Témoignage

Date: 50-0814 | La durée est de: 1 heure et 5 minutes | La traduction: Shp
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1          Je suis reconnaissant...?... Baxter. Bonsoir, assistance. Je suis très content d’être ici ce soir pour essayer de prier pour les malades et les nécessiteux, faire tout mon possible pendant que je suis ici pour vous aider.

J’aimerais lire un passage des Ecritures, là où cela... J’ai beaucoup apprécié, et je viens d’arriver dans le... J’étais dans un petit camping-car, écoutant le message de frère Baxter ce soir. Et je suis très content que Dieu l’ait oint pour parler comme cela ce soir, que Dieu agira au milieu de nous.

Et je suis très content de voir ce soir des gens qui sont des chrétiens. Je sais que–sais que l’un des grands événements de cette contrée, ici, c’est–c’est le match de baseball ici. Quelqu’un disait: «Que le match commence seulement, vous vous retrouverez seul sous tente.» Eh bien, c’est–c’est différent. Le peuple de Dieu aime Dieu. Voyez-vous?

2          Très bien. J’aimerais lire les Ecritures très rapidement et commencer la ligne de prière. Cela se trouve dans Jean, chapitre 4, à partir du verset 46.

Il retourna donc à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin. Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.

Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.

Jésus lui dit: Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point.

L’officier du roi lui dit: Seigneur, descends avant que mon enfant ne meure.

Va, lui dit Jésus, ton fils vit.

J’aimerais vous faire remarquer qu’il voulait... S’il y avait une ligne de prière, il aurait voulu une carte de prière. Et il voulait que Jésus descende chez lui guérir son fils. Mais Jésus n’est pas parti chez lui. Mais il lui a premièrement parlé très directement, disant: «Si vous ne voyez des miracles, vous ne croyez point.»

Il a dit: «Seigneur, viens, sinon mon enfant va mourir.»

Jésus... (Maintenant, suivez, verset 50.)

Va, lui dit Jésus, ton fils vit. Et cet homme crut à la parole que Jésus lui avait dite, et il s’en alla.

Observez l’ordre des Ecritures. Jésus a dit quelque chose, que son fils allait guérir. Et cet homme lui-même a cru ce que Jésus avait dit. Voyez? Bien. C’est très bien. Maintenant, 51:

Comme déjà il descendait, ses serviteurs, venant à sa rencontre, lui apportèrent cette nouvelle: Ton enfant vit. (Quelque chose était arrivé.)

Il leur demanda à quelle heure il s’était trouvé mieux... (En d’autres termes, quand son état a changé, de pire en meilleur)... et ils lui dirent: Hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté.

Le père reconnut que c’était à cette heure-là que Jésus lui avait dit: Ton fils vit. Et... (Et est une conjonction)... et il crut, lui et toute sa maison.

3          Il–il a reconnu que c’était à l’heure où Jésus avait dit: «Ton fils vit. Va, ton fils vit.» Et cet homme a cru que ce que Jésus avait dit était la vérité. Or, et s’il avait dit: «Eh bien, je vais rentrer, mais déçu. Je voulais qu’Il vienne lui imposer les mains.» L’enfant n’aurait probablement pas vécu. Mais cet homme a cru que ce que Jésus avait dit était la vérité. Et c’est pourquoi nous sommes ici ce soir, c’est parce que nous croyons que ce que Jésus a dit est la vérité. Or, ce que les gens disent, c’est autre chose. Mais ce que Jésus a dit, nous sommes prêts à prendre position pour ce qu’Il a dit, que c’est la vérité. Très bien. Souvenez-vous-en donc.

Maintenant, juste avant que nous formions la ligne de prière, je pense qu’il serait nécessaire, juste pendant... de donner un témoignage. Maintenant, nous allons essayer chaque soir d’entrer un peu dans l’Esprit du Seigneur un peu plus profondément.

4          J’ai prié toute la journée, cherchant à me préparer pour cette réunion. Ceci entre dans la deuxième semaine. Ceci est... Même avec ça, c’est l’assistance la plus petite que nous ayons jamais eue, au mieux de mes souvenirs, tout ce temps, avec autant de gens réunis. Mais je m’inquiète pour l’assistance, que... Et cela... eusse cela avoir plus de respect, et autant... avec autant de bonne foi, meilleure foi que ce que vous avez ici même. C’est vrai. Et je crois vraiment que Dieu va guérir chaque personne. Je–je crois cela de tout mon coeur. Et je...

Maintenant, amis, j’ai désiré voir encore une fois une seule chose dans ma vie. J’ai vu cela une fois, chaque personne dans la salle avait été guérie du coup. J’ai vu cela une seule fois. Et il y avait deux, trois fois autant de cas de civières et de brancards qu’il y en a ici. Et ils ont entassé leurs civières, ils ont jeté leurs béquilles et autres. Et les gens sont sortis de cette salle-là en marchant, louant Dieu, et... Eh bien, je crois que si cela peut arriver une fois, cela peut encore arriver.

5          Eh bien, le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu, croyant que la promesse de Dieu allait s’accomplir pour eux. Pourquoi ne pouvons-nous pas croire que la promesse de Dieu va s’accomplir pour nous ce soir?

Eh bien, moi-même, je fais tout... (Et Dieu le sait, avec ma main ici) je fais tout mon possible, tout. J’ai prié toute la journée, et je... Et la nuit, j’arrive ici, je fais de mon mieux pour faire tout ce que je sais faire... Non pas pour rendre cela tel que les gens pourraient accorder trop de considération à la ligne de prière, ou ils pourraient accorder trop de considération à une seule chose, mais juste essayer de garder cela, au mieux de ma connaissance, tel que l’Esprit de Dieu peut entrer dans les coeurs des gens pour guérir chaque personne. Voyez? C’est ce que j’essaie de faire, et Dieu le sait.

6          Aujourd’hui, frère Lindsay et moi, nous parlions... Frère Lindsay est un homme de bien. Frère Hall, aussi. Et je... Nous distribuons ces cartes ici, dans l’intention de prier pour chaque personne qui reçoit une carte de prière. C’est vrai. Ce que je n’arrive pas à prendre la nuit, nous le prenons le matin au service de dix heures trente. C’est frère Lindsay et frère Hall qui s’occupent de la ligne de prière ici. De grandes choses s’accomplissent.

Eh bien, vous, si vous voyez le temps approcher et que vous n’êtes pas entré, venez le lundi ou chaque matin à dix heures trente. Et j’ai traité avec ces hommes. J’ai examiné leur vie, et je sais que ce sont de braves hommes, sauvés par Dieu. Et des signes et des prodiges vont–vont... Ceci–ceci stimule la foi. Et le matin, Dieu confirmera donc ça. Venez aux réunions du matin, si vous n’assistez pas à celles du soir. Si vous voulez qu’on prie pour vous, venez, et Dieu exaucera leur prière, de grandes oeuvres s’accompliront.

7          Nous parlions cet après-midi. Fère Lindsay m’a regardé. Nous sommes ensemble depuis quatre ans, et je n’ai jamais entendu ce timbre de voix. Ça doit être l’Esprit de Dieu qui a dit cela, ou j’ai saisi cela sous cet angle-là. Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, avec un temps limité, a-t-il dit, je l’ai dit depuis longtemps: cinquante-trois, ce serait probablement le... quelque chose de grand.» Il a dit: «Je crois que nous avons encore une autre année, à peu près, pour continuer.»

Eh bien, rappelez-vous, amis, nous allons examiner la chose bien en face. Dieu n’envoie jamais le jugement avant d’avoir premièrement envoyé Sa miséricorde. Mais après Sa miséricorde, il doit y avoir le jugement. Rejeter la miséricorde, c’est faire venir le jugement, chaque fois. Et maintenant, à aucun...

Au cours des âges, depuis l’âge initial des apôtres, il n’y a jamais eu des signes et des prodiges comme ce que Dieu a placés devant les gens. Assurément, éloignés à des milliers de kilomètres, enflés d’orgueil, emportés, aimant le plaisir plus que Dieu... Voyez? En effet, Jésus a dit qu’ils seraient ainsi. Comme ils étaient du temps de Noé, il en sera de même à la Venue du Fils de l’homme.

8          Maintenant, rappelez-vous, je suis Américain. Génération après génération, en remontant jusqu’à la troisième ou quatrième génération, on est Américain. Beaucoup de Branham ont planté... Et l’autre jour, alors que je parcourais la France, beaucoup d’entre eux gisent là, ils sont tombés pendant la guerre. J’ai eu quatre frères dans cette dernière guerre. L’un d’eux m’avait aidé dans la ligne de prière, il a fait quatre ans dans la marine, et il avait été abandonné comme un cas désespéré.

Des centaines ont été renvoyés comme mutilés de guerre, condamnés à ne plus jamais sortir d’un fauteuil. Un autre a été consumé par un éclat d’obus et un autre s’était cogné contre quelque chose et cela a exercé une pression sur sa colonne vertébrale, telle qu’on disait qu’on devait immobiliser sa colonne vertébrale après un certain nombre de semaines toute sa vie, il était descendu dans un ravin avec–avec Patton dans son char de combat.

Je voulais y aller. Si cela se répétait, je tenterais encore d’y aller. Si ce pays ne mérite pas qu’on combatte pour lui, il ne mérite pas qu’on y habite. C’est vrai. Je suis Américain. Mais tout aussi certainement que je suis prédicateur, debout ici à cette chaire, nous nous dirigeons vers le jugement. C’est...

9          Dieu aimait Israël. Mais chaque fois qu’Israël péchait, il récoltait ce qu’il avait semé. Et nous sommes passibles du jugement. Notez cela, et rappelez-vous que je l’ai dit du haut de cette chaire. Quand cela s’accomplira, rappelez-vous ce que j’ai dit. Très bien.

Mes amis chrétiens, et amis pécheurs, quoi que vous fassiez, si vous croyez que Dieu m’a envoyé, cherchez le Royaume de Dieu aussi vite que possible et entrez-Y, car c’est l’unique lieu de refuge que nous avons aujourd’hui. Le monde touche à la fin de l’âge. Vous n’êtes en sécurité qu’en Christ.

Je ne dis pas cela pour vous effrayer. Je le dis avec autant de bon sens, que je sais que je me tiens ici à cette chaire et que je le dis. Mais mon coeur a été ému pendant un temps. Et je sais que nous sommes prêts pour quelque chose. Eh bien, venez. Et vous les chrétiens, ne restez plus dans cet état de tiédeur. Mettez tout de côté. Approchez-vous de Dieu autant que possible. Marchez avec Lui, parlez avec Lui. Que tout le reste passe en deuxième position, sauf votre vie de prière. Accrochez-vous à Lui tout le temps.

Maintenant, je ne sais pas pourquoi je me suis arrêté dans mon discours pour dire cela, mais je peux le prouver. Je serais disposé à dire que c’est l’Esprit de Dieu là qui parle maintenant même, un avertissement pour vous. C’est vrai. Rappelez-vous, je le dis sous l’onction de l’Esprit de Dieu. Evidemment... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

10        Très bien. Nous allons prier pour les malades maintenant même. Soyez respectueux. Prions maintenant. Père céleste, c’est étrange ce soir, je vois le monde céder à la convoitise, et je sais que le jugement de Dieu suit. Comme pour Sodome et Gomorrhe, leurs péchés sont parvenus aux oreilles de Dieu. Et Il a envoyé un Ange, deux d’entre eux, pour faire sortir les justes, les séparer...?... le Saint-Esprit appelant les gens à se séparer des choses du monde, à recevoir la marque de Dieu, le baptême du Saint-Esprit, avant que la marque de l’apostasie soit placée sur eux. Accorde-le, Seigneur.

Aide-nous ce soir alors que nous sommes ici sous cette tente, ne sachant quand nous partirons. Accorde que nos témoignages retentissent partout, appelant le long des haies, des routes et des chemins, appelant l’impie à la repentance; et à la guérison, les malades et les affligés. Accorde que ces signes s’accomplissent ici ce soir, au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.

11        Quand je parle... Je n’ai pas le temps d’aller à...?... Mais pendant que vous vous détendez et que vous vous apprêtez à... Très bien.

Je me rappelle au début quand ceci est venu vers moi. Veuillez m’accorder toute votre attention un moment... C’était étrange comment j’étais... je redoutais me mettre en marche. Et je–je pense que si vous apprenez un peu plus à ce sujet, ça sera plus facile pour vous de venir recevoir cela, d’entrer dans cela. Et je me disais: «Comment m’y prendrai-je?» Mais, amis, Dieu m’a toujours précédé et Il a frayé la voie.

Je me rappelle, j’étais encore en uniforme, j’étais garde-chasse de l’Etat d’Indiana. Et je suis descendu... Mon enfant, la fillette, elle a maintenant quatre ans. J’avais promis à Dieu... Il m’avait visité environ deux ou trois semaines avant cela. J’avais dit: «Si seulement Tu attends que l’enfant naisse, Seigneur, je partirai.» Il m’a accordé ce privilège par la grâce.

12        Et je... Aussitôt l’enfant venue à la maison, je suis allé prendre certains de ce capuchons de bouteille... vous savez, pour faire boire du thé aux herbes aux chats (Je pense que c’est ce qu’on leur donne), aux petits amis.  Ainsi donc, je suis allé prendre ces capuchons de bouteille. Et je suis juste entré, et j’ai touché mon chèque. Je gagnais trente dollars par semaine. Et je–je suis entré toucher mon chèque. Et quand j’entrais, quelqu’un est descendu du bus en provenance de Louisville, au coin de la rue. Jeffersonville est une très petite ville. Je l’ai vu me regarder d’une façon étrange. Alors, je suis entré au Drugstore Mason, là, pour–pour toucher mon chèque. Et quand j’en suis ressorti, je tenais les capuchons de bouteille et je les avais dans ma poche.

Et quelqu’un a posé sa main sur mon épaule et a dit: «Monsieur?» Je me suis retourné. Et c’était le... ce même homme qui me regardait de façon très étrange. Il a dit: «Je vois que vous êtes un agent public.» J’ai dit: «Je travaille pour le service de conservation de la nature de l’Indiana.»

Il a dit: «Je cherche un–un groupe. Peut-être que vous pouvez m’aider. Etes-vous un habitué?»

J’ai dit: «Oui, oui. Je suis un habitué d’ici.» Et il... J’ai dit: «J’habite ici pratiquement toute ma vie.»

13        Et il a dit: «Eh bien, je vais vous raconter mon histoire.» Il a dit: «Ma santé dépérit depuis environ deux ans.» Il a dit: «Je viens de Paducah, dans le Kentucky, à environ deux cents miles [3.201 km] de la rivière.» Il a dit: «Hier soir, j’ai eu un songe étrange.» Il a dit: «J’ai vu en songe un grand Ange brillant descendre du ciel et il m’a dit de venir à Jeffersonville, Indiana, et de chercher quelqu’un du nom de Branham pour qu’il prie pour moi.» Il a dit: «Maintenant, connaissez-vous quelqu’un ici du nom de Branham?» Je vous assure, j’ai pensé que mon coeur éclaterait. C’était... J’ai dit: «Ma mère gère une pension juste au coin. Elle s’appelle Branham.» Il a dit: «Oh! C’est une Branham?» Il a dit: «Serait-ce votre nom?» J’ai fait passer mon bras autour de lui. J’ai dit: «Frère, il y a trois semaines j’étais dans ma chambre. Une Grande Lumière a brillé là-dedans et un Ange m’a dit d’aller prier pour les...?...» Il a simplement éclaté. Là dans la rue, nous nous sommes agenouillés. J’ai enlevé mon chapeau, je me suis agenouillé dans la rue, au coin. J’ai dit: «Père, je ne comprends pas. Mais Tu as envoyé cet homme ici pour répéter ce que l’Ange du Seigneur m’a annoncé.» Quand j’ai fini de prier, j’ai regardé et les gens avaient enlevé leurs chapeaux, ils se tenaient le long de la rue, retenant leurs enfants. Il n’y avait personne dans la rue, ils étaient juste debout. Je m’étais donc agenouillé dans la rue... Dieu l’a guéri sur-le-champ, de façon glorieuse.

14        Quelques jours après cela, ou quelques semaines plutôt, un autre cas me vient à l’esprit tout à l’heure. Vous vous rappelez, l’autre soir, je vous dirais que je vous ai parlé l’autre soir de l’Ange qui était entré dans la pièce où je restais à–à–à Camden, en Arkansas.

Et le lendemain, après cela, je suis entré dans une petite église là, une petite église pour tenir un service du matin, pas la prière pour les malades, juste prêcher. J’étais très épuisé. Je l’avais été des jours et des jours. Je ne m’étais même pas couché, si ce n’est me mettre en travers du lit, ou rester assis dans un fauteuil. Ils avaient divers endroits. Ils m’emmenaient simplement de maison en maison, de lieu en lieu, tout le temps. Et on est descendu à une petite église, j’allais y parler.

Et quand j’en sortais, ils avaient quatre agents de police là-bas qui me faisaient sortir, debout à la porte; alors, quand j’en sortais, les gens... Oh! Frère, soeur, cela briserait le coeur à un homme de fer. Je–je suis humain. Et je me tiens ici, je vois de petits enfants, comme ici, étendus tout au long, comme ceci. J’ai moi-même des enfants. Je vois des malades et je me dis: «Ô Dieu, que puis-je faire?» Mais je–je ne le peux pas. J’ai... Je ne peux pas faire plus que ce qu’Il m’ordonne. Je ne le peux pas. Ce serait un échec si je le faisais.

15        Je sortais donc. Les gens cherchaient à toucher mes habits et, vous savez, on passait au milieu de la foule, ils pleuraient. Et j’ai entendu quelqu’un crier: «Pitié, pitié, pitié.» Et il m’est arrivé de me retourner pour regarder, seul à l’écart... Dans l’Arkansas, ils ont ce qu’ils appellent la loi de Jim Crow: les gens de couleur et les blancs ne peuvent pas se mettre ensemble. Je viens du sud, mais je ne pense pas que cela soit correct.

Ainsi donc, je–j’ai regardé là, et là se tenait un pauvre vieil homme de couleur, avancé en âge, avec une petite couronne de cheveux blancs, ses cheveux. Il tenait son bonnet en main. Sa femme était à côté de lui. Il avait levé les mains, il était aveugle au possible, il disait: «Pitié, pitié.» Des larmes lui coulaient à flots sur les joues.

16        Je me suis souvenu du vieil aveugle Bartimée qui se tenait aux portes de Jéricho. Il a regardé tout autour, j’allais continuer. Le Saint-Esprit a dit: «Va là où il se trouve.» Je me suis retourné.

Ils ont dit: «N’y allez pas, Frère Branham.»

J’ai dit: «Mais le Saint-Esprit me dit d’y aller.»

Et je suis allé là, ils ont formé un cercle. Je n’oublierai jamais ce que sa femme a dit. Elle a dit: «Le pasteur vient vers toi, chéri.»

Je me suis avancé là où il était. Ses faibles mains sont retombées, il a dit: «Est-ce vous, pasteur Branham?»

J’ai dit: «Oui, oui.»

Il m’a tâté le visage, il a dit: «Oh! Vous êtes un jeune homme.»

J’ai dit: «Non, monsieur, pas trop jeune.» J’ai dit: «J’ai trente-six ans.»

Il m’a tâté le visage comme cela... Il a dit: «Pasteur Branham, avez-vous juste une minute pour m’écouter?»

J’ai dit: «Oui, monsieur.»Il a dit: «Ma vieille maman avait une ‘ligion comme la vôtre.» (‘ligion.) Il a dit: «Elle ne m’a jamais dit un mensonge de toute sa vie.» Il a dit: «Pasteur Branham, elle est morte ça fait maintenant plusieurs années.» Il a dit: «Je suis devenu aveugle, je reçois une pension pour aveugle ça fait environ dix ans.» Il a dit: «J’habite à environ deux cents miles [3.201 km] d’ici. Je n’ai jamais entendu parler de vous de ma vie. Mais, a-t-il dit, ce matin, vers trois heures, a-t-il dit, je me suis réveillé dans la chambre. Et évidemment, je ne peux pas voir, mais, a-t-il dit, on dirait que devant moi se tenait ma vieille maman. J’ai dit: ‘Maman, est-ce toi?’ Elle a dit: ‘Oui, chéri.’ Elle a dit: ‘Va à Camden, dans l’Arkansas. Lève-toi, habille-toi et cherche quelqu’un du nom de Branham, il prie pour les malades. Tu recouvreras ta vue.’» Il a dit: «Pasteur Branham, je me suis habillé et me voici.» Il a dit: «Pouvez-vous m’aider?»Oh! la la! Je me suis dit: «Ô Dieu, Tu as rendu témoignage que ces pierres crieront, quelque chose doit le dire.»

17        J’ai simplement placé mes mains sur ses yeux et j’ai dit: «Père, je ne comprends pas.» J’ai dit: «Tu as envoyé le frère ici; je réclame sa vue.»

J’ai fait descendre mes mains, je l’ai vu sourire, en s’essuyant les yeux. Il a regardé tout autour, il a un peu souri, il a dit: «Je peux voir, chéri.» Elle a dit: «Tu vois, chéri?»

Il a dit: «Certainement.» Elle a dit: «Vois-tu ces gens là, cette voiture rouge parquée derrière?» Elle est tombée sur ses genoux et elle a crié à tue tête.

A ce moment-là, les gens ont brisé...?... La prochaine chose que j’ai sue, c’est que j’étais à bord d’une voiture. Voici ce que je me suis dit, ami: «Dieu connaît tout à ce sujet.» Il peut parler aux gens par des visions, des songes et des révélations, Il peut les envoyer. Il est le Seigneur Jésus ce soir.

18        Père, je–je–je Te demande d’être donc au milieu de nous ce soir. Guéris tous ceux qui sont vraiment dans le besoin, Père. Bénis-les maintenant que je m’avance défier l’ennemi, pour accomplir les signes et les prodiges que Tu m’as ordonné d’accomplir. Je sais que Tu seras ici, Seigneur. Tu ne feras jamais défaut; Tu n’abandonneras jamais Ta promesse, non plus. Et je prie maintenant que les gens puissent avoir une grande foi, Père. Avec ça, on entame la deuxième semaine de ce réveil, long. Je crois qu’avant que le grand jugement balaie cette ville ici, Tu manifesteras la miséricorde. Aide ce soir que quelque chose soit fait pour gagner des âmes à Toi, Te glorifier, car nous le demandons au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.

Très bien, vous aurez le... Une centaine? Jusqu’où étiez-vous allé hier soir? Jusqu’à 40 en partant de 25? Commençons donc juste à 40 [Un frère appelle les numéros de cartes de prière, de M-40 à M-55 pour former la ligne de prière.–N.D.E.]... que le pianiste veuille passer au piano, s’il vous plaît, et joue Reste avec moi.

19        Eh bien, combien a-t-il appelés, 25? Combien avez-vous appelés aujourd’hui? 15. Peut-être que nous pouvons en prendre plus que ça, ou essayer d’avoir... faire un autre choix, si nous le pouvons ce soir, et voir si nous pouvons avoir plus. Je crois donc que peut-être le Seigneur veut que nous changions un peu de programme ce soir.

J’ai vu un spectacle pathétique il y a quelques instants, cela m’a simplement déchiré le coeur: une pauvre fillette assise, soulevant la main d’un homme aveugle, pendant qu’ils chantaient Maintenant je crois. Oh! la la! Comment au monde... Ayez foi, tout le monde, croyez. Dieu sait que je souhaiterais pouvoir faire quelque chose. Oh! Si seulement je le pouvais. Si je le pouvais, je le ferais. Je suis tout aussi impuissant que les autres. Je ne peux que dire ce qu’Il dit. Je ne peux que faire ce qu’Il dit de faire. J’espère que cet homme sait de qui je parle, et la petite fille aussi. Dieu les bénira. Que Dieu vous bénisse, frère.

20        Maintenant, que tout le monde soit aussi respectueux que–que... Si le pianiste... veuillez jouer doucement Reste avec moi. Connaissez-vous cela? J’aime vraiment ce cantique-là, pas vous? C’est tout ce que je veux qu’Il fasse: Reste avec moi. Je–je ne pourrais pas vivre sans Lui. Je n’aimerais pas vivre sans Lui. Il est ma vie. Il est tout ce que j’ai. Et je ne pourrais pas vivre sans Lui, et je sais que vous ne pouvez pas vivre sans Lui. Et je veux qu’Il reste avec moi.

(Aussitôt que vous êtes prêt avec la ligne de prière...) Maintenant, soyons vraiment très respectueux. Je sais que je prends beaucoup de votre temps, mais, amis, je–j’aimerais vous parler, et juste, je... Je–je vous aime, et je–je pense que je prends–prends trop de temps donc, et peut-être que je ne prie pas pour assez de gens malades. Mais je cherche à vous amener au niveau où vous tous à la fois... J’aimerais voir cela avant que Dieu me rappelle à la Maison. Je–j’aimerais voir cela encore une fois avant que Dieu me rappelle, voir cela comme ça.

21        Maintenant, soyez très respectueux pendant un moment, et prenons bien notre temps avec chaque cas. Et vous tous, regardez, croyez. Maintenant, à l’estrade... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... essayez de saisir cela, mais quand ça ne se fait pas, je continue simplement à parler, Il continue à ajouter d’autres choses, autres choses, autres choses, jusqu’à ce que je sente que la foi est là. Mais si–si vous vous tenez là pendant un certain temps, Cela révélera tout ce que vous ayez jamais fait dans votre vie, chaque maladie et chaque affliction que vous ayez jamais eue. Cela le fera. Je le sais. Souvent, chez moi, quand je prenais des cas, je les faisais asseoir dans mon bureau, je fermais la porte, personne ne pouvait entrer. Je restais assis là avec eux jusqu’à ce que ça soit fini. Alors, quand je suis dans ce genre de réunions, je ne peux pas faire cela, car je serais pratiquement mort avant que j’arrive à la réunion.

22        Maintenant, que tout le monde soit très respectueux; nous sommes juste... Que personne ne soit pressé. Et, s’il vous plaît, ne vous déplacez pas pendant que l’Esprit du Seigneur est à l’oeuvre. Pendant qu’Il se meut, soyez vraiment respectueux. Alors je vous dirai ce que je ferai: si vous faites cela pour... à chaque cas, je vous donnerai alors une opportunité de montrer...?... si seulement nous prenons notre temps. Maintenant, est-ce que tout le monde sera respectueux? Regardez donc, croyez de tout votre coeur. Et pendant que Dieu guérira les malades ici à l’estrade, Il en guérira là dans l’assistance au même moment.

D’accord, ami. Est-ce vous le–le... Je vois. Très bien. Regardez dans cette direction, monsieur, s’il vous plaît, juste un instant. On dirait que je–je n’arrive pas à le distinguer d’un autre. Peut-être que cela... fatigué. Je peux sentir l’onction de l’Esprit. Mais cela veut simplement dire que ceci...?... Maintenant, vous savez, mon bien-aimé frère, que quand vous confessez votre foi en Christ, croire maintenant de tout votre coeur, croyez-vous? Vous croyez, de tout votre coeur? Et vous n’avez pas de doute que cet Esprit qui est ici maintenant, qui est même sur vous maintenant, c’est sans doute l’Esprit de Dieu. Cela ne peut pas être un quelconque effet psychologique. C’est juste l’Esprit de Dieu. Voyez-vous? Oui. Croyez-vous cela de tout votre coeur...?... Eh bien, vous habitez dans les parages, n’est-ce pas? Dans cette ville ici, je dirais. J’aimerais que vous regardiez simplement.

23        Oui, oui, frère. Vous souffrez de l’arthrite, c’est ce qui vous dérange. N’est-ce pas vrai? Je vois comment vous vous déplacez. J’aimerais que vous regardiez simplement dans cette direction-ci, et soyez aussi sincère que possible...?... La vie n’a pas été un lit fleuri d’aisance pour vous, n’est-ce pas, frère? Vous avez eu beaucoup de chagrins, beaucoup d’ennuis. Vous avez des ennuis maintenant même, frère. N’est-ce pas vrai?

Une fois, vous ne vouliez pas entrer dans cette ligne de prière...?... Vous étiez autrefois incroyant, vous critiquiez beaucoup la religion. N’est-ce pas vrai? Vous avez fait une chose grave, en ce temps-là, aussi, quelque chose qui vous a fait mal. Je pense que vous–vous avez réprimandé Dieu, ou maudit par Dieu, ou quelque chose comme cela, ou vous avez fait quelque chose de mal, vous l’avez fait, n’est-ce pas? Comment pensez-vous, frère, par l’Esprit de Dieu. Est-ce un tract à ce sujet? Très bien.

24        Eh bien, à ce sujet, ça vous a causé du tort. Eh bien, étant donné que vous avez mis cela sur tracts, alors regardez dans cette direction-ci. Croyez de tout votre coeur. Vous avez payé cher pour cela, frère. Vous avez beaucoup d’ennuis maintenant, nerveux...?... Vous avez beaucoup de problèmes au foyer aussi, n’est-ce pas? Des ennuis en famille dans votre propre foyer, est-ce vrai? Allez-vous croire que je suis serviteur de Dieu? Est-ce en ordre que je dise ce que le Seigneur dit? Vous avez aussi eu d’autres ennuis, n’est-ce pas, des troubles sexuels. Est-ce vrai, des troubles sexuels? Ecoutez ce que je veux dire. Personne en dehors de Dieu seul ne sait mieux que vous. Est-ce vrai? Croyez-vous cela de tout votre coeur maintenant, frère? Laissez-moi prendre votre main.

Inclinons la tête. Notre Père céleste, sans doute que Tu sais tout à ce sujet. Je suis très reconnaissant que Tu sois ici ce soir, bénissant...?.... ce pauvre vieux frère fuyait et esquivait de venir à la réunion, mais il T’aime dans son coeur. Ô Dieu, fraye une voie pour lui. Accorde-le, Seigneur. Il a des ennuis. Tu as dit que Tu seras près de nécessiteux. O Dieu, bénis mon frère maintenant que je le bénis en Ton Nom. Que tous ces ennuis disparaissent comme un nuage disparaissant devant le soleil; et qu’il soit guéri ce soir de son arthrite ainsi que de toutes ces autres maladies, Seigneur; qu’il soit renouvelé et rétabli une fois de plus. Je le demande au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen.

25        Regardez ici, frère. Que je vous voie...?... Vous vous sentez guéri, n’est-ce pas? Vous êtes guéri, mon frère. Que Dieu vous bénisse, et poursuivez votre chemin en vous réjouissant, et tous vos ennuis vont disparaître maintenant et vous serez bien portant. Que Dieu vous bénisse.

(Puis-je avoir ceci? Merci.) Ô Dieu, Toi devant qui je me tiens maintenant, je tiens un tract ici: «Existe-t-il un Dieu? Je L’ai maudit.» Si Dieu au Ciel, devant qui je me tiens, sait que je ne sais rien de ce tract-là, ni rien à ce sujet... Et comme cela a existé, que je me disais que peut-être quand ils ont vu le tract, je... Le Seigneur a permis qu’on aille au fond de son coeur et qu’on saisisse quelque chose qui est vraiment un secret. Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il n’y a rien qui puisse faillir devant Dieu. Cet homme va se rétablir maintenant même. Très bien.

26        Venez...?... Soyez vraiment respectueux, croyez de tout votre coeur.

Je vois que vous avez enlevé vos lunettes avant de venir, n’est-ce pas? C’est ainsi qu’il faut avoir foi. Assurément. Donnez-nous votre main. Je crois qu’il y a plus que ces lunettes. Oui, madame, il y en a. Il y a beaucoup de choses qui ne vont pas chez vous. L’une, c’est que vous êtes nerveuse, extrêmement nerveuse. En fait, vous êtes... Cela tient beaucoup l’astigmatisme de vos yeux. Ensuite, c’est le temps de changement, la ménopause...?... (C’est vrai, n’est-ce pas?) Cela vous rend extrêmement nerveuse. Et il y a quelque chose... Vous avez mal aux jambes, n’est-ce pas? N’est-ce pas que c’est la phlébite, ou quelque chose comme cela? C’est vrai, n’est-ce pas? Amen. C’est bien. Très bien. Que Dieu vous bénisse, soeur. Maintenant, votre foi est au point pour la guérison. Allez-vous m’accepter en tant que Son serviteur et L’accepter comme votre Guérisseur?

Inclinons alors la tête. Père, tout est possible à ceux qui croient. Nous Te remercions pour la guérison de notre soeur. Je prie, ô Dieu, qu’elle soit heureuse tous les jours de sa vie, qu’elle Te serve de tout son coeur. Nous la bénissons en Ton Nom, le Nom de Jésus-Christ. Amen. Très bien, soeur. Votre foi va... guérie, et vous allez vous rétablir maintenant même.

27        D’accord. Tout le monde, respectueux. Le prochain, c’est qui donc? D’accord. Cet homme n’est pas...?... Jumalan rauhaa. Cette vieille arthrite... Croyez de tout votre coeur. Très bien, inclinons la tête. C’est fini, soeur.

Notre Père céleste, j’ai traversé cette mer baltique, j’ai parcouru ces collines et j’ai vu ces tout petits trains passer avec ces pauvres Finlandais il y a quelques semaines, chargés de fardeau venir en marchant, portant de vieilles bicyclettes, se rassemblant par milliers... Je me souviens quand on descendait de la montagne à Kuopio, on a vu ce petit garçon étendu au bord de la route, mort, écrasé, sans secours, son petit visage tout couvert. On dirait que la vie était à jamais  terminée, pas de respiration, pas de pouls. Alors, je me suis souvenu de la vision du Seigneur. Je lui ai donc imposé les mains, j’ai invoqué le Nom du Seigneur, et sa vie est revenue. Il n’y a pas eu un os brisé dans son corps. Combien cela a épargné les coeurs de ces bien-aimés, qui étaient venus de Laponie! Ô Dieu miséricordieux, Toi qui as pu prendre un jeune garçon écrasé, mort, étendu au bord de la route... Or, la vision n’a pas pu le guérir; C’était l’Esprit de Dieu. Tu peux guérir notre soeur ce soir. C’est l’arthrite. Bénis-la...?... Je réprimande maintenant l’arthrite, que cela quitte son corps au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Dites-lui de ne pas avoir peur...?... Vous êtes guérie. Cela vous a quittée. Puisse cela guérir dans...?... et que Dieu soit avec vous...?... Que Dieu vous bénisse.

28        Disons: «Gloire à Dieu!» Amen. Oh! la la! Comment allez-vous, jeune homme? Faites-nous voir votre main. Croyez-vous de tout votre coeur? On dirait que je n’arrive pas à saisir cela, frère. J’aimerais que vous me regardiez. Eh bien, vous êtes malade, sinon vous ne seriez pas ici. Evidemment, on sait que vous portez des lunettes; d’une façon ou d’une autre, ce–ce–ce n’est pas... Sans doute que vous êtes ici pour qu’on prie pour vous, sinon vous–vous... Ce serait autre chose que ça. J’aimerais que vous me regardiez et que vous croyiez de tout votre coeur. Ne doutez de rien. Maintenant, je ne dis pas, frère, que j’aie quoi que ce soit à faire avec votre guérison. Je ne peux que faire ce qu’Il m’ordonne.

Maintenant, L’aimez-vous? Vous aimez Le servir, n’est-ce pas? C’est l’épilepsie. N’est-ce pas vrai? Je vous ai vu tomber. C’est une forte chose qu’il peut... Rappelez-vous ceci, mon frère, Jésus-Christ guérit toutes sortes de maladies. Mais c’est comme une puissance démoniaque, vous ne savez pas quand elle vient, elle frappe et s’en va, n’est-ce pas? Regardez, vous rappelez-vous une fois quand un père avait amené son petit garçon au Maître? Il a dit: «Seigneur, aie pitié de moi.»

Il a dit: «Je le peux, si tu crois.» Est-ce vrai? Il a dit: «Car tout est possible à ceux qui croient.»

Il a dit: «Il a un démon, souvent il le jette dans l’eau et dans le feu pour le détruire.» Voyez, il tomberait bien n’importe où. C’est un démon. Et quand Jésus a réprimandé l’esprit, le petit garçon a piqué les crises les plus aiguës jamais piquées de toute sa vie. Mais après que cela était parti, c’était fini.

29        Eh bien, s’Il se tenait ici maintenant, et qu’Il vous disait ce que j’ai dit maintenant, et...?... les médecins appellent cela l’épilepsie. Lui l’a appelé un démon qui le dérange. Alors, Il prononcerait Sa bénédiction sur vous et vous en débarrasserait. Vous le croyez, n’est-ce pas? Croyez-vous que si je demande à Jésus, Il vous en débarrassera de toute façon? D’accord. Venez ici et croyez...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Rappelez-vous, je ne serai pas responsable de ceux qui redressent la tête ou de ceux qui ne sont pas respectueux au moment où on prie pour l’épilepsie. En effet, cela va d’une personne à l’autre. Maintenant, regardez dans cette direction, et alors, peu importe ce qui arrive, soyez respectueux. Regardez simplement dans cette direction. Maintenant, peu importe ce qui arrive... Et soyez respectueux. Gardez la tête inclinée jusqu’à ce que vous m’entendiez dire: «Relevez la tête.» Maintenant, jeune homme, regardez dans cette direction et croyez au Seigneur Jésus.

30        Notre Père céleste, je me rends compte de la gravité de cette puissance démoniaque qui a lié ce jeune homme. Je demande que le Sang de Ton Fils Jésus se tienne au milieu de tous ici...?... Aie pitié de Ton humble serviteur ici debout, qui cherche à servir les autres, Seigneur. Jésus de Nazareth, le Fils de Dieu, ne nous regarde pas en juge, mais regarde-nous avec Ta miséricorde. Et maintenant, en tant que Ton humble serviteur, qui ne mérite pas de l’être, mais implorant la miséricorde, je demande maintenant que l’esprit de Satan qui a lié le jeune homme le quitte, qu’il sorte de lui et qu’il aille dans les ténèbres de dehors; qu’il ne dérange personne d’autre au Nom de Jésus-Christ.

Quitte le jeune homme, Satan, toi serpent crapuleux... Christ prouve ici qu’au Calvaire, Il t’a dépouillé de ta puissance, et quitte ce soir, par la confession et la foi dans l’oeuvre achevée de Jésus, le Fils de Dieu, au Calvaire. En tant que chrétiens, nous t’ordonnons de quitter ce jeune homme. Sors de lui au Nom de Jésus, le Fils de Dieu. Amen.

31        Très bien...?... Maintenant, regardez, redressez la tête maintenant. C’est la première fois de toute ma vie de voir avec certitude, je l’ai vu ramper, un... jaune...?... Et il a changé et a quitté le jeune homme. Maintenant, frère, je crois de tout mon coeur, Satan, tu as eu...?... Que Dieu bénisse ce jeune homme...?...

J’aimerais juste remercier Dieu. Notre Père céleste, nous Te remercions pour Ta miséricorde. Bénis ce jeune homme, Seigneur, et rends sa vie fructueuse, et garde ces puissances loin de lui, Seigneur. Qu’il aille dans les ténèbres de dehors, lié au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Jamais dans tout mon ministère je n’avais vu cela auparavant...?...

32        [Durant les trente-trois secondes qui suivent, la qualité de la bande audio ne permet que de saisir quelques mots de temps à autre. On n’a transcrit que le texte clairement perçu.–N.D.E.]

Vous ne dormez pas trop souvent cependant...?... c’est une chose. Autre chose, vous avez obtenu...?... cancer. N’est-ce pas vrai?...?... maintenant, et croyez de tout votre coeur. J’ai une fillette chez moi, et je sais qu’elle prie comme vous aussi. Je ferai tout mon possible, je demande, pour Lui demander...?... je crois qu’Il...?...

Notre Père céleste, Tu vois les gouttes de larme couler de ces petites joues pâles, se déverser. Que peut-elle faire, Seigneur? Elle est sans secours, sans Toi. Elle deviendra une épave d’ici peu. Satan voulait la cribler, mais nous prions maintenant. Ô Père, sois miséricordieux envers cette petite dame. Fortifie sa foi maintenant  même pour qu’elle prenne le dessus sur cette puissance démoniaque. Père, aussi certainement que je suis ici et que je suis Ton serviteur, je crois que Tu vas la guérir maintenant. Tu ne peux pas faillir; Tu es le Seigneur Jésus. Satan, quitte la jeune fille. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, sors d’elle. Tu sais ce qui est arrivé...?... à toi, n’est-ce pas? Tu es guérie, soeur.

33        Maintenant, je vais vous dire ce que j’aimerais que vous fassiez. Maintenant, si j’ai pu vous dire ce que vous faisiez à l’école, et dans votre vie à l’époque; j’allais continuer, mais c’était cassant. Vous étiez en train de pleurer parce que l’Esprit du Seigneur était sur vous. Et Il est encore sur vous maintenant, n’est-ce pas vrai? Vous êtes une gentille petite dame. Et vous voulez travailler pour le Seigneur. Vous voulez accomplir Son oeuvre. Maintenant, maintenant, allez-vous me croire? Si vous me croyez sur parole maintenant, et que vous faites ce que je vous dis, Dieu fera exactement ce que je dis qu’Il fera ici. J’aimerais que vous quittiez cette salle, lorsque vous partirez ce soir, tout aussi heureuse. J’aimerais que vous souriez et que vous vous mettiez à dire à tout le monde: «Le Seigneur m’a guérie.» Et si seulement vous sentez... Satan dit: «Non, vous ne l’êtes pas.»

Dites: «Eh bien, Satan, tu ferais tout aussi mieux de t’éloigner, car un homme qui a pu me dire ce qui est arrivé dans ma vie, m’a dit que je serai bien portante, et je suis bien portante maintenant. Retire-toi donc de moi.» Voyez? Et soyez tout aussi heureuse que possible; oubliez... Et quand vous sortirez, observez la différence dans votre façon de lire. Cela a été guéri immédiatement, voyez. Et–et la nervosité vous a quittée. Vous vous sentez calme, n’est-ce pas? Plus de morosité. Cela va rester... Si cela peut faire que vous vous sentiez bien ici même et attirer la Présence de Dieu vers vous ici, croyez simplement ce que je vous ai dit, et cela restera avec vous.

34        Maintenant, la raison pour laquelle je fais cela, chérie, c’est que tu es embrouillée, tu connais ce temps de la vie, d’une petite fille. Ta mère est-elle près dans la salle? Je me le disais bien. Je peux la voir là dans l’assistance. Je pensais... Très bien. Maman, vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas? C’est juste son jeune âge maintenant même, c’est ce qui fait cela.

Et n’est-ce pas que vous, vous savez, vous emportez directement. Ainsi, commencez donc–donc tout de suite, soyez heureuse, et réjouissez-vous et tout va s’arranger pour vous. Croyez-vous cela? Dites: «Amen.» Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Très bien. Tout le monde, soyez vraiment respectueux, et louez le Seigneur maintenant.

35        D’accord. Bonsoir. Nerveux, vous devenez très fatigué, c’est le rein... Non, c’est dans votre dos, dans votre colonne vertébrale. Est-ce vrai? Croyez-vous? Aussi sûrement, comme vous avez prié, demandez cela.

Je te bénis, ma soeur, pour ta guérison maintenant. Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, notre désir est que tu sois guérie.

Me crois-tu? As-tu suivi ma prière? Alors, tu es guérie, soeur. Il n’y a rien qui puisse empêcher cela de t’arriver maintenant. Va, en te réjouissant, sois heureuse. Il est...?... Te sens-tu très bien maintenant? Va en te réjouissant et sois heureuse, Dieu prendra...?... Très bien. Disons: «Gloire au Seigneur», tout le monde. L’aimez-vous de tout votre coeur? Disons...

36        Que Dieu vous bénisse. Me croyez-vous de tout votre coeur? Cela doit vous quitter...?... faible maintenant...?... vieux, la maladie gynécologique vous dérange. Votre maladie de nerfs cause votre... C’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous que si je Lui demandais, vous vous rétablirez? De tout votre coeur? Oh! la la! Bien-aimée vieille mère.

Inclinez la tête, tout le monde. Notre Père céleste, alors qu’elle se tient ici, je pense à ma propre mère assise derrière dans la réunion. Sans doute que ces mains ont un jour aidé les autres. Et je Te prie, ô Dieu, de l’aider. Il y a plusieurs années, peut-être qu’une mère l’a bercée, l’a tapotée et lui a essuyé les larmes par un baiser... Maintenant, elle s’en est allée. Mais il y a toujours des mains qui peuvent tapoter et enlever toutes les larmes et tous les soucis par un baiser: Jésus, le Fils de Dieu. Je bénis ma soeur avancée en âge que voici, et je Te demande, ô Père, de lui accorder beaucoup de jours de bonne santé et avec encore de la force; qu’elle puisse Te glorifier, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, maman. N’ayez pas peur. Allez directement de l’avant. Très bien, que Dieu vous bénisse...?... Gardez votre main sur lui comme ceci...?...

37 C’est pourquoi cela est arrivé. Un peu nerveux, n’est-ce pas? Les yeux vous font mal. C’est pourquoi vous portez des lunettes. Très bien. Et aussi, vous avez souffert de l’arthrite...?... C’est pire...?... C’est vrai, n’est-ce pas? Evidemment, je ne... Il n’y a aucun moyen pour moi de savoir à moins qu’Il me le dise. N’est-ce pas vrai? Mais c’est la vérité, n’est-ce pas? Je voulais justement dire cela, afin que ça vous encourage. Eh bien, j’aimerais vous poser une question. Les maladies et autres dont je vous ai parlés, c’étaient dans votre corps. En fait, vous savez que c’est la vérité, mais quand j’ai parlé de cette autre, cela vous donne plus de foi que n’importe quoi que j’ai dit, cela... C’était vrai, n’est-ce pas? En effet, Il m’a dit de vous le dire.

Eh bien, comme vous avez cru de tout votre coeur, Il vous a guérie, soeur...?... Maintenant, pendant que je vous parlais, cela avait quelque chose à faire avec la chose. Quand j’ai mentionné cela, ce mot-là, et que vous avez cru comme il faut, c’est alors que ça a quitté. Maintenant, regardez, afin que vous sachiez... Me croyez-vous? Très bien, levez les mains en l’air, toutes les deux, très haut. Levez les pieds, comme ceci, de haut en bas. Voyez? Voyez, cela ne fait pas mal. Votre arthrite et tout, tout est parti. Poursuivez simplement votre chemin en vous réjouissant avec la bénédiction de Dieu sur vous. Disons: «Gloire au Seigneur!» Tout le monde.

38        Je vois que vous êtes l’une des collaborateurs à la réunion. Vous aimez votre travail, le travail d’un indépendant? L’aimez-vous? Eh bien, maintenant, vous êtes malade et vous êtes ici pour être guérie. Merci pour ce...?... Maintenant, une chose... Ne me dites pas ce qui ne va pas. Mais j’aimerais vous poser une question. Est-ce une affection d’organe? Dites simplement oui ou non. Une affection d’organe, une maladie interne, le...?...

C’est quelque chose qui était près d’une maladie. Très bien. J’aimerais que vous regardiez ma main avant que je touche quoi que ce soit. Voyez-vous ici? Voyez-vous l’aspect de ma main? Vous travaillez ici, et vous méritez quelque... que vous voyiez afin que vous puissiez le dire aux autres. J’aimerais que vous regardiez ma main. Je ne sais pas ce que...

Dieu sait que je ne sais rien à votre sujet. Eh bien, voyez, je place ma main là-dessus. Voyez, ma main est là, tout–tout aussi normale que toute autre. Eh bien, j’aimerais que vous... Regardez, si vous déposez votre mouchoir ici, placez cette main ici, là. Très bien, pas de différence, n’est-ce pas? Elle a bien le même aspect. Mais maintenant, j’aimerais que vous placiez cette main là-dessus, juste comme vous avez fait avec l’autre. Maintenant, regardez. Voyez, ça gonfle, ça devient rouge, ça prend des colorations sombres? Regardez, ça s’installe ici même. Maintenant, observez quand j’appuie sur cet index. Observez ceci. Voyez-vous cela parcourir là? Eh bien, vous voyez cela avec vos yeux, n’est-ce pas? Savez-vous ce qui ne va pas chez vous? Ça y est: C’est un désordre de femmes. C’est vrai, n’est-ce pas? Maintenant, croyez-vous? Maintenant, vous voyez cela avec vos yeux, n’est-ce pas? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... cette main... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] cette main, juste... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Maintenant... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... votre main droite. Maintenant, ça y est. Voyez-vous cela apparaître? Evidemment, cela ne représente rien pour moi. C’est vous qui voyez cela (Voyez-vous?), vous dit ce qui ne va pas chez vous...?... Maintenant, voyez-vous la différence? C’est toujours...?... Où que vous soyez, c’est pareil. On dirait de petites verrues, n’est-ce pas? De petits points blancs, comme des bulles, ou je ne sais quoi parcourt cela. Maintenant, voyez, c’est quand je... Je vais tenir ma main tranquille afin que vous voyiez. Vous pouvez le dire aux autres. Maintenant, observez. Eh bien, on dirait que ça s’arrête un peu. Vous êtes nerveuse, soeur. Maintenant, vous avez d’autres petites choses aussi: l’affection rénale. C’est vrai, la nervosité. Maintenant, observez; le voici revenir. Voyez? Voyez-vous cela revenir? Le voilà revenir. Eh bien, voyez-vous ce que...?... Y a-t-il quelqu’un ici qui connaît cette dame? Voyez? Eh bien, vous savez comment ça se passe parmi les gens. Eh bien, soeur, regardez dans cette direction. J’aimerais, voyez-vous...?... Maintenant, je crois que vous êtes une femme profondément sincère. Et maintenant, vous sentez l’onction de l’Esprit. C’est vrai, n’est-ce pas? Eh bien, ça commence bien à vous envahir maintenant. N’est-ce pas vrai? Eh bien, si c’est vrai, levez la main afin que les gens voient. C’est vrai. D’autres frères espagnols...?... italiens?

39        J’aimerais que vous regardiez. Maintenant, je vais demander à Dieu de vous guérir. Si cette main reste dans le même état, alors rien ne s’est fait. Si cela quitte, Dieu vous a guéri. Il y aura trois témoins, n’est-ce pas? D’accord. Maintenant, observez vous-même, et je vais garder ma main aussi tranquille que possible. Maintenant, rappelez-vous l’aspect qu’avait la main ici, je veux que vous voyiez que c’est le même aspect.

Maintenant, que tout le monde garde la tête inclinée et prie à l’exception de cette dame. J’aimerais que vous soyez en prière, mais j’aimerais que vous observiez ma main.

Notre Père céleste, je Te demande d’être miséricordieux envers notre soeur ici, elle est venue pour la guérison. Elle se tient à l’estrade, en train d’observer ma main de près. Et maintenant, Seigneur, sachant le type et la–la nature de notre soeur, que c’est ce que Tu as dit. Et par conséquent, Père, je Te prie de la guérir. Tu as dit: «Si tu amènes les gens à te croire et que tu es sincère, alors aucune maladie ne résistera.» Et je Te demande maintenant de guérir notre soeur.

Toi démon qui tourmente son corps, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, sors de la femme.

Maintenant, soeur, le voilà partir. Cela quitte maintenant même. Eh bien, cette main-là, je la garde parfaitement normale. Avant que je lève la tête ou que j’ouvre les yeux, cela devient normal. Est-ce vrai? Maintenant, tout a quitté. Est-ce vrai? D’accord. Vous êtes guérie.

40        Maintenant, assistance, redressez la tête. Maintenant, cette femme se tient ici même, je n’ai point bougé ma main. Est-ce vrai, soeur? Juste à cette place, tout aussi lisse que cette main-ci ou n’importe laquelle. Est-ce vrai? Toutes ces verrues, des bosses, et autres ont quitté cela. Est-ce vrai? Tout aussi normal que possible. D’accord, vous êtes guérie maintenant. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et soyez heureuse. Regardez, ne...?... Je vois cela maintenant. Allez-vous laisser passer cela? Juste...?... Maintenant, juste quelque chose dont je lui ai parlé, s’inquiétant qu’elle continue dessus, ce qu’elle ne devrait pas faire.

41        Très bien. Venez, madame. Ne vous en faites pas du tout. Jésus a absolument dit: «N’ayez pas peur, n’ayez pas peur.» Ne laissez rien vous déranger. Bonsoir, soeur. Laissez-nous prendre votre main. Regardez dans cette direction, soeur, juste une minute. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous avez beaucoup de choses qui ne marchent pas chez vous. La tension artérielle est un peu élevée; vous êtes diabétique. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous êtes... Les maux de tête tout...?... N’est-ce pas vrai? Pratiquement...?... C’est vrai, n’est-ce pas? Vous croyez qu’Il va guérir...?... Très bien, prions. Père céleste, elle se tient ici. Tu connais tout à son sujet. Je Te prie de la guérir, Dieu bien-aimé. Aie pitié d’elle. Fais qu’elle soit rétablie, complètement guérie. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, heureuse, vous réjouissant, louant Dieu. Très bien. Tout le monde, soyez respectueux maintenant.

42        Avez-vous brandi votre doigt vers moi, monsieur? Très bien. Seulement, soyez juste–juste respectueux. Etes-vous –êtes-vous l’un des patients pour qui on va prier? Beaucoup de ces cas de civières ici, c’est–c’est vraiment dommage que les gens... Je suppose qu’ils sont dans... Et je vois qu’on a seulement...?...

Maintenant, monsieur. Vous êtes ici, cherchant pour la maman... Que Dieu vous bénisse, soeur. Je–je sais ce que... je peux vous dire ce qui ne va pas chez vous. Ayez simplement foi. Je crois que Dieu va vous guérir, soeur. Je le crois effectivement. Maintenant, frère, ayez simplement foi. Maintenant, je vous dis ce que j’aimerais que vous, les deux cas de civière, vous fassiez avant que j’atteigne le bout de la rangée. J’aimerais que vous regardiez dans cette direction, droit vers moi, que vous priiez Dieu d’être miséricordieux envers vous et de vous guérir. Allez-vous le faire? Très bien alors. C’est ce que je veux que vous fassiez. Faites-le aussi, monsieur, pour elle.

43        Oh! Comment–comment je sais, amis? S’il vous plaît, croyez-moi. Oh! comme Dieu veut faire une percée dans cette réunion maintenant même. Et Il–Il... Combien voulaient...?... exaucer une prière pour nous, tout le monde, pour une grande effusion. Vous n’allez pas croire que je vous dirai quelque chose de faux, n’est-ce pas? On dirait que c’est sombre dans cette salle quand je me suis retourné. Maintenant, cette onction n’est pas sur moi juste en ce moment; Elle est tout près. Combien ont une de ces photos, pour voir Cela? Voyons, avez-vous des photos? D’accord. Regardez cela, lorsque vous voyez cette photo. La même Chose est ici même maintenant. Je pense que je peux appeler cela Chose. On a dit: «Cette sainte Chose qui est dans Marie est appelée le Fils de Dieu.» C’était une sainte Chose... Croyez simplement, bien-aimé frère, bien-aimée soeur. Ayez foi en Dieu.

Est-ce vous le patient? Croyez-vous de tout votre coeur, huissier? Eh bien, que Dieu vous bénisse, frère? Rentrez chez vous et prenez votre souper. Votre trouble d’estomac vous a quitté et vous êtes bien portant...?... Que Dieu vous bénisse.

Très bien, ayez... Est-ce que tout le monde est en prière? Très bien. Maintenant, que tout le monde soit respectueux.

44        Vous, soeur, passez directement devant. Que Dieu vous bénisse. Allez-vous m’obéir en tant que serviteur de Dieu? Descendez jusqu’au bout de l’estrade là. Marchez d’un pas lourd, soulevant les pieds de haut en bas, et votre arthrite quittera. Très bien, que Dieu vous bénisse. Allez de l’avant, soeur. Comment vous sentez-vous maintenant? Soeur, vous sentez-vous bien maintenant? Que Dieu vous bénisse. Amen.

Très bien, qui est le... la petite dame? Très bien, venez ici, madame. Regarde dans cette direction, fiston. Me crois-tu? En tant que petit garçon, c’est un enfant, la foi d’un enfant. Me crois-tu? Vas-tu m’obéir en tant que prophète et serviteur de Dieu, et croire que Dieu m’a envoyé ici pour ta guérison? Le trouble d’estomac dont tu souffrais t’a quitté. Rentre chez toi et prends tout ce que tu veux, fiston. Que Dieu vous bénisse aussi, papa. Disons: «Gloire à Dieu aux siècles des siècles.» Faites-moi venir un autre patient.

45        Croyez-vous de tout votre coeur? Allez-vous faire ce que je vais vous dire de faire? Très bien, monsieur. Quand vous descendrez l’allée, quand vous rentrerez chez vous ce soir, j’aimerais que vous leviez simplement les mains et que vous criiez à tue-tête, car l’arthrite vous a quitté avant que vous entriez...?... Alléluia! C’est vrai. Amen.

Dieu peut parler...?... cette salle...?... Croyez-vous cela? D’accord, tout le monde, soyez respectueux.

Oh! Juste un instant. Cette femme, c’est pour l’ouïe. D’accord, que tout le monde incline la tête.

Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur elle.

Toi démon qui la tourmente, au Nom du Seigneur Jésus, sors d’elle, quitte-la. Je t’adjure de partir, au Nom de Jésus...?...

Pouvez-vous m’entendre maintenant?...?... Maintenant, tout est terminé, pouvez-vous m’entendre très bien? Regardez ici, amis. Pouvez-vous m’entendre? Dites: «Amen.» Votre arthrite, le trouble féminin, et tout ce qui n’allait pas... Poursuivez votre chemin maintenant, dites, à très haute voix: «Amen.» Amen. C’est bien. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, louez Dieu de tout votre coeur tout au long de vos jours.

46        Oh! la la! Votre soeur? Vous voulez aussi qu’on prie pour vous. Est-ce vrai? D’accord, tenez-vous debout, soeur. Très bien, monsieur. Vous n’avez pas à venir ici. Allez-vous me croire, ce que je vous dis? Vous souffrez des nerfs. Est-ce vrai? Jésus-Christ vous a déjà guérie. C’est vrai.

Vous, monsieur. Voulez-vous être guéri? La maladie du coeur dont vous souffriez vous a quitté. Louez simplement Dieu et soyez heureux.

Vous, soeur, vous souffrez aussi de nervosité, n’est-ce pas? C’est vrai, n’est-ce pas? Tenez-vous debout et dites: «Gloire au Seigneur», et soyez guérie. C’est vrai. N’ayez pas de doute; croyez Dieu. C’est bien, frère. C’est ainsi qu’il faut recevoir votre guérison.

Soeur, vous avez une paralysie qui se généralise sur vous depuis longtemps. C’est vrai, n’est-ce pas? Je crois que Dieu va vous donner une victoire ce soir. Croyez-vous cela? Si je Lui demande depuis cette estrade, croyez-vous qu’Il vous guérira? Croyez-vous? De tout votre coeur? Vous croyez que vous pouvez vous lever et rentrer chez vous. Allez-vous le faire?

47        Regardez dans cette direction, monsieur. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Vous êtes entré là, poussé, je pense, là dans la ligne, mais voici ce que... Monsieur, je dois être sincère avec vous, en tant que ministre qui confesse. On vous a dit beaucoup de choses. On vous a dit que vous souffriez d’estomac. C’est vrai, n’est-ce pas? Mais vous... Il y a plus que ça qui ne va pas chez vous, monsieur. Et je crains de vous dire ici même ce qui ne va pas chez vous, depuis cette estrade, car cela vous effraierait. Mais si vous croyez Dieu de tout votre coeur... C’est dans vos os, frère, c’est là que ça se trouve. Et vous... Et si seulement vous croyez Dieu de tout votre coeur, Dieu vous guérira. Croyez-vous cela? Moi aussi, je crois. Pas vous, soeur, que vous serez guérie?

Qu’en est-il...?... soeur, couchée là aujourd’hui, croyez-vous que ce cancer vous quittera si Dieu veut... Et le petit enfant ici, qu’en est-il de lui, soeur? Qu’est-ce que vous êtes en tant que...?... cette arthrite et dire cela... Ne croyez-vous pas que Dieu va faire cela pour vous?

48        Maintenant, tout le monde. Tenez, le frère aveugle assis ici, ici debout. Oui, monsieur. Et le–le petit garçon assis là au fond avec–avec des yeux louches. Eh bien, ne croyez-vous pas que Dieu fera cela? Hein? Très bien. Maintenant que... Je vais vous demander quelque chose. Je vais vous demander de vous consacrer maintenant même à Dieu, que Dieu accomplisse cela.

Papa, si vous croyez ce que je vous dis, vous pouvez retourner en marchant ce soir, et...?... sa femme vous récupérera.

Monsieur, vous pouvez vous lever et marcher aussi.

Dieu Tout-Puissant, qui est présent dans ce monde de tous les mortels, Tu es ici ce soir. Ô Dieu, accorde que ces gens qui sont ici, souffrant et nécessiteux, une pauvre vieille mère couchée ici, Satan l’a paralysée. Ô Jésus, au Nom du Fils de Dieu, je réprimande ce démon qui a lié cette pauvre vieille mère couchée là, paralysée. Toi démon, sors de la femme.

Que Dieu bénisse ce pauvre homme, qui essaie et prie. Puisse-t-il se lever au Nom du Seigneur Jésus. Que la femme sorte du lit et soit guérie et rétablie. Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, guéris du cancer cette femme ici, elle se meurt. L’aveugle penché sur sa canne, le petit enfant, ô Dieu, aie pitié. Bénis ces gens au Nom de Jésus-Christ.

49        Avancez, vous qui voulez vous tenir près pour qu’on prie pour vous. Avancez vers l’estrade. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Tenez...?... Le frère s’est levé du brancard d’ambulance. Qu’un de vous huissiers aille près de lui et le fortifie pour qu’il marche. Une dame, paralysée, se lève de l’estrade. Alléluia! Levez-vous, bien-aimée, et croyez au Seigneur Jésus... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Dieu vous a guérie.

Vous là, avec un cornet acoustique à l’oreille: ôtez cette histoire de votre oreille. Jésus-Christ vous a guéri.

Et vous debout, là même, en retrait de l’autre côté de la tente, ça fait longtemps que vous êtes...?... vous souffriez de tuberculose dans un sanatorium. Vous êtes venu ici il y a quelques jours à cause de cela. Croyez en Jésus-Christ maintenant même et vous pouvez être guéri.

Et vous, mon frère. Tenez-vous debout; le Seigneur Jésus-Christ est ici pour faire couler sur chacun de vous la puissance de guérison.

Vous, madame. Levez-vous et ayez foi. Vous avez apporté votre...?...

 

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