Prédication La Porte De La Porte / 57-1212 / Newark, New Jersey, USA // SHP | 1 heure et 39 minutes |
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La Porte De La Porte |
E-1 Restons donc debout un instant pour un mot de priĂšre, sâil vous plaĂźt. Inclinons la tĂȘte.
Notre PÚre céleste, nous Te sommes reconnaissant du privilÚge que nous avons de venir auprÚs de Toi par la priÚre. En effet, nous sommes invités à venir par ce moyen-ci, nous avons cette assurance que Dieu exauce, car Il a promis par Son Fils que si nous Te demandons quoi que ce soit en Son Nom, cela nous sera accordé.
Nous Te prions de sauver les perdus ce soir, qui sont assemblĂ©s, de consoler le coeur de tout celui qui est venu Ă©couter cela, Ton Message. Et nous Te prions de guĂ©rir tous les malades qui sont dans la PrĂ©sence divine, et ceux qui, Ă travers le pays, ont des requĂȘtes de priĂšre, et qui dĂ©siraient ĂȘtre ici, sâils le pouvaient. Nous Te prions de tirer gloire de nos efforts. Nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
E-2 Je suis content dâĂȘtre de retour ce soir au service de notre Seigneur et Sauveur JĂ©sus-Christ. Et jâai confiance ce soir que SaâSa PrĂ©sence nous bĂ©nira tous. JâĂ©tais content de voir mon cher ami frĂšre Gardener ici, dâici au... dans leâlâEtat de New York. Et nous avions beaucoup communiĂ© ensemble. Et je nâarrive pas Ă prononcer ce nom comme il le faut, Binghampton, Bingham, Binghampton. Nous avions tenu une merveilleuse rĂ©union lĂ -bas il y a quelque temps, et nous nous souvenons toujours de merveilleux moments de communion que nous avons passĂ©s avec ces bien-aimĂ©s lĂ Ă New York.
E-3 Les lumiĂšres sont un peu faibles [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]... lire ce soir au chapitre 12, ou 3, du Livre de lâApocalypse, comme passage des Ecritures, et prier que Dieu nous accorde un contexte Ă partir de ceci:
Ecris Ă lâange de lâĂ©glise de LaodicĂ©e: Voici ce que dit lâAmen, le tĂ©moin fidĂšle et vĂ©ritable, le commencement de la crĂ©ation de Dieu:
Je connais tes oeuvres... tu nâes ni froid ni bouillant. Puisses-tu ĂȘtre froid ou bouillant!
Ainsi, parce que tu es tiĂšde... ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche.
Parce que tu dis: Je suis riche, je me suis enrichi, et je nâai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misĂ©rable, pauvre, aveugle et nu,
je te conseille dâacheter de moi de lâor Ă©prouvĂ© par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vĂȘtements blancs, afin que tu sois vĂȘtu et que la honte de ta nuditĂ© ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies.
Moi, je reprends et je chĂątie tous ceux que jâaime. Aie donc du zĂšle, et repens-toi.
Voici, je me tiens Ă la porte, et je frappe. Si quelquâun entend ma voix et ouvre la porte, jâentrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.
Jâaimerais prendre pour sujet ce soir: La porte de la porte. Et que le Seigneur nous accorde les contenus de ce texte. Câest un texte vraiment frappant Ă lire Ă cette occasion. CâĂ©tait notre Seigneur JĂ©sus qui sâadressait Ă Jean sur lâĂźle de Patmos, il y a deux mille ans; Il dĂ©crivait exactement la condition de lâĂ©glise en ce jour-ci. Comment elle serait ni froide ni chaude, juste tiĂšde. Et Dieu nâaime pas que Son Eglise soit tiĂšde. Il a dit: «Puisses-tu ĂȘtre soit froide, soit chaude, et parce que tu nâes que tiĂšde, Je te vomirai de Ma bouche.»
E-4 Maintenant, cela convient certainement Ă la situation dâaujourdâhui, de lâĂ©glise moderne dâaujourdâhui, lâEglise pentecĂŽtiste dâaujourdâhui: une condition juste tiĂšde, ni chaude ni froide. Ăa aurait Ă©tĂ© mieux si nous Ă©tions soit en arriĂšre, dans leur ancien Ă©tat, statut dĂ©nominationnel, soit en haut dans les sphĂšres des bĂ©nĂ©dictions de Dieu, plutĂŽt que de rester dans une condition tiĂšde oĂč nous sommes maintenant. Le Seigneur nous apprĂ©cierait beaucoup si nous faisions cela.
E-5 Et comment aujourdâhui, vous le constatez lĂ , la condition de lâĂ©glise, quâils ont Ă©tĂ© dans cette condition-ci, et ils ne le savaient pas. Pouvez-vous vous imaginer un homme dans la rue, nu, misĂ©rable, aveugle, malheureux, et il ne le sait pas? Câest le cĂŽtĂ© triste. Sâil le savait, il sâamĂ©liorerait. Mais il ne le sait pas. Comment le pauvre homme sâamenderait-il (Voyez?), parce quâil ne le sait pas?
JĂ©sus a comparĂ© lâEglise pentecĂŽtiste de ces jours-ci juste bien exactement Ă cela. Tu es nu, misĂ©rable, aveugle, malheureux, et tu ne le sais pas. Eh bien, quand Il sâadressait directement au reste de chacune de cesâcesâces Ă©glises... Et lâĂąge de lâEglise de LaodicĂ©e, câest le dernier Ăąge de lâĂ©glise, nous le savons, et nous y sommes maintenant, lâĂąge de lâEglise de LaodicĂ©e. Et câest la condition laodicĂ©enne.
E-6 Maintenant, remarquez quâIl a aussi donnĂ© une invitation, disant: «Sois zĂ©lĂ©, car Je chĂątie tous ceux que Jâaime.» Et câest un peu de discipline, de correction, de fouet, et Il a dit: «Sois zĂ©lĂ© et repens-toi.» Maintenant, Il ne sâadresse pas aux pĂ©cheurs, Il sâadresse Ă lâĂ©glise. Soyons zĂ©lĂ©s pour Lui et repentons-nous de notre condition tiĂšde dans laquelle nous sommes aujourdâhui.
Maintenant, nous voyons quâIl a dit: «Je me tiens Ă la porte et Je frappe.» Pourquoi quelquâun frappe-t-il Ă la porte? Il cherche Ă entrer. Il a quelque chose dont il aimerait vous parler.
E-7 Au cours de lâĂąge, beaucoup dâhommes ont frappĂ© Ă la porte, de grands hommes ont frappĂ© aux portes des gens. Par exemple, du temps du grand CĂ©sar, quel privilĂšge ça aurait Ă©tĂ© pour un de ses sujets, un pauvre paysan, que le grand CĂ©sar Auguste descende frapper Ă sa porte! Pensez Ă lâhonneur que ça reprĂ©senterait pour unâpour un paysan. Quand le CĂ©sar, le grand empereur de Rome, arrivait Ă sa porte et frappait, cherchant Ă entrer chez lui afin de lui parler pour une raison.
Que serait-il arrivĂ©, il y a quelques annĂ©es en Allemagne, du temps du grand FĂŒhrer dâAllemagne, Adolf Hitler? Et sâil devait venir Ă la porte de lâun de ses soldats et quâil frappait Ă la porte? Cela nâaurait-il pas Ă©tĂ© un honneur pour le grand Hitler, Ă lâĂ©poque oĂč il Ă©tait rĂ©putĂ© en Allemagne, quâil soit allĂ© Ă la porte dâun pauvre soldat allemand moderne frapper Ă sa porte pour sâentretenir avec lui? Ce qui rend cela si important, câest lâimportance de la personne Ă la porte. Câest ce qui rend cela si glorieux.
E-8 Ce soir, dans cette ville de Newark, il nây a pas un bon dĂ©mocrate, dans cette ville, qui ne serait pas honorĂ© si notre prĂ©sident Dwight Eisenhower venait Ă sa porte frapper ce soir. MĂȘme sâil est en dĂ©saccord avec lui sur la politique, ça serait un honneur vu lâimportance du PrĂ©sident des Etats-Unis qui frapperait Ă sa porte. MĂȘme sâil est en dĂ©saccord avec lui, ça serait une chose importante pour lui que de faire cela.
Tout rĂ©cemment, nous avons eu la visite de la reine dâAngleterre, elle Ă©tait en visite au Canada et puis, elle est venue aux Etats-Unis dâAmĂ©rique en visite. Et pendant quâelle Ă©tait en visite ici, quâarriverait-il si elle venait frapper Ă votre porte? Pensez-y donc. Quel honneur ça serait pour nâimporte quelle personne ici ce soir dâaccueillir la reine dâAngleterre, mĂȘme si on nâest pas son sujet, cependant, compte tenu de ce quâelle est, une femme importante! Et si elle venait Ă votre porte et quâelle y frappait, vous considĂ©reriez cela comme un grand honneur. En effet, elle est une reine. Câest une personne importante. Et de rendre visite aux gens ordinaires comme nous serait un honneur compte tenu de sa grande importance.
E-9 Mais, oh! jamais on nâa frappĂ© Ă la porte comme câest le cas quand JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu, frappe au coeur humain. Si la reine frappait Ă votre coeur, Ă votre porte, celle de votre maison, vous ouvririez large la porte et diriez: «Entrez. Câest pour moi un honneur de vous accueillir. Prenez tout ce quâil y a dans ma maison. Je vous donnerai tout ce que vous dĂ©sirez comme souvenir. Ou tout ce que je peux faire pour vous tĂ©moigner du respect pour ĂȘtre venu chez moi, je serais content de le faire.»
Le soldat allemand agirait sans doute de mĂȘme, il se prosternerait sur sa face et dirait: «Grand FĂŒhrer, entrez chez moi, et tout ce que jâai comme biens, ça vous appartient, car vous ĂȘtes le FĂŒhrer dâAllemagne», ou vous ĂȘtes la reine dâAngleterre... Ou vous ĂȘtes le PrĂ©sident des Etats-Unis, ou lâun des hommes les plus honorĂ©s de la nation... PrĂ©sident Dwight Eisenhower, vous lui donneriez tout ce quâil dĂ©sirerait chez vous. Et si vous nâouvriez pas totalement votre maison, il ne se sentirait pas le bienvenu.
E-10 Mais JĂ©sus peut se tenir lĂ et frapper, il nây a personne dâaussi important que le Roi des rois, qui sâhumilie jusquâĂ venir au coeur bas, vil, pĂ©cheur, et frapper Ă ce coeur-lĂ pour chercher Ă entrer dans ce coeur-lĂ . Et nous, en retour, nous Le rejetons. Oh! Vous dites: «Mais, FrĂšre Branham, jâai ouvert mon coeur au Seigneur JĂ©sus il y a longtemps. Il est entrĂ© dans mon coeur il y a des annĂ©es.» Mais je mâadresse maintenant Ă lâĂ©glise. Mais quand Il entre dans votre coeur, est-Il le bienvenu?
Vous savez, dans le coeur, il y a plusieurs petites portes, comme il y en a dans votre maison. Si le PrĂ©sident vient chez vous et que vous lui disiez: «Maintenant, monsieur le PrĂ©sident, vous pouvez vous asseoir ici Ă la porte. Mais nâentrez pas dans telle chambre ou dans telle autre. Je nâaimerais pas que vous entriez lĂ -dedans», Il ne serait pas le bienvenu.
Et si jâai assez de considĂ©ration pour un homme pour lui ouvrir la porte de ma maison et le laisser entrer, il est mon hĂŽte, il est le bienvenu Ă tout ce quâil y a dans ma maison. Si jâentrais chez vous et que je ne me sentais pas le bienvenu, je ne me sentirais pas du tout bien accueilli.
E-11 Mais JĂ©sus entre par la porte du coeur du chrĂ©tien, mais nous avons de petits appartements dans notre coeur dans lesquels Il ne peut pas entrer. Oh! Vous direz: «Je veux quâIl soit mon Sauveur. Je ne veux pas aller en enfer, mais je veux ĂȘtre sauvĂ©. JĂ©sus, Tu peux ĂȘtre mon Sauveur.»
Mais Il veut ĂȘtre plus que votre Sauveur, Il veut ĂȘtre votre Seigneur. Le Seigneur est le PropriĂ©taire, le Chef. Câest pourquoi lâĂ©glise tombe dans sa condition tiĂšde. Elle accepte Christ comme Sauveur, mais pas comme Seigneur. Christ veut ĂȘtre le Seigneur de votre ĂȘtre, vous diriger et vous guider. Câest pourquoi Il frappe Ă la porte, pour entrer dans ce but-lĂ , câest pour ĂȘtre votre Guide spirituel, le Chef de votre bien-ĂȘtre.
Mais dans nos coeurs, nous avons beaucoup de petits appartements. Je souhaiterais parler maintenant de certains de ces petits appartements. Lâun dâeux, câest une chambrette sur le cĂŽtĂ©, oĂč beaucoup de gens qui se disent chrĂ©tiens nâosent cependant pas laisser Christ entrer, dans ce petit compartiment, parce que câest lâappartement de lâĂ©goĂŻsme. Eh bien, vous constatez parmi beaucoup de soi-disant chrĂ©tiens, vous ĂȘtes juste, vous avez des motifs Ă©goĂŻstes. «Oh! Câest en ordre, si câest pour moi et ma dĂ©nomination, câest en ordre. Mais si ma dĂ©nomination nâa rien Ă faire avec cela, alors je ne veux rien avoir Ă faire avec.» Câest un petit appartement de lâĂ©goĂŻsme dont tous les chrĂ©tiens devraient ouvrir la porte, et dire: «Entre, Seigneur JĂ©sus, et sois le Seigneur de mon coeur.»
E-12 Puis, il y a un petit compartiment dans le coeur appelĂ© lâindiffĂ©rent. Oh! Dans quelle condition cette histoire se retrouve! Un peu indiffĂ©rent. Vous aimez ĂȘtre un peu indiffĂ©rent envers les autres. Vous voulez votre propre voie. Vous seriez disposĂ© Ă laisser JĂ©sus entrer, mais vous aimeriez continuer Ă vivre dans le mĂȘme lieu oĂč vous avez toujours vĂ©cu. Vous ne voulez pas vous dĂ©barrasser de vos anciens associĂ©s. Vous ne voulez simplement pas les abandonner. Vous pensez quâils sont de braves gens, et vous ne voulez simplement pas les abandonner.
Ainsi, vous voulez donc ĂȘtre un peu diffĂ©rent. Câest un autre mauvais appartement dans le coeur.
Puis, il y a une autre petite porte appelĂ©e jalousie. Je ne sais pas si vous les yankees vous savez quoi que ce soit Ă ce sujet ou pas, mais lĂ dans le sud, nous en avons beaucoup. Oh! Juste un peu infĂ©rieur Ă lâautre homme. Juste un peu mieux que lâautre Ă©glise. Que les voisins peignent en rouge leurs marches, il vous faut avoir les vĂŽtres en rouge. Oh! Quel horrible esprit Ă avoir pour un chrĂ©tien! Pourquoi ne laissez-vous pas Christ entrer et devenir Seigneur de toute cette chambrette spirituelle dâĂ©goĂŻsme et dâindiffĂ©rence? Laissez-Le accĂ©der Ă votre coeur et Ă tout ce qui est dans votre coeur. Abandonnez-Lui simplement tout votre ĂȘtre. QuâIl soit Dieu et Chef de tout votre ĂȘtre.
E-13 Il y a un autre petit compartiment dont jâaimerais parler. Et câest lâappartement, lĂ Ă lâintĂ©rieur, qui est appelĂ© la foi. Beaucoup de gens veulent accepter Christ comme leur Sauveur, mais ils disent: «Le temps des miracles est passĂ©.» Ils ne veulent donc pas croire que le temps des miracles, câest aujourdâhui. Christ ne peut pas entrer dans ce coeur-lĂ . Si Christ pouvait entrer ce soir dans le coeur de chaque personne qui est ici, il nây aurait pas une personne faible parmi nous dans dix minutes. La foi est en vous, mais vous avez peur dâouvrir large la porte pour Le laisser ĂȘtre le Seigneur de cette foi-lĂ . Vous cherchez Ă sympathiser avec une partie de la Bible, disant: «Une partie de Cela est vraie, mais lâautre nâest pas inspirĂ©e.»
Ce qui est Ă la base de cela, câest peut-ĂȘtre, peut-ĂȘtre, quelquâun qui nâest pas mieux avisĂ©, qui vous a enseignĂ© cela. Toute la Parole de Dieu est inspirĂ©e. Et si nous ouvrons large notre coeur, que nous ouvrons large la porte de notre chambrette de la foi, Christ entrera et sera le Seigneur, Il accomplira de grandes et puissantes oeuvres et de grands et puissants signes, si seulement Il accĂšde au coeur de foi.
E-14 «Oh! diriez-vous, je crois que toutes ces choses sont passĂ©es avec les apĂŽtres.» Voyez, vous gardez la porte fermĂ©e. Christ viendra au milieu des gens et accomplira des signes et des prodiges pour les gens. Et ils gardent ce petit compartiment lĂ fermĂ©. «Oh! Câest peut-ĂȘtre en ordre pour elle, mais pour moi, mon cas est diffĂ©rent.» Il nây a pas de diffĂ©rence pour Christ. Il ne fait acception de personne, pas du tout. Le cancer ou un mal de dent, cela Lui importe peu, pourvu quâIl soit le Seigneur de toute la chose. Vous nâouvrez simplement pas large ce coeur-lĂ pour le laisser entrer par la porte de la foi, afin quâIl soit Chef.
Or, cela renverse le raisonnement. Quand vous laissez Christ entrer dans le compartiment de votre coeur, sous forme de foi, alors, les raisonnements meurent complĂštement.
E-15 Tout rĂ©cemment, nous avons eu un... il y a eu une grande rĂ©union lĂ du cĂ©lĂšbre Billy Graham. Quand Billy Graham Ă©tait Ă Louisville, jâĂ©tais Ă son petit-dĂ©jeuner. Un grand serviteur du Seigneur, il a soulevĂ© la Bible au petit-dĂ©jeuner, il a dit: «Voici le ModĂšle.» Il a dit: «Quand saint Paul allait quelque part, il faisait un converti, a-t-il dit; lâannĂ©e suivante, il rentrait et en avait cinquante Ă partir de ce seul-lĂ . Mais, a-t-il dit, moi, je vais et jâen fais vingt mille dans une ville, et dans un an, il y en a Ă peine vingt.»
Oh! Combien jâavais voulu dire quelque chose! Jâavais un ardent dĂ©sir de dire cela. «Billy, quel est le problĂšme? Ils ont une conception intellectuelle de Christ, et ils nâouvrent jamais large le coeur pour Le laisser devenir le Seigneur.»
E-16 Si un homme... et nâallez pas penser que cela sâapplique uniquement aux baptistes; câest aussi aux pentecĂŽtistes, aux gens du Plein Evangile. Vous Lâacceptez comme un signe, ou comme un prodige, ou une Ă©motion, ou une Ă©vidence. LâĂ©vidence que Christ est dans le coeur, Il porte les fruits de lâEsprit: la foi, lâamour, la joie, la paix, la longanimitĂ©, la gentillesse, la patience, voilĂ le fruit de lâEsprit. Mais nous avons confondu cela avec dâautres choses: le don de la guĂ©rison divine, le parler en langues, ou lâhuile dans les mains, ou du sang sur le visage, ou une petite Ă©motion. Nous avons confondu cela avec le vĂ©ritable Esprit de Dieu, et nous avons acceptĂ© une contrefaçon Ă la place de la Personne de Christ, dans le coeur.
Voyez-vous dans quelle condition lâĂ©glise, lâEglise du Plein Evangile se retrouve? Câest lâĂąge de lâEglise de LaodicĂ©e, pour que chaque Parole que notre Sauveur bĂ©ni a prononcĂ©e lĂ dans la Bible sâaccomplisse: tiĂšde, danser sous lâeffet de la musique, crier et taper les mains. Oh! Ces choses sont bonnes, mais si Christ nâest pas lĂ , quand on arrĂȘte de taper les mains, quand on arrĂȘte de parler en langues, quand le service de guĂ©rison est terminĂ©, quand la musique sâarrĂȘte, sâil nây a pas cette profonde paix Ă©tablie, avec ces portes de la foi large ouvertes pour Le laisser ĂȘtre Seigneur de la situation, cela ne nous sert Ă rien de jouer de la musique, de taper les mains, de parler en langues, dâavoir eu un service de guĂ©rison. Câest vrai.
E-17 Nous Le laissons trĂšs loin: «Mais maintenant, Seigneur, reste lĂ derriĂšre, peut-ĂȘtre que Tu as fait cela pour le... pourâpour frĂšre Untel, ou soeur Unetelle, ou pour leur enfant, mais mon cas est diffĂ©rent.» Ce nâest pas diffĂ©rent; câest vous qui faites la diffĂ©rence en Le gardant hors de votre porte de la foi. Voyez-vous ce que je veux dire? Il veut lâintĂ©rieur lĂ , alors, Il pousse pour ouvrir la porte et exposer toute votre incrĂ©dulitĂ©, et devenir le Seigneur de la situation.
Le mĂ©decin dit: «Vous ne pouvez pas guĂ©rir.» Vous acceptez ce quâIl dit.
Christ dit: «Et câest par Ses meurtrissures que vous avez Ă©tĂ© guĂ©ris.» Voyez, vous Lui fermez la porte. «Il Ă©tait blessĂ© pour nos pĂ©chĂ©s; et câest par Ses meurtrissures que nous avons Ă©tĂ© guĂ©ris.» Câest ce que dĂ©clare la Bible. Mais parfois, vous laissez le mĂ©decin vous fermer la porte au visage. Ce nâest pas le mĂ©decin seul qui le fera, mais le pasteur, plusieurs fois. «Oh! Ces choses, câest du fanatisme. Si notre Ă©glise avait... Si le Seigneur donnait quelque chose comme cela, ça se passerait dans notre Ă©glise.» Oh! Vous et votre Ă©glise! Je pense que cela donne de la nausĂ©e au Seigneur.
Il a dit: «Il les vomirait de Sa bouche.» Il est temps que lâAmĂ©rique se rĂ©veille. LâĂąge du rĂ©veil est pratiquement terminĂ© dans ce pays. Câest vrai.
E-18 Le Seigneur JĂ©sus dans Son... pour accomplir Sa Parole, Il doit tenir Sa Parole. Je me suis souvent demandĂ©, alors quâon voyait Sa Parole ĂȘtre manifestĂ©e, quâen font-ils? «Oh! Eh bien, disent certains, câest de la tĂ©lĂ©pathie.» Les autres disent: «Câest de lâimagination sauvage.» Examinez cela avec la Parole. La Parole de Dieu a promis cela. Et les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point. Ouvrez large la porte de la foi.
Jésus, quand Il était sur terre, savait que cette Ecriture se rapportait à Lui, quand Il a dit: «Détruisez ce corps, Je le relÚverai dans trois jours.»
Le prophĂšte avait dĂ©jĂ dit: «Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption, ni nâabandonnerai Son Ăąme dans le sĂ©jour des morts.» Il savait que cette Ecriture sâappliquait Ă Lui, car Il Ă©tait le Messie, et Il le savait. Sa foi infaillible Lâa mis en Ă©tat de savoir quâIl Ă©tait le Fils de Dieu nĂ© parfait.
Si votre foi vous met en Ă©tat de savoir que chaque promesse divine de la Bible de Dieu est pour vous, tout aussi certainement que cela se rapportait Ă Lui, chaque promesse se rapporte Ă vous. Votre guĂ©rison, le salut, votre affranchissement du pĂ©chĂ©, de lâĂ©goĂŻsme, de votre indiffĂ©rence, de votre petite carapace de tortue oĂč vous vous retirez... Christ veut entrer, ĂȘtre le Seigneur et le Chef, et vous libĂ©rer de ces choses. Mais nous ne voulons pas faire cela. Câest pour accomplir les Ecritures quâils seraient tiĂšdes, et ils le sont.
E-19 Remarquez donc. Ceci nâest pas adressĂ© Ă un individu personnellement, câest juste suivant que le Saint-Esprit vous le montrera. Mais remarquez donc, câest juste la Parole. Aujourdâhui, les gens nâaiment pas ouvrir large leur coeur Ă ces choses, ils ne veulent pas croire cela. Oh! Ils cherchent Ă appliquer cela ailleurs ou Ă quelquâun dâautre, sans savoir que câest pour vous.
Vous dites: «Eh bien, maintenant, attendez une minute, FrĂšre Branham. Jâai parlĂ© en langues il y a dix ans.» CâĂ©tait trĂšs bien. Mais quâest-ce que Christ reprĂ©sente pour vous aujourdâhui? Voyez-vous toujours Ses puissances merveilleuses? Produit-Il toujours le mĂȘme ravissement? Quelque chose vous envahit-il quand vous voyez Sa puissante main commencer Ă se mouvoir et les pĂ©cheurs ĂȘtre convertis? Cela vous amĂšne-t-il Ă prier toute la nuit? Cela vous amĂšne-t-il Ă jeĂ»ner? Cela vous envoie-t-il vite Ă lâautel pour travailler avec quelquâun, lâinstruire sur la maniĂšre dâavoir le Saint-Esprit? Cela rĂ©chauffe-t-il votre coeur pour circuler dans le quartier Ă la recherche des perdus? Parlez-vous au laitier, au releveur le compteur, Ă lâhomme dans la rue? Ces choses vont de pair avec cette expĂ©rience-lĂ que vous avez reçue il y a longtemps. Quelque chose est arrivĂ©. Vous Lâavez mis dehors, Ă la porte. Dieu veut le coeur.
E-20 Ensuite, il y a une autre porte. Oh! Il y en a beaucoup dont nous pouvons parler, mais Ă cause du temps. Il y en a une dont jâaimerais parler juste quelques instants, et câest la porte de lâoeil. «Oh! dites-vous, jâai une bonne vue, FrĂšre Branham.» Vous pouvez physiquement avoir une trĂšs bonne vue et ĂȘtre spirituellement un aveugle tout fait. Câest vrai.
Maintenant, vous ne voyez pas avec vos yeux de toute façon. Jésus a dit à NicodÚme, le grand chef: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, si un homme ne naßt de nouveau, il ne peut voir le Royaume de Dieu.»
Le mot voir, sa traduction correcte, câest comprendre. Vous voyez quelque chose devant vous, vous dites: «Je nâarrive pas Ă voir ça.» Vous voulez dire que vous nâarrivez pas Ă comprendre cela.
JĂ©sus a dit: «Venez et achetez de Moi le collyre afin que Je puisse oindre vos yeux, et que vos yeux sâouvrent et que vous voyiez. Car vous ĂȘtes aveugle, vous ĂȘtes nu, et vous ĂȘtes misĂ©rable, malheureux et pauvre.»
Les Ă©glises ont les bĂątiments les plus grands quâelles nâavaient jamais eus, les Ă©rudits les plus raffinĂ©s, je pense, qui sont jamais montĂ©s en chaire; elles ont cela aujourdâhui. Mais cependant, lâĂ©glise est plus faible quâelle ne lâa jamais Ă©tĂ©; elle devient de plus en plus faible tout le temps.
E-21 Remarquez: «Achetez de Moi le collyre, afin que Je puisse oindre vos yeux avec ce collyre.» Quand jâĂ©tais un petit garçon, je suis nĂ© lĂ dans lâEtat du Sud, du Kentucky, je ne pense pas que beaucoup parmi vous aient jamais Ă©tĂ© lĂ -bas. Nous Ă©tions trĂšs pauvres. Et nous voyions les petits enfants, Ă leur rĂ©veil le matin, ils avaient une espĂšce, maman appelait cela de la matiĂšre, dans les yeux. Et les petits yeux Ă©taient collĂ©s. Alors, maman sortait et prenait de la graisse de raton-laveur dans une vieille bouilloire. Grand-papa dressait des piĂšges aux ratons-laveurs, on extrayait de la graisse, et on nous lâappliquait aux yeux pour ramollir ces petites matiĂšres qui collaient les sourcils. Cela se formait ainsi pendant que nous dormions. Et câest ça le problĂšme avec lâEglise du Plein Evangile ce soir: dormir au travail. Et il faudra plus que la graisse du raton-laveur pour vous ouvrir les yeux, il faudra lâhuile du Saint-Esprit pour ouvrir les yeux de lâEglise, afin quâils voient encore. Ouvrez vos yeux...
E-22 Cela mâalarme, quand je parcours le pays, surtout lâAmĂ©rique, et que je vois de grands signes que le Saint-Esprit peut accomplir, de grands prodiges quâIl peut accomplir, et les gens restent assis comme si de rien nâĂ©tait. Ils ne voient simplement pas cela. Oh! Je prie pour un rĂ©veil en AmĂ©rique. Et je me demande parfois sâil nây aura pas... si je ne suis pas en train de prier en vain. JâespĂšre que non.
Aujourdâhui, jâai rencontrĂ© certains hommes qui venaient des Etats de la Nouvelle-Angleterre, et le Seigneur voulant, tout le mois de mai, il y aura un rĂ©veil lĂ -bas, si le Seigneur le permet. Nous viendrons ici pour tout un mois plein, le mois de mai, pour un rĂ©veil dâun mois. Jâaimerais essayer avec tout ce qui est en moi, si Dieu le permet, chercher Ă apporter le collyre de Dieu, afin que les gens soient oints et que leurs yeux sâouvrent.
E-23 Oh! La Californie et les autres ont eu leurs rĂ©unions, mais vous, vous avez Ă©tĂ© nĂ©gligĂ©s, je pense, ici sur la CĂŽte Est. Les gens ne viennent pas parce quâil nây a pas beaucoup dâargent, et autres, mais ce nâest pas dâargent que nous avons besoin. Ce dont nous avons besoin, câest de Dieu, et que la porte de nos coeurs sâouvre. Et ces Etats de la Nouvelle-Angleterre ont Ă©tĂ© nĂ©gligĂ©s, les petites contrĂ©es montagneuses et partout ici, il nây a pas eu une grande dĂ©monstration. Tous semblent aller en Californie, le cimetiĂšre des prĂ©dicateurs, et ils restent lĂ , ils sont endoctrinĂ©s lĂ avec certaines de ces choses fantastiques, et ils sâen vont.
Mais, oh! je prie, ĂŽ Dieu, secoue encore une fois cette rĂ©gion de la Nouvelle-Angleterre. Et je dirais ceci par respect pour lâEvangile et pour le Seigneur JĂ©sus: Si jamais cette nation a un rĂ©veil, elle ne lâaura jamais sur base de la thĂ©ologie intellectuelle. Il faudra une vĂ©ritable puissance authentique du Saint-Esprit et des manifestations pour secouer les gens, jusquâĂ ce quâils aient un ardent dĂ©sir de voir la gloire de Dieu. Nous en avons terriblement besoin. Et on en a terriblement besoin ici.
E-24 Alors que je parcours des villes de cette grande rĂ©gion de lâEst et que je vois, comme partout, le pĂ©chĂ© de tout cĂŽtĂ©... mais Dieu a le collyre: «Je chĂątie ceux que Jâaime et Je les reprends; sois zĂ©lĂ© et repens-toi.»
Eh bien, je me suis demandĂ©, alors quâon enseignait, le Saint-Esprit prend la Bible, Lui qui a Ă©crit la Bible, qui a donnĂ© les promesses. JĂ©sus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais»... Et puis, Il se met aussitĂŽt, aprĂšs avoir expliquĂ© cela Parole aprĂšs Parole, page aprĂšs page, Ecriture aprĂšs Ecriture, alors, le Saint-Esprit se met aussitĂŽt Ă accomplir tout ce quâIl a promis; et les gens du Plein Evangile resteront assis comme si de rien nâĂ©tait. Il nous faut ouvrir les yeux pour voir le jour et lâheure dans lesquels nous vivons. Quel est le problĂšme? Vous devenez ordinaire, cela devient une chose ordinaire pour vous.
E-25 Il nây a pas longtemps, si seulement vous aviez remarquĂ©, comme jâallais le dire, je parcours le pays, je vois la bontĂ© de Dieu, combien Il est bon envers nous, et combien nous Le traitons avec indiffĂ©rence. Si je frappais Ă votre porte, et que vous ne sortiez pas pour venir me faire entrer, mais que vous jetiez simplement un coup dâoeil par les treillis, que vous regardiez et que vous disiez: «Oh! câest le prĂ©dicateur Branham, quâil rentre, je lâaccueillerai Ă un autre moment», vous aurez du mal Ă me voir revenir.
Et si je venais Ă votre porte, ou que vous veniez chez moi, et que je vous traitais ainsi, ça serait pareil, mais ce nâest pas le cas avec notre Adorable Seigneur. Il est si bon. «Je me tiens et je frappe, continuellement.» Celui qui frappe, pas juste cogner un peu, mais qui frappe, continuellement.
E-26 Un grand artiste, son nom mâĂ©chappe maintenant, avait peint un cĂ©lĂšbre tableau de JĂ©sus en train de frapper Ă la porte. Je pense que câĂ©tait un Grec. Et quand il a rencontrĂ©... Il a passĂ© des annĂ©es Ă peindre, Ă Ă©tudier... Chaque cĂ©lĂšbre tableau doit premiĂšrement passer par la commission de censure avant dâĂȘtre placĂ© au musĂ©e. Ce sont des hommes qui savent faire la critique. Et quand un des critiques de ce tableau sâest prĂ©sentĂ© devant le peintre, il a dit: «Il nây a quâune seule chose qui vous manque dans votre tableau.»
Il a dit: «Quâest-ce?»
Il a dit: «Vous avez une porte sans loquet dessus.»
«Oh! a dit le peintre, le loquet est Ă lâintĂ©rieur.»
Eh bien, câest ce qui se passe, vous avez le loquet Ă lâintĂ©rieur. Et Christ ne peut pas ouvrir votre coeur, Ă©tant en dehors de cela, Il ne peut pas non plus entrer dans la chambre, alors que vous-mĂȘme vous lâavez fermĂ©e de lâintĂ©rieur. Câest vous qui avez le loquet Ă votre disposition. Mais Il est bon pour se tenir et frapper...
E-27 Il y a quelque temps, lĂ dans ma patrie du sud, il y avait un ami, un vieux prĂ©dicateur, et câĂ©tait un merveilleux vieux frĂšre. Et ils avaient un frĂšre de couleur lĂ , un homme de couleur plutĂŽt, du nom de Gabriel. Et nous lâappelions tous Gabe. CâĂ©tait un bon vieil homme, mais nous nâarrivions simplement pas Ă le mettre en ligne avec lâĂ©glise. Il voulait simplement... Il ne frĂ©quentait pas lâĂ©glise. Et nous disions: «Gabe, pourquoi ne viens-tu pas Ă lâĂ©glise?»
«Oh! Je viendrai un jour.»
E-28 Alors, un jour, lui et le prĂ©dicateur Ă©taient allĂ©s Ă la chasse. Eh bien, le vieux Gabe Ă©tait un trĂšs piĂštre tireur; il nâarrivait Ă tirer sur rien. Mais ils Ă©taient allĂ©s Ă la chasse ce jour-lĂ , et ils avaient chassĂ© toute la journĂ©e. Et en rentrant ce soir-lĂ , ils Ă©taient si surchargĂ©s de gibiers quâils... soit ils arrivaient Ă peine Ă marcher. Ils avaient des lapins, des canards, des oiseaux, partout sur eux, au point quâils arrivaient Ă peine Ă marcher. Et le vieux Gabe Ă©tait si surchargĂ© quâil venait derriĂšre le pasteur, il arrivait Ă peine Ă porter son fusil. Et pendant quâils cheminaient sur un sentier familier, le vieux Gabe sâest avancĂ© et a tapotĂ© le pasteur sur lâĂ©paule; et quand le pasteur sâest retournĂ©, il y avait des larmes dans les yeux du vieux noir, et il lui a dit: «Quây a-t-il, Gabe?»
Il a dit: «Pasteur, le dimanche matin, ce sera demain, vous allez me trouver au banc des pĂ©nitents, jâai lâintention dâoccuper ma place Ă lâĂ©glise jusquâĂ ce que la mort me libĂšre.»
Le pasteur a dit: «Je suis trĂšs content dâentendre cela, Gabe. Mais il y a une seule chose que jâaimerais vous demander. Pourquoi ce changement brusque? Eh bien, vousâvous avez changĂ© tout dâun coup.»
Il a dit: «Pasteur, vous savez que je suis un trĂšs piĂštre tireur. Je nâarrive Ă tirer sur rien. Mais regardez simplement les gibiers que jâai.» Il a dit: «Je marchais ici en train de penser: âIl doit certainement mâaimer, sinon Il ne mâaurait pas donnĂ© cela.â»
E-29 Si seulement vous en arriviez Ă ce que le Saint-Esprit vous ouvre les yeux sur la bontĂ© de Dieu envers vous, cela susciterait la repentance; si seulement vous pouvez ouvrir les yeux. Mais câest devenu une chose ordinaire.
Une fois, un homme allait prendre un petit repos sur le rivage. Et il voulait flairer la fraĂźcheur de lâeau salĂ©e, il voulait entendre le cri sauvage des mouettes de mer. Il voulait observer les vagues puissantes, alors que lâeau salĂ©e dĂ©ferlait par de grandes vagues et faisaient des clapotis pour revenir faire encore des clapotis. Oh! Il Ă©tait si ravi de savoir quâil se retrouverait lĂ sur le rivage. Il avait un ardent dĂ©sir de voir et de jouir de la prĂ©sence de la mer.
E-30 Sur son chemin vers lĂ , il a rencontrĂ© un vieux loup de mer (Un vieux loup de mer, câest un vieux marin.) qui lui a demandĂ©: «OĂč vas-tu?»
Il a dit: «Au bord de la mer pour jouir des bĂ©nĂ©dictions, des mugissements de la mer, voir les vagues alors quâelles bondissent, entendre les mouettes.»
Il a dit: «Ce ne sont que des oiseaux. Il nây a que de lâeau salĂ©e. Je ne vois pas de quoi se ravir.» Quel Ă©tait le problĂšme? Il avait tellement vu cela que câĂ©tait devenu si ordinaire pour lui quâil ne voyait plus cela.
E-31 Et la bontĂ© de Dieu envers vous est devenue si ordinaire que vous nâapprĂ©ciez plus cela comme autrefois. Oh! Si Dieu nous ouvrait les yeux et nous accordait le dĂ©sir de faire quelque chose pour Lui! La deuxiĂšme soirĂ©e du rĂ©veil, cent cinquante personnes dans lâassistance.
Vous savez, je me demande ce qui pourrait arriver si nos yeux pouvaient voir ce que notre Seigneur a fait hier soir, voir ce quâIl fera nâimporte quelle soirĂ©e. Chaque Ăąme chrĂ©tienne devrait ĂȘtre si zĂ©lĂ©e et si remplie de feu de Dieu, ses yeux ouverts pour voir la Venue du Seigneur, car ce sont des signes et des bornes kilomĂ©triques de Son apparition pour bientĂŽt. Et nous voyons cela. Le monde des Gentils est pratiquement Ă la fin. Et nous voyons ces choses, et nous bĂąillons, nous nous tapotons la bouche, et nous allons dormir et: «Pourquoi a-t-il prĂȘchĂ© si longtemps?»
Et le Seigneur descend et accomplit des choses quâIl avait dit quâIl accomplirait.
E-32 Quand Il se tenait lĂ , et quâIl parlait Ă la femme au puits de Samarie, elle se tenait lĂ , et Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»
Elle a dit: «Je nâen ai point.»
Il a dit: «Câest vrai; tu en as eu cinq; et celui que tu as maintenant nâest pas ton mari.»
Regardez combien ses yeux sâĂ©taient vite ouverts. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es ProphĂšte. Or, nous savons que quand le Messie sera venu... (Voyez-vous cet ardent dĂ©sir, cette attente, cette expectative?) Nous savons, nous les Samaritains, nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses, Il accomplira ces choses. Tu dois ĂȘtre Son prophĂšte.»
Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
Plein de zĂšle, ses yeux Ă©taient ouverts. Elle a laissĂ© la cruche dâeau au puits de Jacob, elle est entrĂ©e dans la ville, alarmant le message: «Venez voir un Homme qui mâa dit ce que jâai fait; ne serait-ce point le Messie mĂȘme?»
Mais nous, nous disons: «Eh bien, eh bien, câest peut-ĂȘtre de la tĂ©lĂ©pathie mentale, je ne comprends pas tout cela, je pense donc que ça se terminera bien.» Oh! la la!
E-33 ConsidĂ©rez le Juif, quand Philippe Ă©tait si zĂ©lĂ©, ses yeux avaient Ă©tĂ© ouverts du fait quâil avait Ă©tĂ© dans la PrĂ©sence du Messie, quâil a eu Ă trouver son ami. Il avait parcouru trente miles [48 km] jusquâĂ lâautre cĂŽtĂ© de la montagne, et il lâa trouvĂ© sous un arbre en train de prier. Et il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvĂ©. Nous avons trouvĂ© quelque chose.» Oh! Il voulait que tout le monde le sache, chaque ami quâil avait et tout, connaisse cela. «Viens voir Qui jâai trouvĂ©, JĂ©sus de Nazareth, le Fils de Joseph. Câest le Messie que nous attendions.» Et ce... Il nâavait point eu un accueil trĂšs chaleureux, mais cela ne lâa pas du tout dĂ©rangĂ©.
«Oh! a-t-il dit, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
Il a dit: «Eh bien, viens, accompagne-moi, et vois de toi-mĂȘme. Viens donc et vois toi-mĂȘme.»
E-34 Et quand il est entrĂ© dans la PrĂ©sence du Seigneur JĂ©sus, dans la ligne de priĂšre, ou dans lâassistance, oĂč que cela ait Ă©tĂ©, ses yeux Ă©taient toujours fermĂ©s, il est simplement venu parce que quelquâun lâavait invitĂ©. Eh bien, voici un Juif, voyons ce quâil dira.
JĂ©sus nâa point guĂ©ri sa jambe estropiĂ©e. Il ne sâest pas non plus mis Ă parler dans une autre langue quâil ne connaissait pas. Mais Il lâa regardĂ© et Il a dit: «Voici un IsraĂ©lite dans lequel il nây a point de fraude.»
Rapidement, lâhuile a commencĂ© Ă baigner la nuit...?... Il sâest mis Ă regarder et il a dit: «Rabbi, quand mâas-Tu connu? Comment sais-Tu qui je suis?»
Et Il a dit: «Avant que Philippe tâappelĂąt, quand tu Ă©tais sous lâarbre, Je tâai vu.»
Alors, ses yeux se sont tout grandement ouverts jusquâau bout, il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi dâIsraĂ«l.»
E-35 Eh bien, il y avait lĂ des gens qui dormaient. Il y avait le docteur en philosophie, docteur en droit, Jones. Il y avait le Rabbi Levinski, tous ceux-lĂ se tenaient lĂ , les cĂ©lĂ©britĂ©s aussi, alors ils ont dit: «Câest du spiritisme; câest du diable; Il est BĂ©elzĂ©bul, le grand diseur de bonne aventure.»
JĂ©sus sâest retournĂ© et lui a dit: «Parce que Je tâai dit cela, tu le crois?»
«Oui, Seigneur.»
«Alors, tu verras de plus grandes choses que ça, parce que tes yeux sont ouverts.»
«Mais Ă vous qui dormez, vous les grands docteurs en thĂ©ologie, vous les membres dâĂ©glise qui ĂȘtes satisfaits de la condition dans laquelle vous ĂȘtes, parce que vous dormez, Je vous pardonnerai pour avoir dit cela de Moi. Mais il arrivera un temps oĂč le Saint-Esprit fera la mĂȘme chose, prononcer un seul mot contre Cela ne vous sera jamais pardonnĂ© ni dans ce siĂšcle ni dans le siĂšcle Ă venir.»
E-36 Et nous voyons cela arriver, et nous restons assis comme si de rien nâĂ©tait. «Cependant, Je me tiens Ă la porte du coeur et Je frappe, si un homme entend Ma Voix et ouvre, Jâentrerai.»
Allez-vous Le laisser entrer? Ouvrez et faites de Lui votre Seigneur, sur tout votre ĂȘtre. «Ăte mon Ă©goĂŻsme, Seigneur; sois mon Seigneur lĂ . Ăte mon indiffĂ©rence; sois le Seigneur lĂ . Ăte ma jalousie; sois le Seigneur lĂ . Ăte lâorgueil; sois le Seigneur lĂ . Prends ma foi; sois le Seigneur lĂ . Prends mes yeux, sois le Seigneur lĂ . Prends mes mains; sois le Seigneur lĂ . Prends mes oreilles; sois le Seigneur lĂ . Prends mes pieds; sois le Seigneur lĂ . Sois le Seigneur de mon ĂȘtre, de mon Ăąme, de mon corps, et de mon esprit. Conduis-moi et guide-moi, ĂŽ Seigneur, et ouvre mes yeux afin que je voie.» Que ce soit lĂ donc notre priĂšre pendant que nous nous attendons Ă Lui juste un instant, avec nos tĂȘtes inclinĂ©es.
E-37 Je me demande, dans la PrĂ©sence de Son Etre (Mon temps est passĂ©), mais je me demande simplement sâil y aurait quelquâun ici qui se sent assez convaincu, mĂȘme si câest un membre dâĂ©glise, de ce que Christ a Ă©tĂ© votre Sauveur, mais pas votre Seigneur. Voudriez-vous lever la main vers Lui pour dire: «Seigneur, sois misĂ©ricordieux»? Que Dieu vous bĂ©nisse, monsieur. Que Dieu vous bĂ©nisse, madame. Que le Seigneur vous bĂ©nisse, vous, mon frĂšre; vous, soeur; vous, frĂšre; que le Seigneur vous bĂ©nisse.
Vous avez dit: «Cela reprĂ©sente-t-il quelque chose pour moi de lever la main?» Ă chers amis, vous brisez toutes les lois de la gravitation. Que Dieu vous bĂ©nisse, soeur. Quâest-ce que cela fait? La gravitation dĂ©montre que vos mains doivent pendre, mais il y a en vous un esprit qui a pris une dĂ©cision, disant que vous ĂȘtes en erreur. Quelque chose qui se tenait Ă cĂŽtĂ© de vous vous a convaincu que vous ĂȘtes en erreur, vous dĂ©fiez donc les lois de la gravitation grĂące Ă un esprit en vous. Que Dieu vous bĂ©nisse, frĂšre, ici.
Lâesprit en vous dit: «Vous ĂȘtes en erreur, levez la main vers votre CrĂ©ateur.» Et votre main se lĂšve discrĂštement, inconsciemment. Dieu voit cela, certainement. Il voit.
E-38 Y en a-t-il un ici qui nâa jamais acceptĂ© Christ comme son Sauveur, mais qui dit: «En cette heure-ci, FrĂšre Branham, avant que je voie mĂȘme une quelconque manifestation de Son Etre...»? Juste la foi qui vient de ce quâon entend, ce quâon entend de la Parole. «Je veux quâIl soit mon Sauveur Ă partir de ce soir. Je lĂšve la main vers Lui.»
Y a-t-il ici quelquâun qui est un pĂ©cheur qui nâa jamais acceptĂ© Christ et qui veut ĂȘtre... Christ pour vous sauver ce soir? Vous dites: «Je Lâaccepte maintenant sur base de Sa Parole, quâIl vient bientĂŽt, et je veux quâIl soit mon Sauveur. Je vais Le laisser entrer dans mon coeur maintenant mĂȘme. Je veux quâIl prenne la pleine possession de chaque porte, chaque secret, qui est dans mon coeur; quâIl vienne maintenant et quâIl soit le Seigneur de tout.» Je suppose que dans ce petit groupe il nây en a pas. Vous ĂȘtes tous chrĂ©tiens, jâen suis reconnaissant.
E-39 Maintenant, chrĂ©tiens, combien parmi vous, avec vos tĂȘtes inclinĂ©es maintenant, disent: «Jâai Ă©tĂ© un peu diffĂ©rent, frĂšre Branham, et Seigneur, Tu sais que jâai Ă©tĂ© diffĂ©rent, mais je veux lâĂȘtre jusquâau bout; jâaimerais que mes yeux soient ouverts. Ouvre mes yeux afin que je voie. Ouvre mes yeux, Seigneur.»? Voudriez-vous lever la main, mĂȘme si vous ĂȘtes chrĂ©tien, mais indiffĂ©rent? Que le Seigneur vous bĂ©nisse.
Maintenant, PÚre, Tu vois les mains de Tes enfants ici présents. à Seigneur, je Te prie de rendre cela possible, afin que nous puissions passer tout un mois, le mois de mai, dans un grand réveil ici, prendre notre temps et enseigner les aprÚs-midi et les soirs, et voir Ta puissante main commencer à se mouvoir parmi ces hommes et les gens.
E-40 Ă Seigneur, comme on est les premiers Ă sâĂ©tablir dans cette grande rĂ©gion ici, puissent-ils devenir les premiers Ă commencer un rĂ©veil Ă lâancienne mode, du temps de la Bible, Ă la fin de cette grande nation; accorde-le, Seigneur. BĂ©nis ceux qui ont levĂ© les mains; quâils sâabandonnent complĂštement Ă Ta PrĂ©sence maintenant.
Et Seigneur JĂ©sus, viens. Presque eux tous ont Ă©tĂ© dans des rĂ©unions, ils savent Ă quoi sâattendre de la part du Seigneur. Et je Te prie de manifester Ta grande puissance ce soir et dâouvrir chaque oeil, chaque oreille, chaque entendement. Sanctifie nos corps, nos Ăąmes, notre esprit, par Ta PrĂ©sence, car nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen.
E-41 Que le Seigneur soit bienveillant et bon envers vous tous. Maintenant, ne vous inquiĂ©tez pas, comme nous pensons quâil y a juste quelques personnes ici. Cela nâa rien Ă faire avec la chose. Christ a promis dâĂȘtre lĂ oĂč deux ou trois sont assemblĂ©s. Je fournirais tous les efforts pour deux personnes tout autant que jâen fournirais pour deux millions, ça serait tout pareil. Comment saurai-je ce que notre Seigneur veut? Je suis seulement responsable pour la Parole.
Maintenant, comme nous allons prier pour les malades, comme je le fais dâhabitude, prier pour les malades, essayer de prĂȘcher, non pas juste une partie de lâEvangile, mais le plein Evangile, tout cela. «Il Ă©tait blessĂ© pour nos pĂ©chĂ©s, brisĂ© pour notre iniquitĂ©; le chĂątiment qui nous donne la paix est tombĂ© sur Lui, et câest par Ses meurtrissures que nous avons Ă©tĂ© guĂ©ris.» Câest le plein Evangile.
E-42 Et si cela relevait de mon pouvoir, je serais trĂšs content ce soir, si jâen avais le pouvoir, de guĂ©rir les malades qui sont dans cette salle. La plupart des gens qui viennent Ă mes rĂ©unions, ils suivent la prĂ©dication et tout, ils sont malades et nĂ©cessiteux. Si jâavais le pouvoir de faire cela, je le ferais, mes chers amis. Je le ferais certainement. Je nâai pas le pouvoir de le faire. Et je dis cela avec respect et rĂ©vĂ©rence, je ne crois pas quâil y ait un homme sur terre qui ait le pouvoir de le faire, pas la guĂ©rison divine. En effet, la guĂ©rison divine a Ă©tĂ© acquise au Calvaire. Il sâagit de votre foi dans une oeuvre achevĂ©e. Christ vous a guĂ©ri quand Il a Ă©tĂ© meurtri pour vous au Calvaire. Il Ă©tait (au passĂ©) blessĂ© pour nos pĂ©chĂ©s. Et câest par Ses meurtrissures que nous avons Ă©tĂ© (au passĂ©) guĂ©ris.»
E-43 Maintenant, vous ne pouvez pas payer un bien deux fois, câest dĂ©jĂ achetĂ©. Si notre Seigneur JĂ©sus se tenait ici ce soir, sur cette estrade, et quâune personne malade venait vers Lui et disait: «Mon Seigneur et mon MaĂźtre, je reconnais en Toi mon Seigneur et mon MaĂźtre, je suis malade et nĂ©cessiteux, ĂŽ MaĂźtre; veux-Tu me guĂ©rir?» Que pensez-vous quâIl dirait?
Ăa devrait ĂȘtre quelque chose de ce genre: «Mon enfant, ne peux-tu pas Me croire sur Parole, que jâai dĂ©jĂ fait cela?» Il ne peut pas dire: «Oui, Je vais te guĂ©rir», parce quâIl a dĂ©jĂ fait cela; certainement quâIl lâa dĂ©jĂ fait.
Quand Il Ă©tait ici sur terre, le Seigneur JĂ©sus, prĂ©tendait-Il guĂ©rir les gens? Faites attention. Non, Il disait: «Ce nâest pas Moi qui accomplis les oeuvres; câest Mon PĂšre qui demeure en Moi qui accomplit les oeuvres.» Combien savent cela? Câest Lui qui accomplit les oeuvres.
Eh bien, sâIl accomplit donc les oeuvres, quâa dit alors JĂ©sus dans Saint Jean 5.24, ou voyons, non, dans Saint Jean 5.19? Câest lĂ . JĂ©sus, aprĂšs ĂȘtre passĂ© prĂšs de la piscine de BĂ©thesda, lĂ oĂč les boiteux et les aveugles Ă©taient couchĂ©s... Le PĂšre lui avait donnĂ© une vision, Il est descendu, Il a promenĂ© le regard sur cette foule jusquâĂ ce quâIl eĂ»t trouvĂ© une certaine personne couchĂ©e sur un petit grabat. Et le petit grabat...
E-44 Combien savent ce que câest un grabat? Câest bien. Jâai grandi sur un. Câest juste une couverture piquĂ©e dĂ©posĂ©e sur le plancher. Il y avait une ribambelle dâenfants; nous nâavions pas de chambre Ă coucher pour tous, alors nous... Jâai dormi pratiquement tout le temps, comme jâĂ©tais lâaĂźnĂ© de la famille, sur un petit grabat.
Alors, cet homme Ă©tait couchĂ© sur un petit grabat. Et JĂ©sus est passĂ©, Il lâa vu, et Il savait quâil Ă©tait dans cette condition depuis plusieurs annĂ©es. Il a dit: «Prends ton lit, rentre chez toi.» Il sâen est allĂ©, laissant les autres. Pourquoi? Le PĂšre ne Lui avait rien montrĂ© Ă leur sujet. Alors, il fut interrogĂ©, lâhomme qui portait le lit sur lâĂ©paule, et ensuite JĂ©sus fut interrogĂ©. Et voici ce quâIl a dit, Saint Jean 5.19: «En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-mĂȘme; mais ce quâIl voit faire au PĂšre, le Fils aussi le fait pareillement.»
Maintenant, cela... Est-ce la vĂ©ritĂ©, ou est-ce une erreur? Si câest une erreur, alors JĂ©sus Ă©tait menteur. JĂ©sus nâa jamais accompli un miracle, sans premiĂšrement que Dieu Lui ait montrĂ© en vision quoi faire, sinon Il a dit quelque chose de faux lĂ . SâIl a dit quelque chose de faux, Il nâĂ©tait pas le Fils de Dieu. «En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-mĂȘme; mais ce quâIl voit faire au PĂšre, le Fils aussi le fait pareillement.» Voyez?
E-45 Lazare, la résurrection, toutes ces choses, le PÚre le Lui avait montré.
Eh bien, il y avait une petite femme qui est passĂ©e au milieu de lâassistance, et elle ne... pas... Le PĂšre ne lui avait pas montrĂ©... ne Lui avait rien montrĂ© Ă son sujet. Mais elle croyait. Alors, elle est passĂ©e au milieu de la foule, elle a touchĂ© Son vĂȘtement, elle est rentrĂ©e et sâest assise. JĂ©sus sâest retournĂ© et a dit: «Eh bien, qui Mâa touchĂ©?»
Et Pierre Lâa repris, disant: «Seigneur, toute la foule Te touche. Et pourquoi dis-Tu: âQui Mâa touchĂ©?â»
Jésus a dit: «Mais Je me suis senti faible (La force, la vertu, et tout le monde sait que la vertu veut dire la force), la vertu est sortie de Moi; Je me suis senti faible.»
Alors, Il a promenĂ© le regard sur lâassistance jusquâĂ ce quâIl a repĂ©rĂ© la petite dame. Et alors, elle souffrait dâune perte de sang, et Il lui a dit quâelle Ă©tait guĂ©rie; sa foi lâavait guĂ©rie. Et elle a senti dans son coeur que la perte de sang sâĂ©tait arrĂȘtĂ©e, et elle Ă©tait guĂ©rie. Oh! Quelle diffĂ©rence!
E-46 Maintenant, vous direz: «Oh! SâIl Ă©tait ici ce soir, jâaurais voulu faire cela.» Mais Il est ici. «Eh bien, FrĂšre Branham, y a-t-il une Ecriture qui nous dit quâIl fera la mĂȘme chose?»
«Oui, il y en a. GrĂąces soient rendues Ă Dieu! La Bible dĂ©clare, le Nouveau Testament, quâIl est notre Souverain Sacrificateur qui peut ĂȘtre touchĂ© par le sentiment de nos infirmitĂ©s. HĂ©breux: Nous pouvons Le toucher avec le sentiment de nos infirmitĂ©s.»
«Alors, comment sauriez-vous que vous Lâavez touchĂ©?» Il se retournerait et dirait la mĂȘme chose quâIl avait dite Ă lâĂ©poque, si nous Le touchons. TrĂšs bien.
Alors, comment le saurais-je?
Maintenant, Il... aprĂšs quâIl eut quittĂ© la terre, Il est devenu le Cep, ou Il est devenu Celui par qui lâEsprit passe. «Je suis le Cep, vous ĂȘtes les sarments.» Eh bien, ce nâest pas le cep qui porte les fruits; il ne fait que produire la vie, et câest le sarment qui porte le fruit. LâEglise, ce sont donc les sarments; et si cela est effectivement connectĂ© Ă Christ, cela portera les fruits de Christ.
E-47 La Bible dĂ©clare, HĂ©breux 13.8: «Il est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement.» Et sâIl a fait ces choses dans le passĂ©, Il doit les faire aujourdâhui pour ĂȘtre le mĂȘme.
Oh! JâespĂšre que câest si clair que mĂȘme les enfants comprendront cela. Je ne peux pas le faire avec des lĂšvres humaines. Mais que le Saint-Esprit entre dans vos compartiments ce soir. Ouvrez large les portes de la foi; ouvrez large vos yeux afin que vous voyiez; ouvrez large votre ouĂŻe, votre entendement; ouvrez large tout votre ĂȘtre; venez et dites: «Maintenant, JĂ©sus, sois le Seigneur de ma maison. Tu es le Bienvenu ce soir, Seigneur. Me voici; prends-moi. Je suis malade; je suis misĂ©rable; je suis un douteur; je suis un incroyant; je suis trĂšs sceptique de tout cela, entre et sois mon Seigneur.»
Observez ce qui se passe. Oh! Les cloches de joie du Ciel retentiront de nouveau. Vos yeux sâouvriront et verront que ce nâest pas un petit prĂ©dicateur non instruit, qui ne peut mĂȘme pas parler un bon anglais. Cela nâa rien Ă faire avec la chose; câest la PrĂ©sence de la manifestation de Son Etre, selon Sa promesse, Sa Parole. Que Dieu lâaccorde.
E-48 Maintenant, PĂšre, le reste est entre Tes mains. Jâai dit ce que je pensais que Tu me demanderais de dire. Et tout est accompli, que Ton Nom soit louĂ©; accorde-le, PĂšre. Je confie ce petit groupe de gens entre Tes mains. Et avec eux, je me prĂ©sente moi-mĂȘme comme Ton serviteur. Maintenant, Seigneur, «la foi vient de ce quâon entend, ce quâon entend de la Parole.» Et je Te prie, ce soir, dâopĂ©rer des prodiges parmi nous pour la gloire de Dieu. Au Nom du Seigneur JĂ©sus. Amen.
Combien de malades y a-t-il parmi nous? Regardez donc. Combien y en a-t-il ici sans cartes de priĂšre? Levez la main. Eh bien, je pense deux tiers, sans cartes de priĂšre. Il ne faut pas de cartes de priĂšre. Il vous faut simplement ouvrir la porte. Maintenant, juste... Voudriez-vous mâaccorder cinq autres minutes pour quelque chose que je... le Saint-Esprit place sur mon coeur? Je pense que cela vous aiderait maintenant mĂȘme. Supportez-moi donc encore cinq minutes.
E-49 Quâest-ce que la foi? Jâai parlĂ© des portes, maintenant, voyons ce que câest. Quâest-ce que la foi? Oh! Cela a Ă©tĂ© si mal interprĂ©tĂ©. Beaucoup appellent foi lâĂ©motion, oh! sautiller et crier. Eh bien, rappelez-vous, quand je parle de ces choses... Je crois au fait de crier; je crois dans la louange du Seigneur. Je crois quâil y a un don de parler en langues et dâinterprĂ©tation. Je crois dans tout ce que la Bible dit, mais nous ne pouvons pas nous laisser aller Ă cause dâune seule chose. Voyez? Recevez le Donateur, et le don sâoccupera de soi. Voyez? Si vous recevez le don sans le Donateur... Je peux vous donner une pomme cueillie Ă un arbre, et vous nâaurez toujours pas eu le pommier. Voyez? Voyez? Et cet arbre porte neuf diffĂ©rentes sortes de fruits.
Si donc cet arbre qui est lâEglise... Et unâun don diffĂšre dâun autre; par un seul don, nous ne pouvons pas dire que nous avons la chose. Tous les neuf dons doivent ĂȘtre Ă lâoeuvre dans lâEglise. Et les fruits de lâEsprit, ce sont lâamour, la joie, la foi, la longanimitĂ©, la gentillesse, la patience, la bontĂ©, la douceur, la tempĂ©rance; ce sont lĂ les fruits de lâEsprit.
E-50 Eh bien, si cela opĂšre dans votre vie, avec lâautre, bĂ©ni soit le Nom du Seigneur. Mais si lâun est lĂ sans lâautre, faites attention, vous ĂȘtes sur un terrain dangereux. Voyez? Satan peut pratiquement, imiter tout ce que Dieu fait. Mais vous pouvez voir que cela nâest pas mĂȘlĂ© dâamour, ou cela nâa pas non plus la foi. La Parole qui est prĂȘchĂ©e ne leur a pas profitĂ© parce quâElle nâa pas Ă©tĂ© mĂȘlĂ©e de foi.
[Espace vide sur la bandeâN.D.E.] Si je vous demandais dâabord de me donner un pain et que vous disiez: «Le prix du pain, câest vingt-cinq cents», et que vous me remettiez vingt-cinq cents, je serai tout aussi heureux que si vous mâaviez donnĂ© du pain. Le pain mâappartient, parce que jâai le prix dâachat dâun morceau de pain. Je peux ĂȘtre tout aussi heureux en Ă©tant ici avec vingt-cinq cents, mĂȘme si je crevais de faim, et quâun morceau de pain me sauverait la vie, et peut-ĂȘtre quâil me faudrait parcourir six pĂątĂ©s de maisons avant, mâarrĂȘter devant chaque feu de signalisation, et ĂȘtre arrĂȘtĂ© vingt fois par la police, ĂȘtre critiquĂ© par plusieurs critiqueurs, je pourrais ĂȘtre tellement affamĂ© quâune fois arrivĂ© lĂ jâaurais des crampes et toutes sortes de symptĂŽmes, mais tant que jâai les vingt-cinq cents, quâest-ce que cela change?
E-51 La foi, si elle est dans votre coeur et que Dieu lâa plantĂ©e lĂ , et que vous croyez cela, rien ne fera obstacle. Chaque mĂ©decin peut vous dire le contraire; chaque pasteur peut vous dire quelque chose de diffĂ©rent; cela ne fera pas la moindre diffĂ©rence, vous avez la chose. Et vous ĂȘtes tout aussi heureux, une fois que cela tombe dans votre coeur, que vous le serez en possĂ©dant ce que vous demandez. Vous y ĂȘtes.
Eh bien, si notre Seigneur bĂ©ni veut ĂȘtre si bienveillant pour venir ici ce soir et se manifester devant nous, et montrer quâIl est... Eh bien, comment la foi est-elle envoyĂ©e? Vous dites: «FrĂšre Branham, jâai un enfant malade; ma mĂšre est malade. Je suis moi-mĂȘme malade, voudriez-vous nous guĂ©rir?» Jâaurais bien voulu pouvoir le faire, mais je ne le peux pas.
E-52 Mais par un don divin, cela peut vous montrer que chaque promesse dans la Bible est vraie et quâelle est vĂŽtre. Et quand Christ est prĂ©sent, tendez donc la main et dites: «Seigneur JĂ©sus, manifeste-Toi Ă moi maintenant mĂȘme et donne-moi la foi pour croire cela.»
Alors, ce pouvoir dâachat se dĂ©verse dans votre coeur: «Jâai cela.» Pas de bousculade pour la ligne de priĂšre, vous descendez simplement la rue en vous rĂ©jouissant, câest rĂ©glĂ©. Câest la dĂ©monstration des choses que vous nâavez pas, mais vous avez le pouvoir dâachat. Et alors, la Bible dit que MoĂŻse se montra ferme, voyant Celui qui est invisible.
E-53 Abraham se montra ferme. Quand Dieu lui a parlĂ©, il en Ă©tait sĂ»r. Et il appela des choses qui nâĂ©taient pas comme si elles Ă©taient. Comment va-t-il sây prendre, Ă soixante-quinze ans, sa femme en avait soixante-cinq, environ vingt-cinq ans depuis la mĂ©nopause? Comment va-t-elle avoir un enfant? Cela nâentrait mĂȘme pas en ligne de compte, ni son corps mort ou son sein Ă elle. «Il ne douta point, par incrĂ©dulitĂ©, au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifiĂ©, donnant gloire Ă Dieu.»
Et nous affirmons ĂȘtre Ses enfants. Eh bien, voyez-vous pourquoi nous sommes tiĂšdes? Vous voyez pourquoi Christ... Est-ce que cela accomplit Sa Parole? SâIl vient ici ce soir et quâIl se manifeste, que fait-Il? Il frappe au coeur. «Je sais que vous ĂȘtes tiĂšde; vous nâĂȘtes ni bouillant ni froid. Oh! Mais Je me tiens Ă la porte et Je frappe. Si quelquâun entend Ma Voix, Jâentrerai, Je souperai avec lui.»
«Tu as enseignĂ© Ta promesse, Seigneur; si Tu me guĂ©ris, je promettrai; jâarrĂȘterai de pĂ©cher. JâarrĂȘterai de douter, si seulement Tu me donnes une promesse que...» Tout dâun coup, quelque chose commence Ă se mouvoir dans votre coeur, Il soupe avec vous. Oh! Je prie quâIl le fasse.
E-54 Maintenant, Billy, quelles cartes de priĂšre tu...?... TrĂšs bien, 50 Ă 100, est-ce exact, 50 Ă 100? TrĂšs bien, Ă partir dâoĂč avions-nous commencĂ© hier soir, FrĂšre Sharrit, 50. Commençons un peu plus loin, quelque part ce soir, avec la sĂ©rie U. Hier soir, je pense que câĂ©tait quatre-vingts. Ce soir, commençons Ă 75, ce soir. Qui a la carte de priĂšre U-75? Eh bien, il y a une toute petite carte. La façon dont nous faisons cela, câest juste pour garder... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
E-55 Je... Lakeport, câĂ©tait dans le champ de foire? Et jâai perdu un frĂšre, vous savez, et alors, jâĂ©tais en retard Ă la rĂ©union. Mais ce soir sur leâle terrain, je vais vous dire ce qui est arrivĂ©. Eh bien, ceci est tout nouveau pour vous, mais, amis, si jamais vous mâavez entendu prĂȘcher une chose, et avant la fin des rĂ©unions, jâaimerais vous le dire, et que lâhomme ici tĂ©moigne, ceux qui savent combien ces visions sont infaillibles. Elles sont parfaites. Appelez la ville, appelez le maire de la ville de Jeffersonville, ou que quelquâun appelle le poste de la police, allez lĂ oĂč câest arrivĂ© pendant quarante-huit ans et voyez si jamais il y a eu une faille quelque part. Vous ne le pouvez pas. Câest Dieu. Ouvrons donc nos coeurs.
E-56 Sur lâestrade, au cours de la rĂ©union-lĂ , il y avait une Indienne qui Ă©tait venue. Jâai toujours eu pitiĂ© pour elle, la femme indienne. Et elle Ă©tait aveugle, je pouvais voir, ses yeux sâĂ©taient retournĂ©es. Alors, jâai dit: «Cette femme est aveugle.» Alors, le Saint-Esprit sâest mis Ă parler, Il a dit: «Vous avez eu une attaque dâapoplexie au niveau du cerveau, qui a fait se rĂ©vulser vos yeux en arriĂšre, et neuf ans sans paix, jour et nuit, mais câest cela une souffrance constante.» Pensez Ă ce que cette pauvre femme avait endurĂ©, neuf ans de souffrance.
Quâarriva-t-il? AprĂšs tous ces neuf ans, alors le Saint-Esprit a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous ĂȘtes guĂ©rie.» Et pendant quâelle se tenait lĂ , ses yeux se sont ouverts, ses yeux se sont redressĂ©s correctement. Et je lâai vue pleurer.
E-57 Eh bien, ma mĂšre, comme vous le savez tous, ma mĂšre est mi-Indienne aussi. La maman de ma mĂšre venait de lâOkl-... ou de la RĂ©serve des Cherokee. Ainsi donc, ma mĂšre lui ressemblait vraiment. Et ma mĂšre, en vieillissant un peu, avait attrapĂ© une paralysie tremblante, quand elle est devenue un peu excitĂ©e. Alors, cette pauvre vieille femme tremblait, elle ressemblait Ă ma mĂšre. Et alors, je nâavais jamais encore vu ses yeux, et alors jâai dit: «Pouvez-vous voir?»
Et elle a dit: «Oui, monsieur.»
Et quand elle a quittĂ© lâestrade, on conduisait... certains Indiens lâont conduite pour entrer, et câest elle qui les a fait sortir.
E-58 Et pendant quâelle Ă©tait lĂ , il y avait un homme de la ligue des laĂŻcs luthĂ©riens. Quelquâun en a-t-il dĂ©jĂ entendu parler? AssurĂ©ment. Et ils Ă©taient... Il avait sa femme assise de ce cĂŽtĂ©-ci, dans le champ de foire; elle Ă©tait malade, elle avait souffert dâune tumeur saignante depuis environ quatre ans. Elle ne prenait que les liquides. Et comme les mĂ©decins ne pouvaient pas reconstituer son sang, car elle avait une quatre-vingtaine dâannĂ©es, ils allaient lui faire une transfusion sanguine, car la tumeur saignait Ă lâintĂ©rieur, et ils allaient opĂ©rer dans environ une semaine.
Alors, ce vieux frĂšre luthĂ©rien Ă©tait assis lĂ ... Ils Ă©taient dâune petite ville appelĂ©e Ukiah. Ils construisaient une Ă©glise luthĂ©rienne. Et pendant quâil Ă©tait lĂ , il fut tellement ravi quâil dit: «Oh!», dans son coeur donc, pas Ă haute voix. Je lui avais tournĂ© le dos. Alors, il a dit: «à Seigneur, si Tu guĂ©ris ma femme ce soir, et que Tu laisses cet homme lâappeler, je croirai cela.» Et il a dit: «Si Tu la guĂ©ris, jâapporterai les cinq cents dollars qui Ă©taient destinĂ©s Ă lâintervention chirurgicale et je donnerai Ă cette petite Eglise luthĂ©rienne qui est en construction.»
E-59 A peine venait-il de rĂ©pĂ©ter la priĂšre dans son coeur que le glorieux Saint-Esprit sâest retournĂ© et lui a dit qui il Ă©tait, il a dit: «Tu Ă©tais en train de prier Dieu, disant que si Dieu guĂ©rissait ta femme, tu donnerais les cinq cents dollars destinĂ©s Ă lâintervention chirurgicale Ă lâEglise luthĂ©rienne.» Et il a failli sâĂ©vanouir.
Alors, ilâil sâest levĂ©, il a dit: «Mes amis, câest la vĂ©ritĂ©.»
Jâai dit: «Dieu nâa pas besoin de ton argent, mais câest ta foi, et elle est guĂ©rie, car câest AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
Et le lendemain matin, au petit-dĂ©jeuner des Hommes dâAffaires ChrĂ©tiens, quand frĂšre Rose lĂ ... Il connaissait la famille. Et la femme avait Ă©tĂ© chez le mĂ©decin, et ils ne pouvaient mĂȘme pas retrouver une trace de tumeur. Et elle Ă©tait au petit-dĂ©jeuner des Hommes dâAffaires ChrĂ©tiens ce samedi matin-lĂ , mangeant des oeufs brouillĂ©s au jambon, se rĂ©jouissant, Ă une quatre-vingtaine dâannĂ©es, grĂące Ă la bontĂ© du Seigneur JĂ©sus.
E-60 Oh! Cela nâest quâune chose minime par rapport Ă ce quâIl fait. Il est grand et plein de compassion. Maintenant, soyons respectueux et prions. TrĂšs bien, combien avons-nous en ligne? Environ... Eh bien, nous allons commencer maintenant mĂȘme, ça sera en ordre. Prions maintenant.
TrĂšs Bienveillant Seigneur, maintenant mĂȘme, mĂȘme cette petite assistance, Ta Parole doit ĂȘtre manifestĂ©e, sinon Tu es un faux TĂ©moin, en donnant Ta Parole. Et, Seigneur, je me rends compte que prendre position pour Te reprĂ©senter, Ton Esprit, quelle glorieuse chose est-ce! Et je suis indigne, Seigneur, et nous sommes tous indignes. Mais, PĂšre, Tu ne regardes pas Ă notre Ă©tat dâindigne, mais Tu honores Ta Parole. Et je prie, du fond de mon coeur sincĂšre, ĂŽ Grand JĂ©hovah, que lâon sache ce soir que Tu es toujours Dieu et que Tu tiens Ta Parole. Que le groupe soit petit ou grand, manifeste-Toi. Et puis, que les gens, que la foi dont ils ont besoin, quand Tu frapperas Ă la porte, que cette foi-lĂ sâancre profondĂ©ment. Que toutes les portes de leur coeur soient ouvertes, quâils sâĂ©lĂšvent dans la foi et acceptent leur guĂ©rison, ainsi que les choses auxquelles Tu as pourvu pour eux.
Pardonne-moi mes offenses, Seigneur. Pardonne-nous toutes nos offenses. Et maintenant, conditionne nos coeurs à Te recevoir. Et viens, Sauveur béni, et guéris chaque personne dans la salle ce soir. Car nous le demandons au Nom de Jésus, et à cause de Lui. Amen.
E-61 Maintenant, jâaimerais solliciter toute votre attention pendant les quelques instants qui vont suivre. Soyez respectueux. Mais si le Seigneur parle Ă votre coeur, que vous avez la foi, et que cela entre dans votre coeur, recevez donc cela. Dites donc dans votre coeur: «Merci, Seigneur JĂ©sus, câest rĂ©glĂ©.»
Maintenant, beaucoup parmi vous ne seront pas dans la ligne, mais cela ne bloque pas la guĂ©rison. Dieu peut vous guĂ©rir nâimporte oĂč ici si seulement vous regardez Ă Lui et que vous croyez.
Maintenant, rappelez-vous, je dis avant, je ne dis pas quâIl le fera. Jeâje ne peux pas le dire; je ne sais pas. Mais pendant toutes ces annĂ©es, Il ne mâa jamais fait dĂ©faut. Je ne crois pas quâIl me fera dĂ©faut ce soir. Câest lĂ donc Son visage que je montre, Ă partir du Message, que vous connaissez et que vous avez lu dans le livre.
E-62 Je ferais mieux de dire ceci: Ces messages sont sur bande. Monsieur Goad, ici, monsieur Mercier, les ont sur bande si vous en voulez. Ils sont assis lĂ , derriĂšre ces lignes de priĂšre, pour voir ce que le Saint-Esprit vous a dit, ou je ne sais quoi dâautre, ou le message de ce soir, câest sur bande. TrĂšs bien; que le Seigneur soit bĂ©ni. JâespĂšre et jâai confiance que chacun de vous recevra la foi.
Maintenant, je suis sĂ»r que vous vous rendez compte de ma position, quand bien mĂȘme, dans ce petit groupe de gens ici. Voici une femme ici debout, je... Est-ce la patiente? Voudriez-vous venir ici juste un moment? Voici une dame, je suppose que nous sommes inconnus lâun Ă lâautre. Nous ne nous sommes jamais rencontrĂ©s auparavant. Câest notre premiĂšre rencontre. Maintenant, pouvez-vous vous imaginer... voudriez-vous monter prendre ma place? Vous ĂȘtes le bienvenu. Oui, oui. TrĂšs bien.
E-63 Voici une dame. Maintenant, sur quoi je fonde cela? JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. Je fonde cela sur la Bible, sur une promesse que Dieu a donnĂ©e. Eh bien, comment... Si Dieu tient Sa promesse pour ceci, alors Il tiendra chaque promesse quâIl a faite, non pas il y a mille neuf cents ans, mais aujourdâhui aussi, Il est le JE SUIS, pas le JâĂ©tais, le JE SUIS, maintenant.
Eh bien, si cette dame est malade, je ne sais pas. Câest peut-ĂȘtre un problĂšme au foyer; câest peut-ĂȘtre pour de lâargent; câest peut-ĂȘtre... je ne sais pas. Mais, disons quâelle soit malade. Jeâje... Si je pouvais faire une seule chose pour aider la femme Ă se rĂ©tablir, et que je ne le faisais pas, je serais une personne indigne de reprĂ©senter JĂ©sus-Christ en tant que ministre. Je serais une brute. MĂȘme si jâĂ©tais un mĂ©decin et que je pouvais effectuer une intervention chirurgicale pour elle, si elle en avait besoin. Et si je ne le faisais pas parce quâelle nâaurait pas dâargent, je ne mĂ©riterais pas dâĂȘtre un mĂ©decin. Câest vrai. Je ne suis pas un mĂ©decin; jeâjeâje suis juste le serviteur le plus vil du Seigneur. Et vous Ă©tiez dans... Certains de ces hommes assis ici, aux cheveux grisonnants sur la tĂȘte, prĂȘchaient alors que jâĂ©tais un garçon. Câest juste donc quelque chose que Dieu vous a donnĂ©, et Il mâa simplement envoyĂ© Le reprĂ©senter de cette façon-ci.
E-64 Comme vous le savez, je ne suis pas tellement un prĂ©dicateur, mais mon don, ce sont des visions. Voyez? Câest ça mon domaine. Par consĂ©quent, je me sens Ă lâaise pendant que je me tiens ici comme se sentirait un ministre Ă sa chaire, ou votre monitrice de lâĂ©cole du dimanche, dans sa leçon.
Maintenant, madame, ceci est un tableau, une fois de plus comme jâen parlais, JĂ©sus avec la femme au puits. Tous deux inconnus ne se connaissaient pas, etâet Il nâĂ©tait pas dans Son territoire. Il Ă©tait loin de Son territoire, Il venait de Nazareth. Et alors, Il Ă©tait dans un autre territoire. Et il y avait une femme Ă©trangĂšre, et quand Il sâest mis Ă lui parler, Il lui a parlĂ©, Il lui a parlĂ© jusquâĂ ce quâIl a dĂ©couvert son problĂšme.
E-65 Maintenant, rappelez-vous, Il Ă©tait sur Son chemin vers JĂ©richo, câest en ligne directe, de JĂ©rusalem Ă JĂ©richo. Mais il Lui fallait passer par la Samarie. La vision lui avait dit dâaller Ă Samarie; câest tout ce quâIl savait faire. Il sâest assis lĂ sur le puits. Et quand la femme est venue, Il a senti que Quelque Chose allait se passer. Alors, Il a parlĂ© Ă cette femme, Il a dit: «Apporte-Moi Ă boire.» Et Il a engagĂ© une conversation. AussitĂŽt quâIl a dĂ©couvert ce quâĂ©tait le problĂšme de la femme, Il lui en a parlĂ©. Et elle a reconnu que CâĂ©tait le Fils... que CâĂ©tait le Messie.
CâĂ©tait le signe du Messie Ă lâĂ©poque. La Samaritaine avait reconnu cela; Philippe, le Juif, avait reconnu cela. En tant que Gentil, allez-vous reconnaĂźtre cela? Allez-vous reconnaĂźtre cela, vous les Gentils, de mĂȘme que le Juif lâavait fait Ă lâĂ©poque? Le signe du Messie, pas le signe de frĂšre Branham, le signe du Messie.
E-66 Maintenant, sâIl me rĂ©vĂšle ce pour quoi vous ĂȘtes ici, vous saurez alors si câest la vĂ©ritĂ© ou pas, vous le saurez. Voyez? Si ce nâest pas la vĂ©ritĂ©, vous avez le droit de dire que cet homme est en erreur. Mais si câest la vĂ©ritĂ©, alors, rendez tĂ©moignage Ă la puissance de Dieu. Voyez? Câest vrai. Et nous ne nous sommes jamais rencontrĂ©s, nous ne nous sommes jamais vus lâun lâautre, nous ne nous connaissons pas, et nous nous tenons juste ici. Maintenant, je crois en Dieu, que Dieu le fera.
Combien lĂ dans lâassistance...? Y a-t-il quelquâun qui connaĂźt cette femme? Y a-t-il quelquâun dans la salle qui connaĂźt cette femme? Oui, il y en a ici qui la connaissent. TrĂšs bien. Si le Seigneur rĂ©vĂšle Ă cette femme, quâelle en soit juge, quâelle dise si câest la vĂ©ritĂ©, combien parmi vous diront: «Je crois que câest le signe du Messie et de Sa trĂšs proche Venue; je veux Lâaccepter»? Oui, oui, voyez, il nây a rien dans des coins obscurs; câest ici mĂȘme devant tous. Jâai confiance quâIl le fera.
E-67 Maintenant, juste vous parler jusquâĂ ce que je trouve ce quâest le problĂšme ou ce quâIl veut que je vous dise, alors que Dieu soit honorĂ©. Maintenant, jâespĂšre que Dieu le fera pour cette dame: la rĂ©tablir, la guĂ©rir et lui donner ce quâelle rĂ©clame.
PremiĂšrement, cette femme souffre. Je la vois parcourir la maison, trĂšs nerveuse. Vous ĂȘtes extrĂȘmement nerveuse. Câest vrai. Et cela est causĂ© par une maladie gynĂ©cologique, le mĂ©decin vous a dit que câest une ptose mammaire. Câest vrai. Et vous avez subi une intervention chirurgicale Ă cause dâune maladie gynĂ©cologique, câest AINSI DIT LâESPRIT; câest la vĂ©ritĂ©.
Maintenant, puis-je aider la femme? Non. Croyez-vous? Câest donc terminĂ©. PĂšre cĂ©leste, bĂ©nis cette chĂšre personne, quâelle parte maintenant et que ce peu de pouvoir dâachat, comme je venais dâen parler il y a quelques instants, de vingt-cinq cents, puisse-t-elle partir avec cela dans son coeur maintenant. «Le Seigneur JĂ©sus mâa rĂ©vĂ©lĂ©, par des lĂšvres humaines, exactement ma maladie. Je crois en Lui, et câest rĂ©glĂ©.» Amen. Que Dieu vous lâaccorde, soeur.
E-68 Maintenant, madame, je ne vous connais pas. Je suppose que câest notre premiĂšre rencontre. Ăa lâest. Il y a des gens dans lâassistance qui prient, vous voyez cela... Câest ce qui fait ça. Ils ont attirĂ© lâattention. Quelque chose est arrivĂ© dans lâauditoire. Maintenant, je parlais simplement Ă la dame de quelque chose qui est arrivĂ©. Maintenant, si le Seigneur JĂ©sus me rĂ©vĂšle ce pour quoi vous ĂȘtes ici... En tant quâhomme, jeâje ne peux rien faire pour vous. Si vous vouliez de lâargent, jeâje pense que jâai... jeâjâai environ vingt-cinq dollars ou trente cents, je peux vous les donner. Mais jeâjeâje... Si câest un problĂšme en famille, je peux simplement prier. Si câest la maladie, je ne peux pas guĂ©rir. Mais toutes ces choses vous sont gratuitement accordĂ©es par votre foi en Christ.
Or, si la dame... Que vous sachiez sâIl sâintĂ©resse Ă vous ou pas, sâIl me dit pourquoi vous ĂȘtesâpourquoi vous ĂȘtes ici, me croirez-vous? Puisse-t-Il lâaccorder. Je regarde en face une femme que je nâai jamais vue de ma vie. Mais la femme a connu un accident. Elle est tombĂ©e. Ses ligaments se sont relĂąchĂ©s au niveau de la jambe, et câest Ă peine quâelle arrive Ă marcher. Et les ligaments ne regagnent pas leur place. Câest exactement ce quâil y a: AINSI DIT LE SEIGNEUR. Câest vrai.
E-69 Maintenant, croirez-vous si je prie pour vous? Vous croyez que... si... Je ne sais pas ce que jâai dit. Entendez-vous cette voix-lĂ ? Ce nâĂ©tait pas moi. Comment ai-je su ce qui clochait? Mais ce que je... ce qui a Ă©tĂ© dit Ă©tait vrai. CâĂ©tait Lui utilisant simplement ma voix. «Quâest-ce?», demanderiez-vous. Câest la façon dont je me suis moi-mĂȘme soumis Ă lâEsprit. Et câest Lui qui parle. Câest juste un don grĂące auquel je me soumets moi-mĂȘme, et votre propre foi opĂšre cela. Câest tout Ă fait vrai. Câest votre foi qui opĂšre cela.
Observez ceci, afin que vous connaissiez la gloire de Dieu. Il y a une femme assise ici, assise juste lĂ derriĂšre, la deuxiĂšme Ă partir du bout, juste lĂ derriĂšre. Elle Ă©tait en train de prier quand cela sâest passĂ©; elle souffre de sinusite. Câest vrai. Et si elle croit Dieu, Dieu la guĂ©rira. Croyez-vous cela, madame? De tout votre coeur? Que le Seigneur vous guĂ©rira? Si vous croyez cela, vous pouvez avoir ce que vous demandez...?...
La dame a ratĂ© cela, câest devenu sombre au-dessus dâelle, cela sâest encore dĂ©placĂ©. Câest alors que vous manquez. Pourquoi nâest-elle pas alerte? Pourquoi avez-vous manquĂ© cela? VoilĂ , Cela va vers une femme costaude, assise au bout, pour montrer la souverainetĂ© de Dieu. La femme lĂ derriĂšre, costaude assise au bout, elle souffre dâune maladie gynĂ©cologique, dâune maladie de femme. Câest vrai. Si câest vrai, levez la main. Vous en avez souffert, mais vous nâen souffrez plus maintenant; votre foi vous a guĂ©rie. Amen.
E-70 Quâa-t-elle touchĂ©? Elle ne mâa jamais touchĂ©. Elle a touchĂ© le Souverain Sacrificateur. Maintenant, vous pouvez partir, soeur, vous serez guĂ©rie. Je pense que vous lâĂȘtes, de quel cĂŽtĂ©? Ce cĂŽtĂ© ici... Peu importe le cĂŽtĂ© oĂč elle va, observez simplement votre marche maintenant.
Oh! La souveraineté de Dieu! De ces pierres, Dieu peut susciter des enfants à Abraham. Quand Dieu pose un geste, Il le fera.
Maintenant, voici une dame, elle mâest totalement inconnue. Je ne connais pas la dame, je ne lâai jamais vue de ma vie, Ă ce que je sache. Nous sommes inconnus. Nous sommes probablement nĂ©s Ă des kilomĂštres de distance, avec un dĂ©calage dâĂąges, et voici, nous nous rencontrons. Que le Seigneur soit Juge. Mais si le Seigneur me dit ce pour quoi vous ĂȘtes ici, allez-vous... juste comme eux, allez-vous croire cela, madame? Y a-t-il ici quelquâun qui connaĂźt cette dame? Levez la main. TrĂšs bien, elle doit donc ĂȘtre dâici. Ils la connaissent. Vous connaissez donc son Ă©tat. Pas moi. Mais si le Seigneur rĂ©vĂšle cela, quâelle en soit donc juge et vous aussi.
E-71 Combien savent pourquoi cette dame est ici? Levez les mains lĂ dans lâassistance. Y a-t-il quelquâun... Oui, trĂšs bien, oui, dâaccord. Peut-ĂȘtre que certaines de ses soeurs ou quelquâun. Que le Seigneur lâaccorde, soeur.
La dame est ici parce quâelle a...elle veut que je prie pour un problĂšme spirituel quâelle a. Câest vrai. Et autre chose, elle souffre de lâarthrite, câest AINSI DIT LE SEIGNEUR. Levez la main. Combien savent que câest vrai? TrĂšs bien. Ăa y est.
Maintenant, vous voyez, plus je parle Ă la dame, plus il en sera rĂ©vĂ©lĂ©. Voyez? Mais la raison... Vous voyez, jâai bien une ligne ici, jâaimerais faire passer autant de gens que possible. Câest la raison pour laquelle je ne parle pas beaucoup. Et je suis vraiment Ă©puisĂ©; ceci est censĂ© ĂȘtre le temps des vacances pour moi. Mais comme frĂšre Hutchinson et frĂšre Boze mâont appelĂ©, jâai quittĂ© la maison pour venir ici pour un petit moment de communion.
E-72 Elle semble ĂȘtre une personne aimable, elle a Ă peu prĂšs la taille de ma mĂšre. Eh bien, que nous... que je lui parle encore. Oui, vous avez aussi une grosseur, et vous voulez que je prie pour cela, câest dans votre flanc. Et voici autre chose, je vois un grand bĂątiment dâĂ©glise, et dâune façon ou dâune autre, je vois frĂšre Hutchinson, et vous vous tenez lĂ , et quelquâun est en train de prier, câĂ©tait moi. Jâai priĂ© pour vous Ă lâĂ©glise de frĂšre Hutchinson la derniĂšre fois que jâĂ©tais ici. CâĂ©tait un caillot de sang, vous Ă©tiez Ă©tendue sur une civiĂšre et le Seigneur vous avait guĂ©rie, AINSI DIT LE SEIGNEUR. Allez, soeur, câest terminĂ© maintenant.
Disons: «BĂ©ni soit le Nom du Seigneur!» Croyez-vous maintenant? Sentez-vous ces vingt-cinq cents au fond ici en bas? Pouvez-vous voir que câest Sa PrĂ©sence, Sa bontĂ©?
E-73 Je ne vous connais pas, nâest-ce pas, jeune fille? Non. Je ne sais rien sur la femme. Je ne lâai jamais vue de ma vie. Je ne la connais pas. Eh bien, quâest-ce que cela fait? Eh bien, JĂ©sus, cela Lui est arrivĂ© une fois, la force Ă©tait sortie de Lui, et moi, je ne suis quâun pĂ©cheur sauvĂ© par la grĂące. Alors, pourquoi aurais-je la force de subsister ici plus que Lui lâavait fait? Il se passe plus de choses maintenant mĂȘme dans cette seule rĂ©union, ici mĂȘme, que ce qui est pratiquement Ă©crit dans la Bible, sur ce que JĂ©sus avait fait, quand Il Ă©tait ici sur terre.
Pourquoi? Pourquoi mâa-t-Il permis de me tenir ici alors que Lui-mĂȘme sâaffaiblissait? Il a dit: «Vous ferez davantage. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, mĂȘme davantage (davantage de cela), vous en ferez de plus grandes, car Je mâen vais au PĂšre, et Il est Ma force.» Cela accomplit Sa Parole. Voyez, tout est droit en ligne avec la Parole, si câest Dieu qui fait cela.
E-74 Maintenant, sur cette petite dame... Si Dieu me dĂ©crit, me rĂ©vĂšle ce pour quoi vous priez (En fait, vous ĂȘtes une chrĂ©tienne), et sâIl me dit ce pour quoi vous priez, allez-vous croire? Ce nâest pas pour vous-mĂȘme; câest pour quelquâun dâautre: câest votre frĂšre, un malade mental. Câest vrai. Ce mouchoir que vous tenez en main, allez le poser sur lui. Remerciez-Le et croyez de tout votre coeur. Que Dieu vous accorde votre...?... le Seigneur guĂ©risse le...
Croyez-vous? Avez-vous foi en Dieu? Maintenant, si tu peux croire. Eh bien, ces visions, Ă©videmment elles mâaffaiblissent. Il y a de la sueur dans les mains et...?... vous pouvez dire. Voyez? Câest une faiblesse. Voyez? Ce nâest pas juste dans cette petite rĂ©union, soirĂ©e aprĂšs soirĂ©e, annĂ©e aprĂšs annĂ©e.
E-75 Mais, soeur, Ă ce que je sache, nous sommes inconnus lâun Ă lâautre. Jeâje ne vous connais pas. Dieu vous connaĂźt certes. Eh bien, si nous sommes inconnus lâun Ă lâautre, alors lâassistance verra; levez la main, ainsi...?... Ils le sauront. Nous sommes inconnus lâun Ă lâautre. Eh bien, nous sommesânous sommes chrĂ©tiens ici, et voici la Bible de Dieu, et nos mains sont levĂ©es. Voyez? Nous sommes inconnus lâun Ă lâautre. Eh bien, ceci devait rĂ©gler la question. Vous dans la ligne, regardez par ici. Vous partout, regardez et croyez.
Eh bien, si Christ a promis ces choses, Christ doit les accomplir. SâIl est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement, alors, Il est le mĂȘme quant Ă la puissance, est-ce vrai? Il est le mĂȘme dans les actes. Est-ce vrai? Il est le mĂȘme dans les motifs; Il est le mĂȘme dans les objectifs; Il est le mĂȘme quant Ă la misĂ©ricorde, Il est le mĂȘme dans les attitudes, Il est le mĂȘme.
E-76 Croyez-vous cela, madame assise lĂ , la petite dame ici sur le siĂšge de devant? TrĂšs bien, vous tenez une carte en main, mais vous nâĂȘtes pas dans la ligne. Croyez-vous que je suis prophĂšte de Dieu, ou serviteur? Vous croyez cela. Si Dieu me rĂ©vĂšle votre problĂšme, allez-vous accepter cela et croire pour votre guĂ©rison? Vous paraissez si heureuse Ă ce sujet. Eh bien, vous Lui demandez simplement dans votre coeur quâIl me fasse voir.
Oui, madame, vous voulez que je prie pour une maladie qui vous affecte les yeux et la tĂȘte. Si câest vrai, levez la main. TrĂšs bien, vous avez cela maintenant. Allez simplement de lâavant dans votre rangĂ©e, jetez votre carte, et vous pouvez partir recevoir ce que vous demandez.
Je dĂ©fie votre foi, lĂ dans lâassistance, de croire cela. Croyez-vous tous...?... tous deux, des jeunes hommes.
E-77 Une femme, juste en ce moment-ci, elle souffre lĂ , une dame de couleur, elle a quelque chose dans sesâdans ses yeux aussi, elle veut quâon prie pour elle. Elle a aussi quelque chose qui cloche Ă la poitrine. Câest vrai. Croyez-vous que je suis proph-... ou serviteur de Dieu? Croyez-vous cela? Croyez-vous que vous avez votre guĂ©rison maintenant? Cora, croyez-vous rĂ©ellement cela? Mademoiselle Cora Smith, câest lĂ votre nom; oui, oui. Dâaccord. Partez donc, votre foi vous a sauvĂ©e. Amen.
Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur? Cela a ravi cette petite dame assise ici. Devez-vous entrer dans la ligne de priĂšre? Est-ce une patiente? Vous souffrez horriblement. Vous souffrez de lâarthrite. Vous souffrez des maux de tĂȘte. Vous souffrez des hĂ©morroĂŻdes. Vous avez une tumeur de lâestomac. Câest vrai. Faites demi-tour et quittez lâestrade, rentrez chez vous, bien portante. Christ vous rĂ©tablit.
«Si tu peux croire, tout est possible, si tu peux croire.» Croyez-vous, Lâacceptez-vous comme votre GuĂ©risseur, votre Sauveur?
E-78 Maintenant, Ă cette personne ici debout. Maintenant, soyons vraiment respectueux. Je nâavais pas lâintention dâentendre, je dois suivre lâEsprit (Voyez?), câest un... Vous voyez Sa photo. Combien ont dĂ©jĂ vu la photo de lâAnge, cette LumiĂšre-lĂ ? Je... Nâavez-vous pas Cela ici? Quelques-uns en ont. Gene, avez-vous cela ici? Je ne sais pas si vous avez des photos ou pas. Y en a-t-il?
CâĂ©tait confirmĂ© par le FBI, le service des empreintes digitales et des documents douteux; ça y est, la mĂȘme Colonne de Feu qui avait conduit les enfants dâIsraĂ«l. Elle est Ă Washington, D.C., comme lâunique Etre surnaturel qui ait jamais Ă©tĂ© photographiĂ©. En Allemagne, on lâa photographiĂ© trois fois, en Allemagne, avec leur appareil photo lâannĂ©e derniĂšre, pendant quâElle descendait, pendant quâElle exerçait le discernement et pendant quâElle retournait. Et George J. Lacy, le responsable du dĂ©partement de FBI chargĂ© des empreintes digitales et des documents douteux, a examinĂ© cela. Voici son rapport lĂ -dessus. Voyez? Câest le... Ce mĂȘme Ange nâest pas Ă deux pieds [60 cm] de lĂ oĂč je me tiens maintenant mĂȘme. Quâest-ce? Câest la Colonne de Feu qui avait conduit les enfants dâIsraĂ«l.
E-79 Combien savent que JĂ©sus Ă©tait devenu la Colonne de Feu quand Il avait quittĂ© la terre? Combien savent cela? Quand Il Ă©tait ici sur terre, Il a dit: «Je viens de Dieu, je vais Ă Dieu.» Quand Il Ă©tait... Combien savent que CâĂ©tait JĂ©sus, le Logos, leâlâAnge de lâalliance, le Christ qui avait conduit les enfants dâIsraĂ«l dans le dĂ©sert? Il Ă©tait la Colonne de Feu. Il Ă©tait le Rocher. Il... Voyez? Ensuite, Il est retournĂ© Ă Dieu.
Et quand Paul lâa rencontrĂ© sur le chemin de Damas, Il Ă©tait toujours cette Colonne de Feu, qui a mĂȘme crevĂ© les yeux Ă Paul. Et Il a dit: «Saul, Saul, pourquoi Me persĂ©cutes-Tu?»
Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»
Il a dit: «Je suis Jésus que Tu persécutes.»
Qui Ă©tait Celui qui Ă©tait entrĂ© dans la prison et avait fait sortir Pierre, cette LumiĂšre-lĂ cette nuit-lĂ ? LâAnge du Seigneur avait simplement ouvert les portes et Pierre Ă©tait sorti de la prison. Et Cela est ici aprĂšs mille neuf cents ans, le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. Ses oeuvres prouvent quâIl est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. Sa photo, Sa LumiĂšre...
Que dites-vous? Pourquoi ne vois-je pas Cela, FrĂšre Branham? Les gens qui Ă©taient avec Paul nâavaient pas vu Cela. Câest juste si... Si seulement vous laissezâvous laissez Dieu oindre vos yeux, ils sâouvriront. Maintenant, parlons Ă la dame.
E-80 Madame, si le Seigneur JĂ©sus rĂ©vĂšle ce quâest votre problĂšme, allez-vous croire cela? Croirez-vous cela? Maintenant, je ne vous connais pas, et je ne vous ai jamais vue. Mais Dieu vous connaĂźt certes. Vous souffrez dâun saignement, dâun ulcĂšre saignant. Câest vrai. Je vois du sang alors que cette LumiĂšre se meut au-dessus de vous, je vois du sang couler, un ulcĂšre saignant. Croyez-vous que JĂ©sus vous rĂ©tablira?
Maintenant, vous tous lĂ dans lâassistance, croyez-vous? Maintenant, si je disais, si le Seigneur me rĂ©vĂšle quelque chose dâautre au sujet de la femme, juste comme Il lâa fait il y a quelques minutes, combien ici vont...?... et croire en Lui mĂȘme ici dans la ligne, qui vont croire que la foi est ancrĂ©e dans votre coeur et que tout votre groupe peut ĂȘtre guĂ©ri en cette minute mĂȘme? Croyez-vous cela, que le Seigneur le fera?
E-81 Le Seigneur sait que je ne connais pas cette femme. Elle sait que je ne la connais pas. Mais, voyez, nous pouvons continuer avec ceci ici, il va ĂȘtre vingt-trois heures, et nous pouvons bien continuer. Voyez? Mais que ceci vous convainque. Oh! Câest... Je prie Dieu que vous compreniez ceci, que câest Christ qui frappe Ă votre porte pour entrer, afin que vous puissiez Lui parler et Lui dire ce que vous pouvez...
Regardez les gens lĂ dans lâassistance maintenant, sans cartes de priĂšre, qui ne pourraient pas ĂȘtre ici Ă lâestrade. Comment ils...?... et le Seigneur entre directement et se met Ă souper. Il se met Ă parler: «Tu as ceci, cela ou autre, ce que câest.» Voyez-vous?
E-82 Maintenant, je ne sais pas ce quâIl a dit que câĂ©tait son problĂšme. Je ne me rappelle pas cela maintenant mĂȘme. Le saignement, câest vrai, lâulcĂšre saignant. Maintenant, parlons juste quelques instants et voyons. Vous ĂȘtesâvous ĂȘtes consciente quâil se passe quelque chose, une sensation vous envahit, trĂšs douce, humble, une sensation douce. Nâest-ce pas vrai? Tout, entre vous et moi, il y a cette LumiĂšre qui se meut. Vous avez autre chose Ă coeur pour laquelle vous voulez quâon prie pour vous. Et câest votre mari, un homme. Il souffre de quelque chose qui cloche dans ses jambes. Il a Ă©tĂ© Ă©crasĂ© par un vĂ©hicule, sur les jambes, et câest un coiffeur. Câest tout Ă fait vrai. Maintenant, câest terminĂ©, allez maintenant, remerciant Dieu pour sa guĂ©rison.
E-83 Croyez-vous? Maintenant, combien parmi vous disent cela dans leur coeur: «Maintenant mĂȘme, Seigneur bĂ©ni, jâai le pouvoir dâachat de ma guĂ©rison.» Levez la main. «Jâai le pouvoir dâachat de ma guĂ©rison.» Croyez-vous cela? Tenez, vous pour qui on doit prier, Il connaĂźt votre maladie; avez-vous le pouvoir dâachat de votre guĂ©rison? Alors, levons les mains vers Lui, ceux qui le peuvent, comme ceci. Maintenant, soyez vraiment respectueux. Maintenant, rĂ©pĂ©tez cette priĂšre aprĂšs moi.
Dieu Tout-Puissant, CrĂ©ateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, je Te remercie maintenant de mâavoir ouvert lâentendement. Je crois maintenant cela dans mon coeur, je suis complĂštement convaincu que JĂ©sus-Christ, Ton Fils, est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. Je Lâaccepte maintenant comme mon GuĂ©risseur. Jâouvre mon coeur. Jâouvre la porte de la foi. Je Tâabandonne toute ma foi. Sois le Seigneur de ma foi. Je Te reçois maintenant.
E-84 Maintenant, avec vos tĂȘtes inclinĂ©es, câĂ©tait donc votre priĂšre. Maintenant, restez simplement enfermĂ© avec Dieu, restez trĂšs calme. Oh! FrĂšre Hutchinson, au-dessus de cette assistance, cette LumiĂšre Ă©meraude verdĂątre, oh! quelle confession ça reprĂ©sente pour lâassistance! AssurĂ©ment, vous pouvez comprendre, je ne suis pas un fanatique. Je suis votre frĂšre. Le Seigneur JĂ©sus est ici avec une grande puissance, et Sa PrĂ©sence est ici pour vous guĂ©rir absolument. Maintenant, restez donc enfermĂ©s et croyez. Croyez que cette Semence est en train de pĂ©nĂ©trer droit dans votre Ăąme maintenant, droit dans votre coeur. Et pendant que vous croyez ces choses, Ă©tant enfermĂ© avec Lui, je vais prier pour vous. Et il nây a quâune seule chose qui puisse vous empĂȘcher de recevoir votre guĂ©rison, câest cette petite ombre de tĂ©nĂšbres, juste un peu deviner, juste un peu dâincrĂ©dulitĂ© Ă cĂŽtĂ© de vous. Je vais prier que Dieu enlĂšve cela et que, par une glorieuse explosion de foi, tout le monde soit guĂ©ri.
E-85 Seigneur JĂ©sus, Toi qui entends les confessions, Tu as entendu ces gens, ce quâils ont dit. Viens; Tu Tâes manifestĂ©. Et ils sont assis ici avec leurs mains en lâair, leurs tĂȘtes tournĂ©es vers la poussiĂšre de la terre dâoĂč Tu les as tirĂ©s. Ils Ă©taient malades dans leurs corps. Satan les avait aveuglĂ©s. Mais ce soir, il est vaincu.
Ă Satan, tu nâes quâun bluffeur, et tu es exposĂ©. Tu as Ă©tĂ© vaincu au Calvaire par notre Seigneur JĂ©sus. Et nous prenons position en tant que chrĂ©tiens, victorieux ce soir, grĂące Ă Sa souffrance suffisante, Sa mort Ă notre place, Sa glorieuse rĂ©surrection. Et nous tâadjurons, par le Dieu vivant, par JĂ©sus-Christ, de quitter ces gens, chacun dâeux. Sors dâeux, au Nom de JĂ©sus-Christ. Pars. Et que chacun dâeux soit guĂ©ri pour la gloire de Dieu.
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