La Foi Par L’Expérience

Date: 58-0325 | La durée est de: 1 heure et 39 minutes | La traduction: Shp
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1          [Le début manque.–N.D.E.]... dans Ta Présence avec nos requêtes. Et la–l’assurance, nous savons que ce que nous demandons, nous le recevons, car Jésus nous a promis que si nous demandions quelque chose au Père en Son Nom, Il nous l’accorderait. Nous Te demandons donc ce soir, Seigneur, de ne laisser personne partir d’ici déçue. Puissent ceux qui sont venus T’abandonner leur vie, que cela se fasse ce soir. Ceux qui sont venus pour une marche plus intime avec Toi, que cela leur soit accordé, ô Dieu. Ceux qui sont venus pour la guérison, que chacun d’eux soit guéri. Et à la fin de ce service, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          Est-ce celui-ci... [Frère Branham s’éloigne du micro.–N.D.E.] Est-ce celui-ci qui est allumé? Je n’ai pas un gros rhume, mais je suis un peu enroué pour avoir trop parlé, à l’intérieur, en plein air. Et je suis constamment dans des réveils depuis Noël. Et maintenant, nous quittons ici vers les Etats de la Nou-... Nouvelle Angleterre, là au Texas; et puis de là, à Durban, en Afrique du Sud. Puis, en Suisse, en Allemagne...

            Et à vous les hommes d’affaires, je venais de parler avec DemosShakarian, et il vous adresse une invitation à venir à la convention à Philadelphie, du 30 juin au 4 juillet, l’année prochaine, à la convention internationale des Hommes d’Affaires Chrétiens du Plein Evangile. Je suis sûr que vous serez bénis en venant, car les gens viendront de partout dans le monde. Les quelques dernières années, j’ai été leur orateur du soir, et je dois encore être là cette année, Dieu voulant.

3          Alors, maintenant, je ne souhaite pas vous garder très longtemps, mais juste vous parler un peu sur la Parole, et puis avoir la ligne de prière. Et j’espère que, comme c’est un peu plein de gens ici, Dieu nous aidera donc à accorder beaucoup d’attention à la Parole, autant que nous le pouvons. J’aimerais lire une Ecriture ce soir, dans Marc au chapitre 11, et le verset 22.

Jésus prit la parole, et leur dit: Ayez foi en Dieu.

            Il venait de faire quelque chose pour amener les gens à avoir foi. Mon sujet ce soir, c’est: La Foi par l’Expérience.

4          Et maintenant, on dit, et c’est vrai, que les lâches meurent dix mille fois alors qu’un héros ne meurt jamais. Dieu veut des courageux qui peuvent prendre position. S’il y a quelque chose dont Christ ne peut se servir dans Son Royaume, c’est bien un lâche. Eh bien, nous voyons ici qu’Il a dit: «Ayez foi en Dieu.»

            Premièrement, il nous faut découvrir ce que c’est la foi. La Bible déclare que la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère; et c’est une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Ce petit mot foi est souvent confondu avec espérance et espérance avec foi. Ils sont aussi différents que le jour l’est de la nuit. La foi est une ferme assurance, et l’espérance, c’est ce que vous espérez; la foi délivre. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, elle ne peut donc pas être juste une pensée. [Frère Branham se racle la gorge.–N.D.E.] (Pardonnez-moi.) Elle ne peut pas être une pensée; c’est une substance. Or, une substance, c’est quelque chose que vous pouvez... que vous possédez.

5          Eh bien, le corps humain est contrôlé par cinq sens: La vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe. Mais la foi, c’est le sixième sens. La foi, c’est quelque chose que vous ne touchez pas, que vous ne goûtez pas, que vous ne voyez pas, que vous ne flairez pas, ou que vous n’écoutez pas. Par exemple, il y a une dame assise ici à l’orgue. Voudriez-vous bien nous donner un petit accord d’un cantique familier, juste un petit accord? Selon un vieux dicton: «Voir, c’est croire.» Combien ont déjà entendu cette maxime? La musique joue là. Combien croient cela? Eh bien, combien ont vu cela? Merci. La musique jouait et vous n’aviez point vu cela; donc voir, ce n’est pas croire. Je crois cela tout autant que si–si j’ai vu cela.

6          Très bien. J’aimerais que vous avanciez ici, monsieur, l’huissier. Il y a un homme debout devant moi en veston marron et une chemise un peu pourpre. Il a des cheveux noirs, un pantalon marron. Combien croient cela? Je le vois. Mon sens de la vue est l’unique chose qui déclare qu’il est ici. Juste un peu plus proche. Or, je ne le vois pas, mais il est toujours là. Voudriez-vous discuter avec moi, qu’il n’est pas là? Vous aurez difficile à me convaincre. Mais je sais qu’il est là tout autant que si je le regardais, car j’ai un autre sens, et c’est le toucher. Il est aussi actif que la vue. Je le sais; on ne m’a pas changé d’hommes. Vous savez pourquoi? Il portait une montre à bracelet sur sa main gauche et cela est là. Voyez? J’ai vu cela de mes yeux, maintenant, j’ai senti cela avec ma main. Ce n’est donc pas une évidence que vous ne pouvez pas... ou l’évidence par la vue n’est pas la seule évidence qui existe. Merci, monsieur.

7          Or, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, qu’on ne goûte pas, qu’on n’a pas touchées, qu’on n’a pas flairées, qu’on n’a pas entendues. Vous croyez cela. Lorsque votre foi dit que vous allez être guéri, c’est tout aussi sûr et certain que quand votre vue dit que cette chemise est blanche; c’est tout ce qu’il y a. Vous n’avez plus à vous inquiéter, parce que c’est déjà terminé. Il n’y a rien au monde qui puisse ôter cela de votre coeur. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, si je vous ai dit que cette chemise est rouge, et que vous n’êtes pas daltonien, vous diriez... vous discuteriez; vous diriez que c’est blanc si je disais: «C’est rouge», mais vous faites confiance à votre vue.

            Vous diriez: «C’est blanc, Frère Branham.»

            «Comment le savez-vous?»

            «Ma vue le confirme.»

            Donc, si vous croyez que vous allez être guéri ce soir peu importe la maladie dont vous souffrez, et que votre foi vous dit que vous allez être guéri, tout aussi clairement que votre vue confirme que c’est blanc, vous n’aurez point à venir dans la ligne de prière; tout est terminé. Il n’y a rien au monde qui vous empêcherait d’être guéri.

8          Or, la foi est une ferme assurance. C’est comme ceci. Peut-être, et si j’avais... Eh bien, si vous me trouviez quelque part, mourant de faim, et que je vous disais que j’avais faim, et qu’un morceau de pain me sauverait la vie, vous mettriez la main dans la poche et vous me donneriez vingt-cinq cents, vous diriez: «Voici, Frère Branham. Vous n’avez pas à mourir de faim; je vais vous donner vingt-cinq cents pour acheter un morceau de pain.» Eh bien, je serais tout aussi heureux avec les vingt-cinq cents qu’avec du pain. Pourquoi? J’ai de quoi acheter un morceau de pain avec moi. Eh bien, je ne peux pas manger les vingt-cinq cents, mais les vingt-cinq cents peuvent acheter du pain. Et maintenant, la foi, ce sont les vingt-cinq cents. Si vous avez la foi dans le coeur, vous serez aussi heureux avec la foi qui vous dit que votre main estropiée bougera que vous le seriez si vous la bougiez, parce que c’est... La foi, c’est le pouvoir d’achat de votre guérison.

            Eh bien, peut-être qu’avec les vingt-cinq cents, je serais tout aussi affamé qu’avant que je reçoive les vingt-cinq cents. Et il me faudra peut-être parcourir plusieurs kilomètres avant d’avoir le morceau de pain. Il me faudra peut-être passer par un carré de ronces, traverser la montagne, traverser le pont, traverser la rivière à gué. Mais tout le temps que je marche, je me réjouis parce que j’ai de quoi acheter un morceau de pain.

9          Et lorsque la foi atteint réellement le coeur, il ne doit pas y avoir absolument un miracle instantané comme ce que nous avons vu hier soir, cet homme qui était étendu là sur une civière, le ventre très gonflé, souffrant d’estomac. Et j’étais sur le point de quitter, et le Saint-Esprit m’a appelé; alors, j’ai regardé, j’ai vu la vision sur l’homme. Et à un moment, il a réagi à cela; son ventre s’est directement dégonflé comme cela, et il est sorti de la civière, se réjouissant dans la salle; ou des personnes sur des brancards, l’autre soir, ou dans le fauteuil roulant. Voyez, cela ne doit pas absolument arriver comme cela. Tant que vous croyez que cela arrivera comme cela, vous pouvez tout autant vous réjouir ce soir, pendant que vous êtes étendu sur cette civière, ce jeune homme. Ou le jeune homme dans le fauteuil roulant, vous pouvez tout autant vous réjouir aussitôt que cette foi s’établit, dit que vous avez cela, que vous pourriez vous réjouir si vous parcouriez cette allée après être sorti du fauteuil roulant. Voyez? C’est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Vous n’avez pas à toucher quoi que ce soit. Vous n’avez pas à goûter quoi que ce soit. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est croire quelque chose. Et cela devient réel, quelque chose que vous possédez. C’est ça votre foi.

10        Vous ne pouvez pas accepter cela par une conception intellectuelle. C’est intellectuel. Votre esprit va raisonner, mais pas la foi. Si vous avez une foi intellectuelle, alors c’est juste une foi qui raisonne. Vous direz: «Eh bien, si seulement j’étais guéri, je pouvais me relever. Si seulement j’étais guéri, cette bosse quitterait. Si seulement j’étais guéri, je me sentirais différent. Si seulement j’étais guéri, le médecin me le confirmerait. Mais quand vous avez la foi, tous les médecins du monde ne peuvent jamais vous dire autre chose. Vous possédez cela. C’est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.

11        Eh bien, d’habitude, nous trouvons que beaucoup de gens ont peur d’accepter cela. Et généralement, ceux qui ont la foi, ce sont ceux qui ont expérimenté les choses. Eh bien, lorsque vous acceptez Jésus comme votre Sauveur personnel, il n’y a aucun moyen au monde pour vous d’être sauvé si ce n’est par la foi. Il vous a fallu accepter cela. Il vous a fallu croire. Remarquez. Vous pouvez vous agenouiller à l’autel et crier toute la nuit durant; et vous pouvez taper sur l’autel et crier jusqu’à ce que vous ne puissiez plus crier, et n’être toujours pas sauvé. Vous pouvez vous sentir très bien et parcourir la salle, en criant, et n’être toujours pas sauvé.

            Le diable peut vous flouer sur vos sentiments. S’il me fallait compter sur mes sentiments, je ne serais pas très souvent dans mon assiette. Mais je ne me repose pas sur mes sentiments; je me repose sur la Parole inconditionnelle du Dieu vivant qui a fait l’alliance avec moi, pourvu que je croie cela. Ce n’est pas ce que je sens qui compte; c’est ce que je crois. Jésus n’a jamais dit: «Avez-vous senti cela?»; Il a dit: «Avez-vous cru cela?» La foi vient. Elle dépasse les sentiments. Vous pouvez sentir ce soir comme si vous étiez sauvé, courir çà et là et louer Dieu, et le lendemain matin, vous ne sentirez rien de tout cela, pas du tout. Alors, vous direz: «Je suis de nouveau perdu.»

            Mais lorsque la foi s’établit, que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est mort à votre place et qu’Il est devenu vous par votre péché, afin que vous, dans vos péchés, vous puissiez devenir Lui par Sa justice et L’accepter comme votre unique Expiation pour vos péchés, alors la foi s’établit, et tous les démons de l’enfer ne peuvent pas ébranler cela. La foi supporte. La foi ferme quelque chose; elle scelle quelque chose.

12        Et si un homme avait la foi pour accepter Christ, qu’il se relève de l’autel et va dehors, son associé dit: «Vous n’avez rien. Eh bien, vos yeux sont toujours bleus. C’est le même vieux costume que vous portiez là-dedans. Eh bien, votre nez est tout aussi gros qu’à votre entrée. Vos empreintes digitales sont les mêmes. Il n’y a pas de changement.» Mais vous savez qu’il y a un changement. Et dans les âges à venir, les jours et les semaines, vous prouverez qu’il y a un changement, car votre foi confirmera que vous êtes un chrétien. Combien savent que c’est la vérité? Chaque homme et chaque femme qui ont déjà accepté Christ...

            Eh bien, si vous pouvez vous avancer et croire votre destination éternelle sur base de votre foi, combien plus pouvez-vous vous avancer avec votre petit corps sur base de la même Expiation, qu’Il était brisé pour nos péchés et que c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.

            D’habitude, il faut une expérience. Souvent nous essayons de croire par l’instruction. C’est intellectuel. Il y a une très grande différence entre la foi intellectuelle et la véritable foi envoyée de Dieu. La foi intellectuelle raisonne. Et la Bible dit que nous devons renverser le raisonnement. N’ayez rien à faire... N’essayez pas de raisonner là-dessus. Croyez simplement cela.

13        Maintenant, remarquez. Une fois, Israël était appelé à combattre contre les Philistins. Et les Philistins s’étaient rassemblés sur un flanc de la montagne, et une vallée les séparait; Israël était sur un autre flanc. Et juste comme l’ennemi le fait toujours, quand il voit qu’il a le dessus, il aime haleter et s’en vanter. Lorsqu’il pense qu’il peut bien vous amener... vous faire trembler de peur... Si l’ennemi pense qu’il peut faire palpiter votre petit coeur quelque temps et vous faire penser que vous n’êtes pas guéri, il aime faire cela. S’il peut vous amener à regarder votre main et dire: «Elle ne va pas mieux», il aime faire cela; en effet, il vous a alors vaincu.

14        Je vois une béquille là derrière à côté d’une dame. S’il peut lui faire croire qu’elle aura à utiliser cette béquille pour partir d’ici, il a vaincu. Mais dès qu’elle ne regardera pas à cela, mais qu’elle regardera à la promesse de Dieu, cela restera sur la chaise. Vous allez... Eh bien, vous dites: «Ça fait des années que je suis infirme.» Ça n’a rien à faire avec; c’est ce que Dieu a dit. C’est ça!. Il m’a dit, pendant que je venais (C’était Satan) il y a quelque temps, il a dit: «Tu es trop enroué pour prêcher.»

            J’ai dit: «Tu es un menteur.» Et je pouvais à peine chuchoter quand je suis arrivé à la porte, mais je suis entré de toute façon, parce que Dieu va faire quelque chose ici ce soir, peut-être, sauver une âme ou guérir, un dess-... dess-... dessein pour un but. Et moi, ma responsabilité est de me tenir ici, que je sois à mesure de chuchoter ou même de grogner, Dieu fera de toute façon quelque chose, parce qu’Il a dit qu’Il le ferait. Il est de notre devoir de prendre position; il incombe à Dieu de nous soutenir. Faites votre part, et voyez si Dieu ne fera pas la Sienne.

15        Alors, cette grande armée des Philistins, qui a toujours été un cheveu dans l’huile pour Israël, ils avaient là un grand provocateur du nom de Goliath. Il devait être un géant, un gaillard. Et on raconte que ses doigts mesuraient quatorze pouces [55, 56 cm], et la lance qu’il portait était comme une ensouple de tisserand, mesurant d’ici au mur à peu près. Et, oh! combien il aimait se vanter! Combien il aimait faire des propositions aux gens!

            Comme vous entendez ce même démon dire aujourd’hui: «Si la guérison divine existe, le vieil homme Jones est assis juste ici au coin, aveugle, vendant des crayons. Allez le guérir; nous croirons en vous.» C’est le même démon qui avait dit à Jésus: «Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle ici devant moi. Change ces pierres en pain.» C’est le même démon qui a placé un chiffon autour de Son visage, L’a frappé à la tête avec un bâton et a dit: «Toi qui prophétises, dis-nous qui T’a frappé.» Le démon...

            C’est le même qui a dit: «Descends de la croix et nous Te croirons.» Dieu n’a rien à faire pour apaiser l’homme. Dieu ne fait pas le clown pour qui que ce soit. Il est Dieu et Il n’a pas à faire cela.

16        Ainsi, ce soldat qui Lui avait placé ce chiffon sur les yeux et L’avait frappé à la tête, il s’amusait donc parmi ces soldats. Beaucoup de gens aiment dire... bomber le torse et dire: «Oh! La guérison divine n’existe pas. Laissez-moi leur lancer le défi de guérir celui-ci.»

            Quelqu’un m’a dit il n’y a pas longtemps... Premièrement, il a fait une déclaration à la radio, juste après moi, après mon émission. Puis, il a dit: «S’ils peuvent donner la preuve d’une seule guérison, je donnerai mille dollars.»

            Un médecin était à l’écoute. C’était à Jonesboro, en Arkansas. Un médecin était à l’écoute. Il m’a appelé. Il a dit: «Frère Branham, pourquoi ne prenez-vous pas tel frère qui était paralytique, et ce prédicateur qui souffrait du cancer au cou; ce sont mes patients. Je peux lui témoigner qu’ils étaient guéris par la puissance de Dieu.» J’en ai rassemblé un tas et nous sommes allés chez ce prédicateur. Il m’a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je vais vous dire quoi, il vous faut aller là au Texas.»

            Et alors, j’ai dit: «Vous voulez que je les amène là? Je placerai ces mille dollars dans l’oeuvre missionnaire.»

            Et il a dit: «Eh bien, prenez la petite fille et allez là-bas, si vous prenez un couteau et que vous lui coupez le bras, et puis vous guérissez cela devant nous, alors nous vous croirons.»

            J’ai dit: «Vous avez besoin de la guérison mentale. Quiconque voudra couper le bras d’un enfant pour voir s’il peut guérir cela, non, il ne jouit même pas de ses facultés mentales.» Ils ne savent pas cela. Qu’est-ce? C’est parce qu’ils aiment se vanter et se gonfler de quelque chose, ils ne savent pas de quoi ils parlent. Tout à fait.

17        C’était pareil avec Goliath. Oh! Combien il aimait se vanter! Il a dit: «Je vais vous faire une proposition. Que l’un de vos, hommes... Choisissez-vous quelqu’un, et venez me combattre. Si je le bats, alors, vous tous, vous nous servirez. S’Il me bat, nous vous servirons.» Oh! Comme Satan peut rendre cela très raisonnable! C’est intellectuel. «Nous n’aurons pas d’effusion de sang; qu’une seule personne parmi nous meure. Un homme meurt, et le reste de nous vivra.» Certainement, il avait le dessus. Et tout le monde avait peur de la mort.

            Et s’il y avait un homme dans toute la nation d’Israël qui était physiquement équipé pour affronter ce géant, c’était Saül. Il dépassait toute l’armée d’Israël d’une tête. Et il était bien entraîné. Il connaissait toutes les manoeuvres: comment manipuler la lance, ou comment tenir son bouclier pour parer un coup. Pas seulement cela, mais il était un formateur d’hommes: l’homme le plus géant de la nation, le mieux formé de la nation, mais l’un des plus grands lâches de la nation. Et c’est pareil aujourd’hui. On n’a pas besoin d’instruction ni de formation, mais il n’avait jamais mis Dieu à l’épreuve.

18        Mais un jour, là loin derrière le désert, est venu David, le fils d’Isaï, blond, chignon redressé, en petit manteau de peau de brebis, tenant une fronde en main. Ce géant s’est vanté au mauvais moment. David a regardé et a dit: «Voulez-vous me dire que vous laisserez ce Philistin incirconcis se tenir là et insulter l’armée du Dieu vivant? Pouvez-vous imaginer l’homme le plus petit sur terre relever son défi? L’homme le plus grand, le mieux entrainé et le plus équipé pour affronter cet homme-là, était un lâche. Frère, cela ne réside pas dans la formation, cela réside dans l’expérience.

19        Alors, on amena David devant Saül. Saül dit: «Eh bien, cet homme est un militaire. Il est un homme de guerre dès sa jeunesse et tu n’es rien qu’un enfant.»

            Mais il parlait à un homme qui avait de l’expérience. Il a dit: «Monsieur, quand je prenais soin des brebis de mon père, là derrière les montagnes, un jour, un lion vint et attrapa une de mes brebis, et il détala avec elle. J’ai pris ma fronde, je l’ai terrassé, et j’avais pourchassé mon agneau. Et quand j’ai arraché l’agneau de sa gueule, il s’est dressé contre moi, et je l’ai tué.» Et il a ajouté: «Un ours est venu et il en a attrapé une. Et je l’ai terrassé.» Il a ajouté: «Et le Dieu qui m’a délivré des griffes du lion et de la gueule de l’ours, ne me délivrera-t-Il pas à plus forte raison des mains de ce Philistin incirconcis?» Il ne connaissait rien de la théologie, mais il connaissait Dieu. Il avait une expérience.

20        Il parlait à un homme bourré de théologie sur l’art de combattre, mais qui n’avait jamais mis Dieu à l’épreuve. C’est pareil aujourd’hui. Il ne faut pas l’instruction. Il ne faut pas beaucoup de réflexion. Il faut un coeur humble consacré à la puissance de la résurrection de Christ et rempli du Saint-Esprit, qui sait de quoi il parle. Il a dit: «Ton serviteur ira se battre avec lui et le Dieu...»

            Vous voyez, premièrement, il y avait un besoin, il y avait une crise. Et si jamais il y a eu une crise, c’est maintenant.

            «Oh! a-t-il dit, je vais me battre avec lui.»

21        Et, évidemment, Saül ne pouvait pas le laisser partir comme cela. Il en savait trop sur la théologie moderne. Il a dit: «Viens ici et prends mon épée. Voyons comment tu la manies.» Et il l’a revêtu de son armure. Et lorsque cette grande armure d’un homme qui dépassait d’une tête tous les hommes de son armée fut placée sur un petit avorton rabougri, vous pouvez vous imaginer combien ses petites jambes ont fléchi, ses yeux sont ressortis et le casque lui est descendu sur les oreilles.

            Il a dit: «Ôtez-moi cette histoire.» Comme un homme qui sent un appel de Dieu, et il doit aller passer vingt ans de sa vie à apprendre le grec. Vous n’avez pas besoin de connaître le grec; vous avez besoin de connaître Christ, c’est ce qu’il vous faut savoir. Oui! Il a dit: «Ôtez cette histoire. Je n’ai jamais expérimenté cela. Je ne sais pas ce que fera cette théologie pour moi. Laissez-moi aller avec ceci, ce que je connais. C’est ce dont l’église a besoin ce soir, ce n’est pas d’une école pour vous instruire, pour vous inculquer beaucoup d’histoires, ce n’est pas là la place. Vous avez besoin de la foi et d’une expérience en Jésus-Christ ressuscité pour enflammer votre âme, appeler les choses qui n’existent pas comme si elles existaient. C’est ce dont le monde a besoin ce soir, ou ce dont l’église a besoin. Pas le monde, l’église. Vous ne pouvez pas blâmer le monde, mais vous pouvez blâmer l’église qui a déjà connu une expérience, de passer de la mort à la vie.

22        Eh bien, Saül a découvert que son veston ecclésiastique ne convenait pas à un homme de Dieu. Cela ne marche simplement pas. Vous n’avez pas besoin de connaître la théologie. Vous avez besoin d’une petite genoulogie pour connaître Dieu.

            Et il a pris cette petite fronde; c’est tout ce qu’il avait. C’est tout ce qu’il connaissait, mais il savait que Dieu s’était servi de cette chose pour un autre but, pour sauver quelque chose. Combien plus utilisera-t-Il cela maintenant pour sauver toute l’armée d’Israël? Et, frère, je ne m’y connais pas sur vos instructions, vos énormes séminaires, mais je connais une seule chose: Comme pécheur, un jour, dans un vieux hangar à charbon, j’ai rencontré Jésus-Christ dans la puissance de Sa résurrection, cela a sauvé ma vie.

23        Quand Dr Roy Davis, celui qui m’avait ordonné dans l’Eglise missionnaire baptiste... Et quand l’Ange du Seigneur est venu vers moi et m’a dit que je devais apporter ce Message dans le monde entier, il a dit: «Billy, tu as besoin de repos. Tu ferais mieux de rentrer à la maison.»

            J’ai dit: «Docteur Davis, cet Ange s’est tenu là, et Il m’a dit cela.»

            Il a dit: «Toi, avec une instruction d’école primaire, tu vas prier pour les rois et les potentats?»

            J’ai dit: «C’est ce qu’Il a dit, et c’est ce que je crois.» J’ai dit: «Si c’est ça l’attitude de l’Eglise baptiste, je renonce à ma carte de membre.»

            Je... Il a dit: «Qui penses-tu va t’écouter?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas. Ce n’est pas mon affaire de demander cela. Mon affaire à moi, c’est de faire ce qu’Il m’a dit. C’est Son affaire d’envoyer quelqu’un écouter cela.»

24        Mon vieux parler sassafras du sud du Kentucky his, haint, tote, fetch, carry, ne peut pas être... De toute façon, un soir, ici à Fort Wayne, je prêchais. Et après le service, un érudit m’a rencontré là derrière le couloir. Et il a dit: «Monsieur Branham, vous devriez avoir honte de vous-même, vous avez une très mauvaise grammaire.»

            J’ai dit: «Je le sais.» J’ai dit: «Je n’ai pas eu l’occasion d’aller à l’école, monsieur.»

            «Eh bien, a-t-il dit, vous ne... Vous êtes assez âgé maintenant.»

            J’ai dit: «Mais il y a beaucoup de malades, monsieur; je dois me déplacer. Je ne peux pas rester pour acquérir le savoir.»

            Il a dit: «Eh bien, vous pouvez le faire par correspondance.»

            J’ai dit: «Où est-ce que cela va me rattraper?» J’ai dit: «Je dois simplement rester en mouvement.»

            «Oh! a-t-il dit, la grammaire que vous utilisez devant les gens... Et ce soir, vous leur avez dit: ‘Tout le monde qui passe par ce polepit sera guéri.’» Il a dit: «Ces gens vous apprécieraient davantage si vous disiez pulpit.»

            Cela m’est passé sur les orteils. J’ai dit: «Monsieur, je n’aimerais pas vous blesser, mais il importe peu à ces gens là-bas que je dise pulpit ou polepit. Ils veulent me voir vivre la Vie de Christ, ai-je dit, manifester ce qu’Il a dit que ça doit être fait. En disant polepit, j’amène les gens à être sauvés et guéris; et qu’allez-vous obtenir en disant pulpit?»

            Oh! Ce n’est pas dans votre langage, c’est dans votre coeur que Dieu veut que vous connaissiez; ce n’est pas dans votre tête, mais dans votre coeur. Oui. David a tué Goliath.

25        Il y eut Moïse, le grand prophète... Si jamais il y a eu un homme instruit, et bien instruit, c’était Moïse. Oh! Il avait décroché tous les diplômes que l’Egypte offrait, et il pouvait enseigner la théologie à leurs hommes. Il était l’homme le plus intelligent de l’Egypte. Et il avait quarante ans révolus lorsqu’il est allé libérer ses frères. Mais vous voyez, il avait commis une erreur. Et il... Dieu l’avait amené derrière le désert, et il est resté là pendant quarante ans, le temps que Dieu le dépouille de cette théologie: prendre l’argile, battre cela jusqu’à ce que ça soit prêt.

            Et un jour, alors que ce vieil homme était là derrière le désert en train de paître les brebis de son beau-père Jéthro, il a vu un buisson en feu. Et il s’est avancé dans la présence de ce buisson. En ce temps-là, il avait quatre-vingts ans, et il a connu plus au sujet de Dieu en cinq minutes dans la présence de ce buisson qu’il n’en avait appris pendant quatre-vingts ans passés dans les écoles de l’Egypte. Certainement. Ce qui manquait à Moïse, le buisson l’avait. Et ce qui manque aux séminaires ce soir, le Saint-Esprit l’a: le même Feu de Dieu. Ce dont les écoles ont besoin, c’est du feu, du Saint-Esprit et du feu. Dans la présence de ce Feu, il a vécu une expérience. Il fuyait l’Egypte auparavant; le voici maintenant aller en Egypte.

26        Et des fois, Dieu peut faire des choses très ridicules à l’esprit charnel. Pouvez-vous vous imaginer, le lendemain matin, Moïse conduisant une petite ânesse et Séphora, sa femme, assise en califourchon sur le... ce petit mulet, avec un enfant à chaque hanche? Un vieux bâton sec en main, la moustache flottant d’un côté, Moïse louait l’Eternel pendant qu’il descendait les collines. Si ce n’est pas là un spectacle pitoyable pour l’esprit charnel!

            Quelqu’un dit: «Moïse, où vas-tu?»

            «Je descends en Egypte faire la conquête»: Une invasion par un seul homme. Mais la chose était qu’il avait fait cela. Pourquoi? Il avait connu une expérience. Il ne s’est pas soucié du nombre d’Egyptiens qu’il avait tués. La première fois qu’il avait tué un seul, il avait eu des problèmes, et il avait fui. La fois suivante, il avait toute l’armée. Il avait eu une expérience avec Dieu. Ce dont l’église a besoin ce soir, ce n’est pas d’une instruction, mais d’une expérience pour avoir la foi: le Feu, le spirituel, le Saint-Esprit et le feu.

27        Quand j’étais un petit garçon, j’avais eu une expérience avec quelque chose comme cela: un feu. Je pense que vous, ici, qui venez de l’Ohio, vous connaissez ce qu’est une tortue. Mon frère et moi en avions trouvé une derrière la ferme. Et, oh! comment elle balançait ses pattes, vous savez, et sa tête était dressée. C’était une créature d’apparence bizarre. Et aussitôt que nous nous sommes approchés d’elle, elle a ramené ses pattes, sa tête, et tout, dans cette carapace, elle s’est simplement enfermée. Cela m’a beaucoup rappelé les soi-disant chrétiens. Aussitôt que vous parlez de la guérison divine ou du Saint-Esprit: «Oh! Non, nous ne croyons pas cela.» Ils s’enferment tout bonnement comme une vieille tortue. C’est vrai.

            Eh bien, nous voulions la voir marcher. Et je veux aussi voir l’église marcher. Mais elle ne pouvait pas marcher avant de faire bouger ses pattes. Et l’église ne bougera pas avant que le corps entier se mette en action: vous tous les méthodistes, les baptistes, les presbytériens et les pentecôtistes.

28        J’ai dit: «Juste une minute, frère. Je vais la faire marcher.» Je suis allé me procurer un bâton, et j’ai vraiment déversé cela sur elle. Cela n’a fait aucun bien. Vous ne pouvez pas enfoncer cela en eux en les frappant. Plus vous frappez, plus elle s’enferme hermétiquement. J’ai réfléchi quelques instants. Je me suis dit: «Comment pouvons-nous la faire marcher?» Je l’ai amenée à un petit ruisseau. J’ai dit: «Si elle ne marche pas, je vais la noyer.» Et je l’ai tenue de mes deux mains et je l’ai plongée dans l’eau. Juste quelques bulles d’air sont remontées et c’était tout. Oh! Je sais que vous avez toutes sortes de baptêmes: les aspersions et le déversement, on en a fait des dénominations. Mais qu’arrive-t-il? Ils descendent des pécheurs secs et ils ressortent des pécheurs mouillés. C’est tout. Cela ne fait aucun bien. Vous ne pouvez pas enfoncer cela en eux ou le faire entrer en eux par le baptême.

            Savez-vous ce que j’ai fait? Je me suis procuré des morceaux de bois et un petit morceau de papier. J’ai allumé un feu et j’ai placé la vieille tortue dessus. Elle a alors bougé. Et s’il y a quelque chose qui fera marcher l’église de Dieu, c’est le baptême du Saint-Esprit qui descend encore; pas une manière de baptiser, ou une manière de dire qu’ils... ceci, cela, et autre, une nouvelle théologie, mais juste laisser le Saint-Esprit descendre de nouveau sur l’église, le Feu. Le problème en est que vous avez ôté de l’autel le Feu et vous l’avez placé dans le fourneau. On en a besoin sur l’autel et dans chaque coeur une fois de plus: le réveil à la Saint Paul à l’ancienne mode et le Saint-Esprit de la Bible font revivre les puissances de Dieu.

29        J’étais une fois au chantier de chemin de fer. Et on venait de fabriquer l’un de ces nouveaux moteurs Zéphyr et le train. Et j’ai eu le privilège de visiter ce train. Oh! Il était très joli. Il était tout en aluminium. Je suis entré dans la salle à manger, et (Oh!) c’était très joli. Je suis entré dans le wagon pullman et dans toutes les voitures, et les sièges étaient très luxueux et c’était très joli.

            C’est presque comme les églises le sont aujourd’hui: de très grandes flèches élevées; Docteur en philosophie, docteur en droit, ou quelque chose de ce genre, derrière la chaire, revêtu d’une belle robe, les cheveux bouclés, ils peuvent s’incliner et dire: «Aaaaamen» de la plus belle manière. Frère, j’en ai assez de cette évangélisation à la Hollywood, je ne sais que faire. Les femmes parcourent l’estrade, les pianistes...

30        Un gars s’en est pris à moi une fois au sujet d’un homme avec qui je travaillais. Et il a dit: «Nous n’allons pas... nous ne pouvons pas soutenir cela. Ce garçon-là fume la cigarette.»

            J’ai dit: «Il est un pécheur, il conduit juste un camion, il l’a conduit ici.»

            Cet après-midi-là, une église de la sainteté... Il voulait me présenter à sa femme. Je vous assure, je ne me moque de personne; mais cette pauvre mortelle portait un habit très collé; de très grosses et longues boucles d’oreilles, et beaucoup de fard. J’ai dit: «Est-ce une sainte?»

            Il a dit: «Oui, oui.»

            J’ai dit: «Elle me paraît une qui ne l’est pas.» [En anglais Saint et Haint] J’ai dit: «Cela, frère, est loin d’être...» Je ne dis pas cela pour plaisanter. Je veux dire, c’est la vérité. C’est vrai. Ce dont nous avons besoin, c’est du Saint-Esprit et du Feu, et d’une expérience dans l’église pour ôter les impuretés, les entasser et les brûler. Je ne dis pas cela pour plaisanter. C’est...Ceci n’est pas un endroit où faire des plaisanteries. Je suis juste en train de vous décrire la condition de l’église et ce dont nous avons besoin. Nous avions... C’était dans une bonne dénomination, les gens de la sainteté en plus. Vous avez la grande église. Vous avez la plus grande–vous avez la plus grande église, la plus grande congrégation. Vous avez les meilleurs orgues. Autrefois, vous vous teniez dans la rue avec un tambourin en main. Vous étiez de loin mieux là-bas, avec un tambourin en main et le Saint-Esprit dans votre coeur, que vous ne l’êtes ici avec une bonne grande église, avec des bancs en peluche, sans rien qui vous reste.

31        J’ai observé ce vieux train alors que je le parcourais. J’ai dit: «Quand va-t-il rouler? Peut-il se déplacer?»

            On m’a dit: «Non, non.»

            J’ai dit: «J’aimerais faire un tour à bord.»

            Il a dit: «Ça ne peut pas rouler.»

            J’ai dit: «Pourquoi?»

            Il a dit: «Il n’y a pas de feu dans le moteur.» C’est ça le problème de l’église aujourd’hui. Elle est toute luxueuse et décorée, sans feu dans le moteur. Vous ne pouvez vous déplacer que grâce au feu. Oh! Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est davantage de Saint-Esprit et de Feu.

32        Moïse était en feu pendant qu’il descendait. Certainement qu’il l’était.

            Il y eut une fois un homme du nom de Samson. Il était juge en Israël du temps des juges. Et sa soi-disant chérie l’avait lié avec des brindilles. Et il les a cassées. Et puis, les Philistins sont venus vers lui. Samson se tenait là, entouré de mille Philistins. Remarquez, tout d’un coup, ils sont... Il avait eu une expérience et c’était qu’une double portion de l’Esprit de Dieu, très forte, était déversée sur lui, et il a pris une mâchoire d’un mulet et il a tué mille Philistins. Comment a-t-il pu le faire? Après qu’il eut eu une expérience de l’Esprit de Dieu sur lui, c’est alors qu’il a pu tuer les Philistins.

33        Il y avait un petit homme; peut-être que vous les prédicateurs, vous n’avez jamais lu à son sujet. Son nom était Schamgar. C’est dans le Livre des Juges, au chapitre 3, le verset 31. Et il était juste un petit fermier. Il ne connaissait pas grand-chose, mais il était juste un Israélite, juste un membre laïc de l’église. Et à l’époque, les Philistins leur volaient, parce qu’ils n’étaient pas unis. C’est ce que le diable peut faire à l’église; tant qu’il peut vous amener à penser: «Je suis baptiste, j’ai toute la chose; je suis pentecôtiste, j’ai toute la chose», il va voler aussi certainement que vous êtes assis ici. Il a amené l’église à se battre, les uns contre les autres. Et alors comment, puisque vous vous tirez les uns les autres, lui se met juste en retrait et vous laisse tirer cela.

34        Alors, ce petit homme avait travaillé durement tout l’été. Et il avait entassé son blé et son orge dans le grenier. Pendant qu’il se tenait là, regardant, il a entendu un bruit sur la route: Tromp, tromp, tromp. Et il a regardé, et voici venir six cents Philistins, tous armés de lances. Eh bien, il était un fermier. Il ne connaissait rien sur le combat. Il a baissé le regard vers sa petite femme qui se tenait là, peut-être, avec ses petites joues pâles, des larmes lui coulant; elle a dit: «Schamgar, qu’allons-nous faire cet hiver?» Il a vu sa petite fille, les bras dénudés, la petite jupe déchirée, peut-être appuyée contre le mur, en train de pleurer. Qu’était-ce? Les Philistins venaient emporter ce qu’il avait. C’est ce que le diable fait.

            Vous savez quoi? Schamgar s’est mis à réfléchir: «Vous savez, je ne suis pas un combattant, mais je suis un fils d’Abraham; je suis de la tribu et de la lignée; et je suis circoncis. Je sais que mon Dieu vit toujours. Et une crise approche.» Alors, l’Esprit du Seigneur est venu sur lui, il a sauté en plein milieu de la route avec un aiguillon à boeuf en main. Eh bien, c’est un bâton avec une petite bosse au bout, avec laquelle on peut donner un coup au boeuf et le faire labourer. Et il a sauté là avec un aiguillon à boeuf en main et il a tué six cents Philistins. Pourquoi? Parce qu’il savait qu’il était un Israélite. Il avait un droit. Il avait accès à ses droits donnés par Dieu. Il était circoncis.

35        Et tout homme ici qui a été circoncis par l’Esprit de Dieu, qui est né de nouveau... Quiconque parmi vous est malade, le diable est un bluffeur, il va vous voler; il va faire pâlir vos joues; il fera tout son possible; mais vous n’avez pas à endurer cela davantage. Vous dites: «Je ne suis pas un prédicateur», mais vous êtes un chrétien. Il ne savait pas comment combattre. Il a dit: «Je ne sais rien au sujet de la foi.» Avancez de toute façon. Oui, oui.

            Un jour, j’entrais dans une–une base, ou dans un stade de football, et j’ai vu accrochée au mur une petite chose qui m’a toujours frappé. Voici ce qui était écrit: «Ce n’est pas le poids du chien dans le combat qui compte, c’est la combativité dans le chien qui compte.»

            C’est ce qui fait la chose. Si vous êtes un gros chien et juste un lâche, on va vous battre à tout moment. Mais vous pouvez être un chiot et avoir beaucoup de courage; vous pouvez faire fuir l’ennemi chaque fois. C’est la dimension du Dieu du Ciel dans le coeur, et Il est un grand Dieu et un bon, Il couvre tout l’espace et le temps.

            Certainement, ce dont l’église a besoin ce soir, c’est d’un autre retour vers Dieu. Mmm.

36        Très bien. Ça a dû être Philippe, alors qu’il rentrait en compagnie de Nathanaël. Et alors qu’il revenait, il pouvait dire à Nathanaël des choses qui avaient été accomplies, parce qu’il avait vu Jésus dire à Pierre: «Ton nom est Simon. Le nom de ton père, c’est Jonas. Et désormais, Je t’appellerai Céphas.»

            C’était après que Philippe eut connu cette expérience qu’il pouvait dire à Nathanaël en chemin: «Je ne serai pas du tout surpris qu’Il te dise qui tu es et d’où tu viens, tout à ton sujet, aussitôt que tu entreras dans Sa Présence.» Voyez, il avait eu une expérience, que Jésus pouvait faire cela.

37        Ce n’était pas une chose étrange après pour la femme au puits. Elle était juste une prostituée qui était allée puiser de l’eau. Et pendant qu’elle puisait de l’eau, un Hébreu était assis là, adossé au mur, et Il a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Eh bien, le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser, et de toute façon, il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»

            Et la conversation s’est poursuivie, et Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Or, nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera toutes ces choses.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            C’était après avoir eu cette expérience qu’elle a pu entrer dans la ville en courant et dire: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie? Ne serait-ce pas le signe du Messie?»

            Vous dites: «Ce n’est pas écrit dans les Ecritures, Frère Branham, que le Messie ferait cela.» Mais elle l’a dit, n’est-ce pas? Philippe l’a dit, n’est-ce pas?

38        J’aimerais vous poser une question, spécialement à vous les Juifs, au sujet du pain kasher au Yom Kippur. Les Ecritures parlent seulement de deux morceaux de pains. Mais vous savez, il y en avait trois. Et le morceau du milieu, c’est celui qu’on brisait: le Messie.

            Qu’est-ce qui avait indiqué à Job son lieu de l’enterrement? Il n’y a pas une Ecriture écrite à ce sujet. Qu’est-ce qui avait dit à Abraham d’acheter ce lopin de terre là à côté de Job? Job, quand l’Esprit était venu sur lui, il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant et qu’Il viendra sur la terre dans les derniers jours. Même si les vers de mon corps détruisent ce corps, cependant, dans ma chair, je verrai Dieu.» C’était après l’éclair et le feu que Job pouvait dire cela. C’était donc là qu’Abraham a pu enterrer Sara. Et c’est là qu’Isaac s’est endormi auprès de son père. C’est alors que Jacob, à sa mort en Egypte, a néanmoins fait jurer son fils qui était prophète: «Place tes mains sur ma cuisse et jure-moi par le Dieu du Ciel que tu n’enterreras pas mes os ici.» Pourquoi? Ce n’était pas écrit dans les Ecritures. Pourquoi? Il était un prophète. Et il savait que la résurrection n’aurait pas lieu en Egypte; elle aurait lieu en Palestine.

39        Pourquoi Joseph a-t-il dit: «N’enterrez pas mes os ici. Je veux qu’ils soient enterrés là dans la Terre promise»? Pourquoi? Dans Matthieu 27, la Bible dit que lorsque Jésus est ressuscité, plusieurs des saints qui dormaient dans la poussière de la terre sont sortis, ils sont entrés dans la ville et ils sont apparus aux gens. Qu’était-ce? C’était une révélation spirituelle. Jésus a dit que c’est là qu’Il bâtirait Son Eglise. Voyez? C’est après avoir connu Dieu que vous pouvez prendre Sa Parole pour quoi que ce soit. C’est après que Jésus eut fait une démonstration à Ses disciples sur cet arbre, Il avait dit: «Que personne ne mange de ton fruit», et le lendemain, ils ont vu que l’arbre avait séché. C’était après qu’ils avaient eu cette expérience de voir que Jésus a dit: «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez point dans votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous pouvez recevoir ce que vous avez dit», après qu’ils avaient eu cette expérience.

40        Ce soir, pendant qu’on est ici, parlant de la Parole, qu’est-ce qui a causé ce grand mouvement ici ce soir dans cette salle? Qu’est-ce qui fait que nos coeurs se sentent différents ici, maintenant même, par rapport au sentiment que nous éprouvions quand nous étions dans la rue? C’est le Saint-Esprit. C’est l’Esprit de Christ qui se réunit avec nous ici. Maintenant, après que vous avez eu cette expérience, vous pouvez alors appeler ces choses qui n’existaient pas comme si elles existaient pour votre guérison. C’est après que vous avez eu une expérience.

41        C’était après que Cléopas eut fait entrer Jésus dans la pièce, lui et son ami, à Emmaüs, et que Jésus eut brisé le pain que leurs yeux s’ouvrirent. C’était après que cela eut été fait. Ils ont pu courir toute la nuit, rentrant annoncer aux disciples: «C’est vrai, Il est ressuscité des morts. Nous L’avons vu là, et Il a fait la même chose qu’Il avait faite, comme Il avait fait avant Sa crucifixion»: après qu’ils L’avaient vu.

            Oh! Frère, aujourd’hui, il n’y a pas de raison pour ce monde des Gentils de rejeter son dernier signe. Jésus-Christ est ressuscité des morts. Il est ici ce soir sous forme du Saint-Esprit. Il est ici pour accomplir des oeuvres et faire exactement comme Il l’avait fait avant Sa crucifixion. Il est ressuscité des morts: Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Vous pouvez en douter, mais s’Il entre en scène dans quelques minutes et qu’Il accomplisse la même chose qu’Il avait faite avant Sa crucifixion, alors vous êtes un pécheur, c’est vrai, si vous reniez cela.

42        Qu’est-ce que le péché? L’incrédulité. Boire, fumer, jouer à l’argent, commettre adultère, ce ne sont pas là des péchés. Ce sont les attributs de l’incrédulité. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Il n’y a que deux choses: C’est soit la foi, soit l’incrédulité. Vous êtes chargé ici ce soir de l’un ou de l’autre. Que Dieu soit miséricordieux!

            Christ, maintenant... Tout ce que je peux dire ne représenterait rien par rapport à une seule parole qu’Il peut dire. Si Christ, ce Fils de Dieu, peut entrer en scène et faire ce qu’Il avait fait avant Sa crucifixion, combien parmi vous ici Le recevront comme leur Sauveur et leur Guérisseur? Dites: «Amen.» Prions. Inclinez la tête juste un moment. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

43        Béni soit Dieu, la suite T’appartient. Nous savons ce soir que nous sommes dans le besoin d’un grand mouvement du Saint-Esprit, et il n’y a que Toi seul qui peux faire ceci, Seigneur. Et je Te prie ce soir de bénir et de sauver tous les pécheurs, les incroyants, comme ils voient le temps avancer, et le temps s’écoule. Il est plus tard que nous ne le pensons. Et je Te prie ce soir de traiter avec les coeurs des hommes et des femmes. Il n’y a aucun moyen pour moi de le faire. Je suis juste un homme. Tu es Dieu, et je Te prie, au Nom de Jésus, d’envoyer le Saint-Esprit dans cette salle maintenant même et de convaincre chaque coeur qui ne se soucie pas de Ta Venue. Accorde-le, Seigneur. Je m’attends à ce que Tu le fasses, car je le demande au Nom de Christ.

44        Tout le monde avec la tête inclinée, j’aimerais vous poser une question. J’aimerais que vous ici, qui savez que si Jésus venait ce soir, vous n’êtes pas préparés pour partir, votre coeur n’est pas en ordre avec Dieu, j’aimerais que vous leviez la main vers Lui et que vous disiez: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi», alors que vous levez la main. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, partout, en haut, aux balcons, ici en bas, au moins deux cents à ma gauche, à ma droite. Il y a ici cent, ou deux cents, ou plus de ce côté-ci: les hommes et les femmes ici qui savent que si Jésus venait ce soir, vous n’êtes pas préparés. Je ne vais pas faire un appel à l’autel maintenant même. Je vais attendre. Mon message ce soir était: La foi vient par l’expérience.

45        J’ai eu le privilège de parler aux bouddhistes, aux jaïns, en prêchant, de voir des dizaines de milliers venir à Christ, de me tenir à la chaire avec la Bible dans une main et le Coran dans l’autre, défier la religion musulmane et dire: «Si Dieu n’agit pas selon Sa Parole et qu’Il ne confirme pas chaque promesse, alors, vous avez le droit de défier Christ»; et observez le Dieu Tout-Puissant entrer en scène.

            Maintenant, après Christ... Quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même», comme le docteur Vayle venait de l’expliquer, les oeuvres qu’Il avait accomplies. «Je ne fais rien avant que le Père Me le montre premièrement.» Il connaissait leurs pensées. Il leur disait qui ils étaient, d’où ils venaient, ce qu’ils avaient fait. Il a fait cela devant les Juifs, pas devant les Gentils. Il a fait cela devant les Samaritains, mais aucune seule fois Il n’a fait cela devant les Gentils. Il a dit: «N’allez pas chez les Gentils.» Pourquoi? La coupe de l’iniquité des Gentils n’était pas encore à son comble. Dieu avait aveuglé les Juifs et les avait dispersés. Les Samaritains étaient juste une race intermédiaire entre les Juifs et les Gentils.

46        Maintenant, j’aimerais vous demander quelque chose. Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Eh bien, si Jésus vient ce soir ici à l’estrade et qu’Il accomplit les mêmes oeuvres au travers de Son Eglise... Eh bien, Il est le même. Il agit de même. L’unique différence en Lui, c’est le corps physique. «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» C’est le sarment qui porte les fruits, pas le cep. Le cep fournit la vie aux sarments et chaque sarment portera les fruits du cep qui sont en lui.

47        J’ai vu Dr Vayle tenir ce soir cette photo de l’Ange du Seigneur. Si c’est Christ, dont le monde scientifique dit que la Lumière a frappé l’objectif, ce même Esprit n’est pas à cinq pieds [1,52 m] de là où je me tiens maintenant même, sinon je suis un menteur. Cela se passe tout le temps dans ma vie.

            Vous avez dit: «Cette Colonne de Feu est-Elle Christ?» Ça l’était; Cela... lorsque Cela conduisait Israël dans le désert. Lorsque qu’Elle s’est faite chaire et a habité parmi nous, Jésus a dit: «Je viens de Dieu et Je vais à Dieu.» Après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, Paul L’a rencontré sur le chemin de Damas; il était retourné à la Colonne de Feu une fois de plus. Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»

            Il a dit: «Je suis Jésus... Il te serait dur de regimber contre les aiguillons.»

48        C’était Lui qui était entré en prison et avait libéré Pierre. C’est Lui, aujourd’hui, qui apporte le même Message, qui accomplit les mêmes signes alors que le monde des Gentils touche à la fin. Bientôt, l’Evangile retournera chez les Juifs et les soixante-dix semaines de Daniel seront accomplies. L’église des Gentils sera enfermée dehors, comme j’ai prêché là-dessus hier soir, et vous serez sans espoir, sans Dieu. Vous serez les vierges qui n’avaient pas d’huile dans leurs lampes, et il y aura des pleurs, des gémissements et des grincements de dents, alors que l’armée russe vient ici et viole les femmes dans les rues, prend le contrôle de vos maisons, vous brûle; et les choses qu’ils feront lorsqu’ils arriveront ici: le monde communiste, qui a ratissé notre nation. Mais l’Eglise s’en ira avant cela. S’Il le fait ce soir, que Dieu vous bénisse.

49        Père divin, ils sont à Toi maintenant. Trois ou quatre cents ont levé leurs mains pour T’accepter comme leur Sauveur et s’approcher de Toi. Je Te prie, ô Dieu, de faire quelque chose maintenant même, afin qu’ils voient que Tu es vivant, que leur foi ne puisse pas abdiquer désormais. J’ai simplement dit que souvent l’expérience... Eh bien, ces disciples n’auraient pas su que Tu pouvais tuer un arbre si Tu n’avais pas fait cela. Beaucoup, ce soir, ne T’ont jamais vu dans la puissance de Ta résurrection accomplir les oeuvres que Tu avais accomplies avant Ta résurrection, avant même Ta mort, comment Tu as fait... Ils n’ont jamais vu cela. Ainsi, après qu’ils auront vu cela, ils auront alors une expérience, et ils peuvent aller de l’avant et être Tes témoins. Je Te prie d’accorder cela ce soir, au Nom de Ton Fils Jésus. Amen.

50        Je... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... respect, prier. Maintenant, je ne sais pas qui s’occupe de cet appareil ici, surveillez cela de près parce que... Quoi? [Frère Vayle parle à frère Branham.–N.D.E.] Oui. Maintenant, docteur Vayle vient de me dire que si quelqu’un doit partir dans les quinze prochaines minutes, ce serait mieux pour lui de partir maintenant; ne dérangez pas. Nous voulons vraiment du respect. Voyez? Tout aussi calme que possible.

            Combien savent qu’un jour, une femme n’avait pas de chance d’entrer dans la ligne de prière? Et elle souffrait d’une perte de sang. Puis, elle a touché Son vêtement, et elle est entrée dans la foule en courant. Et Jésus s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Il ne savait pas qui L’avait touché. S’Il le savait, c’est qu’Il racontait juste une histoire. Il ne pouvait pas juste raconter une histoire, parce qu’Il était Dieu. Ainsi, Il a dit: «Qui M’a touché?» Tout le monde avait nié cela. Mais Il a promené le regard, cette petite femme savait dans son coeur qu’elle était guérie, Il avait trouvé cette foi-là. Il lui a dit que sa perte de sang s’était arrêtée parce qu’elle avait cru. Combien le savent? La Bible dit-Elle que maintenant même Il est le Souverain Sacrificateur, qui est assis à la droite de Dieu au Ciel, qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Combien savent cela? Eh bien, s’Il est le même Souverain Sacrificateur qu’Il était lorsqu’Il était ici sur terre, comment saurions-nous qu’Il est le même? Il aura à agir de même.

51        Maintenant, vous qui n’avez pas de cartes de prière, levez la main, vous qui voulez être guéri: Partout. Maintenant, regardez au Souverain Sacrificateur et dites: «Seigneur Dieu, je crois que Jésus est le Fils de Dieu. Je L’accepte comme mon Sauveur. Et j’aimerais croire cet homme, car il cite les Ecritures; j’ai lu cela plusieurs fois. Il m’est un peu difficile de voir cela maintenant même, mais laisse-moi toucher Son vêtement; laisse-moi toucher le vêtement de Jésus, le Souverain Sacrificateur.» Non pas le mien, je ne suis qu’un homme. Ça serait une touche morte. Mais touchez-Le et dites-le: «Seigneur Dieu, laisse-moi Te toucher», et voyez s’Il ne va pas se retourner et utiliser ma voix pour vous dire la même chose qu’Il avait dite à la femme au puits.

            Ô frère, ceci ne se fait pas dans une pièce sombre; ceci se passe ici devant vous tous. Combien ici dans la ligne de prière me sont inconnus? Levez la main. Chacun de vous? Combien là dans l’assistance me sont inconnus, je ne vous connais pas? Levez la main. Je ne vois personne que je connais dans la salle ce soir, en dehors de frère Gene Goad ici, le chargé des bandes.

52        Maintenant, soyez vraiment respectueux; restez tranquilles. C’est maintenant le moment où mon ministère va être prouvé si c’est vrai ou si c’est faux. Maintenant, il y a des milliers de gens ici ce soir: la salle est archicomble. Eh bien, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit agir de même hier, aujourd’hui et éternellement. Alors, s’Il tient Sa promesse sur ceci, Il tiendra Sa promesse pour vous, pour votre maladie et pour je ne sais quoi encore. Est-ce vrai? Comment ceci Lui paraîtrait-il plus difficile à faire par rapport à guérir votre maladie? Hmm. Voyez? Votre maladie est dans l’expiation. Ceci n’y est pas; ceci est la promesse.

            Je pense que nous sommes inconnus, madame. Maintenant, observez. A l’assistance, soyez maintenant très respectueux et écoutez attentivement. Maintenant, que celui qui est chargé de cet appareil le relève autant que possible. Maintenant, voici une femme que je n’ai jamais vue. Je lève ma main. Jamais de ma vie je n’ai vu cette femme, à ce que je sache. Si nous sommes inconnus, voudriez-vous lever la main, madame? C’est la première fois que nous nous rencontrons.

53        Voici le tableau exact de Saint Jean 4. Tout ce que nous faisons ou disons doit provenir des Ecritures, autrement, nous n’accepterons pas cela. Une femme et un homme se rencontrent pour la première fois dans la vie... Eh bien, si elle est une chrétienne, je ne sais pas. Peut-être qu’elle est une critiqueuse. Peut-être qu’elle est une infidèle. Peut-être qu’elle est une critiqueuse déguisée. Si c’est le cas, observez ce qui arrive.

            Si je disais à la femme qu’elle est malade et que je ne faisais que deviner ce qui était juste... Je ne sais pas si elle l’est, mais si je lui disais qu’elle est malade, et que je dise: «Je vous impose les mains maintenant. Vous allez vous rétablir», elle aurait le droit d’en douter. Mais si Dieu dit quelque chose comme Il avait fait à la femme au puits, ou quelque chose qu’elle sait, qui est arrivé dans sa vie passée, alors elle saura si c’est la vérité ou pas. Et s’Il sait ce qui a été, certainement qu’Il a la puissance de connaître ce qui sera, s’Il sait ce qui a été. Est-ce vrai?

            Maintenant, rappelez-vous, je suis en train de faire ceci, non pas parce que ça doit être fait, mais parce que Christ a promis que cela doit être fait. Vous en souvenez-vous? Et ceci est le signe qui montre que l’âge des Gentils touche à la fin. Les bombes à hydrogène sont suspendues là-bas, prêtes pour vous. Mettez-vous en ordre avec Dieu; l’Enlèvement aura bientôt lieu.

54        J’aimerais juste vous parler, étant donné que je ne vous ai jamais vue. Pourquoi, à votre avis, Jésus avait-Il parlé à la femme au puits? Eh bien, vous n’avez pas à me répondre. Je vous parle simplement. Il a parlé à la femme au puits, premièrement pour saisir son esprit. Il lui a demandé à boire. Cela a déclenché une conversation. Et quand Il a accompli ce miracle sur l’homme, celui-ci a dit: «Tu es le Fils de Dieu.» La femme a dit... la Samaritaine a dit: «Tu es le Fils de Dieu.» Mais qu’a dit cette très grande bande de Juifs guindés? «C’est un diseur de bonne aventure, Béelzébul.»

            Jésus a dit: «Vous dites ça contre Moi, cela vous sera pardonné; mais quand le Saint-Esprit sera venu faire la même chose, un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Alors, si Dieu fait cela, regardez dans quelle situation se retrouve cette assistance ce soir. Observez dans quelle situation se trouve l’incroyant: Ne jamais être pardonné, peu importe ce qu’il fait. Ce sont les propres Paroles de Christ. Ses Paroles ne peuvent pas faillir.

55        J’espère que l’assistance peut entendre ma voix. Que la femme reste tranquille. La femme vient de l’extérieur de cette ville. Elle n’est pas de cette ville. Elle n’est ni de cet Etat ni de cette nation: c’est une Canadienne. Et elle vient d’une ville appelée Ontario. Et la femme est malade depuis un certain temps. Elle souffre d’une maladie sur son flanc. Elle ne sait pas ce que c’est, car cette femme a ses propres conceptions sur Christ, et elle croit à la guérison divine et non à l’assistance du médecin. C’est vrai. L’endroit est enflé, ça vous cause ce trouble, c’est un... aussi infecté. Autre chose, vous avez à l’esprit quelqu’un pour qui vous priez, et c’est votre fils. Il souffre d’une dépression nerveuse. Et il est dans la ville, une grande ville, appelée Toronto, au Canada. C’est vrai. Si ces choses sont vraies, celles qui ont été dites... Je ne sais pas ce que c’est; la bande me le fera savoir. Si ces choses sont vraies, levez les mains. Tout ce que vous avez désiré... Quand vous êtes montée ici, il y avait une ombre noire sur vous. L’ombre noire a quitté, vous êtes donc guérie de tout ce que vous avez demandé; vous avez reçu cela. Retournez chez vous en vous réjouissant. S’Il sait ce qui a été, Il sait ce qui sera. Le bonheur vous attend. Allez en vous réjouissant, et remerciez Dieu.

            «Si tu peux croire...» Maintenant, combien croient? Maintenant, vous croyez. Maintenant, soyez respectueux.

56        Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, madame? Si c’est le cas, pouvez-vous... levons simplement les mains afin que les gens le sachent. Si notre Seigneur Jésus reste le même, Il est le Cep et nous sommes Ses sarments. Vous êtes une femme; je suis un homme. Vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose. Il y a une sensation sur cette femme, si vous voulez me croire sur parole. Il y a une–une véritable sensation d’aisance, de douceur, de tendresse qui envahit cette femme maintenant même. C’est vrai. Cette Lumière que vous avez vue sur la photo s’établit autour de vous.

            La femme ne vient pas de cette ville. Elle n’est pas de cet Etat. Elle vient d’une grande ville. Et au milieu de la ville, il y a de vieux bâtiments, de grandes places rocheuses. Et elle est près des chutes de Niagara. Elle vient de Buffalo, à New York. Et vous n’êtes pas ici seule. Votre mari est avec vous. Vous souffrez d’une maladie de nerfs. Cette maladie de nerfs s’est manifestée suite à l’irritation, et l’irritation, c’est un trouble féminin. Votre mari a aussi besoin de guérison. Sa maladie est sur son visage; ou, c’est sa mâchoire, et dans sa gorge. Il est ici maintenant. J’ai perçu son esprit tirer.

            Et vous priez pour quelqu’un, un vieil homme. Et ce vieil homme, c’est votre beau-père. Et je vous vois faire quelque chose pour lui. Vous essayez de l’amener ou de lui dire quelque chose. Il est sourd. Non, il ne l’est pas. Il est aveugle. Et il est aveugle suite au diabète sucré. Et il est maintenant à Buffalo. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ces choses sont-elles vraies? Chaque mot. Alors, rentrez et recevez ce que vous avez demandé. Jésus-Christ vous l’accordera. Amen.

57        Venez. Je pense que c’est notre première rencontre, monsieur? L’un de ces jours, nous allons nous tenir dans la Présence de l’Omniprésent, devant Qui nous nous tenons maintenant. Maintenant, tout le monde, soyez vraiment respectueux. Priez, là dans l’assistance, vous qui n’avez pas de carte de prière; mettez-vous à prier.

            Quelqu’un vient d’être guéri. C’était un homme, mais ce n’était pas celui-ci. L’Esprit est sur l’homme. Monsieur, vous savez que le fait de vous tenir à mes côtés ne vous fera pas vous sentir comme cela. C’est merveilleux, n’est-ce pas? Je souhaiterais que l’assistance... Merci, monsieur, alors, vous recevrez une récompense de Dieu. Oui, que le Seigneur Dieu vous bénisse, monsieur. Je vous suis inconnu. Vous souffrez, monsieur, d’une terrible maladie de nerfs. Cette maladie de nerfs est causée par une–une désarticulation vertébrale dans le dos. Ça s’est passé ici il y a quelque temps. Vous souleviez quelque chose, mais cela a provoqué un spasme, on dirait, cela a tiré la vertèbre aussi. Et je vous vois manquer... Vous quittez une table, refusant de manger, parce que vous avez un trouble d’estomac. Vous venez récemment de subir une intervention chirurgicale. Et cette intervention chirurgicale, c’était pour une ablation d’un rein de votre dos. C’est vrai. Et vous venez d’une ville en forme de triangle, près d’un endroit appelé Penny... Oh! C’est cette ville; vous êtes de cette ville. Votre nom est David McFarland. Poursuivez votre chemin vers chez vous et soyez guéri. Jésus-Christ vous a guéri pendant que vous montiez là. Ô Dieu, sois miséricordieux!

            Croyez-vous? Soyez respectueux maintenant, s’il vous plaît, juste un instant.

58        Cet homme, assis juste là derrière, souffre du mal de dos, juste là au bout du siège... Cela ne peut pas... Seigneur, viens-moi en aide. Monsieur Henderson, de Cincinnati... Eh bien, vous savez de qui je parle, n’est-ce pas? Votre mal de dos, monsieur, vous a quitté maintenant. Levez les mains et louez Dieu, et poursuivez votre chemin et soyez rétabli au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Croyez-vous? L’Esprit continue à se mouvoir; juste derrière l’homme, là, il y a une maladie de nerfs. Croyez-vous que Dieu vous guérit? Levez la main; acceptez cela si vous le croyez. Tout est terminé maintenant.

            Il y a une affection rénale, madame, juste là derrière, avec une affection rénale. Croyez-vous que Dieu vous rétablit, madame? Si vous le croyez, levez la main; acceptez cela. Répondez à l’appel de Dieu. Vous avez manqué cela. Je vais vous montrer si vous avez manqué cela ou pas. Cela descend sur cette femme qui est assise juste ici avec son mouchoir sur la bouche. Cette dame assise juste ici souffre aussi de dos. C’est vrai, madame, n’est-ce pas? Oui, oui. Vous venez de subir une intervention chirurgicale, une intervention chirurgicale pour le cancer. C’est vrai. Votre nom est Virginia. C’est vrai. Vous êtes guérie, Virginia. Jésus-Christ vous rétablit.

            Vous avez manqué cela, monsieur Anderson, parce que vous n’aviez pas répondu. Voyez? Voyez? Oh! Comment pouvez-vous douter? Voyez-vous la souveraineté de Dieu?

59        Je vous suis inconnu, madame. Je ne vous connais pas. Nous ne nous connaissons pas. Jésus-Christ nous connaît tous deux. Si Dieu peut me révéler votre maladie, allez-vous accepter cela? Vous allez accepter. Révérend... Maintenant, juste un instant. Quelque chose s’est passé. «Si tu peux croire...»

            Soeur Kidd, je sais que vous êtes inquiète. Je ne vais pas citer votre nom. C’est pour ce garçon-là, cette hémorragie. Je vous connais, vous assis ici, frère Kidd. Maintenant, cessez de vous inquiéter. Voyez?

            Le sang continue à venir de quelque part, je... Oh! C’est juste ici. Ça ne vient pas de vous. Cela... Vous êtes ici pour votre frère, et votre frère souffre d’une maladie rare de sang. Je le vois alors qu’il a, euh, il a perdu quelques-uns de ses doigts. Ses jambes se sont détachées. L’un de ses yeux est crevé. Et la chose principale, il... Je le vois des années auparavant; il était un chrétien, aimable, et il a rétrogradé, et vous le représentez ici. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous? Que Dieu vous accorde, soeur, le désir de votre coeur. Amen. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez simplement.

60        Vous souffrez des yeux, monsieur (C’est vrai), et vos nerfs... Et vous avez une grosseur et cette grosseur se trouve au cou. C’est vrai. Croyez-vous en Dieu? Vous priez aussi pour votre fille. Votre fille n’est pas ici. Elle souffre d’une maladie de sang, et elle est dans une ville appelée Dayton. Elle est dans un hôpital. Son nom est Stella, et elle est rétrograde, et vous priez pour son âme. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Envoyez-lui ce mouchoir, et croyez de tout votre coeur, et elle en sortira.

            Alléluia! Je sais, vous pensez que je suis fou, mais je sais que le Saint-Esprit est présent. Croyez; ne doutez pas.

            La petite dame avec ce mouchoir au niveau de la bouche, vous souffrez de l’eczéma à votre oreille. C’est vrai. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Cela va vous quitter, soeur, si vous le croyez. Placez votre main sur cette dame assise à côté de vous [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... mouchoir essuyera les larmes, soeur. Croyez-vous que cet asthme vous quittera? Très bien, alors vous pouvez recevoir cela. Je vous défie, au Nom de Jésus, de croire cela.

61        Un homme est assis là, assis là en train de regarder droit vers moi. Il est en train de prier. Il porte quelqu’un à coeur; c’est sa soeur. C’est vrai, monsieur. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu. Mais votre vie, vous ne pouvez pas la cacher; nous sommes en contact avec le Saint-Esprit grâce à votre foi. Si Dieu me révèle ce qui cloche chez votre soeur, allez-vous me croire? Elle souffre de l’arthrite. C’est tout à fait vrai. Elle n’est pas ici, car elle est dans le Kentucky. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai, levez la main. Très bien. Allez en croyant. Ayez foi. Ne doutez pas.

            Que pensez-vous, vous assis ici, l’homme grand là, en chemise blanche? Vous êtes aussi en train de prier. Vous venez tout de suite de dire à Dieu: «Que cet homme me parle et ma prostatite sera guérie.» Croyez-vous que c’est cela? Si vous le croyez, levez la main, et acceptez cela, et vous pouvez avoir cela rétabli. Pourquoi ne croyez-vous pas? Oh! Combien Il veut guérir les malades et les affligés!

62        Vous, assis là en train de prier, au bout de la rangée avec ces hémorroïdes, croyez-vous que Dieu vous rétablira? Acceptez-vous cela? Vous pouvez recevoir cela.

            La dame assise à côté de vous là, souffrant des nerfs, croyez-vous que Dieu vous en débarrassera, madame? Croyez cela, vous pouvez recevoir cela.

            Qu’en est-il de vous? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que ces choses qui s’accomplissent viennent de Christ? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu. Dieu vous connaît. Si c’est vrai, levez la main.

63        Cette assistance... Ceci peut continuer pendant des heures. Vous voyez dans quelle condition cela vous place. Jésus, après qu’une personne L’eut touché... «Qu’est-ce?» C’est votre foi. Je n’ai rien. Je ne peux pas actionner ceci; c’est vous qui actionnez cela. Regardez le don de Dieu qui était en Christ: Il avait l’Esprit sans mesure. Croyez-vous cela? Lorsque Dieu lui a montré une vision, Il lui a dit de quitter la maison de Lazare; en effet, Il n’avait rien à faire jusqu’au moment où le Père Lui a montré... Et Il a quitté la maison de Lazare, ça faisait quatre jours. Le fu-... vi-... vision était accomplie. Il est revenu, Il est descendu à la tombe, et Il a dit: «Père, Je Te remercie de ce que Tu M’as déjà exaucé. Mais Je le dis à cause de ceux qui se tiennent ici: ‘Lazare, sors!», et un homme mort est ressuscité. Il n’avait jamais parlé de la vertu qui était sortie de Lui. Pourquoi? Dieu était en train d’utiliser Son don.

            Ce petit don est comme une cuillerée d’eau d’océan, comparé à cela. Mais ce sont les mêmes composants chimiques dans la cuillérée qui sont dans l’océan entier. Alors, quand Il passait, pas de vision, la femme a touché Son vêtement; cela L’a rendu faible. Il a promené le regard, et Il a dit: «Je me sens faible.» Là, c’était la femme qui utilisait le don de Dieu. Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Les visions viennent; elles annoncent où aller, et quoi faire, et ainsi de suite. Alors, lorsque nous venons dans ces réunions, ce qui affaiblit, c’est votre propre foi qui tire de Dieu les choses que vous désirez, faisant de Jésus le même hier, aujourd’hui et éternellement.

64        Cette femme ici, je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Dieu vous connaît. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’une autre ville, de Dayton. C’est correct. Vous souffrez de la colonne vertébrale, n’est-ce pas? Vous avez mal à la poitrine. Vous avez un désordre gynécologique. C’est vrai. Votre nom est madame Morgan. C’est vrai. Maintenant, retournez et soyez guérie au Nom de Jésus-Christ.

            «Si tu peux croire, tout est possible.»

            Croyez-vous? Croyez-vous que ce mal de dos est guéri, vous assis là? Si vous le croyez, quittez l’estrade en vous réjouissant, et dites: «Merci, Seigneur», et soyez rétabli, si vous pouvez croire.

            Passez par ici, madame. Croyez-vous que cette maladie du coeur vous a quittée? Quittez l’estrade en vous réjouissant, et dites: «Merci, Seigneur», et soyez rétablie. N’en doutez simplement pas; continuez simplement à croire.

            Si tu peux croire, tout est possible. Vous souffrez du dos et l’arthrite vous dérange. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablira? Quittez l’estrade, réjouissez-vous, et dites: «Merci, Seigneur, pour la guérison.»

65        Voulez-vous aller prendre votre souper et être guéri, que cette maladie de l’estomac vous quitte? Allez prendre votre souper et soyez guéri au Nom de Jésus-Christ.

            Croyez-vous que cet asthme vous quittera? Poursuivez votre chemin, réjouissez-vous, et dites: «Merci, Seigneur.» Soyez rétabli.

            Vous aviez aussi souffert de l’estomac, cela vous a entamée il y a bien des années, en pleine ménopause. Vous êtes maintenant guérie; poursuivez votre chemin, réjouissez-vous, et dites: «Merci, Seigneur.» Si vous pouvez...

            Vous avez souffert du coeur. A vrai dire, la maladie du coeur, c’était une maladie dans votre estomac; lorsque vous mangez et que vous vous couchez, cela devient pire que jamais. Vous êtes guéri. Poursuivez votre chemin et réjouissez-vous.

66        Je défie toute la foule de croire cela. «Si tu peux croire, tout est possible.» Croyez-vous cela? Imposez-vous alors les mains les uns aux autres et prions.

            Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, guéris cette assistance. Je Te prie d’accorder cela maintenant même pour Ta gloire. Déverse Ta puissance et que ceci soit l’heure où Ton Esprit déferlera dans cette assistance, et que chacun d’eux sera guéri. Accorde-le, ô Eternel Dieu.

            Envoie Ton Esprit sur ces gens, sur ces mouchoirs, et que tout un chacun parmi eux soit guéri maintenant même. Reçois-en la gloire, ô Toi l’Eternel. Je suis Ton serviteur, Seigneur. Honore la prière des gens. Accorde-le au Nom de Jésus-Christ, pour la gloire de Dieu. Amen.

67        J’aimerais maintenant que chacun de vous qui croit, après que vous avez vu Jésus-Christ se manifester comme étant le même hier, aujourd’hui et éternellement, vous qui avez levé la main il y a quelque temps, si vous croyez que je suis Son serviteur et que ma prière vous aidera à accéder à Dieu, venez ici et serrez-moi la main, et tenez-vous ici. Maintenant même. Donnez-nous un accord sur l’or-...

            La guérison divine, c’est juste dans un seul but, c’est pour attirer les gens à Christ. Je crois qu’il n’y a pas une seule personne malade parmi nous maintenant même. J’aimerais que vous veniez ici, tout celui qui croit que Dieu est dans cette salle, et vous avez levé la main vers Lui il y a quelque temps que vous–vous voulez... Et vous êtes convaincu maintenant que Jésus reste le même hier, aujourd’hui et éternellement, et vous voulez que je prie avec vous, venez ici maintenant même pendant que nous chantons et prions. C’est bien. Vous tous qui vous repentez et qui voulez venir à Christ, approchez-vous maintenant. Descendez des balcons. Nous avons du temps. Très bien, ici...

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