Jésus-Christ Est Le Même Hier, Aujourd’hui Et Éternellement

Date: 57-0922M | La durée est de: 1 heure et 3 minutes | La traduction: Shp
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1          ... s’y attacher, de notre frère. J’espère que son père et sa mère, avec qui nous sommes restés cette dernière semaine, étaient ici pour entendre ce merveilleux message de la part de notre frère Collins. Il est par ici depuis si longtemps, et nous avions pensé, peut-être, que nous pourrions juste le mettre au travail. Ainsi, c’est parfois une bonne chose, et nous sommes donc très contents du message.

2          Eh bien, il y a eu des gens qui sont entrées par la pièce de derrière; ils n’avaient pas de place, juste pour... devant. Et j’avais annoncé le dimanche qu’il y avait, souvent, des gens qui arrivaient aux réunions, venant de l’extérieur de la ville, et ils se posaient parfois des questions au sujet des réunions, comment elles sont tenues ici; c’est différent de ce qui se passe dans les–les autres parties du pays, là où nous allons pour les services. Mais ici, on est à la maison. Et dans mon...

            Ce n’est pas que les gens qui sont ici ne m’aiment pas, c’est faux, ils m’aiment certainement. Et j’ai plusieurs milliers d’amis à travers l’Etat ici. Mais ils... quand on rentre chez soi...

3          Jésus, une fois, est allé dans Sa propre patrie. Et alors, on a dit: «Qui est cet Homme? N’est-ce pas le Fils du charpentier?» Ils ont dit: «Nous connaissons Sa mère, et nous connaissons Ses–Ses–Ses soeurs, et elles sont–elles sont toutes ici avec nous.» Ils ont dit: «Eh bien, nous savons qui est Celui-ci.» Et ils ont dit: «Comment se fait-il qu’Il a acquis cette sagesse et tout?» Ils... Il les étonnait. «A cause de leur incrédulité, Il n’a pas pu accomplir beaucoup de miracles.»

            Alors, en réplique, Il a dit qu’un serviteur, comme cela, dans son propre pays, parmi les siens, cela ne marchera pas. Et cela ne marche simplement pas. Oui.

            Mais de temps à autre, nous essayons une réunion de ce genre, pour aller tenir une ligne de discernement. Et, frère, ici ce matin, cela a simplement pris la place de parler devant moi, comme l’organisateur le faisait, pour parler pour les réunions. Mais après, Billy, on avait pensé qu’on serait à Indianapolis aujourd’hui; et frère Wood, un ami à moi, allait distribuer les cartes de prière pour nous aujourd’hui, afin que nous puissions les garder en ordre, les gens, alignés. En effet, nous nous attendons à ce qu’il y ait cent cinquante ou deux cents personnes. Billy n’est pas allé quand il a appris que nous étions dans le–le... nous allions prier pour les malades. Il est donc venu distribuer les cartes de prière et il... il n’y avait personne pour qui prier, juste à peu près quelques personnes ici dans des fauteuils roulants et autres, et, a-t-il dit, il... environ dix, douze cartes, quelque chose comme cela, c’est tout ce qu’il a pu distribuer.

            Et comment cela arrive, je ne sais pas. Vous voyez, nous semblons juste comme... on ne peut pas faire marcher cela quand on est ici au tabernacle. De toute façon, le Seigneur a fait des choses merveilleuses pour nous ici, Il nous a accordé de grandes bénédictions, et nous Lui sommes–sommes reconnaissants.

4          Et maintenant, juste pour continuer la série de réunions, nous allons essayer de prier pour les malades d’ici quelques instants.

            Et concernant cette forte onction fraîche qui est juste dans la salle après le sermon de notre frère, j’apprécie son commentaire quand il a dit qu’ils ont amené le véhicule à un garage, et on n’a pas pu le réparer. Voyez? Il pouvait y avoir là, eh bien, vous, ça ne sert à rien d’avoir donc un véhicule, si vous ne pouvez pas le faire réparer. On voulait lui en vendre un nouveau. Eh bien, un–un nouveau véhicule, c’est en ordre, mais tant que celui-ci est encore en bon état, eh bien, nous le gardons simplement.

            Alors, c’est ce qu’il y a. Tant que Dieu peut encore utiliser ce corps-ci, il mérite réparations. Eh bien, l’unique moyen pour que ce véhicule soit réparé serait de le renvoyer à la société qui l’a fabriqué. C’est l’unique moyen pour que le véhicule soit réparé. S’il n’y a pas de réparations à faire là, la société qui l’a fabriqué en a. Et nous sommes très reconnaissants de ce que le... pas la société, mais le Seigneur qui a créé ce corps a encore de quoi le réparer. En effet, Il prend simplement un peu plus de poussière de la terre, et Il ajoute à cela, et c’est–et c’est ça.

5          Maintenant, pour la lecture de la Parole, avant que nous commencions la ligne de prière, j’aimerais lire juste un chapitre, ou une portion d’un chapitre dans la Parole de Dieu, ici au chapitre 10 de Saint Jean. J’aimerais que vous écoutiez très attentivement maintenant, ça vous rafraîchit plutôt, juste un moment pendant que nous lisons.

            Et alors, soyez vraiment sincères; et nous allons commencer, prier pour les malades, voir ce que notre Père céleste fera pour nous. Et cela ne nous prendra donc pas trop de temps.

            Maintenant, rappelez-vous, le principe de cela, comme frère Collins venait de le dire: Il a placé cela non pas dans un homme, non pas dans un don, mais dans le Donateur, Dieu; C’est Lui. Et c’est uniquement par la foi, que vous soyez là, ici ou n’importe où, c’est votre propre foi personnelle dans l’oeuvre achevée (Voyez?), ça doit être ça.

            Maintenant, dans Saint Jean chapitre 10, à partir du verset 30, j’aimerais lire. Ecoutez attentivement la lecture et puis, appliquer ce passage à ce moment même, à cette heure même; nous serons alors en ligne directe avec la Parole tout le temps.

Moi et le Père nous sommes un.

Alors les Juifs prirent de nouveau des pierres pour le lapider.

Jésus leur dit: Je vous ai fait voir plusieurs bonnes oeuvres venant de mon Père: pour laquelle me lapidez-vous?

Les Juifs lui répondirent: Ce n’est point pour une bonne oeuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais Dieu.

Jésus leur répondit: N’est-il pas écrit dans votre loi: J’ai dit: Vous êtes des dieux?

Si elle a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu a été adressée, et si l’Ecriture ne peut être anéantie,

celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde, vous lui dites: Tu blasphèmes! Et cela parce que j’ai dit: Je suis le Fils de Dieu.

Si je ne fais pas les oeuvres de mon Père, ne me croyez pas.

Mais si je les fais, quand même vous ne me croyez point, croyez à ces oeuvres, afin que vous sachiez et reconnaissiez que le Père est en moi et que je suis dans le Père.

6          J’aimerais faire des commentaires sur juste un ou deux versets. Les gens de l’époque n’arrivaient pas à comprendre comment Lui qui était un Homme pouvait être Dieu. Comment un Homme ordinaire, sans... qui n’était même pas un puissant prédicateur (La Bible dit: «Sa–Sa voix ne se faisait pas entendre dans les rues» et–et: «Il n’avait pas de beauté pour attirer nos regards.») Il ne pouvait pas se présenter Lui-même, peut-être, comme un ministre, comme les gens instruits et intelligents le peuvent; et Il n’était qu’un Homme ordinaire, non instruit, rien ne nous renseigne qu’Il ait jamais fréquenté un jour l’école, quand... alors qu’Il était non instruit pour le monde; mais cependant, comment ces choses se pouvaient-elles, et Il a dit qu’Il était Dieu, et Il était Dieu. Et ils ne comprenaient pas les Ecritures. Si vous remarquez, comme nous avons lu là, Il a dit: «Moi et le Père nous sommes Un», pas deux, Ils sont Un. Les Juifs ont ramassé des pierres, et ils allaient Le tuer, parce qu’Il se faisait Dieu; un Homme, qui est Dieu.

            Et je n’avais jamais remarqué cela juste il y a quelques instants, en lisant cela: Jésus leur a répondu: «Je vous ai montré plusieurs bonnes oeuvres de la part de Mon Père, non pas que Moi Je les ai faites, mais Je vous les ai simplement montrées, venant de Mon Père.»

            Dieu m’a accordé le privilège de vous montrer cette oeuvre. Je n’ai pas créé cela de moi-même, mais Dieu m’a parlé, Il m’a donné ceci pour vous le montrer, afin que vous croyiez. Dieu donne Ses oeuvres au travers de Ses serviteurs pour montrer Ses oeuvres. Eh bien, c’est tout aussi réel que cela l’était jadis, car: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

Je vous ai montré plusieurs bonnes oeuvres de la part de Mon Père; pour laquelle de ces oeuvres Me lapidez-vous?

7          «Pour la guérison des malades? Pour la prédication de l’Evangile? Pour avoir fait recouvrer la vue aux aveugles? Ou pour avoir connu les pensées des gens dans l’assistance? Quand une femme toucha Mon vêtement et que Je ne pouvais pas savoir qui c’était, J’ai promené Mon regard, et le Père M’a fait savoir quelle était sa maladie, et elle a été guérie. Me lapidez-vous pour cela? Me lapidez-vous pour les visions que J’ai eues, alors que Je regardais l’assistance, et que J’avais connu leurs pensées? Pour laquelle de ces oeuvres Me lapidez-vous?» Maintenant, écoutez!

            Et ils Lui ont répondu, ils ont dit: «Ce n’est pas pour ces bonnes oeuvres, mais c’est parce que Tu blasphèmes.» Eh bien, c’est la raison pour laquelle nous... «Toi qui es un Homme, Tu te fais Dieu.» Maintenant, suivez.

            Le principe, c’est Dieu dans le peuple. Comment Dieu qui est surnaturel peut être cet Homme-ci? Ils n’en avaient jamais entendu auparavant. Mais Jésus ouvrait une porte, une porte à la race d’Adam; Lui qui est le Fils de Dieu.

8          Ecoutez, Jésus, au verset 24... au verset 34, Jésus leur répondit: «N’est-il pas écrit dans votre loi, Je...?» Maintenant, ici, Lui-même, étant le Fils de Dieu, pourtant Il a dit: «J’ai dit.» Voyez-vous le pronom personnel là-dedans? «J’ai dit: vous êtes des dieux. Vous êtes vous-même des dieux. N’est-il pas écrit dans votre loi: J’ai dit: vous êtes des dieux? S’Il...» Il revient de nouveau à Dieu. Ils ne pouvaient pas comprendre: Tantôt c’était Dieu qui parlait; la fois suivante, c’était Jésus qui parlait, et Il était une Personnalité double, comme on le dirait.

            Une fois, les disciples ont dit, par la suite, dans, je pense, Saint Jean, chapitre 17, Jésus leur donnait une explication, ils ont dit: «Voilà, maintenant, Tu parles clairement. Maintenant, nous savons que Tu viens de Dieu, et que nul ne doit T’enseigner. Tu es venu de Dieu, c’est Dieu qui donne Ton enseignement, Tu n’as pas besoin de l’instruction, ni des théologies du séminaire, Dieu T’enseigne, et aucun homme ne Te dit quoi faire: à cela nous croyons que Tu viens de Dieu.»

            Il a dit: «Vous croyez maintenant? Après tout ce temps, vous croyez maintenant?»

            Remarquez: «Vous êtes des dieux.»

9          Maintenant, verset 35:

S’il a appelé (les prophètes) dieux ceux à qui la Parole du Seigne-... de Dieu a été adressée.

            A qui la Parole du Seigne-... vient? Aux prophètes. Et Dieu a appelé les prophètes des dieux, parce qu’ils avaient la Parole de Dieu. Si un homme a la Parole de Dieu, ce n’est pas l’homme, c’est la Parole que les gens écoutent. Ce n’est pas l’homme; c’est la Parole. Si les prophètes (Jérémie, Esaïe, Elisée), s’ils avaient l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, Dieu a dit: Tant que cette Parole sortait d’eux, ils étaient des dieux. Dieu Lui-même a dit, c’est Lui qui proclamait, parce que ce n’était pas un homme, Il avait mis l’homme de côté, et Il s’était placé Lui-même à l’intérieur, pour parler.

Si vous appelez dieux (Maintenant, suivez.), si vous appelez dieux ceux à–à qui la Parole de Dieu est adressée, et si l’Ecriture ne peut être anéantie.

            Oh! Combien je suis... qui a plus d’autorité que Lui pour dire cela? «Les Ecritures ne peuvent pas être anéanties.» Si Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais», cela ne peut pas être anéanti. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde», cette Ecriture-là ne peut pas être anéantie. Si la Bible dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement», cela ne peut être anéanti. Il doit donc être le même quant à l’essence, le même quant à la puissance, le même quant à la vision, le même quant à la force, cela ne peut pas être anéanti. Jésus l’a dit.

Vous dites de Celui que le Père a sanctifié...

10        Or, les prophètes ne pouvaient pas être sanctifiés (potentiellement) par l’offrande d’un taureau, ou d’un boeuf, ou de quelque chose comme cela, ou une brebis, ou une génisse. Ils étaient potentiellement sous ce sang-là (comme le frère, avec plus de bravoure, l’a présenté), ils pouvaient être sanctifiés potentiellement sous le... pendant qu’ils attendaient impatiemment que l’expiation soit rendue parfaite. En effet, sous le sang des taureaux, quand le taureau mourait, ou la génisse mourait, ou la brebis mourait, la vie dans ce sang-là ne pouvait pas revenir sur le prophète parce que c’était la vie d’un animal; et la vie d’un animal ne pouvait pas amener un prophète à un animal.

            Mais quand le Sang du Seigneur Jésus a été offert, la Vie de Christ, qui était Dieu, vient sur le croyant. Il a dit: «Comment pouvez-vous donc, si vous... si Dieu Lui-même a dit: ’Vous êtes des dieux’, ceux à qui la Parole de Dieu est adressée, comment pouvez-vous dire que Je blasphème (Alors que c’est Lui que le Père a sanctifié et envoyé ici) parce que Je dis que Je suis Fils de Dieu. Comment pouvez-vous faire cela?»

            Eh bien, Il donne ici une question finale:

Si Je ne fais pas les oeuvres de Dieu, alors, ne Me croyez pas.

11        Cela règle la question; cela ôte tous les doutes; cela le confirme pour toujours: Si je n’accomplis pas les oeuvres de Celui qui M’a envoyé, le Père, alors, ne Me croyez pas. Vous avez le droit de ne pas Me croire.» Et quand les Juifs L’avaient interrogé, quand Il avait eu une vision, et qu’il était descendu (dans Saint Jean 5) à la piscine de Béthesda, et qu’Il a cherché partout, parmi trois ou quatre mille personnes, jusqu’à trouver un homme couché sur un grabat. Et Il a dit, Jésus a dit: «Je savais qu’il était là et qu’il était dans cette condition.» Le Père le lui avait montré. Il est allé, Il l’a vu, Il l’a guéri; celui-ci a pris son lit un dimanche, il l’a mis sur son dos, et il s’en est allé en marchant.

            Les Juifs L’ont interrogé. Jés-... Ils ont dit: «Maintenant (en d’autres termes), pourquoi ne vas-Tu pas guérir les autres? Les rétablir?»

            Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Vous y êtes.

12        Cela ne réside pas dans l’individu, cela réside en Dieu. Cela ne résidait pas en Christ, Jésus; cela résidait en Dieu le Père, Qui était dans le Fils. Cela ne réside pas en vous aujourd’hui; cela réside en Dieu Qui est en vous, la foi que vous avez en Dieu. Cela ne réside pas en moi aujourd’hui; cela réside en Dieu.

            Si Dieu est donc ressuscité d’entre les morts (Et j’ai essayé pendant vingt-six ans à travers le monde de proclamer que Jésus-Christ est vivant. Il n’est pas mort, Il est tout aussi réel aujourd’hui qu’Il était à l’époque où Il marchait en Galilée. Mais le monde incroyant a condamné cela, parce qu’ils sont charnels et ne peuvent pas comprendre les choses spirituelles, car Il a dit qu’ils ne le pourront pas: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous.»), tout ce que Dieu était, Il l’a déversé en Christ; et tout ce que Christ était, Il l’a déversé dans l’Eglise.

            «N’êtes-vous pas...?...»

            «Je serai avec vous.» Et s’Il est ici à l’intérieur et avec nous, c’est donc Dieu, ce n’est pas nous; la foi que vous avez en Lui est Dieu; les oeuvres qu’Il ferait ici, ce serait Lui, et non pas nous.

            Ainsi, laissez que votre foi existe aujourd’hui; et croyez en Lui de tout votre coeur.

13        Maintenant, si je suis trouvé un témoin fidèle, si je–si j’ai représenté cela sous un angle correct, si jamais je venais et que je disais: «Dieu m’a donné le pouvoir de guérir les malades», je serais un menteur. Dieu n’a jamais fait cela, et Il n’a jamais donné cela à aucun homme. Il n’a même jamais donné cela à Son Fils. Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre. Ce n’est pas Moi qui accomplis ces oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi. Il agit jusqu’à présent, et Moi aussi, J’agis.» Dieu Lui montrait quoi faire.

            Mais Il a dit: «Je vous ai montré ces oeuvres de la part de Mon Père, afin que vous croyiez. Maintenant, ça dépend de vous. Si tu peux croire, tout est possible.»

            Et soyons sobres sur ces Paroles, maintenant, pendant ces cinq, dix prochaines minutes...

14        Cela ne prend pas longtemps, cela exige seulement la Vérité: «Va.» La question est réglée. Il faut la Vérité. Longue... des lignes de prière que nous avons eues: Nous n’avons jamais vu notre Seigneur faire ces choses. Il entrait dans une ville et Il guérissait un seul homme, peut-être, et Il parcourait la ville: «Je dois prêcher l’Evangile ailleurs.»

            Nous sommes commissionné d’aller prier pour les malades, les oindre d’huile, prier pour eux: «La prière de la foi sauvera le malade.» Nous, en tant que ministres, pasteurs et évangélistes, nous les oignons d’huile et nous prions pour eux, c’est là la commission. Chacun de vous pasteurs, s’il est appelé de Dieu, a le même droit, si seulement il a la foi en cela.

            Mais maintenant dans... tout au long de la vie, au cours des âges, Dieu a mis de côté des hommes pour certaines oeuvres, non pas qu’ils soient plus que quelqu’un d’autre, et ils ne sont pas plus dignes.

            Il n’y a personne parmi nous qui soit digne. Nous étions tous dans la même situation. Il n’y a rien de bon parmi nous. Personne parmi nous n’est bon. Personne parmi nous n’est saint. Nous devons solennellement croire en Celui que Dieu a appelé Saint. Et ce n’est pas sur base de nos mérites, c’est sur base de Ses mérites que nous venons, confiants. Si je me confiais dans vos mérites, je serais perdu; si vous vous fiiez dans les miens, vous seriez perdus. Mais si nous nous confions en Lui, nous avons l’assurance de la Vie Eternelle.

            Ainsi donc, ce n’est pas si ceci ou cela arrive, c’est quand votre foi croit la Parole de Dieu.

15        Maintenant, dans la réunion de ce matin, nous allons faire venir quelques personnes malades. On a distribué quelques cartes de prière. Nous allons les faire venir à l’estrade. Et j’ai confiance en Dieu qu’il y aura quelqu’un que je ne connais pas. Ici, c’est chez nous, là où les gens, c’est difficile pour eux de comprendre. Et j’espère qu’il y aura quelqu’un que je ne connais pas.

            Et puis, si le Saint-Esprit, par Sa grande omniprésence, peut parler à cet individu, Il le fera, ce n’est pas qu’on devine, mais il faudra qu’il y ait un témoin, un véritable. J’ai vu tellement de psychologie humaine que cela, oh! cela rend... C’est terrible. Ça doit être réel. Si donc ça l’est, et que nous sortons en doutant toujours, nous sommes des pécheurs. En effet, la Bible dit: «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.»

            Ainsi, sur base de ceci, approchons-nous de Dieu avec révérence. Je suis sûr qu’il y a beaucoup de membres du tabernacle ici, qui ont vu ces visions pendant des années, avant que le monde extérieur ne sache donc à ce sujet.

16        L’autre jour, quand j’étais dans le Kentucky, juste de l’autre côté, il y a eu quelques cris là où l’Ange du Seigneur était descendu et où Il avait dit: «Tu habiteras près d’une ville appelée New Albany.» Et pendant environ quatre-cinq ans, j’ai vécu ici. J’étais un petit garçon, ma maman et mon papa n’étaient jamais sortis du comté de Cumberland, dans le Kentucky, mais Dieu savait alors cela. Et s’Il le savait alors, Il sait toutes choses, Il n’a pas besoin d’être enseigné. Et alors, quand Dieu vient parmi nous, ce n’est pas nous, mais c’est Lui.

            Alors, peu importe combien cela peut paraître non raisonnable: «Oh! Je ne peux pas faire ceci. Je ne serai jamais rétabli.» Ça, c’est le diable.

            Mais quand quelque chose arrive, vous savez que c’est différent, c’est Dieu en vous essayant d’accomplir Son dessein et Sa bonne volonté au travers de vous. Prions.

17        Seigneur, Toi qui as créé les cieux et la terre, et Qui as créé toutes choses pour Ta gloire. D’ici peu, il y aura la confrontation. Est-ce que les Ecritures sont vraies? Jésus a dit: «Elles ne peuvent pas être anéanties», et nous le savons, qu’Elles ne peuvent pas être anéanties.

            Maintenant, Eternel et Adorable, aide Tes serviteurs aujourd’hui. Prends le message que notre frère nous a apporté, fais-le pénétrer dans les coeurs des gens. Comme il a dit, que Paul et Silas (Ils étaient battus dans ces pilori et ils saignaient), ils n’étaient pas las, leur condition n’avait rien à faire avec cela; ils ont servi le Dieu qui était omniprésent. Et comme ils commençaient à se réjouir, Tu as envoyé un tremblement de terre, Tu les as libérés des chaînes par des secousses. Les gens à la Pentecôte, quand bien même ils avaient à se cacher dans la chambre haute, mais ils n’étaient pas las, ils bénissaient continuellement et louaient Dieu, car ils avaient la promesse du Saint-Esprit qui avait été donnée par le Père. Nous Te prions maintenant de laisser ces gens ici se mettre à se réjouir.

            Et peut-être que quelques-uns ici n’ont jamais vu les puissances à l’oeuvre, l’omnipotence du Saint-Esprit; accorde, Eternel, encore une fois seulement, dans cette ville de Jeffersonville, qu’ils conditionnent leur foi maintenant à recevoir.

            Puisses-Tu travailler de telle manière qu’il viendra un jour, où nous aurons à nous tenir dans Sa Présence, irrépréhensibles. Nous confessons notre incrédulité, nous Te demandons de nous pardonner.

            Et aujourd’hui, que les boiteux marchent, que les aveugles voient, que les sourds entendent, que les muets parlent, et–et que la maladie, la maladie du coeur disparaisse, et que le trouble d’estomac et autres (comme notre frère en a parlé, comme Tu as si merveilleusement opéré à travers le monde), car nous le demandons en Son Nom, Lui qui nous a enseigné que ces choses s’accompliraient en Son Nom, Jésus-Christ.

18        Maintenant, très doucement, Crois seulement, s’il vous plaît.

            «Une dame...» Cette petite note, il y a quelques instants, il est dit: «Une dame de Louisville pour qui on doit prier.» Très bien. Soyez donc... Vous êtes arrivée en retard pour une carte, madame. Restez simplement assise, soyez calme, ou n’importe où que vous devez être.

            Regardez, il importe peu–il importe peu que vous soyez ici à l’estrade, ou que vous soyez là en bas. C’est votre foi en Dieu qui compte. J’ai été sauvé dans une recharge de charbons, un garage (là où ma voiture était parquée, de côté), sur un vieux sac en toile de jute, j’étais mouillé de la hanche jusque là, priant. Il importe peu l’endroit où vous êtes debout, assis, couché, où que vous soyez.

            Il sauve et guérit par votre... Pas sur base des mérites de votre–votre bonté, mais c’est sur base des mérites de votre foi. J’ai vu des chrétiens traverser l’estrade et regagner leur siège, malades. J’ai vu des prostituées venir à l’estrade, être sauvées et guéries. Oui, oui. Voyez? Certainement. De mauvaises femmes, des hommes pécheurs montaient à l’estrade boiteux, incroyants, ils marchaient là, et le Saint-Esprit lui dévoilait cette vie-là, et il disait: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, c’est vrai. Je...» Là même, on voit sa main se déployer. Un homme pieux et saint pouvait traverser l’estrade dans un fauteuil roulant, ou un estropié sur des béquilles, et il passe directement, il s’assoit, la même situation. Assurément. Dieu ne guérit pas sur base des mérites de votre salut, mais sur base des mérites de votre foi: «Si tu peux croire, tout est possible.»

19        Eh bien, les cartes de prière. Où est Billy? Je pense qu’il... Eh bien, d’accord, nous allons... Y a-t-il quelqu’un qui a... Par où a-t-il commencé? Avez... a-t-il la carte 1? Je pense qu’il n’y a environ que dix, douze cartes. Regardez vos–vos cartes de prière et retournez-les et voyez.

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... ils sont dans une–une mission pour prier pour une personne, c’est un homme. Et cet homme est dans un état grave, je pense, à l’hôpital ou–ou ils vont à l’hôpital. Et cet homme, c’est son oncle à elle. C’est un oncle. Et je vous entends l’appeler: «Oncle Bill», je pense que c’est ça. C’est vrai. Et c’est un cas grave de diabète sucré. Et cet homme se meurt du diabète sucré. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main, afin que ces... Maintenant, quant à guérir cet homme-là, je ne le peux pas; prier pour lui, ça, je le peux. Et je vais le faire. Maintenant, prions.

            Notre Seigneur béni, je Te prie d’envoyer Tes bénédictions à cette femme et à celui qu’elle représente. Et que tout ce qu’elle a demandé pour cette personne qui.–.qui est gravement malade, Tu sais tout à ce sujet, je Te prie de la guérir. Et le mouchoir qu’elle tient, alors qu’elle essuie les larmes de ses yeux, je demande que ce mouchoir soit amené à cet homme, et qu’il se rétablisse. Je le demande au Nom de Christ, et pour Sa gloire. Amen.

            Maintenant, que Dieu vous bénisse, soeur. Rentrez, et prenez le mouchoir, posez-le sur la personne. Ne doutez pas du tout. Croyez ce que vous avez demandé, vous le recevrez. Juste un instant, madame. Ne venez-vous pas de New Albany? Et l’homme est à New Albany aussi. C’est vrai. Je viens de voir New Albany et j’ai vu cet hôpital passer là. Et ce–c’est vrai. Très bien. Mais je ne connais pas la dame.

20        Très bien, c’est la carte de prière numéro 1, je pense, n’est-ce pas? La carte de prière numéro 2, qui l’a? S’il le peut, qu’il se lève. J’aimerais qu’ils viennent. Si... Eh bien, il y a une dame là, vous l’avez? Très bien. Voudriez-vous venir ici, madame? Tenez-vous ici même dans la Présence du Saint-Esprit. Oh! Si ce petit tabernacle ce matin peut seulement se rendre conscient. Très bien. C’est en ordre alors.

            Maintenant, voici une dame ici debout. Je pense que je ne la connais pas. C’est une femme de ce... peut-être plus avancée en âge que moi. Dieu sait tout au sujet de la femme. Je ne sais pas. Dieu au Ciel sait cela. Je n’ai aucun moyen de le savoir. C’est juste une femme qui se tient ici. Et je peux l’avoir vue, elle peut m’avoir vu, elle peut avoir été dans des réunions, mais je ne connais pas la femme. Dieu sait que je ne la connais pas. Je ne peux pas identifier son visage. C’est vrai. Mais Dieu la connaît certes. Maintenant, si le glorieux Saint-Esprit (Qu’elle en soit juge.), si le glorieux Saint-Esprit révèle quelque chose, maintenant, si elle se tenait ici, je dirais: «Eh bien, vous portez des lunettes.» Certainement.

21        Comme une petite dame a dit l’autre jour, au sujet de la femme qui se tenait ici pour le discernement, elle a dit que la dame (c’est la soeur Snyder), elle a dit qu’elle souffrait de l’arthrite, je savais que c’était faux. Oui, oui. Alors... Et rien que parce qu’elle avait un bâton en main, cela ne confirme pas la chose. Elle dit qu’elle... mais elle avait mal aux yeux. Evidemment, elle portait des lunettes, mais elle pourrait ne pas nécessairement avoir mal aux yeux; elle pouvait porter des lunettes à cause de son âge.

            Quand on dépasse quarante ans, on va lire... sauf exception, vous allez devoir porter des lunettes pour lire. D’après... C’est ce que... Les êtres humains en arrivent là. Puis après, lorsque vous avez environ soixante-cinq ou soixante-dix ans, c’est... votre vue peut connaître un retour. Eh bien, c’est simplement la nature, comme avoir une tête grisonnante et tout, comme cela.

            Mais maintenant, si cette chère femme ici debout, qui a l’air d’une femme en bonne santé, peut-être qu’elle est ici pour représenter quelqu’un d’autre. Je ne sais pas. Mais si le Saint-Esprit révèle ce pour quoi elle est ici... Dieu sait, avec mes mains levées, à ce que je sache, je ne l’ai jamais vue. Si Dieu révèle ce pour quoi la femme est ici, allez-vous accepter cela? Allez-vous l’accepter, madame? Allez-vous accepter cela? Est-ce que l’assistance croira cela? Très bien. Maintenant, que le Seigneur... Voyez? N’ayez pas peur de mettre Dieu à l’épreuve. Je ne dis pas qu’Il le fera. Il peut ne pas le faire. Je ne... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

22        Il peut le faire. Il peut le faire, et Il ne m’a jamais fait défaut jusqu’à présent. Je vais donc simplement demander et voir. Maintenant, la dame ne me regarde pas. Elle regarde la photo de Christ par là. Elle ne–elle ne me regarde pas. Elle n’a pas à me regarder, ni vous non plus. Je ne regarderai même pas la dame, si c’est nécessaire. Je regarderai au Calvaire, à Celui qui s’est tenu là et qui a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

            Je vois la femme apparaître devant moi alors qu’elle passe, allant quelque part. Oh! Elle est–elle est–elle est ici pour elle-même, elle est très malade. La dame est couverte de l’ombre de la mort. Elle souffre du cancer. Et la femme souffre aussi d’une maladie de nerfs très extrême. Elle a certes des yeux en mauvais état. Oh! Elle a des complications, beaucoup de choses qui clochent chez elle. C’est vrai. Est-ce vrai? Levez la main, si c’est vrai. Voyez?

            Maintenant, plus je regarderais cette femme, plus il en serait dit. Voyez? Maintenant, comme la ligne ne sera pas longue, mais attendons juste une minute maintenant; voyons si le Père dirait autre chose. Je pense qu’Il décr-... Maintenant, ce que je disais, je n’ai pas... Je–je ne sais pas ce que j’ai dit, maintenant même. Voyez? C’est–c’est une autre dimen-... c’est Quelque Chose d’autre qui parle. «Ce n’est pas vous qui parlez, c’est votre Père qui demeure en vous, qui parle.» Comprenez-vous? Maintenant, il peut y avoir un petit sceptique quelque part. Dévoilons à cette femme, juste une minute. Levons les yeux là au Calvaire et voyons si notre Père céleste le fera, par Sa miséricorde. Ô Dieu, je Te prie de l’accorder, pour Ta gloire.

23        La femme n’est pas de cette ville-ci. Elle vient de l’ouest vers ici, mais elle n’est pas loin d’ici. Elle vient d’une petite ville qui a une seule rue principale. Je pense que c’est Georgetown, dans l’Indiana. On l’appelle Mamie, ou quelque chose come cela. Son nom de famille est Woodworth; Mamie Woodworth. Est-ce vrai? Oui, oui, oui, oui. Maintenant, rentrez et soyez rétablie, tout est clair autour de vous maintenant, vous n’allez pas mourir, vous allez vous rétablir, c’est votre foi qui fait cela. Oui, oui.

            Eh bien–eh bien, si vous croyez de tout votre coeur et que vous ne doutiez pas, cela arrivera pour vous. D’accord. La carte de prière numéro 3. (Etait-ce la série J? J numéro 3, qu’il se tienne debout. Avancez. Voyez-vous ce que je veux dire? C’est le Saint-Esprit. Etait-ce cela? La sienne était-elle J-3? Non. Très bien, monsieur. J numéro 3.

            Maintenant, pendant qu’il vient, j’aimerais dire quelque chose. Si vous pouvez croire. Voyez? Vous tous ici qui me connaissez, vous savez qu’il n’y a rien en moi qui peut faire cela, n’est-ce pas? De moi-même, je ne peux pas faire cela, je n’en ai aucun moyen. Mais vous ici du tabernacle qui me connaissez, pendant les vingt-six dernières années, j’ai prêché ici dans ce tabernacle, dans cette ville. J’ai quarante-huit ans, j’ai eu des visions avant même que je... La première chose dont je peux me souvenir, c’était une vision. Et à ma connaissance, aucune fois cela n’a donc failli, sur des dizaines de milliers de fois. C’est parfait.

            Très bien. Numéro 3. Peut-être le... Avez-vous le numéro 3, monsieur? Non, monsieur, c’est 81...?... Très bien, numéro 3. Attendez que... peut-être qu’ils sont simplement sortis, ou qu’ils sont dans les toilettes, ou quelque chose comme cela. Juste une minute; attendons juste une minute.

24        Pendant que nous attendons, attendons que le numéro 3 vienne, pourquoi quelques-uns parmi vous ne regardent-ils pas de ce côté-ci? Prions. Nous ne voulons rater personne. Vous qui n’avez pas de carte de prière.

            Tenez, il y avait, il y a eu cette jeune fille-là l’autre jour, celle dont je parlais, madame Snyder.  Où, est-elle ici ce matin? Je pensais l’avoir vue. Elle est ici. Ici même. La petite dame a dit que vous souffriez de l’arthrite, l’autre jour, alors que c’est nous qui avons amené cette jeune fille ici. Peut-être que vous souffriez l’arthrite, mais je sais que vous avez des os fracturés, c’est ce qui avait causé cela. C’est en fait ce qu’il y avait. La petite dame se servait simplement de la psychologie, vous avez vu ce que c’était, et elle a dit à la femme qu’elle priait pour quelqu’un d’autre, c’était complètement embrouillé. Soeur Snyder, croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Au mieux de votre connaissance, mais je ne sais pas en réalité ce qui cloche chez vous, pas plus que vous aviez eu un os fracturé. C’est vrai. Croyez-vous cela de tout votre coeur? Vous croyez. Soeur Snyder, vous n’étiez pas là pour l’arthrite. Vous étiez là à cause d’une grosseur à votre hanche. Maintenant, si c’est vrai, levez la main. C’est ça. Amen. Voyez? Je défie votre foi. Maintenant, vous savez que je ne connaissais pas... je ne vois pas la femme enlever ses habits, si ce n’est en vision.

25        Je vois un homme assis en face de moi ici, monsieur Palmer. Vous là, les affaires, tenir une réunion? Je crois que... N’est-ce pas vous monsieur Palmer, Frère Palmer, de là à Macon, en Géorgie? Oui, oui. Je ne savais pas que vous étiez ici, mais il m’est juste arrivé de vous voir assis là. Croyez-vous? Vous êtes ici pour qu’on prie aussi pour vous. Oui, oui. Si Dieu me le révèle, Frère Palmer (Vous savez que je ne le sais pas; vous donc, probablement que vous êtes entré il y a quelques instants, ou n’importe quand que vous êtes entré ce matin, je ne le sais pas.), si Dieu me révèle ce qu’est votre maladie, allez-vous croire que je suis prophète de Dieu? Oui, je sais que vous croyez de toute façon. Très bien. Cette nervosité qui vous dérange depuis si longtemps (C’est pour cela que vous voulez qu’on prie pour vous), cela vous a quitté. Vous pouvez poursuivre votre chemin. Ayez simplement foi. Qu’en est-il de quelques-uns parmi vous, croyez-vous? Ayez foi.

26        Petite soeur, qui a marié cet homme ici, votre nom, c’était mademoiselle Kuhn. Je ne peux pas me souvenir de votre nom de famille. Je vois une Lumière suspendue au-dessus de vous. Vous, vous avez mal aux oreilles. C’est dans vos oreilles, n’est-ce pas, soeur? Vous savez que je ne sais pas cela. Tenez, afin que vous sachiez que je suis serviteur du Seigneur: Votre mari, assis à côté de vous là, souffre du dos. C’est vrai. N’est-ce pas vrai, frère? Très bien. Vous pouvez croire. Si tu peux croire.

            Qu’en est-il, soeur, assise ici, en train de me regarder? Vous avez mal à la gorge, n’est-ce pas, soeur? Vos mains sont levées comme ceci. Oui, oui. Croyez-vous que Dieu vous guérira de ce mal de gorge? Si c’est vrai, levez la main. La dame juste ici derrière, en petit chapeau blanc, on dirait, maintenant, effectivement, c’est une vision là. Je ne peux pas voir, mais la femme est là. Oui, c’est elle. Très bien, croyez de tout votre coeur, recevez votre guérison. Ces choses sont-elles vraies? Levez les mains là derrière, vous qui venez d’être désignés, qui que vous soyez, là derrière. Si c’est vrai, levez les mains, vos maladies. Levez la main, les gens que je venais de désigner, auxquels je venais de m’adresser tout à l’heure, qui que ce soit. Oui. Vous y êtes. Voyez? Oui, oui. Très bien

27        L’homme assis juste là derrière, juste derrière la soeur, ici, la deuxième rangée derrière, au bout, là. Vous souffrez de la gorge aussi. N’est-ce pas, monsieur? C’est vrai. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais c’est la vérité. Si c’est vrai, levez la main. Très bien. Allez et soyez rétabli. Croyez-vous? Ne soyez pas mort, maintenant, spirituellement mort. Reconnaissez que ce n’est pas moi.

            Venez simplement à... regardez l’assistance, et sentez cette moiteur dans l’assistance, alors vous vous demandez ce qui cloche chez eux. C’est ce qui fait mal. Vous devriez être en alerte et éveillé. Si je peux Le voir aller vers quelqu’un, que Dieu l’accorde, quelqu’un que je ne connais pas.

            Quelqu’un qui ne me connaît pas, levez la main, qui est malade. Levez la main. Quelqu’un qui ne me connaît pas, et que je ne vous connais pas. Vous savez que je ne vous connais pas. Je... Vous me connaissez probablement, mais moi, je ne vous connais pas. Levez la main très haut. Voyons. Pour montrer que je ne vous connais pas. Très bien. Abaissez les mains. Juste pour avoir une idée générale, voir si cela marche.

28        Jésus de Nazareth, quand bien même je suis chez moi, honore Ta Parole.

            Cela est sur un jeune homme assis avec la main levée, comme ceci, il porte une montre-bracelet. Il a le visage barbu. Je ne vous connais pas, jeune homme, mais Dieu vous connaît. Vous n’êtes pas de cette ville; vous venez de Chicago, ici. Vous avez un enfant là, qui souffre d’une hernie, vous voulez qu’il soit guéri. Si c’est vrai, levez la main. Maintenant, posez-la sur l’enfant. Croyez-vous? Ayez foi. Ne doutez pas.

29        Je vois les régions boisées du Kentucky, juste là d’où je viens. Cela est placé juste là derrière, vers la troisième personne. C’est une femme. Elle a quelque chose qui cloche au dos; elle souffre du dos. Je vois qu’elle est venue avec quelqu’un d’autre, et c’est sa mère. Et sa mère souffre du dos, elle a également l’hydropisie. Sa mère est assise dans la rangée après elle. Toutes les deux viennent du Kentucky. Si vous croyez, soeurs, vous pouvez rentrer dans le Kentucky, rétablies, si vous croyez. Levez les mains là derrière. Vous y êtes. Je ne vous ai jamais vues de ma vie, je ne savais rien sur vous. Mais je vois... Si c’est vrai, levez les mains, pour montrer que je ne vous connais pas, et que je ne vous avais jamais vues. Levez les mains. C’est vrai. Je vois ces collines vallonnées du Kentucky de toute façon. Je viens de les quitter. Amen!

30        Oh! Pouvez-vous douter? Ayez foi en Dieu. Qu’en est-il de ce côté-ci maintenant? Où est le numéro 3? Eh bien–eh bien, ne vous en faites pas, oui, nous n’en avons pas besoin.

            Que pensez-vous, monsieur, assis ici, un homme en train de me regarder? Croyez-vous? Très bien. Je ne vous ai jamais vu. Vous m’êtes inconnu. Je ne vous connais pas. Vous n’êtes pas de cette ville; vous venez du Nord, vous dirigeant vers le Sud; vous venez de Lafayette. C’est tout à fait vrai. Et vous êtes ici pour que je prie pour vous, à cause de quelque chose qui cloche chez vous, comme du sang, quelque chose comme cela, la tension. C’est vrai. C’est votre femme qui est assise ici. Elle souffre de l’arthrite. Non seulement cela, mais elle a une dystrophie musculaire, aussi. C’est vrai. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Oui. «Si tu peux croire», vous pouvez rentrer à la maison en marchant; vous pouvez rentrer à la maison, rétablie. Je ne peux pas guérir, mais un don divin opère et c’est parfait.

31        Juste au-dessus de la tête de Charles Cox, ici, il y a une femme. Elle porte des lunettes. Elle me regarde. Je vois quelque chose, oh! c’est l’affection de la vessie. C’est vrai, madame. Vous êtes aussi une kentuckienne. Et je ne vous connais pas, mais c’est la vérité. Amen. Si vous croyez, vous pouvez être guérie. Croyez-vous cela? Acceptez-vous cela? Très bien.

            Qu’en est-il–qu’en est-il de vous tous? Croyez-vous? Etes-vous–êtes-vous conscients que le Seigneur Jésus est ici? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Eh bien, chacun de vous peut être guéri maintenant même. Où est le numéro 3? Est-il déjà venu? Tenez, je vais vous dire quoi, imposez-vous les mains les uns aux autres, imposez-vous les mains les uns aux autres pour une prière d’ensemble avant que nous arrêtions.

            Je ne suis pas un guérisseur. Dieu me rend témoignage, j’ai été clair là-dessus. Il y a des gens ici que je ne connais pas, Dieu le sait. Mais il n’y a personne ici qui peut cacher sa vie maintenant même; non pas parce que je suis ici, mais parce que Jésus est ici, le Grand Alpha et Oméga. Oh! vous de Jeffersonville, ceci est votre visitation. L’heure arrive où vous réclamerez ceci et vous ne l’aurez pas. Non seulement cela, mais vous les gens du monde. En effet, l’Esprit de Dieu sera retiré un jour de la terre, et vous vous plaindrez et pleurerez, alors. Sachez-le, que le Dieu du Ciel s’est manifesté sous forme de Jésus-Christ, et Il est allé dans la Gloire, Il est revenu dans Son Eglise, Il s’est établi dans Son Eglise. Il a dit: «Vous êtes les sarments, Je suis le Cep. Vous ne pouvez pas porter des fruits à moins que Je vous donne la Vie pour les porter; et vous porterez le genre de fruit pour lequel Je vous ai émondé.» Et il se fait que ce discernement se fait pour être la part pour laquelle Il m’a émondé. Et ce n’est pas moi, c’est la Vie de Dieu qui vient du Cep, Christ par une promesse divine.

            Croyez. La Bible dit: «Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins. Il y a deux douzaines, je pense, ici ce matin ou plus. Quoi de plus avez-vous besoin? Si vous êtes un pécheur, repentez-vous; vous êtes dans la Présence de Dieu. Si vous êtes malades, croyez pour votre guérison, et vous recevrez cela. Je dis cela sur base de l’autorité de la Parole de Dieu, que chacun de vous a été guéri, et vous avez été guéri il y a mille neuf cents ans. Et vous êtes guéri maintenant même, si vous croyez cela et que vous l’acceptez. Prions maintenant.

32        Maintenant, tout ce que je peux faire, c’est chasser ce doute de votre coeur. Je ne sais pas si je peux le faire; je vais essayer par la prière. Et si le doute vous quitte, et que vous sentez qu’il y a quelque chose qui est près de vous: les Anges de Dieu sont dans cette salle.

            Vous dites: «Est-ce vrai, prédicateur?»

            Oui, absolument. La Bible dit qu’ils y sont: «Les Anges de Dieu campent autour de ceux qui Le craignent.» Mais il y a une ombre noire entre vous et cet Ange qui veut vous aider, en apportant le Message de Christ. C’est l’incrédulité. Maintenant, si vous pouvez ôter cette incrédulité, cette ombre noire, vous verrez alors clairement. Vous vous lèverez alors, vous vous réjouirez, vous rentrerez chez vous en criant, louant Dieu, et rétablis. Ne laissez pas cette ombre se tenir entre vous.

            Oh! Pendant que vous avez vos têtes... Ceci, l’homme assis ici même, souffre de la prostatite, il est assis juste derrière à ma gauche, ici. Qu’Il vous bénisse, frère. C’est terminé. C’est vrai.

            Et cette dame assise ici, au sujet de cet enfant, là, il–il vient de naître il y a quelques jours, et il est gravement malade. Oubliez cela. L’enfant va vivre, AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Soyez respectueux. Oh! la la! Les visions affluent de partout dans la salle, partout, la grâce souveraine de Dieu. Je ne dis pas cela par émotion. Je ne dis pas cela. Si je le disais, je serais un hypocrite. Je vous dis la Vérité, et Dieu confirme que c’est la Vérité. «Si tu peux croire.»

33        Que pensez-vous, vous dans le fauteuil roulant ici, madame? Croyez-vous que Dieu vous guérira?

            L’homme qui s’est levé ici il y a quelques instants, croyez-vous que Dieu vous guérira et vous rétablira? «Si tu peux croire.»

            Jeune homme, croyez-vous que Dieu vous guérira? C’est maintenant l’heure.

            Si je pouvais vous guérir, je descendrais directement là et le ferais. Mais je ne le peux pas, il n’y a aucun homme sur terre qui puisse le faire. Cela réside uniquement en Dieu et dans votre foi en Dieu. Dieu s’en est déjà approprié, Il a payé la facture, Il vous tend un reçu, si vous voulez l’accepter. Le reçu, c’est votre foi, de croire au Seigneur Jésus. Pourquoi les boiteux, les aveugles, les estropiés, les infirmes sont guéris chaque jour à travers le monde (Chaque jour, des milliers sont guéris.), et vous laisserait-Il assis là, vous laisserait-Il malade? Non, non, ce n’est pas Dieu. Il le veut pour vous, mais c’est votre foi qui retient cela. Maintenant, je vais demander à Dieu d’ôter toute cette obscurité autour de vous. Prions.

34        Père divin, c’est plus solennellement que nous venons à Toi. Tu T’es manifesté. Tu n’es plus redevable en rapport avec Ta promesse. Tu l’as confirmée, car la Bible dit: «Dieu ne peut pas mentir, des choses immuables, Dieu ne peut pas mentir.» Et Dieu a juré qu’Il le ferait si seulement nous pouvons le croire. Nous voyons donc, Jésus a dit, ce matin, dans le passage: «Les...» (C’est impossible) «Les Ecritures ne peuvent pas être anéanties.»

            Et quand Tu étais ici sur terre, Tu as accompli ces mêmes oeuvres, exactement, et ils T’ont taxé de diseur de bonne aventure, de Béelzébul, de prince des diseurs de bonne aventure, de démon.

            Et Tu as dit: «C’est un blasphème contre le Saint-Esprit; cela ne sera jamais pardonné, quand le Saint-Esprit sera venu faire cela.»

            Et, Père, nous Te remercions de ce que nous vivons dans le jour où nous voyons.–.nous voyons la Parole de Dieu être dévoilée à chacun de nous. Eh bien, il n’y a pas d’ombre de doute qui reste, de voir comment Il accomplit ces grandes choses: guérissant les malades, montrant que cela ne réside pas dans l’homme, mais que cela réside en Dieu et dans l’individu, comme Dieu ne traite pas avec des églises ou avec des dénominations, Il traite avec des individus. Nous ne sommes pas sauvés par l’appartenance à un groupe, nous sommes sauvés par notre propre foi personnelle, et nous sommes guéris de même.

            Et je prie, Père divin, que juste en ce moment-ci, alors qu’il peut y en avoir d’autres ici qui sont malades et nécessiteux, et il y a ici une dame dans un fauteuil roulant, deux d’entre elles, ainsi qu’un jeune homme, je Te prie de les guérir. Je prie qu’il ne reste pas l’ombre d’un doute. Eh bien, Tu ne leur as pas parlé en vision; eh bien, on sait qu’ils sont estropiés, ils sont dans un fauteuil roulant. Mais le miracle, c’est que ce sont ceux qui ne paraissent même pas malades, et puis, on le leur révèle. Assurément, tout le monde sait que c’est un estropié, il y avait quelque chose qui clochait, mais ceux qui paraissaient en bonne santé et bien portants, ce sont ceux-là. Ô Eternel Dieu béni, que le doute quitte la salle en ce moment-ci. Que la foi qui a ressuscité Christ de la tombe, sur base des Ecritures, que cela parcoure chaque coeur ici présent, et que cela ôte chaque ombre de doute et amène à la vie le Glorieux Seigneur Jésus, et une foi qui ne dira pas: «Non.» Accorde-le. Mais puissent-ils dire: «Oui», et accepter Christ comme leur Guérisseur et qu’ils soient guéris.

35        Je défie le diable, non pas par ma propre capacité, mais par la commission de Christ de Dieu, Qui a souffert, Qui est mort, et oui, Qui est ressuscité, et Qui s’est tenu sur les rivages de Galilée et Qui a dit: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Et sur base de Sa plus grande souffrance à notre place, Il a saigné, Il est mort, Il a payé le prix de mes péchés (et Il a été jeté en enfer parce qu’Il était devenu un pécheur, portant nos péchés; mais comme Il était juste dans l’Esprit, Dieu L’a ressuscité le troisième jour); et sur base des mérites de Sa souffrance et de Sa mort; et l’expiation par le Sang de Son propre précieux Corps, je défie le diable (Cette grande ombre noire de doute, qui amène les gens à être inquiets et découragés), qu’il laisse ces gens tranquilles, pendant qu’ils sont assis ici sous l’onction du Saint-Esprit.

            Depuis l’époque du Seigneur Jésus, Il n’a jamais fait de visitation comme celle qu’Il fait aujourd’hui. Et nous, les pauvres petites gens, nous restons assis ici dans ce vieux tabernacle encombré avec une toiture qui s’affaisse; pourtant, Il est descendu pour honorer Sa Parole et confirmer ces choses qu’Il avait promis d’accomplir. Oh! La maison du Seigneur! Que cela devienne une grande fontaine où les justes peuvent se réfugier et être en sûreté. Accorde-le, Seigneur.

            Que le diable quitte chacun d’eux. Que chaque ombre de doute quitte, et que le Christ de Dieu reçoive la gloire, pour guérir chaque personne malade dans la Présence divine.

36        Et avec nos têtes inclinées maintenant, et nos coeurs inclinés avec cela, même si vous n’êtes pas malade, il y en a d’autres ici qui sont malades. Et si c’était votre papa ou votre maman? Et si c’était votre frère, votre soeur, votre femme, ou votre enfant? Ça serait une chose très sacrée. Et si ce petit enfant que vous tenez, si c’était votre précieux vieux papa, votre maman, votre femme? Ça serait alors vraiment quelque chose. Gardez donc vos têtes inclinées, votre coeur aussi, devant Dieu.

            Et j’aimerais que chacun de vous maintenant saisisse donc une–une vision du Seigneur Jésus se tenant près de vous. Maintenant, il ne reste aucune autre chose, dans la Bible, qu’Il ait promise de faire. La chose suivante, c’est Sa Venue. Ceci est le dernier signe qui a été donné, juste comme était la mort en Egypte. Ceci est Son dernier signe. Les nations s’élèvent contre les nations, des chars sans chevaux parcourent les rues, et tout, le frère s’oppose au frère, l’église s’organise en dénomination, la confédération des églises, tout ce que la Bible a promis est arrivé sauf ceci. Ceci est le dernier signe de Sa Venue. Il doit paraître bientôt. C’est Sa propre Présence qui est déjà ici, le Saint-Esprit se mouvant dans Sa plénitude, Sa puissance, montrant exactement les mêmes oeuvres qu’Il avait faites.

            Eh bien, l’unique chose, cet Esprit, Cela est ici même dans cette salle ce matin, Il appellera un jour et le corps corporel viendra des cieux. Comme ce même Esprit avait appelé, et ce corps corporel était ressuscité de la tombe, Il appellera, et cela viendra des cieux. Nous sommes au temps de la fin maintenant. Croyez de tout votre coeur maintenant.

37        Et s’il y a ici un pécheur qui n’a jamais accepté Christ, et qui aimerait que... qu’on se souvienne de lui aujourd’hui, et qui aimerait... votre main pour être représenté dans le Sien, voudriez-vous lever la main vers Lui maintenant, pour dire par cela: «Priez pour moi»? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, vous. Quelqu’un d’autre? Vous là derrière, vous là derrière, ce jeune homme, votre frère, ici, voulez-vous qu’on se souvienne de vous?

            «Que Dieu soit miséricordieux envers moi pendant que Tu es présent, et je sais que Tu es présent, j’aimerais que Tu voies ma main, que je suis en erreur, et j’aimerais que Tu me pardonnes mes péchés et mes offenses. J’aimerais que Tu le fasses, Seigneur, et voici ma main.»

            Un autre avant que nous terminions? Maintenant, que Dieu vous bénisse, madame. Un autre? Que Dieu vous bénisse là derrière, monsieur. Dieu voit votre main, j’en suis sûr. C’est Lui qui voit même–même un passereau, nulle part au monde ne peut tomber sans que... Dieu vous voit ici, frère. Dieu vous voit là, mon frère, le frère de couleur, là. Que Dieu te bénisse, fiston. Très bien. Dieu voit votre main. Il connaît chaque petite chose. Il connaît les gestes. Il connaît votre coeur. Il peut faire cela maintenant même.

            Levez simplement la main pour dire: «Ô Dieu (quand vous serez prêt à mourir, dites), souviens-Toi de ce temps-là où j’étais très près de Lui, ce matin-là, là dans ce tabernacle-là. Peut-être qu’il y a une semaine, il y a un an, il y a une heure, n’importe quand que c’était, j’avais levé la main, Seigneur, j’étais très sincère. Je voulais que Tu te souviennes de moi quand–quand je quitterai cette vie pour Te rencontrer. Je suis dans Ta Présence.» Que Dieu vous bénisse. Magnifique.

38        Maintenant, j’aimerais que vous croyiez donc, pendant que nous prions.

            Père divin, Tu vois leurs mains se lever. Ils savent qu’il y a quelque chose qui se passe. Ils sont–ils sont assez spirituels pour comprendre cela, qu’il se passe quelque chose. Et ici, cette glorieuse Colonne de Feu dont on a la photo, est suspendue ici au mur, la Même dont nous avons l’histoire, ici dans la Bible, est toujours vivante parmi les hommes, Il travaille toujours avec les hommes. Ce n’était pas Moïse; Jésus a dit que ce n’était pas Moïse qui accomplissait ces choses, Il a dit: «C’est Mon Père.» Ce n’était pas non plus Jésus, C’était Dieu. Ce n’est pas non plus l’église aujourd’hui, C’est Dieu; mais Il accomplit les mêmes choses.

            Je Te prie, ô Dieu, de leur pardonner tout péché et toute offense. Que leurs mains, alors que cela est levé maintenant même, un jour, à l’heure de leur mort, soient tendues et tiennent la Tienne, et Tu les élèveras de cette vie vers Celle qui est meilleure, du mortel à l’immortalité. Sauve leurs âmes, Seigneur, maintenant même, pendant que plusieurs mains, quinze ou vingt ont été levées. Je Te prie de sauver chacun d’eux pour Ta gloire. Accorde-le, Seigneur. Pour la gloire de Dieu, nous demandons au Nom de Christ.

            Et maintenant, Seigneur, à ceux qui attendent leur guérison, que cette heure-ci soit la plus glorieuse de leur temps, maintenant même. Que le glorieux Saint-Esprit s’avance maintenant.

            Enfermons-nous simplement avec Dieu tel que nous le sommes. Tout le monde, pouvez-vous croire? Pouvez-vous accepter cela maintenant même, votre guérison? Vous qui pouvez croire cela, avec vos têtes inclinées, vos coeurs aussi, vos yeux fermés, dites: «Seigneur Jésus, je crois maintenant que j’accepte ma guérison. Tu es ici et Tu es mort pour moi et j’accepte maintenant ma guérison de Ta part.» Pouvez-vous lever la main? Dites: «Je crois maintenant que je peux faire cela.» Que Dieu vous bénisse. C’est merveilleux. Bien.

Paix! paix!

            Gardez simplement vos têtes inclinées, adorez-Le maintenant. J’aimerais voir les gens s’avancer ici maintenant, et...

Venant de la part du Père céleste;
Inonde... pour toujours, je prie,
Les flots... insondables...

39        Fredonnez cela doucement.

Paix!

            Je vois se passer une scène. Une petite dame là, en train de pleurer, juste à ma droite, en train de s’essuyer les yeux; cette affection de la vésicule biliaire, c’est ce dont vous souffriez, n’est-ce pas? Cela vous a simplement quittée, tout à l’heure. Etes-vous heureuse? Dites: «Amen.» Oui, oui. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue, mais Lui vous connaît. Je viens de voir cela quitter. Votre nourriture était aigre, et tout le reste dans votre estomac, et il y avait des crampes, et de la douleur. Ne vous en faites pas maintenant, votre foi a fait cela. Vous étiez en train de pleurer. Vous étiez sincère. Vous étiez aussi en train de prier, n’est-ce pas? Dieu ôtera cela. Il l’a fait. Comment ai-je su ce que vous étiez en train de dire dans la prière? J’ai entendu cela au Trône. Vous étiez en train de prier. C’est terminé maintenant. Oh! paix!

40        Continuez simplement à prier. Vous ne savez pas ce que le Saint-Esprit peut faire. Gardez simplement vos yeux fermés.

            Cette petite femme était tout aussi respectueuse que possible. Je ne connais pas la femme. Je l’ai simplement vue assise là avec ces petits garçons. Premièrement, j’avais pensé que c’était les petits garçons de frère Charlie. Je pensais que ça pouvait être sa femme, et je savais qu’elle était blonde. J’ai encore regardé, et j’ai eu cette vision-là. J’y ai vu la femme, avoir on dirait des haut-le-coeur, vomir. Et j’ai regardé, je l’ai vue se tenir le flanc, vomissant sa nourriture de sa bouche. Et j’ai entendu quelque chose dire, je l’ai entendue dire: «Ô Seigneur, débarrasse-moi de ceci maintenant.» Ce n’est pas que je l’ai entendue littéralement, je l’ai entendue spirituellement. Voyez. Je l’ai vue là, quand elle priait. Elle a prié avant de quitter ce matin, pour ça. C’est vrai. Elle en est juge, demandez-lui. Elle était assise là, alors, en train de prier pour ça, Dieu l’a guérie. Voyez, elle était respectueuse. Elle faisait exactement ce qu’on lui avait demandé de faire.

            Qu’est-ce que l’Ange avait dit: «Si tu amènes les gens à te croire.»

            Vous dites: «Bah! Je n’ai pas à faire ça.»

            Eh bien, c’est... Vous n’avez pas à le faire, c’est vrai. Voyez? Mais si tu amènes les gens à te croire. S’ils te croient, ils feront exactement ce que tu leur demandes de faire. Certainement. Tout aussi respectueux que si c’était le Saint-Esprit Lui-même parlant. C’est ce qui arrivait. Elle a été guérie.

            Maintenant, que tout le monde incline la tête et soit dans la prière maintenant. Doucement:

Paix! paix! merveilleuse paix,

            «Maintenant, la guérison de Dieu descend directement en moi. Ma foi est en train de chasser maintenant l’ombre. Ce pour quoi le frère a prié il y a quelques minutes, ça devient ma propriété personnelle. Je suis en train d’accéder maintenant; je suis en train maintenant d’accéder à ma guérison. Je me sens différent maintenant même, je peux bien sentir Dieu entrer en moi.» C’est ça. «A partir de cette heure-ci, désormais, je ne dirai aucun mot, sinon ‘je suis guéri.’»

... les flots d’amour.
Paix!

            Ô Dieu. Frère, prends la relève, pour continuer la prière.

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