Sur Ta Parole, Seigneur, Je Jetterai Le Filet

Date: 54-1207 | La durée est de: 1 heure et 40 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, les amis. C’est un privilège d’être ici ce soir à Binghamton dans cette belle salle, pour tenir notre service de clôture. J’aimerais vous dire que ça a été un réel plaisir d’être ici parmi vous, de braves gens, ces quelques dernières soirées. Et je compte sur Dieu pour qu’un jour par Sa grâce, je puisse revenir pour rester encore un peu plus longtemps avec vous.

            Et maintenant, j’aimerais remercier chacun de vous pour votre gentillesse. J’ai vraiment été très bien traité. Et j’apprécie tout, les cadeaux. Le frère m’a acheté quelques habits, il a donné un cadeau à Billy Paul, il nous a envoyé deux boîtes de bonbons, et il nous a donné une offrande d’amour, et pour tout ceci nous sommes très reconnaissants. Que Dieu vous bénisse richement pour cela.

2          Nous ne sommes pas venus dans ce–ce but. Nous sommes venus pour être une bénédiction et pour recevoir une bénédiction. Et nous avons certainement reçu une bénédiction en étant avec vous, braves gens.

            Et maintenant, la prochaine série de réunions que j’aurai sera, à ma connaissance, à Chicago, dans l’Illinois. Elle commencera au début du mois de janvier et durera peut-être jusqu’à la fin de janvier et une bonne partie de février.

            Depuis que je suis revenu, j’essaie de tenir mes réunions de telle manière que je n’aie pas à prier tout le temps pour les malades, à cause de l’effet terrible que l’onction a sur moi. Mais je prêche un peu.

            Et je–je dois commencer à Chicago, Dieu voulant. J’ai...?... rentrer à la maison et puis, de là, je dois aller en Floride pour prendre frère Bosworth. Et nous pourrions avoir une soirée ou deux là-bas. Je n’en suis pas sûr. Puis, je reviendrai et utiliserai ce...?... Et cette prochaine série de réunions arrive. Nous vous porterons certainement dans nos coeurs. Et Dieu voulant... les pasteurs et les autres m’ont demandé si je pourrais revenir l’été prochain, vers la fin de l’été. Et j’irai probablement en Afrique et en Inde et–et à quelques autres endroits outre-mer cet été, à mon retour j’espère pouvoir être avec vous ici.

            Maintenant, beaucoup de gens croient (et je crois vraiment cela), dans le fait d’envoyer des mouchoirs pour les malades. Combien croient en cela, faites voir vos mains? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?...

            Mais c’est très bien. Tout ce que Dieu bénit, je soutiens cela.

3          Maintenant, dans les Ecritures, à vrai dire, on n’oignait pas les mouchoirs. Lisez Actes 19, je pense qu’on prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul, et on les envoyait aux malades. Les mauvais esprits sortaient et les gens étaient guéris.

            Maintenant, je pense... Evidemment, je ne saurai l’affirmer, mais je pense que là où Paul a dû tirer cela... Vous vous souvenez de la femme sunamite, lorsque son enfant était mort, eh bien, elle est allée auprès d’Elisée, qui était le prophète de Dieu, quoique Dieu n’avait pas encore dit à celui-ci ce qui était arrivé.

            Et cette femme est tombée par terre devant lui, et Guéhazi son serviteur l’a relevée. Et ce dernier s’est demandé pourquoi elle avait agi comme cela quand elle est venue auprès de son maître. Et celui-ci a dit: «Laisse-la tranquille.» Il a dit: «En effet, son coeur est dans le chagrin, et Dieu me l’a caché.» Mais quand elle a révélé ce qui était arrivé, eh bien, il a envoyé son bâton. Il a dit: «Guéhazi, prends ce bâton,» ou plutôt à son serviteur, «devance-la et pose-le sur l’enfant.»

4          Eh bien, je pense, (Voyez-vous?) que tout ce qu’Elie touchait... Il savait quand il était oint du Saint-Esprit que tout ce qu’il touchait était béni. Mais que la femme ait cru cela ou pas... Mais il a précédé et a posé l’enfant–le bâton sur l’enfant. Mais la foi de la femme n’était pas dans le bâton. Elle était dans le prophète. Alors le prophète devait venir poser son corps sur le corps de l’enfant pour ramener ce dernier à la vie.

            Eh bien, toutefois, peut-être que c’est de là que Paul a tiré cela. C’est le seul passage dans les Ecritures, à ma connaissance, où il a pu prendre cela. Mais tout ce qu’il touchait... Les gens voyaient que Dieu était avec lui, et ils étaient sûrs que ce qu’il touchait était béni. Dieu honorait donc cela. C’était juste un petit contact de foi.

5          Eh bien, bien des gens demandent aux gens de leur écrire. Que ce soit pour une émission radiodiffusée ou quelque chose de ce genre. Mais je n’ai pas d’émission ni quoi que ce soit. Mais je n’ai pas prié pour beaucoup de mouchoirs depuis que je suis ici. Je ne savais pas si c’est une–une doctrine de l’église ici ou pas. J’envoie ailleurs plusieurs milliers de mouchoirs par semaine dans le monde entier.

            Et en–en cela j’ai un ministère plus grand que j’en ai par le contact personnel avec les gens, parce que j’atteins plus de gens. Maintenant, si vous voulez un de ces petits... Ce n’est pas un mouchoir. Mais j’en envoie des milliers et j’ai un très petit capital avec lequel je travaille... Mais je–je prends un petit ruban, avec des instructions, vous êtes libres de vous en procurer un, c’est tout à fait gratuit. Ecrivez simplement à Jeffersonville. Et vous verrez qu’on vous enverra en retour un petit formulaire. J’ai un groupe de prière à travers le monde. Et pendant que les gens prient... Ils se lèvent même à minuit ou à deux heures du matin, à travers le monde, pour prier.

6          Les gens posent leurs mouchoirs ou leurs petits tissus sur leur coeur, sous le vêtement de dessous, et confessent tous leurs péchés. Et ils prient tous les uns pour les autres. Et imaginez-vous, des milliers et des milliers de prières s’élèvent en une fois les uns pour les autres. Dieu ne peut pas vous tourner le dos. Il est tenu d’exaucer cela.

            Récemment, j’ai été alarmé à cause d’un–un petit message que j’ai reçu de l’Allemagne avec un... Nous avions un genre de petit bureau dans presque chaque pays, d’où les gens traduisent les lettres et nous les envoient. Une petite Allemande avait demandé un tissu oint et alors elle a dit qu’elle–qu’elle l’a reçu. Et elle souffrait de l’arthrite, et elle était immobilisée dans un–dans un fauteuil roulant depuis plusieurs années. Elle a donc reçu le petit tissu, et elle a invité les voisins. Il est dit que si vous n’avez pas de pasteur, appelez quelques voisins. Et elle a tout confessé puis elle a posé le tissu sur son corps. Et quand elle l’a fait, elle a dit: «Maintenant, démon, pars d’ici.» Voyez-vous? Elle s’est levée et elle est sortie du fauteuil roulant en marchant. C’est si simple d’avoir foi en Dieu. C’est tout ce que–tout ce qu’il en est. Sa foi avait atteint un degré tel qu’elle a pu accepter sa guérison et elle s’en est allée. La simplicité de la guérison divine, c’est une chose vraiment simple.

7          Il y a quelque temps, à la réserve indienne, lorsque j’étais au début de mes réunions il y a environ huit ans, j’étais à Phoenix, et c’était la première fois que je priais pour des Indiens. J’avais promis à Dieu que s’Il guérissait les trois Indiens qui assistaient à la réunion, que je pourrais... qui étaient dans la ligne de prière ce soir-là, que je me rendrais à la réserve. Et ainsi ils... Le Seigneur les a guéris.

            Et les missionnaires m’ont aidé à cause de mes paroles. Et j’étais sur mon chemin du retour ; je me suis arrêté une soirée à la réserve des Apaches comme la plupart d’entre vous qui ont été là, au nord de Gold, en Arizona.

            Nous sommes rentrés et ils étaient assis là dehors par milliers. Et il y a là une petite église. Je crois que de par sa foi c’était une église des Assemblées de Dieu, de la foi...?... Et ils ont placé le micro comme ceci avec des haut-parleurs suspendus là. Comme le soleil se couchait cet après-midi-là, c’était un spectacle glorieux de voir tous ces Indiens, avec leurs petites familles assises sur des couvertures.

8          Ce sont des gens très bizarres. Mais quand ils croient, ils croient. Mais il faut qu’ils soient d’abord convaincus. Alors, j’ai commencé à leur dire que je m’apitoyais sur leur sort et que je... la façon dont on les traitait et ainsi de suite. Et c’est vrai. Et j’ai dit: «Evidemment, je ne suis qu’un Américain comme vous tous aussi.»

            J’ai dit: «Il se peut que vous n’ayez pas été traités correctement. Nous envoyons des millions de dollars là-bas pour nourrir des étrangers, et nos Indiens meurent de faim. Après tout, ne sont-ils pas les véritables Américains?» C’est ça.

            Je pense à mon avis que ça constitue une tache sur notre drapeau, de penser que ces pauvres gens là-bas meurent de faim, et nous envoyons des millions de dollars outre-mer là-bas pour que là on puisse se constituer des armées et nous tirer dessus en retour. Et–et ainsi donc, j’ai dit: «Evidemment, je n’y peux rien. Mais comme je... Voici une chose que je peux vous dire en particulier: Je suis ici pour représenter ce soir Quelqu’Un qui vous traitera correctement et qui sera honnête ; c’est le Seigneur Jésus-Christ.»

9          Et quand j’ai appelé une ligne de prière, eh bien, personne n’est venu. Alors je me suis dit: «Oh ! la la ! c’est étrange !» Alors quelque temps après, le missionnaire est rentré dans la petite mission et a fait sortir quelques personnes qui étaient là derrière. Et la première personne qui était passée était une femme, et quand j’ai considéré son cas, elle souffrait d’une maladie vénérienne, non pas parce qu’elle était immorale. Mais juste la condition dans laquelle ils étaient obligés de vivre...?... la saleté, et ainsi de suite.

            Et ainsi, elle s’est présentée. Et elle m’a regardé de façon très étrange ; elle a reconnu que cela était vrai, par l’interprète. Et puis, la prochaine à venir était une–une petite–une petite fille. Et elle avait fait une fièvre qui l’avait rendue sourde. Eh bien, je l’ai prise dans mes bras et j’ai prié pour elle. Et elle... En plus, elle avait cessé de parler. Elle ne parlait plus. Et le même nerf qui contrôle l’ouïe fait que la personne soit muette.

10        Et alors... Et je l’ai fait asseoir et j’ai essayé... J’ai tapé ma main comme cela, elle s’est retournée, et–et je lui ai dit quelque chose. Et elle a marmonné quelque chose. Et j’ai dit: «Eh bien, elle parlera mieux.»

            Et l’interprète a dit: «Elle... son expression s’améliore considérablement maintenant.»

            J’ai dit: «Je ne voulais pas savoir ce qu’elle disait.»

            Alors, le suivant était un petit garçon qui louchait. Je l’ai pris dans mes bras, je l’ai tenu ici et j’ai prié pour lui. Pas une seule fois dans tout mon ministère, je n’ai vu Dieu rejeter un enfant qui louchait, jamais de ma vie. J’avais un–perdu un bébé il y a des années, la petite soeur de Billy lorsqu’elle avait huit mois. Elle souffrait atrocement. Je suis allé la voir à l’hôpital, elle louchait. Et c’était quelque chose, qui avait un effet tel que je ressentais une grande pitié que de voir un enfant qui louchait.

11        Toutefois le suivant, c’était un... Puis, j’ai eu alors une vraie ligne de prière, avec des milliers de gens. La poussière a commencé à voler de tout côté, c’est comme s’il y avait une ruée. Et je me suis posé des questions. Et alors on les a tous calmés. Et ainsi, une grande ligne de prière a commencé à ce moment-là. Oh ! quatre, cinq, six cents d’entre eux se sont alignés.

            Et ainsi, le suivant, ce devrait être une vieille femme qui se déplaçait à l’aide des béquilles, d’une manche à balai. Elle avait une infirmité sévère. Et elle était plutôt déformée, suite à l’arthrite et ainsi de suite. Et j’ai regardé la pauvre créature. Et un jeune homme essayait de se tenir tout le temps à côté d’elle. Nous ne pouvions donc pas lui parler. Alors monsieur Moore, plusieurs d’entre vous connaissent Révérend monsieur Moore, il a simplement soulevé le petit Indien et l’a placé derrière la vieille dame. Et la pauvre petite, elle avait déjà vu, elle savait que Dieu était vivant.

12        Alors elle a mis ses... elle a porté ses béquilles en venant comme cela. Et quand elle est arrivée devant moi, je suis resté tranquille et je l’ai laissée passer. Et elle est venue, la pauvre vieille, avec des très gros plis, des rides sur le visage, et sa chevelure était enveloppée dans du cuir, et alors qu’elle levait les yeux, les larmes dégoulinant en suivant les plis de son visage: je me suis dit: «C’est la mère de quelqu’un.»

            Peut-être qu’elle n’avait jamais eu les privilèges que certains d’entre nous avons. Mais ses enfants l’aimaient exactement comme nous aimons notre mère. Et elle aimait ses enfants comme–comme... ses enfants l’aimaient de même et vice versa.

13        Quand je me suis levé... elle est arrivée là où je me trouvais, elle m’a simplement regardé comme cela. Et ses petites lèvres tremblaient. Elle a pris ces deux béquilles et me les a tendues, elle s’est redressée, et puis elle est immédiatement descendue de l’estrade. Sans prière du tout, elle a cru tout simplement (Vous voyez?) ; c’était tout.

            Je me rappelle il y a longtemps vers le point du jour ce matin-là, j’avais prié à maintes reprises. Et les... Les gens commençaient à arriver, trempés d’en haut jusqu’à ce niveau, à peu près au niveau de la hanche. Et je me suis adressé à l’interprète, j’ai demandé: «Pourquoi sont-ils trempés?»

            Il a dit: «Eh bien, au départ ils ne croyaient pas cela. Ils pensaient que c’était faux.» Et il a dit: «Maintenant, a-t-il dit, il y a un gué à environ vingt miles [environ 32 km] en aval. Mais, a-t-il dit, ils ont traversé à gué, et ils ont amené leurs bien-aimés. Ils pataugent dans la rivière en la traversant avec leurs bien-aimés.»

14        Un homme se tenait là avec une planche munie d’un bâton transversal allant d’avant en arrière. Et il avait mis ses... Un vieil Indien était couché, les jambes suspendues par-dessus ce bâton, la partie principale de son corps reposait sur la planche...?... ses mains reposaient en arrière comme ça. Et un guerrier indien, très vigoureux, se tenait là, les lèvres tremblantes, il avait très froid. J’ai dit: «Parlez-vous anglais?»

            Il a dit: «Un peu.»

            Et j’ai dit: «N’avez-vous pas peur d’attraper la pneumonie comme cela?»

            Il a dit: «Jésus-Christ prend soin de moi. J’ai amené mon père.»

            Et le vieil homme était étendu là, il avait la paralysie...?... J’ai dit: «Croyez-vous que si je demande à Jésus, Il va vous guérir–guérir votre papa?»

            «Ouais.»

            Alors j’ai dit: «Faites-le passer.» Et il est passé, et j’ai simplement imposé la main au vieil homme comme cela. J’ai dit: «Que Dieu vous bénisse, frère. Que le Seigneur Jésus vous guérisse et vous rétablisse.» Ils sont passés.

15        Et voici venir quelqu’un d’autre. Quelque temps après, j’ai entendu quelqu’un crier. Le vieil homme portait le brancard sur sa propre épaule, il s’en allait en saluant tout le monde de la main comme cela, s’en allant tout simplement, avec une simple–simplicité enfantine pour croire que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a encore pitié de Son peuple.

            Mes amis, l’attitude de Jésus envers les malades ou les pécheurs ne change pas. Elle est exactement la même ce soir comme elle l’a toujours été.

            Je l’ai expérimenté pendant dix ans. Celle-ci est la dixième année où je voyage à travers le monde ; je vois notre Aimable Seigneur manifester Sa grande puissance. Et ce soir, je L’aime de tout mon coeur. Et je suis sûr que vous aussi vous l’aimez en venant par une soirée comme celle-ci où il fait froid dehors, venant dans ce petit auditorium ce soir pour L’adorer avec nous. Nous apprécions votre présence.

16        Et maintenant, avant que j’ouvre la Bible pour lire quelques versets de l’Ecriture, parlons-Lui, l’Auteur de cette Parole, pendant que nous prions.

            Notre Bienveillant Père céleste, nous Te remercions ce soir de tout notre coeur pour Ta bonté et Ta miséricorde envers nous. Nous ne sommes pas dignes de toutes ces bénédictions. Mais, par Ta grâce souveraine... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] est descendu du Ciel, Il a été fait péché et Il est mort à la croix ; Il a été enseveli et Il est ressuscité le troisième jour pour notre justification, portant en Son corps, pour notre rédemption, à la fois la maladie, le péché, les ennuis, et les problèmes. «Car Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui ; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.», a dit le prophète.

17        Et nous Te remercions pour ces merveilleux attributs de Sa mort, dont nous pouvons bénéficier pendant que nous sommes ici sur cette terre. Et par-dessus toutes choses, nous savons que nous attendons ce jour-là où nous serons rendus semblables à Lui, et où nous Le verrons tel qu’Il est, et vivrons avec Lui pendant des âges éternels.

            Père, accorde ce soir que Ton Saint-Esprit vienne dans cette salle et bénisse tous ceux qui se trouvent ici. Nous demandons cette bénédiction maintenant pour Ta gloire. Et pendant que j’ouvre cette Bible, accorde-nous quelques mots de consolation dans Ta Parole, car nous le demandons [Espace vide sur la bande–N.D.E] de Son Fils. Amen.

            En effet ma parole, comme je le dis en tant qu’homme, mes paroles ne sont que des paroles d’un homme, mais Sa Parole est toujours la Vérité. Et maintenant, lisons à partir du verset 1, en commençant au chapitre 5 de Saint Luc.

18        Comme Jésus se trouvait auprès du lac de Génésareth, et que la foule se pressait autour de lui pour entendre la parole de Dieu,

Il vit au bord du lac deux barques, d’où les pêcheurs étaient descendus pour laver leurs filets.

Il se retourna... (Je–je vous demande pardon. Il n’y a pas beaucoup de lumière ici.)... Il monta dans l’une de ces barques, qui était à Simon, et il le pria de s’éloigner un peu de terre. Puis il s’assit, et de la barque il enseignait la foule.

Lorsqu’il eut cessé de parler, il dit à Simon: Avance en pleine eau, et jetez... pour pêcher.

Simon lui répondit: Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je jetterai le filet.

19        Que le Seigneur Y ajoute Ses bénédictions. Et pour un petit sujet, nous allons prendre Sur Ta Parole, Seigneur, je jetterai le filet.

            Eh bien, beaucoup d’entre nous, en regardant ou plutôt en abordant le sujet de la guérison divine et ainsi de suite... Comme ce soir nous allons prier pour les malades, Dieu voulant, je voudrais faire la déclaration suivante afin que tout le monde le sache avec certitude: c’est que je ne prétends pas être un guérisseur divin. Je ne crois pas qu’il en existe un sur terre. Et je ne crois pas qu’il en ait déjà existé un sur terre. Même le Fils de Dieu, Lui-même ne prétendait pas être un guérisseur divin. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais l’oeuvre ; c’est Mon Père qui demeure en Moi ; c’est Lui qui fait l’oeuvre.»

            Et maintenant, aux chrétiens, et à vous peut-être–peut-être les non chrétiens, l’homme n’a pas de puissance en lui ; il n’en a jamais eu, et il n’en aura jamais, pour guérir les malades. Elle vient totalement de Dieu. Peu importe... Je–je n’ai rien en moi ; aucun autre homme n’a quelque chose en lui pour sauver ou pour pardonner.

20        Or, le péché, c’est ce... est à la base de la maladie. Toute mala-... maladie vient du péché. C’est un attribut du péché. Avant que nous ayons une quelconque maladie, nous n’avions pas de péché. La maladie est venue après le péché. Ainsi là, si vous vous occupez du péché, vous êtes tenu de vous occuper de ses attributs. Vous êtes obligé. Et tout celui qui prêche l’Evangile du salut à partir du péché devrait prêcher la guérison divine, sinon il ne pourrait pas prêcher l’Evangile. Voyez-vous?

            Vous ne pourriez pas tuer un–un chien, le frapper à la tête et le tuer, sans détruire aussi ses pattes. Voyez-vous? Il vous faudra détruire le reste de son corps. Ainsi, la tête de cela c’est le péché, et tous ces ennuis, ces maladies et tous les attributs, même la mort elle-même, tout cela dans son ensemble et est provoqué par le péché. L’homme ne devait pas mourir, il ne devait pas tomber malade. Il ne devait pas se fatiguer, il ne devait pas se débrouiller. Tout est venu après la chute.

21        Eh bien, dans ce... Mais Dieu a établi dans l’église des dons, tout d’abord la Bible. Eh bien, je suis tout à fait un fondamentaliste. Si quelque chose ne vient pas de cette Bible, c’est que ce n’est pas vrai. Je crois que ceci est la Vérité de Dieu. Et toute chose, toute doctrine doit être basée sur ce Nouveau Testament, l’Eglise du Nouveau Testament.

            Et maintenant, nous voyons dans la Bible que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, lorsqu’Il est venu sur la terre, Il est venu pour ôter le péché et la maladie, divorcer d’avec cela, y mettre fin et éloigner cela éternellement de Son peuple. Et Il a déclaré qu’Il reviendrait de nouveau, mais pendant Son absence, Il a donné à Son Eglise la même autorité que Lui avait.

            Si nous remarquons bien, l’autorité qu’Il avait, elle n’est pas venue... Jésus n’allait pas çà et là guérir les malades comme Il le voulait ; Il ne les guérissait que lorsque Dieu Lui permettait de les guérir.

22        Nous examinons Son ministère, comme je l’ai mentionné l’autre soir... Si nous voyons le genre de ministère que Jésus-Christ avait Lui-même, alors nous verrons s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Voici ce que je soutiens: Jésus est ressuscité des morts. Il n’est pas mort. Il est vivant, tout aussi vivant qu’Il l’a été et qu’Il le sera à jamais. Il n’est pas mort.

            Il était seulement–seulement absent de la terre pendant un instant, et Il devait emporter nos péchés en enfer puisqu’Il avait été fait péché à notre place, pour prendre nos péchés, mais sans connaître Lui-même de péché, cependant Il a été un substitut innocent pour nous pécheurs coupables, en emportant nos péchés et nos maladies en enfer lorsqu’Il y est entré à notre place. Mais Dieu L’a ressuscité le troisième jour pour notre justification. Lorsque nous regardons et voyons la tombe vide, nous comprenons que nous sommes justifiés gratuitement aux yeux de Dieu, et que Dieu a été vraiment satisfait du prix qui avait été payé par la mort de Son Fils au Calvaire.

            Il a dit: «Celui-ci est Mon Fils Bien-aimé, écoutez-Le.»

            A la croix Jésus a dit: «C’est accompli.» L’expiation a été payée et a été faite plutôt au Calvaire. Quel genre de ministère Jésus avait-Il? S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, vous auditoire, ne pensez-vous pas ce soir que s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il va–peut faire aujourd’hui la même chose qu’Il a faite hier et qu’Il fera pour toujours?

23        Hébreux 13.8 dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Observez Son ministère, juste comme un petit aperçu pendant quelques instants, il se peut que vous soyez des étrangers. Voyons quel genre de ministère Il avait.

            Eh bien, Il n’allait pas partout, disant: «Très bien, vous les infirmes, levez-vous. Vous les aveugles... Je vais ressusciter cet homme mort.» Il a ressuscité trois personnes, selon les Ecritures, ici dans Son ministère terrestre pendant qu’Il était sur terre, juste trois comme une confirmation. «Que chaque parole soit établie sur la déposition des deux ou trois témoins.»

            Beaucoup de gens sont morts pendant Son ministère. Mais Il n’en a ressuscité que trois, conformément aux témoignages de la Bible. Mais quel genre de ministère avait-Il alors? Observez-Le au début de Son ministère, et c’est là-dessus que nous allons baser ce texte dans quelques instants.

24        Lorsqu’Il était au tout début de Son ministère, et qu’Il était devenu populaire, eh bien, un homme du nom de–de Philippe fut sauvé, et ce dernier alla trouver son ami Nathanaël et le Lui amena. Et lorsque Jésus se tenait là, prêchant et priant pour les malades, ou quoi que c’était... Peut-être que Nathanaël était dans la ligne de prière, peut-être qu’il était debout dans l’auditoire, peu importe où cela était. Lorsque Jésus l’a regardé, Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Et il a dit: «D’où me connais-Tu, Rabbi?»

            Si en d’autres termes, je vous disais la même chose, je dirais: «Voilà un chrétien, un croyant, une personne honnête et sincère.»

            Eh bien, il a dit: «Comment m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu?» Est-ce vrai? C’est ça la Bible.

25        Et maintenant, que pensez-vous qui arriverait au milieu de tant de gens qui sont des croyants frontaliers superficiels ce soir, si quelque chose comme cela arrivait ici ce soir à New York? La première impression que les gens auraient, que ce soit l’homme... Vous diriez que Jésus était un liseur de pensées, ou que c’était de la télépathie mentale, ou quelque chose de ce genre.

            Et c’est la raison pour laquelle Dieu ne peut pas agir. Les gens ne Lui réservent jamais un bon accueil. Ils–ils L’ont traité de démon à l’époque. Ils ont dit qu’Il était le prince de tous les diseurs de bonne aventure. Le saviez-vous? «Il est Béelzébul, le prince des démons.» Est-ce de ça que le clergé L’a traité? Béelzébul, le prince de tous les démons... Voyez-vous?

26        Les gens ne se sont pas arrêtés pour lire les Ecritures afin de s’assurer que c’était là le signe du Messie. Mais ils–ils disaient: «Eh bien, je reconnais qu’Il discerne les maladies des gens. Et nous n’arrivons pas à comprendre pourquoi ils se rétablissent, mais Il est un démon.» Voyez-vous? Mais qu’a dit Philippe–Nathanaël? Il a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.» C’est de cette manière qu’il faut accepter la chose.

            Il a dit: «Tu es heureux. Si tu as cru ces choses, c’est parce que Je t’ai dit que Je savais où tu étais avant que tu viennes à l’église (en d’autres termes), eh bien, tu verras de plus grandes choses.»

            Un jour, au cours de Son ministère, Il est passé tout près d’une–une femme. Ou plutôt Il est passé par... C’était jusqu’à Samarie, et Il s’est assis sur un–un banc ou plutôt une muraille, Il a envoyé Ses disciples dans la ville s’approvisionner en nourriture.

            Et nous, en tant qu’Américains, le point de vue des gens de l’Orient est tout à fait différent de ce... Toutefois nous, en tant qu’Américains, nous croyons que cette femme était une femme de mauvaise réputation, peut-être une prostituée.

27        Elle était sortie pour puiser de l’eau. Jésus lui a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Il n’est pas d’usage que vous les Juifs demandiez pareille chose aux Samaritains. Nous n’avons pas de relations.» Voyez-vous? Il était, à mon avis, Il était en train de chercher à contacter son esprit. Le Père Lui avait dit d’aller là-bas. Mais peut-être que cela allait arriver après qu’Il était arrivé là. Alors, Il s’est assis là au... Elle a dit: «Eh bien, il n’est pas d’usage que vous les Juifs demandiez pareille chose aux Samaritains.»

28        Jésus a dit: «Mais si tu savais à qui tu parlais, c’est toi qui Me demanderais à boire.» Il a continué la conversation. Peu de temps après, Il a compris ce qui n’allait pas en elle, où résidait son problème. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai pas.»

            Il a dit: «C’est juste. Tu en as eu cinq.»

            Eh bien, écoutez. Maintenant, écoutez-la, son point de vue là-dessus. Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète,» pas un démon, un prophète. Elle a dit: «Je sais que le Messie vient, et quand Il sera venu, Il nous dira ces choses.» Le signe même du Messie était là. Cette prostituée a reconnu cela avant le clergé. C’est presque pareil aujourd’hui. C’est juste.

29        Quand les gens discutaient là sur le genre de boutons qu’ils devaient avoir sur leurs vestes, les trois mages, les diseurs de bonne aventure, ou comment vous voulez les appeler, les astronomes sont venus de l’Orient en suivant une étoile et ils L’ont trouvé. Est-ce juste? C’est vrai. Et les clergés se demandaient quel genre de boutons ils devaient porter sur leurs habits et comment ils devaient s’habiller, décrocher des doctorats en théologie, et ainsi de suite pour leur renommée. Sachez tout simplement... L’histoire se répète. Et voilà que le don de Dieu se trouvait là. Lorsqu’Il est allé prêcher et prédire aux gens et...?... ou plutôt Son ministère, eh bien, les gens ont dit, ils L’ont regardé et ont dit: «C’est Béelzébul.» Ça, c’est le clergé.

            Mais qu’a dit le démon? «Nous savons qui Tu es, le Fils de Dieu, Celui qui est saint.» Est-ce juste?

            C’est là que les... Voyez-vous, les gens peuvent adopter tant de rites qu’ils perdent... Mêmes les démons en savent plus sur l’Esprit qu’eux ; en effet, eux s’occupent des choses spirituelles. Ils deviennent si ecclésiastiques qu’ils n’arrivent pas à trouver Dieu. Et il n’y a pas moyen de trouver la chose de cette façon. «Dieu s’est caché aux sages et aux intelligents, a-t-Il dit.»

            Et ainsi, remarquez, lorsqu’Il a parlé à la femme, elle a dit: «Je sais que quand le Messie viendra, Il dira ces choses et fera ces choses.»

            Il a dit: «Je Le suis Moi qui te parle.»

            Et elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?» Eh bien, Il ne lui a pas du tout dit tout ce qu’elle avait fait. Il ne lui a dit que cette unique chose. Mais si Dieu a pu Lui révéler cette unique chose, Il pouvait Lui révéler tout.

30        Ainsi donc, si vous remarquez bien, un peu plus tard, Il est passé par la piscine de Béthesda, là où des multitudes et des multitudes d’infirmes, de boiteux, de paralytiques, d’aveugles, de gens aux membres desséchés... Maintenant, écoutez attentivement. Et quand Il est passé près de ces gens, jamais Il n’a touché l’un d’eux, malgré qu’Il était plein d’amour et de compassion. Il est passé à côté d’eux jusqu’à ce qu’Il a trouvé un homme qui était couché sur un petit grabat–un petit grabat comme nous l’appelons dans le sud. Et c’est donc lui qu’Il a guéri.

            Il–il n’était pas infirme. Il a dit: «Pendant que je descends vers la piscine, quelqu’un d’autre me précède.» Il... Peut-être qu’il se faisait vieux. Il avait cette maladie depuis trente-huit ans. Elle n’allait pas le tuer. Il était simplement un malade chronique. C’est donc possible qu’il ait souffert de la tuberculose, de la prostatite ou d’une maladie de ce genre. Il a dit: «Prends ton lit et va dans ta maison.»

            Eh bien, si vous remarquez bien, l’Ecriture dit avant cela que Jésus savait que cet homme se trouvait là. Maintenant, lorsque les Juifs l’ont trouvé, ils lui ont posé des questions sur Jésus: Pourquoi n’avait-Il pas guéri toute cette multitude? Pourquoi ne les a-t-Il pas tous guéris?

31        Vous savez ce qui arriverait ce soir à new York, si nous tenions une grande réunion et qu’il y avait tout un grand... bousculant tout un grand nombre de–d’infirmes, d’aveugles, d’estropiés, et que le Seigneur descendait et guérissait peut-être une personne, puis s’en allait? Vous savez ce que les gens diraient? «Oui, oui. Que je Le voie guérir celui-là et je croirai cela.»

            Voyez-vous? Dieu ne guérit pas sur base de vos désirs. Il guérit sur base de votre foi. C’est juste.

            Ainsi, quand ils ont posé la question à Jésus à ce sujet, écoutez ce qu’Il a dit. Eh bien, Saint Jean 5.19. Ecoutez attentivement. «En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père ; ce que le Père fait, Il le montre au Fils. Et Il vous montrera des choses plus grandes que celles-ci afin que vous soyez dans l’étonnement. Car le Père agit ; Moi aussi, J’agis.» Voyez-vous?

32        A part cela, Jésus a dit de Sa propre bouche: «Je ne fais rien de Moi-même, mais J’observe. Et ce que le Père Me montre, Je vais le faire.» Est-ce juste? «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même ; mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.»

            Eh bien, une fois une femme toucha Son vêtement et se hâta d’entrer au milieu de la foule. La foi de la femme était tellement grande que Jésus s’est retourné et l’a repérée dans la foule, et Il a dit: «Ta foi t’a sauvée. Ta perte de sang s’arrête et tout est terminé.» Voyez-vous? Et beaucoup...

            Nous examinons la façon dont Il a agi ; exactement ce que le Père Lui montrait, Il ne s’attribuait aucun mérite personnel, mais Il dépendait de ce que le Père faisait. Il est venu pour faire la volonté du Père. Eh bien, c’est cela le genre de ministère qu’Il avait. Maintenant, écoutez.

33        Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez (Il s’agit du croyant.). Le monde (l’incroyant) ne Me verra plus,» parce qu’Il serait parti. Cela règle le problème. Il a dit: «Le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez. Car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Ce sont là–ce sont là Ses propres Paroles. Est-ce juste?

            Maintenant, mes amis, soit c’est juste, soit c’est faux. Hébreux 13.8 déclare: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et si c’est juste, Il est tenu à Sa Parole. Si ce n’est pas correct, alors l’Ecriture, la Bible n’est pas un Livre dans Lequel il faut avoir confiance. Quant à moi, c’est soit noir, soit blanc. C’est juste ou faux. Et je suis vraiment reconnaissant d’avoir découvert qu’Elle est tout à fait juste.

34        Car Il est ressuscité des morts. Il est vivant... Maintenant, suivez. Vous direz: «Eh bien, nous croyons bien sûr qu’Il est ressuscité des morts.» Qu’a-t-Il dit? «Les choses que Je fais, vous les ferez aussi.» Est-ce ju-... juste, vous les ministres? «Les choses que Je fais, vous les ferez aussi. Même de plus grandes...» L’expression «plus grandes», n’importe qui d’entre vous les érudits, vous connaissez l’interprétation juste là, c’est davantage. Vous ne pouviez rien faire de plus grand. Il a arrêté la nature, Il a ressuscité les morts, et tout le reste. Pas quelque chose de plus grand en qualité, mais en quantité. «Vous en ferez davantage, car Je M’en vais auprès de Mon Père.» Est-ce juste? «Ces choses mêmes que Je fais, vous les ferez aussi.»

35        Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il est tenu à cette Parole, n’est-ce pas? Ici, au commencement de Son ministère, Il était... Je pense à ce matin-là lorsqu’Il se tenait ici près de–de ce lac. Son–Son ministère venait de commencer. Il était devenu populaire. De petites foules de gens se rassemblaient tout autour de Lui. Et des miracles se produisaient. Et Il entrait dans une ville et guérissait un homme, et Il sortait aussitôt de la ville que le Père Lui avait montrée pour aller ailleurs. Et tout ce que le Père Lui montrait...

            En ce jour-ci, Il...?... groupe de pêcheurs. Pierre, Jacques, Jean faisaient la pêche. Peut-être que d’autres leur avaient parlé avant de cette merveilleuse Personne de Jésus de Nazareth. Et ils avaient pêché toute la nuit dans le–le lac. Et c’étaient des pêcheurs. Peut-être pour illustrer cela sous forme de drame, disons que c’était en avril où la pêche se faisait bien.

36        Et ils étaient en train de pêcher à la seine là-dedans. Et ils étaient des pêcheurs. Ils savaient quel genre de temps qu’il vous fallait ainsi que la position des étoiles, de la lune et autres. Ils avaient tout le calendrier par instinct. Ils savaient quand les poissons circulaient et quand ils ne circulaient pas. Et ils avaient jeté le filet toute la nuit dans ce lac sans rien attraper.

            Oh ! la la ! c’était décourageant faire la pêche toute la nuit sans rien attraper. Et le lendemain matin, ils étaient découragés et étaient assis là nettoyant leurs filets. Et le long de la berge s’est approché ce Galiléen aimable, solitaire, méprisé et haï des églises, et pourtant le Prince de paix.

37        Et comme Il avançait le long de la berge, quelques-uns de Ses disciples qui Le suivaient, les disciples Le suivaient donc... Eh bien, je m’imagine toutes ces femmes là-bas qui étaient revenues de la réunion de la veille au soir, peut-être, faisant la lessive et ainsi de suite le long de la berge dans leurs petites cabanes pour ainsi dire.

            Elles ont dit: «Voilà cet Homme qui guérit les malades, ce Prophète-là. Allons L’écouter. Peut-être que si nous nous réunissons, nous aurons une réunion là-bas sur la berge.» Et je les vois mettre de côté leur vaisselle ou leur lessive. Et les hommes arrêtent leur vache de labour dans le champ. Et ils viennent pour parler à Jésus.

            Et quand Il s’est arrêté sur la berge, et qu’Il s’est mis à parler aux gens, il est dit: «Les gens se sont pressés autour de Lui pour écouter la Parole de Dieu.»

38        Personne au monde n’aime comme moi écouter un serviteur de Dieu prêcher. Je n’arrive pas à écouter assez, à moins que ça soit par radio. Toutes les différentes églises dénominationnelles, j’aime les écouter. Et je n’arrive pas à les rencontrer ou à les écouter assez lors des réunions, parce que la prière pour les malades et les autres activités prennent tout le temps. Et des fois, des milliers de personnes, et les oeuvres du Saint-Esprit qui se produisent de lieu en lieu...

            Et j’aime écouter de bons ministres prêcher. Mais j’aurais aimé avoir été là au moment où Il a tendu Ses bras et qu’Il a dit: «Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos.»

39        Je me suis souvent demandé si je pourrais être en vie pour voir le jour où les ondes pour lesquelles les techniciens radio et autres, ainsi que les hommes de science seraient capables de fabriquer quelque chose comme du cristal qui pourrait capter l’onde de Sa Voix. Ils prétendent que la voix ne meurt jamais, qu’elle continue tout simplement. «Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués et chargés, Je vous donnerai du repos.»

            Je ne sais pas si je serai en vie pour voir ce jour-là. Je ne sais pas si Dieu le permettra. Mais il y a quelque chose dont je ne doute pas ; j’espère un jour entendre dire ceci: «C’a été très bien, Mon bon et fidèle serviteur.» C’est pour cela que je vis, pour voir ce jour où j’entendrai cette voix dire: «C’était très bien. Tu as fait le mieux que tu pouvais.» C’est pour cela que j’ai travaillé. C’est pour cela que j’ai travaillé et peiné avec amour pour mon Seigneur Jésus.

40        Ces pêcheurs, je me représente les apôtres assis là, sur une souche sur le rivage de la plage, disant: «Eh bien, dites donc, voilà cet Homme, ce–ce nouveau Gars, qui vient maintenant prêcher la guérison par là. Asseyons-nous simplement ici et voyons ce qu’Il va dire.» Vous savez, l’homme qui vient à l’église la première soirée va aussi loin en arrière que possible.

            Puis, je le vois lorsque Jésus se met à parler, Sa Parole avait quelque chose d’un peu différent de celle des hommes ordinaires. Je vois l’apôtre Pierre prendre sa souche, la mettre plus près et s’asseoir. Peu de temps après, il était juste devant, et il L’écoutait. Il a parlé comme... des Paroles de grâce sortaient de Sa bouche...

41        Après, Il a dit qu’Il a sauté et a emprunté la barque de l’apôtre. Ainsi, la foule s’était pressée contre Lui, et Il est monté dans la barque. Quand Il a fini de prêcher, Il a dit à Pierre ; «Avancez en pleines eaux et jetez vos filets pour pêcher.» Eh bien, non pas jetez vos filets pour voir s’il y a du poisson là, jetez vos filets pour faire un essai. Mais jetez vos filets pour pêcher tout un tas de poissons.

            Eh bien, l’apôtre a dit: «Seigneur, nous avons–nous avons péché toute la nuit. Nous sommes des pêcheurs. Nous nous y connaissons. Et il n’y a tout simplement pas de poissons là-bas.» J’imagine qu’il s’est dit dans son coeur: «Eh bien, nous avons pêché dans ces eaux et nous savons qu’il n’y a pas de poissons là.» Mais si Jésus a dit de jeter les filets pour les prendre, Il est capable d’en mettre là. Si vous Le prenez au Mot !

42        Eh bien, peut-être que vous êtes allé chez chaque médecin de la ville. Peut-être que vous avez parcouru chaque clinique et chaque cabinet médical. Peut-être que l’homme vous a examiné en toute sincérité et a dit: «Je ne sais pas ce que vous avez comme maladie.» Et peut-être qu’il a trouvé ce dont vous souffrez et qu’il a dit: «La médecine ne saurait vous guérir. Nous ne pouvons rien pour vous.»

            Peut-être que vous avez pêché partout là-bas, et que vous êtes passé dans les lignes de prière. Vous avez fait tout votre possible, mais vous êtes toujours malade et votre cas empire. Pourquoi ne faites-vous pas comme cet apôtre qui a dit «Seigneur, je ne sais pas comment cela va se faire, mais sur Ta Parole, Seigneur, je vais jeter le filet ce soir. Je vais jeter le filet et croire de tout mon coeur que Tu vas me guérir ce soir.»? Vous partirez d’ici une personne en bonne santé. «Sur Ta Parole, Seigneur, je vais jeter le filet.»

43        Peu importe ce que c’est. Et quand l’apôtre a jeté le filet, à l’endroit où il avait pêché toute la nuit (Jésus lui a demandé de retourner exactement dans ces mêmes eaux et d’y jeter encore le filet.), alors quand il l’a fait, il a attrapé une grande quantité de poissons. Et il est tombé devant l’apôtre et a dit... devant Jésus et a dit: «Retire-Toi de moi, ô Seigneur, parce que je suis un homme pécheur.»

            Comment se fait-il qu’il n’était pas... Et dès ce moment-là, il a été au service du Seigneur. Les grandes bénédictions que Jésus lui avait données... Il a dit: «Désormais, tu deviendras–tu deviendras un pêcheur d’hommes.»

44        Et ce soir... Comment se fait-il que je... beaucoup de critiques... Car partout où j’étais au commencement, c’était terrible. Mais maintenant le Seigneur a combattu les critiques en sorte que de grands hommes, des rois et des potentats... et des milliers et des milliers de témoignages ont été écrits par les médecins et tout le reste sur la guérison divine et même sur la résurrection des morts, au point que cela a fermé la bouche des critiqueurs. Dieu est apparu pendant la réunion sous la glorieuse forme d’une Lumière, qui a été photographiée. Cela a subi toutes sortes de tests et tout, au point que Dieu a tout à fait confirmé Sa Parole, sans l’ombre d’un doute, comme étant la Vérité. Cela a mis fin aux critiques.

45        Et je L’aime. Et je pense que chaque chrétien ce soir se garde de cette–cette même... pour montrer que par la Lumière de la Parole de Dieu, tout homme devra venir... Si vous êtes ici ce soir pour la première fois, vous devez considérer la chose de façon raisonnable, et conformément aux Ecritures, et aborder cela de la même façon. Ne venez pas avec un... critique, disant: «Eh bien, je ne crois pas. Je m’en fiche.» Eh bien, si vous êtes un...

            Un homme m’a dit récemment, il a dit: «Frère Branham, peu m’importe ce qui arrive, je ne crois pas cela.»

            J’ai dit: «Ce n’était pas pour vous. Ce n’est pas pour les incroyants. C’est pour ceux qui croient, c’est pour les croyants seulement.»

            Ainsi il a donc dit: «Celui qui croit...» C’est celui-là. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru,» non pas les incroyants, les croyants. Ce sont ceux-là qui sont...?...

46        Et moi, ce soir, en pensant à ces choses et en voyant comment le Seigneur a fait... Certaines personnes ont honte. Après avoir accepté le Seigneur Jésus comme leur Sauveur, les gens s’en vont et ils ont honte de Le confesser. Bien des fois, ils L’acceptent comme leur Guérisseur, et ils s’en vont et ils ont honte de Le confesser. Vous ne devriez jamais avoir honte de Lui. Vous devriez être juste... Peu importe ce qui arrive, vous devriez vous tenir juste devant pour soutenir votre témoignage.

47        Car Dieu ne peut vous sauver que lorsque vous témoignez. Il ne peut vous guérir que lorsque vous témoignez. Il est assis à la droite du Père ce soir pour intercéder sur base de votre confession. Ce qui compte, ce n’est pas combien vous criez fort, combien vous tapez fort sur l’autel, le grand nombre de bonnes oeuvres que vous faites ; c’est votre foi qui vous sauve.

            Et si vous confessez cela de vos lèvres et que cela vienne de votre coeur, Il se mettra à l’oeuvre en tant que Souverain Sacrificateur assis à la droite du Père pour intercéder sur base de votre confession. Hébreux 13.1: Il ne peut rien faire pour vous sans que vous le croyiez d’abord, que vous acceptiez et confessiez qu’il en est ainsi.

            Et aujourd’hui les gens s’en vont et disent: «Eh bien, je me suis senti mieux hier soir, mais aujourd’hui je suis si mal en point que j’arrive à peine à tenir.» C’est exactement à ce moment-là que vous perdez votre confession et que vous sombrez carrément. Peu importe qui vous êtes, combien vous êtes saint, combien vous êtes pieux, que vous soyez ministre, pasteur ou diacre, qui que vous soyez, ou que vous soyez un chrétien depuis cinquante ans, si vous sortez d’ici demain et perdez la foi en tant que chrétien, et que vous commenciez à dire aux gens que vous n’êtes plus un chrétien, vous rétrogradez. Vous êtes perdu.

48        Vous ne pouvez être sauvé qu’au moyen de votre confession. C’est là l’arme la plus puissante que Dieu a placée dans la main de l’homme, c’est un engagement et une confession. C’est ce que cela fera chaque fois, si vous croyez cela, et que vous acceptiez cela sur cette base ; et croyez cela et tenez-vous-en à cela. Continuez de confesser la chose. Lorsque vous la confessez...

            Vous savez que beaucoup de gens regardent aux symptômes. Les gens vont çà et là disant: «Eh bien, maintenant je ne me sens pas mieux.» Cela n’a rien à voir avec la chose. Ce qui compte, c’est ce que vous croyez ; ce n’est pas ce que vous sentez.

            S’il y a un homme qui a eu un bon cas de symptômes, c’était Jonas. Il était rétrograde, il avait les mains liées derrière lui, sur une mer houleuse ; il a été avalé par une baleine, et s’est retrouvé dans le ventre d’une baleine au fin fond de la mer. N’importe qui sait que lorsqu’un poisson a mangé, il traverse les eaux jusqu’à ce qu’il se fraie une voie, et puis il descend carrément et se repose au fond.

49        Donnez à manger à votre poisson rouge et observez ce qu’il fait. Il va tout droit au fond, il étale ses petites nageoires et se repose. Eh bien, ce ministre, le prophète Jonas avait été avalé par une baleine, et il avait les mains liées derrière lui. Il était rétrograde ; en effet, Dieu lui avait demandé d’aller à Ninive, mais lui est allé à Tarsis, il était en route pour Tarsis. Il était rétrograde.

            Et les gens disent que la mer par là a une profondeur de plus d’un mile ou deux, par là. Et cette baleine était alors descendue au fin fond de la mer avec ce prédicateur dans son estomac. Et lorsque ce dernier regardait de ce côté-ci, c’était le ventre de la baleine ; lorsqu’il regardait de l’autre côté, c’était le ventre de la baleine. Partout où il regardait, c’était le ventre de la baleine.

            Et vous parlez d’être dans un état... Il n’avait que la possibilité d’avoir des symptômes. Tout ce qu’il voyait, c’était le ventre de la baleine. Mais qu’a-t-il dit? Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je refuse de les considérer.» Il a dit une fois de plus, au milieu des vomissements, la... dans l’estomac de la baleine, avec les algues enroulées autour de son cou... Dans cette condition...

50        Personne ici ce soir n’est dans cette condition-là. Nul n’a jamais été dans cette situation. Regardez à l’impossibilité dans laquelle il se trouvait. Cependant, il a refusé de regarder aux symptômes qui l’environnaient. Il a dit: «Une fois de plus, je regarderai vers Ton saint temple, ô Seigneur.» C’est juste. Pourquoi? Quand Salomon avait fait la dédicace du temple ; dans sa prière il avait dit: «Seigneur, si Ton peuple est en détresse quelque part, et qu’il tourne les regards vers ce temple et prie, alors exauce des cieux.»

            Et Jonas croyait que Dieu avait exaucé la prière de Salomon. Et il a tourné son regard vers le temple, et Dieu l’a gardé en vie pendant trois jours et trois nuits dans le ventre de cette baleine, conformément à la Parole de Dieu. Et si Jonas, dans ces circonstances, a pu croire en Dieu comme cela, à combien plus forte raison vous et moi devrions-nous le faire ce soir?

51        Etant assis ici où chaque année des milliers sont guéris de toutes sortes de maladies et d’afflictions, nous ne regardons pas vers le temple naturel qui a été bâti par un homme ordinaire, à la prière qui a été offerte par un homme ordinaire ; nous regardons vers le Ciel, où Jésus est assis à la droite de Dieu, faisant intercession avec Son propre Sang pour notre confession.

            A combien plus forte raison devrions-nous dire: «Je refuse de voir cela. Jésus-Christ m’a promis la Vie Eternelle. Je L’ai. Jésus-Christ a promis de guérir ma maladie. Je suis guéri. Je le confesse. Je le crois. Je m’en tiendrai à cela.» Alors, vous allez faire...

            Même si les gens vont çà et là et disent: «Comment vous sentez-vous?»

            Dites: «Très bien ! Gloire au Seigneur !» C’est alors que vous allez mettre le diable en fuite.

52        Une fois, lorsque j’étais malade, les Frères Mayo m’avaient abandonné, et tout ; ils disaient que je ne pouvais pas m’en remettre. Tout ce que je mangeais, je le vomissais aussitôt. Je me suis tenu juste là et j’ai pris Dieu au Mot et je Lui ai dit que je Le servirais. Et j’ai mangé des oignons, des haricots, du pain de maïs et de la mortadelle. Et j’en ai pris une grosse bouchée et le diable a dit: «Ah, bon !»

            Cela s’est mis à brûler, le médecin a dit: «Ce jeune homme va mourir s’il reçoit cela dans son estomac.»

            Et cela a commencé à remonter, et j’ai gardé ma main sur ma bouche. J’ai dit: «Oh ! non, non, non ! Dieu l’a dit.» Et je suis descendu dans la rue en louant simplement Dieu.

            Le diable m’a dit: «Tu ne vas pas mieux.» Des jours se sont écoulés. Il a dit: «Tu ne vas pas mieux.»

            J’ai dit: «Ecoute, démon, si tu ne veux pas m’entendre témoigner et glorifier Jésus-Christ, éloigne-toi simplement de moi parce que je vais le dire jusqu’à ce que je meure.» C’est juste. Amen.

53        Et ce soir, testez-moi avec un steak et vous verrez si je peux en manger ou pas. Voyez-vous? Je suis en bonne santé et fort. Je ne pesais à l’époque que cent dix-huit [53,5 kg], cent dix-neuf livres [53,9 kg]. Et maintenant, je pèse cent soixante-cinq livres [74,8 kg]. Oui, oui. Pourquoi? Parce que je crois en Dieu. J’ai eu foi en Lui. Ceci est Sa Parole. Ce n’est pas ma parole. C’est Sa Parole. Dieu a dit qu’Il le ferait.

            Et quand Jésus a dit qu’Il était le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’Il reviendrait sous cette forme, et qu’Il ferait les mêmes choses qu’Il avait faites lorsqu’Il était ici, je crois que chaque Parole de cela est la Vérité. Et mon espoir n’est bâti sur rien d’autre que le Sang et la justice de Jésus. C’est juste.

            Voilà Sa Parole. Et Son Sang doit prendre soin de cela. Tout ce qu’Il a mis dans l’expiation nous appartient. Nous recevons cela par la foi. Acceptez simplement cela et allez de l’avant, confessez cela et voyez ce qui arrivera. Cela agira.

            Lorsque vous êtes sauvé à l’autel, croyez au salut. Quand vous sortirez, et les anciens amis que vous avez rencontrés diront: «Oui, il porte toujours la même cravate, la même veste. Ses yeux sont toujours bleus ou bruns ou quoi que ce soit. Eh bien, il n’a pas changé.»

            Physiquement vous ne pouvez rien exhiber pour prouver que vous êtes sauvé. Mais dans votre coeur, vous croyez que vous êtes sauvé. Témoignez donc ce que vous croyez.

54        Si vous pouvez accepter Jésus comme votre Guérisseur, alors peu importe l’apparence extérieure, les symptômes apparents, témoignez ce que vous croyez. C’est cela. Tenez-vous-en à cela. Et Dieu est tenu d’amener cela à s’accomplir. Oh ! la la !

            Je me souviens lorsque j’en étais à mes tout débuts. L’amour pour Dieu, combien les gens affluaient de partout. Je me souviens que je suis allé à Jonesboro, dans l’Arkansas. J’étais sorti depuis environ six mois. J’ai fait venir ma femme. Et je me sentais si solitaire que je voulais la voir, elle, et le bébé. Et elles sont venues par train. Je me souviens, elles nous ont vus. Le Soleil de l’Arkansas a déclaré: «Il y avait vingt-huit mille personnes à la réunion.» Et si le journal a dit que ces gens étaient là, c’est qu’ils étaient bien tous là.

55        On avait aménagé de petits endroits, des petits postes de radio et des tentes. Ces pauvres et précieuses gens étaient étendues sous des lits de camp, sous des camions, et sous des fourgons à bestiaux, et ils tenaient... Et il pleuvait à verse chaque jour, et ils tenaient des journaux au-dessus de leurs petits enfants malades et tout. C’était un spectacle pathétique. Mais le Seigneur guérissait.

            Nous avons vu un article là dans l’un des livres. Un homme était venu à l’autel, il avait un gros cancer rouge qui pendait à une partie de son cou. Et c’est devenu blanc, ça s’est détaché puis ça a roulé sous mes pieds. Et le journaliste qui se tenait là en a pris des photos, tout, et il a fait paraître cela à la une le lendemain.

56        Madame Hattie Waldrop de Phoenix, en Arizona, était là, et elle était morte dans la ligne de prière. Elle avait demandé au médecin interniste et aux autres, quand ils la transportaient, elle avait dit: «Amenez-moi quand même là-bas.» Et lorsqu’elle est arrivée, elle était morte... Il y a là son adresse, son nom, son numéro, et tout. Elle est vivante aujourd’hui ; elle avait le cancer du coeur, du côlon, du foie. Le médecin l’avait abandonnée, disant: «Il n’y a aucune chance qu’elle s’en tire.» Mais ils l’ont quand même amenée. Elle est morte à un pâté de maisons de l’endroit où on tenait la réunion.

            Les gens ont continué de former la ligne de prière. Je suis resté là pendant huit jours et huit nuits sans quitter la ligne de prière. Et ainsi on–on continuait d’amener les gens. On m’amenait mon repas ou un peu de jus d’orange, et je le prenais, je dormais peut-être à côté de la chaire pendant quelques instants, puis je me réveillais et reprenais la ligne de prière.

57        Et cette femme est ressuscitée des morts, elle était montée juste à la... et elle est vivante aujourd’hui. Demandez... Il y a là son adresse, son... Il n’y a rien de fictif. Demandez et vous verrez. Vous avez le droit de vérifier cela. Les hommes de par le monde entier ont appelé pour vérifier cela. Et des milliers de ces choses se sont accomplies. Pourquoi? «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et ce qu’Il dit est la Vérité. C’est juste.

            Vous avez perdu votre foi en Lui, mes amis. Revenez à Dieu. Revenez à une foi vivante. Eloignez-vous de ces petites théologies familières et de ces trucs, et servez un Dieu véritable et vivant par une expérience de la nouvelle naissance. C’est juste. C’est ce que vous devez faire pour vivre correctement avec Dieu. Si un homme naît de nouveau, alors la Vie surnaturelle de Dieu entre dans cet homme et lui fait croire des choses, parce qu’il est une partie de Dieu.

58        Maintenant, lorsque cette... Je me souviens de ce soir-là où je suis arrivé et où j’essayais d’atteindre l’auditorium. Ma femme était debout là, et elle a dit... Nous étions à environ trois pâtés de maisons, et les rues étaient complètement obstruées. Et ma femme a dit: «Billy, tous ces gens, c’est pour t’écouter qu’ils sont venus?»

            Et j’ai dit: «Non, chérie, ils viennent voir Jésus.» Alors elle s’est tenue là, la pauvre petite créature, et elle a chanté Ils viennent de l’est et de l’ouest. Quelques huissiers, tout un groupe d’huissiers, sont venus me prendre pour me faire passer à travers la foule. Et je suis entré. C’était la dernière soirée que je passais à la réunion. Nous allions ensuite partir à Little Rock, en venant de Jonesboro.

            Il m’est arrivé de regarder par là et l’ambulance... Il y avait partout des civières. Et une petite fille était étendue là, et une vision est venue. J’ai noté de ce côté-ci que quelqu’un n’arrêtait de faire signe comme ceci. Il portait un complet sombre et tenait un képi bleu en main. Et j’ai vu qu’il avait l’air d’un ambulancier.

59        La veille au soir, il y avait un homme à Kennett, dans le Missouri, qui avait été aveugle pendant vingt ans, un cordonnier, et qui avait recouvré la vue ce matin-là. Et il est rentré chez lui ; il courait à travers la ville. Il est entré en courant dans une église méthodiste avec son chapeau sur sa canne d’aveugle. Quelque chose de blanc parcourait l’église. Et on l’a chassé de là. Et il est allé chez les catholiques, on l’a chassé de là. On... Il était en train d’embraser la ville.

            Alors le monde affluait de partout. Et ainsi, les gens... J’ai regardé par là et cet homme me faisait signe sans arrêt comme ceci avec son képi. J’ai dit: «C’est moi que vous appelez, monsieur?»

            Il a dit: «Oui, monsieur.» Il a dit: «Je viens du Missouri.» Et il a dit: «J’ai un autre déplacement à effectuer ce soir.» Il a dit: «J’ai une patiente par là.» Et il a dit: «La patiente est déjà morte. Et nous avions un médecin de garde.» Et il a dit: «Je ne le vois nulle part. Je ne sais quoi faire. Pourriez-vous venir la voir?»

            J’ai dit: «Eh bien, monsieur, les gens ne pourront pas me croire sur parole, déclarez-la morte.» J’ai dit: «Il faudra l’amener chez l’entrepreneur des pompes funèbres.»

            Il a dit: «Je souhaite que vous veniez dehors. Son mari est vraiment hors de lui là dehors. Et peut-être que vous pourriez le calmer.»

60        J’ai dit: «Eh bien, monsieur, il y a deux mille personnes par ici.» Et cette rangée, voilà une très longue rangée réservée là-bas aux ambulances de l’autre côté de la salle.

            Et alors, il a dit: «Je vais vous aider à sortir.» Il y a un grand groupe d’hommes ; j’ai traversé l’auditoire alors que nous faisions pression et laissions... Monsieur Reed avait commencé de nouveau à diriger les chants. Et je suis sorti là. Il se trouvait là une grande ambulance noire. Et ils ont ouvert la portière. Et je suis monté à bord.

            Un vieux frère typique de l’Arkansas... Eh bien, s’il y a ici quelqu’un de l’Arkansas, je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments. Ils sont pauvres, pauvres, mais ils ont certainement quelque chose sous cette vieille chemise bleue, frère, qui bat avec fidélité pour Dieu. C’est juste.

61        J’aurais préféré avoir... Je vous dis ce que ce salut à l’ancienne mode fait. Il fera qu’un smoking et une salopette s’entourent de leurs bras et s’appellent aussi frères. Certainement. Cela fera qu’une robe de calicot et celle de soie s’asseyent ensemble et se disent soeurs. Certainement. Cela ôtera de vous toute votre raideur. Vous comprenez que nous sommes tous un en Christ Jésus, frères et soeurs.

            Et j’ai regardé là à l’intérieur. Un pauvre vieil homme là au fond, et ses souliers, les semelles s’étaient détachées des souliers, avec sa vieille salopette délavée... Cela me rappelle mon pauvre brave papa. Et sa chemise était rafistolée partout. Et il tenait un vieux chapeau en main. Et c’était cousu sur le côté avec une corde à deux fils. Et la barbe était plutôt longue sur son visage. Il ne s’était peut-être pas rasé depuis une semaine ou dix jours, et il présentait une mine fatiguée. Et il disait: «Oh ! maman, pourquoi m’as-tu quitté? Pourquoi m’as-tu quitté?»

62        Le pauvre vieil homme, je l’ai regardé ; je me suis dit: «Oh ! la la ! eh bien, que puis-je lui dire?» Et je me suis assis dans l’ambulance à l’avant, là où on l’avait ouverte, à la portière. Et ainsi, il m’a regardé ; il a dit... J’ai dit: «Bonsoir !»

            Il a dit: «Bonsoir.» Il a dit: «Etes-vous le médecin?»

            J’ai dit: «Non.» J’ai dit: «Je suis frère Branham.»

63        Il a dit: «Oh ! Frère Branham, a-t-il dit, la pauvre mère, a-t-il dit, elle avait ardemment désiré vous voir, avant de mourir.» Il a dit: «Elle est une très bonne femme, Frère Branham.» Il a dit: «Elle hersait ces vieilles mottes de terre là-bas et a fait de moi ce que je suis.» Et il a dit: «Elle a attrapé le cancer il y a deux ans.» Et il a dit: «Nous l’avons amenée à St Louis. Les médecins ont opéré. Ils ont tout fait.» Il a dit: «J’ai même vendu mes mulets et tout, a-t-il dit, pour chercher à–pour chercher à la faire soigner.» Et il a dit: «Les médecins l’ont abandonnée. Nous avons entendu parler de cet homme qui est venu ce matin et qui a témoigné.» Et il a dit: «Nous sommes allés vendre des édredons qu’elle avait confectionnés et des mûres qu’elle avait mises en conserve l’année passée, pour obtenir l’ambulance afin de l’amener ici.» Et il a dit: «Maintenant, elle est morte, Frère Branham.» Et il a dit: «Oh ! je ne sais pas ce que je vais faire sans elle. Rentrer à la maison, c’est être tout seul.»

64        Et j’ai dit: «Eh bien, papa, à ma connaissance la seule chose à faire c’est que vous et moi nous offrions juste une prière.» Et j’ai touché sa tête à elle. Je ne pense pas que cette femme était morte, parce que... Eh bien, peut-être qu’elle était morte. Je ne saurais l’affirmer. Mais elle était... On lui avait retiré son dentier et ses lèvres étaient rentrées tout au fond. Et il y avait comme de l’eau boueuse qui sortait de ses yeux, et ceux-ci étaient fixes. Et elle respirait difficilement. Il n’y avait pas du tout de pouls. Il n’y avait pas du tout de pouls. J’ai touché sa main.

            Je me suis simplement agenouillé, en tenant sa main. Et nous nous sommes mis à prier. Et lui ne faisait que pleurer et prier en disant: «Ô Dieu, si seulement je la revois pour lui parler encore,» comme cela.

            Et moi je priais, je disais: «Ô Père, je Te prie d’être miséricordieux envers ce cher frère, de l’aider et de le bénir, ainsi que cette chère femme, qui est venue jusqu’ici.» Je l’ai sentie me serrer la main.

65        Le diable m’a dit, il a dit: «Tu vois, il s’agit là des muscles. Elle est morte. Ce sont simplement ses muscles qui se contractent nerveusement.» J’étais d’accord avec lui. Alors, j’ai continué de prier pendant quelques instants. Et cela s’est de nouveau contracté. Et je me suis dit: «Eh bien, c’est étrange !» J’ai baissé le regard ; j’ai vu la peau de son front se froncer. Ah ! le diable avait tort là. Alors elle m’a regardé. Puis elle s’est relevée. Je n’ai rien dit, j’ai simplement continué–arrêté de prier. Lui ne faisait que crier et se tordre les mains et son chapeau, comme cela, en regardant en l’air. Et–et elle s’est levée.

            Elle a dit: «Comment vous appelez-vous?»

            J’ai dit: «Je suis frère Branham.»

66        Lorsqu’il a regardé, il a dit... «Maman.» Et le pauvre vieil homme l’a saisie dans ses bras comme cela et a commencé à hurler et à crier. Elle a suivi les réunions pendant des mois et des mois ; j’ai eu de ses nouvelles. Eh bien, cela fait neuf ans maintenant. Et j’ai eu de ses nouvelles ici, il y a deux ou trois mois environ, juste avant que j’aille outre-mer, elle se porte à merveille. Elle n’a pas du tout de problème, elle est tout à fait normale et en bonne santé au possible.

            Alors–alors le chauffeur a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, ces hommes qui vous ont amené ici, ils sont retournés au parking, a-t-il dit, ou plutôt là au fond.» Il a dit: «Maintenant, vous ne saurez pas passer là, car des milliers de gens se sont attroupés par ici sachant que vous êtes dans la voiture.» Il a dit: «Rentrez en contournant par ce chemin, et on va se rencontrer là derrière près de la salle.» Il a dit: «Personne ne vous connaît là derrière. Retournez par là.»

            Et j’ai dit: «Oui, monsieur.»

67        Et il a fait semblant d’enlever son par-dessus, comme ceci. Ça semblait hypocrite de faire cela, mais c’était tout ce que je pouvais faire. Et je suis sorti du véhicule, j’ai longé le côté. Il pleuvait fort. J’ai commencé à pousser pour me frayer un chemin à travers ces gens qui se trouvaient là derrière, vous savez, de part et d’autre, en cherchant à passer. Et je me demandais: «Où sont ces gars?»

            Il y avait des très puissants projecteurs là derrière. Et les gens étaient tous debout, certains étaient là depuis des jours. Et je me pressais comme ceci. Et tout le monde ne cessait de me dire: «Arrêtez de pousser. Cessez de pousser.»

            Je disais: «Excusez-moi.»

68        J’ai continué de pousser. Aussitôt un homme très grand qui se tenait là en train de tailler quelque chose au couteau, a dit: «J’ai dit: ‘Arrêtez de pousser.» J’avais peur qu’il ne pousse à son tour.

            Alors j’ai dit: «Oui, monsieur. Excusez-moi, monsieur.» J’ai dit: «Je n’avais pas l’intention de faire cela.»

            Il a dit: «Alors, tiens-toi tranquille.»

            J’ai dit: «Merci, monsieur.»

            Je l’ai observé, vous savez, un petit peu. Il a continué de tailler en parlant là-bas, vous savez, c’était un homme du genre rude. Et je l’ai regardé.

            Et j’ai entendu un cri. Jamais je n’oublierai cela aussi longtemps que je serai en vie.

69        Et on–on a là-bas cette loi sur la ségrégation raciale, la ségrégation ou plutôt ils avaient cela à l’époque. Et voici venir une jeune fille de couleur d’environ seize, dix-sept ans, avec les yeux blancs dus à la cataracte. Et elle essayait de se faufiler à travers cette foule, en criant: «Papa, papa. Oh ! papa !» Personne ne lui prêtait attention. Voyez-vous? Juste...

            Et je me suis dit: «La pauvre ! J’ai l’impression que cette fille a besoin d’aide.» Et elle venait dans ma direction. Alors j’ai quitté cet homme en m’éclipsant très doucement et m’en suis allé, je suis allé de côté. Et je me suis mis juste sur sa voie, la direction qu’elle prenait pendant qu’elle venait afin qu’elle se cogne contre moi. Et elle s’est cognée contre moi. Et elle a dit... Elle a mis ses mains sur moi. Elle a dit: «Excusez-moi.» Elle a dit: «Papa !»

70        Et j’ai dit: «Eh bien, que se passe-t-il?»

            Elle a dit: «Monsieur, a-t-elle dit, j’ai perdu mon père. Pourriez-vous m’aider à le retrouver?»

            Et j’ai dit: «Eh bien, je ne vois plus de gens de couleur par ici, mademoiselle.» J’ai dit: «D’où venez-vous?»

            Elle a dit: «Je viens de Memphis.»

            Et j’ai dit: «Oui, oui.»

            J’ai regardé et j’ai vu cette ligne de bus affrétés. J’ai vu un bus affrété venant de Memphis. Et j’ai dit: «Oui, madame.» J’ai dit: «Que faites-vous par ici?» Je me disais que j’allais... La pauvre ! Ne serait-ce pas affreux de profiter d’elle comme cela, alors qu’étant aveugle, elle ne pouvait pas me voir? Et j’ai dit... J’éprouvais simplement sa foi.

            Et j’ai dit: «Que faites-vous par ici?»

            Et elle a dit: «Je suis venue rencontrer le guérissar.» Avec cet accent du Sud. «Je suis venue rencontrer le guérissar.»

            J’ai dit: «Le quoi?»

            Elle a dit: «Le guérissar.»

            Et j’ai dit: «Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.»

71        Elle a dit: «Eh bien, monsieur, j’écoute toutes les bonnes émissions radio.» Et elle a dit: «Ce matin, j’ai écouté cet homme qui est d’ici vers Corning, qui ne pouvait pas prononcer un mot et qui a parlé à la radio.» Et elle a dit: «Cet homme qui était aveugle et qui a recouvré sa vue là-bas...» Elle a dit: «Moi aussi je suis aveugle, comme vous le savez.» Elle a dit: «Lorsque j’étais petite, j’ai attrapé la cataracte à l’oeil, et le médecin m’avait dit que lorsque cela mûrirait...» Je ne sais pas ce que mûrir signifie, mais elle a dit: «Lorsque cela mûrirait, il allait enlever cela.» Et elle a dit: «Maintenant, c’est mûr.» Et elle a dit: «Il a dit que cela a recouvert les racines des yeux autour du nerf optique de mon oeil, qu’il ne peut pas enlever la–la cataracte sans enlever aussi l’oeil.»

72        Et elle a dit: «Je n’ai aucun espoir de voir.» Et elle a dit: «Je suis venue rencontrer le guérisseur.» Et elle a dit: «Et on me dit que cette soirée est la dernière. Et je n’ai pas la chance d’entrer dans la salle.» Et elle a dit: «Et mon... Et j’ai perdu mon père. Je n’arrive pas à retrouver le chemin du retour vers le bus.» Elle a dit: «Voudriez-vous m’aider à retourner jusqu’au bus, gentil monsieur?» Aussi intelligente qu’elle pouvait être...

73        Et j’ai dit: «Oui, madame.» Mais j’ai dit: «Ce dont je voudrais vous questionner, c’est au sujet de ce guérisseur.» J’ai dit: «Croyez-vous cela dans ce jour où nous avons tous ces bons médecins et chirurgiens, que Dieu pourrait faire quelque chose en envoyant un Ange comme cela?»

            Elle a dit: «Oui, missié. Je le crois.»

            Et cela m’a fait honte à moi-même. Et elle a dit–elle a dit: «Oui, missié. Je crois cela.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est comme si en ce jour merveilleux où nous avons tous ces médecins...»

            Elle a dit: «Monsieur, aucun d’entre eux ne peut m’aider.»

            Et j’ai dit: «Oui, madame.» Elle... J’ai dit: «Eh bien, vous ne voulez vraiment pas dire que vous croyez cela?»

            Elle a dit: «Monsieur, je vais vous dire quoi. Si vous me prenez par la main et m’amenez là où se trouve cet homme, je retrouverai alors mon père.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?...

            Cela a fait que je me sente directement abattu. J’ai dit: «...?...» doit avoir... J’ai senti comme si j’étais un hypocrite. [Espace vide sur la bande]... a fait que je me tienne là. J’ai regardé cette pauvre créature, et je–j’ai dit: «Eh bien, soeur, peut-être que je suis celui que vous êtes censée rencontrer.»

            Si je vis jusqu’à cent ans, je ne pourrais pas oublier cela. Elle m’a saisi carrément comme cela, elle a dit: «C’est vous ce guérissar?»

            J’ai dit: «Non, madame.» J’ai dit: «Je suis frère Branham.»

            Elle a dit: «Oh ! Frère Branham !»

74        J’ai dit: «Maintenant, attendez, ôtez vos mains d’ici.» Vous pensez que j’allais prendre ses mains... Je ne pouvais pas m’en défaire. Elle n’allait pas me laisser partir. Elle me tenait comme cela. J’ai dit: «Voulez-vous me relâcher?»

            Elle a dit: «Non, missié.» Elle a dit: «Ayez pitié de moi, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Eh bien, soeur, que je prie d’abord Jésus.»

            Elle a dit: «Ayez pitié !»

75        Et j’ai pensé à ce cantique. Elle avait entendu parler de cet homme qui avait été guéri là-bas. L’aveugle Fanny Crosby a dit: «Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur. Ecoute mon humble cri. Pendant que Tu appelles les autres, ne m’oublie pas.»

            J’ai pensé à cela, et j’ai dit: «...?... soeur, permettez-moi de tenir votre main, ai-je dit, pendant que je prie.» Et j’ai dû détacher sa main de moi, l’une de ses mains. Et je l’ai tenue comme cela. J’ai dit: «Maintenant, inclinez la tête et fermez les yeux.»

            Elle a dit: «Oui, missié.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            ... commencé à prier, j’ai dit: «Maintenant, Père céleste, Tu connais ce besoin, et la raison pour laquelle je devais venir ici derrière.» Croyez-vous que toutes choses sont ordonnées par Dieu? Assurément qu’elles le sont. Et j’ai dit–et j’ai dit: «Je–je ne sais pas pourquoi je me retrouve ici derrière. Mais cette pauvre jeune fille de couleur aveugle, ai-je dit, se tient ici.» J’ai dit: «Père, il y a quelque neuf cents ans, une vieille croix rugueuse était traînée dans les rues de Jérusalem, effaçant les empreintes de pas ensanglantées de Celui qui la portait en la traînant. Alors qu’Il gravissait la colline pour être crucifié, Son pauvre petit corps frêle était fendu sur le côté, de sorte qu’Il n’arrivait plus à porter la croix et Il est tombé. Et voilà que Simon de Cyrène, un homme de couleur, est venu et a ramassé la croix, et l’a posée sur lui, sur ses épaules, et L’a aidé à la porter.»

76        J’ai dit: «Père, je suis certain que Tu comprends cela. Et voici ce soir, titubant dans l’obscurité totale, une des ses enfants est par ici dans l’obscurité totale. Et sur cette croix, le Sang pour la guérison de cette jeune fille était...?... Ne veux-Tu pas, je Te prie, avoir pitié d’elle comme cela?» Et juste alors, quelque chose s’est produit.

            Elle a dit: «Quelque chose m’a traversé. Mes yeux sont très froids.» J’ai remarqué que la vie était sortie de ces cataractes, mais elle devait attendre que cela se rétrécisse.

            J’ai dit: «Gardez vos paupières fermées, soeur, pendant un instant.» J’ai dit: «Ne dites rien. On va nous reconnaître ici. Voyez-vous? Que personne ne nous voie.» Et les gens ne faisaient pas attention, ils circulaient.» Et j’ai dit: «Maintenant, maintenant, relevez la tête vers l’endroit où vous pensez que je me trouve, et puis ouvrez vos yeux, parce que Jésus vous a redonné la vue.»

            Elle a dit: «Oui, missié.» Elle a dit: «Est-ce que ma tête fonctionne correctement?»

            Et j’ai dit: «Oui, madame. Maintenant, ouvrez les yeux.» Elle a ouvert les yeux.

            Elle a dit: «Est-ce que ce sont là des projecteurs?»

            J’ai dit: «Oui, madame.»

77        Elle a dit: «Est-ce que ce sont là des projecteurs? Est-ce que ce sont des gens qui vont là-bas?» J’ai dit... Elle a crié à tue-tête. Et elle a sauté dans cette foule, criant: «Ô Dieu, moi qui étais autrefois aveugle, maintenant je vois.»

            Cela–cela a émerveillé la foule. Les voici tous venir de tous côtés en courant. J’ai regardé et j’ai vu mon bonhomme venir dans le coin, s’efforçant d’avancer à travers la foule. Il y avait là un vieil homme qui se tenait là avec une massue, à l’aide de laquelle il marchait. Il avait une jambe tordue comme cela. Il a dit: «Je vous reconnais, Frère Branham.» Il a dit: «Je suis là depuis huit jours. J’ai cinq petits enfants à la maison. Je suis infirme.» Il a dit: «Je crois que vous êtes un jeune homme bien. Si vous demandez à Dieu de me guérir, Il peut le faire.»

            J’ai dit: «Croyez-vous cela, frère?»

            Il a dit: «De tout mon coeur.»

            J’ai dit: «Alors, au Nom de Jésus-Christ, donnez-moi votre massue.» Et lorsque je me tiendrai là à la barre du Jugement devant ce groupe de gens, vous saurez alors si c’est vrai ou pas. Lorsqu’il m’a tendu la massue, Dieu a honoré sa foi. Son pied s’est redressé comme cela. Il a sauté en l’air, il s’est mis à crier à tue-tête.

78        Et alors les gens accouraient vers moi. Et... et les gens s’efforçaient d’avancer à travers la foule, ils avaient vu les miracles, ils avaient vu Dieu agir dans l’assistance et tout. Alors, ils ont simplement cru. C’était tout.

79        Et, mes amis, jusqu’à ce moment-là, j’étais en tournée alors depuis environ six mois. Et vous connaissez ma position pour ce qui est de prendre l’argent. Je n’aime pas cela. Je n’ai jamais prélevé une offrande pour moi-même. Et lorsque j’ai quitté ma maison, je n’avais pas d’habits à porter. C’est vrai. Je remercie Dieu ce soir du fait que j’ai des habits. Et...

            Mais, mon frère, qui est plus jeune que moi, il était sorti sur rendez-vous. Et il avait connu un accident. Et son–son costume s’était coupé. Les jambes du costume s’étaient coupées et la poche était toute déchirée. Et il me l’avait donnée, quand j’étais au début de ma première campagne de guérison.

            Et ma femme et moi sommes allés dans un bazar et nous avons acheté certaines de ces pièces qu’on applique à l’aide d’un fer chaud, vous savez, et j’ai appliqué cela là. Et cette poche était déchirée. Et je ne suis pas très doué en couture. Mais j’ai pris, j’ai cousu cela à la–à la main comme cela, j’ai cousu cela, et cela a fait un rafistolage remarquable.

80        Et je dois rencontrer des prédicateurs. Et ils étaient très bien habillés. Je les ai regardés. Et je–j’avais honte de ma vieille veste en haillons. Alors je gardais ma main droite sur cet endroit et je serrais la main des gens avec ma main gauche et je disais: «Excusez-moi, ma main gauche est plus proche de mon coeur.» Je disais cela, parce que je ne voulais pas qu’ils voient cette vieille veste en haillons. Mais, frères, ce soir-là, ces gens se pressaient dans cette foule pour toucher cette vieille veste en haillons et ils étaient guéris.»

            Permettez que je vous le dise, frère. Le même Dieu qui était là ce soir-là est ici aussi ce soir. Cela n’exige pas qu’on ait une veste en haillons. Cela exige votre foi en Dieu, vous n’avez qu’à croire à la vérité de l’Evangile. Le même Seigneur Jésus, qui était là ce soir-là, est juste dans cette salle ce soir pour faire les mêmes choses qu’Il avait faites là-bas. C’est juste.

81        Que Dieu soit miséricordieux ! Je commence à penser à ces choses qui arrivent comme cela, et je me demande ce qui arrivera un de ces jours lorsque nous traverserons la marée de l’autre côté et que nous verrons ces précieuses personnes que Dieu a guéries. Et tant de choses ont été faites. Notre temps est terminé. Prions.

            Père céleste, nous Te remercions ce soir pour Ta bonté. Pour tout ce que Tu as fait pour nous, Seigneur, nous Te louons de tout notre coeur. Je Te prie d’être avec nous ce soir. Viens, Seigneur Jésus. Lorsque je pense à ces... d’autrefois là... Ce soir-là, lorsque ces pauvres gens, ils–ils me tiraient par-dessus les autres, de petites mères cherchant à ce que leurs bébés touchent la... votre main ou votre veste et les habits. Les gens sautaient des lits de camp, criaient et couraient à travers la salle, juste pour s’approcher. Non pas à cause de Ton serviteur, Seigneur, mais parce qu’ils savaient que Tu étais là. Et c’était la vérité que j’essayais de leur dire, que Tu es mort pour eux, pour les guérir et les sauver.

82        Oh ! précieux Père, pour ces braves gens qui sont ici dans ce formidable et bel Etat de New York... Ce soir, beaucoup d’entre eux sont assis ici dans cette petite salle. Et je prie ce soir, ô Père, qu’il n’y ait personne de faible au milieu de nous au moment où nous quitterons. Puissions-nous nous sentir dans la réunion comme ceux qui revenaient d’Emmaüs, disant: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous?»

            Fais quelque chose ce soir, Seigneur, comme Tu l’as fait pour eux, un peu différent de la tendance ordinaire du ministère. Fais quelque chose afin que nous sachions que Tu es ressuscité des morts, et que Tu es ici, et que Tu es vivant ce soir, confirmant à ces gens que nous leur disons la vérité, que Tu les guéris et que Tu veux qu’ils croient cela et T’acceptent comme leur Sauveur et leur Guérisseur. Accorde-le, Père, par l’humble prière de Ton serviteur. Je le demande au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

83        Que le Seigneur Dieu du Ciel vous bénisse tous, et fasse que la bénédiction dont vous tous... Je ne veux pas me comporter comme un bébé. J’ai quarante-cinq ans. Je suis un vieil homme. Mais lorsque je pense à ces choses, aux expériences de ces aimables personnes et tout, je ne peux pas empêcher, dans mon coeur, quelque chose de crier en moi. Je ne suis pas un bébé. Non, non. Je ne le suis pas. Mais je–j’éprouve de l’émotion, je crois, lorsque j’y pense.

            Je pense que lorsque nous aurons traversé la ligne là-bas, vous entendrez certains crier aussi là-bas, et se réjouir lorsque nous nous rencontrerons tous de l’autre de côté.

84        Maintenant, si le Saint-Esprit de Dieu vient ce soir, rappelez-vous, je suis votre frère, un homme. Mais lorsqu’Il viendra, vous verrez cela. Si vous observez bien, il y aura une Lumière. Elle se tiendra près de l’endroit où je suis. Et Il... Je... Il n’y a personne que je connaisse dans cette salle, de ceux que je vois, à part ces gens qui sont assis, un homme qui est assis là, peut-être deux, avec monsieur Smith que voici, notre frère Smith, ce sont les seules personnes que je connaisse dans cette salle. Je vous suis totalement étranger. Mais si Jésus-Christ est ressuscité des morts et qu’Il soit ici comme je le dis, alors Il peut prendre mon corps, et m’oindre de Son Esprit, et faire la même oeuvre qu’Il avait faite quand Il était ici sur terre. C’est conformément à Sa promesse. Est-ce juste?

            S’Il le fait, vous tous qui êtes ici, allez-vous me promettre que vous L’accepterez comme votre Sauveur et votre Guérisseur? Veuillez lever la main pour le Lui promettre. Ne le promettez pas à moi. Merci. C’est comme si c’est cent pour cent partout. Que Dieu vous l’accorde, mon frère chrétien, à vous qui voulez L’accepter.

85        Bon, la vérité reste la vérité. Or, un homme peut passer ici et dire: «Eh bien, je ne prétends pas ceci ou cela.» Ça, c’est ce que l’homme fait. Vous avez le droit de douter d’un homme. Mais lorsque Dieu vient et confirme la chose, et que c’est conforme à Sa Parole, alors c’est un péché que de douter de Dieu. N’est-ce pas ça?»

            Ainsi, ce soir croyez de tout votre coeur. Maintenant, mettez de côté tout moindre doute et–et écoutez tout simplement. Et n’oubliez pas ce que je vous ai dit au début. Le ministère de Jésus-Christ, c’est exactement Son ministère. Tout le monde le sait. C’est Son ministère. Il a regardé parmi les gens, dans l’auditoire, Il connaissait leurs pensées. Est-ce juste? Combien savent que c’est une Ecriture? Levez la main. Eh bien, si...?...

86        Il regardait dans l’auditoire, et là où le Père Lui montrait l’une ou l’autre chose, Il pouvait citer la chose et la leur dire. Est-ce juste? Et lorsqu’Il se tenait là et qu’Il parlait aux gens, Il connaissait leurs problèmes. Il savait s’ils allaient guérir ou s’ils allaient mourir, ou ce qui allait arriver. Mais Il ne faisait rien sans que le Père ne le Lui ait montré premièrement. Est-ce juste? Tout le monde croit-il cela? Que Sa... que c’est Sa Parole? Voyez-vous? C’est ce qu’Il a dit.

            Voyez-vous, cela pourrait être sous un angle un peu différent de celui dont vous avez été enseigné. Mais regardez à la lumière des Ecritures. Lorsqu’Il est venu pour la première fois, Il est venu sous un angle tel que les gens ne L’ont pas cru. Ils L’attendaient d’une autre façon. Et peut-être que lorsqu’Il reviendra, ce sera sous un angle tel que nous n’en saurons rien. C’est juste.

87        Ainsi, soyez simplement respectueux. Et maintenant, lorsque l’onction me saisit, évidemment cela me met dans une autre dimension. Pour l’homme de science, c’est la–l’autre dimension. Pour vous, les chrétiens, c’est dans l’Esprit. Et par conséquent, ce n’est plus vous.

            Regardez ce microphone. Ce microphone ne peut rien dire par lui-même. Cette lumière là-haut ne peut pas dire à cette fenêtre: «Tu vois, je suis une grande lumière. Je donne la lumière.»

            Cette fenêtre dirait: «Je suis plus grande que toi, parce que je montre la lumière pendant la journée.» Aucun d’eux ne donne la lumière. C’est la lampe, l’électricité qui en brûlant donne la lumière là. Ce n’est pas le verre. C’est la lumière qui est derrière le verre. Et la lumière du soleil se voit à travers la fenêtre, ainsi ce n’est aucun d’eux. C’est quelque chose qui brille au travers d’eux. Est-ce juste?

88        Ce micro ne peut pas parler par lui-même. Eh bien, cette chaire-ci n’est pas un micro. Cela a sa place. Ce n’est pas le–le micro qui porte la Bible. Mais c’est la chaire qui La porte. La pendule indique l’heure, ainsi de suite. Et c’est ainsi que chaque chose a sa place. Et c’est... Le tout est donc de vous soumettre au Saint-Esprit de Dieu.

            Et s’Il vient ce soir et reproduit la Vie de Son Fils, ici à l’estrade, eh bien, ça ne sera pas moi. Ça sera Lui, souvenez-vous-en. Cela va toujours... Ce n’est pas pour montrer Sa puissance, Il fait ceci afin que soit accompli ce qu’Il avait annoncé. Cela s’accomplit. Il est venu pour accom-... Lorsqu’Il est venu la première fois, Il est venu pour accomplir ce que le prophète avait annoncé. Il vient maintenant pour accomplir ce que Lui-même et les apôtres ont annoncé. Il viendra de nouveau dans la chair pour prendre Son Eglise conformément à Sa Parole.

89        Et vous, croyez cela de tout votre coeur. Restez simplement assis. Restez calmes. Soyez respectueux. Maintenant, si le Seigneur accomplit un miracle, vous avez le droit de vous dégager pour Le louer.

            Maintenant, je pense que mon fils a dit qu’il a distribué des cartes de prière. La série G? Très bien. Nous allons... Je ne sais pas jusqu’à quel numéro nous pourrons aller. Nous allons prendre autant que nous le pouvons. Mais nous allons devoir appeler quelques-unes là-bas à partir d’un certain numéro et peut-être appeler encore. Cette petite carte de prière, c’est une toute petite chose à peu près comme ça. Ça porte ma photo d’un côté, et de l’autre figure un numéro et une lettre. Ce sera la lettre G. Et il y en a cent là quelque part.

90        Nous ne–nous ne pouvons pas les appeler toutes à la fois. Mais prenons les quelques premières cartes. Voyons voir. Qui a la carte de prière G numéro 1? Voulez-vous regarder pour voir? Cette dame-ci? Très bien. Qui... Voulez-vous venir ici, madame? Numéro 2, qui a la carte de prière numéro 2? G numéro 2, voulez-vous lever la main? N’importe où, le 2? Très bien, monsieur. Numéro 3, qui a la carte G numéro 3? Voulez-vous lever la... 3? Très bien. 4? Qui a le numéro 4? Voulez-vous lever la main, 4? Très bien. Venez immédiatement. 5?

            Maintenant, si vous ne pouvez pas vous lever, levez simplement la main et agitez-la. Les huissiers vont vous transporter. Si vous êtes aveugle, regardez si c’est quelqu’un qui a été appelé et qui n’arrive pas–qui n’arrive pas à se lever ou quelque chose comme ça, eh bien... ou si c’est quelqu’un qui n’entend pas. Eh bien, observez. Il peut s’agir d’un sourd qui n’entend pas. Regardez à la carte de votre voisin pour voir s’il a été appelé afin de vous en assurer.

91        Où en étais-je? Le 4, était-ce bien ça? Qui a la carte de prière 5? Est-ce que la carte de prière numéro 5 est déjà là? Le 5? Qui a le 6? Carte de prière numéro 6, voulez-vous lever la main? Carte de prière 6? Regardez chez votre voisin. C’est peut-être un sourd ou ça peut être une personne qui–qui ne peut pas se lever. Carte de prière numéro 6, voulez-vous lever la main? Le 6 est déjà là-haut. Le 7? Qui a le numéro 7, la carte de prière numéro 7? Très bien, soeur.

            Numéro 8, levez la... 8? Très bien, soeur. Numéro 9? Qui a la carte de prière numéro 9? Très bien, madame. Numéro 10? Carte de prière numéro 10, voulez-vous lever la main? Carte de prière 10. Est-ce vous qui avez le 10, madame? 11? Carte de prière 11, levez la main. Qui a la carte de prière 11? Je vois ici un homme dans un–dans un fauteuil roulant ; demandez-lui quelle carte de prière il a. Que quelqu’un regarde sa carte de prière. Le 11?

92        Très bien. Le 12, qui a le 12? 13, 14? 14? Ai-je... 14? Très bien. 15? 15? Quelqu’un a-t-il la carte de prière 15? Levez la main. 15? Très bien. Je crois que quelqu’un... Cela doit être un... quelqu’un a dû garer ou qui est rétabli ou quelque chose comme ça. Très bien. 15? Maintenant, 16? 17? Suis-je trop loin? Ai-je... 16? N’est-elle pas ici, la carte de prière 16? Carte de prière 16, n’est-elle pas dans la salle? Le 17, est-elle dans la salle? 18? 19? 20?

            Je pense que j’ai tout épuisé. Quelle–quelle–quelle est votre carte, soeur? 20? 21? Nous allons en prendre d’autres alors. 21? 22? 23? Très bien. 24? 25? Quelqu’un a-t-il la carte de prière 25? Regardez à celle de votre voisin. Il peut s’agir d’un sourd ou quelque chose comme ça, ou quelqu’un qui a des béquilles et qui ne peut pas se lever. Regardez s’il y a quelqu’un entre 1... Que tous regardent les cartes les uns des autres. Entre 1 et 25, s’il y en a, que les huissiers les transportent quand leur numéro sera appelé.

93        Maintenant, combien ici n’ont pas de carte de prière et voudraient que le Seigneur Jésus les guérisse ce soir, levez la main? Partout dans la salle, vous voulez que le Seigneur Jésus vous guérisse. Maintenant, je voudrais dire ceci: «Si le Saint-Esprit vient, et s’Il vient dans Sa puissance pour agir, regardez simplement par ici, et croyez que c’est la vérité de l’Evangile, alors Dieu est tenu de vous guérir.»

            Ne croyez-vous pas que Dieu, par ici, pourrait me montrer ce qu’il y a là par une vision, ce qu’il y a là et vous guérir? Ne croyez-vous pas cela? Combien ont assisté aux réunions avant et ont vu toutes sortes de choses être faites? Eh bien, je ne suis pas... Je pensais que j’étais parmi des inconnus, mais ce n’est pas le cas. C’est très bien. Je vous remercie infiniment.

94        Eh bien, que le Seigneur Jésus vous bénisse. Maintenant, soyez respectueux. Maintenant, mères, gardez vos bébés à côté de vous, surtout dans le cas d’épilepsie. C’est une des maladies qui est–qui est... Je viens de... Cela s’éloigne de moi bien des fois. Et j’ai vu cela frapper vingt personnes en une fois dans la salle. Ainsi, je suis–je ne suis pas responsable pour les critiqueurs. C’est là la loi de l’Etat. Voyez-vous? Je dois le dire.

            Si vous êtes ici en critiqueur, ne restez pas dans la salle maintenant. Rappelez-vous, si vous venez avec quelque chose de faux en vous, eh bien, je ne suis pas responsable. Mais si vous êtes un chrétien et un croyant, et que vous restiez humble, et obéissiez à ce qu’Il dit de faire, alors vous serez toujours le bienvenu.

95        Maintenant, prions encore. Maintenant, Père céleste, j’ai dit à ces gens que Tu es ressuscité des morts, que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement, que Ta puissance est la même. Les mêmes choses que Tu as faites lorsque Tu étais ici dans la chair, Tu as promis de les faire à travers notre chair, car Tu as dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais.» Et nous voyons le ministère que Tu avais, non pas un grand fanfaron allant çà et là et prétendant être un guérisseur, mais Tu as marché devant le Père. Et Tu as fait exactement ce qu’Il T’a dit de faire.

            Maintenant, Seigneur Jésus, Ton pauvre serviteur indigne que voici... Mais pour Ta gloire et pour la cause de l’Evangile, je me soumets à Toi. Maintenant, que le Saint-Esprit, l’Ange de Dieu, vienne vers Ton serviteur et m’utilise, ô Père, et annonce le ministère de Ton Fils ressuscité, afin que la Parole de Dieu soit accomplie ; afin que quand le jour du Jugement viendra ce groupe de gens ici à New York, n’ait aucune excuse ; mais qu’il reconnaisse que Tu es ressuscité des morts. Et Ton Evangile déclare que Tu reviens, et nous le croyons. Et les choses que Tu as dit que Tu ferais, fais-les maintenant, ô Père. Et nous Te louerons. Car nous le demandons pour la gloire de Dieu au Nom de Son Fils, le Seigneur Jésus. Amen.

            Maintenant, je voudrais que tout le monde soit aussi calme que possible. Et ne vous déplacez pas. Mon fils, il est ici quelque part, il se tient là derrière avec frère Gardener et les autres, il saura quand me retirer, et je... de la salle. Et je veux que vous croyiez.

96        Maintenant, cette dame-ci, approchez, madame. Maintenant, permettez que je dise ceci, par–par un avertissement solennel: Restez assis, soyez calme. Car je ne suis pas responsable à partir d’ici, de ce qui arrive à l’incroyant ou au désobéissant. Peu importe ce qu’Il vous dit de faire, faites-le immédiatement. Voyez-vous? Soyez simplement respectueux maintenant.

            Maintenant, je crois que celle-ci est la patiente. J’attends que Sa Présence vienne vers moi. Evidemment je ne suis qu’un–un homme. Vous savez, je–je parle beaucoup comme cela. Généralement, ce sont les managers qui parlent, ainsi que l’homme qui est à l’estrade. Et cette–cette petite réunion, je me suis donné une leçon, et tout d’abord je... Des fois vous devez vous attendre peut-être un moment à l’onction du Saint-Esprit, pour qu’Il agisse.

97        Maintenant, les... Je pense que les ingénieurs peuvent...?... Je ne sais pas à quel point je parle fort. Ainsi, ils vont probablement régler cela afin que vous entendiez. Lorsque... Si quelqu’un touche, c’est presque terminé à ce moment-là. Et je prie qu’Il puisse... pour la gloire de Dieu et pour la gloire de la résurrection du Seigneur Jésus, qu’Il puisse nous venir en aide ce soir et qu’Il m’aide, et m’oigne de Son Esprit, que ça soit pour la gloire de Dieu. Et puisse-t-Il l’accorder.

            Maintenant, lentement, fredonnons tous ceci comme ceci, non pas «Seigneur, je crois» mais «maintenant je crois.» Chantons cela doucement.

Maintenant je crois, maintenant je crois,

Tout est possible, maintenant je crois ;

Maintenant je crois, maintenant je crois. (Père, je prie...?...)... possible,

Maintenant je crois.

            Maintenant, le Saint-Esprit est ici. Je prends chaque esprit qui est ici sous mon contrôle au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, pour la gloire de Dieu.

98        Maintenant, je pense, madame, que vous êtes la première patiente ici ce soir, et j’aimerais vous parler juste un instant. Et je vois maintenant que vous êtes une chrétienne, car votre esprit est le bienvenu. Maintenant, vous auriez pu être une infidèle, ou vous auriez pu être une critiqueuse. Si vous l’étiez, je l’aurais su. Mais vous êtes une croyante et je contacte votre esprit maintenant.

            Mais maintenant, notre Maître a parlé à la femme au puits jusqu’à ce qu’Il a découvert où se trouvait son problème. Et alors lorsqu’Il a parlé, Il a découvert son problème, Il a révélé son problème, et elle a cru aussitôt qu’Il était le Messie. Maintenant, vous et moi sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Nous ne savons pas non plus... Est-ce juste? Si c’est le cas, levez la main afin que l’auditoire voie que nous sommes tout à fait inconnus l’un à l’autre. Je ne sais rien de vous, je ne vous ai jamais vue de ma vie et je ne connais rien de vous. C’est la première fois que nous nous rencontrons, et cependant je reconnais que vous êtes une chrétienne. Cela démontre rapidement une chose.

99        Le même Esprit qui était sur notre Seigneur et qui a dit à–à Nathanaël lorsqu’il est venu: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» Maintenant, si notre Seigneur Jésus veut bien... Quelqu’un dans la salle connaît-il cette femme? Quelqu’un ici la connaît-il? Très bien. Eh bien, vous savez si c’est une femme sincère. Et elle l’est. C’est juste.

            Eh bien, si le Saint-Esprit me révèle la raison pour laquelle cette femme est ici, combien là-bas vont croire à cet instant, croire immédiatement et diront: «J’accepte cela.»? Qu’Il l’accorde, soeur. C’est là ma–ma confiance en Lui, montrant qu’Il le fera. Et vous–vous aimez vivre ici? Juste une conversation. Oui, c’est une...

100      Bon, vous êtes consciente maintenant qu’il se–qu’il se passe quelque chose. Eh bien, si l’auditoire pouvait seulement voir cela à présent, Sa Présence qui vient entre vous et moi, une Lumière. Et vous souffrez de la–la–l’asthme. Vous avez... Vous–vous toussez beaucoup, et–et c’était une toux asthmatique et sèche. Et vous avez eu des ennuis tout récemment. C’était une... Cela fait environ une année, vous avez eu une hémorragie, une hémorragie cérébrale.

            Et vous êtes–vous êtes, vous êtes une croyante depuis de nombreuses années. Je vous vois redevenir une jeune femme. Et vous avez obtenu autrefois des guérisons. C’était un homme. C’était un... C’est un homme qui est habillé pratiquement de façon bizarre par rapport à l’habillement d’aujourd’hui. C’était votre mari ; il avait une espèce de... Cela a dû être le rhumatisme ou quelque chose de ce genre. Il... on dirait une béquille ou quelque chose de semblable. Et vous–et vous êtes une croyante depuis de nombreuses années. Et vous–vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez continuer votre route en vous réjouissant ; Jésus-Christ vous guérit.

            Approchez, je vous prie, monsieur. Croyez-vous? Croyez-vous de tout votre coeur? Nous sommes des inconnus l’un à l’autre, je suppose, monsieur. Oh ! vous avez été dans un bazar à Erie. Eh bien, vous m’aviez parlé. Eh bien, je ne pourrais rien connaître à votre sujet. Nous sommes étrangers au tant que possible. Croyez-vous que Dieu peut me dire de quoi vous souffrez? Vous croyez. Eh bien, s’Il le fait, allez-vous alors L’accepter comme votre Guérisseur?

101      Votre maladie, c’est une grosseur. Et la grosseur se trouve à la jambe. C’est à la jambe gauche, juste au-dessus du genou et... Est-ce juste? L’acceptez-vous comme votre Guérisseur? Alors, au Nom de Jésus-Christ le Fils de Dieu, je réprimande cette grosseur. Qu’elle vous quitte et sorte. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Partez, vous réjouissant, étant heureux, et glorifiant Dieu pour votre guérison.

            Croyez-vous en Lui? Ayez simplement la foi. Ne doutez pas. Dans l’auditoire maintenant, Cela m’a quitté et est allé au-dessus de l’auditoire. Cela est suspendu au-dessus de cette femme qui est assise là, en noir, celle qui me regarde. Vous souffrez de–de–de nervosité, n’est-ce pas? Cela vous donne de la gastrite. Votre nourriture devient aigre dans l’estomac et tout. Dites donc, vous avez aussi eu beaucoup de problèmes, du chagrin. Vous venez de perdre un bien-aimé, je crois que c’est un mari ou quelque chose comme ça, qui a été tué ou quelque chose comme ça. Et c’est ce qui vous rend nerveuse. C’est vrai. Mais votre gastrite vous a quittée, soeur. Vous êtes guérie maintenant. Votre foi vous a sauvée. Maintenant, continuez donc votre route et réjouissez-vous.

102      La dame qui est assise là derrière était aussi nerveuse, celle qui regarde par ici, la nervosité. N’ayez pas peur, soeur. Vous allez vous rétablir. Et vous qui vous tenez là avec quelque chose qui ressemble à une plume suspendue à votre chapeau, vous souffrez aussi de nervosité. N’ayez pas peur. Vous allez vous rétablir. Voyez-vous?

            Ayez foi en Dieu. Soyez simplement respectueuse ; croyez de tout votre coeur, vous pouvez recevoir ce que vous demandez.

            Maintenant, je pense que nous sommes... Est-ce la patiente, Billy? Nous sommes des inconnus l’un à l’autre, madame, n’est-ce pas? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Evidemment, vous le savez, alors que je me tiens ici en train de vous parler, vous êtes consciente que vous êtes dans la Présence de Quelque Chose d’autre que votre frère. Si l’auditoire veut bien observer les patients, quand ils viennent, observez bien quand Cela les touche.

103      La dame comprend. Maintenant, plus je vous parle, plus Il pourrait me révéler des choses. Mais si le Seigneur Jésus me montre ce qu’est votre problème, croirez-vous en Lui de tout votre coeur? Vous souffrez du coeur. Vous êtes cardiaque. Et vous n’êtes pas de cette contrée. Vous avez un mari qui a une chevelure noire. Il divise sa chevelure... la peigne en la renvoyant vers l’arrière comme cela. Et il est ministre. Il s’appelle Harry Young, Révérend Harry Young. Et il souffre d’un mal de dos. Vous venez de–vous venez du Canada. Prenez ce mouchoir sur lequel cette larme venait de tomber, et posez-le sur lui. Vous êtes tous les deux guéris au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Rentrez chez vous et soyez rétablie.

104      Ayez foi en Dieu. Croyez-vous de tout votre coeur, de toute votre âme? Ayez simplement la foi maintenant. Ne doutez pas, mais croyez de tout votre coeur ; et vous pourrez certainement recevoir ce que vous demandez si seulement vous avez la foi pour croire. Vous ne devrez avoir besoin de rien d’autre. Sa Présence est ici.

            Je vois un esprit des ténèbres suspendu juste là. Vous souffrez de l’épilepsie, n’est-ce pas? Cette dame qui est assise là avec un truc rouge autour... Il tire cela. Vous avez eu ces choses-là au moment où vous avez eu des crises d’évanouissement. Vous m’êtes inconnue, mais c’est juste. Il y a là ce mauvais esprit des ténèbres. Inclinez la tête, tout le monde.

            Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, il sait que son heure est venue. Sors d’elle, toi mauvais esprit. Je t’adjure par le Dieu vivant de ne plus la tourmenter. Quitte-la au Nom de Jésus-Christ. Sors d’elle.

            Très bien, vous pouvez vous lever, madame. Acceptez votre guérison. Maintenant, tous les autres vous pouvez relever la tête si vous le voulez. Très bien. Que Dieu vous bénisse, madame. Rentrez chez vous en vous réjouissant et en glorifiant Dieu.

105      Maintenant, si l’auditoire veut bien dire: «Gloire au Seigneur,» eh bien, simplement... Dieu est l’Esprit d’adoration. Rendez-Lui gloire. Il en est digne. Il veut être glorifié. Il n’y a aucune raison pour que quelqu’un sorte d’ici ce soir sans être tout à fait rétabli.

            Croyez-vous, madame? De tout votre coeur? Croyez-vous que je suis Son serviteur, Son prophète? Si je ne vous disais même pas un seul mot, ce dont vous souffrez, et que je priais pour vous, et que je vous imposais les mains, croiriez-vous cela de toute façon, n’est-ce pas? Vous devriez croire cela de toute façon.  Mais votre désir est que je découvre ce que vous avez comme problème, parce que vous ne le savez même pas vous-même. C’est juste. Et ainsi, on n’arrive pas à dire de quoi vous souffrez. Vous souffrez du foie, et vous avez peur que ça soit un cancer. Et c’est précisément ça. N’est-ce pas juste? C’est précisément ça. C’est juste. Eh bien, et si je vous disais que Jésus-Christ vous a guérie, croiriez-vous cela? Accepteriez-vous cela?

106      Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, Satan, tu es venu pour envoyer prématurément cette femme à la tombe, sors d’elle. Au Nom de Jésus-Christ, quitte-la. Maintenant, soeur, rentrez joyeuse, en vous réjouissant. Mangez selon votre désir et ... Allez de l’avant. Que le Seigneur Jésus vous bénisse.

            Oh ! combien je L’aime, de voir à quel point Sa Présence, Sa grande onction, Ses bénédictions et Sa puissance sont sur les gens ! Maintenant, j’aimerais que vous vous teniez tous debout pour voir ce qui se passe maintenant. C’est partout dans la salle. Vous pouvez croire sûrement.

107      Amen. Oh ! la la ! Rappelez-vous ceci, que je dis ceci au Nom du Seigneur, à vous les pasteurs qui êtes ici ce soir, qu’il y aura des jours après ceci, même des semaines, où certaines de vos assemblées viendront à vous et diront... Les femmes diront: «Mes maladies gynécologiques m’ont quittée. Je ne sais comment. Cela m’a quittée.» Les gens souffrant de la gastrite et d’autres maladies viendront, et diront qu’ils ont été guéris. Ils ont été guéris, mais cela agit tellement vite en eux que je n’arrive pas à voir où cela va. C’est leur foi qui est... qui les guérit.

            Vous pouvez certainement me croire. Je dis la vérité et Dieu témoigne que je vous dis la vérité. Oh ! ne rentrez pas dans votre coquille. Que votre foi soit connue de Dieu. Croyez en Lui. Eh bien, vous aviez l’habitude...?... Nous sommes dans Sa Présence, Sa Majesté, le Roi du Ciel. Que Ses bénédictions soient sur vous tous, après que vous avez la foi.

108      Dans la... Plutôt est-ce que–est-ce que... Vous êtes le patient, monsieur? Eh bien, excusez-moi. Je ne suis pas hors de moi. Mais c’est... Nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Mais aucun d’entre nous n’est inconnu de Dieu. Dieu nous connaissait tous deux depuis notre naissance. Il nous a nourris de chaque portion de nourriture que nous prenons, Il a couvert votre dos de vêtements, et nous a donné l’eau que nous buvons, ainsi que l’air que nous respirons.

            Maintenant, nous sommes des inconnus l’un à l’autre, nous sommes nés à des kilomètres de distance, peut-être... Et, oh ! Dieu peut me révéler pourtant, s’Il le veut, quelque chose... Eh bien, Lui, s’Il se tenait ici portant ce complet qu’Il m’a donné, Il ne pourrait pas vous guérir si vous avez besoin de guérison. Je ne sais pas ce dont vous avez besoin. Mais si... Il ne pourrait pas–Il ne pourrait pas vous guérir s’Il se tenait ici, parce qu’Il vous dirait: «Je l’ai fait au Calvaire.»

            Mais la seule chose qu’Il pourrait faire pour vous montrer que c’était Lui... Il vous montrera qui vous êtes, ou ce qui vous concerne, et tout comme cela. N’est-ce pas ça? Quant à savoir qui vous êtes, cela... Eh bien, cela frappe des fois les gens. Ils pourraient dire: «Ce n’est pas scripturaire.» Oh ! si. Jésus n’a-t-Il pas dit: «Tu es Simon. Et désormais, tu seras appelé Pierre.» Est-ce juste? Assurément, eh bien, mon... N’amenez pas la méfiance. Vous–vous–vous gênez la réunion.

109      Maintenant, si Dieu me révèle ce qu’est votre problème, allez-vous accepter votre guérison, si vous en avez besoin, ou quel que soit le besoin, s’il s’agit d’un besoin domestique, d’argent, quoi que ce soit? Vous devez... Si vous avez une bonne raison pour justifier cela, Dieu honorera la raison.

            Vous êtes un croyant. Vous n’êtes pas un critiqueur. Vous êtes un croyant. Vous souffrez du coeur et de la nervosité. C’est juste. Dites donc, il y a eu un certain contact. Vous avez une femme, et elle est très nerveuse. Et il y a une certaine façon... Je vous vois envoyer quelque chose. C’est un message. C’est un télégramme, ou un certain message que vous m’avez envoyé. Et je vous ai envoyé un... Vous avez eu une crise très grave. Je vous ai envoyé un petit linge ou quelque chose comme ça que–que–que vous avez porté sur vous.

            C’est la vérité. Ce n’était pas moi. C’était Lui. Maintenant, c’est moi. Vous entendez cette voix juste là? Ce n’était pas moi. C’était Lui. Ce qu’Il a dit est la Vérité, n’est-ce pas? C’est la vérité.

            Je vois que votre–votre nom c’est Arthur. Et votre nom de famille c’est...?... quelque chose comme cela. Et vous habitez au 150 de la rue Muller. Vous vivez dans un appartement. Et le numéro de votre appartement c’est le 9-B. Est-ce juste? Rentrez chez vous. Imposez les mains à votre femme aussi. Au Nom de Jésus-Christ, que cet homme soit guéri.

110      Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Mais croyez que tout est possible.

            Qu’en pensez-vous, petite dame, qui êtes assise là, les bras croisés? Vous souffrez d’un mal d’intestins, n’est-ce pas? Et si... Si Dieu... Si votre foi pouvait monter jusqu’ici et me toucher, pour savoir ce que vous êtes, et vous qui êtes assise là, c’est impossible pour moi de vous connaître... Vous avez mal aux yeux et aux intestins. C’est ça, n’est-ce pas? Jésus-Christ vous guérit de cela. Levez-vous et acceptez cela au Nom du Seigneur Jésus.

111      Béni soit le Seigneur Jésus. Que pensez-vous, vous qui êtes assis là, monsieur. Vous qui êtes assis là et qui souffrez du–du rectum. C’est ça, n’est-ce pas?

            Un instant ! Il y a une traînée noire qui sort de cet homme. Eh bien, attendez, il y a quelque chose d’autre dans la salle qui ne marche pas là-bas et qui est... Eh bien, cela vient ici, vers cet homme qui a la main levée. Ce sont deux époux qui sont assis là. Et vous deux êtes dérangés par la maladie du rectum. N’est-ce pas ça, vous deux? Levez la main si c’est ça. Maintenant, vous, tous les trois, vous pouvez partir. Jésus-Christ vous rétablit, tous les trois. Vous pouvez rentrer chez vous et être en bonne santé. Gloire soit rendue à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.

            Chère soeur, approchez. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que cette maladie vous quittera? Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur la soeur et guéris-la ; je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, si vous croyez que je suis Son serviteur, partez en remerciant Dieu. Cela vous a quittée. Partez, disant: «Gloire soit rendue à Dieu.»

112      Très bien. Voulez-vous vous approcher, madame? Croyez-vous que je suis Son serviteur, serviteur du Seigneur? Nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Si Dieu me révèle ce que vous avez comme problème, allez-vous accepter votre guérison? Il s’agit de votre dos. C’est ça, n’est-ce pas? Alors vous êtes guérie, n’est-ce pas? Continuez votre route en vous réjouissant, et en disant: «Merci, Seigneur Jésus. Merci, Seigneur Jésus.»

113      Approchez, madame. Si Dieu me révèle ce qu’est votre problème avant que vous arriviez ici, allez-vous accepter votre guérison, madame? Allez-vous le faire? Les troubles cardiaques, c’est ce qui vous dérange. Est-ce juste? Vous avez aussi des complications, et d’autres choses. Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira?

            Père, au Nom du Seigneur Jésus, que cet ennemi numéro 1, ennemi de la vie humaine, quitte cette femme. Je le demande pour Jésus-Christ et en Son Nom, amen.

            Partez en étant heureuse et en vous réjouissant. Ecrivez-moi et donnez-moi des nouvelles sur votre guérison, comment Dieu vous a rétablie. Très bien.

            Madame, j’aimerais vous demander quelque chose. Arrêtez-vous là un instant. Lorsque je lui ai dit «troubles cardiaques», un sentiment bizarre vous a envahi, n’est-ce pas? En effet, vous souffrez de la même maladie. Maintenant, continuez votre route en vous réjouissant. Vous avez été guérie pendant que vous étiez assise là sur votre siège.

114      Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur maintenant. Très bien. Venez par ici, madame, si vous ne... Croyez-vous que Dieu vous guérira du diabète et qu’Il vous laissera rentrer chez vous et que vous serez en bonne santé? Croyez-vous de tout votre coeur? Alors, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, allez à votre place, vous réjouissant. Amen. Maintenant croyez de tout votre coeur.

            L’arthrite, c’est une chose terrible, n’est-ce pas? Il en est de même de la gastrite, mais Dieu guérit tout cela, n’est-ce pas? Alors, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je demande à Dieu de vous rétablir. Amen. Traversez l’estrade, en disant: «Gloire au Seigneur pour ma guérison.» Très bien.

            Lorsque j’ai parlé de l’arthrite à cet homme, un sentiment bizarre vous a envahi, n’est-ce pas? Ces démons s’associent les uns aux autres. Vous êtes aussi guéri. Continuez votre route en vous réjouissant. Vous n’avez même pas à venir ici. Votre foi vous a guéri.

115      Madame, vous venez ici à cause de vos yeux. Vous êtes en train de devenir aveugle. Cela empire constamment. N’est-ce pas juste? Vous êtes guérie maintenant. Continuez votre route en vous réjouissant, en louant et en remerciant Dieu. Croyez de tout votre coeur.

            Croyez-vous, ma soeur, pendant que vous venez? Si Dieu me révèle votre maladie, allez-vous accepter votre guérison? Vous souffrez de l’hypertension, d’une part, c’est ce qui vous dérange. Croyez-vous qu’Il vous guérira de cela? Vous croyez. Vous souffrez aussi du coeur. Vous avez un problème sur votre coeur. Il s’agit d’un bien-aimé, n’est-ce pas? C’est une soeur. C’est ça, n’est-ce pas? Et elle est hospitalisée et se trouve sous une tente à oxygène à cause d’une crise cardiaque. Rentrez chez vous, imposez-lui les mains au Nom du Seigneur Jésus.

            Vous savez, si vous ne croyez pas, vous n’allez jamais croire. Le Seigneur Jésus-Christ est ici dans la salle pour guérir toute personne. Croyez-vous cela de tout votre coeur? Croyez-vous que Sa Majesté est ici maintenant?

116      Ceci pourrait prendre des heures. Toute personne qui souffre de l’hypertension, levez-vous, toute personne qui souffre de l’hypertension. Que tous ceux qui sont dérangés par la nervosité se mettent debout immédiatement. Que tous ceux qui souffrent du cancer se mettent debout immédiatement. Que tout celui qui souffre d’une quelconque maladie se mette debout immédiatement. Me croyez-vous?

            Dieu ne peut-Il pas... S’Il peut chasser les démons et autres qui sont juste ici à l’estrade, ne peut-Il pas les chasser là-bas aussi? Il est ici en train d’agir. Ne voyez-vous pas cette Lumière qui se déplace au-dessus de cette salle comme cela? Levez vos mains et glorifiez-Le.

            Je vais demander à Dieu de purifier tout celui qui est ici, afin que vous puissiez rentrer chez vous tout à fait normaux et en bonne santé. Croyez-vous cela?

117      Dieu Tout-Puissant, Au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, je chasse tout mauvais esprit qui est ici, sur base de l’autorité de Ta Parole. Satan, tu es perdant. Tu ne peux plus retenir ces gens. Tu es démasqué juste ici ce soir. Et tu ne peux plus les retenir. Sors d’eux. Au Nom de Jésus-Christ, quitte chacun d’eux.

            Tout le monde ici, levez les mains et mettez-vous à louer Dieu et à Le remercier. Les infirmes, tenez-vous debout. Levez-vous et marchez, vous qui êtes infirmes. Les aveugles, levez les yeux ; vous pouvez voir. Les sourds peuvent entendre. Dieu soit loué. Il a guéri chacun de vous au Nom du Seigneur Jésus...

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