Jéhovah-Jiré 2 (El-Shaddaï)

Date: 60-0802 | La durée est de: 1 heure et 50 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, frère. Inclinons la tête juste un instant pour la prière. Combien voudraient qu’on se souvienne d’eux ce soir dans la prière et voudraient l’exprimer en levant la main?...?... Merci.

            Bienveillant Père céleste, nous sommes reconnaissants ce soir de nous tenir à l’ombre de Ta miséricorde, et nous prions que ces bontés divines nous soient accordées. Et nous sommes si heureux que Jésus soit mort pour nous lorsque nous étions encore des pécheurs; et maintenant Il nous a rapprochés de Dieu par l’effusion de Son Sang, afin que nos péchés nous soient pardonnés, et–et que nous ayons droit à l’Arbre de Vie.

            Et ce soir, quand nous regardons là dans la salle d’urgence et voyons ces précieuses personnes qui sont très malades, et pratiquement à l’article de la mort, et en sentant cette puissance divine de Dieu agir à l’intérieur comme des vagues déferlant sur la–la salle, nous comprenons, Père, que Tu es tout près pour accorder la miséricorde à tous ceux qui T’invoqueront et qui croiront.

2          Il y en a beaucoup qui sont assis ici ce soir, Seigneur, qui sont dans l’ombre de la mort. A la fin de ce service, que la mort s’en aille. Accorde-le, Seigneur. Et que la Vie de Dieu entre et donne une nouvelle vie, un nouvel espoir et une nouvelle santé aux malades et aux infirmes. Pour ceux qui sont sans Dieu, sans Christ dans le monde, et qui sont éloignés, que la grande Lumière brille ce soir sur leur sentier, et qu’ils deviennent Tes disciples.

            Pardonne-nous tout ce que nous avons fait ou dit qui pourrait empêcher cette prière d’être exaucée. Et que le Saint-Esprit prenne la direction de la réunion et circoncise nos coeurs en ôtant toute incrédulité et en y plaçant la foi en Dieu, afin que Dieu puisse oeuvrer à travers nous ce soir, pour que nous désirions Sa volonté dans nos vies et dans la vie des autres. Nous prions au Nom de Jésus. Amen. Asseyez-vous.

3          C’est un grand privilège de venir prier pour les gens. Bien des fois... Comme je le disais il y a quelques instants dans la salle d’urgence à certaines personnes très précieuses pour qui on devait prier, les signes ne guérissent pas. Voyez-vous? C’était seulement une confirmation de ma–ma commission de prier pour les malades. Voyez-vous? Une vision ne guérira jamais personne, ni aucun autre signe non plus. Mais c’est–c’est une... la confirmation d’une commission, lorsqu’Il m’a parlé cette nuit-là, il y a quatorze ans, le 7 mai. Il a dit: «Tu es né pour prier pour les malades», et Il m’a dit d’aller partout dans le monde.

            Et je Lui ai dit: «Les gens ne voudront pas me croire, car je n’ai pas d’instruction, et je...»

            Et Il a dit que de même que Moïse avait reçu deux signes, je recevrais deux signes. Il a dit que le premier consistera en ceci:les gens placeront leurs mains sur moi, et je serai alors en mesure, si je n’utilise pas ma propre pensée, de leur dire exactement–exactement ce qui ne va pas. Ce serait Lui qui parlerait. Et puis, Il a dit: «Si tu es sincère, il arrivera que tu connaîtras même les secrets de leurs coeurs.»

4          Et vous connaissez tous l’histoire, et vous avez tous lu le livre. C’était le but de ma présence là-bas. Beaucoup de mes frères m’ont dit que cela était du diable. Eh bien, j’aime le Seigneur Jésus; je ne voulais rien avoir à faire avec le diable, et c’est pour cela que j’étais là pour y rester jusqu’à ce que cela me  quitterait. Et puis, quand Il m’a parlé des prédicateurs, alors j’ai compris qu’Il avait raison. La Bible devint nouvelle pour moi.

            Et Il a dit: «Cela... par cela les gens croiront.»

            Eh bien, vous voyez, ce n’est pas... En effet, ce qui me manquait en tant que prédicateur, c’est-à-dire une–l’instruction, ceci me fut donné pour compenser cela. Alors qu’un homme ayant une bonne instruction saurait comment il pourrait... connaît très bien la Bible, celui qui a une instruction, il serait en mesure de L’expliquer d’une certaine façon. Il a été appelé à être un–un prédicateur, comme ceux qui sont assis ici avec moi ce soir, de bons prédicateurs, de bons évangélistes et de bons pasteurs. Ils ont été appelés pour cela. Eh bien, ce qui me manque en rapport avec cela, cet autre compense cela.

            Cependant, je devais être... prier pour les malades. Et c’est la prière qui change les circonstances. Voyez-vous?  Vous savez, la prière peut amener Dieu à changer d’avis. Savez-vous cela? Elle le fait. C’est... Je me souviens que cela est arrivé une fois dans la Bible. Vous en souvenez-vous?

5          Ce matin, nous avons pris part au déjeuner le plus fastueux auquel j’aie jamais pris part de toute ma vie. Quel glorieux moment nous avons eu autour de la communion avec ces pasteurs-ci! Et frère Hobbson que voici a fait une observation dont j’aurais voulu tirer de la–de la matière, si je n’étais pas ici pour continuer avec Abraham ce soir. Il nous a raconté une histoire très passionnante, à propos de trois hommes qui étaient dans un hôtel ou à un endroit où ils–ils avaient laissé leur... L’ascenseur était en panne, et ils devaient monter soixante-dix étages à pieds.

            Et ils ont convenu que jusque là-haut ils allaient... chacun d’eux raconterait comment... une–une expérience de la vie. En parcourant vingt étages, l’un a raconté une expérience, et en parcourant cinquante ou soixante étages, le suivant a raconté son expérience. Et au dernier étage, l’autre a dit: «La... même... l’expérience que j’ai faite, l’une des plus particulières, c’est maintenant même. J’ai oublié mes clés à la réception.»

6          Je me demande tout simplement si, bien des fois dans nos expériences pentecôtistes où l’on essaie de bâtir de grandes églises ou de faire quelque chose pour avoir beaucoup de membres, si nous n’oublions pas la clé, la clé surnaturelle. La chose même que nous défendons, la Pentecôte, je me demande si nous ne l’oublions pas à la réception. Si c’est le cas, descendons les marches très vite ce soir pour la chercher, afin que nous puissions ouvrir la porte. En effet, ça ne changerait pas grand-chose combien haut nous sommes montés, aussi longtemps que nous n’avons rien pour entrer après être arrivés là.

            C’était très bon, frère, j’ai certainement apprécié cela. C’était une très belle communion fraternelle que nous avons eue ce matin, et je suis certainement heureux de savoir que Yakima a un merveilleux groupe de pasteurs que voici. Dieu... Ecoutez-les, frères et soeurs; écoutez-les, ils vous montreront le chemin de la Vie.

7          Bon, je suis toujours en retard. Je... Ma mère m’a dit que je suis né un peu en retard, et à l’école j’étais toujours... Mon carnet scolaire portait toujours cette mention: retardataire, retardataire, retardataire, retardataire, jusqu’à la fin. Quand je me suis marié, j’étais aussi en retard. J’ai fait attendre ma femme pendant environ une heure et demie. Et je devais d’abord visiter les malades. Et ainsi, si seulement je peux donc être en retard à mes funérailles, ce–ce sera très bien. Je me suis rendu tout récemment à une Eglise Evangélique des Frères Unis, à New Albany, dans l’Indiana, et j’étais juste en retard d’environ une demi-heure, et le pasteur s’est levé... Et à ce moment-là, ces gens étaient prêts à rentrer chez eux. Et les gens ont dit, le pasteur a dit: «Je vous présente maintenant monsieur Branham, le retardataire.»

            Eh bien, cela me rappelle un... frère Sweet qui est ici quelque part ce soir, frère Sweat plutôt, il était ici ce matin à la réunion. Nous étions en Jamaïque récemment, nous nous sommes rencontrés à Kingston, quand j’étais sur le champ de courses; et il chantait pour moi. Et ce soir-là, les célébrités de l’île nous avaient amenés à un déjeuner des hommes d’affaires; et les gens venus depuis le Cuba étaient là pour prendre part à ce déjeuner, entre autres des fabricants de chaussures, des canneurs et autres. Et alors un homme m’a posé la question, disant: «Etes-vous un prédicateur?»

            J’ai dit: «J’espère que oui.»

            Et il a dit: «Qu’avez-vous à vous accrocher à ces hommes d’affaires chrétiens?»

            J’ai dit: «Eh bien, je–je–je suis un homme d’affaires.» Alors...

            «Oh! vous êtes un homme d’affaires?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Un... Quel genre d’affaires faites-vous?»

            J’ai dit: «Je suis un représentant de commerce.»

            Il a dit: «Que vendez-vous?»

            J’ai dit: «Des polices d’assurance.» L’assurance, pas des polices d’assurance, l’assurance.

            Il a dit: «Quelle-...» Il ne m’avait pas bien saisi, il a dit: «De quelles polices d’assurance s’agit-il?»

            J’ai dit: «L’assurance bénie!»

            Et un... il a dit: «Oh!»

            «C’est ce que je vends.» J’ai dit: «Si quelqu’un, ici ce soir, s’intéresse à une police d’assurance, j’aimerais vous en parler. J’aimerais certainement vous en parler. Je... agent de la Compagnie d’Assurance-Vie Eternelle.» J’aimerais en parler avec quiconque parmi vous qui êtes tout autour de l’autel ici, et je suis sûr que nous pouvons... Nous avons quelques agents ici qui vont maintenir la police d’assurance en vigueur (Voyez-vous?), pour qu’elle continue à avoir cours.

8          Un ami à moi, Wilmer Snider, a ici quelque part un frère baptiste qui prêche, Courtney; s’il est ici, j’aimerais vous serrer encore la main, Court. Et Wilmer et moi étions de très grands copains à l’école, et il a dit... Un jour, il s’est mis à vendre des polices d’assurance. Il est donc venu chez moi, et il a dit: «Billy, j’aimerais te parler de la police d’assurance.»

            Eh bien, la police d’assurance, c’est une bonne chose; mais je n’en ai aucune de ce genre. Nous payons toujours des frais à celui qui enterre; pourquoi ne pas en payer à Celui qui ressuscite, plutôt qu’à celui qui enterre? Ainsi–ainsi, je... La police d’assurance, c’est une bonne chose; vous comprenez cela. Je ne dis rien là contre.

            Il a dit: «Billy, j’aimerais te parler d’une–de la police d’assurance.»

            Et j’ai dit: «Oh! j’en ai une, Wilmer.»

            «Oh! fit-il, excuse-moi.»

            «Mon frère est un agent d’assurance.»

            Alors il a dit: «Oh! je regrette.» Il a dit: «Je ne voudrais pas déranger ton frère Jeff.»

            J’ai dit: «Non!» J’ai dit: «J’ai l’assurance.»

            Et il a dit... Et mon épouse qui se tenait là m’a regardé comme si j’étais un hypocrite. Voyez-vous? Elle m’a jeté un coup d’oeil et s’est dit: «Eh bien, c’est quoi ça?»

            Et il a dit: «Un–quelle–dans quelle compagnie es-tu?»

            J’ai dit: «La Vie Eternelle.»

            Et il a dit: «Euh... oh!» Il a dit: «C’est très bien, Billy. Mais je vais te dire une chose:ce n’est pas cela qui va t’amener là au cimetière.»

            J’ai dit: «Non, mais cela m’en fera sortir. Et ce n’est pas d’y entrer qui m’intéresse.» Mais j’ai dit: «Ce qui m’intéresse, c’est d’en sortir.»

9          Si donc quelqu’un s’intéresse à une telle police d’assurance et qu’il n’en a pas, eh bien, nous aimerions... Est-ce juste, frère? Nous en sommes des agents ici ce soir. Oui, monsieur. Ce dont je me soucie, ce n’est pas d’aller au cimetière; le problème c’est d’en sortir. Ainsi, je... C’est ce que j’essaie de vous vendre:c’est le moyen pour en sortir; et Christ est ce moyen-là. Et je suis si heureux d’avoir l’assurance.

            Et juste devant nous, devant chacun de nous, se dresse une très grande porte sombre. Je sais qu’elle se dresse devant moi. Chaque fois que mon coeur bat, je me rapproche de cette porte qui s’appelle la mort d’un battement. Et quand j’arriverai à ce point-là où je saurai que mon coeur bat pour la dernière fois, et que je dois entrer dans cet endroit-là, je ne veux pas y aller en criant comme un lâche. Je désire m’envelopper de la robe de Sa justice, et affronter ma mort en sachant ceci, que je Le connais dans la puissance de Sa résurrection, et qu’un jour, lorsqu’Il appellera, je sortirai d’entre les morts. Et c’est notre privilège que d’être ici pour cela.

10        Maintenant, nous sommes... Je vais tâcher, si possible, de terminer ce soir mon sujet sur Jéhovah-Jiré. Hier soir, nous avons tout simplement été emportés, si innocemment. Nous avons donc laissé Abraham, hier soir, là où il effectuait un voyage en tant qu’un vieil homme de soixante-quinze ans, après que Dieu l’avait appelé et qu’Il l’avait appelé à une séparation totale. Et nous avons appris dans notre leçon d’hier soir que Dieu exige une séparation complète d’avec tout ce qui est du monde. Et l’Ecriture déclare: «Si vous aimez le monde ou les choses du monde (c’est adressé à la postérité d’Abraham), l’amour de Dieu n’est point en vous.» Nous devons donc arriver à un point avec Dieu, à un niveau dans Sa grâce, où les choses et les plaisirs du monde... Je–je ne parle pas des plaisirs physiques comme on pourrait aller s’asseoir sous un arbre pour éviter la chaleur, ou faire un petit tour en voiture, mais je parle plutôt des plaisirs mondains:boire, les jeux d’argent et les mauvaises choses. Si vous aimez encore ces choses, l’amour de Dieu n’est point en vous. C’est ainsi que nous pouvons nous examiner pour voir si nous avons la foi ou pas, lorsque les choses du monde sont mortes et nous ont quittés.

11        Et puis, nous avons vu qu’Abraham n’a pas obéi à Dieu comme il fallait. Eh bien, il s’est préparé et il avait foi dans la promesse. Mais vous voyez, nous pouvons toutefois avoir foi dans la promesse et puis ne pas obéir, cela nous fera toujours obstacle.

            Eh bien, vous pouvez dire: «J’ai un... Je–je crois au Saint-Esprit. Je crois que je dois–je dois recevoir le baptême du Saint-Esprit.» Eh bien, peu importe combien vous croyez, vous devez obéir à cette commission. Voyez-vous? Avoir uniquement la foi ne marchera pas, parce que la foi sans les oeuvres est morte. C’est juste.

            C’est juste comme les croyants frontaliers. On a des gens aujourd’hui au sujet desquels on trouve qu’il est dit dans la Bible: «Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont eu part au Saint-Esprit, et qui sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu, tiennent pour profane le Sang de l’alliance par lequel ils ont été sanctifiés et ont outragé les oeuvres de la grâce.»

            Eh bien, dans Hébreux 10, il est aussi dit: «C`est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant.»

12        Et ces gens... Vous les avez vus venir à l’église. Ils viennent et disent: «Oh! oui, je–je crois. Oui, oui. Je...» Mais ils vont... Ils croient cela, mais ils ne mettront jamais la main à cela pour faire tourner une roue afin d’aider la chose à avancer. Voyez-vous? Eh bien, c’est exactement comme ce qui était arrivé dans la Bible. C’est comme quand Caleb et Josué revinrent avec l’évidence montrant qu’ils avaient été dans le pays. Mais ces autres croyants ont dit: «Oh! l’opposition est trop grande. Nous n’y arriverons pas.» Aussi, sont-ils restés là à errer malgré tout. Ils n’ont jamais pu entrer dans la Terre promise, à l’exception de ceux qui étaient revenus avec cette foi: «Nous le pouvons!»

            Eh bien, que serait-il arrivé si ce groupe-là avait considéré l’opposition? Eh bien, les autres ont dit: «Eh bien, les–les Amoréens et les autres, oh! nous paraissons comme des sauterelles devant eux.»

            Eh bien, mais vous voyez, Caleb et Josué calmèrent le peuple, parce qu’ils ne regardaient pas aux Amoréens, combien ils étaient grands, combien les villes étaient grandes; mais ils regardaient à la promesse. Dieu a dit: «Je vous donne le pays. Il est à vous.» Eh bien, Dieu a donné à chacun de vous sa guérison. Elle est vôtre.

13        Eh bien, maintenant, Dieu n’est pas allé là prendre un balai pour balayer Canaan, tous les Amoréens, les Héthiens et–et tous les autres, pour les balayer et dire: «Viens, Is-... Israël. Ceci t’appartient. Ils ont même planté des champs pour toi.» Non, non.

            Ils devaient se battre pour chaque centimètre de terre. C’est vrai. Mais ils avaient la promesse de la victoire. Dieu a dit à Josué: «Quelque lieu que foulera la plante de votre pied, Je vous le donne.» Ainsi les empreintes de pas signifiaient la possession. Souvenez-vous-en, vous soeur qui êtes dans le fauteuil roulant. Les empreintes de pas signifient la possession. Chaque fois que la plante de votre pied foule un endroit, c’est cela; emparez-vous de tout ce terrain-là.

            Dites: «Hier, je n’arrivais pas à remuer mon doigt, mais aujourd’hui, je peux le remuer.» Votre possession s’étend jusque-là; continuez simplement à aller de l’avant. Continuez simplement à aller de l’avant. Demain, vous pourrez remuer la main; le jour suivant, vos bras; puis bien vite, vous voilà qui marchez. Continuez à aller de l’avant. Voyez-vous? Les empreintes de pas, c’est la possession.

14        Quand vous parviendrez à la pleine obéissance, alors vous pourrez avoir la possession. Mais pas avant que vous ayez obéi pleinement. Vous devez abandonner complètement vos propres idées, votre propre volonté, votre propre pensée et laisser la pensée de Christ agir en vous. Eh bien, pensez-vous que Christ pourrait–que la pensée de Christ en vous pourrait dire: «Les jours des miracles sont passés»? Pensez-vous que la pensée de Christ en vous pourrait dire: «La Bible est vraie dans certains passages et pas dans d’autres»? La pensée de Christ approuvera chaque Parole que Christ a prononcée. C’est juste. Si donc vous n’utilisez pas votre propre pensée, utilisez tout simplement la Sienne.

            C’est de cette façon que pendant la nuit les visions... Si j’utilise ma propre pensée, comment–que saurai-je faire? Je ne saurai rien faire. Mais je m’abandonne tout simplement à Lui, et alors Il utilisera ma pensée, mes yeux, ma bouche. Il est tout pour moi. Juste s’abandonner. C’est ce qu’il faut faire. C’est ce que font ces ministres quand ils prêchent l’Evangile. Ils montent là et prennent un passage, oh! ils commencent tout simplement à prêcher, ils s’abandonnent à Dieu, leurs ministères, bien vite, le Saint-Esprit les conduit peut-être à un autre passage, les conduit quelque part ailleurs.

15        Quelqu’un m’a dit, il n’y a pas longtemps, il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, vous ne restez jamais dans votre sujet. Vous devriez rester sur l’autoroute.»

            J’ai dit: «Tous ceux à qui je prêche n’habitent pas sur l’autoroute. Parfois je dois descendre la ruelle pour en prendre un quelque part ici en bas. Il me faut donc sortir et faire un crochet ailleurs. Juste là où Il me conduit.»C’est ce qui se passe, n’est-ce pas, frères? Nous devons sortir de l’autoroute quelque part et descendre de ce côté-ci, pour prendre quelqu’un par  ici et un autre par là. Vous ne savez pas ce que vous dites, mais vous suivez tout simplement la façon dont Il le dit. Cela s’adresse–cela s’adresse à quelqu’un par là, par ici, par là, quelque part. C’est pour eux. Si seulement vous suivez Sa conduite.

16        Maintenant, nous voyons donc que, finalement, quand Abraham est parvenu à la pleine obéissance, qu’il est arrivé au point où il était... tout hors du chemin. Son père était mort; Lot s’était séparé d’Abraham, alors Dieu a dit à Abraham: «Lève-toi, et parcours le pays. Il est tout à toi.» Oh! je–j’aime ça. Chaque fois que j’y pense, je me sens aussitôt religieux. Voyez-vous? «Lève-toi et parcours le pays, parce que tu le possèdes entièrement.»

            Selon cette Bible, c’est ce qui nous arrive. Dès que nous devenons des chrétiens et que nous sommes remplis du Saint-Esprit, nous sommes la postérité d’Abraham, héritiers de chaque promesse. Parcourez donc tout simplement le pays; chaque pouce de ce dernier vous appartient. Voyez ce que vous possédez. Voyez si le Saint-Esprit est le même aujourd’hui qu’Il était hier. Voyez si ce n’est pas pareil pour tout ce que Dieu a promis. Voyez-vous? Cela vous appartient.

17        Quand Christ est mort, savez-vous ce qu’Il a fait? Il vous a remis un carnet de chèques, quand vous êtes devenu Son enfant. Et au bas de chaque chèque est mentionné le Nom de Jésus. Eh bien, la seule chose que vous devez  faire, c’est de contresigner ce chèque avec Lui. Assurément, vous ne craignez pas qu’Il ne tienne pas Sa–qu’Il ne tienne pas Sa Parole, que la banque du Ciel n’honore pas ce chèque. «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Oh! la la! quelle promesse! Etes-vous–pouviez-vous apposer votre signature sur le chèque à côté de la Sienne, ce soir. «C’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri. Moi, William Branham, j’ai été guéri il y a mille neuf cents ans, par Ses meurtrissures.» Il a signé de Son Nom avec Son propre Sang au bas du chèque. Le Père reconnaîtra cela. Essayez juste de le faire une fois. N’essayez pas, faites-le tout simplement. N’importe qui peut essayer. Pour le faire, il faut quelqu’un qui sait ce qu’il fait. C’est juste. Il ne s’agit pas d’essayer. Nous ne faisons pas un essai. Si vous avez la foi, vous n’essayez pas; vous allez et vous faites la chose, parce que vous savez que vous le pouvez.

18        Ainsi, quand Abraham a obéi et qu’il a obtenu la bénédiction, Dieu a dit: «Maintenant tu as fait exactement ce que Je t’ai dit. Parcours le pays, chaque portion de ce dernier t’appartient.»

            Et puis, hier soir au cours de notre étude sur Abraham, nous avons vu plus tard, lorsque nous sommes arrivés avec lui là où il donna le nom de Jéhovah-Jiré, nous avons vu là qu’Abraham en est arrivé à un autre point où Dieu allait confirmer cette alliance.

            Maintenant, si vous remarquez bien, je désire m’arrêter juste pour donner une toile de fond pour ce à quoi je veux en venir, Dieu donne toujours des signes et des prodiges comme comprom-... confirmation de Ses promesses.

            Maintenant, combien ici ont reçu le Saint-Esprit? Levez la main, êtes-vous des chrétiens nés de nouveau? C’est un compromis–une confirmation qu’Il est toujours Dieu. Est-ce juste? C’est la confirmation qu’Il est toujours Celui qui guérit. Comment un homme peut-il prêcher la guérison divine sans prêcher... prêcher la grâce divine sans prêcher la guérison divine? Je ne comprends pas.

19        Qu’est-ce que la maladie? La maladie est un attribut du péché. Avant que nous ayons une quelconque maladie, nous n’avions pas le péché. Le péché vient comme conséquence de la maladie; peut-être il ne s’agit pas de votre péché à vous, mais du péché de vos parents. Juste comme si cela vous était transmis à votre naissance et ainsi de suite.

            Maintenant, vous n’êtes pas obligé de... Supposons qu’un grand dragon ou un–ou un animal comme un lion ait sa patte agrippée à mon côté, que ce soit  une tumeur ou un cancer, et qu’il essaye de me tuer. Pour ce qui est de la guérison divine, il est inutile d’essayer simplement de couper sa patte. Si vous le frappiez tout simplement à la tête, cela tuerait la chose entière.

            Et quand Jésus est mort à cause des péchés, Il est mort pour chaque attribut que le péché a produit. Voyez-vous? Quand ce fut donc terminé avec le péché, c’était complètement terminé, le plan entier de la rédemption. Nous sommes donc... Pour la question du péché, frappez-le tout simplement à la tête. Quand vous tuez le péché, vous en tuez chaque attribut. Voyez-vous?

            Qu’est-ce que le péché? C’est l’incrédulité. Quand donc vous tuez toute incrédulité, eh bien, vous savez que la Parole de Dieu est juste, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, toutes les promesses sont donc vôtres. Parcourez le pays, il vous appartient entièrement. Il vous appartient. Jouissez-en; il est à vous. Dieu vous l’a donné. La grâce de Dieu vous l’a donné. Il vous appartient entièrement. Quand la question du péché est réglée et que vous avez reçu le Saint-Esprit, tout ce dont vous avez besoin pour le voyage de la vie est juste là pour vous dans la Bible, tout ce dont vous avez besoin.

20        Aujourd’hui, il y a une femme qui est assise ce soir dans la réunion, elle est l’épouse d’un ministre et vient de Tacoma; et j’ai eu une petite entrevue avec cette femme aujourd’hui. Elle est assise là. Cette femme avait quelque chose, le médecin lui avait déjà signifié telle et telle chose, que quelque chose là à l’intérieur était simplement... Et elle se préparait à mourir. Et le Saint-Esprit, alors que nous étions assis dans la pièce, est venu directement là et a révélé la chose, et aussitôt qu’Il a touché la femme, elle a poussé un très grand cri, elle était remplie de joie. Elle a été guérie. Dieu a touché son corps et l’a guérie. Etes-vous là, Soeur Rasmussen? Où êtes-vous? Etes-vous là quelque part  dans la salle? Elle est assise là au fond. Oui, oui.

            Eh bien, le Saint-Esprit est entré dans la pièce et a révélé la chose. Il a dévoilé la chose. Il n’y avait pas moyen de... Je n’ai pas prié pour elle. Je n’avais pas besoin de prier pour elle. Quand vous connaissez la Vérité, la Vérité vous affranchit. Oh! j’aime cela. Pas vous? La Vérité vous affranchit.

            Quand vous savez que Jésus est mort pour vos péchés, et que vous L’avez accepté comme votre Sauveur, que vous avez reçu le Saint-Esprit, et que vous avez été guéri par Ses meurtrissures, si vous connaissez cette vérité, cette seule vérité vous affranchit. Amen. Point n’est besoin de prier. Cela n’a pas... Il ne s’agit pas de prier; il s’agit juste de croire, de croire la vérité. Parfois nous devons prier pour amener cette vérité dans nos coeurs, mais Dieu nous donne chaque pouce du matériel à utiliser qu’il y a dans le Royaume de Dieu pour donner la foi aux gens:les dons, les signes, les prodiges, tout pour faire cela. Mais quand Il le fait, alors c’est une oeuvre achevée. Dieu a fait cela... Quand Il vous fait cela et que vous le croyez, que vous l’acceptez, alors votre guérison est... C’est tout ce qu’il en est. Vous devez croire la Parole de Dieu.

21        Maintenant, nous empruntons une autre ruelle, juste une minute. Cependant récemment, j’avais une réunion dans une certaine ville, et une dame souffrant de l’estomac est venue à l’estrade. Le Saint-Esprit lui a parlé, disant... Oh! dans l’espace de quelques mois cela arrive des centaines de fois. Il lui a parlé, elle souffrait gravement de l’estomac, Il lui a dit qui elle était et d’où elle venait. C’était la vérité sur toute la ligne. Et Il a dit: «Vous avez souffert de cette maladie d’estomac depuis longtemps.» Il lui a dit de quel genre d’ulcère il s’agissait, et ce que les médecins avaient déclaré, le type de médecin qui s’occupait d’elle. C’était entièrement vrai. Puis elle s’est mise à quitter l’estrade. Eh bien, vous devez surveiller cela. Voyez-vous?

            Et alors, dès qu’elle s’est mise à partir, j’ai eu une autre vision. Souvenez-vous, cette fois-là c’était AINSI DIT LE SEIGNEUR. Je lui ai dit: «Allez manger, car AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie.»

            On a continué avec la ligne. Et ce soir-là, elle est rentrée chez elle, et l’une de ses voisines était allée et elle avait une énorme grosseur sur le côté du cou, qui était comme une tumeur graisseuse, juste ici sous le menton ou la mâchoire, et ici à la clavicule. Une grosse tumeur qui faisait une protubérance d’environ un pouce ou plus. Et le Saint-Esprit dit la même chose à cette femme: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie.»

            Eh bien, ce soir-là, pendant qu’elles rentraient chez elles, elles étaient à bord d’une même voiture et elles en ont donc discuté. Eh bien, elles ont dit: «Peut-être que cela va–nous–nous nous porterons bien.»

22        Eh bien, la dame est rentrée chez elle, et je lui ai dit, plutôt le Saint-Esprit lui a dit d’aller de l’avant et qu’elle était guérie. Elle est donc rentrée chez elle, elle s’est dit qu’elle pourrait manger. Oh! la la! cela l’a vraiment rendue malade. Et ainsi, le jour suivant, cela a continué pendant deux ou trois semaines, et elle n’allait pas mieux. Et alors son mari lui a parlé et a dit: «Eh bien, chérie, ça ne me dérange pas que tu témoignes.» Mais il a dit: «N’oublie pas, a-t-il dit, tu ne vas pas mieux.» Et il a dit: «Tu dois–tu amènes l’opprobre sur la cause, en–en disant cela.» Il a dit: «Tu–tu dis que tu es guérie, alors que tu ne l’es pas.»

            Elle a dit: «Ecoute, chéri, a-t-elle dit, cet homme ne me connaissait pas. Comment m’a-t-il connu et a-t-il su que nous habitons, à 150 miles [241 km–N.D.T.] de là où il n’a jamais été?» Et elle a dit: «Il m’a dit l’exacte vérité, mot pour mot, et tu le sais.» Et elle a dit: «Et puis–et puis, quand je me suis mise à quitter l’estrade, il m’a dit:‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie.’» Elle a dit: «Même si je passais encore 50 ans à témoigner de cela sans aucun résultat, je dirai toujours que je suis guérie.» C’est donc ça. C’est ça l’idée. Elle avait la chose.

23        Et ainsi, quelques jours plus tard, elle était... Un matin, elle était debout, faisant la vaisselle; les enfants étaient allés à l’école; et son mari était allé au travail; elle faisait la vaisselle à–à la fenêtre. Et elle a dit que c’est comme si une sensation de fraîcheur l’avait parcourue. Et d’une façon ou d’une autre, elle a continué, elle n’y a pas fait attention, c’était peut-être comme un petit frisson ou quelque chose comme cela, vous savez, et elle a dit qu’elle a simplement continué à faire la vaisselle. Elle a dit que, quelques instants après, elle a eu très faim, elle a eu tellement faim qu’elle ne pouvait plus supporter. Et l’avoine la faisait toujours vomir. Vous connaissez l’effet de l’avoine sur un ulcère. «Elle a donc pris quelques cuillerées d’avoine qui était dans le plat d’un des enfants, et elle a avalé cela, et elle s’est dit qu’elle pouvait continuer.» Elle a dit: «Je sais que je vais peut-être vomir cela dans une minute.» En effet, c’est ce qui lui était toujours arrivé, parce que cela remontait aussitôt. Et ainsi, elle–cela est descendu et elle a mangé cela, et elle s’y est mise, cela ne l’a pas du tout dérangée, cela n’a pas produit une brûlure. Eh bien, elle a recommencé, et elle a terminé le plat. Peu après, elle s’est tenue là quelques minutes, rien ne s’est produit. Voyez-vous?

24        Le fait de croire pour elle était alors terminé, elle n’avait plus besoin de  croire à ce moment-là. La chose était déjà accomplie. Voyez-vous? Vous croyez tout simplement à la chose jusqu’à ce qu’elle se produise, et alors vous en êtes certain. Ainsi donc... C’est complètement... L’oeuvre est achevée. C’est ce qui arrive avec une vision, quand Il dit qu’une certaine chose va arriver, croyez alors tout simplement jusqu’à ce que cela se produise, alors c’est terminé. Voyez-vous? Croyez que cela va arriver; quand la chose s’est déjà produite, c’est terminé.

            Ainsi donc, au bout d’un moment elle a compris. Elle a attendu environ une demi-heure et rien n’est arrivé; elle a encore eu faim. Elle s’est fait deux omelettes, elle s’est fait un pain grillé, elle s’est fait une tasse de café, et elle a eu un jubilé gastronomique. Elle s’est tapé un bon moment. Et elle a attendu environ une–jusqu’à environ dix heures et elle... Oh! c’était super pour elle d’avoir encore eu faim. Elle était donc très heureuse, elle a dit: «Je vais courir le raconter à la voisine.»

25        Et elle... Quand elle fut presque arrivée chez la voisine, elle entendit quelqu’un crier là-bas à tue-tête. Et elle se précipita à la porte et ouvrit brusquement la porte. Voilà que cette femme se tenait là, le drap à la main, secouant le drap, faisant des va-et-vient sur le plancher. Elle a dit: «Qu’y a-t-il?»

            La femme qui avait la grosseur au cou dit: «Tu sais quoi!» Elle a dit: «Ce matin je me suis levée, et la grosseur a disparu. J’ai cherché partout sur le lit; j’ai secoué les draps et tout; je ne la trouve nulle part.» Voyez-vous?

            Et elles ont effectué environ cinq cents miles [804 km–N.D.T.] pour témoigner de cela. Qu’était-ce? Ce matin-là, l’Ange du Seigneur était passé dans leur voisinage. Voyez-vous? Des fois, Dieu ne peut pas répondre à l’instant même. Combien savent que Daniel avait prié, et que vingt et un jours s’étaient écoulés? Vous en souvenez-vous? Certainement. Mais quand Dieu dit quelque chose, Il s’en tient à Sa Parole. Vous aussi, accrochez-vous-y. Mais si vous abandonnez la Parole, vous abandonnez Dieu, vous abandonnez votre–abandonnez votre bénédiction là et tout. Tenez bon, et obéissez à la Parole de Dieu. Ce que Dieu dit, Il l’accomplit. Et c’est ce qu’Abraham a dû faire.

26        Ainsi Dieu a confirmé cela à Abraham, et nous avons vu hier soir le merveilleux ordre de la confirmation, et qu’en Orient... que Dieu a déchiré Christ en deux, qu’Il a enlevé Son corps et l’a placé à Son côté droit, à Sa droite plutôt, et qu’Il a envoyé le Saint-Esprit sur l’Eglise pour–pour oindre d’autres fils et filles de Dieu. Et ce même Esprit qui était sur Christ est maintenant dans l’Eglise. Croyez-vous cela?

            Ecoutez. J’ai quelque chose à dire, mais je–je crains–je crains que ce soit mal compris. Prenons un triangle, et disons comme ceci. Eh bien, nous allons commencer à la base. C’était la première réforme, Martin Luther. Oh! à l’époque, c’était une–c’était une chose terrible de déclarer que vous étiez chrétien, parce que vous seriez persécuté, on se moquerait de vous et tout. Rappelez-vous, le juste est toujours persécuté, il l’a toujours été et le sera toujours.

27        Maintenant, nous avons beaucoup de place, c’était juste la justification par la foi. Cela a continué un petit moment jusqu’à ce que nous avons eu Calvin, Knox et les autres. Ensuite, peu après est venu John Wesley avec un nouveau message de la sanctification. L’Eglise devenait minoritaire. Ensuite, les wesleyens se sont organisés et ils ont eu toutes les différentes sortes d’organisations. Et puis, plus tard sont venus les baptistes, les campbellites et les autres. Et finalement, très vite la chose a commencé à se défaire.

            Et maintenant observez, cela s’amenuise constamment, exactement comme une pyramide (Voyez-vous?), ça s’amenuise constamment:l’Eglise devient minoritaire. Et puis, après que les wesleyens sont morts à l’étape de la sanctification, les pentecôtistes sont venus avec le baptême du Saint-Esprit et la restauration des dons.

            Eh bien–eh bien, Elle devient encore minoritaire (Voyez-vous?), Elle diminue. Eh bien, cela va... Or, l’Esprit de Dieu était dans les luthériens. L’Esprit de Dieu était dans les wesleyens, et l’Esprit de Dieu était dans les pentecôtistes. Mais qu’y a-t-il? L’Eglise pentecôtiste, c’est l’Eglise luthérienne avancée. C’est tout. C’est l’Eglise luthérienne avancée.

            Eh bien, quand elle en arrive ici, l’Eglise devra être vraiment dans l’ordre.

28        Si vous avez déjà été en Egypte, vous comprendrez que la grande pyramide d’Egypte dont tous parlent tant, plusieurs déclarent que c’est une–une–une chose prophétique qui fut construite avant la destruction du monde antédiluvien. Je ne saurais l’affirmer, je n’en sais rien. Mais si c’est le cas, alors la pierre de faîte n’a jamais été placée sur cette pyramide. On a trouvé... il est dit qu’on en a trouvé dans différents pays et ainsi de suite, mais ça ne correspondait jamais au plan qui permet que cela s’ajuste aux pierres qui étaient au-dessus. Il faudrait faire... le faîte, là, devrait être la pierre parfaite. Si cela renferme effectivement un quelconque symbole prophétique, alors la pierre de faîte fut rejetée exactement comme la Pierre principale de l’angle de la Bible, fut rejetée. Mais alors, si nous nous rapprochons davantage et que l’Esprit de Dieu est passé de la justification à la sanctification et au baptême du Saint-Esprit, cette Eglise devra être si proche et l’Esprit de Dieu sera si parfaitement à l’oeuvre dans cette église que lorsque la Pierre de Faîte viendra, Elle coiffera cela en s’unissant à Elle et la résurrection se produira, et l’Eglise s’en ira.

            Bon, ça, ce ne sont que des on-dit. Voyez-vous? Mais je–j’essaie de vous faire remarquer que l’Eglise doit en arriver à un point où elle doit avoir en son sein l’Esprit de Christ, l’Esprit de Christ opérant dans nos corps exactement tel qu’Il a opéré dans le corps de notre Seigneur. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.»

29        Bon, ça c’était la promesse de Dieu dont Il avait donné la confirmation à notre père Abraham; et nous, étant morts en Christ, nous devenons la postérité d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse. Si donc nous sommes la postérité d’Abraham, le Saint-Esprit vit en nous, accomplissant les oeuvres de Christ. Voyez-vous ce que je veux dire?

            Maintenant, observez comme nous commençons à approcher... Prenons Abraham un peu plus loin, et nous allons aborder cela. Sachant que... Hier soir, nous étions au chapitre 15, ou plutôt au chapitre 16. Eh bien, ce soir, faisons un saut au chapitre 17, verset 1. C’était quand Dieu apparut à Abraham, puis, après que ce dernier a atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, quatre-vingt-dix-neuf ans, au chapitre 17 d’Ex-... de la Genèse.

30        Bon, quand Il lui apparut là, Il lui apparut dans le Nom du Dieu Tout- Puissant. Le mot hébreu qui est là vient du mot «El Shaddai», «El», Celui qui est fort; «Shaddai», shad signifie «le sein d’une femme», mais «Shaddai, Shaddai», c’est au pluriel, «qui porte des seins». Il est le Dieu qui porte des seins.

            N’était-ce pas très frappant pour un vieil homme de cent ans, qui était pratiquement mort? Son courant de vie avait tari. Sara n’était plus en état d’avoir des enfants depuis des années. Elle avait–elle avait quatre-vingt-dix ans; lui en avait cent, et Dieu lui apparaît en tant qu’El Shaddai: «Je suis le Dieu qui porte des seins.» Oh! la la! Suivez attentivement. Pas juste le Dieu qui porte un sein, mais le Dieu qui porte des seins. Oh! vous qui ne croyez pas dans la guérison divine, j’espère que ceci pénètre profondément. «Il fut blessé pour nos péchés, c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Ce sein-ci, c’est le salut pour votre âme. Si vous avez besoin du salut du corps, c’est ce sein-ci. Il est le El Shaddai, le Dieu Tout-Puissant, Celui qui est fort.

31        Une femme, non seulement... Son sein, c’est pour allaiter son bébé. Le sein de Dieu, c’est pour allaiter Ses enfants. Et considérez un petit bébé malade, quand il est très malade et qu’il pleure; la mère peut prendre le petit bébé, le porter à son sein, et il tire sa force de sa mère en tétant. Amen. Oh! comprenez-vous cela, frère? Voyez-vous? Si nous sommes malades, approchons-nous tout simplement d’El Shaddai. Amen. Accrochez-vous; tirez de Lui votre force et votre santé en tétant. Il est El Shaddai. Croyez cela, soeur, cette belle jeune femme qui est sur ce petit lit de camp.

            Très bien. Ayez foi dans cela. Croyez cela. Accrochez-vous simplement à El Shaddai, le Dieu qui porte des seins. Non seulement le bébé tire sa–sa force de sa mère en tétant, mais il cesse aussi de pleurer. Il est satisfait. Il est Celui qui satisfait. Quand un bébé commence à tirer sa–la–la force de la mère dans son propre corps, il est satisfait pendant qu’il tire. Amen. Nous y sommes!

32        Eh bien, si nous nous sommes accrochés à Dieu par la foi et croyons qu’Il est Celui qui donne la force, disons: «C’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri. J’accepte cela comme ma possession. Chaque promesse est mienne. Il  a confirmé l’alliance en me donnant le Saint-Esprit, et Il m’a rempli de Sa bonté et de Sa miséricorde, me sauvant du péché, détournant ma tête des choses du monde, et dirigeant mes affections vers le Calvaire. Maintenant, je sais que c’est vrai. Je suis passé de la mort à la Vie. Quelque chose m’est arrivé, qui a changé tout mon être»... Voici trente et un ans que cela est doux et précieux pour moi; ce soir, ça l’est plus que jamais auparavant. Je sais que quelque chose m’est arrivé.

            Très bien. Cette même Personne qui me donne la joie, la force, le salut, a dit: «Si tu es malade, viens directement à cet autre sein-ci et tire ta force de Moi.» Oh! la la! vous êtes satisfait. Cela satisfait. Quand j’entends la Parole de Dieu dire: «C’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri», cela me satisfait. Amen. C’est juste. Ne pleurez plus. Ne courez pas de-ci de-là. Ne faites pas ceci ou cela. Mettez-vous tout simplement–simplement là, et recouvrez votre force et votre santé en tétant El Shaddai, Celui qui est fort.

33        Plusieurs fois les gens sont venus me voir. J’ai été dans des asiles d’aliénés pour constater combien ils sont pitoyables et dans quel état ils sont. Et bien des fois, quand le... Satan s’empare de ces gens, cela–ils deviennent quatre ou cinq fois plus forts. Un fou devient beaucoup plus fort. Considérez le fou de Gadara. Eh bien, on l’enchaînait et il brisait ces chaînes. Personne ne pouvait le maîtriser. Une légion de démons s’était établie en lui. Eh bien, si une légion de démons dans un homme peut le rendre quatre ou cinq fois plus fort, que fera le Saint-Esprit quand Il s’empare d’un homme? Peu importe qu’il soit malade, qu’il soit infirme... Vous direz: «Eh bien, je n’arrive pas à bouger.»

            Que le Saint-Esprit s’empare une fois de vous, observez ce qui arrive. Oui, oui. Oh! cela–cela double, triple votre force, parce que vous ne marchez pas avec votre force, vous marchez par la puissance de la résurrection de Jésus-Christ. Dieu L’a ressuscité des morts en Le délivrant des liens de la mort, et Il nous L’a donné comme victime expiatoire pour nos péchés. Et nous–nous savons que nous sommes passés de la mort à la Vie, et que nous obtenons ce que nous demandons.

34        Peut-être qu’en tétant juste une fois, vous n’obtenez pas assez de force. Restez simplement là. Tirez de Lui la force jusqu’à ce que vous marchiez, jusqu’à ce que le cancer quitte. Refusez de voir le cancer. Refusez de voir tout ce qui est contraire à Sa Parole. Cela n’existe pas. Tout... Comme Jonas. Ce sont des vanités mensongères. Je ne veux même pas les voir. Je ne veux pas les reconnaître. Non, non. Moi, je vois ce que Dieu a dit.» Ne voyez pas les Amoréens. Ne voyez pas le cimetière. Ne voyez pas ces choses. Voyez la promesse de Dieu. Dieu nous a fait la promesse. C’est à Dieu de s’en occuper. Oui, oui.

            Or, je sais que la mort va frapper inéluctablement tout le monde. La mort frappe à la porte de chacun de nous, mais parfois, juste à cause de l’incrédulité, nous lâchons prise et nous allons prématurément dans la tombe. Dieu ne veut pas que cela nous arrive. Il veut que nous Lui fassions confiance et que nous croyions en Lui, et–et que nous disions que la chose est ainsi. Et tenez-vous-en à cela, car Dieu...

35        Lazare était mort, c’est vrai. Il ressuscita et il vécut une vie normale pendant beaucoup, beaucoup d’années, parce que Jésus lui accorda de ressusciter. Et ensuite, bien sûr, il mourut de nouveau; en effet, il paraîtra à la Résurrection. Jésus a dit qu’il paraîtra à la Résurrection, mais il doit aller se reposer comme tout être humain. Mais avant ce temps-là, ne nous laissons pas dérober la vie qui est dédiée au service de Dieu, car c’est le travail de Satan de vous la dérober. Oui, oui. Mais Dieu est El Shaddai (Amen), Celui qui est fort, le Dieu qui porte des seins. Celui qui allaite, Celui–Celui qui donne la force à Ses enfants malades, quand ceux-ci tombent malades.

            Vous direz: «Eh bien, j’ai quatre-vingt-dix ans.»

            Abraham en avait aussi. Il avait quatre-vingt-dix-neuf ans, mais il n’était toujours qu’un petit bébé. Dieu a dit: «Penche-toi sur Ma poitrine et tète, Abraham.» Amen. Que représentaient quatre-vingt-dix ans pour Dieu?

36        Savez-vous ce que représentent vos soixante-dix ans pour Dieu? Selon le temps... Lui, Il n’a rien à voir avec le temps; Il est dans l’éternité, mais mille ans, je pense, représentent environ trois ou quatre minutes dans le temps de Dieu. Vous êtes... Il vous supporte pendant toute votre vie d’environ cent ans.

            Abraham n’était donc qu’un petit bébé. Et Dieu a dit: «Approche ici, Abraham. Tu es vieux. Tu as cent ans. Ta barbe et tes cheveux gris descendent jusqu’en bas comme ceci, et cela–cela... Pour le monde, tu n’es qu’un vieil homme épouvantable; mais pour Moi, tu n’es qu’un bébé. Tu n’es qu’un bébé, Abraham. Monte ici sur Mes genoux. Mets-toi ici, et–et vas-y, et tète pour recouvrer ta force.» Oh!...

37        Et tout ce qu’Il a donné à Abraham par une promesse, Il l’a donné à Abraham et (et, c’est une conjonction)–et à sa postérité après lui. Amen. N’êtes-vous pas heureux d’être la postérité d’Abraham? Oh! je suis si heureux. Oh! j’ai envie de chanter ce cantique:

            Chaque promesse dans le Livre est mienne.

            Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne.

            Je crois dans Son amour divin,

            Car chaque promesse dans le Livre est mienne.

            Elle est vôtre. Ève... «Quiconque veut, qu’il vienne boire aux fontaines des eaux de la Vie gratuitement.» C’est pour quiconque veut venir. Dieu a donc fait cela pour Abraham, et Abraham avait cent ans, et Sara quatre-vingt-dix. A ce moment-là, elle était une petite grand-mère, vraisemblablement portant un petit châle sur son épaule, avec un petit bonnet contre la poussière, et appuyée sur une petite canne, et elle allait comme cela.

38        Eh bien, quelques jours après cela, il était assis sous un soleil ardent le matin. Oh! ça a dû être un temps terrible. Maintenant nous sommes vers le chapitre 18, ou le chapitre 19. Il était assis sous un soleil ardent. Le gardien de troupeau s’est approché et a dit: «Oh! la la! ils font des histoires...» L’eau était complètement asséchée et tout semblait aller mal. Faites attention quand cela arrive. Pour un chrétien, quand cela arrive, il y a une bénédiction juste derrière cela, et Satan fait de son mieux pour l’éloigner de vous. J’ai vu cela dans ma vie.

            Lorsque je vais prier, je vais dans le bois, où les épines vertes... Vous n’en avez pas ici, n’est-ce pas? Mais nous en avons plein là à l’est, et elles vous écorchent, et quand vous venez ici le soleil perce les arbres et vous frappe. Quand vous allez là sur–sur le flanc de la colline, et pendant que vous priez comme ceci, et il y a là trop de pierres, des moustiques qui vous piquent, et oh! tout le reste. Eh bien, quand vous arrivez à ce genre d’endroit, levez simplement les mains et dites: «Alléluia! Ô Dieu, Tu m’appelles et je Te réponds.» Quelque chose va arriver. C’est vrai. En effet, il y a une bénédiction qui attend là, et Satan essaie de vous combattre. De toute façon, c’est un vieux personnage méchant aux pieds fourchus, vous savez. Il–il essaie de son mieux de vous éloigner de cette bénédiction. Restez simplement là jusqu’à ce que vous ayez prié et obtenu des résultats. Peu m’importe que les moustiques piquent. Quoi qu’il arrive, tenez-vous-en à cela, car Satan vous dérobera cela s’il le peut.

39        Donc, Abraham était là. Je le vois, après que Dieu lui fut apparu comme El Shaddai, il retourne et dit: «Sara, tu sais quoi? Je ne suis qu’un petit bébé.» Il a dit: «Je ne suis qu’Abraham, n’est-ce pas?»

            «Oui.»

            «Il m’a dit de m’appuyer juste sur Sa poitrine et de téter pour recouvrer ma force.» C’est juste, il avait quatre-vingt-dix-neuf ans.

            Eh bien, il était assis là un matin, et tout à coup, il a regardé et a vu ces trois Hommes qui venaient. Quand Abraham était assis sous ce chêne, dans la–à l’entrée de sa tente, et qu’il a regardé dehors.

            Et vous savez, il y a quelque chose chez le chrétien qui fait que vous le reconnaissiez. Il y a quelque chose qui vous fait reconnaître un chrétien. S’il a déjà reçu le Saint-Esprit, parlez-lui, et en une seconde vous saurez que quelque chose lui est arrivé. Il est entré dans le pays de Canaan. Vous le reconnaissez donc. Il est marqué.

            Et ils étaient assis là, et ces trois Hommes, les vêtements tout couverts de poussière, sont venus et ont dit: «Nous sommes des Etrangers. Nous venons d’un autre pays, oui, de très loin.» De la gloire.

40        Et il a dit... Et Abraham a apprêté les choses et a dit à Sara de préparer quelques pains, comme nous l’avons vu l’autre soir, et on a apporté cela, et on a mis cela devant eux, et Ils ont mangé. Deux d’entre eux sont allés à Sodome, parce que Sodome était sur le point de–d’être brûlée.

            Et maintenant, l’Un d’eux parla à Abraham. Et les autres sont allés prêcher à Lot, au pasteur Lot à Sodome. Et il a fait de son mieux pour faire sortir les gens, mais ils n’ont pas voulu écouter. Ils étaient tout aussi modernes que le sont ces gens aujourd’hui dans cette nation-ci. Ils avaient leurs propres voies, leurs propres religions, leurs propres programmes déjà tracés, et le péché s’amoncelait de toute part. Et les gens–les gens avaient leurs propres voies, si bien que vous ne pouviez pas leur parler. Avez-vous déjà vu des gens à qui vous ne pourriez pas parler? Personne à qui vous pouvez... Vous ne pouvez rien leur dire, parce qu’ils n’y croiront pas. Ils vont juste écouter une seconde; ensuite ils sont partis. C’est tout. Ils... La petite cruche se remplit avant la grosse, vous savez. Et ainsi donc, ils s’en vont, et ils ne voudront pas du tout écouter cela.

41        Eh bien, et puis, il y en eut Un–Un qui resta en arrière et parla à Abraham. Et Il lui dit: «Abraham, où est Sara, ta femme?» Eh bien, comme nous l’avions vu l’autre soir, je vais tout simplement résumer cela pendant un instant. Eh bien, comment a-t-Il su qu’il était marié, qu’il avait une femme qui s’appelait Sara?

            Et Abraham dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.»

            Il a dit: «Je vais te visiter, Abraham. Je vais accomplir Ma promesse.» Eh bien, qui était cette Personne? Je veux que vous remarquiez. Qui était cet Homme qui était assis là, en train de manger? Eh bien, Il mangeait des côtelettes de veau, du pain de maïs, du beurre et du pain, Il buvait du lait de vache. Un Homme qui était assis là, avec de la poussière sur Ses vêtements; et la Bible dit que c’était Dieu. Abraham L’appela Elohim. Considérez la majuscule:Seigneur, Seigneur Elohim. Etudiez cela et voyez. Bien sûr, les pasteurs qui sont ici ont dit «amen» à cela. C’était cela. C’était Elohim.

42        Et puis, Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Elohim, Celui qui est fort, descendrait dans la chair humaine. Comprenez-vous cela? Elohim, Celui qui est fort, descendrait dans la chair humaine et se manifesterait en discernant les secrets du coeur de la personne à qui Il parlerait. C’est très exactement ce que Son Fils a fait quand Il était ici sur terre. Voyez-vous? Demeurant dans une chair humaine, quelle chair? Votre chair. Ma chair. Le Saint-Esprit Lui-même descendant dans la chair humaine et y demeurant, manifestant des signes, et Il a dit: «Où est Sara, ta femme?»

            Abraham a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.»

            Et Il a dit: «Je vais te visiter.»

            Et Sara a dit: «Une vieille femme comme moi, avoir du plaisir avec mon seigneur!» La Bible dit qu’ils étaient tous deux avancés en âge, avancés en âge. «Penser que j’aurai de nouveau du plaisir avec mon seigneur!» En effet, elle était... Oh! la la! elle avait dépassé la ménopause depuis quarante-cinq ans. «Penser que j’aurai de nouveau du plaisir avec mon seigneur, moi qui suis vieille et mon seigneur un vieil homme?» Elle a dit: «C’est tout simplement impossible.»

            Et l’Ange qui était assis là, Dieu dans la chair humaine, mangeant de la viande, mangeant du pain, buvant du lait, a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?»

43        Oh! Jésus a dit que cette même chose apparaîtrait juste avant que le feu ne commence à tomber sur la Sodome et la Gomorrhe modernes. Voyez-vous combien nous en sommes proches, mes amis? Considérez le signe qu’on a dans l’Eglise. Permettez-moi de m’arrêter ici un instant.

            J’étais récemment en Inde, où le Seigneur nous a accordé la plus glorieuse série de réunions que nous ayons jamais eue. On a pu rester seulement deux jours. Il n’y avait point d’endroit où mettre les gens. La foule qui a assisté à ces réunions a été estimée à cinq cents mille personnes, soit un demi-million de personnes; il n’y avait pas de place où les mettre. En dehors des limites de la ville, vous ne pouviez pas avoir de protection, il y aurait des émeutes; et pour cette raison, ils n’ont pas voulu nous permettre de tenir des réunions hors de la ville. Nous sommes censés, en ce mois d’octobre, à la fin de ce mois d’octobre, être à New Delhi. Si je peux être dégagé pour aller, on sera là où il y a un amphithéâtre qui peut accueillir un million de personnes. Au cas ou je tenais donc les réunions en Inde.

44        Et quand je suis arrivé là-bas, j’ai pris un journal et il était écrit: «Le tremblement de terre doit être terminé.» J’ai cela, des coupures de presse à la maison. Excusez-moi, les Hommes d’Affaires Chrétiens ont utilisé cela pour le publier dans le–leur–leur digest. Ainsi je... Il y était dit: «Le tremblement de terre doit être terminé.» Il était dit: «Il y a trois jours, deux jours avant le tremblement de terre...»

            En Inde, ils n’ont pas des clôtures en treillis de fils de fer comme nous en avons ici à Washington et partout. Ils ramassent des pierres dans les champs. L’Inde compte quatre cent soixante-dix habitants, ou plutôt quatre cent soixante-dix millions d’habitants; et j’ai eu comme impression que quatre cents millions d’entre eux étaient des mendiants. Ils–ils ont donc beaucoup de ressources naturelles, mais ils n’ont pas de capacités mentales pour développer cela. Ils ramassent donc des pierres et en font leurs maisons, ils ramassent des pierres et en font leurs clôtures. Et de petits oiseaux vont entre ces pierres et y construisent leurs nids. Eh bien, puis le soir, quand il n’y a pas d’ombre, le bétail se tient près de ces très grandes clôtures pour y trouver de l’ombre quand le soleil est très chaud. Mais pendant deux jours, les petits oiseaux avaient tous déserté tous ces petits creux qu’il y avait là et qui leur servaient de nids, et ils étaient allés dans les champs, dans les bois. Tout le bétail, et tous les moutons et tout avaient l’habitude de se tenir près de ces clôtures le soir, ils sont allés en plein dans les champs et s’appuyaient les uns contre les autres, se tenant en plein sous le soleil ardent.

45        Les gens ne savaient pas ce qui se  passait. Ils disaient: «Regardez les oiseaux, ils quittent en masse les murs et s’en vont. Ils ne veulent pas se percher cette nuit. Ils ne reviennent pas. Ils partent pour ne pas revenir. Les moutons ne veulent même pas s’approcher des clôtures; ils se tiennent là à l’écart, appuyés les uns contre les autres, le bétail aussi.» Le tremblement se produisit et renversa ces murs. Ensuite les oiseaux revinrent. C’était un signe que le tremblement de terre était terminé. Frère, le même Dieu qui a pu conduire les brebis et les oiseaux vers l’arche au jour de la destruction du monde antédiluvien, est le même Dieu aujourd’hui qui peut... Et si Dieu peut parler à un oiseau pour que ce dernier fuie le danger, en disant: «Eloigne-toi de ces grands murs de l’incrédulité de Babylone, un temps de secousses arrive»... Le Saint-Esprit accomplit des signes et des prodiges pour montrer que la destruction est proche.

46        Ecoutez, cela pourrait arriver à n’importe quel moment. Il ne reste rien du tout. La Venue du Seigneur est proche. Nous voyons dans les hangars de la Russie et dans différents pays des bombes et d’autres choses qui pourraient complètement détruire la terre en moins de rien. La terre ne pourra pas supporter cela. Et avant que cela n’arrive, l’Eglise va aller dans la gloire. Souvenez-vous-en, avant que la moindre pluie ne tombe, Noé était en sécurité dans l’arche. Avant que le feu ne tombe, l’Ange a dit à Lot: «Pars d’ici. Sors d’ici, car je ne peux rien faire jusqu’à ce que tu sois parti d’ici et que tu ne te sois éloigné d’ici.»

            L’Eglise sera partie avant la destruction; et le monde scientifique déclare: «Il est minuit moins trois.» L’horloge avance tout le temps. L’éternité est sur le point de s’installer. Le monde le sait, le monde scientifique le sait. Ils ont dit: «Cela ferait une peur bleue aux gens.»

            Vous avez entendu le... Si on annonçait cela à la radio et ainsi de suite... Nous savons que ce temps est proche. Et si cela peut arriver avant le matin, et que le départ de l’Eglise doive se passer avant que cela n’arrive, combien la Venue de Christ est proche? Amen. Alléluia!

            Frère, je vous assure; vous ne saurez pas creuser assez profondément pour vous mettre à l’abri de l’une de ces bombes. Leur explosion fera dans le sol une excavation sur une étendue de cent cinquante miles [241 km–N.D.T.], d’une profondeur de deux cents pieds [61 m]. Comment allez-vous descendre là? Même si vous construisiez une–une cage ou un bâtiment en acier, à cinq cents pieds de profondeur [152 m], le choc briserait chaque os de votre corps. Cela en est au point où il n’y a point de lieu où se cacher ici bas. Vous pourriez crier aux rochers. Mais, je vous assure, il y a un abri anti-aérien contre cela. Il est fait de plumes, c’est sous Ses ailes. Amen. C’est cela l’abri, l’abri éternel de Sa...?... dans la gloire. C’est cela le lieu de refuge, le lieu où fuir.

47        Il y a quelque temps, je me tenais dans les montagnes, et j’observais une vieille mère aigle faire sortir ses petits hors du nid. Elle les a mis sur le sol. Ils étaient sortis du vieux nid rempli d’excréments... Excusez-moi cette expression. Le vieux nid qui pue, si vous vous êtes déjà approché du nid d’un aigle. Et–et elle les a donc placés là, et je restais dans les montagnes, gardant le bétail, et j’étais...

            Pendant que j’étais dans ces campagnes, je suis cependant allé pour faire monter le bétail au printemps, et j’observais à travers des jumelles. Et si j’ai jamais vu une réunion pentecôtiste, c’était celle de ces aiglons. Ils n’avaient jamais posé leurs pattes sur cette herbe auparavant, vous savez, ils ne connaissaient que le vieux nid poisseux, puant comme le monde. Et la mère déploya ses grandes ailes, elle les prit, et les fit descendre, et les déposa en territoire pentecôtiste. Ils sautaient tout simplement l’un sur l’autre, et ils avaient cette sensation agréable dans leurs pattes. Vous savez, vous savez comment vous vous sentez quand vous recevez le Saint-Esprit, vous êtes simplement en train de marcher quelque part sur des plumes, ou comme sur des ressorts, vous vous sentez tout simplement bien.

48        Ils avaient un très grand jubilé pentecôtiste. Et cette vieille mère, aussitôt qu’elle les a laissés, elle s’est envolée, et de ses grandes ailes elle est montée sur un grand rocher très élevé. Elle a replié ses grandes ailes, elle s’est juchée là-haut, le regard fixé sur eux en bas. Je me suis dit: «Oh! oh! la la!»

            C’est ce que Christ a fait. Quand Il m’a fait sortir du vieux nid du monde, Il a gravi les remparts de la gloire, et Ses yeux veillent sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur moi. Il veille sur vous. Qu’un coyote s’approche s’il le veut, elle le prendra et l’emportera très haut dans les airs et le lâchera; et il se désintégrera. Oui, oui. Rien ne va nuire à sa couvée; elle veille dessus.

            Dieu veille sur Sa Parole. Il veille sur Son peuple. Il veut trouver quelqu’un qui croira en Lui et qui Lui fera confiance...?... en haut dans les gloires célestes, veillant.

49        Peu après, j’ai entendu un grondement. Et il y avait une... verte... Cela provenait de cette direction-ci, de Washington; c’était dans le Colorado. J’ai vu une traînée verte apparaître. J’ai compris qu’un–un orage arrivait, il y avait des tonnerres et des éclairs. Cette vieille mère s’est tenue là, et elle a flairé cet orage pendant un petit moment, elle a déployé ces grandes ailes, a poussé un grand cri, et elle s’est élancée dans la vallée. Arrivée là en bas, elle a déployé ses grandes ailes, elle a poussé un grand cri d’appel, et chacun de ces aiglons a couru et a sauté directement sur l’aile de cette mère, et de leurs petites pattes ils se sont accrochés aux plumes, ils ont enfoncé leurs petits becs et s’y sont agrippés; et ces énormes ailes se sont mises en mouvement. Oh! gloire! Vous allez me traiter de saint exalté de toute façon, vous feriez mieux de commencer. Oui, oui.

            Quand de ses grandes ailes elle a commencé à s’élever, elle fonça droit  vers ce vent. Et elles pouvaient percer le vent qui venait à soixante miles à l’heure [96,5 km/h–N.D.T.]. Et ces aiglons se cramponnaient à cette aile, et elle est allée tout droit dans le creux du rocher. J’ai dit: «Ô Dieu!» J’ai jeté ces jumelles par terre et j’ai dansé au sommet du flanc du coteau. J’ai dit: «Un jour, la puissance de Dieu déploiera Ses grandes ailes sur la terre, et Ses aigles s’accrocheront au Rocher des âges frappé pour moi. Laisse-moi me cacher en Toi, quand les eaux étroites coulent.» Oui, oui. Accrochez-vous à ce Rocher des âges.

50        J’étais à Gary, dans l’Indiana, je tenais une réunion. C’est lorsque cette jeune fille, la danseuse de Fred Astaire, fut appelée pendant la réunion, et–et Rosella Griffin, l’alcoolique, et que toutes ces glorieuses choses se sont produites, tout récemment. On m’a amené à l’aciérie, là à–un–pour me faire visiter, là où c’était–ce qu’ils faisaient. Et l’un des hommes, un chrétien... Ils avaient une suite de tours, où ils faisaient fonctionner un genre d’atelier de machines, pour gratter ces histoires qu’ils fabriquaient. Et ainsi, peu après, un petit sifflement a retenti. Et alors, chaque homme a ôté son tablier, a pris son ballet et a balayé tous les copeaux en les amenant jusqu’au milieu de la salle. Il a dit: «Maintenant observez, Monsieur Branham, je vais vous montrer quelque chose.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Un autre petit sifflement a retenti et tout le monde s’est retiré. Et dans la salle et dans les allées, il y avait une grande pile de copeaux. Il est allé là et a appuyé sur la porte comme cela ou plutôt sur un bouton comme cela à la porte, il a appuyé dessus, et voici venir un très grand aimant qui faisait un parcours en vrombissant «Roooor», faisant un bruit sur son parcours, parcourant un autre endroit, puis un autre endroit en descendant, et il est passé sur tous ces copeaux, et tous ces copeaux sautaient directement, parce qu’ils étaient magnétisés par cet aimant. L’homme est retourné droit au-dessus d’un grand four; il a tiré sur une petite histoire, il a désactionné cette aimantation et le tout est tombé dans ce grand cubilot pour être fondu et refait.

            J’ai dit: «Est-ce comme cela que vous procédez?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Alléluia!»

            Il a dit: «Qu’est-ce qui vous prend?»

            J’ai dit: «Ecoutez, j’ai remarqué que tous ces copeaux ne sont pas partis. Pourquoi ne sont-ils pas tous partis?»

            Il a dit: «Parce que c’est de l’aluminium. Ils ne sont donc pas aimantés par l’aimant.»

            «Oh! ai-je dit, gloire!» J’ai dit: «Pourquoi cet autre morceau de fer n’est-il pas allé là?»

            Il a dit: «Vous voyez, il est boulonné au sol.»

            J’ai dit: «Oh! mon Dieu!»

            Il a dit: «Qu’est-ce qui vous prend?»

            J’ai dit: «Je suis en train de penser à un autre grand Aimant. Alléluia! Le Fils de Dieu est suspendu là-bas dans la gloire. Un jour, il y aura du bruit comme celui d’un vent impétueux, et voilà, Il viendra. Et tous ceux qui sont aimantés par Son Esprit monteront à Sa rencontre dans les airs. Ceux qui sont enchaînés par le péché, ceux qui sont des membres d’église en aluminium ne partiront pas. Et nous serons façonnés à Son image...?... Dieu.» Oh! la la! Quel jour ce sera! Garde mon âme aimantée, Seigneur, par Ton Esprit qui est au-dessus de toutes choses. Laisse-moi prendre la clé avec moi pendant que je monte cette échelle. Oui, oui, car un jour Il viendra. La Bible dit qu’Il viendra, et je veux que mon âme soit en harmonie avec Lui. Je désire ce contrat, comme ce que j’ai déchiré hier soir; je désire être rempli de cette partie du contrat, attendant que celle-là vienne (Amen), oh! avec l’alliance comme celle qu’Il a confirmée à Abraham.

51        Maintenant, Il a dit que ces choses arriveraient. Je veux que vous–je désire encourager maintenant même certains d’entre nous qui sommes âgés. Je désire... Il se pourrait que vous soyez un peu en désaccord sur ce point. Et si c’est le cas, faites donc tout simplement ceci, comme moi quand je mange la tarte aux cerises. C’est ma tarte préférée. Et quand je mange la tarte aux cerises et que je tombe sur un noyau, je ne mange pas le noyau, je jette simplement le noyau et je continue à manger la tarte. Ainsi, quand je mange du poulet... Tous les prédicateurs aiment le poulet. Quand je tombe sur un os, je ne dis pas que le poulet n’est pas bon et je ne le rejette pas. Je mange simplement toute la chair qui est sur les os, et je laisse l’os. Faites donc–faites cela avec ce que vous–ce que je vais dire maintenant. Si vous ne pouvez pas... mangez simplement la viande qui est dessus, et le reste qui semble être un os ou un–un noyau, ne vous en occupez pas. Voyez-vous? Laissez cela là.

            Pourquoi n’observez-vous pas ce que Dieu a fait d’Abraham et de Sara? Il a montré par Abraham et Sara, ces deux enfants, ce qu’Il va faire avec tous leurs enfants. Remarquez. Savez-vous ce qu’Il a fait de Sara et d’Abraham? Il les a ramenés à l’état d’un jeune homme et d’une jeune femme. Certainement. Or, souvenez-vous... vous direz: «Pouvez-vous prouver cela par la Bible?» Oui, oui.

52        Eh bien, quand vous lisez la Bible, voyez-vous, la Bible est une histoire d’amour que Dieu a écrite à Ses enfants. Croyez-vous cela? Eh bien, moi j’aime ma femme. Nous nous aimons réellement, elle et moi. Quand donc je vais outre-mer, je... C’est la raison pour laquelle je crois dans la grâce de Dieu. Je–je suis allé... Quand nous allons outre-mer, je–je ne m’avance pas là pour dire: «Madame Branham, je vais te dire une chose:tu n’auras point d’autres maris.»

            Et elle de dire: «Oui, mon jeune homme, toi non plus tu n’auras pas d’autres femmes.» Voyez-vous?

            Eh bien, serait-ce un foyer ça? Non. Nous nous agenouillons, et nous prions ensemble. Je dis: «Que Dieu te bénisse, chérie.»

            «Je prierai pour toi, Billy.»

            «Au revoir, chérie.» Puis je vais outre-mer. Voyez-vous? C’est tout ce qu’il en est. Je ne lui serai jamais infidèle. Elle ne le sera jamais à mon égard, tant que nous nous aimons. Voyez-vous? Quand vous aimez Dieu, vous n’allez pas Le blesser. C’est tout. Vous ferez tout votre possible, c’est donc ça la chose essentielle de la vie, aimer Dieu. «Quand je parlerai les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien.» Voyez-vous? Eh bien, c’est juste. Souvenez-vous de cela. Un amour...

53        Plus tard, au cours de la semaine, j’aimerais vous parler de quelques expériences. Ce qui a vaincu des choses, c’était l’amour. Ce qui a la victoire sur la maladie, c’est l’amour. Dieu a tant aimé le monde. Dieu est amour. Et ceux qui ont l’amour sont de Dieu.

            Eh bien, c’est... Maintenant, souvenez-vous, il ne s’agit pas de l’amour phileo; il s’agit de l’amour agapao, comme vous le savez probablement. Voyez-vous? C’est un amour divin, pas cet «amour libre» qu’on a ici, comme on l’appelle dans les églises et des choses semblables, mais c’est l’amour agapao, l’amour que Dieu a envoyé, le vrai et authentique amour.

54        Eh bien, et puis, un... en allant outre-mer, je ne dirais pas cela à ma femme. Eh bien, nous nous aimons tout simplement et nous allons de l’avant.

            Maintenant remarquez, en lisant la let-... La Bible, c’est une lettre d’amour adressée à l’Eglise. Eh bien, quand je suis à l’étranger, Meda m’écrit une lettre, elle dit: «Cher Billy, je suis assise ici ce soir; je viens de mettre les enfants au lit, et ainsi de suite.» Elle dit quelque chose ici, mais vous voyez, je–je sais de quoi elle parle, car je l’aime tellement que je sais tout à son sujet et je peux lire entre les lignes. Je sais ce qu’elle est en train de dire (Voyez-vous?), en lisant entre les lignes.

            Eh bien, Dieu a écrit la Bible, c’est une lettre d’amour adressée à Son Eglise. Tant que vous ne lirez pas la... avec amour, vous ne pourrez jamais trouver Dieu à travers un programme éducatif froid. Vous devez avoir l’amour de Dieu dans votre coeur, alors vous lirez entre les lignes. C’est là que se trouve la chose véritable.

55        J’apprécie ce que Meda dit, mais c’est l’amour que je trouve entre les lignes qui compte pour moi. Il en est de même pour la Bible. Je lis entre les lignes ce qu’Il dit.

            Eh bien, lisons entre les lignes juste une minute. Sara et Abraham étaient tous deux avancés en âge. Eh bien, ceci va donc vous faire perdre vos pensées, ou plutôt tuez-les dès le départ. La Bible dit au même chapitre qu’ils étaient tous deux avancés en âge. Il avait cent ans, quatre-vingt-dix-neuf ans, et elle quatre-vingt-dix:cent ans et quatre-vingt-dix ans.

            Eh bien, nous savons qu’il était un homme avancé en âge, de cent ans, aux épaules voûtées, aux cheveux gris et pendants, avec une barbe grise. Sara était une petite grand-mère s’appuyant sur une canne, portant un petit bonnet pour se protéger contre la poussière, vous savez, marchant là... Et–et Dieu lui a dit qu’il n’était qu’un bébé malgré tout. Je veux donc que vous remarquiez ce qu’Il a fait d’eux.

56        Eh bien, Il les a ramenés à l’état d’un jeune homme et d’une jeune femme. C’est ce qu’Il a fait. Maintenant, si vous remarquez, immédiatement après que l’Ange leur est apparu... Voyez-vous, maintenant cela–juste après que l’Ange  est apparu, après leur–leur changement, ils sont redevenus un jeune homme et une jeune femme après cela.

            Eh bien, quand cet Ange du Saint-Esprit [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Sara et Abraham sont redevenus un jeune homme et une jeune femme. Je peux voir Sara se lever un matin et dire: «Mon cher Abraham, eh bien, la bosse disparaît de tes épaules.»

            «Eh bien, Sara, ces beaux yeux angéliques reviennent, la noirceur décolorée de tes yeux disparaît complètement. Et tes cheveux redeviennent noirs.» Il les a ramenés à l’âge de vingt ans. Je vais vous montrer s’Il l’a fait ou pas. Eh bien, observez simplement...?...

57        Eh bien, ils firent un–un voyage de trois cents miles [482,7 km–N.D.T.]. C’est vraiment un très long voyage pour un vieil homme de cent ans et une vieille femme. N’est-ce pas juste? Un voyage de trois cents miles, jusqu’à Guérar, au pays des Philistins. Mesurez cela sur la carte pour vous représenter la distance, et voyez. C’est un long trajet jusque là-bas. Et puis, il y avait, en fait, un jeune roi là-bas, du nom d’Abimélec, qui cherchait une chérie et il est tombé amoureux de Sara, une grand-mère! Alors qu’il y avait là-bas toutes les belles jeunes filles des Philistins, ces jeunes filles des Gentils, mais voici venir Sara, et il a dit: «Voilà celle que j’attendais»; une grand-mère!

            Et Abraham a dit: «Sara, tu es une femme belle de figure. Je te prie donc, dis que tu es juste ma soeur.» Voyez-vous?

            Oh! la la! ne voyez-vous pas ce qu’Il a fait? Eh bien, écoutez, même après cela, Abraham, après la–même après la mort de Sara, quarante ans plus tard, Dieu l’a laissé épouser une autre femme, et il a eu sept fils, sans compter les filles. Amen. Voyez-vous entre les lignes ce qu’Il a fait?

58        Maintenant, écoutez autre chose. Avant que Sara puisse avoir cet enfant... Excusez-moi, mes soeurs, ce langage rude, mais il faut que je le dise. Eh bien, nous savons que Dieu a dû faire quelque chose; elle n’était pas féconde. Nous le savons. Sara était stérile. Elle ne pouvait pas avoir d’enfant; en effet, il avait vécu avec elle toutes ces années, et elle n’avait pas eu d’enfant. Eh bien, Dieu a dû rendre son sein fécond, c’est la première chose. Eh bien, en ce temps-là, ils n’avaient pas ces biberons qui sont hygiéniques, Il a donc dû lui donner de nouvelles glandes galactophores, car, à cet âge-là, ces veines galactophores sont desséchées. Eh bien, si une femme de cent ans entrait en travail, elle ferait une crise cardiaque. Il a dû renouveler son coeur. Vous voyez donc, Il ne l’a pas juste raccommodée; Il a fait d’elle une belle jeune femme. C’est une promesse, Il va le faire avec chaque enfant d’Abraham. Amen.

59        Abimélec tomba amoureux d’elle. Une vieille grand-mère, portant un tout petit bonnet sur la tête, et vous savez, il a dit: «Oh! tu es une femme belle de figure, chérie. Tu es une femme belle de figure.» Oui.

            C’est absurde. Il avait fait d’elle une belle jeune femme. Certainement. Que va-t-Il faire de nous les personnes âgées un de ces jours? Il va nous changer. Alléluia. «Tout le temps de mes souffrances, a dit Job, j’aurais de l’espoir jusqu’à ce que mon temps vienne (Amen), jusqu’à ce que mon état vînt à changer.»

            Oui, oui. Nous serons changés en un instant et en un clin d’oeil, et nous serons ensemble enlevés avec les ressuscités à la rencontre du Seigneur dans les airs, et nous serons pour toujours avec Lui. Oh! je suis si heureux de pouvoir dire que je suis l’un d’entre eux. Amen...?... Je me sens très religieux (Oh! la la!) en pensant à cela! Peu importe ce qui arrive ici sur terre, cela n’a rien à voir avec la chose; je m’envolerai l’un de ces quatre matins.

60        Oui, oui. Il les a changés en un... Et j’aimerais que vous remarquiez une autre chose, comment Dieu prend soin de Son peuple. Avez-vous remarqué cela? Eh bien, Abimélec a dit: «Oh! voilà celle que j’ai attendue toutes ces années.»

            Il alla donc pour prendre Sara comme sa femme; mais souvenez-vous que de cette lignée pure devait venir le Messie. Et Dieu a frappé sa maison de plaies. Et Abraham se tenait là, en quelque sorte... Il était dans la promesse. Il avait la... Eh bien, si c’était vous, vous diriez: «Je n’en suis pas digne.» Pensez-vous qu’Abraham en était digne? Non, non, après que cet homme fut allé là et qu’il eut déclaré cela au sujet de sa femme, disant que c’était sa soeur, et qu’il eut laissé un autre homme prendre sa femme pour sauver sa peau; certainement qu’il n’en était pas digne; mais Dieu ne regarde pas à votre... si vous êtes digne ou pas; il s’agit de votre foi dans ce que vous Lui avez promis d’être, s’Il fait quelque chose pour vous.

61        Alors Abimélec, je pense, un bon frère, a fait sa prière; il s’est lavé, il a allongé ses grands pieds pour avoir un bon–un bon sommeil, il a croisé les bras et a dit: «Demain je vais épouser cette ravissante femme juive.» Il l’a fait entrer dans la maison, et–et il lui a fait porter toutes sortes de vêtements et de boucles d’oreilles luxueux, et il l’a bien parée, vous savez. Elle n’avait que cent ans, vous savez, c’était presque ça l’âge qu’elle avait, cependant elle était redevenue une jeune femme.

            Et le lendemain, pendant qu’il se disait qu’il allait se marier, Dieu lui apparut en songe et lui dit: «Tu es un homme mort.» Oui, oui. «Tu es un homme mort.» Il a dit: «Tu as pris la femme d’un autre.» C’est donc une bonne leçon, frère.»Tu as pris la femme d’un autre.»

            «Oh! a-t-il dit, ô Seigneur, Tu connais l’intégrité de mon coeur. Tu sais qu’elle m’a dit que c’était son frère, et lui, il m’a dit que c’était sa soeur. Et l’intégrité de mon coeur...?...»

            Il a dit: «C’est la raison pour laquelle Je t’ai préservé de pécher contre Moi. Et son mari est Mon prophète. Je n’écouterai pas ta prière, cependant, restitue-lui son épouse, et que lui prie pour toi, et Je te guérirai.» Amen.

62        Oh! j’aime ça. La grâce de Dieu envers Ses enfants, la puissance de la foi, la puissance de la prière change les circonstances. Oh! frère, soeur, nous vivons dans les ombres de Sa justice, les ombres de Sa Venue. Ce même Dieu qui vécut au jour d’Abraham est le même Dieu aujourd’hui; Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Tout l’enfer ne peut pas briser une seule de ces promesses. Dieu s’en tient à Sa promesse. Rien ne peut L’amener à changer. Oh! si seulement nous pouvions croire en Lui, si seulement nous pouvions réaliser que...

            Les amis, je vous assure, vous les pentecôtistes, vous voyez tant de choses, et tout au long de votre vie depuis que vous êtes devenus des enfants de Dieu, vous avez tellement vu la bonté, la miséricorde et la gloire de Dieu que cela est devenu très ordinaire pour vous et... C’est devenu très ordinaire. Vous–vous–vous ne... Cela–cela vous fait perdre la foi.

            Oh! vous pensez tout simplement qu’il y a beaucoup de gens qui, peut-être... Quand vous allez en Afrique, en Asie, en Australie, certains de ces gens-là n’ont jamais vu cela. Et que certains des natifs de l’Afrique voient cela arriver, la gloire de Dieu descendre comme cela, oh! la la! ils croient cela, ils prennent cette vieille idole et la brisent par terre, ils embrassent Jésus-Christ, parce qu’ils n’ont jamais vu cela auparavant.

63        Une fois, il y avait un homme, il étudiait et il n’avait jamais vu la mer; il avait étudié la mer. Et il voulait aller... eut des vacances; il voulait aller à la mer. Il a donc rencontré un vieux loup de mer (un marin, vous savez), qui revenait de la mer, et il a dit, comme il passait, il a dit: «Où vas-tu, mon brave homme?»

            L’homme a dit: «Oh! je me rends à la mer. Je ne l’ai jamais vue.» Il a dit: «Oh! je désire ardemment entendre les cris sauvages de mouettes alors qu’elles volent dans l’air. Je désire voir les vagues saumâtres et bleues s’élever et s’abattre, je veux sentir l’odeur de l’eau fraîche et salée.» Il a dit: «J’ai lu des écrits là-dessus; j’ai médité là-dessus; mais, a-t-il dit, je vais maintenant pour la voir.»

            Et le vieux loup de mer retira sa pipe de sa bouche et dit: «Je ne vois rien de si attrayant là-dedans.» Il a dit: «Je suis né là il y a soixante ans.» Voyez-vous? Il l’avait tellement vue qu’elle était devenue ordinaire. Et je pense que c’est là notre problème, nous les pentecôtistes. Vous voyez tellement la gloire de Dieu qu’elle devient une chose ordinaire. Ne la laissez jamais  devenir une chose ordinaire. Nous devons toujours respecter cela, honorer cela et y croire de tout notre coeur, de tout notre coeur.

64        Dieu est bon. Il veut que nous possédions ce qu’il y a de meilleur. Nous sommes Ses enfants. Nous... Il veut que nous ayons le meilleur qui soit. Nous sommes ce qu’Il a de super, et Il veut que nous ayons ce qu’il y a de meilleur. Croyez-vous cela?

            Là en Louisiane, nous avions là un vieux frère de couleur, un frère pentecôtiste, et c’était un aimable vieux prédicateur. J’avais beaucoup d’estime pour lui. Et il avait en quelque sorte le même passe-temps que moi, c’est-à-dire qu’il aimait chasser. Et ainsi, un jour, il a reçu là un vieil homme; il s’appelait Gabriel, mais le–on l’appelait Gabe en abrégé.

            Et le vieux Gabe était un aimable vieil homme, mais il... On n’arrivait pas à l’amener à se mettre en ligne avec l’église. Le pasteur faisait tout ce qu’il pouvait pour lui, mais l’homme ne voulait pas se mettre en ligne avec l’église. Il avait une gentille sainte épouse, une brave femme qui priait constamment. Et le pasteur avait essayé de l’amener à venir à l’église, mais il refusait de le faire. Il aimait jouer un peu à l’argent, et ainsi de suite, et à boire un peu. Il ne voulait tout simplement pas se mettre en ligne avec l’église.

65        Un jour, lui et le pasteur sont allés chasser. Et quand... sur le chemin du retour... Eh bien, Gabe était l’un des piètres tireurs qu’il y avait en Louisiane. Il était incapable d’atteindre l’intérieur d’une grange aux portes fermées. Ils sont donc allés chasser ce jour-là, et ce soir-là en rentrant, ils étaient vraiment chargés d’oiseaux, de lapins et autres, de toutes sortes de gibiers. C’était un samedi après-midi. Ils allaient en boitillant sur un vieux sentier familier qui longeait une colline, et le vieux Gabe ne cessait de regarder par-dessus son épaule, observant le coucher du soleil. Il a avancé un peu plus loin, et tout à coup, les larmes se mirent à couler sur ses grosses joues sombres. Le pasteur continuait à avancer devant, avec des lapins attachés à des bâtons, et suspendus à son fusil, et il avançait comme cela. Au bout d’un moment, une énorme main noire se posa sur l’épaule du pasteur; il–il regarda tout autour et dit: «Pasteur?»

            Le pasteur se retourna et dit: «Oui, Gabe.»

            Il dit: «Vois-tu ce soleil qui se couche là-bas?»

            «Oui.»

            Il a dit: «Il se couche sur nous deux, a-t-il dit, il se couche sur nous deux.»

            Il a dit: «Sais-tu ce que je vais faire?» Il a dit: «Le matin, je viendrai me mettre sur le banc des pénitents.» Là dans le Sud, je ne sais pas si vous savez ce qu’est le banc des pénitents ici. C’est un autel. Il a dit: «Puis, je vais me lever de là; je vais rejoindre ma précieuse épouse et occuper mon siège. Et après que je... que vous m’aurez baptisé, je vais devenir membre de cette église, je vais rester dans cette église jusqu’à ce que la mort me libère.»

66        Le pasteur laissa tomber son fusil, il passa ses bras autour du vieux Gabe et dit: «Gabe, tu sais que je suis heureux d’entendre ça.» Il a dit: «J’aimerais te poser une question, Gabe.» Il a dit: «Quel est ce sermon que j’ai prêché, qui t’a fait changer d’avis? Ou quel est ce cantique que nous avons chanté à l’église, qui t’a fait changer d’avis?»

            Il a dit: «Pasteur, a-t-il dit, j’apprécie tous les sermons que tu as déjà prêchés. Je les ai toujours aimés, parce que tu dis la vérité.» Il a dit: «J’aime chaque cantique que j’entends la chorale chanter.» Il a dit: «En effet, je sais que ça parle du Ciel et de Dieu.» Mais il a dit: «Ce n’était pas ça, pasteur.» Il a dit: «Tu sais, pasteur, je suis incapable d’abattre quoi que ce soit. Je suis un piètre tireur.» Il a dit: «Regarde tout simplement la viande que Dieu–que Dieu m’a donnée.» Il a dit: «Certainement, Il doit m’aimer, sinon Il n’aurait pas été si bon envers moi.» Il a dit: «C’est parce qu’Il m’a aimé, je L’aime et à partir de ce jour, je suis Son serviteur.»

67        Frère, c’est ça. Si seulement nous pouvions regarder tout autour et voir combien Dieu est bon envers nous, compter les bénédictions qu’Il nous accorde, alors nous désirerions prendre place à Son trône. Inclinons la tête juste un instant.

            Y a-t-il quelqu’un ici qui aimerait dire: «Frère Branham, je sais que Dieu a été bon envers moi, mais moi, je n’ai pas été bon envers Lui. Je–j’aimerais lever mes mains et dire que je désire Le servir. Je–je veux qu’Il soit mon Sauveur. Et je vais lever maintenant la main vers Lui»?

            Eh bien, je–je prie pour que la sincérité de votre coeur soit–arrive à ce point-là maintenant, cette glorieuse onction du Saint-Esprit. Maintenant, vous pourriez tous être des chrétiens. Ça, je l’ignore. Mais le Saint-Esprit le sait. La même Personne qui révèle les secrets du coeur va vous parler maintenant, et va vous faire savoir si vous êtes un chrétien ou pas. S’Il déclare que vous n’êtes pas chrétien, allez-vous lever la main et dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, je désire maintenant accepter Jésus comme mon Sauveur»?

68        Voudriez-vous lever la main, où que vous soyez dans la salle? Où que vous soyez. Que Dieu vous bénisse. Je vois cette main. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Que Dieu bénisse cette dame-ci. Quelqu’un là au balcon, à ma droite, de ce côté-ci, veut-il lever la main? Je veux maintenant croire au Seigneur Jésus-Christ. Il a été bon envers moi; mais moi, je n’ai pas été bon envers Lui. Je devrais Lui donner ma vie. Certains d’entre vous jeunes gens qui êtes là-haut, cela changera cette période de votre vie, cet âge effréné de rock-and-roll. Ne voudriez-vous pas venir servir le Seigneur Jésus et avoir la Vie Eternelle? Laissez-moi vous persuader au Nom de Christ, que vous devez être réconcilié avec Dieu. Que Dieu bénisse cette fillette ici derrière, qui a levé la main.

            Au balcon, à ma gauche, voudriez-vous le faire? Que Dieu te bénisse, fiston. Un autre? Que Dieu te bénisse, mademoiselle. Que Dieu vous bénisse, chère soeur. Y en a-t-il un autre qui aimerait simplement accepter Christ ce soir comme son Sauveur? Dites: «Je veux qu’on se souvienne de moi dans la prière, Frère Branham, afin que Christ soit mon Sauveur.»

69        En bas, au rez-de-chaussée, à ma gauche, dans ces allées par ici. Que quelqu’un par ici qui ne l’a pas encore fait lève la main. Levez la main, dites: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham.»

            L’allée à ma droite, de ce côté-ci. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu bénisse celle-ci. Oui. Que Dieu bénisse cette fillette. Que Dieu bénisse cette dame par ici. C’est bon.

            Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, prions. Vous qui avez levé la main, souvenez-vous, c’est Dieu qui vous a parlé. «Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire.» Cela montre que la Présence de Dieu est parmi vous.

70        Notre Père céleste, fais reposer Ta bonté, Ta miséricorde (Accorde-le, Seigneur) sur cet auditoire ce matin, particulièrement sur ceux qui ont levé la main. Je n’ai pas terminé mon texte de ce soir, Père; je n’ai pas abordé mon sujet. Mais j’ai eu un sentiment très étrange qu’il fallait arrêter juste à ce moment-ci. Je parlais de Ta bonté, de la manière dont Tu as changé Sara et Abraham. Il pourrait y en avoir beaucoup ici, Père, qui ne seront pas changés en ce jour-là. Si tel est le cas, Père, puissent-ils lever leurs mains, non seulement leurs mains, mais aussi leurs coeurs, et T’accepter comme leur Sauveur personnel à l’instant même, afin qu’ils puissent entrer dans la gloire des gloires, auprès de Toi, dans la communion au travers du Sang, et qu’ils soient réconciliés avec Dieu au travers de la justice de Christ. Accorde-le, Seigneur.

            Ecoute la prière de Ton serviteur alors que nous Te les confions tous. Au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Amen.

71        Maintenant, juste avant de commencer et d’inviter les gens à venir à l’autel, j’ai senti quelque chose de très étrange à ce sujet maintenant même. Je ne crois pas qu’on puisse distribuer des cartes de prière juste maintenant. Non, demain soir. J’ai oublié de dire aux garçons de distribuer des cartes de prière. Nous les distribuerons demain soir pour les malades, pour la prière pour les malades. Je vais leur demander de venir distribuer nos cartes de prière. J’ai oublié de le faire cet après-midi. J’étais occupé. J’étais au petit-déjeuner ce matin, et j’avais une salle pleine toute la journée, le discernement et tout; cela m’a affaibli et j’ai oublié de venir apporter...

            De toute façon, y a-t-il quelqu’un ici qui est malade? Un nécessiteux? Levez la main. Si vous avez quelque chose sur le coeur, levez la main, dites simplement à Dieu, dites: «Seigneur Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je veux maintenant accepter. Je veux accepter ma guérison. Je veux croire au Seigneur Jésus.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bon. Que dites-vous?

72        Très bien. Il a dit que quelques cartes ont été distribuées. Nous allons alors les prendre demain soir avec les autres. Je veux que ces gens qui ont levé la main, je veux qu’ils viennent à l’autel dans une minute. Je voudrais vous montrer la raison–la raison pour laquelle je me suis vite arrêté et pourquoi je n’ai pas terminé mon texte; c’est parce que le Saint-Esprit m’a dit: «C’est maintenant le moment.» Il a toujours raison. Huit ou dix mains se sont levées ici ce soir. Voyez-vous? C’est parce qu’ils veulent accepter Christ. Eh bien, c’est pour vous  faire savoir, à vous les malades, qu’Il sait aussi qu’il y avait des pécheurs ici. Il sait qu’il y a des malades ici. Eh bien, vous qui n’avez pas de carte de prière et qui voulez que l’on se souvienne de vous dans la prière, levez la main. Dites: «Je suis malade, j’ai besoin du Seigneur.» Partout dans la salle, où que vous soyez. Maintenant, inclinons encore la tête juste un instant et prions.

73        Eh bien, Père céleste, Tu connais toutes choses. A ma gauche, leur petit enfant est mourant. Eh haut au balcon, il y a des pécheurs; à droite, il y a des malades. Tu es Dieu, et nous avons appris que lorsque Tu es descendu, Tu t’es tout simplement formé un corps. Nous sommes constitués de seize éléments, et qu’as-Tu fait? Deux Anges T’accompagnaient. Tu as tout simplement tendu la main et Tu as pris une poignée de calcium, de potasse, de pétrole et de lumière cosmique, et Tu y as simplement insufflé le souffle, et cela est devenu un corps, et Tu as vécu dedans, Tu as accompli Ta promesse, Seigneur, puis Tu es retourné. Le corps est retourné à la poussière.

            Je suis si heureux de connaître un Dieu qui peut m’appeler de la poussière de la terre, juste souffler de nouveau le souffle de vie, un jour, et je vivrai pour toujours dans un corps.

            Seigneur, qu’il en soit ainsi pour chaque personne qui est ici, et alors que ces corps malades sont en train de lutter pendant que l’Esprit de Dieu est en eux, ils ont besoin de la guérison, Père. Je Te prie de permettre que ce message soit confirmé ce soir, pour montrer que Tu es Dieu, et que Tu guéris les malades. Tu rapièces ce corps pour que nous puissions Te glorifier. Accorde-le, Père, au Nom de Jésus. Amen.

74        Maintenant, respectueusement, pendant que vous avez la tête inclinée, je voudrais commencer pour voir si le Saint-Esprit va m’amener directement dans la salle, ici de l’autre côté, si je le peux. Que quelqu’un qui est près de moi ou quelqu’un d’autre prie. Où que vous soyez. Votre foi va l’emporter sur celle de quiconque d’autre si vous avez simplement beaucoup de foi. Priez tout simplement. J’attends la Lumière de Dieu. Cette Lumière, pour moi, je ne sais pas ce que cela représente pour vous... D’habitude, ils ont une photographie ici que je montre devant l’auditoire. Sans doute que les garçons l’ont fait pendant les réunions, qu’ils ont montré cela, la Lumière, la photo de l’Ange du Seigneur. Souvenez-vous, c’était la Colonne de Feu qui conduisait les enfants d’Israël dans le désert. Cette même Colonne de Feu a été faite chair, croyez-vous cela? Certainement. Quand on Lui a dit: «Tu es un homme qui n’a pas encore cinquante ans, et Tu dis avoir vu Abraham?», Jésus a dit: «Avant qu’Abraham fût, Je SUIS.»

            Qui était le Je SUIS? La Lumière, le Feu qui brûlait dans le buisson. Il a dit: «Je viens de Dieu, et Je retourne à Dieu.» Après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, saint Paul (qui s’appelait alors Saul), était en route vers Damas, et une grande Lumière le jeta à terre. Cette même Colonne de Feu. Et d’une voix forte, Il lui a dit: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»

            Paul a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»

            Et Il a dit: «Je suis Jésus.»

75        Le voici ici ce soir par Sa photo qui a été prise. C’est la première fois dans la–toute l’histoire du monde que la science ne peut pas déclarer qu’il n’existe pas d’Etre surnaturel. Le voici. Où? Dans l’Eglise pentecôtiste, parmi les pentecôtistes. Est-ce réellement le même? Voyez quel genre d’oeuvres Il accomplit. Si c’est Son Esprit, Il fera la même chose qu’Il a toujours faite. Priez. Touchez le bord de Son vêtement et voyez s’Il n’est pas le même Dieu. Priez tout simplement comme le fit la femme qui toucha Son vêtement.

            Vous direz: «Puis-je monter là pour vous toucher, Frère Branham?» Il n’a pas dit si vous me touchez, moi. Je ne suis pas le Souverain Sacrificateur. Touchez-Le, Lui. Alors Son Esprit en moi utilisera mes mains, ma bouche et mes yeux pour vous parler, comme ce fut le cas pour la femme qui toucha Son vêtement.

76        Pendant que vous avez la tête inclinée, je désire parler à une petite femme qui est au-delà de ceci en ce moment, qui est assise par ici au coin, qui souffre d’une maladie du coeur. C’est juste. Vous avez... Vous pouvez lever votre tête maintenant. Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas? Vous n’en avez pas besoin. Voyez-vous? Vous souffrez d’une maladie du coeur, vous en souffrez depuis un bon bout de temps. Il s’agit d’une maladie nerveuse de votre coeur. Cela ne vous dérangera plus maintenant, vous avez touché le bord de Son vêtement. Vous avez touché le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.

            Vous voyez, pécheur, vous qui avez levé la main? C’est le même qui m’a dit de m’arrêter maintenant. Il vient pour vous, si vous pouvez croire.

            Voici un homme assis juste là, à ma gauche; il est assis là tout en bas. Il souffre du cou, du dos, il est en train de prier. Si seulement vous croyez, monsieur, de tout votre coeur. Monsieur Christiansen. Levez-vous juste une minute, monsieur. Je ne vous connais pas. N’est-ce pas juste? Je ne vous ai jamais vu de ma vie, ni ne vous ai jamais parlé. Si c’est juste, agitez la main comme ceci. Nous ne nous connaissons pas. C’est exactement la vérité. C’est exactement ça votre nom. C’est... Tout ce qu’Il a dit est-il vrai? Croyez-vous que vous avez reçu ce que vous avez demandé? Rentrez chez vous et recevez ce que vous avez demandé.

77        Si ce n’est pas le même Ange... Tenez, je vais tourner le dos, l’Ange du Seigneur est dans ce quartier maintenant même. Voyez si c’est le même Ange.

            Il y a une femme assise juste derrière cet homme. Elle prie pour son mari, parce qu’il ne veut pas aller à l’église. Vous croyez, soeur, qu’il ira à l’église, si vous... Levez la main, si c’est vrai. La voilà qui... Voilà sa main. Voyez-vous? Levez-vous, soeur, pour que les gens puissent vous voir. N’étiez-vous pas en train de prier le Seigneur Dieu pour un besoin concernant votre mari? Est-ce cela le désir de votre coeur? N’est-ce pas que vous étiez en train de prier pour que je vous appelle? Levez la main. Elle est vraiment bouleversée à l’instant. Elle se tient là. Ces choses qui ont été dites étaient-elles vraies? Est-ce le cas? C’est cela. Très bien.

            Croyez-vous? Ayez foi en Dieu.

78        Par ici, voyez si c’est le même Ange que rencontra Abraham. Pas moi, ceci n’est qu’un vase qu’Il peut utiliser. Vous êtes un vase qu’Il peut utiliser. Ayez la foi et croyez. Voyons. Je pense que c’est allé de ce côté-là. Allons de ce côté-ci. Voyez si le Seigneur Dieu va l’accorder.

            Maintenant, Seigneur, mes yeux fermés, je–je Te prie... que les gens puissent comprendre qu’il ne s’agit pas de Ton serviteur, Seigneur; c’est la con-... confirmation de Ta Parole. Les pécheurs seront appelés à l’autel dans une minute; qu’ils sachent que c’est le même Dieu qui parla à Abraham, qui habita dans une chair humaine, une sorte de chair qu’Il créa. Nous sommes une chair qu’Il a créée, et Il a promis qu’au travers de la justice de Son Fils, nous serions sanctifiés et que nous recevrions des dons, que Son Esprit agirait en nous comme Il le fit avant la destruction de Sodome. Et qu’il en soit ainsi, Père. Je prie au Nom de Jésus.

79        Il y a un homme assis juste derrière moi. C’est un homme d’âge moyen, et il–il prie pour une maladie dont il souffre. Il s’agit d’un cancer, et ce cancer est aux–aux hanches, au dos. Cet homme est dans un état très grave. Croyez-vous de tout votre coeur, monsieur, que Dieu va vous guérir? Monsieur Honeycutt, croyez maintenant de tout votre coeur, vous serez guéri. Que Dieu vous bénisse. C’est terminé maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous.

            Croyez-vous au Seigneur? C’est Sa bonté. Dieu répond à la prière.

            Il y a une femme assise derrière moi, quelque part dans cette direction. Elle souffre de la nervosité. Je la vois; elle se tient debout dev-... Oui, on a prié pour elle auparavant dans une de mes lignes de prière quelque part. Elle a été guérie, elle et son fils. Elle souffre maintenant de la nervosité. Elle s’appelle madame Booth. Croyez au Seigneur Jésus-Christ. Ayez la foi, soyez guérie et Dieu va vous rétablir.

            Croyez-vous cela? Je cherchais ces lunettes noires et ces cheveux noirs avec une raie sur le côté. Je regardais par ici, et je n’arrivais pas à vous repérer. Je vous ai vue debout devant moi ici, mais je n’arrivais pas à vous repérer. Ces choses sont-elles vraies? Très bien. Vous avez maintenant votre guérison. La chose vous a quittée. Vous pouvez être en bonne santé, rentrez chez vous, et jouissez d’une bonne santé.

80        Maintenant, c’est allé... Je crois que c’est allé dans la salle, n’est-ce pas, quelque part, là dans la salle. Maintenant, à vous qui avez levé la main, voudriez-vous venir vous tenir ici juste un instant? Certainement, Dieu m’a interrompu ce soir dans mon message, et Il a dit: «Fais cet appel à l’autel.»

            Voulez-vous approcher maintenant? Tenez-vous ici juste un instant, pendant que nous nous tenons debout et chantons juste un instant. Descendez directement ici. Presque persuadé maintenant de croire. Qu’est-ce que Dieu pourrait-Il faire d’autre que faire ce qu’Il fait maintenant? Voudriez-vous bien venir ici? Les gens ici dans la salle, assis par là, ne vous reconnaîtront pas du tout. Il y a une puissance quelque part, et peut-être que beaucoup d’entre vous ont critiqué les pentecôtistes. Venez, mon frère. Les pentecôtistes sont critiqués parce qu’ils crient et parlent en langues. Voyez-vous ce que ce même Esprit fera? Cela devient de plus en plus glorieux, parce que la Venue du Seigneur est proche. C’est juste. L’heure est proche. Voudriez-vous bien vous lever et venir ici, vous tenir ici en bas devant moi pour que je puisse prier pour vous? S’il exauce mes prières pour la guérison des malades et des infirmes, en me révélant les secrets du coeur, voudriez-vous bien venir maintenant et vous tenir là? C’est ce qu’il faut faire. Venez directement maintenant. C’est bon. Descendez directement du balcon. Nous allons nous tenir juste ici pour vous attendre, mon ami. Ceci, c’est plus important. Juste au milieu de mon message, quand j’allais aborder Jéhovah-Jiré, j’avais sur le coeur de faire la–la... une remarque, et le Saint-Esprit a dit: «Arrête, arrête maintenant même. Arrête maintenant même. Parle-leur de ma bonté et fais un appel à l’autel.» Venez directement maintenant.

                 «Presque persuadé» de croire maintenant; (C’est Dieu qui persuade)

                 «Presque persuadé» d’accepter Christ.

                 Il semble maintenant qu’une âme... (Quoi? Va? Maintenant, écoutez, le Saint-Esprit.) Va... (Voudriez-vous attrister cet Esprit et L’éloigner de vous? Non. Venez. Venez directement.) Ton chemin,

                 Un ... plus...

81        Je voudrais dire quelque chose. Une femme estropiée est en train de venir, une jeune femme dans un fauteuil roulant, on la pousse. La dernière femme qui est venue dans cette ligne l’autre soir dans un fauteuil roulant, le lendemain soir elle était guérie et elle est rentrée chez elle bien portante. C’est juste. Souvenez-vous, elle a quitté le fauteuil roulant. Oh! vous qui pouvez marcher, alors que cette jeune femme est amenée en fauteuil roulant, ne voudriez-vous pas venir?

                 «Presque persuadé», la moisson est passée!

                 «Presque persuadé...»

            Descendez du balcon, s’il vous plaît, vous qui ne connaissez pas le Seigneur, qui ne Le connaissez pas comme votre Sauveur.

                 Viens enfin... (La moisson est presque passée maintenant.)

                 «Presque»... (Vous dites: «Je suis presque venu.») ne sert à rien;

                 «Presque» ce n’est qu’échouer!

                 Triste, triste, ce gémissement amer –

                 «Presque–mais perdu!»

                 «Presque...»

            C’est juste, soeur. Plus vous vous approchez, plus vous pouvez Le rencontrer.

                 ...moisson est passée!

            Cette dame est venue de là tout au sommet du balcon et elle est descendue. Voilà une véritable conviction. C’est chose rare de voir en Amérique une telle conviction.

                 Viens enfin.

                 «Presque» ne sert à rien;

                 «Presque» ce n’est qu’échouer!

                 Triste, triste, ce gémissement amer –

                 «Presque–mais perdu!»

82        Pensez tout simplement combien ce sera proche en ce jour-là, quand vous penserez que vous avez manqué le but. Peut-être, avant le matin, peut-être que vous serez en train de saigner sur l’autoroute à la suite d’un accident, frémissant, vous convulsant et sursautant. Le médecin dira: «C’est fini.» Vous sentirez votre pouls s’en aller. «Oh! pourquoi n’étais-je pas allé?»

            Le Saint-Esprit a dit: «Tu n’es pas en ordre. Tu sais que tu ne l’es pas.»

            «Mais je ne l’ai pas fait; j’avais honte, parce que je confessais être chrétien.»

            Frère, vous feriez mieux de venir avec la chose ici même, car le monde entier le saura un jour. Arrangeons cela maintenant même. Venez. Ne voulez-vous pas venir? Encore une fois, pendant que je demande aux ouvriers indépendants d’accompagner les gens et de se tenir tout autour. Les frères ministres, s’ils le veulent bien, qu’ils viennent auprès de ces gens ici pendant que nous les conduisons au Trône de Dieu dans la prière.

                 «Presque persuadé» de croire maintenant;

            Presque persuadé de croire ce que Dieu dit dans Sa Parole, ce qu’Il dit par Son Esprit. Il descend et accomplit des signes, montrant qu’Il est le Messie...

                 ... maintenant de recevoir

                 Oh! il semble maintenant qu’une âme dit: «Va, Esprit... (Voulez-vous attrister cet Esprit et L’éloigner de vous?) Ton chemin,

                 Un autre jour plus opportun

                 Je t’appellerai.»

83        Il pourrait ne pas y avoir un jour plus opportun. Eh bien, nous avons une salle par ici. Je pense qu’elle est préparée, juste derrière. Je désire offrir un mot de prière pour ces gens, ensuite, nous allons les ramener dans la salle, ces pécheurs qui se repentent. Après, nous allons appeler ceux qui ont besoin du Saint-Esprit, puis, nous allons retourner ensemble ici derrière dans la salle. Enfin, nous congédierons l’auditoire; et nous resterons jusqu’à ce que ce soit terminé.

            Maintenant, venez ici avec cette conviction que vous croyez que Jésus est le Fils de Dieu et que vous voulez qu’Il soit votre Sauveur personnel. Jésus a dit: «Si vous avez honte de Moi, J’aurai honte de vous devant Mon Père et les saints anges en ce jour-là. Mais si vous témoignez pour Moi ou plutôt prenez position pour moi, Je prendrai position pour vous en ce jour-là.»

84        Maintenant, inclinons la tête. Bienveillant Père céleste, nous T’amenons ces gens ce soir sur base de leur confession; ils viennent aux eaux de séparation afin d’être purifiés de leur–leur âme impure par l’aspersion et d’être lavés dans l’eau par la Parole, et amenés à une nouvelle vie, marchant maintenant dans le lieu très saint, pour entrer dans la gloire de la Shekinah. Je Te prie d’être avec eux et de les aider.

            Pardonne chaque péché, alors que nous entrons dans cette salle, pour nous agenouiller là et afin de dire un mot de prière, je prie, ô Dieu, que le Saint-Esprit remplisse chacun d’eux du Saint-Esprit, et que de grands et glorieux flots de Son Esprit puissent venir. Fais de ces gens qui sont ici des ministres. Suscite des ouvriers et des assistants dans chaque église. Mets leurs âmes en feu, sachant qu’ils ne peuvent pas rester plus longtemps. L’heure où le Fils de Dieu viendra approche. Puissent-ils trouver une bonne église quelque part chez eux, parmi ces églises du Plein Evangile par ici, qu’ils soient baptisés pour la repentance et le pardon de leurs péchés, et qu’ils soient remplis du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Ecoute nos prières, alors que nous Te les confions. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.

85        Maintenant, les ministres qui sont ici vont vous conduire directement au coin, où nous allons vous rencontrer dans un instant, juste par ici, chacun de vous, maintenant, tournez juste par là. Nous allons vous rencontrer là-dedans, juste dans un instant. Venez directement par ici, faites le tour à droite, allez et suivez ce ministre juste par ici, là où nous devons vous rencontrer de nouveau. Juste ici derrière, dans cette pièce, juste une minute. Oui, frère. C’est pour la prière? Pour la maladie. Non, maintenant, c’est pour le salut ...?... Très bien. Juste en tournant par ici. Vous... Très bien. C’est juste. Faites carrément le tour, chers frères ministres, continuez à sortir.

            Maintenant, combien ici n’ont pas encore reçu le Saint-Esprit et désirent recevoir le Saint-Esprit? Voulez-vous bien venir, pendant que nous chantons une fois? Combien dans la salle n’ont pas encore reçu le Saint-Esprit? Si Jésus venait ce soir, vous savez qu’Il vous faudrait avoir le Saint-Esprit, «car n’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés», le Sceau de Dieu.

86        Les gens croient différemment. Les gens disent: «Observer un jour ou faire une certaine chose, ou une autre chose, c’est ça le Sceau de Dieu.» Ce n’est pas scripturaire.

            Ephésiens 4.30 dit: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de votre rédemption.» Combien savent cela? La Parole de Dieu dit que le Sceau de Dieu, c’est le Saint-Esprit.

            Maintenant, qu’est-ce que alors la marque de la bête? C’est rejeter le Saint-Esprit, c’est la marque de l’apostasie. Souvenez-vous, autrefois quand la trompette, quand l’année du jubilé venait et que la trompette sonnait, chaque esclave avait le droit de s’en aller libre. Mais s’il ne choisissait pas de s’en aller libre, il était amené au temple, et on prenait un poinçon et on lui perçait l’oreille, et il était marqué pour le reste de ses jours. Et qu’est-ce? A l’oreille, quand Dieu vous appelle à recevoir le Saint-Esprit et que vous Le refusez, alors Dieu vous marque à l’oreille de telle sorte que vous ne désirerez plus jamais essayer de le faire. Voyez-vous? Alors, c’est la marque de l’apostasie. Et il est dit dans la Bible qu’en ces derniers jours, il y aurait deux catégories de gens:les uns auront la marque de Dieu, le Sceau de Dieu; les autres auront la marque de la bête. Est-ce juste? Eh bien, ce soir vous portez l’une de ces deux marques. S’il y a une question, mettez-la sur l’estrade, je vais aborder ce sujet pour vous.

87        Maintenant, si vous n’avez pas encore reçu le Saint-Esprit, et que vous avez simplement adhéré à l’église, voudriez-vous venir vous tenir ici? Ceci pourrait être la soirée où beaucoup d’entre vous, sans doute, recevront le Saint-Esprit. Il y a ici de bons ministres et de braves gens, de bons ouvriers, qui se sont parfaitement organisés pour travailler. Et nous sommes ici...?... vous, et certainement que Dieu a trouvé grâce à vos yeux. Certainement, si vous pouvez tout simplement trouver grâce à Ses yeux. Venez maintenant, Il a besoin de vous. Il veut venir. Tous ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit, venez maintenant pendant que nous chantons Presque persuadé.

            Très bien, frère ici...?..

                 «Presque persuadé» de croire maintenant;

                 «Presque persuadé» Christ...

            Maintenant, vous désirez avoir le même Saint-Esprit qui discerne les pensées du coeur, le même qui était dans la Bible et qui le fait ici, qui fait les mêmes oeuvres. Il est ici pour vous remplir comme Il le fit dans la Bible. Voulez-vous bien venir?

                 ...vous invite ici,

                 Les anges attendent tout près,

                 Des prières s’élèvent des coeurs si précieux,

                 Oh! toi qui erres, viens.

            Permettez-moi de vous chanter un petit cantique sans la musique.

                 Les nations se disloquent, Israël se réveille,

                 Les signes que la Bible a prédits.

                 Les jours des Gentils sont comptés, encombrés d’horreurs,

                 «Retourne, ô dispersé, vers les tiens.»

                 Le jour de la rédemption est proche,

                 Les coeurs des hommes défaillent de peur;

                 Sois rempli de l’Esprit de Dieu, tes lampes nettes et claires,

                 Lève les yeux, ta rédemption est proche.

                 Les nations se disloquent (Chantons cela.), Israël se réveille,

                 Les signes que la Bible a prédits.

                 Les jours des Gentils sont comptés, encombrés d’horreurs,

                 «Retourne, ô dispersé, vers les tiens.»

                 Le jour de la rédemption est proche,

                 Les coeurs des hommes (dans le monde entier) défaillent de peur;

                 Sois rempli de l’Esprit, tes lampes nettes et claires,

                 Lève les yeux, ta rédemption est proche.

                 Oh! ne le voulez-vous pas?

                 Les nations se disloquent...

            C’est vrai. Où sont vos pourparlers de paix, vos quatre grandes puissances, votre Société des Nations, et que sais-je encore?

                 Les nations se disloquent, Israël se réveille,

            Israël est devenue une nation. C’est la première fois depuis cinq–deux mille cinq cents ans que l’étoile à six branches de David flotte. Quand vous voyez le figuier bourgeonner.

                 Les nations se disloquent, Israël se réveille,

                 Les signes que la Bible a prédits (Qu’est-il arrivé?).

                 Les jours des Gentils sont comptés (Oh! frère), encombrés d’horreurs,

                 «Retourne, ô dispersé, vers les tiens.»

                 Le jour de la rédemption est proche,

                 Les coeurs des hommes défaillent de peur;

                 Sois rempli de l’Esprit, tes lampes nettes et claires.

                 Lève les yeux, ta rédemption est proche.

88        Qu’est-ce, les amis? Quand nous serons changés... La rédemption est... Considérez les signes. Dieu a dit: «Dans les derniers jours...» Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» L’Ange du Seigneur sur terre, demeurant dans la chair humaine, parmi le peuple, accomplissant des signes et des prodiges. Tout est prêt, les nations, les bombes atomiques, oh! des pourparlers de paix, tout, comme il était dit qu’ils le feraient, le réveil d’Israël, le figuier qui bourgeonne, oh! nous sommes à la fin, mon ami. Et les jours des Gentils sont comptés, encombrés d’horreur. Savez-vous ce que la Bible dit au sujet des Gentils? Oh! la la! que va-t-il arriver à ceux qui sont retranchés? Venez donc si vous n’avez pas le Saint-Esprit. «Retourne, ô dispersé, vers les tiens.» Ne voulez-vous pas venir ce soir, et vous tenir là pour le baptême du Saint-Esprit? Nous allons prier pour ces gens-ci et nous allons les conduire dans la salle. Nous croyons que Dieu va les remplir du Saint-Esprit là à l’intérieur.

            Les enfants, vous précieuses personnes qui vous tenez ici ce soir, «heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés».

89        Père céleste, nous faisons cette prière de la foi sur ces gens qui se tiennent ici, qui ont faim et soif, en leur apportant Ta Parole, en leur disant que Tu as promis qu’ils sont heureux du seul fait qu’ils ont soif, parce qu’ils Te désirent, la Parole de Dieu a dit qu’ils sont heureux.

            Beaucoup n’en veulent même pas. Ils sont donc maudits. Ceux qui désirent cela sont bénis, et Tu as dit qu’ils seront rassasiés. Je Te rappelle cela ce soir, Seigneur Dieu. Et je sais que Tu entends les cris de Ton peuple et que Tu es ici pour les délivrer et les faire sortir de la servitude, et pour leur donner la liberté du Saint-Esprit. Car il est écrit: «Celui que le Fils a affranchi est réellement libre.» Je Te prie, ô Père, de leur donner le baptême du Saint-Esprit, alors qu’ils entrent là maintenant pour Le recevoir. Je Te les confie comme les trophées de l’arrêt que Tu m’as ordonné ce soir, dans mon message pour faire cet appel à l’autel. Seigneur, je Te les confie et Te prie de leur donner le Saint-Esprit au Nom de Jésus-Christ.

90        Croyez-vous que Dieu va exaucer ma prière? Entrez donc dans la salle, suivez ces ministres, certains d’entre eux ici, qui vont vous conduire directement dans cette direction vers cette salle-ci. Vous y recevrez le Saint-Esprit. Entrez directement maintenant.

                 Les nations se disloquent, Israël se réveille,

                 Les signes que la Bible a prédits.

                 Les jours des Gentils sont comptés, encombrés d’horreurs,

                 «Retourne, ô dispersé, vers les tiens.»

            Chantons ensemble:

                 Le jour de la rédemption est proche.

                 Les coeurs des hommes défaillent de peur;

                 Sois rempli de l’Esprit, tes lampes nettes et claires.

                 Lève les yeux, ta rédemption est proche.

                 Les faux prophètes trompent, ils nient la vérité de Dieu.

            Ô Dieu...

            Nous sommes à la fin, les amis. Nous y sommes; nous y arrivons. Pourquoi m’a-t-Il arrêté ce soir? Pourquoi l’a-t-Il fait? Je ne sais pas. Ne pensez pas que je suis hors de moi; je sais exactement où je me trouve. Mais je me demande pourquoi. Y a-t-il un prédicateur qui entre là? Y a-t-il quelque chose? Quel est le problème? Est-ce le dernier appel pour quelqu’un? Je ne sais pas. C’est étrange, je ne le comprends pas. C’est vrai. Je ne peux pas le comprendre. Juste au moment où j’arrivais au point culminant de mon message, Il m’a arrêté et a dit: «C’est le moment. C’est le moment. Parle de Ma bonté et fais l’appel.» Et j’ai fait cela. C’est très exact. Les gens se sentiront assurés.

91        Tous ceux qui sont ici dans la salle, ont-ils déjà reçu le baptême du Saint-Esprit? Levez la main. Tous ceux qui L’ont, levez la main. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. C’est merveilleux! Très bien. Y a-t-il encore des malades et des infirmes ici, pendant qu’ils sont dans la salle? Levez la main. Si vous voulez accepter votre guérison maintenant. Je crois qu’Il va guérir chacun de vous. Ne le croyez-vous pas? Très bien, maintenant procédons comme nous le faisons chaque soir, imposez-vous les mains les uns aux autres. Si vous–si vous sentez... Si vous êtes... Tout le monde ici a levé la main pour dire qu’il a le Saint-Esprit. Vous ne pouvez pas avoir le Saint-Esprit sans être un croyant. Si vous–si vous dites que vous avez le Saint-Esprit et que vous reniez la puissance de Dieu, vous avez une apparence de la piété, du simple fait que vous reniez ce qui en fait la force. Voyez-vous? Vous n’êtes donc pas un enfant de Dieu; vous avez un esprit anti-christ. La Parole de Dieu dira chaque fois que c’est la vérité... La Parole de Dieu...

            N’êtes-vous pas heureux ce soir que la promesse de Dieu... Suivez ici, vous pentecôtistes. La Bible dit: «Si vous parlez tous en langues et qu’il n’y a point d’interprète, et que quelqu’un du peuple survenait parmi vous, et alors il tombera...» Et que Dieu te bénisse, fiston. «Il tombera et vous parlera, disant:‘Eh bien, vous êtes tous fous.’» Est-ce juste? «Mais s’il y a quelqu’un qui prophétise et révèle les secrets du coeur, alors ils diront:‘Dieu est réellement parmi vous.’» Est-ce juste? Voyez ce qu’il y a dans l’église ce soir? L’Esprit de Dieu y retourne carrément. Très exactement comme  Dieu l’avait annoncé.

92        Oh! au temps du soir la Lumière paraîtra, n’est-ce pas, les amis? La Lumière est... Je suis si heureux que ce soit la Lumière, pas vous?

                 Nous marcherons dans la Lumière, merveilleuse Lumière,

                 Qui vient là où les gouttes de rosée de la miséricorde étincellent;

                 Brille tout autour de nous le jour et la nuit,

                 Jésus, la Lumière du monde.

            Chantons cela ensemble:

                 Nous marcherons dans la Lumière, cette merveilleuse Lumière,

                 Qui vient là où les gouttes de rosée de la miséricorde étincellent;

                 Brille tout autour de nous le jour et la nuit,

                 Jésus, la Lumière du monde.

                 Vous tous saints de Lumière proclamez,

                 Jésus, la Lumière du monde;

                 Alors les cloches du Ciel sonneront,

                 Jésus, la Lumière du monde.

            Levons les mains maintenant et chantons cela:

                 Nous marcherons dans cette Lumière, c’est une si merveilleuse Lumière,

                 Elle vient là où les gouttes de rosée de la miséricorde étincellent;

                 Brille tout autour de nous le jour et la nuit,

                 Jésus, la Lumière du monde.

93        Maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres. Venez, vous les saints, ceux qui ont la foi, proclamez Jésus la Lumière du monde. Vous avez reçu une commission, les amis, en tant que croyant, d’imposer les mains aux malades. La commission de Dieu consiste à veiller à ce que leur–la promesse de Dieu plutôt, c’est de veiller à ce qu’ils soient guéris. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru:s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.»

            Seigneur Dieu, j’ai essayé de T’obéir à la lettre. Je bénis ces mouchoirs destinés aux malades et aux affligés. Ton Esprit est partout dans la salle, au-dessus des saints, à travers les saints, dans les saints:Dieu avec vous, à travers vous, au-dessus de vous, et en vous. Dieu est ici. Il est présent. Nous suivons, nous marchons dans la Lumière, comme Il est dans la Lumière. Nous avons communion les uns avec les autres, pendant que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de toute injustice. Ôte de nous tous les doutes, la crainte et les frustrations, et donne-nous la foi parfaite et la confiance parfaite en Dieu.

            Maintenant, Satan, j’attire ton attention sur quelque chose. Je te cite la Parole de Dieu. Jésus-Christ, après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, après Sa victoire sur la tombe, la mort et le séjour des morts, ainsi que sur chaque oeuvre que tu aies jamais faite ou sur toute puissance que tu aies jamais eue, Il t’a dépouillé. Tu n’es qu’un bluffeur, et tu es exposé soirée après soirée. Tu ne peux plus retenir ces croyants. Ils se sont imposé les mains les uns aux autres; c’est la Parole de Dieu. Jésus a dit: «Il est écrit. Il est écrit. Il est écrit. Il est écrit:ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Sors, Satan. Je t’adjure par Jésus-Christ, le Fils de Dieu de quitter cet auditoire de ces gens-ci.

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