Combattre Pour La Foi

Date: 56-0200 | La durée est de: 1 heure et 15 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Arganbright. Bonsoir, mes amis. Ça a été vraiment une introduction, n’est-ce pas? Le Président des Etats-Unis...

            Nous sommes contents d’être ici ce soir dans cet auditorium ici à Georgetown, dans l’Indiana. Alors que je descendais la route il y a quelques instants, là, cela m’a un peu rappelé quelque chose, une de mes premières réunions de guérison que j’avais donc tenues, c’était à Georgetown, dans l’Indiana. Et combien se souviennent des réunions de Wolf Grove par ici, quand j’étais là à Wolf Grove? Quelqu’un a levé la main là derrière, deux ou trois d’entre eux, quand nous étions là à Wolf Grove.

            Je pense qu’il y avait une petite dame qui habitait là à New Albany, elle était estropiée depuis trente-cinq ans, elle avait marché pour la première fois ; ou plutôt c’était une naine, je pense que c’était ça, elle n’avait jamais marché.

            Eh bien, j’ai toujours le même Message ce soir: Jésus est mort pour sauver et pour guérir. Et je n’ai jamais changé cela, pas du tout. Depuis lors, il s’est passé beaucoup de choses. J’ai vu plus d’un million d’âmes être amenées à Jésus-Christ ainsi que des signes et des prodiges à travers le monde. Les rois, les monarques et les potentats pour qui on a prié, ils ont été guéris par la grâce de notre Dieu. Et nous sommes très contents ce soir de savoir que Dieu reste toujours Dieu et qu’Il ne change pas.

2          Je suis content ce soir de voir mon ami docteur Cauble là. Je ne sais pas si on l’a déjà présenté ou pas, il vient de Church Of The Open Door [Eglise de la Porte Ouverte], à Louisville. Avez-vous été présenté, Frère Cauble? Voudriez-vous vous lever juste un instant? Simplement je... Je n’aimerais pas l’embarrasser, mais c’est le docteur Cauble, de Church Of The Open Door. Presque tout le monde le connaît, je pense, par ici, car il exerce un ministère par radio et c’est un ministère très remarquable.

            Et puis, je pense, nous avons eu de très bonnes réunions à Louisville, dans le Kentucky, chez docteur Cauble. C’est toujours un plaisir de l’avoir dans les réunions. Puis aussi, ces autres ministres ici, je pense que certains d’entre eux sont des églises locales. Et, frères, je peux ne pas vous connaître, mais je suis content que vous soyez ici et que vous anticipiez pour ce petit moment de communion d’ensemble. Ça a plutôt été une annonce rapide. Je ne le savais pas jusqu’avant hier, je pense que c’était ça, que je descendais.

            Et frère Arganbright, votre... un de vos jeunes gens d’ici sur place des environs, eh bien, vous savez comment il oeuvre en un laps de temps ; juste selon que l’Esprit semble le conduire, eh bien, il se met à agir.

            Récemment, j’étais, oh ! il y a de cela quelques six à huit mois, j’étais assis chez moi un jour. Et je me préparais pour aller à Denver, dans le Colorado, à une convention. Et ce jeune homme est entré dans la maison. Il a dit: «Frère Branham, j’ai une grande révélation de la part du Seigneur.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Le Seigneur m’a mis à coeur d’aller à Zurich, en Suisse.» Il a dit: «Voudriez-vous aller avec moi?»

            J’ai dit: «Eh bien, j’ai une soirée là à Denver ; ensuite, j’irai à une autre réunion.» J’ai dit: «Ce n’est pas trop important. Pourquoi?» Plus j’y pensais, eh bien, il m’a semblé que si je savais que frère Arganbright avait une révélation pour quelque chose, c’était bien, et cela venait de Dieu.

            Et nous sommes allés en Suisse, et le Seigneur nous a donné cinquante mille âmes. De là, nous sommes allés à Karlsruhe, en Allemagne, et Il nous a donné environ cinquante autre mille âmes. Cela faisait cent mille âmes au cours de cette petite campagne. Comme Il nous a bénis ! Et–et maintenant, nous envisageons rentrer cet été, ou au début de cet automne, en Afrique, en Suisse, en Inde, et beaucoup de tournées à travers le pays.

3          Je vais maintenant à Minneapolis, dans le Minnesota, là-bas dans une arène pour les prochaines réunions, et ensuite nous irons à Sioux Falls, puis nous irons dans l’ancienne Mexique, à l’ancienne Mexico City, là dans une arène. A notre retour, nous irons sur la Côte Est ; et ensuite, de là, à Anchorage, en Alaska. Puis, nous aurons des réunions en Amérique. Nous aurons une nouvelle tente d’une capacité d’accueil de plusieurs milliers de gens, des camions, et autres, pour quelques réunions en Amérique avant de retourner outre-mer.

            Nous sollicitons certainement vos prières, de vous par ici. Ceux-ci sont les gens de la maison, vous savez, comme je suis de nouveau de retour à la maison. Et nous apprécions certainement vos prières. Et quand nous venons dans ces petites réunions inter-évangéliques, nous ne venons pas représenter une quelconque église, une quelconque dénomination, des groupes spéciaux de gens. Nous venons uniquement parce que nous aimons Jésus, et nous savons que vous L’aimez aussi. Et nous venons en ces endroits pour un temps de communion, pour communier autour de Sa Parole et autour de Sa bénédiction promise. Et je suis... C’est l’unique motif que nous avons, c’est pour ces réunions.

            Et nous sommes content ce soir d’avoir frère Tommy Nickelson parmi nous ici. Il est... Je suis sûr qu’il a été présenté par frère Arganbright, c’est lui le–l’éditeur de La Voix des Hommes Chrétiens, sur le plan international, un groupe d’hommes auquel je suis fier d’appartenir. C’est un... Ce sont des hommes d’affaires chrétiens qui ont formé leur organisation, et c’est devenu une affaire internationale. Ils me parrainent dans la plupart de mes réunions à travers le monde. Et c’est lui l’éditeur de La Voix des Hommes Chrétiens.

            Ainsi donc, nous sommes allés aujourd’hui réunir quelques témoignages des anciens cas, pour voir si la guérison divine dure ou pas. Nous sommes allés chez Madame Carter. J’espère qu’ils sont ici ce soir, Georgie et madame Carter, et... Georgie est l’un des cas de ceux qui ont été guéris, je pense, il y a environ quatorze ou quinze ans.

            Et l’un de vos hommes d’ici sur place, monsieur Hall, c’était l’un de mes convertis à l’Eglise baptiste de Milltown, dont j’étais pasteur... Et il a été guéri de cancer ici il y a quelques années, il était abandonné à Louisville par les médecins, à travers le pays. Et il est bien portant ici, ce soir, en bonne santé et bien portant. Je le vois assis ici présent.

4          Nous sommes allés à un endroit où l’Ange du Seigneur était descendu et Il m’a dit quoi faire. Et maintenant, mes amis chrétiens, sur ce point, nous en venons à cette chose. Nous ne prétendons pas être capables d’accomplir n’importe quelle guérison ; comme nos prédicateurs, le ministère ne se caractérise pas par la guérison divine, mais nous croyons à la guérison divine, car c’est l’Evangile.

            Et aucun homme ne peut guérir quelqu’un. La guérison ne relève pas du pouvoir de l’homme. La guérison relève du pouvoir de Dieu. Et Dieu ne donne pas aux hommes le pouvoir de guérir. C’est uniquement à Christ que Dieu a donné la–la mission de venir sur la terre pour mourir à notre place pour nos péchés et nos maladies. Les Ecritures déclarent: «Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été (avons été, c’est au passé), nous avons été guéris.» Nous croyons que, sur base de notre confession de foi, Jésus, notre Souverain Sacrificateur, est mort et Il est ressuscité pour ôter le péché du monde, et Il est assis à la droite de Dieu, le Père, là, intercédant sur base de notre confession.

            Et quand Il est mort pour nos péchés, Il ne pouvait pas mourir pour les péchés sans mourir pour la maladie. La maladie est un attribut du péché. Eh bien, peut-être que vous n’avez pas commis de péché, comme ce qui est à la base de votre maladie, mais pour commencer, c’était le péché qui était la cause, qui a introduit la maladie dans le monde. Avant d’avoir donc commis un péché, nous ne connaissions pas de maladie. Mais comme la maladie faisait partie du péché, c’en est un attribut. Ainsi donc, vous ne pouvez pas traiter avec le péché de n’importe quelle manière, sans traiter avec la maladie ou chaque attribut que le péché a produit. Le péché, quand nous traitons avec le péché, nous traitons avec la mort. Quand nous traitons... Et la maladie est la–la–la première étape de la mort, quand la maladie s’empare de votre corps.

            Au cours d’une soirée comme celle-ci, avec un petit rassemblement, une annonce de deux jours pour que vous veniez vous rassembler dans la salle ce soir, ce serait difficile d’essayer d’entrer en détails, ce que nous ferions dans les campagnes où nous durons des semaines et des semaines, pour expliquer ce qu’est la maladie, d’où elle vient. Et il n’existe qu’une raison pour cela et il existe une cause. Et vous ne pouvez pas trouver le remède avant d’avoir trouvé la cause.

            C’est ce que je disais ici il n’y a pas longtemps. Si j’allais chez un médecin... Je ne suis certainement pas contre les médecins, contre les chirurgiens, les interventions chirurgicales, les hôpitaux ; ce sont tous des programmes de Dieu. Mais si j’allais chez un médecin et que je lui disais que je souffre des maux de tête persistants, qu’il me donnait une aspirine et qu’il disait: «Eh bien, allez-vous-en, Billy, ce sera en ordre», eh bien, cet homme se débarrasse de moi. Voyez? Il... le... Un vrai médecin ferait le diagnostic de mon cas pour voir ce qui cloche chez moi. Et alors, il remontera à l’origine, là où ça se trouve, et ensuite il se mettra à travailler à partir de là. Eh bien, maintenant, c’est ainsi qu’il nous faut travailler dans le domaine de–dans le domaine de la guérison divine, ou dans le domaine du salut de l’âme. Si un homme vient et qu’il dit être vraiment dérangé pour son–son salut, la première chose à faire, que vous les prédicateurs vous faites, vous remontez la piste jusqu’à trouver là dans le passé, là où il a dévié ou ce qui s’est passé. De là, vous faites cela. C’est pareil avec la guérison divine. En effet, la guérison divine ne consiste pas en une puissance que Dieu a donnée à un homme, la guérison réside uniquement dans l’expiation.

5          J’aimerais vous poser une question. En effet, je sais qu’il y a ici des prédicateurs qui viennent de différentes églises. Et comment prêcheriez-vous le salut de l’âme? Tout ce que vous pourriez ne pas dire... Nous disons: «Eh bien, je suis converti, Frère Branham. Je suis sauvé il y a dix ans. Je suis sauvé il y a vingt ans.» Non, c’est une erreur. Vous avez accepté cela peut-être, il y a dix ou vingt ans, mais vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans lorsque Jésus est mort au Calvaire. Il a réglé ce problème du péché pour toujours là-bas. C’est là qu’Il a payé le prix suprême, Il a offert le grand Sacrifice, afin qu’au travers de Sa mort au Calvaire, nous ayons donc droit au salut. Le prix est payé.

            Ainsi, il ne s’agit pas de ce que vous faites ; il s’agit de ce que Lui a fait. Et votre foi personnelle doit accepter cela, c’est ce qui produit votre salut. Et alors, mais Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.

6          Si... J’ai souvent fait cette déclaration, que vous ne pourriez queue vous ne pourriez en aucun cas... Si un serpent ou un animal m’enfonçait ses pattes au flanc et qu’il me blessait au flanc, et qu’il me tuait, point n’est besoin pour moi de chercher de lui couper la patte ; frappez-le simplement à la tête. Détruisez sa tête ; cela tue tout le corps.

            Eh bien, c’est pareil avec la guérison divine. Quand Jésus traitait avec la maladie ou le péché au Calvaire, Il avait eu à traiter avec la tête de cela, ce qui était le péché. Et en faisant cela, Il a traité avec la maladie qui accompagne cela. Il n’avait pas juste à couper la patte ; Il a simplement tué la tête et cela a pris soin du reste. Jésus est donc venu ramener à la race humaine tout ce que... tout ce que la race d’Adam était, tout ce que le péché d’Adam a détruit au jardin d’Eden. Ainsi donc, nous avons les attributs ou le gage de notre salut éternel quand nous acceptons Christ comme notre Sauveur, ou Christ comme notre Guérisseur. Nous avons cet acompte de notre rédemption totale lorsqu’Il vient.

            Nous sommes tentés. Nous tous, nous sommes tentés. Nous tous, nous péchons. Il n’y a personne qui est sans péché. Chaque jour, vous péchez. Paul a dit qu’il devait mourir chaque jour. Et si nous disons que nous péchons... que nous n’avons pas de péché, alors la Bible déclare que nous faisons Dieu menteur. Et nous ne pouvons pas faire cela. Nous péchons donc chaque jour. Et c’est la grâce, la grâce de Dieu, qui nous sauve.

            Et aussitôt que nous confessons nos fautes, Dieu est juste pour nous les pardonner. Et votre–votre confession, tant qu’elle tient bon, votre salut est parfait, c’est pareil pour la guérison divine. Il s’agit de votre foi personnelle dans le Seigneur Jésus ressuscité.

            Ainsi, ce soir, je pensais qu’en prenant ce peu de temps de communion avec vous, en cet endroit où toutes les églises peuvent... ce petit groupe de gens peut simplement se rassembler ici dans cette petite ville de–de Georgetown, et nous...

7          D’abord, nous aimerions témoigner de la reconnaissance envers frère Argranbright ainsi qu’envers ceux qui ont rendu ceci possible. Nous aimerions remercier le comité scolaire de nous avoir permis d’avoir cette salle de gymnastique ce soir pour ce service. Et j’aimerais remercier chaque ministre qui est ici, et chaque membre de n’importe quelle église, que ça soit l’Eglise protestante, catholique ; que ce soit l’église orthodoxe, juive, quoi qu’elle soit. Nous sommes reconnaissant pour votre présence ici et nous aimerions vous faire savoir que nous ne plaçons pas de cordes, ni des liens à une quelconque religion. Peu importe ce que vous croyez, tant que vous croyez au Seigneur Jésus-Christ, et qu’Il est votre Sauveur, vous êtes mon frère et ma soeur. Ainsi donc, c’est comme ça que nous croyons cela.

            Et maintenant, nous avons Sa Parole bénie ici devant nous. Maintenant, il y a... tout homme qui est capable de.-.de tourner cela avec son doigt peut ouvrir Cela, comme ça, mais personne ne peut ouvrir le Livre pour le comprendre si ce n’est Christ Lui-même. La Bible a été écrite par inspiration. Par conséquent, pouvons-nous juste incliner la tête un instant pour parler à l’Auteur avant d’ouvrir Son Livre.

8          Notre Bienveillant Père céleste, nous sommes assemblés ici au Nom de Ton Bien.-.Aimé Fils, le Seigneur Jésus, qui est mort librement pour nos péchés et nos offenses. Il est mort afin qu’Il puisse nous sauver de la vie du péché et nous amener au Ciel un glorieux jour, à Sa Venue. Il est mort aussi pour que, par Ses meurtrissures, nous soyons guéris de nos maladies. «Et Il était blessé pour nos transgressions ; Il était brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris», a dit le prophète.

            Maintenant, nous Te prions, Père céleste, d’être miséricordieux envers nous, afin que nous ayons juste cette seule soirée de rassemblement ici dans cette ville. Nous Te prions de bénir ceux qui ont rendu ceci possible pour la réunion, et aussi ceux qui se sont rassemblés avec nous pour communier autour de la Parole. Nous Te prions, Père, de bénir aussi tout celui qui est dans la Présence Divine. Que celle-ci soit une soirée dont on se souviendra longtemps. Que celle-ci soit une soirée comme une réunion apostolique d’autrefois, quand les gens se rassembleraient, en petits groupes.

            Un soir, pendant que Saint Paul prêchait, tard dans la nuit, un jeune homme, selon ce qu’on nous rapporte, tomba de la chambre haute et mourut. Et Paul posa son corps sur le jeune garçon, et Dieu le ramena à la vie.

            Nous sommes reconnaissants d’avoir ce soir le même Evangile à prêcher aux gens, que Dieu soit toujours vivant et qu’Il règne. Il guérit les malades. Il pardonne tous nos péchés.

            Et Père, nous Te prions ce soir de nous bénir en tant qu’un peuple. Et maintenant, Tu as dit ceci dans Ton humble Parole: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Et nous croyons que ce que nous demandons, nous le recevons, car c’est conformément à Sa Parole.

            Et quand nous sortirons d’ici ce soir, en différents groupes et que nous retournerons à nos maisons respectives, voudrais-Tu nous visiter de telle manière que nous aurons un témoignage dans notre coeur et que notre conversation, alors que nous sortirons d’ici, sera comme celle de ceux qui revenaient d’Emmaüs lors de la première résurrection, quand ils avaient rencontré le Seigneur Jésus ressuscité pour la première fois? Ils ont dit: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Puisses-Tu parler à chaque coeur ce soir, car nous le demandons au Nom de Ton Bien.-.Aimé Fils, le Seigneur Jésus. Amen.

9          Ouvrons l’Evangile de saint Jude, dans la Bible, qui n’est qu’un seul Livre, un seul chapitre, et au verset 3 de ce chapitre, je voudrais lire juste un petit texte pour en tirer un contexte pour ce dont j’aimerais parler pendant les quelques instants qui vont suivre. Ensuite, nous prierons pour les malades.

Bien-aimés,... je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de le faire afin de vous exhorter à combattre pour la foi... a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole. Ceci a été écrit quelque trente-trois ans après le–après le jour de la Pentecôte, après l’effusion du Saint-Esprit sur les premiers saints.

            Jude, il s’appelle lui-même un serviteur et frère de Jésus-Christ. Il a écrit cette Epître à l’Eglise disant qu’ils devraient combattre ardemment. C’est l’unique passage des Ecritures sacrées où il nous est donc dit de combattre ; en effet, nous ne sommes pas censés avoir des disputes parmi nous, mais nous sommes censés combattre pour le but de la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Et c’est... nous ne devons pas combattre, et nous ne cherchons pas à combattre, mais nous voulons faire face à ceci.

            Si je demandais ce soir: Combien de méthodistes sont dans le groupe? Combien de baptistes sont dans le groupe? Combien de nazaréens, de pèlerins de la sainteté, de catholiques? Des mains se lèveraient, même dans ce petit groupe de gens ici ce soir. Il y aurait beaucoup de mains qui se lèveraient. Et chacun de nous, dans nos dénominations respectives aimerait dire: «C’est notre église qui combattait pour cette foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.» J’aimerais le dire dans le... au sujet de l’Eglise baptiste. Quelqu’un d’autre aimerait le dire au sujet de l’Eglise méthodiste, quelqu’un d’autre au sujet de l’église catholique. Et un autre au sujet de... C’est ce qui se passerait dans ces petits groupes de gens.

            Eh bien, je veux bien croire que nous tous, nous combattons pour cette foi-là. Je crois que tout le monde est en train de combattre, au mieux de sa connaissance, pour la foi. Mais sur ce point, comme il y a beaucoup de différentes dénominations, il doit y avoir quelque chose de vrai et quelque chose de faux. Eh bien, c’est ce que j’essaie d’être, mon frère, ma soeur, qu’il y a...

10        Vous n’avez jamais vu un homme qui soit à la fois sobre et ivre. Vous n’avez jamais vu un oiseau qui soit à la fois tout noir et tout blanc. Une telle chose n’existe pas. Il n’y a pas de vrai et de faux mélangés ensemble. C’est soit vrai soit faux.

            Et c’est comme ça que je crois en Dieu. Si je ne croyais pas qu’Il était le même Dieu qui avait vécu du temps de Moïse, qu’Il n’était pas le même Dieu qui a accompli chaque promesse qu’Il a faite, alors je ne pourrais pas avoir foi pour L’accepter.

            Eh bien, il n’y a que... C’est absolument sensé et raisonnable de penser que... A quoi nous servirait-il ce soir... Vous n’êtes pas ici juste pour être vu. Vous ne sortiriez pas sous cette pluie pour vous rassembler dans un petit bâtiment comme celui-ci rien que pour être vu. Vous êtes ici dans un but ; c’est de trouver quelque chose de bien. Et je prie que Dieu accorde à chacun de vous quelque chose de très bien, que vous n’oublierez jamais. Et chacun de vous, chrétiens, puisse-t-Il susciter votre joie pour Lui, pour vous amener à Le servir mieux que vous L’avez jamais servi de toute votre vie.

            Eh bien, à quoi bon servir un Dieu que Moïse a servi s’Il n’était pas Le même Dieu aujourd’hui? A quoi bon servir un Dieu historique s’Il n’est pas... s’Il est sans puissance et qu’Il est fini et mort aujourd’hui? J’aimerais vous poser cette question.

            Vous n’aimeriez pas le faire ; moi non plus. Si je ne peux pas servir un Dieu qui est vivant et qui est présent ici même pour m’aider quand je suis dans le besoin, alors à quoi bon servir Dieu? S’Il était Dieu, mais qu’Il ne soit plus Dieu maintenant, ou s’Il était un Dieu de puissance, qu’Il ait perdu Sa puissance maintenant, c’est qu’il y a quelque chose de faible au sujet de ce Dieu-là. C’est vrai, n’est-ce pas?

11        Maintenant, nous aimerions réfléchir ensemble. Il y a quelque chose qui cloche si cela n’est pas... S’Il l’était et qu’Il ne l’est pas maintenant, alors quelque chose cloche chez Dieu. C’est... Si Dieu était un très puissant Guerrier dans la bataille, qu’Il était un grand Guérisseur de maladies, qu’Il était grand par tous Ses attributs dans le passé, et puis qu’Il a perdu toute Sa puissance et qu’Il n’est pas le même aujourd’hui, que néanmoins Sa Parole déclare qu’Il est le même aujourd’hui, qu’Il a promis qu’Il ferait les mêmes oeuvres au cours de tous les âges, jusqu’à Son retour... Cela est incontestable dans la Bible.

12        Hébreux 13... 8.13, 13.8 plutôt déclare que Jésus-Christ est le même, hier, aujourd’hui et éternellement. C’est-à-dire le même quant au principe, le même quant à la puissance, le même quant à la résurrection, le même quant à l’omnipotence, le même quant à l’omniprésence, le même en–en–en tout. Il est–Il est juste le même qu’Il était autrefois. Et tout ce qu’Il était autrefois, Il l’est aujourd’hui, les Ecritures déclarent que c’est vrai. Tout, en ce qui Le concerne, reste le même.

            Eh bien, ainsi si nous... Tout le monde aimerait croire cela, mais pourtant Le limiter à un credo. Eh bien, nous dirons: «Je suis membre de l’Eglise baptiste.» Je dis baptiste, parce que c’est l’église dans laquelle j’ai été ordonné. Dites donc, je–je... Eh bien, les baptistes disent: «Eh bien, notre credo est vrai.» Les méthodistes veulent que leur credo soit vrai. Mais si nous limitons Dieu ... Ce credo-là, je n’ai rien contre cela ; et tout cela, c’est en ordre. Mais si nous limitons Dieu à ce credo-là, alors nous limitons Dieu. Et nous essayons de dire que c’est aussi loin qu’on peut marcher.

13        Peut-être, nous n’avons pas la foi pour marcher là où Enoch a marché, quand il effectuait une petite promenade avec Dieu un après-midi et qu’il est rentré à la Maison avec Lui sans passer par la mort. Et–et aussi Josué, qui a contourné les murs de Jéricho treize fois et–et a poussé des cris très forts et les murs se sont écroulés. Nous pouvons ne pas avoir la foi de pousser des cris pour faire s’écrouler les murs. Nous pouvons ne pas avoir la foi de rentrer à la Maison avec Dieu, mais ne faisons pas obstacle à quelqu’un qui a cette foi. Si elle ne s’accorde pas avec nos crédos, et qu’eux ont la foi, allons droit de l’avant, et croyons, disant: «Que le Seigneur vous bénisse, mon frère», et allez maintenant même. Peu importe de quelle l’église il est membre, cela ne fait aucune différence tant qu’il est un chrétien et un croyant. Et, savez-vous, amis chrétiens? C’est ce que le monde veut voir aujourd’hui.

14        J’ai atterri à Bombay, en Inde, là où j’ai eu la plus grande foule de cinq cents mille personnes, je... La plus grande foule à laquelle j’aie jamais prêché d’un coup dans ma vie, c’était à Bombay. Quand je suis arrivé là, l’évêque de l’Eglise méthodiste est venu et beaucoup de gens de grandes églises, l’archevêque est venu là, les Indous, l’église des Indous là-bas, et beaucoup d’autres des églises très remarquables. Ils m’ont rencontré là où des milliers de gens étaient venus à l’aéroport. Et quand ils sont venus, ils m’ont amené à l’hôtel Taj Mahal, et on s’est réuni dans une salle semblable à celle-ci, avec toutes les célébrités de la ville, les Radjahs et les autres.

15        Et l’évêque de l’Eglise méthodiste a dit: «Frère Branham, nous ne nous attendons pas à ce que vous fassiez le missionnaire, a-t-il dit, parce que nous ne voulons pas entendre parler du mot missionnaire, a-t-il dit, car vous, les Occidentaux, avec votre instruction occidental, vous ne comprenez pas les Ecritures sous l’angle d’un Livre de l’Orient.» Et c’est vrai.

            Avec toute notre théologie, si jamais vous allez à Jérusalem, ou dans un pays de l’Orient, là où cette Bible a été écrite, Elle deviendra un nouveau Livre pour vous. Nos idées de l’Occident sont très éloignées des manières orientales. Vous n’allez pas... Vous ne pouvez pas comprendre les paraboles, et tout, l’enseignement, à moins que vous alliez là et que vous voyiez ces mêmes traditions être vécues aujourd’hui.

            Et beaucoup de gens enverraient... Je n’ai rien contre les séminaires, les étudiants, les monastères et tout, mais tout cela, ils ne connaîtront jamais Dieu. Cela consiste uniquement à connaître le catéchisme et autres comme cela. Connaître Dieu, c’est connaître la Personne, Christ Lui-même, et Le connaître Lui, c’est la Vie. Il ne s’agit pas de connaître votre manuel, ou de connaître votre credo, ou de connaître votre catéchisme, ce n’est pas ça la Vie. C’est connaître Christ, la Personne, c’est la Vie Eternelle. Et c’est ce que nous voudrions connaître.

16        Eh bien, cet évêque m’a dit, il a dit: «Révérend Branham, concernant la théologie, a-t-il dit, nous avons reçu la Bible mille sept cents ans avant que vous soyez une nation.» C’est vrai. Saint Thomas est allé là et... Je me suis tenu dans une église et j’ai prêché là où saint Thomas... l’église originelle, qu’il a établie en Inde, lorsqu’il a quitté Jérusalem pour aller en Inde, et il a établi une église.

            Il a dit: «Nous avons donc eu la Bible depuis lors. Et nous avons reçu le christianisme depuis lors, mais, a-t-il dit, il est très bas en Inde.» Et il a dit: «Nous avons entendu parler du docteur Reidhead, l’homme qui est venu auprès de vous, qui était le–le président de Grandes Missions Soudanaise», les plus grandes au monde. Il est venu vers moi. Et il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, j’ai assez de diplômes pour plâtrer un mur avec: Docteur en théologie, diplôme de licence, et toutes sortes de diplômes.» Il a dit: «J’ai étudié depuis l’âge d’environ huit ans. Mais, a-t-il dit, Frère Branham, où est Christ dans tout cela?» Il a dit: «Les enseignants étaient-ils en erreur.»

17        J’ai dit: «Les enseignants n’étaient pas en erreur, monsieur.» J’ai dit: «Mais ce qu’il en est, ai-je dit, c’est que vous ne connaîtrez jamais Christ par la théologie. Vous ne connaîtrez jamais Christ par l’instruction. Vous devez connaître Christ par une expérience personnelle, naître de nouveau de Son Esprit qui descend et qui change votre vie et qui fait de vous une nouvelle créature en Jésus-Christ ; c’est ce qui fait la différence.» C’est ce qui vous change. Eh bien, c’est la raison pour laquelle nous avons tant de différentes dénominations et de théories. Tout cela est bien.

            Mais la Chose véritable, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a dit dans Saint Jean, l’Evangile selon saint Jean, chapitre 4, ou plutôt chapitre 3, excusez-moi, à Nicodème: «Si un homme ne naît de nouveau d’eau et d’Esprit, il ne pourra en aucun cas entrer dans le Royaume.» Peu importe l’église que vous fréquentez, ce sont les propres Paroles de Jésus-Christ.

            Eh bien, être né signifie être délivré de. Eh bien, à moins que vous soyez délivré par le Saint-Esprit, dans votre vie, vers une nouvelle Vie en Christ, alors nos crédos et autres ne servent plus à rien. Cependant, ils sont bons ; c’est bien, ce sont des enseignements de morale et autres, ça nous aide, mais la vraie Personne de Jésus-Christ... Et c’est ce qui a fait que les réunions soient ce qu’elles ont été aujourd’hui et elles ont balayé le monde. C’est, par la grâce de Dieu, présenter aux grandes foules ou aux petites foules le Seigneur Jésus ressuscité, maintenant même, au temps présent, avec la même puissance qu’Il avait jadis. Nous n’avons pas à nous imaginer cela.

18        Il a dit: «Frère Branham, nous avons la Parole. Nous avons la Bible», a dit l’évêque, en Inde. «Mais, a-t-il dit, ce qui nous intéresse, ce n’est pas votre théologie.» Il a dit: «Ce qui nous intéresse, c’est: Dieu vous a-t-Il visités, vous les Yankees, avec un Esprit ou un don qui peut faire vivre encore cette Bible?» Il a dit: «Nous connaissons la Bible.» Il a dit...

            J’ai dit: «Eh bien, vous avez avoué que nous ne La connaissons pas, mais je ne La connais pas très bien, mais j’En connais très bien l’Auteur.» J’ai dit: «C’est ça l’essentiel.»

            Il a dit: «C’est ce que nous aimerions savoir. Avez-vous assez de foi en Dieu pour faire s’accomplir ces promesses divines qu’Il a faites? A-t-il dit. Avez-vous assez de foi pour les rendre réelles?»

            J’ai dit: «Par la grâce de Dieu, Dieu le fera.» Et cet après-midi-là, j’ai été accueilli par dix-sept différentes religions qui reniaient le christianisme. Certains d’entre eux adoraient les moucherons ; d’autres, les chevaux ; d’autres, les bêtes ; d’autres, Bouddha, et les musulmans, et ainsi de suite. Ils avaient tous leur théologie. Très bien. Tout était oeuvres, quelque chose que vous devez faire ; faites ceci, ou faites cela, toutes ces oeuvres, il n’y a pas du tout de grâce à cela.

19        Est-ce que je parle trop fort pour vous? Le... il y a juste un écho. Je–je–je ne pense pas. Mais remarquez. Ce soir-là, dans la ligne de prière, quand le Seigneur est entré en scène, il y avait là des Radjahs assis sur leurs oreillers et autres, et ça prenait plus de deux heures pour entrer dans la ligne jusque là où on pouvait atteindre le podium de l’orateur. Et quand le Seigneur Jésus est apparu et qu’Il a parlé à un homme qui était totalement aveugle depuis vingt ans, ayant eu une vision sur lui, et sachant qu’il allait être guéri, j’ai défié chacun d’eux de venir guérir cet homme. Evidemment, ils s’étaient tenus tranquilles. Mais notre Seigneur Jésus lui a restitué la vue. Des milliers et des milliers et des milliers sont venus à Jésus d’un coup. Ça y est.

            Ce n’est pas si nos crédos marchent ; ils marcheront parfaitement pour une vie morale. Mais quant à reproduire le Seigneur Jésus et Sa promesse, il est question de Le connaître, Lui, non pas votre credo.

            Eh bien, abordons rapidement notre texte. Et je tâcherai d’être tout aussi rapide que possible et commencer la ligne ; en effet, nous sommes au milieu de la semaine, et vous travaillez.

            Maintenant, écoutez attentivement. Le texte dit ce soir:

Bien-aimés... Je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun.

            C’est saint Jude là, écrivant à l’Eglise trente-trois ans après la Pentecôte, vous exhortant à devoir combattre ardemment pour la foi (non pas une foi, la foi) qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

20        Eh bien, chacun de nous dans nos églises, nous sommes très bien, et–et j’aimerais que vous restiez dans votre église et que vous supportiez votre église, que vous l’aidiez pour la gloire de Dieu. Mais maintenant, retournons et découvrons maintenant, il doit y avoir quelque chose... si nous... Il a dit: «Combattez ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.» Il y a donc certainement un moyen de savoir ce qu’était la foi.

21        Maintenant, retournons dans la Bible. Je pense que ce serait logique et assez probant pour nous tous si nous retournons pour voir ce que les saints, quel–quel genre de foi ils avaient. Et puisque nous avons été exhortés à combattre ardemment pour cette foi, si nous découvrons quel genre de foi ils avaient, alors nous devrions combattre pour cette foi-là, en d’autres termes, dire: «C’est ceci qui est vrai.» Maintenant, nous découvrons ce que c’était.

            Avant qu’ils fussent donc appelés saints dans la Bible, ils étaient dans le Nouveau Testament. Jean-Baptiste est venu entre la loi et Christ, c’était la brèche, ou la clé de voûte qui reliait les deux dispensations ensemble.

            Eh bien, il nous faudra commencer avec Christ, si nous allons parler de la foi chrétienne, car Il est le–le Commencement de la foi chrétienne. Jean est venu, Jean-Baptiste a prêché dans le désert de Judée, et il n’avait accompli aucun miracle ; il n’avait jamais accompli des signes. Mais Il avait simplement condamné les églises, il avait condamné les sacrificateurs, les rabbins, ainsi de suite, et il leur a dit que Quelqu’Un venait.

            Et au service de baptêmes, quand il baptisait, il vit Jésus venir avec la Lumière qui Le suivait. Il a dit: «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.» Et Jésus fut baptisé ; le Saint-Esprit vint du Ciel, une Voix se fit entendre de Cela, disant: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui Je trouve plaisir d’habiter.» La traduction originale déclare: «En qui Je trouve plaisir d’habiter dedans.» En effet, Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il était Dieu dans la chair.

            Eh bien, maintenant, voyons quel genre de vie Il avait vécue. Et j’aimerais vous poser une question, à vous, alors que nous parlons. Ce qu’Il était autrefois, Il devrait être... Si c’est la foi qu’Il a introduite au monde, ça devrait être la foi pour laquelle nous devrions combattre ce soir. Est-ce vrai? C’est vrai. Ça devrait l’être. Très bien.

22        Maintenant, nous voyons qu’aussitôt qu’Il a commencé Son ministère, nous allons voir quel genre de ministère Il avait. Nous commençons dans Saint Luc, chapitre 1, citant cela de mémoire ; vous pourrez lire cela quand vous le voulez. Saint Luc, chapitre 1, il y est enseigné que Jésus a commencé à se promener, faisait du bien aux gens. Il priait pour les malades et ces derniers étaient guéris. Eh bien, c’est l’une des choses qu’Il faisait, c’est qu’Il priait pour les malades. Alors, un jour... Maintenant, écoutez donc attentivement, car si vous n’écoutez pas attentivement pour saisir chaque parole, ça sera une pierre d’achoppement pour vous dans les vingt ou trente prochaines minutes lorsque la ligne de prière va commencer. Voyez?

            Maintenant, écoutez attentivement. La première chose que nous voyons Jésus faire, après qu’Il avait choisi deux ou trois de Ses apôtres... Et le nom de l’un d’eux était.-. était Philippe. Et Philippe était un brave homme, saint Philippe.

            Et quand il a vu et qu’il a su que c’était le Messie... En effet, il L’a vu prier pour les gens et ces derniers étaient guéris, il a–a parcouru environ trente miles [48 km] de l’autre côté des montagnes de la Judée là, et il a trouvé son ami du nom de Nathanaël. Et Nathanaël était sous un arbre en train de prier. Et il a dit: «Viens voir Qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?» C’est ce qu’a demandé Nathanaël.

            Il a dit: «Viens, et vois.» Eh bien, je pense que c’est la meilleure réponse que toute personne puisse donner à n’importe quel moment, c’est qu’avant de critiquer quoi que ce soit, venez et voyez d’abord cela. Voyez cela de vous-même. Vivez dans la Lumière de la Bible et voyez si c’est vrai. Peu importe à quoi cela ressemble, et peu importe ce que les autres disent, la religion de Jésus-Christ n’a jamais été populaire, et elle ne sera jamais populaire, car le monde reconnaît les siens. Voyez-vous? Et vous n’êtes pas du monde du moment que vous devenez chrétien ; vous êtes une personne différente du monde. Nous le savons.

            Jésus a dit: «Je prie, ô Père, car ils ne sont pas du monde.» Ainsi, vous n’êtes pas du monde. Le monde, la Bible dit: «Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même point en vous.» C’est ce que déclare l’Ecriture. Ainsi, vous ne pouvez pas aimer deux maîtres, a dit Jésus. Vous ne pouvez pas aimer Dieu et Mamon. La traduction du mot Mamon, c’est le monde. Et Il a dit: «Soit vous servirez l’un et vous haïrez l’autre, ou vice-versa.» Jésus a dit cela dans Saint Matthieu, chapitre 5. Vous ne pouvez pas servir Dieu et le monde au même moment, vous devez être soit pour l’un, soit pour l’autre.

23        Que Dieu ait pitié... C’est ça le problème aujourd’hui avec nos gens appelés chrétiens dans cette.-. Cette nation. Ils cherchent à vivre comme le monde tout en professant être chrétiens. Et c’est la raison pour laquelle l’incroyant, l’homme de l’extérieur, a vraiment de la peine à se décider ; c’est parce qu’il voit des gens qui se disent chrétiens mener une vie qui ne diffère pas de celle du reste du monde. C’est vraiment tranchant, mais c’est la vérité. Nous devons faire face à la vérité.

24        Il y a probablement des hommes et des femmes assis ici que je ne reverrai plus jamais avant de vous revoir au Jugement. Et je–je dois être véridique et honnête, car je dois faire face au Jugement et rencontrer de nouveau mes paroles au Jugement, ainsi je dois être véridique à ce sujet.

            Eh bien, nous voyons que–que Philippe, aussitôt qu’il a trouvé Nathanaël, a dit: «Viens voir Qui j’ai trouvé.»

            Nathanaël, étant un homme juste, un homme de bien, il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?» Nazareth était une ville méchante, très mauvaise ; des hors-la-loi, des gangsters, et ainsi de suite se levaient, et.-.et.-.et il y avait des bandes de hors-la-loi en ces jours-là qui provenaient de Nazareth, une ville très vilaine. Il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.»

            Eh bien, nous pourrions poser la question aujourd’hui: «Peut-il venir de l’Eglise méthodiste quelque chose de bon? Peut-il venir de l’Eglise baptiste, presbytérienne, ou de je ne sais de quelle église, quelque chose de bon?» La première chose à faire, c’est venir et voir ; découvrir.

25        Eh bien, examinez cela, non pas en rapport avec votre rituel, non pas en rapport avec le catéchisme, non pas en rapport avec un... Examinez cela en rapport avec la Parole de Dieu. En effet, la Bible déclare: «Celui qui retranchera ou ajoutera quoi que ce soit à ce Livre, Dieu ôtera son nom du Livre de Vie.» Apocalypse, chapitre 21, déclare qu’Il le fera, ou plutôt chapitre 22 du dernier Livre de la Bible. Il a dit: «Si quelqu’un...» Dieu Lui-même, parlant au travers de l’écrivain, a dit: «Si quelqu’un ajoute une parole à ce Livre, ou s’il En retranche une Parole, Dieu ôtera son nom du Livre de Vie.» Et Il sera détruit. Ainsi, nous devons nous accrocher à ce que les Ecritures ont à dire.

            Eh bien, lorsqu’il a trouvé Nathanaël, il–il a dit: «Viens, et vois.» Il l’a donc suivi. Eh bien, voyons quel genre d’Homme Jésus était. Eh bien, si–si nous voulions trouver Jésus ce soir, si nous allions... Si quelqu’un nous disait que Jésus-Christ était à Georgetown, dans l’Indiana, quel... et qu’Il était dans la chair humaine comme nous y sommes ce soir, quel genre de Personne aimerions-nous trouver?

26        Eh bien, ceci peut être choquant. Sommes-nous venus trouver un Homme habillé un peu différemment des autres hommes? Nous ne chercherions pas Jésus, ou plutôt nous ne Le trouverions pas ; en effet, Il s’habillait juste comme les autres hommes. Il n’y avait pas de différence dans Son habillement. Viendrons-nous trouver des hommes qui sont–qui sont de très puissants orateurs? Non, la Bible dit que Sa voix ne devrait même pas se faire entendre dans la rue. Viendrons-nous trouver un Homme qui se vante beaucoup de sa grande église et puis... non, monsieur. La Bible parle différemment de Lui, en disant: «Il était un Homme de douleur et habitué à la souffrance.» Il n’était pas un grand faiseur d’histoires ni tout ; Il était un Homme humble. Et Il était...?... Il a quitté... Le trouverions-nous parmi les hommes riches? Il n’a jamais demeuré parmi les riches.

            Où Le trouverions-nous? Vous Le trouveriez parmi les pauvres. Il a longé la rivière et Il a trouvé des pêcheurs. Pensez à la grande Eglise orthodoxe, avec tous leurs grands sacrificateurs et leurs souverains sacrificateurs, et leur grand prestige et leur gloire en ce jour-là, et à aucun moment un apôtre ou un homme de Dieu n’a donc visité cela ou accepté cela. Quand Dieu envoya Son Fils, Il L’envoya loin de cela. Et Il leur a dit par contre qu’ils étaient des hypocrites, et Il leur a dit combien ils étaient mauvais et tout. Et ils ont dit: «Il a un démon, car Il ne croit même pas en notre église.» Voyez? Et ils étaient l’église de l’époque.

            Vous voyez donc, vous ne pouvez compter sur l’église, vous devez compter sur Dieu. C’est là que vous avez... et sur Christ...

27        Eh bien, quand Nathanaël remontait la route (Maintenant nous allons voir ce qu’il a trouvé), il a trouvé un Homme là, faisant quelque chose de contraire à ce que les églises enseignaient. L’église enseignait que les jours des miracles étaient passés. Mais voici Jésus là accomplissant... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Partout dans la salle, peu m’importe où vous êtes, levez simplement la main, pour dire: «Ô Dieu, par ceci, je veux que Tu me guérisses, ô Dieu.» C’est bien. Pratiquement partout. Je vais vous dire ce que vous faites. Je vous ai dit que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici sous la forme de l’Esprit de Dieu. Est-ce vrai? Combien de chrétiens croient cela. Faites voir la main. C’est bien. Alors, s’Il est ici, et qu’Il est le même Seigneur Jésus, alors Il doit... Il est tenu d’accomplir la même chose. Est-ce vrai? Eh bien, Il a dit qu’Il ne pouvait pas guérir. Le Père Lui montrait, et Il faisait ce que le Père disait. Est-ce vrai?

            Maintenant, je me tiens dans la ligne, je ne connais pas cette première dame qui se tient ici. Et je ne sais pas présentement si je connais quelqu’un d’autre ou pas. J’ai vu cette dame-là, à peu près la deuxième ou troisième depuis là derrière. Je l’ai vue ; je ne connais pas son nom, mais je l’ai vue. Je pense que ce sont les seuls que–que je–que je connaisse. Et... C’est pratiquement les seuls que.-.queue je connaisse. Très bien.

28        Eh bien, inclinons la tête juste un instant pour la prière. Maintenant, Père céleste, le moment est arrivé. Et j’ai parlé de Toi au mieux de ma connaissance. Maintenant, Bien-Aimé Seigneur Jésus, je Te prie de m’aider. Tu sais que je ne connais rien au sujet de ces gens. Parfois, je connais leur... qui ils sont. Je ne connais pas leurs problèmes. Toi, Tu connais ; Tu peux dire tout ce que Tu veux, je m’humilie et je me soumets à Toi. Que Ton grand Saint-Esprit vienne ce soir, prenne ce pauvre homme indigne, pour la gloire de Dieu, et l’oigne. Ne me laisse pas parler de mes propres lèvres, mais que le Saint-Esprit parle et accomplisse les oeuvres que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a dit qu’Il accomplirait au travers de Son peuple, au cours de chaque âge. Je prie pour cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, je vais vous demander une chose: Veuillez être respectueux et humble, ne doutez pas, croyez de tout votre coeur ; alors, le Seigneur Dieu du Ciel guérira sans doute votre corps et vous rétablira.

29        Maintenant, il s’agit de votre foi. Il ne s’agit pas... Voyez? Eh bien, c’est ça. Maintenant, ici se tient une dame. Je–je pense que je sais qui est la femme ; je ne suis pas sûr. Mais–mais je pense que je sais qui elle est. Et je–je–je... Est-ce vrai? N’est-ce pas que je vous connais, madame? Oui, oui. Bien, soeur, je pense connaître qui vous êtes. C’est ça. Très bien.

            Maintenant, veuillez venir ici juste un instant. Eh bien, pour ce qui est de votre nom... je ne vous connais pas... Est-ce que votre nom, c’est Suddith, ou quelque chose comme cela? Oh ! Ce–c’est votre soeur. Vous étiez, je–je pense... N’ai-je pas fait votre connaissance lorsque je travaillais pour le Service public, ou quelque chose comme cela? C’est vrai. J’ai vu votre visage quelque part. Je–j’ai reconnu cela. Je pensais que votre nom, c’était Suddith, mais Suddith est votre soeur. Est-ce vrai? Et votre nom est Wilson. Oui, madame.

30        Eh bien, je suis heureux de vous revoir, soeur. Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Eh bien, moi, en tant que votre frère en Christ, vous savez que je ne sais pas ce pour quoi vous êtes ici, n’est-ce pas? Je–je–je ne sais pas. Non, madame, pour moi, c’est un–c’est un mystère que je ne connais pas. Eh bien, si le Seigneur Jésus me fait savoir ce pour quoi vous êtes ici, et ce que vous voulez de Lui, s’Il se rend si réel qu’Il–qu’Il déclare ce que vous voulez, alors accepterez-vous cela comme venant de Lui? L’accepterez-vous? Très bien.

            Maintenant, l’assistance saisit sa voix à elle, et vous voyez les enregistreurs en marche ; c’est ça. Maintenant, suivez. Eh bien, s’Il dit quelque chose à dire à cette femme, ce pour quoi elle est ici, ne serait-ce pas le même Esprit qui avait parlé à la femme au puits, qui connaissait son problème? Serait-ce vrai? Voyez? Eh bien, ce... Maintenant, sa foi dans ce qui se fait déterminera sa guérison.

            Eh bien, à vous dans l’assistance qui n’avez pas de cartes de prière, croyez de tout votre coeur que Jésus-Christ est ici pour vous guérir ; si vous croyez de tout votre coeur, vous n’aurez pas à être dans cette ligne de prière. Vous n’aurez certainement pas à y être. Tout ce que vous aurez à faire, c’est avoir foi en Dieu.

31        Maintenant, je vous demanderais, étant donné qu’il y a un cas d’épilepsie en ce moment, tout celui qui a assisté aux réunions sait ce que fait l’épilepsie. Parfois, ça se transmet. Ainsi donc, soyez vraiment respectueux. Tenez-vous simplement tranquille. Peu importe ce qui se passe, tenez-vous tranquille. Voyez? Croyez simplement au Seigneur Jésus et priez. Demandez au Père céleste d’être bienveillant. Mais maintenant, si vous êtes un incroyant, à votre place, je ne resterais pas. Voyez? Ainsi donc, avec ça, on ne fait pas de religion. Ce sont des réalités. Nous affrontons des choses. Si seulement j’avais quelques moments de plus, ou une autre soirée où je pourrais vous expliquer ce que sont ces choses, afin que vous puissiez comprendre ce qu’elles sont en réalité selon les Ecritures, on leur donne des termes scientifiques, mais ce qu’elles sont en réalité selon la Bible.

            Maintenant, la soeur ici, qui se tient devant moi, eh bien, il ne s’agit pas de la télépathie, non, non. Je la vois–la vois... Eh bien, vous vous ne pouvez pas cacher votre vie maintenant, s’il vous le fallait. Voyez? Son Esprit est ici maintenant.

32        Combien ont déjà vu Sa photo, là où on avait pris Cela? Et elle est à Washington, D.C., le seul Etre surnaturel qui ait jamais été photographié ; cela peut être prouvé dans le monde. On a des histoires de fiction sur des hommes dans une forêt, et tout comme cela, mais cela s’est toujours avéré faux. Voyez? Mais ils ont cru ceci, et beaucoup d’entre vous ici étaient présents quand Cela a été pris.

            Il y a quelques semaines, les appareils photo allemands ont pris Cela en Allemagne, à trois différentes reprises. Et c’est Celui que vous voyez sur la photo, Il est ici même maintenant sur l’estrade. C’est tout à fait vrai.

            Maintenant, soyez respectueux ; ne vous déplacez pas. Gardez vos enfants près de vous, et soyez en prière ; voyez ce que le Saint-Esprit fera pour nous ce soir dans un...

            Et je prie que Dieu vous bénisse. Et à un moment donné, nous nous rencontrerons encore sur terre. Priez pour moi, alors que nous allons dans les champs de travail après ce service, dans les champs là-bas pour de grandes réunions, afin de prier pour les malades.

            Maintenant, soyez respectueux, tout le monde, s’il vous plaît, car nous sommes dans la Présence du Dieu Tout-Puissant.

33        Le Saint-Esprit qui est maintenant près, madame... Quel était donc votre nom? Wilson? Madame Cobb. Madame Cobb ; si le–si le Saint-Esprit est présent maintenant, Il me fera savoir quelque chose sur votre vie, cela pourrait vous encourager pour vous élever au niveau où vous pouvez croire au Seigneur Jésus pour votre guérison ou... Je ne sais ce pour quoi vous êtes ici. Il se peut que ça soit un problème financier, il se peut que ça soit un problème au foyer. Je ne sais pas. Mais Lui le sait, n’est-ce pas? Je vois que l’unique chose pour laquelle vous êtes ici, c’est que vous souffrez des nerfs. Vous êtes très nerveuse, bouleversée. Une autre chose, c’est que vous avez une–une toux asthmatique, cela vous dérange. N’est-ce pas vrai? C’est vrai. Très bien.

            Maintenant, croyez-vous que tout va bien pour vous maintenant? Vous êtes maintenant guérie. Vous pouvez retourner chez vous. Jésus-Christ, votre foi, vous a guérie. Allez et soyez en prière.

            Bienveillant Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, nous bénissons notre bien-aimée soeur que voici, et nous Te demandons d’être bienveillant envers elle au Nom de Jésus. Amen.

34        Venez, monsieur. Bonsoir, monsieur. Croyez-vous au Seigneur Jésus-Christ comme étant le Fils du Dieu vivant? Croyez-vous qu’Il est ici pour vous guérir? Croyez-vous? Savez-vous qu’Il est ici pour vous guérir?

            Etait-ce la dame pour qui on venait de prier? Etait-ce vous la dame là? Oui, oui. Vous avez mal au flanc, vous assise là à côté d’elle, n’est-ce pas, monsieur? Croyez-vous que Dieu peut vous rétablir et vous guérir? Lorsqu’elle est passée à côté de vous, tout à l’heure, vous avez éprouvé une sensation étrange, n’est-ce pas? C’était le Saint-Esprit. Vous avez mal au flanc. Maintenant, cela vous a quitté donc, monsieur. Votre foi vous a guéri. Est-ce vrai? Levez la main. C’est vrai ; c’est vrai. Très bien, monsieur.

            Je ne connais pas cet homme ; je ne l’ai jamais vu de ma vie. Mais Jésus-Christ l’a guéri tout à fait comme sa foi avait touché le Seigneur Jésus dans les jours passés, celle de la femme à la perte de sang, de même la foi de cet homme L’a donc touché en ce moment.

            Vous n’avez pas à ... Que pensez-vous, jeune dame, assise là dans la ligne de prière avec un manteau sur votre épaule? Que Dieu vous bénisse.

35        La dame derrière elle là, avec la main levée comme ceci. Oui. Vous vouliez subir une intervention chirurgicale, n’est-ce pas? Vous pensez que cette tumeur, Dieu peut vous en débarrasser sans intervention chirurgicale? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Vous avez une tumeur, n’est-ce pas? Et c’est vrai. Croyez-vous que Dieu vous guérira sans intervention chirurgicale? Le croyez-vous? Accepterez-vous Jésus maintenant même comme votre Guérisseur? L’accepterez-vous?

            Bienveillant Père céleste, la foi de cette femme a frappé ici, et j’ai eu une vision devant, un médecin déroulant cet endroit-là pour son intervention chirurgicale. Je Te prie, Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, de guérir la femme sans intervention chirurgicale, pour Ta gloire. Amen.

            Vous pouvez maintenant regagner votre siège. Vous n’aurez pas à venir dans la ligne de prière. Votre foi vous a guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Croyez-vous au Seigneur Jésus? Si vous pouvez croire, tout est possible.

36        Madame, assise, vous vous êtes fracturé le bras, vous vous êtes fracturé le bras là, n’est-ce pas, madame? Oui, oui. Vous venez de Corydon, n’est-ce pas? Vous avez quelqu’un avec vous, qui vous a accompagnée, n’est-ce pas? Elle souffre des nerfs, n’est-ce pas vrai? Si c’est le cas, levez la main. Très bien. Maintenant, vous pouvez sortir et rentrer chez vous. Soyez aussi guérie, madame. Amen.

            Il s’agit de votre foi. C’est ce... Eh bien, c’est ce dont je parle: le Saint-Esprit.

            Monsieur, voudriez-vous croire que votre maladie du coeur vous a quitté et que vous allez être guéri? Vous le croyez ; très bien, monsieur. Alors, vous pouvez partir. Amen. C’est...

            Disons: «Gloire à Dieu !», assistance, s’il vous plaît. [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»–N.D.E.]

37        Une dame est en train de venir... Bonsoir. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas, madame? Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Je vous suis un parfait inconnu, juste comme le... notre Maître qui s’était tenu à côté du puits, et Il a parlé à la femme et a dit... Elle a dit... Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Il voulait engager une conversation avec elle.

            Eh bien, ceci est donc notre première rencontre dans la vie ; c’est de nouveau un homme et une femme, n’est-ce pas vrai? Eh bien alors, si Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, et qu’Il a promis qu’Il serait avec nous et en nous jusqu’à la fin du monde, et que nous ferions les mêmes oeuvres qu’Il avait faites, ça devrait être le même genre de choses. Si donc Jésus était ici, dans ce costume qu’Il m’a donné, tout ce qu’Il pourrait faire concernant... Si vous êtes malade et que vous avez besoin de guérison, Il vous dirait: «Je l’ai accompli au Calvaire, enfant. Voudriez-vous croire cela?»

            Or, mais maintenant, Il pourrait vous dire quelque chose qui cloche peut-être en vous, ou quelque chose comme la raison pour laquelle vous n’êtes pas guéri ; mais moi, étant un inconnu pour vous, ce serait tout pareil. N’est-ce pas vrai?

38        Maintenant, que tout le monde soit maintenant très respectueux. Souvenez-vous, vous êtes dans la Présence du Seigneur. Et l’Evangile même que je vous ai lu ce soir, vous voyez Cela vivre à nouveau. Voyez? Je n’ai jamais vu la femme. Je ne connais rien à son sujet, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais Dieu la connaît. Pas moi. Mais maintenant, je voudrais lui parler pour contacter son âme, l’onction qui est ici avec moi, c’est cet Ange du Seigneur, la Colonne de Feu qui a suivi les enfants d’Israël, qui était Christ sous forme de l’Esprit qui est descendu et qui a été fait chair, qui est retourné au Père et qui est revenu de nouveau vivre dans Son Eglise, la même chose. Ce n’est pas moi ; c’est Lui. Je ne connais pas la femme, je ne connais rien à son sujet. J’ai un niveau d’instruction de l’école primaire...

39        Regardez les gens qui disent... Eh bien, là dans l’assistance, ils sont guéris pendant qu’ils sont juste assis dans l’assistance, debout partout où ils le peuvent. Dieu est ici pour guérir, c’est tout, si vous croyez.

            Je vois un enfant qui souffre. Mais je ne peux pas dire qu’il est guéri. Je ne vous connais pas. Si vous continuez à prier, maman, croyant de tout votre coeur...

            Maintenant, à vous encore, soeur, pour parler avec vous... Eh bien, il y a une faim dans votre coeur depuis un long temps. Cette faim, c’est pour une vie plus intime avec Dieu. Vous avez beaucoup essayé cela, vous essayez et vous faillissez, vous essayez et vous faillissez. N’est-ce pas vrai? Des hauts et des bas dans la vie...

            Tenez, il y a quelque temps, vous étiez en train de prier quelque part ; en effet, vous faisiez face à une chose grave comme une intervention chirurgicale, ou quelque chose comme cela. Oui, c’est ça. Je vois cela, un médecin, il a examiné... Vous avez quelque chose sur... C’est votre jambe. C’est sur votre jambe droite, c’est à cause de cette maladie que vous allez être opérée. Vous avez fait une promesse, que si Dieu vous guérissait, vous Le serviriez et que vous auriez une marche plus intime. Je ne suis pas en train de lire vos pensées. C’est vrai, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main.

40        Maintenant, il y a ici Quelque Chose que vous connaissez. J’aimerais vous demander quelque chose. Dans la Présence où nous nous tenons maintenant, et afin que l’assistance le sache, vous éprouvez maintenant une sensation étrange, que jamais de votre vie vous n’avez éprouvée. C’est vrai. C’est à cause de cette Lumière, le Saint-Esprit est entre vous et moi. Retournez simplement, même vers une petite fille... Ils éprouvent la même chose, juste le long de la ligne là maintenant. Voyez? C’est dans la Présence de Quelque Chose que le monde ne connaît pas.

41        Venez ici, afin que je demande à Dieu de vous bénir, soeur. Et vous tous, croyez-vous de tout votre coeur maintenant? Croyez-vous? Croyez-vous? Si vous croyez, dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

            Bienveillant Père céleste, notre soeur que voici est ici dans le besoin. Toutes choses concourent au bien de ceux qui T’aiment. Et elle est dans le besoin. Elle veut être guérie. Et c’est maintenant le moment. Je Te prie en ce moment, Père, d’ôter toutes ses infirmités, de la dégager de tout ce qui n’est pas de Toi. Et je Te demande, Dieu bien-aimé, de lui pardonner chaque péché et chaque offense, de la faire entrer dans Ton Royaume ce soir comme un bébé nouveau-né et de guérir son corps, au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils bien-aimé, je le demande. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez, en vous réjouissant et en étant heureuse. Que Dieu soit avec vous.

42        Bonsoir, madame. Je pense que nous sommes aussi inconnus l’un à l’autre? Nous ne nous connaissons pas l’un et l’autre, mais si–si Jésus est ressuscité d’entre les morts, comme je déclare qu’Il l’est, et je crois qu’Il est ressuscité, et qu’Il est ici avec nous, vous et moi, je vous parle donc comme Il avait parlé à la femme au puits... Et Il est capable. Et par Sa Parole, Il a promis qu’Il révélerait ces choses et que nous ferions les mêmes choses qu’Il avait faites. En effet, Il serait... Il a dit: «Je serai avec vous, en vous jusqu’à la fin du monde.»

            Maintenant, ne soyez pas troublée de ce que vous éprouvez une sensation un peu étrange, mais glorieuse. Mais vous n’êtes pas simplement... Ce n’est pas votre frère. C’est Lui, votre–votre Seigneur. Pas moi, Lui. Maintenant, la dame est une inconnue. Soyez vraiment respectueux, vous les gens, vraiment respectueux, s’il vous plaît. Voyez? Je ne la connais pas. Dieu la connaît certes. Je ne connais pas les gens, mais vous saurez qu’il y a ici Quelque Chose qui est en train d’accomplir l’oeuvre du Seigneur, comme la Bible déclare que ça serait. C’est... Croyez-vous cela maintenant? Voyez?

            Eh bien, qu’est-ce? C’est le Seigneur Jésus. Voyez? Eh bien, j’aimerais juste lui parler de nouveau ; en effet, je–je vois la femme maintenant alors qu’elle s’éloigne de moi. Oui, la femme est vraiment bouleversée au sujet de... Oh ! Elle a eu une dépression nerveuse, elle est en très mauvais état, et elle a eu une dépression. Vous en souffrez encore. C’est la vérité, est-ce pas? Si c’est la vérité, levez la main.

43        Vous avez éprouvé des sensations très étranges qui vous envahissent tout le temps, et particulièrement très tard le soir, vous éprouvez des sensations très étranges. N’est-ce pas vrai? Puis, je vous vois, vous étiez assise dans un fauteuil, un peu tard le soir, aussi ; vous êtes épuisée ; vous ne pouvez pas faire votre travail. Et–et c’est vrai, n’est-ce pas? Cela vous cause même des troubles d’estomac, comme cela, des acides et autres, lorsque vous prenez du café, ou l’une ou l’autre chose du genre ; vous renvoyez des acides de votre estomac, et ainsi de suite. C’est vrai. Je vous vois quitter la table sur laquelle il y a de la nourriture comme cela, à côté d’une fenêtre, près d’une fenêtre. Est-ce vrai? Levez la main si c’est vrai.

44        Eh bien, Quelque Chose ici connaît votre vie, n’est-ce pas? Je vous ai dit que, dans la Bible, Jésus-Christ avait accompli la même chose et nous a promis que nous ferions la même chose. Croyez-vous que c’est Lui? Je vois une ombre très noire en train de vous suivre aussi, c’est un démon. Et il a pratiquement tenté de vous suicider, à un certain moment, vous disant que vous–que vous avez traversé la ligne de démarcation, que vous n’alliez jamais être sauvée. Est-ce vrai? Maintenant, est-ce...

            Croyez-vous là dans l’assistance maintenant de tout votre coeur? Voyez? C’est parfait. C’est vrai. C’est le Seigneur Jésus. Je ne connais pas votre opinion. Je sais que certains d’entre vous se posent des questions, car vous ne pouvez pas cacher votre vie maintenant. Voyez? Vous savez... Je ne peux rien faire pour vous. Mais vous ne pouvez pas–vous ne pouvez pas cacher votre vie s’il vous le fallait maintenant même. Vous êtes dans Sa Présence.

            Eh bien, soeur, si je peux, par la grâce de Dieu, si je peux faire que cela vous quitte maintenant, et si... En tout cas, vous aspiriez à un moment de répit. Eh bien, Il le fera, si vous croyez en Lui. Croirez-vous en Lui? Je vais prier, et vous, croyez en Lui.

45        Maintenant, regardez. Vous ne vous êtes probablement jamais approchée de plus près dans votre vie que vous l’êtes maintenant. Maintenant, afin que l’assistance le sache, votre ami aussi là où vous êtes maintenant, une douce sensation très humble vous envahit (N’est-ce pas vrai?), comme Quelque Chose qui est près, ce n’est pas votre frère, mais c’est Quelque chose de surnaturel. Si c’est vrai, levez la main. Voyez? C’est l’Ange du Seigneur. Voyez? Je vis maintenant dans une autre dimension (Voyez?), dans un monde spirituel. Eh bien, j’aimerais prier pour vous pendant que cette onction...

46        Eh bien, la Chose même est ici, qui connaît votre vie, je vois Cela se diriger vers une petite fille. Je vous vois comme une petite fille. Vous fuyiez quelque chose. C’était quelque chose qui vous poursuivait. C’était un chien. On dirait que vous reveniez de l’école ou de quelque part, il y a longtemps: Cela vous a effrayée. Vous avez été nerveuse, on dirait, toute votre vie. C’est vrai, n’est-ce pas? Voyez, plus je vous parle, plus les visions vont apparaître. Maintenant, à cause de ces autres, prions.

            Bien-Aimé Dieu, Auteur de la Vie, Seigneur Jésus, qui nous jugera tous à Ta Venue, sachant que nous sommes un peuple en route vers l’Eternité et que nous aurons à Te rencontrer un jour... Nous nous tenons ici dans Ta Présence et nous savons que maintenant même, ici à l’estrade, il y a l’Esprit qui a ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts et qui confirme chaque Parole...

            Père, Tu es si tendre ; en effet, Tu–Tu manifestes ces choses qui sont vraies. Tu dis vrai. Et la dame est ici, parce qu’elle est tourmentée par un esprit mauvais qui cherchait à l’amener commettre un suicide et à faire de mauvaises choses. Mais Tu es ici pour chasser cela, Père. Et je prie conformément à Ta Parole qui déclare: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Et je sais que Ta Parole est vraie.

            Ainsi, Satan, toi mauvais esprit qui as tourmenté notre soeur, je t’adjure au Nom de Jésus-Christ, le Dieu vivant, de sortir de la femme.

            Eh bien, regardez dans cette direction. Maintenant, quelque chose vous est arrivé. Vous pleurez, vous ne vous sentez plus comme avant, n’est-ce pas? Vous vous sentez heureuse maintenant, vous vous sentez bien. Est-ce vrai? Levez la main ici vers les gens, afin que... Et vous allez... croyez que vous serez bien portante, rentrez chez vous, et servez le Seigneur. Très bien. Eh bien, courez le long et soyez simplement très heureuse. Cela ne vous arrivera plus.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu», alors que nous...?...

47        Très bien. Voudriez-vous venir? Soeur, comme je vous suis inconnu, afin que les gens ne pensent pas maintenant que... Vous savez ce que c’est la télépathie ; c’est ce qui est dans la pensée de quelqu’un. Je ne peux pas découvrir cela, et quand ça se fait, je vais dire qui vous êtes. Vous êtes donc là ; cela continue à venir à l’estrade vers moi. Et je pense que ce sont les membres du clergé, car j’ai vu l’estrade devant moi.

            J’aimerais simplement que vous posiez votre main sur la mienne, soeur, comme un moyen de contact. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue et je ne vous regarde pas. Je regarde ici dans l’assistance. Si le Dieu Tout-Puissant me révèle en vision votre maladie, pendant que je regarde dans cette direction, accepterez-vous et direz-vous que c’est la vérité, si c’est vrai ou pas? Si vous le ferez, levez la main. Maintenant, que le Seigneur l’accorde alors que je prie. Veuillez encore poser votre main sur la mienne de la même manière, comme un point de contact ; la Bible déclare: «Imposez les mains aux malades...»

48        Oui, soeur, vous souffrez d’une maladie gynécologique ; c’est une maladie de femme. Si c’est vrai, levez la main. Eh bien, croyez-vous que c’est de la télépathie? Cela se passe, elle était dans la salle de bain ; en effet, ce ne serait pas correct de le dire dans une assistance mixte comme celle-ci, la dame sait ce que c’est, il s’agit d’un écoulement. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? C’est vrai. Voyez? C’est vrai.

49        Or, il n’y a que Dieu seul qui peut la guérir. Je ne peux pas la guérir, certainement pas. Je ne suis pas un guérisseur, je suis Son serviteur, je ne suis qu’un vase où le Saint-Esprit vient... Comme ceci ici même, ceci est un haut-parleur. Ceci n’est pas un haut-parleur, ceci est une ch... C’est une chaire. Ceci est un haut-parleur. Un homme a fait de cela un haut-parleur. Un homme a fait de cela une chaire. Un homme a fait de vous un prédicateur, un... je veux dire, le Seigneur. Ce n’est pas ce que je veux dire, excusez-moi, mes frères. Je ne voulais pas dire qu’un homme a fait de vous un prédicateur. Je ne voulais pas le dire comme cela. Je disais: «Homme», et ceci est un... On dirait que vous vous opérez dans deux mondes. Vous êtes ici et dans un autre monde. Quand cela disparaît, alors vous y entrez et vous voyez ce qui est près de vous ici à l’estrade, les anges de Dieu et tout. Et vous voyez des choses hideuses qui arrivent. Alors, vous vous–vous vous posez parfois des questions, et c’est pourquoi j’ai dit que quand Dieu vous appelle et fait de vous un prédicateur, Dieu m’a appelé et a fait de moi un voyant, comme Il l’a promis dans la Bible. La Bible déclare: «Vous êtes...» Et la Bible déclare et si... C’est dans Actes, au chapitre 2: «Dans les derniers jours (C’est dans ces jours-ci), Je répandrai de Mon Esprit sur toute chair, et vos jeunes gens auront des visions.» Est-ce vrai? Prophétiser, est-ce vrai? Des prophètes seront suscités dans les derniers jours et ils auront des visions et des signes. Est-ce ce que déclare la Bible? Eh bien, c’est exactement ce qu’Il a dit.

50        Maintenant, soeur, allez en croyant, en ayant foi. Croyez de tout votre coeur et Dieu vous guérira. Croyez-vous cela?

            Bienveillant Père céleste, au Nom de Ton Bien.-.Aimé Fils, le Seigneur Jésus, sachant que cette femme est près de la ligne et que l’ombre, juste derrière elle, appelée le cancer... Et nous Te prions, Père céleste, de Lui accorder la guérison ce soir. Et je condamne cet ennemi, sur base de la confession de sa foi et de la Parole du Seigneur Dieu. Je condamne ce démon qui la dérange, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Allez, heureuse, soeur. Ne vous dérangez plus. Croyez simplement de tout votre coeur.

51        Vous aimeriez être guérie, n’est-ce pas, soeur? Voudriez-vous... Voudriez-vous me croire comme Son prophète? Si je vous disais où se trouve votre maladie, et ce qui cloche chez vous, et quoi faire, croiriez-vous cela? Croiriez-vous? Vous devriez reconnaître que cela vient d’une certaine façon. C’est dans votre dos, n’est-ce pas? C’est vrai. C’est vrai. Eh bien, croyez-vous que Dieu vous rétablira? Vous êtes aussi toute nerveuse, et vous avez des complications et autres. Et beaucoup de choses que vous croyez avoir, mais vous n’en avez pas ; en effet, il s’agit de vos nerfs (Voyez-vous?), c’est ce qui produit cela. Parfois, lorsque vous vous couchez, vous sentez comme si votre coeur est en mauvais état, mais cela n’est rien d’autre que votre estomac ; il s’agit de petits ulcères dans votre estomac, c’est ce qui fait que le gaz exerce une pression contre votre coeur. Cela vous fait mal. Vous allez être bien portante. Vous êtes une brave femme. Votre foi vous a guérie. Me croyez-vous? Alors, poursuivez votre chemin en vous réjouissant, en remerciant Dieu.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu», tout le monde.

52        Soeur, évidemment, vous savez que la seule chose qui peut vous guérir, c’est Dieu. C’est Dieu seul qui peut guérir le cancer et rétablir. Mais Il peut faire cela, si vous pouvez croire. Croyez-vous cela? De tout cotre coeur?

            Bienveillant Père céleste, Toi en qui nous croyons, je prie, ô Dieu bien-aimé, que Ton Esprit omnipotent touche cette femme et la rétablisse, comme Tu as dit dans Ta Parole: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» La dernière chose que Tu as dite, Jésus, lorsque Tu quittais Ton Eglise, Tu as dit: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Et celui qui ne croira pas sera condamné ; et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: En Mon Nom, ils chasseront les mauvais esprits ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Seigneur, Tu es fidèle à Ta Parole. Et sur base de la commission du Seigneur Jésus, sur base de Sa Parole omnipotente, j’ordonne maintenant que ce démon quitte la soeur, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, allez en étant heureuse et en vous réjouissant, et soyez guérie. Amen. Vous tous–vous tous, l’assistance, vous n’allez jamais... J’aurais voulu que vous puissiez... Peut-être que vous pensez que je suis hors de moi, mais je ne le suis pas. Non, non. Je ne le suis pas. Mais je dis ceci au Nom du Seigneur, que Jésus-Christ, le Fils de Dieu ressuscité est vivant ce soir et Il est ici dans cet auditorium maintenant même, accomplissant les signes que Sa Parole a dit qu’Il ferait. N’est-Il pas merveilleux, si merveilleux? Oh ! Combien...

53        Je regardais une dame, mais je crois que c’est la dame derrière elle, elle souffre de l’affection de vésicule biliaire, elle est assise là derrière, elle aimerait être guérie. Croyez-vous que Dieu vous guérira, soeur, assise là, juste derrière la dame, du genre une dame corpulente, en train de me regarder? Cela va-t-il... Croyez-vous, juste là derrière la dame? Vous étiez assise là en train de prier, n’est-ce pas? Hein? Vous... Non, la dame assise ici même, c’est vrai, si vous pouvez voir, si seulement vous pouvez voir... Combien ont vu la photo de l’Ange du Seigneur? Le voilà, juste là au-dessus de cette femme, ici même. Elle souffre de quelque chose qui cloche dans la vésicule qui est dans le... juste sous le flanc, ici, qui est à la base de la maladie. Et elle était assise là en train de prier et demandant à Dieu de bien vouloir la guérir. Soeur, vous n’aurez plus à vous inquiéter. Christ vous a guérie. Amen. Nous remercions le Seigneur.

54        Que pensez-vous, soeur? Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous connaissons pas. Jésus-Christ nous connaît, n’est-ce pas? Si Dieu me révèle où se trouve votre maladie, ou quelque chose à votre sujet que vous savez que je ne connais pas, L’accepterez-vous comme votre Guérisseur? Je suis votre frère. Je–je ne peux pas vous guérir. Je ne suis qu’un homme, comme votre–votre père, ou votre mari, ou votre frère, ou autre. Je–je ne suis pas un guérisseur. Mais vous savez que vous vous tenez dans Sa Présence, ou Quelque Chose que vous... vous savez qu’il y a Quelque Chose près en dehors de l’homme. N’est-ce pas vrai?

            Maintenant, pour vos amis, là dans l’assistance, et en guise de témoignage du Seigneur Jésus, afin qu’ils sachent et que l’assistance soit rassurée, parce qu’après cette soirée, il y en aura beaucoup qui comparaîtront en Jugement (Voyez?), afin qu’ils sachent...

            J’aimerais juste dire quelque chose. Depuis que vous êtes montée ici, même maintenant, il y a une sensation vraiment douce, humble et aimable qui vous envahit. En effet, vous... Si c’est vrai, levez la main. Et je ne vous ai jamais vue de ma vie. Et maintenant, à ceux qui la connaissent, vous ne pouvez pas vous tenir si près sans connaître Cela, sans reconnaître Cela. Il est ici. C’est le Saint-Esprit. Voyez? Le... Cela produit un tel effet sur l’être humain. Cela doit être quelque chose, par exemple, si vous–si vous voyez quelque chose avec les yeux, cela produira de l’émotion sur vous. Et s’il y a un sens de toucher, et que quelque chose affecte ce sens, cela–cela suscite l’émotion. Voyez-vous? Vous–vous avez aussi cela. Voyez, cela doit réagir. Et vous êtes dans Sa Présence.

55        Eh bien, je... Si Dieu me dit ce qu’est votre maladie, L’accepterez-vous donc comme votre Guérisseur pour cela? Votre maladie, c’est une maladie de femme, un désordre féminin. C’est vrai. Vous éprouvez des douleurs ici en bas sur le flanc. N’est-ce pas vrai? C’est un conduit d’écoulement, et c’est–c’est infecté. Vous avez un abcès là-dessus, et c’est ce qui cause cette maladie. Parfois, ça devient pire qu’auparavant. Je vous vois, des jours, quand vous vous tenez, et vous marchez simplement, en resserrant pratiquement les dents. Cela s’est passé récemment. Est-ce vrai? Vous ne croyez pas que je lis vos pensées, n’est-ce pas, soeur? Vous êtes une croyante.

56        Eh bien, Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Eh bien, la Bible déclare que ces choses arriveraient. Et vous êtes maintenant même... Regardez, premièrement, la Parole, la Parole de Dieu a dit que ces choses arriveraient. Vous voici venir vers moi un inconnu, vous ne m’avez jamais vu. Et aussitôt que vous vous êtes avancée ici, vous passez devant les hommes tout le temps, les prédicateurs, mais vous ne vous êtes jamais sentie comme cela dans votre vie. Voyez? Et puis, voici Quelque Chose qui descend, cette tendre Personne qui est ici avec nous maintenant, Elle vous dit où se situe votre maladie et ce que vous avez fait. Alors, vous savez que cela doit être du surnaturel, n’est-ce pas? Croyez-vous donc que je suis croyant? Alors, si je vous impose les mains et que je réclame votre guérison, cela devra se rétablir, n’est-ce pas? Alors, avancez, s’il vous plaît. Puis-je juste poser ma main sur la vôtre? Et prions alors que nous avons nos têtes inclinées.

            Notre Bien.-.Aimé Père céleste, sachant que Ta Présence est ici et que Tu es omnipotent, Tu es omniprésent... je Te prie, par Jésus le Fils de Dieu, de guérir notre soeur. Elle est ici dans Ta Présence maintenant. Et Tu es en train d’oindre. Et je Te demande d’ôter ce démon de son corps. Maintenant, nous savons que cela risque de lui ôter la vie et de l’envoyer à la tombe prématurément. Mais Tu es ici pour ôter cela.

57        Et, Père, nous Te prions de le faire. Nous savons que nous recevons ce que nous demandons, car Tu es ici pour nous rendre témoignage que Tu es ressuscité d’entre les morts. Et Tu connais cette femme. Tu la connais depuis qu’elle est venue sur la terre. Tu es ici, lui révélant les choses qu’elle a faites dans sa vie et ce qui cloche chez elle. Et maintenant, sur base de–de l’autorité de la Parole de Dieu, je viens défier l’ennemi dans son corps. Toi ennemi appelé démon, je viens faire valoir un don qui m’a été apporté par un Ange, Satan, tu le sais ; et je t’adjure par le Dieu vivant, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de sortir de la femme et de ne plus la tourmenter. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en croyant de tout votre coeur ; vous serez rétablie. Ecrivez-moi votre témoignage, racontez-moi ce qui s’est passé ici, lorsque vous viendrez.

58        Voudriez-vous être guéri de cette maladie du coeur, monsieur? Soyez guéri. Quittez l’estrade, en disant: «Merci, Seigneur Jésus de m’avoir guéri», vous serez rétabli. Amen. Croyez maintenant de tout votre coeur.

            J’aimerais vous poser une question: Quand je lui ai parlé de la maladie du coeur, quelque chose vous est arrivé, n’est-ce pas? En effet, c’est ce dont vous souffriez aussi. Pendant que vous vous teniez là dans l’assistance il y a quelques minutes, vous avez dit: «Oui, je crois.» Et depuis ce moment-là même, il y a un changement en vous, n’est-ce pas? C’est vrai, c’est exact. Je sais, mais quand vous m’avez entendu dire à cet homme ce que j’ai dit, alors quelque chose, vous vous êtes sentie bien, n’est-ce pas? Maintenant, c’est ce qui vous est arrivé pour apporter votre guérison. Croyez-vous cela de tout votre coeur? Venez donc ici.

            Bienveillant Père céleste, je Te prie, au Nom de Jésus-Christ, de manifester Ton amour envers cette femme et de la guérir, et de la rétablir complètement, alors que je lui impose les mains, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

59        Maintenant, je me demande, là dans l’assistance, combien croient maintenant de tout leur coeur? Croyez-vous? Levez la main. Y a-t-il ici quelqu’un qui n’est pas chrétien avant que nous priions pour d’autres malades, qui dira: «J’accepte maintenant Jésus comme mon Sauveur. J’ai eu un peu peur dans ma vie»?

60        Que Dieu vous bénisse, jeune homme, assis là. Que Dieu vous bénisse, madame, debout là avec l’enfant. Quelqu’un d’autre voudrait-il lever la main pour dire: «J’accepte maintenant Jésus-Christ comme mon Sauveur»?

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Souvenez-vous, vous ne serez plus jamais probablement, jusqu’à ce que vous arriviez au Ciel, dans Sa Présence comme vous y êtes ici même, Le voyant se mouvoir parmi les gens.

            Quelqu’un d’autre voudrait-il, pendant que nous inclinons la tête juste un instant...?

61        Père céleste, Tu veux que les gens croient en Toi. Tu veux que les gens T’aiment. Quatre ou cinq ont levé la main, montrant qu’ils T’acceptent comme leur Sauveur personnel. Je Te prie, Père, de traiter maintenant même, et que les hommes et les femmes qui ne sont jamais venus à Toi, ou peut-être qui se sont éloignés de Toi, et de l’Eglise, de l’adoration, et qui veulent revenir à Toi, et ils savent que Tu es ici, ils–ils savent que c’est Toi qui leur parles maintenant même, je prie qu’ils lèvent humblement la main vers Toi, sachant qu’un jour, ils auront à Te rencontrer, et peut-être avant la fin de cette année, ou peut-être avant la fin de cette semaine, ils pourront venir à Ta rencontre. Et ils aimeraient venir en paix, sachant que leurs péchés sont pardonnés.

            Et, Père, je leur donne, par Ta Parole, la promesse que Tu as faite: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit en Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et il ne viendra point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

62        Pendant que nous avons nos têtes inclinées, et que la musique est en train de jouer, je me demande, ami chrétien, ou ami pécheur, s’il y a quelqu’un ici, non pas vers moi, votre frère, mais sachant que le Seigneur Jésus est près, voudriez-vous lever la main?

            Avec vos têtes inclinées, que personne ne regarde, s’il vous plaît. Levez simplement–levez simplement la main vers Dieu et dites: «Par cette main levée, j’aimerais accepter Jésus maintenant comme mon Sauveur, pendant qu’Il est si près de moi. J’aimerais L’accepter comme mon Sauveur.» Voudriez-vous lever la main?

63        Que Dieu vous bénisse, vous, vous, vous là en bas, jeune dame ; vous, petit garçon ; vous, madame ; et vous. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Que le Seigneur Jésus soit miséricordieux envers vous tous. Y en a-t-il ici qui fréquentaient autrefois l’église et qui assistaient dans une église quelque part, et vous vous êtes simplement éloignés de l’église? Vous ne fréquentez plus l’église. Peu m’importe l’église. Cela importe peu. Mais vous aimeriez retourner à votre église et reprendre votre communion avec les enfants de Dieu, et vous aimeriez qu’on se souvienne de vous dans la prière, afin que Dieu vous accorde d’y retourner, levez la main ; voudriez-vous le faire? Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! Il y a une douzaine de mains, je pense, levées. Eh bien, c’est merveilleux. Allez-vous faire ça? Notre frère, le pasteur, va vous appeler à l’autel d’ici peu, le frère Junior Jackson pour cet appel à l’autel, d’ici quelques instants.

            Mais j’aimerais vous poser une question. Croyez-vous maintenant que le Seigneur Jésus est ici? Aimeriez-vous être guéri? Voudriez-vous lever la main? Levez simplement la main pour montrer que vous aimeriez être guéri. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.

            Maintenant, avec vos têtes inclinées, je vois une dame assise juste ici, juste un instant. Oui, elle souffre d’une maladie gynécologique, assise juste ici avec la main levée vers sa tête. Que Dieu vous bénisse, soeur. Votre main a été levée il y a quelques minutes. Vous n’avez plus à vous inquiéter. Dieu vous guérit. Votre foi...

64        Frère, vous assis là derrière, en train de me regarder, bougeant avec une espèce de paralysie, vous souffrez de la prostatite, il vous faut vous réveiller la nuit, n’est-ce pas? C’est vrai, oui, monsieur. Et maintenant, c’est vrai, croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit? Si vous croyez, très bien, alors vous pouvez recevoir votre guérison. Que Dieu vous bénisse. C’est bien.

            Maintenant, soyez vraiment respectueux, tout le monde. En haut au balcon, ici à ma droite, quelqu’un là qui dit: «Seigneur Dieu, je crois en Toi de tout mon coeur. J’aimerais qu’on se souvienne de moi dans un mot de prière maintenant même.» Voudriez-vous lever la main, peu importe d’où vous venez? Que Dieu vous bénisse, fils. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.

            Je vois un courant d’eau ; c’est un missionnaire assis ici en train de prier aussi. Que le Seigneur Dieu vous bénisse, ma soeur, et qu’Il vous accorde le désir de votre coeur aussi. Que le Seigneur soit avec vous.

            Vous direz: «Comment savez-vous cela, Frère Branham?» Eh bien, c’est ça ; voici ce que c’est: l’Ange du Seigneur est présent.

            Eh bien, vous... Je vais vous demander de faire quelque chose. Vous qui êtes assis près de quelqu’un à côté de vous...?... qui est malade, voudriez-vous lui imposer les mains juste un instant pour un mot de prière? Imposez-vous les mains les uns aux autres pour un mot de prière. C’est bien. Dieu exaucera aussi votre prière. Il vous aime. Il est ici, et Il veut vous guérir.

65        Notre Père céleste, je T’amène cette assistance maintenant même, sachant que Tu es ici et que Tu n’as jamais failli dans un seul cas. Tu ne faillis jamais, Seigneur. Tu es Dieu et Tu ne peux jamais faillir. Et Ton attitude envers ces dix ou quinze personnes qui sont passées par l’estrade ce soir, c’est la même attitude que Tu affiches envers tout un chacun. Plusieurs là dans l’assistance, peut-être, huit ou dix là dans l’assistance, sur qui Tu as montré des visions, Tu leur as déclaré leurs maladies et ce qu’ils étaient, eh bien, Tu es le Seigneur Jésus. Tu les connais tous. Et Tu peux révéler à Tes humbles serviteurs ce qui est nécessaire.

66        Et je Te prie, Père céleste, maintenant même, de les voir tels qu’ils sont maintenant... Et je prie que dans Ton grand coeur qui, je le sais, dépasse de loin ce que la compassion humaine peut être, mais regarde-les, vois leur besoin, et guéris tout le monde. Seigneur, Tu connais leur condition, et je Te prie au Nom de Jésus, maintenant même, de les guérir. Et l’ennemi, le démon, qui les a liés, et l’incrédulité qui les a liés aux circonstances, je t’adjure, ennemi de Jésus-Christ, de sortir des gens, de les quitter, au Nom de Jésus-Christ.

            Maintenant, avec vos têtes inclinées, croyant de tout votre coeur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici en train de vous guérir, que vous êtes assis dans Sa Présence et vous croyez. Et alors que vous croyez de tout votre coeur, et que vous croyez que vous pouvez accepter votre guérison, avec vos têtes inclinées, levez la main, vous sentez que vous pouvez accepter votre guérison, que vous êtes guéri.

            Que Dieu vous bénisse ; c’est merveilleux. Toute l’assistance et tout le monde, je crois, qui a levé la main, est en train d’accepter maintenant sa guérison. Que le Seigneur vous bénisse pendant que nous inclinons de nouveau la tête pour un mot de prière de la part de frère Junior Jackson, avec vos têtes inclinées.

            Très bien, Frère Jackson. Que le Seigneur...?...

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