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Prédication LA COMMUNION / 62-0204 / JEFFERSONVILLE IN // VGR 1 hour and 27 minutes PDF MP3 low MP3 HQ

LA COMMUNION

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E-1 ...Ă  la gorge, suite Ă  plusieurs, Ă  quinze services en Arizona. Nous avons passĂ© des moments merveilleux. Le Seigneur JĂ©sus nous a vraiment bĂ©nis infiniment. Ils ont essayĂ© d’employer un peu la stratĂ©gie du Seigneur – j’espĂšre que c’est correct de le dire comme ça – en allant dans cet endroit, et en embrasant d’abord le pourtour. J’y suis allĂ© plusieurs jours Ă  l’avance, j’ai eu dix ou douze services, dans toutes les grandes Ă©glises principales, d’un bout Ă  l’autre de Phoenix, Sunnyslope, Tempe et Mesa, et dans toute cette rĂ©gion, ce qui a, en quelque sorte, embrasĂ© tout le pourtour, et ensuite j’ai fait tout converger vers les cinq soirs de la convention. Et c’est la plus grande convention que nous ayons eue en AmĂ©rique du Nord. Une convention formidable. Le petit-dĂ©jeuner le plus grand, et–et aussi le banquet, ce soir-lĂ .
E-2 Je ne pourrais vraiment pas dire combien de gens ont reçu le Saint-Esprit. Ç’a Ă©té–ç’a Ă©tĂ© extraordinaire de voir le nombre de ceux qui ont reçu le Saint-Esprit, et de ceux qui ont Ă©tĂ© guĂ©ris et ont reçu le salut, c’est–c’est tout simplement merveilleux. Donc nous sommes reconnaissants Ă  Dieu, alors que nous voyons le temps qui avance. Beaucoup de grands hommes sont entrĂ©s. L’un des... 3 FrĂšre Neville va beaucoup se rĂ©jouir de ceci. J’ai vu un ministre presbytĂ©rien, du plus grand institut presbytĂ©rien de–de ce pays, qui dansait par l’Esprit. Oh! la la! c’était vraiment quelque chose; il a reçu le Saint-Esprit. Ensuite il m’a dit, il a dit : “J’ai eu une de vos bandes.” Il a dit : “Elle n’était pas en trĂšs bon Ă©tat,” il a dit, “c’était un peu saccadĂ©, mais”, il a dit, “je l’ai apportĂ©e lĂ -bas, Ă  mon institut, et je l’ai passĂ©e.” Et il a dit... Comme il est l’homme le plus versĂ© en psychologie lĂ -bas, il leur a tous imposĂ© le silence. “Eh bien, ils L’auront au moins entendu une fois”, il a dit. Et il a dit qu’il... 4 Il a dit qu’aprĂšs avoir reçu le Saint-Esprit, il s’est mis Ă  danser par l’Esprit dans son Ă©glise, et ils ont dit : “RĂ©vĂ©rend, quand allez-vous apprendre un nouveau pas de danse?” 5 Il a dit : “Quand mon assemblĂ©e aura appris celui-ci.” J’ai trouvĂ© que c’était mignon tout plein, vous savez; la hiĂ©rarchie presbytĂ©rienne, oui, qui dit : “Quand mon assemblĂ©e aura appris celui-ci.” Alors, ça, c’est trĂšs bien. Il est comme un petit bĂ©bĂ©, c’est tout nouveau pour lui, bien qu’il soit... Eh bien, vous savez quelles compĂ©tences il lui faut avoir, pour ĂȘtre professeur de psychologie dans le plus grand institut presbytĂ©rien de Boston, en fait, des États-Unis.
E-6 J’ai vu l’un des principaux chirurgiens cardiologues de Mayo prĂȘcher l’Évangile dans l’Esprit, et parler en langues. Oh! la la! J’ai vu un autre spĂ©cialiste, un adventiste du septiĂšme jour, qui venait de... Il Ă©tait lui aussi un–un–un spĂ©cialiste, pour le coeur et la gorge, un homme ĂągĂ©, et il a reçu le baptĂȘme du Saint-Esprit. Il L’a reçu. Un soir, dans les parvis, je lui ai imposĂ© les mains, et il a reçu le Saint-Esprit. Donc, nous... il y a tellement de choses que notre Seigneur a faites, pour lesquelles nous sommes reconnaissants, et spĂ©cialement de les avoir vues en ce moment. 7 Alors je leur ai dit : “Vous rendez-vous compte de l’heure qu’il est, alors que la vierge endormie se met Ă  rĂ©clamer de l’huile?” C’était le moment oĂč l’Époux est arrivĂ©, et les gens, Ceux qui Ă©taient prĂȘts, sont entrĂ©s. Oh, je suis si content de savoir que nous vivons maintenant aux derniers jours. Voyez? Je crois que nous sommes en train de vivre dans l’un des temps les plus extraordinaires que le monde ait jamais connus, juste Ă  la veille de la Venue du Seigneur. N’est-ce pas merveilleux? Pensez-y, c’est pour trĂšs bientĂŽt, presque toute l’Écriture est dĂ©jĂ  accomplie! Et donc, nous L’attendons d’un moment Ă  l’autre. Et c’est dans cette attente-lĂ  que nous devons vivre : ça peut arriver d’un instant Ă  l’autre. Mettez-vous en condition par la priĂšre, soyez prĂȘts!
E-8 Lors de quelques entretiens que j’ai eus aujourd’hui, je, lors de l’un d’eux, j’ai rencontrĂ© une missionnaire qui venait de Formose, une femme courageuse, elle a soixante-treize ans, et on lui en donnerait environ quarante-cinq. Elle est restĂ©e demoiselle et, jeune fille, elle devait ĂȘtre trĂšs belle. Elle disait qu’elle avait Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans un foyer chrĂ©tien oĂč “oui”, ça voulait dire oui, et “non”, ça voulait dire non. Elle a grandi sous cet enseignement strict. Elle a dit : “FrĂšre Branham, vers l’ñge de, oh,” elle a dit, “vers l’ñge de huit ans, j’ai pensĂ© que j’avais donnĂ© ma vie au Seigneur JĂ©sus.” Elle a dit : “Vers l’ñge de douze ans, j’ai Ă©tĂ© influencĂ©e par un certain ministre dĂ©nominationnel, qui m’a dit qu’il fallait que je reçoive la deuxiĂšme bĂ©nĂ©diction,” elle a dit, “et lĂ  j’ai Ă©tĂ© terriblement induite en erreur.” Mais elle a dit : “Vers l’ñge de dix-sept ans, j’ai vraiment reçu le Saint-Esprit.” Et elle est de retour maintenant, pour essayer de rĂ©veiller quelques-unes de ces Ă©glises baptistes endormies. Elle a dit que, de tout ce qu’elle a vu, si–s’il y a quelque chose qui est “mort”, – et elle est elle-mĂȘme baptiste, – elle a dit que “c’est bien ces Ă©glises baptistes mortes qu’il y a par ici”. Elle les a appelĂ©es des “morgues”. 9 J’ai dit : “Eh bien, sans doute que lorsqu’on est au front...” Je pense que maintenant elle... Pensez donc, moi qui ai cinquante-deux ans, elle Ă©tait sur le champ missionnaire avant ma naissance. Et quand je pense que je me trouvais trop ĂągĂ© pour aller sur le champ de mission. Alors je pense : “Oh, pardonne-moi, Seigneur.”
E-10 Et elle, elle est en forme, elle a encore toute sa capacitĂ©, toute sa vivacitĂ© d’esprit. Elle m’a racontĂ© des expĂ©riences qu’elle avait vĂ©cues le long du chemin, et combien l’Évangile Ă©tait nĂ©cessaire Ă  Formose, et–et en Chine, et au Japon, et ailleurs. Alors, ils l’ont renvoyĂ©e du champ de mission, en lui disant : “Une fois qu’on a dĂ©passĂ© soixante-dix ans, on n’a plus le droit d’aller sur les champs de mission, vous savez.” Alors, ils l’ont renvoyĂ©e. Mais elle ne veut pas rester Ă  ne rien faire, elle va Ă  toutes ces conventions baptistes. Elle disait : “Billy Graham,” elle disait que “sa maniĂšre d’apporter le message baptiste discrĂ©ditait l’église baptiste”. Elle disait : “Il ne les amĂšne pas assez loin pour qu’ils reçoivent le Saint-Esprit”, qu’elle disait. Oh, soeur, tenez-vous-en Ă  ça. C’est bien. Elle disait que les Chinois, lĂ -bas, elle ne les laissait pas repartir en se contentant de dire : “Nous croyons JĂ©sus-Christ.” Elle disait : “Ça, c’était bien”, mais elle disait qu’elle les faisait rester lĂ  jusqu’à ce que quelque chose arrive, et alors ils devenaient de vrais ChrĂ©tiens. 11 J’ai dit : “VoilĂ  la maniĂšre de faire, soeur. Dites-leur simplement, qu’ils restent lĂ  jusqu’à ce que quelque chose arrive.”
E-12 Qu’est-ce qui se serait passĂ© si les apĂŽtres avaient dit, lĂ , au bout de neuf jours : “Nous croyons que nous L’avons reçu, voyez-vous, acceptons-Le simplement par la foi et allons faire notre travail.” Voyez-vous, ça n’aurait jamais marchĂ©. Ils ont attendu lĂ , jusqu’à ce qu’ils sachent que quelque chose Ă©tait arrivĂ©. C’est ça le problĂšme chez nous, aujourd’hui : nous ne restons pas assez longtemps. Eh bien, c’est pour ça qu’aprĂšs, nous pouvons mener n’importe quel genre de vie, faire n’importe quoi, sans que ça nous dĂ©range, c’est parce que nous ne restons pas lĂ  assez longtemps. Aujourd’hui nous sommes dedans, demain nous sommes dehors, et comme ceci, et comme cela. Si nous restons assez longtemps, qu’on entre et qu’on ferme la porte derriĂšre soi, alors lĂ  on va y rester. On est scellĂ© jusqu’au jour de sa rĂ©demption. Je suis vraiment content de ça.
E-13 Comme je l’ai dit, nous avons passĂ© des moments merveilleux Ă  Phoenix et dans toute la vallĂ©e, et beaucoup des ChrĂ©tiens qui sont lĂ -bas, beaucoup d’entre eux s’accrochent, et de toutes leurs forces. 14 Je suis montĂ© sur la montagne du Sud, ma femme, qui est lĂ -bas au fond, et moi, un jour, nous... les amis... Mon frĂšre Doc a gardĂ© les deux filles, et–et FrĂšre et Soeur Wood ont gardĂ© le garçon, et moi et ma femme avons fait un deuxiĂšme voyage de noces. Elle a dit : “Bill, tu sais, celui-ci Ă©tait plus un voyage de noces que le premier.” Elle a dit : “La premiĂšre fois que nous sommes partis en voyage de noces, tout ce que j’ai fait, c’est rester assise au camp Ă  attendre que tu reviennes de la chasse”, elle a dit. 15 J’avais utilisĂ© une petite stratĂ©gie, en quelque sorte, vous savez. Je m’étais dit : “Bon, eh bien, je n’ai pas beaucoup d’argent.” J’avais mis de cĂŽtĂ©, dans une boĂźte de poudre Ă  lever, assez d’argent pour une partie de chasse, mais cet automne-lĂ  j’allais me marier. Alors je m’étais dit : “On va tout combiner ensemble”, vous savez. Pendant ma partie de chasse, il y aurait aussi le voyage de noces, vous savez, nous avions donc rĂ©uni les deux. Mais cette fois-ci, nous nous sommes rattrapĂ©s, et vraiment, nous sommes allĂ©s lĂ -bas, et... nous avons passĂ© des moments merveilleux.
E-16 Beaucoup de ceux du Tabernacle y Ă©taient. Je crois qu’il y avait FrĂšre Sothmann, sa famille est lĂ -bas, au fond, et FrĂšre Tom Simpson et les siens, et FrĂšre Maguire; nous avons tous passĂ© de trĂšs bons moments dans le Seigneur.
E-17 Donc, nous sommes montĂ©s sur la montagne du Sud, qui se trouve juste au sud de Phoenix, nous nous sommes Ă©loignĂ©s de la pression qu’il y a lĂ -bas. Hum! La pression d’une ville moderne! Ce n’est pas Ă©tonnant que, quand les gens ont commencĂ© Ă  se multiplier sur la terre, le pĂ©chĂ© et la violence se soient installĂ©s. J’ai regardĂ© de lĂ -haut, de l’endroit Ă©levĂ© oĂč nous nous Ă©tions assis pour voir la vallĂ©e de Phoenix, et j’ai dit Ă  ma femme : “Je me demande : depuis que nous sommes assis ici, une quinzaine de minutes, combien de fois a-t-on pris le Nom du Seigneur en vain dans cette ville?” 18 Il y a environ, eh bien, si on inclut les diffĂ©rentes agglomĂ©rations, comme Tempe et–et Sunnyslope et les autres, eh bien, il doit y avoir tout prĂšs d’un million d’habitants dans cette vallĂ©e. J’ai dit : “Il y a trois cents ans, il n’y avait rien d’autre ici que des cactus et des coyotes. Et probablement qu’aux yeux du Seigneur ce serait mieux si c’était de nouveau comme ça.” C’est vrai. Bien que la grande–grande ville qu’ils ont construite lĂ , et les maisons magnifiques, et tout, c’est beau. Mais ce serait bien, ce serait mieux si les hommes et les femmes se promenaient dans les rues les mains en l’air, en train de glorifier Dieu et de Le remercier. Mais au lieu de ça, on jure, on fait la foire, on boit. Que la civilisation s’installe quelque part, et la mĂ©chancetĂ© s’y trouvera.
E-19 J’ai dit : “Combien d’adultĂšres ont Ă©tĂ© commis hier soir, la nuit derniĂšre, dans cette ville! Combien de gens Ă©taient ivres! Combien de foyers... Combien–combien de choses contraires aux bonnes moeurs ont Ă©tĂ© faites dans cette grande ville au cours de l’heure qui vient de passer!” 20 Ma femme m’a dit, Ă  ce moment-lĂ , elle a dit quelque chose comme ceci, alors que je rĂ©flĂ©chissais Ă  ça : “Alors, Ă  quoi ça sert de venir ici? Pourquoi as-tu quittĂ© la maison pour venir ici?” 21 Alors j’ai dit : “Voici de quoi il s’agit. AprĂšs tout ça, ce qui reprĂ©sente certainement la majoritĂ©, il y a nĂ©anmoins une petite minoritĂ© lĂ -bas. Combien de priĂšres loyales se sont Ă©levĂ©es hier soir lĂ -bas, alors que les gens allaient se rendre au culte?”
E-22 Et Il a Ă©tĂ© si bon envers nous, en effet, les Ă©glises Ă©taient complĂštement remplies avant le coucher du soleil, on ne pouvait mĂȘme pas pĂ©nĂ©trer sur le terrain qui les entourait. Et ces organisations et tout, et le Seigneur a rĂ©pandu Son Esprit et a bĂ©ni les gens. Je ne les ai pas mĂ©nagĂ©s, j’ai frappĂ© fort avec l’Évangile. Parfois, bien sĂ»r, ça cogne, mais je ne connais pas d’autre moyen. Ce qu’il y a lĂ -dedans, ça cogne. Donc, ça va cogner encore plus au Tribunal du Jugement, oĂč il nous faudra affronter ça. Somme toute, ç’a Ă©tĂ© glorieux. Et nous tenons Ă  remercier l’église ici d’avoir priĂ© et d’avoir tenu bon pour nous, et–et de nous avoir gardĂ©s prĂšs de la croix. 23 Maintenant, comme je suis revenu Ă  la maison, que je suis ici, je serais peut-ĂȘtre venu ce matin, pour prier pour quelques malades. J’ai beaucoup d’entretiens qui attendent, il y a des cas dont j’ai pu m’occuper ces deux ou trois derniers jours, depuis mon retour, des cas qui attendaient depuis un mois, depuis mon dĂ©part. Ils essaient donc de les faire venir aussi vite que possible, des diffĂ©rents endroits oĂč ils se trouvent.
E-24 Si le Seigneur le veut, dans environ deux semaines, j’irai Ă  Tucson, qui se trouve plus au sud. Et maintenant, cette fois, les hommes d’affaires, pour que vous puissiez prier pour ceci... Je n’aime jamais faire quoi que ce soit sans croire d’abord que c’est la volontĂ© du Seigneur. Aussi la prochaine convention se tiendra Ă  Modesto, puis de lĂ  Ă  Washington, l’État de Washington, et Ă  Zurich, puis en Palestine, et ensuite en Afrique du Sud. Tout ça va se produire entre maintenant et juin. On m’a invitĂ© Ă  prĂȘcher dans toutes ces conventions. Ça va peut-ĂȘtre me donner l’occasion de retourner en Afrique du Sud. Ils le rĂ©clament, tous les mois nous recevons des invitations. Mais si...
E-25 Il y a une grande division dans les Ă©glises, les Ă©glises pentecĂŽtistes. Et si vous allez d’un cĂŽtĂ©, l’autre ne voudra avoir rien Ă  faire lĂ -dedans. Et, comme elles ne veulent pas collaborer, ça fait maintenant environ cinq ans que je me tiens en retrait, alors que j’ai dans mon coeur un appel Ă  y aller. Peut-ĂȘtre que maintenant, si les hommes d’affaires me reçoivent, au moins ça me permettra d’établir des liens; eux font partie des deux groupes, vous voyez, et donc, comme ça elles se retrouvent toutes lĂ . Elles devront toutes venir et collaborer Ă  ça, parce que les besoins financiers de leurs–les besoins financiers de leurs Ă©glises, ce sont ces gens-lĂ  qui y rĂ©pondent, alors elles sont obligĂ©es de venir lĂ  pour sauver la face, vous voyez. Donc, il se peut que ce soit la volontĂ© du Seigneur, cependant je ne sais pas. Ça a l’air d’ĂȘtre une bonne idĂ©e, mais je ne sais pas.
E-26 Et puis, FrĂšre Borders m’a remis l’itinĂ©raire ou les invitations, pour cette annĂ©e. HonnĂȘtement, c’était un registre deux fois plus Ă©pais que ça d’invitations de toutes parts, qui sont arrivĂ©es depuis NoĂ«l dernier. C’est trop pour un esprit humain, d’essayer de dĂ©mĂȘler tout ça, alors je n’en ai encore acceptĂ© aucune. Je vais simplement tenir une rĂ©union, puis j’attendrai de voir oĂč le Seigneur me dira d’aller Ă  partir de lĂ , alors j’irai Ă  l’endroit suivant, puis au suivant, et partout oĂč Il me dira d’aller. Donc, priez pour moi. 27 Je me souviens, l’annĂ©e derniĂšre, quand j’étais avec FrĂšre... ou lĂ -bas, chez Soeur Cox, et que FrĂšre Arganbright m’avait appelĂ© pour me demander de faire ce voyage lĂ -bas, Ă  Anchorage. Qu’est-ce qui se serait passĂ© si j’étais parti lĂ -bas, juste en prĂ©sumant que c’était en ordre? 28 Or, je pensais Ă  ça, prĂ©sumer – j’ai prĂȘchĂ© sur ce sujet-lĂ . J’avais dit, quand je suis parti lĂ -bas, j’avais dit aux frĂšres qui s’occupent des bandes : “N’enregistrez rien. N’enregistrez rien lĂ -bas, je vais prĂȘcher sur les mĂȘmes sujets qu’ici.” Je pense que j’en ai prĂȘchĂ© un seul de ceux que j’avais prĂȘchĂ©s ici, tous les autres Ă©taient nouveaux. Et FrĂšre Maguire les a enregistrĂ©s, tous.
E-29 PrĂ©sumer. Donc, si j’étais allĂ© lĂ -bas en prĂ©sumant, certainement que ça se serait passĂ© diffĂ©remment, la vision ne se serait pas accomplie. Mais la vision s’est accomplie, et vous ĂȘtes tous au courant, comment le Seigneur a vraiment bĂ©ni. 30 Maintenant, il y a une autre chose que j’ai Ă  coeur depuis longtemps. Église, priez pour ça. Vous tous ici, vous le savez, depuis que je suis tout jeune, je n’ai jamais Ă©tĂ© satisfait dans cette rĂ©gion. J’ai toujours eu dans mon coeur un profond dĂ©sir d’aller dans l’Ouest. Je me souviens de la fois oĂč j’étais en train de tondre le gazon pour ma belle-mĂšre, lĂ -bas, Ă  la petite maison qui appartenait Ă  l’église ici, Ă  cet endroit-lĂ . J’étais assis sur les marches, et le Saint-Esprit m’a parlĂ©, Il a dit : “Je ne peux pas te bĂ©nir davantage, tant que tu ne M’auras pas entiĂšrement obĂ©i, comme Abraham.” Voyez? Et Abraham, Dieu lui avait dit de se sĂ©parer et de partir seul. Et Ă  ce moment-lĂ , il a emmenĂ© avec lui son pĂšre et son neveu. Quand Abraham a enfin entiĂšrement obĂ©i Ă  Dieu, c’est lĂ  qu’il y a eu un accomplissement entier de ce que Dieu lui avait promis. L’attache, l’une des attaches principales qui me retenaient ici, c’était ma mĂšre. Vous le savez. Et maintenant maman est partie pour ĂȘtre avec le Seigneur JĂ©sus. Et je–je ne sais pas quelle direction prendre, ce qu’il faut faire, alors priez pour moi.
E-31 Maintenant, FrĂšre Neville, je me suis avancĂ© sur l’estrade, je m’étais dit : “Eh bien, je vais y aller.” Quelqu’un est venu me voir et a dit : “Oh, ils ont un service trĂšs complet, ce soir.” Il a dit : “Ils vont avoir un service de prĂ©dication, un service de chants, un service de priĂšre, et puis la collecte, et ensuite, il a dit, ils ont le–ils ont le lavage des pieds, la communion, et un service de baptĂȘmes.” 32 Je me suis dit : “Le pauvre frĂšre! Oh! Oh, tout ça – je sais ce que c’est, probablement aprĂšs avoir prĂȘchĂ© fort, ce matin.” Donc, je me suis dit : “Je vais passer lĂ -bas, peut-ĂȘtre qu’il voudra que je donne la communion.” 33 Et il a dit : “Voudrais-tu prĂȘcher, pour nous, ce soir, si tu te sens conduit?” Alors, je sais ce que ça veut dire. Et donc, je me suis retirĂ©, j’ai notĂ© un passage de l’Écriture ici et pris quelques notes, et peut-ĂȘtre que le Seigneur va m’aider Ă  apporter juste un Message court d’environ quatre heures, aprĂšs quoi nous aurons notre–notre lavage des pieds, et ensuite la communion. Et–et, oh, je, peut-ĂȘtre que j’aurai terminĂ© avant ça. Non, je ne faisais que vous taquiner. Environ vingt ou trente minutes, aprĂšs quoi nous aurons le service de baptĂȘmes, le lavage... Qu’est-ce qui suit ceci? la communion? La communion suit ceci, puis le service de baptĂȘmes.
E-34 Ceci dit, nous sommes heureux que vous vous fassiez baptiser. Maintenant, si Dieu le veut et que ça Lui est agrĂ©able, et que le pasteur est d’accord et les gens aussi, dimanche matin prochain je serai ici pour prier pour les malades, et pour prĂȘcher, si le Seigneur le veut, ce dimanche qui vient, parce qu’il se pourrait que le dimanche d’aprĂšs, je sois de nouveau parti. Aussi, quand je suis lĂ , j’aime venir et–et prĂȘcher ici, parce que FrĂšre Neville et moi, en tant que frĂšres, nous sommes en quelque sorte associĂ©s ensemble, et nous–nous nous aimons, et nous–nous–nous voulons rester proches et nous entraider.
E-35 Ça a l’air d’un sacrilĂšge, mais j’espĂšre que vous ne le prenez pas comme ça, M. Cory a dit une fois, il... je participais Ă  une campagne de promotion pour luminaires, et je vendais des ampoules pour la sociĂ©tĂ©. Il a achetĂ© un stock Ă©norme d’ampoules, suffisamment pour quatre ou cinq ans, et tout de suite aprĂšs, moi je lui ai achetĂ© une Ford. Il a dit : “Billy, je crois qu’on se rend mutuellement service.” Eh bien, c’est ça, on se donne un petit coup de main au moment opportun. Donc, c’est–c’est ça. Nous savons comment nous venir en aide et nous assister mutuellement.
E-36 Maintenant, abordons la partie sincĂšre de ceci; si je ne me trompe pas, je crois voir FrĂšre Beeler lĂ -bas, tout au fond, un autre frĂšre dans le ministĂšre. Et aujourd’hui, quand je suis passĂ©, FrĂšre Junie Jackson Ă©tait lĂ , dans la cour, avec FrĂšre Creech. Est-ce qu’ils ont parfois un service ici? Un service de baptĂȘmes; je vois. TrĂšs bien, nous pouvons mettre l’eau Ă  leur disposition, si eux se chargent des candidats. Nous–nous avons toute l’eau qu’il faut.
E-37 Donc, maintenant, puisque nous allons avoir la communion, j’ai pensĂ© que ce serait bien si je parlais de la communion pendant juste quelques minutes. 38 Maintenant, avant d’aborder la Parole, mettons tout de cĂŽtĂ©, et toutes nos maniĂšres enfantines et juvĂ©niles, et–et approchons-nous dans la PrĂ©sence de Dieu par la priĂšre. Prions. Maintenant, avec nos tĂȘtes inclinĂ©es, et nos coeurs aussi, je l’espĂšre, s’il y a une requĂȘte ici qui... que vous voudriez faire connaĂźtre Ă  Dieu, et vous aimeriez que je me souvienne de vous devant Dieu, voudriez-vous simplement l’indiquer en levant la main vers Dieu. Que Dieu exauce la requĂȘte de chacun sans exception.
E-39 Dieu Tout-Puissant, PĂšre de notre Seigneur JĂ©sus-Christ, qui L’as ressuscitĂ© des morts et L’as fait asseoir Ă  la droite de la MajestĂ© Divine, toujours vivant pour intercĂ©der en notre faveur quant aux choses que nous croyons qu’Il a accomplies pour nous et que nous confessons comme telles. Nous Te prions, Seigneur Dieu, de pardonner ce soir nos pĂ©chĂ©s. Oh, nous voulons rester sous le Sang, en tout temps, car nous ne savons pas ce qui pourrait arriver. Nous sentons, Seigneur, que toutes choses sont pratiquement arrivĂ©es Ă  leur terme, que la venue du Seigneur est proche. Nous allons bientĂŽt faire un voyage. Et quand nous pensons Ă  un voyage, nous pensons peut-ĂȘtre aux valises, et–et Ă  des vĂȘtements supplĂ©mentaires, Ă  des souliers supplĂ©mentaires. Mais quelle diffĂ©rence avec ce voyage-ci! Il ne s’agit pas de faire ses bagages, mais de les dĂ©faire, d’abandonner des choses. Comme l’a dit Ton grand serviteur Paul, dans l’ÉpĂźtre aux HĂ©breux, au chapitre 12 : “Nous rejetons tout fardeau et l’incrĂ©dulitĂ© qui nous enveloppe si facilement, pour que nous puissions courir avec persĂ©vĂ©rance dans la carriĂšre qui nous est ouverte.”
E-40 Et nous ne pouvons pas prophĂ©tiser maintenant de bonnes choses Ă  ce monde moderne. Tout ce que nous pouvons prophĂ©tiser par l’Esprit, ce sont des dĂ©sastres, des difficultĂ©s, des tremblements de terre, de grands raz de marĂ©e, le soleil et la lune qui cessent de briller, l’église dans l’ñge de LaodicĂ©e, Christ qui a Ă©tĂ© mis Ă  la porte, qui frappe, cherchant Ă  y entrer. Ô Dieu! Tout comme MichĂ©e, autrefois, comment aurait-il pu bĂ©nir Achab, alors que la prophĂ©tie Ă©tait contre lui? Alors qu’Élie, ce grand et puissant prophĂšte, s’était avancĂ© vers lui, et, parce qu’il avait ĂŽtĂ© la vie Ă  cet homme innocent, Ă  Naboth, alors il avait dit : “Les chiens lĂ©cheront ton sang.” Alors, comment MichĂ©e aurait-il pu prophĂ©tiser de bonnes choses?
E-41 Comment les enfants remplis de l’Esprit, de nos jours, pourraient-ils prophĂ©tiser du bien Ă  un groupe de gens pĂ©cheurs et indiffĂ©rents, qui ont mis le Seigneur Ă  la porte? Ô Dieu, nous ne voyons devant nous que l’amertume du jugement. Et nous crions Ă  ceux qui ne marchent pas droit : “Fuyez vers le Seigneur, car Il est le Rocher dans une terre altĂ©rĂ©e! Il est le Refuge Ă  l’heure de la tempĂȘte. Et le Nom de l’Éternel est une Tour forte, les justes s’Y rĂ©fugient, et se trouvent en sĂ»retĂ©.” Combien nous pouvons penser Ă  ces grandes villes de refuge qui ont Ă©tĂ© bĂąties, et lorsque celui qui poursuivait... cet homme, une fois qu’il Ă©tait entrĂ© dans–dans la tour, il Ă©tait en sĂ»retĂ©, on ne pouvait rien contre lui. Ô Dieu, puissions-nous courir et aller en hĂąte auprĂšs du Seigneur, car Il est notre Refuge et notre Force, un secours qui ne manque jamais dans la dĂ©tresse. Alors, en voyant, avec l’oeil de l’aigle, pour ainsi dire, les difficultĂ©s se prĂ©parer, les nuages s’amonceler, le tonnerre et les Ă©clairs du jugement s’abattre sur la terre, nous savons que la tempĂȘte est proche.
E-42 Ce soir, Seigneur, nous prions pour ceux qui ici ont levĂ© la main. PĂšre, je ne sais pas ce qu’ils voulaient; Toi, Tu le sais. Je Te prie de fournir Ă  leur prĂ©cieuse Ăąme tout ce qui a Ă©tĂ© indiquĂ© par leur main levĂ©e. Accorde-le, Seigneur. GuĂ©ris les malades. Console ceux qui sont abattus. Donne la joie aux opprimĂ©s. Donne la paix Ă  ceux qui sont abattus, la Nourriture aux affamĂ©s, le Breuvage aux assoiffĂ©s, la joie Ă  ceux qui sont tristes, la puissance Ă  l’église. Seigneur, amĂšne JĂ©sus au milieu de nous, ce soir, alors que nous nous apprĂȘtons Ă  prendre la communion, qui reprĂ©sente Son corps brisĂ©. Nous prions, Seigneur, qu’Il nous visite d’une maniĂšre exceptionnelle. 43 BĂ©nis cette petite assemblĂ©e, son pasteur bien-aimĂ©, notre FrĂšre Neville, ainsi que sa famille, les diacres, les administrateurs, et chaque personne prĂ©sente. BĂ©nis les autres, Seigneur, ceux qui, partout dans le monde, attendent avec joie la venue du Seigneur – les lampes prĂ©parĂ©es, les verres bien polis, la LumiĂšre de l’Évangile qui brille dans des lieux obscurs. 44 Maintenant, aide-moi, Seigneur, Ă  prononcer ces quelques Paroles. BĂ©nis-Les, alors que nous Les lirons, et donne-nous-En le contexte, car nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen.
E-45 Maintenant, nous pourrions peut-ĂȘtre prendre, dans le Livre, le chapitre 6 de l’Évangile de Jean, et ce serait bien si chacun de nous lisait le chapitre entier, en rentrant Ă  la maison. J’aimerais lire Ă  partir du verset 47, jusqu’au verset 59 inclus, ce qui me servira de base pour construire mon texte sur le sujet de la communion. C’est JĂ©sus qui parle maintenant, Ă  la fĂȘte. C’étaient des moments importants, ces fĂȘtes. Ils buvaient l’eau du rocher, pour reprĂ©senter le Rocher qui Ă©tait dans le dĂ©sert. Et ils mangeaient, en commĂ©moration de la manne qui Ă©tait tombĂ©e bien des centaines d’annĂ©es auparavant. C’était simplement une fĂȘte de la pĂąque, comme nous en avons une ce soir. En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie Ă©ternelle. Je suis le pain de vie. Vos pĂšres ont mangĂ© la manne dans le dĂ©sert, et ils sont morts. C’est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. pain, il vivra Ă©ternellement; et le pain que je donnerai, c’est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde. LĂ -dessus, les Juifs discutaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair Ă  manger? JĂ©sus leur dit : En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en vous-mĂȘmes. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie Ă©ternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui. Comme le PĂšre qui est vivant m’a envoyĂ©, et que je vis par le PĂšre, ainsi celui qui me mange vivra par moi. C’est ici le pain qui descend du ciel. Il n’en est pas comme de vos pĂšres qui ont mangĂ© la manne et qui sont morts : mais celui qui mange ce pain vivra Ă©ternellement. JĂ©sus dit ces choses dans la synagogue, enseignant Ă  CapernaĂŒm.
E-46 Que le Seigneur bĂ©nisse Sa Parole. Pendant juste quelques minutes, je veux parler sur La communion. Que signifie le mot communion? Communier signifie “parler”. Être en communion, en fait, ça signifie “fraterniser, parler l’un avec l’autre”. Si vous parlez avec quelqu’un, au tĂ©lĂ©phone, que vous ĂȘtes lĂ  en conversation, vous communiez l’un avec l’autre. Et si nous nous retirions Ă  l’écart, Ă  l’arriĂšre du bĂątiment, n’importe quelle personne avec le pasteur, ou deux personnes, alors elles communient l’une avec l’autre.
E-47 Or, par le moyen de la radio, vous ne communiez pas, puisque vous ne pouvez pas rĂ©pondre, par le moyen de la tĂ©lĂ©vision non plus. Mais quand... Vous le pouvez par le moyen du tĂ©lĂ©phone, parce que lĂ  vous communiez l’un avec l’autre, ce n’est pas unilatĂ©ral. C’est... Je ne peux pas communier avec vous en ce moment, parce que vous ne rĂ©pondez pas. Ça ne s’appliquerait donc pas lorsqu’on vient Ă©couter un ministre apporter son message. Il ne s’agirait pas lĂ  d’un rassemblement nous permettant de communier. La communion, ce ne serait pas ça. Si vous venez juste pour communier avec le ministre, vous le prendrez Ă  part, lui ou n’importe quelle personne, et vous communierez avec lui ou avec elle. 48 Mais la communion dans laquelle nous entrons consiste, pour chacun de nous, individuellement, Ă  communier avec Christ. C’est ça communier. Alors, communier, ce n’est pas uniquement une personne qui parle, ce n’est pas nous seuls qui parlons, mais il faut aussi attendre et voir ce qu’Il nous rĂ©pond.
E-49 Or c’est lĂ , bien souvent, que nous commettons nos grosses erreurs, c’est que nous sommes les seuls Ă  parler, nous n’attendons pas, nous ne Lui donnons pas la possibilitĂ© de rĂ©pondre. Parfois nous y allons, en disant : “Seigneur, je voudrais que Tu fasses telle chose et telle chose, amen”, nous nous relevons, et nous repartons. Or ça, en rĂ©alitĂ©, ce n’est pas communier. C’est aller demander une faveur. Mais quand vous restez assez longtemps, jusqu’à ce qu’Il rĂ©ponde, c’est lĂ  que vous entrez en communion, que vous communiez avec le Seigneur. Or, et une maniĂšre formidable de communier, c’est d’ĂȘtre d’accord, vous devez ĂȘtre d’accord sur certaines choses. Or, et ce qui est Ă©trange, c’est que parfois, quand nous obtenons ces choses... 50 Le fait de manger est associĂ© Ă  cela. Prenez, par exemple, les gens qui sont dans les affaires, quand ils veulent conclure une affaire, ils invitent la personne Ă  un repas. Ils se mettent Ă  table et mangent, et ensuite ils parlent ensemble. Un bon vendeur, gĂ©nĂ©ralement, il ne va pas parler Ă  quelqu’un qui a l’estomac vide. Il est prĂ©fĂ©rable d’attendre qu’il se sente bien, et qu’il ait pris son petit-dĂ©jeuner. N’allez pas lĂ -bas le sortir du lit pour lui parler de quelque chose que vous voulez lui vendre, mais attendez qu’il ait pris son petit-dĂ©jeuner et–et qu’il soit bien disposĂ©.
E-51 L’autre jour, alors que je prĂȘchais sur la femme qui avait lavĂ© les pieds de JĂ©sus, – c’était au Canada que je parlais de ça, – je disais que, lorsqu’un invitĂ© venait rendre visite Ă  quelqu’un, cette personne devait suivre tout un processus, avant de se sentir vraiment digne de venir en visite, ou de communier. Une visite, c’est une communion. Bon, ils arrivaient Ă  la... InvitĂ© – il fallait d’abord que vous ayez Ă©tĂ© invitĂ©. Ensuite vous arriviez Ă  la porte, et le domestique vous lavait les pieds, parce que, Ă  cause du voyage, vous aviez pris l’odeur des animaux et tout le reste, le long de la route. Tous, ils... les gens voyageaient sur la mĂȘme route que les animaux, et–et lĂ  il y avait l’odeur et la poussiĂšre, qui s’étaient incrustĂ©es dans le vĂȘtement palestinien, et ça se dĂ©posait sur les jambes en sueur, et sur le visage qui n’était pas couvert, et–et sur les mains. Et–et on les interceptait Ă  la porte, c’est le domestique qui s’en chargeait, et il leur lavait les pieds. Puis un autre homme se tenait lĂ  avec une serviette et un–un vase d’albĂątre, et ils s’aspergeaient les mains de cet albĂątre, ils frottaient, comme ceci, et–et ils se l’appliquaient sur le visage, puis ils prenaient une serviette pour s’essuyer. Ça enlevait toute la saletĂ© et l’odeur. Ça contenait un produit rafraĂźchissant, comme du menthol, ce qui faisait qu’ils se sentaient mieux.
E-52 Puis, quand ils entraient, – on ne gardait pas ses vieilles chaussures sales pour marcher sur ces beaux tapis, – alors ils Ă©taient chaussĂ©s de petites, comme de petites pantoufles d’intĂ©rieur, et ils entraient. Donc, les–les invitĂ©s entraient, et–et alors l’hĂŽte leur donnait un baiser de bienvenue. Voyez, vous ne voudriez pas que l’hĂŽte vous donne un baiser si vous sentiez mauvais. Vous ne voudriez pas marcher sur les tapis en Ă©tant sale. Alors l’hĂŽte vous donnait un baiser de bienvenue, et vous Ă©tiez alors considĂ©rĂ© comme faisant partie de la maison.
E-53 Eh bien, Dieu a de telles pratiques. Avant que nous soyons vraiment prĂȘts pour entrer en communion avec Dieu, il nous faut premiĂšrement ĂȘtre lavĂ©s par les eaux de la Parole. La sĂ©paration, les eaux de sĂ©paration, qui nous sĂ©parent de notre pĂ©chĂ©. Or, d’abord, vous ne pouvez pas parler Ă  Dieu, vous ne pouvez pas communier avec Dieu, et il y a... D’abord, vous devez vous repentir de ce que vous avez fait, parce que vous ne pouvez pas croire correctement avant de vous ĂȘtre repentis : “Seigneur, pardonne mon incrĂ©dulitĂ©.” Voyez? “Pardonne mon incrĂ©dulitĂ©.” Vous devez d’abord vous repentir. Et lorsque vous vous repentez, alors vous ĂȘtes... vos pĂ©chĂ©s passĂ©s sont pardonnĂ©s, et vous devenez un candidat pour le baptĂȘme. Bon, ensuite Il a promis le Saint-Esprit, aprĂšs le baptĂȘme.
E-54 Donc, ce que nous voyons, Ă  propos de cette communion, c’est qu’il y avait un–un lavage des pieds, entre autres, qui Ă©tait aussi associĂ© Ă  ça : de se laver les pieds, comme symbole de la puretĂ© du Saint-Esprit. 55 Bon, ensuite, il faut qu’il y ait une similitude de sentiments entre vous. Si vous avez des rapports tendus avec votre–votre hĂŽte, alors vous–vous ne pouvez pas communier. Non, vous–vous ne le pouvez pas, parce que vous ĂȘtes en dĂ©saccord avec lui. Mais si vous ĂȘtes en accord, alors vous pouvez communier. Donc c’est la mĂȘme chose quand nous venons Ă  la table du Seigneur, nous devons ĂȘtre en accord avec Sa Parole. Voyez? Nous devons ĂȘtre nĂ©s de nouveau, avec l’Esprit de Dieu en nous, qui dit “amen” Ă  chaque Parole qu’Il a Ă©crite; alors nous pouvons communier avec Lui.
E-56 Nous avons ceci de Dieu : si notre coeur ne nous condamne pas, alors nous trouvons grĂące devant Dieu. Nous savons que nous obtenons ce que nous avons demandĂ© et rĂ©clamĂ©, parce que notre coeur ne nous condamne pas. Or, si Dieu nous dit qu’il faut que nous naissions de nouveau, et que nous n’avons pas reçu la nouvelle naissance, alors nous nous sentirons un peu drĂŽle d’aller Lui demander quelque chose, voyez-vous, parce que nous savons que nous n’avons pas rempli Ses conditions. Alors, tout ce que nous pouvons faire, c’est la priĂšre d’un pĂ©cheur. Mais nous parlons avec Lui une fois que nous avons Ă©tabli des rapports fraternels avec Lui, c’est ce qui produit la communion.
E-57 Maintenant, j’aimerais prendre quelques instants pour expliquer ceci, ce moyen de communion. Bon, nous prenons ce que nous, nous appelons la communion, c’est-Ă -dire le pain et le vin. Or ça, ç’a Ă©tĂ© tellement dĂ©formĂ© qu’il n’est mĂȘme pas bon d’en parler. Oh, comme ç’a Ă©tĂ© dĂ©formĂ© au cours des annĂ©es! En fait, ça, ce n’est pas une communion, c’est simplement de garder un commandement. Voyez? Bon, la raison pour laquelle nous l’appelons communion, c’est que ça vient de l’association que font les catholiques, qui dĂ©clarent que c’est “la sainte Eucharistie, qui est littĂ©ralement le corps du Seigneur JĂ©sus”. Mais ce n’est pas le corps du Seigneur JĂ©sus! C’est seulement en commĂ©moration de Son corps.
E-58 Et peu m’importe le nombre de prĂȘtres ou de prĂ©dicateurs, ou quelle que soit la personne qui bĂ©nit ça, c’est toujours du pain et du vin. Il n’y a aucun prĂȘtre, et pourtant c’est ce qu’ils nous disent, que “Dieu est obligĂ© d’écouter le prĂȘtre quand il transforme la communion,” ce qu’eux appellent la communion, “l’Eucharistie, en corps littĂ©ral du Seigneur JĂ©sus. Alors le croyant prend ça, et c’est ça qui est la communion.” C’est faux! 59 Communier, c’est “parler Ă , communier avec, quelque chose Ă  quoi vous pouvez parler et qui vous rĂ©pond”. C’est ça communier. Une hostie ne peut pas rĂ©pondre. Donc, en rĂ©alitĂ©, la vraie communion, c’est quand le Saint-Esprit rĂ©pond. Quand vous Lui demandez, et qu’ensuite Il rĂ©pond, c’est ça la communion correcte. Ceci, nous le prenons en commĂ©moration de Sa crucifixion et de Sa rĂ©surrection, mais ce n’est pas une communion. C’est comme ça que nous l’appelons, mais ce n’en est pas une. Ça vient de l’église catholique, qui prend cette hostie, comme nous avons examinĂ© la mise en place de ces choses, l’autre jour, en traitant du Paganisme contre le Christianisme.
E-60 “Il est dit que cette petite hostie ronde est le corps littĂ©ral de Christ.” Or, c’est ce que l’église catholique croit. Avez-vous dĂ©jĂ  remarquĂ© que, lorsqu’ils passent prĂšs d’une Ă©glise, ils font le signe de la croix, ils soulĂšvent leur chapeau et ainsi de suite? Ce n’est pas Ă  cause de l’église, c’est Ă  cause de l’hostie qu’il y a Ă  l’intĂ©rieur, “ce corps, que le prĂȘtre a transformĂ©, d’une hostie en corps littĂ©ral de Christ”, alors que ça peut ĂȘtre emportĂ© par des rats et des souris. Eh bien, vous ne, vous ne penseriez quand mĂȘme pas, en rĂ©flĂ©chissant en ĂȘtre civilisĂ©, qu’un morceau de pain puisse ĂȘtre le corps du Seigneur JĂ©sus! C’est impossible. 61 La communion, c’est “parler, et qu’on vous rĂ©ponde, ce Ă  quoi vous parlez”. Le mot communier signifie justement “parler à” ou “ĂȘtre associĂ© Ă  quelque chose qui vous rĂ©pond”. Et Dieu vous rĂ©pond, il y a communion. C’est toujours du pain et du vin, ce que nous appelons la communion.
E-62 Or, JĂ©sus a dit ici, comme je le lis : “Mon corps est une nourriture, et un breuvage, Mon Sang; Mon corps et Mon Sang sont une nourriture et un breuvage.” 63 Maintenant nous voulons penser Ă  JĂ©sus et L’associer, associer ce qu’Il Ă©tait. Son corps, qu’est-ce que c’est? Le corps de Christ, qu’est-ce que c’est? C’est le corps des croyants qui sont associĂ©s avec Lui dans le Saint-Esprit. Pas une idole, pas un morceau de pain, mais un Esprit qui est dans le coeur du croyant; et ils se sont associĂ©s, ce qui fait que l’homme et Dieu peuvent se parler, des fils et des filles de Dieu. L’effusion du Sang a amenĂ© la rĂ©mission du pĂ©chĂ© Ă  l’homme mortel, et cet homme, cette femme, ce garçon ou cette fille, qui a des rapports fraternels avec Christ, communie avec Lui, le corps.
E-64 Comme un mari et sa femme s’assoient ensemble pour discuter, ou un garçon et sa petite amie, de mĂȘme Christ et Son Église communient ensemble. C’est pour cette raison que nous pouvons L’entendre nous parler, que nous pouvons voir l’avenir d’avance, et que nous pouvons prĂ©dire l’avenir, et c’est parfait : c’est parce que nous communions avec un Dieu qui tient l’ÉternitĂ© dans Sa main. Nous communions l’un avec l’autre, le Corps de Christ, le Corps spirituel, mystique, de Christ. Pas associĂ© Ă  une quelconque idole, ou Ă  du pain ou Ă  du–du vin, mais c’est sous une–une forme spirituelle.
E-65 Or, JĂ©sus a dit la mĂȘme chose. Prenez Jean, le chapitre 4, lorsqu’Il parlait Ă  la femme au puits, elle disait quelque chose comme : “Nos pĂšres ont bu Ă  cette source, et ils ont creusĂ© ce puits, Jacob, et–et il a donnĂ© de cette eau Ă  ses enfants et Ă  son bĂ©tail, et Toi, Tu dis qu’il faut ‘adorer dans cette certaine ville’, alors que d’autres disent ‘sur cette montagne’.” 66 JĂ©sus a simplement dit : “Un instant! Nous sommes Juifs, et nous comprenons ce que–ce que veut dire adorer. Mais, femme, Ă©coute ceci. L’heure vient, et elle est dĂ©jĂ  venue, oĂč les vrais adorateurs adoreront Dieu en Esprit et en VĂ©ritĂ©. ‘Ta Parole est la VĂ©ritĂ©.’ Les adorateurs que le PĂšre recherche, ce sont ceux qui L’adorent en Esprit et dans la Parole, la VĂ©ritĂ©. ‘Ta Parole est la VĂ©ritĂ©.’” Or, c’est ce qu’Il a dit Ă  cette femme.
E-67 Voyez-vous, Christ... Dieu est Esprit. Christ veut dire “le oint, un homme oint de Dieu”, ce qui a fait de Lui le Christ. Or, Christ a dit : “Je suis Nourriture et Breuvage.” Pas une hostie, pas une hostie que nous prenons ici. Ça, ce n’est pas Christ. Le vin que nous buvons Ă  l’autel, ce n’est pas Christ. Ça Le reprĂ©sente, d’une maniĂšre figurĂ©e. Mais Christ, c’est le Saint-Esprit, l’onction qui est sur l’Église, c’est ça la Nourriture et le Breuvage.
E-68 Le plus grand cri qu’il y ait dans le monde entier, j’espĂšre que jamais aucun de vous ne l’a entendu, mais si vous l’avez entendu, aucun cri n’est comparable au cri de la faim. Quand vous voyez une mĂšre avec son bĂ©bĂ©, qu’elle ne peut pas marcher tellement elle est faible, et que le petit bĂ©bĂ© est en train de mourir, le ventre gonflĂ© par la faim; d’entendre les sanglots qui sortent du coeur de cette mĂšre, et de voir ce bĂ©bĂ© avec les joues tellement creuses qu’il n’y a plus que la peau sur les os, ses petites gencives qui brillent, – c’est Ă  peine s’il arrive Ă  Ă©mettre un bruit, – ses petits yeux Ă  fleur de tĂȘte. Aucun cri n’est comparable Ă  celui de la faim, et des assoiffĂ©s.
E-69 LĂ -bas dans les dĂ©serts, combien d’hommes ont perdu la vie Ă  cause de la soif! Il y a tellement d’histoires que je pourrais vous garder toute la nuit, des histoires vraies du dĂ©sert. Elles montrent que lorsque vous devenez... que vous avez soif, c’est lĂ  que le diable vous donne un–un mirage. Vous en avez vu ici, il n’est pas nĂ©cessaire que vous alliez dans l’Ouest pour en voir. Roulez sur la route, et on dirait qu’il y a de l’eau sur la route. Chacun de vous qui conduisez et qui avez pris la route, vous avez vu ça. C’est un faux mirage. Tenez, il y a quelque temps, environ trois ou quatre ans, j’ai lu que des canards qui volaient au-dessus du pays ont vu un mirage, et ils se sont Ă©crasĂ©s sur la route, en pensant piquer dans l’eau. Ils se sont complĂštement dĂ©sintĂ©grĂ©s, en frappant la surface dure de la route, alors qu’ils pensaient se poser sur l’eau : un mirage.
E-70 Combien de fois le diable n’a-t-il pas fait la mĂȘme chose avec les gens, en leur donnant un faux mirage, alors qu’il n’y a lĂ  rien du tout, ce n’est qu’un faux-semblant. Tellement de gens aujourd’hui se retrouvent avec un semblant de religion, ils cherchent Ă  fabriquer quelque chose, ou Ă  faire semblant qu’il y a lĂ  quelque chose, alors qu’il n’y a rien! Comme le disait cette petite missionnaire : elle a attendu jusqu’à ce qu’elle soit absolument certaine. Nous avons tout intĂ©rĂȘt Ă  le faire. Vous ne pourrez pas revenir pour un deuxiĂšme essai. Vous avez une seule chance, et vous avez le Plan, alors nous avons tout intĂ©rĂȘt Ă  nous rendre directement au but.
E-71 Le cri de la faim, Ă©coutez, c’est un grand cri, parce que c’est un cri de dĂ©tresse. La personne est en train de mourir. Oh, si nous, nous pouvions en arriver lĂ , si cette nation pouvait en arriver lĂ , au point oĂč elle a tellement faim de Dieu! Elle souffre de la famine, encore plus que les nations comme l’Inde, qui souffrent physiquement de la faim; cette nation souffre spirituellement de la faim. Mais quand il y a longtemps qu’on souffre de la faim, on en arrive au point oĂč on ne sait plus qu’on a faim. 72 C’est comme le froid intense. Quand on gĂšle, qu’on a trĂšs froid, au bout d’un certain temps, on commence alors Ă  ressentir de la chaleur. Et Ă  ce moment-lĂ , on est en train de mourir! C’est ça le problĂšme, ce soir. Les Ă©glises sont tellement froides qu’elles sont en train de geler, alors qu’elles pensent ressentir de la chaleur, Ă  cause de la prĂ©sence des membres, mais elles sont en train de mourir spirituellement. En train de mourir! Elles ne le savent pas. Finalement la personne s’étend pour dormir, et c’est la fin. Elle ne se rĂ©veille plus, parce que son sang est gelĂ© dans ses veines.
E-73 Maintenant, avoir soif. JĂ©sus a dit : “Mon Sang est vraiment un breuvage.” Si vous avez faim de recevoir la vie, faim de recevoir la vie, JĂ©sus a la seule eau qui puisse vous dĂ©saltĂ©rer. “Venez Ă  Moi, vous tous qui ĂȘtes fatiguĂ©s et chargĂ©s.” Et dans l’Apocalypse, il est dit : “Que celui qui a soif vienne aux sources de l’eau de la Vie, et boive gratuitement.” Si vous avez soif de la Vie!
E-74 Nous voyons que les astronomes prĂ©disent qu’à un certain moment, au dĂ©but ou dans la premiĂšre partie du mois, Ă  partir du deux ou du cinq, ou Ă  un moment donnĂ© au cours de ce mois, les astronomes indiens prĂ©disent que le monde va voler en Ă©clats. Et les journaux amĂ©ricains se moquent de ça. Je ne crois pas que le monde va voler en Ă©clats, par contre j’affirme que c’est mal de se moquer de ça. En effet, quelque chose est sur le point d’arriver, un de ces jours, quelque chose de semblable Ă  ça, quand les cinq planĂštes, Mars, Jupiter et VĂ©nus, et–et ainsi de suite, se mettront en–en... Elles ne l’ont encore jamais fait. Oh, ils prĂ©tendent que c’est peut-ĂȘtre arrivĂ© il y a vingt-cinq mille ans, mais qui Ă©tait lĂ  pour le vĂ©rifier?
E-75 Je prĂ©dis que ceci a une application spirituelle. Je crois que c’est l’introduction de la question de Dieu, que la grande rĂ©vĂ©lation de la Parole sera ouverte pendant ce temps-ci. Souvenez-vous, ils prĂ©tendent qu’il y a trois Ă©toiles qui sont passĂ©es sur l’orbite l’une de l’autre, Ă  la naissance de JĂ©sus. Et cette fois, il y en a cinq, et cinq, c’est la grĂące, le nombre de la grĂące. Trois est le nombre de la perfection. Cinq est le nombre de la grĂące, J-Ă©-s-u-s, g-r-Ăą-c-e, f-o-i [en anglais : f-a-i-t-h–N.D.T.], et ainsi de suite. Le nombre de la grĂące! Si Dieu envoie Sa puissance Ă  l’église, ce sera Ă  cause de Sa grĂące, ce ne sera pas Ă  cause de l’obĂ©issance des gens. ÉsaĂŻe a dit, au chapitre 40 , qu’il fallait “crier Ă  JĂ©rusalem que son combat Ă©tait terminĂ©â€, bien qu’elle soit coupable d’idolĂątrie, mais c’était la grĂące de Dieu qui lui envoyait cela. Si Dieu nous envoie quoi que ce soit, ce sera Ă  cause de Sa grĂące et non de nos mĂ©rites. Donc, ça peut signifier quelque chose. Je prĂ©dis qu’il y aura un changement. Je ne sais pas ce que ce sera, mais je crois que c’est sur le point d’arriver. Nous sommes Ă  la... juste Ă  la veille de ça maintenant. 76 Alors si quelqu’un a faim, qu’il vienne Ă  Christ. Si quelqu’un a soif, qu’il vienne Ă  Christ. C’est Lui qui dĂ©saltĂšre. Il est Celui qui satisfait pleinement notre soif et notre faim.
E-77 On m’a racontĂ© une histoire il y a quelque temps. Je l’ai peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  racontĂ©e dans cette Ă©glise. Si je l’ai fait, pardonnez-moi de la rĂ©pĂ©ter, c’est juste pour souligner un point. Il y avait un guide indien, ou, un genre de surveillant pour les Indiens. Il voyageait sur les terres des Navajos, et il s’est perdu. Il s’appelait Coy. Il suivait un sentier, un sentier qu’empruntait le gibier, et il s’est dit : “Maintenant, si je suis ce sentier, je trouverai certainement de l’eau.” Son cheval avait tellement soif qu’il avait la langue pendante, dessĂ©chĂ©e, ses naseaux Ă©taient devenus rouges et Ă©taient recouverts d’une croĂ»te de sable. Lui, il avait tenu son mouchoir sur son visage pendant les tempĂȘtes de sable, si bien qu’une croĂ»te s’était formĂ©e dessus; le manque d’eau allait le faire pĂ©rir. Il conduisait son cheval au moment oĂč il a trouvĂ© le sentier. Et il s’est dit, quand il est montĂ© sur son cheval, en apercevant ce sentier qu’empruntait le gibier, il s’est dit : “Certainement qu’il va me mener vers de l’eau.” Il enfourche donc son cheval, et il se met Ă  suivre ce sentier.
E-78 Et le cheval savait, lui aussi, qu’il avait pris un sentier qui menait vers de l’eau. Comme Dieu donne l’instinct aux bĂȘtes! Il a donc suivi ce sentier. Finalement, quelques pistes quittaient le sentier, un trĂšs petit nombre Ă©taient sortis du sentier battu. Le cheval voulait tourner pour prendre cette direction-lĂ , mais Coy avait une autre idĂ©e. Il essayait de le garder sur le sentier principal qui Ă©tait bien marquĂ©, il a pris cette direction, mais le cheval refusait d’avancer. Il l’a Ă©peronnĂ©, le cheval a henni et est parti dans l’autre direction. Puis il s’est cabrĂ©. La bĂȘte Ă©tait trop faible pour le jeter Ă  terre.
E-79 Alors il a recommencĂ© de plus belle Ă  le piquer des Ă©perons, il entamait la peau du cheval tellement il Ă©tait pressĂ© d’arriver jusqu’à l’eau pour sauver sa vie, au point que le cheval Ă©tait tout tremblant, ensanglantĂ©. Il a baissĂ© les yeux, il a regardĂ©, et le cheval frissonnait, comme ça, il s’écroulait presque sous son poids. Il l’a regardĂ©, il a vu le sang sur son flanc. Il Ă©tait ChrĂ©tien. Il a dit Ă  son cheval, il lui a dit : “J’ai souvent entendu dire que les animaux sauvages... ou que les bĂȘtes ont un instinct. On ne dirait pas que ce tout petit nombre, que ceux qui ont tournĂ© pour prendre cette direction-lĂ  se soient dirigĂ©s vers l’eau. On dirait plutĂŽt que ce sentier plus large, ici, est celui qu’on emprunte constamment pour aller vers l’eau.” Mais il a dit : “Si tu m’as transportĂ© fidĂšlement jusqu’ici, je vais me fier Ă  ton instinct.”
E-80 Oh, c’est bien ce que je pense de Christ! Le chemin qui mĂšne Ă  la destruction est jalonnĂ©, bien indiquĂ©, tout le long, mais il y a un chemin Ă©troit qui mĂšne Ă  la Vie. Il y en a peu qui La trouvent. Seulement, ce n’est pas l’instinct, mais c’est le Saint-Esprit qui vous amĂšnera Ă  vous tourner vers cette eau de la Vie. Je me dis qu’Il m’a menĂ© sain et sauf jusqu’ici, je Le suivrai pour le reste du chemin.
E-81 Pour terminer cette histoire. Il–il n’avait pas parcouru un demi-mille [huit cents mĂštres] que tout Ă  coup le fidĂšle cheval s’est plongĂ© dans une grande nappe d’eau. Ce cheval savait ce qu’il disait, il savait ce qu’il voulait signifier par sa façon de s’exprimer au–au cavalier. Il est entrĂ© lĂ -dedans. Il dit qu’il a jetĂ© de l’eau dans les naseaux du cheval. Il s’est baignĂ©, il poussait des cris, il hurlait, il criait Ă  pleins poumons. Il avalait l’eau Ă  grandes gorgĂ©es, en criant : “Nous sommes sauvĂ©s! Nous sommes sauvĂ©s! Nous sommes sauvĂ©s!” Le cheval buvait et frissonnait. Il a regardĂ© les flancs ensanglantĂ©s, boursouflĂ©s par les blessures provoquĂ©es par les Ă©perons.
E-82 Il a dit que, juste Ă  ce moment-lĂ , il a dit... entendu quelqu’un dire : “Sors de l’eau.” Il a regardĂ©, et il y avait lĂ  un petit cow-boy balafrĂ©. Il est sorti de l’eau. Il a dit qu’il a senti l’odeur du feu, il a promenĂ© le regard, et il y avait un groupe d’hommes qui campaient lĂ . Ils avaient fait de la prospection. Ils avaient trouvĂ© de l’or, et ils Ă©taient sur le chemin du retour avec leurs chevaux et leurs chevaux de bĂąt; ils Ă©taient arrivĂ©s Ă  ce point d’eau et ils se reposaient. Et ils s’étaient tous enivrĂ©s. 83 Il a dit qu’ils Ă©taient en train de cuire de leur gibier, et il a mangĂ© avec eux. Et il a dit que l’un d’entre eux a dit : “Bois un coup.” Il leur avait dit qui il Ă©tait, qu’il Ă©tait Jack Coy, le–le guide indien. Alors, il a dit : “Eh bien, maintenant, bois un coup.” Il a dit : “Non,” il a dit, “je ne bois pas.” 84 Et ça, c’est comme une insulte, pour ces gens-lĂ . Alors, il a dit : “Tu vas boire un coup avec nous!” Il a dit : “Non, je ne bois pas.” 85 Il lui a tendu brusquement le pichet, et il a dit : “Bois un coup!” Ils Ă©taient tous ivres, vous savez, ils Ă©taient environ une demi-douzaine. Alors, il a dit : “Merci, les amis.” 86 Ils ont dit : “Si notre gibier est assez bon pour que tu en manges, notre whisky est assez bon pour que tu en boives.” 87 Vous savez comment ils sont, quand ils sont ivres. Et il a dit : “Non”, il a dit. 88 Ils ont mis une cartouche dans leur carabine, et ils ont dit : “Maintenant tu vas boire, sinon!”
E-89 Il a dit : “Non. Non, je ne boirai pas.” Et il a pointĂ© sa carabine sur lui. Il a dit : “Un instant!” Il a dit : “Je n’ai pas peur de mourir.” Il a dit : “Je–je n’ai pas peur de mourir.” Il a dit : “Mais avant, je–je voudrais vous raconter mon histoire, pour quelle raison je ne bois pas.” Il a dit : “Je viens du Kentucky.” Il a dit : “Et, dans une petite cabane en rondins, un matin, alors que ma mĂšre Ă©tait Ă©tendue lĂ  en train de mourir, elle m’a appelĂ© Ă  son chevet et elle m’a dit : ‘Jack, ton pĂšre est mort, ivre, affalĂ© sur une table, un jeu de cartes Ă  la main.’ Et elle a dit : ‘Jack, quoi que tu fasses, surtout ne bois jamais.’” Il a dit : “J’ai posĂ© les mains sur le front de ma mĂšre. Et moi, un petit garçon de dix ans, j’ai promis Ă  Dieu de ne jamais prendre un premier verre.” Il a dit : “Je ne l’ai jamais fait.” Et il a dit : “Maintenant, si tu veux tirer, vas-y, tire.” 90 L’ivrogne a levĂ© sa carabine et il lui a prĂ©sentĂ© de nouveau le pichet, en disant : “Prends-le, sinon je tire!” Juste Ă  ce moment-lĂ , il y a eu un coup de feu, et le pichet a Ă©clatĂ© en morceaux.
E-91 Debout sur le flanc d’un canyon, il y avait une espĂšce de petit cow-boy balafrĂ©, les larmes coulaient sur ses joues. Il a dit : “Jack, moi aussi, je viens du Kentucky. Un jour, j’ai fait une promesse Ă  ma mĂšre, mais je n’ai pas tenu ma promesse.” Il a dit : “J’attendais que ces gars-lĂ  soient complĂštement ivres; de toute façon, je me proposais de les tuer tous et de prendre leur or.” Il a dit : “Mais j’ai Ă©tĂ© un ivrogne, et j’ai mal agi. Mais”, il a dit, “je suis sĂ»r que, lorsque mon coup de feu a rĂ©sonnĂ© dans les canyons du ciel, maman m’a entendu faire voeu de ne plus jamais recommencer.” Et lĂ , par la grĂące de Dieu, il a conduit tous ces gens Ă  Christ, tous ceux qui se trouvaient lĂ . 92 Voyez-vous, il y a quelque chose qui fait que l’eau, que de se rafraĂźchir, c’est spĂ©cial. Ce que je voulais souligner, c’est ceci : d’arriver jusqu’à l’eau, quand on a soif. Ça fait quelque chose, quand on a soif et qu’on arrive jusqu’à l’eau. 93 Or, Il a dit : “Je vous laisse Ma paix. Je vous donne Ma paix.” Pas comme le monde vous donne la paix, mais comme Lui vous donne la paix. Sa paix nous dĂ©saltĂšre. Si nous aspirons Ă  la paix, alors rafraĂźchissons-nous dans la paix que Lui donne, de savoir que nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur JĂ©sus-Christ. Il est Celui qui nous donne la paix, qui nous dĂ©saltĂšre.
E-94 Le verset qui dit : “Il est vraiment une Nourriture et vraiment un Breuvage.” J’ai fait une petite marque ici, au verset 57 : “Vraiment une Nourriture et vraiment un Breuvage.” Écoutez ce qu’Il dit ici. Et comme le PĂšre qui est vivant m’a envoyĂ©, et que je vis par Mon PĂšre, ainsi celui qui me mange vivra par moi. 95 Autrement dit : “Le PĂšre M’a envoyĂ©, et Je vis par Lui. Et tout homme qui vient Ă  Christ doit vivre par Christ.” Oh! la la! voilĂ , c’est ça la communion. C’est ça la vraie communion que vous trouvez, c’est quand vous vivez par Christ.
E-96 Or, nos corps ont besoin chaque jour de nourriture et de boisson, pour survivre, notre corps physique. Si nous ne mangeons pas chaque jour, et que nous ne buvons pas, alors notre corps s’affaiblit. Il y a quelque chose en nous qui fait qu’il nous faut prendre de la nourriture. La nourriture pour un jour ne durera pas pour le lendemain. Il vous faut prendre de la nourriture chaque jour, pour fortifier votre ĂȘtre mortel. Vous pouvez continuer Ă  vivre, mais vous ĂȘtes plus faible. Le deuxiĂšme jour, vous ĂȘtes encore plus faible. Et le troisiĂšme jour, vous devenez terriblement faible. 97 Eh bien, souvent c’est ce que nous faisons dans le domaine spirituel. Vous voyez, chaque jour nous devons communier avec Christ. Nous devons Lui parler chaque jour. Nous devons tout mettre en ordre avec Lui chaque jour. Paul a dit : “Je meurs chaque jour.” Voyez? “Chaque jour, je meurs; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi.” Alors, si votre corps physique a besoin de nourriture chaque jour et de boisson chaque jour, pour survivre, votre corps spirituel a besoin de Nourriture spirituelle et de communion avec le Seigneur chaque jour, pour survivre. Oui. JĂ©sus a dit : “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.” Donc, chaque jour nous devons Ă©tudier la Bible. Certaines personnes ne L’étudient pas du tout. Certaines La prennent deux ou trois fois par annĂ©e. Mais un croyant, un vrai de vrai, qui est vraiment affermi spirituellement, il lit sa Bible chaque jour, et il parle au Seigneur. C’est vrai. Pour lui, c’est indispensable. “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.”
E-98 Maintenant, une autre raison pour laquelle nous prenons de la nourriture, c’est pour fortifier notre corps afin qu’il rĂ©siste aux maladies. Si vous ne prenez pas de nourriture et que vous laissez votre corps s’affaiblir, alors il sera sujet aux maladies. Les maladies vont s’introduire dans le sang, et lĂ  vous ĂȘtes fini. Si votre sang n’est pas riche et pur, eh bien, ce qui arrivera, c’est que la maladie ira directement dans votre sang. Donc, il faut que vous mangiez de la bonne nourriture nourrissante, pour que votre sang conserve ses qualitĂ©s. Si vous ne le faites pas, vous serez prĂ©disposĂ©s aux maladies. C’est ça le problĂšme de beaucoup de ChrĂ©tiens.
E-99 C’est comme des plantes de serre chaude. Une plante qui sort d’une serre chaude, vous savez, elle, il faut la dorloter. Elle ne sait rien des conditions atmosphĂ©riques. Elle ne sait rien du soleil et tout, elle a Ă©tĂ© recouverte et dorlotĂ©e. C’est ça le problĂšme de trop de prĂ©tendus ChrĂ©tiens, ce sont des plantes de serre chaude. C’est vrai, sujets Ă  attraper tous les microbes qui passent! Vous savez, il n’y a que les–les... Il n’y a que les–les plantes dĂ©licates qu’il faut vaporiser, ou, les plantes hybrides.
E-100 Une vache Hereford, vous savez, lĂąchez-la dans le prĂ©, et lĂąchez-y une vache Longhorn, cette Longhorn pourra se dĂ©brouiller toute seule, parce qu’elle est de la race originale. Mais une Brangus ou une Hereford, qui est issue d’un croisement, qui est hybride, c’est une vache qui a une meilleure apparence, c’est sĂ»r, plus grasse et en meilleure santĂ©, mais si vous les lĂąchez lĂ , elles ne peuvent pas se dĂ©brouiller. Elles mourront! Il faut qu’on les dorlote. Voyez? 101 C’est ce qui se passe aujourd’hui : nous avons des ChrĂ©tiens mieux habillĂ©s, de plus grandes Ă©glises, et beaucoup de–d’instruction, beaucoup de thĂ©ologie, mais il faut les dorloter tout le temps, il faut regarder les choses Ă  travers leurs lunettes Ă  eux, sinon on ne voit rien du tout. Ce qu’il nous faut, ce sont des ChrĂ©tiens de race, nĂ©s sous le Sang du Seigneur JĂ©sus, qui ne tirent pas leur vie d’une thĂ©ologie d’église, mais de la Parole de Dieu, de la communion avec Christ. Alors que la Parole entre dans le croyant, son–son corps spirituel est affermi. Pas un bĂ©bĂ© de serre chaude!
E-102 Un certain ministre disait aujourd’hui, je l’ai entendu, il disait, lors d’une Ă©mission radiophonique, il disait que, lorsqu’il est arrivĂ© au pays, il avait de gros problĂšmes de sinus, et qu’on envisageait une opĂ©ration. On lui avait dit qu’on allait faire ceci et cela, l’inciser et opĂ©rer, et qu’on allait retirer une partie des glandes des sinus, ce qui provoquerait un affaissement de son visage, et ainsi de suite. Et il disait qu’il avait pris des tonnes de pilules. D’aprĂšs ce qu’il disait, il Ă©tait obligĂ© de prendre un certain nombre de pilules. Mais quand il s’est prĂ©sentĂ© devant un bon mĂ©decin ChrĂ©tien, ce mĂ©decin a dit : “Oublions les pilules et oublions l’opĂ©ration, et fortifions le corps pour qu’il puisse rĂ©sister Ă  la sinusite.” C’est ça!
E-103 Qu’est-ce qui fait que les gens ne vivent pas aussi longtemps qu’autrefois? Il faut recevoir une injection contre ceci et une injection contre cela, et on se vaporise avec toutes sortes de mĂ©dicaments. Qu’est-ce que ça produit? Ça nous rend mous, gras, flasques, bons Ă  rien. Alors que l’homme d’il y a longtemps... Eh bien, nous sommes allergiques Ă  tout. Maintenant les gens ont des allergies anormales, et tout le reste. 104 Je me suis trouvĂ© en Afrique, sans avoir pu recevoir de vaccination contre la malaria. Mais si un moustique porteur de malaria s’était posĂ© sur ma main, j’aurais eu la malaria. Ils ne bourdonnent pas, et c’est Ă  peine si vous les remarquez. Ils se posent, ils se posent simplement, et ça y est, vous l’avez. Si vous restez en vie, vous l’aurez pendant quinze ans. Et parfois vous en mourez. Et les indigĂšnes Ă©taient lĂ , dans leur petite case, les jambes couvertes de moustiques, et ils Ă©taient nus. Les moustiques les piquaient, des moustiques porteurs de malaria, et ça ne les gĂȘnait pas du tout. Pourquoi? Ils Ă©taient devenus immunisĂ©s. Ils avaient reçu de Dieu un vaccin.
E-105 C’est ça le problĂšme des gens aujourd’hui. C’est ça le problĂšme de l’église. On nous a administrĂ© tellement de vaccinations infantiles, et tellement de thĂ©ologie humaine, que nous sommes complĂštement vaporisĂ©s. Ce qu’il nous faut, c’est la vaccination de Dieu, par la Parole du Seigneur Dieu. L’homme vivra chaque jour de cette sorte de Nourriture lĂ , afin d’édifier son Ăąme, qu’elle soit vaccinĂ©e contre les maladies spirituelles qui abondent et se rĂ©pandent un peu partout dans le pays. J’ai beaucoup de notes lĂ -dessus, mais je vais devoir m’arrĂȘter.
E-106 Maintenant, fortifiez-vous, prĂ©parez-vous pour la vaccination. Or, nous vivons de ceci, nos–nos corps doivent avoir ceci. Si nous ne l’avons pas, alors nous sommes sujets Ă  toutes sortes de maladies. Et la Parole de Dieu, alors que nous La croyons et que nous L’acceptons, par la communion : “Seigneur, Ta Parole est la VĂ©ritĂ©.” 107 “Mon Ă©glise dit qu’on n’a pas besoin de naĂźtre de nouveau. Ils disent : ‘Se serrer la main, c’est naĂźtre de nouveau.’ Ils disent : ‘L’aspersion.’ Ils disent toutes ces autres choses : ‘C’est ça qu’il faut : PĂšre, Fils et Saint-Esprit.’” Mais la Bible dit qu’il faut ĂȘtre baptisĂ© au Nom de JĂ©sus-Christ. Voyez? Bon, allez-y, recevez ces injections artificielles si vous voulez, vous deviendrez alors un ChrĂ©tien artificiel. Voyez? Ce n’est pas ça que vous voulez.
E-108 Vous ne pouvez pas avoir la Vie, si ce n’est par Christ. Et maintenant, qu’est-ce que Sa Parole produit? Elle Ă©difie notre corps spirituel, alors que nous communions avec Lui, Elle le rend fort, pour qu’il rĂ©siste au diable. 109 Vous dites : “FrĂšre Branham, qu’est-ce que vous dites, au juste : ‘communier dans Sa Parole’?” 110 Oui, Il est la Parole. “Au commencement Ă©tait la Parole, et la Parole Ă©tait avec Dieu, et la Parole Ă©tait Dieu. Et la Parole a Ă©tĂ© faite chair, et Elle a habitĂ© parmi nous.” Et nous devons manger Son corps. Alors, Son corps, c’est Sa Parole, puisqu’Il est la Parole. Et Il a dit, dans Jean 15 : “Si vous demeurez en Moi, et que Ma communion, Ma Parole, demeure en vous, alors vous pouvez demander ce que vous voudrez, et cela vous sera accordĂ©.” VoilĂ . C’est vrai. Voyez-vous, demandez ce que vous voudrez!
E-111 Qu’est-ce que vous faites? Vous fortifiez votre corps, pour qu’il soit vaccinĂ© contre... Quelqu’un se prĂ©sente et dit : “Oh, pousser des cris de joie, notre Ă©glise ne croit pas Ă  ça.” Voyez, vous ĂȘtes affermis. Quoi? Vous avez la communion en vous, la Parole. Et vous ĂȘtes vaccinĂ©s contre ça. Si un tas d’absurditĂ©s s’introduit, qu’en est-il? Il n’y a pas la Parole lĂ -dedans, alors vous ĂȘtes sĂ»r que c’est faux. Peu importe Ă  quel point ça peut sembler vrai, si ce n’est pas la Parole, laissez-le de cĂŽtĂ©. C’est ça, laissez-le de cĂŽtĂ©. Peu importe ce que ça peut produire, il faut que ça concorde avec la Parole!
E-112 En priant, j’ai citĂ© MichĂ©e, qui se tenait lĂ , regardez, ça semblait vraiment ĂȘtre la bonne chose Ă  faire; en effet, il y avait lĂ  IsraĂ«l, et cette Ă©tendue de pays leur appartenait. Ces Ă©trangers Ă©taient entrĂ©s, ils la leur avaient ĂŽtĂ©e et ils y avaient construit leurs propres maisons. Ils occupaient une partie du pays que Dieu leur avait donnĂ©. Il semblait donc que ces quatre cents prophĂštes hĂ©breux avaient raison. Mais, vous savez, Josaphat, il avait un cĂŽtĂ© spirituel, il a dit : “N’en as-tu pas un autre?” 113 Il a dit : “J’en ai bien un autre, mais”, il a dit, “je le hais. Il ne fait que prophĂ©tiser du mal.” Il a dit : “Va le chercher, et Ă©coutons-le.” 114 Il s’est prĂ©sentĂ© lĂ , et il a dit : “Vas-y, vas-y, monte, mais j’ai vu IsraĂ«l dispersĂ© comme des brebis qui n’ont pas de berger.” Et ensuite il a racontĂ© sa vision.
E-115 Or, qui avait la vision juste? Il semblait que c’étaient les quatre cents prophĂštes qui avaient raison. Quatre cents hommes qui avaient reçu une solide formation, qui disent : “Monte, l’Éternel est avec toi.” SĂ©dĂ©cias avait mĂȘme une–une–une–avait une... SĂ©dĂ©cias s’était fait deux grandes cornes de fer. Il a dit : “C’est avec ceci que tu repousseras les Ă©trangers du pays.” Il Ă©tait sĂ»r qu’il avait raison. Il savait qu’il avait raison. Mais, vous voyez, il avait tort. 116 Et voici MichĂ©e, un seul contre quatre cents, et il dit : “Si tu montes, IsraĂ«l sera dispersĂ©, sans berger.” 117 Les autres ont dit : “Monte, l’Éternel est avec toi!” Or, matĂ©riellement, ils avaient raison, cet endroit appartenait effectivement Ă  IsraĂ«l. Mais la Parole du Seigneur avait condamnĂ© Achab, alors, comment Dieu pouvait-Il bĂ©nir ce qu’Il avait condamnĂ©?
E-118 On en est lĂ  aujourd’hui. Voyez? La Parole de la communion Ă©tait en MichĂ©e. Or, si vous communiez avec Dieu en prenant la vraie communion, et que l’esprit en vous est en dĂ©saccord avec cette Parole, vous ne communiez pas avec Dieu, vous communiez avec des dĂ©mons. Et ils arrivent tellement bien Ă  imiter! La Bible dit que “dans les derniers jours, ils arriveraient presque Ă  sĂ©duire les Élus eux-mĂȘmes, si c’était possible. Mais les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera pas.” Et comme Paul l’a dit, dans Galates 1.8 : “Si un ange du ciel prĂȘche un autre Évangile que Celui-ci, que vous avez dĂ©jĂ  entendu, qu’il soit anathĂšme.” MĂȘme un ange! Dans l’église primitive, quand il y avait ces hommes, comme saint Martin, IrĂ©nĂ©e, ces hommes saints, et que le diable apparaissait comme un ange de lumiĂšre. Mais, observez, il sera un petit peu Ă  cĂŽtĂ© de la Parole. 119 Il est apparu Ă  Ève comme un ange de lumiĂšre, il lui a dit : “Bien sĂ»r, le Seigneur a dit ceci, le Seigneur a dit ceci”, mais, tout Ă  la fin, il Ă©tait en dĂ©saccord avec Dieu. Et c’est comme ça que se fait la fausse communion aujourd’hui. Quand les gens pensent qu’ils prient Dieu, alors qu’ils n’obĂ©issent pas Ă  la Parole, c’est une fausse communion.
E-120 “Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, alors demandez ce que vous voudrez,” voyez-vous, “et cela sera accordĂ©.” Bon, alors ça ne peut pas aller une fois, et puis, la fois suivante, ça ne va plus. “Vous demeurez en Moi, Mes Paroles demeurent en vous”, ça veut dire rester lĂ . Demeurer signifie “ne pas bouger de là”. Oui, c’est–c’est un vaccin contre les maladies du pĂ©chĂ©.
E-121 Maintenant, je vais conclure en disant une seule parole encore, avant de passer Ă  la table de communion. Le Sang et le Corps du Seigneur, mĂȘlĂ©s avec de la foi, donc, le Sang et le Corps, c’est-Ă -dire l’Esprit et la Parole, mĂȘlĂ©s avec de la foi, Ă©quivalent Ă  la Vie Éternelle. “Celui qui mange Ma Chair et qui boit Mon Sang a la Vie Éternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.” VoilĂ . Qu’est-ce que c’est? La communion du Seigneur. La Parole et l’Esprit, cette Vie qui est dans le Sang, la Parole et l’Esprit Ă©quivalent Ă  la Vie Éternelle, par la foi dans le Seigneur.
E-122 Voici ma priĂšre, alors que je vois la fin approcher, et que je vois que, d’une minute Ă  l’autre, quelque chose pourrait arriver, que je sais que nous ne sommes pas loin de la Venue du Seigneur. Seigneur, alors, au Nom du Seigneur JĂ©sus, le Fils de Dieu, permets-moi de prendre la Parole, l’ÉpĂ©e, et de La brandir avec toute la foi que j’ai, me tailler un passage Ă  travers toutes les puissances dĂ©moniaques, jusqu’à ce que je voie JĂ©sus, par la communion de Sa Parole. 123 Communiez avec Sa Parole. “Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, alors demandez-Moi ce que vous voudrez, et cela vous sera accordĂ©.” Comme c’est beau! VoilĂ  la vraie communion; munis de la Parole et de l’Esprit, de la foi pour La brandir ensemble : “Demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordĂ©.” Prions.
E-124 Bienveillant et noble PĂšre saint, Dieu, le grand JE SUIS, l’El-ShaddaĂŻ pour Abraham. Ô Dieu, dire que cette grande communion avec le Seigneur Ă©quivaut Ă  la Vie Éternelle, dire qu’Elle vaccine contre l’orgueil, qu’Elle vaccine contre l’incrĂ©dulitĂ©, qu’Elle vaccine contre le pĂ©chĂ© du monde! C’est la communion, avec de l’amour Divin envers notre PĂšre CĂ©leste. Par la justice de JĂ©sus-Christ nous avons accĂšs Ă  cette table. Nous Te prions, Seigneur, de donner Ă  chacun de nous cet accĂšs, ce soir, dans l’Esprit. Pardonne-nous. Nous voulons que nos corps spirituels grandissent. AdhĂ©rer Ă  une certaine Ă©glise ou Ă  une certaine dĂ©nomination, ça ne nous intĂ©resse pas. Nous voulons Ă©difier le corps spirituel, pour qu’il soit vaccinĂ© contre le pĂ©chĂ©, au point qu’il n’y ait plus aucun dĂ©sir de faire le mal, et que le Saint-Esprit puisse prendre Sa propre Parole, s’emparer de nos lĂšvres, et La prononcer avec autant de fraĂźcheur que lorsqu’Elle a Ă©tĂ© prononcĂ©e ce jour-lĂ , parce qu’il s’agit de l’Esprit mĂȘme qui Ă©tait dans le Seigneur JĂ©sus. Je Te prie, PĂšre, de nous donner cela.
E-125 Les heures s’abrĂšgent de plus en plus. Nous ne savons pas au juste Ă  quel moment le dernier sera sauvĂ©. Mais je prie ce soir, Seigneur, si certains ici ne Te connaissent pas comme leur Sauveur, qu’ils puissent Te trouver ce soir, alors qu’ils viendront dans l’eau du baptĂȘme, en commĂ©moration, comme une confession Ă  ce corps de croyants, qu’ils croient le rĂ©cit qui dit que JĂ©sus de Nazareth est nĂ© de la vierge Marie, qu’Il a Ă©tĂ© mis Ă  mort, crucifiĂ© par Ponce Pilate, et qu’Il a Ă©tĂ© ressuscitĂ© par Dieu le troisiĂšme jour, et qu’Il est assis Ă  la droite de la MajestĂ© Divine, ce soir, toujours vivant pour intercĂ©der.
E-126 Accorde, Seigneur, que cette mĂȘme personne qui obĂ©ira aux commandements de la Bible : “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ, pour la rĂ©mission de vos pĂ©chĂ©s. Car il n’y a sous le Ciel aucun autre nom qui ait Ă©tĂ© donnĂ© parmi les hommes, par lequel vous deviez ĂȘtre sauvĂ©s.” Ô Dieu, que les gens en voient la sincĂ©ritĂ©, et combien cette Parole est inĂ©branlable : “Il n’y a sous le Ciel aucun autre nom qui ait Ă©tĂ© donnĂ© parmi les hommes, par lequel vous deviez ĂȘtre sauvĂ©s, si ce n’est au Nom de JĂ©sus-Christ.” C’est pourquoi l’apĂŽtre a dit : “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ, pour la rĂ©mission de votre pĂ©chĂ©, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour chaque Ăąge, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.” Seigneur, fais que beaucoup de gens soient appelĂ©s, ce soir.
E-127 Il est aussi dit par notre Seigneur : “Nul ne peut venir Ă  Moi, si Mon PĂšre ne l’attire, et tous ceux que le PĂšre M’a donnĂ©s viendront Ă  Moi. Mes brebis entendent Ma Voix.” Un Ă©tranger, et si un Ă©tranger parle, une voix qui n’est pas scripturaire, tout de suite les brebis la reconnaĂźtront. Ô Dieu! Et si c’est Ta Voix, la Bible, ce qui Y est dit, alors chaque brebis L’entendra, parce que C’est la Nourriture des brebis. Elles ont communiĂ©. Elles savent quelle sorte de Nourriture le PĂšre donne Ă  manger. “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.” Permets, Seigneur, que beaucoup voient et comprennent, et viennent Ă  Toi ce soir. 128 Ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit, qu’ils n’attendent pas une heure de plus. Dans une heure il sera peut-ĂȘtre trop tard. Ils ne seront peut-ĂȘtre plus ici.
E-129 PĂšre, alors que nous nous sommes rassemblĂ©s autour de la table maintenant, afin de prendre cette reprĂ©sentation de Ton corps brisĂ© – s’il y a un pĂ©chĂ© au milieu de nous, Seigneur, nous Te prions de nous pardonner. Tu as dit : “Lorsque vous vous rĂ©unissez, attendez-vous les uns les autres.” Ô Dieu, s’il y a un pĂ©chĂ© quelque part dans cette assemblĂ©e, je prie que le Sang de JĂ©sus-Christ dĂ©tache cet homme de son pĂ©chĂ©, ou cette femme, ce garçon ou cette fille. Et, PĂšre, je Te prie pour moi-mĂȘme, de me dĂ©tacher de tout doute, de tout pĂ©chĂ©, de toute incrĂ©dulitĂ©, de tout. Nous savons que l’incrĂ©dulitĂ© est le pĂ©chĂ©. C’est le seul pĂ©chĂ© qui soit. “Celui qui ne croit pas est dĂ©jĂ  jugĂ©.” Le seul pĂ©chĂ© qui soit, c’est de ne pas croire la Parole de Dieu. Et, PĂšre, s’il y a de l’incrĂ©dulitĂ© en moi, pardonne-moi, ĂŽ Dieu, et il y en a beaucoup, aussi je Te prie de me pardonner. Pardonne Ă  mon assemblĂ©e, que Tu m’as donnĂ©e, ce soir, et nourris-les de Ta Parole. Accorde-le. 130 Et, alors que nous prenons ces petits Ă©lĂ©ments commĂ©moratifs du corps rompu de Celui qui est ressuscitĂ© des morts et qui est vivant parmi nous aux siĂšcles des siĂšcles, puissions-nous recevoir de Lui la communion, Seigneur, la communion du Saint-Esprit. Accorde-le, PĂšre. Nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen.
E-131 Maintenant, pour vous qui devez partir et qui ne pouvez pas rester pour le service de communion, qui durera environ quinze minutes... Nous ne sommes pas nombreux, et nous prendrons la communion. Ce n’est pas une communion fermĂ©e. C’est absolument pour chaque croyant ChrĂ©tien. Dieu ne trace pas de ligne de dĂ©marcation entre les baptistes et les mĂ©thodistes, et ainsi de suite. Nous avons tous Ă©tĂ© baptisĂ©s dans un seul Esprit pour former un seul Corps, et nous sommes concitoyens du Royaume de Dieu. S’il y a un inconnu parmi nous, je ne suis pas beaucoup ici, je ne sais pas qui est membre et qui ne l’est pas. Souvenez-vous, quelle que soit l’église dont vous faites partie, ça n’a aucun rapport. De toute maniĂšre, il n’y a qu’une seule Église, et vous n’Y adhĂ©rez pas, vous Y naissez. C’est vrai. Vous naissez dans cette Église de Dieu. Et nous prions que vous receviez Christ ce soir, que vous communiiez avec Lui, alors que nous nous souviendrons de Son corps rompu, en prenant ces petits Ă©lĂ©ments de la pĂąque; puisse Dieu asperger nos coeurs et nos consciences avec le Sang.
E-132 Maintenant ils vont apporter la communion, et nous lirons maintenant dans I Corinthiens, au chapitre 12. Nous allons prendre la communion immĂ©diatement aprĂšs ceci, et nous avons confiance que Dieu vous bĂ©nira abondamment. Puis, aussitĂŽt que nous aurons lu ceci, ou juste avant que nous le lisions, si vous devez partir, eh bien, vous pouvez sortir tranquillement. Et soyez de nouveau parmi nous mercredi soir, dimanche matin et dimanche soir. Si vous pouvez rester pour prendre la communion avec nous, nous serons trĂšs heureux que vous le fassiez. Puis, tout de suite aprĂšs, il y aura le Seigneur... il y aura le service de baptĂȘmes, qui aura lieu, je pense, dans environ quinze minutes, ou vingt au maximum. I Corinthiens, chapitre 11, verset 23. ...j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseignĂ©; c’est que le Seigneur JĂ©sus, dans la nuit oĂč il fut livrĂ©, prit du pain, Et, aprĂšs avoir rendu grĂąces, le rompit,...dit : Prenez, et mangez. Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mĂ©moire de moi. De mĂȘme, et aprĂšs avoir soupĂ©, il prit la coupe, et dit : Ceci est la coupe de la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mĂ©moire de moi toutes les fois que vous en boirez. Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. C’est pourquoi celui qui ne mangera pas le...celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. Que chacun donc s’examine soi-mĂȘme, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe; Car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-mĂȘme. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup de malades et d’infirmes,...qu’un grand nombre sont morts. Si nous nous jugions nous-mĂȘmes, nous ne serions pas jugĂ©s. Mais quand nous sommes jugĂ©s, nous sommes chĂątiĂ©s par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnĂ©s avec le monde. Ainsi, mes frĂšres, lorsque vous vous rĂ©unissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres.
E-133 Maintenant, un instant de priĂšre silencieuse, pour chacun de nous, priez pour moi pendant que je prie pour vous. [FrĂšre Branham fait une pause.–N.D.É.] Accorde ces requĂȘtes, Dieu Tout-Puissant. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons Ă  ceux qui nous ont offensĂ©s. Nous demandons ceci au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen.
E-134 Ces petits morceaux, c’est du pain kascher, qui a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© sans saindoux, sans assaisonnement ni rien, et ça reprĂ©sente le corps du Seigneur. Il n’est pas rond, on l’a rompu en morceaux. C’est parce que ça reprĂ©sente Son corps rompu, qui a Ă©tĂ© rompu pour nous. Que Dieu accorde Ses bĂ©nĂ©dictions Ă  tous ceux qui le mangeront. Or, ce n’est pas le corps, ça ne fait que reprĂ©senter le corps. Je n’ai pas le pouvoir, personne d’autre ne l’a, d’en faire autre chose que du pain. Dieu seul. Et c’est ce qu’Il nous a dit, de manger ce pain et de boire cette coupe de vin. Maintenant inclinons la tĂȘte.
E-135 Dieu trĂšs Saint, dont nous sommes les serviteurs, au Nom de JĂ©sus-Christ, sanctifie ce pain pour le but qui lui est attachĂ©, afin que, alors que nous le recevrons, nous nous souvenions que notre Seigneur a Ă©tĂ© crucifiĂ©; et que Son corps, prĂ©cieux et saint comme il l’était, a Ă©tĂ© associĂ© Ă  des meurtrissures, des Ă©pines et des clous, pour nous, afin que de Son corps dĂ©chirĂ© sorte l’Esprit qui nous donne la Vie Éternelle. Puissions-nous, Seigneur, alors que nous mangerons ceci, avoir la grĂące pour le voyage, comme IsraĂ«l l’a eue pendant quarante ans dans le dĂ©sert, sans qu’il y ait un seul infirme parmi eux. Dieu notre PĂšre, accorde-le, alors que nous Te prions de sanctifier ce pain, ce pain kascher, pour le but qui lui est attachĂ©. Au Nom de JĂ©sus. Amen.
E-136 La coupe de la Nouvelle Alliance, le Sang. Je pense Ă  ce chant : “Depuis que, par la foi, j’ai vu ce ruisseau que Tes blessures ouvertes alimentent, l’amour rĂ©dempteur a Ă©tĂ© mon thĂšme, et le sera jusqu’à ma mort.” Quand je vois ce sang, le raisin, le sang du raisin, je sais qu’il reprĂ©sente le Sang qui est sorti du corps du Seigneur JĂ©sus. Puissent tous ceux qui recevront ceci avoir la Vie Éternelle, que la maladie quitte leur corps, que la lassitude et la faiblesse, l’oppression, que le diable sous toutes ses formes les quitte, pour qu’ils aient une grande force, la santĂ©, et la Vie Éternelle, et qu’ainsi leur lumiĂšre brille devant cette gĂ©nĂ©ration mĂ©chante et adultĂšre dans laquelle nous vivons, afin de glorifier Dieu.
E-137 PĂšre CĂ©leste, nous Te prĂ©sentons le fruit de la vigne. Au Nom de JĂ©sus-Christ, sanctifie-le, qu’il reprĂ©sente le Sang de Ton Fils, JĂ©sus, C’est ce qui nous procure : “BlessĂ© pour nos transgressions, par Ses meurtrissures nous avons Ă©tĂ© guĂ©ris.” Seigneur, fais que la Vie vienne Ă  nous, la Vie Éternelle en grande abondance, afin que nous puissions mieux Te servir, en ayant la force et la santĂ© nĂ©cessaires pour nous dĂ©placer de lieu en lieu, vers l’endroit oĂč nous comptons Te servir, lĂ  oĂč Tu nous appelleras. Accorde ces bĂ©nĂ©dictions, au Nom de JĂ©sus, nous T’en prions. Amen.

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