Voici, Un Plus Grand Que Salomon Est Ici

Date: 62-0721 | La durée est de: 1 heure et 43 minutes | La traduction: Shp
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1  Merci, Frère Borders. Inclinons la tête juste un instant maintenant pour la prière. Si nous avons des requêtes, levons les mains vers Dieu et disons calmement dans nos coeurs: «Ô Dieu, souviens-Toi de moi.»

Notre Père céleste, nous nous sommes rassemblés de nouveau ce soir, un jour de plus qui nous rapproche davantage de ce glorieux moment où Tu amèneras le temps à se fondre dans l’éternité. Nous avons eu le privilège d’être en vie aujourd’hui, de voir (pour beaucoup d’entre nous), d’entendre, et d’avoir nos sens et de sentir l’Esprit de Dieu dans notre coeur. Nous en sommes reconnaissants. Ce soir, juste avant la réunion, des coeurs ont été réchauffés et des mains se sont levées. Ô Père, ce soir l’expectative est grande. Aide-nous maintenant à recevoir ce que nous demandons. Je Te prie d’exalter Ton Fils, Christ, devant l’assistance ce soir. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          Vous êtes une assistance très sympathique, et si sympathique pour un orateur; je vous ai parlé trop longtemps, en vous gardant jusqu’à une heure très avancée. Demain après-midi, c’est notre service de clôture. Je crois franchement que le Saint-Esprit nous a confirmé qu’Il est ici. Maintenant, insistons sur tout ce que nous pouvons maintenant. La prière... Et soyez prêts, tout ce qu’Il a pour nous, nous le recevrons. Eh bien, il y a beaucoup de visiteurs ici. Il y en a ici qui viennent des autres régions du pays. Et puis, allez le matin à l’école du dimanche. Ces hommes-ci sont des serviteurs de Christ. Ce sont des gens qui croient dans ce même ministère que je prêche. Ce sont des ministres, des co-ouvriers, des citoyens du Royaume de Dieu. Ils ont des églises ici. Ils seront ravis de recevoir chacun de vous demain matin dans leurs églises.

3          Et, vous savez... Je pense qu’ils ont déjà fait cette déclaration, mais je dis toujours ceci: C’est un péché d’envoyer vos enfants à l’école du dimanche. Combien le savent? Vous commettez un péché en envoyant vos enfants à l’école du dimanche; vous devez les y amener. Il faut donc que vous fassiez cela. Demain, accompagnez vos enfants à l’école du dimanche. Ces hommes ont peut-être bien organisé leurs églises pour s’occuper de tous les âges, de tous les jeunes et toutes les personnes âgées, et tout comme cela. Vous entendrez la Parole du Seigneur. Et ma prière est que chacune de leurs églises soit tellement remplie du Saint-Esprit demain que des signes, des prodiges, des miracles et tout se produiront dans leurs églises, et qu’une grande gloire et une grande louange soient rendues à notre Seigneur Jésus-Christ. Je le crois de tout mon coeur.

4          Maintenant, rapidement, pour aborder directement le message de ce soir. Et je voudrais me rassurer maintenant que demain, après-midi... Je pense qu’il est 14 h ou 14 h 30 ou quelque chose de ce genre-là. Et combien de cartes de prière... A-t-on distribué beaucoup de cartes de prière? Nous devons faire ces... Vous savez, nous devons prier pour eux. Nous prions pour chaque personne qui reçoit une carte de prière. Et ils vont distribuer des cartes de prière demain, après-midi vers... oh! quelques instants avant le début du service. Je dirais, au moins quarante-cinq minutes avant, pour que cela ne dérange pas le–le service du soir ou plutôt de l’après-midi. Le garçon sera donc ici, et il sera avec quelqu’un pour l’aider, et ils distribueront les cartes de prière environ une demi-heure peut-être ou quelque chose comme ça, ou peut-être un peu plus, à quiconque désire avoir une carte de prière. Et nous prierons pour tous ceux pour qui nous le pourrons.

5          J’essaie de toutes mes forces, mais avec ma main posée sur la Bible ce soir... Et il y a avec moi ici des gens qui savent que ces réunions, tout le long de la côte, ont été des réunions d’essai. Je pars pour le champ missionnaire. Si jamais je reviens, ce sera un genre de service différent de ce que j’ai tenu. Je ne prierai que pour les malades. Voyez-vous? Je... Cela... Le discernement ne marche pas avec le peuple américain. Les intellectuels ne voient pas cela. Que l’une de ces choses arrive en Afrique, et vingt à trente mille personnes vont aussitôt se ruer à l’autel.

6          Mais nous, nous sommes quelque peu comme... Il n’y a pas longtemps, dans notre contrée, on a vu dans un bazar une dame qui cherchait à montrer à un petit garçon tout ce qui devrait attirer l’attention d’un petit garçon. Et après un moment, elle a pris de petites cloches qu’elle a fait tinter. Et l’enfant ne faisait que regarder fixement, il a simplement regardé ailleurs. Et finalement, la dame était si bouleversée qu’elle s’est tout simplement écroulée en travers du comptoir. Certaines personnes qui se tenaient là se sont approchées d’elle et ont voulu savoir ce qui n’allait pas. Elle pleurait. Elle a dit: «C’est mon petit garçon.» Elle a dit: «Depuis un certain temps, il reste juste assis–il a commencé à rester le regard fixe.» Et elle a dit: «Tout ce qui devrait attirer l’attention d’un petit garçon de son âge ne l’attire plus. Il regarde simplement dans le vide.» C’est ainsi qu’est devenue l’église. Dieu a agité devant eux chaque don spirituel qui peut être agité, qui est mentionné dans la Bible, ils regardent juste fixement. Eh bien, je pense que c’est peut-être en ordre. C’est ce que je pense.

7          Cela me rappelle un vieux poète en anglais, un poète anglais. J’oublie son nom. Il écrivait... Il avait toujours aimé la mer, mais il ne l’avait jamais vue. Puis un jour, alors qu’il se rendait à la mer, il a rencontré un vieux marin qui en revenait. Et celui-ci a dit: «Où vas-tu, mon brave homme?» Il a dit: «Je vais à la mer.» Il a dit: «J’y ai dédié mes écrits, mais je ne l’ai jamais vue.» Il a dit: «J’ai une folle envie de sentir l’odeur de ses vagues salées. Je désire voir les vagues écumeuses quand elles se brisent, entendre les cris des mouettes, quand elles volent.» Et le vieux loup de mer, le marin, le visage couvert de barbe, a retiré sa pipe en épi de maïs et il a craché. Il a dit: «Je suis né sur la mer il y a soixante ans. Et depuis lors j’y suis resté. Je n’y vois rien de si émouvant.» Qu’est-ce? Il avait tellement vu cela que c’était devenu ordinaire pour lui. C’est là notre problème, nous les pentecôtistes. Nous avons tellement vu la gloire de Dieu qu’elle est devenue ordinaire pour nous. Cela ne nous émeut plus.

8          J’ai vraiment fait de mon mieux. Ceci est mon service de clôture en Amérique. J’avais vraiment senti que je devais venir ici dans cette contrée. J’ai amené cet aimable groupe d’hommes l’autre matin à déjeuner, et jamais de ma vie je n’avais rencontré un groupe d’hommes aussi merveilleux, aussi aimables, des hommes très spirituels, et dont les coeurs sont pleins d’amour pour leur peuple. Ce sont des pasteurs, des bergers. Vous ne savez pas le combat que ces hommes ont livré pour organiser cette réunion ici. C’est juste. Mais ils désirent que cela soit fait devant leur peuple. Ils s’intéressent à la croissance de leur peuple dans la grâce de Dieu, et ils essaient de les amener à mieux connaître Dieu. Et quand ils entendent parler de quelque chose en rapport avec Dieu, ils l’examinent, et quand ils estiment que c’est correct, ils amènent cela devant le peuple en dépit du prix à payer. J’honore et respecte de tels hommes. C’est juste. Et nous avons imposé les mains aux gens dans des réunions. Cela fait des années, des années et des années que nous pratiquons cela. John Wesley priait pour les malades, Calvin, Knox, Spurgeon, tout du long, ils priaient pour les malades et ils imposaient les mains aux malades. La pentecôte est venue avec le parler en langues et les interprétations, et ainsi de suite; mais nous n’avons jamais vu ce que le Saint-Esprit fait pour nous à l’instant même. Voyez-vous?

9          Et c’est ce que j’essaie de faire comprendre aux gens: vous ne devez pas attendre qu’un don spécial arrive dans la contrée. Christ est toujours présent dans Son Eglise. Qu’arriverait-il si vous étiez étendu ici sur la route, perdant tout votre sang dans un accident? Diriez-vous alors: «Je dois envoyer chercher frère Branham, frère Roberts ou quelqu’un pour venir prier pour moi»? Christ est juste là, toujours présent. Voyez-vous? C’est ce que j’essaie d’amener les gens à voir. Cependant voyage après voyage à travers la nation, cela ne change pas. Et pour autant que je sache, à moins que le Dieu Tout-Puissant me révèle de faire autrement, ceci sera ma dernière série de réunions en Amérique, aux Etats-Unis, avec le discernement. Je continuerai à prêcher et à prier pour les malades. J’utiliserai cela quand j’irai dans d’autres pays. En effet, vous ne savez jamais–vous ne saurez jamais ce que cela a comme effet sur moi. Cela m’affaiblit. Une seule vision me met en pièces plus longuement que–plus que le fait de me tenir ici et de prêcher pendant trois heures. Et je le fais... je me détends pour voir ce qui va se passer, et c’est... ça ne marche simplement pas, c’est tout.

10        Un après-midi en Afrique du Sud, je me tenais devant à peu près... environ deux cent mille personnes, sur une tribune quelque peu pareille érigée pour un champ de courses. Ils avaient dû l’ériger de l’autre côté du champ de courses. Je me tenais là-dessus... Il était impossible de distribuer des cartes de prière, il y avait vraiment des milliers et des milliers de personnes. Nous n’avions personne... J’avais quelques missionnaires auxquels j’ai dit: «Allez prendre une personne des tribus auxquelles vous prêchez.» Ils ont aligné un groupe de gens. La première personne à venir à la tribune était une femme mahométane, avec une tache rouge sur le front, comme vous le savez, une pure mahométane.

            Et j’ai dit: «Pourquoi êtes-vous venue vers moi? Vous êtes une mahométane.»

            Elle a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Pourquoi êtes-vous venue vers moi, moi qui suis un chrétien?»

            Elle a dit: «C’est parce que je crois que vous pouvez m’aider.» Elle parlait très bien l’anglais.

            Et j’ai dit: «Avez-vous déjà lu le Nouveau Testament?»

            Elle a dit: «Oui.»

            Et j’ai dit: «Vous avez donc compris ce que je viens de dire, à savoir que ce qu’Il était, le même hier...»

            Elle a dit: «Oui, monsieur.»

            J’ai dit: «Si donc le Saint-Esprit vous révèle [quelque chose], alors vous saurez que votre prophète mahométan ne peut pas faire cela. Il est mort et enseveli. Mais Christ le Fils de Dieu est ressuscité, et Il vit pour toujours.»

            Elle a dit: «S’Il me révèle [quelque chose] comme Il l’a fait là dans le Nouveau Testament, tel que cela est écrit, je L’accepterai comme mon Sauveur.»

            Et quand... J’ai dit... Je l’ai regardée de nouveau, j’ai dit: «Vous avez un kyste à la matrice. Votre mari est assis juste là... c’est un homme svelte. Et il y a quelques jours, vous étiez chez un médecin, un homme à la moustache noire, de forte carrure, et portant un complet gris. Et il a examiné vos organes féminins, et il a déclaré que vous avez un kyste à l’ovaire.»

            Elle a dit: «J’accepte Jésus-Christ comme mon Sauveur personnel». Et alors, dix mille mahométans sont venus à Christ à ce même instant.

11        Avant de partir, j’ai prêché dans un club des Kiwanis, et des ministres étaient là. Et là, ils parlaient d’un certain homme. Il avait fait là vingt ans, et il a dit: «Ce précieux joyau.» Il avait converti un mahométan. Et puis, ils m’ont dit que j’étais fou. Et ce qu’eux appelaient folie, qu’ils appelaient psychologie, télépathie mentale, ou mauvais esprit, ou quelque chose du genre, a converti plus de mahométans à Christ en cinq minutes que tous les traités intellectuels et tout, qu’ils avaient distribués pendant cent cinquante ans. Voyez-vous, vous y êtes.

12        La personne suivante qui est venue sur la tribune, c’était un petit garçon qui louchait. Pendant que je le regardais, j’ai dit: «Eh bien, je n’ai pas de puissance pour redresser ses yeux. Vous savez que je n’en ai pas. Je ne suis qu’un homme. Regardez le petit ami.» Et j’ai dit: «Mais maintenant, pour ce qui est de sa vie...» en le regardant...

            Et ainsi donc, pendant que je parlais, le petit garçon... J’ai dit: «Il vient d’un–d’un foyer chrétien, parce que dans sa hutte, dès que vous entrez, il y a une image de Christ suspendue du côté droit de la porte, quand vous entrez. Sa mère et son père sont des Zoulous, mais il est... Ce sont des gens plutôt sveltes.» Et ils se sont levés tout au fond, peut-être à une distance d’un pâté de maisons derrière, et c’était juste. Et j’ai dit: «Maintenant, la mère... Aussitôt que les yeux de l’enfant s’étaient ouverts, la mère a montré cela au père; ils louchaient depuis sa naissance.»

            J’ai regardé derrière et le petit ami se tenait là, avec son petit ventre ressorti, sans vêtements du tout. Et voilà qu’il se tenait là, me regardant comme cela. Et quand j’ai regardé de nouveau, ses yeux étaient aussi droits que les miens. J’ai dit: «Tout le monde voit que ses yeux sont droits.» Je l’ai fait passer.

13        Combien ont entendu parler du docteur F.F. Bosworth, du vieux frère Bosworth? C’est l’un des vieux hommes les plus pieux que j’aie jamais rencontrés dans ma vie; il était là, debout sur la tribune. Je l’ai entendu essayer... Combien ont connu Ern Baxter? Un véritable théologien, un frère en Christ, il se tenait par là. Et un médecin anglais contestait... Il s’est avancé là et a dit: «Qu’avez-vous fait à cet enfant? L’avez-vous hypnotisé?»

            Et j’ai dit: «Et puis, le gouvernement britannique vous a donc délivré une autorisation pour pratiquer la médecine, et vous n’en savez pas plus sur l’hypnotisme que ça? Si l’hypnotisme redresse les yeux d’un enfant qui louchait, vous les médecins, vous feriez mieux de pratiquer l’hypnotisme.»

            Il a dit: «Eh bien, Monsieur Branham, quand j’ai déposé l’enfant là sur la tribune, il louchait. Et voici qu’il se tient ici», il l’avait sous sa main. Il a dit: «Ses yeux sont droits. Quelque chose s’est passé entre là et ici.»

            Et j’ai dit: «Oui, il a rencontré Christ.»

14        Eh bien, il a dit... Un très gros lys... Certaines d’entre vous, les dames, vous aimez les lys. Là-bas, certains de ces lys mesurent 18 pouces [45,7 cm]; et il y en avait là un grand bouquet à l’estrade. Je... Il a dit: «Je sais que Dieu est dans cette fleur. On m’a appris à croire cela. C’est la vie. Nous ne pouvons pas la produire; c’est vrai.» Et il a dit: «Est-Il assez réel pour faire que les yeux de ce garçon se redressent?»

            Monsieur Bosworth a posé ses mains sur lui, il a dit: «Monsieur, vous allez provoquer une émeute. Regardez là-bas maintenant.» Il a dit: «Vous prenez trop de temps alors que le frère est sous l’onction. Nous allons devoir vous demander de partir.»

            Et il a dit: «Un instant! Monsieur Branham, qu’est-il arrivé à ce garçon? Jésus-Christ est-il suffisamment réel pour redresser ces yeux?»

            J’ai dit: «Il vous faudra me croire sur parole. L’enfant se tenait juste là. Je ne l’ai même pas touché. La–la foi de ce père et de cette mère qui se tiennent là, avec cet enfant... Ses yeux sont droits.» Il a écarté tout le monde, et il s’est avancé jusqu’à l’estrade, il a levé ses mains, il a dit: «Alors j’accepte Christ comme mon Sauveur personnel.»

            Et à mon départ... environ vingt-cinq ou trente mille personnes étaient à l’aéroport, me faisant au revoir de la main, et ce petit ami a sauté leurs barrières qu’il y avait là et il a couru là, il m’a étreint au cou, et il s’est mis à parler en langues. Et il a dit: «J’ai quitté. Maintenant, je vais devenir un médecin missionnaire auprès des autochtones là-bas sous le système pentecôtiste.» Oh! la la!

15        Cet après-midi-là, tandis qu’on se tenait là (juste un autre cas de plus, je n’aurai pas le temps de raconter cela), mais quand cela est arrivé, j’ai dit: «Combien d’entre vous veulent recevoir Christ comme leur Sauveur personnel? Je veux que vous leviez la main.» Trente mille personnes se sont levées, trente mille vrais autochtones qui ne savaient pas distinguer la main droite de la main gauche, des femmes se tenaient là, sans vêtements, juste un bout d’étoffe d’environ quatre pouces [10 cm] de largeur, et avec des colliers.

            Et quelqu’un a dit: «Je crois qu’ils ont compris qu’il s’agit de la guérison physique.»

            J’ai dit: «Je n’ai pas parlé de la guérison physique. Etes-vous convaincu que la Bible par laquelle je viens de vous dire ce qu’Il était, c’est Dieu faisant ceci?» Ils ont tous levé leurs mains. J’ai dit: «Si vous êtes sincère, brisez votre idole sur le sol.» C’était comme une tempête de poussière, comme cela. Et trente mille vrais autochtones ont reçu Christ comme leur Sauveur, en une seule fois.

16        Et le lendemain matin, mademoiselle... Sidney Smith, le maire de Durban, en Afrique du Sud, m’a appelé au téléphone, il a dit: «Allez sans tarder à votre fenêtre qui donne sur la plage. Vous allez voir quelque chose que vous n’avez jamais vu.» Et voilà qu’arrivaient dix-sept camions chargés, de grands camions (et ils sont longs comme d’ici jusque-là où il est écrit «sortie», par là) bien remplis de... J’avais fait une seule prière, une prière d’ensemble, pour ces milliers et ces milliers, juste une marée humaine. Vous en avez vu la photo, et alors... (C’est une transposition dans cette affaire.) Et quand vous–quand vous regardez là...

            Et j’avais regardé là, et les gens étaient étendus là, et je me suis simplement levé, et j’ai levé la main, et j’ai fait une petite prière d’environ cinq minutes sur chacun d’entre eux, et j’ai dit: «Si vous croyez que cet Esprit qui connaît les secrets du coeur, c’est le Dieu de la Bible, alors acceptez votre guérison.» Et le jour suivant, je regardais par la fenêtre, et dix-sept de ces grands camions chargés passaient, et ces autochtones qui étaient étendus dans ces choses dans lesquelles on les transportait, avec des bâtons, des fauteuils roulants, des civières et tout le reste, marchaient derrière ces camions en chantant: «Tout est possible, crois seulement.»

            Le docteur F. F. Bosworth est l’un des hommes les plus honnêtes que j’aie jamais vus. Il ne... jamais... Il avait fait une sous-estimation plutôt qu’une surestimation.

            Il a dit: «Frère Branham, quand j’ai vu cette chose se produire en masse, a-t-il dit, j’ai pu dire avec ma main sur la Bible que j’ai fait une sous-estimation en parlant de vingt-cinq mille miracles extraordinaires qui se sont produits en une seule fois.»

17        Et nous, nous détournons la tête, et nous nous en allons, disant: «Eh bien, je pense que c’était très bien.» Ces gens-là ressusciteront et nous condamneront. C’est juste. C’est juste. Vous êtes mon peuple. Je suis anglo-saxon. Vous êtes–vous êtes mon peuple. Vous êtes ceux que je... Vous êtes–vous êtes comme moi; vous êtes des Blancs. Et–et je suis–je suis–je suis ici pour vous dire... Mais votre instruction vous a détruits. C’est tout à fait juste. Elle vous a éloignés de Dieu. C’est ce qu’elle fait toujours. L’instruction est le plus grand ennemi que l’Evangile ait jamais eu. Je le dis de tout mon coeur. C’est le plus grand ennemi que l’Evangile ait jamais eu. Il est bien plus difficile de traiter avec un païen instruit qu’avec un païen inculte.

18        Permettez-moi de vous dire quelque chose. Juste là sur place, j’ai demandé à ces gens, j’ai dit: «N’attendez donc pas que vous vous mettiez à apprendre des langues. Allez, parlez-en à tous ceux de votre tribu.» J’ai des coupures de journaux et j’oublie la quantité d’armes à feu et d’autres objets qu’ils avaient volés, rien que dans la tribu Songhaï, et ils les ont restitués. Le maire de... Le journal de Durban a publié cela, disant qu’ils en avaient fini avec le péché. Et remarquez. Permettez-moi de dire quelque chose juste... pas pour être sacrilège, mais pour vous avertir avec amour, fraternité et pitié. Ces femmes qui se tenaient là complètement nues, n’ayant sur elles qu’un bout d’étoffe, dès–dès qu’elles ont reçu Christ comme leur Sauveur, elles se sont éloignées de là, les bras croisés. Que quelqu’un réponde à ma question. Si le seul fait de recevoir Christ peut amener une–une femme qui ne sait pas distinguer sa main droite de sa main gauche à se rendre compte qu’elle est nue, comment pouvons-nous nous dire chrétiens et continuer sans cesse à enlever nos vêtements? Il y a quelque chose qui cloche quelque part.

19        Prions. Père céleste, j’ai fait de mon mieux. J’ai fait tout ce que je pouvais. Le reste relève de Toi, Père. Je–je... Je Te prie de nous aider maintenant tandis que nous lirons Ta Parole, tandis que nous parlerons. Tous ceux que Tu as appelés, sûrement Tu... ils viendront. Je Te les confie tous, ainsi que moi-même, ces quelques mots qui sont ici devant moi. Et je Te prie de sanctifier cela pour Ton honneur. Je regrette de retenir Ton peuple jusqu’à une heure tardive. Et je prie, ô Père, sachant que le réveil est terminé et que les gens se fatiguent facilement, je–je regrette si j’ai fait quelque chose de mal. Et je Te prie de m’aider ce soir et de nous permettre de voir Ta Parole encore une fois dans Sa Lumière. Puis guéris les malades et sauve les perdus. Nous Te confions cela au Nom de Jésus. Amen.

20        Saint Matthieu 12, à partir du–du verset 38. Vous êtes–vous êtes si gentils que je déteste de–je déteste de devoir m’efforcer. Voyez-vous? Et nous sommes habitués au temps de réveil, où nous prêchons toute la nuit, où nous prions toute la nuit, nuit après nuit (Voyez-vous?), tout le temps, continuant sans cesse. Quand un réveil éclate, c’est tout simplement jour et nuit, jour et nuit. Je ne m’en fais pas que vous perdiez un jour de travail. Ce n’est pas grave. Mais je ne veux pas que vous manquiez l’école du dimanche le matin. Ne–ne manquez pas l’école du dimanche. Si vous devez manquer un jour de travail, cela ne me dérangerait pas trop, car de toute façon toutes ces choses sont périssables. Mais ne manquez pas l’école du dimanche. Je vais vous laisser sortir tôt afin que vous puissiez aller à l’école du dimanche. Matthieu 12, verset 38:

          Et il y eut quelques-uns des scribes et des pharisiens qui prirent la parole, et dirent: Maître, nous voudrions te voir faire un miracle.

          Il leur répondit: Une génération méchante et adultère demande... des miracles; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas.

          Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.

          Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu’ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus que Jonas.

          La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.

            J’aimerais tirer de là un petit sujet: Voici, un plus grand que Salomon est ici.

21        Jésus était... (Je mets l’alarme de ma montre pour m’assurer de ne pas dépasser l’heure ce soir.) Jésus réprimandait les villes d’où Il venait, et où Il avait accompli Ses oeuvres et Ses miracles. Il les réprimandait parce qu’elles n’avaient pas cru en Lui. Si vous lisez le chapitre précédent, le chapitre 11, ainsi que le chapitre 12, vous verrez là que ces gens, qui étaient censés reconnaître le jour dans lequel ils vivaient, ne l’ont pas reconnu. Ils ont manqué de reconnaître cela. Et au lieu de reconnaître très exactement le jour et le signe qu’il y avait en Son jour... Il les a même réprimandés, disant: «Vous savez discerner l’aspect du ciel, mais vous ne pouvez discerner les signes du temps. Si vous Me connaissiez, vous connaîtriez Mon jour.»

22        Maintenant, essayons d’absorber chaque portion de ceci ce soir. Et je sais que c’est différent. Ces passages sont différents de ce que vous avez peut-être écouté; mais je voudrais que vous essayiez d’écouter attentivement ce soir. Voyez-vous, les gens–les gens essayaient de–d’avoir leur propre conception, et ils ne L’écoutaient pas sur base des Ecritures; en effet, Il leur avait dit: «Pourquoi ne sondez-vous pas les Ecritures, car ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi? Vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle, et ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Et si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas.»

            Ils ne pouvaient pas croire qu’Il était Dieu et cependant être un Homme. Il a dit: «Si vous ne pouvez pas croire en Moi comme étant un Homme, croyez aux oeuvres. Si vous ne pouvez pas Me croire, que les oeuvres rendent témoignage. Si les gens disent que Ma naissance est une naissance illégitime, et que Je n’ai point d’instruction, et que Je n’ai été à aucune de vos écoles et ainsi de suite, et que vous ne pouvez pas Me croire parce que Je n’ai jamais évolué sous votre doctrine ou ainsi de suite, eh bien, croyez aux oeuvres que Je fais. Elles rendent témoignage de Moi.» Quelle réprimande pour les gens!

23        Or, remarquez toutes les villes où Il avait été. Et Il avait fait des réprimandes, disant: «Et toi, Capernaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel? Non. Cependant tu seras abaissée jusqu’au séjour des morts. Si les miracles qui avaient été faits au milieu de toi avaient été faits dans Sodome, elle subsisterait encore aujourd’hui.» Et Il s’est mis à parler à l’un et à l’autre sur le fait que...

24        Quelqu’un est malade là-bas. Si certains de ces frères veulent bien la faire sortir pour prendre–ou pour prier pour elle. Gardez simplement vos mains sur elle, frères, permettez-moi de prier pour elle juste ici. Notre Père céleste, je prie pour cette soeur. Que la puissance du Dieu Tout-Puissant soit sur elle et la délivre, Seigneur. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Eh bien, le problème, c’est qu’elle s’est sentie très mal à cause de la concentration qu’il y a par là, avec la foule qui se trouve autour d’elle. Il y a un homme assis ici, juste ici, qui regarde droit vers moi; il souffre de la même maladie. Ainsi... Si vous voulez la prendre et la promener, ou plutôt la faire sortir, et lui faire prendre un peu d’air et tout, et ensuite la ramener, ce sera en ordre. Maintenant, pendant qu’ils font cela, écoutez ce que nous essayons de dire ici. Maintenant, remarquez. Vous devez peut-être la transporter, car elle s’est évanouie. Voyez-vous?

25        Maintenant, remarquez. Jésus a dit qu’Il réprimandait ces gens parce qu’ils L’avaient–L’avaient rejeté à cause de ce qu’Il faisait, et ces gens n’arrivaient pas à comprendre cela. Et Il leur disait cela. Eh bien, Dieu se vengeait d’eux à cause de leur incrédulité.

            Or, nous savons ceci que dans chaque génération qu’il y a eu sur terre, Dieu a toujours manifesté Ses dons, Ses signes, Ses prodiges comme confirmation de Sa Parole, toujours. Et les gens sont... Même dans l’Ancien Testament, à l’époque à laquelle Jésus se référait ici, Il... Vraiment, ils s’appuyaient honnêtement plus sur le signe que sur la théologie. En effet, si la théologie, peu importe combien elle était élevée et combien elle semblait correcte, si l’Urim Thummim ne déclarait pas que c’était juste, la chose était fausse. Voyez-vous? Ils s’appuyaient sur le signe surnaturel; mais le signe surnaturel ne pouvait pas apparaître pour n’importe quoi. Il devait se produire conformément à la Parole. Eh bien, c’est de cette façon que nous devons veiller aujourd’hui. Nous avons toutes sortes de signes, mais il faut que ce soit des signes provenant de la promesse de la Parole–la Parole de la promesse pour produire cela. Et nous savons qu’en ce jour, nous pouvons rechercher des choses qui ne sont pas justes. Certainement, parce que Satan lance toute son armée là-bas pour faire tout ce qu’il peut afin d’arrêter cela. Mais il n’y arrivera jamais. La Parole de Dieu prévaudra. Elle ira droit de l’avant. Le diable ne L’arrêtera donc jamais. C’est chose certaine.

26        Eh bien, Dieu a toujours envoyé ces signes aux gens, et dans la Bible, Il a dit aux gens de croire à leurs prophètes et ainsi de suite. Et puis, Jésus ici, pendant qu’Il se tenait là, après qu’Il eut accompli tant de choses, voici venir alors ces pharisiens, et ils ont dit: «Maître, nous voudrions voir un miracle de Ta part», après qu’ils L’ont vu faire exactement ce que la Bible avait annoncé à Son sujet. Et cependant, ils sont revenus, disant: «Nous voudrions voir un miracle de Ta part.»

            Et Il les regarda, j’imagine qu’Il était un peu découragé, et Il a dit: «Une génération méchante et adultère demande un signe; et ils ne recevront point d’autre signe que celui de Jonas (c’est-à-dire Jonas, le prophète). De même qu’il fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.» Maintenant, je désire que vous... Eh bien, observez quel genre de génération cherchait ce signe: une génération faible, méchante, incrédule et adultère.

27        Combien savent (Et les théologiens et ceux qui lisent les Ecritures le savent) que la Bible a toujours eu une réponse complexe? Elle donne toujours des réponses et encore des réponses. Elle se répète. Elle ne peut jamais périr. C’est la Parole éternelle de Dieu. Et ici dans Matthieu, au–au chapitre 3, Il a dit ici, Il a dit: «Je... hors d’Egypte... afin que s’accomplît ce que le prophète avait annoncé: ‘J’ai appelé mon fils hors d’Egypte.’» Consultez vos notes en marge et voyez de qui il s’agissait. Il s’agissait de Jacob, son fils; mais cela s’appliquait aussi à Christ, Son Fils. Cela a toujours eu une réponse complexe. Et ainsi, Jésus parlait bien sûr de cette génération-là, mais toute génération méchante, incrédule et adultère... Et si cette génération dans laquelle nous vivons aujourd’hui n’a pas les mêmes caractéristiques, alors je ne sais pas laquelle les a eues dans le monde entier. Nous vivons à l’époque de l’une des générations les plus incrédules et les plus adultères jamais connues.

28        Il n’y a pas longtemps, j’ai pris un journal, pendant que je survolais Hollywood, ou plutôt Los Angeles; et je lisais là que soixante-quatorze crimes, de grands crimes, étaient commis chaque nuit dans la seule ville de Los Angeles. J’ai lu, il n’y a pas longtemps, dans un journal de Chicago, qu’on reconnaissait trois... vingt-cinq mille cas d’avortement chaque mois, dans la ville de Chicago. Pensez-y. Et tandis que sur cette côte ouest, l’homosexualité a augmenté de trente pour cent l’an passé. Pensez-y. Une génération adultère... Oh! si seulement nous avions jusqu’à deux heures du matin pour creuser là-dedans: la méchanceté, une génération adultère. C’était le genre de génération qu’il y a eu, et elle a reçu cela. Qu’était-ce? Le signe de la résurrection. Maintenant, où en sommes-nous?

29        «De même que Jonas fut dans le ventre du grand poisson, le Fils de l’homme sera dans le sein de la terre.» Aujourd’hui, bien des gens pensent qu’Il s’y trouve toujours; mais Il n’est pas mort. Il est ressuscité des morts et Il est ici avec nous maintenant, apparaissant parmi nous, confirmant Lui-même, d’un bout à l’autre de la côte, et partout dans le monde, qu’Il est vivant. Et cette génération méchante et adultère voit un signe montrant que Jésus-Christ est vivant et qu’Il n’est pas mort. Une génération méchante et adultère cherche un signe, et elle le recevra: le signe de la résurrection. Laissons cela pénétrer très profondément maintenant. Etudions cela sérieusement.

            Pendant que vous laissez cela pénétrer, je désire poser une question au sujet de Jonas. Jonas était un prophète. Bien des gens condamnent Jonas et disent: «Eh bien, c’était un vieux rétrograde. Il...» Il n’était pas rétrograde. Un homme de Dieu... «L’Eternel affermit les pas–les pas du juste.» Croyez-vous cela? Et je ne me préoccupe pas de ce que fait un homme de Dieu, du moment qu’il est ordonné par Dieu. Il pourrait faire des choses qu’il jugerait lui-même comme de la folie; mais si seulement vous observez, cela va marcher parfaitement bien, si seulement il peut continuer tel qu’il est conduit.

30        Eh bien, Dieu dit à Jonas de se rendre à Ninive, une ville qui avait environ la dimension de Saint Louis. Il y avait des hommes méchants, oh! la la! pervertis, pervers; il n’y avait rien de bon en eux. Il a dit: «Va là-bas, et crie contre eux.» Et il est allé là où on prenait le bateau et il s’est payé un billet. Au lieu de se rendre à Ninive... Peut-être qu’il n’y avait pas de bateau allant par là, alors il est simplement allé à Tarsis. Je ne pense pas que ce fût de la folie, après que j’en ai reçu la vraie révélation, que j’ai vu ce qui s’était passé et que j’ai lu les livres à ce sujet. Et j’ai compris qu’il était dans le bon.

            Et en route, quand il fut en pleine mer, il eut des ennuis. Et une tempête s’éleva, et les gens pensaient que le bateau allait couler. Et Jonas leur dit que c’était lui le coupable, et qu’on lui lie les mains et les pieds et qu’on le jette par-dessus bord. Et Dieu avait préparé un grand poisson pour l’avaler.

31        Eh bien, il y a quelques années, environ vingt-cinq ans, on a amené le–le squelette d’une baleine à Louisville, dans le Kentucky. C’est juste de l’autre côté de la rivière par rapport à l’endroit où je vis. Et ils montraient la grandeur de sa bouche, et un petit professeur se tenait là, ayant plus d’instruction que de jugeote pour contrôler cela. Ainsi, il expliquait tout au sujet de cette baleine.

            Et il a dit: «Eh bien, vous avez entendu parler de cette vieille légende au sujet de la–la baleine qui aurait avalé Jonas.» Il a dit: «Si vous remarquez bien, vous ne pourriez pas faire passer une balle de baseball dans sa gorge.» Il a dit: «C’est impossible.»

            Je–j’étais simplement trop Irlandais pour supporter cela. J’ai donc dit: «J’aimerais juste vous dire quelque chose, monsieur. Il y a une chose que vous avez oubliée. Il est possible que cette baleine n’ait pas été en mesure de faire cela; mais si vous remarquez bien, Dieu avait préparé celle-ci. C’était un genre spécial. Peut-être qu’on aurait pu faire passer tout un bateau dans sa gorge.» Voyez-vous? Dieu avait préparé un poisson pour Jonas. Voyez-vous? Il avait une constitution–constitution spéciale à cette fin, pour avaler le prophète. Et il... Et ce n’était pas impossible. Les gens...

32        Un–un petit... Ceci n’est pas un endroit où plaisanter, mais j’étais... Une jeune fille était sauvée, elle montait la rue en criant: «Gloire au Seigneur!», et en chantant; sa petite chevelure était tirée en arrière, et son visage brillait comme un oignon pelé. Elle passait des moments glorieux.

            Un infidèle qui se tenait au coin a dit: «Qu’est-ce qui ne va pas?»

            Elle a dit: «Je viens d’être sauvée il y a quelques instants. Gloire au Seigneur!»

            Il a dit: «Que tiens-tu sur le coeur?»

            Elle a dit: «Une Bible.»

            Il a dit: «J’espère que tu y crois.»

            Elle a dit: «Bien sûr que j’y crois.»

            Il a dit: «Crois-tu à cette histoire qu’il y a là sur Jonas?»

            Elle a dit: «Bien sûr que je crois à cette histoire sur Jonas.»

            Il a dit: «Crois-tu que–que Jonas fut avalé par un grand poisson?»

            Elle a dit: «Oh! oui. Si la Bible le dit...» Elle a dit: «Même si c’était Jonas qui avait avalé le grand poisson, je croirais cela.» Et elle a dit...

            –Oh! a-t-il dit, comment vas-tu le prouver autrement que par la foi?

            –Eh bien, a-t-elle dit, quand j’arriverai au Ciel, je vais m’approcher et en parler avec Jonas.

            Il a dit: «Et si Jonas ne se trouve pas là-bas?»

            Elle a dit: «Alors, ce sera à toi de le lui demander.» Je pense que c’était assez. Oui. Ainsi un petit enfant... Mais, toutefois, Dieu est capable.

33        Jonas fut donc jeté hors du bateau, et le grand poisson qui rôdait dans les eaux à la recherche de la nourriture a avalé Jonas. Et quiconque sait... C’est comme lorsque vous nourrissez votre poisson rouge; quand le petit poisson mange et que son petit ventre est plein, il descend tout droit au fond du bocal, où vous l’avez mis, dans le petit vase. Et il fait reposer ses petites nageoires au fond. Il a mangé; il se repose. Et ce poisson, quand il a avalé ce prédicateur, il est descendu se reposer au fond de la mer. Je ne sais pas à quelle profondeur c’était, mais il reposait là au fond.

            Et j’aimerais parler de ceci maintenant. Vous savez, on–on trouve tant de gens qui se fient aux symptômes. «Eh bien, on a prié pour moi. J’ai une main infirme. On a prié pour moi, mais... Je–je crois réellement en Dieu, mais ma main ne va pas mieux.» Elle n’ira jamais mieux aussi longtemps que vous regarderez à cette main. Voyez-vous, vous regardez à la chose qu’il ne faut pas. Vous devez regarder à Sa promesse.

34        Il y a quelque temps, un vieux couple avancé en âge est venu et voulait que je prie pour leur fils qui se mourait de la diphtérie noire. Je n’avais pas–je ne pouvais pas aller. Et ils ont continué à attendre, et quelques jours plus tard, le vieil homme a dit: «Mon fils est mourant maintenant.» Et, finalement, je suis allé après le service.

            Le médecin ne voulait pas me laisser entrer. Et il a dit: «Non, vous avez des enfants, et je ne peux pas vous laisser entrer, car cette diphtérie est contagieuse.» Et il a dit: «Il n’y a rien que vous puissiez faire pour lui.» Eh bien, en parlant à cet homme, j’ai découvert que c’était un catholique. Et j’ai dit: «Si le prêtre était ici... Si ce garçon était catholique et–et que ce père était allé me chercher, et que j’étais un prêtre...» Il a dit: «C’est différent.» Il a dit: «Vous voyez, un prêtre n’est pas marié.»

            J’ai dit: «Vous le laisseriez aller prendre–lui administrer les derniers sacrements, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Oui, mais le prêtre n’est pas un homme marié. Vous, vous avez des enfants.»

            J’ai dit: «Et si j’en endossais moi-même la responsabilité? Je vais signer un papier. Je vais en endosser la responsabilité.» Finalement, je l’ai persuadé là-dessus, et il m’a habillé comme un Ku Klux Klan, avec toutes sortes d’histoires, et il m’a envoyé là où se trouvait ce garçon.

35        Eh bien, le coeur était atteint, quelque chose n’allait pas dans son coeur. Le cardiogramme indiquait un niveau très faible. Cela ne battait qu’un certain nombre de fois par minute. Et la vieille mère et le vieux père se tenaient là à côté du garçon. Je me tenais d’un côté du lit et eux de l’autre. Et une petite infirmière se tenait là à nous observer, une jolie jeune fille d’environ, oh, je pense, vingt-cinq ans. Et j’ai donc posé mes mains sur le garçon et j’ai prié, et j’ai juste fait une prière ordinaire. Et quand j’ai dit: «Amen», le vieux père a saisi la mère et s’est mis à l’étreindre, et il–ils se sont étreints. Il a dit: «Oh! mère, n’est-ce pas merveilleux? N’est-ce pas merveilleux? Merci, Seigneur Jésus, pour avoir guéri notre fils.»

            Le garçon allait toujours aussi mal, et eux s’essuyaient les larmes l’un à l’autre et louaient Dieu. Et cette petite infirmière qui se tenait là, n’arrivait pas à comprendre cela. Et elle a dit: «Monsieur, ce n’est pas mal, je pense.» Elle a dit: «Je ne suis pas membre de votre religion, mais... votre genre de religion.» Elle a dit: «Mais j’aimerais vous poser une question. Comment pouvez-vous agir comme cela, vous, et la mère de cet enfant agir comme cela, alors que ce garçon est étendu là, mourant?»

            Il a dit: «Madame, le garçon n’est pas mourant.»

            –Tiens, a-t-elle dit, il est dans le coma depuis trois jours!

36        Et une sorte de machine qui était là montrait cette aiguille qui était descendue très bas, et jamais dans l’histoire médicale cela n’est remonté. Le vieux père (Je n’oublierai jamais cela) essuya ses yeux, s’avança et posa les mains sur l’épaule de cette jeune femme. Il dit: «Mon enfant, dit-il, tu as appris à regarder à cette machine. Et tout ce que tu connais, c’est observer cette machine.» Il dit: «Ce–ce–c’est... Tout ce que cette machine sait faire, c’est d’indiquer ce qui se passe ici. C’est vrai.» Il dit: «Toi, tu regardes à cette machine. Mais moi, je regarde à une promesse que Dieu a faite.»

            Cela dépend de ce à quoi vous regardez. Aujourd’hui, le garçon est marié et père de deux enfants. Voyez-vous, cela va de soi! Voyez-vous? Il est resté encore étendu comme cela deux ou trois jours de plus, mais il s’en est carrément tiré et s’est rétabli. Voyez-vous, cela montre à quoi vous regardez. Vous devez faire attention à ce à quoi vous regardez. Ne regardez pas à vos symptômes.

37        Si jamais quelqu’un a eu des symptômes, c’était bien Jonas. Eh bien, souvenez-vous, il était dans le ventre du grand poisson. Disons qu’il était à vingt brasses [36,6 m] de profondeur, là dans l’océan, les mains liées dans son dos, les pieds liés, et dans le ventre du grand poisson, étendu au milieu des vomissures dans le ventre du grand poisson, avec des algues tout autour du cou. Eh bien, en voilà des symptômes. Qu’il se tourne de ce côté, c’était le ventre du grand poisson; de l’autre côté, c’était le ventre du grand poisson; de quelque côté qu’il se tournait, c’était le ventre du grand poisson. Eh bien, en voilà des symptômes. Personne d’entre vous ce soir n’est autant dans le pétrin, j’en suis sûr (C’est juste), pas autant dans le pétrin. De quelque côté qu’il se tournait, c’était le ventre du grand poisson.

            Mais savez-vous ce qu’il a dit? «Ce sont de vaines idoles. Je n’y croirai pas.» Qu’a-t-il dit? «Encore une fois je regarderai vers Ton saint temple», il s’est retourné sur le dos, et il a tourné la face en direction du temple du mieux qu’il pouvait. Pourquoi? Quand Salomon avait fait la dédicace de ce temple, il avait prié ce jour-là. Quand la Colonne de Feu était entrée et était allée derrière le Saint des saints, Salomon avait fait cette prière et dit: «Seigneur, quand Ton peuple sera en difficulté où que ce soit, et qu’il regardera vers ce saint lieu, alors exauce-le des cieux.» Et il a cru cela. Et Dieu a fait quelque chose. Je ne sais pas ce qu’Il a fait. Il est possible qu’Il ait mis un réservoir d’oxygène dans le ventre de ce grand poisson. Je ne sais pas ce qu’Il a fait. Il l’a gardé en vie pendant trois jours et trois nuits, et Il l’a déposé à sa destination, là où il devait aller.

38        Et si Jonas, dans de telles circonstances, a pu croire dans une prière qui avait été faite par un homme tel que Salomon qui, plus tard, a rétrogradé à cause de femmes, et il a eu foi en un temple fait de mains d’homme, à combien plus forte raison devrions-nous regarder ce soir à Christ, qui est assis à la droite de Dieu, et qui intercède avec Son propre Sang sur base de nos confessions? Combien nous devrions croire cela! «Rien, aucun symptôme ne me fera obstacle; je regarde à la promesse de Dieu selon laquelle Il accomplirait la chose.» C’est là la seule chose. Regardez à cela. Il était là.

39        Une fois, j’ai lu une histoire là-dessus. Tous les habitants de Ninive étaient des païens. Généralement, les païens adorent les animaux et ce qui a vie. Très loin là-bas, en Amérique du Sud, je les ai vus exécuter la danse du kangourou. Ils avaient une danse, une sorte de fête, et tous dansaient comme le kangourou, car c’est... Tout ce qu’ils ont jamais vu, c’est le kangourou. Ainsi, ils allaient immédiatement manger le kangourou, et ils l’ont jeté au feu et ils l’ont brûlé un peu. Oh! comment l’ont-ils fait, je l’ignore. Moi, je n’avais pas faim. Ainsi donc, de toute façon, leur façon de danser, c’était comme la danse du kangourou. C’est de cette manière qu’ils... Et on voit ces gens là en Afrique, ils ont toutes sortes de petites choses curieuses provenant d’animaux, et qui sont aspergés de sang. Eh bien, c’est ce qu’ils croient être Dieu. Et alors, nous voyons que ces gens là-bas, à Ninive, adoraient aussi des idoles, et leur dieu de la mer, c’était un grand poisson. Ainsi tous ces hommes, du fait qu’ils vivaient au bord de la mer, comme occupation, ils étaient des pêcheurs; c’était cela leur principale occupation. Et ils faisaient une grande exportation des poissons vers le monde de cette époque-là.

            Ainsi, un jour donc, les–tous les pêcheurs étaient là dehors vers midi, pêchant, tirant leurs filets. Et tout à coup, le dieu est sorti de la mer, le dieu poisson. Il s’est précipité sur le rivage, et d’un coup, il a tiré la langue, et marchant sur la langue du grand poisson, le prophète est sorti directement sur la terre. Il n’est pas étonnant qu’ils se soient repentis. Amen.

40        Dieu sait comment faire les choses. Dans la simplicité, Dieu sait plutôt comment s’y prendre. Voyez-vous? Jonas n’était pas rétrograde. Il suivait tout simplement la conduite de l’Esprit. C’est de cette façon qu’on amène les gens à la repentance. Il a dit... Il est allé aussitôt à travers la ville, disant: «Si vous ne vous repentez pas, dans quarante jours, cette ville sombrera.» C’est tout. Voyez-vous, que pouvaient-ils faire d’autre, sinon se repentir, car leur–leur dieu même avait vomi le prophète. Et ils étaient certains que celui-ci avait un message. C’était leur dieu, ainsi ils... Il l’a directement vomi là.

            Notre Dieu c’est Christ. Amen. Et Il a envoyé le Saint-Esprit sur terre. Je me demande pourquoi nous ne pouvons pas croire cela. Il fut manifesté ici dans la chair. Il s’est tenu là, et Il a dit: «Et les habitants de Ninive se lèveront au dernier jour avec ceux de cette génération et la condamneront, parce qu’ils se sont repentis à la prédication de Jonas. Et il y a ici plus que Jonas.» Ensuite on lui a demandé un signe...

41        Et puis, Il continue en disant, presque au même moment, que Dieu a parlé dans toutes les générations. Chaque fois que Dieu envoie un don sur la terre, et que les gens le reçoivent, c’est un âge d’or pour cette génération-là. Mais quand les gens le rejettent, c’est le chaos pour cette génération-là.

            Eh bien, qu’arriverait-il ce soir si... Si le peuple américain qui prétend être une nation chrétienne, qu’arriverait-il si nous tous qui déclarons être des chrétiens acceptions le don que Dieu nous a envoyé, le Saint-Esprit? Ne serait-ce pas merveilleux? Eh bien, nous pourrions cesser de fabriquer des missiles. Oh! rien au monde ne pourrait nous faire du mal. Ce serait impossible. Nous aurions une protection. Le Saint-Esprit serait sur nous. Certainement. Nous n’avons besoin de rien d’autre que du Saint-Esprit, si le peuple acceptait simplement le don que Dieu leur a envoyé, et c’est le Saint-Esprit. Mais une église est en désaccord avec l’autre, et celle-ci dit: «Oh! le Saint-Esprit n’existe pas. Ça, c’était pour les disciples.» Et c’est un don maintenant même. C’est pour l’Eglise, et aujourd’hui, nous sommes dans les derniers jours.

42        Oh! vous n’avez pas besoin de parler des abris. Les gens, comme des taupes, creusent des trous dans le sol pour essayer d’échapper à la bombe atomique. Comment allez-vous y échapper? Oh! cette bombe fait dans le sol un trou d’environ un mile [1,6 km] de profondeur sur 150 miles carrés [240 km²]. Eh bien, même si vous étiez à 50 miles [80 km] sous la terre, tout en dessous de la–la lave, le choc de la bombe briserait tous les os de votre corps. Il n’y a pas moyen d’y échapper, pas du tout. Il n’y a qu’un seul moyen. Et nous avons un abri. Il n’est pas fait d’acier, mais il est fait de plumes. Nous nous reposons sous Ses ailes. Amen. Et cela ne se trouve pas ici bas; cela se trouve là-haut. Vous êtes au-dessus de cela, quand vous naviguez jusque dans le... vous vous élancez jusque dans Son sein. Certainement. Voilà l’échappatoire.

43        Permettez-moi d’introduire ceci. (J’espère que ma montre ne va pas sonner trop tôt. Mais regardez, écoutez.) Aujourd’hui les gens ont une peur terrible du communisme. Honte à vous! Eh bien, pourquoi avez-vous peur du communisme? Je voudrais qu’un théologien, qu’un érudit de la Bible me montre où il est dit que le communisme dirigera le monde. Je vous assure, selon la Bible, c’est le romanisme qui va diriger le monde. Observez cela.

            Ne faites pas attention aux rideaux de fer et aux rideaux de bambou; faites plutôt attention au rideau de pourpre. C’est celui-là qui va vous avoir. Ne vous en faites pas là-dessus. Cela... Notez cela, et dites: «Frère Branham l’a dit», et mettez cela dans votre Bible, et voyez si c’est juste. Le communisme n’est qu’un instrument dans la main de Dieu, qui joue un rôle. Eh bien, il ne représente rien. C’est tout à fait juste. N’ayez pas peur de cela. C’est quelque chose pour vous désorienter et vous empêcher de voir. Mais ceux qui lisent la Bible et les hommes qui aiment Dieu s’en tiennent à ce que dit la Bible. Certainement. Observez tout simplement cela.

44        Eh bien, nous ne voulons pas recevoir le don de Dieu dans cette nation, cette génération. Les gens ont rejeté cela. Les gens qui y croient sont traités de fanatiques, d’excentriques, de saints exaltés et de tout le reste. Ils sont méprisés et rejetés, exactement comme les Ecritures l’ont prédit. «Traîtres, hautains, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, blasphémateurs, calomniateurs, intempérants, ennemis des gens de bien, ayant une forme de la piété, mais reniant ce qui en fait la force.» C’est exactement ce que le Saint-Esprit a annoncé pour les derniers jours. Et nous y sommes, les amis. Nous y sommes exactement. Nous pourrions y rattacher plusieurs autres Ecritures, passons à autre chose, à ce que Jésus a dit ici. Et comme du temps de... Du temps de Salomon, Dieu a envoyé un don parmi Son peuple. Et il y a eu un temps où ils acceptèrent cela. Ils acceptèrent Salomon, le don de discernement. Et quand Salomon exerçait le discernement, tout le monde était d’un même coeur et d’un commun accord. Chaque... Oh! chaque nation était dans la crainte. On ne leur faisait pas la guerre. On–on ne leur faisait pas la guerre parce qu’on avait peur d’Israël, ce n’était pas tellement de la nation en tant que telle, mais du Dieu qu’Israël servait. Israël était d’un même coeur et d’un commun accord. Et ils étaient tous rassemblés autour de ce don. Oh! combien ils aimaient tous cela, et tout le monde parlait en bien...?...

45        Ne serait-ce pas merveilleux si tous les chrétiens, ce soir en Amérique, se mettaient tous à parler du Saint-Esprit, disant combien Il est merveilleux, et se mettaient... Oh! je vous assure que ce serait... Eh bien, les journaux partout en parleraient. Et les lignes de télécommunication grilleraient à force d’envoyer l’information. Oh! combien ce serait merveilleux! Mais ils ne veulent pas le faire. Voyez-vous! Mais, oh! si seulement nous pouvions nous rassembler autour des dons de Dieu, le Saint-Esprit!

            Maintenant, nous voyons qu’en ce jour-là tout le monde s’était rassemblé. Et Dieu avait fait roi cet homme qui avait ce don sur lui. Oh! vous savez, la nouvelle s’était répandue partout. Les gens amenaient des troupeaux de moutons. Ils amenaient du bétail, de l’or et tout, et ils les aidaient. Ils cherchaient à être en paix avec eux, c’est ce qu’ils cherchaient à faire; en effet, ils savaient qu’un Dieu vivant était au milieu d’un peuple vivant. Ils savaient cela.

46        Maintenant, remarquez ce qui est arrivé. En ce temps-là, la nouvelle se répandait par... Dieu merci, ils n’avaient pas la télévision; mais les nouvelles se répandaient de bouche à oreille. Et les–les caravanes passaient pour aller quelque part, et les gens en parlaient. Et peu après, la nouvelle est parvenue très loin, jusqu’à Séba. Evaluez la distance de Jérusalem à Séba sur votre carte. Il y avait là-bas une reine, une petite païenne, une reine païenne. Et les gens venaient et rendaient témoignage de ce qui se passait en Palestine. Et la foi vient de ce qu’on entend la Parole de Dieu.

47        Oh! cette petite dame était prédestinée à la Vie Eternelle. Et dès qu’elle entendit cela, quelque chose s’enflamma dans son petit coeur de païenne. Elle a commencé à se poser des questions à ce sujet. Lorsque la caravane suivante est passée, elle n’a pas pu attendre. Elle a ordonné à ses eunuques d’aller les chercher et de les amener.

            –D’où venez-vous?

            –Nous venons du Nord.

            –Etes-vous passés par la Palestine?

            –Oui. Oh! je sais ce que vous voulez me demander: c’est à propos de leur Dieu.

            –Oui, c’est juste. Avez-vous vu la chose?

            –J’ai vu cela. C’est la vérité. Oh! ils aiment tellement cet homme, ils en ont fait leur roi; et quant à leur Dieu, ils ont un Dieu surnaturel qui se manifeste carrément à travers cet homme.

48        Maintenant, quiconque sait... Je vais arrêter ceci juste une minute. En fait–en fait, il est temps. Je... Est-ce en ordre, juste une minute? Tout le monde sait que l’adoration païenne est... Le païen fait sortir l’idole. Un prêtre lui apporte du vin. Il mange en honneur de cette idole. Ensuite il entre dans le temple et se prosterne devant cette idole, il continue à s’exciter comme cela jusqu’au point où il croie vraiment entendre cette idole lui parler. Eh bien, c’est tout à fait l’adoration païenne. Vous, frères, vous le savez en considérant l’histoire.

            Maintenant, regardez ce que Dieu fait. Il se retourne carrément et ne... Voyez-vous, il s’imagine que la–la vie, l’esprit qui doit exister, qui habite en fait dans cette idole, entre dans cette idole et lui répond. Oh! on racontait que ces païens autrefois pouvaient se prosterner de telle sorte qu’ils affirmaient qu’ils entendaient les dieux parler au travers de ces idoles.

49        Mais voyez-vous combien le christianisme est différent, combien il se moque de cela? Dieu n’utilise pas une idole; Il utilise un homme.

            Et lorsqu’un homme se prosterne dans la Présence de Dieu, Dieu entre Lui-même dans cet homme, et cet homme devient une créature vivante dans laquelle Dieu habite, pas une idole morte, mais un homme. Dieu n’a jamais utilisé des idoles. Il a toujours utilisé l’homme. Dieu n’utilise pas de machines, de dispositifs mécaniques. C’est... Il utilise des hommes, des individus. Excusez-moi. Ce n’était pas mon intention de crier aussi fort. Remarquez. Je ne suis pas excité pour autant. Je sais exactement où je me tiens. C’est juste. Je me sens tout simplement bien.

50        Remarquez. Puis ce Dieu était descendu, le Grand Jéhovah, et Il s’était manifesté au travers d’un homme, afin que les gens sachent que c’était plus qu’un homme. Cet homme avait quelque chose qui était–était différent. Et tout le peuple adorait Dieu et croyait en Dieu, et ils ont construit le temple. Ils ont réalisé de grandes choses en ce temps-là.

            Remarquez. Cette petite reine a commencé à en entendre parler. La foi vient de ce qu’on entend. Son petit coeur s’est mis à battre vite. Il lui fallait y aller pour voir cela. Alors, après un moment, beaucoup de gens sont passés par là en témoignant, tout le monde disait que ces gens étaient d’un même coeur et d’un commun accord. Il n’y avait pas de différends parmi eux. Personne ne se baladait là pour dire: «Oh! il n’est pas membre de mon groupe. Ce–c’est un pharisien. Je ne pense pas... Je suis un sadducéen.» Il n’y avait rien de tel. Ils étaient d’un même coeur et d’un commun accord. C’est de cette façon que vous devez être.

            Oh! oh! si seulement nos églises pouvaient être comme cela, frères. Si nos églises, nos différences, pouvaient simplement être... Très bien, c’est en ordre aussi longtemps que vous croyez, et que vous avez Dieu, et que vous avez vos–vos églises et tout. Mais, oh! soyons d’un commun accord, un seul homme, un «en avant soldats chrétiens», juste une unité de Dieu en marche vers la victoire, recevant tout ce qui vient au Nom du Seigneur, c’est-à-dire ce que la Parole de Dieu a promis de nous envoyer. Croire cela, agir sur base de cela.

51        Maintenant, bien vite, son petit coeur se mit à battre au point qu’elle n’arrivait pas à rester... elle n’arrivait plus à dormir. Il lui fallait simplement aller voir cela. Il se passe quelque chose lorsqu’il vous arrive d’entendre parler de Dieu. L’homme sait qu’il vient de l’autre côté du voile sombre, quelque part au-delà d’ici. Il sait que lorsqu’il mourra, il traversera encore de l’autre côté du voile. D’où est-il venu et où est-il parti? L’homme a toujours désiré ardemment voir ce qu’il y a derrière ce rideau. C’est exact. Ainsi lorsqu’il voit quelque chose s’élever de derrière ce rideau, et illustrer quelque chose qui a été promis depuis là-bas, cela doit faire tressaillir son coeur.

52        Remarquez. Ainsi cette petite femme, elle était... son coeur s’est mis à battre pour y aller. Or, elle avait certaines choses à faire avant de partir. Eh bien, la première chose à faire, c’était d’aller obtenir la permission de son église pour partir et se rendre là-bas. Eh bien, c’était une chose difficile d’aller vers un prêtre païen. Je peux le voir, quand il–elle s’est avancée, et–et s’est inclinée devant lui, l’appelant (peu importe comment elle l’a appelé) «saint père» ou que sais-je, elle s’est approchée de lui, s’est inclinée, et l’autre s’est incliné. Et il... elle était la reine du pays.

            Elle a dit: «Si je comprends bien les dires des caravanes et ainsi de suite (et certains d’entre eux m’ont apporté des rouleaux venant de la Palestine), ils tiennent une grande réunion là-bas. Et il y a là un homme qui est oint par leur Dieu; et ce Dieu manifeste Sa propre Vie au travers de cet homme. Mon Seigneur, sa sainteté, j’aimerais aller voir.»

53        Pourriez-vous vous l’imaginer lui accordant la permission? «Nous ne collaborons pas avec ces réunions qui se tiennent là-bas.» Oh! certainement. Toutes sortes de propos ont pu sortir. «Eh bien, si quelque chose devait se produire, cela devrait se produire juste ici dans votre propre église. Et après tout, ce n’est qu’une bande de nullités. Nous avons appris qu’ils traversent des mers et tout comme cela. Mais c’est une bande de saints exaltés, ou (Excusez-moi) de fanatiques, ou quelque chose comme ça, tu sais, là-bas. Ils... Ça ne vaut rien. N’y crois pas, ça ne vaut rien. Si quelque chose doit se produire, cela se produira juste ici dans votre propre église. Ce serait juste ici. Si un dieu devait faire quelque chose–quelque chose, notre dieu le ferait.»

            Je peux voir cette petite femme se redresser. Elle dit: «Seigneur, mais moi, je désire y aller. Je désire en être convaincue.» J’aime ce genre de courage là. «Je veux être convaincue. J’ai leurs rouleaux ici. Je désire aller voir si cet Esprit qui est dans cet homme c’est exactement ce Dieu-là comme le déclarent ces rouleaux. Ainsi donc, si c’est le cas, c’est ce Dieu-là qui parle au travers de cet homme.»

            «Eh bien, écoute ceci. Il y a ici le grand dieu Dagon, il y a ici le grand dieu Untel, Jupiter, le dieu Soleil, et tous ces autres dieux que nous avons ici.»

            Elle a peut-être dit: «Oui, mon arrière-arrière-grand-mère les a servis; ma grand-mère les a servis et tout. Ma mère les a servis. Et qu’ont-ils fait? Ce sont des idoles muettes. Je ne les ai jamais entendues prononcer un seul mot ni ne les ai vus accomplir une seule chose.»

54        C’est comme ces credos muets et ainsi de suite que l’on sert aujourd’hui, et des choses qui n’ont pas plus de vie en elles... Vous parlez–parlez d’un Dieu, un Dieu qui était, et on envoie un garçon à l’école, et on lui apprend à être ministre, et on lui parle d’un Dieu historique. A quoi sert un Dieu historique d’hier s’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui? Si un Dieu plein de miséricorde a pu satisfaire les besoins des gens hier, et qu’Il ne soit pas le même Dieu aujourd’hui, c’est un Dieu minable. Il a fait acception de personnes. A quoi bon donner à votre canari toutes sortes de bonnes vitamines pour qu’il ait des ailes puissantes et des os gros et solides, et ensuite le mettre dans une cage pour qu’il ne vole pas? C’est la même chose que d’envoyer un homme recevoir toutes sortes de cours et tout le reste, et apprendre ce qu’un Dieu était, tout ce qu’Il avait fait, et tout ce qu’Il avait fait à l’époque, mais ensuite faire volte-face et lui dire que les jours des miracles sont passés et que ça n’existe pas. Pour moi, ce n’est même pas raisonnable.

55        Alors cette petite reine a peut-être dit: «J’ai entendu parler de tous ces dieux. J’ai entendu parler de toutes ces choses. Mais je ne les ai jamais vus manifester le moindre signe de vie. Je n’ai jamais vu une oeuvre qu’aurait accomplie un dieu ni rien d’autre.»

            «Eh bien, je vais te dire quelque chose, ma fille. Si tu vas là-bas... Tu es notre reine. Tu ne peux pas aller te mêler à un tel groupe de gens. C’est insensé.»

            Je ferais peut-être mieux de le dire. Cela brûle en moi de toute façon. J’étais... Ma belle-fille et mon épouse étaient en ville ce matin, et elles faisaient des achats dans un magasin. Et une dame a dit: «Il y a une dame qui habite de l’autre côté de cette rue en face de moi, son mari a une affaire par ici. Elle était à cette réunion qui s’est tenue là-bas l’autre soir. Elle avait un certain quelque chose à la jambe, et c’était un... Cet homme qui se tenait à la chaire en a parlé à cette femme. Et, vous savez, cela est parti, et elle en était tellement émue.»

            Ma belle-fille a dit: «Il s’agit de mon beau-père.» Elle a dit: «Il s’agit de mon beau-père.» Elle a dit: «Y avez-vous été?»

            La dame a dit: «Oh! non. Je ne peux pas y aller.»

            Elle a dit: «Eh bien, pourquoi ne pouvez-vous pas y aller?»

            Elle a dit: «Mon mari est diacre ici dans l’une des grandes églises de la ville. Je ne pouvais pas aller m’associer à un groupe de gens comme cela.»

            Ma belle-fille a dit: «De toute façon, vous êtes la bienvenue.»

56        Et puis, vous parlez des clans! Oh! vous criez au sujet des catholiques. Eh bien, vous êtes pareils (Voyez-vous?), tout à fait pareils. La poêle ne peut pas se moquer du chaudron. Vous savez que c’est juste. Eh bien, c’est pareil, tout à fait; car Dieu n’est-Il pas notre Père à nous tous? Pourquoi nos dénominations nous séparent-elles? Pourquoi un ministre ayant un diplôme d’université chercherait-il à–à garder une femme qui a vraiment besoin de la guérison de son corps, qui est venue d’un endroit pour être guérie par un Dieu que ce ministre déclare connaître? C’est ce qui m’étonne.

57        Frère, cette petite reine a considéré cela et a dit: «J’ai plutôt entendu parler de tout ça, mais je n’ai jamais rien vu jusqu’ici.»

            –Eh bien, si tu y vas, nous allons t’excommunier.

            –Eh bien, vous feriez mieux de me rendre mes papiers maintenant, car je pars.

            Voyez-vous, quand Christ commence à agir dans un coeur, c’est parti. C’est tout. Ainsi, rappelez-vous qu’elle devait faire face à bien des choses, à bien des choses. Eh bien, elle a perdu sa qualité de membre. Et, autre chose, elle a dit... Je me suis dit que c’était très bien. Elle a dit: «Si cette chose est la vérité, elle mérite d’être soutenue.» Elle a alors réuni beaucoup de sous, d’encens, d’or, d’argent, de myrrhe et elle en a chargé des chameaux.

            Mais voici ce qu’elle s’est dit, je crois: «Si c’est la vérité, je vais soutenir cela. Si ce n’est pas la vérité, je peux carrément ramener mes trésors.» Elle pourrait enseigner aux pentecôtistes quelque chose: soutenir des ministères radiophoniques qu’il y a ici, qui se moquent et tournent en dérision la religion même que vous représentez. C’est juste. Et votre propre église souffre à cause de la dîme que vous pourriez–devriez apporter (Absolument); simplement parce que les autres ont plutôt un grand nom ou quelque chose comme cela.

            N’avez-vous jamais appris les choses spirituelles jusqu’alors? Nous devrions le faire. C’est juste. Nous devrions apprendre à discerner l’esprit pour voir d’où il vient. Eh bien, ce n’est pas du lait écrémé, là, si vous pouvez le diluer.

58        Remarquez. Alors, cette petite femme a dit: «Si c’est juste, je vais soutenir cela. Si cela–si c’est juste, cela mérite tout. Si ce n’est pas juste, ce n’est pas bon du tout.» Alors elle pourra ramener ses dons. Or, souvenez-vous, elle avait un long trajet à parcourir, elle ne pouvait pas voyager... Elle devait traverser le désert du Sahara, non pas à bord d’une Cadillac climatisée, mais à dos de chameau. Savez-vous le temps que cette caravane a mis pour partir du pays où était cette reine jusqu’en Palestine? Cela leur a pris trois mois: quatre-vingt-dix jours, à dos de chameau! Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit qu’«elle se lèvera au jour du Jugement et condamnera cette génération.» Certaines personnes ne veulent même pas traverser la rue pour aller voir la même chose. C’est vrai.

            Et, autre chose, souvenez-vous, les fils d’Ismaël étaient des brigands du désert. Et elle n’avait qu’un petit groupe de soldats, des eunuques. Combien ça aurait été facile pour ces brigands de tomber sur elle, tuer ces petits eunuques, s’emparer de ses trésors et s’en aller! Mais, vous savez, quand vous êtes déterminé à chercher Dieu, Dieu frayera une voie pour vous, et il n’y a rien à craindre du tout. Vous n’avez en vous qu’une réalisation, une pensée, un motif, un objectif, et c’est de parvenir à Dieu. Et si Dieu vous a parlé, vous irez. Peu importe ce qui arrive. Dieu frayera une voie pour que vous y parveniez, si vous êtes réellement ancré, et si vous savez de quoi vous parlez. Et elle l’a fait.

59        Elle a réuni ses servantes ainsi que ses eunuques, et ils sont tous montés sur des chameaux. Et elle voyageait peut-être la nuit; il faisait tellement chaud dans le désert. Je peux imaginer que la journée, pendant qu’ils étaient assis à l’ombre quelque part, dans une petite oasis, sous des arbres, elle prenait ces rouleaux et les lisait pour voir... Elle voulait savoir, quand elle serait arrivée là-bas, si la chose était scripturaire.

            Et quand elle est venue, elle n’est pas venue comme bon nombre d’entre nous le font ici. Nous allons à la réunion une seule fois. Les voisins... «J’ai un bon voisin qui habite ici. Ils nous ont invités, et ainsi nous irons. Je m’assiérai cinq minutes, et s’il dit une seule chose contraire à ma foi, je vais aussitôt me lever et sortir.» Cela révèle l’ignorance. Cela ne fait même pas montre de bon sens. Quiconque a été bien élevé ne ferait pas une telle chose. Si j’allais dans un temple bouddhiste, si j’allais dans le temple, je serais assez gentleman pour rester assis là jusqu’à ce que cette réunion soit au moins terminée. C’est juste.

60        Vous parlez d’une certaine ignorance des gens du Kentucky; vous parlez de cet Etat d’où je viens, de l’ignorance de ces gens qui sont là-bas. Je ne sais pas. Parfois je me pose des questions. Que l’une de leurs filles rentre le matin avec des cheveux tout emmêlés, et avec de la manucure au visage, après avoir passé toute la nuit avec un petit Ricky aux cheveux coupés en brosse. Je vous assure, elle–elle saura la prochaine fois qu’elle sortira; on prendra une latte de tonneau, ou une branche d’un noyer là, et on va tout simplement l’écorcher.

            Et je vous assure, vous parlez tous de la délinquance juvénile; tant de journaux en parlent. Je pense qu’il s’agit de la délinquance des parents, plutôt...?... la vieille règle d’or suspendue avec ces dix commandements suspendus dessus... si vous prenez un adolescent là et que vous l’épluchiez un petit peu, vous n’aurez pas tant de propos du genre: «Pauvre petit Ricky. Tu es gentil. Tu n’avais pas l’intention d’agir mal, Marthe.» Elle–elle a besoin d’une bonne raclée, c’est ce dont elle a besoin. La Bible dit: «Epargne la verge, et tu gâteras ton enfant», et c’est tout à fait juste. Vous ne trouverez jamais rien de mieux.

61        Chez nous, on avait les dix commandements suspendus au-dessus de la porte à un fouet de noyer long à peu près comme ça. Et, frère, j’en recevais tous les dix sur le dos, et un peu partout aux jambes, pratiquement tous les jours. Cela m’a quand même fait du bien. Je vous assure, papa m’amenait derrière la maison, et je dansais une petite gigue. Mais je savais que je ne ferais plus la chose la prochaine fois, quand il en avait fini avec moi.

            La vie serait vraiment meilleure, si nous avions davantage de papas qui font cela aujourd’hui. Il ne m’a jamais donné un seul coup pour lequel je ne l’honore pas ce soir. Quand j’ai regardé dans le cercueil et que j’ai vu ses cheveux gris sur le côté de sa tête, je me suis tenu là et des larmes ont coulé sur mon visage. J’ai dit: «Papa, j’ai contribué à ce qu’ils soient là. Oh! que Dieu me vienne en aide.» C’est juste. Je respectais mon papa. C’était un père qui me faisait faire ce qui est juste. Oui, oui. Nous avons besoin davantage de pères de ce genre aujourd’hui.

62        Eh bien, elle est arrivée. Elle s’est arrêtée devant le–le palais. Elle a déchargé ses chameaux, et elle a installé ses servantes là, et elle a dressé ses tentes. Et elle est venue pour rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue. Oh! frère, ce n’est pas étonnant, elle condamnera cette génération. Voyez-vous? Elle est venue pour rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue. Et elle a attendu.

            Eh bien, le premier matin, je peux entendre les trompettes retentir, les cloches sonner. Et la petite reine s’est habillée, elle est entrée, et peut-être qu’elle a dû prendre un siège tout au fond derrière. Et tout allait bien, avec tous les cantiques et tout le choeur qui chantait. Ensuite le pasteur Salomon est monté à la chaire. Et elle a remarqué combien merveilleux... Son petit coeur s’est mis à brûler. Eh bien, ce jour-là, peut-être qu’elle a dû acheter quelques livres en rapport avec cela à l’étal des livres. Elle est rentrée ce soir-là, et elle a lu, et elle n’en finissait pas de lire. Le lendemain, elle... jour après jour...

63        Finalement, sa carte de prière a été appelée. Elle n’était même pas sortie de ses gonds à ce sujet. Elle a attendu son tour. Et quand vint le moment où elle s’est tenue devant Salomon, la Bible déclare que rien n’était caché à Salomon qu’il ne lui ait entièrement révélé. Amen. Salomon... l’Esprit de discernement a dit à la reine le secret de son coeur. Jésus a dit que cette reine se lèvera au Jugement et condamnera cette génération-là, car il y avait là plus que Salomon. Ecoutez ce qu’elle a dit. (Nous terminons.) Ecoutez ce qu’elle a dit. Elle a dit: «Tout ce que j’avais entendu dire était vrai, et c’est plus que ce que j’avais entendu.» Voyez-vous, le miracle était accompli sur elle à ce moment-là. Voyez-vous, elle venait directement de Séba, et lui ici était un Juif. Et ainsi, il ne connaissait donc rien sur la reine. Mais quand elle s’est tenue dans sa présence, il lui a révélé tous les secrets de son coeur, il lui a dit les choses qu’elle désirait savoir. Tout ce qu’elle avait dans son coeur, Dieu fit connaître cela à Salomon.

64        Ne voyez-vous pas? Ce même Dieu... Comment pourriez-vous appeler cela de la télépathie? Comment pourriez-vous traiter cela de démon (Oh!), quand vous ne comprenez pas qu’en ce moment même je puisse connaître ce que vous pensez là-bas? Comment pouvez-vous douter? Comment... Qu’est-ce qu’il a, mon peuple? Que... Ne voyez-vous pas que ce même Dieu a la même nature, depuis le commencement et dans toute la Bible? Puis elle s’est tournée, et elle a dit: «Heureux les hommes qui sont avec toi, qui se tiennent ici et qui voient ce grand don de Dieu à l’oeuvre chaque jour. Heureux ces yeux qui sont ici et qui voient cela.»

            Jésus a dit: «Elle se lèvera au Jugement et condamnera cette génération. Car elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et il y a ici plus que Salomon.»

            Et, mes amis chrétiens, écoutez: Il y a ici plus que Salomon. Le Saint-Esprit Lui-même est ici. Christ sous la forme du Saint-Esprit est ici parmi nous, confirmant que le même... même ce que Salomon avait, est ici aujourd’hui, seulement bien des fois plus glorieux, avec deux mille cinq cents ans d’histoire du même Esprit oeuvrant dans l’Eglise. Il y a ici plus que Salomon. Son coeur fut touché. Elle n’avait jamais rien vu de pareil auparavant. Cela n’était pas ordinaire pour elle. Elle était convaincue que c’était vrai.

            Permettez-moi de dire quelque chose ici, juste un instant. Quand les gens, des gens véritablement sincères peuvent voir quelque chose de réel, cela change leurs opinions. C’est juste. Et en fait, bon nombre de gens dans le monde aujourd’hui ont faim de voir ce que nous sommes en train de rejeter. C’est juste. Ils veulent voir quelque chose de réel.

65        Cette petite histoire... Cela pourrait tomber bien à propos maintenant même. Je désire dire cela. Vous... Vous savez tous que je fais la chasse. Je–je suis–j’aime faire la chasse. Ma mère est une... (elle est décédée tout récemment) était pratiquement une demi-Indienne. Et je–j’ai fait la chasse toute ma vie. La première chose que j’ai achetée... J’ai piqué toute la journée des plants de patates douces, et je gagnais vingt-cinq cents. Je me suis acheté un piège en acier, et j’ai attrapé un lapin que j’ai vendu à quinze cents, et je me suis acheté deux autres pièges en acier; j’ai aussitôt commencé les affaires. Je n’avais que six ans. Depuis lors, je fais la chasse, et je tends des pièges. Et je vais faire la chasse dans les bois du Nord, j’avais l’habitude de le faire, tout en haut là-bas.

            Et j’avais là-bas un bon compagnon de chasse, et c’était un formidable chasseur, un très bon tireur; et c’est l’homme pour qui vous n’aviez pas à craindre qu’il se perde dans les bois. Il savait comment s’en sortir. Et j’aimais chasser avec lui. Mais il était vraiment cruel. Il–il avait des yeux comme ceux d’un lézard. Vous connaissez ces drôles d’yeux, comme les femmes essaient de se les farder aujourd’hui? Vous savez, comme les yeux de lézard. Et ainsi elle... C’était un homme très bien, mais il était cruel. Il avait l’habitude de tuer les faons juste pour m’indisposer. Il... Il savait que je...

66        Eh bien, c’est tout à fait en ordre de tuer un faon; il n’y a pas de mal à ça. Si la loi vous permet de tuer un faon, mes frères chasseurs, il n’y a pas de mal. Abraham a tué un veau et il l’a donné à manger à Dieu, et Dieu en a mangé. C’est juste. Ainsi le sexe ou plutôt la taille n’a rien à voir avec cela. Mais tuer juste pour le simple plaisir de tuer, ça c’est un meurtre. Je ne crois pas dans le fait de détruire les choses. Pendant sept ans j’ai été moi-même garde-chasse, comme vous le savez. Ainsi donc, n’oubliez pas, soyez toujours honnête et correct en rapport avec ces choses. Et voici...

            Il abattait ces petits faons, et peut-être sans même les ramasser, juste pour m’indisposer. Il était tout simplement cruel. Et j’essayais de lui parler de Dieu. Et quand je faisais mention de Dieu, il se tenait simplement là et il riait, la tête renvoyée en arrière. Ainsi... Mais, je pensais que là, tout au fond de lui, il pouvait y avoir quelque chose de bon dans l’homme. Vous ne... Ne rejetez jamais complètement un homme. Faites tout simplement de votre mieux, persévérez. Que ce soit Dieu qui rejette.

67        Ainsi je–je... Un jour je suis allé là-haut, et c’était vers la fin de la saison. Et ces cariacous, là-haut, oh! la la! vous dites de Houdini qu’il est maître en évasion, il n’est qu’un amateur à côté de ces cerfs. Et de toutes façons, quand on tirait sur eux, ils disparaissaient tout simplement–tout simplement. Et la nuit, lors du clair de lune, ils se nourrissent pendant la nuit, et ils rampent sous les broussailles pendant la journée, ils rentrent là dans les taillis. Vous ne les trouvez jamais.

            Et cette nuit-là, une jolie petite neige était tombée, formant une couche de six ou huit pouces [15 ou 22 cm] environ; c’était un temps favorable pour suivre les pistes. Et nous étions–nous sommes allés chasser. Et nous apportions toujours une bouteille thermos pleine de chocolat chaud, pour qu’au cas où nous nous serions égarés quelque part dans les bois, ou aurions tué un cerf, et que nous devrions rentrer, ou que nous serions pris dans une tempête de neige, ce chocolat puisse nous aider à survivre. C’est mieux que le café ou quoi que ce soit d’autre, car cela fortifie, et le chocolat est nourrissant. J’avais donc une... Nous en avions chacun de nous un litre dans nos chemises, avec un sandwich.

            Et nous avons marché toute la matinée, nous n’avions même pas vu la moindre piste, et nous étions... Tard, vers 11 h 30 ou 12 h, nous sommes arrivés à une petite clairière ayant à peu près la dimension de cette salle. Et il... il était devant moi, marchant, et d’habitude nous allions tout en haut jusque dans le–au-delà de la lisière des bois, et puis nous... Il prenait sa direction, et nous allions l’un d’un côté et l’autre de l’autre, et nous progressions. Et lorsque nous attrapions un cerf, nous le suspendions. Et nous savions que lorsque nous serions de retour au camp de base... Nous retournerions là ce soir-là, ou si nous ne le faisions pas, nous ne nous inquiétions pas l’un pour l’autre. Nous savions comment nous débrouiller dans les bois, et nous rentrions le jour suivant.

68        Ainsi donc, je pensais qu’il s’apprêtait à partir, parce que nous étions arrivés bien haut. Et d’habitude les cerfs gravissaient les montagnes en courant quand ils étaient effrayés. Et ainsi, il s’est donc arrêté à ce petit endroit, puis il s’est assis. Et je pensais qu’il ramenait la main dans sa chemise pour prendre cette bouteille thermos afin–afin que nous prenions notre casse-croûte; et ensuite nous nous séparerions et retournerions. Donc, au lieu de cela, il a fait sortir ce vieux petit sifflet.

            Il avait fabriqué un petit sifflet qui résonnait exactement comme le cri d’un petit bébé cerf qui pleure sa maman. Vous savez ce que–vous savez ce que fait un faon, avec ce drôle de petit bruit. Eh bien, il s’était fait un sifflet qui résonnait exactement comme cela. Et je lui avais dit ce matin-là, avant que nous partions, j’avais dit: «Burt, tu ne vas pas utiliser ça?»

            Il a dit: «Oh! tu es comme tous les autres prédicateurs. Tu ne seras jamais un bon chasseur. Tu es trop peureux.» Il a dit: «Ne–ne–ne... vous êtes–vous, les prédicateurs, vous êtes trop peureux pour être des chasseurs.» Et d’habitude je devais de toute façon prendre son gibier.

69        Mais–mais toutefois, il–il avait l’intention d’abattre ce petit cerf. Il a donc plongé la main dans sa chemise, et il en a fait sortir ce sifflet. J’ai dit: «Tu ne vas pas faire ça.»

            Il a dit: «Oh! ressaisis-toi, Billy. Ressaisis-toi.»

            Il y avait là un amoncellement de neige, et il a soufflé dans ce petit sifflet. Et je me suis dit: «Eh bien, comme nous n’avions pas vu une seule trace, que ça ne ferait pas de mal.» Mais à ma surprise, à peu près à une distance de la largeur de cette salle, une très grande et belle biche s’est levée. Eh bien, c’est la femelle du cerf: la biche. Ses grandes oreilles étaient dressées comme cela, ses beaux grands yeux regardaient. Que se passait-il? Peu importe combien elle s’était bien cachée, un bébé, son bébé pleurait. Il était en détresse. Elle a fait un bon. Elle s’est mise à regarder tout autour. Eh bien, nous ne nous tenions pas à plus de trente yards [27 m] d’elle.

            Burt m’a regardé avec ses yeux de lézard, et je me suis dit: «Oh! la la!» Et il a encore sifflé. Et cette biche s’est carrément avancée jusque dans la clairière. Or, tout chasseur de cerfs sait que c’est tout à fait inhabituel. Les cerfs ne font pas cela, et surtout quand on leur a tiré dessus, et aussi à cette heure-là de la journée; il était environ 11 heures, 12 heures. Elle s’est carrément avancée jusque dans la clairière.

            Et je l’ai regardée, et je me suis mis à penser: «Cette mère, il la trompe. Il souffle dans ce sifflet qui résonne comme le cri d’un petit bébé, de son bébé. Et elle n’est pas une hypocrite. Elle n’est pas juste en train de jouer à la mère; elle n’imite pas quelque chose. Elle est née une mère. C’est l’instinct qui est en elle. Elle est une mère, et c’est un bébé qui pleure. Elle était née une mère authentique. La chose était en elle.»

70        Elle s’est avancée encore là. Il m’a regardé de nouveau comme cela. J’ai secoué la tête comme cela. Il... J’ai tendu le bras. J’ai entendu cette balle entrer dans ce calibre 30-06, une grosse balle champignon de cent quatre-vingts grains [11,6 g], et il a ajusté cette lunette. Je savais que dans quelques instants, quand il appuierait sur cette gâchette (c’était un tireur d’élite), je savais qu’il allait faire sauter son coeur loyal au-dedans d’elle.

            Et je me suis dit: «Comment peut-il faire cela? Un homme d’une telle cruauté tuerait là cette mère qui cherche à retrouver son bébé, qui se trouve là à la recherche de son bébé; et il lui ferait sauter son coeur loyal au-dedans d’elle.» Je me suis dit: «Quel type cruel il doit être! Certainement qu’il ne fera pas cela.»

            Et quand la–la culasse mobile de ce modèle 70 est descendue, est descendue comme cela, la biche a entendu cela et elle s’est retournée. Et elle a vu le chasseur. Mais a-t-elle bougé? Pas du tout. Pourquoi? Elle était une mère. Mourir ou pas, son bébé avait des ennuis. Elle cherchait à retrouver ce bébé. Elle cherchait des yeux partout. Le bébé appelait. Elle ne pouvait pas s’empêcher. Elle était une mère.

71        Je–je pleurai pratiquement. J’ai juste détourné la tête. Je me suis dit: «Ô Dieu, je ne peux pas voir cela. Comment peut-il faire cela, faire sauter le coeur de cette pauvre mère là-bas, tandis qu’elle se tient là, cherchant son bébé? C’est une vraie démonstration de la loyauté, et comment peut-il faire cela?» Il a visé comme cela, étant tout aussi calme. J’ai tourné le dos. Et au fond de mon coeur j’ai dit: «Père céleste, ne le laisse pas faire cela. Ne le laisse pas faire cela. Comment peut-il faire cela? Comment peut-il tirer dans le coeur de cette mère comme cela, tandis qu’elle cherche à retrouver son bébé comme cela?»

            Et j’ai attendu, et le coup ne partait toujours pas. J’ai attendu encore un peu; le coup ne partait toujours pas. Et je me suis retourné pour regarder. Et voilà que le canon du fusil allait comme ceci, en vacillant tout simplement. Et il a levé les yeux, et des larmes coulaient sur ses joues, ses lèvres tremblaient. Il a pris le fusil et il l’a jeté sur un amoncellement de neige, et il m’a saisi par la jambe du pantalon et a dit: «Billy, j’en ai marre. Conduis-moi à ce Jésus dont tu parles.»

            Aujourd’hui il est diacre dans une église baptiste. Là même sur cet amoncellement de neige, je l’ai conduit à Christ. Pourquoi? Il avait vu quelque chose de réel, il avait vu quelque chose qui n’était pas une imitation. Il avait vu là quelque chose d’authentique. Il savait qu’il y avait quelque chose derrière cela. Elle était une mère. Elle était née une mère.

72        Ô Dieu, fais de moi un chrétien comme cela. Fais que je sois un chrétien, afin que je puisse être si réel que les gens qui sont à la recherche de quelque chose de réel voient quelque chose de réel et sachent que Christ est réel. Inclinons la tête.

            Combien ici... Soyez sincère. Un instant, s’il vous plaît. Soyez sincère. Combien aimeraient être le genre de... autant chrétiens que cette biche était une mère? Levez la main, dites: «Moi, Frère Branham. Je–je désire être ce genre de chrétien là.» Que Dieu vous bénisse.

73        Père céleste, je ne m’en doutais vraiment pas, alors que je me tenais là ce jour-là dans cette neige, les pieds mouillés, et cet homme me tenant aux jambes, sanglotant et pleurant... Eh bien, je crois que cette biche est encore là-bas avec son bébé. Je l’espère. Elle ne savait pas ce qu’elle faisait. Mais Dieu est capable de parler par ces pierres. Cet homme cruel avait vu quelque chose de réel. Il avait vu tant de soi-disant croyances et d’imitations. L’homme étant lui-même un chasseur, Dieu a dû traiter avec lui de cette manière-là, pour lui faire voir qu’il y avait quelque chose de réel. Et s’il vit encore aujourd’hui, c’est un aimable chrétien né de nouveau. Combien nous T’en remercions, Père.

            J’ai vu peut-être quelque trois cents, quatre cents ou cinq cents mains, peut-être un peu plus que cela, se lever il y a quelques instants, pour montrer qu’ils–ils voulaient être de véritables chrétiens, Seigneur. J’ai dû réprimander cette semaine, ô Dieu, crier là-dessus, me demandant tout simplement ce que mes frères pensent, me demandant ce que Tu penses. J’ai essayé d’être honnête, Seigneur. Les gens étaient assis à se poser des questions. Que tout cela soit terminé maintenant, Seigneur. Que tout cela soit tout simplement mis en pièces et réglé. Puissions-nous venir auprès du Dieu que nous reconnaissons comme étant réel. Que chacun de nous puisse expérimenter ce que c’est qu’être réellement un chrétien né de nouveau, autant que cette biche était une mère. Accorde-le, Seigneur. Ecoute-nous, je Te prie.

74        Maintenant, chacun de vous qui avez la tête inclinée, les yeux fermés, je voudrais que vous disiez tout simplement dans votre coeur, que vous fassiez une petite prière, disant: «Ô Dieu, aie pitié de moi.» C’est juste. Ayez simplement la foi. Ne doutez pas. Ô Dieu... Que chacun de vous qui sent que Christ est près de lui lève simplement la main et dise: «Je–je crois qu’Il est vraiment près de moi ce soir. Je sens vraiment Sa Présence.» Que Dieu vous bénisse. Continuez tout simplement à prier. C’est juste. «Ô Dieu, j’ai hâte de voir la chose.» Ayez simplement la foi. Croyez. «Fais de moi un chrétien, ô Seigneur, juste comme... autant un chrétien que cette–que cette biche était une mère.»

75        Combien n’ont jamais assisté aux réunions auparavant? Levez la main, ceux qui n’ont jamais assisté aux réunions. Eh bien, que Dieu vous bénisse, vous êtes nombreux. Relevez un instant la tête si vous avez fini de prier.

            Je veux que vous regardiez par ici. Au courant de cette semaine, j’ai parlé d’un Jésus qui est vivant. Je ne vous ai pas parlé sur base d’un credo; je vous ai parlé sur base de la Bible, sur base de Sa Parole. Je vous ai présenté Sa promesse qui dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela? Maintenant, s’Il... Si vous voyiez quelque chose de réel, vous le désireriez, n’est-ce pas? Ne... Vous n’avez pas besoin de quoi que ce soit de faux; il vous faut quelque chose de réel.

            Puisse Dieu vous montrer ce soir ici même que je vous ai dit la vérité. Il est le Messie qui est vivant. Ne doutez pas maintenant. Croyez. Regardez de ce côté-ci et dites à Christ dans votre coeur: «Tu es ce Souverain Sacrificateur-là. Je le crois.» Souvenez-vous, permettez-moi de le dire clairement: je ne suis pas le Souverain Sacrificateur. Je ne suis que votre frère. Lui, Il est le Souverain Sacrificateur. Mon toucher ne représentera rien; Son toucher à Lui fera la chose. Il attend votre toucher, votre toucher, votre toucher de foi. Et s’Il l’a fait en Son jour, Il le fera encore aujourd’hui. Ne le croyez-vous pas?

76        Cet homme qui est assis là, la main à la joue, souffre de l’hypertension; croyez-vous que Dieu va vous accorder la guérison de cette hypertension, monsieur? Croyez-vous? Levez la main, dites: «Je l’accepte.» Je ne connais pas cet homme. Mais c’est la vérité.

            La dame assise là à côté de vous souffre aussi d’un trouble féminin. Si elle croit de tout son coeur... Le croyez-vous, soeur? Levez la main. Est-ce quelque chose de réel? C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Cette femme-là, autrefois, L’a touché par le sentiment de ses infirmités; cette femme aussi L’a touché. Ne doutez tout simplement pas. Ayez la foi.

            La dame assise juste ici, elle souffre du cancer. Elle prie pour ce cancer. De plus, elle prie pour un de ses petits enfants. Ce petit enfant est un arriéré. Croyez-vous que Dieu va le guérir? Je vous suis inconnu. Si c’est juste, agitez la main comme ceci.

            Eh bien, pourquoi n’aviez-vous pas, vous tous, ce genre de foi hier soir? Croyez tout simplement. Ne doutez pas. Posez votre main sur cette femme qui est juste à côté de vous. Voulez-vous me faire une faveur? Elle souffre d’un mal de gorge. Ayez simplement la foi.

77        Voyez-vous combien c’est facile, si vous croyez simplement cela? Ne doutez pas. Croyez tout simplement de tout votre coeur. N’est-Il pas bon et merveilleux? N’est-ce pas réel?

            L’homme qui est assis juste par ici souffre des complications; il souffre de la gastrite, du foie. (Ô Dieu, ne permets pas qu’il manque la chose.) Monsieur Brines, croyez. Vous avez reçu cela. Maintenant c’est très doux. Ne–ne faites rien pour interrompre cela. Laissez cela continuer. Je ne connais pas cet homme; je ne l’ai jamais vu. Dieu qui est au Ciel le sait, et voici ma Bible sur mon coeur. Il peut me frapper de mort à cet instant.

            Qu’a-t-il touché? Qui a-t-il touché? Qui que ce soit qui était là, si nous ne nous connaissons pas et sommes des inconnus l’un à l’autre, levez la main. Qui que soit cette personne, n’importe quelle personne qui a été appelée, si nous sommes des inconnus l’un à l’autre, levez la main. Nous ne nous connaissons pas. Levez vos mains, qui que soit cette personne-là, qui venait d’être appelée tout à l’heure. Oh! certainement. Voyez-vous?

78        Y a-t-il quelqu’un de ce côté-ci? La dame qui est assise là et qui regarde droit vers moi; elle a une peur bleue de ce cancer. Elle se pose des questions. Vous vous demandez s’il s’agit de vous. «Est-ce moi?» C’est celui à qui vous vous adressez. Je vais vous dire de qui il s’agit. Votre nom c’est madame Brown. Maintenant, vous savez à qui je m’adresse donc. Croyez-vous que Dieu vous a guérie? Si vous croyez, levez la main et dites: «Je l’accepte.» Que Dieu vous bénisse.

            Cet alcoolique pour lequel vous priez, croyez. Vous avez essayé de tout votre coeur, mais ça n’a pas très bien marché. Mais ne vous en faites pas. Il le sait. Maintenant, si c’est vrai, agitez la main comme ceci. Personne ne sait cela, à part vous, Dieu et moi. Comment aurais-je su ce pour quoi vous étiez en train de prier? Vous devez croire. Vous devez avoir la foi. Ne doutez pas.

            Cette dame de couleur assise là à côté de vous, qui vient de Portland, oui; croyez-vous de tout votre coeur? Madame Beck, vous pouvez–vous pouvez rentrer chez vous et être aussi en bonne santé. Jésus-Christ vous a guérie. Amen.

79        Croyez-vous qu’il y a quelque chose de réel ici ce soir? Qui est-ce? Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Ne croyez-vous pas cela? Eh bien, si vous voulez être un vrai chrétien, croyez-moi. Comment pourrais-je me tenir ici? Comment le Saint-Esprit pourrait-Il oeuvrer comme ceci ici au travers–au travers d’un hypocrite? Pensez-vous que Dieu honorerait un hypocrite? Pas du tout.

            J’ai assurément une idée de ce qu’Il est après vingt, trente et un ans de service, durant lesquels j’ai fait sept fois le tour du monde. Il y a assurément toutes sortes de... Dieu ne permettrait pas cela. Je vous dis la vérité, les amis. Ceci est la vérité. Et c’est la franche vérité. Eh bien, je sais que c’est juste maintenant... Je–j’ai largement dépassé le temps. J’allais... Je vous ai dit que j’appellerais ces cartes de prière. Mais il est presque 22 heures. Je–je ne sais pas par où passe le temps. Je suis désolé de vous garder comme ceci. Je vous ai promis que je ne le ferais pas. J’essaie d’ôter ceci de...?...

80        Je vous assure, le Dieu du Ciel sait que c’est la vérité. Cet Ange de Dieu que vous voyez sur cette photo est à l’instant même juste ici à l’estrade. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez quelque chose de réel. Croyez cela. Si je dois me tenir ici demain après-midi jusqu’au coucher du soleil, jusqu’à 22 heures demain soir, je prierai pour tout celui qui le désire et qui a une carte de prière, si vous ne me laissez pas vous garder trop longtemps ce soir.

            Je me demande une chose. J’allais vous poser une question. Chacun d’entre vous qui sait qu’il n’est pas autant–autant chrétien que l’était cette mère... que cette biche était une mère, alors que vous voyez quelque chose ici juste devant vous... J’ai vu quelque chose arriver encore juste là, cette femme qui est assise juste là.

            Voici cet homme qui souffre de la prostate, il se lève pendant la nuit. Que Dieu vous bénisse, frère; c’est terminé. Maintenant, ça tourbillonne partout, cela va partout. Quand je... Quand cet incroyant a vu quelque chose de réel, il était prêt à se repentir sur-le-champ.

81        Je me demande ce soir si nous ne pourrions pas avoir un véritable service de consécration maintenant même. Permettez-moi d’abord de prier pour vous, là où vous êtes assis. Permettez-moi de prier sur ces mouchoirs. Inclinons la tête.

            Père céleste, je pose les mains sur ces mouchoirs. Bénis-les...?... Au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Ô Dieu, veille sur ces mouchoirs. Et, Père céleste, beaucoup de malades sont là dans l’assistance. Plusieurs prient pour leurs bien-aimés. Je peux le sentir, le voir. Ils voient que quelque chose est en train de se passer, Seigneur. Je deviens faible, constamment plus faible. Je Te prie, ô Dieu, de m’aider. Aide-moi à présent à offrir la prière de la foi pour eux, ô Dieu. Ils sont assis ici et ils ont supporté la chaleur; beaucoup d’entre eux ont traversé des difficultés. Ne–ne permets pas qu’ils manquent la chose ce soir, ô Dieu. Tu–Tu–Tu es ici pour le faire. Que–qu’ils voient que c’est réel.

82        Dieu notre Père, un jour un petit garçon faisait paître les brebis de son père. Nous le connaissons sous le nom de David. Il s’intéressait aux brebis de son père. Il avait reçu la responsabilité de ces brebis, et il devait veiller sur elles. Aucune d’entre elles ne devait se perdre. Et un lion est venu et en a enlevé une. Le petit David n’avait pas une carabine magnum. Il n’avait qu’une fronde, mais il avait foi en Toi. Il s’est avancé. Il a récupéré cette petite brebis que ce lion avait ravie. Il a tué le lion, et il a ramené la brebis dans les verts pâturages ombragés, et il l’a mise près des eaux paisibles; en effet, c’était la brebis de son père. Et, Cher Père céleste, ce soir des maladies comme les troubles cardiaques, le cancer, la tuberculose, des infirmités, ces démons qui sont des lions sont venus et ont enlevé certaines de Tes brebis, ils les traînent dehors. Ils se sont traînés dans les cabinets de tous les médecins et dans toutes les cliniques. Ils les traînent dehors. Je suis en train de les poursuivre ce soir, Seigneur. Je n’ai rien que cette petite fronde de la prière. Mais Tu as promis: «La prière de la foi sauvera le malade.» Ils sont Tes brebis, et je vais après elles. Satan, tu vas devoir les lâcher. Je les ramène ce soir par la prière de la foi. Lâche-les et laisse-les tranquilles. Je les réclame pour le Seigneur Dieu. Au Nom de Son Fils Jésus-Christ, que ton emprise de l’incrédulité sur toute cette salle soit brisée et que chacun d’eux soit guéri. Accorde-le, ô Père, dans le précieux Nom de Jésus.

83        Ne doutez pas de cela; croyez. Croyez-vous? Levez la main et dites: «Je crois, Frère Branham. Je crois.» Si Dieu peut se tenir ici et utiliser pour ce... N’est-ce pas qu’Il a dit aussi: «La prière de la foi sauvera–sauvera le malade»? Vous l’avez utilisée de toutes les manières.

            Maintenant, combien ici qui ne connaissent pas Dieu désirent devenir chrétiens? Levez la main. Dites tout simplement: «Je veux lever la main, Frère Branham. Je désire devenir chrétien.» Combien de membres d’églises y a-t-il ici, qui savent réellement qu’ils ne vivent pas tel qu’ils le devraient, qu’il y a des choses que vous ne comprenez tout simplement pas, vous êtes–vous êtes tout embrouillé, vous ne savez que faire, et vous aimeriez réellement être un vrai chrétien? Levez la main, dites: «Priez pour moi, Frère Branham.» Que Dieu vous bénisse. Pendant que nous chantons un cantique, si notre organiste veut bien nous donner un accord: «Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier.»

84        Je me demande... Tous ceux qui croient que Dieu écoutera ma prière, et ont besoin de Dieu pour cela, ne voudriez-vous pas venir et dire: «J’abandonne ma vie, mon âme... Je vois quelque chose de réel, quelque chose de réel qui sort de la Bible. Et je viens ce soir me tenir autour de l’autel. Je viens pour prendre position maintenant même. Et dès aujourd’hui, je dis la vérité, je Lui consacrerai ma vie. Je serai un meilleur membre de mon église. Je serai un chrétien plus consacré. Dès ce moment j’abandonne tout ce qui est du monde. Par la grâce de Dieu, je vais être dès ce moment un vrai chrétien. Je m’approche, Frère Branham, pour me tenir ici. Je désire que vous priiez pour moi.» Voulez-vous bien venir pendant que nous chantons? Venez. Levez-vous carrément et venez. Que Dieu vous bénisse, ce... Qui que vous soyez, venez carrément maintenant. C’est ça. La consécration, c’est ce qu’il nous faut.

                 Je L’aime (L’aimez-vous réellement? Votre âme représente-t-elle tout pour vous maintenant?)... L’aime...

                 Parce que... (Je désire essayer de vous serrer la main...?...)

            [Frère Branham serre la main à ceux qui se sont approchés de l’autel et il s’éloigne du microphone, ses paroles sont indistinctes.–N.D.E.]... l’autel ensemble...

85        Ne voulez-vous pas venir consacrer votre vie? Si vous êtes un chrétien, mais que vous ne viviez pas dans la victoire comme vous le devriez, vous savez que si Jésus venait ce soir, vous ne seriez pas prêt pour aller. Vous auriez peur. Il y aurait quelque chose de faux. Si vous rentriez chez vous, et qu’en descendant la rue, vous sentiez votre coeur s’arrêter... Et le médecin, après avoir examiné votre pouls, dit: «Oh! oh! je ne peux rien faire. Il est mort.» Qu’arriverait-il si un accident survenait et que le sang commençait à couler, et que vous sentiez votre coeur frémir; que vous étiez sous une voiture, coincé... Oh! vous souhaiteriez être venu. Ce serait trop tard à ce moment-là. Venez maintenant. Ne courrez pas du tout le risque, les amis. Venez.

86        Maintenant, permettez-moi de vous le dire, vous ne verrez plus jamais rien de plus réel de la part de Dieu jusqu’à ce que vous voyiez Jésus face à face, car c’est exactement ce qu’Il a fait quand Il était ici. Et Il ferait de nouveau cela, s’Il se tenait ici, alors que ce jour passe. Ne voulez-vous pas venir?

                 Je... aime (Que tout le monde chante. Levons les mains), je L’aime

                 Parce qu’Il m’aima le premier

                 Et acquit mon salut

                 Sur le bois du Calvaire.

            Un de ces jours, vous désirerez qu’Il dise: «C’est bien fait, Mon bon et fidèle serviteur. Celui qui confessera son péché...»

            «Mais si j’avais conçu l’iniquité dans mon coeur, alors Dieu n’aurait pas exaucé ma prière», a dit David. Qu’est-ce que l’iniquité? L’iniquité c’est quelque chose dont vous êtes conscient que vous faites, mais que vous ne devriez pas faire, et dont vous ne voulez toujours pas vous repentir. Si j’avais conçu l’iniquité dans mon coeur, sachant que je devrais faire la chose, mais ne la fais pas, alors Dieu a promis, la Bible promet que Dieu n’exaucerait pas votre prière, si vous saviez que vous devriez faire la chose mais que vous ne le faisiez pas. Est-ce juste, frères? Est-ce juste, frères ministres? C’est vrai, si j’avais conçu l’iniquité...

87        Maintenant, si vous êtes membre de ces églises, que vous dites: «Eh bien, voilà mon pasteur qui se tient là. Il croit que je suis un chrétien», c’est juste, venez vous consacrer de nouveau. Votre pasteur en sera heureux. Certainement. Il sera heureux de le savoir. Il connaît la vraie sincérité, le désir de votre coeur est de faire ce qui est juste. J’ai... Si c’était mon église, certainement que je serais heureux. Et vous êtes mon église. Le monde entier est ma paroisse. Vous êtes donc mon église, et je serais heureux de cela. Consacrez votre vie pendant que nous chantons encore une fois. Ensuite nous allons prier. Venez maintenant.

                 Je L’aime (...?... L’aime.), je L’aime

                 Parce qu’Il m’aima le premier

                 Et acquit mon salut

                 Sur... du Calvaire.

            [Frère Branham se met à fredonner Je L’aime.–N.D.E.]

            Inclinons la tête maintenant pendant que nous fredonnons. Je vais descendre maintenant parmi les gens qui sont ici. Que tout le monde soit en prière. Maintenant, venez ici. Maintenant, la seule chose que vous puissiez faire est de confesser du fond de votre coeur, de confesser votre tort et de croire.

88        Maintenant, Dieu vous a vu venir ici. Il est infini. Il connaît toute chose. Et Il vous a vu venir ici. C’est Lui qui vous a parlé. Il connaissait votre coeur. Il a parlé et vous vous êtes avancé. Il vous voit maintenant même. Confessez votre tort, dites: «Ô Dieu, je regrette d’avoir fait cela. Aide-moi ce soir, Seigneur; je désire vivre pour Toi. Par Ta grâce, je Te serai fidèle jusqu’à la fin du monde. Je serai Ton serviteur.» Maintenant, que tout le monde dans l’assistance s’incline et prie.

            Ô Dieu notre Père, nous nous approchons de Ton Trône de grâce. Ce soir, quelques–un grand groupe de gens est debout autour de cet autel. Beaucoup d’entre eux sont membres des églises. Certains n’ont peut-être jamais encore fait de confession. D’autres l’ont fait et ont failli. Mais, ô Dieu, je sais que Tu as confiance dans l’homme qui, en essayant, échoue, et qui est donc assez courageux pour se relever et essayer de nouveau. Ô Dieu, je Te prie d’exaucer chacune de leurs requêtes. Ils se tiennent ici maintenant, la tête inclinée, le coeur incliné. Ils croient en Toi. Tu es leur Dieu. Ils confessent leur tort, et ils–ils veulent être en ordre, Seigneur. Ils veulent que toute incrédulité soit ôtée d’eux. Que leur petit péché qui les enveloppe et qui les trouble si facilement soit ôté d’eux ce soir pour ne plus jamais revenir.

89        Je plaide pour chacun d’eux. Tu les as vus quand ils se sont levés de leur siège, quand ils sont descendus du balcon et qu’ils ont quitté les allées. Vous dites: «Eh bien, cela... Je pourrais me tenir là derrière et faire autant.» Ô Dieu, l’appel à l’autel, c’était pour venir ici, et cela a montré qu’ils n’avaient pas honte de reconnaître leur tort. Et ils sont venus, en confessant devant Dieu et les saints anges, en confessant devant leur semblable qu’ils avaient tort et qu’ils désirent être en ordre. Lorsqu’ils se sont avancés ici, ils... Le fait qu’ils se sont eux-mêmes avancés ici, c’était là leur confession.

            Maintenant, Tu as promis qu’ils seraient pardonnés, et je sais qu’ils le sont, Seigneur. Et je Te les confie maintenant, en tant que Ton serviteur, par un mot de prière, croyant et sentant dans mon coeur que le Glorieux Saint-Esprit est bien content de ce qu’ils ont fait.

90        Et je prie, ô Dieu, qu’ils vivent une vie victorieuse tout le reste de leurs jours, que le reste de leurs jours soit plein de victoires. Que Satan, que la maladie les quitte. Que rien ne puisse les déranger. Et puissent-ils Te servir tous les jours de leur vie. Et un jour, si Tu tardes, et qu’ils arrivent à l’heure de la mort, et que le vent froid commence à souffler à leur chevet ou plutôt que les vapeurs froides du Jourdain envahissent leur visage, nous serons certains que le vieux bateau de Sion fera retentir son sifflet et viendra prendre ce pèlerin pour l’amener de l’autre côté de la rivière. Accorde-le, Seigneur. Qu’il le fasse arriver en sécurité dans le–le Pays promis.

            Donne-leur la Vie Eternelle, Seigneur, ressuscite-les au dernier jour. Accorde-le, Seigneur. Que chacun de ces membres d’église aille demain à son église avec un visage brillant et un témoignage à la gloire de Dieu, à savoir qu’ils ont trouvé une nouvelle Ancre ce soir et qu’ils sont maintenant des chrétiens consacrés à Ton service. Je Te les confie par cette prière, au Nom de Jésus. Et, ô Seigneur, si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, prends chacun d’eux. Je Te les confie de tout mon coeur, au Nom de Jésus.

91        Maintenant, ceux qui sont ici autour de l’autel, qui se sont approchés pour faire leur confession, à savoir qu’ils ont tort, et qui croient que Dieu leur pardonne, je désire que vous leviez les mains comme cela. Levez les mains, dites: «Je sens dans mon coeur que Dieu m’a pardonné. Et je promets, dès ce soir, que je servirai mieux Dieu le reste de mes jours.»

            Maintenant, je désire que vous vous tourniez juste vers l’assistance. Tournez-vous carrément, vous tous qui êtes à l’autel. Tournez-vous juste vers l’assistance, carrément comme ceci. Maintenant, levez de nouveau les mains vers l’assistance et dites: «Priez pour moi.» Dites-le avec moi: «Priez pour moi.» Tous ceux... Que ceux qui se tiennent ici répètent après moi: «Priez pour moi [Ceux qui sont à l’autel répètent après frère Branham.–N.D.E.] afin que je sois toujours fidèle à Dieu. Je suis certain, frère et soeur, que je servirai Dieu, et je désire vos prières.»

92        Maintenant, vous tous là-bas qui voulez faire cela, levez les mains vers eux, et dites: «Mon frère et ma soeur [L’assemblée répète après frère Branham.–N.D.E.], je promets de prier pour vous et de vous soutenir: mon amour et ma loyauté, en tant que mon frère et ma soeur. Ô Dieu, aide-moi à le faire.» Amen. Maintenant, nous tous avec les mains levées vers Dieu...

            Je L’aime, je L’aime...

            [Frère Branham parle au pasteur.–N.D.E.] Très bien, pasteur. N’oubliez pas les services de demain (Je suis désolé d’être en retard), dites-leur que je m’occuperai de chacun d’eux demain soir, même s’il faut que je reste jusqu’à minuit.

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