Se souvenir du Seigneur

Date: 63-0122 | La durée est de: 1 hour and 43 minutes | La traduction: Shp
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1 Que le Seigneur vous bénisse, frère. Je suis heureux d’être ici ce soir, au SouthSide Assemblies of God, pour adorer avec vous, jouir de cette bonne communion dont vous jouissez sans doute constamment. Je me sens seulement un peu fatigué. Hier soir, nous étions là à–à Tucson pour le banquet là-bas, et nous avons certainement passé un–un moment merveilleux. Le Seigneur nous a bénis, et je me suis régalé d’une bonne partie de cela toute la journée.
Ainsi donc, j’ai rencontré… hier soir, j’ai écouté quelqu’un. Je n’avais jamais connu le fils de frère Carl Williams. Aujourd’hui, je ne faisais que vanter un certain jeune homme qui s’était levé et avait parlé du rassemblement des jeunes gens, et j’en parlais à ma fille, disant : « Eh bien, il te faudra y aller. »
Elle a dit : « Je ne connais personne là-bas. »
J’ai dit : « Tu reconnaîtras quelqu’un, ou tout le monde te reconnaîtra. Vas-y quand même, après tout. » Et je prie qu’elle reçoive le baptême du Saint-Esprit pendant ce rassemblement là-bas.
J’ai dit : « Ce brave jeune homme s’est levé là, le visage brillant de la gloire de Dieu… » Et j’ai répété cela à Billy.
Il se tenait simplement là et me regardait. Il a dit : « Papa, ne sais-tu pas qui c’était ? » Il a dit : « C’était le fils de frère Carl Williams. » Je ne le savais pas. Eh bien, cela… Je suis… Je sais que vous venez d’une bonne famille…?…

2 Je suis très content d’être à Phoenix ce soir. Eh bien, voilà frère Pat Tyler. D’où diantre êtes-vous venu, frère ? Je suppose que vous avez fait de l’auto-stop depuis New York jusqu’ici. C’est pratiquement ainsi que ça se passe. Je me rappelle avoir vu frère Gene, frère Léo ici ce soir, frère Ed Daulton, beaucoup de mes amis ici, et frère Ed Hooper. Et, oh ! la la ! ce soir, d’ici en haut, je vois bien tout le monde, et je peux bien voir tout autour.

3 Eh bien, je me sens un tout petit peu fatigué. Je m’y suis pris un peu durement, ainsi donc nous avons-avons passé de longues heures. Et je… Ma femme disait : « Dis donc, je constate que tu commences à utiliser la seconde voix pour parler. »
J’ai dit : « Il m’a fallu y recourir cette fois-ci. » Parfois, quand je parle, je descends et je parle du fond de ma gorge. Alors, cette partie-là fait mal et s’abîme. Je remonte à la partie supérieure et je parle à partir de là en haut comme ça. Il nous faut simplement apprendre toutes sortes de choses quand nous sommes au service du Seigneur et quand nous nous fatiguons, n’est-ce pas ? Et, oh ! la la! j’espère que tous ceux-ci ici derrière sont des prédicateurs. Si c’est le cas, oh ! la la ! nous sommes dans une bonne compagnie ce soir, juste un très bon groupe d’hommes assis ensemble.
Eh bien, cela me rappelle la promesse selon que « nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ », où Son Sang nous purifie de tout péché.

4 Maintenant, je vais vraiment tacher de vous laisser sortir tôt ce soir. Je me souviens maintenant que demain soir nous serons chez frère Shores (Est-ce là son nom ?) [Un frère dit : « C’est ça »]. Frère Shores, au croisement de la 11ème rue et de la rue Garfield. C’est une autre Assemblée de Dieu là-bas. Oui. Une Assemblée de Dieu là, et la Première Assemblée de Dieu.
Et puis, je vais juste écouter ces autres gars pendant un moment donc, jusqu’au prochain dimanche matin, je suppose, jusqu’à la convention. Je suis… Nous allons passer un moment merveilleux. Je sens vraiment que nous allons passer un moment merveilleux.

5 Et le but de ma présence ici, c’est plutôt, oh ! plutôt de contraindre, vous savez, aller çà et là, aider partout, communier un peu avec les frères, passer une soirée ici et là et obtenir… faire connaissance. Et–et peut-être que l’esprit de réveil commence un peu à frapper des gens, ensuite faire avancer cela autant que nous le pouvons là-dedans et, enfin, on atteint le grand apogée. Et je pense que c’est frère Oral Roberts qui atteindra cette fois-ci l’apogée au banquet, le soir du prochain lundi. Et quand… je sais que nous nous attendons à un grand moment, et pendant le reste de la semaine.
Priez donc pour nous maintenant, allez dans les rues, les haies et les chemins et, demandez-leur ? Non, contraignez-les. Contraignez-les. Contraignez-les à entrer. En effet, ça pourra être un moment merveilleux pour Phoenix de recevoir sa grande visitation que vous… Et je sais que Dieu est disposé, aussitôt que nous sommes prêts, aussitôt que nous sommes prêts. Laissons… C’est la raison pour laquelle nous… ces réveils se tiennent, c’est pour essayer de remplir les conditions, être complètement dans l’esprit de la prière et nous préparer pour l’accomplissement de cet événement.

6 Maintenant, juste avant d’aborder la Parole, parlons à l’Auteur alors que nous inclinons la tête dans la prière. Maintenant, avec nos têtes et nos coeurs inclinés devant Dieu, je suis sûr que, dans un auditoire de cette taille, il doit y avoir beaucoup de requêtes. Et si vous en avez une et que vous aimeriez qu’on se souvienne de vous devant Dieu, levez simplement la main et–et, derrière cela, dites : « Seigneur, souviens-Toi de moi. »

7 Notre Père céleste, Tu sais ce qui est derrière chacune de ces mains. Tu sais ce qui a traversé leur esprit et Tu es plus que capable d’exaucer chaque requête. Et nous Te prions d’accorder cela, Seigneur.
Nous Te demandons de nous accorder Ta faveur ce soir en déversant sur nous le Saint-Esprit. Et nous avons à l’esprit, Seigneur, que demain soir, à la–la First Assembly of God, Tu déverseras encore Tes bénédictions sur nous. Et puis, là à Ramada, à la fin de la semaine, ô Dieu, puisse-t-il y avoir littéralement des centaines de sauvés. Accorde-le, Seigneur.
Puisse-t-il y avoir une effusion de l’Esprit telle–telle que les journaux ne pourront pas davantage garder silence, mais se sentiront obligés de publier à l’intention du public ce qui se sera passé. Accorde-le, Seigneur. Manifeste-toi simplement à Ton peuple, Seigneur. Que leurs humbles coeurs s’élancent par la foi et croient que nous recevrons ce que nous demandons.

8 Nous prions aussi, Seigneur, pour ceux qui auraient souhaité être ici ce soir et qui ne peuvent venir ici. Ils sont malades et affligés, et–et ils sont dans des conditions telles qu’ils ne peuvent pas arriver ici. Nous prions pour eux, Seigneur. Puisse le Saint-Esprit visiter tout un chacun.
Bénis ces frères qui ont parcouru un si long trajet à travers des champs verglacés, beaucoup sont encore en chemin en train de venir. Protège-les, Seigneur. Amène-les en toute sécurité. Maintenant, bénis cette Assemblée, ce bon pasteur, son assemblée, ses administrateurs, les diacres, tout ce qu’ils soutiennent, Seigneur. Nous Te prions d’être avec eux et de les aider. Maintenant, nous Te prions de nous apporter Ta Parole. Nous ne pouvons que La lire, Seigneur, lire le texte. C’est à Toi d’En donner le contexte, et nous nous attendons à Toi. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

9 Dans le–le Livre de I Corinthiens, chapitre 11… Si quelqu’un… Vous savez, généralement, vous aimez lire ou noter un passage, disons : « Je… » Peut-être que quelqu’un voudra retrouver quelque chose après cela, de sorte qu’il puisse peut-être approfondir ce qui a été dit. Ou des prédicateurs, et parfois les laïcs, prennent cela, relisent et écoutent ce qui a été dit. Je le fais souvent. Je note un texte. Si donc vous désirez lire avec nous ce soir, allons dans I Corinthiens, chapitre 11, et nous commencerons à lire au verset 23. Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, Et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. Et maintenant, de là, j’aimerais tirer comme sujet : Se souvenir du Seigneur. Eh bien, évidemment, tout… Nous le savons tous… Nous lisons ceci dans–dans notre église, chaque soir qu’il y a un service de communion, et c’est un passage remarquable à lire, ou plutôt un passage important des Ecritures pour cette circonstance-là, et ça s’y rapporte. Mais je voulais juste ces mots : En mémoire de Moi.

10 Eh bien, souvent, la communion a fait l’objet d’une grande controverse au cours des âges entre les protestants et les catholiques. On dit que les catholiques prennent cette communion, et ils la prennent en comptant sur le fait qu’ils ont fait quelque chose pour mériter quelque chose de bien, que leurs péchés seront pardonnés en faisant cela. Les protestants la prennent comme… en mémoire de ce que Christ leur a déjà pardonné, et ils la prennent en se réjouissant pour avoir été déjà pardonnés.
Paul, dans la suite, dit ici que–que… comment s’approcher de la table du Seigneur. S’il y a un mal, réparez avant de venir là : « Car celui qui mange et boit indignement, sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. » Et alors, il nous faut être vraiment–vraiment en prière quand nous prenons la communion.

11 Mais je me suis souvent demandé si, ce mot, nous l’utilisons comme il faut : Communion. Eh bien, communier signifie parler à (Voyez ?), communier avec. Et je me demande si réellement quand nous nous rassemblons comme ceci dans les lieux célestes, si ce n’est pas là la communion, que nous communions avec Dieu, en Lui parlant. Et alors, si seulement nous nous tenons tranquilles et que nous Le laissons nous répondre… Beaucoup de choses, et la… l’une des choses horribles que je fais, j’essaye de monopoliser la Parole, et–et de ne pas me tenir tranquille assez longtemps pour qu’Il me parle en retour. C’est ce que nous faisons très souvent dans la prière.
Je pense que nous devrions vider notre coeur de ce qui s’y trouve, parler au Seigneur Jésus et puis rester simplement à genoux, nous tenir bien tranquilles un instant et–et voir juste ce qu’Il pourrait nous dire en retour. Voyez ? Et j’ai des fois fait cela, et j’ai complètement changé d’avis. Voyez-vous ? Je me mets à lui demander quelque chose : « Maintenant, Seigneur, ces gens-là vraiment, ils ont… quelque chose… Je–je pense qu’ils ont besoin de moi là-bas. »
Et je me mets simplement à prier et, la chose suivante, vous savez… Je–j’étais totalement convaincu que c’est la volonté du Seigneur. Mais après que j’ai prié, et si seulement je–je traîne un tout petit peu (Voyez ?), alors cela change complètement ; parfois je suis envoyé ailleurs.

12 Juste communier avec le Seigneur. Oh ! quelle glorieuse communion ! S’agenouiller tout simplement, parler, communier et attendre qu’Il réponde. Et de penser à quelle Glorieuse Personne vous parlez, le Créateur Lui-même, et communier avec Lui, Lui qui a placé votre vie dans cette cendre volcanique où vous habitez.
Et puis, un jour, il vous faudra partir de là, et alors c’est à Lui de déterminer où cela ira à partir de là ; et vous avez maintenant le privilège de choisir la voie que cette âme suivra quand elle s’en ira. Quelle merveilleuse chose de communier avec Lui sur base de Ses promesses, et ensuite L’entendre vous répondre lors de la communion et dire : « Tout va bien. » Oh ! la la ! Cela–cela exprime vraiment bien la chose. Nous ne devons pas compter sur un quelconque credo. Nous ne devons pas compter sur–sur un quelconque dogme. Tout ce qu’il nous faut faire, c’est juste savoir qu’Il confirme Sa Parole, c’est réglé, c’est tout. Alors, le fardeau est ôté.
Je me suis dit que je viendrai à cette table-ci, comme nous l’appellerions ce soir, maintenant que j’ai expliqué cela, que ceci est la communion tout autant que le fait de prendre ce que nous appelons le Souper du Seigneur.

13 Vous savez, ces gens de l’est, là, ont tout embrouillé, et–et je n’arrive pas à les corriger là-dessus. Et là tout au nord, ils m’amènent à… Quand je vais prendre le souper, eux disent que c’est le dîner… Je–je… ils disent que c’est le petit-déjeuner, le déjeuner et–et–et–et le dîner. Eh bien, c’est quand alors mon souper ? Je cherche à le trouver. Et ils disent : « Oh ! c’est tout. »
J’ai dit : « Mais ce n’était pas… Nous ne prenions pas le dîner du Seigneur. Il l’a appelé le souper… le Souper du Seigneur. » Et j’ai l’impression d’avoir raté un repas, si vous… si vous vous mettez à l’appeler ainsi.
Mais alors, quand nous nous rassemblons comme ceci, Dieu descend là. Et la–la table de la communion, c’est en fait rompre… les corps brisés, le corps du Seigneur que nous nous partageons. Eh bien, c’est le corps littéral du… le pain que nous rompons, qui représente le corps de Christ.

14 Avez-vous remarqué quelle glorieuse chose nous avons là, le jour de la Pentecôte ? Ce Dieu qui avait conduit les enfants d’Israël dans le désert, Il… cette Grande Colonne de Feu… Et le jour de la Pentecôte, cette grande Colonne de Feu descendit et se divisa ensuite parmi Son peuple. Oh ! penser qu’Il tient à ce que nous soyons assis ensemble dans les lieux célestes et que chacun jouisse de la chaleur du feu du Saint-Esprit ! Des langues séparées semblables au feu, des langues de feu se posèrent sur eux ; Dieu se partageant dans l’Eglise. Oh ! n’était-ce pas un… embraser simplement nos coeurs. C’est alors que nous pouvons nous rassembler dans les lieux célestes.

15 Eh bien, nous savons que Sa table, là où les gens s’assemblent et communient avec Lui, c’est comme une oasis au désert. Et une oasis au désert, c’est là qu’il y a une grande source, c’est là que viennent s’asseoir les pèlerins fatigués, à cette oasis au désert, et ils se rafraîchissent ; et alors, ils se rappellent comment cela s’est retrouvé là. C’est comme ça que ça se passe dans l’église où cette table de la communion avec toutes les bénédictions de Dieu, le plein Evangile, tout ce que Dieu a pour Son Eglise, est dressée et exposée parmi nous. Et c’est comme une–une oasis dans ce désert chaud, brûlant, plein de péché, que nous traversons.
Et puis, quand nous y venons et que nous parlons de… ou plutôt nous consultons le Menu, et ensuite, nous Le voyons revenir. Il n’est pas à court de ceci, ou à court de cela, ou ceci est rayé, mais Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a tout dans le Menu, c’est prêt à être distribué. C’est ça le bon côté. Alors, nous pouvons simplement consulter le Menu et tout commander ; j’aime vraiment… J’aime le repas complet, pas vous ? J’aime vraiment prendre cela.

16 Et pendant que nous nous régalons de ces bénédictions, chacun ressentant Sa Présence et disant : « Amen ! Gloire à Dieu ! Alléluia ! » et tout, par cela, nous pouvons nous souvenir de Celui qui nous les a apportées, qui a rendu cela possible… la mort du Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Se souvenir de Lui. Je pense que c’est ce que, souvent, que… Peut-être que nous jouissons tellement de bénédictions que nous oublions simplement leur provenance.
J’ai été une fois surpris. J’allais vers… avec un groupe de chrétiens d’une certaine église, et ils se sont assis pour manger, et ils n’ont point rendu d’actions de grâce à Dieu pour leur nourriture. Eh bien, j’ai trouvé cela plutôt étrange. Et je suis allé à une autre maison; eux aussi, ils sont simplement allés de l’avant et ils ont mangé. Alors, j’ai posé la question là-dessus, et ils ont dit : « Oh ! eh bien, c’est juste… Après tout, c’est Dieu qui donne ça. » Voyez ?
J’ai dit : « Cela me rappelle un cochon sous un pommier, vous savez. Les pommes tomberont, le frapperont à la tête tout au long de la journée ; il ne lèvera jamais les yeux pour voir d’où elles viennent. Et c’est… » Vous savez, nous… Je pense qu’il est avantageux pour nous de nous arrêter, lever les yeux pour voir d’où proviennent ces choses. Oh ! comme c’est glorieux de nous souvenir de notre Seigneur, nous souvenir de tout ce qu’Il a fait pour nous, nous souvenir qu’il n’y avait personne d’autre qui pouvait rendre cela possible !
Il n’y a rien qui pouvait rendre cela possible en dehors de notre Seigneur. Il l’a si gratuitement fait alors que personne n’était digne ; il n’y avait pas de prophète, pas de sage, pas de potentat, pas de monarque, pas de roi. Nul autre que le Seigneur Jésus Lui-même ne pouvait faire cela, et Il l’a fait bien volontiers pour nous. Souvenons-nous-en bien ; Il l’a fait pour Ses enfants au cours des âges.

17 Maintenant, parlons juste quelques instants de quelque chose dont quelqu’un devrait se souvenir. Je peux me représenter là loin dans la Gloire, ce soir, un homme du nom de Noé ; il a certainement beaucoup de choses qui l’amènent à se souvenir du Seigneur. Car, quand Dieu allait ôter toute la méchanceté de la face de la terre, Il s’est souvenu de Noé. Et Noé se rappelle comment il avait échappé à la colère de Dieu par la miséricorde de Dieu : comment de–de grandes eaux affluaient dans les rues, les vents hurlaient, les pierres se détachaient des montagnes. Et quel horrible orage ! Des maisons étaient emportées, des sources jaillissaient, et Dieu gardait Noé à l’intérieur de l’arche. Eh bien, n’est-ce pas là une merveilleuse place qui vous amène à vous souvenir de Lui ? Oui. Oui, être dans l’arche, en toute sécurité, dans la Présence de Dieu pour vivre avec Lui.

18 Puis, nous pouvons mentionner un autre groupe de gens (ou je dirai au moins trois), et on les appelait Schadrac, Méshac et Abed-Nego, comment ils avaient pris position pour Dieu, se rappelant qu’Il tient Sa Promesse. Et comment, cela en cette heure grave, à cause de leur prise de position, même leurs propres frères, beaucoup parmi eux, étaient retournés dans le monde. Mais eux allaient prendre position sans tenir compte des circonstances. Et ils avaient pris position pour Dieu.
Et alors que la fournaise avait été chauffée sept fois plus que jamais auparavant, on les y a poussés. Et ils peuvent certainement se souvenir de ce quatrième Homme qui était là-dedans avec eux, qui les avait préservés de toute la… toute chaleur et de la mort. Il y avait quelque chose chez ce quatrième Homme. J’aimerais parler de Lui pendant quelques instants (Oui, oui), comment Il était l’Unique qui pouvait rendre cela possible. Nul autre que ce quatrième Homme ne pouvait faire cela. Et c’était Lui qui avait pourvu à la vie dans les griffes de la mort. Amen ! Et Il–Il avait retenu les flammes de feu et avait préservé ces gens. Et, oh ! tant qu’il pourra exister une mémoire, alors cela ne disparaîtra jamais. Ils peuvent donc se rappeler ce glorieux jour-là, à Babylone.

19 Il y eut un autre homme là, à Babylone, qui peut aussi se souvenir, et c’était Daniel, du moment où il avait résolu dans son coeur de ne pas se souiller par des choses du monde. C’est une bonne position à prendre.
C’est là que nous devrions prendre… on dirait resserrer un peu plus fort l’armure. C’est ça. Nous n’allons pas nous souiller par les choses du monde. Peu importe ce que l’autre église fait, quant à nous, nous allons nous en revêtir. Nous allons nous en tenir à cette Parole.
Advienne que pourra, nous ne nous souillerons pas. Si les autres veulent le faire, qu’ils aillent de l’avant et qu’ils le fassent. Si ces femmes veulent se couper les cheveux, laissez-les se les couper. Nous ne sommes pas… C’est exact. Si elles veulent porter des manucures, qu’elles les portent, ou n’importe quelle histoire, les maquillages, qu’elles aillent de l’avant et qu’elles le fassent. Nous, nous ne le ferons pas. Si les autres disent qu’ils peuvent fumer la cigarette et s’en tirer, eh bien, qu’ils aillent de l’avant. Mais nous ne le ferons pas ; c’est tout. Oui, oui.

20 Les autres peuvent rentrer chez eux, congédier l’école du dimanche–du dimanche tôt à cause d’une émission à la télévision, ou rater toute la réunion de mercredi soir à cause d’une certaine émission. Peu importe ce qu’ils font, nous, nous servirons le Seigneur. Nous prendrons position comme Josué : « Moi et ma maison, nous servirons l’Eternel. » Nous nous rappelons ce qu’Il a fait pour nous apporter cette bénédiction ; nous apprécions tellement la chose que nous ne pouvons en aucun cas la souiller. C’est un trésor de la Vie Eternelle que nous avons, et nous n’aimerions en aucun cas nous souiller par les choses du monde ; pas du tout.
Et Daniel avait résolu dans son coeur la même chose, quand bien même il était devenu citoyen de là, mais ce n’était pas de son gré ; en effet, il était un étranger. Et chaque chrétien né de nouveau est un étranger aussitôt né de nouveau; en effet, il est en route pour le Ciel. Ses–ses biens sont au Ciel.

21 Et, il y a quelque temps, ma femme et moi, ça fait environ deux ans, c’était… Frère Mercier et les autres voulaient se divertir un peu, pour ainsi dire. Nous étions là au centre commercial. Et dans notre ville, c’est… Oh ! il y a beaucoup de gens pieux, de soi-disant religieux. Mais nous avons vu une–une femme en jupe, et c’était la chose la plus étrange, car aucune d’elles ne semblait en porter une. Et–et alors, nous en connaissons beaucoup qui chantent dans des chorales et tout, et le… Et alors, nous… Ma femme m’a dit, elle a dit : « Eh bien, pourquoi ? »
Et j’ai dit : « Bien, tu vois, elles ne sont pas–elles ne sont pas nos concitoyennes. »
Elle a dit : « Quoi ? »
J’ai dit : « Non, elles ne sont pas de notre… »
Elle a dit : « Elles sont Américaines, n’est-ce pas ? »
J’ai dit : « Assurément qu’elles sont Américaines. Cela est peut-être assez vrai. »
Et je vois dans mes voyages missionnaires, des voyages missionnaires à travers le monde… Je vais en–en Allemagne, il y a un esprit national appelé… c’est un esprit allemand. C’est l’esprit de la nation. Je vais en Suisse ; je trouve… juste des frères, parlant pratiquement le même langage, mais il y a un autre esprit. Voyez ? Et il y a un autre esprit en Suisse. Puis, je vais en Finlande, c’est un esprit tout à fait différent. Ensuite, j’arrive en Amérique ; il y a un esprit de l’Amérique. C’est vrai.
« Eh bien, direz-vous, ne sommes-nous pas… »
Elle a dit : « Ne sommes-nous pas citoyens américains ? Pourquoi notre peuple est comme ça ? »
Et j’ai dit : « Eh bien, tu vois, chérie… Tu vois, chaque nation vit de–de l’esprit de nations. Il y a un esprit national. »
Elle a dit : « Eh bien, alors, ne devrions-nous pas vivre de l’esprit américain ? »
J’ai dit : « Oh ! non. »
J’ai dit : « Nous sommes nés de nouveau. Nous vivons de l’Esprit céleste, là où la sainteté, la justice… » Et nous–nous ne sommes pas Américains comme tels, car l’Amérique n’est qu’un pays terrestre. Mais nous… une fois qu’un Allemand ou un Suisse, ou n’importe qui, une fois qu’il est né de nouveau, il reçoit l’Esprit du Ciel. Et sa nature et sa constitution aspirent aux choses d’En haut, où Christ est assis à la droite de Dieu. Amen ! Oh ! comme nous devrions nous souvenir de cela, qu’Il est mort afin que nous soyons armés contre cette chose : immunisés. C’est ça.

22 Une bonne plante saine ne… On n’a pas besoin d’asperger une bonne plante saine. Les insectes ne s’y poseront pas après tout. C’est vrai. Il n’y aura pas d’insectes qui dérangeront une plante saine. C’est le genre de plantes de serre qui doivent être aspergées tout le temps, une espèce d’histoire hybride. Et c’est ce qui se passe aujourd’hui. Il nous faut trop asperger et dorloter l’église. On devrait avoir un individu rude pour Christ, lavé dans le Sang de Jésus-Christ et né de l’Esprit de Dieu. Et tous les insectes mondains s’en éloignent. Ils ne s’amusent même pas là tout autour de toute façon. C’est vraiment rude, mais j’espère que cela a tenu ferme. C’est une expression plutôt rude, mais vous savez de quoi je parle.

23 Oh ! comme Daniel et… il avait résolu dans son coeur. Il peut bien se souvenir que ça paie. Et, un jour, nous nous souviendrons aussi que ça paie. Il lui est alors arrivé de se souvenir qu’à l’heure de la détresse, Dieu envoya un Ange dans la fosse aux lions et ferma la gueule aux lions de telle sorte qu’ils n’ont pas pu le déranger. Quel souvenir à avoir ! Il avait été jeté dans la fosse aux lions parce qu’il avait résolu dans son coeur de servir Dieu, et il pouvait se souvenir que… Comment cela s’était-il passé ? Quelque chose comme ceci : « Dieu avait envoyé Son Ange. Il avait vu l’innocence de mon coeur. » Oh ! Vous y êtes, l’innocence de votre coeur. Dieu a pu voir cela en Daniel et sa résolution à faire ce qui était juste, alors Il a envoyé Son Ange et a empêché les lions de déranger Daniel. Absolument ! Quel souvenir ! Nous pouvons sans cesse continuer avec cela.

24 Souvenons-nous bien d’une autre personne tout de suite, ici… ou plutôt d’un groupe de gens ; c’est Israël, quand Israël a pris sa place, ou plutôt avait pris la décision de prendre position pour Dieu. Et l’ange de la mort allait passer une nuit pour tuer le premier-né de chaque maison, et comment il avait même été ordonné à Israël de se rassurer que le sang était sur le montant de porte. C’était cela la chose qui avait retenu la colère de Dieu et qui avait préservé leur–leur vie ; c’était le sang sur la porte. C’était un mémorial. Et chaque fois, cela… C’est toujours un mémorial, le sang sur le montant de porte et sur le linteau. Quelle nuit mémorable c’était ! Et on devait répéter cela au cours des âges à venir pour faire savoir que Dieu avait cette nuit-là fait une distinction entre les justes et les injustes.

25 Oh ! je ne sais pas si ce sera la nuit ou pas, mais viendra un jour où Dieu va faire la distinction entre les justes et les injustes, et ça sera pour nous un mémorial de savoir que le sang est certainement sur le linteau et sur le montant de porte. Et n’importe où vous regardez, ou plutôt votre entendement… Vous regardez avec vos yeux et vous voyez avec votre coeur. C’est ça. Vous vous souviendrez que vous regardez au travers du Sang du Seigneur Jésus, comme Il regarderait à travers cela. Quel temps !

26 Ils étaient… Israël avait autre chose dont il pouvait toujours se souvenir ; c’est que quand ils avaient fait un pas sur base de ce qu’ils avaient entendu Moïse déclarer, ce grand prophète confirmé avec la Parole de Dieu… Et quand ils se sont décidés de marcher… En effet, ils avaient vu Dieu confirmer que le Message qu’il apportait était la vérité, et c’était conforme aux Ecritures, et Dieu était avec lui. Et il avait rencontré Celui qui n’avait pas de nom, qui s’appelait JE SUIS… Il L’avait effectivement rencontré ; en effet, ils L’ont vu travailler avec Moïse.
Et puis, ils avaient un autre grand mémorial, c’est que quand ils se sont mis en marche, une Colonne de Feu les a précédés pour les conduire en chemin. Quel mémorial auquel ils pouvaient penser ! Une chose mémorable pour eux qui n’avaient pas de boussole. Amen ! Qu’ai-je dit ? Ils n’avaient pas besoin de boussole. Ils avaient la Lumière de Dieu pour les conduire.

27 Quel mémorial c’était pour les mages ! Oh! ils n’avaient pas besoin de boussole, et une étoile les avait conduits. Quel mémorial est-ce pour nous aujourd’hui d’avoir le Saint-Esprit pour nous conduire ! Pas un credo, ni une mode, ou quelque chose pour nous conduire, ni quelque chose élaboré par un homme. Mais le Saint-Esprit vient au poteau d’attache de la Parole, confirme Sa Parole et prouve que c’est–c’est la vérité. Quel mémorial pour nos coeurs de savoir que le Dieu vivant vit toujours ! Oh ! Se souvenir de Lui, de ce qu’Il a fait ! Il les a conduits jusqu’à la Terre promise par ce chemin.

28 Elie avait un grand événement qui faisait qu’il se souvenait de Dieu, après avoir accompli son devoir, exactement ce que Dieu lui avait dit de faire, de donner l’ordre à la pluie et que même la rosée ne tomberait pas, sinon sur sa parole ; il est monté, s’est assis là, près du torrent de Kerith. Il est resté là tout le temps. Oh ! comme il pouvait se souvenir que… Comment allait-il trouver la nourriture pendant ces années ? Mais Dieu l’a servi par les corbeaux : le Dieu du Ciel ! Sans doute. Où est-ce que les corbeaux trouvaient la nourriture ? Nous ne le savons pas, nous ne pouvons pas le dire. Tout ce qu’il savait… il s’est simplement confié à la Parole de Dieu, à ce qu’Il lui avait promis, et Dieu a pris soin du reste. C’est tout ce qu’il nous faut faire. Frère, c’est tout ce qu’il nous faut. C’est juste Le prendre au Mot. « Comment va-t-Il le faire ? » Je ne sais pas. Mais vous voyez, nous essayons d’injecter nos propres pensées et c’est là que nous nous embrouillons. Que serait-il arrivé s’Il avait dit : « Cet autre torrent là, au pied de la colline, ferait tout aussi bien l’affaire ; en effet, il y a plus d’eau là »? Hein, non.

29 Que serait-il arrivé si Abraham s’était dit qu’il lui fallait prendre Sodome ? Ça n’aurait jamais marché. Mais Abraham a suivi la voie où le Seigneur le conduisait, son unique promesse à laquelle il devait s’attacher.
Elie pouvait se souvenir du moment où il avait fait tout son possible. Il–il avait réprimandé toutes les–les femmes de l’époque qui essayaient de suivre la mode de la première dame, la femme du président, et–et toutes ces choses, il–il les avait réprimandées et–et on le taxait d’une vieille… je pense, juste d’une vieille–une vieille espèce banale de gars, il est allé… Néanmoins, il avait fait exactement ce que Dieu lui avait demandé de faire.
Et alors, on en était arrivé à une confrontation où il a dit : « Voyons qu’est-ce qui est vrai. Eh bien, faites venir les prophètes de–de Baal ici. Et faites venir ses prophètes et laissez-moi invoquer l’Eternel. » Oh ! quelle confrontation, comme il savait que Sa Parole avait promis cela !

30 Que pourrons-nous dire aujourd’hui en tant que chrétiens devant le bouddhisme, l’Islam ou n’importe quoi d’autre ? « Voyons qui est Dieu. » Amen. Il y a quelque temps, là en Inde, nous étions à–à une réunion, et il y avait beaucoup de gens… Quatre ou cinq personnes étaient venues à l’estrade. Il n’y avait pas moyen d’évaluer le nombre de gens qui étaient là. Et j’avais prié pour un petit lépreux (Il n’avait pas de bras, ses oreilles avaient été rongées) ainsi que pour de petits manchots. Et il essayait de m’embrasser, je l’ai embrassé et j’ai prié avec lui. Le Seigneur me révéla ce qui n’allait pas en lui, et–et concernant sa vie.
Et je pouvais voir les Rajahs et ces gens assis là. Ils disaient : « C’est de la télépathie », vous voyez. On pouvait–on pouvait voir cela à partir de leurs pensées, ce qu’ils étaient… ce qu’ils allaient me coller en retour.
Et ce jour-là, on m’avait accueilli au temple de Jains, où il y avait environ dix-sept différentes religions, et chacune d’elles était opposée au christianisme : « Il n’y a rien dans le christianisme. » Mais cette nuit-là, Dieu changea de programme. Nous nous sommes mis à consulter le Menu par Sa source.
Alors, le Saint-Esprit s’est mis à apporter la révélation et, peu après, un Indien est passé et il était aveugle. Alors, j’ai dit : « Cet homme est aveugle. Nous pouvons tous le constater. Et c’est un homme marié. Il a deux fils. » J’ai dit : « Je vais épeler son nom. Je–je n’arrive pas à le prononcer. » Et c’était tout à fait la vérité.

31 Eh bien, eh bien, je peux… ceux qu’ils appellent saints hommes et tous les autres là, ces prêtres musulmans assis là… Alors, ils–ils ont donc reconnu… Ils pensaient que je lisais les pensées des gens, une télépathie. Et alors, il m’est arrivé de regarder en arrière, et cet homme aveugle (juste une vision au-dessus) se tenait là, me regardant. Oh ! la la ! Vous savez, le Serviteur de Dieu, le Saint-Esprit, avait déjà apporté ce qui est écrit dans le Menu, vous savez. Je sais que cela était prêt à être servi.
Et j’ai dit : « Eh bien, aujourd’hui, on me disait que la religion islamique était la plus puissante du monde, ainsi que le bouddhisme et tout. » J’ai dit : « Maintenant, j’aimerais que l’un de vos prêtres là, les prêtres de Bouddha, les prêtres musulmans, vienne restituer la vue à cet homme. » Assurément. Eh bien, si vous voyez si grand… « Cet homme est un adorateur du soleil. Et nous savons tous, nous qui croyons, qu’il était dans l’erreur, qu’il adorait la création plutôt que le Créateur. » Et j’ai dit : « Il était dans l’erreur, et nous le savons. » Mais j’ai dit : « Assurément, le Dieu qui est le Créateur… et cet homme veut venir servir ce Créateur-là. Assurément qu’Il est prêt à se manifester. »

32 Maintenant, j’aimerais dire quelque chose. Je n’aurais en aucun cas dit cela si je n’avais eu cette vision-là. J’aurais été mieux avisé que ça. Vous voyez, c’est ce que nous ne voudrions pas, nous mettre à présumer. Présumer veut dire s’avancer sans autorité. C’est pourquoi nous aimerions faire attention quand on dit : C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ce n’est pas juste une impression, mais c’est quelque chose que vous savez assurément, vous êtes sûr que le Seigneur l’a dit. Alors, je me suis senti très réconforté en ayant cette vision-là, je savais que cela ne pouvait jamais faillir.
Et j’ai dit : « Maintenant, le–le… si cet homme est en erreur… Eh bien, les musulmans disent qu’il était en erreur et qu’alors ils aimeraient faire de lui un musulman. Ensuite, les bouddhistes disaient qu’il était en erreur, les Sikhs et les Jains et que sais-je encore, ils disaient tous qu’il était en erreur. Mais assurément, la vérité existe quelque part. » Oh ! la la ! Oh ! quelle glorieuse chose !
Alors, j’ai dit : « Eh bien, le Dieu qui lui restituera la vue, c’est Celui-là qu’il a promis de servir. Il est devenu aveugle à force de regarder le soleil ; en effet, c’était le dieu soleil. Voyez ? Et il pensait que cela lui assurerait le chemin du Ciel. Maintenant, nous pouvons nous souvenir de Christ, du fait qu’Il–Il n’a pas voulu que nos yeux soient crevés, mais qu’Il a voulu nous donner la vue. » Voyez ?

33 Ainsi donc, et si… J’ai dit : « Maintenant, le Dieu qui viendra accomplir cela, je suivrai ce camp-là. » J’ai dit : « Je servirai le Dieu qui lui restituera la vue. » Et c’était le groupe le plus calme que j’aie jamais entendu. Personne ne disait… Alors, j’ai dit : « Eh bien, il y a donc là un prêtre musulman. Pourquoi ne venez-vous pas lui restituer la vue ? » J’ai dit : « Pourquoi ? C’est parce que vous ne le pouvez pas. Et moi non plus, je ne le peux pas. Mais le Dieu du Ciel, qui a ressuscité Son Fils Jésus-Christ, m’a montré une vision tout à l’heure, que cet homme allait recouvrer la vue. Si ce n’est pas le cas, alors je suis un faux témoin de ce Christ. Et s’Il le fait, alors je suis Son véritable témoin, et vous devez–vous devez vous repentir, sinon vous devez, si vous… sinon vous périrez dans les groupes où vous êtes maintenant. » Quel temps !

34 Et j’ai dit : « Maintenant, si c’est faux, alors vous devriez me mettre à bord d’un avion et me renvoyer aux Etats-Unis d’Amérique et ne jamais me permettre de revenir ici. » Oh ! Mais quand notre Dieu est entré en scène… Cet homme, aussitôt que j’ai prié pour lui, a vu aussi bien que moi. Il a couru, il a saisi le maire de la ville au cou et s’est mis à l’embrasser. Et, eh bien, c’était vers 16h. Je n’avais plus de souliers, mon veston n’avait plus de poches, et la milice n’a pas pu retenir les gens. Et c’était la débandade. Et vous auriez dû voir ce que…
Mais qu’était-ce ? Le même Dieu, le même Dieu qui avait fait venir le feu, qui avait fait descendre le feu pour consumer Son sacrifice, peut faire descendre Son Saint-Esprit pour confirmer Sa Parole, qu’Elle est la Vérité, tant que vous êtes sûr qu’Elle est la Vérité.

35 Eh bien, Elie était sûr que c’était la vérité ; Il avait entendu la Voix de Dieu et il n’avait pas de doute. Et s’il n’y a pas de doute dans votre coeur ce soir, que Dieu donne toujours le Saint-Esprit comme Il l’avait fait le jour de la Pentecôte, cela arrivera. S’il n’y a pas de doute qu’Il tient Sa Parole et guérit les malades, cela doit arriver. Mais il vous faut en être sûr. Il vous faut réellement voir cela avec de véritables yeux de la foi, puis accepter cela et vous tenir bien là. Et il a eu beaucoup de choses qui lui rappelaient Dieu, quand il était… Eh bien, il a beaucoup de choses à se rappeler, ce qu’il avait fait en ce jour-là.

36 La femme immorale que Jésus avait trouvée à Sychar, là-bas, qui… C’était une Samaritaine qui était plutôt d’un–d’un peuple rejeté qui croyait réellement en Dieu. Ils étaient mi-Juifs mi-Gentils, et c’était une–une race… Ils croyaient en Dieu. Alors, cette petite femme immorale, dans l’état où elle se trouvait, très souillée par le péché, un jour, peut-être qu’elle était découragée par toutes leurs traditions des anciens concernant des cendriers et des marmites, des ablutions et autres…
Un jour, elle est allée là, au même vieux puits de Jacob, elle allait faire descendre son–son seau pour puiser de l’eau. Mais elle changea de source. Oh ! comme elle peut se souvenir qu’il y avait là Quelqu’Un qui avait dit qu’Il avait en Lui de l’Eau vive ! Quelle joie c’était pour elle, quand ce Puits vivant lui avait révélé ses péchés, lui avait montré son tort et lui avait décrit ce qu’elle avait fait ! Et cela avait placé dans son coeur un message qui l’avait embrasée avec la gloire de Dieu : elle est allée dans la ville, auprès des hommes.

37 Eh bien, vous savez, ce n’est absolument pas bienséant dans ce pays-là qu’une femme parcoure les rues, et surtout une femme taxée d’immorale, mais je vous assure, après qu’elle fut purifiée et qu’elle eut bu de cette Eau fraîche, vous, essayez de l’arrêter. C’était comme essayer–essayer d’éteindre un–un feu ou une maison enflammée, et il fait vraiment sec, un vent fort par un temps sec, et cela soufflait cette flamme.
Et vous ne pouvez pas l’arrêter, parce qu’elle avait trouvé Quelque Chose de réel. Ses péchés avaient été révélés. Et le moment où ses péchés et ses torts avaient été révélés, elle peut s’en souvenir ce soir dans la Gloire, elle peut se souvenir qu’il y avait une Fontaine pour elle. Là, c’était un lieu où elle était rejetée par tous les credo et–et toutes les églises, mais cependant elle a trouvé une oasis. Elle a trouvé un endroit où Quelqu’Un se souciait d’elle. Quelle réjouissance !
Et comme nous pouvons nous réjouir avec elle, nous qui étions liés par des credo qui nous avaient éloignés de Dieu, nous qui avons trouvé la Fontaine remplie du Sang tiré des veines d’Emmanuel. Là, nous avons perdu tout notre état empesé, et–et nous avons bu à la Fontaine, et nous sommes rafraîchis. Et nous nous souvenons de Celui qui a payé le prix afin que nous puissions avoir sur nous Son Esprit : Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Quel souvenir à avoir!

38 Ce soir, je m’imagine qu’Agar peut aussi avoir quelque chose auquel penser : c’était le moment où elle avait été chassée, ayant été mal comprise. Eh bien, il y en a beaucoup parmi nous ici qui peuvent penser à Agar, alors qu’elle… Elle était mal comprise. Celui qui mène une bonne vie avec Dieu, qui suit le chemin étroit et resserré, c’est celui-là qui sait ce que c’est être mal compris. Je suis mal compris. Tout le monde, tous vos frères qui essayent de mener une bonne vie, vos soeurs aussi, vous êtes mal compris. Vos voisins pensent que vous êtes un vieux modèle, et ils essayent de vous lancer cela. Et : « Pourquoi ne fréquentez-vous pas ces associations ? Et pourquoi n’avez-vous pas ces parties de carte, alors que des choses… ? » Et vous évitez ces choses. Vous êtes mal compris.

39 Agar aussi était mal comprise. Elle avait son enfant, le petit Ismaël; c’était le fruit de son sein, issu d’un mariage légal avec son mari Abraham. Et c’était–c’était une jeune fille esclave. Elle avait été donnée par sa maîtresse, Sara, à Abraham comme femme ; la polygamie était légale à l’époque. Et elle s’était mariée légalement à cet homme, car elle lui avait été donnée. Elle lui avait enfanté un enfant, juste ce qu’ils espéraient. Cette femme n’avait rien fait d’irrégulier, et cependant elle était mal comprise par sa maîtresse et avait été renvoyée au désert pour mourir. Quelle place où se retrouver ! Et il n’y avait plus d’eau dans l’outre, alors la gorge du petit Ismaël commençait à sécher. Il réclamait de l’eau et son état s’empirait.
Et une… Il n’y a que le coeur d’une mère qui pouvait comprendre le cri de cet enfant-là, émanant de petites lèvres sèches quelque part au désert, de son unique enfant, alors qu’elle sentait son petit corps se dessécher et qu’il se mourait. Il n’y avait pas d’eau, il n’y avait que des pierres et du sable, comme vous pourriez le voir ici dans le désert de Phoenix. Il n’y a pas de place… Mal comprise, quel temps !

40 Elle était là, une jeune fille esclave pour commencer, elle a essayé de bien se comporter comme elle était censée le faire. Et la voici, avec un enfant dans ses bras, et ce dernier se mourait. Et elle était très triste. Elle l’a couché sous un petit buisson, elle s’est éloignée à une distance d’une portée d’arc… ah! et elle s’est agenouillée pour prier. Et un puits lui est apparu là (Oh ! la la !), le puits de Celui qui vit et qui me voit. Il est toujours là. Il a été placé là on ne sait trop comment.
Ce puits subsiste toujours comme un mémorial. Je n’ai pas assez d’instruction pour prononcer cela, mais je–j’ai essayé de prononcer cela il y a quelques instants pendant que je prenais de petites notes, et je–j’ai essayé de prononcer cela ; je n’y suis pas parvenu. Mais vous savez ce que c’est. Je–je le prononce d’une façon, puis d’une autre. J’ai dit : « Je ferais mieux de ne pas le prononcer. Cela va carrément étaler mon ignorance. »

41 Mais une chose que j’aimerais dire : je connais un endroit où se trouve un autre Puits qui a été placé le jour de la Pentecôte. Il est tout aussi ouvert ce soir que jadis, quand Il fut inauguré jadis. Les Eaux sont tout aussi fraîches pour tout homme ou toute femme qui voudrait emprunter la bonne route avec la Parole de Dieu et marcher avec Lui. Je suis venu à ce Puits, me souvenant de Jésus qui a rendu cela possible pour moi, un étranger, le fils d’un soulard ; je suis arrivé à ce puits et j’ai été pardonné de mes péchés, je me suis abreuvé de la Vie Eternelle. Oh ! quel sentiment a dû éprouver Agar en voyant ce puits ! Cela avait sauvé sa vie ainsi que celle de son enfant. Elle peut assurément se souvenir de cette oasis tous les jours de sa vie, et tout–tout le temps où elle peut s’en souvenir.

42 Nous pouvons continuer sans cesse avec des personnages. Mais pensons juste à ceci. Ne manquez pas de voir votre Puits aujourd’hui. Ne manquez pas de voir le Point de rafraîchissement qui apporte la Vie. Jésus a été envoyé d’Hérode à… de Pilate à Hérode pour être tourné en dérision. Ce qu’il a raté. Quel–quel était le problème de Pilate ? Et alors, quand Pilate a envoyé Jésus à Hérode, et alors combien Hérode a été insensé, après qu’il eut entendu Jésus et qu’il eut entendu parler de Son ministère.
Et Pilate, étant un Juif… ou plutôt Hérode… Je pense que c’est Hérode qui était Juif, et là devant lui se tenait… Et là, devant lui, se tenait Celui au sujet de qui tous les prophètes avaient prophétisé depuis Eden. Il se tenait dans Sa Présence, mais il n’a point demandé le pardon de son péché. Jamais il–jamais il–jamais il… Je me demande s’il y avait même pensé; il n’a même pas eu une autre pensée sur ce que… de la Personne devant Laquelle il se tenait. Il n’avait probablement jamais connu Celui qui–qui se tenait devant lui. Oh ! Vous direz : « C’était–c’était une horri… c’était la chose la plus insensée. » C’en était une. C’était la chose la plus insensée qu’un homme ait jamais faite.

43 Eh bien, nous pensons à–à combien son état était mauvais, mais attendez un instant. Nous avons aujourd’hui des hommes qui font la même chose, qui se tiennent près de la même Fontaine et qui commettent toujours la même erreur que lui. Tous les prophètes, pendant quatre mille ans, L’ont pointé. Mais ils L’ont rejeté parce qu’Il n’est pas venu tel que leur credo disait qu’Il viendrait. Voilà. Tout à fait exact…?… C’est tout à fait exact. Oui, oui. Il est toujours rejeté. Ils ne veulent rien avoir à faire avec cela, à moins que ça se passe selon leur manuel, vous savez, tel que leur manuel est écrit. Voyez-vous ? C’est ainsi que ça devait se passer.
Oh ! tous les prophètes, pendant quatre mille ans, avaient parlé de Lui, et Le voici devant lui, et il n’a point demandé pardon. Il était là devant Lui et le–l’Accomplissement de toutes les Paroles de tous les prophètes hébreux se tenait devant lui, et il n’a jamais demandé pardon. Il s’est simplement tenu là. Oh ! quelle chose terrible !

44 Mais nous faisons la même chose aujourd’hui, nous ne faisons que nous tenir à côté de lui après six mille ans. Nous commettons une erreur plus grave que celle d’Hérode, de Pilate et–et de Caïphe, et des sacrificateurs de l’époque, car nous, nous avons deux mille ans de plus. Et nous commettons toujours cette même erreur. Juste, je–j’ai juste… je pense que–qu’Hérode n’avait même pas réfléchi sérieusement à cela, jamais.
Eh bien, je me demande bien combien nous y réfléchissons sérieusement. Combien tachez-vous de prendre cette Parole en considération avec sérieux ? Que représente cette Parole pour vous ? Savez-vous que c’est Dieu sous forme imprimée ? Mais nous passons par-dessus cela à cause d’une espèce de credo et nous disons : « Les jours des miracles sont passés. Docteur Dupont a dit telle et telle chose, et c’est donc réglé. » Et pourtant, cette Bible se retrouve pratiquement dans chaque librairie. La Bible, les églises et les prédicateurs et autres se tiennent là, lisent Cela superficiellement; ils n’en font pas cas à cause des credo et ils essayent de renvoyer cela à un autre âge.

45 Comme la remarque que j’ai faite à deux ou trois reprises depuis que je suis à Phoenix, cela m’a beaucoup frappé; c’est ainsi que sont les hommes. Ils louent toujours Dieu pour ce qu’Il a déjà fait et attendent impatiemment ce qu’Il fera, mais ils ignorent ce qu’Il est en train de faire maintenant même. C’est ce qu’ils font. Ils manquent de voir cela.
Eh bien, peut-être qu’Hérode pouvait louer Dieu pour ce que… Il avait fait sortir les enfants du désert et tout. Et ils ont dit : « Un jour, Il enverra un Messie. Gloire à Dieu, nous Le verrons alors. » Et Il était là même devant eux, mais ils ne L’ont point reconnu. « Il était dans le monde, et le monde a été fait par Lui, et le monde ne L’a pas reconnu. A tous ceux qui L’ont reçu, Lui… Il leur a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu. » J’aime ça. Oui, oui. Ils étaient dans Sa Présence.

46 Je pense qu’il n’avait jamais réfléchi sérieusement à cela ; et beaucoup aujourd’hui font la même chose : Ils ne le considèrent pas sérieusement. Ils ne réfléchissent pas sérieusement. Ils disent : « Tenez donc. Je fréquente l’église, et je suis tout aussi bon que vous. »
Eh bien, ce n’est pas là l’attitude que vous aimeriez afficher. Il se peut que vous soyez aussi bon que moi, et que vous ne soyez pas bon du tout. Voyez ? Mais vous devez faire… ne pas faire de quelqu’un votre modèle. Vous devez faire de Dieu votre modèle, Jésus-Christ, et vous devez recevoir Sa Parole. Et si vous ne…

47 Maintenant, rappelez-vous, la Bible dit, dans le Livre de l’Apocalypse, que ceci est la complète révélation de Jésus-Christ : « Celui qui retranchera une seule Parole de Cela, ou Y ajoutera une seule parole, sa part sera retranchée du Livre de Vie. » C’est cela donc la révélation.
« Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières (Hébreux 1); parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par Son Fils, Jésus-Christ » ; et Christ se révèle, se fait connaître, apporte Sa Parole et La fait simplement croître.

48 L’autre jour, je me tenais là, parlant, je pense, avec frère Carl Williams; il y avait un palmier. Je pense que c’était frère Carl, ou quelqu’un d’autre. Et j’ai dit : « N’est-ce pas un bel arbre ? »
Il a dit : « Oui. »
J’ai dit : « Qu’est-ce ? C’est de la cendre volcanique. C’est tout qu’il en est : la poussière de la terre contenant une vie. Et cette vie est un genre donné, qui en a fait un palmier. » Et là se tient un autre. C’est une espèce différente d’arbre. C’est un figuier. Qu’est-ce ? C’est de la cendre volcanique issue de la terre ayant la vie d’un figuier. Eh bien, considérons notre cas. Que sommes-nous ? La même chose que cet arbre-là, une cendre volcanique, mais ayant une vie humaine. Et cette vie humaine vient de la terre, et elle doit retourner à la terre. Mais il y a une Vie qui vient d’En haut, et un homme vit de cette Vie-là. C’est la Vie Eternelle. Oh! comme c’est insensé ! Ne pouvons-nous pas considérer cela sérieusement, amis ?

49 Maintenant, il ne s’agit pas d’une émotion. Il ne s’agit pas d’observer un tas de crédos. Il s’agit d’une expérience ; c’est une naissance. Premièrement, vous devez expérimenter la mort avant de pouvoir expérimenter la naissance. Par exemple… Soulignez bien cela : expérimenter la mort et, ensuite, expérimenter la naissance. Chaque semence doit expérimenter la même chose. Et cette Semence est Dieu. Et une fois qu’Elle est placée dans votre coeur, Elle donne naissance à un fils de Dieu.
Et c’était ainsi avec Jésus, quand Il était sur terre. Il a dit : « Qui peut Me condamner du péché ? Qui peut M’accuser plutôt du péché ? » Le péché, c’est l’incrédulité. « Si je… Si vous ne pouvez pas croire en Moi, croyez aux oeuvres. Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle, ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Ce sont Elles qui vous disent qui Je suis. Et si Je ne remplis pas les conditions, exactement ce que les Ecritures avaient déclaré, ce que le Père avait dit que Je serai quand Je viendrai, si Je ne remplis pas cela, alors Je suis en erreur. »

50 Oh ! si nous les chrétiens, si nous les prédicateurs, si nous hommes, femmes, pentecôtistes et les autres parmi nous, si nous ne pouvons pas accepter ce que Dieu dit que Son Eglise devrait être, si nous ne sommes pas à la hauteur de ce qu’Il a dit, alors nous pourrons être condamnés du péché d’incrédulité.
Si nous osons dire que les jours des miracles sont passés ainsi que toutes ces autres choses comme telle et telle autre choses, alors nous pourrons être accusés d’incrédulité. En effet, il n’y a qu’un seul péché, et c’est l’incrédulité. « Celui qui ne croit pas est déjà condamné. » Voyez ? Vous n’arrivez même pas à ce premier fondement si vous ne croyez pas. « Celui qui s’approche de Dieu doit croire que Dieu existe, et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent. » Qu’arriverait-il donc si une église…? C’est ce que Dieu veut. C’est ce que Dieu aura, un groupe de gens qui peuvent dire : « Qu’a promis Jésus ? Qu’est-ce qui a été promis pour ce dernier jour qui n’a pas été manifesté au travers de nous ? » Amen. Alors, nous pouvons nous asseoir et nous souvenir de Lui, nous souvenir de Lui quand nous nous rassemblons.

51 S’il nous manque quelque chose, faisons-le. S’il nous manque quelque chose, retournons-y. Rappelons-nous, ce qu’Il a exigé, ce n’est pas ce que nous pensons qu’il nous faut avoir, mais c’est ce que Lui a dit qu’il nous faut avoir. Voyez ? C’est comme ça qu’il nous faut procéder, tel qu’Il l’a dit.
Mais je me demande si seulement nous… Nous disons : « Eh bien, je–je–je suis membre de ceci et je… » Je me demande si vous considérez sérieusement cela pour savoir que cela ne représente rien pour Dieu. Cela ne représente rien.
Probablement–probablement qu’Hérode a dit : «Eh bien, attendez juste une minute ici. Savez-vous qui je suis ? » Voyez ? Il n’avait jamais réfléchi sérieusement. Et il nous faut sérieusement réfléchir.
Savez-vous ce qu’il a fait ? Alors que Christ se tenait devant lui pour la première fois… Tous les prophètes, les sages, et au cours des âges, avaient parlé de Sa Venue, et Il se tenait là même devant lui. Vous savez son… le… Quand Dieu plaça Christ devant Hérode, ce dernier n’a demandé que le divertissement.

52 Je me demande, frères (pensons-y donc sérieusement, nous les pentecôtistes), je me demande si nous recevons le Saint-Esprit rien que pour le divertissement. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] On erre plutôt que d’entrer dans la Terre promise pour posséder toutes choses. Je me demande s’il n’y a pas quelque chose auquel nous n’avons pas réfléchi assez sérieusement. Voyez ? Vous devez réfléchir sérieusement.
Si Pilate avait fait cela, il L’aurait relâché. Si–si Hérode avait fait cela, il L’aurait relâché. Mais il n’a pas réfléchi sérieusement à la première occasion qui lui avait été offerte. Et qu’a-t-il alors fait ? Il a réclamé quelques supercheries.
Oh ! ils… C’est ça aujourd’hui. On veut faire du christianisme une supercherie, un petit truc à portée de main. Et écoutez, pentecôtistes. Soyez profondément sincères sur ces choses. Quand vous parlez en langues et que vous donnez l’interprétation, soyez sûrs que cela en est l’interprétation. Voyez ? Ne prenez pas une supercherie. Pourquoi voulez-vous une supercherie alors que Dieu a la chose véritable pour vous ? Voyez ? Pourquoi accepter un substitut alors que les Cieux sont pleins de la chose réelle ? Voyez ? Voyez ? Nous devons être sincères. Vous ne devez pas chercher à ignorer simplement cela et à passer outre cela. Nous ne devons pas faire cela. Nous ne devons pas rechercher des supercheries. Nous devons solliciter le service. Amen.

53 « Seigneur, s’il me faut être un paillasson, fais de moi le meilleur paillasson que Tu aies jamais eu. Tout ce qu’il me faut être, que je le sois. » Non pas : « Fais de moi… Si je ne peux pas être un Billy Graham, ou un Oral Roberts, eh bien, je ne vais pas du tout exister. » Voyez ? Eh bien, vous valez tout autant que Billy Graham et Oral Roberts, si–si vous avez un... si vous êtes un paillasson, si vous êtes le… de Dieu. Si Dieu a besoin d’un paillasson, Il–Il veut avoir un bon paillasson ; c’est tout. Voyez ? Cela importe peu. Mais nous nous mettons à présumer que nous sommes censés être telle ou telle chose. Ne faites pas cela. Sollicitez simplement le service, n’importe lequel. Voyez ? Quel qu’il soit, laissez Dieu choisir le service pour vous. Voyez ? Et alors, quand Il vous le donne, rappelez-vous que c’est Jésus qui vous a conduit là. Vous êtes né dans ce but-là. Soyez un–un bon serviteur de Jésus, où que ce soit. Oui.

54 Jésus a dit : « Pourquoi M’appelez-vous Seigneur, et ne faites-vous pas ce que Je vous dis ? » Nous devrions méditer les Ecritures. Nous devrions découvrir le programme et le plan de Dieu. Il a dit : « Vous M’appelez Seigneur. » Il a dit : « Pourquoi M’appelez-vous Seigneur, alors que vous ne faites pas ce que–ce que Je vous ordonne ? » Voyez ? Oui.
Seigneur signifie propriétaire. Le propriétaire de la terre, c’est celui qui possède la terre. Et, aujourd’hui, les gens acceptent à coeur joie Jésus comme Sauveur. Ils–ils ne veulent pas aller en enfer. Ils peuvent–ils peuvent L’accepter comme Sauveur. Mais quand on en arrive au Seigneur : oh ! non. Non, non. Voyez ?
« Seigneur » ; ça signifie que vous êtes Sa propriété. S’Il veut avoir un paillasson, Il fera de vous un paillasson. Et vous serez tout aussi heureux d’être un paillasson que vous le seriez en étant une étoile du matin. Voyez? Voyez ? Voyez ? Vous–vous–vous aimeriez… Nous–nous aimerions… Nous ne voulons pas L’avoir comme Seigneur. Nous voulons un Sauveur, mais nous ne voulons pas un Seigneur. Et quand Il vient comme Seigneur et qu’Il vous dit certaines choses de la Parole : « Eh bien, je n’en sais donc rien. Voyez ? Nous donc… Je ne peux simplement pas m’imaginer faisant cela. »

55 Vous les dames ici, vous direz : « Je suis fatiguée après quelque temps. » Non, il ne le fera pas. Je serai comme cet homme qui a dit une fois qu’il s’est mis à prêcher pour un réveil. Il a dit qu’il prêchait sur la repentance. La troisième soirée, la repentance ; la quatrième soirée, la repentance. Il a prêché sur la repentance toute la semaine.
Alors, le pasteur de l’église, l’un d’eux, est revenu lui parler, disant : « Frère, nous–nous apprécions vraiment votre prédication. Mais n’en avez-vous pas une autre ? » Il a dit : « Oh ! si, si. » Il a dit : « J’en ai une autre. Mais qu’ils se repentent tous, alors je prêcherai sur autre chose. »
Que l’église apprenne donc son ABC. Puis, nous aborderons par la suite l’algèbre, comment – comment devenir des prophètes, recevoir des dons, et autres comme cela. Mais apprenons premièrement ce premier pas d’abord. Apprenez à marcher avant de pouvoir courir, vous savez. Et si donc vous êtes fatigué d’être un piéton, qu’allez-vous faire ? Très bien.

56 Mais il nous faut nous souvenir de notre Seigneur. C’est ce qu’il vous faut faire, vous rappeler, que c’est Lui que vous servez. Vous ne recevez pas ces dons juste pour en tirer beaucoup de plaisir. C’est vrai. Après tout, il y en a beaucoup qui parlent des dons, mais je suis sûr, à voir comment ils agissent, qu’ils ne savent pas ce que c’est. Voyez ? Voyez ?
Le don… les dons de Dieu et autres, ce n’est absolument pas quelque chose avec lequel s’amuser. Les dons de Dieu sont gracieux, ils sont épui… ils sont épuisants. Ja… n’a-t-il pas… Dans la Présence de Dieu, on ne crie pas. La Présence de… Là, ce sont juste des bénédictions de Dieu qu’Il déverse sur vous. Voyez ? Mais la Présence de Dieu, c’est quelque chose de difficile. Je ne voudrais pas que vous oubliiez de recevoir cette bande-là, si possible, Messieurs, quelle heure est-il ?  Et souvenez-vous-en.

57 Jacob, alors qu’il était couché sur un tas de pierres une nuit, le Seigneur lui était apparu en vision, et il avait vu des anges descendre et monter… Quand il s’est réveillé, il a dit : « Cet endroit est terrible, ce n’est rien d’autre que la Maison de Dieu. » Un endroit terrible…
Après qu’Esaïe le prophète eut prophétisé pendant plusieurs années sous Osias, et après qu’Osias lui eut été retiré pour avoir osé usurper le rôle d’un sacrificateur (il avait été frappé de lèpre et était mort)… Et Esaïe avait probablement quarante ans, cinquante, et il avait été prophète, oh ! depuis son enfance; en effet, on naît prophète. Les dons et les appels sont sans repentir. Et il était là, un–un prophète de l’Eternel. Un jour, il était là en train de prier, confessant ses péchés à l’autel. Et tout d’un coup, il est entré dans la Présence de Dieu et a vu Dieu assis au Ciel, ainsi que le pan de Sa robe. Il a vu les Séraphins avec leurs visages saints couverts d’ailes et leurs pieds couverts d’ailes, volant avec des ailes, criant : « Saint, saint, saint est l’Eternel Dieu Tout-Puissant. » Oui.
Et Esaïe s’est alors souvenu que son court pèlerinage ne représentait pas grand-chose. Qu’a-t-il crié ? Il avait reconnu, quant à son don, qu’il n’avait pas bien agi avec cela. Il était loin. Il a dit : « Seigneur, je suis un homme aux lèvres impures. » Et je–je–j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres impures. » Et alors, l’ange… Voyez, c’est une chose terrible. Il a dit : « Malheur à moi ! »

58 Ce n’est pas comme pour la bénédiction, où on crie et on pousse des cris. C’est bien. Eh bien, souvenez-vous, je ne condamne pas cela. Mais je vous assure, ce n’est pas ce dont je parle. C’est la puissance et la Présence de Dieu qui suscitent une sainte crainte, telle que vous êtes paralysé dans Sa Présence. Vous vous en souviendrez toujours. Vous vous en souvenez. Et Esaïe s’en est souvenu toute sa vie durant. Je m’image le moment où la scie traversait son corps, il s’est toujours souvenu de ces anges qui criaient : « Saint, saint, l’Eternel Dieu. » Certainement.
Jacob, dans ses dernières heures, a pu se souvenir de ces anges qui montaient et descendaient, et c’était une chose terrible pour lui. Ce n’est pas ce que les gens pensent. C’est quelque chose de différent. Ce qu’il nous faut faire, c’est entrer dans Sa Présence, en nous souvenant de Lui, qu’Il nous a fait venir ici, non pas pour l’amusement, mais pour le service ; qu’Il nous a fait venir ici pour–pour travailler pour Lui. Il avait de quoi se souvenir.

59 Qu’en est-il de Judas Iscariot ? Il a de quoi se souvenir aussi. Judas a de quoi se souvenir ce soir. Certainement. Et il s’en souviendra toujours. Certainement. Pourquoi ? Il avait vendu le Seigneur Jésus pour un gain personnel.
Je me demande ce soir si ce n’est pas ce que beaucoup font aujourd’hui, vendant leur droit d’aînesse pour un gain personnel. Alors que vous devriez être enflammés pour Christ, alors que vous devriez être en train de faire quelque chose pour Lui, travaillant pour Lui ou quelque chose comme cela, vous adhérez quelque part où vous pouvez mener n’importe quelle vie que vous voulez et prétendre toujours être un chrétien.
C’est ce que le monde cherche ce soir. Le monde, disais-je, pas les croyants. Le croyant recherche chaque chemin étroit où il peut marcher pour être bien. Mais l’incroyant veut quelque part où il peut aller, continuer tout bonnement à professer être chrétien tout en menant n’importe quelle vie qu’il veut. Ce que cette nation voulait comme président, c’est ce qu’elle a eu. C’est exact. Ce que la–ce que l’église veut, c’est ce qu’elle a eu. Oui, oui. C’est ce que vous recevez.

60 Mais le croyant veut se débarrasser de tout. Il veut rejeter tout péché et tout fardeau qui l’enveloppent si facilement, afin de courir avec persévérance dans la carrière qui est ouverte devant lui, ayant les regards sur Jésus-Christ qui suscite la foi et l’amène à la perfection. Oui, se souvenir de Lui, alors que nous rejetons tout fardeau : Les femmes laissent pousser leurs cheveux, les hommes cessent de faire le Ricky, fréquentent l’église et font ce qui est juste, et tout cet autre genre de choses; et des pasteurs ayant au comité des diacres mariés trois ou quatre fois, toutes ces choses, faisant des compromis, parce qu’on leur alloue un gros salaire et tout sur le plateau. Courber l’échine devant une organisation parce qu’elle vous dit que c’est cela, alors que la Bible dit autre chose. Rejetez tout fardeau.

61 Souvenez-vous de Jésus. Il était devenu très impopulaire. Le Jeune Rabbi était l’un des hommes les plus importants du monde quand Il guérissait les malades et faisait le bien, guérissant les gens, faisant recouvrer la vue aux aveugles, montrant aux gens et manifestant Dieu par eux, par la pensée de leur esprit. Il pouvait leur parler. Il était un Grand Rabbi.
Mais un jour, Il s’est assis et s’est mis à leur dire la vérité de l’Evangile. Il n’était plus désormais populaire. Non, jamais ! Pour commencer, vous savez, tout le groupe était parti. Et alors, les soixante-dix ont dit : «C’est une forte déclaration. Qui peut la comprendre ? » Et ils sont partis.
Et alors, Il s’est levé et a demandé aux disciples : « Voulez-vous aussi partir ? »
Ils ont dit : « Où irions-nous, Seigneur? C’est Toi seul qui… Nous avons tout vendu. Nous sommes prêts, advienne que pourra. Nous sommes prêts à aller. » Souvenons-nous ainsi de Lui.
Rappelez-vous, c’est Lui notre Modèle. Il a tout fait, Il a condamné chaque pharisien. Il a condamné toutes choses du monde. Il a parcouru le monde sans aucune tache sur Lui. Il était un Agneau examiné par Dieu. Il a dit : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en qui J’ai mis toute Mon affection. » Il a mené une vie noble.
Et puis, Il a porté tous les péchés du monde : mon péché et votre péché, Il s’en est chargé. Et ensuite, même la sueur est tombée de Son front sacré comme des grumeaux de sang, claquant là-dessus. Non parce qu’Il était coupable, mais à cause de ma culpabilité et de la vôtre. Et s’Il peut faire cela pour vous et moi, comment pouvons-nous nous tenir là sous des dogmes et le non-sens du monde, et des choses de ce temps moderne ? Nous devrions nous souvenir de notre Seigneur, nous souvenir du prix qu’Il a payé pour le salut. N’ayez jamais honte de cela : « Etant prêts à vous défendre devant quiconque de l’espérance qui est en vous. » C’est ce que nous devrions faire, frères.

62 Nous arrivons maintenant aux dernières heures. Le soleil se couche. La civilisation est allée depuis l’est, et maintenant elle est sur la Côte Ouest. Elle ne peut aller plus loin. La barrière est là, et tous les péchés du monde s’entassent et roulent comme des vagues de honte de Hollywood qui rebondissent directement dans l’église. Et quel temps est-ce ! Nous devrions nous en souvenir, frères.
Nous souvenir de notre Seigneur. Que ferait-Il s’Il se tenait ici aujourd’hui ? Il s’attacherait à cette Parole. Dans chaque tentation, Il s’est attaché à cette Parole. C’est ce qu’Il a fait. Il était votre Modèle.
Quand Satan est venu auprès de Lui et a dit : « Change ces pierres en pain », Il a dit : « Il est écrit » (voyez ?), constamment avec la Parole du Père. Nous devons nous en souvenir et faire de même. Il était notre Modèle. Oui, oui.

63 Ces sacrificateurs de l’époque peuvent aussi avoir beaucoup de quoi se souvenir. Ils s’en souviennent ce soir dans le monde des perdus. Vous direz : « Frère Branham, taxeriez-vous ces sacrificateurs de saints sacrificateurs, d’hommes pieux ? »
Eh bien, attendez un instant. Ils s’étaient faits pieux. Ils avaient une fausse sainteté, une fausse piété qui, en réalité, n’était pas celle de Dieu. Jésus leur a clairement dit : «Vous êtes de votre père, le diable. Et ce sont ses oeuvres que vous ferez. » Et Il leur a dit ce qu’ils étaient. Et ils ont beaucoup de quoi se souvenir aussi, parce que quand ils ont vu cette manifestation authentique du Messie, prouvant qu’Il était le Messie, alors ils ont délibérément rejeté cela, disant que c’était un mauvais esprit qui accomplissait cela (voyez ?), disant que c’était Beelzébul.
Et Jésus a dit que c’était un blasphème : « Quiconque prononcera un mot contre le Saint-Esprit, il ne lui sera jamais pardonné. » Ils ont beaucoup de quoi se souvenir. Ne prenons pas leur place, frères. Que notre sort ne soit pas comme le leur. Mais s’il le faut, qu’il en soit pour moi comme pour Nathanaël qui avait dit : « Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël. » Que ma position soit comme celle de l’un de ceux-là. Que ma position… Que votre position, vous les femmes, soit comme celle de la femme au puits, celle qu’elle a ce soir. Elle a beaucoup de quoi se souvenir, comme nous l’avons dit. Elle avait trouvé une Fontaine.

64 Et, eh bien, ces sacrificateurs, ils auront… Pourquoi avaient-ils fait cela ? C’était par pure jalousie amère. C’est l’unique raison. Ils étaient zélés pour leurs crédos; ils étaient–ils étaient zélés pour leurs traditions. Leurs anciens avaient élaboré une tradition qui était contraire à la Parole, et ils étaient zélés pour cette tradition-là.
Frères, n’ayons pas, vous et moi, à répondre de cela, d’être zélé pour une quelconque tradition. Souvenons-nous de Jésus, de ce qu’Il était. Restez attachés à ce qu’Il a dit. Ce n’est que par pure jalousie amère qu’ils avaient fait ces choses. Oh ! quelle chose ! Oui, oui. Ils… L’homme riche aussi a beaucoup de quoi se souvenir. Il lui avait été offert une occasion de recevoir Jésus-Christ, mais il a aimé les honneurs des hommes plus que les louanges de Dieu. Et souvenez-vous, la Bible dit clairement qu’il s’en est souvenu dans le séjour des morts, après sa mort. Et le message lui est revenu : « Souviens-toi, l’occasion t’avait été offerte durant ta vie. »
Et, Phoenix, l’occasion t’est offerte. L’occasion est offerte au monde. Ne laissez pas cela croiser votre chemin et vous manquez de le voir, comme Hérode, et–et–et beaucoup d’entre eux dans le passé.

65 Eh bien, ils ont prouvé que ces sacrificateurs savaient réellement qui Il était ; en effet, Nicodème l’avait dit quand il était venu. Il était l’un des chefs des pharisiens. Il a dit : « Rabbi, nous savons que Tu es un docteur venu de Dieu, car personne ne peut faire ces oeuvres si Dieu n’est avec lui. » Voyez, ils reconnaissaient cela. Mais voyez, ils devaient s’en souvenir. Ils étaient mieux avisés, cependant ils ne l’ont pas fait. Vous laissez votre credo vous priver le baptême du Saint-Esprit, parce qu’on vous dit que cela n’existe pas…

66 Il y a quelques mois, j’étais allé dans un hôpital prier pour une femme dans notre ville, en Indiana. Et cette petite dame était couchée là, elle tenait à se mettre en ordre avec Dieu. Elle avait été… Elle avait rétrogradé. Elle était une fois venue à mon église, elle était rentrée. Et, évidemment, sept démons pires que les précédents sont entrés en elle. Et elle était couchée là à l’hôpital, mourante.
Elle a dit : « Frère Branham, je n’aimerais pas mourir comme ceci. »
Et j’ai dit : « Ça va, soeur. Vous n’avez pas à mourir comme cela, si vous avez encore dans votre coeur le désir de servir Dieu. Lui ne vous a jamais quittée. C’est vous qui L’avez quitté, mais Lui ne vous a jamais quittée. Eh bien, vous le pouvez, si vous le pouvez. »
Alors, elle a dit : « Je–je le veux, Frère Branham. »
J’ai dit : « Ça va. Nous allons prier. » Il y avait une autre dame couchée là, avec des lèvres rabattues, me regardant d’un… on dirait qu’elle pouvait me transpercer, son fils et elle. Elle était couchée sur un lit, elle avait subi une opération la veille.
Alors j’ai dit… Et je l’ai vu regarder, son fils aussi m’a regardé. Et–et j’ai dit : « Est-ce que ça vous dérangerait que nous ayons un mot de prière ? »
Elle a dit : « Tire ce rideau-là. »
J’ai dit : « Eh bien, je… Etes-vous croyante ? »
Elle a dit : « J’ai dit : ‘Tire ce rideau-là.’»
J’ai dit : « Je vous demandais juste… »
Elle a dit : « Je voudrais vous faire comprendre que nous sommes méthodistes. »
J’ai dit : « Eh bien, ça se voit donc certainement. » Voyez, qu’était-ce ? Elle ne voulait pas voir quelqu’un d’autre, cette pauvre femme rétrograde, revenir à Dieu. Eh bien, si c’était une méthodiste, ça aurait été différent. Vous voyez, elle ne s’était pas souvenue là de Jésus. Voyez-vous ? Elle s’était juste souvenue de son credo. Elle s’était juste souvenue… Très bien. Oh ! quelle horrible chose ce sera en ce jour-là du jugement !

67 Il y a quelques semaines, je montais dans un ascenseur à Louisville. Je montais pour me faire examiner, un examen médical, chez un ami médecin, pour avoir une autorisation; je–j’aimerais donc me rendre outre-mer avec frère Rowe et les autres d’ici peu. Et alors, je m’étais dit que je me ferais faire un examen médical pendant que j’en avais l’occasion. Et je suis monté… Il y avait là des hommes qui montaient avec nous à l’étage. Nous sommes montés là loin, vers le huitième étage, à Louisville, dans un… un immeuble… et alors... l’immeuble Hayburn. Et quand j’étais au niveau le plus haut possible, et que le… arrêté...
Et ces… l’un de ces hommes buvait un peu, je pense. Il a regardé tout autour et a dit : « Eh bien, mes gars, je pense que ceci est le niveau le plus élevé que nous puissions jamais atteindre. » Il a dit : « Nous ferions mieux de descendre. »
Je n’avais rien dit. Il ne savait pas que j’étais prédicateur. J’ai donc bien attendu de sortir, et j’ai dit : « Juste un instant. Ce commentaire que vous avez fait… » J’ai dit : « Si c’est dans nos mérites que nous nous confions, ceci est le niveau le plus élevé que nous atteindrons jamais. Mais, ai-je dit, si c’est en Jésus que nous nous confions… » Se souvenir de Lui. Amen.
Nous pouvons aller plus haut, en dépassant, comme l’ont dit les chanteurs de frère Outlaw l’autre soir, Jupiter, Vénus, Neptune, Mars, la Voie Lactée, et continuer sans cesse d’aller (ça ne change rien) au-delà de chaque système solaire jusque dans les cieux des cieux. Je suis content de cela. Souvenez-vous bien, Il est au-delà de choses comme cela. Oui. Si c’est dans nos mérites que nous nous confions, nous sommes certainement perdus. Mais si c’est dans Ses mérites que nous nous confions, nous sommes sauvés.

68 Oh ! Nous pouvons nous souvenir de Jésus par Sa grâce du fait qu’Il nous a élevés et qu’Il a promis que même maintenant, maintenant même… Nous n’avons pas à être terre-à-terre. Voyez, nous ne sommes donc pas terre-à-terre. Nous allons au Ciel. Nous sommes déjà morts. Nos vies sont cachées en Lui, par Christ, et nous sommes ressuscités avec Lui, non pas… Nous ne sommes pas … Nous ne sommes pas morts avec Lui ; nous sommes ressuscités avec Lui et nous sommes assis dans les lieux célestes, nous souvenant de Lui : assis dans les lieux célestes « Quand, Frère Branham ? » Maintenant même. Oui. Nous ne ressusciterons pas avec Lui. Nous sommes déjà ressuscités avec Lui. Ce sont les prémices de notre résurrection, nous sommes passés de la mort à la Vie et nous sommes vivants pour toujours, assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ, déjà ressuscités avec Lui d’entre les morts. Oui. Quelle glorieuse chose est-ce d’être assis dans les lieux célestes avec–avec Jésus-Christ, le Fils de Dieu ! Oui, oui. Nous pouvons nous souvenir de Lui maintenant ainsi que de toutes Ses promesses qu’Il nous a faites, pendant que nous sommes assis ici même maintenant.

69 Je regardais cette horloge là derrière et je me disais : « Oh! la la! Je m’y prends bien. C’en est fait pour moi ici donc, 19h. » J’ai encore environ trois pages, et je les ai repoussées là en-dessous, quand j’ai regardé ma montre et que j’ai vu qu’il n’était pas 19h. Alors, je me suis dit : « Je m’y prends vraiment bien. » Où ai-je été ? Ai-je perdu tout ce temps ? Je savais que je me–je me sentais vraiment bien, mais je ne savais pas que je me sentais bien à ce point-là. Mais je–j’ai continué à regarder cette horloge-là, et je me disais qu’il y avait quelque chose de faux quelque part.
Eh bien, c’est ce qui va se passer l’un de ces jours, mes amis. Le temps va s’arrêter. Et nous allons prendre notre envol céleste vers l’Eternité où il n’y aura plus de temps. Ne sera-ce pas merveilleux ? Mais pendant que nous sommes assis ici maintenant, où le temps ne représente rien pour nous, nous sommes déjà élevés dans les lieux célestes.

70 De quoi pouvons-nous nous souvenir ? Nous pouvons nous souvenir de chaque promesse qu’Il nous a faite : « Si vous demeurez en Moi et que Mes Paroles demeurent en vous, vous pouvez demander ce que vous voulez.» Est-ce vrai ? Je peux me souvenir de Saint Jean 5.24 : « Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit (non pas qui fait semblant de croire, là), mais qui croit en Celui qui M’envoyé, a (c’est le temps présent) la Vie Eternelle, ne passera point sous la condamnation du jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. » Et nous vivons maintenant même en Jésus-Christ, étant assis dans les lieux célestes. C’est ce qu’Il a promis. Nous pouvons nous souvenir… Nous pouvons nous souvenir comment Il a dit… Il s’est manifesté comme le Messie parmi les gens. Les croyants ont vu cela. Et nous nous souvenons que dans Saint Jean 14:12, Il a dit : « Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. » Nous pouvons nous souvenir qu’Il a promis cela.
Nous pouvons nous souvenir qu’Il a promis que dans les derniers jours, le Saint-Esprit sera manifesté dans la chair humaine, exactement comme Il l’avait été à Sodome avant que celle-ci soit brûlée. Nous nous souvenons que Jésus a fait cette promesse-là. Je m’en souviens. Il l’a dit. Jésus l’a dit. Je crois cela tout autant que si je me tenais là même et qu’Il m’en parlait. En effet, ça se trouve ici même, et c’est ainsi que je crois cette Parole. Je me souviens qu’Il l’a dit. C’est tout : « Il fera aussi les oeuvres que Je fais. »

71 Je me souviens que l’autre soir, je lisais les Ecritures, là où Jésus a dit, quand… « J’ai beaucoup de choses à vous révéler… à vous dire, mais vous… Je ne peux pas le faire maintenant. Mais quand le Saint-Esprit sera venu (voyez-vous ?), Il vous rappellera ces choses, et alors Il vous montrera des choses à venir. » Je me souviens que le Saint-Esprit a parlé, disant : « La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à double tranchant, pénétrante jusqu’à la… partage jointures et moelle. Elle juge les sentiments et les pensées du coeur. »

72 Je me souviens qu’un jour, Jésus passait au milieu d’une foule et qu’une petite femme toucha Son vêtement et alla s’asseoir. Et je me souviens, ou elle se tenait debout, n'importe où qu’elle était, alors Jésus s’est retourné et a dit : « Qui M’a touché ? ». Alors Pierre a pensé qu’Il avait perdu la tête.
Il a dit, eh bien, il L’a repris et a dit : « Eh bien, tout le monde Te touche. »
Il a dit : « Mais je me sens faible; une vertu est sortie. » Il a regardé tout autour et a repéré cette petite femme, Il lui a parlé de sa perte de sang. Sa foi l’avait sauvée.
Je me souviens que la Bible enseigne dans Hébreux qu’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur (Oh !) qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. C’est vrai. Je me souviens que la Bible dit dans Hébreux 13:8 (Je me souviens de Jésus.) Il a créé… Dans Hébreux 13 : 8, il est dit : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Oh ! comme nous pouvons nous souvenir de Lui ! Oui, oui. Oh ! comme nous… « Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez (l’Eglise, le croyant), car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» C’est vrai. « Je ne vous quitterai point. »  Oh ! ce n’est pas juste quelque chose qui arrive aujourd’hui et qui n’est pas là demain. C’est éternel. Je ne vous quitterai point; Je ne vous abandonnerai point. » Oh! la la ! Cela nous ferait crier, pousser des cris et pleurer.

73 Nous aimerions considérer ceci sérieusement. Nous souvenir de Jésus, pas juste par hasard. Il a promis ceci. Et si ça ne vaut pas la peine, alors la Bible ne vaut rien. Et alors, pourquoi sommes-nous assis ici ? Pourquoi même vivons-nous ? Pourquoi fournissons-nous des efforts ? Pourquoi fournissez-vous des efforts ? Pourquoi peinez-vous pour ça ? Si jamais c’est vrai, c’est soit entièrement vrai soit rien de cela n’est vrai. Rappelez-vous, ce n’était pas vous, ni moi, ni vos pasteurs qui avaient fait la promesse. C’est Jésus qui a fait ces promesses. Je me souviens qu’Il l’a dit.

74 Je me souviens qu’Il a dit : « Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. » Jusqu’où ? Par tout le monde, oui. Les deux tiers ne savent encore rien sur Christ.  « … tout le monde, à toute la création. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Je me souviens qu’Il a dit cela; et si je peux m’en souvenir, Comment puis-je alors accepter quelque chose qui dit que ce jour-là est passé ? Je me souviens qu’Il a dit : « … par tout le monde, à toute la création. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Comment puis-je m’associer avec un groupe de gens qui nient cette Parole-là, alors que Dieu veillait sur Sa Parole pour La confirmer ? Comment puis-je m’associer avec des incroyants ?

75 O Dieu, fais que je me souvienne de Jésus. Fais que je me souvienne de la position qu’Il avait prise. Fais que je me souvienne qu’Il est mon Sauveur. Fais que je me souvienne que je suis mort. Je ne suis plus. Ça fait trente-trois ans que je suis mort. C’est Christ qui vit en moi. Et si je regarde et que je Le vois faire des choses d’apparemment anormal, alors je sais que je n’étais jamais mort. William Branham est toujours en vie. Vous êtes toujours en vie. Tant que vous désobéissez à Ses commandements, vous êtes donc toujours en vie. Mais quand vous obéissez à Ses commandements : « Si vous M’aimez, gardez Mes Paroles… »

76 Oh! comme c’est merveilleux de penser qu’Il a promis ceci : « Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. Le monde ne Me verra plus, mais cependant, vous, vous Me verrez. » « Oh ! Là où deux ou trois sont assemblés, Je serai au milieu d’eux. » Je m’en souviens. Vous en souvenez-vous, frères ? Oui. Voyez ? « Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. » Quel genre d’oeuvres faisait-Il ? Vous y êtes. Voyez ?
« Oh ! eh bien, évidemment, maintenant, Frère Branham, c’était pour un autre jour. Ce n’est pas ça. » Je me souviens que c’est ce qu’Il a dit. Je ne me souviens pas de ce que vous avez dit. Tout est fini (voyez ?), mais je me souviens de ce que Lui a dit. Voyez ? « Si quelqu’un veut venir après Moi, qu’il renonce à lui-même », qu’il renonce à ses propres pensées, qu’il renonce à sa propre conception. Vous pouvez renier votre père, votre mère, votre femme, vos enfants. Mais il y a quelque chose de très réel auquel vous ne pouvez pas renoncer. Cela vous maintient. Et Il est ici. Maintenant, souvenons-nous donc de chaque promesse qu’Il a faite, alors que nous inclinons la tête.

77 Notre Père céleste, il y avait beaucoup de requêtes tout à l’heure. Des mains s’étaient levées de partout dans la salle, mais, Père, Tu es le Dieu vivant, et je Te prie, Seigneur Jésus, de bénir ces gens-ci. Que Ton Saint-Esprit repose sur eux, leur donne la Vie Eternelle, leur donne ce dont ils ont besoin. Que nous nous souvenions que Tu as fait la promesse. C’est Toi qui réponds de cette promesse. Que nous nous en souvenions, peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, c’est Toi. Tu es celui sur qui nous comptons pour l’accomplissement de Ta promesse. C’est Toi qui as dit : « Celui qui croit en Moi, vivra quand bien même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra point. » Je me souviens que Tu l’as dit, Seigneur. Et Tu as dit que ceux qui croyaient en Toi… Eh bien, Tu as dit que si nous croyons, nous avons la Vie Eternelle. Et Tu as dit que ceux qui croyaient en Toi feraient aussi les oeuvres que Tu faisais. Maintenant, Père, nous savons que Tu es Dieu, et nous savons qu’il n’y a nul autre à part Toi, et nous croyons en Toi, nous nous confions en Toi maintenant, au Nom de Jésus-Christ.

78 Maintenant, avec vos têtes inclinées, combien dans cette salle savent qu’ils ne se souviennent pas de leur Seigneur comme ils le devaient et, à la fin de ce petit message décousu, désirent lever la main et dire : « Ô Dieu, rends-Toi tellement réel pour moi que je me souviendrai de Toi sur ma… Tes commandements seront sur la colonne de mon lit. ‘J’ai constamment l’Eternel sous mes yeux’, comme l’a dit David. Seigneur, donne-moi une grande portion de Toi, afin que je puisse me souvenir de Toi. » Levez la main et dites : « Priez pour moi, Frère Branham. » C’est pratiquement tout le monde, partout : « Seigneur Jésus, sois miséricordieux envers moi. »

79 Maintenant, y en a-t-il ici ce soir qui ne L’ont jamais confessé comme leur Seigneur et qui, maintenant, peuvent se tenir devant Lui ? Et nous vous avons dit, il y a quelques instants, qu’Il a promis que « là où deux ou trois sont assemblés, Je serai au milieu d’eux. » Eh bien, c’est Lui qui a promis cela. Il doit donc être ici, et vous ne L’avez jamais accepté comme votre Seigneur .
Allez-vous commettre cette imprudence qu’Hérode avait commise ? Allez-vous vous engager à faire comme Pilate, Le renvoyer à quelqu’un d’autre ? « Ma mère était chrétienne. » « Mon papa a assez de religion pour nous tous. » Feriez-vous cela ?  « Ma femme est une femme pieuse. »

80 Qu’en est-il de vous ? Voudriez-vous lever la main et dire : « Ô Dieu, souviens-Toi de moi. Je suis un pécheur, et j’aimerais me mettre en ordre avec Toi. Je vais lever la main. » Combien de mains y a-t-il ici comme ça ? Y a-t-il… Voulez-vous dire qu’il n’y a pas un pécheur dans cette salle ? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame, ici. Vous y êtes. Je pensais que quelque chose ne tournait pas rond ici. Je…Vous comprenez que Jésus a dit qu’Il était ici, et Il connaît vos pensées (voyez-vous ?), dans votre coeur. Merci de votre sincérité. Vraiment, il y en a beaucoup qui devraient lever la main, mais je…

81 Voudriez-vous alors lever la main pour dire : « Frère Branham, je–je ne fais que jouer à l’hypocrite. Je fréquente l’église. Mais quant à la naissance, je n’ai fait qu’adhérer à l’église. Je ne connais pas réellement Christ. J’aime encore le monde comme auparavant. Je–je… Oh ! je prends plaisir à aller écouter un message ou quelque chose comme cela. Mais quand il faut réellement consacrer du temps et aimer se retirer et passer des heures dans la prière avec Lui, communier avec Lui, me souvenir de Lui, ça, je–je ne le fais pas. Je n’en éprouve même pas le désir. Je sais donc, Frère Branham, que je ne peux pas éprouver ce genre de sentiment et être en ordre. Je lève donc la main vers Dieu. Sois miséricordieux envers moi. » Levez la main. Soyez sincère là-dessus. C’est ça.
Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Oui, oui. Que le Seigneur vous bénisse. Amen. Nous allons juste attendre pour voir si le Saint-Esprit révélera autre chose. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, vous ici. Je veux donc qu’Il sonde votre coeur. C’est pour cela qu’Il est ici. Très bien. Que Dieu vous bénisse, petite dame. C’est très bien.

82 Pendant que vous y pensez donc, prenez donc cela au sérieux : « Oh ! Frère Branham, je dois vite rentrer chez moi. » Ecoutez, un jour, vous serez aussi pressé de quitter cette vie. Voyez ? Pensez-y donc. C’est maintenant le moment ; c’est maintenant le temps. Vous direz : « Eh bien, je vous assure, notre pasteur est un–est un homme brillant, très instruit. Je préférerais entendre cela de la part de… » Peu importe qui apporte le message; Ce n’est–ce n’est pas le messager qui compte, c’est le Message que vous entendez . Voyez ? Peu importe le genre d’homme qui entre par cette porte-là et–et vous apporte un message, disant que vous–vous avez hérité d’un million de dollars, vous accepterez cet–cet argent. Alors, acceptez votre pardon.
Maintenant, avec vos têtes inclinées, et vos yeux fermés, je vais vous poser une question en toute sincérité maintenant, et j’aimerais que vous me disiez la vérité. Femmes, vous qui portez des cheveux courts, combien pensent réellement qu’elles devraient porter de longs cheveux ? Levez la main. C’est ça. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Je sais que c’est vrai. Je–je… Il y a de l’espoir pour vous. Mais si vous êtes tellement endurcies que vous ne pouvez pas avoir de telles pensées et que vous ne vous sentez même pas condamnées (voyez ?), alors il vous est arrivé quelque chose, car la Parole dit que vous le devriez.

83 Combien parmi vous les femmes qui portez des shorts et ces habits, ou qui fumez la cigarette, et vous–vous les hommes aussi, savent qu’ils agissent mal, et diront : « Je ne veux plus faire cela, Frère Branham. J’aime réellement Dieu, mais je… Cette–cette chose me retient, et je sais que c’est une mauvaise chose. Je vais lever la main et demander… et lever la main, je demande à Dieu de m’en débarrasser. » Levez la main ; soyez sincère. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. C’est ça la sincérité ; c’est ça être franc. Dieu nous accordera une réunion de guérison d’ici peu à cause de cette sincérité, si nous pouvons croire cela. Ayez foi en Dieu.

84 Père céleste, Tu as vu les mains. Tu connais la condition des gens. Tu sais ce qui est… tout ce qui est dans leur coeur, Seigneur. Je Te prie de pardonner chacun d’eux. Et maintenant, accorde-leur le désir de leur coeur. Ôte leur chagrin. Fais-le, Seigneur. En fait, ils veulent le savoir. Je Te prie de le leur accorder. Par le Nom de Ton Fils bien-aimé, notre Seigneur Jésus, nous le demandons pour la gloire de Dieu. Je Te les confie, Père divin, afin que Tu accomplisses Ton oeuvre en eux par le Nom de Jésus-Christ. Amen.

85 Maintenant, alors que vous redressez la tête, combien sentent un grand changement là, levez… Levez simplement la main pour dire : « Je sens un grand changement. » Maintenant, combien savent qu’Il a promis, qu’Il–qu’Il est l’Eternel qui nous guérit de toutes nos maladies ? Croyez-vous cela ?
Voudriez-vous… Combien parmi vous croient qu’Il a promis ceci : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, cependant vous, vous Me verrez. » Croyez-vous cela ? Croyez-vous que c’est donc possible, comme Hébreux 13.8 dit ici : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ». Croyez-vous qu’il est possible pour vous de voir Dieu ? Comment Le verrons-nous ? Par la manifestation de Son Esprit, par Sa Présence vivante. Croyez-vous cela ? Je vais demander à mon frère de ne pas prier pour ceci, là derrière. Je veux qu’il prie pour moi. Qu’en ce moment-ci, l’auditoire… Nous poursuivrons la réunion dans quelques jours où nous sommes… peut-être rattraper cela.

86 J’aimerais que cet auditoire soit sous un seul contrôle. J’aimerais prendre ces esprits sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ, pour Sa gloire, afin que Son Esprit puisse opérer et vous prouver qu’Il est toujours vivant. Je prends Sa Parole ici. Il est dit… Cela, Saint Jean, Saint Jean, chapitre 14, verset 12, il est dit : « Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. » Croyez-vous cela ? Alors vous tous qui êtes malades là, ou nécessiteux, ou qui avez besoin de quelque chose, priez. Touchez simplement, souvenez-vous-en, le bord de Son vêtement. Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. La Bible dit-elle cela, frères ?

87 Et puis, comment agirait-Il s’Il était le Souverain Sacrificateur ? De la même manière qu’Il avait agi quand Il était ici, car Il est le même Souverain Sacrificateur. Comment ferait-Il cela ? Pendant que Son corps qui est un sacrifice se trouve sur le Trône de Dieu, comment peut-Il s’y prendre ? Il a renvoyé Son Esprit, le Saint-Esprit, et « Il prendra de ce qui est à Moi et vous les montrera. »
Maintenant, si vous voulez voir si Dieu… La raison pour laquelle je le place sur ce fondement-là, je sais ceci, je sais que le Message que je prêche aux gens est la vérité. Je–je–je crois cela de tout mon coeur, quand bien même il est tranchant ici, un peu comme cela, ce n’est pas pour faire le méchant, ce n’est pas pour être singulier, mais c’est pour être sincère. Et je sais donc qu’Il a dit qu’Il prendrait de ce qui était à Dieu… Et c’était pour vous faire savoir que cela…

88 S’Il prenait de ce qui est à Christ, qu’Il vous le montrait, qu’Il vous montrait des choses à venir et accomplissait les oeuvres mêmes qu’Il avait accomplies, c’est que c’est le Saint-Esprit. Absolument ! Priez maintenant et touchez Son vêtement. Je vais m’abandonner à Lui et voir ce qu’Il vous dira. Priez simplement.
Y en a-t-il ici qui n’ont jamais été dans des réunions auparavant ? Voudriez-vous lever la main ? Oui, il y en a beaucoup. Souvenez-vous, à aucun moment Jésus-Christ n’a jamais dit qu’Il guérissait les gens. Il disait : « Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père. » Et dans Saint Jean, chapitre 5, verset 19, alors qu’Il passait par la piscine de Béthesda et qu’un grand nombre était couché là, beaucoup de gens, peut-être des milliers étaient couchés là, des estropiés, des aveugles, des boiteux, des gens aux membres tordus, Il est allé auprès d’un homme qui avait un… peut-être une maladie de prostate, ou peut-être qu’il souffrait de la tuberculose. C’était chronique ; ça faisait trente-huit ans qu’il en souffrait. Et Il lui a dit de prendre son lit et de rentrer chez lui. Cet homme pouvait marcher. Il a dit : « Quand je descends quelqu’un d’autre… » Et il y avait là des hommes dans des situations pires que la sienne. Mais Jésus savait qu’il était là, et Il savait qu’il était dans cette situation-là.

89 Quand Jésus fut interrogé, Il a dit : « En vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. C’est la même position qu’Il a aujourd’hui. Aucun prophète, personne n’a été capable de faire quelque chose en dehors de la volonté souveraine de Dieu (c’est vrai.), ce que Dieu veut.
Je ne sais pas. Je veux, si… C’est la raison pour laquelle… Je connais le groupe de ces prédicateurs assis ici. Je ne connais pas beaucoup de gens là dans l’auditoire. Si je Le voyais au-dessus de quelqu’un, j’essaierais, si cela, voulant… je dirais, les gens que je connais.
Priez et voyez s’Il est toujours le Souverain Sacrificateur qui peut être touché. Cela L’amènera ici même devant nous, et vous verrez qu’Il est ici. Est-ce vrai ? Dites amen. Cela L’amènera certainement ici. Ayez simplement foi.

90 Voici une petite dame assise ici même, la tête redressée, en train de prier de toutes ses forces. Elle porte un manteau vert, elle est assise là même. Elle prie pour une maladie de tête qu’elle… qui la dérange. Est-ce vrai, madame ? Levez la main si c’est vrai. Si je vous suis inconnu, faites signe de main. Cela vous a maintenant quittée.
Dites donc, voudriez-vous me faire une faveur pendant que vous êtes là ? Cette Lumière s’est placée juste au-dessus de la femme assise à côté de vous là. Elle aussi prie. J’aimerais vous demander quelque chose. Vous avez dit : « Souviens-Toi de moi, Seigneur. » Très bien, Il l’a fait. Vous souffrez de la sinusite. Si c’est vrai, levez la main, et faites signe de main. Très bien. Vous y êtes.

91 Croyez-vous ? Maintenant : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. » Demandez à ces femmes. Vous les voyez. Demandez-leur si je les connais.
Tenez, il y a un jeune homme assis ici, il est assis ici, priant pour son père. Je ne vous ai jamais connu, je ne sais pas qui vous êtes, je ne sais rien à votre sujet. Mais vous priez pour votre père. Il n’est pas ici, il est de l’autre côté d’une grande étendue d’eau, quelque part. Il souffre de gastrite. Il est à Porto Rico. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai…?… croyez ? Voyez-vous ce que je veux dire ?
Il y a une femme assise ici, qui semble être intéressée; elle porte un chapeau rouge. Madame Aldridge. Oui. Elle souffre de coeur. Croyez-vous que Dieu vous guérira ? Très bien. Voulez-vous me faire une faveur ? Il y a une dame assise là à côté, répondant au nom de Mme Cook. Mme Cook souffre de jambes. C’est vrai, Mme Cook, levez la main. Si je vous suis totalement inconnu, levez la main. Très bien. Ayez foi en Dieu.
Imposez la main à la dame à côté d’elle. C’est mademoiselle Russell. Elle souffre d’une maladie de poumons. Levez la main, mademoiselle Russell, et croyez cela de tout votre coeur, si je vous suis inconnu.

92 Qu’en est-il du suivant… ? Oui… Tout ce qu’il vous faut avoir, c’est la foi. La dame à côté d’elle souffre aussi de gastrite, et son nom, c’est madame Dillman, croyez de tout votre coeur, vous pourrez être… Madame Harmon, assise à côté d’elle, vient de sortir de l’hôpital. Elle a subi une opération à cause d’une maladie de rectum. Croyez-vous, madame Harmon ? Si vous croyez vraiment de tout votre coeur, vous pourrez rentrer chez vous, guérie. Combien croient maintenant ? « Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus. » Qu’est-ce que j’essaie de dire ? Souvenez-vous de Jésus-Christ. Jésus a dit : « Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. » Se souvenir que Jésus a promis ces choses, Jésus les accomplit.

93 Maintenant, souvenez-vous aussi que Jésus a promis : « Celui qui croit en Moi a la Vie Eternelle. » Vous qui avez levé la main il y a quelques instants, après ce service de guérison, voudriez-vous donc venir ici même et vous tenir ici pour la prière ? Il a promis de donner la Vie Eternelle de même qu’Il a promis la guérison.
Maintenant, saviez-vous qu’Il avait aussi promis ceci  : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris » ? Croyez-vous cela ? Maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres. Voyez, Il est ici. Je ne peux pas vous guérir. Il l’a déjà fait. Maintenant, imposez la main à quelqu’un et priez pour lui, celui qui est juste à côté de vous là. Amen. Maintenant, inclinez la tête et priez juste comme vous le faites dans votre église.

94 Priez : « Seigneur Dieu, guéris cette personne-ci. Cette personne est en train de prier pour moi », et demandez simplement à Dieu d’opérer la guérison et le rétablissement. Croyez cela de tout votre coeur.
Seigneur, je crois; Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Sa Parole ne peut pas faillir. Souvenez-vous qu’Il a promis : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. » Ils ne Le voient pas à la course des chiens ce soir. Ils ne Le voient pas au cinéma. Ils ne Le voient pas dans ces églises formalistes. Mais vous, vous Le voyez. Il est ici. Souvenez-vous, Il l’a promis, et Il est ici pour exaucer votre prière et vous donner le désir de votre coeur.
Imposez-vous les mains les uns aux autres et priez. Seigneur Jésus, je viens, me souvenant que Tu as dit : « En Mon Nom, ils chasseront des démons », et je chasse chaque esprit d’incrédulité de cet auditoire, de ces gens, pour la gloire de Dieu.

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