La Preuve Infaillible De La Résurrection

Date: 57-0114 | La durée est de: 2 heures et 6 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, frère. Vous pouvez vous asseoir. Je suis très content d’être ici ce soir au Nom du Seigneur Jésus, de vous saluer tous, et d’avoir ce moment de communion. Et j’ai confiance au Seigneur Dieu que ça sera pour vous une bénédiction, ma venue, autant que c’en est pour moi d’être ici.

            Et j’étais... Vous pensez peut-être que c’est une chose étrange à dire, mais ceci est bien le genre de lieu où j’aime venir prêcher, juste comme celui-ci, là où vous pouvez tous être proches, ensemble, et nous... Vous savez, quand on entre dans de très grandes réunions, on trouve trop d’incrédulité au point que c’est compact, les puissances démoniaques à combattre. Et ici, eh bien, c’est... Nous formons juste un petit groupe de gens assemblés.

2          Hier soir je prêchais à une petite église qui, (Oh!) peut-être, est de deux ou trois fois, trois ou quatre, cinq fois la taille de celle-ci. Et quelqu’un a dit à mon arrivée, il a dit: «Frère Branham, comment vous sentez-vous en venant en un lieu comme celui-ci après que le Seigneur vous a aidé à prêcher à beaucoup de gens?»

            J’ai dit, quand je suis monté à l’estrade, j’ai dit: «Le prochain endroit où je vais aller offre des places assises à environ soixante ou soixante-dix personnes, juste un petit endroit.»

            Mais c’est exactement ainsi que j’aime que ça soit. C’est ici que les gens peuvent réellement... Vous... tout le monde bien assis... La Bible dit que nous pouvons nous assembler dans les lieux célestes en Jésus-Christ et avoir bien une communion les uns avec les autres, pendant que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu nous purifie de toute iniquité. Et du fond de mon coeur, je–je considère ceci comme un privilège. C’est vrai.

3          Je me rappelle la première réunion que j’aie jamais tenue, ma propre réunion, quand le Seigneur m’a envoyé prêcher. C’était une réunion de prière dans une petite maison; il y avait environ une douzaine d’entre nous là. Je pense que j’avais prêché toute la nuit. Je... Au mieux de mes souvenirs, j’étais donc resté là toute la nuit.

            C’était vraiment très bon, et je n’avais pas assez d’intelligence, ou je n’avais pas non plus assez d’intelligence pour retenir la bénédiction qui se déversait. J’ai donc simplement laissé la chose aller comme ça. Et c’était merveilleux.

            Et je–j’aime venir aux petites réunions. Il y a à ce sujet quelque chose que j’aime. Eh bien, cela a peut-être été, amis, que si le Seigneur a vu cela comme ça ou a placé cela sur mon coeur, j’ai eu la grande occasion de pre... de mettre un... sinon je me serais disposé à ne pas venir peut-être à une réunion. Je ne pouvais pas me permettre de faire cela.

4          Il y a quelques soirées, j’étais à une–une réunion où quelqu’un avait fait une déclaration, disant: «Eh bien...» Je pense qu’il essayait tout simplement de me jeter un petit bouquet. Le pasteur est un homme de bien. C’était très loin donc. Vous ne pourrez pas savoir qui c’était, ce–c’était donc là, très loin en–en Virginie, en Virginie de l’Ouest, à Parkersburg.

            Alors, j’étais assis dans une petite pièce, attendant d’entrer dans un petit auditorium d’environ, oh! pas plus, je pense, de deux mille cinq cents personnes. Et alors, ce frère s’est levé, il a dit: «Il y a une chose que j’aime chez frère Branham.» Il a dit: «Nous essayons de faire venir Untel et Untel, et chacun d’eux a dit: ‘Je ne peux pas venir. C’est trop petit. Il n’y en a pas–il n’y en a pas assez là pour que je vienne.’» Et il a dit: «Nous avons demandé à un autre homme, et...»

5          Eh bien, nous nous connaissons les uns les autres, je pense. Ils ont demandé à frère Roberts, et frère Coe, et à beaucoup d’autres. Et ils disaient... Et ils ne pouvaient simplement pas y aller. Voyez? Et je–j’écoutais simplement. Je me suis dit: «Eh bien, c’est gentil de la part du frère de dire cela, mais il y a juste un petit–un petit ça ne va pas là-dedans, qui ne fait réellement pas...» C’est la vérité, mais ce n’est pas exactement toute la vérité, vous savez. Et c’est du genre à rendre cela horriblement mauvais.

            Alors, j’ai dit: «Regardez. La raison pour laquelle...» Eh bien, je suis monté à l’estrade, j’ai dit: «J’apprécie toute votre gentillesse, et tout à ce sujet, et votre remarque. Mais le pasteur, vous pouvez... La raison pour laquelle ce frère... Frère Roberts aimerait venir, mais il ne pourrait simplement pas le faire. Voyez? Il a beaucoup d’obligations. Il doit avoir environ sept ou huit mille dollars par jour, sinon il ne peut pas exister. Voyez? Il a une radio qui émet à l’échelle internationale et une télévision à l’échelle nationale, et un–un journal avec un million d’abonnés. Comment un tel homme peut-il venir à un petit endroit? Il ne peut pas le faire. Ses revenus doivent s’élever à plusieurs milliers de dollars par jour. Simplement il... Il s’est lié par une telle obligation qu’il–il doit avoir cet argent-là.»

6          Eh bien alors, j’ai pensé aux autres, c’est pareil. Eh bien, ces hommes sont des hommes de bien. Ce sont des hommes merveilleux. Ce sont des frères. Ils–ils aimeraient faire cela, mais ils ne peuvent pas le faire. J’avais donc vu cela il y a longtemps. Aussi ne me suis-je pas lié moi-même à un endroit. Même si le Seigneur m’appelait auprès de deux personnes, je pourrais partir.

            Voyez, je n’aimais pas un lien tel que je ne pourrai pas aller, ou faire... Eh bien, le Seigneur m’a permis de prêcher devant de tout petits groupes de quatre ou cinq ou six personnes, et–et de petits groupes comme cela, peut-être de cinquante ou soixante personnes. Et puis, Il m’a permis de prêcher à cinq cent mille personnes à la fois. Voyez?

            Ainsi donc, s’Il veut que je vienne ici, ou à un tout petit endroit, ou même là où il n’y a que cinq personnes ou deux personnes, une seule personne ou aller seul, cela ne fait aucune différence. En effet, j’ai simplement un... juste une toute petite obligation, juste une toute petite. Juste mon petit bureau, c’est tout ce que j’ai à faire fonctionner. Et il ne me faut pas avoir de l’argent. Ainsi, cela... Le Seigneur en prend donc soin pour moi, je n’ai donc pas à solliciter de l’argent, ou faire... Ainsi, je peux simplement aller où Il m’ordonne.

7          Ainsi donc, s’Il veut que j’aille outre-mer, à certaines de ces grandes réunions, vous savez quoi? Il a bien beaucoup de millionnaires qui aiment parrainer cela. [Frère Branham rit.–N.D.E.] Je ne me ferais donc pas de souci pour rien au monde. Je–je préférerais donc être libre. C’est vrai. Et de la sorte si je veux aller là où le Seigneur me conduit, j’aime le faire.

            Et c’est certainement un privilège d’être ici ce soir avec frère Jackson et vous tous, de braves gens, les saints du Dieu vivant. Et ce soir, je sens que j’ai devant moi les élus de Sturgis (C’est vrai.), le Sang du Seigneur Jésus, ou plutôt les rachetés par Son Sang. C’est vrai. Les rachetés...

8          J’ai souvent fait la remarque que j’aurais bien voulu avoir un petit verre ou un petit récipient avec deux gouttes du Sang littéral de Jésus à l’intérieur. Oh! Comme je tiendrais cela! Mais, vous voyez, ce soir j’ai plus que cela à Ses yeux. J’ai les rachetés par Son Sang. Il–Il vous a tellement aimés qu’Il vous a donné Son Sang afin que vous soyez Siens. Il a donc donné gratuitement Son Sang pour vous; ainsi, vous êtes à ma disposition ce soir pour la cause de l’Evangile. Ainsi donc, je–je trouve donc que c’est un privilège d’être ici.

            Eh bien, non seulement juste une soirée, mais nous avons deux soirées pour ça. Oh! la la! C’est chouette. J’aurais bien voulu que ça soit même plus. Mais je dois prendre juste un petit repos. En effet, je vais aller à Lima, par ici, Lima, dans l’Ohio, chez les baptistes. S’il y en a parmi vous qui vont de ce côté-là, c’est au Memorial Auditorium de Lima, dans l’Ohio. Et ce sont les baptistes qui parrainent cette réunion là-bas. Docteur Lee Vayle est l’un de ceux qui parrainent.

9          Et ensuite, de là, nous irons à–à Minneapolis, Minnesota, pour dix soirées. Léo, je sais que tu ne savais pas cela, et moi non plus. Mais voici ce qui s’est passé. Frère Léo... Si ces deux amis loyaux à moi, Léo et Gene, n’étaient pas venus me dire que Gordon Peterson avait une émission qui couvrait le Canada et les Etats-Unis, que je devais être là à partir du dix, je n’aurais même pas su qu’il y avait une réunion là. Je n’avais jamais entendu parler de quelque chose à ce sujet.

            Et voilà, dans un sens, ne pas avoir de moyen de communication me cause des ennuis. Les gens pensent que je suis malhonnête. Mais tant que le Seigneur sait mieux que cela, c’est tout ce qui importe. Mais j’ai été annoncé à quatre ou cinq endroits à la fois alors que je ne savais rien à ce sujet. Voyez?

10        Il n’y a pas longtemps, j’étais en Allemagne. Il y avait une dame de la Virginie qui avait téléphoné ma femme et avait dit: «Nous regrettons certainement d’apprendre que frère Branham est malade.» Elle a dit: «Pensez-vous qu’il sera ici demain soir?»

            Eh bien, elle a dit: «Chérie, je ne savais pas qu’il était malade.» Et elle a dit... Eh bien, elle a dit: «Soeur Unetelle, quelqu’un avait une église par là, il avait loué un grand auditorium.» Elle a dit: «Le lieu était bondé.» Et elle a dit: «Frère Branham devait être ici hier soir, et elle a attendu et attendu...» Elle a dit: «Eh bien, le Seigneur lui a donné un message, alors elle est allée de l’avant, elle a prêché et prié pour les malades. Et elle a dit: ‘Attendez, je reviendrai d’ici peu et je découvrirai pourquoi frère Branham n’est pas venu.’ Elle est donc revenue peu après, et a dit: ‘Je lui ai parlé il y a quelques instants, et il a dit qu’il se sentait vraiment très mal, qu’il–qu’il ne pourrait pas venir ce soir, mais qu’il serait certainement là demain soir; ainsi, vous tous, revenez.’»

            Eh bien, elle a dit: «Chérie, c’est faux. Frère Branham est en Allemagne en train de prêcher, il y a de cela deux semaines, et il a encore deux ou trois semaines à passer là-bas.» Vous y êtes donc. Et c’est ce qu’on attrape.

11        Et je–je ne savais pas... Dieu est mon seul Juge, je n’avais jamais rien su sur cette réunion-ci, là, avant que Léo et Gene viennent m’annoncer qu’on la diffusait à la radio au Canada et partout. Et je n’avais jamais rien entendu à ce sujet jusque-là. Ainsi donc, j’ai téléphoné frère Moore et j’ai dit: «Frère Moore, savez-vous quelque chose à ce sujet?»

            «Non.»

            Eh bien, j’ai dit: «Eh bien, frère Léo et Gene m’ont dit qu’on me–m’avait annoncé.» Alors, il a contacté frère Peterson, il a dit: «Alléluia! Oui, c’est le Seigneur qui l’a dit.» Et il a déjà mis cela...

12        Eh bien, je... pour–pour essayer de me tirer d’affaire, j’ai dû annuler la réunion de soeur Coe. J’allais là où frère Jack Coe venait de décéder. Vous le savez. Et sa femme est vraiment dans le besoin, avec un grand procès contre elle, de cinq mille dollars, et tout le reste. Et–et elle a vraiment besoin de l’assistance, pour conserver son petit troupeau.

            Alors, j’allais là pour lui accorder de l’assistance. Je n’avais pas encore promis, mais c’était dans les prévisions. J’avais déjà envoyé quelqu’un voir à ce sujet. Elle m’a appelé et m’a demandé. J’ai dit: «Laissez-moi prier là-dessus, soeur Coe.» Et–et... Ou frère Grant m’a appelé, et alors j’ai dit: «Je vais vous rappeler.» Et j’ai demandé à frère Jack d’y aller.

            Jack m’a appelé, il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, on a déjà fait des annonces, les billets ont été distribués et tout le reste.» Et il a dit: «Les Hommes d’Affaires Chrétiens attendent chaque matin, le seize, pour le petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens.»

            Eh bien, j’ai dit: «Appelez alors soeur Coe, dites-lui que je ne pourrai pas venir. J’aurai à faire cela.»

13        Vous y êtes donc. Alors, quand il s’élève quelque chose comme cela, comme le dit un ancien proverbe que ma mère utilisait: «Peu importe combien mince est la tranche que vous découpez, elle a deux faces.», c’est donc vrai. Alors, j’ai...

            Ceci... Etre ici avec frère Jackson quand j’ai vu que j’allais venir ici à South Bend pour être avec frère Thoms, un homme très bien. Hier soir, je me disais que ce serait merveilleux si je pouvais faire un saut par ici, chez vous, la petite église, qui se souvient de moi, dans les oeuvres missionnaires et tout, très fidèle et loyale, venir ici et passer juste quelques soirées de communion avec vous.

            La dernière fois que j’étais ici, nous avions juste eu un service de prédication par là. Et, oh! je ne suis pas un fameux prédicateur. Non, je me lève, je parle, je bave comme un cheval mangeant le trèfle. Mais savez-vous ce qui–ce qui me fait faire cela? Je suis à Canaan, mangeant de nouveaux raisins, vous savez. Cela vous amène à agir plutôt–plutôt ainsi, vous savez.

14        Je me suis donc dit que, peut-être, si nous venons cette fois-ci, et dans un petit bâtiment comme celui où nous sommes ce soir, que nous nous assemblions et priions, peut-être que le Seigneur descendrait nous bénir et guérir certains parmi les malades par ici. Je fais donc confiance qu’Il le fera.

            Et maintenant, sans parler davantage, j’aimerais lire une portion de Son Livre. Or, il y a beaucoup de choses dans ce Livre que je ne connais pas. J’ai... je n’ai jamais eu l’occasion d’acquérir une bonne instruction. J’ai été ordonné, et mon ordination, c’est toujours de l’Eglise missionnaire baptiste et... là d’où je viens.

            Et j’aime la communion avec les baptistes, et non seulement les baptistes, mais avec tous les frères partout. Seulement je... Je crois qu’il n’y a qu’un seul Corps, et c’est le Corps de Christ. Et tous les croyants sont dans ce Corps-là.

15        Maintenant, nous pouvons être différents les uns des autres. Et j’ai toujours pensé que la raison pour laquelle nous sommes ainsi, peut-être, c’est qu’un corps (Voyez?), ne pas reconnaître les différents dons ministériels qui sont dans ce corps, vous voyez. Croyez-vous dans les dons de l’Esprit? Certainement, tant que c’est Dieu, le surnaturel. Eh bien, ces dons, beaucoup d’entre eux peuvent être différents les uns des autres, mais ils sont... La Bible dit dans 1 Corinthiens 12 qu’il y a divers dons, mais le même Esprit. Cela...

            Dieu est juste comme un très gros diamant qui a–qui a été taillé et rendu magnifique, et Dieu a si bien arrangé Ses affaires sur la terre qu’Il est à mesure, comme ce gros diamant... La lumière sur le diamant, ça donne des reflets de la lumière. Certains d’entre eux peuvent être bleus, d’autres peuvent être verts, dans un véritable et réel diamant à carat. Et chaque lumière donnera une couleur différente peut-être, mais tout cela reflète le même grand diamant.

16        Et c’est ainsi que sont les dons spirituels. Le nez ne peut pas dire à la bouche: «Je n’ai pas besoin de toi, sois... Tu n’es rien dans le corps.» Et c’est ce que je pense, peut-être qu’il peut y avoir un–un peu de malentendu entre différents frères. Mais je pense, dans le coeur, nous voulons tous être un. Et un jour, nous le serons, car Jésus a prié afin que nous le soyons. Et nous le serons un jour.

            Maintenant, je... La Bible est écrite de diverses manières. C’est une histoire d’amour; un prophète, et c’est aussi une histoire. Et nous pouvons tirer beaucoup de choses de la Bible, comme cela, différentes approches de Cela. Mais tout cela, c’est la Parole de Dieu, et c’est écrit comme cela, afin que Cela soit caché aux sages et aux intelligents, et que Ça soit révélé aux enfants qui veulent... qui peuvent... qui veulent apprendre, a dit Jésus. Il a loué le Père pour cela.

17        Or, ce n’est pas le fait de connaître la Bible qui est la Vie, même s’il est merveilleux de connaître la Bible. Mais saviez-vous que Satan est un érudit versé dans la Bible? Il l’a prouvé dans le débat avec notre Seigneur. Il était formidable. Alors, connaître la Bible, ce n’est pas la Vie. Connaître votre catéchisme, ce n’est pas la Vie. Connaître votre théologie, ce n’est pas la Vie. Mais Le connaître, Lui, c’est la Vie; connaître l’Auteur de ce Livre, c’est la Vie. C’est donc une bonne chose qu’Il ait fait cela comme ça, car une personne comme moi, un–un illettré... Je–je suis content d’avoir le privilège de Le connaître.

            Et maintenant, quand nous lisons Son Livre, il n’y a que Lui seul qui peut Le révéler, L’ouvrir. Inclinons la tête juste un instant et parlons à l’Auteur.

18        Notre Bien-Aimé Père céleste, c’est certainement un grand privilège de nous tenir ce soir devant ce groupe de gens avec Ta Parole ouverte. Et nous savons que Cela n’est l’objet d’aucune interprétation particulière. Et Toi seul, Seigneur, Tu peux interpréter Ta Parole. Et nous Te demandons d’être si bienveillant envers nous pour venir ce soir et envoyer le Saint-Esprit, qu’Il puisse entrer directement dans la Parole et qu’Il nous L’interprète; c’est la Vie.

            Car nous sommes un peuple affamé qui désire connaître la vérité. Et nous ne voulons pas connaître la vérité pour débattre des points donnés. Nous aimerions connaître la vérité afin que nous soyons libres devant Dieu, et que nous devenions Ses serviteurs, et que nous soyons alors capables d’aider les autres à connaître le Seigneur Jésus.

            Et ce soir, nous Te demandons de nous bénir par Ta Présence. Et que le Saint-Esprit prenne la Parole et l’amène à chaque coeur selon que nous En avons besoin. Et alors, à la fin de la réunion, nous serons reconnaissants, Père, nous Te rendrons toute la louange. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

19        Comme lecture de la Parole, allons dans Saint Matthieu, chapitre 28; voici ce que nous lisons à partir du verset 10.

Alors Jésus leur dit: Ne craignez pas; allez dire à mes frères de se rendre en Galilée: c’est là qu’ils me verront.

Pendant qu’elles étaient en chemin, quelques hommes de la garde entrèrent dans la ville, et annoncèrent aux principaux sacrificateurs tout ce qui était arrivé.

Ceux-ci, après s’être assemblés avec les anciens et avoir tenu conseil, donnèrent aux soldats une forte somme d’argent,

En disant: Dites: Ses disciples sont venus de nuit le dérober, pendant que nous dormions.

Et si le gouverneur l’apprend, nous l’apaiserons, et nous vous tirerons de peine.

Les soldats prirent l’argent, et suivirent les instructions qui leur furent données. Et ce bruit s’est répandu parmi les Juifs jusqu’à ce jour.

            Et maintenant, dans l’Evangile de saint Luc, le chapitre 24 de Saint Luc, à partir du verset 31, nous lisons:

Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent; mais il disparut de devant eux.

Et ils se dirent l’un à l’autre: notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu’il nous parlait en chemin et nous expliquait les Ecritures?

20        Maintenant, ce sont les Paroles de la Bible. Et ça a été pour moi un privilège, en toute humilité, de prêcher la Bible à travers le monde, et par la grâce de Dieu, c’est le deuxième million d’âmes que je gagne pour Lui à travers le monde. Et j’ai trouvé que c’est un Livre vrai, et chaque promesse est absolument la vérité. Chaque promesse Là-dedans est une semence, et une semence dans une bonne terre produira ce que la semence est, la vie de la semence.

            Et maintenant, nous aimerions prendre ce soir comme sujet juste pendant quelques minutes, à l’horloge, et cela vient de... Je soutiens la résurrection du Seigneur Jésus et la preuve infaillible de la résurrection.

21        Maintenant, des hommes peuvent dire tout ce qu’ils veulent. Et beaucoup disent des choses qu’ils ne devraient pas dire. Et... Mais quand Dieu dit quoi que ce soit, c’est la vérité pour toujours. Dieu ne peut pas changer cela, car Il l’a une fois prononcé. «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.»

            Et alors, ce qu’est une parole, c’est une pensée exprimée. Et une fois que Dieu a pensé comment Il allait élaborer le plan de la rédemption, comment Il rachèterait l’homme par la prescience, sachant qu’il y en aurait qui désireraient cela, il y en aurait qui seraient rachetés. Il a conçu le plan, et alors, quand Il a prononcé la Parole, c’était une oeuvre déjà achevée au Ciel, aussitôt que Dieu L’avait prononcée.

22        La Bible nous apprend que Jésus était un Agneau immolé avant la fondation du monde. Nous comprenons qu’en réalité Il n’a été immolé, que quatre mille ans plus tard. Mais une fois que Dieu avait prononcé la Parole, c’était une oeuvre achevée, aussitôt que Dieu avait prononcé Cela. Il avait été immolé jadis dès la fondation du monde, quand Dieu avait vu cela d’avance et qu’Il avait su ce qu’Il ferait, et Il avait prononcé la Parole. Et c’était terminé là même.

            Et pour vous encourager un peu... En fait, Je trouve parmi les chrétiens américains que ce grand manquement, c’est–c’est la peur. Les chrétiens américains semblent avoir peur que Dieu ne tienne pas Sa Parole, et ils ont peur que si on ne fait pas pression, on ne tient pas ferme ou quelque chose... Il n’y a rien que vous puissiez faire, pour commencer; il s’agit de ce que Dieu a déjà fait.

23        Vous n’avez jamais cherché Dieu, quand bien même vous pensiez l’avoir fait. Mais la Bible déclare que vous ne l’avez pas fait. Nul homme ne cherche Dieu. De par sa nature, depuis le jardin d’Eden, il a prouvé qu’il est un lâche, et il fuit quand il pèche. Ce n’était pas Adam qui a appelé Dieu, c’était Dieu qui appelait Adam.

            Et la Bible dit, afin que vous soyez rassuré, que vos noms ont été écrits dans le Livre de Vie, vos noms, vous qui êtes dans le Corps de Christ ce soir, ont été écrits dans le Livre de Vie avant la fondation du monde. C’est ce que la Bible dit dans Apocalypse. Et il a séduit tous les habitants de la terre, ceux dont les noms n’avaient pas été écrits dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde. Donc, quand l’Agneau, selon la grande prescience de Dieu, fut immolé ici, par Sa Parole au commencement, vous avez été immolé avec Lui, à la fondation du monde.

24        Et maintenant, quand Dieu a promis une Postérité royale qui viendrait comme un Sauveur, ça a été l’oeuvre de notre... l’ennemi de Dieu, le diable, de chercher à détruire cette Postérité sur toute la ligne. La première chose, quand le fils, le juste, naquit, Abel; l’injuste naquit, Caïn, le premier, il tua Abel, pensant avoir attrapé cette Postérité juste.

            En effet, il était là quand Dieu avait prononcé des jugements perpétuels sur la terre, contre les gens, contre le serpent et contre le sol, Il a promis qu’au travers de la femme viendrait une Postérité. Et cette Postérité écraserait la tête du serpent. Et le serpent a combattu cette Postérité tout au long de l’âge, et il continue à La combattre.

25        Alors, en tuant Abel, il pensait L’avoir eue, en effet, il avait détruit l’unique juste de la postérité. Puis, Dieu a suscité Seth pour prendre sa place, un beau type de la mort de Christ et de la résurrection de Christ. Et puis, il a pensé L’avoir eue quand il avait eu les prophètes. Il a pensé L’avoir eue quand il avait eu Jean. Mais quand finalement il a tué la Postérité juste, et qu’Elle a été ensevelie, le troisième jour, Dieu L’a ressuscitée d’entre les morts, le Seigneur Jésus.

            Eh bien, c’est une preuve infaillible pour les sceptiques, et–et les infidèles, et les autres religieux, les prédicateurs sociaux, qui prêchent un évangile social et tout, qui nient la naissance virginale et la résurrection. Pour moi, cela dépouille le christianisme de son fondement même.

26        Récemment, dans–dans... Outre–Outre-mer, à Zurich en Suisse, le célèbre évangéliste, Billy Graham, était dans un stade un après-midi, clôturant sa réunion, un samedi, et j’avais pris l’avion juste à temps pour avoir l’occasion de suivre la dernière partie de sa réunion. Et moi, je commençais le dimanche. Là, le Seigneur nous a donné cinquante mille précieuses âmes pour Son Royaume.

            Et alors, là, j’entendais Billy prêcher sur la Divinité suprême du Seigneur Jésus, je me suis demandé pourquoi il avait pris un tel sujet. Plus tard, j’ai découvert, et de par leurs propres écrits, qu’ils s’accrochaient aux anciens enseignements de Zwingli sur les Ecritures, de là sont venus Calvin, Luther, et Zwingli. Mais Zwingli croyait que Jésus était le Fils de Dieu dans un sens tel qu’Il était le Prophète dont Moïse avait parlé, mais qu’Il n’était pas né d’une vierge.

27        Si vous enlevez la partie de Sa naissance par une vierge, alors ça devait être par le sexe. S’Il est venu par le sexe, Il était mortel. Son Sang ne peut pas faire l’expiation pour nous, si Joseph était Son père, alors mon sang ou le vôtre peut faire l’expiation. Il était le Fils de Dieu né d’une vierge. Voyez? Aucun homme n’avait eu rien à faire du tout avec cela. Dieu, le Père, avait couvert de Son ombre une vierge et avait créé une cellule de Sang, c’est ça qui a donné naissance au Fils du Dieu vivant.

            Quand Dieu couvait la terre au commencement par le Saint-Esprit, il n’y avait rien ici. Et quand le Saint-Esprit s’est mis à couver, la vie a commencé à sortir de la poussière, des fleurs, la vie botanique, la vie végétale, les oiseaux s’envolaient de la poussière de la terre, les animaux se sont levés de la poussière de la terre, et enfin l’homme a été tiré de la poussière de la terre. Entendez-vous cela?

28        Enfin, nos corps sont constitués de seize différents éléments de cette terre; c’est ce que les hommes de science nous disent: De la potasse, du calcium, du pétrole, de la lumière cosmique. Tous ces éléments, Dieu a amené le Saint-Esprit à les rassembler en couvant. Alors, nos corps gisaient sur la surface de la terre avant qu’il y ait une chose vivante sur la terre, d’après ma science et d’après la Parole. Dieu nous a tirés de la poussière de la terre, car Il a dit à Adam: «Tu es poussière, tu retourneras à la poussière.»

            Eh bien, nous étions quelque part dans la poussière de la terre. Nous sommes venus de la poussière de la terre. Comment sommes-nous arrivés ici? En mangeant la nourriture. Chaque fois que nous mangeons la nourriture, nous renouvelons notre vie, nous accumulons davantage de cellules de sang en nous. Et chaque fois que nous mangeons, quelque chose doit mourir afin que nous puissions vivre. Il nous est impossible de vivre si quelque chose ne meurt pas chaque jour.

            Que nous mangions de la viande de boeuf, le boeuf a dû mourir. Que nous mangions de la viande de brebis, eh bien, la brebis a dû mourir. Que nous mangions du poisson, un poisson a dû mourir. Que nous mangions du pain, le blé a dû mourir. Ou que nous mangions des pommes de terre, cela a dû mourir. C’est une vie. Nous vivons de substances mortes. Quelque chose doit mourir afin que nous puissions vivre physiquement.

29        Et puis, il y a en nous une âme immortelle, un esprit qui nous donne l’intelligence que nous avons, qui nous dit que nous sommes... qui forge en nous la personnalité que nous avons. Nous sommes cela par l’esprit qui est en nous. Et puis, si pour cet être quelque chose doit mourir pour prendre soin de ceci, afin que cela puisse vivre, à combien plus forte raison Quelque Chose doit mourir afin que ceci à l’intérieur puisse vivre encore. C’est l’âme immortelle qui vit de la mort du Seigneur Jésus-Christ, et c’est uniquement par la mort, car le Sang était l’antidote.

            Caïn, dans son ignorance, avait apporté les fruits du champ, les oeuvres de ses mains. Et beaucoup de gens continuent de penser que c’était correct, ils pensent qu’on peut faire quelque chose pour payer le prix d’entrer au Ciel. Vous ne pouvez pas faire cela. Ce n’est pas par la justice, mais c’est par Sa grâce que nous sommes sauvés, au moyen de la foi.

30        Aucun homme n’a cherché Dieu à aucun moment. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.» C’est vrai. C’est Dieu qui doit appeler.

            Si donc il a fallu le Saint-Esprit pour nous tirer de la terre en couvant, la première fois, et nous avons été ainsi créés sans que nous ayons pensé à ce que nous serions ou à quoi nous ressemblerions, et nous sommes ici aujourd’hui de cette façon-ci, car Dieu nous a aussi créés ... à combien plus forte raison, après que nous serons morts et que nos corps auront été emportés aux quatre vents de la terre, le Saint-Esprit pourra-t-Il, nous qui maintenant embrassons et appelons notre Seigneur...

            Et le mot couver veut dire faire l’amour. Et quand le Saint-Esprit faisait l’amour au calcium, à la potasse, au pétrole de la terre, Il a rassemblé cela; et de cela Il a formé un être humain, puis en retour, quand l’être humain Le reconnaît, et Lui fait l’amour, avec une promesse qu’Il nous ressusciterait dans les derniers jours, quel genre de foi devrions-nous avoir? Toute peur est dissipée. Eh bien, vous pouvez m’ensevelir dans la mer, mais la trompette me ressuscitera. Peu importe où, jusqu’où, ce qui arrive, nous allons venir de la poussière de la terre.

31        Eh bien, la preuve de ceci, Dieu nous a donné la consolation que, par le Fils de Dieu, le Juste, qui a versé Son Sang... Je n’ai jamais aimé utiliser le terme déchirure, car la déchirure, c’est un accident. Il n’a point fait cela par accident. Il savait ce qu’Il faisait, et Il l’a fait à dessein. Il a versé Son Sang librement au Calvaire, donnant Son Sang que Dieu Lui avait donné.

            Et la raison pour laquelle Dieu exigeait le sang, et un agneau, c’était pour l’expiation, pour faire l’expiation de nos péchés, sous forme de type, mais cela ne pouvait jamais ôter le péché, car le sang des animaux ne pouvait pas faire l’expiation du péché de l’homme. C’était seulement un type, car l’adorateur, une fois purifié, n’aurait plus eu confiance ou le désir du péché. Dans ce cas-ci, l’adorateur, une fois purifié, n’a plus le désir du péché.

32        La question du péché est réglée quand le Saint-Esprit entre dans le coeur humain. Il faut... Il renverse les raisonnements. Il va au-delà de notre faculté intellectuelle. Eh bien, aujourd’hui, la raison pour laquelle il y a trop de hauts et de bas et des choses parmi les gens religieux, c’est qu’il y a une conception intellectuelle de Christ. En d’autres termes, c’est dans leur esprit et non dans leur coeur. Voyez-vous cela? Ils croient simplement cela mentalement. Et vos facultés mentales raisonneront: «Cela peut-il être vrai? La guérison divine peut-elle être vraie? Le baptême du Saint-Esprit peut-il être vrai?» Eh bien, ce sont des raisonnements intellectuels.

            Mais une fois cela entré dans le coeur, c’est une foi. C’est sûr. Il n’y a pas du tout des questions à ce sujet. C’est réglé une fois pour toutes. C’est dans votre coeur. Et votre coeur ne raisonne pas, car c’est le trône, la demeure du Tout-Puissant, dans le coeur.

33        Maintenant, j’aimerais vous faire remarquer là que, par cette grande preuve infaillible que Dieu a donnée pour notre justification, Il a ressuscité Jésus après qu’Il eut fait l’expiation; et c’est Son Sang seul que le Saint-Esprit a pu donc revenir.

            Eh bien, examinons la vie humaine. Elle se réduit à une seule cellule. La cellule est venue du mâle, qui est le père. Le... Vous n’êtes pas le sang de votre mère; vous êtes le sang de votre père. Une poule peut pondre un oeuf, mais si elle n’a pas été avec un oiseau mâle, cet oeuf ne pourra jamais éclore, peu importe combien l’oeuf est parfait. Cela doit avoir le germe de la vie, et le germe vient du sexe mâle, pas de la femelle. Le pollen femelle, c’est un oeuf. Très bien.

            Maintenant, et quand ces deux se réunissent, cela commence à gonfler ou à se développer.

34        J’aimerais vous faire remarquer quelque chose. Comment quelqu’un peut-il donc penser que Satan, ou un médecin, ou un prédicateur, ou un chiropracteur, ou n’importe qui d’autre peut avoir quelque chose à faire avec la guérison? Toute guérison est guérison divine. Pouvez-vous vous imaginer, je me fracture le bras, je vais dire au médecin: «Guéris très vite mon bras. Je dois terminer mon travail»?

            Eh bien, il dirait: «Vous avez besoin de guérison de votre mentale, monsieur Branham.» Il dirait: «Je peux mettre votre bras en place.»

            «Docteur, je me suis blessé à la main. Je n’arrive pas à travailler avec cette main-là, comme cela. Voudriez-vous guérir cela très vite, car je suis–je suis en train de mélanger un produit ici? Je dois terminer très vite. J’ai besoin de ma main.»

            Eh bien, il dirait: «Monsieur Branham, je ne peux pas guérir votre main.»

            Certainement pas. La Bible ne se contredit pas. Psaume 103.3 dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Mais ce qu’il fait, il peut seulement nettoyer cela. Ce qu’il peut faire, c’est mettre le bras en place. Et c’est ça son devoir. C’est ce qu’il a étudié, l’anatomie. Il–il travaille là-dessus, avec les différents médicaments pour empoisonner les microbes. C’est juste comme on met la mort-aux-rats dans votre ferme. Cela met... Cela tue les microbes, pendant que Dieu opère la guérison.

35        Voyez, ce n’est pas le médicament qui développe les cellules; en effet, le médicament n’a pas de vie en lui. Mais il n’y a que la vie qui peut développer les cellules. Et Dieu est la Vie. La Vie ne peut pas venir par Satan; en effet, s’il le pouvait, alors Satan serait un créateur. Et si Satan est un créateur, alors où en sommes-nous? Satan ne peut pas créer. Satan ne peut que pervertir ce qui est déjà créé. Et quand vous voyez un diseur de bonne aventure, ou une–une personne possédée de démons, ou quelqu’un qui agit mal, c’est seulement la justice pervertie.

            Quand vous voyez un homme qui n’est pas loyal, qui est infidèle à ses voeux de mariage vis-à-vis de sa femme, une femme immorale peut produire la même chose que sa femme. Vivre avec sa femme, c’est légal, c’est légitime, c’est saint, et c’est honoré de Dieu. Mais avec une autre femme, c’est la justice pervertie en mal. Voyez-vous ce que je veux dire?

36        Donc, Satan ne peut pas créer, il ne peut donc pas être un guérisseur: impossible. Un médecin ne peut pas être un guérisseur. Un médicament ne peut pas guérir. Cela peut seulement assainir pendant que Dieu guérit, car Dieu est la Vie. Et la Vie guérit...?... Ce n’est pas de la fiction. Il n’est pas question de toucher un mat totémique. Ce–ce–ce n’est–est–est pas, comme le dit une ancienne expression de la rue (si vous me le permettez) une supercherie. C’est une oeuvre achevée par le Dieu Tout-Puissant, ce qu’Il a accompli par Son Fils, au Calvaire; en effet, là, Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité; et le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été (au passé) guéris.

37        Maintenant, la raison pour cet élu, quand la cellule de sang d’un animal était brisée et que l’adorateur posait sa main sur l’animal mourant, sachant qu’il avait péché, et que le sacrificateur lui tranchait la gorge, il... ses veines, et le petit agneau restait étendu là, et sa petite laine baignait, comme cela s’était passé sur les mains d’Adam, ou plutôt d’Abel, et le petit animal saignait, gigotait, bêlait, mourait en bêlant...

            Le pécheur, l’adorateur, qui avait péché, venait et reconnaissait que c’était sa place à lui, de mourir. Mais Dieu se réconciliait avec lui par l’holocauste. En effet, il se réconciliait avec Dieu, car il reconnaissait qu’il était un pécheur et il avait offert un agneau à sa place.

38        Mais maintenant, quand la cellule de sang était brisée chez l’agneau, la vie qui était dans la cellule de sang était la vie d’un animal. Elle ne pouvait pas s’accorder avec la vie d’un humain. Mais quand la cellule de Sang d’Emmanuel fut brisée, alors Son Esprit, la Vie qui était dans la cellule de Sang d’Emmanuel, revient, ce n’est rien d’autre que le Saint-Esprit Lui-même.

            Et l’adorateur, une fois qu’il a le Saint-Esprit en lui, son coeur est changé. Eh bien, pas un changement du point de vue intellectuel de la Bible ou une conception d’un credo, mais un changement à partir d’une expérience, d’un témoignage de la résurrection. Jésus a dit: «Vous êtes Mes témoins après que le Saint-Esprit sera venu sur vous.» Ils n’étaient pas de témoins avant que le Saint-Esprit vienne. Ils ne pouvaient pas être des témoins avant le Saint-Esprit, car c’est Lui le Témoin... La Bible dit: «Nul ne peut appeler Jésus le Christ si ce n’est par le Saint-Esprit.»

39 Or, le diable a combattu... après qu’il a vu que... pensait avoir détruit cette Postérité, la Juste, au Calvaire. Et patientons un peu et voyons quelque chose qui se passe. Quel tableau! Pouvez-vous donc vous imaginer le Dieu omnipotent, omniprésent, omniscient, infini, laisser donc le diable vaincre Son dessein? Non, pas Dieu. Il ne le fera jamais.

            Quand Il a regardé Sa famille dans le jardin d’Eden, quand les jeunes Adam et Ève, la petite tête de sa chérie posée sur l’épaule d’Adam, alors qu’il parcourait le jardin... Et si les vents soufflaient et que la petite Ève disait: «Oh!»

            Adam disait: «Silence, tais-toi.» Et le vent s’arrêtait. Le lion et le tigre les suivaient. Ils étaient des chatons.

40        Et le soir, alors que le soleil se couchait et qu’ils se rendaient dans la cathédrale, sous les palmiers, ou je ne sais sous quels arbres c’était en Eden, ils se mettaient à adorer, une Lumière douce et agréable, Dieu, le Logos, descendait au sommet des arbres. Et Il disait: «Enfants, vous êtes-vous réjouis aujourd’hui sur la terre? Je suis descendu vous donner un baiser pour vous souhaiter bonne nuit», et pour les endormir. Et Il faisait coucher tous ces animaux pour qu’ils se reposent la nuit. Le Père disait: «C’est bien. J’aime ça tel que c’est fait.»

            Pensez-vous que le Père céleste serait vaincu dans Son dessein, même si Satan a fait ce qu’il a fait? C’est une impossibilité. Il ne sera pas vaincu. Il nous a donné une parfaite assurance, que nous ne devrions avoir peur de rien. Ou...

41        J’ai–J’ai été accueilli il n’y a pas longtemps en... Quand nous avons eu cinq cent mille personnes en une seule réunion à Bombay, en Inde... Et quand le maire de la ville a inauguré la réunion... Et cet après-midi-là, j’avais été accueilli par sept ou dix, quelque chose comme cela, différentes religions de l’Inde, les sikhs, les jaïns, les musulmans et les bouddhistes. Et eux tous reniaient le Seigneur Jésus. Et certains parmi eux ne voulaient même pas tuer une puce ou une mouche, ils pensaient que ça pouvait être leur mère. Ils croyaient dans la réincarnation.

            Comment pouvaient-ils jamais accepter le sacrifice du Sang? Mais cette nuit-là, après avoir passé deux heures, cherchant à traverser les rues pour atteindre le bâtiment, le bâtiment public pour parler... Quand notre Seigneur Jésus est descendu et qu’Il a ouvert les yeux d’un homme qui était complètement aveugle, des dizaines de milliers ont jeté leurs objets d’art bizarres et ont accepté le Seigneur Jésus.

42        A Durban, en Afrique du Sud, là où on avait mis une marque et on s’était occupé de trente mille personnes après un seul appel à l’autel, car Jésus est ressuscité d’entre les morts. Bouddha est mort il y a deux mille trois cents ans. Mahomet est mort il y a quelque chose, oh! comme environ mille neuf cents ans. Un cheval blanc est placé à sa tombe, attendant la résurrection. Tous les fondateurs, de sikhs, de jaïns, de toutes les religions, sont morts. Leurs fondateurs sont morts. Mais nous avons une tombe vide. Notre Rédempteur est ressuscité.

            Satan pensait L’avoir eu après L’avoir tué et L’avoir mis dans la tombe; et Il est allé et a prêché aux âmes qui étaient en prison. Mais à cette heure convenable, déterminée par Dieu le Père, dans Sa propre pensée, pour ressusciter le Seigneur Jésus, je peux Le voir se tenir à la tombe et dire: «Salut à tous. Et tout pouvoir au Ciel et sur terre m’a été donné. Allez par tout le monde et démontrez ces signes aux croyants. Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle.»

43        Paul a dit que l’Evangile n’est pas venu en Parole seulement, mais en manifestant la Parole, la puissance et les manifestations du Saint-Esprit, jusqu’où? Par tout le monde. A qui? A toute la création. Et les deux tiers du monde, en ce moment-même, n’ont jamais entendu parler du Nom du Seigneur Jésus. Combien de créatures n’ont jamais entendu parler de cela? Des millions et des millions n’ont jamais entendu parler de cela. Alors, l’Evangile est toujours en vigueur. «Voici, Je suis toujours avec vous, même jusqu’à la fin du monde.» Satan a commencé son mensonge là même. Mais quand les disciples L’avaient vu...

44        Et observons Dieu dans Sa puissance. Il est couché là dans la tombe, froid, pâle, une lance Lui avait transpercé le coeur, Ses pieds et Ses mains avaient été percés des clous. Il y avait encore des crachats sur Sa barbe, ceux des soldats moqueurs. Et ils avaient noué un lambeau autour de Sa tête, L’avaient frappé sur la tête, et on dit: «Eh bien, Toi, Voyant, Prophétiseur, dis-nous qui T’a frappé. Peut-être que nous pourrons te croire.» Il y avait encore des moqueries en l’air: «Descends de la croix. Accomplis un miracle devant nous, Toi faiseur des miracles, et nous croirons en Toi.»...

            Le même démon qui L’avait rencontré et qui avait dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle ici et laisse-moi te voir faire cela, je croirai en Toi.» Ce démon vit encore dans la chair humaine aujourd’hui. Mais c’est toujours un démon.

45        Ce Seigneur Jésus qui ne faisait pas de spectacles en public ni ne faisait le clown, Il ne faisait pas le clown pour les gens. Il faisait uniquement ce qui était correct, et le Père Lui montrait quoi faire. C’est ce qu’Il a dit dans Saint Jean 5.19: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Il ne pouvait pas mentir, car Il était Dieu. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

            Mais suivons-Le pendant qu’Il est là. La gravitation perd sa puissance. Maintenant, observez Ses pieds commencer à s’élever de la terre. Il y a une Lumière en-dessous de Ses Pieds. Il monte de plus en plus haut, de plus en plus haut. La gravitation avait perdu sa puissance, tout comme la mort avait perdu sa puissance. Il était le centre de gravitation. Il était le Créateur de la gravitation. Il avait la gravitation sous Ses propres ordres, comme Il tenait la mort sous Ses propres ordres.

            «Tout pouvoir au Ciel et sur terre m’a été donné. Allez-y et J’irai avec vous. Comme Mon Père M’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie.» Le Père qui L’avait envoyé était allé avec Lui, et Il était en Lui. Et le même Christ qui envoie, Il vient avec nous et Il est en nous jusqu’à la fin du monde. «Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père.» Les Paroles infaillibles du Dieu vivant ne peuvent pas faillir. Elles sont la Parole de Dieu.

46        Observez-le. Il pensait avoir détruit cela. Alors, Satan a commencé son gros mensonge corruptible et vil, quand il a dit aux soldats: «Allez là auprès du souverain sacrificateur, des intellectuels, des érudits, la grande église.» Et laissez-moi dire ceci avec respect et révérence. A aucun moment dans la Bible ou après, de ce côté-ci de la Bible, un serviteur du Dieu vivant ne tolère jamais le milieu ecclésiastique reconnu. Me suivez-vous?

            Peut-être que je dis ceci. Du temps des prophètes, ils étaient contre la théologie de l’époque. Du temps de Jean, il les a taxés de bande de vipères. Jésus les a taxés de même, hypocrites, pharisiens. Pharisien veut dire un acteur, un faiseur des scènes. Qu’en est-il de Luther, Calvin, Knox, Wesley, Spurgeon, Sankey, Finney, tout au long de l’âge? C’étaient des hommes qui se tenaient seuls sur base des convictions de la résurrection du Bien-Aimé Fils du Dieu vivant. C’est vrai.

47        De même, les pharisiens s’étaient opposés à Lui, parce que cela ne s’accordait pas avec leur théologie. Et cela ne faisait aucun bien. Alors quand ils ont entendu dire que ceci avait commencé, ils ont dit aux soldats... ils savaient... Eh bien, j’arrive à la fin. Ils savaient, si jamais cela pouvait être prouvé (Ecoutez-moi.) si jamais cela pouvait être prouvé, qu’Il est ressuscité d’entre les morts, Il était le Dieu infaillible. La question allait être réglée pour toujours.

            Tout homme, Il n’était pas plus que n’importe quel philosophe de par son parler. Ses miracles, a-t-Il dit, prouvaient qu’Il était envoyé de Dieu. Il a dit: «Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez les oeuvres que Je fais. Et si Je ne fais pas les oeuvres du Père, alors ne Me croyez pas.»

48        Mais remarquez. Mais toutes ces promesses qu’Il nous avait données, que nous ressusciterons, toute la promesse qu’Il nous a donnée, de la Vie Eternelle, toutes ces choses, si jamais Il n’est ressuscité d’entre les morts, seraient mortes avec Lui.

            Et le diable savait cela. Et il a mis dans les coeurs de ces philosophes, ou de ces enseignants religieux de l’époque, de louer les services des soldats, de leur donner de l’argent pour qu’ils disent qu’Il n’est jamais ressuscité d’entre les morts, mais que Ses disciples étaient venus Le dérober pendant qu’eux dormaient.

            Et cela est toujours cru parmi les Juifs. Et aujourd’hui, les gens le croient. Et peut-être que d’autres ne le confessaient pas de leurs lèvres, mais au fin fond de leurs coeurs, leurs actions parlaient plus fort que leurs oeuvres.

49        S’Il est ressuscité d’entre les morts, la Bible dit: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Hébreux 13.8. S’Il est le même, Il doit être le même en essence, quant à la puissance, à la manifestation. Tout ce qu’Il était, Il L’est maintenant s’Il est ressuscité d’entre les morts.

            S’Il n’est pas ressuscité d’entre les morts, alors Il... Nous ne faisons qu’adorer un rite, un credo, une dénomination, une religion intellectuelle. Mais si c’est une vraie religion, la vraie religion de Christ... Tout le monde peut avoir une religion. Bouddha, c’est une religion. L’islam, c’est une religion. Mais ceci est le salut. Si c’est vraiment le salut, alors cela... Christ notre Rédempteur vit. Si vous...

50        Docteur Reidhead, Morris Reidhead (Beaucoup parmi vous le connaissent. C’est lui le vice-président de Grandes Missions Soudanaises.) Il est venu chez moi et il a dit: «Frère Branham, j’aimerais vous demander, étant donné que vous êtes un baptiste, certainement que vous connaissez la vérité.» Et il a dit: «J’ai vu les pentecôtistes donner des coups de pieds aux chaises et tout, mais, a-t-il dit, j’ai été vaincu récemment par un jeune garçon; Indien.» Il a dit: «Il est venu ici, il a acquis son instruction. Sur son chemin de retour vers chez lui, je lui ai dit: ‘Ne veux-tu pas renier ton vieux prophète mort, Mahomet, pour accepter le Seigneur Jésus ressuscité, et ramener avec toi à la maison Jésus comme Sauveur?’»

            Et il a dit: «Le jeune garçon musulman a dit: ‘Gentil monsieur, que peut faire votre Jésus pour moi de plus que mon prophète?’ Il a dit: ‘Mon prophète a écrit un livre intitulé le Coran. Et votre Jésus a un Livre intitulé la Bible. Ils ont tous deux promis la vie après la mort.’ Et il a dit: ‘Maintenant, je crois le mien, et vous, vous croyez le vôtre.’»

51        Mais Morris Reidhead lui a dit, il a dit: «Mais, regarde, jeune homme.» Il a dit: «Tu vois, ton prophète est mort et il est dans la tombe, et tu reconnais cela, mais notre Jésus est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «C’est vrai?» Il a dit: «J’aimerais vous voir le prouver.»

            «Oh! a-t-Il dit, Il–Il... Nous avons une tombe vide.»

            Il a dit: «Nous avons des centaines de tombes vides des gens ressuscités d’entre les morts, disent les philosophes, en Inde.» Et c’est vrai. Il a dit: «Nous avons des milliers de naissances par des vierges dont on parle en Inde.» Voyez? Et ils en ont. Et ils prétendent que Christ a acquis Sa–Sa connaissance et toute Sa–Sa sagesse auprès d’un prêtre bouddhiste. C’est là un grand enseignement en Inde. Quiconque est informé le sait.

            Alors, il a dit: «Mais regarde.» Il a dit: «Nous avons...» Monsieur Reidhead a dit: «Regarde, monsieur. Nous avons la joie. Nous sentons notre religion. Elle est dans nos coeurs. Et nous avons la joie et la paix de savoir que nous pouvons prouver dans nos coeurs que Christ est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «Monsieur Reidhead, gentil monsieur, nous les musulmans, nous pouvons produire autant de psychologie que le christianisme.» Il a dit: «Nous éprouvons autant de joie en croyant que Mahomet ressuscitera d’entre les morts un jour et parcourra le monde monté sur un cheval, que vous, en croyant que Christ reviendra et qu’Il parcourra le monde, qu’Il le paîtra avec une verge de fer.» Voyez? Vous y êtes.

52        Morris Reidhead m’a dit, il a dit: «Frère Branham, je ne savais quoi dire à cet homme.» Et il a dit: «A propos, monsieur, a-t-il dit, notre Mahomet nous a seulement promis la vie après la mort. Mais votre Jésus a promis, après Sa résurrection, qu’Il serait en vous et que vous feriez aussi les oeuvres qu’Il avait faites.» Il a dit: «Maintenant, laissez-moi vous voir, vous les enseignants, manifester cela, et nous accepterons cela.» Vous y êtes. A partir de...

            Il a dit: «J’ai reconnu que je ne parlais pas à un jeune garçon écervelé. Il savait de quoi il parlait.»

            Oh! Il a dit: «Tu te réfères probablement à Marc 16, a-t-il dit. Eh bien, nous les érudits les mieux formés, nous savons que Marc 16, à partir du chapitre 9 jusque là où il est dit: ‘Allez et prêchez la Bonne Nouvelle, voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru’, a-t-il dit, nous les érudits les mieux formés, nous savons que cela n’est pas inspiré à partir du verset 9.»

            Il a dit: «Quel genre de livre Lisez-vous?» Il a dit: «Monsieur Reidhead, je vais vous faire comprendre que tout le Coran est inspiré.»

53        Quelle défaite pour le christianisme, le soi-disant! Pourquoi? Parce que nous avons fait tout ce que Jésus nous a dit de ne pas faire. Jésus a dit: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle.» Nous avons construit des églises, des séminaires, des écoles et des hôpitaux. Ce sont de bonnes choses. Mais nous avons laissé de côté la clé de voûte.

            Il a dit: «Vous avez eu deux mille ans pour prouver la résurrection de Jésus-Christ, et vous ne l’avez pas encore prouvé. Les deux tiers du monde n’en ont jamais entendu parler.» Il a dit: «Que Mahomet ressuscite d’entre les morts, et le monde entier saura cela dans les vingt-quatre heures.» Combien cet homme avait raison!

54        Eh bien, il a dit: «J’ai donné un coup de pied dans le sable et j’ai changé de sujet. L’homme était plus intelligent que moi.» Il a dit: «J’ai fait une promesse à Dieu que s’Il me laissait vivre, je viendrais vous voir.» Il a dit: «Frère Branham, malgré tout le fanatisme, a-t-il dit, j’ai–j’ai assez de diplômes pour plâtrer ce mur-là.» Il a dit: «Quand j’ai décroché ma licence, je pensais assurément que Christ y était. Il n’y était pas.» Il a dit: «Quand j’ai décroché mon doctorat en théologie, je pensais qu’assurément je trouverais Christ, mais je ne L’ai pas trouvé.» Il a dit: «Les enseignants avaient-ils tort?»

            J’ai dit: «Je n’aimerais pas dire cela. Je ne suis pas en position de le dire, monsieur.» J’ai dit: «Je n’aimerais pas le dire, faire un étançon pour soutenir mon ignorance.» J’ai dit: «Je n’aimerais pas le dire. Mais, ai-je dit, ils ont terminé avec un point, alors qu’ils auraient dû terminer avec une virgule. Leur théologie est bonne, plus ce que Dieu peut y ajouter. Vos enseignements, les écoles dont vous êtes sorti, c’est bien. Chaque école, chaque séminaire, chaque hôpital, tout cela devrait être, il serait mauvais d’oser nier ces choses qui aident et autres. Mais ce dont ils ont besoin, ce n’est pas d’être critiqué. Ils ont de l’assistance, ils ont besoin de guerriers, quelqu’un qui sera de taille, qui croit en Dieu, qui L’accepte, qui Le prend au Mot et qui prouve au monde que le Seigneur Jésus... Il a un ardent désir et il attend pareille chose.»

55        Et que de fois avez-vous (Souvent comme ceux que qui j’ai lu dans le dernier passage, ils revenaient d’Emmaüs), avez-vous marché avec Lui sans le savoir? Et c’est un beau matin de Pâques. Le premier matin, la première Pâque, Jésus était vivant, étranger dans le monde. (Je termine maintenant.)

            J’aimerais vous poser une question. Deux de ceux qui L’aimaient marchaient avec Lui et ne le savaient pas. Qui vous a fait sortir de ce lit de maladie il n’y a pas longtemps? Vous avez donné toute la louange au médecin; vous aurez dû lui serrer la main et lui dire: «Merci, docteur, de votre gentillesse, mais c’était Christ.»

            Qui vous avait préservé de cet accident-là? Vous avez peut-être loué votre conducteur, sans doute que son–son esprit en alerte, ses facultés intellectuelles avaient vite opéré pour savoir comment basculer du coup les roues. Cela vous a peut-être préservé, mais c’était Christ. C’était Christ. Certainement ça L’était.

56        Qui est Celui qui, du temps de la crise économique, alors qu’il n’y avait pas de farine dans les tonneaux, que vous et les enfants étaient dans le besoin, un voisin gentil est arrivé et vous a donné quelque chose à manger? Vous l’avez remercié. Vous devriez le faire. Mais c’était Christ qui agissait dans l’homme. Vous ne vous en êtes pas rendu compte.

            Souvent, on manque de le faire. Ces hommes avaient manqué de voir cela. Ils aimaient Christ. Et ils marchaient, coeur triste, chagriné, parce qu’ils pensaient que le Messie en Qui ils avaient cru, c’était en vain, Il était mort et parti, sans savoir que c’était Lui qui marchait en leur compagnie.

57        Maintenant, remarquez. Il leur est apparu. J’aimerais vous donner juste une petite leçon ici, si vous me permettez l’expression. Quand Jésus était-Il apparu à ces gens-là? Quand ils parlaient de Lui. La Bible dit qu’ils parlaient de Lui.

            Eh bien, Jésus n’entrera pas dans votre présence pendant que vous faites un tas des choses avec vos rock-and-roll, vos boogie-woogies, et toute cette sottise là. Peu m’importe de quelle église vous êtes membres, Jésus ne vient pas quand il y a ces genres de conversation. Il ne demeure pas dans ces genres de choses. Changez donc vos conversations. Si vous voulez Le voir, faites comme eux: Méditez sur Lui. Que vos conversations portent sur Lui et Sa résurrection, car Il est ressuscité d’entre les morts.

58        Maintenant, juste encore quelques commentaires. Autre chose, quand Il est apparu, ils auraient dû Le reconnaître. En effet, Il leur avait posé des questions: «Pourquoi êtes-vous si tristes? Pourquoi avez-vous si mauvaise mine?»

            «Oh! ont-ils dit, Tu es donc un Etranger.» Voyez? «Tu ne sais pas que Jésus de Nazareth a été crucifié. Nous nous attendions à ce que ça soit Lui le Messie qui vient–qui vient, et Celui que Jéhovah nous avait promis.» La conversation... Il s’est retourné et Il a dit: «Ô hommes sans intelligence, et dont le coeur est lent à croire les Ecritures et tout ce que les prophètes ont écrit.» Voyez? Et Il s’est mis à leur expliquer les Ecritures.

            Et tout véritable serviteur de Dieu, ou tout oint de Dieu, ne cherchera jamais à vous emballer dans une espèce de non-sens de théologie, qui est tout aussi vide de vie au possible, ou quelque chose de fantastique du jour moderne. Il restera avec la Parole, un vrai serviteur. Et Dieu demeurera...

59        Non pas quand vous essayez de faire couler l’huile de vos mains ou du sang de votre visage, mais quand vous avez un coeur vraiment honnête devant Dieu... ou pas quand vous discutez de ce que vous êtes méthodiste, ou presbytérien, ou pentecôtiste, ou nazaréen, non pas débattre de vos questions, mais quand vous venez pour avoir Christ dans votre coeur et sur base de la Parole, pour croire. Pensez à Lui. Lisez la Bible.

            Le Saint-Esprit vit dans la Parole de Dieu. Jésus a dit: «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort du coeur... de la bouche de Dieu.» Qu’est-ce que la Parole? La chose même que Dieu avait prononcée avant la fondation... La Parole vient aux prophètes. C’est tout. C’est Sa Parole parlée, qu’Il avait prononcée au commencement.

60        Maintenant, suivez. Pendant qu’ils cheminaient, nous pouvons nous attarder là-dessus. Mais j’aimerais vous poser une question, juste un instant. Ils sont arrivés à un endroit, à une petite auberge, juste une petite hutte, à côté de la route, ce qui est appelé une auberge, c’est sur le chemin de Jérusalem vers Emmaüs, vers une contrée montagneuse. Et quand ils se sont arrêtés à cette petite auberge avant qu’ils arrivent peut-être à Emmaüs, une petite auberge, Jésus... ou si nous pouvons le dire aujourd’hui, c’était un petit restaurant. Et Jésus parut vouloir continuer...

            Eh bien, Il peut paraître agir comme cela vis-à-vis de vous, quand Il fait semblant de ne pas vous guérir. Il peut faire semblant de passer. Il voulait voir vos émotions. Il voulait savoir juste combien vous croyez en Lui.

61        Mais observez Cléopas et son ami, ils L’ont persuadé d’entrer. Je me demande si c’est là votre attitude envers Christ ce soir. Persuadez-Le. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il entrera. C’est ce qui fait de Lui Dieu pour moi. J’ai eu le privilège de prier pour environ quatre rois. Le roi George d’Angleterre, comme vous le savez tous, fut guéri de sclérose en plaques.

            De grands hommes se font petits. Ce sont de petits hommes qui veulent faire le grand. Voyez? Ceux qui n’ont rien, ils cherchent à faire de l’épate. De grands hommes se font petits. Jésus a quitté le Trône élevé du Ciel pour occuper le point le plus bas sur la terre. Et Dieu L’a élevé au-dessus de tout ange, de tout archange, au-dessus de chaque trône.

            Quand Il était sur terre, Il était si bas que quand Il est allé dans la ville située à l’altitude la plus basse, et l’homme le plus petit de taille de la ville a dû Le regarder d’en haut. Et Dieu L’a élevé si haut qu’Il doit s’incliner pour regarder le ciel. Voyez? Un Trône de... «Ton Trône, Ô Eternel...» Voyez? Il s’humilie, et Dieu l’exalte.

62        Alors, une fois qu’ils eurent fermé les portes et qu’ils s’étaient assemblés dans la pièce, et peut-être que le serveur était arrivé et qu’ils avaient passé la commande pour leur petit dîner, ce qu’ils allaient prendre, et il–il s’est éclipsé. Jésus se dit: «Il est bien temps pour Moi de me faire connaître. Nous avons longtemps parlé.»

            Et Il ne s’engage jamais dans une conversation ou dans un rassemblement en public... Et peu importe combien ils sont: «Là où deux ou plus sont assemblés en Mon Nom, Je serai parmi eux.» Il aime toujours se faire connaître. Alors, la façon dont Il a fait cela...

            Maintenant, suivez. La façon dont Il a fait cela, Il a fait là devant eux quelque chose qu’Il faisait avant Sa crucifixion, que nul autre n’avait fait exactement comme cela. Nul autre ne pouvait le faire exactement comme cela. Mais par Sa particularité, en rompant le pain et la façon dont Il l’avait béni, Il leur a ouvert les yeux. Et ils ont reconnu que c’était Lui.

63        Ils sont rentrés en courant de toute leur force. Non pas pour discuter de leur religion là. La Bible dit que leurs yeux s’étaient ouverts. Ils ne sont pas rentrés en courant pour crier la meilleure connaissance qu’ils avaient de leur religion. Ils avaient seulement des yeux ouverts. C’est tout. Ils L’avaient reconnu.

            Dieu veut que les yeux de votre entendement s’ouvrent. Il est ressuscité d’entre les morts. S’Il est ressuscité d’entre les morts, Il doit donc être le même Seigneur Jésus. C’est ainsi que les Ecritures Le présentent. Qu’était-Il quand Il était ici sur terre? Prétendait-Il être un guérisseur? Allait-Il de lieu en lieu auprès de certaines personnes de l’époque, se tapant la poitrine: «Je suis un guérisseur divin»? Pas notre Seigneur. Vous ne pouvez pas croire qu’Il faisait cela, c’était de loin contraire. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi; c’est Lui qui fait les oeuvres.»

64        Quel genre d’oeuvres faisait-Il? Allons dans Saint Jean, chapitre 1, juste pour un instant. Pierre était venu vers Lui. Et chose étrange, Il a su le nom de Pierre. Et Il a su qui était son père, Jonas. Il a dit: «Simon, fils de Jonas. Je vais t’appeler désormais Pierre, petit cailloux.»

            Et Nathanaël fut converti, ou plutôt Philippe, et aussitôt, il... c’était la preuve qu’il était converti, il est allé trouver son copain. Et son copain était membre de la grande et haute église. Jésus était un rejeté, considéré comme nous le dirions aujourd’hui (si vous permettez l’expression) un saint exalté, possédé de démons, non instruit. Ses disciples étaient des gens du peuple sans instruction, dit la Bible, Actes 4. Et Jésus était un rejeté par rapport à la société du monde religieux. Mais cela importait peu à ceux qui étaient convertis. Ils croyaient en Lui comme étant le Messie. Et ils étaient partis.

65        Philippe alla trouver Nathanaël, et ce dernier était sous un arbre en train de prier. Il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Et alors, ce brave grand homme, il était dans une dénomination, un pharisien, ou un sadducéen, un hérodien, ou je ne sais quoi il était, il s’est peut-être épousseté les vêtements, il a dit: «Eh bien, juste une minute. Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Et je pense que Philippe lui a donné la meilleure réponse que j’aie jamais entendue, en disant: «Viens, et vois.» C’est le meilleur procédé. «Viens, et vois.» Et quand il est arrivé là où Jésus était, peut-être, peut-être qu’Il était en train de prier dans la ligne de prière ou je ne sais quoi qu’Il faisait, peut-être qu’Il se tenait dans l’assistance... Mais aussitôt que Jésus posa le regard sur cet homme, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

66        Il pouvait être un Grec. Il pouvait être un infidèle. Il pouvait être autre chose. Mais Jésus a dit qu’Il était un Israélite dans lequel il n’y avait point de fraude. Cela frappa ce Juif. Et il a dit: «Rabbi (Ce qui veut dire Maître), quand m’as-Tu connu? Je ne T’ai jamais vu de ma vie, en d’autres termes, et Tu ne m’as jamais vu. Comment as-Tu su que j’étais comme ça?»

            Eh bien, Jésus a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre» à trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne. Quand... «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Quels yeux!

            Savez-vous ce que ce loyal religieux, carré en cela, savez-vous ce qu’il a dit, ce Juif-là? Il a exprimé ce que chaque vrai croyant dirait: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»

            Et Il a dit: «Parce que Je t’ai dit cela, tu M’as cru? Tu verras de plus grandes choses que ça.»

67        Et à ce moment-là, les Juifs se tenaient à côté, quand Jésus accomplissait ces choses. Et ils ont dit: «Cet Homme est Béelzébul.» Béelzébul était le prince des démons. En d’autres termes: «Il est un diseur de bonne aventure. Et par Sa télépathie mentale, ou Son esprit de dire la bonne aventure, il a le pouvoir de faire ces choses et de chasser les démons.»

            Et Jésus a dit: «Vous dites cela de Moi, le Fils de l’homme, Je vais vous pardonner. Mais quand le Saint-Esprit sera venu (en d’autres termes) faire la même chose, un seul mot contre Cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Faites donc attention. Voyez? Il a promis que le Saint-Esprit ferait cela.

68        Nous voyons une femme toucher Son vêtement. Il a demandé: «Qui M’a touché?» Pierre L’a repris. Tous avaient nié cela. Et Pierre L’a repris, disant: «Comment dis-Tu pareille chose, Seigneur? Eh bien, tout le monde...»

            Il a dit: «Mais Je me suis senti faible (ou la vertu, et les termes de King James l’expriment, veut dire la faiblesse.); la vertu est sortie de Moi.»

            Alors, Il a promené le regard. Jésus était possédé par la puis... excusez-moi. Jésus était revêtu de la puissance qui Lui permettait de connaître les pensées des gens. Est-ce vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Eh bien, vous dites: «Frère Branham, ça a l’air d’être du mauvais côté, comme la télépathie, comme dire la bonne aventure.» Quelle est la différence? Quels sont les deux mots? Quelle est la différence entre lire une pensée ou connaître une pensée? Pouvez-vous démontrer cela? Les deux, c’est pareil. Mais Jésus utilisait la puissance de Dieu. Le diseur de bonne aventure, c’est du diable. Il ne parle jamais de Dieu. Il ne prêche jamais l’Evangile. Il ne va jamais auprès des malades, et il ne porte jamais les fruits, les... Vous les reconnaîtrez. Mais qu’est-ce? C’est un don de Dieu perverti vers le mal. Assurément, voyez?

69        Jésus promena le regard jusqu’à ce qu’Il repéra la femme. Et quand Ses yeux majestueux, alors qu’Il se tenait là, de petite taille, sans beauté pour attirer nos regards, nous cacherions notre visage, Il n’avait pas l’air d’un roi... Mais quand Il a repéré la femme, elle souffrait d’une perte de sang. Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Elle est venue, s’est prosternée.

            Eh bien, là, c’était Jésus hier, Celui qui avait pu dire à Philippe, Nathanaël et Pierre. S’Il est le même Jésus aujourd’hui et qu’Il a promis les mêmes choses qu’Il avait faites: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Saint Jean 14.7. S’Il est le même aujourd’hui: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» Le monde, là, le mot grecque, c’est cosmos, qui veut dire l’ordre du monde, l’ordre de l’église, et tout.

            «Ils ne Me verront plus; mais vous, vous Me verrez, car Je (Je, c’est un pronom personnel), Je serai avec vous (a-t-Il dit à un passage) même en vous, jusqu’à la fin de l’âge.» Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Oh! Que c’est beau!

70        Encore un autre, s’il vous plaît. Prenons la femme au puits. Quel beau tableau c’était. Il–Il avait renvoyé Ses disciples. Il allait à Jéricho juste aux pieds de la colline. Il venait de Jérusalem et allait à Jéricho, et Samarie se situe par ici en haut. Mais Il lui fallait passer par Samarie. Je me demande pourquoi.

            Il avait renvoyé Ses disciples. Une femme de mauvaise réputation, comme nous le croyons, est allée au puits, et peut-être, une jeune femme, une prostituée. Vous savez de quoi je parle. Et elle est sortie vers midi, peut-être pour puiser son eau. Elle avait peut-être passé toute la nuit dehors et elle avait dormi toute la journée. Je ne sais pas. Mais de toute façon, elle est allée puiser son eau. Et quand la femme est arrivée au puits, elle a fait descendre le treuil. Si jamais vous avez été en Orient... Et comment elles parlent au puits et communient un peu.

71        Et pendant qu’elle faisait descendre le sceau, ou la cruche... J’en ai vues poser une sur la tête et une autre à chaque hanche, et elles ne faisaient que parler chemin faisant sans jamais, jamais faire tomber une seule goutte d’eau, allant simplement comme ça. Et voici cette jeune femme, probablement une femme jolie, qui fait descendre le treuil, sa–sa cruche autour de–de... C’est une espèce de cruche, un genre de... avec au fond, une grande partie gonflée, un long cou, et des anses. On fait passer un boucle autour et ça le bloque, on fait descendre ça. Et cela se retourne de côté, ça se remplit d’eau, et on le fait remonter.

            Elle était juste sur le point de faire remonter la cruche pour la mettre sur la tête, elle a vu assis là, et ce petit panorama ici, dans des vignes, là était assis un jeune Homme, un Hébreu, d’âge moyen. Et quand Il l’a regardée, Il avait–Il avait seulement la trentaine, mais la Bible dit qu’Il paraissait en avoir cinquante. On avait dit: «Toi un Homme de pas plus de cinquante ans, Tu dis avoir vu Abraham.» Voyez? Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» Voyez? Eux pensaient à la chair.

            C’est ce que les gens regardent aujourd’hui. En effet, c’est intellectuel. Ils ne peuvent pas comprendre l’Esprit. Vous ne le pouvez pas avant de naître de l’Esprit, car les facultés intellectuelles n’expriment pas les choses spirituelles; cela doit être connu par l’Esprit.

72        Eh bien, comme nous Le voyons. Et quand elle prend cette cruche pour la mettre sur la tête, cet Hébreu lui dit: «Apporte-moi à boire.» Eh bien, il sévissait alors une ségrégation dans le pays, juste comme il y en a aujourd’hui dans le sud, la ségrégation entre les Blancs et les gens de couleur.

            Et Jésus Lui a très vite fait savoir qu’il n’y avait pas de différence parmi les êtres humains. Voyez? Il a dit: «Toi... Nous les Samaritains, ou vous les Juifs, vous n’avez rien à faire... pas de relations avec nous les Samaritains. Et nous n’avons pas de relations avec vous», autrement dit.

            Eh bien, que faisait Jésus? Eh bien, vous devez me croire sur parole là-dessus. Le Père L’avait envoyé là-haut, mais Il contactait son esprit. Voyez? Il y avait quelque chose qui clochait. Il l’a donc regardée. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que Vous me demandiez cela.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.»

            Elle a dit: «Le puits est profond. C’est notre père Jacob qui l’a creusé.» Voyez, un Samaritain est mi-Juif mi-Gentil. Et elle a dit, en d’autres termes, oh! comme nous pourrons l’appeler aujourd’hui une espèce de (Je ne sais pas) renégat, ou quelque chose comme cela. Alors, de toute façon, quand elle a dit: «C’est notre père Jacob qui a creusé cela. Son bétail s’en est abreuvé», et ainsi de suite, et il en a bu. Et vous êtes... Vous avez une eau plus importante que celle-ci.»

73        Jésus a poursuivi Sa conversation, car le Père ne Lui avait encore rien montré. Et elle a dit: «Vous... Nous adorons sur cette montagne; vous, vous dites que c’est à Jérusalem.»

            Et Jésus a dit: «Oui. Nous les Juifs, nous connaissons le salut, où cela donc, et tout...» La conversation a continué pendant longtemps, jusqu’à ce que la vision est apparue. Et Il a su où était son problème. Quelqu’un sait ce que c’était? Assurément. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Suivez. Voici une Samaritaine. Qu’était Nathanaël? Un Juif. Voici une Samaritaine. Il a dit... «Je n’ai point de mari, monsieur.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.» Eh bien, écoutez attentivement. Suivez ce que la Samaritaine va dire.

            Qu’avait dit le Juif? «Tu es le Fils de Dieu», parce qu’Il avait fait cela.

            Qu’est-ce que cette classe intellectuelle des religieux croyait? «Tu es Béelzébul, le diable. C’est votre télépathie mentale ou dire des bonnes aventures. Tu es le chef de tout cela. Tu chasses les démons par Béelzébul.»

            Et c’est là que Jésus avait réglé la question une fois pour... si Satan peut chasser Satan, son royaume est divisé et il ne peut pas subsister. Satan ne peut donc pas chasser Satan. La guérison ne vient pas du diable.

74        Remarquez. Qu’a-t-Il dit? Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Un prophète est un voyant. Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Nous savons, nous les Samaritains, nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses.» Mais elle n’arrivait pas à comprendre Qui Il était. Elle a dit: «Eh bien, on nous a appris à croire que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Il nous annoncera–annoncera toutes choses, quand le Messie sera venu. Et le fait que Tu m’as dit quel était mon problème, Tu dois être un Prophète. Mais quand le Messie sera venu, Il nous annoncera toutes choses.»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            C’était là Jésus hier. S’Il est le même, Il est le même aujourd’hui. Elle est donc entrée dans la ville et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?» En d’autres termes, c’était le signe du Messie.

75        Avec leurs théologies intellectuelles et froides, ils s’étaient écartés du vrai enseignement de la Bible, de s’attendre à ces choses-là. Et l’histoire se répète. Et la prophétie a généralement une application multiple. Vous savez de quoi je parle.

            Maintenant, remarquez alors qu’on avance. Nous pouvons L’examiner sans cesse. Là, à la piscine de Béthesda, le chapitre suivant, le cinquième, juste pour L’observer dans toute la Bible, de la Genèse à l’Apocalypse. C’est tout le temps pareil.

            Prenons juste une déclaration ici avant de former la ligne de prière, prier pour les gens. Il est descendu à la piscine de Béthesda. Demain soir, nous l’aborderons quelque part ailleurs, le Seigneur voulant.

76        Ecoutez. Il descend à cette piscine-là, dit la Bible, dans Saint Jean, chapitre 5, donc. Pensez-y. Saint Jean 5. Voyez?

            Il a dit... Il est descendu à cette piscine où un grand nombre de gens, des impotents étaient couchés. Observez dans quel état ils étaient: des infirmes, des estropiés, des aveugles, des paralytiques. Beaucoup d’érudits versés dans la Bible savent que la théolog... ou les historiens qui ont lu les deux Babylones d’Hislop ou pas, ou de Josèphe, ou certains des historiens primitifs ont dit: «C’était un spectacle imposant là... En effet, le Seigneur envoyait un ange qui agitait l’eau.»

            Eh bien, pensez-vous que l’Eglise orthodoxe avait accepté cela dans son enseignement orthodoxe? Certainement pas, absolument pas. Ils pensaient que c’était une bande de fanatiques. Mais Dieu dit que c’était un ange. La Bible dit que c’était un ange, Ce qui est la Parole de Dieu. Je crois que c’était un ange, sinon la Bible ne l’aurait point déclaré.

            Eux disaient que c’était juste le vent, que c’est juste un petit quelque chose qui ne tournait pas en rond dans leurs têtes, vous savez, et ce vent soufflait là. Vous savez ce que c’est que des eaux agitées. C’est un courant d’eau qui va dans un sens et–et les ondulations d’eau viennent dans l’autre sens. Ce sont des eaux dangereuses. Quiconque y entrait le premier, avec foi, était guéri.

77        Et Jésus, juste après que la femme eut touché Son vêtement (Quoi?), des vêtements recouverts de vertu, Il est passé au milieu de ces gens: des boiteux, des estropiés, des aveugles, des paralytiques, plein de compassion, mais vous comprenez mal ce que la compassion veut dire. La compassion! Nous appelons... Vous dites: «Ô! Frère Branham. Oh! Ce...» Ça, c’est de la sympathie.

            C’est comme deux autres mots, en grec, le mot amour: Amour phileo, et amour agapao, j’aimerais savoir que... Voyez, phileo veut dire communion. C’est l’amour que vous éprouvez envers votre femme et envers votre mari. Cela vous ferait tuer un homme à cause de votre femme, tellement vous l’aimez. S’il offensait votre femme, vous prendriez un fusil et vous le tueriez. Ça, c’est l’amour phileo. Mais l’amour agapao est de loin différent. Cela vous amènerait à prier pour son âme pécheresse. Voilà la différence. Voyez?

            Il y a une différence entre la sympathie et la compassion. Voyez? C’est vrai. Il passe donc là, des vêtements recouverts de vertu. Il ne s’est point arrêté auprès des boiteux, des estropiés, des aveugles, des paralytiques. Des foules, Il a peut-être dû enjamber l’un, contourner l’autre, mais Il regardait tout le temps. Il est arrivé auprès d’un homme couché sur un grabat.

78        Je ne sais pas si vous les Yankees, vous connaissez ce que c’est un grabat ou pas. J’ai grandi sur un. C’est un petit quelque chose, une petite couchette, une petite, oh! des couvertures doublées, on dirait.

            Et l’homme, disons qu’il était tuberculeux, ou peut-être qu’il souffrait de la prostatite. Il en avait souffert pendant trente-huit ans. Cela avait duré; cela n’allait pas le tuer. Et Jésus dépasse tout ce grand nombre de gens, des boiteux, des aveugles, des estropiés, des paralytiques, qui criaient et pleuraient pour entrer dans cette eau-là; ils voulaient être guéris. Plein d’amour et de compassion, Il va vers cet homme couché sur un grabat et Il lui demande: «Monsieur, veux-tu être guéri?» On dirait qu’Il choisissait les cas faciles.

            Et maintenant, remarquez, il a dit: «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau. Il pouvait marcher. Il a dit: «Pendant que je descends, quelqu’un court plus vite que moi. Quelqu’un entre avant moi, pendant que j’y vais. Je n’ai pas de jeunes gens ici qui peuvent me saisir, repousser et retirer la foule» Il a dit... Eh bien, il a dit...

79        C’est la raison pour laquelle nous avons des cartes de prière, c’est pour éviter de telles choses. Voyez? Il a dit: «Nous n’avons personne pour nous jeter dans l’eau, quand l’eau est agitée.»

            Et Il a dit: «Eh bien, prends ton lit et rentre chez toi.»

            Et cet homme n’a pas dit: «Eh bien, attends une minute. Qui es-Tu, après tout? Connais-Tu mon état? Eh bien, Monsieur, je suis ici ça fait des années.» Cela ne serait jamais arrivé. Non, il ne l’a pas fait. Il a obéi. L’obéissance vaut mieux que le sacrifice. Il prend le grabat, il l’enroule, le place sur l’épaule, et s’en va en louant Dieu. Tout était terminé.

            Lisez jusqu’à la fin. A cause du temps là, j’aimerais m’arrêter au–au–au verset 19 du même chapitre. Jésus fut interrogé. Je suppose que si le maire de la ville ici avait invité le Seigneur Jésus dans la ville, et qu’il avait amené tous les boiteux, les estropiés, les aveugles et les paralytiques, et qu’il les avait exposés dans la rue, que Jésus passait par là et qu’Il faisait quelque chose comme cela, je m’imagine qu’on L’interrogerait à Sturgis; ne le pensez-vous pas?

80        Mais c’était là Jésus hier, S’Il est le même, Il l’est aujourd’hui. Il fut donc interrogé. Maintenant, suivez Son interrogatoire. Ecoutez Sa réponse: «En vérité, en vérité, Je vous le dis...» Mais la question principale était qu’un homme transportait son lit le jour du sabbat.

            Mais Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis...» Ecoutez maintenant attentivement. Cela veut dire: «Absolument, absolument, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Est-ce vrai? «Le Père agit jusqu’à présent, et Moi aussi, J’agis.» Que disait-Il? «Je ne fais rien avant que Je voie premièrement en vision ce que le Père m’a dit de faire.»

81        La femme toucha Son vêtement; une vertu sortit. Mais il n’y eut pas de vertu qui sortit quand le Père Lui avait dit de quitter la maison de Lazare et d’attendre quatre jours jusqu’à ce que ce dernier meure. Il a dit: «A cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là, car s’il M’avait demandé de revenir et de le ressusciter, ou de revenir et de prier pour lui quand il était malade», alors que le Père Lui avait déjà dit... En effet, Jésus ne pouvait pas mentir. Il était Dieu, Il ne pouvait donc pas mentir. Il a alors dit: «Je–Je ne fais rien avant que le Père Me le montre. Le Père agit jusqu’à présent, Moi aussi, J’agis.»

            Eh bien, quand Il est parti, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. Je serai avec vous, en vous, jusqu’à la fin du monde.» La Bible dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» S’Il est ressuscité d’entre les morts, comme nous l’affirmons et que nous le croyons, Il est tenu à Sa Parole. Je suis tenu à ma parole. Je ne vaux pas plus que ma parole. Et vous ne valez pas plus que votre parole. Et Dieu ne vaut pas plus que Sa Parole.

82        Ceci est soit la vérité soit une erreur. Et si Dieu a promis dans Sa Bible que Jésus-Christ serait le même hier, aujourd’hui et éternellement, soit c’est la vérité, soit ça ne l’est pas. Et je crois qu’Il est monté en Haut. Son corps corporel est assis dans la Présence de Dieu le Père ce soir, à la droite de la majesté divine.

            Et le Saint-Esprit, qui était en Christ, est dans l’Eglise. Il est le Cep, Celui qui donne l’énergie, et vous êtes les sarments. Il n’a d’autre bouche ce soir sur terre que la vôtre, pas d’autres yeux que les vôtres. Vous êtes les sarments. Ce n’est pas le cep qui porte le fruit. C’est le sarment qui porte le fruit. Le cep ne fait que donner la vie. Est-ce vrai?

83        Maintenant, s’Il revient... Ceci est le don divin. Je n’ai rien du tout à faire avec cela, je ne sais même pas s’Il le fera. Mais vous... Il a cinq différents dons qu’Il a placés dans l’Eglise. Je suis en désaccord avec votre théologie de vous imposer les mains les uns aux autres, et de mettre celui-ci à l’écart, celui-là à l’écart, donner à celui-ci des dons. C’est Dieu qui donne des dons. Les dons et les appels sont sans repentir. Et ce n’est pas du tout l’enseignement baptiste. C’est l’enseignement biblique.

            Suivez. Premièrement, il y a les apôtres (Est-ce vrai?), ou un meilleur mot, le missionnaire. Le mot apôtre veut dire un envoyé. Un missionnaire, c’est un envoyé. Les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes, et les pasteurs, Dieu les place dans l’Eglise pour l’édification de l’Eglise. Ce sont des dons, des esprits au service, envoyés de la Présence de Dieu pour exercer un ministère dans chaque office de Dieu.

84        Ensuite, dans le groupe local, il y a neuf dons spirituels qui opèrent dans l’assemblée. Cela n’appartient à aucun... c’est bien là leur place. C’est juste dans une église locale. Voyez-vous? Untel peut faire ceci, celui-là peut faire cela, celui-là peut ne jamais le refaire, celui-là par ici, ce sont juste des dons locaux.

            Et comme les gens ont fait des dégâts, surtout les pentecôtistes, au point que cela s’exerçait sans enseignement rien qu’avec l’esprit, et ils ont suscité toutes sortes des choses fantastiques modernes, au point qu’ils ont jeté la disgrâce sur la... l’opprobre sur la Parole de Dieu, en effet cette histoire ne se trouve pas dans la Parole.

85        Dieu, dans l’Ancien Testament, quand Il avait... Vous les enseignants, vous savez comment on reconnaissait un message dans l’Ancien Testament. Un prophète pouvait prophétiser, un songeur pouvait avoir un songe, ils avaient un... Aaron avait un pectoral. Et il y avait là l’Urim et le Thummim. Et quand un prophète prophétisait ou un songeur racontait son songe, et que cette Lumière surnaturelle et majestueuse ne se reflétait pas sur l’Urim et le Thummim, cela était faux. Peu m’importe combien ça paraissait réel, c’était faux. C’est vrai.

            Mais si cette Lumière brillait et que cela Se reflétait sur–sur l’Urim et le Thummim, si ce que l’homme disait était la vérité, alors on reconnaissait que c’était Dieu. Savez-vous cela? Y a-t-il quelqu’un qui sait cela, dans la Bible? Cela montre que vous lisez la Bible.

86        Eh bien, cela avait disparu sous le sacerdoce d’Aaron. «Mais au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous.» Et aujourd’hui, Ceci est l’Urim et le Thummim de Dieu: Si un prédicateur dit quelque chose, ou un prophète dit quelque chose, ou un songeur fait un songe, et que cela soit contraire à cette Parole, Dieu n’y est pas. C’est vrai. Mais Dieu fait toujours briller ce qu’Il reconnaît dans Sa Parole. «Car celui qui retranchera ou ajoutera, sa part sera retranchée du Livre de Vie.»

            Je crois la Bible. Je crois que Jésus est ressuscité d’entre les morts, Il place ces dons en vue de l’édification de Son Eglise. Et je crois solennellement et véritablement, en tant que croyant dans ce Dieu Tout-Puissant, dans le Seigneur Jésus-Christ, je... Et le Corps du Seigneur Jésus ici sur terre étant constitué des croyants de toutes les dénominations.

87        Je dis ceci comme une vérité venant de mon coeur. Je crois que le prochain grand événement dans le monde, c’est la Seconde Venue du Seigneur Jésus. Quand? Je ne sais pas. Personne d’autre ne le sait. Mais je ne vois rien qui reste si ce n’est l’explosion à hydrogène et–et le temps de la fin, le monde être basculé de son orbite, comme il l’avait été dans le temps antédiluvien, il avait été projeté loin du soleil, et la chaleur et l’humidité, ou la chaleur et le froid, en se rassemblant, formèrent l’humidité qui a inondé le monde.

            Et cette fois-ci, ça ne sera plus par l’eau, mais le feu cette fois-ci, le basculer directement de son orbite une fois de plus vers le soleil, pour le détruire pour la seconde fois. Pensez à ces choses pendant que nous servons maintenant en Son Nom. Prions.

88        Père divin, en un petit lieu comme celui-ci, ou la communion entre chrétiens est si glorieuse, et pendant que nous sommes assis ensemble dans ce petit groupe, je me souviens de Paul, quand il était monté et qu’il avait trouvé Apollos, et cette petite poignée, comme nous le dirons aujourd’hui, de croyants... Et Il leur a dit, quand bien-même ils avaient une grande joie et un merveilleux prédicateur baptiste du nom d’Apollos, qui ne connaissait que le baptême de Jean, il leur a demandé: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»

            Ils lui ont dit: «Nous ne savons même pas qu’il y ait un Saint-Esprit.»

            Et il a dit: «De quel baptême avez-vous été baptisés?»

            Il a dit: «Du baptême de Jean.»

            Il a dit: «Jean, c’est vrai, a baptisé pour la repentance, disant qu’on devait croire à Celui qui allait venir. (C’était en Jésus-Christ.) Et quand ils ont entendu cela, ils furent été baptisés au Nom du Seigneur Jésus.» Paul leur imposa les mains, et le Saint-Esprit vint sur eux. Ils ont prophétisé, ils ont parlé en langues. Il y avait une grande joie dans le camp. Et il y eut beaucoup de miracles.

89        Oh! Combien nous Te remercions, Père, de ce que Jésus est ressuscité d’entre les morts. Oh! Comme Il s’est manifesté là sur cette petite barque pleine d’eau cette nuit-là alors qu’il n’y avait plus d’espoir. Et Paul, le serviteur, là dans la–dans la cloison de cette barque... et la petite barque sombrait, les démons faisaient jaillir des éclairs à chaque vague et leurs dents brillant de colère, pour ainsi dire, alors qu’ils faisaient briller cela dans la barque et disaient: «Maintenant, nous allons le détruire.»

            Mais le petit Paul, considéré comme un fanatique religieux, est monté sur le pont de la barque en courant, secouant les chaînes sur Ses mains, et il a dit: «Messieurs, ayez bon courage, car l’Ange de Dieu que je sers m’est apparu cette nuit et m’a dit: ‘Paul, ne crains point. Il faut que tu comparaisses devant César.’» Voici, Dieu lui a donné tous ceux qui naviguaient avec lui. Et il a dit: «J’ai cette confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été montré.» Et je Te remercie pour cela.

90        Jésus, Toi qui étais avec Paul, Tu as été avec des hommes de toutes les couches au cours du temps. Tu as courtisé et persuadé des hommes, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais que tous arrivent à la repentance.

            Père, sans connaître cette assistance, personne ici à part notre frère ici et un ou deux qui se tiennent là... Et nous Te prions ce soir que nous trouvions grâce à Tes yeux, de nous rencontrer ce soir comme Tu l’avais fait avec Cléopas et son ami à Emmaüs. Et quand nous quitterons ce petit bâtiment ce soir, que notre coeur brûle en nous, car nous Te demandons d’apparaître ici parmi nous ce soir, de Te servir de nos lèvres, de nos yeux et de nos mains, comme Tu as promis, que nous étions les sarments du cep.

            Et nous Te prions d’accomplir quelque chose ce soir, tout comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion, afin que cette petite assistance de croyants sache que leur foi n’est pas vaine, mais que Jésus est ressuscité d’entre les morts et qu’Il reviendra un jour, et que notre espoir n’est pas vain. Veux-Tu accorder cela, Père, d’après Ta Parole?

91        Et en tant que Ton serviteur inutile, je m’abandonne à Toi, veuille m’utiliser davantage. Et je Te prie de le faire, de bénir aussi cette assistance avec la foi, car nous savons qu’il faut aussi leur foi. En effet, Tu étais allé dans Ta propre ville, et ils n’avaient pas cru en Toi. Et il est dit: «Il ne put faire beaucoup de miracles à cause de leur incrédulité.»

            Et si Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement, nous savons que tout ce qui peut T’empêcher d’agir comme Tu l’avais fait hier, c’est l’incrédulité. Nous Te prions donc d’ôter l’incrédulité du milieu de nous et d’envoyer Ton Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Je prie, au Nom de Jésus. Amen.

92        Que le Seigneur accorde la bénédiction. Maintenant, je vous garde tard. Et je suis désolé. Cependant, vous êtes une petite assistance très merveilleuse. Eh bien, j’espère que la Parole pénétrera profondément et que Dieu honorera Sa Parole. La Bible déclare dans Hébreux, chapitre 11, que Dieu rend témoignage à Ses dons.

            Et nous croyons, solennellement... Combien ici croient dans la résurrection de Jésus? Merveilleux. Ne devrait-Il pas alors être là où deux ou trois sont assemblés? Ne devrait-Il pas... Est-ce que la Bible... Il ... La Bible déclare: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Est-ce vrai?

            Si donc une femme L’a touché littéralement en ce jour-là avant Sa crucifixion, qu’Il s’est retourné et qu’Il a su ce qui était arrivé, la vertu était sortie par Lui, ou de Lui plutôt, Il a reconnu... Puis, dans la Bible après Sa crucifixion, Paul, écrivant dans les Hébreux, a dit: «Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.»

            Et s’Il est déjà mort pour régler la question de notre salut et de notre infirmité, comment pouvons-nous donc Le toucher? Il devrait y avoir une manifestation spirituelle de cette Ecriture pour qu’Elle s’accomplisse. Et tout ce qui se fait, c’est pour accomplir les Ecritures, prouver que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

93        Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Si ce soir, nous nous mettions à chercher Jésus, quel genre de Personne chercherions-nous? Il nous faudrait... L’unique moyen pour Lui de pouvoir... de voir Jésus aujourd’hui, c’est de Le voir en vous. Quand ils voient votre vie, ils voient ma vie, ils voient Jésus.

            Et l’Esprit de Dieu en vous manifeste la Vie de Jésus, tout comme le ressort principal d’une montre qui fait tic-tac, et chaque partie de cela se déplace bien exactement comme il faut. Il contrôle vos émotions. Il contrôle vos–vos habitudes. Il contrôle vos–vos sens. Il contrôle votre foi. C’est bien le ressort principal, le Saint-Esprit au centre de votre coeur, vous contrôlant. Que le Seigneur vous bénisse.

94        Eh bien, j’aimerais que cela soit déclaré clairement (En effet, les jeunes gens font des enregistrements,) que je ne professe pas être un guérisseur. Tout le monde comprend-t-il cela? Je n’ai pas le pouvoir de guérir. Tout ce que je suis, c’est un serviteur humble, indigne et inutile de Dieu. Je ne dis pas cela par humilité. Je le dis du fond de mon coeur. Avoir avec Lui l’expérience que j’ai eue et ne pas faire plus que je fais, j’ai humblement honte de mon témoignage. En principe, je devrais faire plus pour Lui.

            Eh bien, si Billy ou Gene, qui... ils... Ont-ils déjà fait cela? Très bien. J’allais dire, combien ici aimeraient qu’on prie pour eux? Levez la main. Tout celui qui veut qu’on prie pour lui, qu’il lève la main. Eh bien, vous voyez, ami, c’est tout le groupe. Qui va être le premier? Très bien.

95        Il a distribué des cartes, portant juste des numéros dessus: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, comme cela, je ne sais ce que c’était. Et elles sont toutes battues ensemble. Et je... Eh bien, attendez, avez-vous... de 1 à 1. Parfois, il distribue juste cinquante et, la fois suivante, il commence à partir de 50 et continue. Chaque jour il y a de nouveaux groupes, vous voyez comment ça se passe. Nous faisons simplement cela afin que les gens puissent être correctement en ligne. Maintenant, nous ne pouvons pas aligner trop de gens à la fois. Nous devons en aligner autant que possible, et prier pour eux.

            Eh bien, si quelqu’un regarde... Si jamais quelqu’un a eu... Vous ne recevez pas la carte de prière pour être guéri là. Non. C’est votre foi dans l’oeuvre achevée par Christ qui opère la guérison. Ce n’est pas ça. C’est uniquement pour que vous veniez ici afin qu’on prie. Ce n’est pas pour que moi, je vous touche ou que vous me touchiez. C’est votre foi qui Le touche. C’est ça l’essentiel. Il est le Souverain Sacrificateur, pas moi. Voyez? Je ne suis donc que Son serviteur.

96        Maintenant, où que vous soyez. Maintenant, regardez. Il se peut qu’il y ait quelqu’un qui ne peut pas se lever ou quelque chose comme cela. Et maintenant, formons la ligne. Voyons où ils peuvent être. Je pense qu’il nous faut... Eh bien, je ne sais pas exactement comment nous allons nous y prendre. Que dites-vous? Ici même. Très bien. Numéro 1? Où... Est-ce la carte de prière numéro 1? Très bien. Numéro 2? Quelqu’un avec le numéro 2? Numéro 3? Numéro 4? Numéro 5?

            On dirait que c’est peut-être pratiquement le nombre que nous pouvons mettre debout à la fois. Voyons l’espace dont nous disposons ici. Si c’est peut-être ça, nous pouvons en prendre encore d’autres dans juste un instant. Voyons. 1, 2, 3, 4, 5. Essayons, 6? Nous avons de la place pour un autre. Numéro 6, voudriez-vous lever la main? Vous, jeune homme. Numéro 7, voudriez-vous lever la main? Très bien. Numéro 8? Voyons maintenant combien nous avons debout. Numéro 8? L’avez-vous, madame? Très bien. Numéro 9, voudriez-vous lever la main, qui que ce soit, numéro 9? Numéro 10, voudriez-vous lever la main, tout celui qui a le numéro 10?

97        Je pense que c’est pratiquement... Je pense qu’il y en a autant... Je ne sais pas si vous pouvez vous lever... Très bien. Cela va–cela va suffire pour le présent. Juste une petite ligne de prière.

98        Maintenant, je vais vous demander, de tout mon coeur et avec tout ce qui est en moi, de bien vouloir être respectueux pendant quelques instants. Et maintenant, vous rendez-vous compte de cette position dans laquelle je... Combien de chrétiens y a-t-il ici? Vous rendez-vous compte de ce que je fais? Voudriez-vous prendre ma place? Voyez? J’essaie... Je suis...

            Dans quelques minutes, il va s’avérer soit que j’ai été un menteur, soit que je suis véridique. Et il n’y a qu’un Seul qui peut faire cela, et c’est Dieu. C’est vrai. C’est Dieu qui le fait. Et je demande humblement de tout mon coeur qu’Il le prouve, que je vous ai dit la vérité, qu’Il est le Fils de Dieu, et que votre religion chrétienne n’est pas un montage mythique et sans espoir, mais que c’est une réalité, par le Seigneur Jésus ressuscité. Comprenez-vous? Est-ce uniquement pour cela maintenant?

99        Et maintenant: «Que faites-vous, Frère Branham?» Combien ont déjà vu la photo de la Lumière, l’Ange du Seigneur? Voyez, beaucoup parmi vous. Je crois qu’elle se trouve ici dans le livre. Et le FBI et eux tous ont examiné cela. Elle se trouve à Washington, D.C., sous droit d’auteur, comme l’unique Etre Surnaturel qui ait jamais été photographié. Et là... Oh! C’en est–c’en est une piètre photo. Ce n’est pas très bien.

            Je ne–je ne vends pas des livres. Je n’ai pas de radio. C’est... Gordon Lindsay imprime ce livre-là, et je lui en achète avec une réduction de quarante pour cent, je les transporte, je demande à quelqu’un de les vendre. Et je subis chaque fois des pertes là-dessus. Je dois en céder beaucoup. Et si quelqu’un n’a pas d’agent pour en payer un, je viens, je le lui donne de toute façon. C’est ça donc. Voyez? Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement. Ainsi, je...

100      C’est juste pour le petit message que frère Gor... L’autre livre est de loin mieux. Le prophète envoyé... Non. J’oublie... Oh! L’Afrique du Sud. Oui. Stadsklev, l’ami et le condisciple de Billy Graham, je pense qu’il a fréquenté l’école avec Billy Graham. C’était ça. Julius Stadsklev, le capitaine, l’aumônier de l’armée, c’est lui qui a écrit ce livre-là, un fondamentaliste. Ainsi donc, maintenant, nous désirons votre sincère prière.

            Et ce soir, j’aimerais vous demander de placer votre foi en Dieu. Maintenant, rappelez-vous. La femme qui toucha Son vêtement, Jésus ne savait rien à ce sujet. Il ne savait pas ce qui était arrivé. Le Père ne Lui avait montré aucune vision du tout. La femme tira au travers de Christ ce dont elle avait le désir. Et c’est votre foi qui fait cela. Qu’est-ce que je fais? C’est un don.

101      Quand j’étais un tout petit enfant, je ne sais de quel âge, je marchais encore à quatre pattes. Je ne devais pas avoir plus de deux ans. La première chose, dont je peux me souvenir, c’est une vision (Voyez?), alors que j’étais un tout petit garçon. Et cela m’avait dit que j’habiterais dans l’Indiana près d’une ville appelé New Albany.

            C’est là que j’habite, ça fait trente-sept ans. Je vous demande pardon: quarante, je suis là ça fait quarante-cinq ans, quarante-quatre ans. Je ne voulais pas dire que j’ai trente-sept alors que j’en ai quarante-sept. Je–je pensais être venu ici à trois ans. Je ne voulais pas commettre cette erreur-là. Dieu sait que je ne voulais pas le faire. Mais...

            Eh bien, que faites-vous? Il s’agit de s’abandonner au Saint-Esprit, et Lui oint. C’est juste comme tout prédicateur qui monte à la chaire, il a son sujet à l’esprit, il s’abandonne au Saint-Esprit et l’Esprit prêche au travers de lui. C’est ça un pasteur ou un docteur, ou un évangéliste. C’est pareil pour un apôtre. Et un...

102      Je ne prétends pas être un prophète. Je suis juste Son serviteur. Je ne pourrais pas être un... Je ne suis pas un prophète. Mais je suis juste Son serviteur. Le don de connaissance, ou je ne sais comment vous voulez appeler cela, c’est le don de Dieu. C’est par la grâce qu’Il l’a donné, en effet je n’avais de mérites dont cela est venu.

            Eh bien, combien ici aimeraient qu’on prie pour eux, ceux qui ne vont pas être dans la ligne de prière? Faites-voir les mains, ceux qui aimeraient que Dieu les guérissent. Peu m’importe ce que c’est, là où vous êtes. Vous qui n’avez pas de cartes de prière ni rien, levez la main. Très bien. Je voulais simplement voir.

            Maintenant, regardez de ce côté-ci. Et de tout votre coeur, si le Saint-Esprit oint et que vous dites: «Seigneur Jésus, je crois solennellement de tout mon coeur que c’est la vérité.» Et alors, voyez si Dieu accomplit et fait ce qu’il a réclamé. Okay. Tout est okay, Billy?

103      Je déteste vous garder debout. Est-ce–est-ce le patient, frère? Est-ce la personne? Venez ici. Maintenant, juste ici même, ça sera en ordre, monsieur. Eh bien, voici un cas ce soir juste semblable au cas où deux hommes s’étaient rencontrés une fois, comme une scène dans la Bible. J’ai dit que ceci est l’Urim et le Thummim. Le thème est que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Voici deux hommes. Nous nous sommes rencontrés. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Est-ce vrai, frère? Nous sommes inconnus. Mais nous sommes... Jamais de notre vie nous ne nous sommes rencontrés auparavant; probablement que nous sommes nés avec un décalage d’âges et à des kilomètres de distance. Mais quand Philippe alla chercher Nathanaël et qu’il l’amena auprès du Seigneur Jésus, Celui-ci reconnut quelque chose à son sujet.

104      Maintenant, vous êtes ici dans un but. Vous pouvez être... Si je ne vous connais pas, et il n’y a personne dans la salle que je connais à part Léo et Gene, qui étaient là en train de faire l’enregistrement, et ce frère ici même, le pasteur, jusque là, et le frère debout, je n’arrive pas à me rappeler son nom, debout à la porte, Milliman, frère Milliman. A ce que je sache, ce sont les seules personnes que je peux reconnaître dans la salle.

            Combien ici savent que je ne les connais pas? Levez la main pour montrer que je ne vous connais pas, ou que je ne sais rien sur vous. Très bien. Dans la ligne de prière, de même. Très bien. Voyez? Voici un homme, qui a déjà témoigné que... Maintenant, si le Seigneur Jésus... si l’homme... si c’est un sceptique, s’il est venu ici juste... et un incroyant qui est venu pour une mauvaise chose, voyez ce qui arrive.

            S’il est ici comme un chrétien, ou un pécheur, s’il est ici à cause d’un problème financier, il veut que le Seigneur l’assiste à faire quelque chose côté finances, peut-être prendre soin de sa famille ou quelque chose comme cela, payer pour lui la maison qu’on est sur le point de récupérer. Ou peut-être qu’il est ici à cause d’un problème domestique avec sa famille, quelque chose qui cloche. Il se peut qu’il soit ici malade et nécessiteux. Je–je ne sais rien sur l’homme. Il est un parfait inconnu.

105      Maintenant, si Jésus est–est ressuscité d’entre les morts et qu’Il se tenait ici dans ce costume qu’Il m’a donné, que se passerait-il si cet homme était malade? Eh bien, faites attention à la réponse que vous me donnez. S’il se tenait devant Jésus, et qu’il disait: «Jésus, veux-Tu me guérir?» Que pensez-vous que Jésus dirait?

            Jésus dirait: «Je l’ai déjà fait.»

            Combien savent que le salut est une oeuvre achevée? Tout le monde qui ait jamais été sauvé l’a été quand Jésus mourut, Il a ôté le péché du monde. La guérison est une oeuvre achevée. Il s’agit de votre foi personnelle. «Ô frère Branham, je vous demande pardon. J’ai été sauvé il y a seulement deux semaines.» Non, non. Vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans, ou plus. Vous étiez... vous avez simplement accepté cela il y a deux semaines. C’est tout. Voyez? C’est comme ça. Voyez, c’est une oeuvre achevée.

106      Maintenant, l’unique moyen pour Lui de pouvoir faire, pour être un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités, c’est pour vous de Le toucher, qu’Il se retourne et fasse la même chose qu’Il avait faite pour la femme. Et si le Seigneur Jésus dit à cet homme... Qu’Il en soit Juge. Si je disais: «Tenez. Vous, malade, monsieur?»

            Il dirait: «Oui.»

            «Eh bien, je vais vous imposer les mains. Gloire à Dieu, vous allez être guéri.» Je ne sais pas s’il pourrait croire cela ou pas. Je ne sais pas si vous pourriez accepter cela ou pas. Mais maintenant, et si le Saint-Esprit répète ce qu’Il avait fait du temps du Seigneur Jésus et lui dit ce qu’il a déjà fait? Il est témoin de cela.

107      Maintenant, les Juifs avaient peut-être répliqué, disant: C’était un trucage. C’est tout ce qu’il en est. Je vous assure, cet homme-là fait de la télépathie ou quelque chose comme cela. C’est tout. Quand il a parlé à Philippe... Non, Il... Nathanaël avait, il était sous cet arbre-là, ou quelque chose qu’il avait fait là. C’est juste un... Il–Il est du groupe. C’est tout. Il y a une supercherie là.»

            Comme le diable essaie toujours d’agir comme cela...

            Mais écoutez, l’homme sur qui le miracle avait été accompli était mieux avisé. Il savait cela. Il a dit: «Je reconnais que C’est le Fils de Dieu.» Et Son nom est devenu immortel aujourd’hui, Nathanaël, à ce que je sache, il est dans la Gloire et il sera éternellement avec Jésus. Ces critiqueurs, Dieu sait où ils sont, pas moi. Mais je sais que tant que la Bible existe, on lira toujours sur Nathanaël.

108      Maintenant, monsieur, nous nous retrouvons dans la même situation. Vous et moi, en tant qu’hommes, nous devons nous tenir aux pieds du Seigneur Jésus un jour pour rendre compte de notre vie... Nous nous tenons ici. Nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant. Mais je reconnais certainement en vous un chrétien, car quand votre esprit... Je ne suis pas en train de lire vos pensées. Mais quand votre esprit s’est avancé, il a semblé être le bienvenu. Maintenant, vous faites partie du Corps de Christ. Je fais partie du Corps de Christ.

            Vous êtes ici pour un besoin. Vous êtes venu demander au Seigneur Jésus quelque chose. Eh bien, s’Il peut m’utiliser pour faire quelque chose afin de vous amener à croire... Si j’étais un prédicateur, en fait, je ne suis pas tellement un théologien, mais si par la prédication de la Parole... «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole.» Eh bien alors, Il donne à certains hommes un moyen d’expliquer les Ecritures. Je n’ai pas acquis l’instruction pour le faire. Mais Il m’a donné un autre moyen pour vous, afin que vous sachiez qu’Il est présent, Sa résurrection.

109      Et maintenant, si Jésus est ressuscité d’entre les morts et qu’Il se tient ici, le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il ferait la même chose pour cet homme que ce qu’Il avait faite quand Il était ici avant la résurrection. Est-ce vrai? La même chose. S’Il le fait, croirez-vous cela? Que cet homme en soit juge. Maintenant, soyez très respectueux.

            Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que tout le monde soit respectueux alors que nous nous abandonnons à l’Esprit de Dieu.

            Maintenant, monsieur, juste parler avec vous un moment. Et que le Seigneur Jésus nous aide. Maintenant, l’homme est... Il est ici à cause d’un cas de maladie. Il est ici pour demander la guérison à Dieu, et cet homme demande d’être guéri d’une maladie, de ses reins, et cela est aussi dans les intestins, ses reins et ses intestins. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Maintenant, quant à vous guérir, je ne le peux pas, monsieur. Mais votre vie, vous ne pouvez pas la cacher maintenant.

110      Croyez-vous? Maintenant, voyez, plus on lui parle... les visions, vous voyez, cela vous tue simplement. Combien savent que des visions soutirent... Eh bien, Daniel eut une seule vision, cela soutira, eh bien, il eut des maux de tête pendant plusieurs jours. Voyez? C’est quelque chose qui sort de vous, on dirait la vie.

            Eh bien, je vais lui parler juste un petit moment. Peut-être que le Seigneur dira autre chose à cet homme. Je–je ne sais pas. Demandons-le-Lui en votre faveur. Même si nous ne prenons pas quelqu’un d’autre, parlons-Lui juste une minute, voyons ce qu’Il fera.

            Eh bien, quoi que ce fût, monsieur, l’unique moyen pour moi de jamais savoir ce qui a été dit, ce sera cette bande-là qu’on enregistre là. Tout ce qu’Il a dit était la vérité. Vous avez entendu Quelque Chose dire quelque chose, n’est-ce pas? Ce n’était pas moi. En effet, je ne vous connais pas. Mais tout ce que c’était, c’était vrai. (Est-ce vrai?), c’est l’exacte vérité.

            Maintenant, j’aimerais que vous regardiez bien de ce côté-ci. Croyez de... comme Pierre et Jean avaient dit: «Regarde–regarde-nous.» Voyez? En d’autres termes, faites bien attention à ce que je dis. Elie a dit: «Si je n’avais égard à Josaphat, je ne te regarderais même pas.» Voyez? Mais il a dit: «Faites venir le joueur de harpe.» Le joueur de harpe a joué, et l’Esprit est venu sur le prophète. Il a eu une vision. C’est ce que nous faisons maintenant même.

111      Maintenant, si l’assistance m’entend toujours, cet homme, cette Lumière que vous voyez sur la photo est juste autour de l’homme, et il s’éloigne encore de moi. Oui, il souffre de quelque chose, d’après l’examen des... c’est dans les intestins. C’est une affection intestinale. Et je vois que cet homme a eu des ennuis, du genre une intervention chirurgicale. C’est vrai. Je le vois en sortir, et il y a eu suite à cela des adhésions, c’est ce qu’il y a là-dedans aussi.

            Eh bien, vous savez que le fait de vous tenir dans ma présence ne vous ferait pas vous sentir comme cela, n’est-ce pas? Si vous pouvez voir... Si vous étiez dans... S’il y a ici quelqu’un qui aimerait... scientifi-... dans la dimension où je me tenais (Voyez?), c’est un autre monde. Vous vous rendriez compte de ce qui fait agir un homme comme cela. Ses émotions... Avant qu’il puisse y avoir une émotion, il doit y avoir quelque chose qui cause une émotion. Cette Lumière encerclait cet homme. Voyez? Je vais prier pour vous, frère, pour tout ce qui clochait.

112      Notre Bienveillant Père céleste, cet homme est ici debout, il y a quelque chose qui cloche chez lui, que Tu sais. Et Ton coeur est disposé à le guérir ou à lui donner tout ce qu’Il a réclamé. Et la Bible nous dit que la dernière Parole que Tu as prononcée, la dernière commission que Tu as donné à Ton Eglise, c’était d’aller par tout le monde, prêcher la Bonne Nouvelle. Tu as dit: «Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Et je fais ceci par obéissance aux commandements de Dieu, au Nom de Son Fils Jésus-Christ, et je demande que notre frère reçoive ce qu’il a réclamé. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, frère. Maintenant, ne doutez de rien. Voyez, allez et ne péchez plus de peur que le pire n’arrive. Le péché, c’est quoi? L’incrédulité. Il n’y a qu’un seul... boire, fumer, jouer à l’argent, commettre adultère, ce n’est pas ça le péché. Ce sont les attributs de l’incrédulité. Vous faites cela parce que vous n’êtes pas un croyant. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que le Seigneur Jésus soit avec vous.

113      Bonsoir. Maintenant, si... Evidemment, vous et moi, nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Peut-être que vous ne me connaissez pas. Pas plus que juste nous–nous rencontrer ici. Mais Dieu nous connaît tous deux. Maintenant, si... Voici un beau tableau. Voici... combien auraient voulu vivre du temps de la Bible, de Saint Jean 4, et voir une femme venir au puits, là, se tenir d’un côté et voir cela?

            Auriez-vous voulu vivre ce temps-là? Par la grâce de Dieu, vous y êtes de nouveau. Non pas que moi, je sois Lui ni qu’elle soit cette dame-là qui était venue au Seigneur Jésus, c’était un type de l’Eglise des Gentils. Je ne peux pas le dire. Je sais que je ne suis pas de Lui... je suis de Lui. Il est mon Père, mon... et mon Sauveur. Mais la femme, je ne sais pas. C’est Dieu.

            Mais si Dieu accomplit la même chose, cela aidera-t-il votre foi à croire en Lui, qu’Il fera la même chose? Le ferez-vous, madame? Comme vous savez que je vous suis inconnu...

114      Vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose. Ce n’est pas moi, votre frère. Mais si vous regardez bien, vous, l’émotion des gens qui se tiennent ici, si quelqu’un peut... J’aurais voulu que vous voyiez quand Cela vient vers moi. Je crois d’un coeur sincère que c’est la Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël.

            Jésus, quand Il était ici sur terre, nous savons tous que cette Colonne de Feu était Christ, l’Ange de l’alliance. Et après, Il a dit: «Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu.», et quand Paul L’a rencontré sur le chemin de Damas, Il était toujours cette Colonne de Feu, cette Lumière là. Et Il est toujours le même aujourd’hui.

            Vous avez peur, madame. Votre grand problème, c’est la peur, c’est que vous redoutez une intervention chirurgicale. C’est vrai. Et vous avez connu tout récemment une hémorragie, du sang qui coule. Et vous avez peur d’une intervention chirurgicale, c’est donc la raison pour laquelle vous n’aimeriez pas aller chez un médecin cette fois-ci, car vous avez peur d’une intervention chirurgicale.

115      Vous n’êtes pas de cette ville, vous venez d’une ville appelée Edmore, dans le Michigan, ou quelque chose comme cela. Votre nom est madame Albert Rea, ou Rea, R-E-A. C’est vrai. Votre vie, vous ne pouvez pas la cacher en ce moment-ci. Je ne suis pas votre guérisseur. Je suis votre frère. Mais Celui-là, il y a Quelque Chose ici maintenant qui vous connaît, et vous savez que moi, je ne vous connais pas. Le même Jésus qui connaît ceux qui viennent, et juste... Je suis juste le sarment dans le Cep. Etes-vous consciente que c’est Sa Présence? Alors, Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Vous croyez cela, n’est-ce pas? Prions.

116      Notre Père céleste, nous venons humblement à Toi confesser notre péché, croyant en Ton unique Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus, et priant sincèrement comme Tu nous as bénis par Ta Présence. Et au-delà de l’ombre de doute, nous savons que Tu es ressuscité d’entre les morts, car Tu fais ce soir les mêmes choses que Tu faisais quand Tu étais ici avant la crucifixion.

            Alors, les sceptiques, les ennemis, les démons, les doutes peuvent tout aussi bien s’enfuir, car Tu es ressuscité d’entre les morts; et l’heure est arrivée juste avant le temps de la fin, la jonction. Cela arrive toujours juste au temps de la jonction, les anges apparaissent, les prophètes s’avancent, les signes et des prodiges sont accomplis, juste comme dans le monde antédiluvien, et à la sortie des enfants d’Israël, de la Venue du Seigneur Jésus la première fois, et maintenant, ça y est à la Seconde Venue. Manifeste Tes oeuvres, ô Dieu, car Tu es juste. Et Je bénis cette femme au Nom de Christ, avec mes mains sur elle, et je demande que ce qu’elle réclame lui soit accordé. Amen.

            Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. N’ayez pas peur. Ayez seulement foi.

117      Voudriez-vous venir? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que je suis Son serviteur? L’Ange du Seigneur, quand Il m’a rencontré... Avez-vous déjà lu le livre? Vous êtes-vous rappelé la nuit dans une pièce, quand Il m’a dit: «Si tu amènes les gens à te croire...»

            Et j’ai dit: «Seigneur, je ne suis pas instruit, ils ne me croiront pas.»

            Il a dit: «De même qu’il a été donné deux signes à Moïse pour confirmer son ministère, il te sera aussi donné deux signes.» Il a dit: «Par cela, tu connaîtras les secrets même de leur coeur, et ils croiront cela.»

            Eh bien, vous avez le droit de douter de moi cette fois-ci, mais si Dieu accomplit effectivement et fait ce que vous Lui demandez de faire... Vous ne pouvez rien Lui demander d’autre que la foi pour vous aider, tout ce que vous désirez et ce qu’est votre besoin. Est-ce vrai? Maintenant, ça sera votre foi en Dieu.

118      Vous voulez qu’on prie pour vos yeux; ça, c’est une chose. C’est vrai. Ensuite, vous voulez qu’on prie pour un enfant, un enfant estropié. C’est vrai. Je pensais que je pouvais voir l’enfant. Croyez-vous que vous allez recevoir ce que vous avez demandé, de tout votre coeur? Je vais prier pour vous. Alors, qu’il vous soit fait selon votre foi.

            Notre Bienveillant Père céleste, je demande que Tes miséricordes s’étendent jusqu’à cette jeune femme. Tu connais Son coeur, Seigneur. Je lui impose les mains, au Nom du Seigneur Jésus, je demande que ce qu’elle a réclamé lui soit accordé, au Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, madame. Puissiez-vous recevoir ce que vous avez demandé, c’est ma prière.

119      Soyez vraiment très respectueux maintenant. C’est ça qui m’a toujours intrigué, les émotions des gens dans la Présence de Dieu, ce que cela leur fait. Quelque chose vous saisit. Quelque chose arrive.

            Bonsoir, monsieur. Nous sommes deux hommes, je suppose, qui se rencontrent pour leur première fois sur la terre. Je ne vous connais pas, et peut-être que vous ne me connaissez pas. C’est vrai, n’est-ce pas, monsieur? Oui, oui. Je ne vous connais pas. Mais si vous êtes malade, je ne peux pas vous guérir. Si vous avez besoin de quelque chose, si c’est de la part de Dieu, je ne peux pas vous le donner. Voyez?

            Et si vous êtes malade et nécessiteux, et que je pouvais vous aider et que je ne le faisais pas, je–je serais une mauvaise personne, n’est-ce pas? Je–je serais un hypocrite. Si je pouvais vous aider et que je ne le faisais pas, je–je–je serais une mauvaise personne. Je crois qu’un–un homme d’honneur le ferait, et un chrétien, n’en parlons même pas (Voyez?), il le ferait. Mais je–je ne le peux pas. Mais juste ce que je vois, c’est ce que je peux dire; c’est tout ce que je sais à ce sujet, ce que je vois.

120      Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. C’est vrai. C’est votre fille. Elle est invalide. Elle ne... Elle n’est même pas ici. Elle est, je pense, à Fort Wayne, dans l’Indiana. Vous, vous avez un peu d’ennuis, c’est un peu de douleur d’arthrite qui vous frappe de temps à autre. Je vous vois vous frotter là-dessus. Mais ce n’est pas quelque chose qui vous fait du mal.

            Croyez-vous que Christ vous accordera ce que vous voulez ce soir? Croirez-vous cela? Acceptez-vous cela maintenant de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu peut aller là où se trouve la patiente et accomplir cela, prononcer simplement la Parole? Reconnaissez-vous en Lui ce genre de Personne ce soir? Je ne peux que dire ce que je vois, monsieur. Voyez? Vous croyez maintenant, n’est-ce pas? Je vais prier pour vous, frère.

            Notre Bienveillant Père céleste, je Te prie d’être miséricordieux envers cet homme, et de lui accorder le désir de son coeur, puisse-t-il partir d’ici ce soir et recevoir tout ce qu’il a demandé. Car je le réclame pour lui, en tant que son frère, en tant qu’un croyant en Toi, en tant qu’un mortel qui doit se tenir dans Ta Présence un jour pour rendre compte de la vie que nous menons maintenant. Je le demande au Nom de Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. Allez et recevez ce que vous avez demandé. Maintenant, mettez-vous à croire.

121      Bonsoir, madame. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Vous avez... vous m’avez vu auparavant. Très bien. Maintenant, mais vous ne... Je ne vous connais pas. Non. Mais le Seigneur vous connaît certes. Eh bien, ça devient sombre autour de la femme, très sombre. La dame a une tumeur; ça, c’est une chose. Autre chose, elle souffre de l’hypertension. Elle a eu une complication en tout. Elle est toute déprimée. Elle est sur le point d’avoir une apoplexie, c’est sombre autour de vous. Je ne peux pas vous guérir, soeur. Je ne le peux pas. Mais Celui qui parle maintenant, ou qui vient de parler, le peut. Croyez-vous que vous êtes dans Sa Présence, pas celle de votre frère, mais Sa Présence? Allez-vous L’accepter maintenant comme votre Guérisseur?

            Notre Bienveillant Père céleste, alors qu’elle serre cette Parole contre son sein, je Te demande donc très humblement et sincèrement d’accorder à la femme le désir de son coeur et de lui donner sa guérison, au Nom de Jésus, je prie. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez maintenant, croyant de tout votre coeur.

122      La nervosité est une chose horrible. Ça fait mal, ça cause toutes sortes de maladies et tout. Mais Dieu peut guérir la nervosité. Croyez-vous cela? Tu réfléchis beaucoup, fiston. Tu es de ce genre de personnes qui se font des soucis pour des choses à venir, te surchargeant d’autres choses. Cela n’arrive jamais tel que te l’envisages de toute façon.

            Tu as toujours voulu un endroit où mettre ton pied, afin que tu puisses commencer. Tu as ardemment désiré trouver cet endroit-là. C’est vrai. Tu y es maintenant même, fils. Vous n’aimerais jamais grandir pour être un homme nerveux, las et bouleversé. Tu es un jeune homme trop gentil pour faire cela.

            Cette ombre qui était suspendue sur toi il y a quelques instants t’a quitté. Je ne sais pas ce qui est arrivé, mais cela t’a quitté. Ta foi a ôté cela maintenant. Tu es quitte de ton trouble maintenant. Tu sais qu’il s’est passé quelque chose, n’est-ce pas? Si c’est vrai, lève la main. L’ombre noire qui était suspendue sur le jeune garçon, c’est sa propre foi qui a fait cela, même sans la prière. Que Dieu te bénisse, monsieur. C’est une chose merveilleuse. Et que Dieu soit avec toi et qu’Il t’aide, c’est ma sincère prière.

123      La même chose, la maladie des nerfs, madame. Croyez-vous que Dieu peut vous rétablir, vous guérir? Si je le Lui demande, croyez-vous qu’Il l’accordera? Prions.

            Notre Père céleste, je Te prie au Nom de Christ de l’aider, de la guérir et de la rétablir. Je le demande au Nom de Jésus. Amen.

            Très bien. Que Dieu vous bénisse, madame. Allez, croyant maintenant de tout votre coeur, ayant foi.

            Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? N’ayez pas de telles pensées. Je ne suis pas en train de lire leurs pensées. Tenez, madame, posez votre main sur la mienne. Que le Dieu Tout-Puissant veuille me laisser avoir une vision ici alors que je ne regarde pas cette femme, afin que vous ne pensiez pas que c’est une télépathie... Si Dieu me permet de connaître la maladie de la femme ou quelque chose que vous... Qu’elle en soit donc témoin, cela vous suffira-t-il? Croyez-vous cela?

            Maintenant, madame, c’est à vous que je m’adresse, celle qui me tient la main. C’est dans la circulation sanguine, le sucre. C’est le diabète. Si c’est vrai, madame, levez la main. Enlevez-la de la mienne et levez-la vers Dieu. Eh bien, est-ce la télépathie? Certainement pas. C’est un...

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