Au Commencement, Il N’en Était Pas Ainsi

Date: 59-1125 | La durée est de: 1 heure et 37 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Merci, Frère...?... Vous pouvez vous asseoir. J’ai constaté que chaque soir beaucoup de gens déposaient leurs mouchoirs ici pour qu’on prie dessus. J’apprécie certainement votre confiance. Et je prie effectivement dessus, et l’une de notre... la partie la plus importante de notre ministère, c’est prier sur les mouchoirs.

            J’étais récemment à Mexico City, comme je viens de voir une petite Mexicaine apporter un mouchoir. Et le soir, avant que cela arrive, l’incident dont j’aimerais parler un instant, nous étions sur une large estrade, à peu près, je suppose, aussi vaste que cette salle. Et peut-être, peut-être que frère Espinoza peut être dans la réunion ce soir. C’était lui mon interprète. Et nous y avions passé trois soirées, à Mexico City. Et je pense, la dernière soirée, il y a eu vingt mille personnes de sauvées. Nous avions demandé aux catholiques, ou à ceux de n’importe quelle église, aux membres de n’importe quelle église, de ne pas venir. Nous voulions uniquement ceux qui n’étaient membres d’aucune église du tout. Et on a évalué à vingt mille ceux qui étaient venus à l’autel. Ils venaient donc là à neuf heures, et moi, j’arrivais à vingt et une heures. Ils se tenaient appuyés les uns contre les autres sous un soleil ardent, tout au long de la journée, attendant que je vienne prier pour eux. Fidèle...

2          Et je me rappelle un soir, il y a eu un vieux papa mexicain qui est passé à l’estrade, il n’avait pas de chaussures. Son pantalon était tout déchiré, et son... il tenait en main un vieux chapeau, cousu à deux fils; il portait un vieux manteau, sans chemise, le visage couvert d’une barbe grisonnante, et il était aveugle. Alors, je me suis dit, quand il est venu: «C’est peut-être le papa de quelqu’un, et l’ennemi a peut-être été si cruel envers lui...» Il... à Mexico les gens n’arrivent pas à vivre comme nous ici. Leur économie n’est pas stable.

            Ainsi donc, je l’ai regardé et quand il s’est approché de moi... c’était un catholique de confession, il a fait sortir un crucifix ou un chapelet, et s’est mis à répéter ses prières avec le chapelet; alors, je lui ai dit que ce n’était pas donc nécessaire. Et–et il voulait sans cesse me trouver, il était aveugle. Et quand j’ai entouré de mes bras ce pauvre vieil homme, je me suis dit: «Si mon papa était en vie, il aurait pratiquement son âge.» Et c’était le papa de quelqu’un d’autre. Et il était là, pratiquement nu, peut-être qu’il avait travaillé durement plusieurs jours, pour élever des petits enfants. Et puis, à part tout cela, il était aveugle. Je portais un bon costume et une bonne paire de souliers. J’ai placé mon pied à côté du sien; j’allais lui donner mes souliers, mais son pied était de loin plus grand que le mien. Mes épaules, rien ne lui allait on dirait, je ne pouvais donc pas lui donner mon veston. Et je me suis dit: «Pauvre vieil homme!»

3          Et vous savez, vous devez compatir avec quelqu’un pour ressentir ce qu’il ressent. Et si jamais j’en arrive à ne pas compatir avec les malades, il serait alors temps pour moi de quitter l’estrade, de cesser de prier pour eux. Dès que j’en arrive à ne plus ressentir le fardeau du péché des gens, il sera alors temps pour moi de m’éloigner d’ici, car je ne pourrais jamais faire–faire rien de bon pour Dieu. C’est la sympathie que vous avez pour les gens. Vous savez, c’est l’amour que vous pouvez projeter vers les gens qui leur fait savoir que vous les aimez, et ils vous aiment, et vous pouvez sentir cela. Et il se passe alors quelque chose.

            Et pendant que je priais pour ce vieil homme, une vision apparut. Il avait la tête posée sur mes épaules, il me tapotait pendant que je priais. Il ne comprenait pas ce que je disais, car il ne parlait pas anglais. Et je regardais dans cette direction tout en priant pour lui, et quand j’ai ouvert les yeux, frère Espinosa répétait la prière en espagnol, d’un côté. Alors, j’ai regardé et j’ai vu ce vieil homme bondissant, en vision, ayant recouvré sa vue. Je savais qu’il l’avait alors recouvrée.

            Je l’ai simplement attiré comme ceci, et je crois que le mot mexicain, c’est Gloria a Dios, quelque chose comme cela. Gloria a Dios, gloire à Dieu, Gloria a... [Un frère prononce cela correctement.–N.D.E.] Gloria a Dios, c’est ça. Alors–alors, il a crié comme cela, qu’il voyait, qu’il voyait. Et il est descendu de l’estrade en bondissant de toutes ses forces. Il voyait.

4          Et puis, juste un peu après cela, j’essayais... Billy est venu vers moi, et il a dit: «Papa, tu–tu vas devoir dire quelque chose toi-même, a-t-il dit, il y a une petite femme mexicaine là debout, a-t-il dit, personne n’arrive à la retenir.» Il a dit: «Il y a vingt-cinq hommes qui n’arrivent même pas à la retenir.» Et elle avait un enfant mort, il était mort ce matin-là. Et alors, le petit enfant... Il pleuvinait. Alors, la maman, une jeune petite mère espagnole, belle... Elle semblait être dans la vingtaine, vingt-trois, vingt-cinq ans. Et les huissiers n’arrivaient pas à la retenir; elle montait carrément par-dessus eux, cet enfant sous le bras. Et alors, j’ai dit à frère Moore, j’ai dit: «Vas-y, et offre une prière. Depuis quand l’enfant est-il mort?»

            «Depuis...» On a dit: «Depuis neuf heures ce matin.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, a-t-il été déclaré mort par le médecin?»

            «Oui, oui.»

            J’ai dit: «Eh bien, vas-y donc, Frère Moore, et prie pour l’enfant, peut-être cela consolera la petite femme.»

5          Et alors, il s’est mis en marche, frère Jack Moore. Beaucoup parmi vous se souviennent de lui, il était avec moi lors de mon premier voyage ici sur la côte. Il est allé prier pour elle. Alors, j’ai regardé par-dessus cette grande assistance là, et là en plein air, un grand espace comme... à peu près la dimension d’une arène, mais ce n’était pas comme–comme... Ce n’était pas là, parce que l’église ne nous avait pas permis d’avoir cela là. Ainsi donc, j’ai regardé là et j’ai vu un petit enfant couché sur quelque chose, et il s’est simplement levé et s’est mis à gazouiller et à bouger ses petites mains de haut en bas. Je savais ce qui allait arriver. Alors, j’ai dit: «Juste une minute, Frère Moore, peut-être que je ferais mieux de la voir.»

            Alors, les huissiers... Billy est allé là, il les a pris, les huissiers, pour qu’ils comprennent, on les a donc fait reculer. Et la petite dame a couru à l’estrade, elle est tombée sur ses genoux et elle tenait son enfant sous cette petite couverture. Et j’ai essayé de lui parler, seulement frère Espinoza n’arrivait pas là où j’étais alors, parce que beaucoup d’huissiers barraient la voie vers l’estrade.

6          Et j’ai simplement posé les mains sur le petit enfant. Eh bien, le Dieu du Ciel, à qui appartient ce Livre, sait que c’est vrai. J’ai posé les mains sur la cou–la couverture; le petit enfant était sous la couverture. Je ne pouvais pas faire comprendre à la petite dame ce que je voulais. Et elle criait, qu’est-ce? Padre, et c’est ce que... Pa–Padre, Padre, Padre.

            Et alors, j’ai posé les mains sur la couverture, sur le petit enfant, j’ai dit: «Père céleste, je ne sais pas ce que tout ceci signifiait, mais j’ai vu il y a quelques instants un petit enfant devant moi gazouillant et jouant. Si c’est cet enfant-ci, que la vie revienne en lui.» Et le petit enfant a lâché un cri, il s’est mis à repousser la couverture de tout côté en gigotant. Cette petite mère, je... «Frère Espinosa, ai-je dit, ne–ne publiez pas cela maintenant, Frère Espinosa, avant d’obtenir une déclaration médicale sur lui.» Il est donc parti le lendemain et il a obtenu une déclaration de ces gens, les médecins, et autres, que l’enfant était mort. Et il était vivant, bien portant, rétabli.

7          Et le lendemain soir, c’est à peine si je pouvais voir par-dessus le tas d’habits déposés là pour qu’on prie dessus; ça venait de ces gens pauvres. Comment arrivaient-ils à savoir pour qui c’était? Eh bien, j’ai beaucoup d’amis mexicains assis ici. Je ne dis pas ceci pour faire... pour faire le vilain, mais ce sont des gens très pauvres dans ce pays-là. Et il y avait de vieux manteaux en lambeaux, de vieux châles des mères, tout déchirés, empilés en un tas si haut là, tout empilés les uns sur les autres là, pour qu’on prie dessus, car ils croyaient alors.

            Et, oh! je–j’y retournerai. Je–je dois simplement retourner à Mexico. Et je n’avais eu que trois soirées. Et le général Valdena, mon ami qui m’avait fait aller là-bas, par le canal du gouvernement mexicain, comme un non catholique, pour aller tenir la réunion, m’a donc invité à retourner dans les églises. Ceux qui m’avaient parrainé là, c’étaient des baptistes, des méthodistes, des presbytériens, et les autres comme cela, qui m’avaient fait venir dans la ville.

            Et quand j’ai vu cette petite femme mexicaine déposer ce mouchoir là, je me suis donc souvenu de cette–de cette histoire.

8          Demain, ça sera le Thanksgiving [Jour de l’action de grâces], un jour mis à part, que nos ancêtres pèlerins avaient mis à part pour rendre des actions de grâces à Dieu pour ce que nous avions... ce qu’Il avait fait pour nous, pour les avoir bénis, leur avoir donné des récoltes et autres. C’est vraiment un jour propre à l’Amérique. Tous les autres jours, comme celui de saint Patrick, les autres, ça, ça vient d’outre-mer. Mais celui-ci, c’est un congé américain: le jour de l’action de grâces.

            Ce soir, j’aimerais dire qu’il y a beaucoup de choses dont je suis reconnaissant. Je ne sais comment rendre grâces à Dieu pour tant de bénédictions. Rassurez-vous de vous rappeler cela demain. Si votre église a une réunion, assistez-y. Demain soir, nous continuerons avec nos services ici. Et nous vous attendrons, si vous le pouvez, pour être ici avec nous demain soir. Rassurez-vous. Si vous n’avez pas de réunion dans l’église, alors à la maison, rassemblez la famille, assoyez-vous, prenez la Parole de Dieu et lisez-La. Parlez-en à vos enfants. Dites-leur que cette nation a été bâtie sur quelque chose comme cela. Nos aïeux qui avaient combattu pour–pour nous libérer avaient quitté l’autre monde afin que nous ayons la liberté d’adorer, la liberté d’expression, la liberté de la presse, et autres. Et nous en sommes encore reconnaissants. Nous ne savons pas jusque quand cela durera ainsi, mais voici ce que je dis: «Que notre pays soit longtemps éclairé par la lumière de la sainte liberté. Protège-nous par Ta puissance, ô Grand Dieu, notre Roi.» Et...

9          Nous sommes juste un peu en retard ce soir, et je change de sujet juste un peu, car je ne voudrais pas vous garder longtemps. Et nous allons prier pour les malades. Et juste avant d’ouvrir la Bible, inclinons la tête juste un instant pour parler à l’Auteur.

10        Seigneur, cette petite femme qui a déposé ce mouchoir ici il y a quelques instants a rappelé des souvenirs. Beaucoup de ces précieuses gens là-bas, je–je n’arrive même pas à parler leur langue, mais un jour, de l’autre côté, nous parlerons tous une langue. Je les verrai là, je pourrai leur parler. J’espère, Seigneur, que Tu me renverras vers eux, voyant qu’ils étaient si nécessiteux. Bénis-les ce soir, Père, et à travers le monde. Je pense à l’Inde, et–et à l’Asie, et à l’Europe, et aux Îles partout, de pauvres précieuses gens, certains d’entre eux ne savent même pas distinguer la main droite de la main gauche. Mais à les voir par dizaines des milliers s’avancer et abandonner leur vie au Seigneur Jésus, après avoir vu Sa glorieuse Présence vivante, un Dieu dont les missionnaires leur avaient parlé devenir une réalité devant eux juste en quelques instants alors qu’ils Le voyaient entrer en scène et commencer à Se manifester vivant après deux mille ans, prouvant qu’Il est leur Rédempteur, combien nous Te sommes reconnaissants pour cela, Père.

11        Et nous voici ce soir, en plein milieu de la civilisation, une vaste ville fabuleuse ici, la ville de San Jose, dans cet Etat de Californie. Et la civilisation s’est déplacée de l’est, allant vers l’ouest, et nous voici sur la côte ouest, les derniers endroits. Alors, l’est et l’ouest se rencontreront. Le prophète a dit: «Ce sera un jour qui ne sera ni jour ni nuit, mais vers le soir, la Lumière paraîtra.» Et le même soleil qui se lève à l’est se couche à l’ouest.

            Et le même Fils de Dieu, qui a manifesté Sa puissance sur les Orientaux aux jours de Sa visitation sur la terre, est venu avec puissance dans les derniers jours sur les Occidentaux et Il a répandu sur cette nation un réveil du Saint-Esprit, avec les mêmes puissances et les mêmes signes qu’Il avait accomplis pour les orientaux aux jours de Sa visitation. La Lumière a paru, et on est au temps du soir. Le soleil se couche, le même soleil. Et c’est le même Fils de Dieu que nous adorons aujourd’hui, et nous voyons Ses mêmes actions, Sa même Présence, accomplissant les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies, car Il avait en vérité dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

12        Et maintenant, Père, nous prions ce soir qu’Il se manifeste à nous une fois de plus ce soir, qu’Il sauve les perdus, qu’Il remplisse de l’Esprit ceux qui ont faim et soif de la justice, qu’Il guérisse les malades et les affligés. Seigneur, hier soir, en quittant la salle, voyant le premier fauteuil roulant que je voyais encore quitter cette salle avec quelqu’un dessus depuis que cette série de réunions est en cours, mon coeur a bondi. En plein milieu de la route, je voulais sortir d’un bond afin de prier pour la femme. Mais on m’a dit qu’elle était derrière et je ne l’avais pas vue. Je prie, Père, si cette femme est ici ce soir, n’importe où, que Tu la fasses sortir de ce fauteuil roulant comme Tu l’as fait pour les autres cette semaine. Qu’il n’y ait aucun fauteuil roulant, aucune civière, aucun brancard, ni rien qui reste ce soir. Qu’ils soient tous guéris et qu’ils partent d’ici en se réjouissant, rayonnant de Ta Présence, Seigneur. Demain, fais de cela un véritable jour d’actions de grâces pour eux, quelque chose de frais et de nouveau, qu’ils ont goûté la puissance de Dieu et la résurrection de Christ.

            Bénis les Paroles que nous sommes sur le point de lire. Que le Saint-Esprit prenne ces Paroles et Les repartisse à chaque coeur selon que nous En avons besoin. Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.

13        Que le Seigneur ajoute davantage Ses bénédictions alors que nous commençons maintenant. Nous allons vous parler juste un peu d’un passage des Ecritures qui se trouve dans Saint Matthieu, chapitre 19, verset 8. Ainsi donc, nous allons tâcher de ne passer ici qu’environ quinze ou vingt minutes sur ce passage des Ecritures, et ensuite, prendre la ligne de prière. Je souhaiterais lire ce verset, c’est le verset 8; voici ce qui est écrit:

Il leur répondit: C’est à cause de la dureté de votre coeur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes; au commencement, il n’en était pas ainsi.

            Maintenant, j’aimerais tirer de cette dernière partie du verset un sujet: Au commencement, il n’en était pas ainsi. Vous savez, quand Il est venu sur la terre, lors de Sa première visitation, Il a trouvé que les docteurs de Son époque enseignaient des choses qui n’étaient pas ainsi. Je me demande, s’Il revenait ce soir, s’Il ne trouverait pas à peu près la même chose: l’enseignement de ce qui n’était pas ainsi. Avez-vous constaté qu’Il avait dit: «Au commencement, il–il n’en était pas ainsi»?

14        Eh bien, Dieu, comme nous l’avons enseigné, est infini. Et, Frère Gene, j’espère que vous enregistrez cette bande-ci; elle sera courte, mais enregistrez-la, s’il vous plaît. C’est mon... l’un de mes précieux frères, le jeune homme chargé des bandes. Dieu est infini. Nous croyons tous cela. Et quand Dieu dit quelque chose, cela doit rester ainsi pour toujours. Ne perdez jamais ce précieux trésor de votre coeur. Quand Dieu dit quelque chose, Il ne peut pas le changer; Il ne peut pas l’améliorer; Cela a été parfaitement exprimé; et cela restera ainsi pour toujours. Si Dieu est éternel et infini, Sa Parole est juste tel qu’Il est.

            C’est pourquoi Jésus s’est référé à ce sujet. Comme nous le savons, ils enseignaient, ils donnaient aux gens, aux hommes le droit de divorcer de leurs femmes et tout. Et Jésus a dit: «Au commencement, il n’en était pas ainsi.»

            Eux disaient: «Moïse nous a dit que nous pouvons écrire une lettre de divorce si nous voulons répudier notre femme.»

            Jésus a dit: «C’est à cause de la dureté de votre coeur que Moïse vous l’a permis. Mais au commencement, il n’en était pas ainsi. En effet, au commencement, Dieu avait dit: ‘A cause de cela, l’homme quittera sa fe-... quittera son père, sa mère et tous, et s’attachera à sa femme.’»

15        Comme Dieu a donc dit cela au commencement, cela ne peut jamais être changé par quoi que ce soit. Donc, vous pouvez vous en rassurer, si vous croyez que cette Parole est la Parole de Dieu, tout ce que Dieu dit est absolument parfait et ne peut jamais être changé. Jésus a dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.»

            C’est comme le vieux frère de couleur du sud disait, il disait: «Je préférerais me tenir sur la Parole de Dieu plutôt qu’au Ciel.»

            On lui a demandé: «Mose, pourquoi dis-tu cela?»

            Il a dit: «Parce que les cieux et la terre passeront, mais Sa Parole ne passera point.»

            C’est à peu près ça. La Parole de Dieu ne périra jamais. Et la Parole de Dieu est une partie de Lui. Votre parole est une partie de vous. Et vous ne valez pas plus que votre parole, et Dieu ne vaut pas mieux que Sa Parole. Par conséquent, ayez foi dans la Parole de Dieu. Peu importe combien Elle paraît ridicule, combien Elle ne s’accorde pas à ces jours modernes, mais Elle s’accomplira néanmoins. Dieu l’a dit, c’est réglé pour toujours. Eh bien, les enfants d’Abraham croient cela solennellement, de tout leur coeur. Ce que Dieu dit est la vérité. «Que toute parole d’homme soit reconnue pour mensonge, mais Celle de Dieu pour la vérité.» Cela subsiste à toujours, éternellement.

16        Jésus a donc trouvé les docteurs de Son époque, enseignant des choses qui n’étaient pas ainsi. Et je crois que s’Il venait aujourd’hui, Il trouverait peut-être la même chose qui se passe. Il avait trouvé qu’il y avait des gens dans le monde... Nous sommes désolés d’avoir à dire cela, mais il y avait des gens dans le monde qui enseignaient ceci: «Oh! ces choses étaient pour un autre jour.» Mais ce n’est pas pour un autre jour. La Bible déclare que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est réglé.

            Et quand Il a dit: «Que celui qui veut vienne», cela veut dire quiconque. Et nous lisons encore ce soir l’ordonnance du docteur Simon Pierre comme cure contre le péché. Dans Actes, chapitre 2, il est dit: «Ceci est pour vous, et pour vos enfants, et pour leurs enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que l’Eternel notre Dieu les appellera.» C’est réglé. Alors, le Saint-Esprit, non pas quelque chose qui doit prendre Sa place, mais le même Saint-Esprit est pour chaque génération, chaque personne que Dieu appelle. Le Saint-Esprit est pour eux.

17        L’homme pervertit des choses. C’est ce que l’homme est. L’homme est un... dans son état déchu, est pire qu’un animal. Croyez-vous cela. Ça se prouve. Les hommes feront des choses qu’un animal ne fera pas. Voilà l’homme. Eh bien, l’homme, ce ne sont pas des muscles. Vous dites: «Oh! c’est un homme.» J’ai vu des hommes qui pesaient deux cents livres [90,70 kg] qui n’avaient pas un gramme d’homme en eux. Un homme ne se mesure pas par ses muscles; ça, c’est bestial. L’homme se mesure par son caractère. Un homme est un homme par le caractère. C’est pourquoi Jésus était l’Homme le plus important qui ait jamais vécu. Il n’y avait rien qui pouvait se comparer à Son caractère. Mais la Bible déclare: «Il n’avait pas de beauté pour attirer nos... semblable à celui dont on détourne le visage.» Il n’était pas un Homme de grande taille, à l’allure royale, mais probablement que c’était un petit Homme aux épaules voûtées. Semblable à celui dont on détourne le visage. Il était déparé. Mais de par Son caractère, il n’y a jamais rien eu qui pouvait Lui être comparé. C’était un vrai Homme.

18        Prenez l’homme. Lorsque l’homme blanc est arrivé ici à l’ouest pour la première fois, qu’il a trouvé l’Indien ici, vivant de son bison. L’homme blanc a tiré sur le bison juste comme sur une cible. Laissez un homme s’emparer d’une chose ou d’une autre, il pervertira cela. Laissez Dieu s’emparer de quelque chose, alors l’homme viendra pervertir ce que Dieu fait. Dieu a une fois établi l’église; l’homme la pervertit.

            Le péché, c’est quoi? Le péché, c’est la vérité... le péché, c’est... L’injustice, c’est la justice pervertie. Prenez donc tout ce qui est péché, et vous constaterez que c’est la–c’est la justice pervertie. Tout ce avec quoi l’homme tripote, il le pervertit, de son état originel. Ainsi donc, l’incrédulité n’est rien d’autre que la foi pervertie. Le péché, c’est la foi pervertie, la justice pervertie. Et quand un homme s’en empare, c’est ce qu’il en fait.

19        Il prend l’Eglise du Dieu vivant, pour Laquelle Jésus est mort, mort afin que les gens naissent de nouveau, aient communion, soient remplis de l’Esprit, qu’ils aient des dons spirituels opérant parmi eux; et que fait-il? Il entreprend et établit pour lui un énorme quelque chose quelque part, et il déforme tout cela par des explications, pervertit cela en rien d’autre qu’une loge, au fait de serrer la main, ou au souper de poulet quelque part. Alors que Dieu veut une Eglise née de nouveau, remplie du Saint-Esprit et avec puissance, des signes et des prodiges qui accompagnent Son Eglise. Je pense que Jésus-Christ est censé connaître comment établir une église. Il était le Dieu du Ciel fait chair parmi nous. Et quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Les cieux et la terre passeront.

            Les hommes vont se lever et dire: «Ça, c’était pour un autre jour.» Mais la vérité de Dieu continue et Elle le sera éternellement. Ce sera la même chose, car rien ne peut donc arrêter cela. Elle continuera, car c’est la Parole de Dieu. Cela ne se dévalorisera jamais.

20        Jésus a trouvé ces gens de Son époque et Il a dit: «C’est en vain qu’ils M’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.» C’est en vain que les gens honorent... Quelqu’un dira: «Eh bien, Frère Branham, si vous adorez véritablement Dieu, c’est que... assurément, Il a accepté cela.» Il n’avait pas accepté Caïn. Et Caïn L’avait adoré avec autant de révérence qu’Abel. Caïn avait bâti un autel; Caïn avait offert un sacrifice; Caïn avait adoré, avait construit une église, avait offert des offrandes, tout le reste, tout aussi religieusement qu’Abel, mais il suivait une mauvaise voie.

            Dieu a une voie. Et nous devons nous conformer à cette voie-là. Et cette Bible est la Voie. Pas un manuel, pas les credos, ni rien en dehors de cette Bible. Si c’est contraire à cette Parole, je ne crois pas cela. Mais si c’est conforme à la Parole, amen.

21        Donc, l’homme prend et construit des églises, et il y établit des credos. Quand Jésus est venu sur la terre, Il a trouvé de précieuses personnes qui cherchaient à trouver le salut dans l’église. Qu’obtenaient-ils? Des cérémonies, déverser de l’eau, laver les assiettes, porter des habits. C’est ce qu’ils avaient, des cérémonies. Ils n’obtenaient pas de salut; le salut est une délivrance. Ils n’obtenaient donc pas de salut; ils avaient un tas de cérémonies. S’Il venait aujourd’hui, que trouverait-Il? Pratiquement la même chose. Les gens comptent sur l’église pour le salut et ils obtiennent un tas de credos. Ce qu’il nous faut, c’est le Saint-Esprit, pas de credo. La puissance, c’est ce qu’il nous faut. L’Eglise est fondée sur la nouvelle naissance et le Saint-Esprit. Il dirait la même chose aujourd’hui qu’autrefois. Quand nous disons: «Eh bien, nous–nous récitons le Credo des apôtres», Il dirait: «Au commencement, il n’en était pas ainsi. Montrez-moi là où se trouve le Credo des apôtres dans la Bible.» Cela n’a jamais existé dans la Bible, il n’y en a aucune portion dans la Bible. C’est un credo élaboré par l’homme. Si les apôtres avaient un quelconque credo, c’était se repentir. S’il y avait un quelconque credo que les apôtres invoquaient: «Repentez-vous, et faites-vous baptiser, vous recevrez le Saint-Esprit.» S’ils avaient eu un credo, c’était celui-là. Mais ils prêchaient l’Evangile. Et l’Evangile ne venait pas en Paroles seulement, mais avec puissance et démonstration du Saint-Esprit, car ces signes ne pouvaient pas suivre le croyant si le Saint-Esprit ne les démontrait pas. Donc, la prédication de la Parole, c’était seulement la Semence. Quand Elle tombait dans le coeur, Cela produisait la nouvelle vie, et les signes accompagnaient le croyant.

22        Eh bien, Jésus a dit: «C’est en vain qu’ils M’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.» Et ils comptent sur l’église et ils organisent des cérémonies. Vous savez, Jésus a dit... les a traités, je pense, là, de murailles blanchies, comment ils se lavaient souvent les mains, ils avaient des traditions, ils étaient tout aussi religieux là-dessus, pieux au possible, mais quand Jésus est venu, Il a renversé complètement la chose. Et Il leur a prêché autre chose. Et les églises étaient contre Lui. Et ils se sont écriés: «Eh bien, pourquoi les anciens disent-ils ceci?»

            Jésus a dit: «Au commencement, il n’en était pas ainsi.» Dieu dirige Son Eglise. Dieu vit dans Son Eglise. Nous ne devrions jamais retrancher un brin. Et aujourd’hui, lorsque nous venons recevoir le Saint-Esprit, les gens veulent s’avancer, serrer la main au pasteur et dire: «Eh bien, je crois avoir reçu le Saint-Esprit.»... Certains d’entre eux prennent la communion et disent qu’ils ont reçu la sainte eucharistie. Ecoutez, frère, la sainte eucharistie ne provient jamais du fait de prendre la communion. Le Saint-Esprit vint des cieux «comme un vent impétueux, et Il remplit tout l’endroit où ils étaient assis.» Et la Bible promet, non pas quelque chose d’identique à cela, mais ce même Saint-Esprit serait pour chaque personne que Dieu appelle dans Son Eglise. «Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera», même jusque ce soir, non pas quelque chose d’identique à cela, mais le même Saint-Esprit, la même bénédiction, avec les mêmes signes, avec les mêmes prodiges.

23        Jésus a dit: «Sur ce Roc Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» Quel genre de Roc était-ce? Notre église mère catholique dit que c’était sur Pierre, le roc. Si c’est vrai, il a rétrogradé quelques jours plus tard. Si c’était juste... Les protestants disaient que c’était sur Jésus, le Roc.

            Laissez-moi vous donner ma version là-dessus. Il a dit: «Qui dit-on que Je suis?»

            «Les uns disent que Tu es Elie; et les autres, Moïse; et les autres, Ceci, ou cela.»

            Il a dit: «Mais vous, Qui dites-vous?»

            Ce n’est pas ce que quelqu’un d’autre dit; c’est ce que nous pensons; c’est ce que vous dites. Quelle est votre opinion là-dessus? Dieu pose cette question à chaque homme ici ce soir: «Quelle est votre opinion sur cette chose qui se passe?» Est-ce conforme à la Parole? Eprouvez cela avec la Parole.

            Pierre a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»

            Il a dit: «Tu es heureux, Simon, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les Cieux. Sur ce Roc...» Quel roc? La révélation spirituelle de la Parole de Dieu, révélée. «Sur ce Roc, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.»

            Tout au long des âges, nous avons eu des credos, des dénominations et que sais-je encore, mais l’Eglise du Dieu vivant avance malgré tout. Elle est minoritaire; je le sais. Mais un jour, Elle sera majoritaire, quand les rachetés de tous les âges se lèveront avec Elle pour rencontrer Jésus. C’est l’Eglise du Dieu vivant.

24        Les gens disent aujourd’hui, comme autrefois, ils disent aujourd’hui: «Oh! La Bible dit telle et telle choses, mais...» Il n’y a pas de mais à cela. Jésus a dit que ce serait la même chose hier, aujourd’hui et éternellement. La Bible le dit, et c’est réglé. Il n’y a pas de si, pas de et, ni rien d’autre faisant obstacle à cela. C’est Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement, la Parole de Dieu est éternelle.

            D’autres disent: «Oh! Je crois que Jésus était le Fils de Dieu, mais le Saint-Esprit, je ne crois pas qu’on doit Le recevoir aujourd’hui comme autrefois.» Voyez, ils prennent les commandements de Dieu et les rendent sans effet pour les gens, en enseignant la tradition de l’église: des credos, des dénominations, en faisant de cela des traditions. Nous ne devrions pas faire cela. Nous devrions nous accrocher à la Parole de Dieu. Si la Parole de Dieu est vraie, alors tout le reste est un mensonge par rapport à Cela. Accrochons-nous à la Parole.

25        Et si la Parole fait une promesse, Dieu tient cette promesse-là. Si nous n’avons pas assez de foi pour la faire s’accomplir, alors disons seulement que nous n’avons pas assez de foi: «Priez pour moi afin que j’en aie.» Si nous n’avons pas assez de foi pour faire une petite promenade vespérale comme Enoch en avait effectuée et était monté pour retourner à la Maison avec Lui, je ne ferai jamais obstacle à quelqu’un qui a autant de foi. Je bénirai Dieu pour cet homme qui a eu ce genre de foi, qui peut rentrer à la Maison avec Lui. Oui, oui. Je ne mettrai jamais une pierre d’achoppement sur son chemin.

            Enoch en avait marre d’aller çà et là, il avait marché avec Lui pendant cinq cents ans et il avait...et il était tout le temps agréable à Dieu; il a dit: «Je ne me suis absolument pas adapté à la terre, je pense donc que je vais retourner à la Maison avec Lui cet après-midi.» Et il a simplement marché jusqu’au Ciel. Oh! Je souhaiterais avoir ce genre de foi. Il va falloir avoir ce genre de foi à la Venue du Seigneur, pour effectuer une petite promenade un après-midi ici, et marcher directement jusqu’à la Maison avec Lui. Oui, un homme qui a ce genre de foi, je ne mettrai pas d’obstacle sur son chemin. Je louerai Dieu pour lui autant que possible. Oui, oui. Car il nous faudra être ainsi avant d’être enlevés avec Lui dans les derniers jours.

26        Mais les hommes disent: «Ces jours-là sont passés.» Nous nous demandons alors aujourd’hui... Eh bien, nous avons connu de grands réveils dans le pays. Billy Graham, Jack Schuler, Oral Roberts, de grands hommes comme cela qui ont parcouru le pays. Et ils ont prêché, ils ont répandu leur coeur en prêchant. Des milliers et des milliers sont venus à l’autel. Et une semaine après cela, des milliers et des milliers sont rentrés. Ils ne savent pas ce qui leur est arrivé. Ils se posent alors des questions. Nous en arrivons alors à nous demander: «Comment ont-ils subsisté au commencement?»

            Quand monsieur Graham, notre noble frère et ami, était à Louisville, j’ai participé à son petit-déjeuner. Il a certainement passé un savon dans la prédication... ce matin-là. Il a dit: «Je viens ici, je répands mon coeur en prêchant, et je fais venir les pécheurs à l’autel. Et je leur donne votre... vous donne la–la carte. Et vous restez assis au bureau, les pieds sur la table, et vous leur écrivez une lettre.» Il a dit: «Vous devriez sortir les visiter, leur serrer la main après le souper, les inviter à votre église.» Il a dit: «Au lieu de cela, vous restez assis dans votre bureau et vous demandez à votre secrétaire de leur écrire une lettre.»

            Il a dit: «C’est à cause de votre paresse.» Et il les a vraiment savonnés.

            Il a dit: «Or, quand Paul entrait dans une ville, il faisait un converti. A son retour l’année suivante, à partir de ce converti il y en avait trente.» Il a dit: «Moi, j’entre dans une ville, j’en ai trente, à mon retour l’année suivante, je n’en ai pas un seul.»

27        «Eh bien, me suis-je dit, peut-être, où allait donc Paul après avoir eu ce seul converti-là?» Paul allait dans une autre ville. Mais il amenait ce seul converti tellement en profondeur, en Dieu, que ce dernier était rempli du Saint-Esprit, son coeur brûlait; il sortait et faisait un autre converti. C’est ça le problème, frère; nous ne les amenons pas assez profondément en Dieu. Nous les laissons tout simplement être travaillés par des émotions sous un message quelque part, ou une chanson, mais nous devrions les amener à être remplis du Saint-Esprit, morts et pourris à ces choses du monde, et nés de nouveau du Saint-Esprit de Dieu. Alors, le Saint-Esprit brûle dans ce coeur-là; il ne peut pas rester tranquille; il doit se mettre en action et faire quelque chose. Dieu est partout en lui, tout autour de lui, tout en lui. Tout son objectif, c’est Dieu: amener quelqu’un à être sauvé. Tant que Christ est dans le coeur, Il fera chaque fois les oeuvres du Père. Et les oeuvres du Père et la volonté du Père, c’était de sauver les gens.

28        Aujourd’hui donc, ils ont l’audace de dire: «Où... ils se demandent ce qui est arrivé au Dieu de la Bible. Où est ce Dieu-là?» Eh bien, vous L’avez étouffé par vos credos. Vous L’avez étouffé par vos traditions. Vous avez essayé de Le reléguer dans l’histoire. Il est le Dieu de l’histoire. Et ce qu’Il attend aujourd’hui, ce même Dieu de l’histoire... Quand Moïse L’a invoqué à la mer Rouge, le Dieu de l’histoire s’est levé et Il a frayé une voie. Quand Josué a invoqué le Dieu de l’histoire au Jourdain, Il s’est levé, Il a frayé une voie. Quand Daniel L’a invoqué dans la fournaise ardente, Il a frayé une voie, ou plutôt dans la fosse aux lions (et les enfants hébreux dans la fournaise ardente), Il a frayé une voie. Il est toujours le même Dieu de l’histoire. Il attend que Son peuple Le fasse sortir de l’histoire. Ce même Dieu reste Dieu. Il est à jamais Dieu. Mais avec nos traditions, nous en avons éloigné les gens. Ce que nous devons faire, c’est ramener cette foi vivante dans les gens, ramener Dieu. J’ai vu un petit écriteau aujourd’hui quand j’allais prendre mon petit-déjeuner, ici dans la ville, il y était mentionné: «Ramener Christ dans le Christmas [Noël].»

            Je me suis dit: «Amen, c’est bien, non seulement le Christmas, [Noël], mais chaque jour.» Ramenez-Le dans l’église. Ramenez-Le sur la terre une fois de plus; mettez-Le en action. Laissez le Christ de Dieu se tenir dans Son Eglise, car Il a dit: «Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

29        Christ ne devait pas mourir et rester mort. Il était mort, mais Il est ressuscité. Il est tout autant–tout autant vivant ce soir qu’Il l’était quand Il marchait en Galilée. Il est bien le même Dieu. Il est ici sous forme du Saint-Esprit. L’Esprit de Christ revient sous forme du Saint-Esprit à... Et la mort de Christ, le Sang de Christ a sanctifié ceux qui étaient impurs, et les a purifiés par la grâce, de sorte qu’Il peut venir vivre dans l’église, se manifester, produire Ses propres oeuvres, prouver aux gens qu’Il est toujours vivant.

            C’est le–c’est le véritable principe chrétien. C’est la résurrection. Le christianisme est fondé sur la résurrection, pas sur le remplacement. Si je faisais tomber ce mouchoir par terre et que je ramassais un autre mouchoir pour le mettre à la place de celui-ci, ça serait un remplacement. Le christianisme, c’est la résurrection. Le même Jésus qui était descendu, c’est le même Jésus qui est monté. Le même Jésus qui est monté, c’est le même Dieu qui est descendu dans l’église. Les mêmes signes qui accompagnaient jadis, ce sont les mêmes qui accompagnent l’église.

30        Comme Il est le Fils de Dieu, Il est censé connaître comment mettre une église en ordre. Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru», voici les miracles.

            Nous disons: «Eh bien, c’est un homme de bien. Il payait ses dîmes.» C’est bien. Les aumônes et l’argent, il vous fallait le faire, toutes ces choses, mais pas laisser cette autre chose non faite. Voyez, nous... Ces choses sont bonnes. Aller à l’église; être un bon voisin, un bon citoyen. C’est bien. Mais il y a plus que cela. C’est comme le vieux frère qui mangeait la pastèque, on lui a demandé: «Mose, comment ça goûte?»

            Il a dit: «C’est très bon, mais il y a plus que ça.» C’est ce qu’il en est de ceci. Aller à l’église et adhérer à une église, c’est bien, mais il y a plus que ça. C’est que, plus que ça, vous devez naître de nouveau et être rempli de l’Esprit de Dieu, être baptisé du Saint-Esprit et être en feu. Oh! la la! C’est ce dont l’église a besoin. Elle a besoin d’un appel à revenir à Dieu. Les églises, les dénominations, et tous, c’est bien. C’est bon, mais il y a plus que ça. Il y a plus que l’église, plus que les dénominations, plus qu’inscrire son nom dans un registre, plus qu’être baptisé d’eau. Ces choses-là sont bonnes, mais il y a plus que ça. Et le plus que ça, c’est Christ: «Christ en vous, l’espérance de la gloire», Christ dans le coeur, Il vous change, Il fait de vous une personne différente, une nouvelle création.

31        Cela me rappelle une maman et un papa, ou le père adoptif, Joseph, et Marie, la vierge. Quand ils étaient partis à la fête de la Pentecôte à Jérusalem, ils avaient amené leur précieux Fils, le Seigneur Jésus. Et je pense qu’ils étaient tellement emportés parmi les gens dans les causeries, e, faisant  différentes choses que (la routine)–qu’ils ont effectué un voyage de trois jours avant de se rendre donc compte qu’Il n’était pas là. Je pense que l’église s’est laissée emballer aussi dans ce genre de condition. Un voyage de plus de trois jours, et c’est à peu près un voyage de deux mille ans; et maintenant, à l’heure critique, vous commencez à vous demander: «Où est-Il?»

            Savez-vous ce qu’ils ont fait? Exactement ce que l’église fait: ils sont rentrés Le chercher parmi les membres de leur famille. Les membres de leur famille étaient partis comme eux. Vous ne Le trouvez pas parmi les membres de votre famille. Vous ne Le trouvez pas là. Ils sont allés parmi tous les leurs, Le cherchant, Le réclamant. Ils n’ont pas pu Le trouver.

32        En cette heure critique, où le communisme s’empare du monde, où la Russie, avec son... avec toute sa littérature gratuite, est bien en train de connaître un réveil qui balaye la terre, avec le communisme, nous nous demandons alors: «Où est ce grand Dieu–du–du–du Ciel? Où est le Jéhovah de l’histoire? Où est ce Dieu qui avait ouvert la mer Rouge? Où est ce Dieu qui a pu dire à Nathanaël: ‘Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre?’ Où est le Dieu qui pouvait ouvrir les yeux aux aveugles? Où est le Dieu qui pouvait parler et la terre tremblait? Où est ce Dieu là?»

            Vous ne Le trouverez jamais parmi les membres de votre famille. Nous rentrons chez les méthodistes, et les méthodistes chez les baptistes, les baptistes chez les presbytériens, chez les luthériens, chez les catholiques, et tout autour; nous ne Le trouvons toujours pas. Allez à l’Eglise baptiste (C’est mon église, et c’est là que j’ai été ordonné), vous ne Le trouvez pas. Vous trouvez de braves gens. Mais où est Christ?

33        C’est comme docteur Reedhead m’a dit: «Frère Branham, quand j’ai décroché mon diplôme, mon diplôme de licence, licence en lettres, je pensais avoir trouvé Christ, mais Il n’était pas là. Quand j’ai décroché mon doctorat en philosophie, je pensais qu’Il était là. Il n’y était pas.» Il a dit: «J’ai assez de diplômes, je peux plâtrer tous ces murs avec. Et alors, où est-Il?

            J’ai dit: «Il n’est pas dans ces diplômes-là.» Alléluia! C’est vrai. Ils sont tous importants; je souhaiterais les avoir. Je... Si je les avais plus ce que j’ai, ça serait en ordre. Mais s’il me faut renoncer à ce que j’ai pour les avoir, absolument pas; je prendrai ce que j’ai. Oui, oui. Si je peux les avoir tous les deux, d’accord. Mais s’il me faut sacrifier ceci que j’ai, laissez-moi avoir ceci.

34        Eh bien, alors, mon frère, regardez. Ils ont cherché partout, parmi les membres de leur famille. Nous avons un réveil parmi les luthériens, parmi les baptistes, dans toutes les églises; où trouvons-nous cet Esprit de puissance? Où trouvons-nous cela? Où voyons-nous ces gens comme ceux du jour de la Pentecôte, tellement ivres sous l’Esprit de Dieu qu’ils titubaient comme des hommes ivres? Permettez-moi de vous le dire, mes amis catholiques: la bienheureuse vierge Marie était là. C’est vrai. Et si Dieu n’a pas laissé la vierge Marie aller au Ciel sans premièrement avoir été remplie du Saint-Esprit, osez-vous essayer d’y aller avec moins que Cela? Mais la Bible déclare qu’elle était avec eux, tous agissant de même, tellement remplis de la puissance de Dieu qu’ils titubaient et agissaient comme des gens iv-...ivres. C’est ce que déclare la Bible.

35        Où trouvez-vous cela? Parmi les membres de nos familles? Allez chez les baptistes, les méthodistes, les presbytériens et les autres, voyez si vous trouvez cela. Absolument pas. Vous ne Le trouvez pas parmi les membres de nos familles comme cela. L’unique façon pour vous de Le trouver, c’est la façon dont Marie et Joseph L’ont trouvé: là où ils L’avaient laissé. C’est là que vous Le trouvez. Où L’avaient-ils laissé? A la fête de la Pentecôte. Alléluia! C’est là que l’église Le retrouvera. Retournez à la fête de la Pentecôte. Retournez à l’effusion du Saint-Esprit. C’est là que vous trouverez la puissance du Dieu Tout-Puissant; vous retrouverez le Christ ressuscité. Vous retrouverez Ses signes et Ses prodiges, exactement comme Il a dit qu’il en serait. Retournez là où vous L’aviez trouvé; retournez au commencement. Jésus a dit: «Au commencement...»

36        Dans Jean, chapitre 15, Jésus dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Or, le premier sarment porté par ce Cep-là, on a écrit le Livre des Actes après cela. Ils avaient la puissance de guérir les malades; ils parlaient en langues; ils les interprétaient; ils avaient des visions; des prophètes, la puissance; ils accomplissaient les signes que Jésus avait accomplis. Et si ce premier sarment porté par ce Cep-là a été ce genre de sarment, le sarment suivant que cela portera sera de même; chaque sarment que cela portera sera le même sarment. Amen.

            Si nous disons que nous sommes l’Eglise de Dieu, alors nous rendrons témoignage au premier sarment. Il est le Cep. Si vous–si vous produisez des raisins, et que vous êtes les premiers sarments qui sont... qui produisent des raisins, votre deuxième sarment produira des raisins; votre troisième sarment produira des raisins. Chaque sarment que cet arbre portera produira des raisins. Et si l’église du Dieu vivant que Jésus a établie...

            Nous les méthodistes, nous aimons penser que c’était notre église. Nous les baptistes, nous pensons que c’était la nôtre. Nous les catholiques, nous pensons que c’était la nôtre. Nous les pentecôtistes, nous pensons que c’était la nôtre. Que ça soit ce que ça peut être, mais si nous sommes dans ce sarment-là, nous produirons les mêmes fruits qu’ils avaient produits. Vous ne pourrez pas cueillir des potirons sur une vigne. Alléluia! La Vigne de Jésus-Christ produira la Vie de Jésus-Christ, car Il est la Vie qui est dans le Cep, et nous sommes les sarments.

37        Ce premier sarment qui est sorti, c’était le sarment de la Pentecôte, rempli de la puissance de la Pentecôte, tellement sous l’influence du Saint-Esprit qu’ils titubaient sous la puissance de Dieu. Ils sont allés, ils ont eu des visions, ils ont accompli des miracles, ils ont ouvert les yeux aux aveugles, ils ont guéri les malades; il y avait de la joie dans le camp. Ils priaient d’un commun accord, eux tous ensemble, au point que la maison où ils étaient assemblés fut secouée. Montrez-moi une église qui fait cela aujourd’hui. Même les pentecôtistes ont... les soi-disant, deviennent tellement secs, vous... eh bien, ils ont une petite prière cérémoniale. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une réunion de prière qui secouera les bardeaux de la toiture de la maison et ramènera de nouveau Dieu dans l’église.

            Au commencement, il n’en était pas ainsi. Tous ces credos, tous ces rites froids et formalistes, toutes ces différentes choses, au commencement, il n’en était pas ainsi. Jésus a établi une église et a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» C’était le commencement. C’est ce qui est arrivé au commencement. S’Il était ici sur terre aujourd’hui, Il n’approuverait pas nos credos et les histoires que nous faisons. Il dirait: «Au commencement, il n’en était pas ainsi.»

38        Jésus a dit au commencement: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» C’est ce qui était au commencement. Quel genre d’oeuvres faisait-Il au commencement? Les mêmes oeuvres qu’Il fait maintenant. Quel genre d’église avait-Il au commencement? Une Eglise remplie de l’Esprit, qui guérissait les malades, qui prophétisait, qui accomplissait de grands signes et des prodiges. Elle n’avait pas honte de sa religion. Ils criaient et dansaient sous l’effet de l’Esprit comme des hommes ivres, et ils avaient des langues semblables à des langues de feu, séparées, qui se sont posées sur eux. Ils accomplissaient des signes et des prodiges, et des exploits les accompagnaient. Voilà le genre du commencement. C’est celui-là qui sera au milieu. C’est ce genre-là qui sera à la fin.

            Vous direz: «Mon église n’enseigne pas cela.» Eh bien, au commencement, il n’en était pas ainsi.

            Vous direz: «Je suis un méthodiste.» Au commencement, il n’en était pas ainsi. «Je suis baptiste.» Au commencement, il n’en était pas ainsi. «Je suis luthérien.» Au commencement, il n’en était pas ainsi.

            Ils furent baptisés, les saints de Dieu, du Saint-Esprit. C’est ce qu’il y avait au commencement: des signes et des prodiges. Vous direz qu’ils ne... «Mon église ne croit pas cela.» Au commencement, il n’en était pas ainsi. «Mon église ne croit pas au fait d’avoir des visions.» Au commencement, il n’en était pas ainsi. «Mon église dit que les jours des miracles sont passés.» Au commencement, il n’en était pas ainsi. «Mon église ne croit pas au baptême du Saint-Esprit.» Au commencement, il n’en était pas ainsi.

39        Je vous assure, Dieu veut un peuple qui est consacré par la puissance de Dieu, qui abandonnera ses facultés intellectuelles et laissera Dieu entrer, prendre le dessus et donner une nouvelle naissance. C’est ce qu’Il...?... Retournons au commencement. Si nous voulons voir les malades être guéris, nous voulons voir des signes et des prodiges du Christ vivant, retournons au commencement, là où nous L’avons abandonné.

            Nous L’avons abandonné à la fête de Pentecôte. Trois cents ans après cela, l’Eglise catholique est apparue. Après l’apparition de l’Eglise catholique, après mille cinq cents ans d’âges sombres, la réforme de Luther a eu lieu. De là sont issus les anglicans et les autres, ainsi de suite, et chacun élaborant des credos, et des credos, et des credos, et des credos, et autres. Et aujourd’hui, le monde dit: «Où est ce Dieu qui avait marché et guéri?» Amen. Où est ce Dieu-là? Où est-Il? Que Lui est-Il arrivé? Laissez-moi vous appeler vous les catholiques, les protestants, les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, retournez là où vous L’avez laissé. Retournez de nouveau à la Pentecôte. Hâtez-vous de retourner vite Le trouver là. C’est ce dont l’église a besoin ce soir, ami. Rentrez à la foi vivante dans un Dieu vivant avec Sa Présence vivante toujours avec nous jusqu’à la fin du monde. Croyez-vous cela? Inclinons la tête.

40        Père céleste, nous avons beaucoup de choses pour lesquelles être reconnaissants, non seulement pour un héritage que nous avons en tant que citoyens américains, ce dont nous sommes reconnaissants, car nous croyons que c’est le dernier grand point d’appui que Tu as sur la terre avant la Venue du Seigneur Jésus. Cela est encore ouvert à l’Evangile. Mais nous voyons cela être ratissé par le communisme à cause des églises froides et tièdes; beaucoup d’entre elles, Seigneur, même aujourd’hui, se vendent au diable, faisant des compromis.

            Ô Seigneur Dieu, par-dessus tout ce à quoi je peux penser, je Te remercie pour Jésus-Christ qui est notre Sauveur. A la véritable Eglise vivante qui vit dans notre coeur, Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. A ceci tous reconnaîtront que vous êtes Mes disciples. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous. Je serai même en vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres mêmes que Je fais. Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle.» Ces Paroles viennent du Dieu infini. Les cieux et la terre passeront, mais ces Paroles ne peuvent pas passer. Jusqu’où? Par tout le monde. Jusqu’à quand? Jusqu’à ce que le monde soit évangélisé, jusqu’à ce qu’Il vienne. «Voici les miracles qui accompagneront (par tout le monde) ceux qui auront cru en Moi: en Mon Nom ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ou ils saisiront des serpents, ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Beaucoup d’autres choses qu’Il a dites qui accompagneront Son Eglise.

41        Et aujourd’hui, quand nous voyons les hommes prendre les commandements de Dieu et les rendre sans effet pour les gens, cherchant à placer cela dans une génération éloignée dans le passé, Seigneur Dieu, nous sommes contents de savoir ce soir qu’il y a sur terre un peuple qui croit que Tu es toujours vivant, qui croit que Tu es le même aujourd’hui qu’au commencement. Et je suis sûr, Père, que si Tu peux Te tenir au centre du monde ce soir, et que les gens crient: «Oh! nous la grande église de telle et telle», Tu pointerais Ton doigt comme Tu l’as fait autrefois et Tu dirais: «Au commencement, il n’en était pas ainsi.»

            Nous voulons le commencement. Nous voulons la Parole de Dieu. Nous voulons qu’Elle vive dans nos coeurs et qu’Elle soit réelle dans nos vies. Pardonne-nous nos péchés et nos offenses. Ô Eternel Dieu, que Ton Esprit demeure sur nous ce soir. Et que ce message qui a été prêché ne tombe pas sur un terrain pierreux, mais qu’il tombe sur un terrain fertile, dans des coeurs qui le recevront et produiront au centuple. Confirme Ta Parole, Seigneur, avec des signes et des prodiges. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.

42        Mon intention n’est pas d’être une personne rude et dure. Mais je sais ce dont le monde a besoin. Je sais ce que les Ecritures déclarent. Je sais que c’est la Vérité. Mes espoirs sont absolument fondés sur l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ce qu’Il dit, je le crois.

            Eh bien, il y a toutes sortes de différentes dénominations d’églises. Je n’ai rien contre aucune. Je les aime toutes. Elles appartiennent toutes à Dieu. Mais ce que j’essaie de faire, c’est d’amener cette église à revenir jusqu’à trouver ce même Jésus, ce même Jésus avec qui vous avez autrefois commencé.

            Il n’y a personne, il n’y a aucun théologien au monde aujourd’hui qui ne dirait pas que l’Eglise chrétienne a commencé le jour de la Pentecôte. Tout prêtre catholique vous le dirait. Tout prédicateur protestant vous le dirait. Même un rabbin juif vous dirait que l’Eglise chrétienne a commencé à la Pentecôte. Ils ont reçu la commission de ne pas quitter Jérusalem jusqu’à ce qu’ils soient revêtus de la puissance d’En Haut. Aucun homme n’a le droit de prêcher l’Evangile avant d’être rempli du Saint-Esprit. Jésus n’a pas laissé les disciples prêcher l’Evangile avant qu’ils aient premièrement reçu le Saint-Esprit.

43        Maintenant, c’est ce que nous essayons de vous amener à faire, mes frères. Retournez là où nous L’avons laissé. Laissez-moi aller avec vous. Effectuons ce voyage retour là où Il était au commencement. Qu’a-t-Il fait au commencement? Eh bien, il peut y avoir des nouveaux venus ici. Voici ce que j’aimerais dire. Retournez. Jésus a dit: «Au commencement.» C’est là que nous aimerions commencer. Et dans l’Eglise chrétienne... Il a formé, Il a fondé l’Eglise chrétienne. Croyez-vous cela? Certainement, si vous êtes un chrétien, vous le croyez. Il a fondé l’Eglise chrétienne. L’Esprit qui était en Lui, par Sa mort, a ramené la grâce aux gens pour sanctifier une sainte Eglise à envoyer à travers le monde, vers... afin qu’Il vive dans cette Eglise, qu’Il apporte sans cesse le même Message aux gens. Tout celui qui connaît les Ecritures sait cela.

            D’accord, voyons ce qu’Il était au commencement. Tout au début de Son ministère, il fut baptisé du Saint-Esprit. Tous savent cela: Saint Jean, chapitre 1. A l’âge de trente ans, Jésus a commencé à... Il est allé auprès de Jean. Et Jean baptisait au Jourdain. Et il a baptisé Jésus au Jourdain. Jésus est sorti directement de l’eau; et Jean a rendu témoignage qu’il avait vu l’Esprit de Dieu descendre du ciel comme une colombe, se poser sur Lui, et une Voix s’était fait entendre, disant: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en Qui J’ai mis toute mon affection.»

44        Aussitôt que le ministère de Jésus avait commencé, André est allé trouver Simon Pierre. Son nom n’était pas encore Pierre; c’était Simon. Il est venu auprès du Seigneur Jésus. Et aussitôt que Jésus l’a vu, Il a dit: «Ton nom est Simon, tu es le fils de Jonas.» Et à cause de cela, il a cru au Seigneur Jésus, et Jésus a fait de lui le chef de l’église de Jérusalem.

            Aussitôt après cela, Nathanaël a vu ce grand événement qui s’accomplissait, aussi a-t-il détalé et il a trouvé... Philippe plutôt, et il a trouvé Nathanaël sous un arbre en train de prier, il l’a amené vers Jésus, lui racontant ce qu’il avait fait à Pierre et aux autres. Alors, il a dit: «Eh bien, un instant; je ne crois pas cela.»

            Mais quand il s’est approché de Jésus, Jésus a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» C’est vrai.

            Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu; Tu es le Roi d’Israël.» Il a fait cela devant les Juifs. Et tous ceux qui croyaient en Lui, qui L’avaient reçu, tous ceux qui L’avaient reçu, Il leur a donné le pouvoir de devenir fils de Dieu.

45        Les Samaritains, c’est la race suivante. Il est apparu aux Samaritains, une femme au puits. Et Il a engagé une conversation avec elle pendant quelques instants. Et Il lui a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Tu en as eu cinq; et celui avec qui tu vis n’est pas ton mari.»

            Ecoutez cette femme; elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand... le Messie doit venir (Celui qu’on appelle Christ); quand Il sera venu, Il nous annoncera toutes ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Elle entra dans la ville en courant et dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait; ne serait-ce point le Messie même?» Voyez, ils attendaient la Venue du Dieu-Prophète. Et ils L’ont reconnu, car Il était un Prophète. Or, c’est ainsi qu’Il s’est manifesté aux Juifs et aux Samaritains. Et il n’y a que trois races de gens au monde: les descendants de Cham, de Sem et de Japhet.

46        Eh bien, Il n’a jamais fait cela devant quelqu’un des nations. A aucun moment les Ecritures ne le mentionnent, qu’Il ait donc fait cela devant quelqu’un des nations. Pourquoi? C’était réservé pour un autre jour. Les Juifs incroyants se tenaient là et disaient: «Il est Béelzébul, un diseur de bonne aventure.»

            Jésus a dit: «Je vous pardonnerai pour cela, mais quand le Saint-Esprit sera venu, dire un mot contre cela, ne vous sera jamais pardonné.» Eh bien, c’était pour l’âge des Gentils, car nous allions avoir deux mille ans de prédication avant que cela soit confirmé. Et si Dieu est infini, si Dieu s’est fait connaître par Jésus-Christ en accomplissant ce signe-là pour faire savoir aux gens qu’Il était le vrai Messie, aux Juifs et aux Samaritains, Il ne peut pas laisser l’église de Gentils être jugée par une religion intellectuelle. Il... Le même signe devra être accompli devant les Gentils.

47        Il y a quelque temps (Juste avant de terminer, j’aimerais dire ceci.), je suis allé en Inde. Arrivé à Bombay, j’ai pris un journal, et j’y lisais que les oiseaux revenaient. Quelques jours avant cela, tous les petits oiseaux qui avaient leurs nids dans les creux des rochers... Ils n’ont pas de clôtures comme les nôtres, des clôtures en treillis; ils ont des clôtures en pierres, qu’ils ramassaient dans des champs. Tout autour de grands bâtiments, des petits oiseaux qui y avaient leurs nids là avaient fui et sont restés dans le champ. Tout le bétail et les brebis qui se tenaient près des clôtures, s’en étaient éloignés, personne ne connaissait le problème. Au lieu de rester à l’ombre dans les après-midi, ils étaient partis en plein milieu de champ et se tenaient juste là sous le soleil, ensemble. Les gens ne comprenaient pas leur problème. Un grand tremblement de terre a frappé, il a fait écrouler tous les bâtiments. Et les bâtiments en pierres se sont écroulés. Si les petits oiseaux étaient restés là, ils auraient été tués. Si le bétail s’était tenu sous ces clôtures, il aurait été tué. Mais le Saint-Esprit qui avait averti le bétail, les oiseaux, d’entrer dans l’arche pour échapper au jugement de Dieu, le même Saint-Esprit a poussé ce bétail, ces petits oiseaux à aller dans le champ.

48        Eh bien, si Dieu a assez de considération pour Son bétail et Ses oiseaux au point de les envoyer en un lieu sûr, à combien plus forte raison peut-Il envoyer le Saint-Esprit dans ces derniers jours, juste avant que le grand jugement frappe, pour vous envoyer en Christ, en sécurité, l’unique endroit où vous pouvez être racheté et ressuscité. Le seul lieu où il y a le salut, c’est en Christ. Et le Saint-Esprit est ici ce soir, cherchant à vous amener, vous courtisant pour vous éloigner des choses du monde et vous introduire en Lui-même.

            Comment entrons-nous en Christ? La Bible dit dans 1 Corinthiens 12: «Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps.»

49        Et nous sommes maintenant même en train de voir vraiment la même chose que Jésus avait dit que ça arriverait. Il l’a dit par Sa propre Parole: «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme», la même chose. Regardez votre contrée ici, combien elle est pervertie. Regardez les journaux. J’ai vu une analyse où l’homosexualité a augmenté d’environ vingt pour cent par rapport à l’année passée, sur la côte ouest, les péchés de Sodome. Regardez comment tout est–tout est perverti. Les eaux, les rivières, tout est contaminé. Les maladies, les virus dont les médecins ne savent rien... Nous sommes au temps de la fin. Fuyez au Rocher. Fuyez à Christ, entrez vite en Lui, église.

            Ne prêtez pas attention à mon état d’illettré, ou à mon manque d’instruction. Ecoutez ce que je vous dis par la Parole de Dieu. Dieu soutient cette Parole pour confirmer que c’est vrai. Croyez en Lui, et vous serez sauvés.

50        Nous allons prier pour les malades juste dans un instant. Si je peux retrouver Billy, j’ai oublié de lui demander de distri-... As-tu distribué des cartes de prière? C-1 à 100. Il a distribué des cartes de prière, dit-il, C-1 à 100. Où avions-nous commencé la dernière fois? 25? Où était-ce avant cela? 1, nous avions commencé par 1. Avions-nous commencé par 25? Commençons donc par 50 ce soir. D’accord. C-50, qui a cela? Nous commençons juste n’importe où. C’est juste afin que vous... Vous voyez, nous commençons juste n’importe où que nous le pouvons... Cela ne change rien... Des gens, vous leur donnez une carte de prière, si ce n’est pas le numéro 1, ils la jettent par terre. Nous ne pourrons donc pas commencer par le numéro 1. C’est simplement partout où le Saint-Esprit me met à l’esprit, quand nous arrivons ici...

            Qui a la carte de prière C-50? Levez la main. D’accord. Ici? D’accord, madame, ici même. 51, 52, 53, 54, 55. 1, 2, 3, 4, 5. 56, 57, 58, 59, 60. Si vous ne pouvez pas marcher, faites-le-nous savoir. Quelqu’un vous transportera. 60, ai-je eu cela? 61, qui a la carte de prière 61? Levez... 61? 62? 62, 63, 64, 65, 66, 67? 67, je n’ai pas vu votre main, la carte de prière C-67.

            Regardez la carte de prière de quelqu’un, peut-être qu’il est sourd. 67? Est-ce que je vois 67? 68, qui a la carte de prière 68? Eh bien, si vous recevez la carte de prière, il vous faut alors l’utiliser. La carte de prière 68, 69, 70. A-t-il dit 100? 68, 69, 70. Peut-être qu’ils sont allés à la toilette ou quelque part, mais juste... Accordons-leur une minute; en effet, il y a trois dans une rangée, ça ne devrait pas être comme cela.

51        D’accord, voudriez-vous regarder dans cette direction juste une minute? Combien n’ont pas de cartes de prière et croient cependant que Jésus-Christ les guérira? Faites voir les mains, partout maintenant, ceux qui n’ont pas de carte de prière. Amen. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, mais croyez. Tout est possible à celui qui croit.

52        Oh! Pensez-y donc, juste un instant. Pensez, dans un instant les paroles que j’ai prêchées, Dieu doit dire si c’est vrai, ou s’Il ne le fait pas, alors je suis son mauvais représentant. Et si je L’ai mal représenté, Sa Parole L’a mal représenté. Jésus n’a-t-Il pas dit dans Jean 14: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais»?

            Une fois, j’ai dit cela à un homme, il a dit: «Oh! Assurément, nous avons de grandes églises, de grandes dénominations; ce sont les oeuvres qu’Il n’avait pas accomplies.»

            J’ai dit: «Il a dit: ‘Vous ferez aussi les mêmes oeuvres que Moi. Vous en ferez de plus grandes.» Montrez-moi d’abord les oeuvres qu’Il avait accomplies, ensuite montrez-moi de plus grandes. La version originelle ne parle pas de plus grandes, elle dit davantage. Davantage que ça, car le Saint-Esprit couvrira la terre entière en ce moment-là, cette fois-ci maintenant. «Vous ferez davantage, car Je M’en vais au Père.

53        «Encore un peu de temps, et le monde... (Suivez ceci) et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez.» Maintenant, suivez. Le monde, le cosmos, veut dire l’ordre du monde. Le monde ne Me verra plus.» Or, si vous êtes du monde, vous aimez les choses du monde plus que la Parole de Dieu et Christ, alors vous ne Le verrez plus jamais. Est-ce vrai? Vous pouvez être religieux; vous pouvez être membre d’église. «Le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez (c’est l’Eglise.) Car Je (Je est un pronom personnel, est-ce vrai?) Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du siècle», la fin du monde. Le monde n’a pas encore connu la fin. Jésus est donc dans Son peuple. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, par le Saint-Esprit, est dans le peuple, opérant. C’est la Vie; la Vie qui était en Jésus est dans l’Eglise.

54        Combien savent que Jésus-Christ Lui-même, en tant que Fils, n’a accompli aucun miracle? Jésus l’a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même», Jean 19.5, le Fils, Jésus, le Fils de Dieu. «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit (non pas entend), mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Combien savent que c’est ce que déclarent les Ecritures? Assurément. Il voyait donc en vision ce que le Père faisait, ensuite Il faisait exactement ce que le Père Lui ordonnait de faire en vision. Voyez-vous cela?

            Maintenant, suivez. Le Père Lui avait dit un jour: «Lazare va mourir. Je veux que Tu t’éloignes. Cela prendra tant de jours.» Jésus, sans avertir sur quoi que ce soit, a obéi au Père et s’en est allé. On a envoyé Le chercher, disant: «Lazare est malade, viens prier pour lui.» Jésus a simplement continué. On L’a encore envoyé chercher. Il a simplement continué à aller. Finalement, après que le temps était accompli, celui que le Père Lui avait montré, Il a dit: «Notre ami Lazare dort. A cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là.» En effet, ils auraient cherché à L’amener à prier pour lui, Il n’aurait pas fait cela. Il a dit: «Maintenant, Je me réjouis à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là, mais Je vais le réveiller. Je vais le réveiller.» Observez-Le là à la tombe. Il était... Peut-être qu’Il était petit. Mais quand Il a redressé ce petit corps, Il l’a redressé, après s’être tenu là, pleurant comme un homme, quand Il s’est redressé, Il a dit: «Lazare, sors.» «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’; et que vous ne doutez pas dans votre coeur...» Amen. Amen. Pouvez-vous Le voir briller dans Son Eglise? «Lazare, sors.» Et il est venu, enveloppé de linceul. Il n’a point dit quoi que ce soit au sujet d’être faible à cause de cela; regardez quel miracle c’était.

55        Mais une petite femme toucha le bord de Son vêtement sur le... dans un autre territoire. Mais elle croyait en Lui. Sans doute... Elle souffrait d’une perte de sang, elle avait probablement vendu tous les outils de la ferme et tout le reste. Et peut-être que son mari était mort, et... ou les médecins n’arrivaient pas à lui venir en aide, elle avait perdu tout ce sang-là. Elle en avait souffert pendant plusieurs années. Elle s’est dit en elle-même: «Je ne suis qu’une petite femme insignifiante, mais si je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.» En effet, le vêtement qui pendait sur cet Homme-là, il était doux au possible, pourtant Il pouvait manifester la colère de Jéhovah et les battre, les regarder avec colère, les bouter hors de la salle, avec des cordes pliées ensemble... Il était à la fois Dieu et Homme: Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. C’est pourquoi Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; c’est Mon Père qui demeure en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres; ce n’est pas Moi, mais Lui. Il est en Moi. Et Celui qui est en Moi sera en vous, après que Je serai mort pour vous sanctifier, afin qu’Il puisse entrer en vous.»

56        Maintenant, êtes-vous... est... Est-ce que les deux autres... Qu’était-ce? 40, quels–quels étaient leurs numéros? 67, 68 et 69, sont-ils déjà entrés? Hein? Eh bien, okay...?... Maintenant, regardez dans cette direction-ci.

            Est-Il vivant? S’Il est vivant, est-Il toujours le Cep? Est-Il le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de vos infirmités? Combien parmi vous là dans l’assistance ont dit ne pas avoir des cartes de prière? Levez maintenant la main. D’accord. Si vous êtes malade, pouvez-vous toucher Son vêtement ce soir s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? La Bible, le Nouveau Testament, l’Epître aux Hébreux, frères, déclare-t-Elle qu’Il est le Souverain Sacrificateur maintenant même qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Combien parmi vous les frères prédicateurs savent que c’est vrai? C’est juste afin que la... cette assistance, cette assemblée puisse...? Voyez? Voyez? Combien dans l’assemblée ont déjà lu cela? Assurément.

            Eh bien, alors, s’Il est le même... Est-Il un autre souverain sacrificateur ou le même Souverain Sacrificateur? Eh bien, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, Il agira de même alors, est-ce vrai? Maintenant, que suis-je en train de vous dire? Qu’Il n’est pas mort. Son corps, Son corps physique est ressuscité; il n’a pas pourri dans la tombe. Mais Dieu l’a ressuscité et l’a placé sur Son Trône. Croyez-vous cela? Son Esprit est descendu le jour de la Pentecôte et Il opère dans Son Eglise depuis lors. Eh bien, alors, s’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de vos infirmités, si votre foi Le touche, ne Se retournera-t-Il pas comme Il l’avait fait quand Il avait été touché au vêtement cette fois-là, pour vous dire ce qui cloche et ce que vous avez eu, et...? Comme Il l’avait fait autrefois, Il fera de même, n’est-ce pas?

57        Maintenant, voici une femme. Je ne connais pas cette femme. Elle est un peu plus âgée que moi, mais ceci est... Nous sommes inconnus, je suppose, l’un à l’autre. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Mais voici une... Quand vous rentrerez chez vous, lisez donc ce cas-ci, vous le trouverez dans Saint Jean, chapitre 4, Jésus et une femme, en conversation. Eh bien, elle n’est pas cette même femme-là, et moi, je ne suis pas Jésus. Mais Son Esprit est ici, Son Esprit. Il a donc envoyé des dons dans Son Eglise. Qu’est-ce qu’un don? C’est un moyen, un secret que Dieu donne à un homme pour lui faire savoir comment se détendre, et se mettre simplement de côté, et laisser le Saint-Esprit agir au travers de lui. Voyez-vous?

            Eh bien, si je ne connais pas cette femme-là, que je ne l’ai jamais vue de ma vie, comment saurais-je quelque chose à son sujet? Je ne pourrais pas la connaître? Mais je suis sûr que Celui dont je parle la connaît. Et Il a promis que je ferai aussi les oeuvres qu’Il avait faites. Et Il ne peut pas faillir. Il... Moi, je peux faillir, mais pas Lui. Si seulement je peux m’abandonner à Lui, alors Il parlera à cette femme. Eh bien, si elle est malade, si elle a besoin du secours sur le plan financier, naturel, que sais-je, je ne sais pas. Quoi que ce soit, Jésus s’en est déjà approprié pour elle. Combien le savent? Mais afin que cela puisse... Et s’Il–s’Il se tenait ici, et s’Il se tenait ici portant mon costume qu’Il m’a donné? Que ferait-Il? Dirait-Il: «Eh bien, venez ici, Je vais vous guérir»? Il ne pourrait pas le dire. Il l’a déjà fait. Il se manifesterait seulement à elle, qu’Il était le Fils de Dieu et que c’était Sa promesse. Est-ce vrai? C’est ce qu’Il fait ce soir par Son Eglise.

58        Eh bien, si la femme avec sa main levée... Nous deux, nous avons dépassé l’âge moyen, nous savons que nous aurons à rencontrer Dieu. Eh bien, qu’elle en soit juge. Si le Saint-Esprit... Combien ont vu Sa photo? Faites voir la main, Oh! ils ont–ils ont cela là derrière, je pense, les jeunes gens en ont. Ils ont cela. Cela porte la signature des autorités du pays, c’est l’unique Etre surnaturel qui ait jamais été photographié dans toute l’histoire du monde. C’est vrai. Ils–ils ont cela ici même sur photo maintenant, c’est accroché à Washington, D.C., dans le musée des arts religieux, la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. En effet, le même Jésus a dit: «Je viens de Dieu, et Je vais à Dieu. Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres, quand bien même vous ne Me croyez pas, croyez les oeuvres.» Eh bien, faites la même chose ce soir.

            Si cet Esprit dont je parle, le Saint-Esprit, qui est sur la–la–l’Eglise née de nouveau, si ce Saint-Esprit n’accomplit pas les oeuvres de Jésus, alors ce n’est pas Jésus. Mais s’Il accomplit les oeuvres de Jésus... Eh bien, le monde scientifique sait que c’est le même objet, la Colonne de Feu qui suivait les enfants d’Israël.

            Eh bien, si c’était la Vie qui était en Christ et cela a produit ce genre de fruits, alors, si Cela est dans l’église, cela produira le même genre de fruits. Est-ce vrai? C’est ce qu’il y avait au commencement.

59        Très bien, que le Seigneur accorde Sa bénédiction. Maintenant, que chacun de vous qui n’a pas de carte de prière regarde dans cette direction et croie. Eh bien, demain soir, nous allons complètement changer ce genre de ligne de prière, je pense. La soirée suivante, nous allons encore changer cela d’un bout à l’autre. Voyez? Et tout... Si vous avez une carte de prière et que vous n’êtes pas appelé dans la ligne, gardez cette carte de prière-là, nous allons arriver à cela. Souvenez-vous-en donc, gardez-la.

60        Maintenant, j’ai fait une déclaration à partir de la Bible. J’ai cité les Paroles de Jésus-Christ, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Maintenant, premièrement, voici une femme comme c’était au puits. Nous nous rencontrons, nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Si le Saint-Esprit peut m’utiliser pour lui dire son problème, comme Il l’avait fait pour la femme au puits, combien ici accepteront cela et croiront que c’est la vérité, si tous deux, avec nos mains levées, nous affirmons que nous ne nous sommes jamais rencontrés?

            Maintenant, soeur, je vais juste dire un ou deux mots, jusqu’à ce que je puisse... comme Il l’avait fait. Il a engagé une conversation avec la femme jusqu’à découvrir son problème. Et puis, Il a dit... Il s’est mis à lui parler, disant: «Apporte-Moi à boire.» Vous rappelez-vous l’histoire? «Apporte-Moi à boire.»

            Et elle a dit: «Eh bien, il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains. Il y a une ségrégation; nous n’avons pas de relations entre nous.»

            Il a dit: «Si tu connaissais Celui à Qui tu parlais, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»

            Et alors, elle a dit... Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari; en cela tu as dit vrai.»

            Eh bien, elle ne L’a pas taxé de même nom que la–l’église de l’époque. Eux disaient: «Il est Béelzébul, le démon, un diseur de bonne aventure.»

            Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Eh bien, nous attendons la Venue du Dieu-Prophète, Celui qu’on appelle le Messie. Quand Il sera venu, Il fera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Jésus a dit: «Je Le suis.»

            Elle abandonna cette cruche d’eau et détala à toute vitesse, disant... Elle voulait répandre la nouvelle: «Venez voir un Homme qui m’a dit ces choses: ne serait-ce pas le Prophète dont Moïse a parlé, que l’Eternel notre Dieu nous suscitera? Ne serait-ce point le Messie même?» Eh bien, nous sommes ici à la fin de l’âge, une fois de plus. Tout celui qui a le bon sens sait que nous sommes à la fin de l’âge; nous y sommes.

61        Notre soeur ici debout maintenant, si vous pouvez encore entendre ma voix, elle semble s’éloigner de moi. Je la vois; elle souffre. Elle a une grosseur sur son corps, et cette grosseur est sur le sein gauche. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Croyez-vous maintenant? Qu’elle en soit juge.

            Vous direz: «Frère Branham, vous avez peut-être deviné cela.» Non, jamais. Jamais je n’ai vu cette femme. Laissez-la se tenir là une minute. Vous êtes une personne gentille. Votre esprit est bien royal, vous savez, il est accueillant; vous êtes remplie du Saint-Esprit. Vous n’êtes pas d’ici. [La soeur dit: «J’ai quarante, ou trente-huit ans.»–N.D.E.] Trente-huit ans avec le Saint-Esprit. Vous ne venez pas de cette ville-ci cependant. Vous venez de Fresno. C’est vrai. Madame Baucher, rentrez chez vous; vous êtes guérie; Jésus-Christ vous a rétablie. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Croyez-vous?

62        Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Le Seigneur nous connaît tous deux, n’est-ce pas? Si le Seigneur Jésus me dit vos problèmes, croirez-vous alors en Lui de tout votre coeur? Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Vous aussi, vous venez de Fresno. C’est vrai. Et vous représentez votre ami qui a des troubles mentaux, pour qui vous priez. N’est-ce pas vrai? Croyez-vous maintenant que vous allez le trouver différent? Allez et trouvez-le ainsi, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Ayez foi en Dieu.

63        Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais le Seigneur Jésus nous connaît tous deux. Croyez-vous qu’Il peut révéler votre maladie? Cela vous fera-t-il savoir qu’Il vous aime? Vous êtes un chrétien, un croyant, vous venez de San Jose. C’est vrai. Et vous représentez quelqu’un d’autre. C’est votre mari qui est dans un hôpital psychiatrique. C’est vrai. Amenez-lui ce mouchoir-là, ne... Croyez, priez que Dieu le renvoie à la maison auprès de vous, rétabli. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. Ayez foi en Dieu.

64        Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, madame? Nous le sommes. Juste un instant, quelque chose de mauvais est passé à côté de cette femme-ci; ce n’était pas sur elle. C’est un esprit sombre. Ce n’est pas ce qui cloche chez elle. Eh bien, quelqu’un dans l’assistance, juste une minute, ça y est. Une jeune fille assise ici pique des crises d’épilepsie. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Levez la main si c’est vrai. Très bien, rentrez chez vous et croyez, et cela vous quittera. Qu’a-t-elle touché? Qu’a touché cette pauvre jeune fille? Le Souverain Sacrificateur. Ce n’est pas ce qui cloche chez cette femme. Cette femme souffre des nerfs. C’est vrai, n’est-ce pas, madame, cette dame ici? Elle souffre aussi de vésicule biliaire, ça la dérange. C’est aussi vrai, n’est-ce pas? Et vous avez aussi une grosseur sous votre bras gauche. C’est vrai, n’est-ce pas? Rentrez chez vous, rétablie, Jésus-Christ vous guérira, si seulement vous croyez de tout votre être.

65        Croyez-vous, soeur? De tout votre être? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Nous sommes de parfaits in-... inconnus. Il y a une personne avancée en âge qui est apparue ici tout à l’heure: une vision. Voyons juste un instant. Le Seigneur Dieu du Ciel connaît le secret de chaque coeur. La Bible dit: «Le–l’Esprit de Dieu, et la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, Elle discerne les pensées de l’esprit.» Oh! C’est pour votre mère que vous priez. C’est vrai. C’est votre mère. Et elle n’est pas ici. Elle n’est même pas dans cet Etat. Elle est dans un Etat où il fait très froid: Michigan. C’est vrai. Elle a des scléroses en plaque. C’est vrai. Envoyez-lui ce mouchoir-là pendant que l’Esprit de Dieu est sur vous; prenez cela et envoyez-le-lui, et croyez de tout votre coeur et elle en guérira si vous croyez. Que Dieu vous bénisse, madame. Croyez-vous de tout votre coeur?

66        Si Dieu ne vous vient pas en aide, vous devez mourir; vous le savez: le cancer. Maintenant, juste un instant, cette chose hideuse... Maintenant, il y a un autre démon identique ici qui crie. Une femme couverte de l’ombre noire, mais cet esprit de cancer crie au secours à une autre chose. Il y a un autre cas de cancer, couché sur cette civière. Il pensait s’en tirer avec cela, mais il ne l’a pas fait. Levez-vous, soeur. Ayez foi en Dieu. Rentrez chez vous; soyez bien portante. Vous aussi, soeur, Jésus-Christ vous guérit. Rendons gloire à Dieu pour Sa bonté. Alléluia! Qu’a-t-elle touché? Le Souverain sacrificateur.

67        Croyez-vous, monsieur? De tout votre coeur? Si je ne vous disais rien, vous croiriez toujours que vous avez été guéri, n’est-ce pas? Rentrez chez vous; prenez votre souper; ce trouble d’estomac vous a quitté, et vous pouvez rentrer chez vous, bien portant.

            Vous souffrez du coeur suite à la nervosité. Croyez-vous qu’Il vous a guéri? Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et dites: «Merci, Seigneur Jésus.» Et soyez bien portant.

            Venez, soeur. Il y a une maladie de sang, l’anémie. Croyez-vous qu’Il vous guérira? Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et dites: «Merci, Seigneur Jésus, de m’avoir guérie.» Quand j’ai parlé du cancer il y a quelques instants, une sensation étrange vous a envahie. Cela vous a quittée; allez simplement de l’avant, continuez maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. Le diabète... mais croyez de tout votre coeur, cela vous quittera. Allez, croyez cela maintenant. Ne doutez pas. Nerveuse, une maladie gynécologique, vous souffrez aussi du coeur, ça vous dérange. Croyez-vous? Allez, croyez au Nom du Seigneur Jésus.

68        Ayez foi. Croyez-vous cela? Qu’en est-il de vous là dans l’assistance sans cartes de prière? Croyez-vous en Dieu? Ayez foi en Dieu. Touchez Son vêtement. Qu’a touché là cette pauvre petite femme mourante?

            Voici un homme assis là tout au fond, en train de me regarder, il a quelque chose qui cloche à sa jambe, il souffre de sinusite, il est assis là même au bout du siège. Croyez-vous, monsieur? D’accord. En chemise blanche, levez-vous et recevez votre guérison. Jésus-Christ vous guérit. Croyez-vous?

            Il y a une petite femme mexicaine assise près de moi, juste ici, maintenant. Croyez-vous, soeur? De tout votre coeur, ici même? Le mal de gorge. Ayez foi en Dieu. Levez-vous et soyez guérie.

69        Croyez-vous de tout votre coeur? Qu’en est-il de vous, madame? Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Dieu nous connaît tous deux, n’est-ce pas? Vous souffrez des nerfs, vous êtes très nerveuse. Laissez-moi vous dire aussi autre chose. Vous êtes catholique de confession. C’est vrai. Cela n’a rien à faire avec la chose. Vous êtes venu ici pour croire que vous allez être guérie. Dieu va honorer... Croyez-vous–croyez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur? D’accord. Vous êtes venue avec quelqu’un d’autre. C’est celle qui est assise juste là en bas. Elle a des éruptions sur tout son corps. C’est vrai. Elle est aussi catholique. Vous êtes ensemble à trois. L’autre femme assise juste à côté d’elle. Elle a quelque chose qui cloche à son pied. Elle aussi est catholique. C’est vrai. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu?

            Je vous dis quelque chose. Vous avez un mari qui est aussi malade, cette femme à ce bout. Elle souffre du coeur, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous; vous êtes guéries toutes les trois. Rentrez chez vous et croyez au Seigneur Jésus.

70        Ayez foi en Dieu. Croyez-vous en Lui? De tout votre coeur? Alors, permettez-moi de vous montrer la gloire de Dieu. Imposez-vous les mains les uns aux autres maintenant même pendant que toute la salle est remplie de la puissance de Dieu. Imposez-vous les mains les uns aux autres. N’est-ce pas que le très Saint Christ a dit ceci, Celui qui connaît le secret du coeur: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru»? Que Dieu vous bénisse, soeur. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Priez pour ceux qui sont assis à côté de vous.

71        Seigneur Jésus, nous venons avec le Nom du Seigneur Jésus, présentant cela à Dieu, notre Père, Te priant de guérir les malades et les affligés. Que ce soir, Seigneur, chaque personne malade qui est dans la Présence divine parte de cette salle ce soir parfaitement normale et guérie. Ils se sont imposé les mains les uns aux autres, pendant qu’ils se tiennent ici, et ils ont vu la puissance de la résurrection de Christ qui guérit les gens. Qu’il en soit ainsi, Seigneur; qu’ils croient à partir de cette heure, au Nom de Jésus.

72        Et pendant que vous avez vos mains baissées juste un instant, y aurait-il quelqu’un dans l’église ce soir, dans cette salle, qui ne connaît pas Christ comme son Sauveur personnel, qui aimerait s’avancer ici devant maintenant même Le confesser dans la Présence du Saint-Esprit, Le recevoir comme son Sauveur personnel? Voudriez-vous venir pendant que nous gardons nos têtes inclinées et que nous chantons un couplet de ce cantique? Voudriez-vous le faire? Quasi persuadé, pendant que nous chantons cela. Voudriez-vous avancer ici, L’accepter comme votre Sauveur personnel ici même ce soir? Vous allez... ça sera des actions de grâces dont vous vous souviendrez toujours. Vous aurez de quoi être reconnaissant. Voulez-vous venir pendant que nous chantons maintenant?

Quasi ... maintenant de croire;
Quasi persuadé de recevoir Christ;
On dirait maintenant...

(Ne voudriez-vous pas vous lever et vous avancer juste un instant?)Aller, esp... (Pouvez-vous rejeter l’Esprit de Dieu qui parle à votre coeur maintenant même? Maintenant, ne dites pas qu’Il ne le fait, car je sais qu’Il le fait.)

Un jour con–convenable, je T’invoquerai.

73        Avec vos têtes inclinées maintenant, écoutez. Christ, le Fils de Dieu, Son Saint-Esprit... Dans la Bible, quand Il était ici, le Saint-Esprit demeurait dans la plénitude de Sa puissance dans le Fils de Dieu qui accomplissait exactement les mêmes signes que vous voyez s’accomplir, qui s’accomplissent plutôt. Vous... Il a fait ces choses, Il a promis que dans les derniers jours, juste avant Son retour, que l’église se lèverait dans cette même puissance et accomplirait la même chose. Chaque lecteur de la Bible sait que Jésus-Christ a promis cela. Maintenant, il ne se préoccupe pas de quelle église vous êtes membre. Il ne se préoccupe pas de la dénomination que vous fréquentez. Il s’intéresse à vous en tant qu’individu. L’avez-vous reçu comme votre Sauveur personnel et êtes-vous rempli de Son Esprit? Si ce n’est pas le cas pour vous, alors vous devriez venir. Si c’est le cas, alors peu importe l’église dont vous êtes membre, vous êtes toujours à Lui. Mais pour que vous acceptiez Jé-... Jésus a prononcé ces Paroles: «Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera point dans le Royaume.»

74        Maintenant, je vous laisse avec cela. Il est ici. Je suis disposé à prier. Il est présent ici. Toute la salle est saturée de Sa présence. Le même genre de service qui a été tenu dans la Bible se tient ici devant vos yeux ce soir. Le même Jésus, les mêmes actions, les mêmes fruits de l’Esprit, tout, les mêmes signes, les mêmes prodiges, les mêmes miracles, le même Esprit et Sa photo, ici devant nous, et ça se manifeste parmi nous. Je regarde droit Cela maintenant. Cela est ici. Allez-vous Le recevoir comme votre Sauveur? Si vous le voulez, avancez pendant que je chante, juste encore un instant maintenant, Quasi persuadé, la moisson est passée. Quasi persuadé, à la fin, c’est la mort.» Allez-vous chanter cela avec moi, et que chaque personne qui ne... qui n’est pas sûre de son salut, vienne maintenant.

Quasi persuadé (Ne voulez-vous pas venir? Le temps s’écoule.)... passé!
Quasi persuadé, à la fin, c’est la mort!
Quasi ne peut pas vaincre; quasi, c’est pour faillir!
Triste, triste, ce gémissement amer, quasi, mais perdu

75        Maintenant, avec vos têtes inclinées, j’aimerais vous poser cette question-ci. Y a-t-il quelqu’un ici dans la salle ce soir qui aimerait qu’on se souvienne de lui dans la prière, quelqu’un qui n’a même pas eu le courage de venir? Et cette dernière parole... Voici venir deux hommes, conduisant une vieille femme, venant recevoir Christ comme leur Sauveur. Que certains travailleurs avancent.

            Si–si vous, dans cette salle, vous voulez qu’on se souvienne de vous, et que ça ne soit pas presque perdu, mais qu’il y ait une autre occasion, levez la main. Dites: «Je devrais moi-même venir.» Voudriez-vous lever les mains? J’aimerais voir s’il y a des pécheurs parmi vous. Soyez aussi... Rendez témoignage, par votre main levée, que vous auriez dû venir. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Je savais que ça ne pouvait pas être faux alors que le Saint-Esprit m’avait dit de faire cet appel. Je savais qu’Il ne pouvait pas être en erreur. Voyez? Je le savais. Y en a-t-il d’autres? Voudriez-vous levez la main pour dire: «Priez pour moi, Frère Branham, pendant que vous priez pour cette bien-aimée femme»? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Voyez-vous? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Et que Dieu vous bénisse. C’est... Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que le Seigneur vous bénisse, et vous. Et là derrière, que le Seigneur vous bénisse. Très bien. Inclinons la tête pendant que nous prions pour elle.

76        Seigneur Jésus, que le Saint-Esprit vienne maintenant sur cette pauvre précieuse personne ici debout. Qu’elle reçoive ce qu’elle réclame. Quand nous faisions des appels pour les pécheurs, elle... oh! elle a demandé à quelqu’un de la conduire ici. Qu’elle reçoive la bénédiction qu’elle réclamait.

            Souviens–Toi, Père, de ceux qui sont là dans l’assistance, qui ont levé la main. Ils savent qu’ils devaient venir. Accorde-leur une autre occasion, Seigneur. Je prie pour cela, non pas pour faire le malin, mais afin qu’ils–qu’ils n’aient pas de repos ce soir, ou demain soir, ou l’autre soir, jusqu’à ce qu’ils se soient finalement abandonnés à Toi. Cela semble horrible de prier comme cela, Père, mais Elie a prié qu’il ne tombe même pas de pluie sur terre jusqu’à ce que la nation se soit repentie, et pendant trois ans et six mois, il n’avait pas plu.

            Maintenant, Père, je prie que ces gens qui savent qu’ils devraient Te recevoir, que Tu... Tu as parlé à leur coeur, mais l’ennemi cherche à les retenir. Seigneur, rends-les misérables pour eux-mêmes, au point qu’ils finiront par se repentir. Accorde-le, Seigneur. Qu’ils ne soient pas perdus, mais qu’une glorieuse heure, peut-être la prochaine heure, avant qu’ils quittent ce monde, qu’ils aient encore cette occasion en or de recevoir Christ, leur Sauveur. Accorde-le, Seigneur.

77        Pardonne-nous nos péchés. Bénis-nous. Nous sommes reconnaissants de ce que nous croyons dans notre coeur que Tu as guéri chaque personne. De voir cette femme qui était clouée sur le brancard il y a quelques minutes, couchée là, mourante, debout maintenant, Te glorifiant. Tu l’as fait passer de la mort à la vie. Les autres dans la salle. Quand Tu as dit à Ta glorieuse Eglise: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris», ces croyants se sont imposés les mains les uns aux autres et ont prié. Certainement qu’ils seront guéris.

            Nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait, nous Te prions d’être avec nous et de nous bénir, dans la suite de la réunion, nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

78        Que le Seigneur vous bénisse maintenant. Levons-nous pendant que nous chantons: je L’aime, je L’aime, car Il m’aima le premier. Tous ensemble maintenant. Vous dans la salle, vous debout là pour la ligne de prière, rentrez donc chez vous, réclamez votre guérison; vous êtes guéris. Rentrez chez vous et dites: «Merci, Seigneur Jésus, pour ma guérison.» Très bien. Très bien. Que tout celui qui se sent très bien dans son âme lève les mains et dise: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Très bien. Tous ensemble maintenant.

Je L’aime (Levons les mains vers Lui),
Je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier...

            Que Dieu vous bénisse.

Up