Pareil À L’Aigle Qui Éveille Sa Couvée

Date: 60-0804 | La durée est de: 1 heure et 39 minutes | La traduction: Shp
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1          ...?... Tout est possible, Seigneur, je crois.

            Inclinons la tête juste un instant pour la prière.

            Bienveillant Seigneur, nous nous approchons de Ton Trône de grâce au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Nous tenons à Te remercier pour toutes les bénédictions que Tu nous as accordées. Combien Tu as été bon envers nous! Et nous Te prions, Père, de continuer à être avec nous. Beaucoup sont malades et nécessiteux, et nous prions que Ta puissance les guérisse. Je suis très content de recevoir ces lettres envoyées par les gens qui étaient ici, qui étaient autrefois malades, affligés, et même les médecins les ont déclarés maintenant bien portants.

            Ô Dieu, que personne parmi nous ne soit faible à la fin de la réunion. Que la grâce de Dieu soit avec nous. Ceux qui viennent chercher le salut, ô Dieu, puissent-ils trouver ce Rocher dans une terre aride, un Abri en temps d’orage. Et que le glorieux Saint-Esprit, Seigneur, baptise chaque croyant dans le Corps de Christ, par Sa Présence et par le baptême de Son Etre.

2          Souviens-Toi, Seigneur, des convalescents, de ceux qui sont dans une situation telle qu’ils ne peuvent pas se déplacer, de ceux qui sont hospitalisés et dans diverses situations. Nous prions, Père, que Ton Esprit les guérisse.

            Maintenant, que le Saint-Esprit sonde chaque coeur ici présent ce soir. Que celui-ci soit un temps de sondage, que ça soit un temps de sincérité et d’inventaire.

            Nous Te prions de bénir la Parole alors que nous La lisons. Et puis, que le Saint-Esprit prenne tout ce dont on a besoin ici ce soir, qu’Il place la Parole juste là-dessus, de sorte que nous voyions que nous avons une bénédiction de la rédemption qui attend. Accorde-le, Père, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          Nous avons certainement eu une merveilleuse journée aujourd’hui. Je–je suis resté un peu tard hier soir à la réunion, au point que je... mon épouse et les autres ne voulaient pas me ramener à moi-même pendant dix minutes environ après que j’eus quitté le bâtiment, comme j’avais un peu trop de gens dans la ligne. Je pense...

            Le moment capital, ce n’est pas lorsqu’on est là-haut (Voyez?), là-haut dans cette glorieuse onction, ni non plus lorsqu’on est ici en bas; c’est lorsqu’on est entre les deux, lorsqu’on sort de l’un vers l’autre, et qu’on quitte cette onction pour retourner ici une fois de plus. Mais qu’est-ce que cela vous dit? Il y a un Pays au-delà de la rivière. Il y a un lieu réel où nous pouvons trouver la paix, la joie et la satisfaction.

            Et maintenant, le Seigneur voulant, demain soir, nous distribuerons des cartes de prière à dix-huit heures trente, les jeunes gens le feront, et puis... Nous n’avons pas beaucoup de temps, n’est-ce pas? Nous avons... Demain soir, il y aura... c’est vendredi, n’est-ce pas? Vendredi, samedi et dimanche, encore trois soirées.

4          Eh bien, c’est... Que tout celui qui veut qu’on prie pour lui, et tout, vienne donc directement recevoir sa carte de prière, et nous les ferons venir dans la ligne, nous prierons pour eux, nous ferons tout ce que nous pouvons. Et s’il vous faut partir avant la fin de la réunion, aller dans la salle des urgences, et nous aimerions que cela se passe ici, alors un... le Saint-Esprit peut voir s’il y a quelque chose dans la vie, lorsqu’on est sous ce discernement. Voyez? S’il y a quelque chose que vous avez fait, ou quelque chose que vous n’avez pas fait, quelque chose que vous devriez faire. Voyez? Peu importe combien on a prié pour vous, cela ne vous quittera jamais tant que cette chose-là n’aura pas été arrangée. Vous pouvez bien trembler, imposer les mains, déverser de l’huile; cela ne quittera pas. Ça restera là même.

            Regardez, il y avait un... Jésus avait donné à Ses disciples le pouvoir de chasser les démons. Combien le savent? Assurément. Dix jours plus tard, nous les trouvons tous vaincus sur un cas d’épilepsie. Voyez? Mais lorsque... Ce démon était là même. Et puis, lorsque Jésus est venu, ce démon a reconnu qu’il rencontrait quelque chose d’un niveau plus élevé que celui de ces disciples; alors, il a dû sortir.

            Eh bien, nous devons toujours venir dans état de prière, ayant fait des confessions et prêts à être guéris. Et alors, si on fait cela, tout ce qui reste, c’est chasser l’ennemi. C’est tout. Si vous avez prié et que vous êtes sûr que c’est la volonté de Dieu de vous guérir, et vous avez prié à sujet, c’est–c’est réglé. Voyez, il n’y a qu’une seule chose à faire alors, tout ce qu’un don peut faire, c’est chasser cela. C’est tout. Voyez? Cela est alors terminé. Et je suis très content de ce que nous puissions–que nous puissions dire... nous savons que quelque chose est arrivé, lorsque–lorsque cela se passe.

5          Aujourd’hui, ça a été un... Tôt ce matin, je me suis réveillé, je n’ai point très bien dormi hier soir, je me suis réveillé tôt ce matin, et le Saint-Esprit m’a parlé. Il m’a dit: «Sors; Je vais t’utiliser.»

            Et alors, tout ce que je sais faire, c’est juste sortir. C’était tout. Et je me suis dit: «Eh bien, ma voiture a besoin d’un vidange de graisse; alors, je vais donc... ou plutôt d’huile.» Je suis donc allé à la station service. Je me suis dit: «Seigneur, c’est peut-être l’un de ces hommes ici.» Et je parlais à un bon jeune garçon presbytérien, il transportait de l’essence et autres à bord d’un camion. On dirait qu’il n’y avait rien d’urgent. Puis, un accident s’est produit au coin. J’ai dit: «Ça y est.» Je me suis avancé là, mais personne n’était blessé, alors ils... Ce n’était pas ça. Je suis donc entré dans ma voiture, je me suis dit: «Je vais rentrer chez moi.»

            Je rentrais à la maison. Eh bien, Quelque Chose a dit: «Continue simplement à conduire.»

6          Je rejoignais donc mon lieu de prière, là vers le mont Rainier, par ici, allant là loin en brousse. Il y a quelque chose dans le fait d’aller dans la nature, vous y trouvez Dieu en étant seul. Et j’avais le petit Joseph avec moi, mon petit garçon, et Quelque Chose a dit: «Gare ici de côté, et arrête, car c’est un... Pourquoi ne laisses-tu pas le petit garçon observer les pêcheurs?» Eh bien, ils ont pêché pendant environ dix minutes et ils sont partis, alors Joseph et moi étions assis là. Eh bien, je me suis dit: «Eh bien, nous roulerons après vers le lieu de prière, ainsi donc, je laisserai Joseph jouer là pendant que je serai en train de lire et de prier, ensuite nous redescendrons.» Et je mange cela, une fois par jour, alors...

            Quelque Chose ne me laissait pas partir. Et je me suis dit: «Eh bien, Joseph, j’ai une loque en dessous du siège, lavons simplement le–le tapis du véhicule de l’église.» C’est leur véhicule que je conduis. Je me suis donc dit: «J’aimerais bien en prendre soin.» Et je... Pendant qu’on nettoyait les tapis, je me suis dit: «C’est bien.»

7          Et j’avais ouvert une portière. Joseph faisait le sien, sur la roue, là en bas, vous savez, ce petit garçon s’amusait, on dirait. Et tout d’un coup, un véhicule s’est arrêté, il s’est mis à faire marche arrière. Quelqu’un avait pensé qu’une personne était dans le besoin. Et alors, j’ai fini par découvrir que dans ce véhicule-là, il y avait une femme qui se mourait de cancer, la femme d’un prédicateur. Et ils avaient été conduits de façon très étrange. Ils étaient allés là où je restais, et j’étais déjà parti. Ils avaient laissé un mouchoir pour que je prie dessus, et ils effectuaient un autre passage par là où ils étaient censés aller, et Quelque Chose leur a dit: «Faites demi-tour, et rentrez.»

            Et ils ont contourné dans cette direction-ci, ils descendaient, ils ont dit: «N’est-ce pas étrange que nous venions dans cette direction-ci?» Et juste alors, ils ont dit: «On se demande si ces gens sont... ont un problème avec leur véhicule.»

8          Et au même moment, j’étais à l’intérieur du véhicule, la tête inclinée, grattant ici et là, comme cela. Et j’allais partir dans quelques minutes; j’allais au lieu de prière, et il y avait là une femme couchée sur la banquette arrière du véhicule, se mourant du cancer. Oh! comme Dieu avait déversé Son Esprit là! N’est-ce pas merveilleux la façon dont Il opère? Oh! comme Il nous conduit mystérieusement de lieu en lieu, juste pour faire joindre tous les bouts juste comme... cela... Ce n’est pas juste une coïncidence, c’est une conduite spirituelle. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Les fils et les filles de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu.

9          Maintenant, prenons les Ecritures ce soir, pour un passage des Ecritures, dans le Livre de Deutéronome, chapitre 32, et commençons à partir du verset 7; lisons une portion maintenant, jusqu’au verset 12 inclus.

          Rappelle à ton souvenir les anciens... Rappelle à ton souvenir les anciens jours, passe en revue les années, génération par génération, interroge ton père, et il te l’apprendra, tes vieillards, et ils te le diront.

          Quand le Très-Haut donna un héritage aux nations, quand il sépara les enfants des hommes, il fixa les limites des peuples d’après le nombre des enfants d’Israël;

          Car la portion de l’Eternel, c’est son peuple, Jacob est la part de son héritage.

          Il l’a trouvé dans une contrée déserte, dans une solitude aux effroyables hurlements; il l’a entouré, il en a pris soin, il l’a gardé comme la prunelle de son oeil,

          Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée, voltige sur ses petits, déploie ses ailes, les prend, les porte sur ses plumes.

          L’Eternel seul a conduit son peuple, et il n’y avait avec lui aucun dieu étranger.

            Si c’est la volonté du Seigneur ce soir, j’aimerais tirer un sujet drôle, étrange, mais c’est: Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée, voltige sur ses petits, les prend sur les ailes et les emporte.

10        Je me suis souvent demandé pourquoi donc Dieu identifiait Son héritage à un aigle. Et un jour, j’ai vu dans la Bible que Dieu s’appelle Aigle, Il est Jéhovah-Aigle, et Ses enfants sont des aiglons, de petits aigles sous l’aile de Jéhovah. Et en tant que conservateur de la nature, je–j’aime étudier la nature. Ma première Bible était la nature. J’observais comment tout se passe dans la nature, comment il fallait que ça soit Dieu; ça ne pouvait être rien d’autre que Dieu. Et cela m’a amené à croire qu’il existe une grande force suprême quelque part, qui contrôlait toutes ces choses. Comme nous...

11        Il n’y a pas longtemps en Inde, j’avais été reçu par dix-sept différentes religions un après-midi au temple des jaïns. Il y avait les bouddhistes, les musulmans, les sikhs, les jaïns et que sais-je encore, ce sont–ce sont des gens très drôles.

            Mais, de toutes ces dix-sept religions, pratiquement elles toutes à part les musulmans et quelques-unes, croient dans la réincarnation. Ainsi, ils portent un petit balai-éponge, et ils épongent le plancher, juste pour se rassurer pendant qu’ils marchent, de ne pas piétiner une petite mouche ou un insecte, car ça pourrait être un oncle, ou une tante, ou quelqu’un qui est revenu. Comment peut-on donc prêcher une religion du sang à un peuple qui ne voudrait pas tuer une mouche? Voyez? Et alors, j’ai donc dû attendre et laisser Dieu Lui-même s’en occuper, mais Il a certainement accompli une grande oeuvre en Inde.

12        Mais si vous observez la nature et que vous voyez comment tout fonctionne, alors, vous saurez qu’il... le fondement du christianisme. Et le christianisme est l’unique vraie religion. En effet, le christianisme est fondé sur la mort, l’ensevelissement et la résurrection.

            Or, ce n’est pas le remplacement. Eh bien, si je laissais tomber ce papier par terre, et que je disais: «Eh bien, j’ai laissé tomber celui-ci et je vais le remplacer par celui-là, là, ce n’est pas la résurrection; c’est le remplacement. Mais le même Jésus qui était enseveli, le même Jésus est ressorti de la terre. Et la résurrection, ou plutôt le christianisme est fondé sur la résurrection. C’est pourquoi, lorsque vous regardez les bois, les arbres, et que vous observez...

13        Il y a quelques mois... Eh bien, ça fera environ une année, ce... prochain environ quatre... dans trois semaines. J’étais là dans le Kentucky, à la chasse aux écureuils. Nous avions tenu une réunion tout près, environ deux ans avant cela, sur un camping méthodiste, pendant deux soirées. Le Seigneur avait fait de grandes personnes... de grandes oeuvres parmi les méthodistes. Et alors, ils...

            Autrefois, les méthodistes croyaient dans la guérison divine. John Wesley croyait. J’ai son livre, son manuel et autres, ses notes. Ainsi donc, ils croyaient autrefois dans la guérison divine. Beaucoup parmi eux croient encore. Et alors, il y avait un grand réveil parmi les gens. Donc, à ce grand camping là-bas, là chez les méthodistes du sud... Ils m’avaient invité là pour une–une campagne, et j’avais passé le samedi et le dimanche avec eux.

14        Et monsieur Wood, un ancien témoin de Jéhovah, avait un fils estropié, dont la jambe était recroquevillée, un jeune homme; il était assis au fond, dans la réunion, et son père était assis là en train de critiquer; et sa mère, assise là, en train de prier. Le Saint-Esprit est allé à un endroit, alors qu’il y avait là, je pense, au moins huit ou dix mille personnes, et Il a dit: «Le jeune homme assis là au fond est estropié de jambe, son père est un témoin de Jéhovah, et c’est un–un entrepreneur, son nom est Banks Wood. Sa mère est une méthodiste. Le nom du jeune garçon est David. AINSI DIT LE SEIGNEUR, lève-toi; Jésus-Christ te guérit.» Il s’est levé; il ne reconnaît même plus aujourd’hui la jambe en question; du moins, c’est arrivé.

            Alors, monsieur Wood, il était vraiment sauvé, il a amené tout le reste de sa famille dans... (son père, sa mère, tous les autres) dans l’alliance de Christ par le baptême du Saint-Esprit. Lui et moi, nous chassions ensemble, nous avions passé là environ deux semaines et il a dit... Il faisait terriblement sec. Il nous fallait descendre dans des vallées pour trouver là où il y avait assez d’humidité pour marcher, sinon les écureuils vous entendraient. Et alors, il a dit: «Je connais un homme qui a cinq cents hectares là.» Et il a dit: «Je doute très fort qu’il me permette jamais de chasser, parce que c’est un vrai incroyant.»

            Et j’ai dit: «Ce serait pour nous un bon monsieur à rencontrer.»

15        Nous sommes donc allés, nous nous sommes approchés de sa maison, par devant. Il était assis dans la cour, causant avec un homme avancé en âge. Et après que nous nous sommes approchés en voiture, monsieur Wood est sorti, il a contourné le véhicule et il lui a dit: «Salut, Jim», ou je ne sais quel nom il portait.

            Il a dit: «Bonjour.»

            Il a dit: «Je pense que vous ne me connaissez pas.»

            Il a dit: «Si, je vous connais. Vous êtes le fils de Jim Wood, je pense.»

            Il a dit: «C’est exact.»

            Il a dit: «Je me demande si je peux chasser par ici.» Il a dit: «C’est très sec; nous chassions sur l’autre rivière, appelée Dutton.» Il a dit: «Il fait très sec là.»

            Il a dit: «J’ai cinq cents hectares ici. N’importe quel fils de Jim Wood peut se donner le loisir de chasser partout où il veut, à n’importe quel moment qu’il le veut.» Il a dit: «Je n’ai jamais de ma vie eu un ami plus honnête que Jim Wood.»

            Il a dit: «Merci.» Il a dit: «Eh bien, j’ai mon pasteur avec moi.»

            Il a dit: «Wood, tu ne veux pas dire que tu es tombé si bas qu’il te faut trimbaler un prédicateur avec toi partout où tu vas?»

            Il a dit: «Eh bien, je ne sais pas à ce sujet, mais je...»

16        Alors, je suis sorti du véhicule. Je suis descendu et j’ai dit: «Bonjour, monsieur.»

            Il a dit: «Bonjour. Eh bien, a-t-il dit, c’est vous le prédicateur?»

            Le sang des écureuils, la saleté (Oh! la la!), des moustaches longues comme ça, et j’ai dit: «Oui, monsieur. Je suppose que oui.»

            Et il a dit: «Eh bien, je pense que Wood vous a dit que je suis un incroyant.»

            J’ai dit: «Eh bien, il a dit quelque chose à ce sujet, mais j’ai du mal à penser qu’un homme qui témoigne de la gentillesse comme vous le faites soit réellement un incroyant.» J’ai dit...

            Il a dit: «Eh bien, je suis censé l’être.»

            J’ai dit: «Je suis content que vous ayez dit que vous êtes censé l’être.»

            Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je vais vous dire quoi.» Il a dit: «Je n’ai jamais vu quelque chose qui soit donc... d’autre que la simple psychologie, pour me prouver que Dieu existe.» Il a dit: «J’entends ces prédicateurs vociférer en parlant de l’existence de Dieu.» Et il a dit: «Il est mort là il y a longtemps, il y a deux mille ans.» Et il a dit: «A quoi peut me servir un tel Dieu, mort il y a deux milles ans, après que je serai mort?» Voyez?

            J’ai dit: «Oui, ça en était la fin. Vous avez bien raison.» J’ai dit: «Ça n’en était pas la fin.»

            Et il a dit: «Eh bien, il y a... Je n’ai pas été à l’église, a-t-il dit, ça fait environ cinquante ans.» Il avait environ soixante-quinze ans.

            J’ai dit: «Il n’y a pas tellement de quoi se vanter, n’est-ce pas, monsieur?»

            Il a dit: «Non, je pense que non.» Il a dit: «Mais il y avait un prédicateur qui avait tenu une série de réunions par ici, au...» Il a dit: «A Acton, il n’y a pas longtemps, sur ce camping méthodiste.» Il a dit: «Si jamais ce gars revient dans la contrée, j’irai l’entendre.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.» Frère Wood m’a regardé, il m’a cligné de l’oeil, vous savez. Et j’ai dit: «Oui, monsieur.» Et j’ai demandé: «Quel est son nom?»

            Il a dit: «Je ne sais pas son nom.» Il a dit: «Mais une vieille tante, Melissie Unetelle, habitait ici sur la colline.» Il a dit: «Moi... Ma femme et moi allions là, deux semaines durant, la soulever et retirer l’alèse; elle n’arrivait même pas à bouger à cause du cancer de l’estomac.» Et il a dit: «Les médecins l’avaient abandonnée des mois avant cela.» Et il a dit: «Qu’elle... On n’arrivait même pas à la placer sur un bassin hygiénique.» Et il a dit: «Sa soeur est allée à cette réunion ce soir-là.»

            Il a dit: «Il y avait, peut-être, quelque trois mille personnes là sur le camping.» Il a dit: «Ce prédicateur, c’était sa première soirée là, il a regardé au fond de l’assistance, il a désigné cette femme par son nom, il lui a dit qui était la femme pour qui elle priait. Alors, cette femme s’est mise à pleurer. Il a dit: ‘Eh bien, prenez ce mouchoir que vous avez baigné de vos larmes, allez le poser sur cette femme, car AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vivra.’» Et il a dit: «Je pensais qu’on avait fait venir l’Armée du Salut là-haut sur la colline, ce soir-là, lorsqu’ils étaient rentrés là; il y avait des cris et des hurlements, a-t-il dit; nous avions pensé que la femme était morte.» Et il a dit: «Mon épouse et moi, nous nous sommes habillés, c’était vers vingt-deux heures, nous sommes montés là et elle était en train de frire des tartes aux pommes et de les manger.» Et il a dit: «Elle n’arrivait même pas à boire le sirop d’orgeat ce matin-là.» Il a dit: «Et à présent, elle fait non seulement son propre travail, mais aussi tout le travail des voisins.»

            Et j’ai dit: «C’était merveilleux.»

            Il a dit: «Eh bien, quand je... ce gars revient ici, j’irai l’écouter.»

            J’ai dit: «Eh bien, et vous... Cela vous fera-t-il croire en Dieu si vous voyez quelque chose de semblable?»

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, eh bien, je–je pense, c’est quelque chose qu’on peut voir.»

17        J’ai dit: «Eh bien, c’était bien.» J’ai cueilli une petite pomme là. Combien savent ce que c’est une guêpe? Ainsi donc, une guêpe était sur cette pomme, je l’ai chassée et je me suis mis à manger la pomme. J’ai dit: «Ce sont des pommes délicieuses.»

            Il a dit: «Oui, elles le sont.»

            J’ai dit: «Quel âge a cet arbre?»

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, c’est moi qui l’ai planté là.» Il a dit: «Je pense que cet arbre a environ trente-cinq ou quarante ans.»

            J’ai dit: «Il produit des pommes chaque année?»

            Il a dit: «Oui, assurément.»

            Il pensait que je cherchais à changer de sujet. Voyez-vous? Alors, j’ai dit: «Eh bien, j’aimerais vous poser une question.» J’ai dit: «On est en mi-août, ou la dernière semaine d’août.» Et j’ai dit: «J’ai vu des feuilles tomber de cet arbre-là.»

            Il a dit: «Oui, oui.»

            Et j’ai dit: «Pendant... Je me demande qu’est-ce qui fait tomber ces feuilles de cet arbre-là.»

            Il a dit: «La sève descend.»

            J’ai dit: «Où est-elle partie?»

            Il a dit: «Elle est allée dans les racines.»

            J’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce qui la fait descendre là en bas?»

            Il a dit: «Où voulez-vous en venir?»

            «Eh bien, ai-je dit, assurément, avant qu’il y ait le gel ou n’importe quoi, quelque chose a dû avertir la sève de descendre dans les racines.»

            «Eh bien, a-t-il dit, ce n’est que la nature.»

            «Eh bien, ai-je dit, placez un bidon d’eau sur un poteau et voyez si elle descendra.» Voyez?

            Et il a dit: «Eh bien, que voulez-vous dire?»

            J’ai dit: «Monsieur, vous admettrez bien qu’il y a quelque chose qui s’empare de cette sève qui restait là-haut, sinon cela tuerait l’arbre. Vous n’aurez plus une autre pomme. Donc, quelque chose avertit cette sève, et elle descend dans les racines de l’arbre jusqu’au printemps et se cache; et puis, elle remonte et vous produit une autre moisson de pommes.»

            Il a dit: «C’est exact.»

            «Eh bien, ai-je dit, la même Intelligence qui a dit à cet arbre, à la sève de cet arbre: ‘Descends dans les racines, l’hiver arrive (avant qu’on ait même un coup de froid ou le gel), descends te cacher là’, c’est la même Intelligence qui m’avait dit que cette femme vivrait.»

            Il a dit: «Vous n’êtes pas ce prédicateur-là?»

            J’ai dit: «Si.» Là... Voyez?

            Eh bien, il a dit: «Vous savez quoi? Venez ici, j’aimerais vous serrer la main.» Il a dit: «Je n’y avais jamais pensé.»

            J’ai dit: «Monsieur, Dieu est tout autour de vous. Qui peut fabriquer les fleurs d’une même espèce, l’une d’une couleur et l’autre d’une autre couleur, sous le même soleil, sur le même...? Voyez? Rendre l’une rose, l’autre rouge, et l’autre blanche, et ainsi de suite? Dieu. Dieu est dans la nature. Si seulement vous méditez sur Lui, Il–Il habite dans la nature.»

18        Lorsque j’ai commencé à voir que Dieu s’appelait Aigle, et qu’Il appelait Ses enfants des aigles, Ses prophètes, alors je me suis demandé pourquoi. Et je me suis mis à faire des études sur l’aigle. L’aigle est un gros oiseau. Eh bien, le mot même aigle... Il y a quarante différentes sortes d’aigles que nous connaissons. Aigle veut dire un éventreur avec le bec. Et donc, un–un aigle est un oiseau étrange. Il peut voler plus haut que n’importe quel autre oiseau qui existe. Il n’y a pas un autre oiseau qui puisse suivre un aigle. Si un faucon osait suivre un aigle, il se désintégrerait dans les airs. Il n’en a pas la constitution. Un aigle peut s’élever si haut qu’aucun autre oiseau ne peut s’approcher de lui. Il va jusqu’à être perdu de vue, il continue simplement à monter.

            Eh bien, alors, ça ne lui servira à rien d’aller là-haut, s’il n’a pas la constitution qui lui permet de vivre pendant qu’il y est. Et c’est pourquoi Dieu appelait Ses prophètes des aigles. Plus haut vous montez, plus loin vous voyez.

            Eh bien, alors, s’il n’a pas un oeil qui lui permet de voir, son oeil sera proportionnel à sa capacité de monter; alors, à quoi lui servirait-il de monter là-haut si cela éblouissait sa vue?

19        C’est donc pareil pour beaucoup de gens qui osent monter très haut et qui sont éblouis une fois qu’ils se retrouvent là. A quoi sert-il donc de monter là-haut? Voyez? Vous pensez que vous décrocherez votre doctorat en philosophie, votre doctorat en droit, votre D.D.D., votre Q.S.D, et toute autre sorte de–de doctorat. Mais si vous montez là-haut sans en avoir la qualification, vous deviendrez aveugle à la chose même pour laquelle vous êtes monté. Cela ne servira à rien; vous ne pourrez plus voir en bas. C’est comme un frère a dit au sujet de la clé l’autre jour, il l’avait abandonnée, ou un homme l’avait laissée.

            Alors, un aigle, pour monter, il lui faut être un oiseau d’une constitution spéciale. Et un homme, pour être un serviteur du Seigneur, doit être un homme spécial. Il doit être changé à l’intérieur, être refait. C’est pourquoi Dieu appelle Ses enfants, Ses prophètes, des aigles. Il doit monter. Son oeil...

20        Et autre chose, si cet aigle osait monter là-haut avec juste des plumes ordinaires, comme celles d’un corbeau, ou d’un–d’un pigeon, eh bien, il serait complètement déplumé.

            Avez-vous déjà essayé d’arracher la plume d’un aigle? Vous feriez mieux d’avoir des tenailles et de poser vos pieds sur lui, car ces plumes tiennent bien en place. Sinon, il... elles feraient tomber l’aigle une fois qu’il serait monté là-haut, dans ces sphères où les autres oiseaux... Vous voyez donc, il doit être un oiseau spécial.

21        Autre chose au sujet d’un aigle, un aigle est un–un oiseau spécial; en effet, il ne construira jamais son nid par terre. Il construit son nid là-haut, très loin.

            Il identifie cela à Son Eglise. Vous êtes une ville située sur une montagne, pas dans une vallée. Vous êtes une ville située sur une montagne, que l’on peut voir de loin. Une lampe allumée, on peut la voir de loin. L’Eglise est située en haut, avec de hautes attentes, de hautes ambitions...

22        Je n’ai pas beaucoup confiance en l’église d’un pasteur qui n’a pas des ambitions de s’améliorer au jour le jour, année après année. Une église qui est vraiment une Eglise du Dieu vivant n’arrêtera jamais, disant: «Eh bien, je suis bien arrivée, je pense, tout est en ordre maintenant.» Là, ce n’est pas ça l’Eglise de Dieu. Elle a l’ambition de persévérer. «Eh bien, j’ai déjà fait ma part; j’ai amené un pécheur cette année, et il a été sauvé.» Frère, ce n’est pas l’ambition de l’Eglise de Dieu. S’il en amène un, il aimerait un autre, un autre, un autre, un autre, un autre. Il n’y a pas de fin à cela. Cela continue simplement à s’entasser. Voyez? Nous aimerions avoir une ambition et des attentes. Dieu veut qu’il en soit ainsi pour nous.

23        J’aimerais donc que vous remarquiez autre chose. Un aigle renouvelle sa jeunesse. Le saviez-vous? Un aigle renouvelle en fait sa jeunesse. Eh bien, il devient tellement vieux qu’il a du mal à voler et puis, tout d’un coup, quelque chose lui arrive. Eh bien, il a juste le même âge, mais il se sent jeune, et il se restaure simplement. Il devient de nouveau un bon aigle. Eh bien, la Bible dit que l’aigle renouvelle sa jeunesse.

            Je me rappelle la première fois que j’ai été dans une réunion des pentecôtistes, c’était à Mishawaka. J’étais un jeune prédicateur baptiste. Et je... là... J’avais entendu parler de ces gens. Ils avaient des signes derrière leurs véhicules, et je me suis dit: «Je pense que je vais y aller; c’est une réunion d’évangélisation.» Et je me suis assis au fond, dans la réunion, et je les ai entendus prêcher là. Oh! la la! Jamais de toute ma vie je n’avais entendu pareille prédication. Et ce soir-là, je me suis dit: «Je pense que je serai sur l’estrade.»

            Ils ont dit: «Que tous les prédicateurs viennent à l’estrade.» Il y en avait des centaines. Et alors, je... Ce jour-là, j’avais constaté que tous les jeunes prédicateurs avaient prêché sur ce que Jésus avait fait et tout à ce sujet, et–et, oh! je me suis dit: «Ils ont un merveilleux message.» Je n’avais jamais rien entendu de pareil auparavant.

            Ils parlaient en langues, criaient, dansaient et couraient çà et là. Je me suis dit: «Ouf! Ils ont de piètres manières, mais ils–mais ils passent certainement un bon moment avec cela; alors, je–je pense que c’est en ordre.»

            Alors, ce soir-là, à l’estrade, on a dit: «J’aimerais que chaque prédicateur se lève simplement et dise d’où il vient, quel est son nom.» Ainsi, à mon tour, j’ai dit: «William Branham, évangéliste, Jeffersonville, Indiana, baptiste.» Je me suis assis.

24        Et puis, ce soir-là, on a fait venir, pour la réunion du soir, un vieil homme de couleur, portant un long manteau très large, la vieille redingote des prédicateurs qu’on portait autrefois dans le Sud, à col en velours; il avait juste une petite couronne de cheveux blancs autour de sa tête. Le pauvre vieil homme pouvait à peine monter là. Il a dit: «Eh bien, c’est moi qui vais vous parler.» Il a dit: «Je vais tirer mon sujet de ce soir (je pense que c’était dans Job 7.27, ou quelque chose comme cela): Où étais-tu, lorsque je posais le fondement de la terre? Dis-le moi... car, leurs bandes. Lorsque les étoiles du matin chantaient ensemble, et que les Fils de Dieu éclataient en chants d’allégresse?»...

            Et je me suis dit: «Oh! la la! Pourquoi n’aligne-t-on pas un de ces jeunes hommes là? Un vieil homme comme cela, devant environ trois mille personnes? Eh bien, ils ne devraient pas aligner ce vieil homme là. Il est si raide qu’il a du mal à marcher.»

25        Eh bien, tous les frères disaient ce qui s’était passé ici bas sur terre, lui a commencé là il y a environ dix mille ans avant que le monde soit donc formé, quand les fils de Dieu éclataient en chants d’allégrese et que les étoiles du matin chantaient ensemble. Il a amené cela dans les cieux, et jusqu’à l’arc-en-ciel horizontal, en environ cinq minutes. Directement, il a sauté en l’air, il a dit: «Hourra!» Il a soulevé ses pieds ensemble, a pivoté, disant... il a dit: «Vous avez assez de place là pour que je prêche.» Il a quitté l’estrade.

            J’ai dit: «Frère, c’est ce dont j’ai besoin. Si cela fait agir un vieil homme comme cela, qu’est-ce que cela me fera faire, à moi qui n’ai que 25 ans?»

            Je vous assure, cela renouvelle sa jeunesse. Est-ce vrai? Lorsque le Saint-Esprit entre, Il fait agir un vieux comme un jeune. Oui. Ils deviennent des aigles. Quelque chose au sujet de... Je n’oublie jamais cela. Je ferais tout aussi mieux de dire quelque chose ici.

26        Ce soir-là, j’ai dormi dans un carré de maïs, j’ai pris ma vieille... J’avais une vieille Ford modèle T, elle faisait trente miles [48 km] par heure: quinze dans ce sens et quinze dans l’autre. Alors... J’ai enlevé la banquette arrière, le siège de devant, j’ai mis mon petit pantalon en crépon de coton entre les deux, et je les ai serrés. J’avais juste un dollar et cinquante cents pour rentrer chez moi, m’acheter de l’essence. J’ai pris des pains rassis et–et j’ai bu à une prise d’eau, quelque chose à manger.

            Et j’avais prié toute la nuit. Je disais: «Seigneur, jamais de ma vie je n’ai vu de pareilles gens. Je n’ai jamais entendu parler de pareille chose. Eh bien, je n’approuve pas leurs manières.» En effet, ils n’avaient pas du tout de manières. Mais j’ai dit: «Mais je–je pense certainement que ce sont les gens les plus heureux. Ils n’ont pas honte de leur religion.»

27        Et alors, le lendemain matin, je suis entré et je me suis assis. J’étais en petit tee-shirt, vous savez, et en pantalon en crépon de coton. Nous les baptistes, nous portions même le col roulé, vous savez. Alors, nous–alors, nous étions là, vous savez, en vacances. Alors, je suis... je me suis assis là, je m’étais assis à côté d’un frère de couleur. Eh bien, ils étaient obligés de tenir leurs réunions... Il y a de cela plusieurs années, et ils la tenaient là au nord, dans leur convention. Il y avait deux ou trois différentes dénominations pentecôtistes qui tenaient leur convention. Je pense qu’elles se sont maintenant demandées, on les appelle P A de W et P A de J C, ou, je pense, ça s’appelle aujourd’hui l’Eglise pentecôtiste unie. Ainsi donc... je pense que c’est ça. Alors, de toute façon, ils... J’étais assis là, là derrière, j’étais assis à côté d’un frère de couleur. Et alors, ce jeune homme est allé à l’estrade et a dit: «Le... Ce jeune prédicateur qui était à l’estrade hier soir, du nom de Branham. C’est un évangéliste, un baptiste. Nous aimerions qu’il apporte le message ce matin.»

            Oh! la la! Je me suis accroupi sous le siège. Je ne m’étais jamais de ma vie tenu devant un micro. Et je–je ne savais quoi faire, et avec ce pantalon en seersucker et un tee-shirt. Je me suis simplement accroupi.

            Alors, quelques minutes après, il a encore annoncé cela, disant: «Quelqu’un là dehors, ce jeune prédicateur du nom de William Branham.» Il a dit: «Dites-lui d’entrer. Nous aimerions qu’il apporte le message ce matin.» Ils ont encore chanté un cantique et ils ont attendu. Je me suis simplement accroupi.

            Alors, ce frère de couleur m’a demandé: «Le connaissez-vous?»

            «Oh?» J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Allez le chercher.»

            Et j’ai dit: «Ecoutez, frère, venez ici. Inclinez-vous.» J’ai dit: «C’est moi.»

            «Oh! C’est vous?»

            J’ai dit: «Oui, c’est moi.»

            Il a dit: «Eh bien, montez là.»

            J’ai dit: «Avec ce tee-shirt et ce pantalon en seersucker?»

            Il a dit: «Ces gens ne tiennent pas compte de ce que vous portez. Montez-y.»

            J’ai dit: «Non. Non.» J’ai dit: «Sh-h-h-h, gardez silence. Ne dites rien à ce sujet», comme cela.

            On a demandé: «Quelqu’un a-t-il trouvé William Branham?»

            Il a dit: «Il est ici. Il est ici. Il est ici.»

            Je me suis senti très bizarre, avec ce petit pantalon en seersucker et un tee-shirt. J’avais assez de cheveux pour être gonflé un peu à l’époque, vous savez; je suis donc monté à l’estrade, et je me suis dit: «Que vais-je dire? Avec toutes ces personnes si heureuses comme cela.» Je n’oublie jamais. J’ai pris mon texte dans Job. Et je ne suis pas... Excuse-moi, j’ai pris mon texte dans Luc: «L’homme riche leva les yeux depuis l’enfer, et alors, il pleura.» Et j’ai dit: «Il n’y avait pas d’enfants là-bas, alors, il pleura.»

            Quelqu’un a dit: «Amen.»

            Je n’avais jamais entendu cela auparavant lorsque je prêchais. Et j’ai dit... J’ai dit: «Il n’y avait pas de fleurs là-bas, alors il pleura. Il n’y avait pas de Dieu là-bas, alors, il pleura.» Ils se sont mis à dire: «Amen. Amen.» Je continuais à dire: «Pas de fleurs, pas d’enfants là-bas, pas de chrétiens là-bas. Alors, il pleura; alors, il pleura.» Alors, je pleurai. [Frère Branham rit.–N.D.E.]

28        Oh! Dieu est merveilleux, n’est-ce pas? Il renouvelle notre jeunesse. Il renouvelle notre jeunesse comme l’aigle.

            Eh bien, l’aigle est un gros oiseau. Je peux traîner là-dessus jusqu’au matin, rien que sur l’aigle.

            L’une des choses les plus tristes que j’aie jamais vues de ma vie, je crois, c’est quand j’étais à Cincinnati il n’y a pas longtemps, il y a environ quatre ou cinq ans, j’avais amené mes enfants là-bas pour visiter le zoo. Et je–j’avais mes petits enfants, je les promenais, je leur montrais le zoo, pendant que leur mère prenait le dîner à table, et nous effectuions une sortie de samedi après-midi. Et je suis allé à une grande cage. Et là, j’ai vu quelque chose...

            J’ai toujours eu pitié d’un animal enfermé dans une cage. Je ne peux même pas avoir un canari chez moi. Voyez? Je n’aime pas voir quelque chose être enfermé. Absolument pas. Je n’aime pas voir quelque chose dans la servitude. Je crois à la liberté.

            Je suis allé au zoo et j’ai vu ces lions parcourir une pièce. Et lorsque j’étais en Afrique, on m’avait offert deux petits lionceaux, et je pouvais les ramener, mais je disais: «Si j’avais...» J’ai dit: «Qu’en ferai-je?»

            Il a dit: «Un autre... Dans un an, ils deviendront très gros.» Il a dit: «Placez-les dans un zoo.»

            J’ai dit: «Libérez-les ici même dans le désert.» Je ne mettrai jamais quelque chose en prison. Je n’aime pas voir quelque chose dans la servitude.

29        Et alors, je–je me promenais, on venait d’attraper un gros aigle, énorme, un bel oiseau; on l’avait enfermé dans cette cage. Et cet aigle, toutes les plumes de son visage et de sa tête étaient rabattues. Ses ailes avaient été rabattues comme ça. Je me suis tenu là, le regardant. Il retournait là dans la cage, retournait comme ceci; il s’engageait, rabattait ces grosses ailes, se cognait contre cette cage-là et retombait comme cela. Il restait couché là, les yeux levés vers les cieux, ces yeux bas regardaient tout autour.

            Pourquoi? Oh! De par sa naissance, c’est un oiseau céleste. Il habite dans les cieux. Il ne peut pas se libérer. Il est complètement désespéré. Quelqu’un l’avait attrapé, un gars habile l’avait attrapé et l’avait placé là-bas. Il s’est arraché les plumes des ailes. Il s’est arraché les plumes de la tête. Il restait couché là, les pattes levées, ces gros yeux regardant là-haut, à sa demeure. Combien il désirait ardemment être libre, déployer ses grandes ailes, s’envoler dans les cieux en trompetant. Il tenait à redevenir libre. Il pouvait regarder, mais il était dans une cage.

30        Je me suis dit: «C’est la chose la plus pitoyable que j’aie jamais vue de ma vie.» Je me suis dit: «Si on voulait me vendre cet aigle, je l’acheterais maintenant même pour le relâcher même s’il me fallait crever de faim à moitié, rationner mes enfants à table pour acheter cet aigle et le libérer.» Ils ne voudraient pas le vendre.

            Puis, je suis allé là m’asseoir. Je ne pouvais pas m’empêcher de pleurer. Puis, quelque chose m’a dit: «Tu as vu pire que ça. Voir des hommes qui sont nés pour être des fils de Dieu enchaînés par des credo, des dénominations, et–et des gens qui disent: ‘Les jours des miracles sont passés’, alors qu’en réalité ils sont nés pour être un aigle qui s’envole là, dans les lumières célestes, frère, par la puissance et la force surnaturelle de Dieu, marcher par la foi et non par la vue. Et un gars malin l’a attrapé et l’a lié là à quelque chose, par un credo ou quelque chose comme cela: ‘Répète tel credo, et c’est tout ce que tu dois faire.’»

31        Oh! Frère, faire sortir cet homme-là d’une cage... Voir des fils et des filles de Dieu enfermés dans une cage, c’est–c’est pitoyable. La chose la plus triste que j’aie jamais vue, c’est de savoir que des hommes et des femmes qui sont nés... Voir des femmes marcher dans la rue à moitié nues, dans ces drôles de petits habits par ici, et de savoir que cette femme est absolument possédée d’un mauvais esprit... C’est vrai.

            Soeur, permettez-moi de vous dire quelque chose. Vous direz: «Je suis tout aussi pure que le lys. Je porte ça.»

            Mais, savez-vous quelque chose? Permettez-moi de vous dire qu’au jour du Jugement, vous allez répondre d’avoir commis adultère. La Bible dit: «Celui qui regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur.»

            Vous pourrez être tout aussi pure qu’un lys, mais en vous habillant comme cela et qu’un homme pécheur du monde vous regarde, et il aura à répondre d’avoir commis adultère avec vous, et vous aurez à répondre de vous être exposée comme cela devant lui. C’est vrai.

            Ces drôles de petits habits sales et sexy que ces femmes portent... Cela entre dans nos milieux pentecôtistes aussi. C’est vraiment dommage! Ne faites jamais ça, absolument pas.

32        Une dame m’a dit... Je disais quelque chose de ce genre une fois, cette femme m’a dit, elle a dit: «Eh bien, Frère Branham, on ne vend plus un autre genre d’habits à part celui-là.»

            J’ai dit: «On vend toujours des tissus, et on a des machines à coudre. Il n’y a pas du tout d’excuses.» C’est vrai.

            Frère, lorsque ce vieux coeur se sera mis en ordre avec Dieu là et que cet esprit d’aigle commencera à s’éveiller, vous monterez au-dessus de ces choses du monde. Le problème, c’est que nous ne participons pas aux réunions de prière, nous ne fréquentons pas l’église, et nous ne faisons pas ce qui est bien. Nous restons à la maison pour voir un film ou quelque chose comme cela à nos télévisions, des émissions non censurées, certaines plaisanteries malsaines et tout qu’on raconte. Et c’est une chose mauvaise à placer devant une–une jeune... notre jeune génération. Le... Autrefois, c’était mauvais pour les gens, les gens de la sainteté, d’aller au cinéma. Le diable leur en a flanqué un, il a carrément placé cela dans leurs maisons. C’est tout à fait vrai.

            Oh! C’est vraiment dommage! Mais, frère, permettez-moi de vous dire, cela... on peut vous enfermer dans une cage, mais vous êtes toujours un aigle. Je peux vous rassurer, il y a une issue ce soir. Oui, certainement. Absolument.

33        Cela... Vous savez, il nous convient de–d’étudier juste un peu l’aigle. Nous pouvons nous attarder dessus pendant des heures, mais étudions cet aigle juste un instant et voyons ce qu’il est.

            Eh bien, c’est pitoyable à voir. Des fils et des filles nés pour être des fils et des filles de Dieu.

            Ici dans l’Iowa, il n’y a pas longtemps, pour nous arrêter juste une seconde, je... Un homme m’a amené dîner avec lui. Et il est allé... en plein air, il a regardé, il a dit, c’est un... Il élevait des cochons. C’est en ordre. Il n’y a pas de problème s’il veut faire cela. Il a dit: «J’ai le tr... le meilleur troupeau des cochons du pays.» Il a dit: «Ce troupeau, c’est mon père qui avait commencé avec; il nous a tous élevés avec, nous les enfants, il me l’a laissé. J’ai élevé tous mes enfants, je le leur laisserai, ainsi de suite.»

            Et j’ai dit: «C’est très bien, monsieur.»

            Je... Il a dit: «Tout ça me–m’appartient.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

34        Un serpent ne peut pas monter là, c’est à un lieu très élevé; puis, il sortira prendre des ronces vertes, il reviendra tisser ce nid, pour se rassurer que le vent ne l’emportera pas, en effet, c’est ancré dans le rocher.

            Oh! la la! J’aime ça. Dieu bâtit Son Eglise sur le rocher et L’y ancre.

            «Sur ce roc, Je bâtirai Mon Eglise.» Ancrée sur ce roc. Il est la Pierre principale de l’angle.

            Et lorsqu’il construit son nid là-haut, alors... Eh bien, c’est plein d’épines. Et alors, une mère aigle va se rassurer que ses petits vont avoir une–une bonne place où rester, elle sort donc prendre tout ce qu’elle peut trouver. Elle tuera un lapin, en mangera la viande, enlèvera la fourrure et mettra cela à ces petits endroits, dans chaque petite fissure et renforcera cela au point que ça deviendra aussi confortable et bien arrangé que possible, une fois–une fois le nid terminé. Alors, elle... Qu’apprête-t-elle? Elle prend des dispositions pour ses petits. Et elle veut qu’ils aient un bon petit endroit doux où marcher et tout. Elle prend soin d’eux. Dieu fait de même pour Ses enfants. Oh! Comme Il bénit notre coeur! A la naissance des aiglons, le petit nid est doux pour y marcher.

35        Vous vous rappelez tout au début, lors de votre nouvelle naissance, lorsque le Saint-Esprit est venu sur vous; vous êtes devenu un chrétien, vous aviez l’impression de marcher sur des plumes, n’est-ce pas?

            Je me rappelle lorsque j’ai été sauvé, je... Eh bien, j’étais à environ quarante yards [36,56 m] de la maison, une planche sur laquelle marcher s’étendait là. Et je vous assure, je ne crois pas que j’aie jamais touché une planche en entrant.

            Et maman a demandé: «Billy, qu’est-ce qui te prend?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas au juste, maman. Je ne peux donc pas te le dire.»

            Et je–j’ai pris ma Bible; je n’arrivais pas à La lire. J’ai pris un recueil de chants, je n’arrivais pas à le lire. J’ai simplement déposé cela, je suis passé derrière la maison. Il y avait une voie ferrée là derrière, et je suis allé sur cette voie ferrée, et il me fallait laisser échapper la pression quelque part. J’ai dévalé cette voie de toutes mes forces, je sautais très haut en l’air, criant: «Hourra!», de toutes mes forces. Il me fallait laisser échapper cette pression. Oh! Je–je planais dans l’air. Oh! la la! Cette nouvelle naissance!

36        A l’arrivée de cet aiglon, oh! il est un... Il aime sa demeure. Eh bien, la mère aigle sort et attrape des poissons, elle attrape des lapins, elle attrape des brebis ou tout ce qu’elle peut attraper, et elle prépare un bon repas pour cet aiglon. Elle se rassure que ce petit reçoit la chose convenable.

            Je suis si content que Jéhovah veille à ce que Ses aiglons reçoivent le bon genre de nourriture. Il placera cela devant vous, que vous vouliez le manger ou pas. Vous aurez à détourner la tête. Mais si vous êtes né aigle: «Mes brebis, Mes aigles, connaissent Ma Voix.» Ils reconnaissent la nourriture.

            Il a demandé: «Pierre, M’aimes-tu?» Il a dit: «Pais Mes brebis.»

            J’aime ça: «Pais Mes brebis.» «Pais Mes brebis. Ne les conduis pas; pais-les. Pais-les de la Parole; elles aiment la Nourriture des brebis.» Vous savez, il y en a qui n’aiment pas cette nourriture des brebis. La nourriture des brebis, c’est ce bon sentiment à l’ancienne mode, provenant du salut à l’ancienne mode; on est tout aussi libre qu’on peut se sentir, pas de condamnation.

            Eh bien, autrefois, nous nous levions, nous tapions les mains, et nous chantions: «Je me suis très bien senti, il n’y a pas de condamnation dans mon coeur.» On passait un bon moment. Et, évidemment, cela amènera les petits poussins à lever les yeux et à dire: «Tsk, tsk, tsk, c’est du fanatisme.»

37        Il n’y a pas longtemps, il y eut un fermier, un fermier ambitieux. Il n’avait pas une très grande grange. Mais il avait simplement fait de bonnes récoltes, et il avait fait tout ce qu’il pouvait pour prendre soin de sa réserve. Un autre fermier avait de bons tracteurs, mais il était trop paresseux pour–pour cultiver.

            Eh bien, en automne, il–il coupa de mauvaises herbes et les mis dans la grange. Il avait une belle grange (Oh! la la!), une bonne grange. Mais l’autre fermier, il ne consacrait pas son temps à la grange, il veillait plutôt à ce que les... ses animaux soient bien nourris.

            Il naquit alors un veau dans chaque grange et–et l’année qui suivait, au printemps, vous savez, le–le... probablement que le veau qui était né dans une bonne grange, avec de très hautes flèches, vous savez, des sièges en peluche... Vous savez de quoi je parle, vous pouvez donc lire entre les lignes. Mais il n’avait pas beaucoup de nourriture.

38        Ainsi donc, on les a fait sortir, eux tous, pour prendre un peu d’air du printemps. Oh! la la! Ce petit veau qui était là dans une petite mission, quelque part, une petite église, vous savez, il–il était tout gras, tout rond, plein de vitamines. Oh! la la! Il est sorti là, et le vent s’est mis à souffler sur lui. Il était très dynamique. Il s’est mis à gambader çà et là, çà et là, çà et là. Eh bien, il se sentait bien.

            On a sorti l’autre petit veau, il avait été nourri de mauvaises herbes ecclésiastiques, vous savez. Une fois dehors, ce pauvre petit veau a failli se faire renverser par le coup de vent, il a titubé comme ça. Il a collé son petit visage à la fissure de la clôture, il a regardé au travers, il a vu ce petit veau tout heureux, gambadant, gambadant tout autour, il a dit: «Tsk, tsk, tsk, quel fanatisme!»

39        Oh! J’aime avoir la nourriture des brebis, une bonne nourriture, la puissance de Dieu, la Parole de Dieu. Le Saint-Esprit s’En nourrit. C’est ce dont l’église a besoin ce soir, d’une bonne prédication de l’Evangile solide, un enseignement de l’Evangile, le salut de l’Evangile, le Saint-Esprit de l’Evangile. Amen! Nous ne sommes pas tellement intéressés dans ce que... Cette nation peut ne pas avoir besoin d’un nouveau président; la ville peut ne pas avoir besoin d’un nouveau maire; mais ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un bon réveil d’autrefois, à la saint Paul, et du Saint-Esprit biblique, une fois de plus dans l’église. C’est ce qu’il nous faut, des brebis nourries de la nourriture des brebis, pas de mauvaises herbes ecclésiastiques.

40        Eh bien, ce petit nid était bien arrangé, et elle lui apportait de la–la nourriture, il mangeait et, oh! la la! il grandissait. Eh bien, la chose suivante, vous savez, il commence à porter des plumes. Vous savez, il commence à vivre la seconde oeuvre de la grâce. Et il–il commence à être très bien emplumé, vous savez. Alors, la mère aigle se met à regarder en bas et se dit: «Vous savez, je n’aimerais jamais que mes enfants deviennent des poulets.» Un point trait.

            Vous savez, Dieu est aussi déterminé pour cela. Il ne veut pas que nous soyons des poulets terrestres. Alors, la mère aigle dit: «Je dois veiller à ça.» Alors, la chose suivante, vous savez, elle doit faire sortir ces aigles de ce nid-là. C’est tout. S’ils y restent, ils seront terrestres.

            Et c’est ce qui se passe. Vous... Je me suis souvent demandé pourquoi nous allions loin chercher à être très instruits sur le plan scolaire pour devenir un prédicateur, et alors, nous venons avec toute l’histoire de l’église, et tout ça, toutes les vitamines et tout, et puis, on fait volte-face et on dit: «Eh bien, évidemment, les jours des miracles sont passés.»

41        Comment pouvez-vous donc prendre un homme qui gèle à mort, comment pouvez-vous donc le faire dégeler à un feu peint? Et si un homme gelait et que vous disiez: «Voyez-vous cet énorme feu peint là? ‘Le jour de la Pentecôte, il vint un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis.’»

            «Oui, je frisonne.»

            «Oh! Le Saint-Esprit descendit sur eux, des langues de feu.» Oh! C’était une chose grandiose, mais c’était là dans le passé. Voyez? C’est un feu peint. Vous ne pouvez pas vous réchauffer à cela. Si nous avons besoin du feu aujourd’hui, nous ne pouvons certes pas nous réchauffer à un feu historique. A quoi sert un Dieu historique, si le Dieu d’Abraham n’est pas le même Dieu aujourd’hui, si le Dieu de Paul n’est pas le même Dieu aujourd’hui? Si le Saint-Esprit qui était descendu à la Pentecôte n’est pas le même aujourd’hui, où en sommes-nous donc? C’est ça.

42        C’est comme gaver vos canaris de beaucoup de graines pleines de vitamines qui leur donnent de bonnes ailes, puis les enfermer dans une cage tout le temps. Voyez? Il ne peut pas utiliser ses ailes. A quoi sert-il d’apprendre tout au sujet de Dieu si vous cherchez à dire qu’Il est mort il y a deux mille ans et qu’il n’y a plus rien à cela? Je crois qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il vit. Et Il a dit: «Car Je vis, vous vivrez aussi.» Amen. Je suis content pour la Nourriture de l’aigle. C’est vrai.

43        Eh bien, la vieille mère aigle est déterminée à ce que les aiglons ne s’accommodent pas trop à ce nid. Et Dieu est aussi déterminé à ce que le bébé nouveau-né ne s’accommode pas à ce monde. C’est vrai. Il ne veut pas que nous nous accommodions ici. Il va prendre des dispositions pour notre envol.

            Quelques jours avant que la vieille mère aigle emmène ses petits dans un vol, savez-vous ce qu’elle fait? Premièrement, elle monte là. Elle se tient sur le nid. Et certains aigles mesurent quatorze pieds [4 m] d’un bout à l’autre. C’est l’oiseau le plus gros que nous avons. Elle va se tenir sur le nid. La vieille mère aigle est généralement la plus grande des deux. Et elle va marcher çà et là sur ce nid, elle va trompeter, grailler. C’est très perçant, le son qu’émet un aigle. Que cherche-t-elle à faire? Elle cherche à enseigner à ses petits le timbre de sa voix. Ils vont connaître des dangers d’ici peu, ils doivent donc identifier le timbre de la voix de la mère.

            Oh! Je vous assure, il vous est avantageux d’écouter la Voix de Dieu, ce doux murmure qui parle, profond et riche. Elle attire l’attention de Son peuple.

44        Elle marche çà et là sur ce nid. Et puis, parfois, elle va déployer Ses énormes ailes et les battre. Et ces aiglons vont... cela les projettera un peu par terre d’une secousse, vous savez. Ils vont regarder, et: «Oh! Maman, que tu es un gros oiseau!»

            Oh! J’aime vraiment ça. En effet, Dieu a deux ailes, l’Ancien et le Nouveau Testaments. Il les déploie, et nous voyons cela, nous levons les yeux et disons: «Que Tu es grand! Que Tu es grand!», lorsque nous apprenons qu’Il a ouvert la mer Rouge et qu’Il a fait traverser les enfants d’Israël, qu’Il a ressuscité Lazare d’entre les morts; qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement; le Nouveau et l’Ancien Testaments; le même Dieu, le même Jéhovah, le même Saint-Esprit en plein dans l’église aujourd’hui, se mouvant de part et d’autre. «Voyez-vous combien Je suis grand? C’est Moi qui ai délivré Moïse. C’est Moi qui ai délivré Daniel. C’est Moi qui ai fait sortir les enfants hébreux de la fournaise ardente. C’est Moi qui étais à Sodome et Gomorrhe. C’est Moi qui ai parlé à Abraham. Oh! Je suis le JE SUIS. JE SUIS présent maintenant.»

45        Oh! Dieu va emmener Ses aiglons à voler seul un de ces jours. Oui, oui. Que prépare-t-Il?

            Voyez, ils ne connaissaient rien d’autre que le nid. Ils ne connaissaient rien d’autre qu’une dénomination, un credo. Et ce sont des aigles, Dieu marche donc de part et d’autre, même dans cette réunion, soirée après soirée, montrant ce qu’Il est. Il est le JE SUIS, a-t-Il dit. Il est Dieu, Il est Jéhovah-Aigle, Il cherche à montrer aux gens qu’Il est le même gros et puissant oiseau, en disant: «Voyez-vous Mes énormes ailes? Mère aigle. Eh bien, c’est vous le frère le plus ancien et celui qui vole par ici, pour vous voir de temps à autre, je l’ai fait sortir du nid sur ces ailes. Croyez en Moi.»

            Oh! Alléluia! Je regarde à la Pentecôte jadis. Il a levé haut Ses ailes pour leur donner la Pentecôte en l’an 33 après Jésus-Christ. Il donne encore la Pentecôte à mes enfants aujourd’hui. Amen. «Je suis Jéhovah-Aigle. Je vous porte sur les ailes de l’aigle. Je suis le même hier et aujourd’hui. C’est Moi qui avais fait sortir les enfants hébreux de la fournaise ardente. C’est Moi qui avais parlé à Moïse dans le buisson ardent. Je suis le même. J’aimerais que vous sortiez. Si vous êtes malades, si vous avez un besoin, J’aimerais que vous vous avanciez. Je suis le JE SUIS. Je suis Jéhovah, écoutez Ma Voix.» Ecoutez-moi, ne suivez pas la voix des poulets qui cherchent à vous parler, ou d’un charognard. Vous feriez mieux d’écouter la maman aigle. C’est ça Sa voix, ici dans la Parole. Que va-t-Il faire?

46        Eh bien, ces grandes ailes, ils doivent faire confiance à ces ailes-là. Eh bien, elle regarde sa couvée, depuis qu’elle est dans ce vieux nid ecclésiastique, elle n’a pas une très bonne mine. Eh bien, ils ont beaucoup de plumes molles, et elle sait que si jamais elle amène un de ces aiglons dans les airs, qu’elle le laisse tomber, avec ces plumes molles, il va se casser le cou.

            Il y a encore trop de doute dans l’église pour prendre l’envol. C’est vrai. On a trop de plumes d’oie, trop de plumes molles. Savez-vous donc ce qu’Il fait? Il vous donne la troisième oeuvre de la grâce. Il se tient là derrière, prend ces grosses ailes et se met à les laisser tomber comme cela; un vent impétueux passe par là et toutes les plumes molles se mettent à s’envoler.

            Oh! Lorsque ce vent impétueux vient du Ciel, le baptême du Saint-Esprit, toutes les plumes de doute se détacheront de vous en s’envolant. Amen! Eh bien, je me sens religieux (Amen!), je commence à avoir envie de vous parler maintenant. Oh! Lorsque ces vieux jours de doute, ces petites plumes drôles ressorties là disent: «Les jours des miracles sont passés. Le Saint-Esprit n’existe pas», laissez ce vent impétueux descendre, les ailes du Nouveau et de l’Ancien Testaments commencer à flotter, disant: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Alors, toutes ces drôles de petites plumes pointues se mettent à s’envoler. Vous feriez mieux de ne pas vous engager avec cela, sinon, vous connaîtrez des déboires quelque part là dans les airs. Vous n’effectuerez jamais ce vol seul. Elle se prépare.

47        Eh bien, elle les dépouille de toutes leurs plumes en éventant, se rassurant qu’elles sont toutes bien et fermes. Eh bien, elle est sur le point de les amener dans un vol. Ces aiglons ne veulent pas partir; ils sont bien contents de marcher dans ce nid-là. Ainsi, vous savez, que fait-elle après? Elle s’envole droit dans ce nid-là et prend ce gros bec, enlève ces plumes là. Elle enlève la peau de brebis, la dépose dehors et la jette à côté des parois. Il ne reste là que des épines; alors, ces petits oiseaux connaissent un temps difficile.

            Vous savez, au début, quand vous aviez reçu le Saint-Esprit, vous savez, tout le monde s’était mis à parler de vous, à se moquer de vous, et tout le reste. Vous rappelez-vous comment c’était? Chaque fois qu’il s’assoit, il y a une épine. Là derrière, vous savez... Mais Il ne veut pas que vous vous accommodiez à ce monde. Il est prêt à vous emmener quelque part. Parfois, Il laisse une maladie vous frapper. Il laisse un cancer, Il laisse une tumeur ou quelque chose comme cela vous frapper pour voir si vous êtes prêt pour l’envol. Oh! Voir si vous êtes prêt! Où sont toutes les plumes? Voir si tout est en ordre.

48        Oui, le médecin m’avait consulté et avait dit: «Il vous reste trois minutes à vivre.»«Oui, mais si j’avais suivi cela, je serais mort il y a des années.» Mais Il a simplement fait s’envoler toutes les plumes molles d’une façon ou d’une autre.

49        Et le drôle de petit aigle se mettra en route et il... Tout est du genre misérable, il s’assoit, oooop, et il enfonce ses pattes. Et il a des épines partout dans le nid, ces drôles de ronces vertes. Elle les place là à dessein.

            Et la Bible nous dit que nos épreuves valent pour nous plus que de l’or précieux, et alors nous nous agitons à ce sujet. «Oh! Dois-je être transporté au Ciel sur un lit fleuri d’aisance, alors que d’autres ont combattu pour gagner le prix et ont navigué sur des océans de sang?» Certes, nous les Américains, nous aimons bien nous mettre à l’écart pour être divertis. Si quelqu’un dit quelque chose, il dit: «J’ai appris que vous vous êtes joint aux saints exaltés?»

            «Eh bien, je pense que je n’y retournerai plus, mon épouse.» Oh! la la! Vous êtes un piètre aigle; vous êtes peut-être une buse, mais vous n’êtes pas un aigle. Ça, c’est une chose sûre. Permettez-moi de vous dire, frère, oui, oui, si vous êtes un vautour, mangez les choses du monde, mais un aigle se nourrit de la viande fraîche. Alléluia!

            L’aigle de Dieu se nourrit de la Parole de Dieu et rien que Ça. Il n’a pas... Il ne peut pas digérer cette vieille chose du monde. C’est vrai. Il ne va pas–il ne va pas digérer. Il ne peut simplement pas supporter cela après tout. Il veut de la viande fraîche. Il veut la fraîcheur du Saint-Esprit, la viande de Dieu en direct de la Bible. Il désire ardemment cela; il conduira dans les tempêtes de neige et partout. Dès qu’il apprend qu’il y a un réveil en cours, il s’envolera vers cela de toutes ses forces. Jésus a dit: «Là où est le corps, là s’assembleront les aigles.» Amen!

            Qu’ils soient presbytériens, méthodistes, baptistes ou je ne sais quoi, lorsque la puissance de Dieu se met à descendre selon la Parole de Dieu, les véritables et authentiques aigles viendront à ce festin. Il n’y a rien au monde qui les en empêchera. Il... Allez de toute façon, là où la puissance de Dieu descend... Vous pouvez dire que ce sont des saints exaltés ou tout ce que vous voulez, ils iront malgré tout, n’en faites pas... car ce sont des aigles. Ils–ils se nourrissent de cela. C’est ce dont ils se nourrissent.

50        Cette mère, il arrivera un temps où elle doit éveiller cette couvée, elle va jeter tout cela dehors, jeter toute la–la–la partie molle, et vous soumettre à des épreuves. Eh bien, que ferait une petite buse qui serait perchée dans ce nid-là? Elle n’en sortirait jamais; c’est tout. Mais un aigle, il éveille sa couvée et il est prêt.

            Eh bien, un jour, elle dira: «Je pense qu’il est maintenant temps d’amener mes petits dans un envol.» Alors, elle vient en trompetant dans l’air: «Oui, maman arrive.» Ils reconnaissent cela. Juste comme une église remplie du Saint-Esprit, lorsque le Saint-Esprit commence à descendre, les mains vont se lever: «Alléluia! Il est ici.» Amen. «Oh! Je suis très content.» Eh bien, votre voisin est assis là; peu vous importe qui est assis là. La mère Jéhovah entre dans le nid. Gloire!

            Laissez-Le descendre ce soir. Laissez-Le déployer Ses grandes ailes à cet endroit, faire sortir chaque personne du fauteuil roulant, amener chaque pécheur à l’autel. Il viendra, monté sur les ailes d’un aigle. Amen! Oh! Je me sens bien. Oui, oui, Il viendra, si vous Le lui permettez, si vous L’invitez. Vous entendez ce cri retentir: «Mes brebis connaissent Ma Voix. Elles peuvent discerner cela.»

51        Oh! Je parlais à un médecin il n’y a pas longtemps, et il disait: «Billy...» Je tenais une série de réunions dans l’auditorium d’une école secondaire à Jeffersonville, chez moi. Et les gens se sont mis à crier et louer le Seigneur là-bas, à cause de ce qui arrivait. Et ce médecin m’a dit... J’ai dit: «Qu’en pensez-vous, doc?»

            Il a dit: «Billy, vous savez quoi? Je pense que ces gens sont simplement excités.»

            J’ai dit: «Vous, en tant que médecin, vous savez qu’on ne peut pas être excité s’il n’y a rien qui vous excite.»

            Oh! Gloire à Dieu! Assurément. Si le Saint-Esprit arrive et nous excite, nous sommes prêts à prendre l’envol un de ces jours vers la Gloire. Assurément! C’est excitable. Si cela ne peut pas être excité, j’échangerai cela contre quelque chose qui peut être excité.

52        Je peux vous prouver par la science que tout ce qui ne–qui ne bouge pas est mort. C’est vrai. Vous savez, si un enfant naît et qu’il ne crie pas, qu’il ne pousse pas des cris, il ne fait rien, cet enfant-là est mort. C’est ça le problème de l’église aujourd’hui; nous avons beaucoup d’enfants mort-nés. Savez-vous ce que le médecin fait généralement? Il le soulève par les talons et lui administre une petite stimulation par le protoplasme postérieur. Cela lui règle bien son compte. Ce dont l’église a besoin aujourd’hui, c’est d’une bonne stimulation à l’ancienne mode par la puissance du Saint-Esprit, pour entrer dans l’église. Il nous taille en pièces, nous secoue, éveille la couvée et fait s’envoler les plumes molles à coup de vent.

            Les pentecôtistes ont besoin d’être éveillés (Amen!), faire s’envoler des plumes molles. Nous accumulons trop de doute parmi nous, des superstitions et des «Cela peut-il se faire? Serait-ce vrai?» Certainement, c’est vrai. La Parole de Dieu dit que c’est ça. La nourriture de l’aigle prouve que c’est ça. Amen. Assurément. L’Aigle-Jéhovah arrive et éveille sa couvée. Et l’église devient trop... Elle stagne. Oui. Il ferait mieux d’arriver pour éveiller cela.

53        Eh bien, vous direz: «Frère Branham, j’ai déjà eu le Saint-Esprit.» Oui, mais il y a des plumes molles là. Voyez?

            Je me tenais une fois à côté d’une mer, c’était en fait le lac Michigan, là où il se trouve. Et j’ai observé une chose, là, les eaux bondissaient à l’intérieur et débordaient. Je me tenais là et je me suis dit: «Des flots de joie inondent mon âme, pareils aux vagues de la mer qui déferlent.» Je me suis mis à méditer, je me suis dit: «Sais-tu quoi cependant? Il n’y a pas une seule goutte d’eau de plus dans cet océan, ou plutôt dans ce lac, par rapport à ce qu’il y avait lorsqu’il était parfaitement tranquille.» C’est exact. Il contient la même quantité d’eau, mais ça bondit et ça s’agite. Je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce qui se passe? Il connaît un réveil.» Qu’est-ce que ça fait? Cela rejette toute la saleté sur le rivage. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un bon réveil à l’ancienne mode, envoyé de Dieu pour ôter le doute et la saleté de notre coeur, et jeter cela sur le rivage, oublier cela (Amen), nettoyer la mer. Amen. C’est ce dont nous avons besoin, d’un bon déferlement à l’ancienne mode.

54        J’aime quelque chose qui a la vie, qui est en mouvement. J’étais garde-chasse de l’Indiana. J’avais l’habitude de passer à côté d’une source. C’était la source la plus jolie que j’aie jamais vue. Que ça soit en été ou en hiver, elle bouillonnait toujours, bouillonnait, bouillonnait et bouillonnait. Je me disais: «Eh bien, vous savez, c’est la chose la plus heureuse que j’aie jamais vue.» Un jour, je me suis assis et j’ai dit: «J’aimerais te poser une question, madame la Source. Pourquoi es-tu si heureuse? Qu’est-ce qui te fait bouillonner tout le temps? Es-tu si heureuse du fait que ces lapins s’abreuvent auprès de toi?»

            «Non», aurait-elle dit, si elle pouvait parler.

            J’ai demandé: «Eh bien, es-tu donc heureuse du fait que peut-être le bétail s’abreuve auprès de toi?»

            «Non.»

            J’ai demandé: «Qu’est-ce qui te fait alors bouillonner, est-ce parce que je bois de toi?»

            Elle aurait dit: «Non, Frère Branham, ce n’est pas ça.»

            Je demanderais: «Qu’est-ce qui te fait bouillonner?»

            Elle dirait: «Ce n’est pas moi qui bouillonne, il y a quelque chose derrière moi qui me fait bouillonner.» C’est–c’est ce qui se passe. C’est ce dont l’église a besoin aujourd’hui, le Saint-Esprit derrière eux pour faire bouillonner un peu, ôter cette incrédulité, la saleté et la–la pensée que les jours des miracles sont passés, et autres. Revenons à la grande puissance de Jéhovah, à la nourriture du grand aigle de Jéhovah, pour croire que nous sommes enfants d’Abraham, les aigles appelés de Dieu. Retournez à l’Evangile, retournez à la Parole, retournez à la Vérité, retournez à la nourriture, la nourriture de l’Ange, la nourriture des fils de Dieu. L’aigle éveillant sa couvée, s’apprêtant pour un envol... Oui. Oh! C’est glorieux de savoir ces choses!

55        Puis, la chose suivante, vous savez, une vieille mère aigle monte là, elle trompette, et ils reconnaissent sa voix. Alors, elle descend là où sont les aiglons, elle leur fait un briefing: «Vous êtes sur le point de prendre l’envol maintenant. Quelque chose est sur le point de se passer, mais n’ayez pas peur, si vous me faites confiance.»

            C’est comme Abraham, hier soir: «Sors d’ici, prends ton propre fils, amène-le là au sommet de la montagne et égorge-le. Vas-tu Me faire confiance?»«Je Te fais confiance, Seigneur», a dit Abraham. Oh! la la!

56        Quelque chose vous est arrivé; vous êtes tombé malade. Quelque chose est arrivé, il est arrivé telle chose. Quelqu’un s’est moqué de vous. Le patron a dit qu’il vous licencierait s’il vous surprenait encore en train de prier. Il va vous soumettre à une épreuve pour voir de quoi vous êtes constitué. Chaque fils qui vient à Dieu doit être éprouvé et châtié. C’est ça. Si vous ne pouvez pas supporter le châtiment, vous devenez des enfants illégitimes et non des enfants de Dieu. Lorsqu’un homme vient, peu m’importe, il peut crier, il peut parler en langues, il peut prophétiser, il peut faire tout ce qu’il veut, si en passant par l’épreuve il rétrograde, il n’est pas un fils de Dieu. Absolument pas. Que celle-ci lui coûte la vie, il se tiendra là malgré tout, car il sait en Qui il a cru et il est persuadé qu’Il est capable de garder ce qu’il Lui a confié jusqu’en ce jour-là. Amen.

57        Eh bien, la mère aigle dit: «Préparez-vous, enfants; je vais vous faire voler seul ce matin.» Alors, elle bat ses ailes, et chacun de ces aiglons monte sur ses grandes ailes. Oh! J’aime ça! Sur le Nouveau et l’Ancien Testaments à la fois... Il monte sur cela, comme ça, et elle dit: «Très bien, raffermis mon espoir.» Il étend son bec, saisit l’une de ces énormes plumes (que vous ne pourrez pas arracher avec des tenailles), accroche son petit bec là, il accroche ces petites pattes aux ailes et dit: «Maman, ça va, je suis prêt.» Oh! la la!

58        Jéhovah, quoi? Dieu Tout-Puissant, El-Shaddaï, Porteur des seins, le Grand Aigle, Celui qui a des ailes, la Bible, l’Ancien et le Nouveau Testaments. Accrochez-vous-y seulement pour tout ce dont vous avez besoin, mettez votre espoir dans des promesses de Dieu, restez là même. Advienne que pourra, tenez ferme. Tenez l’immuable main de Dieu. Il monte et dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Emparez-vous-en. S’Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris», emparez-vous-en. «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.»

            Un pasteur dit: «Cela n’existe pas aujourd’hui.» Emparez-vous de ce que Dieu a dit. Accrochez-y votre bec et tenez ferme. Vous êtes alors sur le point d’effectuer un vol. Rappelez-vous, cela paraîtra dangereux. Tenez ferme. Oh! Je suis si content... Eh bien, une buse ne peut pas faire cela s’il lui fallait le faire. Un poulet n’a même pas un crochet à son bec, il glisserait avant de sortir du nid. Dès que quelqu’un dit quelque chose à son sujet, il dira: «Oh! Eh bien, je pense que cela n’était pas vrai.»

            Oh! Mais un aigle est un oiseau d’une constitution spéciale. Il accroche son drôle de petit bec là, il enfonce ces pattes là-dedans, et il sait comment tenir ferme. Accrochez-vous aux ailes de la croix, frère. Qu’elle roule, que les orages déferlent, continuez simplement, il monte.

59        Il déploie ces grandes ailes, il soulève ces aiglons, les soupèse comme cela, il effectue un grand bond à partir du sommet de ce rocher. Or, ces aiglons n’avaient jamais senti ce coup de vent auparavant. C’est pour eux une chose étrange.

            Vous vous rappelez, la première fois que vous aviez senti, comme des aiglons, ce vent impétueux descendre du Ciel et s’établir sur vous, «des langues séparées comme des langues de feu se posèrent sur chacun d’eux»; vous rappelez-vous lorsqu’Il vous avait frappé? C’était pour vous une chose étrange, vous les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les luthériens, les catholiques, les pèlerins de la sainteté, les nazaréens et autres. Vous étiez né. Assurément, vous étiez né de nouveau comme chrétien en croyant. Mais lorsque ce vent s’est mis à souffler, oh! les plumes molles se sont mises à s’envoler. Je vous assure, quelque chose s’était passé. Cela vous préparait pour votre envol.

60        Donc, l’aiglon tenait ferme. La vieille mère, de ses ailes, bondissait hors du nid. Elle commence à s’élever plus haut, plus haut dans le ciel (oh! la la!), allant de plus en plus haut, allant plus loin, plus loin. Si un poulet se retrouvait là, ça serait fini de lui en ce moment-là. Il se désintégrerait et tomberait. Mais ces aiglons ont une constitution spéciale. Ils connaissent Dieu.

            Dieu vous a appelé; Il vous connaissait, Il vous avait ordonné et Il avait inscrit votre nom dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde. C’est ce que dit la Bible.

            Dans les derniers jours, l’anti-christ séduira tous les habitants de la terre, ceux dont les noms n’étaient pas inscrits dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde. C’est vrai. De quoi avez-vous peur? Effectuez un tour.

            N’ayez pas peur, frère dans le fauteuil roulant. N’ayez pas peur, soeur. N’ayez pas peur, frère. Vous qui avez le cancer, la maladie du coeur ou quoi que ce soit, n’ayez pas peur. Dieu vous a invité à vous emparer des ailes de la croix, dans cette Bible ici, la promesse de Dieu, et à vous envoler dans le ciel.

            Vous diriez: «Je n’étais pas là auparavant, Frère Branham.» Accrochez-vous à Lui; Il vous amènera là-haut.

            «Comment puis-je m’y prendre, Frère Branham? Je–je ne... Je n’ai jamais bougé ma main; je–je–je–je...» Cela ne change rien, bougez-la de toute façon. Dieu l’a dit. Amen.

61        Je sais que vous pensez que je suis fou, mais si je le suis, laissez-moi donc tranquille. Je suis plus heureux comme ça que je ne l’étais autrement. Je–je suis donc satisfait comme ça. Autrement, j’avais des inquiétudes, des tourments, et tout. Maintenant, je... Il n’y a pas de condamnation, je me sens vraiment bien. Voyez? J’aime donc ça. Oui, oui. Je sers le Dieu de nos pères selon la voie qu’ils appellent secte. C’est exact.

62        Eh bien, la vieille mère aigle monte tellement haut qu’elle ne se fait plus voir pratiquement. Savez-vous ce qu’elle fait à ces aiglons, une fois arrivée là-haut? Je les ai observés plusieurs fois. Elle se dégage d’eux tous d’une secousse. «Ô Toi, mère cruelle!» Oh! Non! «Toi, mère intelligente!» Elle se dégage d’eux tous d’une secousse dans les airs; en effet, elle n’a pas peur. S’ils étaient... Ils ont eu assez confiance pour placer leur confiance, elle... Ils ont déjà examiné à fond ses grandes ailes. Ils savaient ce qu’elle était. Ils ont vu, et elle leur avait dit ce qu’étaient leurs frères, l’année passée. Elle savait qu’ils s’envoleraient; ils savaient qu’ils s’envoleraient. Elle savait qu’ils étaient des aigles, et elle n’avait pas peur de les dégager d’une secousse.

            Dieu n’a pas peur de vous soumettre à une épreuve. Quand Il a dit à Job... Satan a dit: «Oh! Oui, Tu l’as entouré d’une haie.» Il a dit: «Fais-lui... brise cette haie autour de lui; je l’amènerai à Te maudire en face.»

            Il a dit: «Il est entre tes mains.»

            Oh! la la! Dieu n’a pas peur de soumettre Ses aigles à–à une épreuve d’envol. Il n’a pas peur; Il compte sur vous. Il n’a pas eu peur de soumettre Abraham à une épreuve d’envol. Il comptait sur lui. Il n’a pas peur de soumettre la postérité d’Abraham à une épreuve d’envol, car Il compte sur vous.

63        Elle se dégage de ces aiglons d’une secousse en plein dans les airs. Elle dit: «Très bien, enfants, volez de vous-mêmes.» Hum! Oh! la la! L’un d’eux, vous savez, il... Eh bien, que fait-elle? Elle descend en piqué d’un côté et plane en les observant. Tout d’un coup, vous savez, un de ces aiglons se retrouve sur son dos. Il vole de toutes les forces. Le suivant a la face vers le bas, volant de toutes ses forces. Mais elle les observe. Ils ne se font pas de soucis, ils connaissent un jubilé de la Pentecôte, planant simplement, ils ne se font pas de soucis. S’ils se renversent, perdent l’équilibre, ils ont confiance dans la grande puissance toute suffisante de leur mère. Si l’un de ces aiglons se retrouve sens dessus dessous, et tournoie trop vite ou quelque chose comme cela, elle passe directement en dessous de lui pour le reprendre et le ramener dans la grâce. Amen. Gloire.

64        Oui, oui. N’ayez pas peur lorsqu’Il vous amène là-haut, dans ces sphères où vous ne comprenez même pas, cependant, cela est écrit dans Sa Parole, car vous regardez à Ses ailes. Il a promis cela. Planez simplement. Oh! la la! Je peux les entendre crier: «Alléluia! Gloire à Dieu! Gloire à Dieu! Comment vais-je m’y prendre? Cela m’importe peu, mais je me tape simplement un bon moment. Gloire à Dieu! Gloire à Dieu! Alléluia!»

            Et la vieille mère poule, en bas sur terre, lève les yeux là et fais: «Tsk, tsk, quel fanatisme!» Elle ne sait même pas le rudiment, elle ne monte pas plus haut que le poteau de la basse-cour. Et bien des fois, la dénomination lui coupe les ailes de sorte qu’elle ne peut pas monter si haut.

65        Peut-être que je ferais mieux de me taire. Mais, ô frère, je sais de quoi je parle. Oui, oui. Ces poulets ne savent rien au sujet des cieux. Ils n’ont jamais été là-haut.

66        Il y a quelque temps, un homme prêchait sur la guérison divine. Je ne dirai pas qui c’était. Et–et aussitôt qu’il avait quitté, un autre est arrivé là et a dit: «La guérison divine n’existe pas. Le Saint-Esprit n’existe pas. Ce prédicateur-là est fou.»

            Il y avait un drôle de garçon de campagne assis là derrière, en veston, avec des cheveux tombant et une dent ressortie; il s’est avancé dans la salle comme cela. Il s’est arrêté et a regardé le prédicateur, il a tendu le bras, a pris une pomme et s’est mis à l’éplucher comme ceci. Le prédicateur, ou celui qui faisait le débat a demandé: Que veux-tu, Zack?»

            Il a dit: «J’aimerais vous poser une question», continuant simplement à éplucher.

            Il a dit: «Eh bien, que veux-tu?»

            Il a simplement continué à éplucher la pomme.

            Il a dit: «Parle, sinon je vais te faire... te mettre hors d’ici.»

            Il a dit: «J’aimerais vous poser une question.» Il a continué à découper la pomme, enlevant la pelure, la découpant en tranches; il a fait sortir le rognon, a mis un morceau dans la bouche et s’est mis à mâcher comme cela.

            Il a dit: «Que veux-tu?»

            Il a dit: «J’aimerais vous poser une question.» Il a demandé: «Cette pomme est-elle délicieuse ou aigre?»

            Il a dit: «Je ne sais pas; ce n’est pas moi qui la mange.»

            Il a dit: «C’est exactement ce que je me disais.» Comment savez-vous quelque chose sur le Saint-Esprit alors que vous n’avez jamais goûté de Cela? Assurément. Vous n’avez jamais mangé Cela; vous n’avez jamais essayé Cela. Essayez Cela une fois; C’est du miel sur le rocher. Alléluia! C’est la puissance de Dieu pour le salut, la résurrection de Jésus-Christ, c’est la Nourriture de l’aigle. La Parole de Dieu, la Bible de Dieu, Dieu l’a dit, c’est réglé pour toujours. «Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» C’est ça Sa promesse, et Il tient Sa promesse. Amen.

67        Cet aiglon plane simplement, vous savez; ils connaissent un jubilé de la Pentecôte, poussant simplement des cris, sautillant. Ils–ils ont... ils croient. Puisque la mère les a amenés là haut, c’est que la mère est capable de prendre soin d’eux.

            Si Dieu m’a dit de Lui faire confiance, je Lui ferai simplement confiance. Peu m’importe à quel point je peux être embrouillé, Il m’aidera à en sortir d’une façon ou d’une autre, je ne sais pas. Mais tout ce que je sais, c’est qu’il me faut battre mes ailes, toute la foi que j’ai dans le Nouveau et l’Ancien Testaments. Oh! la la! Les battre: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Continuez simplement à battre et à vous envoler. D’une façon ou d’une autre, s’Il envoie un vent impétueux, Il détachera toutes les plumes molles. Vous pouvez résister à cela, sinon Il ne vous aurait pas amené là-haut. Placez simplement votre confiance en Lui une fois, voyez ce qu’Il fera. C’est là le vol que vous effectuez seul. Oh! la la! Je me sens très bien. Pas vous? Oh! la la!

68        Le temps de l’éveil de la couvée. L’Eglise pentecôtiste a besoin d’un temps d’éveil de la couvée. Elle a besoin d’un réveil à l’ancienne mode. Comme Il disait de Jacob: «Il est la prunelle de Son oeil.» Il commettait le mal, mais Il l’a trouvé dans le désert. Et Il est comme un Aigle qui éveille Sa couvée. Il a porté Jacob sur Ses ailes. Amen.

            L’église a fait le mal. Nous avons tous commis le mal, mais nous sommes la prunelle de Son oeil. Il est prêt à éveiller la couvée ce soir, à envoyer le Saint-Esprit et à enlever toutes les plumes, à tenir ici dans cette vallée de Yakima un réveil qui mettra le pays en garde. Il le fera. «Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée, voltige sur ses petits, monte avec eux sur ses ailes et les amène dans les airs, a-t-Il dit»; c’est ce qu’Il a fait à Jacob. Et l’héritage du Seigneur, c’est Son peuple. Amen. C’est ça. L’héritage de Dieu, c’est Son peuple. Il a parlé à Moïse, disant: «Je suis Ta portion.»

69        L’autre jour, je me tenais à côté... C’est bien. Je passais à côté... Frère Tommy Osborn, ce gentil frère chrétien, Tommy Osborn, il a été amené à son ministère là, cette nuit-là, quand un fou avait couru à l’estrade pour me tuer à Portland. Et puis, il a voyagé outre-mer, il a fait... C’est un–c’est un saint homme de Dieu. J’ai vu son grand immeuble; il me l’a fait visité. Oh! Comme c’était beau!

            Après est venu notre bien-aimé frère Oral Roberts, l‘un des hommes les plus gentils, et les meilleurs, Dieu lui a confié une grande richesse et tout. Et je suis allé là à son immeuble. J’ai visité cela, j’ai vu tout là, construit sous forme de trinité. Il n’y a pas de vitres du côté latéral, tout est en marbre importé, et les plafonds en aluminium, tout est en fils d’aluminium entremêlés, cinq cents machines ou quelque chose comme cela là-dedans, juste en série, faisant passer des lettres et autres. Je me suis dit: «Oh! la la!»

70        Je me suis mis de côté et j’ai parlé à frère Fisher avec qui j’avais fait l’oeuvre missionnaire en Afrique. C’est lui qui me faisait visiter cela, je me suis retrouvé devant le–le miroir et j’ai vu ces grandes et belles mains tendues vers le bas, comme les mains de Dieu, et celles du pécheur tendues vers Lui. Mon coeur a tressailli de joie. Je me suis dit: «Ô Dieu, combien je Te suis reconnaissant pour Oral Roberts! Combien je Te suis reconnaissant pour un drôle de petit garçon pentecôtiste, né dans une tranchée-abri là-bas, qu’il en soit arrivé à ça!» J’ai dit: «Combien je Te suis reconnaissant, ô Dieu.»

            Alors, je me suis mis de côté, je me suis retrouvé seul, je me dirigeais vers ma voiture. Alors, quelque chose m’a dit, c’était Satan, il a dit: «Mais qu’en est-il de toi? Le ministère d’Oral provient du tien, celui de Tommy Osborn aussi. Te voilà. Où sont tes machines IBM?» C’est au bout d’une petite vieille roulotte que frère Léo m’a donnée qu’il y a un bureau, un téléphone placé là, une petite machine à écrire d’occasion. «Qu’en est-il de ça?»

            J’ai dit: «Oh! Je me gênerais certainement de les voir venir visiter cela.»

            Satan a dit: «Tu vois, Il ne... Il ne peut pas te faire confiance.»

            J’ai dit: «Je pense que c’est vrai.» Voyez? «Comme tous ces frères ont ça, je pense qu’Il–Il ne peut simplement pas me faire confiance, c’est tout.» Et je me tenais là, regardant là, et j’étais vraiment cassé; je me suis dit: «Ô Dieu! Malgré tous les efforts fournis et tout le reste.» J’ai alors dit: «Regarde ce que Tu as fait.»

            Juste alors, j’ai entendu une Voix dire: «Mais Je suis ta Portion.» Amen! Je me suis dit: «Ô Dieu, que ça soit une tente ou une cabane, pourquoi devrais-je m’en faire? Tu me construis un palais là-bas, en rubis, en diamant, en argent et en or. Ses coffres en sont pleins. Il a des richesses ineffables. Je suis un enfant, un aigle du Roi, un fils du Roi; avec Jésus, mon Sauveur, je suis un enfant du Roi. Oh! la la!»

71        Battez simplement donc, continuez, que vous montiez ou que vous descendiez, ou quelle que soit la direction que vous suivez. La mère se tient juste là même, planant, juste là. Son oeil est sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur moi partout dans Son Eglise, pour voir si vous tombez dans la confusion, quelque chose arrivera. Les–les grandes ailes, la Parole de Dieu, vous ramèneront.

            Quelqu’un disait: «C’est un feu de brousse.» Je préférerais avoir un petit feu de brousse plutôt que de n’avoir pas du tout de feu, vous savez. C’est bien. Nous pouvons nous servir de grandes ailes, remonter cela à droite. Est-ce vrai, frères? Pensez-y donc, si cela va un peu de travers, eh bien, vous allez les attraper sur l’aile (voyez?) exactement ce que c’est, et les ramener dans la grâce. Si seulement ils... Laissez-les planer. Oui, oui. Laissez-les simplement aller de l’avant, crier, louer le Seigneur et pousser des cris (Alléluia!), danser en Esprit, tout ce qu’ils veulent faire. Ils vont de travers, nous avons quelque chose ici, les ailes. Dieu ne vous laissera jamais tomber si vous êtes un aigle. Il vous relèvera. Or, si vous êtes une buse, vous tomberez de toute façon. Vous allez bien faire des éclaboussures... par terre. Mais si vous êtes un vrai aigle, vous écouterez la Parole de Dieu. Amen. Vous reconnaîtrez que c’est l’aile de la Mère qui vous ramène à la grâce. Amen.

72        On racontait il n’y a pas longtemps, c’est une histoire que j’ai entendue, on racontait qu’un fermier allait faire couver une poule. Et je ne sais combien d’oeufs il faut pour faire couver par ici. Là dans le Sud, d’où je viens, il en faut quinze pour faire couver. Est-ce la même chose ici? Alors, ce vieux fermier n’avait que quatorze oeufs, il a pris l’oeuf d’un aigle et l’a placé sous une poule. Voyez-vous quel genre de produit il a eu? C’est à peu près ce qui se passe, on en obtient un par une couvée. C’est à peu près ça qu’on obtient (C’est vrai), environ un aigle par couvée.

73        Alors, la vieille poule a couvé ces oeufs, et finalement lorsqu’ils sont tous éclos, si cet aiglon n’était pas un caneton laid dans ce groupe de poulets... Eh bien, il était la chose la plus drôle qu’ils aient jamais vue. C’est à peu près ainsi qu’étaient certains parmi vous, lorsque vous aviez réellement été éclos, dans un grand groupe de gens formalistes, froids et tout, un tas de credo. Nous disons: «Notre Père qui es aux cieux, que Ton Nom soit sanctifié... Je vous salue, Marie, pleine de grâce.» Et toutes ces autres espèces d’histoires. «Et nous croyons dans–dans toutes ces autres choses (vous savez, et à peu près); nous croyons dans la sainte Eglise catholique, là... Oh! Ce credo des apôtres.»

            Je souhaiterais que quelqu’un me montre le credo des apôtres dans la Bible. Il n’existe pas de credo des apôtres. S’ils avaient un quelconque credo, c’était se repentir. C’est ce que Pierre leur a dit le jour de la Pentecôte, il a dit: «Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» C’est ça le credo des apôtres. C’est ce qu’il y avait, rien du genre: «Je crois dans la sainte Eglise catholique romaine; je crois dans la communion des saints.» Tout celui qui croit dans la communion des saints confesse être un spirite. C’est vrai.

74        Il n’y a qu’un seul Médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ, Homme. Je ne crois pas dans la communion des saints. Les saints sont partis. Abraham a dit qu’il était un... Jésus a dit qu’il était dans le sein d’Abraham. Et il a dit: «Il ne peut pas venir ici, ni ceux-ci aller là-bas non plus.» C’est donc réglé. Il y a un grand abîme infranchissable de part et d’autre. Et il n’y a pas de communion des saints. C’est vrai. L’unique communion que nous ayons, c’est par Jésus-Christ. C’est notre Médiateur.

            La Bible dit: «Il n’y a pas d’autre médiateur entre Dieu et l’homme, si ce n’est Jésus-Christ, l’Homme.» Tout à fait vrai. Sur Christ, le Roc solide, je me tiens. Tout autre terrain, c’est du sable mouvant.

75        Ce drôle d’aiglon... La mère, après l’avoir fait sortir du nid, vous savez, on dirait qu’elle avance tranquillement derrière. Vous rappelez-vous combien vous vous sentiez mal à l’aise? «Oh! la la! a-t-il dit, ça n’a pas l’air correct.» Marcher dans cette vieille basse-cour poussiéreuse, où les vaches avaient marché, les chevaux, et toute cette poussière s’envolait. Hum! Quelle puanteur! Il disait: «Ça n’a pas l’air correct.» Il regarde en haut comme ça et dit: «Dites donc, qu’y a-t-il là-haut?»

            Et la vieille mère poule a dit: «Clac, clac, clac, clac, clac: Les jours des miracles sont passés. S’envoler dans les airs, ça n’existe pas, c’est impossible.» Ça n’arrangeait pas, vous savez. Cela–cela ne convenait pas à sa gastronomie. Il savait qu’il y avait quelque chose de meilleur quelque part là-haut, il continuait à marcher, la tête redressée.

            Et elle a dit: «Enfants, ne l’écoutez pas. Il est l’un de ces drôles de gars.» Voyez-vous?

            C’est ce qu’est l’aigle parmi les poulets, lorsqu’il ne se retrouve pas à sa place. Voyez? Il va donc dans ce grand tas de manucure, il se met à gratter et dit: «Clac, clac, clac, clac, nous allons avoir un–nous–nous allons avoir un souper particulier par ici ce soir, nous devons payer le pasteur. Il nous faut avoir un genre de vente pour payer le...»

            Lorsqu’on en arrive là, l’église devra fermer ses portes. Payez vos dîmes, et le pasteur sera payé.

            «Nous allons organiser le jeu d’arnaque; nous allons avoir toutes ces autres choses ici.»

            Cet aiglon commence et dit: «Ouf! je ne peux pas supporter cela. Oh! la la! Hmmm, hmmm.»

76        Oh! la la! Il a continué à regarder en haut, regarder en haut. Et peu après, voici venir la vieille mère qui le cherchait. Elle est descendue en piqué. Elle l’a vu. Oh! Je suis si content! Oh! la la! Elle a trompeté: «Chéri, tu n’es pas un poulet; tu es à moi.»

            Oh! Je me rappelle la première fois que j’ai entendu parler du baptême du Saint-Esprit; Il a trompeté dans mon coeur: «C’est pour toi. Je t’ai appelé. Oh! Tu n’es pas un poulet, tu es à Moi.»

            Oh! Il a entendu ce cri-là. Qu’a-t-elle dit en revenant? Elle ne disait pas: «Clac, clac, clac.» Elle disait: «Gloire! Alléluia! Gloire au Seigneur!» Cela sonnait bien pour lui. Amen. C’est ce qu’il... C’est pour ça qu’il est né. C’est pourquoi son nom a été inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde. «Mes brebis connaissent Ma voix.» Lorsqu’elles entendent cela, c’est juste comme du miel sur le rocher pour un ours. Il lèchera cela toute la nuit. Voyez? En venant... Il sait qu’il y a quelque chose. «Tu es à moi, chéri. Tu n’es pas un poulet. Tu es un aigle.»

            «Oh! Est-ce cela, maman?»

            «Regarde ces grandes ailes.»

            «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je suis le JE SUIS.» Amen! Cela sonne bien. Oui.

            «Que puis-je faire, maman?» Amen.

            «Saute simplement aussi haut que possible, mets-toi à planer, je vais te prendre.» Amen! Alléluia! Il a fait un grand saut en quatre ou cinq bonds, il a atteint le sommet d’un poteau, en plein milieu d’une organisation.

            Elle est revenue et a dit: «Chéri, tu dois faire mieux que ça, sinon je ne pourrais même pas te prendre.»

77        Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un temps d’éveil de la couvée. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est de la puissance du Saint-Esprit. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est de la Nourriture de l’aigle, prêcher que Jésus-Christ guérit toujours. Il est le même. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

            N’êtes-vous pas contents de savoir ce soir que Jéhovah a Ses grandes ailes ici, qu’Il fait déferler Son Esprit? L’Ange du Seigneur s’est fait photographier, la même Colonne de Feu qui était dans le désert dans le Nouveau Testament est ici maintenant dans les derniers jours; hier, aujourd’hui et éternellement. Les gens sont guéris et remplis du Saint-Esprit, ils parlent en langues, il y a interprétations; la puissance de Dieu vient, le Seigneur s’approche, Dieu rassemble Son Eglise; n’êtes-vous pas contents d’être dans pareille chose avec Dieu?

            Heureux... Amen. Ouf!

            Oh! la la! Je–je–je ne... où Il traîne plus longtemps ou pas. Ceci... On dirait que si je décolle maintenant même... Je me sens bien avec ça, de savoir que c’est la vérité; ce n’est pas une histoire de père Noël. C’est la Vérité du Dieu vivant. Croyez-vous cela? Oui; de tout votre coeur? Croyez-vous que nous avons besoin d’un temps d’éveil de la couvée? Avez-vous encore besoin–besoin du Saint-Esprit? Croyez-vous que nous avons besoin d’une nouvelle effusion de Son Esprit? Croyez-vous que l’église a encore besoin d’un autre baptême? Croyez-vous de tout votre coeur? Commençons quelque chose maintenant même; le voulez-vous? Etes-vous prêts à vous placer sous le vent? Etes-vous prêts à le faire? Croyez-vous cela?

78        Levons-nous. Combien ici n’ont pas le Saint-Esprit? Combien n’ont pas reçu le Saint-Esprit? Venez ici juste une minute. Descendez de ce balcon. C’est le temps de l’éveil de la couvée. Débarrassons-nous de ces plumes molles. Nous ne pouvons pas guérir, ou plutôt avoir un véritable service de guérison si nous n’enlevons pas ces plumes. Dieu ne nous amènera jamais là-haut pour nous lâcher avant que nous nous soyons dépouillés de ces plumes.

            Venez donc. Que tout celui qui veut venir sous la puissance du Saint-Esprit, venez ici, juste un instant, et tenez-vous là à cet autel. Je crois que Dieu va déverser le Saint-Esprit ici même ce soir et secouer cette chose, enlever toutes les plumes d’ici et emporter Ses aigles sur les ailes comme cela, et nous amener là pour un réveil.

79        J’aimerais voir un réveil ici. J’aimerais voir toutes ces églises en feu, la puissance de Dieu se déversant. On en a besoin... Descendez du balcon, frère, ne reportez pas cela à plus tard. Que... Si vous êtes un pécheur, venez aussi. Venez, vous qui n’avez pas le Saint-Esprit. Vous qui ne vous êtes pas repentis, passez directement à l’autel.

            «Oh! dit-il, c’est trop en bas.» Si vous manquez de recevoir cela, un jour, en enfer, ce sera trop loin pour revenir se repentir une fois de plus. C’est beaucoup plus près ici qu’il n’en sera en enfer. Venez. Tous ceux qui ne combattent pas, assurément, qui prennent la route de l’enfer, venez; c’est ça. Venez, aigles. L’avez-vous entendu trompeter ce soir? Avez-vous senti Sa Présence? Avez-vous senti ce vent dire: «C’est ça. Ça y est. C’est ça»?

            C’est ce qu’ils avaient le jour de la Pentecôte. C’est la véritable puissance de Dieu. C’est ça. J’attends; ils descendent des balcons, d’autres descendent.

80        Il y a une Fontaine remplie du Sang, s’il vous plaît, frère, à l’orgue. Chantons cela maintenant, pendant que nous attendons que tous les aigles se rassemblent.

            Oh! Bénis-le, Seigneur, bénis, Seigneur! Alléluia! Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit: «C’est ici ce qui.» Si ici n’est pas ce qui, je garderai bien ici jusqu’à ce que ce qui arrive. Amen. Venez.

            Il y a une Fontaine remplie du Sang,

            Tiré des veines d’Emmanuel...

            Vous qui voulez travailler pour Dieu, que vous soyez une ménagère, Il vous accordera le don de parler en langues. Il vous donnera le don de prophétie. Il fera quelque chose pour vous. Ne voudriez-vous pas venir vous débarrasser des plumes molles maintenant?Toute leur culpabilité...

            Ne voudriez-vous pas venir? Descendez des balcons, ami pécheur. Descendez. Venez. Vous tous qui venez d’accepter Christ comme Sauveur personnel, qui n’êtes pas encore remplis du Saint-Esprit, ne voudriez-vous pas venir à l’autel? Que Dieu vous bénisse, madame.

            Perdent toutes les taches de leur culpabilité...

            (Juste ici, madame, de ce côté-ci.)

            Et les pécheurs plongés dans ce flot,

            Perdent toutes les taches de leur culpabilité.

81        Ecoutez, amis, l’unique moyen pour vous de plaire à Dieu, c’est Lui obéir. Ceux qui viennent à Dieu doivent croire. Regardez donc, certains parmi vous méthodistes, baptistes, presbytériens, ou ceux qui n’ont jamais reçu le Saint-Esprit; jusque là, comment Dieu m’a-t-Il permis de faire ces choses qu’Il fait ici ce soir? Comment m’a-t-Il envoyé dans le champ, à sept reprises à travers le monde? Comment a-t-Il fait cela, laisser des millions d’âmes être gagnées, si je n’avais pas une certaine conception de la Vérité? Comment m’a-t-Il permis de faire ces choses, les signes qu’Il avait annoncé qu’Il enverrait dans les derniers jours? Et nous ne les avions même jamais vus ni jamais lu à leur sujet jadis dans l’histoire, depuis l’époque de notre Seigneur. Pourquoi m’a-t-Il permis d’apporter un Message comme Celui-ci, si je suis en erreur? Il–Il ne bénira jamais un mensonge. Mais Il me permet d’apporter cela parce que j’ai prêché que ceci est la Vérité. Ceci est le Chemin.

82        Et écoutez, vous amis catholiques; savez-vous que la vierge Marie a dû monter recevoir le Saint-Esprit, tituber comme si elle était ivre, avant que Dieu lui permette jamais d’entrer au Ciel? Comment allez-vous y entrer avec quelque chose de moins que ça? Votre église, votre credo, je ne sais quoi d’autre, que ça soit le credo pentecôtiste, le credo baptiste, ou le credo méthodiste, quoi que ce soit, vous n’allez jamais entrer avec quelque chose de moins que le baptême du Saint-Esprit. C’est vrai.

            Vous avez donc dit: «Ça a l’air si étrange.» Oui, oui. Qu’est-ce qui amène ces gens à agir comme cela? C’est parce qu’ils sont nés d’En Haut. Leur esprit vient d’un autre Royaume. Leur Royaume est d’En Haut. Jésus a dit: «Si–si Mon Royaume était de ce monde, Mon peuple combattrait pour cela. Mais Mon Royaume est en Haut.» C’est vrai.

83        Ne voudriez-vous pas venir? Chantons encore une fois afin que je sois sûr. J’ai prié toute la journée que Dieu remplisse cet endroit et le secoue comme jamais auparavant.

            Le voleur mourant s’est réjoui de voir...

            Croyez-vous cela maintenant de tout votre coeur? Descendez donc l’allée. Ne voudriez-vous pas venir? S’il vous plaît, ami, je vous persuade au Nom de Christ.

            Et là, puissé-je aussi vil que lui...

            (Vous êtes aussi vil que lui, si vous niez cela)

            Ôter tous mes péchés.

            (Venez donc. C’est bien.)

            Ôter tout mon péché,

            Ôter tous mes péchés;

            Et là, puissé-je aussi vil que lui;

            Ôter tous mes péchés.

84        Croyez-vous de tout votre coeur? Maintenant, restons tranquilles juste un instant. Maintenant, si vous me considérez comme Son serviteur, si c’est le cas, je l’apprécierai. Je peux vous aider. Maintenant, vous tous ici qui cherchez le Saint-Esprit de Dieu, levez la main. Vous avez faim. Jésus a dit: «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice. Ils seront rassasiés.»

            Maintenant, il y a ici un groupe de gens ici présents avec qui j’aimerais traiter avant que je... que nous allions dans la pièce là. Mais j’aimerais que vous qui êtes ici, qui cherchez le Saint-Esprit, que vous suiviez l’un de ces prédicateurs. Qui? Lequel d’entre vous? Ce frère ici même. Conduisez et entrez dans la pièce, ici juste une minute. Ici, entrez comme ça: «Seigneur, si Tu ne me donnes pas le Saint-Esprit, à Ton retour sur la terre, je serai couché ici même.» Voyez? Ne–ne jouez pas avec ça. Si vous le faites, vous n’aboutirez jamais nulle part. Vous devez être sérieux. Vous devez venir à Dieu en croyant que vous allez recevoir ce qu’Il... Pourquoi–pourquoi a-t-Il dit que... Il y a quelques instants, je disais que ces gens ne pouvaient pas chasser un mauvais esprit. Ils ont dit: «Pourquoi n’avons-nous pas pu chasser cela?»

            Il leur a répondu: «C’est à cause de votre incrédulité.»

            Non pas qu’ils n’avaient pas la puissance pour le faire, mais ils n’avaient pas la foi pour le faire. Eh bien, vous avez le droit de recevoir le Saint-Esprit. Vous avez le Saint-Esprit sur vous, car vous avez faim et soif, et Jésus a dit: «Vous êtes heureux, même du seul fait que vous avez faim et soif.»

            Eh bien, écoutez-moi et croyez. Entrez directement là maintenant, pendant que je traite avec un autre groupe ici. Soyez là-dedans juste une minute. Très bien.

85        Maintenant, alors que vous occupez votre place ici même, passez directement par ici vers une pièce, comme ça, nous ne dérangerons pas les autres.

            Parfois, les gens, en cherchant le Saint-Esprit, pensent à quelqu’un qui est là derrière. «J’ai amené monsieur Jones, il est assis là derrière.» Mais retrouvez-vous seul quelque part où tout le monde est en train de mourir avec vous, quelque chose va arriver. C’est vrai. Entrez directement dans la pièce.

86        Nous tous qui avons le Saint-Esprit, disons: «Gloire à Dieu!» Regardez cette grande...?... Regardez cette grande puissance...?... Eh bien, vous tous les travailleurs indépendants, entrez-y directement avec eux maintenant, tous les travailleurs indépendants. Certains parmi vous les frères prédicateurs, veuillez aussi entrer là et... pour veiller à ce que tout marche bien. Nous voulons qu’ils reçoivent le véritable baptême du Saint-Esprit. Entrez directement dans la pièce, afin que nous puissions vous y rencontrer dans un instant.

                 Il y a une Fontaine remplie du Sang,

                 Tiré des veines d’Emmanuel,

                 Et les pécheurs plongés dans ce flot,

                 Perdent toutes les taches de leur culpabilité.

                 Perdent toutes les taches de leur culpabilité,

                 Perdent toutes les taches de leur culpabilité,

                 Et... (Y en a-t-il un autre qui aimerait aller? Un autre?)

                 ... dans ce flot,

                 Perdent toutes les taches de leur culpabilité,

            Inclinons maintenant la tête avec révérence. [Frère Branham fredonne.–N.D.E.]

                 Un chant plus noble et plus doux...?...

87        Maintenant, s’il y a ici quelqu’un qui pense (pendant que vous avez vos têtes inclinées, vos yeux fermés) qu’il n’est pas chrétien, vous n’êtes pas chrétien, vous dites: «Je devrais y entrer. Mais j’aimerais lever la main vers Dieu pour dire: ‘Ô Dieu, donne-moi le courage; ne me laisse pas mourir dans cette condition’.»

            Amis, on ne fait pas de religion. Cela peut sembler étrange par rapport à ce qui vous a été enseigné suivant vos différents credo et églises, mais Ceci est la Bible. C’était ainsi au commencement, et Dieu est infini, Il ne peut pas changer. Ceci est la même chose. La prescription se lit comme suit: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

88        Eh bien, si vous ne Le connaissez pas comme votre Sauveur, voudriez-vous juste–juste être assez gentleman, ou assez dame, lever la main pour dire: «Priez pour moi, Frère Branham. Je ne suis pas chrétien.» Que Dieu vous bénisse, jeune dame. Au balcon à gauche, dans la salle principale, y a-t-il ici quelqu’un qui aimerait dire: «Je–je ne suis pas chrétien, Frère Branham, je...» Que Dieu vous bénisse, madame. Je–j’ai du courage pour quelqu’un qui est–qui est honnête. Vous n’aboutirez nulle part avec Dieu si vous n’êtes pas honnête. Par ici? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, fils.

            Là-haut au balcon, à ma droite, levez la main et dites: «Je ne suis pas chrétien.» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. «Je ne suis pas chrétien, mais j’aimerais vraiment le devenir, Frère Branham. Priez que Dieu me donne le courage de venir malgré tout. Ou s’Il ne le fait pas, qu’Il ne me laisse pas mourir ainsi.»

            Assurément, vous n’aimeriez pas mourir comme cela, enfants. Qu’est-ce que vous... Qu’est-ce qui vous a fait lever la main? C’est la chose même qui est en vous, vous êtes né pour être un aigle. C’est ce qui vous a fait lever la main. Maintenant, ne–ne–ne–ne laissez simplement pas ces drôles de petites plumes molles pointues et autres vous empêcher de voler vers le Ciel. Pourquoi ne pas le faire ce soir?

89        Notre Père céleste, ceux-ci sont ceux qui sont séparés, beaucoup parmi eux, la plupart d’entre eux sont des jeunes gens, des adolescents, à la croisée des chemins. J’ai vu ces jeunes belles et jolies femmes, des jeunes gens, lever les mains. Ils–ils ont faim, Seigneur. Le rock-and-roll et les choses du monde ne peuvent jamais satisfaire cette soif dans le coeur humain si Dieu n’y entre pas, s’il y a une place là pour Lui. Si en créant cet homme, Il y a mis Sa demeure, rien ne prendra jamais Sa place.

            Père, fais-leur savoir que la chose la plus glorieuse qui leur soit jamais arrivée, c’est lorsqu’ils sont convaincus dans leur coeur de... de vouloir Te servir. Je prie pour eux, Père, maintenant même, pendant que nous avons nos têtes inclinées, que ces gens qui avaient levé la main se frayent le chemin directement vers cette pièce-là, ces jeunes enfants, Seigneur, qui ne sont que des adolescents.

            Je prie, Père, que tous ceux qui ont levé la main aient le courage, que ma prière Te précède pour frapper à la porte une fois de plus, Père. [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.E.] Accorde-le. Peut-être qu’ils entreront, c’est l’acte le plus glorieux qu’ils aient jamais posé.

            Je peux me souvenir des jours anciens, de ma jeunesse; combien, cette nuit-là, j’avais faim, et je–je T’ai entendu frapper à ma porte, Seigneur; je–je suis si content de T’avoir laissé entrer. Maintenant, je suis un homme entre deux âges; je T’aime vraiment plus que jamais dans ma vie.

90        Ô Dieu, ne laisse jamais quelque chose arriver à... Si je ne peux pas Te servir, retire-moi donc. Laisse-moi donc aller. Quelle joie ça sera et quel privilège de servir Dieu! Accorde cela à ces jeunes gens, Seigneur. Ils ont une bataille horrible. Regarde-les. Regarde ce qu’ils ont. Regarde leur télévision: De la pourriture, de la pollution. Regarde la nation où ils grandissent: La politique est pourrie jusqu’à la moelle, l’anti-christ accède au pouvoir. Le monde, le peuple américain ne sait pas ce que c’est le combat. Ils ne savent comment s’en passer. Ils n’ont jamais eu à rater un repas. Ô Dieu, regarde simplement. L’éclat et le Hollywood, cela est même entré dans la religion, dans des églises, le Hollywood rationnalisé. Il n’y a plus de réunions de prière à l’ancienne mode de toute la nuit, où on agonise, on prie, on a communion autour des choses de Dieu; il n’y a plus de prière jusqu’à l’exaucement.

            Ô Dieu, ces enfants en ont besoin. Je prie qu’ils reçoivent cela ce soir. Je garde mes yeux fermés, Seigneur; je vais croire que Toi, Tu enverras chacun d’eux directement dans cette pièce-là. Accorde-le, Père. Que ça se fasse, Seigneur. S’il Te plaît, fais-le. Et je pourrais leur serrer la main ce jour-là et dire: «Oui, un drôle de petit message haché, un soir: Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée...»

91        Tu as éveillé la couvée du monde où ils vivaient. Ils en ont marre, Seigneur. Ils lèvent la main, ils regardent en haut. Oh! Que Tu es grand! Oh! Que Tu es grand! Puissent-ils fuir, Seigneur, dans les cieux où ils peuvent avoir communion là-haut, avec des concitoyens du même Evangile. Qu’ils puissent manger la Nourriture de l’aigle. Accorde-le, Seigneur. Qu’ils ne soient pas des poulets terrestres que les loups et ces jeunes dames... Cette drôle d’histoire de loup qu’on a aujourd’hui, le–le boogie-woogie, le rock-and-roll, et fais-leur faire savoir, Seigneur, que c’est juste quelque chose pour tailler en pièces leurs précieuses âmes et les envoyer à l’enfer du diable, endurcir leur coeur en les faisant passer par ces drôles d’histoires de cinéma, ces histoires vraies, alors que c’est du mensonge sur toute la ligne, de l’affliction et un montage. Amène-les à regarder ces grandes ailes de Dieu, le Nouveau et l’Ancien Testaments, et dire: «Je prendrai position, là même sur ce Rocher.»

            Accorde-le, Seigneur. J’espère que chacun d’eux est dans cette pièce-là maintenant. Accorde-le, je prie, au Nom de Christ. Amen.

92        Tenons-nous tranquilles une minute. [Un frère parle en langues et un autre interprète; une prophétie est donnée.–N.D.E.]...?... Alléluia! Gloire!

            Gloire à Dieu! Amis, c’est... Si je comprends bien les Ecritures, c’est la Voix de Dieu qui parle, qui confirme. Il a honoré cela. Qu’a-t-Il dit? Ne vous rebellez pas, entrez dans la pièce.

            Chaque pécheur qui n’a pas le Sang de Christ, frayez-vous le chemin vers la pièce, ami. Si la Bible ne... Pardonnez-moi de dire si. Nous savons que la Bible est vraie. Ce n’est pas ma voix; c’est la Voix de Dieu qui parle. Et vous les malades, entendez-vous ce qu’Il a dit? C’est un message à l’église. Voyez? C’est le Saint-Esprit.

93        Maintenant, chantons A la croix, à la croix où je vis la Lumière pour la première fois. Que chaque pécheur aille là, s’il vous plaît. Allez ici derrière si... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]A la croix, à la croix où je...

            (C’est bien. Mettez-vous directement en ligne.)

                 Et le fardeau de mon péché fut ôté...

            (Vous autres, vous pouvez vous asseoir, si vous le désirez.)

                 C’était là par la foi que j’ai reçu...

            (Les travailleurs indépendants, dépêchez-vous dans la pièce, très vite.)

                 Maintenant, je...

            Tout celui qui aimera faire le volontaire, comme travailleur indépendant, avancez. Ils se rassemblent là dans la pièce, là où les gens reçoivent le Saint-Esprit.

                 A la croix, à la croix où j’ai vu pour la première fois la lumière,

                 Et le fardeau de mon coeur fut ôté (fut ôté),

                 C’est là que par la foi j’ai recouvré la vue;

                 Et maintenant, je suis heureux toute la journée!

            [Frère Branham fredonne.–N.D.E.] Fredonnons simplement cela, et levons les mains vers Dieu. [Frère Branham fredonne.–N.D.E.]

            Ôter...Ô Dieu, nous T’aimons, Seigneur, nous T’aimons.

            [Frère Branham fredonne.–N.D.E.]

                 J’ai recouvré ma vue,

                 Et maintenant, je suis heureux toute la journée!

            Maintenant, très doucement, calmement. Suivant la mélodie avec laquelle vous chantez cela.

                 A la croix, à la croix où j’ai vu pour la première fois la lumière (au nid, vous voyez?)

                 ... ôté de mon coeur. (J’ai vu Ses deux grandes Ailes.)

                 C’est là... (Je suis monté là-dessus.)

                 J’ai recouvré la vue,

                 Et maintenant, je suis heureux toute la journée!

            [Frère Branham fredonne.–N.D.E.]Oh! Je ne peux simplement pas laisser aller cela. C’est doux, n’est-ce pas? Ne sentez-vous pas cela dans votre coeur?

                 Et le...

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