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Prédication HUMILIE-TOI / 63-0714E / Jeffersonville, Indiana, USA // VGR 39 minutes PDF MP3 low MP3 HQ

HUMILIE-TOI

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E-1 [FrĂšre Neville prĂ©sente FrĂšre Branham.–N.D.É.] C’est toute une surprise. Je crois que je pourrais faire une annonce, lĂ  : “Il y a certains dons : qu’il me vienne, Ă  moi, une idĂ©e comme celle-lĂ .” [FrĂšre Branham et l’assemblĂ©e rient.]
E-2 Je prends vraiment plaisir Ă  ĂȘtre ici, chaque fois. Notre voyage tire maintenant Ă  sa fin, notre sĂ©jour parmi vous. En effet, nous avons une autre sĂ©rie de rĂ©unions, tout de suite aprĂšs, Ă  Chicago, et il faut que je ramĂšne ma–ma famille, trĂšs prochainement, en Arizona. Et ils n’ont pas encore eu leurs vacances d’étĂ©, alors je dois aller faire un petit tour avec eux quelque part, dans quelques jours. Et alors je serai probablement absent un–un jour, un dimanche, et la semaine d’aprĂšs je commence Ă  Chicago. Puis, je dois revenir vite, le lundi, pour les amener en Arizona.
E-3 Or, ça me fait de la peine de venir le dimanche matin, prendre ce temps oĂč tout le monde est frais et dispos. Le dimanche soir, vous ĂȘtes toujours fatiguĂ©s, Ă©puisĂ©s, le dimanche soir; et alors de remettre le service du dimanche soir Ă  notre pasteur, ça–ça, ce n’est pas vraiment bien. Mais, ça me fait de la peine de faire ça; par contre, le dimanche soir, ce que je ferais... le dimanche soir, quand j’ai un service le dimanche soir, alors je retiens les gens jusque tard. Beaucoup d’entre eux parcourent tout ce trajet, depuis le sud et–et depuis le nord, et ils ont, oh, parfois ils roulent jour et nuit, rien que pour arriver ici pour un seul service, puis s’en retourner. C’est pour ça que j’essaie de prendre le dimanche matin, quand je suis lĂ ; ça leur permet de s’en retourner.
E-4 Des pĂšlerins loyaux et fidĂšles; comme je les aime! Ils roulent Ă  travers la neige fondue, la pluie, et tout, pour arriver ici, ils traversent le pays, ils font des centaines de milles, rien que pour un seul petit service. Alors, ça m’amĂšne Ă  Ă©prouver de la reconnaissance envers Dieu, et envers ces gens-ci, pour leur grand–pour leur grand soutien, de ce que j’essaie de dire aux gens, de cette VĂ©ritĂ©.
E-5 Or, je crois que ceci est la VĂ©ritĂ©, je... de tout mon coeur. S’il y avait quoi que ce soit d’autre, que je pensais ĂȘtre mieux, certainement que je–j’irais d’abord... Je ne demanderai Ă  personne d’aller quelque part, sans que moi-mĂȘme, j’y aille d’abord, pour savoir si c’est ce qu’il faut ou pas. Je ne demanderais Ă  personne de–de faire un pas en Dieu, que je n’aie dĂ©jĂ  fait moi-mĂȘme, et dont je ne sache que c’est la VĂ©ritĂ©. D’abord, il faut que ce soit la Parole du Seigneur, ensuite, je dois faire le pas pour voir si c’est bien ce qu’il faut faire. Puis, si c’est bien ce qu’il faut faire, alors je peux dire : “Montez par ici.” Voyez-vous, il s’agit d’ouvrir la voie.
E-6 Et, alors, je pense que n’importe quel ministre devrait faire ça, il devrait d’abord y aller lui-mĂȘme. Il est censĂ© ĂȘtre un conducteur, un conducteur des gens, il ne doit pas parler d’une chose Ă  laquelle il ne voudrait pas lui-mĂȘme mettre la main. Nous devrions y aller, nous les conducteurs des gens.
E-7 Ce matin, j’ai eu une expĂ©rience trĂšs Ă©trange, trĂšs bizarre, ici, Ă  la chaire. Et c’est arrivĂ© vers la derniĂšre partie du Message : je n’avais pas l’intention de dire ça de cette façon-lĂ . Voyez? Mais je suppose que c’est dĂ©jĂ  dit, alors maintenant je ne peux plus rien y faire. Mais aprĂšs, je suis arrivĂ© Ă  la maison, je me suis mis Ă  Ă©tudier ça.
E-8 On a eu une petite rĂ©union de famille aujourd’hui, il n’y avait que mon frĂšre et les autres. Maman n’est plus lĂ . Nous avions l’habitude de nous rĂ©unir chez elle, maintenant nous allons chez DolorĂšs. Nous avons passĂ© des moments agrĂ©ables lĂ -bas, cet aprĂšs-midi, Ă  causer, et Teddy Ă©tait lĂ . Nous avons chantĂ© quelques chants, il a jouĂ© quelques cantiques et tout ça.
E-9 Maintenant, je pense que, peut-ĂȘtre dimanche matin prochain, si le Seigneur le veut, si ça ne dĂ©range pas FrĂšre Neville, lĂ , je voudrais avoir un service de guĂ©rison, uniquement consacrĂ© Ă  la guĂ©rison. Et je–et je pense qu’avec le Message de ce matin, la façon dont le Seigneur a semblĂ© me conduire, pour L’apporter, pour Le prĂ©senter, ça devrait, en quelque sorte, nous encourager un peu, voyez-vous, à–à–à vraiment croire. Nous–nous pouvons nous amuser, nous–nous pouvons dire diffĂ©rentes choses, et en parler. Mais, alors, quand on en arrive Ă  l’épreuve de force, lĂ  c’est diffĂ©rent. Comme le...
E-10 Quelqu’un racontait, je crois que c’est mon frĂšre, lĂ  au fond, qui racontait une–une petite histoire aujourd’hui, au sujet d’un homme, d’un–d’un ministre et de son... de quelqu’un de, d’une personne de son assemblĂ©e. Il disait qu’il pouvait marcher sur un rondin. Il a dit : “Bien sĂ»r, pasteur, le Seigneur est avec vous.” Il a dit : “Je peux porter un rondin sur mon dos pendant que je traverse.” “Bien sĂ»r, le Seigneur est avec vous.” Il est allĂ©, et il l’a fait.
E-11 Il a dit : “Je peux porter un rondin et pousser une brouette en traversant, les deux à la fois.”
E-12 “Bien sĂ»r, pasteur, le Seigneur est avec vous. Votre foi peut tout faire.”
E-13 Il a dit : “Je peux te mettre dans la brouette et porter le rondin.” Il a dit : “Attendez une minute, là!” Voyez?
E-14 C’est diffĂ©rent quand vous y ĂȘtes impliquĂ©, vous-mĂȘme. Voyez? Alors, c’est trĂšs bien pour nous de dire ici : “Amen.” C’est trĂšs bien pour nous de dire : “Je crois que c’est vrai.” Mais ensuite, passez Ă  l’action. Vous devez passer Ă  l’action.
E-15 Comme je l’ai dĂ©clarĂ© ce matin, les gens qui Ă©taient couchĂ©s dans l’ombre de Pierre, ils ne demandaient mĂȘme pas qu’on prie pour eux.
E-16 Je suis entrĂ© dans beaucoup de maisons, et j’ai observĂ© ça. Je prie avant de partir, et j’y entre avec l’onction, tout simplement; je ne prie mĂȘme pas pour les gens, je repars, et ils sont guĂ©ris. Voyez? Voyez? C’est vrai. J’ai vu ça se produire, tant de fois! Voyez? Il faut que vous ayez un point d’appui pour votre foi, quelque part. Voyez? Il faut que vous y croyiez. Et je crois que l’heure approche, et elle est dĂ©jĂ  lĂ .
E-17 Je suis conscient que ce service n’en est pas un oĂč on enregistre. Il se pourrait qu’ils enregistrent une petite bande, pour eux-mĂȘmes, mais celle-lĂ  n’est pas destinĂ©e Ă  faire le tour du pays. Le...
E-18 Ce dont je parlais ce matin nous a amenĂ©s jusqu’à un–jusqu’à un point culminant, et c’est pour ça que je vais consacrer dimanche prochain Ă  un–un–un service de guĂ©rison. En effet, depuis que je suis rentrĂ©, je vous ai parlĂ© des visions et de ce qui s’est produit, et tout, et j’ai dĂ©veloppĂ© lĂ -dessus, vous exposant pourquoi j’ai fait toutes ces choses. Et puis, ce matin, j’ai continuĂ© Ă  dĂ©velopper, jusqu’à en venir maintenant Ă  ce dernier Pull.
E-19 Maintenant, c’est le moment oĂč je dois me consacrer Ă  Dieu, le moment oĂč Dieu va me parler. Voyez-vous, je–je–je dois vraiment avoir un petit changement dans ma propre vie. Ce n’est pas que je sois mauvais, je ne pense pas ça, mais je–je veux me sentir un peu plus prĂšs des gens. Voyez?
E-20 Ces gens Ă  qui j’ai essayĂ© d’annoncer cette VĂ©ritĂ© de l’Évangile, et qui Y tournent le dos, ils s’En Ă©loignent, et ils se moquent de Cela. Or, moi, je trouve que c’est une insulte. Envers moi, ça, ça m’est Ă©gal; mais quant aux choses que je dis, qui sont la VĂ©ritĂ©, pour essayer de leur venir en aide. C’est comme de pousser un bateau au large, et de dire : “Allez, le voici, traversez! Allez, sortez de ce courant tumultueux, vous allez mourir! Vous–vous allez pĂ©rir lĂ -bas!” Et ils se moquent de vous, simplement, et ils s’éloignent. Eh bien, moi, s’ils s’éloignent, j’ai l’impression qu’il n’y a plus rien que je puisse faire Ă  ce sujet, voyez-vous, rien que je puisse faire.
E-21 Mais maintenant je veux descendre en vitesse sur la rive, et les persuader : “Revenez donc!” Voyez-vous, il faut que j’aie ce sentiment-lĂ , voyez-vous, parce que je sais qu’il y a quelqu’un lĂ -bas, qui n’est pas encore entrĂ©. Et je vais–je vais pĂȘcher, jusqu’à ce que... Il a dit, jusqu’à ce que le dernier poisson ait Ă©tĂ© attrapĂ©. C’est ça que je veux faire maintenant.
E-22 Et, pour ce faire, maintenant, je m’attends Ă  ce que quelque chose se produise dans une rĂ©union de priĂšre. Quelque chose... Beaucoup d’entre vous se souviennent de la vision du–du dernier Pull, de ce troisiĂšme Pull, plutĂŽt. Vous vous souvenez, quelque chose s’était produit juste avant : j’ai vu venir cette LumiĂšre et Elle est descendue dans cet endroit-lĂ , et Il a dit : “Je te rencontrerai lĂ .” Maintenant je m’attends Ă  ce que quelque chose se produise.
E-23 Il y a bien des annĂ©es, ici, les services et le discernement m’affaiblissaient tellement que j’en titubais. Beaucoup d’entre vous se souviennent de ça. Je me retrouvais dans cet Ă©tat-lĂ , il fallait que FrĂšre Jack Moore me prenne par le bras, et que FrĂšre Brown me prenne par l’autre bras, et qu’ils me fassent marcher de long en large dans la rue, pendant une heure, aprĂšs le service. Et tout simplement, je, ce qui m’arrivait, j’essayais de rĂ©flĂ©chir, de voir oĂč–oĂč j’étais et ce qui se passait. Ensuite, toute la nuit, je restais Ă©tendu lĂ , Ă  repenser Ă  tout ça, Ă  sangloter, et tout, Ă  me demander pourquoi ils n’avaient pas acceptĂ© notre Seigneur JĂ©sus.
E-24 Puis Il m’a dit, dans une vision : “À un moment donnĂ©, tu rencontreras une dame, elle viendra vers toi vĂȘtue d’un tailleur brun, et elle portera un petit bĂ©bĂ© dans une couverture; Ă  partir de ce moment-lĂ , tu auras de la force, pour supporter avec plus d’endurance.” Eh bien, je vous avais dit tout ça. C’est Ă  Chicago que ça s’est produit, le soir oĂč la petite dame presbytĂ©rienne, son propre pasteur l’avait envoyĂ©e lĂ -bas avec le bĂ©bĂ©.
E-25 Et je crois que son frĂšre Ă  lui, ou l’un des siens, Ă©tait un–un mĂ©decin. Il a dit : “Il n’y a plus d’espoir pour ce bĂ©bĂ©, Ă  moins que le Dieu Tout-Puissant le touche.” Il est allĂ©...
E-26 Elle est allĂ©e le dire Ă  son pasteur. Le pasteur a dit : “Je ne suis–je ne suis pas apte”, il a dit, “à–à exploiter la guĂ©rison Divine, parce que je ne... vraiment, je n’ai pas ça en moi, la foi qu’il faut pour le faire.” Or, ça–ça, c’est ĂȘtre honnĂȘte Ă  ce sujet. Voyez? Il a dit : “Je n’ai pas vraiment ça en moi.” Il a dit : “Par contre, j’ai Ă©tĂ© Ă  l’une des rĂ©unions de FrĂšre Branham, et je te conseillerais d’amener ce bĂ©bĂ© Ă  FrĂšre Branham.” Le mĂ©decin l’avait condamnĂ©, et il se mourait.
E-27 Et cette petite dame est entrĂ©e lĂ , Ă  l’endroit oĂč je tenais une sorte de–de service, pour les petits enfants catholiques qui avaient Ă©tĂ© brĂ»lĂ©s vifs dans l’école lĂ -bas, vous savez. Vous vous rappelez quand ça s’était passĂ©. Nous tenions ce service, et la voilĂ  qui arrive sur l’estrade, voilĂ  cette petite dame vĂȘtue du tailleur brun. Ma femme et les autres Ă©taient assis lĂ , et j’ai dit... je me suis retournĂ©, et j’ai regardĂ©, j’ai regardĂ© tout autour, pour voir s’ils Ă©taient lĂ . Et il s’était trouvĂ© que juste avant que j’arrive, je crois que Billy Paul et les autres s’étaient entretenus, ou ma femme, ou quelques-uns d’entre eux, avec cette dame qui portait le petit bĂ©bĂ©. Et cette dame est montĂ©e sur l’estrade, et le Saint-Esprit a tout rĂ©vĂ©lĂ©, et lĂ  Il a guĂ©ri ce bĂ©bĂ©.
E-28 Je suis reparti, et depuis ce moment-lĂ  je ne me fatigue plus. Voyez-vous, ça ne me dĂ©range plus, et je–je continue comme ça, sans arrĂȘt.
E-29 Maintenant, je m’attends Ă  ce que quelque chose se produise, pour mettre le TroisiĂšme Pull en mouvement vers le but visĂ©. Voyez? Et il se pourrait que le service de guĂ©rison de dimanche matin prochain, peut-ĂȘtre, produise ça. Je ne sais pas.
E-30 Je pense que ce que nous devrions faire, c’est : dites-le aux vĂŽtres, amenez les malades. Maintenant, pour un service de guĂ©rison, nous devons nous consacrer aux malades. Amenez vos malades, amenez-les ici de bonne heure dimanche matin prochain, disons vers huit heures ou huit heures trente, et qu’on leur donne une carte de priĂšre au moment oĂč ils entreront, Ă  la porte, ou selon la façon de procĂ©der. Ensuite, nous ferons une ligne de priĂšre, nous prierons pour les malades, et nous verrons bien ce que le Saint-Esprit fera.
E-31 Je crois qu’Il fera des prodiges, si seulement nous croyons en Lui, voyez-vous. Mais nous devons croire en Lui pour ces choses, maintenant, de tout notre coeur. Et je crois que cette grande heure est arrivĂ©e, alors que Dieu, comme nous l’avons dit ce matin, nous a montrĂ© tant de choses, et Il nous a amenĂ©s jusqu’à un certain... jusque-lĂ , Ă  un certain niveau. Tout ce qu’il nous faut faire, c’est de faire l’effort, pour arriver de l’autre cĂŽtĂ© de la petite colline, et puis, voilĂ , c’est parti! Voyez-vous, et ça–ça avance; exactement comme ce qui s’était passĂ© dans le domaine du discernement, comme ce qui s’était passĂ© dans le domaine prophĂ©tique, de voir ce qu’il en est.
E-32 J’étais Ă  Calgary... pardon, c’était dans la ville reine, Ă  Regina–Regina. Et Ern Baxter Ă©tait lĂ , nous Ă©tions lĂ , tout un groupe. Et le Seigneur m’avait dit, ici mĂȘme, sur l’estrade : “Il viendra un temps oĂč tu connaĂźtras mĂȘme le secret de leur coeur.” Et c’est exact. Et je n’y pensais pas, de cette maniĂšre-lĂ . Ce soir-lĂ , je suis montĂ© sur l’estrade avec Ern, et je me suis mis Ă  prier pour les malades. Et lĂ , un homme est arrivĂ©, et j’ai simplement Ă©talĂ© toute sa vie; c’était la toute premiĂšre fois que ça se produisait, comme ça, simplement, en un instant, en plein service de guĂ©rison. Ensuite j’ai regardĂ© par-dessus l’auditoire, et voilĂ  que Ça s’est mis Ă  descendre sur l’auditoire, et tout ça. Oh, quand nous arriverons de l’autre cĂŽtĂ©! La moitiĂ© de l’histoire n’a mĂȘme pas encore Ă©tĂ© racontĂ©e : toutes ces choses, quand on regarde et qu’on voit des choses dans la vie des gens. Je n’en parle pas. Je laisse, tout simplement, voyez-vous, Ă  moins que je me sente vraiment poussĂ© Ă  dire quelque chose.
E-33 Et maintenant, cette prochaine Ă©tape, je m’attends Ă  ce que ça soit mis en mouvement de cette maniĂšre-lĂ , voyez-vous, Ă  ce que Dieu, Ă  Sa propre façon, en Son propre temps souverain, mette la chose en mouvement. Et ce sera–ce sera une autre chose, qui sera–sera de loin supĂ©rieure aux deux autres. Voyez? Et je m’attends Ă  ce que ça se produise.
E-34 Alors, je me suis dit que peut-ĂȘtre, si je faisais un petit service de guĂ©rison, peut-ĂȘtre dimanche prochain. Ensuite, le dimanche d’aprĂšs, je serai probablement parti, avec les enfants et les autres; en effet, ils vont devoir rentrer pour aller Ă  l’école. Et puis, le dimanche suivant, je, bien entendu, je serai Ă  Chicago, aux rĂ©unions lĂ -bas. Et puis, je reviendrai le lundi d’aprĂšs, pour repartir le mardi pour–pour l’Arizona, pour que les enfants rentrent Ă  l’école.
E-35 Eh bien, qu’est-ce que tu as trouvĂ©, pasteur? [FrĂšre Neville dit : “Eh bien, j’ai dĂ©couvert quelque chose de trĂšs Ă©trange.”–N.D.É.] Bon, c’est trĂšs bien, ça, maintenant nous voulons savoir ce que c’est.
E-36 Alors, maintenant, que le–que le Seigneur vous bĂ©nisse tous, abondamment. Et je–j’espĂšre vous revoir ici dimanche prochain. Et mercredi soir...
E-37 Écoutez. N’oubliez pas ces petites Ă©glises, comme celle de FrĂšre Ruddell, de FrĂšre Jackson, de FrĂšre Parnell, et tous ces petits frĂšres qui mĂšnent un dur combat, lĂ -bas, voyez-vous. Et ils nous considĂšrent comme leur–leur–leur Ă©glise soeur, voyez-vous. Nous sommes un peu comme une petite Ă©glise mĂšre pour eux. C’est d’ici qu’ils sont nĂ©s, qu’ils sont sortis : des pasteurs et ainsi de suite.
E-38 Et ce jeune homme, ici derriĂšre, le frĂšre – je l’ai rencontrĂ© l’autre soir, lĂ -bas – Allen, le jeune FrĂšre Allen. J’espĂšre que FrĂšre Collins, ici, fera connaissance avec FrĂšre Allen, s’il ne le connaĂźt pas. Ils sont tous les deux ministres mĂ©thodistes, et ils ont–ont vu la VĂ©ritĂ© de la Parole.
E-39 Et, la–l’organisation de l’église mĂ©thodiste, il y a un groupe de gens trĂšs bien dans l’église mĂ©thodiste. N’allez pas penser qu’ils ne le sont pas. Ils le sont. Il y a un groupe de gens trĂšs bien dans l’église catholique. Il y a un groupe de gens trĂšs bien dans l’église presbytĂ©rienne. Et dans tous ces endroits-lĂ , ce sont des hommes et des femmes qui attendent de voir briller cette LumiĂšre sur leur sentier. Continuez seulement Ă  faire briller la LumiĂšre, dans l’humilitĂ©, la douceur. Rapprochons-nous tous de Dieu, en nous humiliant. Voyez?
E-40 N’oubliez pas ceci : ce tabernacle perdra sa force. Souvenez-vous que cet endroit est la cible sur laquelle Satan a braquĂ© tous les fusils de l’enfer. Il poussera une personne Ă  faire quelque chose qui est contraire Ă  ce que l’autre pense. C’est ça qu’il fait. C’est ça qu’il mijote. C’est son affaire : s’il peut amener quelqu’un Ă  dire quelque chose, quelqu’un Ă  parler de quelqu’un d’autre, Ă  dire : “Eh, Ă©coute, est-ce que tu sais ce qu’un tel a fait?” N’écoutez pas ça. N’écoutez pas ça du tout. C’est le diable. Voyez-vous, c’est Satan. N’allez pas croire ça.
E-41 S’il y a quelque chose que quelqu’un a fait, qui n’était pas bien, priez pour eux. Ne priez pas d’une maniĂšre Ă©goĂŻste, en disant : “Je sais que c’est mon devoir, je dois prier pour ce frĂšre.” Prenez Ă  coeur, vraiment Ă  coeur, de prier pour cette soeur. Et parlez, simplement, soyez trĂšs gentils, et Ă  un moment donnĂ©, vous les verrez vite revenir au culte. Voyez? Parce que, aprĂšs tout, nous nous dirigeons vers le coucher du soleil.
E-42 Le Seigneur JĂ©sus va venir, un de ces jours. Et, vous savez, je pense que ça se fera tellement soudainement et tellement–tellement doucement, tellement, qu’il y aura cent pour... un centiĂšme du cent pour cent du monde entier qui n’en saura rien, quand l’EnlĂšvement aura lieu. Ça se fera tellement silencieusement que personne n’en saura rien. Voyez?
E-43 Et il y aura, Ă©videmment, les petits groupes qui diront : “Eh bien, alors, un tel?”
E-44 “Oh, on dit qu’il y a une bande de fanatiques lĂ -bas, on dit qu’un groupe a disparu de lĂ -bas, et ils... Ce n’est pas vrai. Ils sont seulement partis quelque part. Nous en avons dĂ©jĂ  vu, de ce genre de fanatisme, voyez-vous.”
E-45 “Eh bien, on dit que ce petit tabernacle, à un endroit qui s’appelle Jeffersonville, il y a tant de membres parmi eux qui ont disparu.”
E-46 Voyez-vous, ils rejettent ça. Ils diront : “Oh, il n’y a rien de vrai lĂ -dedans, voyez-vous”, comme ça; et Ce sera du passĂ©, mais ils n’en sauront rien.
E-47 Ils viendront d’un bout Ă  l’autre du pays; ceux qui sont morts en Christ ressusciteront premiĂšrement. L’EnlĂšvement aura lieu, l’Église sera emmenĂ©e Ă  la Maison. Ensuite, la Tribulation commencera, et, oh! la la!, nous ne voulons pas ĂȘtre ici pendant cette pĂ©riode-lĂ . Je ne veux pas ĂȘtre ici pendant la Tribulation. Non. Que Dieu nous en prĂ©serve, qu’aucun de nous ne soit ici pendant cette pĂ©riode-lĂ . Parce que “celui qui est souillĂ© se souille encore; celui qui est saint se sanctifie encore; le juste pratique encore la justice”. Il n’y a pas... L’Agneau s’était avancĂ© avec Son Livre de la RĂ©demption, et l’Épouse a Ă©tĂ© enlevĂ©e. Ceux qui avaient rejetĂ© Cela doivent passer par une pĂ©riode de Tribulation, aussi bien les Juifs que les gens des nations. Quel temps de Tribulation! Je ne veux pas ça.
E-48 “Seigneur, sanctifie-moi maintenant.” VoilĂ  une bonne doctrine nazarĂ©enne, n’est-ce pas? [FrĂšre Neville dit : “Amen.”–N.D.É.] Et c’est bien vrai. C’est vrai. C’est exact. “Remplis-moi maintenant de Ton Saint-Esprit, Seigneur. EnlĂšve de moi tout ce qui est du monde, maintenant, Seigneur. Ne–ne permets pas que nous...”
E-49 Comme le disait ce vieux frĂšre de couleur : “Monsieur, j’ai mon billet dans ma main. Il est dĂ©jĂ  poinçonnĂ©. Quand j’arriverai au fleuve, ce matin-lĂ , je ne veux pas avoir d’ennuis.”
E-50 Donc, c’est Ă  peu prĂšs ça : je–je ne veux pas avoir d’ennuis. Tenez votre billet dans votre main, parce que nous allons traverser. Pensez-y un peu : le grand moment de la rĂ©demption est proche.
E-51 Et maintenant, une autre chose. Le frĂšre, il s’appelle comment, dĂ©jĂ , celui d’Utica, lĂ ? Je pense que c’est FrĂšre Graham, et un autre frĂšre qui est lĂ , comme pasteur. Un certain FrĂšre Shanks, ou quelque chose comme ça, ou Sink? [FrĂšre Neville dit : “FrĂšre Snelling.”–N.D.É.] C’est FrĂšre Snelling qui est le pasteur, tout seul. C’est FrĂšre Snelling qui est le pasteur Ă  Utica, maintenant. Je crois que leur rĂ©union de priĂšre, c’est le... [“Jeudi soir.”] Jeudi soir. Alors, vous savez, ce serait trĂšs gentil si nous allions lĂ -bas jeudi soir, passer un petit moment de communion fraternelle avec nos frĂšres. Voyez? Et puis, quand FrĂšre Jackson, quand il a ses rĂ©unions, si nous allions lĂ -bas ensemble, un petit groupe d’entre nous.
E-52 Continuez seulement Ă  prier, continuez Ă  creuser! Oui, n’arrĂȘtez pas. Tout comme quand Élie leur avait parlĂ©, qu’il avait dit : “Creusez des fosses lĂ -bas!” Quand vous vous y mettez, et que vous rencontrez une vieille boĂźte en fer-blanc, vous dites : “Je suis trop fatiguĂ©â€? Jetez ça hors du chemin et continuez Ă  creuser. Voyez? Continuez seulement Ă  creuser, parce qu’il faut que nous creusions. Il faut absolument que nous creusions, un point c’est tout. En effet, si vous–si vous comptez Ă©viter la Tribulation, vous feriez mieux de vous mettre Ă  creuser.
E-53 Maintenant, pour ma part, lĂ , je me prĂȘche Ă  moi-mĂȘme. Je vais me mettre Ă  creuser plus en profondeur que jamais auparavant. Parce que j’ai comme l’impression que, dans ce pays et dans le monde entier, ce ministĂšre-ci va de nouveau... alors qu’il est connu maintenant Ă  peu prĂšs partout dans le monde. Je–je dois repartir.
E-54 Ma femme m’a dit... L’autre matin, je disais : “Je voudrais que tu m’accompagnes, quand je partirai. Je vais partir vers le mois de janvier, si le Seigneur le veut. Je voudrais faire une tournĂ©e mondiale, Ă  travers le monde entier; revenir, et peut-ĂȘtre faire des services aux États Unis dans le courant de l’étĂ© prochain.” Et elle a dit : “Je suis trop vieille pour y aller.”
E-55 “Eh bien”, j’ai dit, “moi, j’y suis allĂ© quand je... il y a environ, mon dernier voyage outre-mer, environ huit ans, et j’estime que je suis en meilleure condition maintenant qu’il y a huit ans, tu sais. Tu vois? Maintenant je m’y connais plus.”
E-56 Ensuite, nous avons abordĂ© ce sujet-ci : “Si le Seigneur disait : ‘Je vais t’allouer vingt-cinq ans. Tu ne vas pas t’affaiblir. Tu vas pouvoir ĂȘtre actif. Je vais t’allouer vingt-cinq ans sur la terre’, est-ce que tu prendrais de–de la naissance Ă  vingt-cinq ans, de vingt-cinq Ă  cinquante ans, de cinquante Ă  soixante-quinze ans, ou bien de soixante-quinze Ă  cent ans?”
E-57 Or, tout homme Ă  qui il est allouĂ© du temps sur la terre, ferait certainement la chose la plus irrĂ©flĂ©chie, s’il ne passait pas ce temps-lĂ  au service de Dieu. Peu m’importe ce qu’il fait.
E-58 Maintenant, si vous allez ĂȘtre un bourreau des coeurs, et ainsi de suite, vous feriez mieux de prendre le jeune Ăąge, le premier vingt-cinq ans. Voyez?
E-59 Si vous allez ĂȘtre un menuisier, un mĂ©canicien, ou quelque chose comme ça, vous feriez mieux de prendre le deuxiĂšme vingt-cinq ans. Voyez?
E-60 Alors, je me suis mis Ă  rĂ©flĂ©chir : “Et moi, alors? Je vais prendre quoi?” Je prendrais de soixante-quinze Ă  cent ans. Je serais plus intelligent, plus sage. Je serais plus stable. Je m’y connaĂźtrais plus, dans ce que je fais. Je suis de dix ans, de huit ou dix ans, plus ĂągĂ© que la derniĂšre fois que je suis allĂ© outre-mer. Je ne vais pas me prĂ©cipiter lĂ -bas, comme si je tuais des serpents. Je vais m’y connaĂźtre plus, voyez-vous. Je sais comment procĂ©der.
E-61 C’est exactement comme un chien chasseur de ratons laveurs qui se bat avec un raton laveur, voyez-vous. Vous savez comment le maĂźtriser. Ne vous prĂ©cipitez pas sur lui; il va vous griffer. Voyez-vous, apprenez ses ruses, et observez ce qu’il fait. Et nous en apprenons plus long sur l’ennemi. Donc, nous devons dĂ©couvrir toutes ses techniques, et comment il s’approche, et ce qu’il fait, Ă©tudier ses coups de poing. Alors vous avez la formation qu’il faut pour l’attaquer, voyez-vous.
E-62 “Alors, je crois que maintenant,” j’ai dit Ă  ma femme, “je crois que je suis en meilleure condition maintenant que quand j’y suis allĂ© quand j’avais quarante ans.” Voyez-vous, et j’ai cinquante-quatre ans. Et je crois que, si je suis en vie et que je peux encore me dĂ©placer aussi bien que maintenant, quand j’aurai cent ans, si je... si JĂ©sus tardait jusque-lĂ , Ă  ce moment-lĂ  je serais en meilleure condition que maintenant, pour y aller. Voyez? En effet, on s’y connaĂźt plus, on sait plus ce qu’il faut faire, et comment s’y prendre, comment conduire l’affaire.
E-63 Prenons le cas de beaucoup de gens, lĂ , quand ils doivent se faire opĂ©rer. “On dit qu’il y a un nouveau mĂ©decin qui a obtenu son diplĂŽme l’autre jour, il vient de sortir de l’école de mĂ©decine. Il n’a pas encore opĂ©rĂ© jusqu’ici. Qu’il le fasse.”
E-64 “Oh non,” vous diriez, “rien Ă  faire. Pas ce gars-lĂ . Non monsieur. Tout de mĂȘme, jamais de la vie! Je ne veux pas qu’il me touche avec son bistouri. Eh bien, j’aimerais mieux aller lĂ -bas auprĂšs d’un tel. J’ai entendu dire qu’il a pratiquĂ© beaucoup d’opĂ©rations. Il sait s’y prendre.” C’est ça, voyez-vous. C’est ça qu’il faut.
E-65 Ça, vous y pensez, mais alors, qu’en est-il de l’ñme? Je tiens Ă  ce que ce soit quelqu’un qui sait oĂč il se tient, et qui connaĂźt le chemin, qui l’a dĂ©jĂ  parcouru. Oh oui!
E-66 Que le Seigneur vous bĂ©nisse. TrĂšs bien, FrĂšre Neville, viens, maintenant. Que Dieu bĂ©nisse FrĂšre Neville. N’oubliez pas, lĂ , dimanche prochain.
E-67 [FrĂšre Neville parle de FrĂšre Branham et de FrĂšre Vayle pendant une minute, puis il dit : “Et je prends plaisir Ă  accueillir les ministres de Dieu, en particulier ceux qui collaborent avec Ceci, et qui Y prennent part avec nous. Je prends plaisir Ă  les Ă©couter.”–N.D.É.] Amen. [“Donc, j’avais demandĂ© au docteur Lee Vayle, j’avais dit : ‘Accepteriez-vous d’apporter la Parole, si FrĂšre Branham ne le fait pas?’ Et FrĂšre Branham ne l’a pas fait. Peut-ĂȘtre qu’il Ă©tait au courant.”] Non, je n’étais pas au courant. Je n’aurais pas parlĂ© aussi longtemps.
E-68 [FrĂšre Neville dit : “Donc, j’avais demandĂ© Ă  FrĂšre Vayle, ce soir, s’il accepterait de nous apporter la Parole, dans le cas oĂč FrĂšre Branham ne le ferait pas. C’est qu’il est en relations avec lui, dans les rĂ©unions, et il connaĂźt le Chemin, ce Chemin. Et nous sommes contents d’accueillir FrĂšre Vayle. J’ai beaucoup d’estime pour lui et je le respecte autant que n’importe quel autre ministre, comme je respecte tous les autres. Et alors, s’il veut bien venir ce soir, nous parler, je serais enchantĂ© qu’il le fasse.”] Amen. [“Que Dieu le bĂ©nisse, et prions pour FrĂšre Vayle. Certains d’entre vous ne l’ont jamais entendu prĂȘcher, et j’espĂšre bien que vous allez prier pour lui.”] Oui.
E-69 Je n’aurais pas dĂ» prendre tout ce temps. Je m’excuse auprĂšs de l’auditoire. Assis lĂ , je ne savais pas qu’il... que c’était arrangĂ© d’avance. Que Dieu vous bĂ©nisse, FrĂšre Vayle.
E-70 [FrĂšre Lee Vayle dit : “Ce n’était pas arrangĂ© d’avance. Il avait dit, si vous ‘ne parliez pas’, et vous ĂȘtes venu.” FrĂšre Branham et l’assemblĂ©e rient.–N.D.É.] Tant mieux. C’est trĂšs bien.
E-71 Ça va me permettre de l’écouter, moi aussi. FrĂšre Vayle a parlĂ© bien des fois, avant moi, dans les rĂ©unions, et–et ainsi de suite. Il a Ă©tĂ© l’organisateur des rĂ©unions pendant longtemps, et c’est un brave frĂšre, il a fait un travail superbe. Et je suis sĂ»r que cet auditoire est toujours content d’entendre FrĂšre Vayle quand il parle. Que le Seigneur bĂ©nisse FrĂšre Vayle.
E-72 [FrĂšre Vayle parle pendant soixante-dix minutes sur Marc 16 .15 -20 et sur d’autres passages de l’Écriture, ce qu’il a intitulĂ© : Pourquoi Marc 16 n’a-t-il pas marchĂ©? Et comment le faire marcher selon les Écritures.–N.D.É.]
E-73 Il a dit tant de choses, que je–je–je ne pourrais rien ajouter pour amĂ©liorer ça. Et je crois vraiment que c’est le Seigneur qui a manoeuvrĂ© ça, pour que FrĂšre Vayle apporte ce message-lĂ , aprĂšs celui de ce matin. En effet, voyez-vous, il faut que ça fonctionne comme ça. Nous–nous acceptons ça comme venu de Dieu. LĂ , il a dit tant de choses; je–je–j’ai dĂ©jĂ  vingt prĂ©dications de notĂ©es ici, en ce moment, ce qu’il a dit.
E-74 Il m’est venu Ă  l’idĂ©e une petite illustration, pour appuyer ce qu’il a dit. Nous regardons cette montre, lĂ , pour voir l’heure qu’il est. Si tous les instruments de cette montre n’oeuvrent pas en coordination l’un avec l’autre, nous ne saurons jamais quelle est l’heure exacte. Pas vrai? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] De mĂȘme, il faut que nous tous, tous ensemble, si nous voulons voir le TroisiĂšme Pull vraiment accomplir quelque chose pour Dieu, il faut oeuvrer tous ensemble, en coordination, nous humilier devant Dieu et confesser nos fautes, et prier, et croire en Dieu pour ces choses.
E-75 Je crois vraiment que ce que FrĂšre Vayle a dit est la VĂ©ritĂ©, que Dieu ne mettra jamais Son Esprit dans un temple malsain, inique, dĂ©sobĂ©issant. Non. Il doit venir en nous par la–la voie de la purification de nos coeurs, exempts de toute fraude et de toute iniquitĂ©, pour que nous soyons purs devant Dieu, pour qu’Il puisse faire agir Ă  travers nous Son pur Saint-Esprit, pour accomplir ces choses. Je–je pense que, quand vous rentrerez chez vous ce soir, si vous lisez le petit Livre de Jude, vous y apprendrez beaucoup de choses sur ce que FrĂšre Vayle a dit. Et il a dit : “Je combats pour la Foi qui a Ă©tĂ© transmise aux saints une fois pour toutes.” Ils s’En Ă©taient Ă©loignĂ©s. LĂ  des hommes corrompus d’entendement et tout, s’étaient introduits et, par leur tromperie, ils les avaient Ă©loignĂ©s des–des vraies choses de Dieu.
E-76 Et Dieu ne peut agir que dans la mesure oĂč nous Le laissons agir. Et il y a tant de choses merveilleuses que je... dire...
E-77 Vous savez, les gens veulent avoir de la puissance, mais en rĂ©alitĂ© ils ne savent pas ce qu’est la puissance. Voyez-vous, ils–ils ne savent pas, en rĂ©alitĂ©, ce–ce–ce que ça implique. La–la façon de monter, c’est de descendre, toujours. Si vous voulez avoir de la puissance, voyez jusqu’oĂč vous pouvez vous humilier. DĂ©barrassez-vous simplement de toutes vos pensĂ©es du monde et humiliez-vous devant Dieu, et alors vous aurez plus de puissance que l’homme qui court partout dans la salle et qui fait beaucoup de bruit; voyez-vous, parce que vous aurez Ă©tĂ© capable d’avoir le dessus sur vous-mĂȘme, et de vous remettre entre les mains de Christ, vous voyez, de vous humilier devant Lui. VoilĂ  la vĂ©ritable puissance.
E-78 Montrez-moi une Ă©glise qui est humble, vraiment humble, sans aucune–aucune arrogance; une Ă©glise, une Ă©glise vraiment douce et humble, et moi je vous montrerai une Ă©glise qui a la faveur et la puissance de Dieu en elle. C’est vrai. C’est ça qu’il faut : l’hum-... l’humilitĂ©, nous humilier devant Dieu, laisser simplement Dieu agir Ă  travers nous. On n’a pas besoin de faire beaucoup de bruit.
E-79 Quelquefois, comme ce que racontait le cultivateur, qu’en s’en allant au champ avec son chariot, Ă  chaque cahot, ça faisait un bruit de ferraille et tout. Mais en revenant, il y avait le mĂȘme cahot, mais ça ne faisait pas de bruit du tout, parce que c’était chargĂ© de bonnes choses.
E-80 Donc, je pense que c’est Ă  peu prĂšs ça, voyez-vous : il s’agit d’ĂȘtre remplis des bonnes choses de Dieu, pour qu’on puisse voir le fruit de l’Esprit Ă  travers nous. De mĂȘme, il s’est beaucoup rĂ©fĂ©rĂ© Ă  I Corinthiens 13 , lĂ , oĂč il est dit : “Quand je livrerais mĂȘme mon corps pour ĂȘtre brĂ»lĂ©, et que j’aurais toutes ces choses, si je n’ai pas la charitĂ©, cela n’est rien, cela ne me sert de rien.” Voyez-vous, c’est ça que nous voulons faire.
E-81 Par-dessus tout, c’est de notre Ăąme Ă  chacun de nous que nous sommes responsables devant Dieu. Voyez-vous, c’est–c’est vous qui allez au Ciel. La question n’est pas de savoir si moi j’y vais, ou si lui y va. C’est vous qui y allez, voyez-vous, c’est d’abord vous. Et vous devez rechercher ces choses, et ĂȘtre doux devant le Seigneur.
E-82 Et je l’ai toujours constatĂ©, l’homme qui s’humilie, c’est cet homme-lĂ  que Dieu Ă©lĂšve. Prenez une personne qui bombe le torse et qui sait tout, Ă  qui vous ne pouvez rien dire, et qui est arrogante, et–et, eh bien, voilà–voilĂ  la personne qui n’arrive jamais Ă  rien. Mais prenez cette personne qui s’humilie et qui marche dans la douceur.
E-83 L’autre jour, je parlais Ă  un homme qui est en train d’organiser une Ă©glise Ă ... qui s’est retirĂ© d’une organisation oĂč il avait Ă©tĂ©. Eh bien, il s’agit de FrĂšre Boze, et cette Ă©glise oĂč ils avaient Ă©tĂ©, ils avaient eu cette grande Ă©glise-lĂ  pendant longtemps, et le Seigneur bĂ©nissait. Et puis, les gens en sont venus Ă  vouloir se moderniser, comme les autres, et s’intĂ©grer Ă  une organisation. À ce moment-lĂ , ça a simplement... ces ChrĂ©tiens humbles, qui Ă©taient lĂ , ils ne voulaient pas de ça. Toute leur vie, ils avaient reçu un enseignement contraire Ă  ça, alors, ils sont partis. Maintenant, ils ont un groupe, et le Seigneur les a bĂ©nis, au point qu’ils vont maintenant de nouveau s’installer dans un grand bĂątiment, une Ă©glise qui peut accueillir environ quatre Ă  cinq mille personnes, lĂ , et ils recommencent.
E-84 Et ils sont venus me voir, ils disaient : “FrĂšre Branham”, nous Ă©tions assis lĂ , dans le bureau, le bureau de l’église, l’autre jour. Et il disait, l’un des conducteurs, FrĂšre Carlson et les autres, ils disaient : “Qu’est-ce que nous devons faire?”
E-85 J’ai dit : “Trouvez un berger, un homme qui n’est rĂ©putĂ© dans aucune dĂ©nomination, qui est simplement un trĂšs bon frĂšre, vĂ©ritable, doux, humble, qui mĂšne la vie qu’il faut. Dieu s’occupera du reste, voyez-vous.” J’ai dit : “Un bon pasteur, qui va simplement nourrir les brebis, et ĂȘtre humble et tout, Dieu fera le reste. Si vous... Pas un gros je-sais-tout qui va venir lĂ , qui va mettre ceci en ordre, et ceci doit ĂȘtre comme ceci, et tout chambarder.” J’ai dit : “Ça, ça ne marchera jamais. Vous venez d’en arriver lĂ .”
E-86 C’est ça, toutes les piĂšces dans l’église doivent oeuvrer ensemble, et vous devez continuer Ă  jouer votre rĂŽle, pour qu’on puisse voir Ă  quelle heure nous vivons. Nous sommes peut-ĂȘtre plus proches que nous le pensons.
E-87 Donc, nous aimons FrĂšre Vayle. N’est-ce pas? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Que le Seigneur vous bĂ©nisse, FrĂšre Vayle. Merci. Et nous remercions le Seigneur, de nous avoir apportĂ© ce grand message ce soir.
E-88 Et j’ai reçu une note, il y a quelques minutes. Une soeur, il y a quelque chose qu’elle voulait raconter, qu’elle a vu en songe. Si vous voulez bien me l’écrire, soeur, je–je... Il lui a dĂ©jĂ  donnĂ© des songes qui ont Ă©tĂ© tout Ă  fait vrais. Nous n’acceptons pas tous les songes. Non, non. Mais quand ils sont de Dieu, nous voulons savoir que c’est Dieu qui nous parle.
E-89 De mĂȘme, nous ne croyons pas tous les parlers en langues; mais quand une interprĂ©tation vient, et qu’elle nous annonce quelque chose qui va arriver, et que nous le voyons arriver, alors nous remercions le Seigneur pour ça. Voyez?
E-90 Nous voulons faire en sorte que les choses se passent bien, en douceur et dans l’ordre du Seigneur. Donc, souvenez-vous simplement que la piĂšce que vous, vous ĂȘtes, c’est peut-ĂȘtre le ressort principal, ou c’est peut-ĂȘtre la petite... une petite aiguille, ou une petite piĂšce, ou le remontoir, quoi que ce soit, ou peut-ĂȘtre les aiguilles qui sont sur le cadran de l’horloge, qui indiquent l’heure. Mais quoi que ce soit, il faut que tous, nous oeuvrions ensemble, en harmonie avec l’Évangile de JĂ©sus-Christ, pour accomplir ceci.
E-91 Pensez un peu Ă  ceci! Si les dons, c’est quelque chose de si glorieux, ce que nous, nous appelons la puissance; et Paul a dit : “Quand j’aurais mĂȘme la foi jusqu’à transporter une montagne, si je n’ai pas la charitĂ©, je ne suis rien.” Pensez Ă  ça.
E-92 Et quand, nous disons : “Eh bien, quand je–j’aurais la science... je voudrais bien connaütre la Bible.”
E-93 “Quand j’aurais la science de tous les mystĂšres de Dieu, voyez-vous, encore lĂ , quand bien mĂȘme j’aurais tout ça, si je n’ai pas la charitĂ©, je ne suis rien. Voyez-vous, je ne suis encore arrivĂ© Ă  rien.” Voyez-vous, l’essentiel, c’est d’aimer Dieu, et avec ça, de vous humilier.
E-94 Maintenant, certainement qu’aprĂšs toutes ces annĂ©es passĂ©es sur le champ de travail et dans le monde entier, et aprĂšs avoir vu diffĂ©rents peuples, je devrais en savoir un petit peu au sujet de la porte par laquelle entrer. Alors si vous voulez arriver quelque part avec Dieu, ne laissez jamais un esprit arrogant venir autour de vous. Ne laissez entrer aucune mĂ©chancetĂ© en vous. Peu importe ce que qui que ce soit peut faire – mĂȘme si cette personne a tort, ne dĂ©veloppez jamais un complexe contre elle. Voyez? Soyez doux et gentil. Souvenez-vous, Dieu vous a aimĂ© alors que vous Ă©tiez dans le pĂ©chĂ©. Et si l’Esprit de Dieu est en vous, vous aimez l’autre personne alors qu’elle est dans l’erreur. Voyez-vous, priez simplement pour eux, et aimez-vous les uns les autres.
E-95 Par-dessus tout, aimez Dieu, et aimez-vous les uns les autres. Et soyez humbles envers Dieu, et les uns envers les autres; et Dieu nous bĂ©nira – qui sait ce qu’Il fera! D’habitude quand une Ă©glise commence Ă  grandir en nombre, et Ă  devenir un peu plus grande, ou quelque chose comme ça, alors on s’éloigne de ce qui est authentique, de la chose authentique.
E-96 Savez-vous ce qui a accompli ces choses, quand j’en Ă©tais Ă  mes dĂ©buts, et que le Seigneur m’était apparu sur la riviĂšre et qu’Il m’avait dit ça? Et FrĂšre Vayle a vu ça, je crois, dans un journal au Canada, il y a bien des annĂ©es, quand l’Ange du Seigneur Ă©tait apparu, lĂ -bas sur la riviĂšre, ç’avait Ă©tĂ© transmis par la Presse AssociĂ©e : “Une LumiĂšre mystique apparaĂźt au-dessus d’un ministre pendant qu’il baptise.” Et–et savez-vous ce qui a produit ça? Quand nous faisions des rĂ©unions sous la tente juste de l’autre cĂŽtĂ© de la rue, sous une tente oĂč pouvaient s’asseoir environ, oh, deux mille cinq cents personnes, des ministres venaient de partout, et ils disaient : “FrĂšre, viens ici une minute.” J’étais encore tout jeune, oh, un petit jeunot, quoi. Et ils disaient : “Comment fais-tu pour garder ces gens-lĂ  d’un mĂȘme accord? Ils s’aiment les uns les autres, au point que... je n’ai jamais vu des gens qui s’aiment comme ça.”
E-97 C’est le Seigneur, ça. C’est ce sur quoi cette Ă©glise a Ă©tĂ© Ă©tablie : de l’amour fraternel, saint, les uns pour les autres. Je les ai mĂȘme vus se serrer la main les uns les autres, au moment de quitter un lieu, ils pleuraient comme des enfants, parce qu’il fallait qu’ils se sĂ©parent. Ils s’aimaient tellement les uns les autres. Je pouvais aller en visite chez eux, et parfois la Bible Ă©tait ouverte, tachĂ©e de larmes. J’arrivais lĂ , le soir, et des pĂšres et des mĂšres Ă©taient rassemblĂ©s, avec leurs petits autour d’eux, par terre, agenouillĂ©s lĂ ; des pĂšres et des mĂšres Ă  genoux, Ă  pleurer et Ă  prier. Je restais debout Ă  la porte, et j’attendais, j’attendais, j’attendais. Et ils n’arrĂȘtaient pas de prier, je m’asseyais sur le perron, et je me mettais Ă  prier, moi aussi, pendant que je les attendais, voyez-vous. Et c’était–c’était comme ça. Et ils s’aimaient les uns les autres. Ils s’aimaient les uns les autres. Nous avions l’habitude de nous lever et de chanter ce vieux cantique : BĂ©ni soit le lien Qui nous unit en Christ, Le saint amour, l’amour Divin Que verse en nous l’Esprit. Si nous devons bientĂŽt Quitter ces lieux bĂ©nis, Nous nous retrouverons lĂ -haut, Pour toujours rĂ©unis.
E-98 Je dis ceci avec une grande joie dans mon coeur, pour Christ : Beaucoup d’entre eux dorment, aux alentours d’ici, dans des tombes marquĂ©es, ce soir, ils attendent cette grande rĂ©surrection oĂč nous serons de nouveau rĂ©unis.
E-99 Que cet esprit ne quitte jamais ce lieu! Si, un jour, cela arrive, alors, peu m’importe, votre pasteur aura beau ĂȘtre trĂšs Ă©loquent, il aura beau apporter trĂšs bien la Parole de Dieu, l’Esprit de Dieu aura Ă©tĂ© attristĂ©, Il s’en sera allĂ©. Voyez? Quand nous pourrons tout partager dans la communion fraternelle, avoir tout en commun, et nous aimer les uns les autres, alors Dieu oeuvrera avec nous.
E-100 Alors nous indiquons l’heure, de sorte que les gens qui viendront, ils diront : “Si vous voulez voir une Ă©glise qui est vraiment humble, une Ă©glise qui aime vraiment Dieu, allez faire un tour au Tabernacle, lĂ -bas, une fois, et observez. Voyez la sollicitude qu’ils ont les uns pour les autres, le respect; pendant qu’on prĂȘche l’Évangile, comme ils sont respectueux; comme tout est en ordre.” Oui, alors on pourra regarder et voir Ă  quelle heure nous vivons. Vous verrez l’Esprit de Dieu se mouvoir parmi vous : il se fera de grands signes et de grands prodiges, et tout. Si toute la chose oeuvre ensemble, elle indique l’heure. Mais si elle n’oeuvre pas comme ça, alors le temps s’arrĂȘte, elle n’indiquera plus l’heure. Donc, si nous voulons savoir Ă  quelle heure nous vivons, que tout le monde se mette Ă  oeuvrer ensemble dans l’Évangile, Ă  s’aimer les uns les autres, Ă  aimer Dieu, alors les aiguilles, elles-mĂȘmes, indiqueront l’heure oĂč nous vivons. Le croyez-vous? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Bien sĂ»r. Amen. Que le Seigneur vous bĂ©nisse, abondamment.
E-101 N’oubliez pas, lĂ , allez un peu partout cette semaine. Et si vous connaissez des braves gens qui sont malades, qui doivent venir, dites-leur, quand ils viendront, dites : “Bien-aimĂ©, je voudrais te demander quelque chose. Nous aurons de la priĂšre pour les malades, dimanche matin, au Tabernacle. Et ça fait un certain temps que tu es malade, maintenant je voudrais... – Eh bien, je veux y aller. J’ai toujours voulu y aller.
E-102 – Maintenant, j’ai entendu un message dimanche soir, d’un frĂšre, lĂ , comme quoi nous devons confesser nos fautes les uns aux autres, et prier les uns pour les autres, pour que nous soyons guĂ©ris. Jacques 5.14, 13, 14, 15, vois-tu : nous devons confesser nos fautes les uns aux autres avant mĂȘme de venir chercher la guĂ©rison. Oui. Confesser nos fautes les uns aux autres, et prier les uns pour les autres.” Voyez? Voyez-vous, c’est exactement de ça qu’il parlait ce soir; ça concilie les bĂ©atitudes avec Marc 16. Mettez ça ensemble, et vous avez ce qu’il faut, alors les guĂ©risons se produisent.
E-103 Regardez JĂ©sus : rien d’autre qu’un paquet d’amour. Voyez? Il Ă©tait Dieu manifestĂ©. Il, Dieu S’est exprimĂ© Ă  travers Lui, ce n’est pas Ă©tonnant que des miracles se soient produits et toutes sortes de choses. Sa vie humble, Sa vie consacrĂ©e; de Dieu qu’Il Ă©tait, Il est venu ici sur terre, pour ĂȘtre un homme, pour exprimer Dieu Ă  travers Lui-mĂȘme. C’est ce qui faisait de Lui ce qu’Il Ă©tait. J’ai toujours dit : “Ce qui faisait que JĂ©sus Ă©tait Dieu, selon moi, c’est la maniĂšre dont Il S’est humiliĂ©. Il Ă©tait tellement grand, et pourtant Il a pu ĂȘtre tellement petit.” Voyez? C’est vrai.
E-104 Que le Seigneur vous bĂ©nisse, beaucoup. Maintenant levons-nous, pour terminer la rĂ©union. Essayons donc celui-lĂ  (il se peut que vous ne le connaissiez pas, soeur), ce chant BĂ©ni soit le lien qui nous unit. Chantons-le une fois, le voulez-vous? Donnez-nous la note. BĂ©ni soit le lien Qui nous unit en Christ, Le saint amour, l’amour Divin Que verse en nous l’Esprit.
E-105 Maintenant, pendant que nous chantons ce dernier couplet, serrons-nous la main les uns les autres, “Si nous devons bientĂŽt nous quitter”, et disons simplement : “Que Dieu vous bĂ©nisse, mon frĂšre, ma soeur. Je suis vraiment content d’ĂȘtre ici avec vous ce soir.” Voyez-vous, quelque chose comme ça, et ensuite retournez-vous. Maintenant, chantons-le. Si nous devons... (Que Dieu te bĂ©nisse, FrĂšre Neville.) Quitter ces lieux bĂ©nis, Nous nous retrouverons lĂ -haut, Pour toujours rĂ©unis.
E-106 Comme nous aimons le Seigneur JĂ©sus! N’est-ce pas? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Comme... Jusqu’à ce que nous nous revoyions, RĂ©unis aux pieds de JĂ©sus; (jusqu’à ce que nous nous revoyions!) Jusqu’à ce que nous nous revoyions! Dieu soit avec vous, jusqu’à ce jour! Fermons les yeux, et chantons-le dans l’Esprit maintenant. Jusqu’à ce que nous nous revoyions, RĂ©unis aux pieds de JĂ©sus; Jusqu’à ce que nous nous revoyions! Dieu soit avec vous, jusqu’à ce jour!
E-107 Maintenant, pendant que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e. Nous sommes simplement des enfants, des enfants de Dieu. Fredonnons-le. [FrĂšre Branham et l’assemblĂ©e commencent Ă  fredonner Dieu soit avec vous.–N.D.É.] Oh, comme cela amĂšne l’Esprit de Dieu sur nous! Pouvez-vous vous imaginer, dans les premiers jours, quand ils s’asseyaient sur des blocs de pierre? Dieu soit avec vous, jusqu’à ce jour!
E-108 Alors que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e, je vais demander si FrĂšre Allen, lĂ  au fond, un nouveau frĂšre parmi nous, s’il veut bien terminer la rĂ©union par un mot de priĂšre. FrĂšre Allen.

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