La Voie À Laquelle Dieu A Pourvue

Date: 53-0613 | La durée est de: 1 heure et 2 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le texte français seulement Voir le texte anglais seulement

1          Ami... les salutations chrétiennes les plus chaleureuses à vous, au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, notre grand Roi qui va bientôt apparaître, nous le croyons. Son Eglise se prépare à être trouvée sans tache, ni ride. Et que le Seigneur bénisse tout le monde.

            Maintenant, il y a juste quelque temps, eh bien, je pense, j’ai quitté discrètement les jeunes gens. Mon–mon fils était avec moi, et je l’ai laissé. Il est allé voir frère Wood, et vérifier pour voir si le... s’il y avait des cartes de prière parmi les gens pour ce soir. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Après que j’eus commencé l’oeuvre d’évangélisation, de cette façon-ci, pour le... notre Seigneur, c’était à Corning, dans l’Arkansas, je disais aux gens, eh bien, apportez simplement vos mouchoirs, je vais prier dessus. Eh bien, beaucoup de gens les oignent. C’est en ordre. C’est bien. Tout ce que Dieu bénira, je le soutiens. Et... mais maintenant, si vous regardez les Ecritures, on n’oignait pas les mouchoirs, on prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul. Ils étaient donc... J’ai parlé aux gens, disant: «Eh bien, si vous avez un mouchoir, eh bien, prions dessus, et parfois, peut-être, l’enfant a peut-être attrapé des coliques ou quelque chose comme cela, et là loin dans les fourrés et les marécages, par ici.»

            Alors, une nuit, une petite dame est arrivée et elle avait un mouchoir. J’ai dit: «Eh bien, si vous ne... si vous n’allez pas l’utiliser juste à présent, ai-je dit, placez-le dans la Bible, dans Actes, chapitre 19; c’est là que... le passage des Ecritures qui s’applique à cela.» Pour un...?...

2          Alors, cette petite femme a placé cela dans la Bible, et–et j’étais parti de là, ça faisait environ, oh! je pense, six semaines. Et j’étais là loin à Little Rock. Et un soir, cette petite dame est arrivée avec un témoignage.

            Eh bien, les–les gens de l’Arkansas ne sont pas les plus élégants dans le monde, mais ils sont parmi les meilleurs au monde. Ils sont humbles. Ils n’ont pas beaucoup de biens du monde. J’ai vu des jeunes filles de seize ans entrer dans la réunion, j’étais assis quelque part, derrière, en train de prier. Généralement, je reste en prière avant de venir à la réunion. Je les ai vues venir portant leurs chaussures et leurs bas sous le bras. Et puis, elles s’agenouillaient là, essuyaient leurs chaussures, leurs pieds, portent leurs bas et leurs chaussures, et entrent dans l’église. Elles doivent faire durer longtemps cette unique paire, vous savez. Je pense qu’il y a des gens juste ici qui ont fait la même chose. Moi, je n’en avais pas à–à–à porter pour commencer.

3          Je me rappelle donc, un soir, une petite dame, celle qui avait le mouchoir. Elle habitait là en retrait dans une région rurale, son mari était un fermier. Et elle nettoyait un verre d’une vieille lampe. Combien ont déjà nettoyé le verre d’une lampe ? Oh! la la! Frère, eh bien, regardez derrière moi. Le verre d’une lampe... Ma mère, elle avait l’habitude... Elle devra être ici demain, que Dieu bénisse son coeur.

            Nous en avons une qui avait une grosse lune et un hibou dessus. Vous vous rappelez ces anciennes lampes aux motifs de la lune et du hibou ? Et j’avais la main la plus petite parmi les membres de la famille, alors c’était donc à moi de nettoyer ce verre-là, y introduire la main et nettoyer cela. Oh! Je me le rappelle bien.

4          Alors, cette dame était en train de nettoyer le verre d’une lampe, et le verre s’est cassé sur son bras. Cela lui a coupé les veines ou les artères, c’était au niveau de son poignet. Eh bien, selon la vieille superstition, vous savez, les toiles d’araignées, on s’en sert généralement, et c’est juste une superstition du genre fendre un poulet contre une morsure de serpent. Et on mettait donc la toile d’araignée dessus, et évidemment, le sang giclait et ne faisait qu’enlever la toile d’araignée. Eh bien, elle a enroulé quelque chose tout autour de cela, et un–un drap de lit, et cela l’a mouillé de sang. Alors, elle s’affaiblissait, et son voisin le plus proche était à deux miles [3,2 km] ou plus. Et son mari était allé en ville acheter des provisions pour propre... pour eux-mêmes et pour les animaux de la ferme. Et elle saignait à mort, elle savait qu’elle allait mourir d’un moment à l’autre si quelque chose ne l’aidait pas. Elle est sortie en courant, il lui est arrivé de penser à ce mouchoir-là.

5          Eh bien, ceci est son histoire. Je ne peux pas l’affirmer. Voyez ? Je ne fais que–ne fais que la répéter. Mais elle est entrée en courant, elle a pris ce mouchoir, elle a dit: «Dieu bien-aimé, ma vie est entre Tes mains. Si Tu ne m’aides pas, je–je vais mourir. Et ceci est... ceci m’a été donné dans ce but. Et maintenant, je–je dépose cela sur mon bras au Nom de–de Jésus, Ton Fils.» Et le sang s’est arrêté.

            Elle a parcouru environ deux miles [3,2 km], après que son mari était rentré à la maison, portant ces grosses bottes à travers des champs boueux de riz et tout. Et elle avait suspendu sa lanterne à un arbre, elle a fait signe à un vieux bus de Greyhound, elle a parcouru environ une centaine de miles jusqu’à Little Rock où se tenait le service ce soir-là. Elle est entrée en tenant ce mouchoir levé, sans aucune tache, montrant l’endroit où il y avait eu l’entaille. «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entent la Parole.»

6          Je me rappelle un autre cas qui est arrivé ce soir-là, pendant qu’on termine avec les livres derrière. Je n’oublierai jamais cela. Révérend G. H. Brown peut vous donner ce témoignage, et il vous indiquera la clinique où était la femme.

            Croyez-vous que les démons existent toujours ? Tout aussi certainement que Dieu existe, ils existent. Et alors, il m’a dit: «Frère Branham, pendant que vous vous reposez...» Je faisais passer les gens tel que je l’ai fait hier–hier soir, je ne faisais que prier pour eux, tout ce que Dieu me disait, je le disais et j’allais simplement de l’avant. Et Il a dit: «Là au sous-sol de cet auditorium, là, eh bien, a-t-il dit, nous avons un cas pitoyable.» Il a dit: «Elle veut terrasser tout le monde. C’est une femme folle.» Et il a dit: «Elle est au sous-sol.»

            J’ai dit: «Eh bien...» Evidemment, j’étais juste un jeune homme dans la voie à l’époque. J’étais là sur le champ de bataille, comme ceci, environ, oh! je pense, six mois ou quelque chose comme cela. Je me disais donc que tout ce qui est... Eh bien, c’est en ordre; Dieu peut tout faire. Je suis donc descendu dans le sous-sol, c’était vers onze heures. Eh bien, est... Il y avait des haut-parleurs là-bas, les gens étaient entassés et là sur le lieu... Oh! la la! Les tramways ou les compagnies de bus devaient s’arrêter pour céder la place aux ambulances. C’était vraiment... Ils venaient là à l’église.

            Alors, monsieur Brown... Si vous voulez lui écrire, c’est Révérend G.H. Brown, 505 Victor Street, Little Rock. Il vous indiquera la clinique, le médecin, et demandez-leur au sujet de ce cas.

7          Et quand nous avons descendu les marches, il y avait un vieux frère de l’Arkansas, le vrai genre, qui se tenait là en salopette délavée. Il se tenait sur les marches, et je me suis mis à descendre. Il écoutait à l’aide du haut-parleur ce que je disais. Alors, monsieur Brown a dit: «Voici le mari de cette femme.»

            J’ai dit: «Enchanté de faire votre connaissance, monsieur.»

            Simplement, nous... Il a dit: «Ma femme, a-t-il dit, est juste là.» J’ai regardé, il y avait étalée par terre... J’aimerais que vous suiviez attentivement. Il y avait une femme âgée d’environ trente et un, trente-deux ans, je suppose, d’une forte constitution; ses mains étaient en l’air comme cela, elle était couchée sur le dos, et ses membres pointés juste en haut comme cela, ses jambes juste comme cela, droit en l’air.

            «Eh bien, ai-je dit, qu’y a-t-il avec elle ?»

            Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, je viens de la faire sortir de l’institution psychiatrique à...» Je pense à Pineyville, ou à Pineville, ou quelque part là-bas. Elle est sortie d’une institution psychiatrique. Il a dit qu’elle était devenue folle il y avait deux ans. Il a dit: «Frère Branham, je l’aime.» Il a dit: «J’ai trois ou quatre petits enfants à la maison.»

8          Et il a dit: «Elle–elle était... le médecin a dit qu’elle avait eu une ménopause prématurée. Il lui a donné une piqûre et c’est ce qui est arrivé.»

            J’ai dit: «Oh! la la! C’est dommage.»

            Il a dit: «Cela a donc commencé aussitôt alors, quelques heures après cette piqûre-là, c’est ce qui a fait ça.»

            J’ai dit: «C’est vraiment dommage.»

            Il a dit: «Je l’ai amenée partout.» Et il y a une femme qui était guérie là dans... de Louisiane, elle était sortie de l’institution psychiatrique. Les journaux avaient écrit un article élogieux là-dessus. Alors, il a dit: «J’ai vu cela, je me suis dit que tout ce que je pouvais faire, et mon unique espérance, c’était d’amener ma femme ici. Peut-être que le Seigneur la guérirait.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, frère, si...»

            Il–il a dit: «La–l’ambulance a dit que je devais signer des documents.» Et on a dit: «Ils... Elle était dans une cellule capitonnée.» Il a dit: «Elle ne se relève pas de son dos. Elle reste simplement étendue là avec ses pieds et ses jambes pointées droit en haut et les mains comme cela.» Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham...»

            J’ai dit: «Je vais aller et...»

            Cet homme a dit: «N’allez pas là, frère.» Il a dit: «Elle vous tuera.»

            J’ai dit: «Oh! Je ne le pense pas.»

            Alors il a dit: «Si, a-t-il dit, frère, on n’arrivait pas à la faire entrer dans l’ambulance, on ne voulait pas la faire entrer dans une ambulance.» Et il a dit: «J’ai loué le service de quelques hommes pour l’amener ici.» Et il a dit: «Elle... il a fallu quatre hommes pour la retenir sur la banquette arrière, elle a cassé tous les vitres de la voiture d’un homme; elle voulait tailler en pièces toute l’église, un bâtiment, là, quand nous essayions de la faire entrer ici. J’ai eu à la faire coucher sur le dos ici. C’est l’unique... qu’elle–elle se couche avec son...»

            «Oh! ai-je dit, cela...» J’ai dit–dit: «C’est pourquoi ses jambes saignent ? Elle... il y a des entailles jusqu’à ce niveau-ci.»

            Il a dit: «C’est pourquoi elle saigne; elle a donné des coups de pied aux vitres de ce véhicule-là.»

9          J’ai dit: «Oh! la la! C’est vraiment dommage.» J’ai dit: «Eh bien, il me faudra m’approcher d’elle.»

            Il a dit: «Frère Branham, ne le faites pas.» Il a dit: «Elle vous tuera.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, je ne le pense pas.» Je ne savais donc pas grand-chose sur la façon de traiter ces choses-là, j’ai donc simplement traversé la pièce. Je me suis approché de là où elle était. Elle était couchée là, battant les yeux lentement, regardant tout autour. J’ai dit: «Bonjour.»

            Et elle a dit, a... er... je vous demande pardon.

            Je lui ai dit: «Bonjour.». Elle a simplement battu les yeux. Et j’ai dit: «Puis-je vous serrer la main ?» Oh! la la! Aussitôt que j’avais touché sa main, cela... sa main a saisi la mienne, et avec une secousse vraiment si terrible que, n’eût-été le fait que j’avais dégagé mon pied, je l’avais cognée, au niveau du sein avec mon pied, eh bien, elle m’aurait probablement jeté par terre avec un... cette puissance démoniaque-là.

10        Si quelqu’un sait... Si le diable peut placer une si grande puissance sur quelqu’un qui est possédé des démons, qu’est-ce que Dieu ferait avec la puissance sur un chrétien qui est né de nouveau. Je ne... Alors, elle a secoué cela comme ça, comme ça, et elle... Je–j’ai titubé, et cela m’a projeté de côté. Et je l’ai regardée, elle s’est mise à se déplacer comme un serpent, sifflant. Et elle s’est avancée sur son dos comme un serpent, me pourchassant, comme cela, dans... produisant le bruit le plus horrible, en se traînant, se traînant, se traînant. Et j’ai regardé, cette femme s’avançait. J’ai gravi les marches à la course, là où se tenait l’homme, et je me suis tenu sur les marches. Et elle se traînait dans la pièce. Elle s’est servie de ses très forts membres, ses pieds, elle a cogné cela contre le mur, et elle s’est cognée très fort, comme cela. Il y avait un banc placé là, elle s’est cogné la tête contre cela, comme cela, détachant un gros morceau de cela. Cela est tombé par terre. Elle a lâché un de ce très gros rires hideux: «Hee-hee-hee-hee, hee-hee» [Frère Branham illustre.–N.D.E.], comme cela. elle a ramassé ce... un morceau de bois comme cela et elle se l’est jeté par-dessus la tête comme cela, et cela s’est cogné contre le plâtre du mur, à côté de son mari.

            Il a dit: «Je vous l’avais dit, Frè-...»

11        J’ai dit: «Je n’ai jamais vu pareille chose de ma vie.» Et je–j’ai vu depuis lors, mais je n’en avais pas vu avant ce temps-là. Et elle rampait là tout autour, on dirait, et le sang lui sortait de la tête.

            Eh bien, j’ai dit: «Madame, vous avez jeté cela contre votre mari.» Il a dit: «Elle ne me reconnaît pas.» Il a dit: «Elle ne reconnait personne depuis deux ans.»

            Et j’ai dit: «C’est pitoyable, n’est-ce pas ?» Et juste alors, elle s’est redressée. J’ai dit: «Croyez-vous, frère, que Jésus-Christ... Comme je témoigne de cet Ange de Dieu, croyez-vous que c’est la vérité ?»

            Les larmes lui coulaient sur le visage, descendant sa barbe sur le visage, il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, je–j’ai vendu ma ferme. Nous lui avons fait suivre des traitements par électrochoc; nous lui avons tout donné.» Et il a dit: «Tout ce que je pouvais faire, j’ai essayé de le faire.» Mais il a dit: «Elle est là.» Et il a dit: «J’ai même vendu mes mulets, a-t-il dit, pour avoir de l’argent pour ces frères qui l’ont amenée ici.» Il m’a simplement entouré de son bras. J’ai tellement eu pitié de cet homme que j’ai pu pleurer là sur place.

12        Et j’ai dit: «Monsieur, tout ce que je peux faire, c’est demander à Dieu. Eh bien, ai-je dit, ayez foi et croyez. Il m’a dit de bien vouloir amener les gens à croire.»

            Et il a dit: «Eh bien, je crois, Frère Branham.»

            Et elle a renvoyé sa tête en arrière, comme ceci, elle a dit: «William Branham, tu n’as rien à faire avec moi.» Elle a dit: «C’est moi qui l’ai amenée ici.»

            Eh bien, son mari a regardé tout autour et a dit: «Eh bien, ce sont les premières paroles qu’elle prononce en deux ans.» Il a dit: «Comment vous connaît-elle alors qu’elle ne me reconnaissait même pas, moi, son mari ?»

            J’ai dit: «Ce n’est pas elle. C’est ce démon-là qui est... qui a crié.» Voyez ? J’ai dit: «C’est...» J’ai dit: «C’est lui.» Et j’ai dit: «Il reconnaît que quelque chose est sur le point d’arriver, et c’est pourquoi il a crié.»

            «Et, eh bien, a-t-il dit, il vous a appelé par votre nom.» Elle s’est mise à rire très drôlement. J’ai dit: «Maintenant, croyez, frère.» Et j’ai simplement tendu mes mains. J’ai dit: «Bien-aimé Seigneur Jésus, de tout mon coeur, je viens dans la simplicité de la foi d’un enfant. Je crois que l’Ange de Dieu qui m’a commissionné de m’engager dans ce monde pour faire ces oeuvres, prier pour les malades, est ici maintenant. Je Te demande, Dieu bien-aimé, de guérir cette femme.» J’ai dit: «Satan, tu–tu n’as pas peur de moi, mais tu as peur de Celui que je représente.» J’ai dit: «Et je viens en tant que Son représentant, confessant un don de la guérison divine qui m’a été accordé par un Ange, et je te dis et je t’adjure, au Nom de Jésus-Christ, de quitter cette femme.» Je me suis retourné vers l’homme. Elle est juste restée dans la même position.

            J’ai dit: «Croyez-vous ?»

            Il a dit: «Oui, oui, je crois, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Dieu vous récompensera selon votre foi.» J’ai fait demi-tour et j’ai gravi les marches.

13        Environ, je pense, environ six semaines après cela, j’étais à Jonesboro, que je viens de quitter il y a quelques semaines. Et j’étais assis là un soir, j’ai vu quelqu’un continuer à me faire signe de la main, il était assis là derrière. Et je me suis dit... Alors, il n’arrivait donc pas à supporter cela plus longtemps; il a dû simplement se lever. Il a dit: «Vous souvenez-vous de moi, Frère Branham ?»

            J’ai dit: «Je ne le pense pas, frère», et tout au début comme ce... le service n’avait pas encore vraiment commencé.

            Il a dit: «Ne vous souvenez-vous pas de moi ?» J’ai dit... «Ne vous souvenez-vous pas de ma femme ?»

            Et j’ai dit: «Non, monsieur, je ne le pense pas.» Et elle avait trois ou quatre petits enfants avec elle. Elle était assise là. Et j’ai dit: «Non.»

            Il a dit: «Regardez. Vous vous rappelez la dame qui rampait sur son dos, folle, venue de l’institution psychiatrique ?»

            J’ai dit: «Oui. C’est elle, n’est-ce pas ?»

            Il a dit: «C’est elle.»

            Eh bien, il... J’ai dit: «Comment cela est-il arrivé ?»

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, Frère Branham, ce soir-là, a-t-il dit, elle est restée simplement couchée comme cela jusqu’à la fin de votre réunion. Nous l’avons soulevée et nous l’avons introduite à bord du véhicule et, a-t-il dit, elle était... elle paraissait être rétablie. Elle ne donnait pas des coups de pieds, ni ne faisait rien, elle ne s’agitait pas non plus pendant que nous la ramenions à l’institution psychiatrique où vous aviez...»

14        Je lui avais dit: «Ramenez-la. Que les médecins la renvoient.» Voyez ? Ainsi donc, j’ai dit: «Si vous croyez, cela doit arriver.» Et Lui m’avait dit: «Si tu amènes les gens à croire et que tu es sincère pendant que tu pries...» Et je sais que j’étais sincère, et lui, il avait dit qu’il croyait. Et alors, je sais que tout aussi vrai que l’autre est vrai, cela devrait arriver si je peux amener les patients à croire cela.

            Il a dit: «Et vous savez, le lendemain matin...» Il a dit qu’il l’avait ramenée ce–ce jour-là et... cette nuit-là; elle était à environ deux cents miles [321,86 km]. Il a dit que quand ils sont arrivés le lendemain matin, le deuxième matin, la femme était assise dans la cellule quand l’infirmière est venue auprès d’elle. Et le troisième jour, on l’a examinée. Et le quatrième jour, on l’a renvoyée à la maison parfaitement normale et bien portante.

            Et elle était là avec ses petits enfants, et il y a de cela environ deux ou trois ans, à San Bernardino, en Californie, je donnais un témoignage. Elle et son mari se sont avancés, elle a dit: «Me voici encore.» Qu’était-ce ? La grâce de Dieu. C’est ce qu’il y a. «Si tu peux croire, tout est possible.» Maintenant, ayez foi en Dieu. Et maintenant, amis, demain, ce sera... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

15       

            Il s’est élevé devant lui comme une... plante, ... rejeton qui sort d’une terre desséchée; il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire.

            Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas.

            Cependant, ce sont nos souffrances qu’Il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié.

            Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.

            Et maintenant, pendant juste un moment... Avez-vous terminé, Frère Wood ? Le livre... Merci. Inclinons la tête, juste un instant, pour la prière maintenant. Alors que nous nous détendons maintenant, tout le monde, pour le service.

16        Je vois deux petits enfants affligés assis ici ce soir, un petit garçon et une petite fille, assis dans des fauteuils roulants, une autre petite fille couchée sur les genoux de sa mère, couverte d’une couverture. Demandons à Dieu de bien vouloir être miséricordieux envers ces enfants ce soir, avec... Mais je vois un petit garçon affligé assis ici derrière aussi, dans les bras de sa mère, peut-être.

            Oh! Je vois un homme avec ses béquilles, près de lui. Quelle scène maintenant! Parlons au grand Créateur maintenant alors que nous avons nos têtes inclinées.

            Notre Père céleste, nous sommes venus ce soir dans aucun autre but que pour la gloire de Dieu et pour un témoignage de Jésus-Christ, Ton Fils. Cette grande réunion dans cette ville est maintenant même en train de toucher à sa fin. C’était à la fin de la réunion un jour, le voleur... Quand Jésus se tint au milieu des gens et cria: «Je suis le Rocher qui était dans le désert. Vos pères ont mangé la manne et ils sont morts.»

17        Et combien Il exalta Dieu devant eux en leur disant ce qu’était Sa mission sur terre. Père, nous prions que ces quelques dernières soirées, comme Il a été dans le futur, puisse-t-Il, même dans une plus grande mesure, se manifester à nous.

            Nous lisons ici dans Tes Ecritures ce soir qu’Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui. Et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Nous étions tous errants comme des brebis. Que Dieu soit miséricordieux envers nous tous. Pardonne-nous nos péchés.

            Aide-nous ce soir, Seigneur, à rejeter tout fardeau et le péché qui nous enveloppe si facilement, afin que nous puissions courir avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte, ayant les regards sur l’Auteur et le Consommateur de notre foi, Jésus-Christ. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

18        Maintenant, juste pendant quelques instants, pas pour prêcher, mais juste comme je le fais... exalter Christ. J’aimerais me servir d’un sujet, tiré de ceci, sur: La voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Vous savez, il y a deux voies pour toutes choses. Vous le savez, n’est-ce pas ? C’est votre voie et la voie de Dieu. Et vous ne pouvez pas être dans votre... suivre votre propre voie et suivre au même moment la voie de Dieu. Vous devez sortir de votre propre voie et laisser Dieu avoir Sa voie. N’est-ce pas vrai ? Eh bien, c’est soit droite, soit gauche.

            Eh bien, si vous suivez votre voie, vous êtes en dehors de la voie de Dieu. Et si vous arrêtez de suivre votre propre voie, vous entrez dans la voie de Dieu. Dieu peut suivre Sa voie, quand vous cessez de suivre votre voie. Mais tant que vous suivez votre voie, Dieu ne peut pas suivre Sa voie. Vous devez donc suivre l’une ou l’autre voie. Laissons donc tomber notre propre voie ce soir, et laissons Dieu avoir Sa voie. Dieu a une voie.

19        Il a comparé ici... Il a dit au prophète: «Nous étions tous errants comme des brebis.» J’aime ça. Dieu nous a comparés aux brebis. Je me demande pourquoi. Y a-t-il quelqu’un ici qui ait déjà élevé les brebis ? Eh bien, vous savez qu’une brebis, c’est l’animal le plus démuni de secours dans le monde une fois qu’elle est perdue. Elle ne peut simplement pas retrouver son chemin vers la maison, pas du tout. Est-ce vrai, vous, les éleveurs des moutons ? Et j’ai aidé à les élever moi-même dans la prairie à l’ouest, je les ai gardés beaucoup.

            Mais remarquez, une brebis, une fois perdue–une fois perdue, elle se tiendra simplement là et bêlera. C’est tout. Les loups peuvent venir l’attraper (C’est tout.), à moins qu’un berger vienne vers elle. C’est pareil avec nous; quand nous sommes perdus, nous sommes absolument sans espoir à moins que le Berger vienne nous prendre.

            Je suis donc content ce soir de ce que Dieu a Son Berger qui est placé sur Sa bergerie (Pas vous ?), de sorte que chaque fois que nous appelons, Il entend toujours... «Nous étions tous errants comme des brebis.» Voyez, c’est-à-dire égarés. Mais Dieu a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous.

20        Oh! Comme sur un seul Homme, l’iniquité du monde entier a été placée... Tous les péchés, toute maladie, tout le–tout... tout ce qu’il y avait de faux a été déposé sur cette seule Brebis, l’Agneau auquel Dieu avait pourvu. Et Il L’a amené au Calvaire et L’a crucifié pour être le–le–le substitut pour notre méchanceté, notre maladie, nos péchés, et tout ce que nous avions fait contre Dieu ainsi que tout ce que nous avions fait contre nous-mêmes, et chaque... Il–Il était–Il était le Sacrifice auquel Dieu avait pourvu pour nous, la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Maintenant, Dieu a toujours eu une voie. Il a une voie ce soir. Et Dieu, chaque fois avant d’envoyer le jugement, Il fraie toujours une issue. Dans chaque épreuve, Dieu fraie une issue. Et Dieu fraie une voie... Avant qu’Il envoie Son jugement, je pourrais d’abord dire, avant qu’Il envoie le jugement, Il envoie toujours la miséricorde. Et si vous rejetez la miséricorde, il ne reste que le jugement, et vous vous jugez vous-même. Voyez ? C’est vous qui vous jugez toujours.

21        Eh bien, ce soir, quand vous venez pour la guérison divine, vous dites: «Je ne crois pas cela.» Eh bien, vous ne pouvez pas être guéri... Il n’y a pas d’espoir pour vous. Voyez ? Mais vous vous êtes déjà jugé vous-même. Et quand vous–quand vous rejetez Jésus-Christ, le Sauveur et Dieu, vous n’avez pas à être jugé, vous êtes déjà jugé. Votre attitude envers la voie à laquelle Dieu a pourvu vous a jugé.

            Ce n’est pas–ce n’est pas nécessaire qu’un homme aille en enfer. Et Dieu n’envoie personne en enfer. Vous vous envoyez vous-mêmes en enfer. Dieu a tout fait tout ce qu’Il peut dans le monde pour vous empêcher d’aller en enfer. Et pourtant, vous vous déterminez à aller en enfer. Vous vous débattez pour passer par-dessus chaque barricade que Dieu érige sur votre chemin, vous passez carrément par-dessus cela. «Je ne crois pas dans ceci. Et je ne crois pas dans ceci. Et je ne crois pas dans cela.» Tout bonnement sans réfléchir...

            Eh bien, il y a les feux rouges ici dans la ville. Cela tourne au rouge et au vert. Cela vous indique quand vous pouvez vous arrêter et partir. Si vous brûlez cela, eh bien, ne condamnez pas la ville. Elle a placé les feux là pour votre protection. Mais si vous brûlez cela, tant pis pour vous. C’est vous–vous–vous qui vous êtes attiré le jugement.

22        Vous rappelez-vous la toute première petite cigarette en barbe de maïs que vous avez fumée, quand vous vous teniez derrière la–la cheminée, derrière la maison, et que vous êtes allé et vous avez mangé du café pour que maman ne sente pas votre haleine ? Maman a dit: «As-tu fumé ?»

            «Non, maman.»

            Quelle était la première chose ? Cette conscience dit: «Ne fais pas ça, petit garçon; tu mens.» Mais tu t’es débattu pour faire taire la conscience. «Non, maman. Je n’ai pas fumé ça.» Voilà, c’est là la première voie à laquelle Dieu a pourvu pour vous arrêter là même; ce sont les feux pour s’arrêter. «Stop. Ne dis pas ça. Dis-lui la vérité. Même si on te fouette, va de l’avant et dis la vérité à ce sujet.»

23        Puis, la chose suivante, vous fréquentez–vous fréquentez une église, vous entendez les cantiques être chantés, l’Evangile être prêché. Quelque chose... Et le Saint-Esprit se met à vous parler. «Viens, repens-toi.» Et vous dites: «Oh! Ce... Je–je–je–je suis jeune. J’ai encore beaucoup de temps. J’ai ceci. Je dois faire ceci.» Voyez ? Vous rejetez la voie à laquelle Dieu a pourvu et vous vous jugez.

            Comment pouvez-vous alors condamner Dieu ? Vous ne le pouvez pas. Vous–vous devez vous condamner vous-même. Ça ne sert à rien du tout à quelqu’un d’aller en enfer pendant que Dieu a pourvu à une issue. Vous ne pouvez rien au fait d’être un pécheur. Vous n’y pouvez rien. Vous êtes né un pécheur. Mais vous pouvez contribuer au fait de rester un pécheur. Car si vous acceptez Jésus comme votre... à votre place comme... Il a été fait péché pour vous, l’issue de Dieu. Vous n’avez pas alors à rester un pécheur. Vous deviendrez un chrétien et vous deviendrez saint: non pas de votre propre sainteté, mais de Sa sainteté; pas ce que–ce que vous êtes, mais ce que Dieu a fait pour vous en Jésus-Christ. Voyez ?

            Vos propres voies... Vous pouvez cesser de mentir. Vous pouvez cesser de voler. Vous pouvez cesser de fumer. C’est... Cela ne veut pas dire que vous êtes sauvé. Absolument pas. Vous êtes sauvé parce que Dieu a ordonné que vous soyez sauvé et Il a appelé votre coeur. C’est pourquoi vous êtes sauvé. «Nul ne peut venir au Père si... à Moi si le Père ne l’attire.» Et Dieu a frayé une issue maintenant.

24        Dans les jours de... Il avait pourvu à une issue pour cela... Considérez l’époque de Noé (Jésus s’y est référé.), jadis, dans le monde antédiluvien. Retournons dans le passé juste quelques instants et remontons.

            Eh bien, il n’avait jamais plu sur la terre. La terre était bien droite. La raison pour laquelle elle est inclinée vers l’arrière dans ce sens aujourd’hui, il fait chaud et il y a l’air frais, ce qui fait monter la vapeur et–et c’est ce qui amène les nuages et autres. Mais jusqu’à ce temps-là, il n’avait jamais plu sur la terre. Dieu arrosait cela par des sources et autres dans les jardins, les sources sous cela. Il n’avait jamais plu. Il n’y avait jamais eu un nuage dans le ciel au-dessus de cette terre jusqu’à ce temps-là.

            Et puis, Dieu a vu la méchanceté des hommes, comment ils péchaient. Et Dieu est saint. Il ne peut pas supporter le péché. Et Il a dit qu’Il détruirait les hommes. Il a dit à Noé d’aller prêcher un message de miséricorde avant que le jugement divin frappe.

25        Eh bien, qu’ont-ils fait en ce jour-là ? Ils ont ri et ils se sont moqués de Noé. Dieu avait pourvu à une voie pour que toute l’humanité échappe, si elle recevait cela. Mais l’homme a rejeté cela. Il ne voulait pas de cette voie-là. Il a pensé que Noé était fou. Je peux l’entendre parler là dans la ville, peut-être, là dans le... dans certaines villes de–de l’époque, disant: «Hé! Que pensez-vous de cette histoire de la pluie dont parle ce gars ? L’eau de la pluie va descendre des cieux. Avez-vous déjà entendu pareille chose ? Je n’en vois pas là-haut.»

            Mais si Dieu a dit qu’il allait y en avoir là-haut, Il peut en placer là-haut. C’est vrai. Dieu donnait une issue. Il accordait de la miséricorde aux gens. Et ils ont rejeté cela. Et–et cela... Noé a prêché cent vingt ans, cherchant à amener les gens à se réformer, à... non pas se réformer, mais se repentir, venir et–et entrer dans l’arche.

            Et tout le temps, il construisait la voie, par une arche. Il a construit cela avec une espèce de bois. Et il... pour le salut des gens de sa propre maison et de ceux qui viendraient... Il y avait une porte dans l’arche. Et, oh! comme je peux regarder là dans le passé et penser maintenant au temps où Noé avait fini de prêcher, et que tout le monde avait rejeté, ils s’étaient moqué de lui et l’avaient raillé... Croyez-vous cela ?

26        Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Noé... mangeaient, buvaient, se mariaient, donnaient en mariage...» morale, immoral, pollution, juste comme ce qu’on a aujourd’hui, tout à fait pareil, et un Message qui semblait aux yeux du monde comme du fanatisme. Alléluia! C’est vrai.

            Et Dieu a une voie à laquelle Il a pourvu ce soir, et elle est taxée de fanatisme. Mais c’est le Message de Dieu. Il y avait une Porte ouverte dans l’arche et cette Porte est Jésus-Christ, la Voie à laquelle Dieu a pourvu. Tout homme qui veut venir est le bienvenu. Mais rejeter cela, c’est mourir. C’est vrai.

            Et rappelez-vous, la même pluie qui avait noyé le monde a sauvé Noé. La même eau qui avait détruit le monde, qui avait amené le jugement sur le monde, c’est celle qui avait sauvé Noé. Et le même Saint-Esprit ce soir dont vous vous moquez et que vous rejetez, cela... nous taxant d’une bande de saints exaltés, ce même Saint-Esprit sauvera l’Eglise, jugera le monde et le condamnera. C’est vrai.

27        L’Eglise sera enlevée. Le monde sera condamné par le même Esprit qu’ils écoutent ce soir. C’est vrai. Rejeter Cela, c’est la mort; recevoir Cela, c’est la Vie: C’est soit droite, soit gauche; soit négatif, soit positif.

            Et ce qui arriva... Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Noé.» Mais Dieu était déterminé à ce que quelque chose soit sauvé. Et, écoutez, présentons cela sous forme d’une saynète. J’aime vraiment ça.

            Comme je peux l’entendre là jadis: Noé a fini de prêcher. Ses fils avaient cru ainsi que leurs femmes et tout. Ils étaient prêts. Il n’y avait jamais eu de pluie. Et tout d’un coup, vous savez, je peux entendre le premier grondement comme celui d’un tonnerre. Je peux entendre quelqu’un dire: «Qu’y avait-il là dans la ville ?»

            Oh! Ils dansaient et, oh! ils mangeaient et buvaient, ils se tapaient un très glorieux moment, plein d’allégresse, juste comme le monde d’aujourd’hui. Car Christ a dit qu’il en sera de même. Il ne peut pas être autrement.

28        Ça ne sert à rien de prier pour que cela change. Cela ne peut pas être changé, car Dieu a déjà dit que cela ne changera pas. Tout ce qu’il y a à faire, c’est vous sauver vous-même de cette génération en comptant sur Jésus-Christ, en L’acceptant et en naissant dans la voie à laquelle Dieu a pourvu, le baptême du Saint-Esprit. Amen.

            Ecoutez. Il est mort sur la croix. Et Il a saigné là. Il était un... Il s’est revêtu de la nature de la chair du péché. Il est mort à ma place. Il était juste comme... Dieu avait retiré du flanc d’Adam une côte et Il a formé une épouse pour lui. Dieu a ouvert le flanc de Christ et Il a fait sortir l’eau, le Sang et l’Esprit pour former une Epouse, pour la... Lui-même, pour Christ. Oh! Que c’est beau!

            «Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit (pas dans une seule qualité de membre d’église), dans un seul Esprit (Amen!), nous avons tous été baptisés pour former un seul Corps et devenir membres de ce Corps-là.» Et tout aussi certainement que Dieu a ressuscité ce Corps-là littéralement (de la tombe), le Corps spirituel ira dans l’Enlèvement. Exact.

29        Ce qui arriva du temps de Noé. Le premier tonnerre... Oh! la la! je peux lever les yeux là et je peux entendre la ville commencer à se moquer de cela, disant: «Nous nous demandons ce que c’était. Une détonation s’est fait entendre quelque part.» Mais regardez.

            Considérons même les animaux. Je peux voir la vieille mère oiseau perchée là-haut sur un arbre. Elle gazouille, et le père oiseau, là-bas, est heureux. Et la chose suivante, vous savez, eh bien, quand ils ont entendu le coup de tonnerre, la vieille mère oiseau a dit: «C’est exactement ce que Noé avait dit. Allons.»

            Je peux voir la vieille mère chamelle, là sur la colline, et le père chameau: «C’est ça, maman, allons. C’est exactement ce que Noé avait dit.»

            Je peux voir le petit singe, avec sa noix de coco. Il la laisse tomber. Il dit: «Tiens, maman. Allons.» Ils entrèrent, deux à deux, dans l’arche. Je vous assure, quelque chose doit entendre l’Evangile. Alléluia. Il y a l’Esprit de Dieu sur la vie animale, qui a fait entrer les animaux dans l’arche, à combien plus forte raison le Saint-Esprit amènera-t-Il les hommes et les femmes aujourd’hui, qui croient en Dieu, qui écoutent les Ecritures et qui écoutent la Parole et qui voient la voie de Dieu ? Oh! Comme c’est merveilleux! Oui, oui. «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»

30        Moïse suivit la voie à laquelle Dieu avait pourvu quand ils étaient là en Egypte. Comment allaient-ils sortir ? Cela... Dieu continuait à endurcir le coeur de Pharaon. Mais Il a dit: «Eh bien, Je vais frayer une issue; en effet, Je vais envoyer la mort sur tout le pays.»

            Dites donc, écoutez, voici quelque chose de frappant. Observez, fléau après fléau après fléau, mais le dernier fléau qui était tombé fut la mort, juste avant la délivrance.

            Remarquez cela. Combien c’est frappant aujourd’hui. Jésus a dit qu’il y aurait... viendrait des temps périlleux, les coeurs des hommes défailliraient; Il a dit qu’il y aurait de l’angoisse chez les nations, des mugissements de mers, des raz de marées dont on n’a jamais entendu parler auparavant, éclatant dans des mers. Oh! Dans toutes ces choses, des signes s’accompliront. Juste ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même. Oh! C’est merveilleux.

            Mais souvenez-vous, la dernière plaie qui tomba, c’était la mort. Et la dernière chose... Dieu nous a donné avertissement après avertissement, avertissement après avertissement. Maintenant, la dernière chose qui vient, c’est la mort, la mort spirituelle. Les églises meurent spirituellement. C’est vrai, ami.

31        Nous parlons d’un réveil en Amérique; nous n’avons pas de réveil. Nous avons un tas d’adhésions à l’église, mais nous n’avons point de réveil.

            L’un des célèbres évangélistes, il n’y a pas longtemps, affirmait avoir eu trente mille en six semaines (ou vingt mille, je pense que c’était cela); environ six semaines après cela, il n’arrivait pas à trouver vingt personnes. La raison en est que, ami, on amène les gens juste à faire une confession, à se tenir debout et à s’asseoir. C’est bien. C’est en ordre, jusque là vous êtes arrivé.

            Mais, frère, il y a une expérience plus profonde que ça. Vous devez amener la personne au point où le Saint-Esprit a le contrôle de cette vie-là par le baptême du Saint-Esprit. C’est ça la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            C’était pareil du temps de Noé. Certains parmi eux se levaient et disaient: «Eh bien alors, regardez. Si cela arrive tel que Noé l’a dit, je vais simplement monter sur un grand rondin du peuplier blanc et naviguer.»

32        La voie à laquelle Dieu avait pourvu était la seule chose qui navigua. Votre popularité ne subsistera pas en ce jour-là. Elle ne subsistera pas en ce jour-là. Peu m’importe ce que vous avez. Dieu n’a pas de raccourcis. Vous passez par la croix, vous naissez de nouveau, vous êtes rempli du Saint-Esprit, sinon c’en est fait de vous. Vous êtes perdu. Pas de raccourcis, vous devez suivre la voie de Dieu.

            Et si je me mettais en route vers la maison ce soir et que je disais: «Voyons donc, pour aller tout droit, ça serait juste comme ceci», je m’enfoncerais dans la boue. Il y a une autoroute à laquelle il a été pourvu. Je dois prendre des repères et les suivre.

            Et je vous assure, voici ce que Pierre a dit le jour de la Pentecôte. Il a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé... Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin (même à Connersville, dans l’Indiana), en aussi grand nombre que l’Eternel notre Dieu les appellera.»

33        Et depuis ce temps-là, frère, Jésus a dit: «Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il n’entrera en aucun cas.» Ils ont adopté diverses choses, amis, mais ce n’est pas la Bible de Dieu. Pas de raccourcis, vous devez suivre la voie rugueuse. Assurément.

            Je pense à Naaman d’autrefois, quand il a cherché à prendre un raccourci. Le prophète lui avait dit: «Descends plonger dans le Jourdain.»

            «Oh! a-t-il dit, il y a des eaux ici tout aussi valables–tout aussi valables ici que là-bas.» Eh bien, il remontait avec sa lèpre. Mais le prophète lui avait dit d’aller plonger dans le Jourdain.

            Et je peux le voir. Cela–cela affectait un peu son prestige. Il sortit de la barque, ou il descendit de son drôle de petit char, il s’avança là, se tenant le nez, vous savez, il a plongé ses taches. Cela pourrait vous faire mal, cela pourrait vous bouleverser complètement.

            Il n’y a pas longtemps, un prédicateur m’a dit, un enseignant de l’école du dimanche plutôt, dans la ville où j’habite. Il a dit: «Frère Branham, comment diantre pouvez-vous prêcher pendant que tous ces gens disent: ‘Amen’ et ‘Alléluia’, crient et pleurent ?»

            «Eh bien, ai-je dit, s’ils ne faisaient pas cela, je ne pourrais pas prêcher.» Frère, c’est vrai.

            Il a dit: «Cela m’énerverait beaucoup.»

            J’ai dit: «Pas moi.» Et j’ai dit: «Si–si rien ne se passe, alors je deviens énervé.»

34        Vous savez, votre «amen» ne me fait pas mal. Vos cris, et vos pleurs, ça ne me dérange pas. Cela me rappelle quand j’allais chasser. J’aimais chasser la nuit. Avez-vous déjà fait cela, vous les péquenauds ici, chasser l’opossum ?

            Et j’avais un vieux chien qui n’avait qu’une seule dent. Mais, frère, il était très courageux. Et il attaquait tout sauf une mouffette. Et alors, quand nous la faisions passer sous un tas de broussailles, comme cela, tout ce que j’avais à lui faire faire pour aller chercher la mouffette, c’était juste relever le tas de broussailles, le frapper sur le dos et dire: «Attaque-la, mon vieux, attaque-la, mon vieux.» Et il attrapait cette mouffette là aussi.

            Frère, la pire mouffette que je connaisse, c’est le diable. La chose à l’odeur la plus nauséabonde que j’aie jamais... Eh bien, vous dites donc: «Amen.» Et c’est: «Sifflez-le, mon vieux. Il le poursuivra à un arbre.» Oh! Je veux vous dire: «Plaque-le contre...» C’est vrai.

35        Ô Dieu, fraie une issue: la voie à laquelle Dieu a pourvu. Ne cherchez pas à suivre votre propre voie. Noé a cherché à suivre... ou plutôt les gens du temps de Noé ont cherché à suivre leur voie, leur propre voie. Mais Dieu avait une voie, la voie de l’arche.

            Il a une voie aujourd’hui, et c’est la voie du Calvaire. Et vous dites: «Eh bien, je crois cela, Frère Branham.» Eh bien, si vous avez cru et que vous êtes passé par la Porte, vous devez recevoir le Saint-Esprit. Exact.

            Quelle belle parabole c’était, celle qu’Il a enseignée sur le souper de noces. On a trouvé quelqu’un là sans l’habit de noces. Eh bien, c’est vraiment typique. En Orient, à l’époque, quand on offrait un–un souper ou l’une ou l’autre chose, c’est l’époux qui devait offrir les robes. C’est–c’est ainsi que ça se passe aussi dans cette affaire, le souper des noces où nous allons.

            Et alors, l’époux louait le service d’un homme pour qu’il se tienne à la porte. Et tout celui qui avait reçu une invitation arrivait à la porte. Pauvre ou riche, n’importe quel genre, on le revêtait de cette robe. Une fois entrés, ils étaient tous pareils. J’aime ça.

36        Frères, il n’y a alors pas de: «Moi, je suis grand; toi, tu es petit», quand vous passez par la Porte. Et alors, Il a trouvé là derrière quelqu’un qui ne portait pas l’habit de noces. Il était entré par une autre voie que par la porte. Et Jésus a dit: «Ami, que fais-tu ici ?» Et il est resté bouche bée.

            Et si vous essayez de monter par l’échelle de votre propre moralité ou par un quelconque credo, ou une quelconque église, frère, vous allez vous retrouver dans le même cas. Tout homme qui passe par la Porte va se revêtir de la même robe. Et cette robe-là, c’est le baptême du Saint-Esprit. Tout homme paie le même prix.

            Une dame m’a dit, elle a dit: «Cette femme là au fond de la salle, en train de crier et de pleurer, a-t-elle dit, eh bien, simplement je–je... eh bien, cela m’ennuie.» Elle a dit: «Eh bien, cela–cela me donne des frissons dans le dos, de l’entendre pleurer et pousser des cris.»

            J’ai dit: «Vraiment ?» J’ai dit: «Si jamais vous avez assez de chance pour arriver au Ciel, vous gèlerez alors à mort, quand vous arriverez là et que vous entendrez tous ces cris, tous ces hurlements et ces cris là-haut. Eh bien, ils crient: ‘Saint, Saint, Saint’ devant Lui nuit et jour. Tout le temps.»

37        Certainement, Dieu a une voie à laquelle il a été pourvu. Vous direz: «Vous avez un peu de ce nouveau genre de nouvelle religion, Frère Branham ?» Non, non. J’ai un cas pimpant neuf du genre de l’ancienne religion. Oh! Eh bien, assurément.

            Là loin avant que le monde existe même, ils avaient la religion des cris. «Où étais-tu, a demandé Dieu à Job, quand je fondais la terre ? Quand les étoiles du matin chantaient ensemble et que les fils de Dieu éclataient en chants d’allégresse ?» Amen.

            Ai-je quelque chose de nouveau ? Non. C’est toujours la même chose. Alléluia! Il n’est pas étonnant que quand cette Pierre entrait à Jérusalem en roulant, tous chantaient: «Hosanna, hosanna.»...

            Et ces sacrificateurs empesés disaient: «Dis-leur de se taire. Ils... Oh! Ils–ils m’énervent.»

            Il a dit: «Si eux se taisent, les pierres se mettront aussitôt à crier.» Quelque chose doit se passer. Oui, oui.

38        Je peux voir Moïse avant le grand temps de séparation. Avant que la mort vienne frapper le pays, Dieu fraya une issue pour ceux qui croyaient; il dit: «Allez prendre un agneau mâle. Gardez-le pendant quatorze jours.» C’est un type parfait de Christ. Le premier-né à la mère brebis, ça devait être un mâle, gardé pendant quatorze jours pour être examiné. Il ne pouvait pas avoir un défaut.

            Christ, même chose, le Premier-né d’une mère, une vierge, qui a été éprouvé... Même Ponce Pilate a dit: «Je ne trouve aucune faute en Lui.» Personne ne pouvait trouver cela.

            Juda Iscariot a dit: «J’ai trahi le Sang innocent.»

            Cette femme païenne là-bas, celle de Pilate, avait eu un songe et elle a envoyé un–un jeune homme depuis le palais. Je peux voir Pilate, debout là, bien prêt à prononcer le jugement sur Jésus. J’entends un cheval venir en courant, au galop, là-bas. Un jeune homme saute de là et s’approche en courant. Il se prosterne à côté du... de son maître, il se lève et lui remet un morceau de papier. Il regarde cela. Je peux voir son visage pâlir, ses genoux s’entrechoquer. Regardons par-dessus son épaule pour voir ce qui est écrit.

39        Cela vient donc d’une païenne. Elle disait: «N’aie rien à faire avec cet Homme juste. Car j’ai beaucoup souffert en songe aujourd’hui à cause de Lui.»

            Je vous assure. Chaque ennemi avait eu à témoigner de Lui. La lune, les étoiles n’ont pas donné de leur gloire en ce jour-là. C’était le Fils de Dieu. Le centenier romain a dit: «Oui, c’était le Fils de Dieu.»

            Et il a dit: «J’ai trahi le Sang innocent.» Alléluia! Oui, oui. Il est la voie à laquelle Dieu a pourvu ce soir.

            Voici... Chaque homme ou chaque femme qui ait jamais quelque... qui ait accompli quoi que ce soit pour Dieu, ça a été des hommes et des femmes qui avaient cru cela, qui s’y étaient accrochés et qui avaient gardé cela. Cela avait ravi les coeurs des poètes au cours des âges.

            Quand je pense à Eddie Perronet jadis: Que pensez-vous de Christ, Eddie Perronet, alors qu’il composait la–la glorieuse chanson ?

            Que tous acclament la puissance du Nom de Jésus!
            Que les anges se prosternent;
            Apportez le diadème royal,
            Et couronnez-Le Roi de tous.

40        Et je pense à Hopkins, après qu’il eut été persécuté et tout, tel qu’il l’a été, il a dit:

            Quand je considère la merveilleuse croix
            Sur laquelle le Prince de Gloire mourut,
            Je considère toute ma douleur comme une perte...

            Oh! la la! Je demanderai à un autre: Que pensez-vous de Christ ? Qui pensez-vous qu’Il était ?Je pense à–à l’aveugle Fanny Crosby. Que pensez-vous de Lui ? Vous étiez aveugle, jamais de votre vie vous n’aviez vu la lumière du jour. Que représente Christ pour vous ? Si elle pouvait se tenir ici ce soir, voici ce qu’elle dirait:

            Ne me dépasse pas, ô doux Sauveur,
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne me dépasse pas.

            Toi, la Source de tout mon réconfort,
            Plus que la vie pour moi,
            Qui d’autre ai-je sur terre à part Toi ?
            Qui au ciel sinon Toi.

            C’est vrai.

41        Un autre a écrit: Vivant, Il m’aima; mourant, Il me sauva;Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;Ressuscité, Il me justifia librement pour toujours;Un jour, Il viendra, ô glorieux jour!

42        Certainement. L’Agneau auquel Dieu a pourvu, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu...

            Il a dit: «Maintenant, attends, Moïse, Je vais faire de toi un type.» Il a pris le sang de cet agneau, il l’avait immolé le soir.

            Remarquez, tous les anciens d’Israël devaient rendre témoignage à cela. Et ils ont rendu témoignage de la mort, tout comme ils l’avaient fait là-bas. Ils ont dit: «Que Son Sang retombe sur nous.» Et Il est mort au temps du soir. Jésus est mort à quinze heures. Alors, ils ont pris le–le sang de l’agneau, avec l’hysope, et ils ont aspergé cela sur le montant et le linteau de la porte.

            Avez-vous remarqué ? Pas sur le plancher, cela ne devait pas être regardé d’en haut. On devait lever les yeux pour regarder cela. Et remarquez, sur le montant de la porte et sur le linteau; parfait, la croix. C’est là qu’était le sang.

            Dieu dit: «Quand Je verrai le Sang, Je passerai, Je passerai par-dessus vous. Quand Je verrai le Sang.» La voie à laquelle Dieu a pourvu.

            «Comment allez-vous échapper à la mort ?»

            Il a dit: «Je regarderai le sang.»

            Et là, cette nuit-là, dehors... Présentons cela sous forme de saynète. Je peux voir le père, évidemment, dans–dans l’Ancien Testament; c’était lui le sacrificateur à la maison. Maintenant, c’est lui le chef de file. Eh bien, il descend, il met un... sur la porte et le linteau, et le montant. Et puis, quand la nuit était tombée, je peux voir toutes les jeunes filles là-bas sortir dire aux jeunes filles hébraïques: «Venez, nous allons partir à la danse.»

            Eh bien, elles répondent: «Nous ne pouvons pas aller. Nous sommes sous le sang.» Quel type! «Nous suivons la voie à laquelle Dieu a pourvu.»

            «Du non-sens avec cette religion-là. Qui pensait que ce sang ferait quoi que ce soit ? Sortez, allons nous taper un bon moment.»

43        Mais elles sont restées sous le sang. Dieu a dit que quand vous passez sous le Sang, restez-y (C’est vrai.), pas un pied dedans, un pied dehors, un pied dedans, un pied dehors. Restez-y.

            Peu après, minuit sonna, l’heure très sombre, et un nuage vrombissant passait. Je peux regarder et voir passer là, je vois deux grandes ailes noires se déployer à travers la nation. Cela vient. Je peux entendre le sacrificateur de la famille, le père, dire: «Voilà l’ange de la mort qui parcourt le pays maintenant: Il est trop tard maintenant.» Et directement, je peux le voir descendre dans une vallée, j’entends un cri s’élever de cette maison-là. Le fils était mort. Il s’en est allé. Le voici venir directement, à une autre maison encore, il entre. Les grandes ailes noires s’approchent de la maison. Un cri s’élève: «Le fils est mort.»

            Je peux entendre le petit garçon dire: «Papa ? Regarde encore. Rassure-toi que le sang est là.» Oui, oui.

44        Je vous assure, si jamais il y a eu un temps où un homme devrait s’examiner, c’est maintenant même, frère. Le sang est-il sur la porte ? Examinez tout autour et regardez bien. Alors, la chose suivante, vous savez, il a continué à surveiller cela. Le petit garçon a dit: «Papa, ces ailes me rendent nerveux.»

            Il a dit: «Fils, aie bon courage. Il y a du sang sur la porte. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. Nous sommes dans Sa voie.» Alléluia! Ce que le monde dit importe peu. Nous sommes sous le Sang. Alléluia!

            C’est pareil aujourd’hui pour chaque homme qui est né du Saint-Esprit: sous le Sang, peu importe ce que le monde a à dire à ce sujet, il peut vous taxer de fanatique s’il le veut, pourvu que vous sachiez que le Sang a été appliqué.

45        Très bien. Il a dit: «Il n’y a pas de danger. Et la chose suivante, ces grandes ailes noires se dirigeaient vers cette maison-là. Il a vu le sang et il est simplement passé par-dessus. Oh! Que c’est merveilleux!

            Quand Il est descendu là à la rivière et qu’ils ne pouvaient pas traverser, et à cause des armées, Dieu a frayé une issue. Dieu avait une voie à laquelle Il a pourvu. Quand ils sont entrés dans le désert et qu’ils n’avaient rien à–rien à manger, Dieu a fait pleuvoir la manne. Il était la Voie à laquelle il est pourvu. Quand ils tombèrent malades, Il pourvut à un serpent d’airain, frayant une issue.

            Les gens... Je peux les voir se rassembler là. Les gens venaient regarder le serpent d’airain pour être guéris.

            «Eh bien, qu’y a-t-il dans ce serpent-là ? Qu’est-ce que cela a à faire avec la chose ?» Certains parmi cette foule de gens de toutes espèces étaient montés. Nous en avons toujours. Beaucoup. «Oh! Ce fanatisme, ils sont assez pour...» Mais les autres regardaient et vivaient. C’était la voie à laquelle Dieu avait pourvu pour la guérison divine, pour eux. C’est vrai.

46        Un jour, à la piscine de Béthesda, Dieu avait une voie à laquelle il avait été pourvu pour eux. Un peu plus tard, il y eut un homme qui passa par là, s’ils se mettaient à son ombre, c’était la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Ce soir, Il a le Saint-Esprit ici, qui est la Voie à laquelle Dieu a pourvu, et cela se prouve. C’est vrai. Se séparer du péché, ôter toutes les iniquités et guérir les malades et les affligés, Dieu le fait: La voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Remarquez, l’issue. Eh bien, allons un peu plus loin. Un jour, ils étaient à court d’eau. Ils se mirent à murmurer, à grogner. L’Eglise murmure et grogne, se plaignant contre Moïse, se plaignant contre Dieu, et Dieu arrêta l’approvisionnement en eau.

47        C’est pratiquement comme pour nos Eglises pentecôtistes d’aujourd’hui. L’une d’elles dit: «Gloire à Dieu. Je suis membre des assemblées de Dieu.» L’autre dit: «Je suis de l’Eglise de Dieu.» Et l’autre encore: «Je suis de la Pentecôte unie.» «Je suis ceci, cela ou autre.» Vous continuez à grogner et Dieu arrête l’approvisionnement en eau pour vous. C’est vrai.

            Unissez vos coeurs. C’est vrai. Les ruisseaux s’ouvriront encore. Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est d’une bonne effusion venant du Ciel, à l’ancienne mode. Oui, oui.

            Je pense à vos différentes séparations. Jacob en a vécu un type très clair. Il creusa un puits, et les Philistins l’en chassèrent. Il l’appela Malice. Il creusa un autre puits et les Philistins l’en chassèrent. Il l’appela Querelle. Il creusa un autre puits; il dit: «Il y a de la place pour tous.» C’est vrai. «Tout le monde, venez boire.» C’est ce qui se passe ce soir.

            De la place, de la place, oui, il y a de la place... Il y a de la place à la Fontaine pour chaque personne ici présente. Chaque âme malade du péché, il y a de la place à la Fontaine. Pour chaque malade et chaque affligé, il y a de la place à la Fontaine.

48        Remarquez. Oh! la la! Puis, Dieu parla à Moïse: «Va là et parle au Rocher, et il fera jaillir ses eaux.» Faire jaillir «ses», «ses», c’est un pronom personnel. «Parle au Rocher, et il donnera de ses eaux afin que vous puissiez boire, toi et le peuple et le...»

            Observez. Eh bien, c’était la chose la plus insensée qui puisse être dite, pour l’esprit charnel. C’est juste comme parler du baptême du Saint-Esprit aujourd’hui à un esprit charnel: «Eh bien, cette bande de gens, ce sont des fous. Eh bien, c’est un... c’est la chose la plus insensée que vous ayez jamais entendue. Si votre médecin vous a déjà dit que vous allez mourir, quoi d’autre au monde peut être fait ?» Mais Dieu a dit: «Parle au rocher.» Amen.

49        Eh bien, a-t-il dit, nous avons été à chaque point d’eau qu’il y a ici. Nous avons creusé là où il y avait de l’eau. Nous sommes descendus ici et chaque endroit est aride. Nous visitons chaque source et c’est sec. Et le rocher était le lieu le plus sec qu’il y avait au désert. Oh! Comme Dieu prend les choses insensées de ce monde pour confondre les sages!

            Eh bien, je dirais... Vous pouvez avoir pêché à la seine dans chaque cabinet de médecin qu’il y a dans la ville. Je... Je suis... Nous sommes... Je ne parle pas contre le médecin. Il fait ce qu’il peut. Il y a juste quelques instants, avant de venir ici, l’un des plus grands médecins dans le sud se tenait chez moi, il me parlait... Non seulement cela, mais il avait amené un patient qui souffrait d’une maladie incurable. Il a dit: «Je sais où il y a quelqu’un qui peut offrir la prière de la foi, et j’ai amené le jeune homme.» C’est vrai. L’une des sommités en chirurgie dans l’hôpital juif...

            Remarquez, alors, quand il... ils ont... ce ne sont que des hommes comme vous et moi. Ils ont une âme. Ils doivent mourir comme nous. Le médecin prend son propre médicament et meurt. Que se passe-t-il ? Le médicament, ce n’est pas ça le Guérisseur. C’est Dieu qui est le Guérisseur. Le médicament est une aide. Le médicament est bien. Mais le médicament est... On reçoit une assistance; ce n’est pas un guérisseur. Le médicament ne guérit pas. Les médecins ne disent pas que cela guérit. Seulement, ils... Mais Dieu donne ça ici, c’est un remède et tout. Le médicament est un remède; Dieu est la cure. Voyez-vous ce que je veux dire ?

50        Maintenant, remarquez ceci. Quand Moïse a dit... On lui avait dit de parler au Rocher et qu’Il donnerait de l’eau. Oh! L’esprit charnel regardait le Rocher, et c’était le lieu le plus sec du désert, juste à peu près comme l’Eglise du Saint-Esprit aujourd’hui. «Eh bien, disaient-ils, si jamais Dieu faisait opérer des dons, certainement qu’Il ne les enverrait pas à ce tas de fanatisme.»

            Il n’y a pas longtemps, je parlais à une jeune dame, qui est journaliste. Elle était venue. Je ne sais pas comment elle avait découvert où je restais. C’était en Oregon. Et elle avait un paquet de cigarettes. Et elle allait en faire sortir une pour fumer.

            Et je pense que c’est la chose la plus vile et la plus immorale qu’une femme puisse faire. Et je n’ai pas d’excuse pour cela. Si Dieu n’a pas plus de considération pour vous au jugement et que l’Ange de Dieu me parle à ce sujet, vous avez une plus moindre chance que n’importe qui, dans le pays, de jamais entrer. C’est vrai. Oui, oui.

51        Alors, elle a fait sortir une cigarette. Elle montre simplement ses couleurs, ce qu’elle est, quand elle fait ça. Eh bien, que votre visage rougisse. Et vous les hommes qui laisserez votre femme fumer la cigarette, cela montre ce que... qui est le patron à la maison. C’est vrai. Vous les laissez s’étaler là dehors, dans ces drôles de petits habits de plage et tout, étalées là devant des hommes, nues...

            J’ai une jeune fille à la maison. Elle peut vouloir aussi bronzer au soleil. Mais, frère, si elle le fait, elle va avoir le bronzage du fils. Ça sera du fils de Charlie Branham, avec une lame de tonneau à son derrière, la ramenant à la maison aussi vite que je le peux. C’est vrai. Je lui donnerais le genre de bronzage du fils dont elle a besoin. Oui, oui. Je suis sérieux là-dessus. Que Dieu nous donne certains de ces bons vieux...

            Vous parlez du taux d’alphabétisation dans le Kentucky, par ici, où certaines de ces vieilles mamans allaient, jadis, et élevaient leurs jeunes... Eh bien, cela vous ferait honte à vous-mêmes alors de dire: «Elles sont des ignorantes.» Quel est votre problème ? Oh! C’est juste...

52        Eh bien, je ferais mieux d’arrêter là-dessus. En effet, frère, je crois que c’est soit vrai, soit faux. Il n’y a pas de ligne de démarcation. Vous êtes soit dedans, soit dehors. Et si vous faites ces choses-là, cela montre que vous êtes dehors. «Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous», a dit Jésus. C’est vrai. C’est donc à leurs fruits qu’on les reconnaîtra.

            Eh bien, je me tiens derrière la chaire. Je ne m’adresse pas personnellement à quelqu’un; je dis ce que Dieu a dit. Je suis responsable de prêcher cela. Et Dieu vous tient responsable de la façon dont vous agissez à ce sujet. C’est vrai. Amen. Oh! C’est la vérité.

            Et là, j’ai remarqué jadis que quand il parla au rocher, le rocher donna de ses eaux.

53        Il y eut, un jour, un homme du nom d’Elie. Le Seigneur lui dit: «Maintenant, je vais faire une issue. Je vais t’envoyer là sur la montagne. Je veux que tu restes là-haut, car il ne va pas pleuvoir pendant trois ans et six mois.»

            Et ce vieux prédicateur s’est avancé d’un pas lourd là devant ce roi et a dit: «Même pas la rosée ne tombera du ciel, sinon à ma parole.» Comment s’y était-il pris ? Il savait que ce que Dieu avait dit était la vérité.

            Il est monté là sur la colline, et je peux l’entendre dire: «Roi Achab, a-t-il dit, regarde ici. Dis à Jézabel...» Sa petite femme fardée à outrance, vous savez, avec toute cette manucure sur son visage et... Vous savez, les femmes pentecôtistes font aussi cela. Frère, Dieu...

54        Ecoutez, laissez-moi vous dire quelque chose. Je ferais tout aussi bien de le dire ici même. Il y a longtemps, c’était mauvais de faire cela. Mais ça ne l’est plus. C’est juste comme on prenait le vieux Charley Barley Corn portant son chapeau épouvantail, le vieux Charley... On le met sur le plein verre, dans une boîte à conserve, on le met sur la glacière. Vous l’habillez un tout petit peu, mais c’est toujours Charley Barley Corn. C’est tout autant un péché de boire cela d’un plein verre qu’il l’était de boire d’un vieux tonneau il y a longtemps. Exact.

            Permettez-moi de vous dire quelque chose, femmes. Si vous êtes coupable de cela, écoutez, je vais vous dire quel sera le teint le meilleur par rapport à n’importe quoi. Prenez un peu de–d’Evangile dans votre coeur. C’est vrai. Cela fera l’affaire.

            Permettez-moi de vous le dire: Il n’y a qu’une seule femme dans la Bible qui se soit jamais maquillé le visage pour rencontrer des hommes. Et c’était Jézabel. Et Dieu l’a donnée en pâture aux chiens. Eh bien, si vous voyez une femme avec beaucoup de maquillage sur le visage, dites: «Voilà mademoiselle Viande pour chiens.» C’est ce que Dieu a dit. C’est tout à fait vrai. C’est mademoiselle Viande pour chiens. C’est ce que la Bible... Et Dieu l’a donnée en pâture aux chiens. C’est... amen.

55        Frère, ce dont nous avons besoin, c’est de la puissance de l’Evangile de Dieu, à l’ancien temps, envoyé du Saint-Esprit, pour redresser l’Eglise et ramener droit dans le ring comme cela devrait être. Que Dieu aide ces prédicateurs; je ne parle pas de ceux-ci: Traînailler en gants de petits enfants, effrayés de blesser quelqu’un. Je préférerais blesser chaque homme au monde et avoir l’amitié de Dieu. Dites la vérité. Dieu honorera cela. Amen.

            Amen veut dire ainsi soit-il. N’ayez pas peur. Cela ne vous fera pas de mal. Eh bien, regardez, frère. Elie est monté là et s’est assis à côté du torrent, certains parmi eux ont dit: «Ce pauvre illettré, assis là-haut, au sommet de cette colline...»

56        Eh bien, la chose suivante, vous savez, toutes les fontaines avaient séché. Il n’y avait pas de pluie. Ils ont dit: «Eh bien, je pense que ce vieil homme crève pratiquement de faim là-haut.» Ils ont dit: «Eh bien, il avait... Eh bien, regardez-le là-haut, au sommet de la colline.» Mais il... Chaque fois qu’il voulait boire de l’eau, il s’agenouillait simplement et buvait. Est-ce vrai ? Et on le taxait de fou.

            Eh bien, eux qui étaient là en bas étaient censés être très intelligents et ils crevaient de faim. Un bon type d’un croyant né de nouveau ce soir. Nous sommes assis près du torrent, près de la Fontaine inépuisable de la Vie, Jésus-Christ.

            Si jamais quelqu’un parmi nous a besoin d’une bénédiction, agenouillons-nous et buvons. Alléluia. «Je lui donnerai des fleuves d’eaux vives, qui bouillonnent dans son âme, des sources jaillissant.» Asseyez-vous une fois à côté de Lui et parlez-Lui. Voyez si ce n’est pas vrai.

57        Ils vous voient là, en train de vous essuyer les larmes des yeux, criant simplement et poussant des cris, passant un bon moment. Puis, ils vous taxent de fou comme on avait taxé Elie. Il réussissait mieux qu’eux.

            Eh bien, vous direz: «Ce vieux prédicateur assis là-haut dans le désert...» Oui, oui. Il suivait la voie à laquelle Dieu avait pourvu pour lui en ce temps de sécheresse. Il était assis là-haut, près de...

            Eh bien, il s’en tirait mieux que beaucoup de gens à Connersville. Il avait des serviteurs de couleur. La Bible dit que chaque fois qu’il avait faim, ou quelque chose comme cela, les corbeaux venaient avec un sandwich. Ils le lui tendaient directement. Vous n’êtes pas si heureux vous-mêmes, et puis, vous le taxez de fou. Il savait ce qu’il faisait. Il suivait la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Alléluia! Oui, oui.

            Un prédicateur m’a dit il n’y a pas longtemps, un témoin de Jéhovah, il a dit: «Frère Branham, voulez-vous me dire que vous pensez que c’est la vérité ?»

            «Eh bien, ai-je dit, cela est certainement la vérité.»

            Il a dit: «Voulez-vous dire que ces corbeaux apportaient des sandwiches à Elie ?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur, ils lui apportaient le pain et la viande.»

            Il a dit: «Où au monde, pensez-vous, qu’ils trouvaient cela ?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.» J’ai dit: «Tout ce que je sais, c’est qu’ils apportaient cela. Elie ne le savait probablement pas. Ils apportaient cela et lui, il mangeait.»

58        C’est pareil avec le baptême du Saint-Esprit. «Qu’est-ce qui fait cela ?» Je ne sais pas. Dieu L’envoie. Je m’En abreuve. C’est réglé. Tant que–tant que Dieu L’envoie, c’est la voie à laquelle Il a pourvu. Il envoyait cela par un corbeau en ce jour-là. Il envoie cela par l’Esprit aujourd’hui. Alors, je reste simplement assis, je mange et je bois, et je me tape un bon moment.

            Ils disent que vous êtes fou. Allez directement de l’avant. C’est en ordre. Alléluia! Tant que je suis la voie à laquelle Dieu a pourvu, tant que je suis assis à la Fontaine, alors je peux manger et boire quand j’ai faim. Amen. Oh! la la! Que c’est merveilleux!

59        Il y eut une fois des gens qui s’inquiétaient de ce que Jésus s’en allait. Jésus a dit: «Ne vous inquiétez pas. J’ai frayé une voie pour vous. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. Car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

            «Eh bien, comment vas-Tu être avec nous sans être dans le monde ? Je ne peux pas comprendre.»

            Il a dit: «Je vais vous dire ce que vous faites. Voulez-vous suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu ?»

            «Assurément.»

            «Montez simplement au... à Jérusalem et attendez là jusqu’à ce que le Saint-Esprit vienne.»

            «Eh bien, comment le Saint-Esprit va-t-Il venir ?»

            «Je ne sais pas. Allez simplement là et attendez.»

            «Pendant combien de temps allons-nous attendre ?»

            «Jusqu’à ce que.»

            «Eh bien, voulez-vous dire deux heures ?»

            «Jusqu’à ce que.»

            «Peut-être juste une semaine ?»

            «Jusqu’à ce que.»

            «Jusque quoi ?»

            «Jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en Haut.»

60        Actes 1.8: «Mais vous recevrez le Saint-Esprit après que ce... vous recevrez une puissance après cela, le Saint-Esprit survenant sur vous. Vous serez Mes témoins à Jérusalem, dans la Judée, dans la Samarie, à Connersville, dans l’Indiana, et jusqu’aux extrémités de la terre.» Quoi ? Après que vous serez devenu un diacre ? Non. Après que vous serez sorti du séminaire ? Non. Après que vous serez devenu un prédicateur ? Non. «Après que vous aurez reçu le Saint-Esprit, vous deviendrez Mes témoins avec puissance dans le monde entier.»

            Chaque témoin appelé de Dieu doit être revêtu de la puissance d’en Haut avant de pouvoir devenir un témoin. Un témoin doit connaître quelque chose, voir quelque chose, savoir de quoi il parle. Amen! Je me sens religieux. Oh! la la! Assurément. Oh! Qu’Il est merveilleux!

61        Dites donc, je dois avoir une ligne de prière d’ici quelques instants, afin de prier pour les malades. Terminons vite. Ne laissons pas ces pentecôtistes dans cette salle là-haut, après tout. Ils attendaient pour découvrir ce qu’était la voie à laquelle Dieu avait pourvu, voir quel genre de voie à laquelle Dieu avait eu à pourvoir.

            Ils attendaient donc là, et Pierre a dit: «Tu sais, Jean, j’ai honte de la façon dont j’ai traité le Seigneur.»

            Et il a dit: «Eh bien, tu devras l’avoir.» Ils se sont mis à parler l’un et l’autre.» Et l’un d’eux a dit: «Eh bien, j’étais un pharisien.»

            Et l’autre a dit: «Moi, j’étais un sadducéen.»

            Eh bien, ils avaient fait sortir tout cela de leurs coeurs. Et quand ils étaient tous d’un commun accord, assis au même endroit, alors soudain, il leur apparut, la Voie à laquelle Dieu avait pourvu. Est-ce vrai ?

            Eh bien, maintenant, la façon dont nous–nous aimons hurler contre les catholiques... Voici comment les catholiques le diraient aujourd’hui: Et voici venir un père, remontant la route, un petit paquet sous le bras. Il avait le–le saint sacrement là-dedans. Et les gens faisaient sortir leurs langues et–et les prêtres eux buvaient du vin. Et c’est... Ils appellent cela la sainte eucharistie. C’est recevoir le Saint-Esprit.

62        Eh bien, vous riez de cela. Mais faites attention, vous les protestants. Vous n’êtes pas meilleurs. Eh bien, voici comment nous nous y prenons aujourd’hui: docteur Untel tient une très bonne conférence ce matin. Et les gens ont changé leur qualité de membre, de méthodistes ils sont devenus baptistes. Ils se sont approchés, ils lui ont donné la main d’association et sont partis. C’est tout autant non scripturaire que l’autre. Exact.

            C’est vrai. Mais, frère, la façon dont la Bible dit cela, c’est qu’ils étaient tous ensemble d’un commun accord. Eh bien, voici la voie à laquelle Dieu a pourvu: Ce n’était pas de serrer la main au prédicateur, donner la main d’association, écrire sa lettre à une église. C’est tout aussi faux que le catholicisme. La bouilloire ne peut donc pas se moquer de la marmite. C’est vrai.

63        Mais la façon dont la Bible le dit, c’est qu’ils étaient tous ensemble d’un commun accord, et soudain, ce n’est pas qu’un prêtre s’est avancé, ce n’est pas qu’un prédicateur s’est avancé là, mais il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux. Et il remplit toute la maison où ils étaient assis. De grandes flammes de feu se posèrent sur eux. Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit et ils allèrent dans la cour en titubant comme des hommes ivres. Ils agissaient comme des fous, des ivrognes.

            Et, écoutez, la bienheureuse vierge Marie était là-dedans, ami catholique. C’est vrai. La Bible dit qu’elle était là-dedans. Et si Dieu ne l’a pas laissée aller au Ciel sans recevoir le baptême du Saint-Esprit, qu’en est-il de vous ? Vous n’y arriverez jamais, avec quelque chose de moins. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu.

64        «Je suis la Porte de la bergerie. Tout homme qui passe par une autre voie, c’est un voleur et un cambrioleur. JE SUIS... Et qui est JE SUIS ? «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin de l’âge.» Alléluia! Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Vous pouvez penser que nous sommes perdus, mais nous savons où nous sommes. Amen. Très bien. La voie à laquelle Dieu a pourvu...

            Il passait là... Un grand enseignant à la radio l’autre jour disait: «Je peux prouver que la guérison divine est du diable.» Pouvez-vous imaginer cela, amis ? Vous parlez des pentecôtistes qui se laissent séduire par n’importe quoi; qu’en est-il de ceci ? Actes 19 dit que... qu’Apollos, ce prédicateur baptiste là-haut, ne connaissait pas Jésus. Eh bien, il connaissait certes Jésus. Il prêchait et il pouvait... Il prouvait que Jésus était le Christ parce qu’il voulait confirmer la Parole. Il connaissait seulement le baptême de Jean.

65        Et c’est pareil pour beaucoup de mes chers baptistes ce soir. Ils connaissent seulement le baptême de l’église. Mais le baptême qui vient de Dieu, c’est le Saint-Esprit qui vient comme un vent impétueux. Le même hier... La voie à laquelle Dieu a pourvu... C’est vrai.

            Mais il voulait contourner cela. «Avez-vous reçu le Saint-Esprit, a-t-il dit, quand vous avez cru ?» Non, non. «Depuis que vous avez cru.»

            L’autre jour, un autre homme disait, l’un de ces prédicateurs à la radio... Vous payez tout votre argent pour soutenir et tout comme cela, et puis, en revanche, il blasphème la religion dont vous essayez de vivre. Pauvre petit gringalet... D’accord.

66        Mais écoutez ça. Cet homme a dit que... En effet, il essayait de contourner le programme de la guérison divine qui passait sur les ondes... Je sais qu’il y a beaucoup de fanatisme là-bas, et je sais qu’il y a beaucoup de fanatisme de l’autre côté. Donc, c’est bonnet blanc et blanc bonnet. C’est vrai.

            Ils ont dit: «Frère Branham, depuis que vous avez commencé, on tient des campagnes, tout le monde est guérisseur divin.» C’est en ordre. Regardez Billy Graham. Regardez les Billy Grahams qui parcourent aussi le pays. Regardez les autres. Frère, ils ont aussi ça, ne vous en faites donc pas. C’est vrai.

67        Mais observez ceci, frère. Permettez-moi de vous dire. Il a dit que–que Simon le magicien était là en train de guérir les malades et ensorceler les gens. Là, c’est mal citer les Ecritures au public. Je lance un défi là-dessus, au Nom du Seigneur Jésus: Simon le magicien n’avait opéré aucune guérison, et le diable ne peut pas guérir.

            Quiconque dirait que le diable guérit, fait montre soit d’une déficience mentale, soit de l’ignorance de sa Bible. Comment diantre Dieu peut-Il être Celui qui guérit toutes les maladies et le diable être Son partenaire ? Eh bien, oh! la la! c’est insensé d’avoir de telles pensées.

            Le diable n’est pas un guérisseur; et Simon le magicien ensorcelait les gens, il ne les guérissait pas. C’était Philippe qui avait opéré la guérison et qui avait déclenché un grand réveil qui avait balayé la ville. Philippe, par le Nom de Jésus-Christ, a chassé les démons et a suscité une grande joie. Et les gens criaient, poussaient des cris et passaient un bon moment, et pourtant il n’avait toujours pas le Saint-Esprit. Alors, Pierre est descendu et il leur a alors imposé les mains, et ils ont reçu le Saint-Esprit. Amen.

68        Ô ami! Oh! la la! Nous avons promis de prier pour les malades. Je sens seulement... Je crois que je vis juste ce soir au déversoir par où coule le puits jaillissant. Ceci est le premier réveil où j’ai prêché depuis six ou sept ans. Je me sens simplement bien à ce sujet... J’expose simplement mon âme. Dieu a pourvu à une voie, et c’est Son Fils, Jésus-Christ.

            Il est mort pour vous au Calvaire. Par là, Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité. Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Nous avons été, au passé. Maintenant, tout ce que vous devez faire, c’est tirer des dividendes de Sa mort.

            Tout homme qui est né de nouveau, il lui a été donné un carnet de chèques. Et un tout... avec assez de chèques là-dedans pour durer toute votre vie. Pour tout ce qui est... que l’expiation exige, tout ce que vous avez à faire, c’est remplir le chèque et l’envoyer. Chaque croyant...

69        Le Nom de Jésus est signé au bas. «Tout–tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. Cela vous sera donné.» Est-ce vrai ? «Tout ce que vous demandez, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.» Quelle promesse merveilleuse!

            Je pense à une voie à laquelle il a été pourvu. Jadis, dans l’Ancien Testament, on avait... Juste avant de terminer maintenant, écoutez attentivement, accordez-moi toute votre attention.

            Dans l’Ancien Testament, on avait des agneaux, des colombes et autres pour le sacrifice.

70        Une fois, j’ai entendu une petite histoire au sujet d’une–une caravane qui parcourait les collines de la Palestine, là à... traversait les plaines jusqu’à Jérusalem. Et une petite colombe était agitée. Elle montait vers... Elle savait que dans peu de temps... Elle avait été attrapée au piège. Elle savait que dans peu de temps, ça ne serait pas... elle serait décapitée. Elle devrait saigner comme un sacrifice.

            Alors, elle était agitée, cherchant à franchir la porte de la–de la cage, poussant partout et roucoulant. Le soleil se levait. Les chameaux avançaient lentement alors qu’ils entraient, et allant pour le sacrifice du matin, là où les vendeurs et les changeurs, là, pouvaient immoler le petit oiseau. Alors, elle était très agitée, cherchant à faire passer sa petite tête par chaque trou.

            Elle tournoyait sans cesse dans la cage. Les autres roucoulaient. Mais cette petite colombe faisait de son mieux pour sortir. Elle continuait simplement à essayer, continuait à essayer.

71Vous savez, j’ai vu... Je déteste voir n’importe quoi être mis en cage. Je ne... Je ne peux simplement pas supporter cela, pratiquement pas. Je connais ces petits canaris... Je–je... Si vous les lâchez, ils mourront. Mais je–je ne peux guère supporter cela, voir un de ces petits oiseaux être mis en cage. C’est tout à fait en ordre. Ne... Je ne parle pas de votre canari. Mais je dis simplement n’importe quoi qui est dans une cage. J’aime le plein air...

            Souvent j’ai attrapé des louveteaux à apprivoiser. Oh! Combien j’aime ces petits animaux. Un petit ours l’a transporté dans le bois, alors j’avais eu à courir avec lui, pratiquement. Je m’assois là, je me dis: «Si je l’amène à la maison, j’aurai à l’attacher là-bas. Le pauvre petit animal.» Lâchons-le libre. Laissons-lui sa liberté.

72        Je n’aime pas quelque chose qui est lié, enchaîné. Cela vous rappelle la vieille religion froide et formaliste, qui vous enchaîne et vous lie. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et... Mais je n’aime pas ça. Voici ce que j’aime: Celui que le Fils a affranchi est effectivement libre. C’est vrai. Reprenez simplement votre liberté.

            Alors, je pense... Puis, une fois, étant donné que... Oh! J’observais un vieux gros aigle, qui se cognait la tête. Nuit après nuit, il était là dans cette cage... C’était là dans le zoo de Cincinnati que j’ai vu cela. Vous verrez cela en contournant du côté des oiseaux. J’ai vu cet aigle se cogner contre cela. Il cognait sa tête. Et il revenait. Il cognait encore contre cela. Et il s’envolait et cognait contre le sommet de cela. Et il retombait.

73        Et la chose suivante, vous savez, il s’est tellement cogné que les plumes s’étaient détachées de lui, pratiquement. Et il restait assis comme cela, et ses yeux las se retournaient, regardant ici et là. Et je me suis dit: «Ô Dieu, c’est un oiseau céleste. Il plane au-dessus dans les cieux. Il a été attrapé ici. Il est tombé dans un piège. Il est absolument sans secours. Il ne peut pas se délivrer.» Ses yeux las se retournent, j’ai vraiment eu pitié de lui. Il ne peut pas s’aider lui-même.

            Et chaque homme qui est tombé dans le piège du diable, c’est pire que lui. Vous êtes un être céleste. Vous êtes censé être un fils de Dieu. Vous êtes libre, frère. Vous avez la liberté en Jésus-Christ, vous croyez, vous aimez Dieu, vous vivez de Dieu, vous êtes libre du péché, vous êtes libre de la mort. C’est vrai.

74        Mais comme le diable vous a attrapé et vous a mis dans une cage de la cigarette, de la boisson, toute sorte de vie immorale, et vous pensez être populaire, vous pensez faire quelque chose. C’est le spectacle le plus horrible, le plus terrible, voir ce pauvre aigle se faisant sauter la cervelle, pratiquement, contre la cage, en essayant de se libérer.

            Et vous êtes sans secours, tout aussi démuni de secours que possible, à moins que quelqu’un introduise ses mains et ouvre la cage. Et je vais vous dire ce soir: Jésus-Christ a déjà fait cela en vous appelant (C’est vrai.), Il a ouvert la cage pour vous libérer.

            Cette petite colombe dont je parlais auparavant, elle a essayé, elle a essayé. Et elle roucoulait. Elle s’approchait davantage du temple. Et puis, l’écrivain dit que le petit oiseau roucoulait, essayant de faire passer ses petites épaules. Et elle n’arrivait pas à passer cela de ce côté-là, de l’autre côté. Elle a essayé chacune. Elle devenait de plus en plus agitée. Sa petite compagne attendait sur la colline; dans peu de temps, elle allait être immolée. Elle essayait de se faire passer au travers. Et peu après, elle s’est retournée comme ceci, et alors elle a poussé. C’était différent. Quelque passa.

75        Oh! Enfant de Dieu, vous êtes allé d’église en église, de lieu en lieu. Vous avez essayé de vous libérer de ceci, de vous libérer de la maladie, de vous libérer de ceci, de vous libérer de ceci, et vous n’y arrivez pas. Pourquoi ne vous retournez-vous pas ce soir pour regarder en haut, comme ceci, et alors donner une poussée ? Voir ce qui arrive. Vous sentirez que ça passe un peu.

            Vous êtes allé vers des guérisseurs divins, et ils vous ont imposé les mains, ils ont fait ceci et ils ont fait cela. Mais pourquoi ne vous retournez-vous pas vers le Calvaire ce soir et ne donnez-vous pas alors une poussée ? Vous sentirez que ça passe. Quelque chose arrivera. Oui, oui.

            Et la chose suivante, vous savez, elle donne une autre poussée, puis une autre. Et elle était libre. Elle a déployé ses petites ailes comme cela, elle a plané dans la montagne vers sa compagne. Oh! Quel changement!

76        Le vieux aveugle Bartimée, avez-vous déjà lu son histoire ? Voici sa petite histoire. L’aveu... Bartimée était aveugle depuis des années. Il avait une fillette, nous dit-on, une petite histoire sur lui, il avait une fillette. Elle avait environ dix ans, c’était une petite fille aux cheveux bouclés. Lui ne l’avait jamais vue de toute sa vie. Et aujourd’hui, comme les chiens conduisent les–les aveugles, c’étaient des brebis qui conduisaient les aveugles à l’époque. Eux avaient des agneaux qui conduisaient les aveugles.

            Et Bartimée s’asseyait au bord de la route pour mendier. Il avait deux petites tourterelles qui faisaient de petites culbutes pour attirer les passants. Et il mendiait pour gagner sa vie.

            Et une nuit, dit-on, que sa–sa femme tomba gravement malade. Il alla prier, disant: «Dieu bien-aimé, si Tu épargnes la vie de ma femme et–et que Tu ne la laisses pas mourir, demain, j’offrirai en sacrifice mes deux tourterelles.» Et sa femme fut guérie le lendemain matin. Il monta au temple et offrit ses tourterelles en sacrifice.

77        Peu de temps après cela, il n’avait plus d’amusements pour attirer l’attention des gens, il n’y avait que lui et son agneau, il s’asseyait dans le froid, attendant que quelqu’un passe par là et qu’il lui donne une pièce de monnaie.

            Et puis, une nuit, sa fillette tomba malade. Et le médecin pensait qu’elle se mourait. Il se fraya un chemin la nuit en titubant, et il s’agenouilla. Il dit: «Ô Dieu, je n’ai rien d’autre ici à T’offrir à part mon agneau. Mais si Tu laisses ma fillette vivre, je Te le promets, Seigneur, demain, j’irai au temple offrir mon agneau en sacrifice.» Sa fillette fut guérie le lendemain matin.

            Et le voilà monter au temple, tôt le matin, avec son agneau. Il dit à la porte... Le souverain sacrificateur Caïphe se tenait là et il a dit: «Aveugle Barti–Bartimée, où vas-tu ?»

            Il a dit: «Ô souverain sacrificateur, je vais au temple offrir mon agneau.» Il a dit: «La nuit dernière, ma fillette était malade; j’ai promis à Dieu que s’Il guérissait ma fillette, j’offrirais mon agneau.»

            Il a dit: «Aveugle Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau-là.» Il a dit: «Je te donnerai de l’argent et tu iras acheter un agneau.»

            Il a dit: «Ô souverain sacrificateur, je n’avais point offert à Dieu un agneau; je Lui ai offert cet agneau-ci.»

78        C’est là le problème. Vous essayez d’aider... Qu’en est-il de... Dieu vous veut sur l’autel, pas votre fleur, pas votre argent. Il vous veut, vous, sur l’autel. C’est vous la personne qui allait être l’offrande. Eh bien, vous... Bar...

            Le souverain sacrificateur a dit: «Aveugle Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau-là. Cet agneau-là, ce sont tes yeux.»

            Il a dit: «C’est vrai, souverain sacrificateur, mais Dieu se pourvoira d’un agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée.»

            Il est allé de l’avant et il a offert son sacrifice. Il s’est retrouvé sans colombe, sans agneau. Et puis, un jour, il y eut un bruit qui parcourait la rue. Dieu avait un Agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée, l’Agneau de Dieu immolé dès la fondation du monde. Dieu avait eu un Agneau pour ses yeux. C’était l’Agneau auquel Dieu avait pourvu.

79        Et ce même Agneau a été pourvu ce soir pour chaque pécheur, pour chaque jeune garçon ou chaque jeune fille, chaque homme ou chaque femme. Si je vous ai blessé en prêchant, ce n’était pas intentionnellement. Tout ce que je veux faire, c’est vous dire la vérité, mon ami. Ne vous en prenez pas à moi.

            Ecoutez. Et à vous les malades ici, vous qui êtes ici sans espoir et sans assistance, le médecin a déjà fait tout son possible, mais Dieu a un Agneau auquel Il a pourvu pour vous. Il a une voie à laquelle Il a pourvu pour vous si vous êtes prêt à la recevoir. Inclinons la tête un instant.

            Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour la promesse que Tu nous as faite, et Tu as pourvu pour nous d’un Agneau immolé dès la fondation du monde. Et maintenant, Seigneur Jésus, je prie que le bêlement de cet Agneau fasse écho depuis le Calvaire dans le coeur de chaque pécheur ici ce soir.

80        Pensez-Y: «Cet Agneau qui saigne, suspendu entre les cieux et la terre, mourant, un substitut innocent pour un pécheur coupable. Et nous repoussons Son amour. Ô Dieu, accorde ce soir que chaque jeune garçon, chaque jeune fille qui s’est égarée, homme ou femme ici présent, suive cette voie à laquelle il a été pourvu, vienne, et s’attache à la croix ce soir. Leur âme et tout leur être, toutes leurs pensées, tout leur être, qu’ils puissent déposer cela juste sur le Calvaire ce soir, et dire: «Dieu bien-aimé, c’est tout ce que j’ai. Je viens apporter tout. Tu pourvoiras pour moi, car je le demande au Nom de Christ.»

            Et pendant que vous avez vos têtes inclinées, je me demande s’il y a un pécheur, homme ou femme, dans la salle ce soir, qui dit: «Frère Branham, je suis un pécheur, souvenez-vous de moi dans votre prière; allez-vous le faire ?» Voulez-vous lever la main très vite alors que nous sommes pressés par le temps ?

            Oh! la la! Partout dans la salle ? Oh! Je dois répéter ceci. Il y a deux ou trois douzaines qui ont levé leurs mains. Le Sacrifice auquel Dieu a pourvu est ici. Le Saint-Esprit de Dieu, la troisième Personne de la Trinité, le Saint-Esprit, est maintenant en train de se mouvoir dans cette salle. Qu’est-ce qui a fait que vous leviez la main, pécheur ? C’est parce que Dieu vous appelle. «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire», et le Père cherche à vous attirer vers le Sacrifice auquel il a été pourvu; en fait, l’un de ces jours, tout ce que vous avez va être emporté d’un coup de balai. Les atomes de votre corps retourneront dans l’air. La poussière de la terre qui est dans votre corps, ce qui le constituait, retournera à la poussière de la terre. Alors quoi ? Je vais demander la prière pour vous.

81        Seigneur, je Te prie de donner la conviction à ceux qui se sont égarés et qui sont hors du chemin ce soir. Et puissent-ils recevoir ce Sacrifice saignant et bêlant, le Fils de Dieu. Accorde-le, Père.

            Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, je me demande si quelqu’un parmi vous, maintenant même, voudrait accepter Christ comme son Sauveur ? Maintenant, il n’y a rien que vous puissiez faire par vous-même, aucune chose. C’est Dieu qui a frappé à votre coeur. [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.E.] C’est Lui qui a dit: «Levez la main pendant que le prédicateur appelle.» Vous avez levé la main, c’était Lui.

            Maintenant, croyez-vous en Lui et voulez-vous L’accepter comme votre Substitut ? Il n’y a rien que vous puissiez faire maintenant, si ce n’est L’accepter; dites: «Je veux Te recevoir, Seigneur. Je ne peux pas aller au Ciel de moi-même; il n’y a rien que je puisse faire; mais je compte sur Toi, maintenant, pour me sauver. Je veux que Tu aies pitié de moi en cette heure-ci.» Voudriez-vous vous lever, vous qui aimerez le faire ? Ceux qui ne sont pas sauvés et qui aimeraient recevoir Christ comme leur Sauveur personnel ? Que Dieu vous bénisse, soeur. Restez simplement debout. Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre qui aimerait se tenir debout pour dire: «J’accepte maintenant Christ.» Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Restez simplement debout, s’il vous plaît. Quelqu’un d’autre ? Partout dans la salle, voudriez-vous simplement vous lever, très vite ? Nous sommes très pressés ici. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Restez simplement debout. Que Dieu vous bénisse. Et que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse, madame, restez simplement debout, s’il vous plaît, juste pendant quelques instants.

82        Maintenant, je vais offrir la prière. Y aurait-il quelqu’un d’autre, maintenant ? Mon ami pécheur, je vous aime d’un amour immortel. Je fais de mon mieux pour vous apporter la Chose la plus glorieuse qui puisse vous être donnée ce soir: Jésus-Christ. Ne Le rejetez pas. Il est l’unique Agneau qui peut vous conduire dans la vallée de l’ombre de la mort. Il est l’unique qui peut vous accompagner quand les cordes fragiles de la vie se cassent, les cordes sur lesquels votre âme passe ce soir, ami. Elles peuvent plonger dans l’éternité sans fin avant ce matin. Ne voudriez-vous pas accepter l’Agneau de Dieu qui conduit ce soir, pour vos yeux aveugles, pour vous conduire dans ce monde sombre et pécheur ? Ne voudriez-vous pas suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu ce soir ? Y a-t-il quelqu’un d’autre qui se tiendrait debout très vite pendant que j’attends ?

            Je sens juste qu’il devait y avoir un ou deux de plus qui se lèvent de toute façon. Allez-vous accepter Christ comme Sauveur personnel ? Puis-je vous persuader ? Y a-t-il quelque chose que je peux faire pour vous amener à L’accepter ? N’importe qui, de ce côté à droite ? Là au fond ? Là sur la rampe, n’importe où ? Derrière sur la rampe à ma gauche ? Y a-t-il quelqu’un ici qui aimerait accepter Christ comme son Sauveur personnel ? Voudriez-vous qu’on se souvienne de vous maintenant dans un mot de prière et dire: «Maintenant, j’aimerais accepter Christ» ? Prédicateurs, j’aimerais que vous voyiez qui ils sont. Très bien. Maintenant, inclinons alors la tête.

83Seigneur Jésus, Tu vois ces gens debout. Ils viennent maintenant à Toi, ô Agneau de Dieu. Ils sont entrés dans ce monde, aveugles, misérables, et viles, pécheurs; conçus dans le péché, venus dans le monde en proférant des mensonges; ô Dieu, sois miséricordieux envers eux. Qu’ils trouvent ce soir la paix maintenant même. Tu as dit: «Je ne chasserai pas celui qui vient à Moi.» Maintenant, ils viennent simplement ce soir, Seigneur. Que maintenant, alors qu’ils T’ont accepté comme leur Sauveur personnel, je sais que Tu rends témoignage d’eux devant le Père. Tu as dit: «Celui qui–celui qui témoignera de Moi devant les hommes, Je témoignerai de lui devant Mon Père et les saints anges.» Nous savons que la Voix même de Christ fait retentir au Ciel ce soir, dans la Présence de Dieu, les noms de ces gens.»

            Et maintenant, Père, je prie qu’ils ne s’arrêtent pas ici même, mais qu’ils continuent droit au baptême du Saint-Esprit, qu’ils naissent de nouveau. Accorde-le, Seigneur. Bénis-les dans leur vie. Et si même jamais je n’arrive à leur serrer la main ou–ou à leur parler ici sur terre, que là, quand la vie sera terminée, et qu’un jour quand mes épaules se seront tout affaissées, que je m’inclinerai dans la mort, ô Dieu, j’aimerais rester tel que je suis, Te connaissant dans la puissance de Ta résurrection, et quand Tu appelleras d’entre les morts, j’entendrai mon nom et je sortirai. Que ces gens ici, debout, soient parmi eux, ce soir, Seigneur. Et puissé-je les rencontrer là, et nous entrerons dans Ton Royaume, ils se souviendront de la réunion de ce soir; de l’histoire de l’aveugle et comment Tu avais pourvu à un Agneau pour eux là dans le passé et pour ceux-ci ce soir. Nous Te demandons de les bénir, au Nom de Christ. Amen.

84        Que Dieu vous bénisse, mon ami chrétien. Quand vous vous asseyez, vous les chrétiens autour d’eux, serrez-leur la main, donnez-leur la main d’association et dites: «Que Dieu vous bénisse.»

            Etes-vous vous tous, tout heureux, de ce qu’ils sont venus à Christ ? Si vous l’êtes, dites: «Amen». Combien promettront à ces chrétiens que ce soir avant d’aller au lit, ceux qui viennent maintenant d’accepter Christ...

            Maintenant, rappelez-vous, vous venez d’accepter Christ. Voyez ? Maintenant, Dieu vous donnera le Saint-Esprit en confirmation de votre foi. Voyez ? Maintenant, trouvez-vous une bonne église du plein Evangile et faites-vous baptiser tout de suite, et Dieu est tenu de vous donner le baptême du Saint-Esprit au moment où vous vous faites baptiser, si vous y allez d’un coeur sincère, en croyant. Pierre a dit de simplement se repentir, de se faire baptiser et que vous recevriez le don du Saint-Esprit. Est-ce vrai ? Dieu l’a donc promis: «Il accomplira toute chose.»

            Maintenant, vous qui avez promis que vous allez prier avant d’aller au lit ce soir pour ces chrétiens, levez la main, allez-vous le faire ? Regardez ça. Vous qui venez d’être convertis, regardez ici, aux chrétiens qui vont prier. Moi aussi. Ça peut être tôt le matin avant que j’arrive chez moi.

            Je dois retourner, revenir directement vers dix heures demain, pour toute la journée de demain. Et puis le lundi, j’irai à Utica, dans l’Indiana; et puis, à Shreveport, à Louisiane, je retournerai à... dans le Kentucky, et puis, peut-être de là, j’irai en Afrique du Sud. Il n’y a pas de répit. Non, pas du tout. Je ne suis pas fatigué. Je L’aime de tout mon coeur. J’aime faire ça. Je suis seulement très reconnaissant qu’Il m’accorde le privilège d’appeler les perdus et de prier pour les malades.

85        Maintenant, où est Billy ? Est ... L-M-N-O-P. Oh! la la! Nous en avons beaucoup. Très bien. Voyons. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «... croire. Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Est-ce vrai ? M’avez-vous considéré comme un croyant ? Très bien, prions.

            Seigneur Jésus, viens maintenant, je... voici, Père, Tu connais toute chose. Frère Baxter est parti, j’ai eu à prêcher et chaque... comme ceci. Tu sais, et c’est très difficile de... Tu comprends; je suis sûr. Et je Te prie de m’aider maintenant ce soir. Et que ces chères personnes qui sont malades, Seigneur, et–et ils ont entendu la prédication de l’Evangile et ils viennent maintenant pour être guéris. Maintenant, tout ce que je peux faire, Père, Tu le sais, c’est leur montrer Ton Fils bien-aimé, Jésus, et maintenant, en tant que croyant, unir ma foi à la leur; je leur impose les mains et je réclame leur guérison. Et accorde, Seigneur, que chaque personne qui passe par cette chaire ce soir parte d’ici bien portant, car ils ont cru au Seigneur Jésus-Christ; car nous le demandons en Son Nom. Amen.

86        Maintenant, que chacun de vous s’unisse à moi dans une prière silencieuse pendant que je prie pour les gens. Très bien. Venez, madame. Croyez-vous ? Maintenant, vous n’avez pas de carte de prière, rien du tout. Est-ce vrai ? Avez-vous été dans des réunions auparavant ? Avez-vous vu comment le Saint-Esprit connaissait ce qui clochait chez les gens et tout comme cela ? Avez-vous vu cela ? Croyez-vous cela ? Je sais que vous êtes une croyante. Eh bien maintenant, vous–vous–vous avez simplement été appelée ce soir sans une carte de prière, sans rien; vous êtes simplement venue ici. Est-ce vrai ? Etes-vous venue ici pour croire ? Maintenant, croyez-vous qu’Il me révélera ce qui clochait chez vous ? Eh bien, assurément, je sais ce qui cloche chez vous. Mais je n’ai pas à vous le dire, n’est-ce pas ? Non. Vous souffrez du diabète, mais... N’est-ce pas vrai ? Est-ce la vérité ? Levez la main. Voyez ? Vous souffrez du diabète. C’est vrai. Et vous avez eu une vie de beaucoup d’ennuis derrière vous, n’est-ce pas ? Une traînée de tristesse. Mais maintenant, écoutez, madame. Pensez-vous qu’Il vous guérira ? Venez ici. Tout le monde, dans la prière.

            Seigneur Jésus, je Te prie de bénir la femme et de la guérir. Je demande au Nom de Jésus-Christ qu’elle soit guérie. Amen. Maintenant, allez en croyant, soeur. C’est tout ce que je peux faire, c’est simplement prier et demander.

87        Très bien, soeur. Aimeriez-vous vous débarrasser de cet asthme ? Vous rétablir... N’était-ce pas étrange ? Vous en souffrez; c’est une toux, comme cela, constamment. Et vous souffrez d’une maladie gynécologique qui en a découlé depuis un temps, ça fait longtemps que vous en souffrez. Mais maintenant, n’est-ce pas la vérité ? Et maintenant, croyez-vous que Dieu vous rétablira ? Venez ici.

            Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme. Puisse-t-elle quitter cette estrade, ce soir, une femme normale et bien portante, au Nom de Christ, je la bénis. Amen. Allez, et croyez maintenant de tout votre coeur donc. Ne doutez de rien; ayez simplement foi en Dieu.

            Très bien, venez, madame. Maintenant, avez-vous–vous une carte de prière ? Pas de carte de prière. Vous êtes juste une dame, vous êtes venue de là. Est-ce vrai ? Non, je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Croyez-vous que Dieu se tient ici avec nous ? Croyez-vous l’Ange de Dieu ? Croyez-vous ce don de Dieu ? Si je... S’il y a quelque chose qui cloche chez vous, Dieu aura à me le dire; est-ce vrai ? Et si je–si je vous révélais, par Son Esprit, ce qui cloche chez vous... Juste comme Jésus, Il est allé droit vers cette femme au puits. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je vois que Tu es prophète.» Est-ce vrai ?

88        Eh bien, si ce même Jésus est... ce soir, Il peut aller directement à votre problème; est-ce vrai ? C’est l’hypertension, n’est-ce pas ? Est-ce vrai ? Très bien. Allez, soyez bien portante donc, au Nom du Seigneur Jésus. Croyez maintenant. Ayez foi.

            Très bien, madame; même si je ne vous dis rien, vous croirez de toute façon. Est-ce vrai ? Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme. Puisse-t-elle quitter cette estrade ce soir heureuse, se réjouissant et bien portante. Par le Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en croyant donc, de tout votre coeur.

89        Très bien, venez. La prochaine dame, ici. Venez, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur ? Maintenant, voici une femme qui est vraiment dans un état critique. Cette femme souffre d’une nervosité. N’est-ce pas vrai, madame ? Vraiment... Regardez, le trouble devient pire pour vous tard le soir, n’est-ce pas ? Vers la nuit, vous devenez morose et inquiète. Et vous devenez–vous devenez très faible, c’est à peine que vous pouvez vous tenir debout. Est-ce vrai ? Vous devez vous asseoir. Et–et vous êtes juste–vous êtes juste dans tous vos états.

            Eh bien, ce que c’est, madame, il n’y a rien qui vous dérange. C’est un temps de changement prématuré de la vie, la ménopause. Eh bien, venez ici. Il y a une ombre de morosité. Ce n’est rien d’autre qu’un mensonge du diable. Voyez ? Vous vous portez bien, et vous allez vous rétablir. Croyez-vous cela ?

            Seigneur Jésus, je bénis cette femme au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Je prie pour sa guérison. Amen. Maintenant, allez... Ecoutez. S’Il a pu me dire ce qu’est votre problème... Et si je vous parlais quelques minutes, Cela révélera votre vie. Mais Cela n’a pas à le faire.

            Regardez. Allez-vous faire ce que je vous dis de faire ? Partez d’ici tout aussi heureuse que vous le pouvez. Il a ôté toute votre morosité et toutes vos inquiétudes. Vous êtes retombée dans ce cycle, ici en bas, alors que vous devez monter ici. Regardez ici en haut, croyez ici en haut, et dites: «Merci, Dieu.» Et continuez et soyez heureuse; vous allez vous rétablir. Sinon, il–il va... vous alliez avoir beaucoup d’ennuis. Très bien. Allez, en croyant maintenant.

90        Très bien. Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur ? Aimerez-vous guérir de cette affection rénale ? Très bien, mettez-vous à croire en Dieu et guérissez-en donc, au Nom du Seigneur Jésus.

            Très bien. Venez et croyez maintenant. Croyez-vous, monsieur ? Même si je ne vous disais rien, vous croiriez toujours de toute façon. Est-ce vrai ? Seigneur Jésus, je Te prie de guérir le jeune homme de ce démon terrible qui est sur le point de lui ôter la vie. Qu’il le quitte au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, allez en croyant, fils, de tout votre coeur. Croyez que Dieu vous guérira.

91        Vous croyez, madame, de tout votre coeur ? Venez ici une minute. Seigneur Jésus, je Te prie de bénir la femme et de la guérir au Nom de Jésus-Christ. Amen. Allez, croyant maintenant, de tout votre coeur.

            La raison pour laquelle j’essaie de me dépêcher, amis, nous avons beaucoup de gens pour qui prier. Vous comprenez, n’est-ce pas ? Tout le monde continue-t-il à prier là dans l’assistance ? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Très bien.

            Venez maintenant, madame. Evidemment, vous voyez qu’elle a un cornet acoustique à l’oreille. M’entendez-vous très bien de ce côté-ci ? Juste une minute, voyons si nous pouvons l’amener à mieux entendre. Inclinons la tête juste un instant.

            Seigneur Jésus, aie pitié d’elle. Je Te prie de la guérir. Débarrasse-la de cet esprit de surdité; je le demande au Nom de Christ. Amen.

92        Croyez-vous de tout votre coeur maintenant ? De tout votre coeur ? Depuis combien de temps êtes-vous sourde ? Dix ans. Enlevons ce cornet acoustique juste un instant, aux deux oreilles. Voyons... [Frère Branham fait un bruit.–N.D.E] Vous entendez cela, n’est-ce pas ? M’entendez maintenant ? Eh bien, vous êtes donc guérie. Voyez ? Allez de l’avant, et vous êtes... Je dis... Vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse. Très bien.

            Voici une autre debout, ici même, la même chose. Seigneur Jésus, je Te prie de bénir cet homme et de déboucher ces oreilles. Toi esprit de surdité, quitte-le; au Nom de Christ, sors. Amen.

            M’entendez-vous ? Croyez-vous de tout votre coeur ? M’entendez-vous très bien maintenant ? Dites: «Amen.» «J’aime le Seigneur.» Vous êtes guéri. Que Dieu vous bénisse. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.

93        Pauvre petite enfant! Croyez-vous que si je demande à Dieu, Dieu la guérira ? Elle est née dans cet état... Seigneur Jésus, je bénis cette petite enfant. Elle n’a pas eu une chance dans la vie. Elle est née comme ceci. Mais Toi, ô Dieu, Tu peux lui accorder une autre naissance. Accorde-le, Père, au Nom de Jésus, qu’elle se rétablisse. Amen.

            Maintenant, que Dieu vous bénisse, maman. Ne vous inquiétez pas. Allez en croyant, écrivez-moi et donnez-moi des nouvelles de cette enfant. Si vous–si vous me croyez sur parole en tant que Son prophète et que vous croyez que Dieu a fait exactement ce que j’ai dit qu’Il a fait au Calvaire, qu’Il est mort pour la guérison de votre enfant, vous m’écrirez une lettre dans les quatre ou cinq prochains jours et vous direz: «Frère Branham, il y a un grand changement chez mon enfant; elle ne semble plus la même.» Allez-vous le faire ? Très bien.

            Quel est votre nom ? Presley. D’où venez-vous ? Très bien. J’attendrai cette lettre-là.

94        Très bien, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Evidemment, vous voyez, cet homme se sert d’une canne, probablement que ses jambes sont abîmées et tout. Frère, croyez-vous que Dieu vous rétablira ? Très bien. Je vais simplement Lui demander et ça dépend de votre foi.

            Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cet homme. Qu’il soit rétabli, Père. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez maintenant, en croyant de tout votre coeur. Regardez. Si–si vous arrivez à constater un changement en vous demain soir, allez-vous monter ici me le montrer ? Que Dieu vous bénisse.

            Très bien. Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur ? Maintenant, vous semblez en bonne santé. Cet homme-là, vous voyez, est estropié. Vous pouvez voir que cette petite enfant-là, c’est une handicapée moteur, ou–ou déformée, la petite enfant. Et ce petit garçon-là (Voyez ?), eh bien, assurément, vous pouvez voir cela. Mais vous, vous semblez une personne en bonne santé. Il n’y a pas de mystère à dire: «Cet homme-là est estropié. Cet enfant-là est estropié.» Tout le monde voit cela. Mais quant à vous, vous semblez en bonne santé. Mais vous souffrez d’une maladie gynécologique, n’est-ce pas vrai ? J’aimerais vous parler juste un instant.

95        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... sait cela à part Dieu. Est-ce vrai ? C’est vrai. Alors, Il est ici, n’est-ce pas ? Si je le Lui demande, va-t-Il vous guérir ? Allez-vous croire cela ?

            Seigneur Jésus, je Te prie de bénir cette femme. Puisse-t-elle partir d’ici ce soir bien portante, au Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Allez maintenant. Comme vous croyez, je crois que vous vous rétablirez. Ayez foi. Très bien.

            Oh! la la! C’est une bonne petite fille. Bonsoir. Une maladie de peau. Une éruption cutanée, juste la peau... Est-ce vrai ? Même si vous ne pouvez pas voir cela, mais cela est sur son corps. Est-ce vrai ? Aimez-vous Jésus ? Croyez-vous frère Branham ? Croyez-vous ? Est-ce votre enfant ? Vous... Vous aimez Le servir, n’est-ce pas ? Est-ce que votre mari aime Le servir ? Oui. Il a une habitude qu’il aimera arrêter, de toutes les façons, n’est-ce pas ? Croyez-vous qu’Il rétablira l’enfant ? Croyez-vous ? De quelle église êtes-vous membre ? Est-ce vrai ? Croyez-vous qu’Il va donc rétablir l’enfant ? Je suis en train de tester votre foi pour voir ce qu’elle fera, voir où vous en étiez. Cet enfant va très bien. Maintenant, je vous teste, vous. Voyez ? Très bien. Placez votre main sur son flanc là, moi, je place ma main sur ce flanc-ci, et prions. Seigneur Jésus, je Te prie d’aider ce pauvre petit enfant. Ô Dieu, bénis-les maintenant et que le petit enfant rentre à la maison bien portant, au Nom de Jésus-Christ. Amen. J’aimerais vous parler juste un instant.

            Chantons Oh! Combien j’aime Jésus. [Frère Branham parle à la dame pendant que l’assemblée chante.–N.D.E.] (Depuis quand ça ?...?... ) [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

96        Gloire au Seigneur! Amen! Très bien. Venez, madame. Croyez-vous maintenant de tout votre coeur ? Seigneur Jésus, je Te prie de bénir cette femme. Puisse-t-elle partir d’ici ce soir guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Maintenant, allez et croyez de tout votre coeur.

            Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur ? Seigneur Jésus, je Te prie de la bénir et qu’elle parte d’ici en se réjouissant et heureuse, qu’elle soit bien portante, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Venez donc. Croyez-vous, madame ? Seigneur Jésus, je Te prie de la bénir, de la guérir et de la rétablir au Nom de Jésus-Christ. Je demande cette bénédiction. Amen. Maintenant, maintenant, croyez de tout votre coeur.

            Très bien, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur ? Seigneur Jésus, je Te prie d’ôter cette affliction de son corps, qu’elle parte et qu’elle soit complètement guérie, au Nom de Jésus, amen. Vous–vous croyez cela...?...

            Très bien, croyez-vous, madame, de tout votre coeur ? Depuis combien de temps souffrez-vous de l’hypertension ? Environ trois ou quatre ans maintenant. Cela est causé par la nervosité, cela vous maintient tout tendue tout le temps. N’est-ce pas vrai ? C’est ce qu’Il a dit, de toute façon. Votre médecin vous a dit–a dit que c’était donc la maladie de nerfs. Est-ce vrai ? Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais c’est la vérité. Voyez ? Oui. Très bien. Seigneur Jésus, je Te prie de la bénir et que cela la quitte. Qu’elle rentre à la maison bien portante, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.

97        Venez en croyant maintenant. Venez ici. Seigneur Jésus, je Te prie de guérir notre soeur et qu’elle parte d’ici ce soir bien portante, au Nom de Jésus. Amen. Allez en croyant donc, soeur.

            Venez, madame. Voudriez-vous être guérie ? Croyez-vous de tout votre coeur ? La maladie gynécologique, c’est ce qui vous dérange. N’est-ce pas vrai ? Très bien. Que Dieu la bénisse et la rétablisse, je prie, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Très bien, venez, madame. Ma soeur, savez-vous que vous êtes gravement malade ? Savez-vous que vous êtes gravement malade ? Oui, vous le savez, c’est le cancer. Très bien, venez ici.

            Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme. Qu’elle parte d’ici ce soir bien portante par le Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, regardez; n’ayez pas peur. Allez en croyant. Que dites-vous ? C’est ce que je sais, c’est ce que votre–ce que–ce que...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Si je vous parlais une minute, croyez-vous qu’Il me dira ce qui cloche chez vous ? Très bien. Vous avez quelque chose qui cloche, comme c’est difficile pour vous de vous lever le matin. Ce–c’est l’arthrite. N’est-ce pas vrai ? Voulez-vous en guérir ? Acceptez donc Jésus-Christ comme votre Guérisseur. Allez, et vous pouvez être bien portant; au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, est-ce le... Ce que [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

98        «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades (Quoi ?)» [L’assemblée répond: «seront guéris.»–N.D.E.] Il n’a jamais dit: «Ils prieront pour les malades...» «Ils imposeront les mains aux malades...» Est-ce vrai ? Est-ce cela l’Ecriture ? Oui, oui.

            Seigneur Jésus, je Te prie de bénir cette femme au Nom de Jésus alors que je lui impose les mains. Amen.

            Ô Dieu, je Te prie de bénir mon frère. Et comme je lui impose les mains, qu’il soit guéri, au Nom de Jésus. Amen.

            Très bien, voulez-vous venir, madame. Croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez-vous que Dieu vous rétablira ? Vous souffrez d’un fléau terrible, de la nervosité, n’est-ce pas ? Vous êtes nerveuse ça fait longtemps, mais Dieu vous rétablira.

            Seigneur Jésus, je Te prie de la guérir, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Ô Dieu, je Te prie de bénir notre frère et qu’il parte d’ici ce soir alors que je lui impose les mains en commémoration des paroles de Jésus-Christ. Je réclame sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Maintenant, venez. La fillette... Ô Dieu, je Te prie de bénir cette petite créature et de la guérir, de guérir la maman, Seigneur, puissent-elles toutes les deux être rétablies, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Venez avec cette petite fille ici. Viens, chérie. Ô Dieu, je Te prie de bénir cette petite fille et qu’elle soit bien portante. Je Te prie, ô Dieu, d’accorder cette bénédiction au Nom de Jésus. Que Dieu te bénisse.

            Seigneur, je Te prie de bénir cet homme, et qu’il soit guéri, Père, au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.

99        Très bien. Voudriez-vous venir, soeur, tout droit vers... C’est bien. Seigneur Jésus, je lui impose les mains. Je sais qu’il n’y a rien dans mes mains, Seigneur, qui puisse l’aider, mais je le fais en commémoration de ce que Tu as dit, Jésus. Tu as dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. Les gens qui ont vu Tes signes et Tes prodiges, ce que Tu as ordonné de faire devant eux, et ils croiront cela. Maintenant, je lui impose les mains au Nom de Jésus, pour sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Venez, madame. Croyez-vous ? J’impose les mains à notre soeur, au Nom de Jésus, pour sa guérison. Amen.

            Très bien. Voudriez-vous venir, madame ? J’impose les mains à cette soeur au Nom de Jésus-Christ, pour sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse maintenant. Allez en vous réjouissant.

            Venez directement, soeur. J’impose les mains à notre soeur, au Nom de Jésus, pour sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse, maintenant allez directement...

            Seigneur, J’impose les mains à notre frère, au Nom de Jésus, pour sa guérison. Amen.

            Père, j’impose les mains à notre frère, au Nom de Jésus, pour sa guérison. Amen.

            Ô Dieu, j’impose les mains à notre soeur, au Nom de Jésus, pour sa guérison. Amen.

100      Maintenant... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Seigneur Jésus... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] soit près. Peut-être que le Seigneur va vous Le révéler ce soir, pendant que vous vous tenez ici. Des centaines et des centaines L’ont vu se tenir à l’estrade. Combien ont vu Sa photo ? Faites voir les mains. Dans la photo ? Eh bien, Il est ici même. Il est ici même. Eh bien, croyez en Lui de tout votre coeur et Dieu va...

            Croyez-vous, madame ? De tout cotre coeur ? Vous avez certainement un combat, n’est-ce pas ? Oui, oui. Mais ayez foi. Il vous le faut. Croyez simplement en Dieu, Dieu l’accordera.

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Tu béniras cette chère petite fille. Puisse-t-elle se rétablir, Père. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus. Que ces petits yeux se rétablissent. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Père, je Te prie de bénir cette femme et qu’elle se rétablisse alors que je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Allez en croyant donc.

            Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme; puisse-t-elle partir et être bien portante, au Nom de Jésus-Christ, je prie. Amen.

            Venez, madame. Aimerez-vous guérir de ce mal de dos et partir bien portante ?...?... Très bien.

            Seigneur Jésus, je Te prie de la guérir de ce mal de dos. Qu’elle parte et qu’elle soit guérie, au Nom de Jésus. Vous avez connu beaucoup de temps horribles avec cela, n’est-ce pas ? C’était la vertèbre là, depuis longtemps, qui a causé cela. Ça s’est passé pendant des années et des années. Ce que c’était, c’est que quand vous étiez une petite fille, cela est arrivé dans le passé...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... Dites: «Merci, Seigneur.» C’est vrai, c’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Amen.

           

101      Venez ici. Seigneur Jésus, je Te prie de bénir cette femme et de la guérir au Nom de Jésus. Amen. Croyez de tout votre coeur.

            Venez, monsieur. Seigneur, je Te prie de guérir ce frère. Puisse-t-il partir d’ici bien portant, au Nom de Jésus. Amen.

            Venez, maintenant. Très bien, venez, madame. Seigneur, je Te prie de la bénir et qu’elle soit bien portante. Au Nom de Jésus, je la bénis pour sa guérison...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            L’Ange du Seigneur se tient donc ici, est-ce vrai ? Vous souffrez de l’asthme. Est-ce vrai ? Vous toussez comme tout, et surtout lorsque vous allez au lit la nuit, c’est à peine que vous arrivez à vous reposer. Est-ce vrai ? Seigneur Dieu, bénis-le et qu’il parte bien portant, au Nom de Jésus. Amen. Il est toujours ici. Donc–donc, Il... croyez simplement en Lui. C’est tout ce que vous avez à faire.

            Seigneur Jésus, je Te prie de bénir cette femme, au Nom de Jésus-Christ. Amen. J’aimerais que vous observiez. Si c’est Dieu qui fait cela, alors vous devez croire au Seigneur de tout votre coeur.

            Très bien, venez. Maintenant, je te connais, chérie, je sais qui tu es... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Je Te prie de la bénir. Ô toi démon hideux, quitte cette femme. Je t’adjure par Jésus de Nazareth, de la quitter. Amen. ...sur le point de vous ronger, mais regardez, soeur. Avez-vous vu la photo de Florence Nightingale dans ce livre-là ? Elle ne pesait que trente-sept livres, [16,7 kg] et elle est maintenant bien portante. Allez et soyez comme elle au Nom de Seigneur. Tout... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            C’est bien. Très bien maintenant, venez, soyez... Soyez bien portant.

            Seigneur, je Te prie de la bénir et de la guérir, au Nom de Jésus. Amen.

102      Rappelez-vous, amis, je ne suis pas le don de la guérison. L’Ange de Dieu est le Don de Dieu pour envoyer... C’est le don de la guérison. Je ne suis qu’un homme et... Mais Lui est l’Ange du Seigneur, et Il est ici, Il se tient ici même maintenant. Au jour du Jugement, vous découvrirez que cet Ange se tenait ici même, près, à mes côtés, maintenant même. Ce n’est pas une croyance fictive. Eh bien, regardez. Il–il porte des fruits qui prouvent que c’est vrai. Voyez ? Mais je cherche à ce qu’on prie pour les gens, autant que je le peux.

            Venez, soeur. Seigneur, je Te prie de la guérir et de lui accorder ses bénédictions au Nom de Jésus-Christ. Amen. Allez, ayez foi maintenant; tout va bien pour vous, soeur.

            Ô Dieu, je Te prie de bénir le frère, et qu’il s’en aille bien portant, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.

103      Venez... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... l’esprit de surdité, sors de la femme; au Nom de Jésus-Christ, quitte-la. M’entendez-vous ? M’entendez-vous maintenant ? M’entendez-vous très bien maintenant ? Depuis combien de temps êtes-vous dans cet état ? Venez ici. J’aimerais que vous voyiez combien c’est simple. M’entendez-vous ? Dites: «Amen.» «J’aime le Seigneur.» Voyez, soeur, parfois l’esprit de surdité, tout ce que j’arrive à détecter, c’est un esprit. Je ne sais pas à quel point il est sourd, combien l’ouïe est dure, ou s’il est totalement sourd. Je sais seulement un témoignage, ce que les esprits de surdité se cognent contre moi, comme cela, quand il y a l’onction. Eh bien, il vous a quittée. Vous êtes normale. C’est vrai. Maintenant, allez de l’avant et soyez...?...

            Très bien. Venez madame. Croyez-vous de tout votre coeur ? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... on dirait, n’est-ce pas ? Amen. Maintenant, Seigneur, qu’elle soit guérie de cette maladie de coeur, au Nom de Jésus. L’enfant, que Dieu le bénisse. Très bien. Maintenant, vous. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, allez en croyant, vous serez rétabli.

            Venez, soeur. Seigneur, je Te prie de bénir notre soeur, et que–qu’elle soit bien portante. Je la bénis dans ce but, au Nom de Jésus. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

104      Ô Dieu, guéris ce pauvre petit enfant affligé. Je le demande au Nom de Jésus. Bénis la femme, Seigneur, je prie, au Nom de Jésus. De même, ce petit enfant, Seigneur. Je Te prie de les guérir tous deux, au Nom de Jésus-Christ. Faites-nous voir le petit enfant. Croyez-vous ? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Prophète de Dieu ? Vous ? Levez les mains en l’air. Votre arthrite est partie. Allez et soyez guéri.

            Très bien. Ô Dieu, je Te prie de guérir notre soeur et de la rétablir; au Nom de Jésus, je prie.

            Ô Dieu, je Te prie de guérir notre soeur et de la rétablir; je le demande au Nom de Jésus-Christ... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Je Te prie de la guérir et de la rétablir, au Nom de Jésus. Allez, réjouissez-vous maintenant, croyez de tout votre coeur, vous pouvez vous rétablir.

            Très bien, venez, frère. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... que Tu béniras l’enfant et la maman. Que tous les deux soient guéris, au Nom de Christ. Amen.

            Venez en croyant maintenant. Seigneur, je Te prie de bénir notre soeur et qu’elle soit rétablie; je le demande au Nom de Jésus-Christ. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

105      Tenons-nous debout juste une minute. Je pense que nous devrions lever nos mains et rendre grâces à Dieu.

            Père céleste, nous Te remercions au Nom de Ton Fils, Jésus, pour Tes bénédictions et Ta puissance. Accorde Tes bénédictions sur eux tous, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

E-1 For he shall grow up before him as a... plant, and out... root out of dry ground: he has no form or comeliness; and when we shall see him, there is no beauty that we should desire him.
He is despised and rejected of men; a man of sorrow, acquainted with grief: and we hid as it was our faces from him; but he was despised and we esteemed him not.
Surely he has borne our grief, and carried our sorrow: yet we did esteem him stricken, smitten of God, and afflicted.
But he was wounded for our transgressions, he was bruised for our iniquities: the chastisement of our peace was upon him; with his stripes we were healed.
And now, for just a moment... Are you through, Brother Wood? The book... Thank you. Let us bow our heads just a moment, for prayer now. As we settle down now, everyone, for the service.

E-2 I see two little afflicted children setting here tonight, little boy and a little girl, setting in a wheelchairs, another little girl laying across her mother's lap, with a blanket over her. Let's ask God if He will be merciful to these ones tonight, along with... Yet I see a little afflicted boy setting back here too, in the arms of the mother, perhaps.
Oh, I see a man with his crutches up close to him. What a scene now. Let's talk to the great Maker now as we have our heads bowed.
Our heavenly Father, we have come tonight for no other purpose but to the glory of God, and for a testimony of Jesus Christ, Thy Son. This great historical meeting for the city, is just now beginning to come to the close. It was at the close of the meeting one day, the thief... When Jesus stood up in the midst of the people and cried out, "I am the Rock that was in the wilderness. Your fathers did eat manna and are dead."...

E-3 And how He exalted God before them in telling them of what His mission was on earth. Father, we pray that these last few nights, as He has been in the future may He be even in a greater portion, manifest Hisself to us.
We're reading here from Your Scripture tonight of how He was wounded for our transgressions, bruised for our iniquity; the chastisement of our peace upon Him, and with His stripes we were healed. All we like sheep have gone astray. God be merciful to us all. Forgive us of our sins.
Help us tonight, Lord, to lay aside every weight and the sin that's easily beset us, that we might run with patience the race that's set before us, looking to the Author and Finisher of our faith, Jesus Christ. For we ask it in His Name. Amen.

E-4 Now, just for a few moments, not to preach, but just as I have been doing... exalting Christ. I want to use a subject of this, of: "God's Provided Way."
You know there's two ways for all things. You're aware of that, aren't you? That's your way and God's way. And you can't be in your--have your own way and be in God's way at the same time. You have to get out of your own way and--to let God have His way. Isn't that true? Now, it's either right or left.
Now, if you're going your way, you're out of God's way. And if you cease from your own way, you get in God's way. God can have His way when you cease to have your way. But as long as you're having your way, God can't have His way. So you have to go one or the other ways. So let's just let our own way drop tonight, and let's let God have His way. God has a way.

E-5 He likened here... He said to the prophet, "All we like sheep have gone astray." I like that. God likened us unto sheep. I wonder why. Anybody here ever raise any sheep? Well, you know that a sheep is the most helpless thing in the world when it's lost. It just can't find its way home at all. Is that right, sheep-raisers? And I've helped raise them myself out on the Western prairie, and herded them a many.
But notice, a sheep when it's lost... when he's lost, he will just stand and bleat. That's all. The wolves will come get him (That's all.), 'less a shepherd doesn't come to him. And that's the way it is with us, when we're lost, we're absolutely hopeless unless the Shepherd comes and gets us.
So, I'm glad tonight God has got His Shepherd over His sheepfold, aren't you? That when we call, He always hears... "And all we like sheep have gone astray." See, that's wandered out. But God laid upon Him the iniquity of us all.

E-6 How that on one Man the iniquity of all the world was laid... All the sins, all the sickness, all the--all--everything that was wrong was laid upon that one Sheep, God's provided Lamb. And He took Him up to Calvary and crucified Him to be the--the--the substitute for our wickedness, and our sickness, and our transgressions, and all that we've done against, God and all we've done against ourselves, and ever... He--He was--He was God's provided Sacrifice for us, God's provided way.
Now, God has always had a way. He's got a way tonight. And God, always before He sends judgment, He always makes a way of escape. Out of every trial, God makes a way of escape. And God makes a way... Before He sends His judgment, I might say first, before He sends judgment, He always sends mercy.
And if you spurn mercy, there's nothing left but judgment, and you've judged yourself. See? You've always made your judgment.

E-7 Now, tonight when you come about Divine healing, you say, "I don't believe it." Why, you couldn't get healed... There's no hope for you. See? But you already judged yourself. And when you--when you reject Jesus Christ the Saviour and God, you don't have to be judged, you're already judged. Your attitude towards God's provided way has judged you.
It's not--it's not necessary that any man would go to hell. And God don't send no one to hell. You send yourself to hell. God's done everything in the world He can to keep you from going to hell. And He let's you determine to go to hell. You fight over every barricade God puts in your way; you just go right on over it. "I don't believe in this. And I don't believe in that. And I don't believe in this." Just headlong...
Now, there's a red light here in the city. And it turns red and green. That tells you when you can stop and go. If you run it, well, don't blame the city. They put the light up there for your protection. But if you run on through it, that's up to you. It's you--you--you brought your own judgment.

E-8 You remember when that first little corn silk cigarette you smoked, standing around behind the--the chimney behind the house, and went and eat some coffee to keep mama from smelling your breath? Mama said, "Have you been smoking?"
"No, mama."
What was the first thing? That conscience says, "Don't do that, little boy, you're lying." But you fought right on past the conscience. "No, mama. I didn't smoke it." There's God's first provided way for you to stop right there; that's a halt light. "Stop. Don't say that. Tell her the truth. If you get a whipping, go ahead and tell the truth about it."

E-9 Then the next thing, you go--you go to church and you hear the hymns sang, the Gospel preached. Something... And the Holy Spirit begins to speak to you. "Come, repent." And you say, "Oh, that... I--I--I--I'm young. I got plenty of time yet. I got this. I've got to do this." See? You're rejecting God's provided way and judging yourself.
Then how can you blame God? You can't. You--you got to blame yourself. There's not a bit of need of anyone going to hell when God has made a provided way of escape. You can't help being a sinner. You can't help that. You was borned a sinner. But you can help staying a sinner. For if you accept Jesus as your--in your place as... He was made sin for you, God's way of escape. Then you don't have to be a sinner. You'll be a Christian and you'll be holy: not your own holiness, but His holiness; not what--what you are but what God has done for you in Christ Jesus. See?
Your own ways... You can quit lying. You can quit stealing. You can quit smoking. That's... don't mean you're saved. No, sir. You're saved because God ordained that you should be saved and called your heart. That's why you're saved. "No man can come to the Father except by... to Me except My Father draws him." And God has made a way of escape now.

E-10 In the days of... and had a provided way for it... Look in the days of Noah. Jesus referred back to it. Back there in the antediluvian world. Let's go back just for a few moments and run ourselves back.
Now, it'd never rained on the earth. The earth set up straight. The reason it leans back this a way today, it's hot and cold air which brings up the vapor and--and that's what makes the clouds and so forth. But to that time it had never rained on the earth. God watered it through springs and so forth in the gardens, the springs beneath it. It'd never rained. There'd never been a cloud in the sky over this earth to that time.
And then God seen the wickedness of men, how that they sinned. And God is holy. He can't stand sin. And He said that He would destroy men. And He told Noah to go preach a message of mercy before Divine judgment came.

E-11 Now, what did they do in that day? They laughed and made fun of Noah. God had a provided way for every mankind to escape if he would take it. But man rejected it. He didn't want that way. And he thought Noah was crazy. I can hear him talking down in the city maybe, down in the--in some of the cities of the--of the day, saying, "Hey, what do you think about that rain story that guy's talking about? It's going to rain water down out of the heavens. Do you ever hear such? I don't see any up there."
But if God said there was going to be some up there, He can put some up there. That's right. God was giving a way of escape. He was making a mercy for the people. And they rejected it. And--and it... Noah preached a hundred and twenty years, trying to get the people to reform, to--not to reform, but to repent, and to come and--and come into the ark.
And all the time he was building the way with an ark. He made it out of a certain class of wood. And he... for the saving of his own household and to those who would come... There was a door in the ark. And how that I can look back there and think now that about the time that Noah had got through preaching and all the people had rejected, they had made fun of him and laughed at him... Do you believe that?

E-12 Jesus said, "As it was in the days of Noah... eating, drinking, marrying, giving in marriage...", moral, immoral, pollution, just about like they got now, just the same way; and a message that seemed to be to the world a fanaticism. Hallelujah. That's right.
And God's got a provided way tonight, and it's called fanaticism. But it's God's message. There's a Door of the ark open and that Door is Jesus Christ, God's provided Way. Any man wants to come is welcome. But to reject it is to die. That's right.
And remember, the same rain that drowned the world, saved Noah. The same water that destroyed the world, brought judgment upon the world, was what saved Noah.
And the same Holy Ghost tonight that you're making fun of and spurning, that--and calling us people a bunch of holy-rollers, that same Holy Spirit will save the Church, will judge the world and condemn it. That's right.

E-13 The Church will be taken up. The world will be condemned by the same Spirit that they're listening to tonight. That's right. To reject it is death; to receive it is Life: either right or left, negative or positive.
And as it was... He said "Just as it was in the days of Noah." But God was determined that something would be saved. And listen, let's take a little drama. I just like it.
When I can hear back there now, Noah had got through preaching. His sons had believed and their wives and so forth. They were ready. There'd never been any rain. And the first thing you know, I can hear the first roar like thunder go forth. I can hear somebody say, "What was that down in the city?"
Oh, they were dancing and, oh, eating and drinking and having a big glorious time, and full of gaiety, just like the world today. For Christ said it would be this way. It can't be no other way.

E-14 There's no need of praying for it to be changed. It can't be changed for God's done said it wouldn't be changed. The only thing to do is save yourself from this generation by looking to Jesus Christ, accepting Him, and be borned into to God's provided way, the baptism of the Holy Spirit. Amen.
Listen. He died on the cross. And there He bled. He was a--took upon Himself the form of sinful flesh. He died in my stead. He was just as... God took out of the side of Adam a rib and made a bride to him. God opened up the side of Christ and taken out water, Blood, and Spirit for a Bride, for the--Hisself, for Christ. How beautiful.
"And by one Spirit (not by one church membership)--By one Spirit are we all baptized (Amen)--are we all baptized into one Body and become members of that Body." And just as sure as God raised that Body in the literal (out from the grave) the spiritual Body will go in the rapture. Truly.

E-15 As it was in the days of Noah. The first thunder... My, I can look up there, and I can hear the city begin to scoff at it. Saying, "Wonder what that was? A blast went off somewhere." But look.
Let's look even at the animals. I can see the old mother bird setting up in a tree. She's chirping away, and the father bird over there, happy. And the first thing you know, why, when they heard the thunder, the old mother bird said, "That's just what Noah said. Let's go."
I can see the old mother camel out on the hill, and the father camel. "That's it mother, come on. That's just exactly what Noah said."
I can see the little monkey with his coconut. He drops it. Said, "Come on, mother. Let's go." And away they went, two by two into the ark. I tell you, something's got to hear the Gospel. Hallelujah. How there's a Spirit of God upon animal life, brought the animals into the ark, how much more ought the Holy Ghost to men and women today, who believe God, and hear Scripture and hear the Word and see God's way? How marvelous. Yes, sir. "As it was in the days of Noah, so will it be in the coming of the Son of man."

E-16 Moses took God's provided way when they were down there in Egypt. How they going to get out? It... God kept hardening Pharaoh's heart. But He said, "Now, I'm going to make a way of escape, because I'm going to send death over the land."
Say, listen, here's something striking. Watch, plague after plague after plague, but the last plague fell was death, just before the deliverance.
Notice it. How striking it is today. Jesus said there'll be--perilous times shall come, men's hearts would fail; how He said they'd be distress between the nations, sea a roaring, tidal waves that's never been heard of before, bursting forth in the seas. How that in all these things, signs would be coming to pass. Just like it was in the days of Noah, it would be again. How marvelous.
But remember, the last plague that fell was death. And the last thing... God has give us warning after warning, warning after warning. Now, the last thing that's come is death, spiritual death. The churches are dying spiritually. That's right, friend.

E-17 We talk about the revival in America; we haven't got any revival. We've got a lot of church joining, but we haven't got any revival.
One of the famous evangelists, not long ago, where had claimed thirty thousand in six weeks (or twenty thousand, I believe it was.), about six weeks after that, couldn't find twenty people. The reason of it is this, friend, is because they just have the people just to make a confession, just stand up and set down. That's good. That's all right, as far as you go.
But, brother, there's a deeper experience than that. You've got to get that person to where the Holy Spirit takes control of that life by the baptism of the Holy Spirit. That's God's provided way.
Just same as it was in the days of Noah. One of them stood up and said, "Well now, look. If it does happen to come the way Noah said it, I'll just get on me a big white poplar log and float along."

E-18 God's provided way was the only thing that floated. Your popularity won't last during that day. It won't stand in that day. I don't care what you got. God hasn't got any shortcuts. You come by the cross, born again, filled with the Holy Ghost, or you're gone. You're lost. No shortcuts, you got to come God's way.
What if I started home tonight and said, "Let's see now, the beeline would be right like this." I'd get stuck in mud. They've provided a highway. I've got to take the mark and follow it.
And I tell you, here's what Peter said on the day of Pentecost. Said, "Repent, every one of you, and be baptized... Name of Jesus Christ, for the remission of your sins and you shall receive the gift of the Holy Ghost. For the promise is unto you and your children and them that's far off (even Connersville, Indiana), and as many as the Lord our God shall call."

E-19 And since that time brother, Jesus said, "Except a man be borned of water and Spirit, he will in no wise enter." They've adopted different things, friends, but that's not God's Bible. No shortcuts, you got to come the rugged way. Surely.
I think of Naaman back there, when he tried to take a shortcut. The prophet told him, "Go down and dip in Jordan."
"Oh," he said, "the waters up here is just as well--just as well up here as it is down there." Well, he's going on up with his leprosy. But the prophet told him to go dip in Jordan.
And I can see him. It--it kind of hurt his prestige. Got off of the boat, or of his little old chariot, walked out there and held his nose, you know, and dipped down his spots. It might hurt you, might get you all upset.
Here not long ago, a preacher said to me, Sunday school teacher, rather, in the city I live. Said, "Brother Branham, how in the world can you preach and all them people saying, 'Amen' and 'Hallelujah' and screaming and crying?"
"Why," I said, "if they wasn't doing that I couldn't preach." Brother, that's right.
He said, "That'd get me so excited."
I said, "It doesn't me." And say, "If there--if there's nothing going on, then I get excited."

E-20 You know, your "amen" don't hurt me. Your shouting and crying doesn't bother me. Puts me in mind when I used to go hunting. I used to like to night hunt. Do you ever do that, you Hoosiers here, opossum hunt?
And I had an old dog didn't have but one tooth. But brother, he had a lot of grit about him. And he would tackle anything but a skunk. And then when we got it under a brush pile like that, the only thing I had to get him to do to go get the skunk was just lift up the brush pile and hit him on the back and say, "Sic him, boy. Sic him, boy." He'd get that skunk too.
Brother, the worst skunk I know of is the Devil. The stinkingest thing I've ever... Now, you just say, "Amen" and that's "...?... him, boy." We'll sing...?... I mean to tell you...?... That's right.

E-21 O God, making a way of escape: God's provided way. Don't try to get in your own way. Noah tried to get in... Or the people in Noah's time tried to get in their way, their own way. But God had a way the way of the ark.
He's got a way today, and it's the way of Calvary. And you say, "Well, I believe that, Brother Branham." Well, if you have and come by the Door, you've got to receive the Holy Ghost. Truly.
How beautiful that parable was taught of the wedding supper. He found one there without a wedding garment on. Why, that's very typical. In the Oriental times, when they give a--a supper out or something another, the bridegroom had to furnish the robes. That's--that's the way it is in this affair too, the wedding supper we're going to.
And then the bridegroom hired a man to stand at the door. And everybody that had a invitation, come at the door. Poor or rich, any kind, they put this robe around them. When they were in, they were all alike. I like that.

E-22 Brethren, there's no big me and little you then, when you come by the way of the Door. And then He found a man back there that didn't have a wedding garment on. He come in some other way besides of the door. And Jesus said, "Friend, what are you doing here?" And he was speechless.
And you try to climb up your own moral stepladder or by some creed or some church, brother, you're going to find yourself the same way. Every man that comes by the Door is going to get the same robe. And that robe is the baptism of the Holy Ghost. Every man takes the same tonight.
A lady said to me, said, "That woman standing at the back of the building, screaming and crying," said, "well, I--I just... well, that would worry me." Said, "Why, it--it just makes chills go up my back to hear her crying, shouting."
I said, "It did?" I said, "If you'd ever be fortunate enough to get to heaven, you'd freeze to death then, when you come up there, hear all that screaming, crying, and shouting up there. Why, they cry 'Holy, holy, holy,' before Him day and night. All the time."

E-23 Certainly, God has a provided way. You say, "You got some of that new kind of religion, Brother Branham?" No, sir. I got a brand new case of that old kind of religion. Oh, why sure.
Way back before there even was a world, they had shouting religion. "Where was you" God said to Job, "when I laid the foundation of the world, when the morning stars sang together and the sons of God shouted for joy?" Amen.
Have I got something new? No. It's still the same thing. Hallelujah. No wonder when that Stone come rolling into Jerusalem, all the people singing, "Hosanna, hosanna."...
And them starched priests said, "Make them hold their peace. They... Oh, they--they excite me."
He said, "If they hold their peace, the rocks will immediately cry out." Something has to take place. Yes, sir.

E-24 I can notice Moses before the great separation time. Before death come to strike the land, God made a way of escape for those who believed: said, "Go out and get a male lamb. Keep it up fourteen days." Perfect type of Christ. First one from the old mother ewe, must be a male kept up fourteen days to be proved. It couldn't have a blemish.
Christ, the same thing, first One from the mother, virgin, and was tried... Even Pontius Pilate said, "I find no fault in Him." No one could find it.
Judas Iscariot said, "I've betrayed innocent Blood."
That pagan wife back there of Pilate, had a dream and sent the--the boy down from the palace. I can see Pilate standing there just ready to pronounce judgment upon Jesus. I hear a horse come running, galloping up there. A boy jumps off and runs up, falls down by the side of the--his master; raised up and give him a piece of paper. He looks at it. I can see his face turn white, knees go to flopping together. Let's look over his shoulder and see what it says.

E-25 It coming from a heathen now. Said, "Have nothing to do with this just Man. For I've suffered many things today in a dream because of Him."
I tell you. Every enemy had to testify of Him. The moon, stars shut off their glory to that day. That was the Son of God. The Roman centurion said, "Truly, that was the Son of God."
...?... said, "I betrayed innocent blood." Hallelujah. Yes, sir. He's God's provided way tonight.
Here's... Every man or woman that's ever had any--done anything for God, has been men and women who's believed that, held onto it, and kept it. It's thrilled the hearts of poets through the ages.
When I think of Eddie Perronett back there, what do you think of Christ, Eddie Perronett, when he wrote the--the great song of:
All hail the power of Jesus' Name!
Let angels prostrate fall;
Bring forth the royal diadem,
And crown Him Lord of all.

E-26 And I think of Hopkins, after being persecuted and everything, the way he did. He said.
When I survey the wondrous cross
Whereon the Prince of glory died,
I count all my pain to be but loss...
Oh, my! I'll ask another one. What do you think of Christ? Who do think He was?
I think of--of blind Fanny Crosby. What do you think of Him? You was blind, never saw day light in your life. What does Christ mean to you? If she could stand tonight, here's what she'd say.
Pass me not, O gentle Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
Thou the Stream of all of my comfort,
More than life to me,
Whom have I on earth beside Thee?
Whom in Heaven but Thee.
That's right.

E-27 Another one wrote:
Living, He loved me; dying, He saved me;
Buried, He carried my sin far away;
Rising, He justified freely forever:
Some day He's coming--oh glorious day!

E-28 Certainly. God's provided Lamb, God's provided Sacrifice...
Said, "Now, wait Moses, I'll make you a type." And He took the blood of this lamb, killed it in the evening.
Notice, all the elders of Israel had to witness to it. And they witnessed the death, just as they did up there. They said, "Let His Blood be upon us." And He died in the evening time. Jesus died at three o'clock. And they took the--the blood of the lamb with hyssop and sprinkled it upon the door post and on the lintel.
Did you notice? Not on the floor, it's not to be looked down to. It's to be looked up to. And notice, on the door post and on the lintel, perfect, the cross. There was the blood.
God said, "When I see the Blood, I'll pass, I'll pass over you. When I see the Blood," God's provided way.
"How are we going to escape the death?"
He said, "I'll watch for the blood."
And there that night out... And let's take a little drama. I can notice the father, of course, in--in the Old Testament was the priest of the house. Now, he's the figurehead. Now, he goes down and he puts a--on the door and the lintel post. And then when it come about night, I can see all the young girls down there come out, tell the Hebrew girls, "Come on, we're going out to the dance."
Why, they say, "We can't go. We're under the blood." What a type. "We're coming in God's provided way."
"Nonsense with that religion. Whoever thought that blood would do anything? Come on out, let's have a good time."

E-29 But they stayed under the blood. God said when you go under the blood, stay there (That's right.), not in and out, in and out. Stay there.
After while, it come midnight, great dark, roaring cloud come up. I can look, coming back through yonder, and I see two big black wings spread out across the nation. Here it comes. I can hear the priest of the family, the father, say, "There's the death angel sweeping the land now: too late now." And directly, I can see him go dip down on into a valley, hear a scream come up from out of that house. The son was dead. Away he went. Directly here he comes, right down to another house again, goes in. The big black wings close in around the house. A scream comes up, "The son is dead."
I can hear the little boy say, "Daddy? Take another look. Be sure the blood's on there." Yes, sir.

E-30 I tell you, if there ever was a time a man ought to be examining himself, is right now, brother. Is the blood on the door? Watch around and look good...?... The next thing you know, he kept watching for that. Little old fellow said, "Daddy, them wings make me nervous."
He said, "Son, be of a good cheer. There's blood on the door. That's God's provided way. We're in His way." Hallelujah. Don't make any difference what the world says. We're under the Blood." Hallelujah.
So is it today of every man that's borned of the Holy Ghost: under the Blood, don't care what the world's got to say about it. Call you fanatic if they want to, long as you know the Blood's applied.

E-31 All right. He said, "There's no danger." And the first thing you know, these big black wings swept down towards that house. He seen the blood and just passed on over it. How marvelous.
When he got down there to the river and couldn't get across and of armies, God made a way of escape. God had a provided way. When they got into the wilderness and they had nothing to--nothing to eat, God rained manna down. He was the provided way. When they got sick, He provided a brass serpent, making a way.
The people... I can see them gathering out. The people would come look at the brass serpent to get well.
"Well, what's in that serpent? What's that got to do with it?" Some of that mixed multitude went up. We still got them. Plenty of them. "Oh, this fanaticism, they're enough to..." But they looked and lived. That was God's provided way for Divine healing for them. That's right.

E-32 One day at a pool of Bethesda, God had a provided way for them. A little later on, there was a man come by, if they laid in his shadow was God's provided way. Tonight He's got the Holy Spirit here, which is God's provided way, proving it. That's right. Separating from sin, taking away all the iniquities, and healing the sick and the afflicted, God's a doing it: God's provided way.
Notice, the way of escape. Now, let's go a little farther. One day they got without water. They got to murmuring, grumbling. The church murmuring and grumbling, complaining against Moses, complaining against God, and God cut off the water supply.

E-33 That's about like our Pentecostal churches today. One of them says, "Glory to God. I belong to the Assemblies of God." The other one, "I'm the church of God." And the other one, "I'm the United Pentecost." "I'm this, that or the other." You keep grumbling and God's cut the water off from you. That's right.
Get your hearts together. That's right. The streams will open up again. What we need tonight is a good old fashion, outpouring gusher from heaven. Yes, sir.
I think about your different separations. Jacob had a very clear type of that. He dug one well, and the Philistines run him away. He called it "Malice." They dug another well and the Philistines run him away. He called it "Strife." He dug another well; he said, "There's room for us all." That's right. "Everybody, come drink."
That's what it is tonight.
Room, room, yes, there is room...
There's room at the fountain for every person in here. Every sin sick soul, there's room at the fountain.

E-34 [Blank.spot.on.tape--Ed.] Notice, oh, my. There... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... and speak to the Rock and it'll bring forth its waters." Bring forth "His", "His" is a personal pronoun. "Speak to the Rock and it will bring forth His waters that thou may drink, thou and the people and the..."
Watch. Why, to the carnal mind that was the most foolish thing that could've been said. Just like talking about the baptism of the Holy Ghost today, to the carnal mind, "Why, that bunch of people's crazy. Why, it's a--it's the craziest thing you ever heard of. If your doctor has done said you was going to die, what in the world can be done otherwise?"
But God said, "Speak to the Rock." Amen.

E-35 "Now," they said, "we've been to every water hole in here. We've dug where the water was. We've come down here and every place is dry. We visit every spring and it's dry." And the rock was the driest place there was in the wilderness. How God takes the foolish things of this world to confound the wise.
Why, I'd say... You might've seined through every doctor's office in the city. I'd... I'm... we're... I'm not talking against the doctor. He does what he can do.
Just awhile ago, before coming here, one of the greatest doctors in the southland was standing in my house, telling me... Not only that, but he brought a patient that was incurable. He said, "I know where somebody can pray the prayer of faith, and I brought the boy." That's right. One of the top surgeons in the Jewish Hospital...
Notice, then when he... they're... They just men like you and I. They got a soul. They got to die like we have. Doctor take his own medicine and die. What's the matter? The medicine's not the Healer. God's the Healer. Medicine's an aid. Medicine's all right. But medicine is... They got an aid; it isn't a healer. Medicine doesn't heal. Doctors don't say it heals. They only... But God give it here; it's a remedies and so forth. Medicine is a remedy; God is the cure. See what I mean?

E-36 Now, notice this. When Moses said... They told him to speak to the rock and it would bring forth the waters. Now, the carnal mind looked at that rock, and it was the driest place in the desert, just about like the Holy Ghost Church today. "Why," they said, "if God would ever do any gifts, He sure wouldn't send them up to that bunch of fanaticism."
Here not long ago, I was talking to a young lady, which was a reporter. She came down. I don't where she found where I was staying. It was out in Oregon. And she had a pack of cigarettes with her. And she started pulling out one and smoking.
And I think that's the lowest, immoralest thing that a woman could do. And I have no apology for it. If God don't think no more of you at the judgment and the Angel of God speaks to me about that, you have the slimmest chance of anybody in the country of ever getting in. That's right. Yes, sir.

E-37 And she pulled out a cigarette. She just shows her colors, what she is, when she does it. Now, let your face get red. And you men that'll let your wife smoke cigarettes, it shows what--who's the boss around the house. That's right. Let them lay out here in these little old beach clothes and things, lay out here before men stripped down...
I've got a girl at home. She might've wanted to get a suntan too. But brother, if she does, she's going to get a son-tan. It will be Charlie Branham's son with a barrel slab behind her, bringing her home just as fast as I can bring her. That's right. I'll give her the kind of son-tan she needs. Yes, sir. I mean that. God give us some good old...
You talk about the literacy of Kentucky over here, where some of them old mammies would go back there and raise their young'ns... Why, it'd make you feel ashamed of yourself, then say, "They're ignorant." What's the matter with you? Oh, it's just...

E-38 Well, I better stop on them. 'Cause brother, I believe it's either right or wrong. There's no dividing line. You're either in or out. And if you do those things, it shows you're out. "If you love the world or the things of the world, the love of God's not even in you," said Jesus. That's right. So just by their fruits you shall know them.
Now, I'm standing behind the pulpit; I'm not meaning personally to anybody; I'm saying what God said. I'm responsible for preaching it. And God holds you responsible the way you act about it. That's right. Amen. Oh, it's the truth.
And there I noticed back there, that when he spoke to the rock, the rock give its waters.

E-39 There was a man one day by the name of Elijah. The Lord told him, "Now, I'm going to make a way of escape. I'm going to send you up yonder on the mountain. I want you to stay up there, 'cause it ain't going to rain for three years and six months."
And that old preacher stomped right up there before that king and said, "The dew is not even going to fall from heaven till I call for it." How did he do that? He knowed what God said was the truth.
Walks up there on the hill, and I can hear him say, "King Ahab," said, "looky here. Tell Jezebel..." His little painted up wife, you know, with all that manicure over her face and... You know, Pentecostal women do that too. Brother, God...

E-40 Listen, let me tell you something. I might as well get it right here. A long time ago that was wrong to do it. But it isn't no more. Just like they took the old Charley Barley Corn with that scarecrow hat on, Old Charley... Put him in bumpers in a can, put him in the ice box. You dress him up a little bit, but he's still Charley Barley Corn. Just as much sin to drink it out of a bumper as it was out of the old barrel a long time ago. Right.
Let me tell you something, women. If you're guilty of that, listen, I'll tell you what'll complexion you better than anything. Take this little bit of--of the Gospel in your heart. That's right. It'll take care of it.
Let me tell you; there's only one woman in the Bible that ever painted her face to meet men. And that was Jezebel. And God fed her to the dogs. Now, if you see a woman with a lot of paint on her face, say, "There's Miss Dog meat." That's what God said. That's exactly right. That's Miss Dog meat. That's what the Bible...?... God fed her to the dogs. That's... Amen.

E-41 Brother, what we need is an old time, Holy Ghost sent, Gospel power of God to straighten up the Church and get back into the ring like they ought to be.
God help these preachers; I ain't talking about these: hanging along with little old kid gloves on, afraid they're going to hurt somebody feelings. I'd rather hurt every man in the world and be in friendship with God. Tell the truth. God will honor it. Amen.
"Amen" means, "so be it." Don't get scared. That won't hurt you.
Now, look, brother. Elijah went up there and set down by the brook and some of them said, "That poor illiterate fellow, setting up there on that top of that hill..."

E-42 Well, the first you know, all the fountains dried up. They didn't have any rain. They said, "Well, I guess that old guy is about to starve to death up there." Said, "Well, he had... Well, look at him way up there on top of the hill." But he... Every time he wanted a drink of water, he just knelt down and got a drink. Is that right? And they called him crazy.
Well, they was the one down there supposed to be so smart and they were starving to death. A good type of the born again believer tonight, we set down by the brook, by the inexhaustible Fountain of Life, Jesus Christ.
If one of us ever needs a blessing, let's kneel down and drink. Hallelujah. "I'll give him living, rivers of living waters, that's bubbling up into his soul, gushers coming out." Set down by Him one time and talk to Him. See if it's not right.

E-43 See you up there wiping the tears from your eyes, just screaming, and shouting, and having a great time. Then they call you crazy like they did Elijah. He was faring better than they was.
Now, you say, "That old preacher setting up there in the wilderness..?" Yes, sir. He was taking God's provided way for him during the time of the drought. He's setting up there by...
Why, he's better off than a lot of people in Connersville. He had some colored porters. The Bible said that every time when he got hungry, or something, here come some ravens with a sandwich. Hand it right down to him. You're not that well off yourself and then you call him crazy. He knowed what he was doing. He was in God's provided way. Hallelujah. Yes, sir.
A preacher said to me not long ago, a Jehovah Witness man. He said, "Brother Branham, do you mean to tell me you think that's the truth?"
"Well," I said, "sure it's the truth."
He said, "Do you mean that those crows brought Elijah some sandwiches?"
I said, "Yes, sir, brought him some meat and bread."
Said, "Where in the world do you think they got it at?"
I said, "I don't know." I said, "Only thing I know, they brought it. Elijah probably didn't know. They brought it and he eat it."

E-44 That's the same with the baptism of the Holy Ghost. "What makes it so?" I don't know. God sends It. I drink It down. That settles it. As long as--as long as God sends It, that's His provided way. He sent it by a crow that day. He sends it by the Spirit today. So, I just set down, eat and drink and have a good time.
They say you're crazy. Go right on. That's all right. Hallelujah. Long as I'm standing God's provided way, as long as I'm setting at the fountain...?... I get hungry. Amen. Oh, my. How wonderful.

E-45 There's some people one time that was worried about Jesus going away. Jesus said, "Don't worry. I've made a way for you. A little while and the world won't see Me no more, yet you'll see Me. For I'll be with you, even in you, till the end of the world."
"Well, how You going to be with us and not in the world? I can't understand."
Said, "I'll tell you what you do. You want to get in God's provided way?"
"Sure."
"Just go up there to the--at the Jerusalem and wait there until the Holy Ghost comes."
"Well, how's the Holy Ghost going to come?"
"I don't know. You just go there and wait."
"How long we going to wait?"
"Until."
"Well, do You mean two hours?"
"Until."
"Maybe just a week?"
"Until."
"Until what?"
"Until you're endued with power from on high."

E-46 Acts 1:8. "But you shall receive the Holy Ghost after this the... You shall receive power after this, the Holy Ghost has come upon you. You'll be witnesses of Me in Jerusalem, Judaea, Samaria, and Connersville, Indiana, and the uttermost parts of the earth." What? After you become a deacon? No. After you get out of the seminary? No. After you become a preacher? No. "After you have received the Holy Ghost, you shall be My witnesses with power throughout the entire world."
Every God called witness must be endued with power from on high before he can be a witness. A witness has to know something, see something, know what he's talking about. Amen. I feel religious. My, I sure do. How wonderful He is.

E-47 Say, I got to have a healing line in a few minutes to pray for the sick. Let's come to a close quickly. Let's not leave those Pentecostal people in that room up yonder though. They was waiting to find out what God's provided way was, to see what kind of a way God's got to provide.
So they was waiting there, and Peter said, "You know, John. I'm ashamed of the way I treated the Lord."
And he said, "Well, you ought to be." They got to talking with one another. And one of them said, "Well, I was a Pharisee."
And the other one said, "I was a Sadducee." Well, they got that all out of their heart. And when they got all in one accord, setting in one place, then suddenly there appeared unto them a--a God's provided way. Is that right?
Now, now, the way we--we like to holler at the Catholics... So the way the Catholics would have it today. And here come the father up the road with a little box under his arms. He had the--the holy sacrament in it. And the people licked out their tongue and--and the priests drink the wine. And that's... They call it holy eucharist. That's receiving the Holy Spirit.

E-48 Why, you laugh at that. But be careful, Protestants. You're no better off. Now, the way we do it today, Dr. So-and-so give a very good lecture this morning. And the people changed their membership from the Methodist to the Baptist. And they come up and give him the right hand of fellowship and walked away. That's just as unscriptural as the other is. Right.
That's right. But brother, the way the Bible said it, they were all in one place in one accord. Now, here's God's provided way, not to shake hands with the preacher, and take the right hand of fellowship, and write your letter to the church. That's just as wrong as the Catholicism. So pot can't call kettle black. That's right.

E-49 But the way the Bible said it, they were all with one accord, in one place, and suddenly there didn't come a priest, there didn't come a preacher; but there come a rushing mighty wind from above. And it filled all the house where they were setting. Big flames of fire set upon them. And they were all filled with the Holy Ghost and went out into the yard staggering like drunk men. They were acting like maniacs, drunk.
And listen, the blessed virgin Mary was in there, Catholic friend. That's right. The Bible said she was in there. And if God wouldn't let her come to heaven without receiving the baptism of the Holy Ghost, what about you? You'll never get there, anything less. It's God's provided way.

E-50 "I am the Door to the sheepfold. Any man comes up any other way, the same is a thief and a robber. I AM..." and Who is I AM? "A little while and the world seeth Me no more, yet you shall see Me, for I'll be with you, even in you, to the end of the age." Hallelujah. Jesus Christ the same yesterday, today and forever...
You might think we're lost, but we know where we're at. Amen. All right. God's provided way...
There went out here... A great radio teacher the other day said, "I can prove that Divine healing is of the Devil." Could you imagine, people? You talk about Pentecostal people falling for anything, what about this? Acts 19 said that--that Apollos, that Baptist preacher up there, didn't know Jesus. Why, he did know Jesus. He was preaching and could--and proving that Jesus was the Christ because he wanted to confirm the Word. He only knew the baptism of John.

E-51 And that's the way of a lot of my good Baptist friends tonight. They only know the baptism of the church. But the baptism that comes from God is the Holy Ghost that comes like a rushing mighty wind. The same yesterday... God's provided way... That's right.
But he wanted to bypass that. "Have you received the Holy Ghost" he said, "when you believed?" No, no. "Since you believed."
Another fellow said the other day, one of these radio ministers, that you pay all your money out to support and everything like that, and then come back and blaspheme the religion that you're trying to live for. Poor little weakling... All right.

E-52 But looky here. That man said that... 'cause he was trying to bypass the Divine healing program that was on the air... I know there is a lot of fanaticism in it, and I know there's a lot of fanaticism in the other. So it's just six of one and a half a dozen of the other. That's right.
They said, "Brother Branham, since you got started, they have campaigns, everybody's a Divine healer." That's all right. Look at Billy Graham. Look at the Billy Grahams that run across the country too. Look at the rest of them. Brother, they've got it too, so don't you worry. That's right.

E-53 But watch here, brother. Let me tell you. He said that--that Simon the sorcerer was down there healing the sick and bewitching the people. And that's misquoting the Scripture to the public. I challenge that in the Name of the Lord Jesus: that Simon the sorcerer did not do any healing, and the Devil cannot heal.
Anybody would say the Devil heals, shows he is either mental deficiency, or he don't know his Bible. How in the world can God be the One that heals all thy diseases, and the Devil His partner? Why, my, that's silly to think such.
The Devil is not a healer. And Simon the sorcerer was bewitching the people, not healing them. It was Philip that done the healing and caused a great revival to sweep the city. Philip, by the Name of Jesus Christ, cast out devils and caused great joy. And they were screaming, and shouting, and having a great time, and still didn't have the Holy Ghost. And Peter came down and laid hands on them, and then they received the Holy Ghost. Amen.

E-54 Oh, friend. My. We promised to pray for the people. I just feel... I believe I'm living right at the spout tonight where the gusher's coming out. This is the first revival I've preached in for six or seven years. Just feeling good about it... And I'm just been laying out my soul. God has a provided way, and that's His Son, Christ Jesus.
He died for you at Calvary. In there He was wounded for our transgressions, bruised for our iniquity. The chastisement of our peace upon Him, and with His stripes we were healed. We were, past tense. Now, all you have to do is draw dividends off of His death.
Every borned again man is given a checkbook. And a whole--enough checks in there to last you throughout your entire life. For anything that is--that that atonement calls for, the only thing you have to do is fill out the check and send it in. Every believer...

E-55 Jesus' Name is signed at the bottom. "What everything--soever things you desire when you pray, believe that you receive it, and you shall have it. It'll be given to you." Is that right? "Whatsoever you desire believe that you receive it and you shall have it." What a marvelous promise.
I think about a provided way. Back in the Old Testament, they used to have... Just before closing now, listen closely, give me your undivided attention.
In the Old Testament, they had lambs, and doves, and things for sacrifice.

E-56 I heard a little story one time about a--a caravan coming over the hills of Palestine, down at--coming down through the plains, into Jerusalem. And a little dove was restless. He was going up to... He knew in a little while... He'd been caught in a trap. And he knowed a little while, it wouldn't--he'd have his little head pulled off. He'd have to bleed as a sacrifice.
And he was restless, trying to get through the--the cage door, everywhere pushing and cooing. The sun was coming up. The camels was walking slowly as they're coming in, getting in for the morning sacrifice, where they sellers and changers out there could kill the little fellow. And he was so restless, trying to push his little head through every crevice.
Around and around, and around the cage. The rest of them was cooing along. But that little fellow was trying his best to get out. He just kept trying, kept trying.

E-57 You know, I've seen... I hate to see anything caged up. I don't... I just can't stand it hardly. I know these little canary birds... I--I... If you turn them out, they'd die but I--I just can't hardly stand it, to see one of the little fellows caged up. It's all right now. Don't... I'm not talking about your canary. But I just say anything in a cage. And I love wildlife...
Many times I've caught little pet wolves. How I love those little fellows. Little old bear packed him to the woods when I'd have to run with him, nearly. I'm setting there, I think, "If I take him home, I'll have to tie him up. The poor little fellow." Let him loose. Let him have his liberty.

E-58 I don't like anything bound down, shackled down. Put you in mind of old cold formal religion, that shackles you and binds you. And... But I don't like that. I like, that ever who the Son has made free, is free indeed. That's right. Just take your liberty.
Then I think... Then one time, seeing that... How I watched a big old eagle where he'd beat his head. Night after night, he'd set there at that cage... Up here at the Cincinnati Zoo is where I saw it. You'd look down as you go around to the birds. And I'd see that eagle just flop against there. He'd beat his head. And he'd come back again. He'd hit against there. And he'd fly up against the top of it. And he'd fall down.

E-59 And the first thing you know, he'd just beat hisself till the feathers was all out of him nearly. And he set down like that, and his weary eyes rolled up, looking around. And I thought, "O God, that's a heavenly bird. He soars in the heavens above. Here he is caught. He fell into a trap. He's absolutely helpless. He can't deliver himself." His weary eyes rolling around, I felt so sorry for him. He can't help hisself.
And every man that's fell into the snare of the Devil is worse off than him. You're a heavenly being. You're supposed to be a son of God. You're free, brother. You got liberty in Christ Jesus, believing, God-loving, God-living, free from sin, living free from death. That's right.

E-60 But how the Devil has caught you and caged you up with smoking, drinking, all kinds of immoral living, and thinking you're popular, thinking you're doing something. That's the most great, horrible sight there to see that poor eagle beating his brains out nearly, against the cage, trying to get free.
And you're helpless, just as helpless as you can be, unless somebody puts forth His hands and opened the cage. And I'll tell you tonight; Jesus Christ has done that in calling you (That's right.), opened the cage to let you out.
This little dove that I was speaking of before, he tried--he tried. And he was cooing. He was getting closer to the temple. And then the writer said that the little fellow was cooing and trying to put his little shoulders through. And he couldn't get it on that side, the other side. And he'd try every one. And he'd get more restless and more restless. His little mate was waiting over the hill; in just a little while and he'd be killed. And he was trying to get his little self through. And after while, he turned over like this, and then give a push. It was different. Something slipped.

E-61 Oh, child of God, you've went to church after church, and place after place. You've tried to get free from this, and free from sickness, and free from this, and free from this, and you can't do it. Why don't you turn over tonight, and look up like this, and then give a push? See what happens. You'll feel a little old slip.
You've went to Divine healers, and they've laid their hands upon you, and--and done this and done that. But why don't you turn over towards Calvary tonight and then give a push; feel the slip come. Something will happen. Yes, sir.
And the first thing you know, he give another push, and another push. And he was free. And he threw his little wings out like that, and sailed away across the mountain to his living mate. Oh, what a difference.

E-62 Old blind Bartimaeus, did you ever read his story? Here's the little story of him. Bli... Bartimaeus had been blind for years. And he had a little girl, we're told, a little story of him, that he had a little girl. She was about ten years old, little curly-headed girl. He'd never seen her in all of his life. And today, how dogs lead the--the blind, the sheep led the blind then. They had lambs that led the blind.
And Bartimaeus set on the street begging. And he had two little turtledoves that done a little enchantment for the passerby. And he begged for his living.
And one night, they said that his--his wife got real sick. And he went to pray. He said, "Dear God, if You'll save my wife's life and--and not let her die, tomorrow I'll offer my two little turtledoves as a sacrifice." And his wife was well the next morning. He walked up to the temple and offered his turtledoves as a sacrifice.

E-63 Not long after that, he didn't have the enchantments then to attract the attention of the people, just him and his lamb, setting in the cold, a waiting for whoever would pass by and give him a coin.
And then one night, his little girl took sick. And the doctor thought she was going to die. He staggered his way out into the night, and he laid down. He said, "God, I don't have nothing else here to give You but my lamb. But if You'll let my little girl live, I promise You, Lord, tomorrow I'll go to the temple and offer my lamb for a sacrifice." His little girl was well the next morning.
And here he goes up to the temple, early in the morning, with his lamb. He said to gate--great high priest Caiaphas stood out and said, "Old blind Bartima--Bartimaeus, where goest thou?"
He said, "O high priest, I go to the temple to offer my lamb." He said, "Last night, my little girl was sick; I promised God if He would heal my little girl, I'd offer my lamb."
He said, "Blind Bartimaeus, thou cannot offer that lamb." Said, "I'll give you money and you go buy you a lamb."
He said, "O high priest, I never offered God a lamb; I offered Him this lamb."

E-64 That's the trouble. You try to help... What about... God wants you on the altar, not your flower, not your money. He wants you, you on the altar. You're the person that's going make the offer. Why, you... Bart...
The great high priest said, "Blind Bartimaeus, thou cannot offer that lamb. That lamb is your eyes."
He said, "True, high priest, but God will provide a lamb for blind Bartimaeus' eyes."
And he went on and offered his sacrifice. Setting without a dove, without a lamb, and one day there was a noise started up the street. God had a Lamb for blind Bartimaeus' eyes, the Lamb of God that was slain from the foundation of the world. God had a Lamb for his eyes. That was God's provided Lamb.

E-65 And that same Lamb's provided tonight for every sinner, for every boy or girl, every man or woman. If I hurt your feelings preaching, I didn't aim to. Only thing I want to do is tell you the truth, my friend. Don't fall out with me.
Listen. And to you sick people here, that's here hopeless and helpless, doctor has done all he can do, but God has a Lamb provided for you. He has a provided way if you're ready to receive it. Shall we bow our heads a moment.
Our heavenly Father, we thank Thee tonight for the promise that Thou has made us, and provided for us a Lamb slain from the foundation of the world. And now, Lord Jesus, I pray that that bleating of that Lamb will echo down from Calvary in every sinner's heart here tonight.

E-66 Think of it: that bleeding Lamb hanging between the heavens and earth, dying, an innocent substitute for a guilty sinner. And we spurn His love. God, grant tonight that every wayward boy, girl, man or woman in here, will seize that provided way, come, join up tonight in Calvary. Their soul and all that they are, all their thoughts, all that they are, may they lay it right on Calvary tonight, say, "Dear God, this is all I have. I come bringing everything. You will provide for me. For I ask it in Christ's Name."
And while you have your heads bowed, I wonder if there's a sinner, man or woman, in the building tonight, say, "Brother Branham, I'm a sinner, remember me in your prayer, will you?" Will you raise your hand up right quick, while we pressed for time?
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... is that true? No, I don't know you. I never seen you in my life. You believe God's standing here with us? Do you believe the Angel of God? Do you believe this gift of God? If I... If there's anything wrong with you, God will have to tell me, is that right? And if I--if I would reveal to you by His Spirit, what's wrong with you... Just like Jesus, He went right straight to that woman at the well. He said, "Go get your husband."
She said, "I perceive that You're a prophet." Is that right?

E-67 Well, if that same Jesus is... tonight, He could go right straight to your trouble, is that right? It's high blood pressure, isn't it? Is that right? All right. Go, get well then, in the Name of the Lord Jesus. Believe now, have faith.
All right, lady, if I don't even say one thing to you, you'd believe anyhow. Is that right? Lord Jesus, I pray that You'll heal the woman. May she go off this platform tonight happy, rejoicing and made well. Through Christ's Name. Amen. God bless you, sister. Go, believing now, with all your heart.

E-68 All right, come. Next lady, here. Come, sister. Do you believe with all your heart? Now, here's a woman really is in serious trouble. The woman's got a mental nervousness. Isn't that right, lady? Real... Look, you're worst trouble is in the late of the evening, isn't it? Along towards night, you get gloomy and worried. And you get--you get so weak, you can't hardly stand up. Is that right? You have to set down. And--and you're just--you're just all tore up.
Now, what it is, lady, it's nothing to hurt you. It's a premature time of the change of life, menopause. Now, come here. It's a gloomy shadow. And it's nothing but a lie of the Devil. See? And you're all right, and you're going to get all right. Do you believe it?
Lord Jesus, I bless the woman in the Name of Jesus Christ, the Son of God. I pray for her healing. Amen. Now, go... Listen. If He could tell me what your trouble is... And if I'd talk to you a few minutes, It'd tell your life. But It don't have to do that.
Look, will you do what I tell you do? Go out of here just as happy as you can be. He's got you all gloomy and wore down. You've dropped down in this cycle down here, when you got to get up here. Look up here, believe up here, and say, "Thank God." And go on and be happy; you'll get well. If you don't, he--he will... headed for a lot of trouble. All right. Go, believing now.

E-69 All right. Come, lady. Do you believe with all your heart? You want to get over that kidney trouble? All right, go believe God and get over it then, in the Name of the Lord Jesus.
All right. Come and believe now. You believe, sir? If I wouldn't say one thing, still you'd believe anyhow. Is that right? Lord Jesus, I pray that You will heal the boy of this terrible demon that's about to take his life. May it leave him in Jesus' Name. Amen. Now, go believing, son, with all your heart. Believe God making you well.

E-70 You believe, lady, with all your heart? Come here a minute. Lord Jesus, I pray that You'll bless the woman and heal her in Jesus Christ's Name. Amen. Go, believing now, with all your heart.
The reason I'm trying to hurry, friends, we've got so many to pray for. You understand, don't you? Is everybody holding on out there, praying? [Congregation says, "Amen."--Ed.] All right.
Come now, lady. 'Course, you see she's got a trumpet in her ear. Can you hear me through this side all right? Just a minute, let's see if we can get her to hear better. Bow your heads just a moment.
Lord Jesus, have mercy upon her. I pray that You'll heal her. Take this deaf spirit from her; I ask in Christ's Name. Amen.

E-71 Do you believe with all your heart now? All your heart? How long you been deaf? Ten years. Let's take this trumpet out just a moment, both ears. Let's see... [Brother Branham makes a noise--Ed.] You hear that don't you? Can you hear me now? Why, you're healed then. See? Go on, and you're... I say... You're healed. God bless you. All right.
Here's another one standing right here, the same thing. Lord Jesus, I pray that You'll bless this man and unstop these ears. Thou deaf spirit, leave him; in Christ's Name, come out. Amen.
Can you hear me? You believe with all your heart? Can you--can you hear me all right now? Say, "Amen." "I love the Lord." You're healed. God bless you. Go on your road rejoicing.

E-72 Poor little baby. Do you believe if I ask God, God will heal it? Born in this condition... Lord Jesus, I bless the little thing. She hasn't had a chance in life. Birth did this. But Thou, O God, can give her another birth. Grant it, Father, in Jesus' Name may it get well. Amen.
Now, God bless you, mother. Don't worry. Go, believing, and write to me and tell me about this baby. If you'll--and you'll take my word as His prophet and believe that God has done just exactly what I said He done at Calvary, died for the healing of your child, you'll write me a letter in the next four or five days and say, "Brother Branham, there's such a difference in my baby; it don't seem like the same one." Will you do that? All right.
What's your name? Presley. Where you from? All right, I'll watch for that letter.

E-73 All right, sir. God bless you. All right. 'Course, you see the man is on a cane, probably legs gone and everything. Brother, do you believe that God will make you well? All right. I'll just ask Him and it's up to your faith.
Lord Jesus, I pray that You heal the man. May he get well, Father. I ask this blessing in Christ Jesus' Name. Amen. God bless you, brother. Go now, believing with all your heart. Look, if--if you can see a difference in you by tomorrow night, will you walk up here and show me? God bless you.
All right. Come, lady. Do you believe with all your heart? Now, you look like a healthy person. That man, you see, is crippled. You can see that little baby there is a spastic, or--or deformed, the little fellow. And that little boy there (See?), why, sure, You can see that. But you look like a well person. There's no mystery saying, "That's a crippled man. That's a crippled child." Anybody sees that. But when it comes to you, you look healthy. But you got a female trouble, isn't that right? I want to talk to you just a moment.

E-74 [Blank.spot.on.tape--Ed.]...
All right, come here. Lord Jesus, I pray that You'll heal the woman and may she go from here tonight and be made well, through Jesus Christ's Name. Amen.
Now, look, sister...?... Go, believing. What say? That's all I know... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... that's who it was pulling at you, trying...
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... in the Name of Thy Son, Jesus, for Thy blessings and power. Grant Your blessings upon them all, in Christ Jesus' Name. Amen.

Up