besoin de Toi, parle Ă son coeur Ă lui ou Ă elle maintenant mĂȘme. Car il se pourrait que... Câest lâheure la plus sombre. Bien que nous pourrions ne pas nous en rendre compte; il y a peut-ĂȘtre certains ici qui ne se rendent pas compte que ceci est lâheure la plus sombre, mais câest bien le cas. Satan peut leur avoir tellement donnĂ© le sentiment de suffisance Ă cause des biens de ce monde quâils ne sâen rendent pas compte. Tu as dit dans la Bible: «Tu es nu, malheureux, misĂ©rable, aveugle; et tu ne le sais pas.»
E-56 Ă Dieu, accorde ce soir que les hommes et les femmes, les garçons et les filles reviennent Ă eux-mĂȘmes et rĂ©alisent que ceci est lâheure la plus sombre que le monde ait jamais connue. Maintenant, accorde, Seigneur, que sâil y en a ici qui ne Te connaissent pas, quâils viennent doucement et humblement Ă la croix, ce soir, et quâils acceptent Christ comme leur Sauveur personnel.
Quelquâun a-t-il une telle attitude (pendant que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e), que vous aimeriez que lâon se souvienne de vous dans la priĂšre, alors que nous terminons ce service, voulez-vous lever la main vers Dieu et dire: «Souvenez-vous de moi»? Que Dieu vous bĂ©nisse. Et que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse, et vous, vous, et vous. Que Dieu vous bĂ©nisse, lĂ derriĂšre, et vous, madame, oui. Y aurait-il quelquâun dâautre juste avant que nous terminions? Que Dieu te bĂ©nisse, jeune fille.
E-57 Vous direz: «FrĂšre Branham, cela signifie-t-il quelque chose lorsque je lĂšve ma main?» Cela dĂ©pend simplement de ce que vous voulez dire par lĂ . Savez-vous que lorsque vous levez la main, vous dĂ©fiez chaque loi de la science? Savez-vous que votre main est censĂ©e pendre; la gravitation la maintient vers le sol? Savez-vous que lorsque vous levez votre main, cela montre quâil y a quelque chose de surnaturel en vous qui a pris une dĂ©cision? Quelque chose qui nâest pas naturel, quelque chose qui nâest pas scientifique; un esprit en vous vous a amenĂ© Ă briser la gravitation par un Etre surnaturel en vous qui vous fait lever la main vers le Dieu du Ciel et dire: «Jâaccepte maintenant JĂ©sus comme mon Sauveur.» Savez-vous que câest un Esprit en vous qui fait cela? Vous ne pouvez pas le faire vous-mĂȘme. VoilĂ ce que cela signifie: la diffĂ©rence entre la vie et la mort. Si vous avez tort, levez la main vers Lui. Il voit le moineau; Il vous voit, certainement. Maintenant, pendant que vous ĂȘtes juste lĂ Ă votre place, si vous dĂ©sirez venir Ă lâautel et prier, cela dĂ©pend de vous. Si vous dĂ©sirez rester Ă votre place, nous allons prier pour vous. Vous pouvez choisir la maniĂšre dont vous voulez prier. Dieu exaucera. Il y a une dizaine de mains levĂ©es.
E-58 Maintenant, si vous le dĂ©sirez et voulez que Dieu le fasse pour vous, juste lĂ oĂč Il vous a donnĂ© la conviction, juste au mĂȘme endroit, Il ĂŽtera de vous cette conviction. Il prendra sur Lui votre jugement. Et Il a dĂ©jĂ payĂ© pour cela. Et Il dira: «PĂšre, mets tout ceci sur Mon compte. Câest rĂ©glĂ©.»
Alors Dieu vous donnera le Saint-Esprit juste lĂ oĂč vous ĂȘtes. Etiez-vous vraiment sĂ©rieux lorsque vous avez levĂ© la main? Si câest le cas, maintenant prions. Sauveur bĂ©ni, je ne sais pas exactement quel soir je vais apporter mon dernier sermon. Je veux prĂȘcher chaque sermon comme si câĂ©tait mon dernier sermon, car je ne sais pas quand est-ce que Tu vas dire: «Tout est fini maintenant, rentre Ă la Maison.» Je Te prie de me garder. Jâaimerais rester prĂȘcher la Parole. Je vois le besoin de lâEvangile et les effets que ce dernier a sur lâhumanitĂ©. Mais ici dans notre propre beau pays dâAmĂ©rique, nous avons vu tant de facilitĂ©, de richesse, dâargent, et tout. Oh! nous ne pouvons tout simplement pas continuer comme ceci alors que la majeure partie du monde crĂšve de faim. Nous sommes bien nourris et bien habillĂ©s, et nous possĂ©dons nos propres maisons, nos voitures; nous nâavons besoin de rien. Mais nous ne savons pas que nous sommes misĂ©rables, malheureux, aveugles, spirituellement parlant, nus et sans le Sang du Seigneur JĂ©sus. MĂȘme si nous pouvons avoir un grand nombre de membres Ă lâĂ©glise, que nous puissions avoir un rang social Ă©levĂ© dans notre voisinage; nous pouvons bien nous habiller, bien manger, mais, ĂŽ Dieu, pour ce qui est de cette Ăąme...
E-59 Maintenant, en cette heure sombre, Tu es toujours ici parce que Tu mets une conviction dans les coeurs. Il y a eu plusieurs mains qui se sont levĂ©es. Je pense une dizaine; je pourrais me tromper. Il pourrait y en avoir plus ou moins, je ne sais pas, Seigneur, mais Toi, Tu connais chacune de ces personnes. Et maintenant, solennellement dans cette priĂšre de clĂŽture, je les apporte doucement et humblement Ă Tes pieds; comme des attributs de mon sermon ce soir, comme les fruits du message, je Te les apporte, Seigneur, alors quâils ont levĂ© leurs mains pour que je me souvienne dâeux dans la priĂšre. Et ils sâagenouillent maintenant dans leurs coeurs Ă la croix; reçois-les, PĂšre; prends-les comme Tes enfants bien-aimĂ©s.
E-60 Et quelle que soit lâĂ©glise quâils frĂ©quentent, oĂč quâelle soit, puissent-ils devenir des guerriers de la priĂšre. Quâils deviennent des gagneurs dâĂąmes, quâils travaillent, car la nuit approche. Accorde-le, PĂšre. Prends soin dâeux, et bĂ©nis-les, et accorde-leur le plus grand dĂ©sir de leur coeur. Et que le Saint-Esprit bĂ©ni remplisse leur vie. Car nous le demandons au Nom de Christ. Amen.
Combien aiment le Seigneur JĂ©sus de tout leur coeur? Oh! nâest-Il pas merveilleux?
Combien se sentent complĂštement rĂ©curĂ©s, câest comme si le Seigneur est descendu et quâIl a pris Sa grande brosse Ă rĂ©curer et quâIl vous a complĂštement frottĂ©s avec? Oh! la la! Donnez-nous un accord de ce vieux cantique, je crois, de lâArmĂ©e du Salut. Quâest-ce qui peut ĂŽter tout mon pĂ©chĂ©? Rien que le... [LâassemblĂ©e dit: «Sang de JĂ©sus.»âN.D.E.]Quâest-ce qui peut me parfaire encore? Rien que le... [«Sang de JĂ©sus.»]
Câest juste. Chantons cela, tous ensemble maintenant.
Quâest-ce qui peut ĂŽter tout mon pĂ©chĂ©?
Rien que le Sang de Jésus;
Quâest-ce qui peut me parfaire encore?
Rien que le Sang de Jésus.
Oh! précieux est le flot
Qui me rend blanc comme neige;
Je ne connais aucune autre source,
Rien que le Sang de Jésus.
E-61 Nâest-ce pas merveilleux? Aimez-vous ces vieux cantiques? Oh! la la! Je voulais voir quelque chose maintenant. Lequel dâentre vous... Tous les mĂ©thodistes, levez la main. Câest bon. Tous les baptistes, levez la main. Y a-t-il un pĂšlerin de la saintetĂ©? Levez la main. Un nazarĂ©en, levez la main. Un membre de lâĂ©glise de Dieu, levez la main. Un presbytĂ©rien, levez la main. Y a-t-il un catholique? Levez la main. ConsidĂ©rez simplement toutes les diffĂ©rentes Ă©glises qui sont ici. Maintenant, pendant que nous chantons de nouveau cela, quâest-ce qui rend parfait un presbytĂ©rien? Rien que le Sang de JĂ©sus. Quâest-ce qui rend parfait un mĂ©thodiste? Rien que le Sang de JĂ©sus. Quâest-ce qui rend parfait un nazarĂ©en? Rien que le Sang de JĂ©sus. Quâest-ce qui...
E-62 Combien sont des pentecĂŽtistes? Jâai oubliĂ© de demander cela. Combien de pentecĂŽtistes sont ici? Levez la main. Maintenant, les gens voient. Ils disent que nous sommes une Ă©glise pentecĂŽtiste. Il y a cinq mains des pentecĂŽtistes qui se sont levĂ©es. Vous y ĂȘtes. Nous ne sommes pas pentecĂŽtistes par la dĂ©nomination. Nous sommes lâEglise du Dieu vivant. Nous sommes simplement des enfants de Dieu. Nous sommes des presbytĂ©riens; nous sommes des mĂ©thodistes; nous sommes des baptistes; nous sommes des luthĂ©riens; nous sommes des nazarĂ©ens; nous sommes des pentecĂŽtistes; nous sommes des pĂšlerins de la saintetĂ©; nous sommes tout cela. Car nous sommes tous un en JĂ©sus-Christ. Quâest-ce qui a fait cela? Ceci.
Quâest-ce qui peut ĂŽter mon pĂ©chĂ©?
Rien que le Sang de Jésus;
Quâest-ce qui peut me parfaire encore?
Rien que le Sang de Jésus.
Oh! précieux est le flot
Qui me rend blanc comme neige;
Je ne connais aucune autre source,
Rien que le Sang de Jésus.
E-63 Nâest-Il pas merveilleux? Absolument. Maintenant, pendant que nous chantons A la croix, jâaimerais que les mĂ©thodistes, les baptistes, les presbytĂ©riens, les pentecĂŽtistes, et les nazarĂ©ens, que tous se serrent la main. TrĂšs bien, pendant que nous chantons cela. A la croix oĂč...
(Tournez-vous carrĂ©ment maintenant, serrez la main Ă quelquâun.)OĂč jâai criĂ© pour ĂȘtre purifiĂ© du pĂ©chĂ©;LĂ le Sang fut appliquĂ© Ă mon coeur; Gloire Ă Son Nom! Gloire Ă Son Nom!Gloire Ă Son prĂ©cieux Nom!LĂ le Sang fut appliquĂ© Ă mon coeur; Gloire Ă Son Nom!
E-64 Maintenant, ceci câest un soir oĂč nous allons prendre la communion, comme tout le monde le sait; nous prenons la communion ce soir. Et je lâavais oubliĂ© jusquâĂ ce que frĂšre Neville me lâa rappelĂ©. Maintenant, combien se sentent trĂšs bien dâĂȘtre nazarĂ©ens, pĂšlerins de la saintetĂ©, pentecĂŽtistes, baptistes? Faites voir vos mains. Jâai vu ici un baptiste et un mĂ©thodiste qui se tenaient sur lâestrade, ils se sont serrĂ© la main. TrĂšs bien, nous voulons... Nâest-ce pas merveilleux dâĂȘtre un serviteur du Seigneur!
Eh bien, nous sommes simplement des enfants, et les enfants ont des maniĂšres trĂšs drĂŽles, vous savez. Ils se disputent un moment et ils se mettent Ă jouer juste aprĂšs cela. Câest ainsi que nous devons ĂȘtre. DĂ©barrassez-vous tout simplement de toutes les disputes, et continuez, et amusez-vous, jouez avec vos poupĂ©es et faites tout ce qui doit se faire.
E-65 Maintenant, nous avons un rĂ©veil qui vient. Et nous allons chanter lâEvangile, prĂȘcher lâEvangile, et passer tout simplement des moments merveilleux. Combien vont prier pour cela? Oh! câest bon. Maintenant, venez nous aider; prenez le tĂ©lĂ©phone; utilisez chaque petit moyen possible; invitez tous les enfants, dites-leur de venir maintenant et aidez-nous donc; nous allons avoir une communion dans la Parole.
Maintenant, câest lâheure de la communion. Tout le monde est invitĂ© Ă prendre la communion avec nous. Dans quelques minutes. On lâamĂšne ici Ă lâautel, et en dix ou quinze minutes ça sera terminĂ©, ensuite nous observerons le lavage des pieds. FrĂšre Neville va maintenant lire le passage des Ecritures concernant la communion, pendant que nous sommes trĂšs respectueux maintenant comme nous prenons le souper du Seigneur.
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