Le Dieu Qui Est Riche En Miséricorde

Date: 65-0119 | La durée est de: 1 heure et 29 minutes | La traduction: Shp
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1          Vous pouvez vous asseoir. [Espace vide sur bande–N.D.E.] J’étais plutôt ravi, lorsqu’en entrant j’ai vu frère Moore et tous les autres ici sur l’estrade, les amis que je connais depuis tant d’années. C’est vraiment un privilège de les voir ici ce soir. Je me sens plutôt petit de me tenir ici pour prêcher avec des théologiens comme eux assis derrière moi; et, peut-être qu’ils me corrigeront quand je commettrai une erreur. Je l’espère.

2          Nous sommes très heureux ce soir d’avoir avec nous ici une certaine personne: soeur Rose. Nous étions en route, j’étais avec frère Shores et son assistant aujourd’hui pour un petit-déjeuner. Et, en route, frère Williams a dit que soeur Rose était très malade. Et… Alors, nous sommes passés la voir un petit moment, nous nous sommes agenouillés. Elle faisait une forte fièvre, elle était vraiment malade. Juste quelques mots de prière, et le Seigneur nous a parlé, Il a dit: «Elle sera guérie, elle sera là demain soir.» Et la voici ce soir, assise juste ici. C’est exact.

3          Soeur Rose, levez-vous juste un moment, pour qu’on... Nous sommes reconnaissants au Seigneur. Elle était alitée. Elle disait: «Le–le diable m’a complètement terrassée. Je suis venue jusqu’ici, et je m’étais retrouvée abandonnée à cause de ça», une sorte de maladie de la gorge, et tout. Mais le Seigneur l’a délivrée, nous en sommes donc contents. Nous remercions notre cher Seigneur!

4          Donc, nous avons passé des moments merveilleux. Et demain soir, eh bien, nous irons au–au Ramada. Et n’oubliez donc pas, demain soir, ce ne sera pas ici, ce sera au Ramada. Et la convention commence le soir d’après. Vous allez devoir me supporter encore une soirée de plus, vous savez.

5          Alors, hier soir, je–j’ai largement dépassé le temps prévu; je m’étais plutôt fait une petite promesse à moi-même qu’à partir du premier de l’an, j’allais vraiment écourter ces messages de trois, quatre ou cinq heures à peut-être une trentaine ou une quarantaine de minutes. Et, comme je vous le disais hier soir, ma femme m’a fait un compliment le dimanche, elle a dit: «Tu t’en es très bien tiré.» Alors–alors, ensuite, bien sûr, j’ai dû venir gâcher tout ça hier soir, voyez-vous. Mais j’ai pris cinquante-cinq minutes, hier soir, au lieu de trente.

6          Ce soir, quand nous venions ici, Billy a dit: «Sur quoi vas-tu prêcher?»

7          J’ai dit: «Eh bien, j’ai quelques petites notes ici et quelques passages des Écritures. Je ne sais pas, j’en ai pour quatre ou cinq messages différents.» J’ai dit: «Je pense que je vais voir quand j’arriverai là-bas, je verrai ce qui va se passer.»

8          Il a dit: «Tu as promis de prier pour tous les malades.»

            J’ai dit: «Oui, oui. Combien de cartes as-tu?»

            Il a dit: «Deux cents.»

            J’ai dit: «Je ferai mieux de les entamer ce soir.»

9          Et il a dit: «Eh bien, n’oublie pas que tu n’as que quinze minutes pour prêcher.» Il a dit: «Tu as consommé le reste hier soir.» [Frère Branham et l’assemblée rient.–N.D.E.] Il va falloir que je me dépêche, n’est-ce pas? Ha ha!

10        Eh bien, nous vous avons fait une promesse que nous allions prier pour les gens qui avaient une carte de prière, et  on est–on est lié par la promesse, bien sûr. Nous ne pouvons pas les faire passer tous dans ces lignes, et je ne serais pas non plus capable de les appeler un à un dans l’auditoire. Même si le Saint-Esprit m’accordait de le faire, je–je ne pourrais tout simplement pas tenir le coup. C’est trop pour moi.

            Et, mais nous savons ces choses, nous tous. Nous savons que Dieu est toujours Dieu. Ce n’est pas ça qui guérit. Ça, c’est seulement pour faire grandir notre foi, nous faire savoir que nous sommes dans Sa Présence.

11        Et, ce soir, nous allons prier pour tous ces malades, tous ceux qui ont une carte de prière afin qu’on prie pour eux.

            Ensuite, demain soir, là-bas au Ramada, nous essaierons d’en distribuer d’autres, et nous commencerons à prier pour les malades là-bas, étant donné que je serai encore là demain soir. Et je pense que j’aurai un soir durant la convention, et peut-être une réunion aussi au petit-déjeuner. Cela dépendra de la manière dont les choses se passeront.

12        Certains de... un des orateurs ne s’est pas encore présenté, il ne s’est pas encore fait voir, je ne pense pas. Frère Humburg, ou, est-ce que... [Un frère dit: «Amburgy.»–N.D.E.] Amburgy, Amburgy, Kash Amburgy. Alors, je–je prononce ça tout de travers, il s’agit de ce nom allemand. Je–je pense que c’est un nom allemand. Alors, il va peut-être falloir que je le remplace à pied levé, comme on dit, pardonnez-moi l’expression.

13        Donc, nous avons quand même passé des moments merveilleux dans le Seigneur. Vous tous, s’il y a de nouveaux venus ici ce soir, nous sommes vraiment contents de vous avoir parmi nous, et nous avons confiance que le Seigneur vous bénira. Ma prière est qu’il n’y ait pas une seule personne malade dans cette salle quand nous repartirons ce soir, que notre Seigneur descende dans Sa grande puissance et qu’Il guérisse tous les malades et les affligés.

14        Dans le temps, je recevais les gens en entretiens spéciaux, pour certains cas difficiles que nous ne pouvions pas terminer. Et cela s’est accumulé si vite qu’il fallait être… (Le Seigneur ayant continué à bénir), au point où nous en avions trois ou quatre cents qui attendaient; et, ainsi, les gens étaient froissés parce qu’ils devaient attendre. Peut-être, avec ce laps de temps, on devait attendre peut-être une année ou deux pour être donc reçu, voyez, seulement entre les réunions, pour recevoir les gens en entretien. Et nous restions simplement assis, nous attendant au Seigneur, jusqu’à ce qu’Il nous révèle exactement ce qu’il en était.

15        Sans doute qu’il y a des gens assis ici ce soir, qui ont été reçus dans ce genre d’entretiens spéciaux. Y en a-t-il? Levez donc la main. En entretiens spéciaux. Oui, juste là. Ainsi, nous savons que c’est vrai. Nous attendions simplement de voir ce que le Seigneur allait dire, ce que ce cas... Et puis, j’ai été obligé d’arrêter ça il y a quelque temps. J’ai dit à Billy que nous ne pouvions plus avoir d’entretiens privés.

16        Voyez-vous, je–je–je venais d’accomplir vingt-cinq ans pour le deuxième âge, et je monte vers le troisième âge. Et alors, quand on prend un peu de l’âge, eh bien, on ne–on... pour une raison ou une autre, on n’arrive plus à suivre comme avant. On marche à petits pas. Et–et, bien sûr, frère Moore, lui, ne sait rien à ce sujet. Il... Je pense que nous avons à peu près le même âge.

17        Mais il a coulé beaucoup d’eau sous les ponts depuis la première fois que vous et moi, et frère Brown, nous sommes venus ici pour la première fois, avec frère Outlaw, frère Garcia, et frère Fuller. Je me demande si ces hommes sont ici ce soir. Frère Garcia frère Fuller, frère Outlaw, sont-ils là? Levez la main si vous êtes là. Oui, voilà frère Fuller, je crois, si je ne me trompe pas. Frère Outlaw, juste ici. Frère Garcia, je–je crois toutefois que lui, il a quitté Phoenix. Je pense que c’est exact. Il–il a quitté Phoenix, il est en Californie. Eh bien, c’était certainement une époque glorieuse, et je crois toujours le même Message que celui que j’avais à cette époque-là: «Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

            Je pense ça doit faire à peu près... Eh bien, Becky était un bébé. Ça fait à peu près dix-neuf ans.

18        Et maintenant, c’est une grande fille, âgée, grasse et laide, assise là quelque part; elle a dix-neuf ans. Où es-tu, Becky? Oh! elle m’en voudra pour cela! Je me souviens que je la portais dans mes bras. Franchement, j’aurais beaucoup de mal à le faire ce soir.

19        Je me souviens, un soir, à l’église de frère Garcia, elle était toute petite. Et j’ai dit: «Nous avons une réunion internationale ce soir.» J’ai dit: «Je m’adresse aux Espagnols.» Et j’ai dit: «Mon épouse que voici est Allemande.» J’ai dit: «Moi, je suis Irlandais.» Et j’ai dit: «Et ma petite fille, c’est une Indienne»; c’était Becky.

20        Alors, quand je suis sorti par la porte de derrière, il y avait une petite Mexicaine là, elle a dit: «Frère Branham!»

            J’ai dit: «Oui, ma chérie, que veux-tu?»

            Elle a dit: «Vous ne trouvez pas que votre enfant est un peu pâle pour être une Indienne?» Elle est blonde, vous savez.

            Et j’ai dit: «Elle est Indienne juste par ses agissements.»

21        Eh bien, nous sommes reconnaissants de ce que… d’être de nouveau ici ce soir. Maintenant, avant de nous approcher de la Parole, approchons-nous de Lui, car Il est la Parole. Quand la Parole est manifestée, c’est Lui en vous.

22        C’est ce que nous avons vu hier soir, dans La Semence de discorde. Avez-vous apprécié cela, la bénédiction du Seigneur? [«Amen.»] Moi, j’ai–j’ai certainement apprécié le fait de vous apporter le Message. Et nous voyons ce que sont les semences.

23        Maintenant, y a-t-il une requête spéciale ce soir, quelque chose de spécial? Peut-être que certains d’entre vous, qui vont se retrouver dans la ligne de prière, diraient: «Ô Dieu, sois miséricordieux. Quand je m’avancerai pour qu’on prie pour moi, que ma foi s’élève jusqu’au niveau voulu.» Et–et peut-être que quelqu’un a un être cher qui est malade, et tout. Voulez-vous simplement lever la main afin que Dieu abaisse le regard, pour dire... Maintenant, si ce... Vous savez ce que je ressens, en regardant là. Regardez simplement les besoins qu’il y a ici. Mes frères ministres, regardez simplement ça. Voyez? Maintenant, si cela me donne à moi de tels sentiments, qu’est-ce que ça fait à notre Père? Certainement.

            Maintenant, prions.

24        Cher Jésus, nous nous approchons maintenant du grand Trône de la miséricorde, dans ce Nom Tout-suffisant. «Car il n’y a aucun autre Nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés, que ce Nom du Seigneur Jésus.» Et nous venons en Son Nom. Aussi Te prions-nous, Père céleste, de nous recevoir ce soir comme Tes enfants qui croient. Pardonne notre incrédulité, Seigneur. Viens au secours de celle-ci ce soir, pour que nous puissions croire entièrement chaque Parole de Dieu ce soir, pour tout ce dont nous avons besoin.

25        Tu sais ce qu’il y a derrière ces mains levées: il y a la maladie, certains peut-être ont des problèmes familiaux, certains des problèmes financiers, certains sont abattus, peut-être que certains sont rétrogrades, que certains sont pécheurs. Quel que soit le besoin, aucun ennemi ne peut tenir devant Toi. Alors, nous prions, Seigneur, que–que ce soir nous reconnaissions que nos ennemis, tous nos ennemis, ont été vaincus, jusqu’à la mort même. Et que nous sommes plus que vainqueurs en Celui qui–qui nous a aimés et qui s’est donné Lui-même pour nous, qui nous a lavés dans Son Sang.

26        Nous prions, Seigneur, que toute incrédulité, tout doute, toute frustration, tout ce qui n’est pas de Dieu disparaisse en nous ce soir, pour que le Saint-Esprit puisse avoir la prééminence dans nos coeurs. Puisse-t-Il nous parler d’une manière mystérieuse. Puisse-t-Il nous parler avec puissance. Puisse-t-Il ressusciter ceux qui sont–sont morts spirituellement, redonner la santé aux malades et aux affligés, fortifier les genoux faibles, les mains lassées et tombantes, et qu’il y ait un temps d’allégresse.

27        Que ce soit un début ce soir, Seigneur, que nous partions d’ici pour nous rendre à l’Auberge Ramada, et entreprendre une des plus grandes conventions qu’il y ait jamais eues dans cette ville. Seigneur, pendant que nous sommes rassemblés et que nous prions, Tu as dit: «Si le peuple qui est appelé de Mon Nom se rassemble et prie, alors Je l’exaucerai des Cieux.» Ô Dieu, nous prions qu’il en soit ainsi ce soir.

28        Maintenant, Père, alors que nous lirons la Parole, Tu es le Seul qui puisse L’interpréter, Tu es Ton propre Interprète, aussi Te prions-nous d’interpréter pour nous les choses que nous lirons ce soir. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

29        Maintenant, beaucoup d’entre vous, si vous aimez noter les passages des Écritures que lit le prédicateur… Et j’aimerais que vous, ce soir, si vous le voulez bien, que vous ouvriez dans Éphésiens.

30        Dimanche passé, je parlais des Éphésiens, je disais que le Livre de Josué, c’était le Livre des Éphésiens de l’Ancien Testament, et que c’était un Livre de rédemption.

31        Et la rédemption comprend deux parties distinctes: «Sortir de» et «entrer dans». D’abord, vous devez sortir. Certaines personnes veulent amener le monde avec elles; mais vous devez sortir du monde pour entrer en Christ. Vous devez sortir de l’incrédulité pour entrer dans la foi. Il ne doit rien y avoir qui vous bloque le passage. Pour vraiment avoir une foi authentique, vous devez absolument abandonner tout ce qui est contraire à la Parole de Dieu pour entrer dans la foi.

32        Josué, c’était le Livre des Éphésiens de l’Ancien Testament. Là, Moïse représentait la loi, qui ne pouvait sauver personne; par contre, la grâce le pouvait, et Josué, là, c’est le même mot que Jésus: «Jéhovah-Sauveur».

33        Et donc, nous voyons que nous sommes arrivés à un autre âge d’Éphésiens, à une autre Éphèse maintenant. Alors que nos dénominations intellectuelles et consorts, tous nos programmes d’instruction, et toutes ces choses sont arrivées à leur–leur Jourdain, nous devons donc avoir de nouveau un–un âge des Éphésiens. Nous devons avoir un exode pour «sortir» et «entrer dans», pour l’Enlèvement.

34        Maintenant, ce soir, nous allons lire dans Ephésiens, chapitre 2. Je disais ça juste pour vous permettre de trouver le–le passage, ou de prendre le chapitre.

          Vous–et vous étiez morts par vos offenses et par votre péché, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion.

          Nous tous aussi, nous étions de leur nombre, et nous vivions autrefois selon les convoitises de la chair, accomplissant la volonté de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres...

          Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés,

          nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Lui, ou, nous a rendus à la vie avec Christ (c’est par grâce que vous êtes sauvés);

35        Je voudrais tirer de là un petit quelque chose, ou une partie du verset, «mais Dieu»: … Le Dieu qui est riche en miséricorde.

36        Je voudrais vous faire remarquer ici, le prophète, ou plutôt l’apôtre Paul, qui–qui… ce qu’il dit: «Il vous a rendus à la Vie, vous qui étiez autrefois morts. Il vous a rendus à la Vie, vous qui étiez autrefois morts, morts par votre péché et par vos offenses, marchant selon le train de ce monde, le désir de la chair, et accomplissant le désir de nos pensées. Il a...»

37        Qu’est-ce qui a causé ce changement? (Voyez?) Qu’est-ce qui a fait qu’étant morts à un moment donné nous soyons ensuite vivifiés? Vivifiés, ça veut dire rendus à la Vie. Il y a eu un changement, de la mort à la Vie. Il n’y a rien–il n’y a rien qui puisse arriver à une personne qui soit aussi glorieux que le fait de passer de la mort à la Vie. Un homme, s’il était mourant physiquement et qu’il soit guéri physiquement, ce serait quelque chose de glorieux, mais il ne peut rien lui arriver d’aussi glorieux que d’avoir été mort spirituellement et que Dieu l’ait rendu à la Vie.

38        Vous étiez jadis, autrefois, morts. Vous étiez morts. Et même, bien des gens ici ce soir, à un moment donné, vous pouvez regarder en arrière et reconnaître que vous étiez morts. Mais maintenant, comment se fait-il que vous ne soyez pas morts ce soir comme vous l’étiez à ce moment-là? Vous méritiez d’être dans cet état-là, parce que vous étiez un pécheur, mais Dieu, qui est riche en miséricorde... C’est ça la–c’est ça la chose: Dieu, qui était riche. Tout ce que nous étions là, «mais Dieu»! C’est bien ce qui a opéré le changement: «Dieu, qui est riche en miséricorde»!

39        Oh! je suis si content de ça, qu’Il soit riche en miséricorde. S’Il était seulement riche en argent, s’Il était seulement riche en biens matériels, et Il L’est effectivement, mais encore, ce qu’il y a de plus glorieux, c’est qu’Il soit riche en miséricorde. Oh! quelle parole remarquable que celle-là: nous étions autrefois morts.

40        L’autre soir, nous parlions de la semence qui doit mourir. Et tout ce qui entoure ce germe de vie doit non seulement mourir, mais pourrir. Si ça ne pourrit pas, ça ne pourra vivre. Et pourrir, c’est être complètement détruit; c’est être fini. Et c’est seulement quand nous en serons arrivés au point où nos propres idées et nos propres pensées auront complètement disparu et seront tombées en pourriture que le germe de vie pourra commencer à vivre.

41        Maintenant–maintenant, nous allons peut-être... je vais peut-être introduire juste un peu de doctrine ici, que je ne... Si vous n’y croyez pas, c’est en ordre. Ça ne fait rien. Moi, j’y crois. Je crois que–que l’homme, quand il naît dans ce monde, quand vous êtes un petit bébé, né dans ce monde, que vous n’auriez pas pu être ici sans que cela ait été inscrit dans la prescience de Dieu, parce qu’Il est infini et qu’Il sait tout. Et quand ce petit bébé naît dans ce monde, il y a quelque chose dans cet enfant. Si jamais un jour il doit avoir la Vie, il y a un petit quelque chose là, dans de cet enfant, à ce moment-là, qu’il finira par manifester, tôt ou tard. Cette petite semence est en lui. Maintenant, si vous prenez... Les Ecritures le déclarent clairement.

42        Or, si vous avez la Vie Eternelle ce soir, si nous avons la Vie Eternelle, alors nous avons toujours existé, parce qu’il n’y a qu’une forme de Vie Eternelle. Nous avons toujours existé. Et la raison en est que nous sommes une partie de Dieu. Et Dieu est le seul Etre éternel.

43        C’est comme Melchisédek qui a reçu d’Abraham la dîme, et cela a été compté à son arrière-petit-fils Lévi, qui était encore dans les reins d’Abraham; il avait payé la dîme, car il était déjà dans les reins d’Abraham quand celui-ci a rencontré Melchisédek. J’ai l’intention de parler de ça, là-bas dans l’autre ville, un matin. Qui est ce Melchisédek? Maintenant, remarquez ça. Bien avant longtemps, Dieu savait que ce garçon allait venir. Il savait tout.

44        Or, nous sommes une partie de Dieu. Vous avez toujours existé. Vous ne vous en souvenez pas, parce que vous étiez seulement un attribut en Dieu. Vous étiez seulement dans Sa pensée. Votre nom même, si jamais il est dans le Livre de Vie, il y a été inscrit avant la fondation du monde. Il savait qui vous existiez.

45        Je dis ceci, non pas pour vous embrouiller dans votre doctrine, mais simplement pour redresser la chose, pour que nous puissions nous débarrasser de cette crainte et de cette peur. Vous ne savez pas qui vous êtes. Vous n’allez pas devenir, mais vous êtes maintenant les fils de Dieu. Voyez-vous, vous avez toujours été les fils de Dieu. Voyez?

46        En effet, quand Dieu vous avait dans Sa pensée au commencement, vous avez dû être, une partie de vous a dû être, la Vie qui est en vous maintenant devait être avec Dieu avant là-bas. Eh bien, quand vous...avant même de devenir un être physique ici sur terre, avant qu’il y ait quoi que ce soit sauf Dieu, vous étiez un de Ses attributs. Il savait quel serait votre nom. Il connaissait la couleur de vos cheveux. Il savait tout à votre sujet. La seule chose qui s’est passée, c’est que vous, étant pécheur...

47        Beaucoup d’entre vous pourront–pourront s’accorder avec moi sur cette pensée. Quand vous étiez un petit garçon, ou une petite fille, vous vous promeniez, et il arrivait certaines choses, ça ne troublait pas les autres enfants, mais c’est comme s’il y avait en vous quelque chose qui appelait. Il y avait Dieu quelque part, et pourtant vous étiez un pécheur. Vous vous en souvenez? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Certainement. Alors, qu’était-ce? C’était cette petite forme de Vie qui était alors en vous.

48        Puis, au bout d’un certain temps, vous avez entendu l’Evangile. Peut-être que vous êtes allé à l’église, vous avez embrassé tantôt ceci, tantôt cela, et vous êtes passé d’une dénomination à une autre. Mais un jour, puisque vous êtes une partie de Dieu, vous deviez être une partie de la Parole. Et quand vous avez entendu la Parole, vous avez su d’où vous veniez, vous avez reconnu la Vérité. Vous avez toujours été, la semence avait toujours été en vous. La Parole a vu la Parole qui était en vous, qui existait avant la fondation du monde; vous avez vu la Parole, et vous êtes venu à Elle.

49        C’est comme mon histoire du petit aiglon, de ce petit aiglon qui avait éclos sous une poule. Et le petit ami marchait en compagnie des poulets, lui… la poule gloussait, et lui ne comprenait pas son gloussement. Et–et les petits poulets, leur régime dans la basse-cour, l’autre–l’autre n’y comprenait rien, comment ils prenaient cela. Mais il y avait en lui quelque chose qui paraissait différent de ce qu’il y avait dans ce poulet, parce qu’il était un aigle dès le départ. C’est exact. Un jour, sa maman est allée à sa recherche, et quand il a entendu ce cri de l’aigle, c’était différent du gloussement de la poule.

50        Il en est ainsi pour chaque croyant né de nouveau. Vous pouvez écouter toute la théologie que vous voudrez, toute la discorde faite de main d’homme, mais quand cette Parole fait jaillir sa Lumière là-bas, alors quelque chose s’empare de vous, vous venez à Elle. «Vous qui étiez autrefois morts par votre péché, Il a vivifié cette vie-là.» Il faut d’abord qu’il y ait là une Vie à ranimer. Dieu, par Sa prescience, savait toutes choses. Et nous étions prédestinés à être des fils et des filles de Dieu. «Vous qui étiez autrefois morts par votre péché et par vos offenses, dans lesquels nous nous trouvions tous autrefois, mais Il nous a rendus à la Vie.»

51        Regardez Paul, alors que Paul était un grand théologien; mais quand il s’est retrouvé face à face avec la Parole, Jésus, cela l’a vivifié. Il est passé à la Vie, très vite, parce qu’il y était destiné. La... Il était une partie de la Parole; et quand la Parole a vu la Parole, c’était sa nature. Tous les gloussements des poules, dans les églises orthodoxes, n’ont eu aucun effet sur lui; il avait vu la Parole. C’était une partie de lui. Il était un aigle. Il n’était pas un poulet. Il s’était seulement retrouvé dans la basse-cour avec eux. Mais il était un aigle dès le départ.

52        J’ai entendu une petite histoire semblable à celle-là–j’espère que ça n’a pas l’air sacrilège–, au sujet d’un petit canard qui était éclos sous une poule, une fois. Il ne comprenait pas. Une petite créature bizarre, un drôle d’oiseau, il ne comprenait pas la poussière et tout ce quoi les autres jouaient dans la basse-cour. Mais un jour, la vieille poule a laissé sortir sa couvée derrière la grange, et le petit canard a flairé l’eau. Eh bien, il a foncé vers l’eau à toute vitesse. Pourquoi? Il n’avait jamais été sur un étang auparavant. Il n’avait jamais été dans l’eau. Mais il était un canard dès le départ. Tout ce qu’il lui fallait, c’était d’en prendre conscience.

53        Il en est ainsi pour le croyant. Il y a quelque chose en lui qui fait que, quand il se retrouve face à face avec Dieu, il prend conscience de ce qu’il est. Cette Semence est en lui, et elle est vivifiée. Oh! c’est vrai, alors il s’éloigne des choses du monde; elles sont mortes pour lui. Oh! je me rappelle, nous avons tous vécu, autrefois, dans ces choses du monde. Mais dès que nous nous sommes emparés de la vraie Chose, Quelque Chose qui nous a rendus à la Vie, une petite semence a pris Vie, et alors toutes les choses du monde ont pourri à l’instant même. Nous n’en avions plus aucun désir.

54        «Celui qui est né de Dieu ne pratique pas le péché. L’adorateur, une fois purifié, n’a plus aucune conscience de son péché, plus aucun désir de pécher.» La question du péché est réglée. Vous devenez une partie de Dieu, en Christ. Christ est mort pour vous racheter.

55        Eh bien, pensez donc à tout ce que nous aurions été sans Dieu. Mais Dieu, par Sa riche miséricorde, nous a rachetés ce soir! Où aurions-nous été ce soir, n’eût été la riche miséricorde de Dieu sur nous?

56        A un moment donné, le monde était tellement rempli de péché, c’est-à-dire que l’homme avait amené la corruption sur la terre, que Dieu était même navré d’avoir créé l’homme. La tête entière n’était qu’une plaie vive, le corps entier, et Dieu était même navré d’avoir créé l’homme. Alors, Il a dit: «Je ferai périr l’homme que J’ai créé.» Il le fera périr, parce qu’il n’est qu’un tas de corruption.

57        Et la race humaine tout entière aurait été anéantie à ce moment-là, mais le Dieu qui est riche en miséricorde n’a pas permis que l’innocent périsse avec le coupable. Alors Il s’est retiré et Il a pourvu à un moyen pour ceux qui voulaient entrer, ceux qui voulaient faire le bien. Il a pourvu à un moyen de miséricorde pour ceux qui désiraient la miséricorde, Il a préparé une arche. Autrement dit, Il a donné des ailes à Ses aigles pour qu’ils puissent s’envoler au-dessus du jugement et ne pas se noyer avec les poulets. Mais Il–Il a pourvu à une échappatoire aux jours de Noé. Ce qui L’a amené à faire cela, à pourvoir à cela, c’est parce qu’Il était riche en miséricorde.

58        Mais, après qu’Il a pourvu à un moyen pour les gens, alors ceux-ci alors le rejettent. Eh bien, la raison pour laquelle ils le rejettent, c’est qu’il n’y a rien en eux pour recevoir cela. Il n’y a rien pour recevoir cela. Ma mère disait: «On ne peut pas tirer du sang d’un navet, parce qu’il n’y a pas de sang dans le navet.» Donc, s’il n’y a aucune forme de Vie à l’intérieur pour recevoir Cela, alors on ne peut pas La recevoir.

59        C’est pour ça que les pharisiens pouvaient regarder Jésus bien en face et L’appeler Béelzébul; c’est parce qu’il n’y avait rien en eux pour Le recevoir. «Mais tous ceux que le Père M’a donnés, a-t-Il dit, viendront à Moi.» Il y a–il y a une façon dont cela sera présenté.

60        Parfois, on peut parler aux gens dans la rue, leur parler du Seigneur, ils vous rient juste au nez. Eh bien, nous devons le faire de toute façon. Mais écoutez: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.» C’est Dieu qui doit attirer. Il faut qu’il y ait une Vie. «Et tous ceux qu’Il M’a donnés viendront à Moi.»

61        Il a pourvu à un moyen pour ceux qui veulent être rachetés. Il a pourvu à un moyen pour ceux qui veulent être guéris. Et donc, du fait qu’Il a fait ceci, cela Le rend riche en miséricorde, car Il a toujours été riche en miséricorde. Absolument. Si vous refusez Ceci, il ne reste plus que le jugement, parce que le péché doit être jugé.

62        Pharaon, quand il est entré dans la–la mer, par imitation, voyant qu’il pouvait y entrer comme Moïse… Moïse avec son armée, et Pharaon avec son armée, à ce qu’il paraissait, tous les deux auraient dû périr dans la mer. Mais Dieu qui est riche en miséricorde a pourvu à un moyen pour que les enfants Hébreux puissent s’échapper. Pourquoi? Parce qu’ils suivaient la ligne du devoir, ils suivaient la Parole.

63        Or, le seul moyen d’obtenir miséricorde, c’est de suivre les directives que Dieu nous a données à suivre. C’est le seul moyen pour Lui de manifester Sa miséricorde, c’est quand nous suivons ce qu’Il a demandé de faire.

64        C’est comme ce petit débat que j’ai eu, il n’y a pas longtemps, avec un ministre qui disait que j’enseignais une doctrine apostolique en ce jour. Je crois que j’en ai parlé il y a un soir ou deux, ou à un moment donné, ce qu’il m’avait dit: «Vous essayez d’introduire dans cet âge une doctrine apostolique.» Il a dit: «L’âge apostolique a pris fin avec les apôtres.»

            Je lui ai demandé: «Eh bien, croyez-vous la Parole?»

            Il a répondu: «Oui.»

65        J’ai dit: «Dans Apocalypse 22.18, il est dit que ‘quiconque retranchera une seule Parole de Ceci, ou Y ajoutera une seule Parole’, pas deux mots, là; une seule Parole, En retrancher une seule Parole.»

            Il a dit: «Je crois ça.»

66        J’ai dit: «Dans ce cas, moi, je peux vous dire quand l’âge apostolique a été donné, quand les bénédictions apostoliques ont été données à l’Église. Maintenant, vous, montrez-moi le passage où Dieu les a retirées de l’Eglise. Vous ne pouvez pas le faire; ça n’existe pas.»

            J’ai dit: «Maintenant, souvenez-vous, Pierre, le jour de la Pentecôte, c’est lui qui–qui a inauguré l’âge apostolique. Il a dit à tous: ‘Repentez-vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.’»

67        Maintenant, si vous voulez écouter le gloussement d’une certaine poule dénominationnelle et vivre là-bas dans les choses du monde, alors, ça prouve qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Car Ça, c’est la Parole. «Que celui qui veut vienne.» Et si vous en avez la volonté, vous devriez venir. Mais si vous n’en avez pas la volonté, alors vous êtes dans un triste état. Mais si vous avez la volonté de venir, venez suivre l’ordonnance de Dieu!

68        Et Il ne manque jamais d’accomplir ce qu’Il a promis. Autrefois, j’étais jeune, et maintenant je suis vieux, je ne L’ai jamais vu faillir vis-à-vis de Sa Parole. En effet, Il peut tout faire, sauf faillir. Il ne peut faillir. Dieu ne le peut pas, Dieu ne peut faillir, et rester Dieu. Il doit la–l’accomplir pour rester Dieu.

69        Eh bien, l’armée de Pharaon a essayé d’imiter, car ils n’étaient pas appelés et ils ne possédaient pas cette Vie. Dans le... La promesse n’avait pas été faite à Pharaon. Il ne lui avait pas été fait la promesse de la Terre promise.

70        Et un imitateur, quand il essaie de suivre un vrai croyant qui, lui, a été appelé à ça, il ne fait qu’en produire un semblant. C’est ça le problème de notre système religieux d’aujourd’hui. Il y a trop de gens qui essaient d’imiter le Saint-Esprit, trop de gens qui essaient d’imiter le baptême, trop de gens qui essaient d’imiter l’âge apostolique. C’est pour les croyants, et pour eux seuls. Dieu a pourvu à un moyen, Lui qui est riche en miséricorde, pour que Ses enfants ne périssent pas. Il a pourvu à un moyen pour eux.

71        Eh bien, Pharaon, qui cherchait à les poursuivre, s’est noyé dans les eaux même qui avaient sauvé Moïse et son groupe. Or, Moïse ne s’est pas noyé; en effet, Dieu est riche en miséricorde envers ceux qui suivent la voie à laquelle Il a pourvu. Amen.

72        Voyez-vous ce que je veux dire? Ce soir, ces gens qui ne croient pas à la guérison divine, ces gens qui ne croient pas au baptême du Saint-Esprit, comment peuvent-ils recevoir quoi que ce soit? Dieu est riche en miséricorde envers ceux qui Le suivent, pas un credo, mais Dieu.

73        Dieu est la Parole, et Elle a été faite chair et a habité parmi nous. Eh bien, c’est afin qu’Il puisse manifester les autres attributs de Dieu. Le Corps, Jésus, c’était le Corps de Dieu, un attribut. Moïse L’a vu passer, il a vu Son dos; aucun homme n’avait vu Sa face. Mais maintenant, nous L’avons vu, nous L’avons contemplé, nous L’avons vu, Lui, comme Sacrifice. Or, voyez-vous, Il était un Attribut de Dieu, manifesté, la Parole. C’est ce qu’Il était.

74        Et quand un croyant vient à Dieu, il devient un attribut de Dieu, de Sa Parole, il est utilisé pour manifester la Parole qui est promise pour son jour. Voyez? C’est exact. Dieu qui est riche en miséricorde ne nous a jamais laissés sans témoignage. Il est riche en miséricorde.

75        Nous voyons maintenant que Dieu a été très miséricordieux envers Moïse, là-bas, dans la mer Morte, ou plutôt, là dans la mer Rouge. Ensuite, Il a dit là, dans Exode 19.4, Il a dit: «Je vous ai portés sur les ailes d’aigle et amenés vers Moi. Je les ai portés sur les ailes d’aigle, et Je vous ai amenés vers Moi!» Il y avait d’autres hommes qui étaient aussi au milieu de la mer là-bas, qui essayaient d’imiter. Mais qu’est-il arrivé? «Il les a portés sur les ailes d’aigle.»

76        Or, Dieu compare toujours Ses prophètes à des aigles. Qu’était-ce? Moïse était Son messager. Les gens suivaient Moïse, et c’était ça les ailes d’aigle sur lesquelles ils étaient portés, parce qu’il avait le Message de Dieu avec lui. Et c’est ce que les gens suivaient. En suivant Moïse avec Son message de délivrance, c’est Dieu qu’ils suivaient. Et la Bible dit: «Il… Ils ne périrent pas avec ceux qui n’ont pas cru.» En effet, Dieu a été riche en miséricorde envers eux, car ils suivaient Ses commandements. Dieu veut que nous suivions Ses commandements.

77        Nous pourrions dire la même chose de Koré et de Dathan, ainsi que de leur bande d’incrédules, qui ont essayé d’imiter. Ils ont essayé d’introduire quelque chose dans le programme de Dieu. Ils n’aimaient pas un programme avec un seul homme. Ils n’aimaient pas ça. Il leur fallait avoir quelque chose à faire. Koré a dit: «Voyons, il y a d’autres hommes que toi qui sont saints, Moïse. Tu agis comme si tu étais la seule plage sur le... ou plutôt le seul galet sur la plage.» Et il a dit: «Je–je... Tu ne devrais pas faire ça. Il y a d’autres hommes ici.»

78        Et Moïse savait que c’était à lui de conduire les enfants jusque dans la Terre promise, parce que c’est à lui que la promesse avait été faite. Il devait les conduire dans la Terre promise.

79        Et aujourd’hui, le Saint-Esprit est ici pour confirmer la Parole de Dieu, et c’est ça l’aile d’aigle qui est censée nous porter, pas une théologie conçue par l’homme. Mais nous devons monter sur les ailes de l’aigle pour nous rendre à la Terre promise.

80        Et là, ils allaient faire venir une bande de poulets, c’est ce que Koré envisageait, vous savez, pour qu’ils se présentent là et qu’ils imitent ce... l’aigle. Et, lorsqu’ils ont fait cela, Dieu a dit: «Sépare-toi d’eux», et Il a englouti la terre. Il aurait englouti le tout, toute la création, mais Dieu a été riche en miséricorde envers ceux qui ont essayé de suivre Sa Parole. Toujours, le Dieu qui est riche en miséricorde. Beaucoup d’entre eux se sont rangés du côté de Moïse, et Dieu a ouvert la terre et a englouti les incroyants. Il… le–l’incroyant périra toujours.

81        Ceux qui n’avaient pas cru, bien qu’ils soient sortis et aient marché pendant un bout de temps, mais ils… Jésus a dit: «Ils sont tous morts.» Et morts signifie  anéantis. Ils sont morts. Pensez un peu à ces gens-là. Ils étaient sortis, ils avaient vu les miracles de Dieu, ils avaient vu la main puissante de Dieu, ils avaient savouré la manne; et ils sont allés là écouter un homme du nom de Balaam, qui avait perverti la voie de Dieu, par son enseignement contraire à la Parole. «Nous sommes tous frères, alors rassemblons-nous tous.»

82        C’est un autre système à la Balaam qui est en train de se monter aujourd’hui: «Rassemblons-nous tous.» Ça ne marchera pas. Marchons avec l’Aigle, l’Aigle Jéhovah. Vous êtes des aiglons.

83        De tout le groupe, seulement trois ont été sauvés: Moïse, Caleb et Josué. Tous les autres ont péri dans le désert; Jésus l’a dit, dans saint Jean, chapitre 6. Dieu, dans Sa miséricorde, n’a pas permis qu’ils périssent parce que… avec les autres incroyants. Ils sont tous morts juste là dans le désert, et ils sont morts. Dieu a sauvé Moïse et les croyants, les aigles, parce qu’ils avaient égard à Sa Parole.

84        Et aujourd’hui, mon ami, le seul moyen pour nous de trouver grâce devant Dieu… Dieu est riche en miséricorde aujourd’hui, mais nous devons respecter ce qu’Il a dit. Vous ne pouvez vraiment pas accepter ce que quelqu’un d’autre a dit. Vous devez accepter ce que Dieu a dit. Il a dit: «Que toute parole d’homme soit reconnue comme mensonge, et la Mienne pour vraie.»

85        Aujourd’hui, on nous dit: «Tout ce que vous avez à faire,» à bien des endroits, «c’est adhérer à l’église, avoir un credo, ou quelque chose du genre; ou réciter une prière, inscrire votre nom dans le registre, être aspergé ou baptisé d’une certaine manière, ou quelque chose de ce genre. C’est tout ce que vous avez à faire.» Mais c’est faux.

86        Pour être un aigle de Dieu, vous devez suivre la Parole, jour après jour. Vous devez continuer à vous nourrir de la Parole.

87        Or, après tout ça, nous les voyons de nouveau en train de murmurer, la foi affaiblie, après que Dieu leur avait montré Sa miséricorde. Nous les voyons murmurer contre Dieu; et quand ils ont fait cela, ils sont morts de morsures de serpents. Eh bien, ils l’avaient bien mérité. Certainement. Toute personne qui se méprend sur la Parole de Dieu et qui fait ces choses qu’ils ont faites mérite la mort. Chacun d’eux désirait... méritait de mourir dans le désert.

88        Mais quand ils ont été tellement malades que ni le docteur Moïse lui-même, ni personne d’autre n’y pouvaient rien, et qu’ils mouraient par milliers; mais le Dieu riche en miséricorde a pourvu d’un moyen d’échapper pour ceux qui croiraient en Lui. Il a fait un antidote contre ça, en élevant un serpent d’airain. Dieu, dans Sa riche... Dieu a pourvu d’un moyen d’échapper, pour que Ses enfants qui croient puissent être guéris.

89        Dieu s’intéresse à tout ce qui ne va pas, à tout ce que vous envisagez. Quelle que soit votre condition sociale, Dieu s’intéresse à vous. Vous êtes Son enfant, et Il est riche en miséricorde. Il veut prendre soin de vous.

90        Plus tard, les gens ont péché, en prenant cette chose même par laquelle Dieu avait fait une expiation pour eux, le serpent d’airain, qui représentait le péché déjà jugé, mais ils ont fait de ce don-là une idole. Et ça, c’était encore un péché. «Dieu ne partagera Sa gloire avec personne.» Par conséquent, nous ne pouvons pas avoir deux, trois ou quatre dieux. Il n’y a qu’un seul Dieu. Il ne partagera Sa gloire avec rien d’autre. Il est le seul Dieu, voyez-vous; ainsi… alors que les païens ont plusieurs dieux, nous, nous avons un seul Dieu, et Il ne partagera pas Sa gloire avec un autre, pas plus qu’Il ne permettra que quelque chose devienne une idole devant Lui. Bien qu’Il ait fait une expiation pour le peuple, et c’était la Parole de Dieu, c’était juste, mais quand ils En ont fait une idole, alors ils se sont attiré des ennuis.

91        Or, c’est exactement la même chose, je crois, qui est arrivée à nos âges de l’église. Dieu nous a envoyé le message de Martin Luther, qui est venu avec son message, John Wesley, le message pentecôtiste, mais qu’en avons-nous fait? Exactement la même chose qu’eux ont faite avec ce serpent d’airain, nous en avons fait une idole: «Je suis membre de ceci, et je suis membre de cela.» Voyez-vous, vous êtes membre de quelque chose sans avoir la sincérité qui se rattache à une adoration sainte et vraie de la Parole.

92        Que s’est-il passé? La Bible… il nous est dit dans la Bible que «le prophète a pris cette idole et l’a détruite». Alléluia!

93        Ce qu’il nous faut sur la scène aujourd’hui, c’est un prophète qui détruira l’idole des dénominations qui s’imaginent qu’elles iront au Ciel parce qu’elles sont membres d’un credo, ou plutôt d’une dénomination quelconque. Il faut qu’elle soit détruite, brûlée et jetée. Dieu est plein de miséricorde. Il est riche en miséricorde. Dans ce jour où nous nous serions tous retrouvés là dans ce chaos des ténèbres, le Dieu riche en miséricorde nous a cependant envoyé le véritable et authentique Saint-Esprit, avec Sa propre interprétation de Cela, ici même dans cette salle chaque soir. Le Dieu riche en miséricorde! Que nous Le trouvons merveilleux! Certainement!

94        Donc, tout ce qu’ils pensaient pouvoir faire, c’était simplement d’aller vers ce serpent, ou cette petite chose que Dieu avait faite là-bas, avait demandé à Moïse de faire et d’accrocher à une perche, et les gens pouvaient être guéris, sans aucune sincérité. Ils se tenaient simplement là et ils le regardaient. Mais ils ont dû en faire une idole, et Dieu a envoyé un prophète, et celui-ci l’a détruite.

95        Or, tous ceux qui ont refusé de regarder le serpent dans le désert ont péri. Maintenant, Dieu fraye une voie, mais si vous refusez de considérer cela, si vous restez de l’autre côté de la rue, si vous vous accrochez à un credo quelconque, et que vous refusez de regarder directement dans la Parole pour voir si Elle est juste ou non… tous ceux qui ont refusé de regarder ont péri. Et Dieu est un Dieu qui ne change jamais. Tous ceux qui ont refusé de regarder ont péri. C’est pareil aujourd’hui, la même chose.

96        Puis, par la suite, les gens péchaient et, comme ils le faisaient toujours, ils en–en faisaient une idole, en faisant une–une–une... en essayant de recevoir la guérison sans sincérité, et ils «étaient membres de quelque chose»; et c’est ainsi que nous le faisons aujourd’hui. Et maintenant, nous voyons donc que la différence en était que Dieu...

97        C’était une expiation valable, un signe valable pour cette époque-là. À cette époque-là, c’était correct. Mais ce ne devait être que pour cette époque-là, pour ce voyage-là. Ça ne pourrait marcher que pour ce voyage-là.

98        Et le Message que Martin Luther a apporté, celui de la justification, c’était très bien pour l’âge de Luther. Cela est allé jusque-là, pas plus loin.

99        La sanctification, c’était bien dans l’âge de Wesley. Cela est allé jusque-là, pas plus loin.

100      Ensuite, nous arrivons à l’âge pentecôtiste. Et la restauration des dons, c’est quelque chose de très bien, c’était bien dans cet âge-là, mais maintenant nous allons au-delà de cela. Nous sommes au-delà de cela, aussi sûr qu’il y a un monde. Nous devons dépasser cette chose. En effet, nous en avons fait la même chose qu’eux à l’époque, nous en avons fait une idole. «Je suis membre de cet ordre-ci, je suis membre de cet ordre-là.»

101      Dieu enverra quelqu’un qui démolira la chose et la mettra en pièces, et qui confirmera Sa Parole, la Parole entière. Remarquez. Gloire à Dieu! Eh bien, nous voyons que c’est vrai. Dieu, riche en miséricorde!

102      Ensuite, quand le prophète a détruit cela, il ne leur restait aucun signe de guérison, d’expiation, parce que leur idole avait été détruite. Mais Dieu qui est riche en miséricorde leur en a donné un autre. Et qu’a-t-Il fait? Il a agité l’eau de la piscine, au temple, et beaucoup de gens venaient et étaient guéris en entrant dans cette eau. Jésus est allé à cette même piscine, et Il a vu un homme couché là depuis bien des années, attendant que l’eau soit agitée. Vous voyez, Dieu riche en miséricorde! Bien qu’ils aient fait de cette chose-là une idole, bien que le prophète ait été obligé de la démolir, Dieu a pourvu d’un autre moyen pour eux, parce qu’Il est riche en miséricorde. Il veut que les gens soient guéris; aussi a-t-Il pourvu d’un moyen pour leur guérison.

103      Bon, cela a donc continué, le monde est devenu de plus en plus pécheur, tout le temps. Finalement, le monde était tellement rempli de péché que Dieu aurait pu le détruire; Il a dit dans Malachie 4: «De peur que Je ne vienne frapper le pays d’interdit.» Il aurait pu le faire; c’est ça.

104      Mais alors, Dieu riche en miséricorde a envoyé un Sauveur: Jésus-Christ. Il a envoyé Jésus pour qu’Il soit à la fois Sauveur et Guérisseur. En effet, Il a dit: «Comme Moïse éleva le serpent d’airain dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé», dans le même but. Lui, l’expiation, c’est ce que nous revendiquons, rien d’autre que l’expiation. Les choses que Jésus a acquises par Son Sang, c’est ce que nous revendiquons. Et la Bible dit: «Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Voilà ce que nous pouvons revendiquer, parce que c’est ce que l’expiation que nous défendons a préparé pour nous. Dieu, riche en miséricorde!

105      Cette expiation-ci devait être une expiation éternelle, parce qu’Il est venu Lui-même. Dieu Lui-même est venu sous la forme d’une chair de péché pour faire une–une expiation éternelle. Il a souffert dans la chair, et Il a fait l’expiation. Et Il est retourné sous la forme du Saint-Esprit pour confirmer cette expiation. Alors qu’aucun serpent d’airain, ni aucune eau agitée ne pouvaient le faire, tout cela annonçait cette Expiation parfaite. Le Dieu qui est riche en miséricorde a accompli cela.

106      Maintenant, aujourd’hui, étant donné que c’est en ce jour-ci que nous vivons, nous avons traversé ces âges de l’église et nous avons trouvé toutes les justifications possibles pour nous En éloigner. Les théologiens que nous avons aujourd’hui ont carrément perdu de vue cet aspect de la Chose. Ils trouvent toutes les justifications possibles pour renvoyer Cela à un autre jour, à un autre âge, quelque chose d’autre, d’une époque reculée. Et la guérison divine, c’était pratiquement une affaire du passé, on trouvait à peine quelqu’un qui y croyait. On s’en moquait. Pas plus tard qu’il y a une vingtaine d’années, on s’en moquait. Les pentecôtistes s’en étaient pratiquement éloignés. Tout au début, ils avaient cela, mais ils s’en sont éloignés.

107      Regardez ce qu’ils ont fait. Voilà qu’ils étaient emballés par leurs dénominations, ils se sont empressés de se forger chacun un credo, et tout. Sans… Au lieu d’accepter la Lumière, à mesure que la Lumière entrait, ils s’étaient organisés et s’étaient forgé des credos; toute personne qui venait se faisait une doctrine et y demeurait. Et alors, ils étaient tellement emportés que le Saint-Esprit ne pouvait pas entrer dans l’église. Ils se sont tout simplement fait une autre idole, au même titre que le serpent d’airain, c’était devenu de–de l’idolâtrie. Chacun disait: «Je suis membre de ceci, et je suis membre de cela.» C’était une idolâtrie. Dans quel méli-mélo nous avons été au temps de la fin!

108      Mais Dieu, riche en miséricorde, a de nouveau envoyé le Saint-Esprit sur nous, et Il confirme Sa Parole ce soir comme Il l’avait promis. Dieu avait promis qu’Il ferait ces choses. Regardez ce qu’Il a fait!

109      Regardez ce qu’Il a fait, comment… Nous voyons maintenant comment Il avait promis qu’une chose se produirait dans chaque âge. Et nous voyons que la chose s’est produite exactement telle quelle, selon ce qu’Il avait dit de faire, parce qu’Il est riche en miséricorde; Il fait toujours miséricorde, et ce, pour accomplir chaque Parole qu’Il a promise. Il doit le faire, toujours, pour être Dieu. Il agit toujours ainsi. Sa Parole s’accomplit toujours en Sa saison, Sa semence qu’Il a mise en terre. Qu’a-t-Il fait? Il l’a placée ici, dans la Parole, et c’est une semence. Et chaque fois que l’âge en question arrive, cette semence-là mûrit, et alors il y a une réforme. C’est ce qu’Il a promis, et c’est ce qui se produit.

110      Or, nous ne méritions pas ces choses. Nous ne méritions pas ces bénédictions de Dieu, parce que nous étions partis en quête des choses du monde, nous nous étions jetés dans l’égarement de Caïn, Caïn qui a construit un bel autel et une belle église, et qui y mettait des fleurs en pensant que c’était exactement ça, que c’était un tas de pommes, ou de poires, ou des grenades, ou je ne sais quoi que son père et sa mère avaient mangé dans le jardin d’Eden, que c’est à cause de ça qu’ils en ont été chassés. Alors, c’est ainsi qu’en retour il a offert cela à Dieu, mais Dieu a rejeté cela.

111      «Mais par la foi, Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn.»

112      Et aujourd’hui, la Bible dit dans Jude: «Ils se sont jetés dans la voie de Caïn, ils se sont perdus par la révolte de Coré». Voyez-vous, «ils se sont jetés dans la voie de Caïn», en construisant des autels, en construisant des églises, des dénominations, en les ornant, en les agrandissant, en se faisant plus de membres que les autres. Ils y introduisent des choses; tout celui qui arrive, qui a sautillé en l’air, ou qui a donné une poignée de main, ou qui a été baptisé d’une certaine manière, ou qui a parlé en langues, ou qui a couru partout dans la salle, ils inscrivent son nom dans le registre. C’est vrai. Et ensuite, ils attaquent la Vérité authentique qui est prêchée, et ils La nient. Comment est-ce donc possible? Remarquez dans quel gâchis nous étions! Remarquez.

113      Et la Bible dit: «Ils ont suivi la voie de Balaam, et ils se sont perdus par la révolte de Koré.» Ils se sont perdus par la révolte de… C’était quoi, la révolte de Koré? «Eh bien, tu penses être le seul homme qui soit saint? Eh bien, Dieu est... Nous sommes tous saints. Toute l’église l’est. Chaque... Nous devrions tous nous rassembler, c’est ça que nous devrions faire.» C’est là qu’ils ont péri, voilà! Et nous le méritions vraiment. Nous méritions d’être dans cet état-là.

114      Mais Dieu, riche en miséricorde, nous a retirés de ce chaos et nous a permis de voir cela avant que la chose arrive. Riche en miséricorde, Il nous a envoyé un réveil de guérison divine et une nouvelle venue de la puissance de Dieu. D’après l’histoire, aucun réveil n’a jamais duré plus de trois ans. Ce réveil-ci s’est poursuivi pendant quinze ans, c’est un feu qui a continuellement brûlé autour du monde. Pourquoi, parce que nous le méritions? Dieu, riche en miséricorde. Ce n’est pas parce que nous le désirions, ou plutôt pas parce que nous le méritions.

115      Pensez un peu à ce que ce réveil a produit! Je pense à l’une de vos soeurs, d’ici même à Phoenix, que beaucoup d’entre vous connaissent, Madame Hattie Waldrop. Elle avait un cancer du coeur. Elle était dans la ligne de prière, ici, quand frère Moore et moi étions venus ici pour la première fois, il y a de cela environ quinze ou dix-huit ans. Elle se mourait d’un cancer du coeur, et elle aurait dû être morte depuis longtemps. Mais Dieu, riche en miséricorde, a fait descendre Sa puissance sur elle, lui a sauvé la vie, et elle est en vie aujourd’hui. Dieu, riche en miséricorde!

116      Le sénateur Upshaw, un grand homme. Je pense qu’il a été président, ou quelque chose comme ça, de la–de la Baptist... de la Southern Baptist Convention, à un moment donné, ou vice-président, ou quelque chose comme ça. Il avait tout fait. C’était un brave homme. Il avait fait tout ce qu’il pouvait. Il avait consulté tous les médecins. On ne pouvait rien faire pour lui. Il était obligé de rester assis. Des prédicateurs avaient prié pour lui. Ces différents prédicateurs, de partout, lui avaient bien versé un gallon [3,78 l] d’huile d’onction sur la tête.

117      Un soir, à Los Angeles, en Californie, en m’avançant vers la chaire, j’ai vu une série de fauteuils roulants, environ deux ou trois fois ce qu’il y a ici, tout le long des allées, d’un bout à l’autre. Et puis il y avait là un brancard, sur lequel était couchée une petite fille de couleur, une petite fille noire, et sa–sa mère était assise près d’elle. Mon frère était en train de former la ligne de prière.

118      Et je regardais, je ne savais pas ce qui se passait. Et j’ai vu un médecin en lunettes à monture d’écaille en train d’opérer une petite fille noire pour une affection de la gorge, et elle a été frappée de paralysie. J’ai regardé autour de moi, je me suis dit: «Où est cette enfant?» Je ne la voyais pas.

119      Au bout d’un moment, là, tout au fond, sans espoir, une charmante petite fille d’environ sept ou huit ans, condamnée à être paralysée le reste de sa vie… Et sa mère était là, à genoux, en train de prier. Alors, j’ai dit: «Tel médecin a opéré votre petite fille», et je l’ai décrit.

            Elle a dit: «C’est vrai, monsieur.»

120      Alors, elle a essayé d’amener cette enfant jusqu’à l’estrade. Les gens lui ont dit de ne pas le faire. Ils ont essayé de la calmer. À peu près au moment où ils ont réussi à la calmer, je me suis dit: «Eh bien, nous aurons l’occasion de prier pour elle dans quelques minutes.» Il se peut qu’il y ait des gens ici même qui y étaient ce soir-là.

121      Je parcourais l’auditoire des yeux, et j’ai vu cette petite fille qui marchait, sur une espèce de–de petite route étroite, avec une poupée dans ses bras, elle berçait la poupée. Peu importe combien le médecin avait dit qu’elle serait paralysée jusqu’à la fin de sa vie, Dieu, riche en miséricorde, a fait descendre le Saint-Esprit, par une vision, et cette petite fille s’est levée de là, et elle et sa mère, en se tenant par les mains, elles ont suivi cette allée, en louant Dieu.

122      Il y avait un homme âgé assis tout au fond, le sénateur Upshaw; beaucoup d’entre vous connaissent son témoignage. C’était un brave homme, il avait essayé toute sa vie… Il était infirme soixante-six ans durant, condamné dans un fauteuil roulant, on devait le pousser jusqu’à son lit; avec, sous les bras, des béquilles dont il se servait pour marcher, condamné à ne plus jamais marcher normalement. Et il était assis là, observant cela. Tout à coup, j’ai regardé au loin et j’ai eu une vision. Voilà qu’il venait, marchant au-dessus de l’auditoire, la tête inclinée; il marchait aussi bien que n’importe qui. Je ne savais pas de quel homme il s’agissait.

123      J’ai dit: «Il y a un homme important assis au fond. Quand il était un petit garçon, il est tombé de la charrette sur une meule de foin, et il s’est fait cassé le dos. On a fait des trous dans le plancher pour éviter que les vibrations des gens qui y marchaient lui fassent mal au dos.» J’ai dit: «Il devient un homme important, et il devient de plus en plus important. Il est assis au milieu des gens importants à la Maison Blanche.»

124      Alors, un homme est venu me parler, disant: «C’est le sénateur Upshaw. Avez-vous déjà entendu parler de lui?» J’ai dit: «Je n’ai jamais entendu parler de lui.»

125      Et là, il a envoyé un petit micro baladeur là-bas, et ils ont conversé.

126      Alors, je me suis mis à regarder autour, et j’ai vu le vieux sénateur qui venait, il marchait vers moi, dans une vision, de façon tout à fait parfaite et normale. Le Dieu, riche en miséricorde, l’a retiré de ce fauteuil roulant, et il a marché sans béquilles jusqu’au jour de sa mort. Dieu, riche en miséricorde! Alors que les médecins avaient échoué, alors que la science avait échoué, alors que tout le reste avait échoué, Dieu a été riche en miséricorde envers le sénateur Upshaw.

127      Je pense à moi-même. Quand j’étais petit garçon, je me souviens que... Aujourd’hui, les gens me traitent de misogyne. La raison de ça, c’est parce que j’avais vu tant d’immoralité chez les femmes dans mon enfance. Je les détestais. Je ne les déteste plus maintenant, parce que je sais qu’il y en a des bonnes. Mais je me souviens qu’il y avait tant de pourriture, tant d’immoralité. Et je me disais: «Oh! jamais je–je n’irai pas parmi les gens. Je n’ai pas d’instruction, alors, je ne m’instruirai pas.»

128      J’étais un petit gamin assis là, n’ayant même pas de chemise sur moi, portant un manteau attaché en haut, comme ceci, avec une épingle de sûreté. Et il faisait très chaud. L’institutrice disait: «William, tu n’as pas chaud avec ce manteau?»

129      Je disais: «Non, madame, j’ai un peu froid.» Et elle me faisait aller près du poêle, elle mettait du bois dans le poêle, et–et je grillais presque. Je–je n’avais pas de chemise pendant toute cette saison-là.

130      Je me disais: «Si jamais j’ai assez d’argent, à un moment donné, je pourrais m’acheter une petite... m’acheter une carabine 30-30», je viendrais ici, dans l’Ouest, pour y vivre et chasser le reste de ma vie. Je ne voulais rien avoir à faire avec les gens. Je me tenais simplement loin, parce qu’ils ne m’aimaient pas, et–et je me tenais simplement loin d’eux.

131      Et puis, chaque fois que j’allais en ville pour parler à quelqu’un que je voyais, des gars que je connaissais dans la rue, je disais: «Salut, John, Jim! Comment ça va?

            «Oh! bonjour.»

132      Vous voyez, ils ne voulaient pas me parler, ils ne voulaient rien avoir à faire avec moi à cause de mon papa et des autres qui fabriquaient du whisky. Et moi, je ne faisais pas ça. Je n’avais rien fait, moi. Et j’aurais été ainsi.

133      Mais maintenant, il n’y a pas longtemps, je disais à ma femme: «Mon mur est couvert de meilleures armes à feu qu’on puisse acheter.» Oh! Je pense à ces vieux vêtements sales. Ce soir, j’ai deux ou trois bons complets. Et sans amis? Je suis obligé d’aller me cacher dans les déserts pour être loin des gens. Qu’y a-t-il? Est-ce à cause de ma personnalité? Est-ce à cause de mon instruction? Non. Dieu, riche en miséricorde, m’a vu dans cet état-là, et Il m’a sauvé.

134      Je me souviens qu’on me conduisait par le bras, comme un aveugle. Je ne voyais pas. Devant moi, tout était flou; j’aurais été aveugle le reste de ma vie. Mais Dieu, riche en miséricorde, m’a rendu la vue. J’ai cinquante-cinq ans, et j’ai encore une bonne vue. Dieu riche en miséricorde, c’est tout ce que je peux dire.

135      À un moment donné, l’église n’avait aucun moyen pourvu pour la guérison. Ils en avaient un, mais ils l’avaient rejeté. Mais Dieu, riche en miséricorde, leur a envoyé un don de guérison divine. C’est le Saint-Esprit parmi nous confirmant la Parole par les signes qui L’accompagnent. Dieu, riche en miséricorde!

136      J’ai deux ou trois pages de notes ici, mais je ne vais pas chercher à y toucher, parce que je–je vois bien qu’il est presque l’heure de former la ligne de prière. Mais Dieu, riche en miséricorde!

137      Beaucoup d’entre vous ici, ce soir, les médecins vous ont abandonnés. Il y a des gens assis dans ces fauteuils roulants, ils ne se relèveront probablement jamais de là. Ils y sont pour toujours. Certains d’entre eux sont paralysés de différentes manières, ils ne se… jamais ils ne pourraient se relever de là, il leur est impossible de se relever de là. Mais Dieu, riche en miséricorde, a pourvu d’une expiation. Ne la rejetez pas. Recevez-la.    Il y a là des hommes qui souffrent du coeur, il y a des gens qui ont des cancers, pour lesquels les médecins ne peuvent rien faire. Vous êtes sans espoir, sans secours dans ce monde.

138      Mais Dieu, riche en miséricorde, a fait descendre le Saint-Esprit, et Il est ici même, en ce moment, pour confirmer la Parole, pour prouver qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce parce que nous le méritons? C’est parce que Dieu est riche en miséricorde! Amen. Alors, c’est Lui, c’est cette Personne-là, c’est le Seigneur Jésus. Il n’est pas mort, mais Il est ressuscité des morts, et Il est vivant aux siècles des siècles.

139      Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il est encore riche en miséricorde, autant qu’Il l’a été envers la femme à la perte de sang. Elle s’est frayé un chemin à travers la foule. Il n’y avait aucun espoir pour elle, les médecins avaient fait tout ce qui était en leur pouvoir. Elle avait une perte de sang. Elle se mourait. Mais elle a touché le vêtement du Maître. Dieu, riche en miséricorde, s’est retourné et lui a dit ce qu’elle avait. Et elle a été guérie de cette perte de sang.

140      Un jour, une vile petite prostituée est allée à un puits, chercher de l’eau. Elle était sans espoir. Elle avait été excommuniée du groupe des vierges, du groupe des gens, sa vie ne valait rien. Et elle se disait: «A quoi bon essayer? On me rejette, il ne me reste plus rien.» Mais elle a regardé et, debout à côté, ou plutôt assis au bord du puits, un Homme était assis là et lui a dit tout ce qu’elle avait fait. Dieu, riche en miséricorde.

141      Ce soir, ce même Dieu est aussi riche en miséricorde, et Il est exactement le même qu’Il était à cette époque-là. Dieu, riche... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

142      Je pense que nous avons deux cents cartes de prière ici, ou ce que nous avons appelé de ces deux cents. Nous allons les appeler pour aligner les gens. Nous allons prier pour eux.

143      Mais, avant de faire ça, au cas où il y aurait de nouveaux venus ici, pour se débarrasser de toute superstition… Ceci n’est pas de la superstition. C’est la manifestation d’une promesse de Dieu. Cela dépend de ce que vous regardez. Il n’y a aucune vertu dans aucun homme. Il n’y a aucune puissance dans aucun homme. Mais nous, en tant que croyants, nous avons l’autorité; pas la puissance, mais l’autorité.

144      Il n’y a pas longtemps, quelqu’un me demandait, disant: «Frère Branham, croyez-vous que vous avez la puissance de faire ceci?»

145      J’ai dit: «Je n’ai pas du tout de puissance, mais j’ai l’autorité.» Chaque croyant a cela. Si vous la refusez, vous resterez où vous êtes. Mais si vous l’acceptez, elle accomplira l’infinie abondance, parce que Dieu est riche en miséricorde.

146      Prenez un petit policier qui se tient là dans la rue, avec des vêtements qui lui pendent à moitié, tellement il est maigre. Il a son képi enfoncé jusqu’aux oreilles. Il s’avance là, dans la rue, où les voitures passent à cinquante miles [80 km] à l’heure, avec des moteurs de 300 CV. Il n’a pas la puissance d’arrêter une bicyclette. C’est vrai. Mais qu’il donne un coup de sifflet et qu’il lève la main, et vous entendrez les freins grincer. Il n’a pas la puissance, mais il a l’autorité. Il a toute la ville derrière lui.

147      Et, quand un homme ou une femme, peu importe votre état, vous avez l’autorité de Dieu par une promesse, car Celui-ci est riche et qu’Il a promis d’accomplir au-delà de toute mesure… «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez pas dans votre coeur, mais que vous croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous pouvez l’avoir.» Vous n’avez pas de puissance, mais vous avez l’autorité.

148      Vous vous souvenez quand Il m’a parlé, disant: «Tu seras capable de révéler les secrets des coeurs.» Car Il... Vous en souvenez-vous, beaucoup d’entre vous, les gens de Phoenix? Il l’a promis. Ce qu’Il promet, Il l’accomplit.

149      Eh bien, certains d’entre vous, ici, n’ont sans doute pas de carte de prière. Combien sont malades et n’ont pas de carte de prière? Levez la main. Bien sûr. Très bien. Si vous voulez savoir, pas l’autorité... pas la puissance, mais l’autorité de la Parole: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

150      Jésus a promis, dans Luc 17.30, que, juste avant Sa Venue, il en serait comme du temps de Noé, de Moïse... ou plutôt de Noé, où les hommes mangeaient et buvaient, et mariaient les enfants; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche. Il a dit que ce temps-là viendrait. Et puis, Il a aussi dit: «Ce qui arriva aux jours de Lot, q-t-Il dit, arrivera au jour où le Fils de l’homme sera révélé, quand le Fils de l’homme sera révélé dans les derniers jours.»

151      Maintenant, regardez ce qu’Il… comment le Fils de l’homme s’est révélé dans la personne de cet Ange, qui était le Fils de l’homme. Absolument. Abraham L’a appelé «Élohim». Il était le Fils de l’homme, qui s’est révélé juste avant que le monde des nations soit brûlé. Comment l’a-t-Il fait? Pour le croyant. Aux soi-disant croyants, Il leur a envoyé deux prédicateurs là-bas, pour leur prêcher. Mais pour le vrai croyant, Il s’est tenu là, le dos tourné à la tente, et Il a dit: «Abraham…» Il s’appelait Abram le jour… quelques jours auparavant. Mais là, il s’appelle Abraham. «Où est ta femme Sara?»

152      Il a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.»

153      Il a dit: «Je vais tenir Ma promesse envers toi. Je vais te visiter.»

154      Oh! Abraham avait cent ans, et Sara en avait quatre-vingt-dix; mais Dieu, riche en miséricorde, a tenu Sa promesse. Et le bébé est venu, parce que Dieu est miséricordieux, Il est plein de miséricorde. Il est riche en miséricorde. Il tient Sa promesse.

155      Remarquez. Pendant que Lui avait le dos tourné à la tente, Sara a ri, elle a dit: «Comment ces choses peuvent-elles se faire? Je suis vieille. Comment pourrais-je avoir du plaisir avec mon mari, comme une jeune mariée? Voyons, il a cent ans. Nos relations conjugales ont pris fin il y a bien, bien des années. Comment ceci se pourrait-il?» Et elle en a ri.

156      Et l’Ange avec... le Fils de l’homme, avec le dos tourné à la–à la tente, a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri, en disant: ‘Comment ces choses peuvent-elles se faire?’»

157      Qu’était-ce? Jésus a dit, dans Saint Luc 17.30, qu’aux jours qui seraient comme ceux de Lot, la même situation, avant que le monde des nations soit brûlé, Il a dit que le Fils de l’homme se révélerait en ce jour-là. Il a fait la promesse. Malachie 4 nous a promis, cela devrait être dit, qu’il viendrait un Message qui ramènerait les gens au Message originel de la Pentecôte, et avec les mêmes bénédictions qu’ils avaient reçues le jour de... Qu’est-ce? C’est un aigle avec ses deux ailes, le Nouveau et l’Ancien Testaments, qui fait battre à l’unisson les promesses de Dieu, pour accomplir ce que les promesses de la Bible avaient annoncé. Amen.

158      Dieu, riche en miséricorde, ne permettrait pas que Son peuple soit pris dans cet âge de l’Eglise de Laodicée dénominationnelle, riche en biens matériels et en choses du monde, mais Il allait pourvoir d’un moyen d’échapper. Croyez cela, amis. Que Dieu vous bénisse. Amen. Dieu, riche en miséricorde! La miséricorde de Dieu, c’est tout ce que je désire. Non pas Sa justice, non pas Sa loi, mais Sa miséricorde, voilà ce que j’implore. Que Dieu soit miséricordieux envers moi. Nous avons tous ce sentiment-là.

159      J’observais. Il y a une petite femme, assise ici, sur le siège au bout. Avez-vous une carte de prière, madame, là-bas? Vous n’en avez pas. Laissez-moi vous montrer que Dieu est riche en miséricorde. Vous avez beaucoup souffert de nervosité dernièrement, n’est-ce pas? Vraiment beaucoup, et l’état de vos yeux a empiré. Pas vrai? C’est vrai. Maintenant, ils vont changer. Dieu, riche en miséricorde, par cette question qui vous est posée, à savoir si vous allez le croire… Eh bien, vous n’avez pas de carte de prière, vous n’avez rien, mais vous n’en avez pas besoin. Voyez-vous, c’est la grâce qui vous est accordée.

160      Il y a un homme de très petite taille assis là, à l’avant, avec un genre de... assis juste ici. Il souffre d’une grosseur sur le corps. C’est tout récemment qu’elle est apparue, là, récemment. N’est-ce pas, monsieur? C’est vrai. Vous ne savez pas ce que c’est. Ça vous effraye. C’est vrai. C’est dû à une contusion, n’est-ce pas? Avez-vous une carte de prière? Vous n’avez pas de carte de prière. Vous n’en avez pas besoin. Dieu, riche en miséricorde!

161      Oh! frère, soeur, croyez Dieu! Ne doutez pas de Lui. Croyez-Le! C’est exact.

162      Il y a un homme assis ici, en costume gris, portant des lunettes. Regardez ici, monsieur. Croyez-vous? Dieu est riche en miséricorde. Vous êtes assis là, vous avez une hernie. Croyez-vous que Dieu peut guérir cette hernie et vous rétablir? Assis juste ici, sur le siège au bout, en train de me regarder. Si vous croyez que Dieu peut guérir cette hernie, Dieu le fera pour vous, si vous l’acceptez. Le croyez-vous? Allez-vous l’accepter? Très bien. Vous pouvez l’obtenir, si seulement vous le croyez. Obtenez miséricorde. Oui, monsieur.

163      Il y a une dame assise ici, elle souffre d’une mauvaise circulation sanguine dans son corps. Mais si elle croit, Dieu la guérira, si elle le croit. Je crois qu’elle va manquer cela, aussi sûr que deux et deux font quatre. Obtenez miséricorde, c’est ma prière. C’est comme si je vois clairement… de cette femme. Madame Riley, croyez-vous que Dieu peut guérir cette mauvaise circulation sanguine? Si vous le croyez, recevez-le! Amen. Croyez seulement. Dieu est bon, n’est-ce pas, Stella? Oui. C’est exact. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Mais Dieu, dans Sa miséricorde!

164      Il y a une autre femme ici, assise juste là derrière, au fond, le regard fixé sur moi. Elle aussi, elle souffre également d’une mauvaise circulation sanguine. C’est à cela qu’elle était en train de penser tout à l’heure. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Comme cette autre femme avait le même problème, regardez-moi. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu, ou Son serviteur? Vous souffrez aussi du coeur. Si c’est exact, levez la main. Vous n’en souffrez plus maintenant. Dieu, riche en miséricorde, démontre qu’Il est vivant, ici dans la salle ce soir. Dieu, riche en miséricorde! Amen.

165      Est-ce qu’il y aurait… Combien de pécheurs et de rétrogrades voudraient se lever, pour dire: «Ô Dieu, riche en miséricorde, sois miséricordieux envers moi»? Levez-vous. Je vais prier pour vous, si vous croyez qu’Il veut... vous voulez obtenir miséricorde maintenant. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous. Rétrograde, levez-vous. Dieu, riche en miséricorde! Êtes-vous-vous...

166      Sûrement que vous n’êtes pas tombés dans l’engourdissement, dans cet état-là, au point de ne pas voir qu’il s’agit de la promesse même de cette heure. Sûrement que vous n’êtes pas complètement absorbés par une dénomination et ces autres choses, au point de ne pas voir qu’il s’agit de la promesse de l’heure. Dieu, riche en miséricorde.

167      Vous qui vous êtes levés, qui que vous soyez, je vais prier pour vous dans un instant. Je veux que vous alliez à une bonne église du Plein Évangile et–et que vous soyez–et que vous vous fassiez baptiser du baptême chrétien, que Dieu vous donne le Saint-Esprit.

168      Y aurait-il encore une personne qui se lèverait, pour dire: «Moi, je voudrais qu’on pense à moi. Ô Dieu, dans Ta miséricorde, souviens-Toi de moi. Je n’ai pas mené la vie que j’aurais due. Peut-être...» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est ça. «Dieu, riche en miséricorde, sois miséricordieux envers moi.» Que Dieu vous bénisse, soeur. Y a-t-il...

169      Combien y en aurait-il encore ici qui disent: «Je vais me lever. Je veux faire savoir à Dieu que je veux obtenir miséricorde. Je n’ai pas vécu correctement. J’ai mené une vie comme ceci et comme cela. J’ai eu des hauts et des bas, mais je veux obtenir Sa miséricorde…» Que Dieu vous bénisse, frère. Quelqu’un d’autre qui dise: «Ô Dieu, riche en miséricorde!» Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est ça. Dieu, riche en miséricorde! Que Dieu vous bénisse, vous aussi. Que Dieu vous bénisse, vous, au fond. Dieu vous voit. Levez-vous simplement.

170      Vous dites: «Est-ce que ça vaut la peine, Frère Branham?» Certainement. Levez-vous et vous verrez la différence que cela fait.

171      Si vous êtes vraiment sincère dans votre coeur, Dieu est riche en miséricorde. «Il ne veut pas qu’aucun périsse, mais Il veut que tous arrivent à la repentance.» Dieu, riche en miséricorde! Ô Dieu, sois miséricordieux envers nous.

172      Maintenant, combien y en a-t-il ici maintenant, qui ont une carte de prière? C’étaient lesquelles? A et B, n’est-ce pas? A et B. Que tous ceux qui ont une carte de prière A se tiennent de ce côté-ci, et ceux qui ont une carte de prière B se placeront derrière eux.

173      Je me demande s’il y a ici des prédicateurs qui envisageraient m’aider. Si oui, voudriez-vous vous avancer? Je serais heureux d’avoir votre–votre assistance ici, car nous serons heureux de prier, et de prier–prier avec vous.

174      Voici, la Bible dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Oui, oui. «En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues.» L’avons-nous fait? Par la grâce de Dieu; pas nous, mais Dieu, qui est riche en miséricorde, pour tenir Sa Parole. Dieu!

175      Eh bien, les fauteuils roulants, si vous voulez les installer juste ici, à l’avant; nous prierons pour eux ici même, ce ne sera pas nécessaire de les pousser tout le long de cette allée-là. Qu’ils… Très bien, qu’ils s’avancent jusqu’ici. Nous ne manquerons pas de prier pour eux, pour chacun d’eux. Dieu, riche en miséricorde!

176      Voulez-vous vous placer du côté droit maintenant, pour quelques minutes? Frère Brown est-il venu avec vous? [Un frère dit: «Il viendra demain.»–N.D.E.] Il viendra demain. Je–je–j’espérais qu’il serait là. Où–où est frère Outlaw? Où est frère Fuller? Certains de ceux qui étaient ici avec moi la première fois que je suis venu, revenons à cela. Vous souvenez-vous de ces lignes de prière à l’ancienne mode, où nous restions là jusqu’à ce que vous soyez obligés de me tenir, un d’un côté, un de l’autre, tellement j’étais faible?

177      Combien ici avaient assisté à ces réunions-là, là tout au début? Ecoutez donc. Vous vous souvenez, à l’époque, je vous avais raconté ce que le Seigneur Jésus m’avait dit: que, si j’étais sincère, ces choses-ci se produiraient. Pas vrai? À cette époque-là, ce n’était encore jamais arrivé. Mais c’est arrivé, parce que Dieu est riche en miséricorde et fidèle à Sa promesse. Amen! J’essaie de me contenir, mais je ne le peux. Oh! Amen. Gloire à Dieu. Alléluia! «Oh! Je suis si heureux d’être l’un d’entre eux.» Amen. Oh! la la!

            Il y a presque partout des gens

            Dont le coeur est tout enflammé

            Du Feu descendu à la Pentecôte,

            Qui les a nettoyés et purifiés;

            Oh! Il brûle maintenant dans mon coeur,

            Oh! gloire à Son Nom!

            Je suis si heureux de dire:

            Je suis l’un d’entre eux.

178      Oh! moi, malheureux, misérable, pauvre, aveugle, misérable que j’étais; et maintenant, par Sa miséricorde, par Sa riche miséricorde, je peux voir le Royaume de Dieu. Amen! Qu’ils sont beaux, Ses commandements!

179      Tenez-vous juste-là, mon frère, avec votre béquille. Si vous ne pouvez pas vous lever, très bien, restez juste là, nous descendrons prier pour vous.

180      Et maintenant, que les séries A et B, ceux qui ont ces cartes de prière là, qu’ils se mettent en ligne de l’autre côté, là, et nous allons prier pour eux.

181      Mes frères dans le ministère, certainement que vous, si vous croyez à l’imposition des mains aux malades, venez vous tenir juste ici avec moi, sur l’estrade. Nous allons prier pour les malades.

182      Maintenant, quant à vous, qui êtes dans la ligne, si vous pouvez croire que la Présence de Dieu est ici, que le Saint-Esprit est parmi nous maintenant, faisant exactement ce qu’Il avait dit qu’Il ferait… Si j’avais la puissance de vous guérir, certainement que je le ferais. Si j’avais le moindre moyen de vous guérir, certainement que je le ferais. Je ne l’ai pas. Je... Dieu a donné un petit don.

183      Je ne suis pas un prédicateur fameux. Je n’ai pas assez d’instruction requise pour être un prédicateur, dans ce jour-ci où l’expérience doit être une expérience théologique et où il faut avoir un certain diplôme de doctorat, et tout. Je ne peux pas remplir ces conditions-là. Mais Dieu, qui voit mon coeur, sait que je veux faire quelque chose pour Lui, je veux exprimer mon appréciation.

184      L’autre jour, un homme m’a parlé, disant: «Je trouve que vous êtes vraiment un brave homme, Monsieur Branham, mais je crois que vous êtes sincèrement dans l’erreur. Vous êtes complètement en dehors de la Volonté. Savez-vous que vous serez condamné à la fin?»

185      J’ai dit: «Ecoutez, je voudrais vous dire quelque chose. Je vais vous dire que vous–que vous auriez raison, disons, pour raison de discussion. Si je suis dans l’erreur, ce que je–je ne crois pas, mais si j’étais dans l’erreur et que je sache en ce moment même que j’allais vivre jusqu’à l’âge de cent ans, et qu’Il allait me condamner au bout du chemin, me dire: ‘Tu ne mérites pas d’entrer dans Mon Ciel, William Branham. Va-t’en dans les ténèbres du dehors’, savez-vous quoi? Je Le servirais quand même tous les jours de ma vie, jusqu’à ce que je m’en aille. En effet, j’ai reçu de Lui tellement de bénédictions imméritées qu’Il est plus que la vie pour moi. Il est tout ce que je...»

186      Tout ce que je suis, tout ce que je pourrais jamais espérer être, je le dois à Sa grâce et à Sa miséricorde. J’étais malheureux, misérable, pauvre, aveugle, mais c’est par grâce qu’Il m’a guéri, et je suis fort et en bonne santé, par la grâce de Dieu. J’ai une bonne vue. J’ai à manger, à boire, j’ai tout ce dont j’ai besoin. Il n’a jamais promis de pourvoir à mes désirs, mais à mes besoins.

187      Et si je suis rejeté ce jour-là et que je sache... Je ne vois pas où je serais. Mais si je savais que j’étais dans l’erreur, et que c’est ce que Dieu a choisi pour moi, que je sois dans l’erreur, je voudrais rester dans l’erreur, et cela, parce que je veux faire Sa volonté. C’est… je L’aime tellement que je veux que Sa volonté soit faite. Eh bien, c’est une forte déclaration ça, mais j’espère que vous comprenez de la manière que je l’ai dit, et l’esprit dans lequel je l’ai dit. Vous voyez, je veux faire Sa volonté. A un moment donné, je Lui demande quelque chose, Il secoue la tête: «Non», je m’en réjouis tout autant que je le pourrais s’Il disait «oui». En effet, nous devrions toujours demander: «Que Ta volonté soit faite.» Ses non sont tout aussi... si c’est ça Sa volonté, c’est juste... C’est bien mieux que Ses oui, si c’est Sa volonté d’agir ainsi. C’est là qu’on L’aime vraiment. Amen.

188      Quand je me mets à parler de Lui, je ne peux alors plus m’arrêter. Oh! Il est tellement réel, tellement réel pour moi! Mes amis, Il est–Il est tout ce que je suis, tout ce que je pourrais jamais être, tout ce à quoi je m’attends jamais est fondé sur Jésus-Christ, Sa Parole.

189      Je suis reconnaissant ce soir du témoignage du Saint-Esprit, du Message. Je sais qu’il se pourrait que certains soient en désaccord avec Cela, mais comme je vous l’ai dit, je suis lié par le devoir envers un Message. Un signe est apparu, et Dieu n’envoie pas un signe simplement pour montrer qu’Il est Dieu. Il y a toujours un Message, une Voix qui suit le signe. Tout le monde le sait.

190      Jésus est venu, avec des signes et des prodiges. Il était un Grand Homme quand Il opérait des signes et des prodiges, mais quand Il a commencé à dire les choses tout haut, à apporter le Message: «Moi et le Père, nous sommes Un», oh! la la! pour eux, c’était faux, ça. Voyez? Mais la Voix devait suivre le signe.

191      Moïse a reçu deux signes, et chacun de ces signes avait une Voix. C’est exact. J’ai prêché là-dessus il y a quelque temps, quelque part, sur La Voix du signe. Il doit y avoir une–une Voix du signe. C’est un changement. Ça a toujours été ainsi. Sinon, ce n’est donc pas venu de Dieu.

192      Si un homme se présente avec un ministère étrange, inhabituel, que ce ministère corresponde à la Vérité de la Bible, mais que cet homme continue à s’en tenir à la même vieille doctrine dénominationnelle, oubliez cela. Ça ne vaut rien! Dieu ne fait rien de pareil. Cette affaire-là, c’est de la manne pourrie d’il y a quarante ou cinquante ans, c’est plein de termites, ou de vermisseaux, peu importe comment vous appelez cela, et ils essaient encore de manger de cette vieille manne qui est tombée il y a bien des années. Les enfants d’Israël, au cours de leur voyage, la manne fraîche tombait tous les soirs. C’est exact, on ne pouvait pas la conserver jusqu’au lendemain.

193      Nous ne vivons pas d’un autre âge qui est du passé. Nous mangeons de la Manne neuve, de la Manne fraîche qui descend du Ciel, alors que nous poursuivons notre voyage. Maintenant, inclinons la tête.

194      Seigneur Dieu, Tu es tellement réel, Ta Présence. Je pense à la grâce, Seigneur. Nous–nous T’avons vu faire tant de choses! Nous T’avons entendu parler en langues, nous Te voyons en donner l’interprétation, par Ton peuple. Ô Dieu, de Te voir guérir les malades, ouvrir les yeux des aveugles, faire marcher les boiteux, faire entendre les sourds, faire parler les muets, quel Dieu grand et puissant Tu es!

195      Et de voir donc que Tu as promis ces choses pour ces derniers jours! Bien que nous trouvions beaucoup d’imitations charnelles, cela ne fait qu’attester cependant qu’il y a un vrai Dieu quelque part, qui est réellement vrai. Aussi je prie, Père céleste, ce soir, que nous devenions tellement conscients de Dieu que nous verrons que Tu es ici.

196      Et ces gens qui sont dans la ligne, quand ils y passeront, Seigneur... En effet, nous faisons ceci parce que nous leur avons fait une promesse. Et Tu as dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»

197      Il y a des frères dans le ministère debout ici, des hommes que Tu as choisis avant la fondation du monde pour qu’ils soient ce qu’ils sont ce soir. Tu savais, avant qu’il y ait un monde, que nous serions debout ici ce soir, car Tu es infini.

198      Alors, nous prions ce soir, Père céleste, que ces gens qui sont malades, infirmes, aveugles, boiteux, accablés par le cancer, ou quoi que ce soit, quand ils passeront dans cette ligne, qu’ils prennent conscience du fait que le Dieu même qui connaît le secret du coeur les guérira, s’ils veulent seulement l’accepter, seulement regarder et comprendre.

199      L’homme qui regardait le serpent d’airain en le considérant simplement comme un morceau d’airain du sacrificateur, n’était jamais guéri, parce qu’il ne comprenait pas ce que c’était.

200      Et aujourd’hui, Seigneur, c’est pareil. Si les gens regardent un don en considérant qu’il pourrait peut-être les aider, ce qu’ils ne comprennent pas. C’est seulement une confirmation de la Présence de Dieu, qui est ici pour guérir. Accorde-le, Père. Que ce soit fait, au Nom de Jésus. Amen.

201      Je voudrais que la petite pianiste, si elle le veut bien, homme ou femme, qui que ce soit, aille là jouer ce chant Le Grand Médecin est ici maintenant, le Compatissant Jésus, si elle le veut bien, où que la pianiste soit. Maintenant, c’est...

202      Je me rappelle l’un de mes premiers services de guérison, à Fort Wayne, dans l’Indiana. Une jeune fille amish était assise au piano, jouant Le Grand Médecin est ici maintenant, le Compatissant Jésus. On m’a amené un petit enfant sur l’estrade, il était infirme. Et pendant que je priais pour cet enfant, d’un bond il s’est dégagé de mes bras et il a couru sur l’estrade. La mère s’est évanouie. La grand-mère a jeté son mouchoir en l’air, et elle s’est mise à pleurer.

203      Et cette jeune fille amish là ne connaissait absolument rien des pentecôtistes; en effet, elle était membre de l’église amish, mais elle était en train de jouer. Sa longue chevelure était tombée dans le dos; elle s’est levée en Esprit et elle s’est mise à chanter en langues inconnues, et les... et en harmonie avec ce chant. Et les touches du piano descendaient et remontaient, en jouant Le Grand Médecin est ici maintenant, le Compatissant Jésus. Amen! Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

204      Maintenant, prions donc, alors que... Maintenant, que tous ceux qui sont là prient. Vous qui allez passer dans la ligne, quand nous vous imposerons les mains, souvenez-vous, Jésus a dit que si vous le croyez, vous serez guéris. Le croyez-vous? Maintenant, chantons tous, maintenant.

                 Le Grand Médecin est ici maintenant,

                 Le Compatissant Jésus,

                 Il réconforte... (Fermons donc les yeux maintenant, pendant que nous le chantons.)... les coeurs,

                 Oh! écoute la voix de Jésus.

                 La plus douce note du chant de séraphin,

                 Le–le plus doux Nom dans la bouche d’un mortel,

                 Le plus doux... (Ô Dieu notre Père, touche les gens maintenant.)... chanté,

                 Ô Jésus, Jésus béni.

205      «Le Grand...» Maintenant, pendant que vous passez, Il est ici. Croyez-moi sur parole, ou bien croyez-le vous-mêmes, Il est ici. Que tous ceux qui sont là soient en prière maintenant, pour ces gens.

206      [Frère Branham et les prédicateurs prient pour les malades, pendant que frère Borders conduit l’assemblée dans les chants.–N.D.E.]

                 Ô Seigneur, je crois; ô Seigneur, je crois;

                 Tout est possible, ô Seigneur, je crois.

207      Que tous ceux qui croient lèvent la main, comme ceci. Dites: «Je crois.» [L’assemblée dit: «Je crois.»–N.D.E.]

208      Il y a un homme assis ici. La raison pour laquelle j’ai longuement parlé, il se meurt du cancer. Il s’appuie sur cette béquille. Il n’y a absolument aucun autre moyen pour cet homme de vivre, en dehors de Dieu. Le cancer s’est propagé partout dans ses intestins et, eh bien, sans la miséricorde de Dieu, il mourra. Je souhaiterais pouvoir... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... parole d’encouragement à cet homme.

209      Vous–vous savez que les médecins ne peuvent plus rien pour vous maintenant. Vous avez dépassé cela, voyez-vous? Et vous êtes... Vous n’avez qu’une seule possibilité, et c’est en Christ, voyez-vous. Et, frère, vous... Moi aussi, un jour, je mourrai. Vous devrez partir, si Jésus tarde. Je devrai vous rencontrer là-bas, me tenir là, à la barre du Jugement. Et ce soir...

210      Vous savez, c’est comme la télévision; la télévision capte tout, même le mouvement de notre doigt, tout, c’est enregistré. Chaque parole que nous prononçons est enregistrée. Maintenant, voyez-vous, la télévision a démontré cela. Or, la télévision ne fabrique pas l’image, elle ne fait qu’orienter cette onde pour la transmettre dans le téléviseur. Voyez-vous, elle ne la produit pas. La télévision existait quand Adam a marché sur terre, la télévision existait quand–quand Moïse a traversé la mer Rouge, la télévision existait quand Elie était sur le mont Carmel, voyez-vous, mais on vient simplement d’en faire la découverte maintenant. Voyez? Et maintenant, chaque parole que je...

211      Chaque mouvement que nous faisons, et chaque son, c’est enregistré sur un disque, et nous y serons confrontés au Jugement. Chaque mouvement que nous faisons, nous devrons y être confrontés là-bas. Moi, je dois répondre des paroles que je vous dis en tant que prédicateur. Je devrai le faire, parce que Dieu m’en rendra responsable.

212      Maintenant, si je le pouvais, je vous guérirais; en effet, il ne vous reste qu’un peu de temps, si Dieu n’intervient pas. Bon, je suis descendu et j’ai prié pour vous, du mieux que j’ai pu. Frère, tout ce qui est humainement possible de faire pour un homme qui se trouve dans cet état-là, je le ferais.

213      Permettez-moi de vous demander quelque chose, voyez-vous. Vous–vous–vous êtes déjà guéri, parce que Jésus l’a dit. Voyez-vous: «C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Maintenant, si vous pouvez, du fond de votre coeur, accepter cela, vous ne mourrez pas maintenant, mais vous vivrez.

214      Eh bien, voyez-vous, maintenant, nous savons que les ondes de la télévision traversent cette salle en ce moment. Nous le savons. Nous ne les voyons pas. Nous ne pouvons pas les voir, nos yeux ne sont pas faits… nos sens ne peuvent pas les capter. Il faut un tube manufacturé, ou quelque chose, quoi que ce soit, la galène, pour capter cela.

215      Dieu aussi, Il est présent. Nous ne Le voyons pas, mais nous savons qu’Il est ici. Jésus-Christ est le même. Regardez, Il vient de déclarer Lui-même comment Il se manifeste. Or, pour ce qui est de la guérison, s’Il se tenait ici même maintenant, Il ne pourrait rien faire de plus pour vous, voyez-vous, rien de plus. Si le Fils de Dieu était ici même, et Il L’est, Il est ici, mais Il ne pourrait rien faire de plus pour vous, parce qu’Il s’est déjà identifié, comme quoi Il est ici. Voyez? Et Il est ici, en ce moment même, juste le même, pour vous guérir et vous rétablir.

216      Cette petite dame qui est là, m’a parlé, disant: «Vous avez demandé la bénédiction, prophétisé, ou quelque chose de ce genre, sur elle, disant qu’elle aurait un bébé», elle est assise dans ce fauteuil roulant, et elle l’a eu, elle a eu son bébé.

217      Et maintenant, cette petite dame assise ici, eh bien, elle a subi une opération du goitre, là, et cela l’a paralysée. Eh bien, nous avons vu beaucoup de ces choses arriver. Maintenant, petite soeur, je sais que vous êtes une véritable chrétienne. Pourquoi Dieu vous garde clouée là, je ne sais pas. Je crois que c’est peut-être parce que vous avez... La foi, vous–vous cherchez à avoir la foi pour sortir de là, vous voyez. Mais maintenant, regardez, ne nous contentons pas d’essayer de l’avoir, ayons-la maintenant, voyez, ça sera–ça sera simplement là, c’est tout. C’est aussi simple que ça, à partir de maintenant, c’est parti, vous serez bien portante. Et vous qui êtes là dans ces fauteuils, quoi... ou–ou qui que vous soyez, souvenez-vous seulement que Christ est ici.

218      Maintenant, vous dites: « Y a-t-il quelqu’un? Voyez-vous mon image en train de passer?» Oh! oui.

219      Les Paroles mêmes de Jésus-Christ, qu’Il a prononcées quand Il était ici sur terre, passent juste dans cette salle en ce moment. Elles ne meurent jamais. Combien savent que ça, c’est une vérité scientifique? [L’assemblée dit: « Amen.»–N.D.E.] Eh bien, qu’est-ce? Ensuite, l’Esprit saisit cette Parole qui a été écrite, et Il La manifeste. Oh! gloire!

220      Il est ici. Il est ici maintenant même, le Seigneur. Nous, simplement... Nous avons vu tant de choses, Il a accompli tant de choses, que c’est comme si on, vous savez, comme si on trébuche là-dessus. Si nous prenions conscience, ce n’est pas quelque chose de mythique, pas un certain terme théologique, mais c’est la preuve qu’Il a promis qu’Il se manifesterait en ce jour, et Le voici qui le confirme ici même devant nous maintenant même. Comme c’est merveilleux! N’est-ce pas merveilleux? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

221      Maintenant croyez. Voulez-vous le croire? Croyez que vous n’allez pas mourir. Vous allez vivre, et vous allez honorer Dieu. Vous allez honorer Dieu. Avez-vous déjà été baptisé? Vous êtes un chrétien, n’est-ce pas? Vous êtes chrétien. Eh bien, vous voulez vivre pour l’honneur de Dieu; alors, allez, vivez, mon frère. Au Nom de Jésus-Christ, vivez!

222      Et, soeur, vous voulez marcher pour la gloire de Dieu, et prendre soin de votre bébé; alors, marchez, soeur, au Nom de Jésus-Christ!

223      Vous, chacun de vous, faites de même, au Nom de Jésus-Christ! N’oubliez pas ce Wester Home Hotel ici, ce soir; la Présence de Dieu est identifiée ici. Il ne fait acception de personne. Tout ce qu’Il veut, c’est que vous croyiez. Le croyez-vous maintenant? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Amen. Que Dieu vous bénisse.

224      Maintenant inclinons la tête. Je ne sais pas qui on a choisi pour–pour congédier les gens. Frère Mushegian, ici, venez ici, frère. Il va congédier les gens par la prière. Que Dieu vous bénisse.

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