Vous Croyez Maintenant?

Date: 53-1106 | La durée est de: 1 heure et 20 minutes | La traduction: Shp
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1          ...la puissance de Dieu aux gens, l’Evangile ne–n’aura jamais tant d’effets sur les gens. Un mahométan peut ressentir autant de joie, et crier tout aussi fort qu’un chrétien, et avoir l’assurance qu’il ira au Ciel tout autant qu’un chrétien. C’est juste. Il croit en Dieu, mais il est profondément dans l’erreur. Eh bien, ce qu’il a besoin de voir, c’est une manifestation.

            Le docteur Reedhead, qui a reçu le Saint-Esprit dans mon bureau, a dit qu’il a été avec un musulman loyal, qui a étudié ici en Amérique, et il lui a dit : «Que peut... Pourquoi ne renoncez-vous pas à votre prophète mort pour recevoir un Seigneur Jésus ressuscité?»

2          Il a répondu : «Gentil monsieur, que peut faire votre Seigneur Jésus de plus pour moi que mon prophète?»

            «Eh bien, a-t-il dit, Il est ressuscité des morts, et Il nous donne l’espérance de la Vie Eternelle.»

            Il a dit : «Notre Mahomet nous donne aussi la promesse de la Vie Eternelle .»

            Il a dit : «Nous, nous avons la joie.»

            L’autre a dit : «Nous aussi.» Ainsi il–il a ajouté : «Si notre Mahomet... Vous avez eu deux mille ans pour prouver que votre Seigneur Jésus est ressuscité des morts. Et, a-t-il poursuivi, deux tiers du monde n’en savent rien.» Il a dit : «Mais que notre Mahomet ressuscite des morts, et le monde entier le saura.» Il a dit : «D’ailleurs, notre Mahomet ne nous a jamais promis des choses comme l’a fait votre Seigneur Jésus. Votre Seigneur Jésus a promis, lorsqu’Il est ressuscité des morts, que les choses qu’Il a faites, vous les feriez aussi. Alors, vous les érudits, que je vous voie produire cela, et nous croirons que le Seigneur Jésus est ressuscité des morts.»

            Il a dit : «Frère Branham, j’ai changé de sujet.»

            Il était obligé. Oh! cela est... Nous enseignons cela dans la théologie, mais, frère, le christianisme c’est la pratique, c’est une vie.

3          Je vais lire quelques Paroles de notre Seigneur. Je lis dans Saint Jean, chapitre 16, verset 27 :

            Car le Père lui-même vous aime, parce que vous m’avez aimé, et que vous avez cru que je suis sorti de Dieu.

            Je suis sorti du Père, et je suis venu dans le monde; maintenant je quitte le monde, et je vais au Père.

            Ses disciples lui dirent : voici, maintenant tu parles ouvertement, et tu n’emploies aucune parabole.

            Maintenant nous savons que tu sais toutes choses, et que tu n’as pas besoin que personne t’interroge; c’est pourquoi nous croyons que tu es sorti de Dieu.

            Jésus leur répondit : vous croyez maintenant?

4          Comme Il connaissait ce qui se passait, les gens ont reconnu que Son témoignage était vrai, car Dieu confirmait Son témoignage comme étant la vérité. C’est ainsi que nous croyons ces choses; c’est une confirmation de la Vérité. Maintenant vous direz : «Qu’est-ce qu’est la Vérité?»

            «Christ est la Vérité.» Et Christ confirmé dans une vie humaine rend cela la vérité. Maintenant, je ne réprimande personne, à cause de l’incrédulité, parce que cela est... Je prie Dieu de me pardonner mon incrédulité. J’ai honte de ma–de ma foi devant mon auditoire. Il y a beaucoup de cas particuliers et d’entretiens en tête à tête, et l’expérience que Dieu m’a donnée par Sa grâce souveraine, et je n’ai pas de foi particulière, j’ai honte de moi. Et je confesse publiquement cela. Je devrais avoir des montagnes de foi, pourtant j’ai honte, et c’est pourquoi je ne peux pas vous réprimander.

5          Mais voici la seule chose que je dis : «Que Dieu nous aide à avoir la foi.» Et au fur et à mesure que nous voyons les manifestations de la Présence de Dieu, cela augmente notre foi pour croire en Lui. Par exemple, comment Israël pouvait-il douter de Dieu après qu’ils ont vu la mer Rouge s’ouvrir? Après qu’ils ont vu Moïse accomplir les signes qu’il avait accomplis, comment pouvaient-ils douter de Dieu? Mais ils l’ont fait. Ils ont douté de Lui, ils ont murmuré dans leurs coeurs et ils voulaient retourner.

            Demain, si l’imprimeur les apprête, j’amènerai cette photo de l’Ange du Seigneur dans la Colonne de Feu. Elle a été prise par la science, peut-être que je vous en raconterai l’histoire demain soir. Quelqu’un a demandé à mon fils s’il pouvait les utiliser dans une émission à la radio. Vous devrez les obtenir des Studios Douglas; elles sont sous copyright à Washington DC. Et je n’ai moi-même aucun contrôle sur cela. Je les achète tout simplement pour permettre aux gens de les obtenir au prix auquel je les achète. Mais nous les aurons demain soir. Et j’essaierai si possible de vous en raconter l’histoire.

6          Mais ce qui apporte la foi, ça devrait initialement, en premier lieu, être la Parole. «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu.» Maintenant, à part la Parole, Dieu a établi dans l’Eglise des dons pour manifester Sa Présence parmi Son peuple, et Son attitude envers Son peuple afin que les gens puissent avoir foi en Lui. Croyez-vous cela? Si vous le croyez, veuillez dire : «Amen.» [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] Pour autant que je sache placer la chose, cela est conforme aux Ecritures.

            Maintenant, un... Je n’ai aucune critique à formuler à l’endroit de quiconque ou d’une église. Si les gens peuvent avoir des magasins de whisky à chaque coin de rue, et les lieux de divertissements dans chaque ville, nous devrions avoir des églises à chaque coin de rue, faisant chacune leur part pour la gloire de Dieu. Et nous n’avons pas le temps de critiquer les gens, peu importe combien nous pouvons être en désaccord avec eux; mais nous devrions les aimer et faire de notre mieux pour apporter l’unité des frères parmi les hommes. C’est là ma solution.

7          Lorsque je me suis tenu près de la tombe d’un grand homme qui est parti, et que son église est venue–c’était une grande église pendant un certain temps, et puis bien vite, vous savez, elle a commencé à se refroidir et toutes les choses que cet homme avait prêchées autrefois, c’est comme si cela était jeté de côté. Et au tout début du ministère, lorsque frère Roberts, frère Jaggers ainsi que tous les autres sont venus s’asseoir juste là où vous êtes assis ce soir, ils ont vu ce que Dieu était en train de faire, ils sont venus et ils en ont parlé. Nous avons prié ensemble, et ils sont partis et ils ont accompli un grand travail à travers la nation, et je rends grâces à Dieu pour ces hommes et je Le loue pour chacun d’eux. Ils sentent–je sens comme s’ils sont mes enfants. Beaucoup d’entre eux sont plus âgés. Pourtant, je sens comme s’ils sont mes enfants. Car par inspiration, ils ont vu ce que Dieu pouvait faire et les perspectives; et là-dessus ils ont gagné des âmes et des âmes à Dieu partout. Et seule l’éternité révélera les grands résultats. Beaucoup de gens, en entendant la Parole, croient.

8          Eh bien, voici comment j’ai foi en Dieu : premièrement c’est par Sa Parole. Et si une vision ou une personne disait quelque chose de contraire à la Parole, alors n’écoutez pas cela. Ceci est le fondement fondamental de tout ce que Dieu a dit à Son Eglise. Et la foi de chaque personne devait être souverainement bâtie sur la Bible. C’est juste.

            Bon, parfois Dieu ferme les yeux sur notre ignorance, des choses que nous faisons qui ne sont pas tout à fait correctes; Il en tire gloire malgré tout. Ainsi tenez-vous simplement tranquilles, laissez Dieu avoir... Allez de l’avant, Il prendra soin du reste. Mais à ce propos... Eh bien, voilà la Parole adressée à la nation, aux gens, à tout le monde. C’est vrai.

            Mais alors, si Dieu a établi dans l’Eglise un don divin, ce don est une Parole directe de Dieu à l’individu, quelque chose de personnel. Si je pouvais tenir un réveil ici pendant trois ou quatre mois, et chaque soir raconter toute la nuit durant des expériences sur ce que j’ai vu se produire, je ne toucherais même pas un brin de cela, des choses en rapport avec les gens qui sont passés dans les lignes de prière et ainsi de suite, et qui sont ensuite revenus. Et Dieu leur révélait et leur disait très exactement la chose qu’ils auraient dû faire il y a longtemps ou quelque chose qu’ils auraient dû faire, ou qu’ils n’ont pas fait, ou autre chose. Et par là, ils trouvaient la voie pour la guérison divine...

9          Maintenant, s’il y a quelque chose qui pèse sur vous, un péché, et que vous ne confessiez pas cela, on pourrait oindre cette personne, prier pour elle, faire tout ce que vous voulez, cela va... Satan restera juste là aussi longtemps que vous avez un péché non confessé dans votre vie. Ou parfois c’est quelque chose que vous n’avez pas fait, quelque chose que vous négligez de faire. Et à ce sujet Dieu révèle cela s’il y a quelque chose qui ne marche pas. Alors si vous mettez cela en ordre, votre guérison sera totale.

            Rapidement, en guise de témoignage, comme je vois difficilement l’horloge qui est là, pour voir l’heure qu’il est. Très bien.

            Il y a quelque temps, comme dans le témoignage qui est écrit ici... Lisez cela dans le livre qui se trouve là derrière. J’aimerais vraiment toucher les points saillants de cela juste pendant un moment. Car c’est par la parole du témoignage et le Sang de l’Agneau que nous avons la victoire. Un témoignage, ça représente quelque chose pour les gens. Et je dis à mes frères et soeurs, citoyens du Kentucky, qui sont ici ainsi que ceux des Etats voisins, que Dieu dans le Ciel a accompli juste dans nos propres réunions des choses dont les témoignages rempliraient des caisses et des caisses. Et quiconque d’entre vous a lu dans n’importe quel livre ou dans un quelconque document que nous avons publié, il s’agit là des témoignages véridiques attestés par des médecins et les hommes des lois. Sinon nous serions... Ce serait illégal de les publier. Je fais très attention à ce que je fais en ce qui concerne le Royaume de Dieu, parce que je me rends compte qu’une seule erreur apporterait tant d’opprobre que vous ne sauriez l’effacer en une année.

10        Ainsi en tant que chrétiens, nous devons être respectueux; nous devons être sincères et faire tout soit transparent, de sorte que tout le monde peut examiner, scruter et voir que Christ est le–est le Fils de Dieu né d’une vierge et que Ses Paroles sont parfaitement et absolument vraies.

            J’étais en route pour visiter frère Bosworth à Miami, en Floride pour la première fois. Je traversais le Kentucky et le Tennessee ici par train. J’ai vu en vision un petit garçon qui s’était fait tuer dans un accident, j’ai vu l’endroit où il était étalé. Juste comme ceci, j’ai écrit ici... Cela arrive beaucoup et beaucoup de fois et ces visions annoncent des événements. Je n’habite pas loin d’ici, c’est à cent dix-neuf miles [191,45 km] d’ici. Vous pouvez aller dans la ville où je réside pour vous enquérir de cela une fois, de toutes les fois qu’elles annoncent quelque chose, si cela n’est pas accompli très exactement comme annoncé, alors épinglez sur mon dos un écriteau disant : «Un faux prophète», et je vais me promener à travers vos rues. En effet, il ne s’agit pas de moi-même, je suis un homme, mais Lui est Dieu. Et c’est Lui qui accomplit ce qui est annoncé. Si c’est moi qui annonçais cela, ça pourrait être un mensonge, parce que je suis sujet à toute sorte–toute sorte d’erreurs, de mensonges, à toute autre chose, comme toute autre personne.

11        Mais lorsque c’est Lui qui annonce la chose, ce n’est pas moi qui parle; c’est Lui. Et lorsqu’Il parle, moi je m’en tiens à Sa Parole. Et je sais qu’Elle est la Vérité. Elle ne faillit jamais. Observez-La à l’estrade. Bien des fois Il annonce aux gens exactement ce qui–ce qui cloche en eux. Moi, je prie pour la personne. Mais lorsque vous entendez cette Parole déclarer : «AINSI DIT LE SEIGNEUR», observez ce qu’Elle annonce, reposez simplement votre vie là-dessus, parce que la chose arrivera à la lettre.

            Parfois je vois des personnes à l’article de la mort. En Afrique, à l’une des réunions une dame est venue, une femme corpulente, apparemment en très bonne santé, et il lui fut dit de se préparer à mourir. Elle avait simplement un kyste à l’ovaire. J’ai fait enregistrer cela sur une bande magnétique. J’ai dit : «Préparez-vous à mourir, car la mort est proche, à votre porte.» Et dix minutes après, la femme était un cadavre. Si j’étais un guérisseur, je l’aurais guérie. Mais je ne suis pas le guérisseur; je ne peux dire que ce qu’Il me dit de dire. C’est tout ce que je sais faire. C’est tout ce que je peux faire. Pourquoi Dieu l’a prise? Ça, je l’ignore. Il ne me l’a jamais dit, Il l’a simplement prise. J’ai vu son–son cortège funèbre passer. Et j’ai donc compris qu’elle s’en allait.

12        Maintenant, bien des fois une obscurité entoure le patient. Et je sais que la mort est là. Et je dis simplement : «Que le Seigneur vous bénisse.» Ou bien, «je prie que Dieu vous guérisse.» Et–et je demande à la personne de quitter l’estrade. Car je ne sais pas ce qu’il en sera. En effet, des fois Dieu pourrait prononcer la mort sur une personne, et ensuite la prière de la personne peut changer la situation. Croyez-vous cela? C’est ce qu’elle a fait pour Ezéchias, n’est-ce pas? Lorsque Dieu a dit au prophète : «Va lui dire qu’il va mourir, et qu’il ne descendra pas de son lit.» Le roi a tourné sa face contre le mur et a pleuré amèrement. Et Dieu lui a épargné la vie, et lui a ajouté quinze ans après que la mort avait été prononcée par Dieu. La prière est l’arme la plus puissante qui ait jamais été placée dans la main de l’homme. «La prière de la foi sauvera le malade.»

13        Alors que j’étais en route, j’ai raconté cela à frère Bosworth et à beaucoup d’autres personnes, nous étions à une grande réunion sous tente. Un petit garçon était là, tenant une réunion sous tente, et il m’a envoyé chercher pour que j’aille le secourir. Il avait une forte pression. Je me suis rendu là pour le relayer pendant deux ou trois jours. Et pendant que nous étions là, j’ai fait cette déclaration, et j’ai dit : «Il y aura un petit garçon, il sera étendu dans un pays où il y a beaucoup de conifères, et où il y a de strates rocheuses. Et le petit garçon aura environ huit ans, très... il sera habillé comme moi, lorsque j’étais un petit garçon, avec un vêtement court qui lui arrive ici, et il portera un petit pantalon corsaire ayant des boutons tout autour.» J’ai dit : «Il portait de longs bas épais qui lui arrivaient à ce niveau. Et son petit pied ressortait de la chaussette comme cela, et il était entièrement écrasé par une automobile. Il avait des cheveux châtains coupés ras, crock cut hair, comme nous l’appelons, et–et de grands yeux bruns. Ses yeux étaient fixes. Sa petite bouche avait été déformée, et il avait environ huit ans.»

            Ils avaient écrit cela. J’ai dit : «Notez cela sur la feuille de garde de votre Bible.» C’est comme si je vous dis de noter ceci sur la feuille de garde de votre Bible. J’ai dit : «Voyez si cela n’arrivera pas.»

14        Quelques jours après cela, frère Bosworth m’a amené là pour aller voir un petit garçon qui s’était noyé dans une rigole d’irrigation. Et le père de ce petit garçon... Plusieurs milliers de personnes assistaient à la réunion, et ils m’ont amené là. Ils ne voulaient pas que l’entrepreneur de pompes funèbres emporte le petit garçon avant qu’il ne soit... Je l’ai regardé. Mais il avait environ cinq ans, il était bien habillé et avait des cheveux noirs; ce n’était pas du tout l’enfant en question. Aussi ai-je offert une prière pour consoler le père et la mère, afin que Dieu les assiste, et ce petit garçon a été enterré.

            Deux ans plus tard, je me trouvais en Finlande, je venais de... Je suis allé... Le roi George m’avait envoyé deux messages télégraphiques par câble. Je les ai chez moi, ça porte son sceau et ainsi de suite, des lettres, pour que je prie pour lui. En effet, ce monsieur Leeman avait été guéri d’une sclérose en plaques à Fort Wayne.

15        Pendant que je fais ce témoignage, Frère Bosworth, je ne sais pas si j’ai déjà raconté ceci. Le soir où la photo de l’Ange du Seigneur a été prise là-bas, deux jours après frère Bosworth m’a amené une–une photo de Florence Nightingale. C’est sa grand-mère qui est la fondatrice de la Croix Rouge en Angleterre. Beaucoup d’entre vous ont entendu parler de Florence Nightingale, la mère de la Croix Rouge. Elle se trouvait à Durban, en Afrique du Sud, et l’Afrique du Sud est sous l’administration britannique, et cette femme pesait approximativement soixante livres [environ 27 kg]; elle souffrait d’un cancer au duodénum, duodénum, un cancer d’estomac. Et elle m’avait envoyé chercher pour aller prier pour elle. On m’avait envoyé deux billets d’avion. Eh bien, je ne pouvais pas aller. Frère Bosworth m’a amené la photo, le télégramme, et j’ai déposé cela sur le plancher; puis nous avons prié et j’ai dit : «Seigneur, si Tu la guéris, alors j’irai en Afrique.»

16        Et j’ai tout simplement offert une prière, ensuite je suis rentré chez moi, et j’ai oublié la chose. Lorsque je suis allé à Londres, le jour où nous sommes arrivés à l’aéroport international de Londres pour prier pour le roi, alors qu’on était en route vers la région scandinave, j’ai entendu mon nom appelé par haut-parleur. Et monsieur Baxter, monsieur Lindsay, beaucoup de ces hommes que vous connaissez, étaient avec moi. Et ils sont entrés là, et c’était un ministre anglican. Ils avaient amené mademoiselle Florence Nightingale depuis l’Afrique du Sud. Comment avait-elle su, si ce n’est par le truchement de la couronne, je ne pouvais pas le savoir toutefois. Mais elle savait que nous allions atterrir là ce jour-là. Et elle est arrivée environ quinze minutes avant notre arrivée, et je ne pouvais même pas atteindre la femme... On ne pouvait pas faire sortir cette femme de l’avion, on pensait qu’elle était alors morte.

            Et j’ai dit : «Eh bien, il y a des milliers de gens d’ici jusqu’à l’avion. Il m’est impossible d’arriver là. Je vais au Palais de Buckingham, puis à l’abbaye de Westminster, et ensuite je–je me rendrai à l’hôtel Piccadilly; venez me prendre et nous irons prier pour elle.»

17        Et lorsque nous sommes arrivés là, évidemment, la nuit était tombée et je suis rentré tard. Le lendemain matin nous sommes arrivés là, et nous sommes allés prier pour mademoiselle Nightingale. Ils ont dit : «Elle vit encore.»

            Amis chrétiens, si je vis jusqu’à devenir un vieil homme, je n’oublierai jamais cette expérience. C’était à Londres en avril, le temps était très humide, avec du brouillard partout. Nous sommes montés à l’étage à l’endroit où on avait déposé son brancard, près du presbytère d’une grande église anglicane. Et dans la pièce se tenaient son médecin, deux infirmières, et deux ou trois ministres, lorsque l’organisateur–les organisateurs des campagnes ainsi que moi-même sommes entrés. Et je me suis avancé là; ils l’avaient couverte d’un drap blanc. Et j’ai dit : «Bonjour.» Et tous se sont levés.

            Et j’ai dit : «Est-ce–est-ce là la patiente?» Et j’ai dit : «Bonjour! Est-ce vous Mademoiselle Nightingale?»

18        Et je voyais ses lèvres bouger, mais, mes amis, on aurait dit un cadavre gisant là ou–ou un squelette. Sa tête... A la partie qui relie la tête au corps, elle n’avait point de chair, elle n’avait que la peau sur les os. Et j’ai dit : «Bonjour.» J’ai tendu ma main pour lui serrer la main.

            L’infirmière a dit : «Frère Branham, elle est incapable de lever la main.»

            Eh bien, elle pleurait. Et elle... Je... L’infirmière s’est penchée pour entendre ce qu’elle disait, et puis elle me l’a rapporté. Elle a dit : «Elle veut que vous demandiez à Dieu de la laisser mourir.» Elle ne pouvait pas mourir. Et elle a dit : «Révérend Branham, elle a prié et elle a dit que, si jamais elle pouvait parvenir jusqu’à vous, Dieu la guérirait.»

19        Eh bien, ça, c’est la foi. Comment pouvais-je demander à Dieu de laisser cette femme mourir? Eh bien, voici son témoignage dans le livre. Je–je ne pouvais pas le faire. Elle voulait donc que je voie son corps, a dit l’infirmière. Et lorsqu’ils ont retiré le drap de dessus son corps... Mes amis, nous sommes dans un auditoire mixte; vous écoutez votre médecin; moi, je suis votre frère. C’était une honte que de regarder pour voir comment une femme pouvait se trouver dans ce... La poitrine ici était rongée jusqu’au niveau des côtes, et le ventre n’était pas–était presque plat comme ça. Et les côtes se rejoignaient presque ici au niveau du tour de sa hanche, la chair. Et ses membres ici en haut n’avaient que cette grosseur environ.

            Maintenant, madame Georgie Carter, qui sera ici demain, après demain, elle est d’ici à Milltown; elle est restée alitée pendant neuf ans et six mois, souffrant de la tuberculose, et elle a été guérie d’après une vision. Je ne savais même pas où était cette ville, le Seigneur m’a envoyé là-bas, et elle a été guérie. C’était une toute petite femme, qui ne pesait qu’environ trente-cinq livres [environ 16 kg]. Mais cette femme mesurait six pieds [environ 1,80 m]. Et elle était étendue là, incapable de bouger ses mains ou quoi que ce soit.

20        Ils ont soulevé ses mains, parce qu’elle voulait me serrer la main. Lorsque j’ai saisi sa main, elle était juste comme ça et dure. Je me suis dit : «Ô Dieu, un être mortel étendu dans cet état!»

            Alors j’ai dit : «Pouvons-nous prier?» Et tous les ministres se sont rassemblés. J’ai jeté un coup d’oeil au médecin, et j’ai dit... Il a dit : «Frère Branham, il n’y a rien à faire. C’est un... la malignité s’est répandue complètement dans tout son corps.» Il a dit : «Elle n’a pas mangé depuis, je ne me rappelle plus combien de mois, et on la nourrissait de glucose par voie intraveineuse, jusqu’au moment où ses veines se sont atrophiées et on ne pouvait même plus la nourrir par les veines.» Il a dit : «Nous ne comprenons pas pourquoi–comment elle est en vie, comment elle respire.»

21        Et je me suis agenouillé; le Grand Dieu du Ciel, qui se tient... Nous nous tenons dans Sa Présence ce soir, Sa Parole est là devant moi. Il y avait une fenêtre de cette hauteur; c’était haut, la chambre était un peu chauffée. Et je me suis agenouillé pour prier, et j’ai commencé à prier comme ceci : «Dieu Tout- Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, ai-je dit, envoie Ta bénédiction dans cette pièce pour cette pauvre mortelle.»

            Et lorsque j’ai commencé à prier, une petite colombe a volé depuis le buisson et est venue se poser sur le rebord de la fenêtre, à peu près à cette distance de l’endroit où j’étais en prière. Eh bien, je... Ce n’était pas du nouveau, puisque je n’étais là que depuis presque douze heures ou un peu plus. Je me disais que la petite colombe était juste un oiseau domestique, vous savez, qui restait à côté de la maison. Et j’ai simplement continué à prier. Et lorsque j’ai fini de prier et de demander à Dieu de lui venir en aide (Je ne pouvais pas Lui demander de la laisser mourir), et d’être miséricordieux envers elle... Et lorsque je... Pendant tout ce temps où je faisais ma prière, cette petite colombe, très agitée, ne restait pas tranquille; elle faisait des va-et-vient, faisant : «Coucou, coucou, coucou, coucou, coucou, coucou.» Eh bien, vous savez comment les petites colombes le font de façon un peu mélancolique, elle faisait des va-et-vient à la fenêtre qui était aussi large que cette petite table.

22        Environ dix personnes étaient là à observer cela. Et j’ai remarqué que tous les ministres avaient arrêté de prier, chacun d’eux. Lorsque j’ai dit : «Amen,» le petit oiseau a pris son envol et est retourné dans le buisson. Eh bien, je me suis relevé, et évidemment, nous tous nous pleurions un peu. Et les prédicateurs ont commencé à dire : «Avez-vous remarqué cette colombe?»

            Et j’ai commencé à demander si c’était simplement une colombe domestique. Et je n’avais plus rien à dire, et je ne savais plus ce que j’allais dire, mais soudain, Quelque Chose a rompu le silence et a dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR : ‘elle vivra, elle ne mourra pas.’» Elle pèse aujourd’hui cent cinquante-cinq livres [77,5 kg], elle est en parfaite santé. Cela a ouvert la voie vers l’Afrique pour y commencer un réveil.

23        En Finlande, nous descendions la montagne ce jour-là; je jeûnais depuis plusieurs jours. [Un frère dit : «Il y a juste quelques semaines j’ai vu une lettre venant de cette femme, disant qu’elle se porte bien et elle aide, elle travaille dur pour d’autres personnes.»–N.D.E.] Mademoiselle Florence Nightingale. Ça fait moins de six mois, elle se portait bien, elle avait repris du poids. J’ai sa photo, ça se trouve dans le livre. Oh! Oh pardon! Nous n’avons aucun de ces livres, intitulé : Un prophète visite l’Afrique. Pour le moment ils sont épuisés; nous en avons vendu plusieurs milliers. Et nous avons juste de l’argent pour aller outre-mer, et nous n’en avons pas pour en imprimer d’autres; voilà pourquoi nous n’en avons plus. Mais là au fond, nous avons l’autre livre où figure l’histoire de ce petit garçon.

24        Et maintenant, les amis, ce ne sont pas des mythes, ça, on a les adresses de ces gens et tout, ceux que vous pouvez contacter et la famille royale, et les autres, les médecins et consorts, pour voir si cela est la vérité. Si vous doutez de cela, libre à vous d’écrire aux concernés.

            En descendant la montagne, j’ai dit à frère Lindsay, à frère Moore, et à beaucoup d’entre eux, j’ai dit : «J’ai l’impression que quelque chose est sur le point d’arriver.»

            Ils ont demandé : «Qu’est-ce, Frère Branham?»

            J’ai dit : «Je ne sais pas.»

            Et ainsi au cours de la réunion... c’est la raison pour laquelle... Je n’aime pas être un isolationniste, rester loin des gens. Mais lorsque cette onction vous saisit une fois, ce n’est pas–ce n’est pas... Il semble que Cela est tout près tout le temps. Il y a quelque chose; il s’agit d’un autre monde, c’est comme deux mondes, vous pénétrez dans ce monde-ci et dans cet autre monde, et vous–vous y restez tellement longtemps que vous pouvez à peine savoir... Eh bien, lorsque vous quittez l’estrade, et que Cela vient, j’ai l’impression, oh, que j’étais en haut au Ciel. Mais lorsque Cela me quitte, je me sens bien. Mais entre ces deux moments, on a l’impression qu’on quitte ce monde. Vous–vous ne pouvez pas marcher, et vous–vous entendez... Je ne sais pas comment on se sent réellement. Ce n’est pas nécessaire d’essayer de l’expliquer. Vous ne pouvez pas expliquer Dieu; Dieu, il faut Le croire. Ce n’est pas... Vous ne pouvez pas expliquer cela, ça se passe par la foi.

25        Ainsi en descendant l’autoroute en Finlande... Une voiture étrangère d’occasion, qui a fait environ cinq ans, pourrait coûter probablement deux mille dollars ou plus. Un galon d’essence coûte plus d’un dollar. Ainsi vous pouvez vous imaginer, il y a très peu de voitures. Nous avions vingt mille personnes à Messuhalli, et je pense qu’il y avait trois voitures garées dehors. Les gens marchent, ou se déplacent à bicyclette, ou par le meilleur moyen qu’ils peuvent emprunter là.

            Ainsi, lorsque je sortais de Kuopio... Nous avons traversé le Rideau de Fer, et nous traversions Kuopio, juste avant que nous ne puissions entrer dans la ville où nous devrions tenir la réunion... Eh bien, nous y avions déjà passé une ou deux soirées, et on m’a fait monter dans cette tour que les Allemands et les Russes avaient assiégée pour bombarder la Finlande.

26        Eh bien, en descendant la route, j’ai remarqué une grande foule de gens. Et une–et une voiture américaine, une Ford modèle 35, avait heurté deux petits garçons qui rentraient à la maison en provenance de l’école. Les gens vivent dans la ville, ils ont leurs champs en dehors de la ville, et puis ils reviennent dans la ville. Cette Ford avait heurté deux petits garçons, l’un d’eux avait été heurté sous le menton... Ils ont commencé... Ils ont été projetés l’un d’un côté et l’autre de l’autre. Ils se tenaient la main l’un l’autre, et le chauffeur, ayant perdu le contrôle, a heurté l’un d’eux et l’a projeté contre un arbre en lui fracturant son petit cou là à l’intérieur. Et l’autre, la voiture lui est passé dessus et l’a écrasé sous les roues et l’a projeté très haut en l’air, lui a arraché le manteau, et il est tombé à plat ventre sur l’herbe. Le médecin avait été sur le lieu et l’avait déclaré mort. L’autre petit garçon, on pensait qu’il était encore vivant, et une autre voiture l’avait pris et l’avait acheminé à l’hôpital, d’après ce qui a été rapporté.

27        Et nous sommes arrivés sur le lieu. Eh bien, la soeur Isaacson, le frère Lindsay, le frère Jack Moore (beaucoup d’entre vous connaissent ces hommes et l’éditeur de La Voix de la guérison), et tous étaient juste là pour voir. Ils sont allés regarder le petit garçon. Moi, je suis resté dans la voiture. En effet, j’ai moi-même ici un petit garçon, Billy Paul; il était à la maison et cela faisait des mois depuis que je l’avais vu, et je ne voulais pas regarder un petit garçon mort à ce moment-là. Ils ont donc dit... Le frère Lindsay est revenu, en train de pleurer comme un bébé, il a dit : «Frère Branham, vous devriez voir ça.»

            Et j’ai dit : «Je n’aimerais pas voir ça.» Ainsi finalement, Quelque Chose m’a dit : «Va voir ce garçon.» Et je suis allé pour jeter un coup d’oeil à ce petit garçon; je l’ai observé et je me suis dit : «Oh! miséricorde!» j’ai détourné ma tête et j’ai commencé à m’éloigner. On avait couvert cet enfant du manteau; on ne pouvait pas le déplacer. D’après la loi en Finlande, les parents devaient venir là premièrement et donner l’ordre de déplacer l’enfant. Or, ils étaient partis à la campagne, et je me disais : «Comment papa et maman vont-ils se sentir donc quand ils arriveront et verront ce petit garçon étendu là mort? En dehors de... en revenant de leur champ où ils travaillent.

28        Et tout le monde travaille en Finlande; les femmes portent de très grandes robes épaisses, de grosses bottes et tout. Ils n’ont pas de beaux vêtements chics que nous les Américains avons. Eux tous... Comme par hasard, ce costume vient de la Finlande; vous pouvez voir combien il est épais et lourd, que ce soit en été, en hiver et tout.

            Et ainsi lorsque nous sommes arrivés là, j’ai aussitôt fait demi-tour, et pendant que je m’éloignais du petit garçon, j’ai senti Quelqu’Un poser Sa main sur mon épaule. J’ai regardé tout autour; je pensais que c’était frère Moore, ou l’un d’eux. Mais il n’y avait personne près de moi. Et la main était toujours posée sur mon épaule. Eh bien, je me suis demandé comment cela était possible. Eh bien, il se fait que j’ai pensé que cela pourrait... Je suis retourné vers le petit garçon, et dès que je me suis encore dirigé vers le petit garçon (je m’éloignais déjà de lui), aussitôt que je me suis encore dirigé vers lui, la main a–s’est retirée de mon épaule. Et j’ai dit : «Puis-je encore regarder ce petit garçon?» Et madame Isaacson a demandé la permission à l’homme, l’officier qui avait la responsabilité d’assurer la garde. Et celui-ci a retiré le manteau, et j’ai regardé le petit garçon, et j’ai vu ce petit pied qui était ressorti de la chaussette, ces petites chemisettes–ces petites combinaisons, pantywaists, comme nous les appelons, vous savez, et... ici. J’ai vu sa petite chevelure châtaine, coupée ras. J’ai levé les yeux, et voici défiler une chaîne des montagnes qui descendaient comme cela, formées des strates rocheuses, avec des conifères ça et là. J’ai dit : «Merci, Seigneur.»

            Oh! vous ne saurez jamais ce que l’on ressent. La chose était là. J’ai dit : «Frère Moore, venez ici. Frère Lindsay.»

            Ils ont demandé : «Qu’y a-t-il?»

29        J’ai dit : «Ouvrez la feuille de garde de votre Bible et voyez-y ce qui est dit au sujet de ce petit garçon.» Voyez, c’est exactement comme cela est écrit juste là. Et j’avais demandé qu’on écrive cela, là, oh! je pense, dans des milliers de Bibles à travers les Etats-Unis et le Canada; j’avais demandé aux gens d’écrire cela comme je leur demande d’écrire ceci. Et voyez si cela... Observez simplement comment cela va s’accomplir. J’ai dit...

            Frère Moore a dit : «Voyons. Une région de la Laponie où il y a des rochers, des conifères; de petites chaussettes. Eh bien, a-t-il dit, Frère Branham, c’est bien le garçon.»

            J’ai dit : «C’est bien lui qui est étendu là.»

            Oh! la la! lorsque Dieu a annoncé une chose, tous les démons de l’enfer ne peuvent pas arrêter cela. Dieu avait déjà annoncé qu’il en serait ainsi. J’ai fait demi-tour, j’ai dit : «Maintenant, que tout le monde le sache.»

30        Or, à ce moment-là ils se préparaient à mettre le petit garçon dans cette voiture. J’ai dit : «Que tout le monde sache se tenir tranquille.» Et l’autorité principale de la ville, qui était le chef, ce qui est l’équivalent du maire de la ville ici... J’ai dit : «Maintenant, que tout le monde soit respectueux et attende juste une minute.»

            Je me suis agenouillé et j’ai prié, j’ai demandé à Dieu de confirmer Sa Parole qu’Il avait annoncée. Et Dieu est mon Juge; cinq minutes après, le petit garçon s’est levé d’un bond et s’est mis à courir et à crier à tue-tête. Il était vivant.

31        L’autre petit garçon... Je n’ai pas le temps d’aborder cela. Je le ferai demain soir, concernant ce qui était arrivé à l’autre petit garçon. Je me souviens d’une chose, j’en aurai le temps. La seconde soirée après cela, j’ai vu quelque chose de doux arriver. J’entrais dans un lieu, et en descendant la rue, sur six pâtés de maisons environ trente personnes se tenaient là dans des rangs, les unes à côté des autres.

            En Russie, vous ne pouvez pas vous déplacer de chez vous, de votre lieu de naissance avec... jusqu’à plus de quarante kilomètres sans visa. Eh bien, lorsqu’on vous dit qu’il n’y a pas d’églises en Russie, c’est faux. Ils ont des églises; ils ont... Les communistes les boycottent et tout, mais ils ont encore des chrétiens. Qu’arrivera-t-il si vous mettez à mort tous les chrétiens de l’Amérique? Vous n’aurez plus d’Amérique; il en est de même en Russie.

32        Et de l’autre côté de la frontière, après que le bruit s’était répandu partout là-bas, et que j’avais obtenu le sceau du–du gouverneur de là et tout, juste sur le document, il se tenait là et il était témoin de la chose... Et cela a été diffusé à la radio. Et depuis la Russie, ces grands soldats russes sont venus. Et, les amis, lorsqu’ils ont traversé la frontière et que ces ministres finlandais se tenaient là, ils ont jeté leurs bras autour de leur cou et ils ont pleuré comme des bébés. Tout ce qui fera qu’un Finlandais passe son bras autour d’un Russe et vice versa réglera chaque guerre. Jésus-Christ est la réponse. Absolument. Ils n’avaient rien l’un contre l’autre. Ils ont pleuré, crié et hurlé : «Jumalan rauhaa,» ce qui veut dire : «Que la paix de Dieu repose sur toi». Des Russes et des Finlandais ayant les bras les uns autour des autres... Cela amènera les Américains, et les Russes, et le monde entier à se mettre les bras les uns autour des autres. Cela fera que ceux qui sont en salopettes et ceux qui sont en complet de smoking s’appellent «frères». Cela amènera ceux qui sont en soie et ceux qui sont en calicot à s’asseoir ensemble et à s’appeler «Soeur.» Certainement.

            Le Sang de Jésus-Christ purifie de tout péché et redresse tous les torts, cela ôte tous les préjugés, cela fait de nouvelles créatures, et guérit les malades. Amen.

33        En descendant ce soir-là, pendant que ces Russes et ces Finlandais se tenaient là au garde-à-vous, les larmes coulant sur leurs joues lorsqu’ils passaient... non pas parce que c’était moi, non, non. Ils avaient vu Dieu à l’oeuvre.

            Et lorsque je suis entré dans la pièce, il y avait là quatre petits soldats finlandais, eux tous...?... des jeunes garçons qui ne s’étaient jamais rasés, des tout petits gars, portant de très longs manteaux, qui marchaient avec leurs grandes épées dégainées comme cela, pour empêcher les gens d’entrer en contact de part et d’autre, en descendant juste au milieu de la rue, nous avons les photos de tout cela, en couleur.

34        Lorsque je suis entré dans le Messuhalli et que je me suis dirigé à droite, ils avançaient comme cela, et on a fermé la porte. Et les gens chantaient déjà Crois seulement. Frère Baxter et les autres étaient en train de parler. Vingt cinq mille personnes s’étaient rassemblées à l’intérieur, et il était... Les gens chantaient pour moi Crois seulement en finlandais. Et lorsque je suis entré, la porte du dortoir des filles s’est ouverte, et les dames... Et une petite fille finlandaise est sortie. Et cette pauvre petite créature, jamais je n’ai éprouvé autant compassion que j’en ai eu pour elle. J’aime les petits enfants. Je les aime vraiment. Vraiment je... J’en ai deux moi-même, et voilà pourquoi je m’occupe d’eux ce soir. Et je les aime vraiment. Je les voyais tous entrer. Les gens me donnaient un peu de cette vieille monnaie finlandaise, vous savez, et j’allais là dehors et j’achetais leurs bonbons, et j’avais toute une file d’enfants, longue d’un pâté de maisons, qui me suivaient, comme cela, pendant que j’achetais tous les bonbons que je trouvais partout, parce que leur monnaie ne valait rien ici, vous savez. Et on me donnait de cet argent, les Kronars et...?... et ainsi de suite, et j’achetais pour ces enfants des... C’étaient de pauvres petits enfants en haillons, affamés...

35        Et une petite femme–une petite fille d’environ douze ans est sortie de là et s’est avancée, et elle portait deux béquilles sous le bras. Elle avait un grand truc autour d’elle comme ceci, semblable à un appareil orthopédique. Et une jambe était infirme et plus courte que l’autre. Elle n’avait pas le contrôle de cette jambe. Et c’était fixé dans cet appareil orthopédique, et autour de sa hanche... Et elle portait une grosse chaussure munie d’un bouton-pression au niveau de l’orteil, et d’une lanière qui passait dans le dos et montait sur son épaule pour s’attacher à cet appareil orthopédique ici derrière. Et quand elle se mettait à marcher, elle avançait les béquilles, et puis elle projetait sa petite épaule comme cela, et faisait juste un pas et soulevait cette jambe et la projetait en avant. Et cet appareil orthopédique... Vous voyez, la jambe n’était pas sous son contrôle; mais l’appareil la retenait de telle sorte qu’elle pouvait marcher.

36        Je l’ai regardée alors qu’elle se tenait là, sa petite chevelure était en bataille, elle avait une petite chevelure plutôt à moitié brune et à moitié blonde, coiffée de manière inégale, on dirait que c’était coupé à l’aide des ciseaux. J’ai baissé les yeux vers elle, elle portait une petite robe, peut-être qu’elle n’avait rien en dessous, sa petite jupe ici en bas était tout aussi déchiquetée que possible.

            Plus tard, j’ai appris qu’elle était une petite Finlandaise orpheline de guerre. Sa mère et son père avaient été tués pendant la guerre.

            Et elle m’a regardé, et on avait donné des instructions qu’on ne nous dise rien dans la rue. Et elle pensait qu’elle avait fait quelque chose de mal, cette enfant, et elle a baissé sa petite tête et s’est tenue là sur ses petites béquilles. Je l’ai vue lever ses petits yeux bleus une fois de plus vers moi. Je me suis arrêté, et les soldats ont fait signe. Je ne pouvais rien leur dire. Eux tous parlaient le finlandais.

37        Je leur ai dit : «Un instant.» Les deux autres soldats ont continué à avancer, puis ils se sont retournés pour regarder en arrière et voir ce qui se passait, et je leur ai fait signe. J’ai encore regardé l’enfant; elle m’a regardé. Simplement je–je... Quelque chose m’a dit que cette enfant voulait venir là. J’ai regardé la petite créature, et je lui ai fait signe pour dire : «Viens ici.»

            Elle a pris ses petites béquilles sous les bras et elle a commencé à tirer sa petite épaule, et elle s’est avancée. Je me suis simplement tenu tranquille. Elle est directement venue à l’endroit où j’étais, comme cela. J’ai observé pour voir ce que cette enfant allait faire. Et elle s’est tenue là, sa petite tête baissée pendant quelques minutes. Et j’ai observé, et de petites gouttes de larmes tombaient au sol, coulant de ses petits yeux et tombant comme cela. Et je me suis dit : «La pauvre petite!»

38        Et elle a tendu la main et a saisi mon manteau, l’a tiré dans ses petites mains; elle s’est frottée à cela, mais ses petites mains étaient sales, elle a baisé mon manteau. Elle a lâché le manteau, et elle a déployé sa petite jupe déchiquetée et a dit : «Kiitos». Cela veut dire «merci». La petite jupe... Elle avait l’air très polie, et elle a dit : «Kiitos,» elle a levé les yeux, et des larmes coulaient de ces petits yeux bleus d’enfant. Oh! la la! quelque chose gonflait dans mon coeur, et je me suis dit : «Que Dieu te bénisse, chérie.»

            Je me suis retourné et ce soldat essayait de me faire signe pour avancer, il essayait de faire signe à la fille de reculer. Et j’ai regardé; je l’ai vue s’en aller carrément marchant dans la pièce, elle marchait sans béquilles. J’étais certain que cela allait arriver; j’étais certain que Dieu allait honorer ce genre de foi. Cela devrait avoir... Même si moi j’étais le plus vil hypocrite du monde, Dieu aurait honoré la foi de cette enfant. J’ai vu cette enfant s’en aller, marchant [normalement]. J’ai dit : «Chérie, tu es–tu es guérie. Jésus t’a...»

            Evidemment, elle n’entendait pas ce que je disais. Elle criait, vous savez, et elle disait : «Kiitos. Kiitos.» Elle pensait qu’elle avait fait quelque chose de mal, vous savez. Et les gens continuaient à me pousser. Et–et ainsi frère Baxter s’est présenté à la porte et voulait sortir pour voir où je me trouvais.

39        Et je suis entré. Nous avons prié pour plusieurs malades, et vous remarquerez dans le... leurs béquilles et autres étaient empilés là. Et ils ont mis cela dans de grands chariots pour les emporter. Alors que je me préparais à quitter la salle, mes frères, un groupe de gens était venu me prendre pour me faire descendre de l’estrade. Et j’étais sur le point de partir lorsque je me suis dit : «Je vais essayer de prendre encore quelques gens. Il faut que j’appelle un peu plus de ces cartes.» J’ai dit... Et le Saint-Esprit se mouvait au-dessus de l’auditoire. Il leur fallait prendre un interprète pour dire aux gens qui étaient là, qui... Je ne connaissais pas leur langue, pour leur dire où ils étaient, ce qu’ils faisaient et de quoi ils souffraient. Et il fallait ce soir-là un interprète pour le leur dire, et oh! la la! cela–cela a simplement réglé toute la question; ils ont juste jeté par terre leurs béquilles et leurs cannes et se sont mis à courir. Et j’ai dit : «Appelez quelques cartes de plus.»

40        Et alors, par la providence de Dieu, la personne suivante était cette petite fille. Elle avait le numéro de la carte suivante. Et elle s’est présentée là; elle souriait tout simplement, vous savez, il lui manquait une petite dent devant, et elle souriait, vous savez, et essayait de s’approcher de moi. Et j’ai dit à l’interprète, je lui ai dit : «Dites simplement ce que je dis.» Elle a dit : «D’accord, Frère Branham.»

            J’ai dit : «Vous allez voir quelque chose qui est déjà arrivé.»

            J’ai dit : «Chérie, c’est toi la fille qui est venue à ma rencontre là à l’extérieur, il y a quelques instants, et...» Elle a hoché sa petite tête pendant que l’interprète parlait.

            Et j’ai dit : «Ton respect envers Jésus-Christ, tu t’es approchée de la manière correcte.» Bien des fois nous les Américains, c’est ainsi que nous manquons de recevoir quelque chose : nous ne nous approchons pas de Dieu avec assez de révérence. Ne le pensez-vous pas? Nous en savons simplement plus à ce sujet, et ainsi... Dieu demeure dans l’humilité et dans la simplicité.

41        Ainsi j’ai dit : «Dieu t’a récompensée, chérie. Il t’a guérie là à l’extérieur, et je voudrais que tu ailles par ici, que tu t’asseyes et demandes à l’un de ces hommes de défaire les boucles de cet appareil orthopédique et tout que tu as là sur toi, et laisse ta petite main posée sur ta hanche; et juste au moment où on enlève l’appareil orthopédique, fais glisser ta petite main le long de ta jambe jusqu’au bout de ta jambe courte.» Et j’ai dit : «Maintenant, fais cela par ici, puis montre-moi.» Et ensuite j’ai appelé la personne suivante. Et le Saint-Esprit me montrait quelque chose dans une vision. Pendant que la vision se déroulait, je l’ai entendue crier; la voilà venir traversant le plancher avec ses béquilles en mains et l’appareil orthopédique sur la tête, criant à tue-tête, elle a gravi tout droit les marches, elle est descendue et elle a traversé de l’autre côté, en courant aussi vite qu’elle le pouvait avec ses petits pieds nus. Et elle est parfaitement normale et rétablie, parce que son respect et–et son amour envers Jésus-Christ ont fait descendre sur elle Sa bénédiction.

42        Mes chers amis chrétiens, ce soir, Jésus-Christ est le même à Owensboro, au Kentucky, qu’Il l’était à Kuopio, en Finlande. Ne voulez-vous pas vous approcher de Lui ce soir, Lui le Fils de Dieu, l’amour souverain, et dire : «Seigneur Jésus, je crois en Toi, et je suis nécessiteux, et je T’accepte maintenant comme mon Guérisseur.» Dieu vous accordera cela. Ne voulez-vous pas le faire pendant que nous disons un mot de prière? Notre Père céleste, nous venons à Toi au Nom de Ton saint Fils, Jésus, car nous savons que nous n’avons aucun Nom ni rien par lequel nous puissions nous approcher de Toi. Mais Il nous a dit que tout ce que nous Te demanderions en Son Nom, Tu nous l’accorderais. Et dans mon coeur ce soir, faisant une rétrospective, il y a environ quatre ans lorsque ce cas s’était produit là en Finlande, peut-être très loin là de l’autre côté dans ces pays glaciaux ce soir, peut-être que cette fillette finlandaise est assise près d’un feu, regardant cette jambe qui autrefois avait une infirmité, mais que le Saint-Esprit a revitalisée par la puissance de Dieu; maintenant elle est normale. La pauvre petite, alors que les corps de son père et de sa mère reposent quelque part là sous la glace, j’espère que leurs âmes sont auprès de Toi...

43        Eh bien, dis-nous, pour Ta gloire, comme à cette femme qui avait rompu ce vase d’albâtre, à qui Tu as dit : «Partout où l’Evangile sera prêché, ceci sera raconté comme un mémorial.» Beaucoup de pauvres enfants du Kentucky sont assis ici ce soir, de petites vieilles mères, et des pères, des frères, et des soeurs, sont nécessiteux. Peut-être que nous n’avons pas marché exactement comme nous le devrions, Père, mais nous Te demandons maintenant de nous pardonner. Ôte le mal de notre vie. Nous voulons venir à Ta Maison un jour, et être accueillis chaleureusement à la porte. S’il y a quelque chose de mal en nous, ô Père, veuille nous pardonner. Accorde ce soir, que beaucoup de personnes soient guéries et sauvées. Puissent les incrédules dire maintenant même dans leurs coeurs : «Maintenant j’accepte Jésus comme mon Sauveur. Dès ce soir, je vais Le servir de tout mon coeur.» Puissent les hommes et les femmes malades dire : «Je L’accepte comme mon Guérisseur.» Puissent-ils être guéris pour le reste de leur vie.

44        Et maintenant, Seigneur, Toi qui, à la naissance de Ton serviteur inutile, as envoyé un Ange qui m’a guidé tout au long de ma vie et qui m’a conduit jusqu’à présent, je Te prie de L’envoyer ce soir de façon spéciale ici à l’estrade, et puisse-t-Il accomplir l’oeuvre que Tu Lui as ordonné de faire, Seigneur, et puisse Ton serviteur être soumis à Sa Voix et à Sa volonté. Montre de grandes et puissantes visions et tires-en gloire, Père. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            Billy, combien de cartes as-tu distribuées? Cent? Quelle–quelle lettre? La série R? Il nous est vraiment impossible de recevoir tout le monde ici à l’estrade, les amis. Vous ne savez pas combien j’aimerais recevoir chaque personne malade ici ce soir, m’asseoir simplement et m’entretenir avec vous pendant une heure, et prier avec vous. Je ne saurais le faire. Je ne saurais tout simplement pas le faire. Le temps ne me le permettrait pas. Mais je dois tout simplement...

            Nous distribuons à tout celui qui le veut une carte de prière, ensuite nous appelons tout simplement certains ici et nous prions avec eux. Le Saint-Esprit se met tout simplement à agir, puis Il continue carrément là dans l’auditoire. Il bénit alors les gens qui sont là et Il les guérit. Je veux que vous croyiez.

45        Maintenant, ce soir commençons avec nos cartes de prière et appelons quelques personnes : 10, 15, 20 personnes ou à peu près ce nombre. Peut-être que nous prendrons cinq ou six, peut-être eux tous. Mais je fais ça pour pouvoir les isoler. Est-ce que vous vous rendez compte que chaque personne qui est ici est un esprit? Et cet esprit se déplace, et dans cette conglomération jusqu’à ce que cela m’amène à un point où je–je peux commencer à voir la vision, il me–me faut avoir quelqu’un ici sur l’estrade à qui m’adresser. Je ne sais pourquoi, mais c’est exactement ainsi qu’Il le fait. Jésus... Vous direz : «Frère Branham, ça c’est de la psychologie.»

            Eh bien, Jésus a pris un homme, l’a conduit en dehors de la ville. Est-ce juste? Et Pierre, Jacques, et Jean étaient restés avec Lui lorsque cette fille était morte, la fille de Jaïrus. Et tout le monde avait des doutes, et ils ont dit : «Oh! Il dit qu’elle dort.»

            Ils ont dit : «Eh bien, nous savons qu’elle est morte.» Ils se sont moqués de Lui. Et Il a fait sortir tout le monde. Est-ce juste? Lorsque Pierre est allé ressusciter Dorcas, toutes les veuves pleuraient et tout; il les a fait toutes sortir de la maison. Il a dû rester seul.

46        Voyons voir, avant-hier soir, celle-ci c’est la troisième soirée, je pense; nous avons commencé par le numéro 1, et ensuite hier soir nous avons commencé par le dernier numéro. Ce soir, commençons au milieu, vers le numéro 50, la carte de prière R-50. Regardez-la, ça porte votre nom et votre adresse sur une face, et sur l’autre ça porte une lettre et un numéro : R-50. Qui a la carte de prière R-50? Qu’il lève la main. R-51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60. Demandez-leur de s’aligner par ici, s’il vous plaît, à droite. Vérifiez la carte de cet homme ici.

            Maintenant, regardez autour de vous et vérifiez pour voir chez quelqu’un, 60? Cela fait combien? C’est de 50 jusqu’à 60, ça fait dix. Nous en prenons quinze. Essayons encore quinze ce soir, allons jusqu’à 65. De 60 jusqu’à 65. Maintenant, nous voyons où nous nous tenons.

47        Bien, si quelqu’un est incapable de se lever, que–que–qu’il le dise à quelqu’un pour qu’on puisse l’aider, en le transportant. Ou bien si quelqu’un est sourd et n’entend pas, que–que les gens jettent un coup d’oeil chez les voisins; aussitôt, nous verrons s’ils–s’ils sont tous ici.

            Maintenant, je vais vous demander en tant que–en tant que mon ami, et un ami du Seigneur Jésus, que vous vous efforciez d’être respectueux au possible pour les quelques minutes qui suivent. Maintenant, il n’y a personne au monde qui croit dans un salut authentique comme... plus que moi, je crois dans la réjouissance, dans le fait d’être heureux, de pousser des cris, et de louer Dieu; je crois dans tout cela. Mais lorsque nous nous approchons de Lui, venons avec révérence. Et puis, lorsque... Et soyez respectueux. Et lorsque–et puis, quand Dieu vous guérit, à ce moment-là utilisez votre liberté pour Le remercier ou bien faites tout ce que vous voulez. Tant que cela est en ordre, eh bien, ce sera très bien. Et nous nous attendons vraiment à avoir de bons moments pour la gloire de Dieu.

48        Maintenant, pendant qu’ils s’alignent, laissez-moi vous poser une–une toute petite question. Qu’en serait-il si Jésus se tenait ici ce soir, s’Il se tenait là à l’estrade? «Eh bien, direz-vous, Frère Branham, Il descendrait et guérirait telle personne, et Il guérirait telle autre personne.»

            Le ferait-Il? Il ne pourrait pas faire ce qu’Il a déjà fait. Il vous dirait tout simplement : «Eh bien, Je t’ai guéri lorsque Je suis mort, lorsque J’ai reçu des meurtrissures dans ton–sur Mon dos pour ta guérison au Calvaire. Crois-tu cela?»

            Vous diriez : «Oui, Seigneur, je le crois.»

            Il dirait : «Alors qu’il te soit fait selon ta foi.»

            Eh bien, combien savent cela, que Jésus-Christ ne guérissait personne, Lui-même? Le savez-vous? Laissez-moi vous le dire. Il a dit : «Ce n’est pas Moi qui fais l’oeuvre; c’est Mon Père qui demeure en Moi; c’est Lui qui fait l’oeuvre.» Est-ce juste? «Non pas Moi...»

49        Et observez lorsque les Juifs Lui ont posé la question, lorsqu’Il est passé au travers de toute cette foule des gens constituée là de boiteux, d’aveugles, d’estropiés, de paralytiques, et de gens ayant toutes sortes de maladies. Et Il–Il a dit à cette personne-là, Il est allé vers un homme qui était couché sur un grabat. Ecoutez, Saint Jean 5, ces gens étaient des paralytiques. Les critiqueurs d’aujourd’hui n’auraient-ils pas dit : «Pourquoi n’a-t-Il pas guéri tous ces gens?» C’est ce que les gens disent : «S’Il est un Guérisseur divin, qu’Il guérisse cette personne. Si la guérison divine existe, qu’Il guérisse cette personne-là.»

            C’est ce qu’ils Lui disaient. Il est passé carrément à travers tous ces infirmes, et autres, Emmanuel, l’Oint, le Dieu même du Ciel, représenté ici dans la chair. Vous croyez dans la Divinité de Christ, vous tous, n’est-ce pas? Il était Dieu. Il n’était pas un homme. Les gens d’aujourd’hui essaient de L’abaisser au rang d’un prophète. Il était... soit Il était Dieu, soit Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu. Le sang d’un prophète ne vous servira à rien. Un prophète est un homme. Mais Jésus était Dieu. La Bible dit que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Est-ce juste?

50        Observez Jésus ici lorsqu’ils Lui ont posé la question concernant toutes ces choses, concernant cet homme qui a emporté son lit et que sais-je encore, celui qui avait été guéri. Il a dit, maintenant écoutez, Saint Jean 5.19 :

            En vérité, en vérité (C’est-à-dire absolument, absolument), je vous le dis : Le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père, et tout ce que le Père fait, le Fils le fait pareillement.

            Car le Père montre au Fils toutes ces choses qu’il fait lui-même. Le Père agit jusqu’à présent; moi aussi, j’agis.

            Est-ce juste? Saint Jean 5.19–20. Maintenant, Jésus est véridique. En d’autres termes, Il a dit qu’Il ne pouvait rien faire du tout avant que le Père ne Lui montre premièrement dans une vision ce qu’Il devait faire. Tous ceux qui croient cette Ecriture, levez la main, Saint Jean 5.19. C’est l’exacte vérité. Alors Jésus ne faisait rien avant que le Père ne Lui montre premièrement en vision ce qu’Il devait faire.

51        Il Lui a montré là où Philippe était, sous un arbre, en train de prier, avant que Nathanaël ne l’ait trouvé. Est-ce juste? Est-ce que vous vous souvenez de cela? Il a montré à la femme au puits qu’elle avait eu cinq maris. Est-ce juste? Mais la femme qui avait touché le bord de Son vêtement, Il ne l’a pas guérie; Il a dit : «Ta foi t’a sauvée.»

            Ecoutez, une fois deux aveugles L’ont suivi. Ils étaient aveugles, ils disaient : «Aie pitié de nous, ô Toi Fils de David, aie pitié. Il a continué et est entré dans la pièce, Il ne leur a prêté aucune attention du tout; Il n’avait pas eu de vision à leur sujet. Ainsi Il est entré dans la pièce. Et pendant qu’Il y était, on Lui a amené ces hommes aveugles. Il a touché leurs yeux, disant : «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Et leurs yeux se sont ouverts. Est-ce juste?

52        Maintenant, ce soir si vous avez foi en Christ, selon votre foi, touchez simplement Son vêtement. Observez ce qui va arriver. Vos yeux s’ouvriront, si vous le croyez. Vous voyez? Ayez foi en Dieu.

            Eh bien, à ce sujet, qu’a-t-Il dit? «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. (Le ‘kosmos,’ l’ordre du monde, les gens.)... Le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez (l’Eglise), car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Est-ce juste?

            Hébreux 13.8 : «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Alors s’Il est ressuscité des morts, et qu’Il est vivant parmi les hommes, dans Son Eglise, Il fera les mêmes choses qu’Il avait faites autrefois là-bas, Il les fera ici ce soir. S’il en est ainsi, et s’Il accomplit cela ce soir, alors vous n’aurez plus le droit de douter, mais vous devez croire en Lui. Est-ce juste?

53        Maintenant, s’Il se tenait ici, Il pourrait vous dire ce qui cloche en vous, Il vous dirait ce que vous avez fait, et qui a causé cela; ou tout ce que le Père Lui montrerait, Il vous le révélerait, sinon Il ne pourrait rien faire. Et s’Il peut faire la même chose ce soir dans Son Eglise... Est-ce qu’ils sont tous là, est-ce que tout le monde est aligné? Très bien, amenez votre patient.

            Bon, au fur et à mesure que les gens avancent, je veux que l’on soit révérencieux. Maintenant, très doucement, fredonnons ce cantique une fois de plus, juste un petit couplet de cela maintenant, je vous prie. Crois seulement, crois seulement, (Tout le monde maintenant.)Tout est possible, crois seulement;Crois seulement, crois seulement, Tout est possible, crois seulement.

54        Père, nous Te remercions et venons dans Ta Présence maintenant. Envoie l’Ange de Dieu. Souviens-Toi que lorsque Daniel a prié, cela a fait plusieurs jours avant que l’Ange qui lui a donné des instructions ne puisse l’atteindre. Et souviens-Toi que lorsque Paul a prié là dans le navire cette nuit-là, lorsque tout espoir d’être jamais sauvé était perdu, et il s’est avancé et il a dit : «C’est pourquoi, ô hommes, rassurez-vous. L’Ange de Dieu dont je suis le serviteur, m’est apparu et m’a dit de ne pas avoir peur, et a-t-il dit, c’est pourquoi, ô hommes, j’ai cette confiance en Dieu, qu’il en sera exactement comme il m’a été montré.»

            Et maintenant, Seigneur, aide-moi pour ces pauvres malades qui sont assis ce soir dans cet amphithéâtre, qu’ils puissent être guéris. Envoie Ta glorieuse Présence et oins Ton serviteur pour la gloire de Dieu, afin que les gens sachent que Tu es Dieu et que je suis Ton serviteur. Je le demande au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.

55        Tout le monde, soyez respectueux au possible. Bonsoir, monsieur. Il est arrivé après tout. Croyez-vous qu’Il est ici pour vous guérir? Vous savez, il m’est donc impossible de savoir quoi que ce soit à votre sujet. Vous êtes un homme; je suis un homme. Nous nous sommes simplement rencontrés. Mais vous êtes sérieusement et dangereusement dans le besoin. Vous avez... Votre maladie se situe dans le rectum. Vous avez une tumeur là, qu’on s’apprête à opérer, une tumeur maligne. Vous venez de l’Oklahoma. [Un homme s’adresse à frère Branham.–N.D.E.] Il n’y a qu’un seul espoir pour vous : la miséricorde de Dieu envers vous. Croyez-vous que Dieu vous viendra en aide? Approchez.

            Notre Père céleste, nous implorons la miséricorde divine, afin que Tu bénisses cet homme et que Tu lui viennes en aide. Il désire ardemment vivre, ô Seigneur. Il a fait un long voyage. Tes serviteurs, les médecins, font tout leur possible pour lui venir en aide. Et j’implore Ta grâce. Et maintenant, Père, ce démon appelé cancer, qui est en train de lui ôter la vie, je Te demande pour Ta gloire de réprimander cette chose terrible et que cela puisse quitter son corps. Et toi démon appelé cancer, je t’adjure par le Fils de Dieu, que je représente ici ce soir à cette chaire, de sortir de cet homme et de le quitter. Très bien, frère, croyez-vous maintenant que Dieu vous rétablira? Très bien, je veux que vous nous rendiez un témoignage, ou bien que vous nous écriviez pour nous le faire savoir, allez-vous le faire? Que Dieu vous bénisse, nous attendons de vos nouvelles maintenant avant que vous partiez.

56        Maintenant, une tumeur... juste avant... Savez-vous ce qu’est un cancer? En termes bibliques, c’est un démon. Il y a un temps où vous n’existiez pas, mais savez-vous que vous êtes issu d’un germe et que cela a commencé à multiplier des cellules? Et votre vie derrière cette seule cellule, c’était la vie. Et un cancer, c’est une vie, et en venant sur vous cela apporte une autre vie étrangère à la vôtre, et celle-ci multiplie aussi des cellules. Et c’est donc un démon; c’est ainsi que la Bible l’appelle. Et la guérison divine, l’unique chose qu’elle fait, elle enlève seulement–elle ôte la vie de la chose, et la tumeur s’en va.

            Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Je pense que nous ne nous connaissons pas. Il se peut que nous ne nous soyons jamais rencontrés dans la vie. De toute ma vie, je ne vous ai jamais vue. Je pense que nous ne nous connaissons pas. Croyez-vous que Dieu dans Son amour et dans Sa miséricorde a envoyé Son Fils Jésus-Christ pour vous rétablir? Et moi, je Le représente seulement par cette Parole. Croyez-vous cela? Et vous êtes–vous êtes une chrétienne. Et vous croyez que ce soir Dieu vous viendra en aide si cette église, avec moi-même, nous prions pour vous. Croyez-vous cela?

57        Maintenant, la seule chose que je peux faire en tant que Son serviteur, c’est peut-être d’être en mesure de connaitre quelque chose de votre vie, s’Il me le révélait; cela vous aiderait à avoir la foi. C’est ce qui vous manque; en effet, quand Christ est mort au Calvaire, Il a payé le prix de votre maladie. Est-ce juste?Vous ne pouvez pas voir cela sur votre visage, mais vous avez une cataracte qui s’est installée dans votre oeil (Est-ce juste?), au fond de telle façon que vous ne pouvez pas voir cela. A part cela, vous avez quelque chose au flanc, c’est une tumeur. Est-ce juste? En effet, c’est ce qui vous rend extrêmement nerveuse; en fait, c’est ce qu’on appelle une tumeur grasse. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Venez ici juste un moment. Ce...?... Ne doutez pas, ayez la foi.

            Maman, là j’ai chez moi ce soir une mère qui a peut-être votre âge. Si quelqu’un avait l’intention de prier pour elle, et qu’elle soit en détresse comme vous, j’aimerais être réellement sincère. Je serais aussi sincère que possible pour implorer Dieu. Et le peuple aussi.

58        Eh bien, maintenant, si c’est la vérité, tout ce qui vous a été dit, si c’est la vérité, alors il y a ici un moyen surnaturel par lequel on le sait. Non, n’est-ce pas? Très bien. Inclinons la tête.

            Père céleste, j’implore la miséricorde divine en faveur de notre soeur. Et je prie que Ta miséricorde repose sur elle afin qu’elle soit guérie. Accorde-le, Seigneur. Que Ton Esprit chasse toute cette puissance de Satan qui repose sur elle et la guérisse. Je réprime ces choses maléfiques qui se trouvent dans son corps, conformément à Ta Parole, au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Que cela vous quitte. Croyez-vous que c’est parti? Que Dieu vous bénisse. Maintenant, cette sensation que vous avez eue, cette sensation de fraîcheur, c’était la vie de cette grosseur qui est sortie de vous. Vous en étiez consciente. C’est à ce moment-là que cela est tombé. Maintenant, si vous continuez simplement à croire, alors cela ne vous tourmentera plus. Que Dieu vous bénisse. Et puissiez-vous... Nous attendons de vos nouvelles.

            Eh bien, ayez–ayez la foi. Croyez. Ne doutez pas.

59        Maintenant, tout le monde dans cette salle en ce moment devrait avoir foi en Dieu. Combien là-bas voudraient être guéris, mais ils n’ont pas de cartes de prière ni rien? Dites : «Ô Dieu, aie pitié de moi, je désire être guéri.» Levez la main, partout, afin que je vous voie, là où votre main...?... Eh bien, ça fait quatre-vingt-dix pour cent de l’auditoire là, qui n’ont pas de cartes. Ce qui importe ce n’est pas de monter ici; mais je vous invite à porter votre attention vers ici, en tant que serviteur de Dieu, si vous voulez bien regarder de ce côté et prier en disant : «Ô Dieu, je crois que ce que cet homme a dit est la vérité.» Dieu vous récompensera pour ça et Il vous guérira. J’essaie tout simplement de représenter le Seigneur Jésus-Christ.

            Bonsoir, madame. Excusez-moi, j’observais quelque chose qui se produisait là-bas, et je–je...

60        Vous n’êtes plus obligée de prier, la petite dame aux cheveux blancs, qui est assise là, souffrant de la sinusite, celle qui est assise juste là au fond, si seulement vous avez la foi maintenant. C’est ce que je surveillais, madame. L’Ange du Seigneur se tenait là près de vous. Vous en êtes consciente. Vous étiez en prière. N’est-ce pas vrai? Eh bien, Dieu vous a guérie. Partez et réjouissez-vous, soyez heureuse.

            Peut-être, peut-être que vous et moi, nous allons nous entretenir juste un instant. Nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas? Je ne sais rien à votre sujet, je ne vous ai jamais vue; nous sommes totalement et parfaitement inconnus l’un de l’autre. Je ne vous ai jamais vue, mais Dieu vous connaît. C’est Lui qui vous a nourrie tous les jours de votre vie; tout ce que vous avez eu jusqu’à présent, c’est Lui qui vous l’a donné. Maintenant, ayez foi en Lui.

61        Vous êtes une mère, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Je le crois. Vous êtes aussi une chrétienne. Vous avez trois enfants. Et vous souffrez d’une tumeur, d’une tumeur de la thyroïde. Plusieurs médecins vous ont examinée. Est-ce juste? Est-ce là la vérité? Ils vous ont abandonnée et vous ont dit que si vous ne subissiez pas une opération dans l’immédiat, vous alliez mourir. Vous êtes venue ici en voiture, n’est-ce pas? Vous venez de Maysville, dans le Kentucky. N’est-ce pas que vous vous appelez Drake? Je vois le médecin au moment où il a ôté cela, ce drap là-bas et qu’il a observé la chose. Votre prénom est Mabel, ou quelque chose comme ça, n’est-ce pas? N’est-ce pas juste? Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais j’ai vu ce médecin corpulent qui travaillait avec vous, retirer votre fiche du dossier, se tenir là et la consulter. Continuez votre chemin et réjouissez-vous; que Dieu vous rétablisse. Disons : «Grâces soient rendues à notre Seigneur Jésus-Christ.» Croyez maintenant; ne doutez pas. Chaque personne devrait croire maintenant. Ayez simplement foi en Dieu.

62        Que Dieu vous bénisse, et puisse le Seigneur Jésus accorder cette bénédiction. Vous êtes une femme qui a subi une opération. Et l’opération a été effectuée sur la vésicule biliaire, mais cela ne guérira pas. Est-ce juste? Si c’est le cas, levez la main. Je ne lisais pas votre pensée; c’est une vision qui est apparue juste ici. J’ai vu que l’opération a été effectuée au moment où ils sont entrés et ils ont ôté la vésicule biliaire.

            Notre Père céleste, bénis notre soeur, et ce soir puisse-t-elle partir d’ici parfaitement rétablie. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Ça sera guéri maintenant, ne vous inquiétez pas. S’Il sait ce qui a été, Il sait certainement ce qui sera. Est-ce juste? Vous serez rétablie; alors ne vous inquiétez donc pas. Que Dieu vous bénisse.

            Ayez foi en Dieu. Tout le monde devrait croire.

63        Vous la petite dame qui êtes assise là, en veston noir, vous souffrez d’une forte nervosité, n’est-ce pas, madame? Est-ce juste? Vous étiez... Vous devenez tellement nerveuse qu’il vous est difficile de vous contenir. Et cela arrive surtout le soir; lorsque le soleil se couche, vous devenez très nerveuse. N’est-ce pas juste? Si c’est le cas, levez la main. L’autre jour pendant que vous regardiez par la fenêtre, un sentiment de grande morosité vous a envahie. N’est-ce pas la vérité? Levez-vous, Jésus-Christ vous a rétablie maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être en bonne santé. Que Dieu vous bénisse. Votre foi vous a guérie. Ayez foi en Dieu.

64        Cette petite dame assise là au bout avec une écharpe autour du cou souffre aussi d’une maladie du coeur; si seulement elle le voulait, elle pourrait être guérie, si seulement elle avait la foi et croyait. Imposez-lui la main, papa là-bas, et posez votre main... L’homme qui est là-bas, en pantalon jaune, imposez la main à cette dame là pendant que nous prions.

            Notre Père, nous Te prions de la rétablir complètement. Que Ton Esprit vienne la secourir. Nous prions au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Très bien, amenez la dame. Je vois l’Ange du Seigneur qui se tient juste ici, un cercle de Feu, une petite Colonne. Cela... Je La vois se tenir juste ici; il y a quelque chose à l’intérieur. Ça approche; il s’agit d’un homme. Il souffre de la hernie. Voilà l’homme juste là, en train de se cogner la tête. Est-ce juste, monsieur? Vous voulez en être rétabli? J’ai vu un homme aux cheveux gris portant des lunettes. Tenez-vous debout, acceptez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus-Christ et soyez guéri. Puisse le Seigneur vous accorder votre guérison, mon frère. Ayez foi en Dieu.

65        Madame, nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Moi, je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Vous m’avez vu à Vandalia, dans l’Illinois. Il y a de cela plusieurs années. Vous souvenez-vous de la grande campagne là-bas? Vous souvenez-vous du garçon sourd-muet qui ne parlait ni n’entendait, qui était cordonnier, ou quelque chose comme ça, là-bas? Et le jour suivant on en a fait une grande annonce dans le journal. Cela a fait... [La femme s’adresse à frère Branham.–N.D.E.] Oui, madame. J’ai reçu une lettre de sa part il n’y a pas longtemps, il est déjà en parfaite santé.

            Vous voulez vous remettre de cette gastrite, n’est-ce pas? De l’arthrite aussi, n’est-ce pas vrai? Vous êtes une personne nerveuse; vous êtes toujours contrariée, cela a provoqué un ulcère de l’estomac, ça produit de l’acide dans la bouche et que sais-je encore. N’est-ce pas vrai? Si c’est la vérité, levez la main. Maintenant, et si je vous dis que Jésus-Christ vous a guérie, croirez-vous cela? Eh bien, Il vous a guérie. Allez en vous réjouissant, et remerciez– soyez reconnaissante à Dieu, soyez rétablie. Ayez la foi. Ne doutez pas. Croyez en Dieu. C’est votre simple foi d’enfant qui opère la guérison. Ce n’est pas moi qui ai guéri cette femme. Sa foi s’est élevée jusqu’au niveau où elle a pu être guérie. Croyez simplement en Lui. C’est tout ce qu’il vous faut faire.

66        J’étais en prière là-bas, et je L’ai encore vu venir par là. Vous, mes chers amis chrétiens, c’est une Lumière, et j’observe cette Lumière quand Elle apparaît. Et puis la Lumière se tient là, ensuite Elle se matérialise, et je vois ce qui se produit; c’est ainsi que je L’appelle. Je vois la personne en question. Et c’est Dieu qui répond à votre prière. Ne soyez pas méfiant; c’est ce que dit la Bible. Jésus-Christ discernait-Il les pensées des gens? Est-ce juste? Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, ayez foi en Lui, croyez en Lui. Dieu accomplira la chose.

67        Très bien, venez, monsieur. Qu’en dites-vous? De tout votre coeur? Croyez vous que Dieu a guéri ce diabète tout de suite? Le croyez-vous? Eh bien, que Dieu vous bénisse. Continuez votre route et vous n’avez plus besoin que quelque chose d’autre soit fait à ce sujet. Que Dieu soit avec vous.

            Disons : «Grâces soient rendues à Dieu», les amis.

            Apportez ce... Excusez-moi. J’ai eu une sensation étrange lorsque j’ai mentionné le diabète à son sujet, pas vous? La même chose, continuez simplement à marcher, rendant grâces à Dieu, ça vous quittera. Que Dieu vous bénisse, soeur; partez tout simplement.

            Que Dieu accorde la guérison à cette femme; Père, je prie qu’elle sorte ce soir de cette salle une femme forte et en bonne santé pour Ta gloire au Nom de Jésus. C’est ce que vous vouliez que je fasse. Que Dieu vous bénisse.

            Très bien. Approchez, madame. N’est-Il pas merveilleux? Qui pourrait douter de Dieu? Que quelqu’un mette la Bible en cause, le fait que Jésus-Christ est le même, hier, aujourd’hui et éternellement.

68        Bonsoir, soeur. Presque quatre-vingt pour cent de cette assistance souffrent de la même maladie que vous. Voulez-vous que je vous le démontre? Combien dans cette salle souffrent des troubles nerveux, juste une maladie des nerfs, levez la main, de tout côté, partout. Vous voyez? Chacun de vous peut être guéri maintenant même.

            Dieu Tout-Puissant, sois miséricordieux, nous voyons que cet esprit lugubre d’épuisement plane autour de cette femme, et nous savons que cela pourrait s’emparer d’elle et l’envoyer dans un asile d’aliénés, l’amener à cogner la tête contre les murs jusqu’à en mourir, s’il pouvait y arriver. Mais, ô Dieu, maintenant nous venons en croyant, et nous sommes conscients qu’il bénéficie d’un grand soutien ici ce soir. Et, Père, nous croyons que Toi, Tu es tout le soutien qu’il nous faut. Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, que ce démon de la nervosité quitte cette femme et toute personne qui se trouve ici. Au Nom de Jésus-Christ, sors de ces gens. Que Dieu vous bénisse.

            Ecoutez, cela est sur vous il y a un bon bout de temps. Ça a commencé à la ménopause. Maintenant, vous vous en remettez pratiquement. Vous allez vous porter très bien. Partez, vous réjouissant, rendant grâces à Dieu. Vous pensiez que beaucoup de choses n’allaient pas en vous, mais c’est la maladie principale...?...

69        Oh! Dieu pourrait s’établir au-dessus de cette petite assistance juste en ce moment et laisser sortir tout le monde d’ici. Vous pleurez, monsieur; je sais de quoi vous souffrez. Je sais que vous avez des lésions au dos. Est-ce juste? En effet, j’attends qu’Il vous guérisse, je... Tout le monde, je vois l’homme penché là, infirme, tout le monde le sait. Mais vous avez eu des lésions...?... C’est là que vous vous êtes blessé le dos, et vous avez reçu des lésions au dos. J’ai vu la vision quatre ou cinq fois au-dessus de vous, mais vous craignez que vous ne puissiez pas être guéri. Oui, vous pouvez être guéri. N’ayez plus de telles pensées. Quand Il me le révélera, je vous le dirai. Mais je ne peux pas vous le dire avant que vous disiez le... Je vous observe. Je vous ai vu assis là il y a quelques instants, j’ai vu vos–vos lésions, j’ai vu ce qui s’est passé. Mais je–je ne peux pas le dire avant qu’Il ne me le révèle. Laissez simplement votre foi monter. Je crois que vous allez être bien portant. Ayez simplement foi en Dieu. Dieu l’accordera. Eh bien, cet esprit qui est sur vous est agité juste là en ce moment.

70        Tout le monde, soyez révérencieux, tout aussi révérencieux que possible, et soyez en prière. Il y a une–une ligne, une chaîne sombre qui va depuis cet homme jusqu’à cette assistance. Puisse Dieu... Oui, c’est ça. Ça descend sur une femme. Vous êtes assise dans cette salle ici juste au fond, vous avez des lésions au dos; un os de son dos est endommagé. N’est-ce pas juste, madame, vous qui êtes assise là tout au fond? Vous étiez assise là en train de prier, n’est-ce pas? Vous aussi, vous avez des lésions au dos, dans vos deux–dans le dos, n’est-ce pas? Vous avez levé les yeux vers moi, en étant ass-... Non, la dame qui est là au fond, il y a une chaîne qui va jusque vers vous aussi. Est-ce juste? Que Dieu soit avec vous. Que Dieu vous bénisse toutes les deux et qu’Il vous guérisse.

            Ce garçon qui est assis juste là au–au bout de la rangée, il a un problème de dos, lui aussi. Est-ce juste, monsieur? Ne souffrez-vous pas aussi de la gastrite? Cette femme-là, n’est-elle pas votre voisine? Je vous vois vous regarder l’un l’autre, vous parlant par-dessus une clôture. Est-ce juste? Que Dieu vous bénisse tous les deux. Vous êtes guéris juste là. Le Dieu Tout-puissant vous a touchés. Vous êtes...?... Amen.

            Approche, monsieur. Que Dieu te bénisse, mon fils. Veux-tu te rétablir de cette gastrite? Eh bien, va manger, et que Dieu te bénisse.

71        Cet homme qui est assis juste derrière ce garçon-là, c’est le papa du garçon. Je les vois aller ensemble au même domicile. N’est-ce pas juste, monsieur? Vous êtes malade et souffrez de la vessie, est-ce juste? N’est-ce pas là sa mère qui est assise à côté de lui là-bas? Vous habitez tous au même domicile. Et cette femme a une hernie et une maladie du coeur. Est-ce juste? Imposez-vous les mains l’un à l’autre et soyez rétablis au Nom de Jésus-Christ.

            Eh bien, a-t-Il dit de guérir les malades? Si vous avez la foi pour croire. Approchez, monsieur. Oh! la la! le diabète, trouble cardiaque. Vous voulez être rétabli? Levez la main, dites : «Merci, Seigneur, de m’avoir guéri.» Que le Seigneur vous rétablisse maintenant et vous donne la bonne santé. Amen. Disons : «Grâces soient rendues à Dieu!»

72        Très bien, amenez l’homme. Inclinez la tête; il y a un esprit sourd sur cet homme. Dieu Tout-Puissant, qui as ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts, donne-nous la grâce, la gloire et du secours. Bénis cet homme que je bénis en Ton Nom. Puisse l’esprit de l’ennemi quitter cet homme, je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Satan, sors de lui, au Nom de Jésus.

            M’entendez-vous? M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous maintenant? Vous êtes un prédicateur. M’entendez-vous maintenant? Dites «amen». ...?... Maintenant, levez la tête. Son sourd–il était sourd de cette oreille-ci. Je–je vais le dire en chuchotant vraiment, mais vous, dites-le très fort. Gloire au Seigneur! [«Gloire au Seigneur.»] J’aime Jésus. [«J’aime Jésus.»–N.D.E.] Entendez-vous cela? Approchez-vous du microphone maintenant. Maintenant regardez, je vais introduire mon doigt dans cette oreille; voici l’oreille qui est atteinte de surdité. Très bien. Gloire au Seigneur, [«Gloire au Seigneur.»] Jésus vous sauve. [«Jésus vous sauve.»–N.D.E.] Vous êtes un ministre de l’Evangile, vous croyez donc cela, n’est-ce pas? Que Dieu vous bénisse, continuez votre chemin en vous réjouissant; vous êtes guéri. Amen.

            Approchez, monsieur. Je voudrais vous dire quelque chose. Vous étiez assis juste là-bas il ya quelques instants, n’est-ce pas? Cet asthme vous a quitté là-bas, ainsi continuez votre chemin en vous réjouissant et avec des louanges.

            Très bien, approchez, monsieur. Vous voulez vous remettre de l’arthrite et ainsi de suite, en vous approchant? Traversez l’estrade en disant : «Merci, Seigneur Jésus, de m’avoir guéri.» Amen. Croyez simplement en Dieu.

73        Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur alors que vous vous approchez? Voulez-vous recommencer à manger de nouveau et avoir un bon dîner complet à prendre et–comme vous en aviez l’habitude? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Alors je réprimande cette gastrite au Nom de Jésus-Christ, que ça vous quitte. Et Satan ne peut pas résister là où Dieu se tient. Partez, prenez votre souper, et faites tout ce que vous voulez, Dieu vous a rétablie. Que Dieu vous bénisse. Très bien, approchez, monsieur. Vous croyez maintenant? Est-ce que tout le monde croit? L’aimez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Pas juste pour... Je ne–ne–ne suis qu’un homme, mais Lui, Il m’utilise simplement de cette manière. Je vois quelque chose dans une bouteille. C’est du sang. Il y a un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept bouteilles de sang. Vous avez eu dix-sept transfusions sanguines. Vous êtes anémique. Est-ce juste? Et vous venez d’une autre contrée, de l’Arkansas. Est-ce juste? Rentrez chez vous et fini... Vous avez reçu maintenant une transfusion sanguine venant du Calvaire, qui tiendra pour vous. Que Dieu vous bénisse et qu’Il vous rétablisse.

            Croyez-vous en Dieu? Tenons-nous debout juste un moment, partout. Levons les mains.

74        Père Tout-Puissant et Tout-suffisant, qui as amené Ton Fils Jésus-Christ dans ce monde, et qui Te tiens ici comme notre modèle, regarde ces mains qui se sont levées partout. Je prie, Dieu bien-aimé, avec un coeur sincère, avec toute la force qui me reste dans mon corps mortel et de tout mon coeur; et il est écrit dans les Saintes Ecritures que la prière fervente [du juste] a une grande efficace. Et de tout mon coeur je Te demande, ô Dieu, de ne laisser personne quitter cette salle ce soir sans être guéri. Si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, et si nous tous nous avons trouvé–trouvé grâce à Tes yeux, écoute nos prières comme Tu l’as dit; nous confessons nos fautes les uns aux autres et nous prions les uns pour les autres, pour que nous soyons guéris.

            Ô Dieu, baisse Ton regard dans cette assistance, alors que mon corps devient très faible, je–je Te prie, ô Père, de tout mon coeur, d’accorder que la puissance de Jésus-Christ se meuve sur cette assistance et déferle sur eux en ce moment même. Et que Ton serviteur, réprimande dans la prière, tout esprit impur, et tout démon, toute affection, et toute maladie. Et puisse cette assistance s’élever dans la puissance de Dieu et avancer normalement, en bonne santé et guérie au Nom de Jésus...

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