La Profondeur Appelle La Profondeur

Date: 52-0809 | La durée est de: 29 minutes | La traduction: Shp
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1          ... un merveilleux personnage, qui attendait la consolation d’Israël. J’aimerais un peu parler de Siméon pendant un moment. Considérons-le comme un vieux sage, un merveilleux personnage. Certains théologiens de l’Orient nous disent... Les historiens nous disent qu’il était un octogénaire, à la barbe blanche, aux cheveux blancs. Et alors qu’il...?... il allait là, il servait là dans le temple... Mais il donnait un témoignage selon lequel–selon lequel il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Et voici ce qu’il avait comme fondement pour le déclarer : «Le Saint-Esprit, disait-il, me l’a révélé.» Eh bien, croyez-vous aux oeuvres du Saint-Esprit? Or, il n’existe pas deux Saint-Esprit, n’est-ce pas? Il n’existe qu’un seul Saint-Esprit, c’est l’Esprit de Dieu...?...

            Et c’était donc le Saint-Esprit qui lui avait montré cela par une révélation, pas par une vision; il lui fut révélé qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Quelle déclaration pour un homme de son calibre, un sacrificateur au temple, un homme qui jouissait d’une grande estime parmi le peuple, et qui cependant fit une telle déclaration, qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ!

2          Et depuis quatre mille ans, ils attendaient le Christ. Le roi David L’avait attendu; Job L’avait attendu. Les patriarches L’avaient attendu; Abraham L’avait attendu. Et tout au long des âges, même Adam L’avait attendu : la Semence de la femme qui écraserait la tête du serpent. Et tout au long des âges, depuis quatre mille ans, ils L’avaient attendu. Et des fois, il semblait que la chose allait se produire juste à ce moment-là, mais elle ne s’accomplissait pas dans cet–cet âge-là. Elle ne s’accomplissait pas. Puis un autre âge venait, elle ne s’accomplissait pas. Mais ce...?... clairement, guettant la Venue du Messie. Et bien que c’était un homme très âgé, il semble que tout ce qu’il avait, c’était juste sa foi. Mais le Saint-Esprit lui avait dit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Et il croyait ce que le Saint-Esprit avait révélé. Eh bien, c’est ce qui...

3          Eh bien, Il pourrait vous révéler quelque chose, et si vous n’y croyez pas, cela ne se produira jamais dans votre vie. Vous devez y croire. Vous devez prendre Dieu au mot, tout comme Marie lorsqu’elle... l’Ange est venu à sa rencontre et a dit : «Tu auras un enfant, sans connaître un homme.» Eh bien, au lieu de–de–de faire des histoires à ce propos comme Siméon, ou plutôt pas comme Siméon, mais comme Zacharie, elle a dit : «Comment cela pourrait-il se faire?» Alors qu’Abraham, Sara, et–et Anne au temple, et beaucoup d’autres avaient eu des enfants après qu’ils n’étaient plus en âge d’avoir des enfants, mais ce sacrificateur-là, ce prédicateur-là, a simplement dit : «Eh bien, un instant. Je ne comprends pas comment cela pourrait se faire.» Et l’Ange a dû le rendre muet jusqu’au jour où l’enfant naquit. Mais pas Marie, elle, elle était une petite enfant innocente, d’environ dix-huit ans, fiancée à ce Joseph. Et elle, Il a dit qu’elle allait avoir un Enfant, sans connaître un homme, chose qui n’était jamais arrivée auparavant.

            Eh bien, elle n’a pas attendu jusqu’à ce qu’elle soit certaine. Elle n’a pas attendu jusqu’à ce qu’elle en ait vu des signes; elle n’a pas attendu jusqu’à ce qu’elle sente la vie ou quelque chose du genre. Non, non. Dès que l’Ange a dit cela, elle s’en est allée en se réjouissant, étant heureuse, disant à tout le monde : «Je vais avoir un Bébé, sans connaître un homme du tout.» Voyez-vous? Pourquoi? Elle n’a pas attendu de voir une quelconque évidence. Elle n’a pas attendu jusqu’à ce qu’elle soit sûre, comme nous, nous le faisons.

            «Eh bien, si je me rétablis, alors peut-être je verrai. Si je ne me sens pas mieux, je n’y croirai pas.» «Lorsque ma main va se redresser un peu plus, eh bien, je vais peut-être croire que je vais me rétablir.» Non, pas elle. Elle a pris Dieu très exactement au mot.

            Elle a dit : «Je suis la servante du Seigneur.» Et ensuite, elle s’est mise aussitôt à parcourir le pays en se réjouissant, racontant qu’elle allait avoir un Bébé, avant qu’un quelconque signe de la vie se soit manifesté d’une quelconque manière. Elle a pris Dieu au mot.

4          Si jamais il y a eu un temps où l’Eglise de Dieu a besoin d’autres Maries, c’est bien aujourd’hui : prendre Dieu au mot. Lorsque Dieu dit une chose, Il veut dire très exactement ce qu’Il a dit. Abraham Le regardait; il a dit : «Je sais qu’Il est capable de–de faire ce qu’Il a promis de faire. Je suis un vieillard de cent ans, mais tout va bien. Sara a quatre-vingt-dix ans, mais Dieu est capable de le faire. Il l’a promis; Il l’a dit; il en est donc ainsi.» Croyez-vous cela de cette manière? Eh bien, vous devez le faire. Ne considérez pas le temps que cela prend. Ecoutez, cela a duré vingt-cinq ans après... avant que ce bébé ne naisse. Mais Abraham avait déjà tout apprêté. Absolument. Il se préparait.

            Je l’entends qui disait chaque jour : «Sara, comment te sens-tu?»

            «Aucun changement.»

            «Gloire à Dieu! Il va naître de toute façon.» C’est juste. Dix années passèrent : «Comment te sens-tu, Sara?»

            «Aucun changement.»

            «Gloire à Dieu! Nous allons l’avoir de toute façon. Dieu l’a dit.» Au lieu de s’affaiblir, il se fortifiait dans la foi, parce que cela devenait un miracle toujours plus grand, qui allait grandissant.

            Puis, finalement, un jour le sein de Sara commença à prendre du volume, et le petit bébé naquit. Parce qu’Abraham croyait que Celui qui avait fait la promesse était fidèle.

5          Et c’est ce que nous devons faire. Et c’est ce qu’a fait Siméon. Lorsque le Saint-Esprit a dit : «Maintenant, Siméon...» (J’aimerais que vous saisissiez ceci maintenant pendant les quelques minutes qui vont suivre.) Il a dit : «Siméon, va chercher ton...?... Eh bien, tu ne mourras pas avant d’avoir vu le Christ.»

            Siméon allait partout, disant : «Eh bien, je ne mourrai pas.»

            Je peux imaginer certains médecins de ce temps-là dire : «...?...» Certains docteurs de la loi, les prédicateurs et autres disaient : «Ce vieillard a un petit peu perdu la tête. Vous savez quoi? Il–il devient un peu déficient là dans sa tête. Vous savez quoi? Il se fait vieux. Bien sûr, sa cervelle est polluée et pourrie.»

            Mais lui savait de quoi il parlait. Il savait de quoi il parlait. Il a dit : «Non, je ne mourrai pas. Je n’ai pas perdu la tête. Je verrai le Christ.»

6          Or, vous savez, quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour y répondre. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Voyez-vous? David a dit : «Quand la profondeur appelle la profondeur...» En d’autres termes, on dirait ceci : «Avant qu’il y ait quelque chose ici qui appelle une certaine chose, il doit y avoir quelque chose là-bas pour que ce qui est ici puisse appeler. Est-ce suffisamment clair...?... Voyez-vous?

            Bon. Tenez. En d’autres termes, j’ai fait une déclaration comme ceci : «Avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait d’abord y avoir de l’eau dans laquelle le poisson nagerait, sinon il n’aurait pas cette nageoire.» Il n’aurait pas une nageoire s’il n’y avait point d’eau. Avant qu’il y ait un arbre qui puisse pousser sur la terre, il a fallu d’abord qu’il y ait une terre, sinon il n’y aurait pas d’arbre pour pousser dessus. Est-ce vrai?

7          Il y a quelque temps, j’ai lu dans un journal qu’un petit enfant avait mangé les pédales d’une bicyclette, qu’il mangeait les gommes des crayons. On l’a pris et on l’a examiné. La mère a dit : «Je ne comprends pas.» Et on a examiné son petit corps, et le méde-... le médecin a dit : «Eh bien, son petit corps a besoin de soufre.» Et le caoutchouc contient du soufre, voilà la raison pour laquelle il mangeait ce caoutchouc, son petit corps avait besoin de soufre. Maintenant, notez bien ce point. Si son corps avait besoin de soufre, il devait y avoir du soufre quelque part pour répondre à ce besoin. Pas vrai?

            Maintenant, suivez attentivement. Combien parmi vous croient qu’il existe un Dieu qui guérit? Très bien. Ça, c’est la preuve qu’il y a une Fontaine ouverte quelque part. Avant qu’il puisse y avoir une création ici, il devait y avoir un Créateur pour créer cette création-là. Pas vrai? Eh bien, si vous... Combien voudraient avoir davantage de Dieu en eux? Faites voir la main. Eh bien, il y a davantage de Dieu que vous pouvez recevoir.

8          Là autrefois, il y a quelque temps, quand les–quand les luthériens avaient leur réveil, il y a eu un groupe de gens appelés les méthodistes, qui réclamaient Dieu; la profondeur appelle la profondeur. Dieu suscita un petit gars, là en Angleterre, du nom de John Wesley, et–et Whitefield et les autres; et ils sont partis avec le message de la sanctification. Ils trouvèrent davantage de Dieu. Ne le croyez-vous pas? Ils réclamaient davantage. Eh bien, cela a continué pendant un certain temps, et au bout d’un certain temps, les méthodistes ont commencé à s’organiser, et ils sont devenus froids et formalistes, et le... Alors les gens ont commencé à réclamer davantage de Dieu. Puis vint la Pentecôte. Pas vrai? La profondeur a appelé la profondeur. A présent, ces pentecôtistes commencent à devenir tout autant formalistes et ritualistes que les autres. Et alors, peu après, la profondeur appelle la profondeur. Et voici le retour des dons, qui sont restaurés, en plein dans l’Eglise : Dieu avance. Voyez-vous cela? La profondeur appelle la profondeur.

            Or, la raison pour laquelle vous êtes venus ici ce soir, vous les malades, de toutes façons... Je ne crois pas que vous soyez venus pour...?... curiosité. Je crois que vous êtes venus parce que vous êtes sincères. Eh bien, le Saint-Esprit vous a conduits ici; en effet, vous lisez la Bible et vous savez que c’est Dieu qui guérit. Et aussi certain que vous avez besoin que Dieu vous guérisse, il doit y avoir une Fontaine de Dieu quelque part pour votre guérison.

9          Maintenant, observez Siméon. Il voulait voir le Christ. Le Saint-Esprit l’a conduit là. Et je peux voir... Disons que c’était un lundi matin, ou plutôt le premier jour de la semaine. Je peux m’imaginer tous ces enfants, peut-être environ cent ou deux cents enfants qui naissaient chaque nuit en–en Palestine. Deux millions de Juifs, ou plus, vivaient en Palestine en ce temps-là. Tous les huit jours, des bébés devaient être circoncis. Et cela faisait qu’il y avait chaque jour une longue file de bébés à circoncire au temple, et pour l’offrande de purification offerte par les mères, pour accomplir ce qu’ordonnait la loi.

            Disons que c’est un lundi matin, et à ce moment-là le temple grouille de monde, et des milliers de gens se tiennent tout autour. Et voici une–une file d’environ cent cinquante, deux cents mères qui se tiennent là, les bébés dans les bras. Et elles attendent toutes. Certaines d’entre elles sont très riches, vous savez, et elles se tiennent là, tenant leur petit agneau en main. Et ça–ça, c’était l’offrande du riche. Et puis, celles qui étaient pauvres avaient une tourterelle (Vous savez?) comme offrande pour leur purification.

10        Jetons un coup d’oeil dans cette file ce matin. Cette petite mère se tient là et celle-là ici. Là au loin je vois un espace au milieu d’elles. Qu’est-ce? Elles se tiennent toutes à l’écart de quelqu’un par là. Qui est-ce? Il s’agit d’une jeune fille d’environ dix-huit ans, qui vient de se marier à un homme qui s’appelle Joseph. Et elle traîne une très mauvaise réputation. Elle a eu ce Bébé avant qu’ils ne soient mariés. Et la voici qui vient au temple pour offrir un sacrifice. Voyez de quoi Il est emmailloté; pas de vêtements en dentelles ni de petits bonnets et tout, comme les autres mères en avaient revêtu leurs enfants, mais Il était emmailloté de langes.

            Si je comprends bien, c’est ce que l’on met à l’arrière du joug d’un boeuf lorsqu’il tire la charrue; cela était suspendu dans l’étable. On L’avait emmailloté de cela. Il était le Roi de gloire. Tous les cieux Lui appartenaient. Il est descendu en passant par une étable. Il a quitté le monde par la peine capitale, là-bas au Calvaire. Le voilà; tout le bétail Lui appartenait, toutes les richesses, tout ce qui existait dans le monde, et pourtant Il était emmailloté de langes.

            Et voici cette petite mère, elle...?... à ce que les gens disaient. Elle savait ce qu’était son coeur devant Dieu. Elle regardait le petit Enfant, tenant la petite tourterelle pour l’offrande de sa purification et de la circoncision du Bébé.

            Eh bien, j’entends quelqu’un dire : «Ne vous tenez pas près d’elle; c’est–c’est l’une de ces saints exaltés. Voyez-vous, voyez-vous? Reculez. C’est l’une des... Vous savez?» Ce nom déshonorant suit encore l’Eglise. Voyez-vous? Alors de toute façon, toutes elles prenaient des distances vis-à-vis d’elle.

11        Tout au fond, de l’autre côté, dans une salle de prière, l’autre salle du temple, à une distance d’environ deux pâtées de maisons, un vieux sage était assis là ce matin-là, tenant un rouleau dans sa main, il lisait : «Nous étions tous errants comme des brebis; l’Eternel a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous.»

            Aussitôt, le Saint-Esprit a dit : «Siméon, tiens-toi debout.» Croyez-vous au fait d’être conduit par l’Esprit? Absolument. Suivez. Le Saint-Esprit est obligé de faire cela, car le Saint-Esprit vous a fait la promesse. Voici la promesse en question. Lui ne le savait pas, mais le Saint-Esprit lui a dit : «Lève-toi, Siméon!» Et je peux voir ce vieillard sortir de–de la salle de prière, de la petite pièce qui se trouvait là, quelque part, du bureau des diacres, ou peu importe comment vous voudrez appeler cela, et traverser le temple parmi tous ces Juifs, et aller là où se trouvait cette file de femmes. Je le vois longer directement cette file de femmes, les passer toutes (Vous savez?); chacune d’elles s’inclinait et tout à son passage. Il a continué jusqu’à ce que peut-être il s’est arrêté en face du Bébé, il L’a tapoté ou L’a embrassé, ou Lui a fait ce qu’on faisait aux bébés. Il est allé droit vers ce petit Enfant méprisé, qui se trouvait là, qui avait été emmailloté. Je peux voir les larmes couler sur sa barbe blanche. Il prend le petit Bébé des bras de la maman, il lève ses yeux et dit : «Ô Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix conformément à Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut!»

12        Et presque à ce moment-là, il y avait une vieille prophétesse là dans le temple. Il nous est rapporté qu’elle était aveugle. Elle s’appelait Anne. Elle était assise là. Elle était aveugle; elle ne pouvait plus lire, mais elle méditait. Elle ne quittait pas le temple; elle servait Dieu nuit et jour dans le jeûne et la prière. Et comme elle attendait la consolation d’Israël, elle avait aussi le droit de savoir lorsque la promesse était là. Et le Saint-Esprit lui a parlé, et a dit : «Lève-toi, Anne!» Voici venir cette femme aveugle, se frayant un chemin à travers cette foule, s’avançant au travers de la foule, une aveugle. Elle parcourt cette file et s’arrête devant ce petit Bébé, elle lève les mains, bénit Dieu et prophétise sur ce qui va se produire : c’est le Saint-Esprit qui la conduisait.

            La promesse était là. Le Saint-Esprit conduisait ceux qui croyaient par la promesse. Est-ce vrai? «Il arrivera que dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai Mon Esprit sur toute chair. Vos fils et vos filles prophétiseront. Je répandrai Mon Esprit sur Mes serviteurs et Mes servantes. Vos vieillards auront des songes, vos jeunes gens des visions.» Est-ce vrai? «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; s’ils saisissent des serpents, ou boivent un breuvage mortel, ils ne leur feront point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

13        Je vois notre Maître qui se tient là. Les gens parlent du fait qu’Il connaissait le secret du coeur de cette femme-là : Il savait qu’elle avait péché et qu’elle avait eu cinq maris. Elle savait... Il savait que cet homme qui était venu là était sous un arbre, en train de prier. Il savait où se trouvait le poisson qui avait une pièce de monnaie dans sa bouche. Les Ecritures disent que dans sa... dans Hébreux 13.8 : «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Je L’entends dire dans Jean 14.12 : «Les choses que Je fais... les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi; et vous en ferez de plus grandes, car Je M’en vais au Père.» Ecoutez encore ceci : «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Est-ce juste? Puis Le voici ici ce soir, en train de se manifester, confirmant Sa grande puissance, agissant : les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies en ce temps-là; Il agit au travers des canaux humains, ici dans ces basses régions où habitent les démons et tout par ici. Mais cependant...?... sur ce terrain d’épreuves, il y a des chrétiens, des saints de Dieu, des croyants nés de nouveau. Et ce soir, dans cette grande ville où il y a tant de violence et de méchanceté, ainsi que dans toutes les villes... lorsque les gens commencent à se multiplier sur la face de la terre, alors la violence et la méchanceté s’installent, c’est pire aujourd’hui qu’en aucun autre endroit partout dans le monde.

14        Nous avons eu la plus grande nation, nous avons la plus grande nation au monde. Je vous dis ceci depuis cette estrade ce soir; nous vivons sur notre vieille réputation. Les termites du communisme et tout ont rongé le coeur de notre pays. C’est vrai. Je déclare qu’il n’y a aucun autre fondement sur lequel nous pouvons même placer notre espoir ce soir : il n’y a que Jésus-Christ. Est-ce exact? Il viendra.

            Les démocrates ont élu leur homme ici à Chicago, il y a quelques semaines. Les républicains ont élu le leur. Elisons le nôtre : Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Il est venu juste ici derrière, dans la réunion, pour confirmer qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Etre conduit par l’Esprit, naître de nouveau...

            Des délégations; toutes ces ténèbres de la corruption de la politique et du monde, et des hommes et des femmes qui se mélangent, et–oh! Oh! la la!... Ils mangent, boivent, se marient, ils donnent en mariage; les ténèbres sur la terre, et tout est prêt pour le jugement. Ils doivent en arriver là. Ne priez pas qu’il en soit autrement. Il ne peut en être autrement; Dieu ne peut pas être juste et déverser Sa colère sur un peuple juste. Cela doit arriver.

            Mais un de ces jours, Dieu va retirer ce petit reste de ce monde, aussi sûr que deux et deux font quatre. Il les a rassemblés maintenant, ceux qui ont faim et soif; et...?... autres, accomplissant des signes et des miracles : «C’est Moi. Je rends témoignage à Ma Parole.» Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. «Vous ferez aussi les choses que Je fais, et vous en ferez davantage; car Je M’en vais au Père», la profondeur appelant la profondeur dans votre coeur. Et le même Saint-Esprit qui conduisit Siméon vers Christ, vous a conduit ici ce soir pour être guéri. Gloire à Son Nom! Inclinons la tête.

15        Seigneur Jésus, heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés. Maintenant, comble les attentes et le désir de chaque coeur qui est ici. Et fais que ces chrétiens sur qui est invoqué Ton Nom... Tu as dit : «Si Mon peuple sur qui est invoqué Mon Nom s’assemble et prie, alors Je l’exaucerai des cieux et Je guérirai le pays.» Il a dit qu’ils étaient le sel de la terre. Mais si le sel a perdu sa saveur, il ne sert plus qu’à être jeté dehors, et foulé aux pieds par les hommes.

            Et maintenant, Père, nous comprenons que le sel produit la saveur quand il entre en contact, mais il doit y avoir un contact, un ancrage. Et maintenant, que le Saint-Esprit qui a accordé la nouvelle naissance à chacun de ces enfants de Dieu par la foi... puissent-ils être tellement salés ce soir par leur foi que l’incroyant qui pourrait être assis ici dira : «Oh! c’est ça. C’est réglé. Voilà le christianisme dans lequel je crois», et qu’il l’accepte. Et que les malades soient guéris; que les perdus soient sauvés; que les rétrogrades soient ramenés; que Dieu soit glorifié.

            Et lorsque nous partirons d’ici ce soir, puissions-nous être en mesure de dire, Seigneur, comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous?» Or, Tu avais marché avec eux durant toute la journée. Tu leur avais parlé, et ils ne comprenaient pas que c’était Toi. Mais lorsque Tu t’es assis à la table, et que Tu as accompli quelque chose exactement tel que Tu le faisais, ils ont reconnu que c’était Toi.

            Et maintenant, Père, tel que nous le lisons dans la Bible, la manière dont Tu as fait les choses en ce temps-là, puisses-Tu venir et faire quelque chose ce soir de la même manière, afin que les gens reconnaissent que c’est Toi. Et alors, lorsque nous rentrerons chez nous ce soir, nous aurons dans nos coeurs le même cantique que ceux qui revenaient d’Emmaüs : «Nos coeurs brûlaient au-dedans de nous à cause de Sa Présence.» Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

16        Très bien. Que chacun s’apprête maintenant pour la prière, et pour être guéri. Je crois que c’est une soirée qui... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            C’est très bien, mais qui va guérir l’endroit malade? On pourrait arracher une dent, mais qui va arrêter l’écoulement de ce sang et qui va guérir cette alvéole...?... Voyez-vous? Personne ne peut faire cela. Il faut que Dieu fasse cela. Psaume 103.3 dit : «Je suis l’Eternel qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies.» Voyez-vous? Combien la chose est simple! Très bien.

17        Maintenant, frère, approchez. Maintenant–maintenant, si je prie pour vous, eh bien, j’aimerais... Avez-vous déjà assisté à mes réunions auparavant? Vous y avez déjà assisté; vous avez donc vu la manière dont le Saint-Esprit y opère. Alors, vous–vous comprenez de quoi je parle. Je pourrais connaître ce qu’est votre problème, mais il n’est pas nécessaire de vous le dire, je vais juste prier pour vous, c’est ce que vous désirez que je fasse. Approchez.

            Notre Père céleste, j’implore miséricorde pour cet homme. Je comprends que cet homme est dans le besoin, je Te prie de le guérir. Accorde, ô Seigneur, que Ton Esprit soit sur lui et le rétablisse. Accorde-le, ô Seigneur. Je demande ceci parce que Tu as dit : «Tout–tout ce que vous désirez lorsque vous priez, croyez que vous le recevrez, et vous le verrez s’accomplir.» Donc, alors que mon frère se tient ici ce soir, d’un coeur sincère, ayant de bons sentiments à Ton égard, désirant cet acte de miséricorde de Ta part, je joins ma prière à la sienne pour implorer miséricorde. Et conformément à Ta Parole, Tu as dit : «S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Amen.

            Maintenant, croyez-vous? C’est bien. Merci, Seigneur. C’est de cette manière qu’il faut croire. Maintenant, si... Maintenant, croyez-vous maintenant que vous allez vous rétablir? Vous croyez que vous allez bien vous porter. Maintenant, bien sûr, je sais quel était votre problème. Vous avez eu un problème avant ceci, qui a causé ce... le problème que vous avez maintenant. Est-ce vrai? Voyez-vous, vous avez subi une opération. Pas vrai? N’était-ce pas une opération de l’appendicite? Et cela a provoqué une hernie. Est-ce vrai? Très bien. Cela va aussi guérir. Partez maintenant. Le Seigneur va vous bénir. Que Dieu vous bénisse. Très bien. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

18        Quelque chose cloche chez cette femme, et Il lui a dit où était son problème. Et alors Il est allé tout droit là où se trouvait son problème; elle s’est rétablie. Elle est entrée dans la ville et a dit aux hommes que... Elle a dit : «Venez voir un Homme que j’ai trouvé, qui m’a dit tout ce que j’ai fait.»

            Maintenant, Jésus est monté au Père, mais Il a envoyé Son Esprit ici pour servir dans l’Eglise et dans tous les âges, afin qu’Il soit le même hier, aujourd’hui et éternellement. Le croyez-vous? Si je faisais une demande à Dieu en votre faveur, l’accorderait-Il? Croyez-vous qu’Il l’accorderait? Approchez. J’aimerais vous parler en privé. N’avez-vous pas fait quelque chose que vous n’auriez pas dû faire? J’ai simplement voulu dire cela afin que vous compreniez. Voyez-vous?

            Eh bien, la vie n’a pas été très facile pour vous. Vous avez connu beaucoup de difficultés. Vous avez subi une opération une fois. Est-ce vrai? Et puis, vous avez un... cette mauvaise habitude maintenant, que vous ne devriez pas avoir. Vous souffrez de la nervosité, et c’est le fait de fumer la cigarette qui vous rend nerveux. Comprenez-vous cela? N’avez-vous pas honte de vous-même? La chose la plus vile qu’une femme puisse faire, c’est fumer la cigarette. Dieu hait cela. Eh bien, le même Jésus qui connaissait le péché de la femme au puits, connaît le vôtre. Et c’est un secret pour beaucoup de gens mais pas pour... pas devant Dieu; Lui vous connaît; Il voit; Il sait tout ce qui vous concerne. Allez-vous y renoncer ce soir et donner toute votre vie à Jésus-Christ? Allez-vous le faire? Levez la main.

            Seigneur Jésus, pardonne chaque péché, et ôte ceci de cette pauvre mortelle ici qui est presque entrée là-bas dans un... Elle se rend compte que Satan l’amènerait à cogner sa tête contre le côté de...?... là-bas, s’il le pouvait. Cette pauvre petite femme, debout ici, frêle, elle se meurt sur ses pieds, et Satan a fait ce mal. Mais Ton Esprit est ici pour saisir cela. Nous devons connaître le remède, la cause avant d’appliquer le remède. Et je Te demande, ô Seigneur, de pardonner chaque péché, et que ce démon qui l’a amenée à faire ceci la quitte ce soir. Au Nom de Jésus-Christ, sors de cette femme! [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

19        Ô Seigneur, Toi qui as créé les cieux et la terre, Toi qui as créé toutes choses, accomplis, Père, ce que Tu as dit. Cette pauvre petite enfant innocente qui est ici ce soir, Toi seul peux la guérir. Et j’implore miséricorde. Exauce, Seigneur, Ton serviteur, ô Seigneur. Eh bien, elle est trop jeune pour comprendre ce que signifie la foi, mais je Te demande, en tant que Ton serviteur, au Nom de Jésus-Christ, de guérir cette enfant.

            Je veux que chaque tête soit inclinée, chaque oeil fermé. Je veux être le premier à voir cette enfant. N’ouvrez pas vos yeux avant que j’aie d’abord regardé cet enfant. Je vous demanderais de faire cela; au Nom de Jésus-Christ [Espace vide sur la bande] pour cette grâce et cette miséricorde. Et nous prions que Tu sois toujours avec cette enfant. Et qu’elle ne perde jamais sa vue. Et qu’elle soit normale et bien portante; au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu te bénisse, chérie. Maintenant, tu peux poursuivre ta course, porte-toi bien. Que Dieu te bénisse.

20        Très bien. Approchez, madame. ...?... maintenant. Ne souffrez-vous pas aussi de l’arthrite, vous la dame assise juste là au fond, la petite femme? Vous avez l’arthrite, n’est-ce pas? Voulez-vous lever la main, si c’est vrai. C’est ce qui est arrivé. Ce–ce puissant ennemi ici appelle au secours. En d’autres termes, les démons appellent cela (Vous voyez?) pour que cela réponde. Il y en a beaucoup là dans l’assistance... Mais je pourrais dire que cela était tout près de moi quelque part. Eh bien, je ne peux pas vous guérir.

            Juste une minute, pendant que je m’adresse à l’assistance juste un instant. Madame, s’il vous plaît, restez à votre place, juste là où vous êtes assise présentement. Voyez-vous cela, l’assistance? Cela se déplace ici en ce moment. Voyez-vous? L’ennemi, le démon qui fait cette chose horrible est en train de se déplacer juste ici; il appelle en criant. Il y en a beaucoup. Inclinons la tête juste un instant. Approchez.

            Ô Dieu, Auteur de la vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cette femme, que je bénis en Ton Nom. Et que Ton Esprit ait la priorité dans sa vie en ce moment même. Et que l’ennemi la quitte, au Nom de Jésus-Christ. Je demande à cela de quitter tous ceux qui sont ici et qui souffrent de l’arthrite en ce moment; que cela sorte et aille dans les ténèbres du dehors. Je t’adjure de partir! 

            Maintenant, vous êtes guérie. Vous pouvez lever la tête. Maintenant, posez votre pied sur le... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

21        ... la vie que vous ne pouvez pas cacher. Vous voyez? C’est–c’est le cas en ce moment même. Maintenant, vous êtes consciente que quelque chose est en train de se passer, n’est-ce pas? Vous savez qu’il y a quelque chose qui se meut tel que vous ne l’avez jamais senti auparavant. Vous vous rendez compte que vous êtes dans la présence d’un Etre sacré. Il ne s’agit pas de votre frère qui se tient ici, non; c’est un–c’est un Etre surnaturel. Si c’est vrai, levez la main. C’est un don de Dieu.

            Maintenant, si je suis le serviteur de Dieu, et que les choses dont j’ai dit qu’Il m’a dit de faire, alors je... vous ne pouvez pas cacher votre vie si vous devriez le faire. Il y a quelque chose d’étrange en ce qui concerne votre vie. Il ne m’a pas permis de prier pour vous directement. J’ignore pourquoi Il ne me l’a pas permis, mais Il va révéler cela. Voyez? Croyez-vous cela? Et croyez-vous cela? Absolument. Vous souffrez d’un trouble gynécologique, ça c’est une chose. Est-ce vrai? Alors cela...?... Oui, et aussi, vous... votre... la même chose que l’autre...?... Vous fumez. Vous ne vivez pas pour Dieu comme vous le devriez. Est-ce vrai? L’acceptez-vous maintenant? Que Dieu vous bénisse. Vos péchés vous sont pardonnés; et votre guérison est...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Est-ce vrai? Arrêtez cela! Dieu ne veut pas que vous fumiez, vous vous dites...

            Vous souffrez de l’estomac. Est-ce vrai? C’est ce qui provoque cela. C’est... Vous demandez à Dieu de vous pardonner maintenant? Vous allez devenir Son serviteur maintenant même? Que le Seigneur Jésus vous bénisse. Allez manger tout ce que vous voulez. Venez donner votre témoignage.

22        Venez, monsieur. Croyez-vous? Vous êtes un chrétien. Voyez-vous, c’est ça la différence avec ces esprits qui ne sont pas les bienvenus. Maintenant, vous vous portez bien. Absolument. Vous souffrez néanmoins de la nervosité. Est-ce vrai? Eh bien, alors que Dieu vous bénisse. Vous êtes guéri maintenant, vous pouvez partir et être rétabli.

            Disons : «Grâces soient rendues à Dieu!»

            Me croyez-vous en tant que serviteur de Dieu? Partez, jetez votre canne sur l’estrade et partez, au Nom du Seigneur Jésus.

23        Très bien. Approchez, monsieur. Sommes-nous des inconnus l’un pour l’autre? Je ne vous connais pas. Vous êtes un inconnu pour moi. Je ne sais rien à votre sujet. A ce que je sache, je ne vous ai jamais vu de ma vie. Dans le cas contraire, je ne me souviens pas de vous. Mais vous... Non, nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas? Oui, nous ne–nous ne nous connaissons pas. Néanmoins il y a quelque chose d’étrange à votre sujet. Vous souffrez de l’estomac, c’est ce qui vous dérange. Et puis vous êtes un prédicateur. Je vous vois debout à la chaire, en train de prêcher. Est-ce vrai? Dites, ne venez-vous pas du Texas ou de quelque part par là dans une petite... Est-ce vrai? Retournez au Texas et soyez guéri. Au Nom de... [Espace vide sur la bande]

            ... certaines choses. Vous avez dans votre vie tant de choses que vous devez soutenir... laisser tomber. Vous savez que c’est juste. Voyez-vous? Je ne dirai pas cela ici; vous comprenez ce que je veux dire. Mais rentrez chez vous; croyez que ce que je vous ai dit est la vérité, et acceptez que c’est l’Esprit de Dieu qui est ici qui accomplit cela, et votre trouble gynécologique vous quittera. Vous avez souffert d’un trouble gynécologique. Pas vrai? Oui. Evidemment. C’est vrai. Rentrez maintenant chez vous et priez. Que Dieu vous donne le baptême de Son Esprit et qu’Il vous guérisse entièrement, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

24        Très bien. Approchez, monsieur. Prions. Ô Père, j’implore miséricorde pour cet homme. Que Ton Esprit descende sur Lui et le guérisse. Je demande cela au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Croyez-vous, monsieur? Partez en vous réjouissant. Partez et soyez heureux. Croyez en Lui maintenant de tout votre coeur.

            Très bien. Venez, madame. Est-ce que vous croyez? Voulez-vous guérir de cette affection du coeur? Partez au Nom du Seigneur Jésus. Puisse-t-Il vous rétablir complètement, c’est ma prière. Que chacun de vous soit respectueux.

            Approchez, madame, s’il vous plaît. Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu, Son prophète? Si Dieu me révèle ce qui ne va pas chez vous, L’accepterez-vous comme votre Guérisseur? C’est l’arthrite. Est-ce vrai? Levez la main. Vous avez donc dit que vous allez L’accepter comme votre Guérisseur. Est-ce vrai? Poursuivez votre chemin en vous réjouissant; ne pensez plus du tout à l’arthrite. Portez-vous bien. Croyez-vous là-bas dans l’assistance? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Je ne cesse de voir quelque chose qui indique l’Afrique du Sud...?... C’est frère Jackson là-bas. Que dites-vous? Non, c’est une femme missionnaire. La voici assise juste ici. Ne venez-vous pas du Congo Belge ou de quelque part par là? Est-ce vrai? Vous avez un problème au dos, n’est-ce pas? Oui... Vous vous êtes plutôt fait mal avec quelque chose au niveau du dos et aux épaules et tout? Tenez-vous debout. Jésus-Christ vous a simplement honorée, soeur, pour vous guérir et vous renvoyer en Afrique du Sud; au Nom du Seigneur Jésus. Partez, et que la paix de Dieu soit sur vous.

            Cet homme assis juste là au balcon qui souffre des varices, celui qui est assis juste là, environ trois rangées derrière, assis là-bas, voulez-vous être guéri, monsieur? Si vous le voulez, levez-vous. C’est juste. Vous voulez être guéri. Monsieur–monsieur, c’est votre femme qui est assise là, monsieur? Est-ce là votre femme, celle qui porte une robe, qui souffre de la vésicule biliaire. [Espace vide sur la bande] L’homme noir assis là derrière...

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