C’est Moi, N’ayez Pas Peur

Date: 59-0811 | La durée est de: 1 heure et 21 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          ...Et de voir notre foule augmenter, même la deuxième soirée. Nous en sommes très content, et nous croyons qu’on a passé un bon moment ici hier soir, à voir comment le Seigneur a béni.

            Je n’ai pas parlé à frère Sullivan aujourd’hui pour savoir comment le service de l’appel à l’autel s’était finalement terminé. [Frère Sullivan dit: «Merveilleux.»–N.D.E.] Bien, je suis très content d’entendre cela. Vous savez, lorsque nous obtenons que des âmes soient sauvées, cela est donc agréable à Dieu. C’est ça la première chose. Et nous...

            Généralement, lorsqu’il nous arrive d’avoir quelques soirées comme celles-ci, eh bien, nous tâchons toujours de faire d’abord l’appel à l’autel et autres, car il est écrit: «Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et Sa justice, et toutes ces choses vous seront données par-dessus.» Et j’en suis heureux. Et nous aimerions tous trouver toute la grâce possible auprès de Dieu, car nous avons besoin de toute la grâce qu’Il peut nous accorder. Je parle de moi-même.

2          Si je ne me trompe pas, c’est frère et soeur Kidd que je vois assis ici. Je suis très content de vous voir.

            Je lisais un petit témoignage sur vous l’autre jour. Et, vous savez, vous prêchiez tous l’Evangile cinq ans avant ma naissance, et je suis un vieil homme. Ah! oh! Je–j’ai certainement du respect pour ce petit vieux couple d’ici, dans l’Ohio, frère et soeur Kidd. Et vous les connaissez pratiquement vous tous.

            Elle envoie de temps en temps chercher un grand lot de tissus de prière sur lesquels j’ai prié pour les envoyer aux siens qu’elle sait être malades, et elle reçoit des témoignages en retour. C’est juste une vieille petite mère et un vieux petit papa dans l’Evangile. Je suis très content de les voir.

3          J’ai reçu une lettre hier soir de mon amie Rosella Griffin ici, de Joliet, dans l’Illinois, celle qui était l’une des alcooliques les plus remarquables de l’Amérique, c’était... Les Alcooliques Anonymes ne pouvaient rien faire pour elle, et les médecins de Chicago n’ont rien pu faire pour elle. Mais un soir, elle a été amenée à la réunion, et le Saint-Esprit lui a révélé toutes ces choses et l’a guérie. Et maintenant, elle travaille pour le Royaume de Dieu dans la prison de Chicago, dans les quartiers pauvres.

            Sa petite amie... je pense que l’une a amené l’autre ; je ne sais pas laquelle c’était. Et si je ne me trompe pas, c’est... C’est vous qui êtes assise là ce soir. Vous étiez aussi une toxicomane, je pense.

4          Et dites donc, Frère Sullivan, si vous ne les connaissez pas, vous devez faire qu’ils témoignent devant les gens. Il peut y en avoir d’autres ici qui boivent, qui sont des toxicomanes et autres, ils peuvent voir ce que Dieu peut faire. Ce n’est pas un secret. Est-ce là votre mari, soeur? Je suis très heureux de vous voir, mon frère.

            Ainsi donc, Christ a certainement changé cette vie-là. Certainement. Quelqu’un peut être conduit du trou des rats sous terre au sommet le plus élevé possible, au baptême du Saint-Esprit. Ce n’est pas un secret, ce que Dieu peut faire.

            Et vous devez, par tous les moyens, Frère Sullivan, obtenir leur témoignage. Je suis sûr que vous tous, vous aimeriez entendre cela, n’est-ce pas? Comment elle est passée d’une droguée à ce qu’elle est maintenant, une sainte de Dieu, elle et son mari.

            Non seulement cela, je disais que Rosella travaille dans les quartiers pauvres de Chicago. Ils sont évangélistes sur les champs du travail, ils prêchent l’Evangile. Je vous assure, cela fait tressaillir mon coeur de joie.

5          Je m’attends à vous serrer la main de l’autre côté. C’est alors que nous passerons un merveilleux moment. Nous n’aurons plus à rentrer chez nous, car nous serons alors à la Maison. Et le soleil ne se couchera plus sur cette ville-là. Absolument pas, la Lumière sera toujours là. Nous combattons en vue de ce temps-là.

            Et comme je le disais hier soir, depuis que je suis sauvé, j’ai toujours l’impression d’être dans un cauchemar, quelque part. Il y a bien quelque chose au-delà... Si seulement je pouvais me réveiller à cela! L’un de ces jours, nous allons nous réveiller à la réalité de Dieu et nous tenir dans Sa Présence, sauvés par Sa grâce, devenus semblables à Son image. Oh! quel moment ça sera!

6          Je suis heureux d’être encore ici ce soir, de communier avec ces prédicateurs et différentes personnes parmi vous, mes frères, ainsi qu’avec frère Sullivan. Il est Kentuckien, mais on l’en excuse, il a évolué, il est devenu un ministre de l’Evangile. Or, il se fait que moi aussi, je suis Kentuckien. Je–je vais donc vous montrer qu’il y en a beaucoup d’autres ici. Combien sont du Kentucky? Levez la main. Y a-t-il quelqu’un de l’Indiana dans le groupe? Ma mère gère une pension et... ou plutôt, elle gérait. Et je... Un jour, je suis allé là, et sur vingt-trois hommes qu’elle avait accueillis, tous venaient du Kentucky. Je suis allé à mon église et j’ai dit: «Que tous ceux qui viennent du Kentucky se lèvent.» Et toute l’assemblée s’est levée.

7          Eh bien, le Kentucky a quelque chose qu’il a offert au Seigneur. Beaucoup de saints viennent du Kentucky. Et tout au début, au tout début, lorsque nous sommes arrivés à bord des calèches, traversant les collines... Ils ont produit de grands prédicateurs et de grands saints de Dieu. Kentucky sera bien représenté dans la Gloire quand nous y arriverons.

            Maintenant, j’espère que nous, en tant que génération suivante, leur progéniture, nous n’avons pas honte de nos aïeux ni de l’Evangile qu’ils ont prêché. Prenons position pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, laissant ce qui est en arrière, courons vers le but de la vocation céleste en Christ. Voilà le désir de mon coeur: répondre à cette vocation céleste.

8          Eh bien, hier soir, je vous ai juste parlé un peu. Et ce soir, il y aura un service de guérison. Nous voudrions... Nous ne prétendons donc pas... S’il arrive qu’il y ait quelqu’un de passage, qui ne comprend pas cela, nous ne guérissons personne. Nous prions seulement pour les malades. J’ai vu des dizaines de milliers de personnes être guéries, mais je n’en ai jamais guéri aucune. J’ai eu des exaucements directs à la prière pour avoir prié pour les malades, mais je n’ai jamais guéri quelqu’un. Et je ne pense pas que cela relève du pouvoir de l’homme. C’est une oeuvre achevée par Christ au Calvaire.

            La guérison ne relève pas de l’homme, même pas des médecins, des hôpitaux, des médicaments. Il n’y a aucun médecin, aucun hôpital, aucun médicament qui puisse guérir. C’est Dieu qui est le Guérisseur. Les médicaments peuvent aider. Un médecin peut replacer un os, faire le diagnostic d’un cas, administrer un médicament qui tue des germes, mais c’est Dieu qui opère la guérison. Il peut replacer mon bras, mais il ne peut pas le guérir. Il peut arracher la dent, mais il ne peut pas guérir l’endroit d’où la dent a été arrachée. Il peut faire une intervention chirurgicale et ôter l’appendice, mais il ne peut pas guérir l’endroit où il a fait l’entaille. Voyez? Il faut Dieu pour le faire.

9          Et nous ne sommes pas contre les médecins, les hôpitaux ou les médicaments ; nous sommes pour eux et nous prions pour eux, que Dieu accorde davantage de connaissances à Ses serviteurs. Mais dès qu’un médecin arrive au bout du chemin et que son médicament ne peut plus aider le patient, et qu’il le condamne à la mort, je pense que le patient a le droit de venir auprès du grand Médecin et d’implorer miséricorde.

            Et c’est pour ce genre-là que je prie. Les enfants de Dieu, mes amis, les patients du médecin, c’est pour eux que je viens prier. Je ne prie pas pour cela moi seul... Je n’attribue même pas les mérites de la guérison à mes prières. Je l’attribue aux prières de tous ceux qui sont dans l’assistance, qui prient au même moment pour les gens pour qui je prie. L’union fait la force. C’était quand... Après la Pentecôte, lorsqu’ils s’étaient rassemblés en un seul lieu et que tous, d’un commun accord, se sont mis à prier, le Saint-Esprit a secoué la maison où ils s’étaient rassemblés. Voyez? L’union fait la force. Nous sommes du Kentucky. L’union fait la force.

10        Ainsi, bien souvent, on arrive aux réunions, on vient aux réunions, les lettres me parviennent: «Quelle est votre doctrine, Frère Branham? Vous étiez un baptiste ; croyez-vous toujours à la sécurité éternelle? Etes-vous un Jésus seul? Avez-vous... Baptisez-vous du tout? Aspergez-vous?»

            Voici ce que je déclare: J’ai une seule doctrine, la grande doctrine fondamentale de l’Evangile, de la Bible. Je n’ai jamais quitté une réunion, à ma connaissance, en la laissant dans la confusion. J’ai toujours essayé de laisser la réunion dans la douceur du Saint-Esprit. Je n’ai jamais cherché à faire... des prosélytes, je ne cherche jamais à arracher des disciples à quelqu’un. Ce que j’essaie de faire, c’est d’ajouter les pécheurs à n’importe quelle église où il veut aller. Tant qu’il est né de nouveau de l’Esprit de Dieu, il est mon frère et elle est ma soeur. Et les doctrines... J’ai mes propres conceptions, mais je les garde pour moi-même.

11        Et alors, lorsque je viens ici, ou ailleurs... Et si je prenais position pour un côté ou pour un autre, ce serait... j’accorderai toute l’influence que le Seigneur m’a donnée à une dénomination quelconque. C’est pourquoi je ne prends position pour aucune d’elles. Je me tiens coude à coude avec elles toutes, j’essaie de les rassembler, de dire: «Nous sommes des frères. Nous sommes des frères.» Et c’est pourquoi je ne prends pas position ni–ni n’engage des controverses.

            Nous tous, nous les fondamentalistes, nous croyons absolument dans les grandes doctrines évangéliques. Nous croyons qu’il existe un Sauveur qui sauve, qu’il existe un Christ qui baptise du Saint-Esprit. Nous croyons certes dans la guérison divine ; nous croyons dans la Seconde Venue. Ce sont là les choses que je prêche, c’est ça. Que le reste de cela... C’est aux pasteurs, aux bergers de conduire le troupeau tel qu’ils trouvent convenable. Moi, je suis un évangéliste.

12        Maintenant, nous sommes sur le point d’ouvrir la Parole, ou de lire la Parole. Il n’y a qu’Un Seul qui puisse ouvrir la Parole, et c’est «Celui qui a été immolé dès avant la fondation du monde, qui est allé auprès de Celui qui est assis sur le Trône, qui a pris le Livre de Sa main droite, qui est digne d’ouvrir le Livre et d’En rompre les Sceaux.»

            Inclinons donc la tête pour un moment de prière, pendant que nous Lui parlons. Combien aimeraient qu’on se souvienne d’eux ce soir, que Dieu leur accorde la foi pour être guéri ce soir? Levez la main pour dire: «Frère Branham, souvenez-vous-en. Ô Dieu, je lève ma main.» C’est bien.

13        Seigneur, Tu es Dieu depuis le commencement. Tu n’as jamais eu de commencement, car Tu es l’Eternel. Tu n’as jamais eu de commencement, ou Tu ne connaîtras jamais de fin. Lorsque le péché se sera entassé sur la terre au point que les étoiles refuseront de briller et que les mers se seront retirées dans le désert, Tu resteras toujours Dieu.

            Et nous nous approchons de Toi ce soir dans ce Nom Tout-Suffisant du Seigneur Jésus, Ton aimable Fils, qui est venu prendre notre place volontairement et qui est devenu une expiation pour nos péchés. Et ce soir, nous nous sentons lavés par les eaux de la Parole et purifiés, et nous sommes candidats pour le Saint-Esprit et pour Ses oeuvres divines.

            Et nous venons ce soir avec des coeurs ouverts pour Le recevoir, sachant que nous vivons dans les derniers jours de l’histoire du monde, sachant qu’à n’importe quel moment Jésus peut venir. Et nous voyons le monde agité: Des nations s’élèvent contre des nations. Et maintenant, il y a une division entre les églises ; il y a une division entre les gens et les individus. Mais la maison de Dieu doit être unie comme une unité. «En avant soldats chrétiens», dit le poète. «Nous ne sommes pas divisés ; nous formons tous un seul Corps.»

14        Ainsi, ce soir, nous prions, Père céleste, que ceux qui se sont rassemblés ici dans le but d’être guéris par Ta puissance... C’est ce que nous soutenons, que Tu es ressuscité d’entre les morts et que Tu es vivant ce soir parmi nous. Nous sommes très contents de ne pas adorer une tradition d’un quelconque dieu païen en bois, qui ne peut ni parler ni entendre. Mais nous adorons Jésus ressuscité, le Fils de Jéhovah, qui a été fait péché à notre place. Et Il a été blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Et nous prions ce soir qu’Il se manifeste, car Il n’est pas mort, mais Il est vivant parmi nous, qu’Il guérisse les malades et les affligés, qu’Il sauve les perdus, qu’Il donne du courage aux faibles. Tire gloire pour Toi-même, Seigneur, alors que nous Te confions le service maintenant.

            Au Nom du Seigneur Jésus, prends la Parole écrite, enfonce-La dans nos coeurs, mélange-La avec l’Huile de l’Esprit, que Cela produise de grands résultats. Pour chaque personne qui a levé la main et pour ceux qui ne pouvaient pas lever les mains, que celle-ci soit la soirée de la complète délivrance. Qu’il n’y ait aucune personne faible parmi nous au moment où nous partirons. Car nous le demandons au Nom de Jésus, et à cause de Lui. Amen.

15        Maintenant, j’ai besoin de vos prières alors que je parle juste brièvement avant la ligne de prière. Nous aimerions qu’elle soit aussi longue que possible. Et demain soir, nous continuerons à prier pour les malades, chaque soir, et peut-être, de diverses manières.

            Maintenant, j’aimerais voir s’il y a des gens ici qui n’ont jamais assisté à l’une de mes réunions, où je priais pour les malades auparavant. Voudriez-vous simplement lever la main, ceux qui n’ont jamais assisté à l’une des réunions? Il y a un bon nombre ici qui n’ont jamais assisté aux réunions.

            Eh bien (Merci.), je ne prétends pas être un guérisseur. Je suis vraiment opposé à cela, je crois que la guérison est... Toute guérison est une guérison divine. Je crois qu’il n’existe pas d’autre guérison en dehors de la guérison divine. En effet, si ce n’est pas ça, alors Dieu a dit quelque chose de faux lorsqu’il a dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Voyez? Il les guérit toutes. Cela n’arrête pas le travail du médecin, ni des autres ; cela l’inclut. Il ne fait que prendre des dispositions pour la guérison divine: il lave, ou il remet l’os en place, il prend des dispositions pour la guérison. Mais c’est à Dieu de créer des cellules. Et il n’y a qu’un seul Créateur, et c’est Dieu. Je ne crois pas qu’il y ait de la puissance dans les mains d’un prédicateur pour guérir quelqu’un. Mais c’est une commission du Seigneur que nous devons imposer les mains aux malades.

16        Et je crois que la guérison est une oeuvre achevée, qui a été accomplie il y a deux mille ans. En mourant au Calvaire, Jésus vous a sauvé du péché et vous a guéri de votre maladie. Et chaque bénédiction, chaque bénédiction de la rédemption est vôtre par la foi dans cette oeuvre achevée. Voyez? Elle est vôtre si vous pouvez croire cela.

            Comme quelqu’un l’a dit il y a quelque temps: «Je ne crois pas à la guérison divine. Peu m’importe ce que vous dites.»

            J’ai dit: «Certainement pas. Cela n’a pas été donné aux incroyants ; cela a été donné aux croyants. Celui qui croit...» Il y a un point d’interrogation. Si vous êtes un croyant, la guérison divine est pour vous. Si vous n’êtes pas un croyant, elle n’est pas pour vous. Et chaque personne ici présente malade n’a pas à venir à cette estrade. Il n’a rien à faire, sinon confesser ses péchés à Dieu. Le péché, c’est l’incrédulité. Nous le savons tous. Le fait pour vous de fumer, boire, jouer à l’argent, commettre adultère, ce n’est pas ça le péché, ce sont les attributs de votre incrédulité. Voyez? C’est parce que vous ne croyez pas en Jésus que vous faites ces choses, si vous les faites. Mais si vous croyez en Lui, vous ne faites pas ces choses, parce que vous êtes un croyant. Il n’y a donc qu’un seul péché initial, et c’est l’incrédulité. Et si vous croyez en Dieu, alors vous pouvez simplement accepter cela, où que vous soyez. Dieu est partout.

17        Ce soir, j’ai choisi juste un très court passage ... Et j’espère que vous allez saisir ce que le Saint-Esprit essaie de dire par cela. Cela se trouve dans Saint Jean, chapitre 6, verset 20.

Mais Jésus leur dit: C’est moi, n’ayez pas peur!

            Ça doit avoir été ce grand pêcheur costaud appelé Pierre qui, quelques heures auparavant, avait repoussé la barque du rivage vers la mer de Galilée. Et puis, il a quitté la proue de la barque qui se dirigeait vers le rivage, il a pris place à côté de son frère André, et il a pris une rame. En effet, à l’époque, on plaçait un homme de part et d’autre. Peut-être que six ou huit hommes ramaient les petites barques, ce qu’on appelle des navires. Et alors qu’ils poussaient la barque et la mettaient en position de traverser la mer... Ils faisaient signe de la main pour dire au revoir à ces amis chrétiens, aux croyants qui étaient sur le rivage. Et nous apprenons ici qu’il faisait pratiquement sombre. Et il leur a été demandé de traverser de l’autre côté.

18        Et aussitôt que le dernier avait arrêté de faire signe de la main et que les autres étaient retournés chez eux, ça doit avoir été le jeune Jean, comme il était le plus jeune du groupe, avec sa main sur le visage, qui a dit quelque chose comme ceci: «Je ne comprends pas comment Il a fait cela. En effet, je regardais et j’ai vu qu’il y avait seulement cinq petits pains et deux tout petits poissons. Mais comment a-t-Il rompu cela et nourri cinq mille personnes, cinq mille personnes sans compter les femmes et les enfants? Et je regardais Ses mains, car je me tenais tout près chaque fois que je revenais avec le panier, et je Le voyais prendre un petit pain, en couper un morceau, le placer dans le panier, remettre la main, en couper un autre morceau.»

            Il était jeune. Il a dit: «Je n’arrive vraiment pas à comprendre comment il y a eu beaucoup d’autres pains cuits. Oh! S’Il avait un four, qu’Il avait cuit cela, et–et qu’Il avait le blé et autres, je pourrais comprendre cela. Mais Il n’en avait pas. Il en a contourné tout le cycle, le cycle régulier et naturel de la culture du blé, de faire moudre cela, de le broyer, le cribler, le rendre fin, l’assaisonner, mettre cela au four et le rompre. Il rompait simplement cela et le distribuait.»

19        Alors, celui qui était derrière, peut-être que c’était Barthélemy, a dit quelque chose comme ceci: «Vous savez, Il... C’est la preuve qu’Il est le Fils de Jéhovah. En effet, les Saintes Ecritures nous apprennent que nos ancêtres avaient vécu, pendant quarante ans, du pain créé, qui descendait du Ciel, d’auprès de Dieu.»

            Et, au fur et à mesure que la petite barque avançait, la conversation se poursuivait, comme quoi Il devait être en contact avec Dieu, quelque part. Evidemment, Dieu était en Lui, accomplissant Sa volonté. Les Ecritures déclarent que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

            Et puis, Pierre a dit, pendant qu’il était assis à côté de son frère André, il l’a regardé et a dit: «André, la première fois que tu es venu me parler d’un Homme que tu avais trouvé, j’ai douté de ce que tu disais. Mais lorsque je suis entré dans Sa Présence et qu’Il a dit: ‘Tu es Simon, le fils de Jonas’, la question était réglée pour moi. Car les Saintes Ecritures nous enseignent que Moïse, celui que nous croyons, nous a écrit, disant: ‘L’Eternel ton Dieu te suscitera un Prophète comme moi.’ Et je savais que le Messie devait être Dieu-Prophète. Et alors que je savais qu’Il ne me connaissait pas et que c’était la première fois qu’Il me voyait donc, mais, cependant, Il m’a appelé par mon nom et m’a parlé de mon papa, j’ai reconnu que c’était Lui.»

20        Et puis, celui qui était assis près, vers la poupe de la barque, du nom de Nathanaël, colla ses épaules contre Philippe, comme ils ramaient ensemble, et dit: «Philippe, je peux donner un témoignage pareil à celui de Simon. Car, lorsque j’étais là sous cet arbre-là en train de prier, quand tu m’avais trouvé et que tu m’avais raconté que cet Homme avait dit à Simon son nom, je m’étais pratiquement moqué de toi. Je ne pouvais pas croire cela. Et puis, lorsque tu as dit qu’Il venait d’un lieu aussi vil que Nazareth, j’ai alors reconnu que tu devais avoir perdu la tête. Aussi avais-je dit: ‘Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?’ Je n’oublierai jamais ce que tu avais dit: ‘Viens, et vois.’»

            C’est une bonne chose. C’est une bonne réponse pour n’importe qui. Ne critiquez pas cela ; venez voir de vous-même. Et puis, examinez cela à la lumière des Ecritures. Les Ecritures sont toujours vraies. Jésus a dit: «Ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi.»

21        Et Nathanaël a dit: «Alors que nous cheminions sur la route, je n’oublierai jamais notre entretien. Je doutais encore, Philippe. Même si je savais que tu es un homme juste et honnête, et que tu étais véridique, et je croyais que tu étais simplement emporté par une espèce de fanatisme. Mais lorsque je suis entré dans Sa Présence et que je L’ai entendu parler, Il parlait différemment de tout homme que j’aie jamais entendu, car Il parlait comme ayant autorité, et Il savait de quoi Il parlait.»

            Et il a dit: «Quand je me suis avancé, et que Lui a tourné le regard, qu’Il m’a vu, et qu’Il a dit: ‘Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude’, cela m’avait pratiquement réduit au silence. Et j’ai dit: ‘Rabbi, d’où Me connais-Tu?’ Il a dit: ‘Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Il a dit: «Pour moi, cela a réglé la question une fois pour toutes. J’avais reconnu que c’était le Messie. C’était le Dieu-Prophète dont Moïse avait annoncé l’avènement. Peu m’importe ce que les autres pensent, cela règle la question pour moi. J’ai cru cela parce que les Saintes Ecritures l’enseignent. Et, Philippe, c’est pourquoi j’étais tombé sur ma face et que j’avais dit: ‘Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.’ En effet, je savais que les Ecritures disaient que ce serait là le signe qu’Il est Celui dont Moïse avait parlé.»

22        Alors, André doit avoir arrêté de ramer juste un instant. Et il a dit: «Frères, notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous quand nous L’avons vu? Ce n’était qu’un Homme fatigué sur le chemin. Et Il s’est assis sur le puits. Il était si fatigué qu’Il ne pouvait pas descendre à Samarie avec nous ce jour-là, lorsque nous sommes allés chercher des vivres pour Lui... Et comment nous parlions en chemin de l’amour que nous éprouvions pour Lui. Et avant qu’on nous ait même donné la nourriture, nous avons vu une femme passer sur la route, criant: ‘Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même? N’est-ce pas Lui? Car Il m’a dit, lorsque j’étais là pour puiser un seau d’eau... Je suis simplement allée au puits comme je le fais toujours, et j’ai entendu Quelqu’Un me demander à boire. Alors, j’ai regardé, et j’ai vu un Juif d’âge moyen. Et Il m’a dit: ‘Femme, donne-moi à boire.’ Et j’ai dit: ‘Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains.’ Et Il a dit: ‘Si tu connaissais Celui à qui tu parles, Tu M’aurais demandé à boire. Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.’ ‘Et nous nous sommes mis à parler de diverses dénominations et des lieux d’adoration. Et Il m’a dit que Dieu était Esprit, que ceux qui L’adoraient devaient L’adorer en Esprit et en Vérité.’»

23        «Alors, je n’oublierai jamais, cette femme a peut-être dit ceci: ‘Lorsqu’Il a tourné ces yeux perçants vers moi, et qu’Il a dit: ‘Femme, va, appelle ton mari, et viens ici.’ Et je Lui ai dit: ‘Je n’ai point de mari.’ Et vous les hommes, vous savez comment j’ai vécu. Et Il a dit: ‘Non, tu n’as pas de mari, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.’»

            Et, évidemment, elle a dit quelque chose comme ceci: «J’ai été surprise. Nous n’avons pas pareille chose dans nos églises aujourd’hui. Je me suis vite retournée pour le regarder. Et j’ai dit: ‘Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que le Messie sera un Prophète. En effet, quand Il sera venu, Il nous annoncera ces choses.’»

            «Et voici les paroles qu’Il a dites: ‘Je Le suis, Moi qui te parle.’ Eh bien, gentlemen de la ville, vous les scribes et les érudits, considérez cela. Moïse n’a-t-il pas dit que, dans les derniers jours, l’Eternel Dieu susciterait un prophète comme Lui? Ne serait-ce pas Lui? Ne serait-ce pas le signe même du Messie? C’est Lui!’»

24        Oh! Comme ils ont dû lâcher les rames quelques instants et se sont réjouis de savoir que ça a été un glorieux jour! Ils avaient communié avec Lui ce jour-là. Oh! C’est toujours un glorieux jour lorsque vous communiez avec Jésus. Il reste toujours sur votre coeur quelque chose qui fait que vous ne pouvez jamais rester le même. Vous n’oublierez jamais ces heures de communion.

            Il devait faire complètement sombre, pratiquement, lorsqu’un sac d’argent a tinté à la poupe même de la barque. Et ce gars grincheux s’est levé et a dit: «Juste une minute, gentlemen.» Evidemment, nous savons qui est ce gars, c’est quelqu’un qui interrompt toujours la communion: Judas. Et il a dit: «Je connais beaucoup de bons rabbins. Je connais beaucoup de bons sacrificateurs dans notre pays. Il n’y en a aucun parmi eux, aucun séminaire, qui peut dire qu’Il ait mis les pieds chez eux. Nous n’en avons aucun témoignage. Et vous aussi, vous vous teniez là lorsque vous avez entendu ce rabbin déclarer que cet Homme est Béelzébul. Evidemment, nous le savons. Nous devons accepter ce qu’Il affirme. Il a dit que Son Père était Dieu. Mais il n’y en a aucune preuve, car, d’habitude, les enfants nés hors mariage, il leur arrive généralement des choses phénoménales. Et nous courons le risque d’être séduits, gentlemen, car cet Homme peut être un diseur de bonne aventure, ou Il est peut-être un mauvais esprit qui accomplit ces choses. Et nous courons le risque d’être séduits.»

25        Et à ce moment-là, le vent s’est mis à souffler. Les vagues ont commencé à déferler sur la barque. Le serviteur de Satan avait la parole. Il y a toujours des troubles quand il prend la parole. Les vagues déferlaient en furie, les vents soufflaient de plus en plus fort. Sans doute que Satan Lui-même faisait briller ses yeux de lézard, disant: «Je vais les effrayer à mort et, ensuite, les noyer. Cette fois-ci, je les ai eus sans Lui.» Et les vents soufflaient tellement dans le sens contraire que la barque fut complètement remplie d’eau, mi-remplie d’eau, et les rames se cassèrent. Et ces immenses moutons, alors qu’ils se levaient, faisaient ballotter la barque. Tout espoir était perdu. Et quand il n’y avait plus d’espoir, après qu’ils furent ballottés d’une vague à une autre...

26        Et peut-être qu’il y a des gens assis ici ce soir qui sont dans cette même condition. Peut-être que vous avez ardemment désiré trouver Dieu, vous avez été ballotté d’une église à une autre, d’une–d’une dénomination à une autre, emportant votre lettre d’affiliation d’une église à l’autre, de chez les méthodistes aux baptistes, aux presbytériens, aux luthériens, aux pentecôtistes, aux nazaréens. Juste vague après vague...

            Ou peut-être que vous avez été ballotté d’un cabinet de médecin à un autre. Les vagues en furie de la maladie vous ont amené chez un médecin, il vous a consulté et a dit: «Il n’y a rien que je puisse faire.» Une autre vague vous enverra à une clinique, uniquement pour entendre le médecin dire: «Votre cas est à un stade avancé. Il n’y a rien qu’on puisse faire pour vous.»

27        Mais alors que tout espoir était perdu, il leur est arrivé de regarder. Ils ont vu Quelqu’Un venir, marchant sur l’eau. C’est ainsi qu’Il s’y prend. Juste au dernier moment, à l’heure la plus sombre, Jésus vint. Il est venu, marchant sur l’eau.

            Or, le côté tragique de cette scène, c’est qu’on a envoyé de l’espoir aux gens qui étaient sans espoir, mais ils en ont eu peur, lorsque c’est arrivé. Juste comme aujourd’hui, l’unique espoir qu’ils avaient, c’était la miséricorde de Christ. Leur barque sombrait, les rames étaient cassées, et ils étaient à la merci du démon sur la mer, et l’orage les ballottait.

            Et l’unique Espoir qu’ils pouvaient avoir s’avançait vers eux, et ils En eurent peur. Ils craignaient que ça soit un fantôme d’une espèce quelconque, comme on le dirait dans le langage de la rue, un revenant, s’avançant sur l’eau. Et ils ont crié de peur.

28        Mais une Voix se fit entendre de là, cette Voix Toute Suffisante qu’il faut pour calmer cela, disant: «N’ayez pas peur, c’est Moi. Ayez bon courage.»

            C’est la même Voix qui nous parvient ce soir. Cette Voix, lorsque nous sommes au bout du rouleau, lorsque nous sommes au bout de notre pèlerinage d’église en église, apportant notre lettre d’adhésion de l’église chez les méthodistes, chez les baptistes, les presbytériens, les pentecôtistes et autres.

            Ecoutez. Toutes ces églises sont bonnes. Mais ce n’est toujours pas là la réponse. Lorsque vous alliez d’un cabinet de médecin à un autre, à une clinique, tout cela, c’est bien. Mais ce n’est toujours pas cela votre réponse. Ils vous ont laissé tomber. La réponse se trouve dans la salle ce soir, le Saint-Esprit de Dieu. N’ayez pas peur de Cela. Cela ne rend pas fanatiques ; Cela change les fanatiques en saints. N’ayez pas peur de Cela, c’est votre unique espoir.

29        Vous avez peut-être entendu les gens crier et dire: «Il y a du fanatisme là à Chautauqua. Ne vous en approchez pas.» Ne croyez pas cela. Sondez les Ecritures, car ce sont Elles qui rendent témoignage de Christ. Comparez la parole à la Parole, l’esprit à l’Esprit, car le Saint-Esprit ne peut produire que les oeuvres du Saint-Esprit. Jésus a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, alors croyez les oeuvres. Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez les oeuvres», a-t-Il dit.

            Ils pensaient qu’Il était parti. Le diable pensait qu’Il s’en était allé, parce qu’Il avait dit qu’Il devait aller se reposer un peu. Il était fatigué et Il devait aller se reposer et prier.

30        Je peux me représenter certains d’entre eux dire: «Nous n’aurions pas dû partir sans Lui.» Et c’est là une bonne ligne de conduite. Vous connaîtrez toujours des ennuis si vous allez quelque part sans Lui, car le diable est à vos trousses.

            Il–Il est donc venu. Pourquoi? Il n’était pas parti prier ni se reposer.

            Les prédicateurs et beaucoup de gens essaient de nous dire aujourd’hui... Pas tous les prédicateurs, pas tout le monde, mais beaucoup essaient de nous dire, vraiment beaucoup, qu’Il ne prend plus soin. Qu’Il s’en est allé se reposer, et que le monde a été abandonné à l’église pour faire ce qu’il veut.

            Mais ce n’est pas ce qu’Il a fait ; Il était monté sur la plus haute montagne de la Palestine et Il veillait tout le temps sur eux. Il n’est pas mort ; Il est vivant. Il est monté très haut... Plus haut vous montez, mieux vous voyez. Il est monté jusqu’au Trône du Père et s’est assis à la droite. Il veille.

31        Lorsque la petite barque, a-t-il dit, était en plein milieu de la mer et que les vagues venaient dans le sens contraire, Il était assis là, observant cela. Il n’est pas assis sur une montagne ce soir, mais Il est assis dans la Gloire ; Son oeil est sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur nous. Il connaît combien les vagues vous sont opposées. Il sait ce que le médecin a dit, et Il prend soin de vous. Il vous aime, Il viendra à la dernière heure. Mais n’ayez pas peur de Lui lorsqu’Il viendra. Acceptez-Le.

            Lorsqu’ils se sont finalement débarrassés de la peur, Il est entré dans la barque, il y eut soudain une paix. Et, oh! Quelle paix soudaine pour un coeur troublé, qui allait de lieu en lieu, cherchant à trouver quelque chose! Et lorsqu’ils se sont arrêtés quelques minutes, Il a laissé le Saint-Esprit entrer dans leur coeur. Quelle paix soudaine Cela apporte!

            Toute l’agitation de telle église, et de telle autre église-là, telle assemblée, telle... Tout ça, c’était réglé ; vous savez que votre Rédempteur est vivant parce qu’Il vit en vous.

32        Après qu’un homme est allé au cabinet d’un médecin avec une femme et un petit enfant, que le médecin a fait tout ce qui relève de son pouvoir, n’ayez pas peur du Saint-Esprit et de Sa promesse, car Il veille sur vous.

            Il dit ici dans les Ecritures qu’Il ne nous abandonnera pas, qu’Il ne nous délaissera pas: «Voici, Je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.» Les Ecritures déclarent que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ce même Jésus, qui est monté sur la montagne pour veiller sur cette barque pleine de gens, a gravi les remparts de la Gloire pour veiller sur cette assemblée ce soir et sur vos actes vis-à-vis de Son Esprit et de Sa Parole. Avant de s’en aller, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez (les croyants), car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin de l’âge.»

            Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Le même Christ qui prend soin, le même Christ qui veille sur vous, le même Christ qui accomplit les mêmes miracles, qui produit les mêmes résultats, n’a-t-Il pas dit dans Saint Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais»? Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement...

33        Il n’est pas mort, mais Il est vivant. Et s’Il est parmi nous ce soir, Il produira les mêmes résultats qu’Il avait produits lorsqu’Il était ici sur terre, afin qu’en quittant cette salle ce soir, nous disions la même chose que les autres autrefois, ceux qui revenaient d’Emmaüs, lors de cette première résurrection. Il avait accompli un acte exactement comme Il avait fait avant Sa crucifixion. Ils ont reconnu que c’était Jésus.

            Ce soir, s’Il est vivant et qu’Il n’est pas mort, mais qu’Il est parmi nous, Il accomplira les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies avant Sa crucifixion, car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. N’ayez pas peur. Ne redoutez pas une mauvaise chose. C’est scripturaire. N’ayez pas peur ; ce n’est pas un fantôme. N’ayez pas peur, ce ne sont pas des diseurs de bonne aventure. N’ayez pas peur, ce n’est pas du fanatisme. «C’est Moi», dit le Saint-Esprit. C’est l’Esprit de Dieu rendant témoignage que Jésus est vivant et qu’Il est dans Son Eglise. Croyez-vous cela? Prions donc, alors que nous nous confions en Lui.

34        Ô Seigneur, Toi qui as ramené Jésus d’entre les morts et L’as présenté à chaque génération au cours des âges... Et ce soir, nous sommes à l’ombre de Sa Venue pour la deuxième fois, dans la Gloire. Et quand une ombre commence à se rapprocher, tout le positif qui produit l’ombre, l’objet, cela devient plus clair tout le temps. Nous ne pouvons pas nous référer au ministère de notre grand ami et frère, Martin Luther ; nous ne pouvons pas nous référer à notre frère John Wesley, ni à Moody, ni à Sankey, ni à Finney, ni à Calvin, ni à Knox. Ils ont reflété Ton Evangile à leur époque. Et ce même Evangile est reflété ce soir avec plus de puissance, car le Seigneur vient bientôt. L’objet se confond à l’ombre alors qu’ils deviennent un, le ministère et Christ.

            Et, Père divin, que cette assemblée n’ait pas peur, mais qu’ils croient que Tu es ressuscité d’entre les morts, que Tu es ici pour aider chaque individu. Oh! Ton serviteur, Seigneur, par une commission d’un Ange et avec un don divin, ne peut que refléter ce que Tu veux refléter. Mais que cela s’accomplisse ce soir, Seigneur, afin que les gens en détresse soient sûrs et n’aient pas peur: «N’ayez pas peur, c’est Moi.»

35        Ce même Jésus qui avait prêché a promis qu’en ces jours-ci, les signes mêmes qu’Il avait accomplis s’accompliraient de nouveau pour donner un signe aux Gentils comme c’était le cas à l’époque, aux Samaritains et aux Juifs, car ils étaient les seuls à attendre le Messie. Et Tu T’étais manifesté de cette façon-là.

            Or, Tu es un Dieu infini. Tu ne fais acception de personne. Tout ce que Tu fais, Tu le fais parfaitement chaque fois. Et Tu as fait cela parfaitement. C’est ainsi que Tu as choisi Ton Peuple dans les derniers jours, car c’étaient eux qui T’attendaient, les Juifs et les Samaritains. Et maintenant, Seigneur, choisis Ton peuple ce soir parmi les Gentils. Et accorde que le Saint-Esprit se meuve, accomplisse et produise les oeuvres de Christ. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

36        Jésus a dit: «N’ayez pas peur, c’est Moi.» Et ce soir, le Moi, c’est le Saint-Esprit. C’est le Saint-Esprit de Dieu, qui est descendu vivre dans l’Eglise. Dieu a d’abord vécu dans une Colonne de Feu, Il a été ensuite fait chair par une naissance virginale et a habité en Christ. Enfin, après le départ de Christ, Il a sanctifié une Eglise née par le sexe afin de sanctifier ce peuple et de vivre en eux, Sa Présence, le Saint-Esprit, pour continuer l’oeuvre.

            Et ce soir, le Saint-Esprit est ici, finissant, unissant, achevant l’oeuvre, scellant le Livre, car le dernier nom y entrera un jour, et Il n’ajoutera rien de plus. Si vous n’êtes pas... ou si votre nom n’est pas dans le Livre de Vie de l’Agneau ce soir, mon cher ami rétrograde, s’il vous plaît, demandez à Dieu d’y inscrire votre nom maintenant, pendant que nous prions pour les malades.

37        Maintenant, je pense... Combien de cartes de prière, Gene, avez... Ou qui... Billy? Es-tu là? En as-tu distribuées? 1 à 100. Très bien. On a distribué une centaine de cartes de prière. Maintenant, tenez votre carte. Si vous n’êtes pas appelé ce soir, on vous appellera. Vous monterez ici à l’estrade. Nous ne pouvons pas... Ce soir, j’aimerais–j’aimerais faire une seule chose. Demain soir, j’aimerais changer et m’y prendre autrement, et la soirée suivante, autrement encore. Vous tous qui avez lu mon livre sur les différentes choses que le Saint-Esprit...

            Il y a un prophète, pas de dons de prophétie, les dons des prophètes. Mais il y a des dons de guérison. C’est au pluriel, l’autre est au singulier.

38        Maintenant, nous ne pouvons pas tout apporter du coup... J’ai promis cela, que je vous ferai sortir aussitôt que possible ; commençons donc par le numéro 1 et nous les ferons–ferons passer tous. Qui a la carte de prière numéro 1? Voudriez-vous lever la main, quelqu’un? C’est quelle lettre? A? A numéro 1. Quelqu’un ici qui a la carte de prière A numéro 1, si vous pouvez vous lever. Avez-vous cela, monsieur? Très bien, veuillez venir ici même.

            Nous ne pourrons pas mettre beaucoup de gens debout... Est-ce tout ce qu’on a comme place juste là? D’accord, jusque derrière. D’accord.

            Pendant que cet homme se fraye un chemin, qui a la carte de prière numéro 2? Voudriez-vous lever la main? Numéro 2. Vous êtes bien quelque part... La dame loin par ici. Très bien, madame. Veuillez occuper votre place ici même. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

39        Et nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Certes que Dieu nous connaît. Maintenant, cet homme, qui se tient ici à côté de moi, m’est un parfait inconnu, à ce que je sache. Dieu le sait. Je ne l’ai jamais vu de ma vie. Si je l’ai déjà vu, je l’ignore. Et il vient de témoigner que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Combien dans la ligne de prière maintenant, ou quiconque parmi vous, savent que je ne les connais pas? Qu’ils lèvent la main, partout dans la ligne de prière. Très bien. Combien là dans l’assistance savent que je ne les connais pas, et ils sont malades? Levez la main. D’accord. Voyez? C’est juste afin que vous voyiez que c’est le Seigneur Jésus.

            Maintenant, s’Il fait... Que cet homme soit malade, nécessiteux ou je ne sais quoi qu’il est, moi, je ne le sais pas. Je ne sais pas pourquoi il est ici. Mais si le Saint-Esprit le révèle à cet homme, après ce message, vous tous vous croirez alors qu’Il est le même Messie.

40        Maintenant, Il n’opérera jamais au travers de moi s’Il n’opère pas au travers de lui. Voyez? C’est Sa foi. Il faut votre foi là dans l’assistance. Je souhaiterais pouvoir parler à chacun de vous. Je ne le peux pas. C’est votre foi qui Le touche.

            Et puis, Il s’empare simplement de moi, et je ne sais pas ce que je dis. Il... Je sais ce que je dis ; ce n’est pas ce que je voulais dire. Je veux dire que je ne comprends pas ce que je vais dire. Je dis simplement ce qu’Il dit. Et la chose est là ; vous avez cela. Voyez? Il s’agit de s’abandonner au Saint-Esprit. Si le fait de s’abandonner au Saint-Esprit manifeste Jésus ici comme le Messie, ne se manifestera-t-Il pas comme le Guérisseur et tout ce qu’Il est?

41        Maintenant, Seigneur, c’est Ton service, et ceux-ci sont Ton peuple, et moi, je suis Ton serviteur. Maintenant, que les gens voient, ceux qui sont très malades et très nécessiteux, qu’ils sachent que Tu es le Fils de Dieu. Et Tu n’es pas mort, mais Tu es vivant ce soir pour accomplir les mêmes signes et les mêmes prodiges que Tu avais promis. Les Livres seront bientôt fermés ; les portes seront fermées ; et le Jugement sera proche. Nous voyons cela suspendu dans les silos aujourd’hui, Seigneur. Nous savons que c’est proche. Qu’il y ait donc là dans l’assistance ce soir, Père, peut-être, quelqu’un qui n’est pas sauvé ; que la Présence du Seigneur Jésus convainque cette personne de recevoir le Saint-Esprit ce soir. Nous le demandons pour la gloire de Dieu.

            Et maintenant, Seigneur, que le Saint-Esprit nous accorde ces choses que nous demandons, afin que les gens sachent que Tu es Dieu et que Tu vis éternellement. Au Nom de Jésus, amen.

42        Maintenant, regardez très attentivement dans cette direction et soyez en prière. Et maintenant, faites exactement tout ce qu’Il vous dit. Peu m’importe votre condition, à quel point vous êtes estropié, comment... Ce que... Si Cela vous parle... Eh bien, suivez, Cela peut révéler quelque chose. Maintenant, suivez ça, Cela ne fait que révéler. Mais après, si vous entendez Cela dire AINSI DIT LE SEIGNEUR, faites simplement tout ce que Cela vous dit. Vous pouvez vous rétablir aussi vite que possible. Combien ont été guéris de la sorte dans nos réunions? Levez les mains afin qu’elles servent de témoignage. Voyez, plusieurs. Observez ça.

            Voyez, une chose, c’est la foi de cette personne, et Cela révèle le problème. Ensuite, je peux prier pour cette personne. Mais lorsque Cela désigne dans cette assistance avec AINSI DIT LE SEIGNEUR, suivez Cela et faites exactement ce que Cela dit. Si Cela dit: «Inclinez la tête», alors inclinez la tête. Tout ce que Cela ordonne, faites-le donc, parce que C’est le Saint-Esprit.

43        Maintenant, vous pouvez vous rendre compte, vous les chrétiens, de ma situation. Voici la Parole de Dieu qui enseigne que cette Chose est la Vérité. C’est la Vérité: Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Maintenant, s’Il prouve qu’Il est ici, et qu’Il peut le prouver par cette seule personne, cela devrait vous faire savoir à vous tous que vous êtes dans la Présence de Jésus-Christ et vous faire accepter votre guérison. N’est-ce pas... Est-ce vrai? Levez la main si c’est vrai. C’est la vérité. Voyez? C’est la vérité.

44        Maintenant, cet homme et moi, nous sommes inconnus, mais Dieu nous connaît tous deux. Je n’ai aucune idée, monsieur, de ce pour quoi vous êtes ici, mais certes que Dieu le sait. Mais si, d’une façon ou d’une autre, je peux m’abandonner à Son Saint-Esprit et qu’Il vous révèle comme Il avait fait à Simon Pierre, ou à Nathanaël, ou à la femme au puits, ou à la femme à la perte de sang, n’importe comment (voyez?), juste comme Il avait fait autrefois... Voyez? Il a dit qu’Il n’était pas un Guérisseur. Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» «Je ne fais rien de Moi-même, a-t-Il dit. Mais Je ne fais que ce que le Père Me montre, ce que Je vois (non pas entends, ce que je vois.» Il s’agit d’une vision.

            Et s’Il me révèle ce qu’est votre problème, ou quelque chose à votre sujet que vous savez que j’ignore... S’Il y a quelque chose, je ne le connais pas. Mais s’Il me le révèle, L’accepterez-vous et croirez-vous à cause de cela? Que le Seigneur vous l’accorde, frère. Car nous sommes tous deux des hommes, et nous aurons tous deux à rencontrer Dieu. Nous aurons à nous tenir dans Sa Présence un jour.

45        Le problème de cet homme, ce qu’il cherche, son désir pour la prière, c’est une nervosité extrême. C’est vrai. Et il a aussi une espèce de toux ; c’est une toux asthmatique. Ça le dérange beaucoup la nuit. C’est vrai, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main.

            Croyez-vous cela? Cet homme est un témoin. Croyez-vous que c’est Christ qui a fait cela? Christ a permis que cet Esprit fasse que... Vous direz: «Peut-être que vous avez donc juste deviné cela.» Non, je ne l’ai pas deviné. Tournons-nous une fois de plus vers l’homme.

            Je ne me rappelle pas ce que c’était, mais je pense que c’était la nervosité. Eh bien, c’est vrai. Il a été nerveux toute sa vie. Mais il a développé une toux. Oui, c’est une toux asthmatique. Il se lève et tousse beaucoup. Et puis, il y a quelque chose à son bras, ou c’est... Non, c’est une hypotension. Il souffre de l’hypotension. C’est l’exacte vérité. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Je vais vous dire autre chose. Vous n’habitez pas ici. Vous n’êtes pas d’ici. Vous n’êtes même pas de cet Etat. Vous venez du Kentucky. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes, de même qu’Il avait connu Simon Pierre? Alors, monsieur Martin, vous pouvez rentrer chez vous, guéri.

            Croyez-vous de tout votre coeur? Alors, levez simplement les mains, adorez-Le et dites: «Seigneur, je crois. De tout mon coeur, je crois, Seigneur.»

46        Aide les gens ce soir, Seigneur, à comprendre. Et que chaque personne soit guérie. Que le glorieux Saint-Esprit se mette à baigner chaque personne malade, maintenant même, de Sa bonté et de Sa miséricorde. Je le demande au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, soyez en état d’alerte, soyez en prière. Ce que le Saint-Esprit révèle, faites-en vôtre. Ce qu’Il fait ici à l’estrade, Il le fait aussi là dans l’auditoire. Combien parmi vous là, dans l’auditoire, sont malades et disent qu’ils n’ont pas de cartes de prière? Levez la main. Priez donc juste une minute.

            Voici une femme assise ici même devant moi. Elle a des cheveux noirs, elle porte des lunettes, elle est habillée d’une robe jaune. Elle souffre des maux de tête. C’est vrai. Si c’est vrai, levez-vous... Levez la main, madame. Levez-vous. Vous priiez que Dieu vous appelle. Vous êtes maintenant guérie de vos maux de tête. Rentrez chez vous, guérie. Jésus-Christ...

47        Maintenant, dites-moi ce qu’elle a touché. Elle a touché le Souverain Sacrificateur. Elle est à vingt yards [18,2 m] de moi, mais elle est dans le... à la portée du Souverain Sacrificateur. Il est ressuscité d’entre les morts et Il est ici. Maintenant, vous là dans l’auditoire sans cartes, faites de même.

            Croyez-vous, soeur? Croyez-vous que Dieu peut me révéler... Si ceci peut être un autre... Juste comme la femme au puits, Il peut révéler votre problème, de même qu’Il avait pu révéler son problème jadis. Franchement, vous n’êtes pas ici pour vous-même ; vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Cette personne est gravement malade, elle est à l’hôpital. C’est une femme, une femme plus jeune. C’est votre belle-fille. Elle a quelque chose qui cloche dans ses os, quelque chose qui se répand dans ses os. C’est vrai. Je vois aussi un jeune homme, un enfant. C’est un petit-fils. Il a une néphrite chronique ou quelque chose... Vous priez pour lui. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Allez en croyant et vous aurez ce que vous avez demandé. Ayez foi en Dieu.

48        Très bien. Est-ce cette dame? Croyez-vous, ma soeur? De tout votre coeur? Si Dieu me révèle votre maladie, accepterez-vous donc cela? Ya-t-il ici quelqu’un qui connaît cette dame? Eh bien, assurément. D’accord. Vous connaissez donc sa maladie. Croyez donc. Je ne peux pas vous guérir, parce que je ne suis pas un guérisseur. Mais il s’agit d’un don. Voyez, je ne peux pas... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Dieu a déjà accompli cela. Il a déjà guéri. Si Jésus se tenait ici ce soir et que vous disiez: «Seigneur, je veux que Tu me guérisses», Il dirait: «Je l’ai déjà fait. Quand J’étais mort au Calvaire, J’ai payé le prix de ta guérison. Je t’avais libéré de tes... de ta maladie, quand J’étais mort au Calvaire.» C’est ce qu’Il dirait, absolument, car c’est ce qu’Il a fait. Il a fait cela une fois pour toutes.

            Mais Il peut se manifester comme le Messie, et c’est ce qu’Il essaie de faire maintenant en faisant savoir aux gens que ce que nous croyons être le Saint-Esprit, c’est le Saint-Esprit. L’Esprit de Christ en nous accomplissant...

            Si l’esprit d’un–d’un gangster était en nous, nous accomplirons les oeuvres d’un gangster. Si l’esprit d’un–d’un chanteur était en nous, nous chanterions. Si l’Esprit de Christ est en nous, nous accomplirons les oeuvres de Christ.

49        Vous souffrez de la nervosité et d’un mal de gorge. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Vous avez autre chose à coeur et vous voulez que je prie pour quelqu’un. Voulez-vous que je prenne ce mouchoir pour l’envoyer? Si Dieu me dit qui c’est et ce que c’est... C’est votre fille, elle est paralysée, elle vient d’avoir un enfant. Elle sait peut-être que je suis votre... ou le prophète du Seigneur. Prenez ce mouchoir et placez-le sur elle. Ne doutez pas, vous pouvez avoir ce que vous demandez. Voyez? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous maintenant.

            Louons-Le donc, levons les mains et disons: «Merci, Seigneur Jésus.» Gloire Te soit rendue, Seigneur. Tu es bon envers nous, Seigneur. Tu es ici, et Tu veux que nous T’adorions. Et nous ne pouvons pas retenir cela davantage, Seigneur. Tu es si bon de nous faire savoir que Tu es vivant en cette heure grave où tout espoir est perdu. Cependant, Tu es notre Espoir. Nous n’avons pas peur de Toi, Seigneur ; nous T’adorons ; nous T’aimons. Entre dans notre petite barque ce soir et donne-nous la foi, donne-nous la guérison, donne-nous Ton Esprit, satisfais-nous avec cette Portion Eternelle. Accorde-le, Seigneur. Nous T’adorons au Nom de Jésus. Amen.

50        Laissez-Le simplement entrer dans votre petite barque qui est ballottée par des doutes et des soucis. N’ayez pas peur. N’ayez pas peur d’accepter Cela ; acceptez simplement Cela. Excusez-moi. Vous croyez, n’est-ce pas, de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu peut me montrer ce qu’est votre maladie? Une chose pour laquelle vous voulez la prière, ce sont vos yeux. Evidemment, vous portez aussi des lunettes. Mais ce sont les yeux qui vous dérangent. Mais voici une chose qui ne se fait pas voir. Vous souffrez du dos. Vous croyez que Dieu... Si Dieu me dit ce qui a causé cela, cela augmentera-t-il votre foi? Vous êtes tombé. C’est vrai. Maintenant, partez, vous êtes guéri. Jésus-Christ vous guérit. Croyez simplement de tout votre coeur. Ayez foi en Dieu.

51        Bonsoir, monsieur. Je ne vous connais pas, peut-être que vous ne me connaissez pas. C’est vrai. Mais Dieu nous connaît tous deux. Pensez-vous que Dieu peut me révéler ce pour quoi vous êtes ici, monsieur? S’Il peut révéler... voir Philippe venir et dire, ou plutôt Nathanaël, et dire: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Et il a dit: «Tu es... Rabbi, d’où me connais-Tu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

52        Le même Seigneur Jésus, Son Esprit... Maintenant, Son corps est à la droite de Dieu, assis là-haut comme le Souverain Sacrificateur. Mais Il a renvoyé Son Saint-Esprit pour Le représenter. Et vous voyez, au fur et à mesure que Jésus s’approchait... comme l’ombre de ma main. Voyez-vous combien c’est sombre? Mais, observez combien ça devient brillant lorsque ça se rapproche vraiment. Voyez, ce n’est pas l’époque de Martin Luther, de John Wesley, ni au cours de l’âge, mais celui-ci, c’est dans l’âge de la Venue.

            Juste avant que la destruction frappât Sodome et Gomorrhe, ce dont ce pays est le type, un Homme est descendu ; en réalité, c’était Dieu dans la chair. Et il y avait un... trois Anges. Deux d’entre eux sont descendus à Sodome prêcher aux élus, ou plutôt aux... juste à un chrétien ordinaire, comme un Billy Graham moderne ou autres, sans accomplir des miracles, mais prêchant simplement. Mais il y en a eu Un qui resta avec Abraham et son groupe, qui était l’élu. Observez ce que cet Ange a fait.

53        Ecoutez. Suivez. Juste avant que le feu tombât, Il regarda Abraham et dit: «Où est Sara, ta femme?» Un Etranger, comment avait-Il su qu’il était marié? Comment avait-Il su que le nom de sa femme était Sara? Il était un Etranger.

            Et Abraham dit: «Elle est dans la tente derrière Toi.» Et la Bible dit que Sara était dans la tente derrière l’Ange.

            Et Il a dit: «Abraham, Je te visiterai au temps de la vie.»

            Et Sara, dans la tente, a ri en elle-même. Et l’Ange, avec Son dos tourné, a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?»

            Sara est sortie en courant et a dit: «Je n’ai pas ri.»

            «Si, tu as ri», a-t-Il dit.

            Voyez-vous ce signe? Un signe à l’Eglise que la fin était proche. Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome et Gomorrhe arrivera de même à la Venue du Fils de l’Homme.» La même chose se répéterait. Vous voyez Cela ce soir, pas moi, Lui. Vous voyez Cela. Vous ne pouvez pas voir Cela, mais vous voyez Cela à l’oeuvre parmi les gens. Cela opère autant avec vous qu’avec moi. Je ne peux dire que ce qu’Il dit. Il ne peut rien faire avec vous si vous ne croyez pas cela. Vous y êtes donc. Que le Seigneur accorde la bénédiction.

54        Vous souffrez des yeux. C’est ce pour quoi vous voulez qu’on prie. Vous avez une affection du rectum: les hémorroïdes. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Vous n’êtes pas d’ici, vous êtes de Springfield, dans l’Ohio. Vous êtes un ministre, un prédicateur de l’Evangile. Révérend Hillford, rentrez chez vous. Croyez, et vous recevrez votre requête si vous croyez. Que Dieu vous bénisse donc, frère.

            Croyez-vous que le Seigneur Jésus est réel? Croyez-vous que Dieu vous guérira de ce trouble d’estomac? Eh bien, allez manger, et rétablissez-vous donc...?...

55        Bonsoir. Je ne vous connais pas ; Dieu vous connaît. Votre enfant? C’est un très beau petit enfant. Mais sans l’aide de Dieu, il doit mourir. Il souffre du coeur. C’est vrai. Votre famille a besoin d’une chose plus importante que ça ; vous désirez devenir une chrétienne. Vous n’êtes pas chrétienne, vous êtes une pécheresse. C’est une bonne foi pour une pécheresse, d’apporter votre enfant ; en effet, c’est l’amour maternel qui manifeste cela. Accepterez-vous Jésus comme votre Sauveur? Qu’Il devienne votre Sauveur? Maintenant, confessez vos péchés et promettez-vous que s’Il laisse vivre votre enfant, vous l’élèverez dans un foyer chrétien pour la gloire de Dieu?

            Ô Seigneur Dieu, Elohim, le Grand Jéhovah Dieu, guéris cet enfant. Guéris les parents ; pardonne leurs péchés. Que cet enfant vive pour l’honneur et la gloire de Dieu. Peut-être que cela est arrivé pour amener cette famille à Toi, Seigneur. Maintenant qu’ils sont venus, j’implore miséricorde pour l’enfant au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Regagnez votre place. Vous êtes... Avez-vous vu que je vous ai considérée comme soeur? C’est le Saint-Esprit qui l’a fait. Voyez, vous êtes maintenant une soeur. Poursuivez votre chemin, que Dieu soit avec vous. Qu’un prédicateur la visite. Qu’il la baptise dans la foi chrétienne maintenant.

56        «Si tu peux croire!» Croyez-vous que la maladie du coeur vous quittera et que vous serez rétablie? Continuez simplement à avancer, disant: «Gloire à Dieu.»

            Vous souffrez vous-même des palpitations du coeur. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Continuez simplement à louer Dieu, Le remerciant, et croyez.

            Oh! la la! Un autre. Croyez-vous qu’Il va aussi vous rétablir? Très bien.

            Juste un instant. Quelque chose est arrivé dans l’auditoire. Cette dame assise juste ici vers le poteau, la dame grisonnante, en robe bleue, souffre de la sinusite. Croyez-vous que le Seigneur vous guérira, soeur? Croyez-vous cela? La dame derrière elle, en robe verte, peut-être qu’elle acceptera la bénédiction. Vous souffrez de l’hypertension. Ici même, soeur, assise ici même, en train de regarder droit vers moi. Vous qui regardez çà et là. Oui. Levez-vous et croyez cela. D’accord. Vous y êtes. Maintenant, rentrez chez vous et soyez rétablie. Croyez-vous en Dieu?

57        Ayez foi. Vous souffrez de l’estomac. Laissez-moi vous montrer quelque chose ; laissez-moi vous tenir la main. Eh bien, vous êtes un humain, tout comme moi. Voyez-vous comment ma main paraît? Maintenant, je place ma main sur la vôtre ; eh bien, regardez-la gonfler. Voyez-vous comment ça devient rouge et ça gonfle? Enlevez votre main ; maintenant, regardez comment ça devient. Eh bien, prenez cette autre main, placez-la dessus. Il n’y a pas de changement. Cela n’a pas cette apparence-là, n’est-ce pas? Maintenant, placez cette main dessus, voyez comment ça commence à gonfler. Regardez ces petites choses blanches qui la sillonnent. Voyez, c’est votre affection d’estomac ; vous avez des ulcères.

            Maintenant, croyez-vous? Allez-vous... Cela vous encouragera-t-il si je demandais à Dieu et que vous regardiez ma main pour voir ce qui va se passer? Venez ici un instant. Maintenant, observez ma main. Maintenant, vous voyez cela. (Eh bien, où est Billy? Viens ici, Billy.) Prends ton autre main. Je sais ce qui cloche en toi, mais je veux ton–ton autre main. Place cette main dessus. Rien. Il est aussi humain que vous. Place cette main dessus: Rien. Place cette main dessus: Rien. Pose cette main dessus. Hein, il y a quelque chose là. Voyez, c’est le premier don qui a été donné (Voyez?) pour faire savoir aux gens.

58        Maintenant, venez ici. Observez la main. Inclinons la tête. Seigneur Jésus, pendant que cette femme regarde ma main, nous ne réclamons pas de miracles, mais nous savons que Tu es Dieu, et elle observe ma main. Qu’il arrive, Seigneur, pendant que je prie, que Tu manifestes la guérison à la femme en la débarrassant de cela. Satan, au Nom de Jésus-Christ, quitte la femme. Sors d’elle.

            Maintenant, avant que j’ouvre les yeux, je n’ai point bougé la main, mais les vibrations ont cessé dans la main. Ça s’est arrêté, n’est-ce pas? Maintenant, soyez-en donc juge. Maintenant, dites-nous, est-ce que c’est parti? Regardez donc. Placez cette main dessus maintenant. Ça y est. Maintenant, placez cette main dessus. Exactement la même chose. Votre trouble d’estomac est terminé. Vous êtes guérie. Rentrez chez vous et soyez rétablie.

59        Maintenant, vous essayez d’examiner cela. Je n’en sais rien. L’Esprit me quitte maintenant pour une minute, pour cette partie de discernement. Vous aviez lu mon livre, n’est-ce pas? D’accord. Vous savez ce qu’Il a dit que serait le premier don: faire connaître aux gens, en leur tenant la main ; ensuite, il arrivera qu’on saura le secret même de leur coeur et ils croiront cela, ils le devront, parce que Cela le leur révélera.

            Maintenant, donnez-moi votre main. Eh bien, je ne vais pas demander le discernement. Je vais simplement placer vos mains. Maintenant, regardez ici. Maintenant, placez votre main dessus. Je ne sais même pas ce qui cloche, mais Dieu le sait. Maintenant, regardez ici. Regardez ma main, la voyez-vous gonfler? Voyez-vous de petits points blancs qui sautillent là-dessus? Maintenant, observez cela, je vais retirer ma main. Maintenant, placez l’autre main là-dessus, il n’y en a plus. Voyez, elles ne sont plus là maintenant. Eh bien, placez cette main là-dessus. En effet, Il m’avait parlé de votre main droite, c’est avec elle que vous témoignez la foi, que je vous ai dit la vérité. C’est ma main gauche, celle qui est proche de mon coeur, de Dieu. Voyez? C’est pourquoi cela est apparu. Voyez? Maintenant, voulez-vous que je vous révèle votre maladie? Je ne sais pas, mais juste un instant. Juste... Je me détends simplement et je ne pense pas. Voyez? Si vous... Si je conçois mes propres pensées, alors c’est faux. Je ne pense simplement pas ; j’attends simplement. C’est une maladie gynécologique, une maladie des femmes ; si c’est vrai, levez cette main-là. Voyez, c’est un autre moyen de discerner. Voyez? La guérison est dans des dons.

60        Combien ont déjà vu cela arriver, ce que nous avions dans d’autres réunions? Je suis sûr.

            Maintenant, soyez-en juge. Venez ici, afin que cela vous encourage. Maintenant, suivez. Je vais poser ma main là même. Vous voyez donc que ça ne dépend pas de la position dans laquelle je tiens ma main. Voyez? C’est juste pareil, n’est-ce pas? Maintenant, enlevez votre main. Voyez, c’est parti. Maintenant, regardez ça. Maintenant, enlevez l’autre main et posez-la exactement telle que c’était. Il n’y a rien. C’est ça Sa promesse. Le voilà apparaître, observez ça. Voyez-vous cela? Maintenant, ce bras semble être engourdi. Voyez? Qu’est-ce? C’est une maladie. Et maintenant même, il y a l’onction du Saint-Esprit. C’est pourquoi je n’ose jamais utiliser mes propres pensées. Laissez-Le dire cela. Il sait ce que c’est. C’est un don. Je m’y suis replongé. Ça se manifeste encore, ça se manifeste physiquement. Cela produit un effet.

61        C’est pourquoi les prédicateurs... Vous les frères prédicateurs, vous devez imposer les mains aux malades. C’est... Vous êtes oints, vous êtes censés imposer les mains aux malades. Cela confirme la Bible, pour La rendre véridique. Voyez, vous êtes censés imposer les mains aux malades.

            Voyons s’ils... ici. Pouvez-vous voir mes mains dans l’auditoire? Maintenant, regardez ici. Prenez cette autre main de la femme. Maintenant, suivez. Placez celle-ci là. Observez cela là. Maintenant, regardez. Voyez, voyez cela là aussi. Ça gonfle, ça devient rouge, il y a de petites vibrations, on sent cela faire phhhhht [Frère Branham illustre.–N.D.E.] juste comme cela. Voyez, vous n’êtes pas... Cela ne veut rien dire. Je me détends simplement, je ne pense pas à cela, puis, Quelque Chose parle simplement à haute voix et dit ce que c’est. Cela ne faillit jamais. C’est la vérité.

62        Alors, Il dit... Combien ont déjà lu mon livre: L’Histoire de ma vie? Eh bien, n’est-ce pas ce qu’Il a dit? Et beaucoup parmi vous se souviennent que c’était l’unique chose que j’avais depuis long... Mais Il m’en avait parlé jadis, des années auparavant, lorsqu’Il m’avait parlé cette nuit-là, Il a dit... Il arrivera donc par la suite que si vous êtes sincère, vous direz aux gens les secrets mêmes de leur coeur. Il a dit: «De même qu’il a été donné à Moïse deux dons, l’un, changer le bâton en un serpent, l’autre, guérir sa main de la lèpre, il t’est donné deux dons.» Et ça y est.

            Maintenant, laissez-moi tenir votre main juste afin... Nous l’avons eue ici. J’aimerais que vous suiviez. Je ne dis pas que je peux le faire partir. Je ne sais pas. Mais si nous croyons, si nous croyons de tout notre coeur, cela partira. Maintenant, suivez. Ne fermez pas les yeux, observez simplement la main.

63        Seigneur Jésus, ce n’est pas pour faire parade, mais c’est afin que les gens sachent, qu’ils n’aient pas peur, qu’ils sachent que Tes Paroles sont parfaites, que c’est Ta commission: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades.» Beaucoup se sont demandé: «Comment le fait d’imposer les mains aux malades pourrait-il avoir quelque chose à faire avec cela?» Mais c’est la commission. Un serviteur de Dieu oint pourrait ne pas être capable de discerner l’esprit chaque fois, ou la maladie, mais il est toujours oint pour faire cela malgré tout, quand Ton Nom est invoqué. Cela fait partir la maladie.

            Cette femme observe ma main, Père. Et je Te prie de rendre cela manifeste à ses yeux, et elle sait que ma main est toujours aussi calme que possible. Maintenant, que le Nom de Jésus-Christ soit magnifié, que la puissance démoniaque qui retient ma soeur... Il est écrit dans les Ecritures: «En Mon Nom, ils chasseront les démons.» Par la commission du Saint-Esprit qui m’a été accordée par un Ange, Satan, quitte la femme au Nom de Jésus-Christ.

64        Maintenant, c’est parti. Je n’ai point regardé cela, mais c’est parti. Est-ce vrai? Est-ce vrai, monsieur? Regardez. Voyez? Vous regardez...?... Quelque chose est arrivé. Vous savez que c’est arrivé. Maintenant, poursuivez votre chemin, vous réjouissant, et soyez heureux. Vous êtes guéri. Si vous croyez que l’arthrite dont vous souffriez vous a aussi quitté pendant que vous vous teniez là, poursuivez votre chemin...?...

            Le mal de dos...?... Croyez-vous que cela a été guéri? Poursuivez simplement votre chemin, vous réjouissant, et dites: «Merci, Seigneur Jésus.» Voyez? Allez manger. La nervosité, les troubles d’estomac vous ont quitté. Allez donc, vous réjouissant, et dites: «Merci.»

            Votre dos a été guéri, et Dieu vous rétablit. Allez, en vous réjouissant, et dites: «Merci, Dieu bien-aimé.» Vous souffriez aussi du dos, et vous étiez nerveuse, bouleversée, une petite maladie de femmes. Poursuivez votre chemin, vous réjouissant. Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous rétablit.

65        Croyez-vous? La petite dame assise là même, souffrant des poumons, croyez-vous que Dieu vous guérira, madame, vous qui regardez droit vers moi?

            L’homme juste derrière vous souffre des jambes. Croyez-vous que Dieu guérira vos jambes, monsieur?

            Levez la main, petite dame, si vous voulez accepter votre guérison. Très bien. Cet homme assis juste derrière lui, assis-là, souffre de l’hypertension. Croyez-vous que Dieu vous guérira, monsieur? Levez la main. Amen.

            Combien ici croient que Dieu les guérira? Croyez-vous que le Saint-Esprit est ici? Avez-vous peur de Lui? Si vous n’avez pas peur de Lui, levez-vous et recevez-Le. Au Nom de Jésus-Christ, levez les mains et louez-Le. Si... N’ayez pas honte de Lui.

66        Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, envoie Ton Saint-Esprit en cet instant. J’ordonne au diable et à toutes les puissances de la maladie de quitter cette assemblée. Quittez-les au Nom de Jésus-Christ. Satan, sors. Chaque personne malade. Voici une femme debout, après avoir quitté le brancard. Tous ceux que je vois dans des fauteuils roulants et partout ailleurs, sont debout, glorifiant Dieu. Levez-vous et louez Dieu, et soyez guéris. Docteur Sullivan...

Up