Qu'y a-t-il Dans Ta Main?

Date: 55-0611 | La durée est de: 1 heure et 38 minutes | La traduction: Shp
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1          Tous mes remerciements, frère. Ceci est censé être...?... Bonsoir, mes amis. Je suis heureux d'être ici ce soir et très content de ce que nous avons tous été en mesure d'être là. Je remercie le Bon Seigneur pour Ses merveilleux services d'hier soir. D'entendre, c'est pour moi la première fois d'avoir l'occasion d'être parmi ces gens pour-pour leur prêcher comme cela, pendant longtemps, et pour les servir.

            Et, hier soir, à la sortie, les jeunes gens m'ont dit, ils ont dit qu'ils n'appréciaient pas que je tienne ce genre de réunion où je descends imposer les mains aux gens ; ils pensent simplement que peut-être... Ils disent que, quand on appelle les gens depuis l'estrade, c'est toujours cent pour cent. Et ils ont dit : " Vous croyez alors simplement les gens sur parole. "

            Mais j'ai dit : " Eh bien, ils ont la foi, ils croient. "

2          Et alors que je parcourais les fauteuils roulants, je pensais que c'était Billy qui marchait devant moi. Et il m'est arrivé de me tourner de côté pour voir. Ce n'était pas Billy ; c'était Lui. Et alors, quand je suis remonté, alors le Seigneur s'est mis à prophétiser, disant que certains parmi ceux qui étaient dans des fauteuils roulants marcheraient dans l'auditoire et que d'autres en sortiraient. Les jeunes gens ont dit : " Cela va-t-il se passer ? " Je leur ai dit d'observer simplement pour voir. Et là, hier soir... C'est vrai. Il y a eu cinq paralysés qui ont quitté des fauteuils roulants cette semaine. C'est merveilleux, ce que notre Seigneur est en train de faire. Et je crois qu'Il fera de grandes... plus que cela ce soir, ne le pensez-vous pas ? Nous croyons qu'Il va le faire.

3          Eh bien, demain soir, comme c'est la fin de ce service... Vous avez été si bons envers nous, vous veniez vous asseoir par un temps froid et pluvieux, et... Vous avez été très très gentils, et nous nous souviendrons toujours de vous. Et j'ai eu, on dirait, un petit combat, si vous... Une bonne chose, vous étiez gentils ; en effet, d'habitude, ce n'est pas comme ça que je parle ou prêche aux gens ; et puis, je fais l'appel à l'autel et ainsi de suite.

            Frère Moore, pour une raison ou une autre, ne s'est pas montré, et frère Arganbright non plus, mais frère Thoms de l'Afrique du Sud (Que son coeur soit béni !), il était quelque part ici, je l'ai entendu dire amen il y a quelques instants... Le voici qui revient. Et c'était... Par hasard, n'est-ce pas là le petit garçon à qui on a donné le nom de William Branham ? Eh bien, oh ! la la ! c'est pour moi la première fois de te voir, fiston. Tu es un brave garçon. Je m'attends donc à te voir chez moi très bientôt. Voyez ? Eh bien, c'est très bien. Je sais que vous appréciez tous la prédication de frère Thoms. Il sera probablement à une église ici demain.

4          Frère Beeler est assis ici. Il sera aussi probablement en train de prêcher quelque part le matin. Les autres jeunes gens ici, je pense qu'ils sont programmés dans quelques églises.

            Eh bien, vous qui êtes ici et dans ce service-ci, des visiteurs parmi nous, eh bien, trouvez-vous-vous une bonne église et allez-y le matin. Tous ces ministres ici représentent ces églises du plein Evangile, là à Atla... ou plutôt ici à Macon. Et ils seront heureux de vous avoir dans leurs églises.

            Et je n'ai même pas pu faire connaissance d'un frère... Le jeune frère Palmer ici. Peut-être que j'ai eu à serrer la main à quelques frères ici. Mais, s'ils sont tous comme frère Palmer, ce sont de braves gens, je vous assure. Ils sont vraiment braves, des frères vraiment braves.

5          Et alors, nous espérons que, demain, il y aura de bons services tout au long de... partout dans le pays. Soyez à votre poste du devoir demain ; eh bien, demain matin, allez à l'école du dimanche. Et voyons... Je pense que, demain après-midi, les services se tiendront ici. Est-ce exact ? Demain après-midi ? [Quelqu'un dit : " Demain soir. " - N.D.E.] Demain soir ? Oh ! ils ont changé cela jusqu'à... Alors, le service, vous avez déjà annoncé cela, je pense. Oh ! les services se tiendront ici demain soir. Très bien. Eh bien, que le Seigneur soit béni, c'est notre sincère prière.

            Eh bien, comme sujet juste pour méditer un petit moment... Et nous voulons encore dire que nous remercions beaucoup notre Précieux Seigneur pour tout ce qu'Il a fait.

            Eh bien, je pense que, rien que dans une série de réunions tenues pour les Américains pendant ces jours, cinq paralysés ont été guéris en une seule réunion. Je pense que c'est tout ce que le Seigneur a fait pour nous durant toute cette année. Et alors, en Afrique, ou dans d'autres pays, en Inde, ou quelque part comme ça, c'est différent. Mais ici en Amérique, comme beaucoup de services se tiennent... Et l'une des raisons, c'est que nous ne restons jamais dix soirées. D'habitude, partout nous ne faisons que trois ou cinq soirées et, ensuite, nous partons. Ainsi, je dis donc cela uniquement afin que vous puissiez voir et comprendre que je crois que vous avez une grande foi, et je suis si heureux.

6          On a dit que beaucoup de gens donnaient des témoignages. Frère Wood et les autres me parlaient aujourd'hui des gens qui témoignaient qu'ils souffraient de toutes sortes de maladies et tout, et qu'ils ont été guéris. Et plusieurs parmi ceux qui étaient sur des civières... Je ne pense pas que nous ayons une seule civière ici ce soir. Dieu a guéri tous ceux qui étaient sur des civières et autre. N'est-ce pas merveilleux ?

            Et, dites donc, à propos, hier soir, alors que je montais à l'estrade, l'un des premiers cas à passer, je pense, était un cas pitoyable. J'ai remarqué, pendant les quelques dernières soirées, une dame assise avec un enfant hydrocéphale, il n'y avait-il n'y avait rien qui puisse être fait pour ce cas-là, sur le plan de la recherche médicale ; ça, c'est pour la recherche scientifique pour aider ces petits enfants. Ils sont totalement sans secours. Et la pauvre petite mère était si intéressée, elle portait le petit enfant, soirée après soirée, et ce dernier pleurait. J'ai continué à regarder ce petit enfant, et j'ai pu voir ce qu'était la maladie. Et, bien des fois, les visions révèlent, mais je ne dis même pas quoi que ce soit à ce sujet.

7          Un homme venait de m'appeler au téléphone il y a quelques instants, et je l'avais rencontré dans un restaurant l'autre soir ; et là, le Seigneur m'avait révélé ce qui n'allait pas en lui. Il m'a appelé et a dit : " Vous savez, depuis que vous avez... je vous ai vu, a-t-il dit, je me sens beaucoup mieux. " Je lui avais déjà dit ce qui clochait en lui ; il avait failli s'évanouir. Vous savez... Et ainsi, il... C'est cela. Vous devez simplement faire attention ; vous voyez, cela va absolument arriver. Ainsi, ce n'est pas tellement s'ils savent quelque chose à ce sujet, tant que vous savez... entre... ce Dieu. On a dit que ça marcherait très bien. Cela-cela règle donc la question, vous voyez. Ce n'est pas là la conception que nous voulons que les gens aient. Tant que Dieu dit cela, eh bien, amen, laissez cela comme ça ; et si vous pensez qu'un peu d'encouragement pourrait les aider, alors dites toujours quelque chose.

8          Mais ce petit enfant est passé sur l'estrade, un véritable hydrocéphale, appuyé contre sa pauvre petite mère fatiguée. Alors que j'imposais les mains à cet enfant, j'ai vu cette Lumière tourbillonner juste autour de la tête de cet enfant et je-j'ai su que quelque chose allait se passer. J'ai donc demandé à la mère de bien vouloir ramener l'enfant chez elle, et je savais que quelque chose lui était alors arrivé ; j'aurais voulu avoir quelque chose pour le prouver à la mère. Mais je lui ai parlé, disant : " Ramenez l'enfant chez vous... " Et elle habitait en dehors de la ville (je pense que cela lui avait été révélé), quelque part, à environ cent miles [160,9 km].

            Elle a effectué un voyage d'environ deux cents miles en une nuit pour amener l'enfant. Et quand elle serait arrivée chez elle, lui avais-je dit, qu'elle place une petite corde tout autour de la tête de l'enfant et qu'elle mesure la corde et, ensuite, qu'elle coupe cette corde ; et puis qu'elle place encore cette corde autour de la tête de l'enfant le soir suivant, le lendemain soir, et qu'elle m'amène le morceau de la corde pour voir combien la tête s'est rétrécie. Et... et ça faisait environ 18 heures ou 20 heures. Et voici la corde, environ un pouce et demi de la corde, la tête de l'enfant avait rétréci à l'espace d'environ 18 heures. Je me demande si cette mère est quelque part ici avec l'enfant ce soir, avec... Oh ! elle est déjà... C'est celle-ci, la mère ? C'est bien. Très bien. Que Dieu vous bénisse, soeur.

9          Eh bien, voici, soeur, la raison pour laquelle j'ai fait cela : c'est afin que vous soyez encouragée. J'ai prié pour beaucoup de choses que je-je-je n'ai pas obtenues, mais je ne pense pas que, tel que je me tiens devant notre Créateur ce soir, j'aie jamais demandé quelque chose à Dieu sincèrement, sincèrement comme ça, sans qu'Il me l'ait donné ou m'ait révélé pourquoi Il ne peut pas me le donner. Voyez ?

            Eh bien, ce pouce et demi sur cette petite... La tête de cet enfant a rétréci endéans 18 ou 20 heures. Ça, c'est pour vous encourager. Voyez ? Maintenant, continuez simplement à croire. Voyez ? Eh bien, ça va-ça va rester comme ça pendant environ soixante-douze heures. Puis, vous allez le remarquer, continuez à couper cette corde. Ça va s'arrêter. Il se peut que ça s'empire pendant un laps de temps. Peu importe ce qui se passe, continuez simplement à croire. Voyez-vous ? Et tant que vous conservez votre foi...

            Maintenant, souvenez-vous, quand un esprit impur sort d'une personne, il va dans des endroits arides, puis retourne avec sept autres esprits pires que lui ; et s'il le peut, il va entrer et prendre possession, et la condition de la personne deviendra pire. Mais si le maître de la maison n'est pas là, c'est-à-dire votre foi pour le garder à distance... Ne combattez pas contre cela. Cela va vous combattre en retour. Refusez tout simplement ; ignorez-le simplement. C'est tout. Allez simplement de l'avant. Dites simplement que c'est fini ; cela règle la question pour de bon. Et votre enfant se rétablira. Maintenant, que le Seigneur vous bénisse.

10        Eh bien, ce soir... J'aime vraiment la Parole. N'aimez-vous pas la Parole ? La foi vient de ce qu'on entend, et de ce qu'on entend la Parole. Je voudrais juste lire simplement un tout petit texte ici ce soir en vue d'un petit contexte, et nous voulons le lire dans Exode, chapitre 4, le Seigneur voulant, à partir du verset 2. Nous allons lire peut-être le verset 2 et peut-être une partie du verset 3.

          L'Eternel lui dit : Qu'y a-t-il dans ta main ?

          Il répondit : Une verge. Et l'Eternel dit : Jette-la par terre. Et il la jeta par terre, et elle devint un serpent. Moïse fuyait devant lui.

          L'Eternel dit à Moïse : Etends ta main et saisis-le par la queue. Il étendit la main et le saisit, et le serpent redevint une verge dans sa main.

11        Maintenant, inclinons la tête juste un instant pour un mot de prière, pendant que nous parlons à l'Auteur de Ceci et que nous prions aussi pour ces mouchoirs ici.

            Notre Bienveillant Père céleste, nous sommes si reconnaissants d'être rassemblés une fois de plus ici ce soir sous la voûte de ce Ciel, pour lever les yeux au Ciel d'où nous vient le secours. Notre secours vient de l'Eternel. Nous sommes si heureux de savoir qu'Il vit et règne aujourd'hui et qu'Il n'a pas laissé Son Eglise sans un témoin de Sa résurrection.

            Et nous sommes si reconnaissants ce soir de ce que nous sommes comme les enfants d'Israël (nous allons en parler si c'est Ta volonté pendant quelques instants), comment ils passaient sous le poids du fardeau, regardaient dans le cercueil de Joseph, voyaient ces os déposés là, et ils reconnaissaient que Dieu avait promis par le prophète qu'un jour ils sortiraient. Et ce soir, comme un anti-type de Joseph, le Prince de la prospérité, le Seigneur Jésus est ressuscité des morts et Il est vivant ici ce soir parmi nous comme une évidence divine qu'un jour nous allons sortir de ce monde des ennuis et de péché, où se trouvent Satan et toutes ses puissances ; et nous serons à jamais libérés de son emprise.

12        Maintenant, Seigneur, alors que nous méditons sur ces paroles, puisse le Saint-Esprit venir entrer dans la Parole, et puisse-t-Il En apporter une portion à chaque coeur, selon que nous en avons besoin ce soir. Et puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d'Emmaüs, après qu'Il eut rompu le pain et fait quelque chose d'un peu différent de ce qu'un ministre ordinaire ferait en ce jour-là... Il l'a fait à Sa propre manière. Et, Père, nous prions ce soir qu'Il fasse quelque chose qui sort de l'ordinaire, du genre que nous ne voyons pas chaque jour dans chaque service religieux. Juste pour que les gens puissent savoir que ce même Seigneur Jésus est vivant, ressuscité des morts ce soir, Il marche parmi Son peuple, accomplissant les mêmes oeuvres qu'Il avait accomplies en ce temps-là. Accorde le, Père.

            Ces mouchoirs posés ici représentent de pauvres petits enfants malades, des pères, des mères, beaucoup de gens couchés, souffrant à cause des maladies et de l'oppression du diable. Et, Père, avec mes mains posées sur ces mouchoirs pour la prière, je Te prie de tout mon coeur de m'exaucer, Seigneur, et Tu connais l'intégrité de mon coeur, alors que nous réprimandons chaque esprit impur, chaque puissance démoniaque qui lie les gens sur qui ces mouchoirs seront posés. Et quand ces mouchoirs seront posés sur eux, puissent-ils être libérés, Seigneur, et continuer leur chemin en se réjouissant, et que Satan soit lié et jeté dans les ténèbres du dehors. Accorde-le, Père. Aide-nous à en être sûrs dans la suite de ce service, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

13        Maintenant, alors que nous méditons juste quelques instants ici sur la Parole du Seigneur, j'espère que chacun se porte bien... Je vais essayer de me dépêcher, je sais donc qu'il souffle un vent un peu froid sur les malades, et je vais essayer de me dépêcher. Et, peut-être, demain soir, il fera un peu plus chaud et nous allons rester un peu plus longtemps.

            L'autre jour, en passant, j'observais. Monsieur Wood et moi descendions la route en véhicule et j'ai vu ces pauvres fermiers et leur maïs bien enroulés. Je suis habitué à cultiver aussi un peu. Et les melons d'eau et tout, le coton séchait. Je suis rentré chez moi et j'ai dit : " Dieu bien-aimé, je sais que nous tenons un service en plein air, mais s'il Te plaît, envoie la pluie à ces gens, car ils en ont vraiment besoin. " Et j'ai vraiment pensé à la souveraineté du Seigneur Jésus, comment Il a arrêté la pluie à cause du service, Il l'a arrêtée pendant que nous tenions le service, et puis Il a donné hier soir une pluie torrentielle qui a duré toute la nuit. Oh ! la la ! Comme Il est merveilleux ! Il sait simplement comment s'y prendre, n'est-ce pas ? Et nous L'aimons beaucoup pour cela. Il mérite vraiment toute louange.

14        Eh bien, ce soir, j'aimerais parler juste quelques instants sur ce sujet : Qu'y a-t-il dans ta main ?

            Maintenant, le... Notre contexte ce soir porte sur Moïse, un homme utilisé jadis par Dieu pour libérer les enfants d'Israël de la servitude de l'Egypte. Et beaucoup de gens de Dieu sont ce soir dans la servitude.

            Je regarde assise ici une mère avec un petit garçon, on dirait que les petites jambes du petit garçon sont déformées ou quelque chose comme cela. Il est couché près de sa mère. Un autre petit enfant est assis ici dans un fauteuil roulant, un petit enfant, peut-être qu'il a eu la polio ou quelque chose comme cela. Ses petites jambes sont toutes bandées et portent des appareils orthopédiques.

            Je vois une jeune fille assise ici, une belle jeune fille, on dirait qu'elle est encore adolescente, et son pauvre vieux papa est recroquevillé dans un fauteuil roulant, juste comme cela. C'est ça la servitude. C'est Satan qui a fait cela.

            Voici un frère de couleur assis ici. Quelqu'un est assis à côté de lui, le tenant et... ou près de lui. Et considérez simplement la servitude dans laquelle Satan a placé les gens.

15        Et Dieu vous aime tout autant qu'Il a aimé ces Israélites. Et quand Dieu a envoyé Moïse là, c'est parce qu'Il avait promis qu'Il viendrait les libérer de cette servitude.

            Et Dieu a promis, pour ce dernier jour, qu'Il enverrait Jésus-Christ, le Saint-Esprit, parmi nous, et délivrerait tous les malades et les affligés. Car il est écrit, les dernières Paroles qu'Il a prononcées avant de quitter cette terre, Il a dit : " Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. " Jusqu'à quand ? A l'âge des apôtres ? Par tout le monde, la Bonne Nouvelle n'a pas encore atteint le monde entier ; jamais. " Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Et celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, ou s'ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris. " C'est ce que dit la Bible.

            Jésus a été reçu au Ciel. La dernière commission qu'Il a donc donnée à l'Eglise était de guérir les malades. La première commission qu'Il a donc donnée à l'Eglise était de guérir les malades. Il a choisi Ses soixante-dix et Ses douze, et Il les a envoyés, Il leur a donné le pouvoir sur les esprits impurs, de chasser les démons et de guérir les malades ; la première commission. Et la dernière commission était d'aller par tout le monde et de guérir les malades.

16        Concernant ce passage des Ecritures, je sais que beaucoup de théologiens ont discuté là-dessus et ils se sont dit que Marc 16, ce que je citais, du-du verset 9 jusqu'à la fin, n'était pas inspiré.

            Cela me rappelle... Je ne pense pas que la chaire soit un endroit où plaisanter. Je ne crois pas dans les plaisanteries. Gardez la chaire pure. Les plaisanteries, c'est pour là dehors. Mais ceci est juste une petite histoire vraie et qui peut paraître comme une plaisanterie, mais ça n'en est pas une.

            Il y avait un jeune homme (je me rappelle le pays) qui avait un appel pour le ministère. Sa mère était une très brave vieille femme, et elle l'avait envoyé dans un séminaire pour qu'il devienne prédicateur. Et pendant qu'il était au loin, eh bien, à l'université et au séminaire, apprenant comment prêcher et tout, eh bien, sa mère tomba malade, gravement malade ; elle avait la pneumonie. Et on fit venir un médecin et ce dernier lui donna évidemment tout ce qu'il pouvait. Et elle ne pouvait pas prendre la pénicilline ; elle était allergique à cela. Ainsi, il lui donna des médicaments sulfuriques et beaucoup d'autres produits ; mais cela ne semblait pas marcher. La dame, ses poumons étaient devenus complètement congestionnés, et elle était dans un état vraiment critique. On a donc envoyé un télégramme à son fils et on lui a dit de se préparer, car on pensait que sa mère allait mourir dans peu de temps et on devait... on voulait qu'il rentre à la maison. Il était à des kilomètres au loin.

17        Mais tout d'un coup, en bien, une petite dame, qui habitait au coin et qui était membre d'une mission du plein Evangile (elle habitait au coin et croyait dans la guérison divine), est donc partie voir la vieille dame, et elle a dit : " Soeur, a-t-elle dit, notre pasteur croit, nous aussi là dans notre église, que Jésus est mort pour guérir les malades. Et si cela ne vous dérange pas, ne voulez-vous pas laisser notre pasteur venir prier pour vous ? Peut-être que Dieu exaucera sa prière et vous guérira. "

            Elle a dit : " Ce serait très bien, envoyez-le. " Alors, la femme... cet homme est venu, il a prié pour elle, et elle a été guérie.

            Environ une année plus tard, son fils rentra à la maison, et ils discutaient sur des choses après la réunion. Et il a dit : " Maman, à propos, a-t-il dit, je n'ai jamais su ce que le médecin t'avait donné pour que tu te rétablisses si vite, quand tu avais attrapé la pneumonie et que j'étais alors sur le point de venir. "

            Elle a dit : " Oh ! mon fils, a-t-elle dit, j'ai oublié de t'en parler. " Elle a demandé : " Sais-tu où se trouve cette petite mission là au coin ? "

            Il a dit : " Oui. "

            Elle a dit : " Tu sais, cette dame-là est venue ici et m'a dit de faire venir son pasteur pour qu'il prie pour moi. " Et elle a dit : " Tu sais, il est venu et a lu un passage dans la Bible, dans Marc, chapitre 16, disant : 'Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.' Tu sais, le Seigneur m'a directement guérie. " Eh bien, elle a dit ...

18        Le jeune homme a dit : " Eh bien, écoute, maman, a-t-il dit, eh bien, ces gens-là sont des illettrés. " Il a dit: " Tu vois, ils ne comprennent pas. " Il a dit : " Nous... " Il a dit : " La guérison divine n'existe pas, a-t-il dit, pareille chose n'existe pas dans la Bible. Ça a existé dans le passé. " Il a dit : " Eh bien, au séminaire, eh bien, nous avons appris que Marc 16, du verset 9 jusqu'à la fin, n'est pas inspiré. "

            La petite mère a dit : " Eh bien, alléluia ! "

            Et il a dit : " Maman. " Eh bien, il a dit : " Tu te comportes comme ces gens-là. "

            Et elle a dit : " Eh bien, gloire à Dieu ! "

            Il a dit : " Eh bien, maman, qu'est-ce qui te prend ? "

            Elle a dit : " J'étais simplement en train de me dire que si le Seigneur a pu me guérir avec une Parole qui n'est pas inspirée, que pourrait-Il réellement faire avec Celle qui est vraiment inspirée ? " Inspiré... C'est donc ça. Je crois que tout est inspiré. Chaque portion de Cela. Tout cela est pour... chaque portion est pour nous.

19        Nous n'avons pas de besoin ou nous ne manquons de rien. Dieu a pourvu à tout ce dont nous avons besoin pour ce voyage. Il a été pourvu à cela pour nous ici même. Bien que chaque homme né de nouveau de l'Esprit de Dieu, le Seigneur lui donne un carnet de chèques...?... suffisant pour lui dans son pèlerinage et, en bas de chaque chèque, pour n'importe quelle bénédiction de la rédemption, c'est signé du Nom de Jésus. Remplissez-le simplement et envoyez-le. Voyez s'Il ne va pas l'honorer. C'est vrai. Envoyez-le simplement-simplement là ; c'est votre compte. Il est déjà là. il a été crédité au Calvaire : " Car Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c'est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. " Tout est signé de Son Sang, tout est terminé. Tout... Quiconque veut, qu'il vienne. Et cela a été prouvé. C'est prouvé ici qu'Il est ressuscité des morts et qu'Il est vivant parmi nous ce soir.

            C'est Lui qui nous libère de la servitude. Tout celui qui est dans la servitude, Jésus-Christ est ici pour le libérer ce soir, s'il croit cela. Eh bien, je ne suis pas ici pour vous libérer, car je ne pourrais pas le faire. Je n'ai pas été envoyé pour faire cela. J'ai été envoyé pour prêcher l'Evangile. C'est tout. C'est Christ qui est venu pour libérer.

20        Maintenant, Moïse, à sa naissance, juste... Il y avait une grande menace en Egypte. On tuait les enfants de sexe mâle. Et Moïse était né juste à cette période-là et sa mère, voyant que c'était un bel enfant, n'a pas eu peur des-des menaces de Pharaon, de ce qu'il faisait à tous les enfants.

            Eh bien, si vous voyez bien, mes amis, pour commencer, j'aimerais que vous suiviez ceci très attentivement. Pour commencer, les dons et les appels sont sans repentir. C'est ce qui cause des problèmes. Voyez ? N'essayez pas d'imiter quelque chose ; soyez simplement ce que vous êtes dans le Royaume de Dieu. Si vous êtes un doigt, soyez un doigt. Si vous êtes le nez, soyez le nez. L'oeil, soyez l'oeil. J'espère que mon doigt ne va jamais décider de ne plus être un doigt, parce qu'il n'est pas un oeil. Cela m'empêcherait certainement d'agir pendant un instant. C'est ainsi donc qu'il nous faut tous être à notre place et avancer. Mais tout le groupe forme ensemble le Corps du Seigneur Jésus-Christ, peu importe ce que c'est.

21        Eh bien, ça montre que les dons et les appels sont sans repentir. Considérez Jésus, Il était la Semence de la femme depuis le jardin d'Eden. Il était né Fils de Dieu. Moïse était un bel enfant à sa naissance et il était né pour être un libérateur. Il ne pouvait rien au fait d'être prophète. Dieu l'a ainsi créé à sa naissance.

            Considérez Jean-Baptiste, sept cent douze ans avant sa naissance, il était la voix de celui qui crie dans le désert.

            Considérez Jérémie, Jérémie 1:4, je pense. Dieu parla à Jérémie, disant : " Je t'ai connu, et-et Je t'ai sanctifié, et Je t'ai ordonné prophète des nations avant même que tu sois conçu dans le sein de ta mère. " Eh bien, vous devez croire dans la prédestination et dans le fait d'ordonner d'avance. Vous... C'est là.

            Les dons et les appels sont sans repentir. C'est ce que Dieu a établi dans l'Eglise. Je suis un peu en désaccord là-dessus avec mes frères de la pluie de l'arrière-saison sur l'imposition des mains et le fait de donner des dons spirituels. Je pense que vous avez mal compris cela. Voyez ? Mais ça va ; ne nous tiraillons pas là-dessus, mais je-je crois que vous êtes dans l'erreur là-dessus. Voyez ?

22        Paul et Timothée, ils ont reconnu que c'était... Timothée était un prédicateur et un homme qui avait un don. Nous faisons de même dans l'Eglise baptiste et chez tous les autres ; quand nous voyons un tel homme, nous lui imposons les mains. Cependant, ce n'est pas pour lui donner un don spirituel, mais pour lui donner la main d'association et le bénir pour qu'il puisse servir avec le don que Dieu lui a donné. C'est ça la différence. Voyez-vous ? Si donc vous essayez de lui donner un don, ça, c'est ce que l'homme fait (voyez) ; alors ça ne marchera jamais. Certainement, ça n'a pas eu de succès, et je ne pense pas que cela en aura jamais.

            Maintenant... mais quand c'est Dieu qui a fait quelque chose, c'est différent. Moïse s'est rendu compte qu'il était Moïse. Comment Dieu l'avait préservé et avait pris soin de lui. Et puis, quand il a eu de l'âge, il pensait que les gens comprendraient certainement et qu'ils seraient spirituels pour comprendre.

            Eh bien, c'est ça la partie pour laquelle je souhaiterais que nous ayons du temps, si ce n'était pas très embarrassant de m'y attarder quelques minutes. Les gens n'avaient pas bien compris. Et quand il a tué l'Egyptien, il pensait que les gens comprendraient, son propre peuple, auprès duquel il était envoyé pour les libérer, mais ils n'avaient pas compris. Maintenant...

23        Nous voyons que, par la suite, il a fui au pays de Madian. Et là, il a épousé une jeune éthiopienne du nom de Séphora. Moïse, pour commencer, avait un tempérament très colérique. Nous le savons. Dieu devait l'en débarrasser. Ainsi donc, nous... Il a épousé cette jeune fille et il est devenu serviteur de son beau-père, il paissait le troupeau là derrière le désert.

            Un jour, je peux bien me le représenter, voir ce vieil homme âgé alors de quatre-vingts ans. Il avait eu deux enfants là-bas et... Le voici alors venir, paissant le troupeau, juste un berger, un homme en dehors... qui était sorti de la volonté de Dieu, il avait tué un homme et s'est retrouvé alors là-bas comme berger.

            Mais si Dieu a prédestiné quelque chose, cela doit se passer tout aussi certainement que Dieu est au Ciel. Cela doit donc s'accomplir de toute façon. Il n'y a rien au monde qui puisse empêcher Jésus-Christ de revenir une seconde fois. Dieu a ordonné que cela ait lieu. Il n'y a aucun moyen au monde pour vous d'arrêter le message de la guérison divine. Vous pouvez combattre cela autant que vous voulez, mais Dieu a ordonné qu'il progresse, et il progressera. C'est vrai. Peu importe, quelqu'un... De ces pierres, Dieu peut susciter des enfants à Abraham. Ainsi, la meilleure chose à faire, c'est adhérer au programme de Dieu et marcher avec l'Eglise ; c'est la meilleure chose à faire, à ce que je sache.

24        Il y a quelque temps, j'étais là à la Statue de la Liberté et je suis entré dans ce bras. Et de là, je regardais par la fenêtre, j'ai vu un tas de petits moineaux morts, gisant partout là dehors. Et j'ai demandé au guide, j'ai demandé : " Dis donc, qu'y a-t-il ? Ces petits moineaux sont-sont morts ? "

            Il a dit : " Monsieur, il y a eu un orage hier soir, et ces petits moineaux tournoyaient et sont entrés là, dans la lumière de cette Statue de la Liberté. Et, au lieu de suivre la lumière pour s'abriter, ils sont venus se faire sauter leurs petites cervelles, essayant d'éteindre la lumière. L'unique chose qui pouvait les aider, ils cherchaient à l'éteindre, et ils se sont tués dans cet effort.  "

            J'ai dit : " Gloire à Dieu. Il se peut qu'il y ait des infidèles qui aient été suscités dans je ne sais quoi de commun, des sceptiques, des incrédules. Mais plus tous vous cognez contre la Lumière, vous vous cognez contre la Lumière de Dieu, plus vous allez simplement vous donner un coup mortel et tomber sous la disgrâce, et la Lumière de Dieu continuera à briller à travers les âges. " C'est vrai. Dieu ira de l'avant en dépit de tout ce que quelqu'un peut faire. La meilleure chose à faire, c'est s'attacher fermement à Lui et avancer avec la-avec l'effusion du Saint-Esprit.

25        Alors, un jour, Moïse, quand il était là derrière le désert, je m'imagine qu'il était un peu découragé ; il marchait, pensant à ce qui s'était passé là en Egypte et à tous ses amis. Et le voici là, marié à une autre race et paissant les brebis de son beau-père. Il s'est fait qu'il a regardé là, et il a vu un buisson en feu. Et il s'est dit que c'était étrange qu'un buisson ne se consume point. Dieu cherchait donc à attirer l'attention de Moïse.

            Et que sais-je ? Que savez-vous, si cette réunion-ci a été pour... Dieu l'a organisée ici pour attirer l'attention de certains parmi vous qui vivent dans ces églises, par ici, sans savoir que Dieu a ressuscité Jésus des morts et qu'Il est vivant ici ce soir, guérissant les malades et les affligés. Peut-être qu'Il vous a amené ici pour voir ces boiteux, ces estropiés, ces gens aux membres tordus se lever de leurs fauteuils roulants et s'en aller. Voir Son Esprit se mouvoir dans l'auditoire, redresser les gens et réprimander les pécheurs ici sur l'estrade, des gens saints et pieux. Il vient leur révéler les péchés commis et les choses qu'il y a. Et chaque Parole est la Vérité infaillible. Comment savez-vous que Dieu n'a pas attiré votre attention pour venir regarder quelque chose comme ça, pour que vous puissiez aussi vous détourner ? Non pas vous détourner de votre église, mais vous détourner de votre vieille façon de vivre pour servir le Dieu vivant par la nouvelle naissance et naître de nouveau. Peut-être que c'est Dieu qui fait cela.

26        Moïse s'est détourné, et alors qu'il regardait ce buisson ardent, il s'est avancé et s'est dit : " Eh bien, je vais m'avancer pour voir quel spectacle est-ce. " Généralement, Dieu se révèle par le feu. Il s'est alors détourné pour voir cela, et Dieu lui a parlé de ce buisson, disant : " Moïse, ôte tes souliers, car la terre sur laquelle tu te tiens est une terre sainte. "

            Eh bien, et si Moïse avait dit : " Maintenant, Seigneur, je vais vraiment Te témoigner du respect ; je vais ôter mon chapeau. Ça sera tout aussi bien. " Dieu n'a point dit " ton chapeau " ; Il a dit " tes souliers. "

            Eh bien, si je disais : " Eh bien, j'ai adhéré à l'église ; ne suis-je pas tout aussi bon que l'autre ? "

            Dieu n'a jamais dit : " Si un homme n'adhère pas à l'église... " Il a dit : " L'homme doit naître de nouveau. S'il ne... "

            Vous direz : " Eh bien, je-je vais fréquenter une bonne église. " C'est bien, mais ce n'est pas ce qui est exigé. " Si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il n'entrera pas dans le Royaume. " Dieu a un seul programme fixe, peu importe combien beau paraît quelque chose d'autre. Vous devez vous aligner sur l'Evangile de Dieu. C'est la Bible qui le dit, et c'est ce qu'il nous faut faire.

27        Et Moïse a dû s'aligner sur le programme de Dieu, pas sur ce que Moïse pensait être respectueux, mais sur ce que Dieu considérait comme respectueux. Alors, il s'est assis, il a ôté ses souliers, il s'est avancé. Dieu a dit : " J'ai-j'ai entendu les cris de Mon peuple, et Je suis descendu, et Je vais t'envoyer là pour les libérer. "

            Vous savez, Moïse s'est plaint. Il a dit : " Eh bien, écoute, je suis un homme à la bouche embarrassée. Je ne parle pas très bien et je ne suis pas un homme qui ait la parole facile, et ainsi de suite. " Il s'est mis à se plaindre, et Dieu lui a dit qu'Il enverrait Aaron. Et puis, il voulait connaître... Il a dit, s'il pouvait voir Sa gloire, que dirait-il aux gens qu'Il avait fait ?

            Et Dieu a dit à Moïse : " Qu'y a-t-il dans ta main ? "

28        Eh bien, peu importe ce qui était près, Dieu pouvait utiliser n'importe quoi. Dieu aurait pu utiliser un buisson. Mais Moïse tenait quelque chose en main. Il a dit : " C'est un bâton. "

            Il a dit : " Jette-le par terre. " Et il l'a jeté par terre ; et alors, ça s'est transformé en serpent. Il l'a ramassé par la queue ; c'est redevenu une verge. Et par cela, Dieu montrait à Moïse ce dont Il était capable, qu'Il était toujours le Dieu vivant. Il pouvait prendre une chose naturelle et changer cela en une chose surnaturelle. Il pouvait faire tout ce qu'Il voulait, parce qu'Il était Dieu.

            Moïse a ramassé ce bâton, il a couru prendre Séphora, sa femme, et il l'a fait asseoir sur un mulet, elle a mis un enfant sur chaque hanche. Il a pris un vieil âne par la bride et a tenu un bâton en main, et le voilà descendre en Egypte pour libérer deux millions de gens.

29        Pouvez-vous vous imaginer cela, quel spectacle critiquable cela était ? Ce vieil homme de quatre-vingts ans, avec une barbe et une chevelure blanches flottant au vent comme cela, tout aussi heureux, il criait, poussait des cris : " Gloire à Dieu ! " Sa femme était assise à califourchon sur ce mulet, avec un enfant sur chaque hanche. Il descendait faire l'invasion. Pouvez-vous vous imaginer cela ?

            Que pensez-vous que ces puissantes armées et ces vaillants soldats auraient dit ce jour-là ? " Eh bien, ce pauvre vieil homme a perdu la tête. " C'est ce que le monde pense toujours, mais il avait la Parole du Seigneur, et Elle devait s'accomplir. Il avait la promesse de Dieu. Et il tenait ce vieux bâton en main sur le chemin. Mais alors, un bâton sec contre la puissante armée de l'Egypte qui avait conquis le monde de l'époque... Des milliers et des milliers de chars, des cavaliers, des hommes armés de lances, les unités les plus mécanisées... C'est comme par exemple un seul homme qui essayerait aujourd'hui d'attaquer la Russie ou quelque chose comme cela... Peut-être qu'il y aurait plus de chance que ce fut alors...

30        Et Moïse, à quatre-vingts ans (je me le représente chauve au sommet de la tête, la barbe pendante, les cheveux tout autour du cou), et-et il était là, conduisant ce mulet, descendant faire l'invasion. Et le bon côté de la chose, c'est qu'il l'a fait. C'est vrai. En effet, Dieu avait fait la promesse.

            Quand Dieu promet quelque chose, Il est tenu de prendre soin de Sa promesse. Dieu va toujours la confirmer. Peu m'importe ce que Dieu... ce que quelqu'un dit à ce sujet. Quand Dieu dit que c'est comme ça, c'est comme ça. Reposez votre âme, votre corps et votre force là-dessus, parce que Dieu est tenu envers Sa Parole. Amen. Je suis si reconnaissant pour ce petit cantique que nous chantons.

            Chaque promesse dans le Livre est mienne,

            Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne.

            Je crois dans Son amour divin,

            Chaque promesse dans le Livre est mienne.

            C'est pour quiconque veut, qu'il vienne et boive gratuitement à la Fontaine des eaux du Seigneur, sans argent, sans payer ; c'est déjà payé. Chacun peut venir boire.

31        Moïse descendait faire l'invasion. Quel spectacle c'était ! Et quand il est arrivé là, il a pris ce vieux bâton, la seule chose qu'il avait en main, et il a vaincu l'Egypte et a conduit les enfants d'Israël, les a nourris par le même bâton jusqu'à leur arrivée à la Terre promise. Amen ! Et un vieux bâton sec... Il se peut que vous n'ayez pas grand-chose en main. Il se peut que vous ne soyez même pas en mesure de siffler. Mais quoi que vous ayez en main, laissez Dieu s'en emparer et Il va bénir cela. Amen.

            Vous ne pouvez pas faire plus que témoigner à votre voisin, si vous ne pouvez pas faire plus que lever votre main et dire : " Ô Dieu, j'accepte chaque Parole de cela ", prenez ce qu'il y a dans votre main et faites ce que vous pouvez pour la gloire de Dieu.

32        Une fois, un petit garçon était allé voir Jésus, et il avait là quatre ou cinq petits pains et quelques poissons. Eh bien, cela ne représentait pas grand-chose dans la main du petit garçon, mais une fois cela déposé dans les mains du Seigneur Jésus-Christ, Celui-ci a béni cela et a nourri cinq mille personnes. Le peu que vous avez, peut-être une petite étincelle de foi qui est là, qui vous fait croire qu'Il est ressuscité des morts, ça ne représente pas grand-chose pour vous, mais lâchez-la une fois par un témoignage... Elle peut faire que des centaines de gens viennent au Seigneur Jésus-Christ.

            Vous qui êtes assis là malade ou estropié, et vous avez une toute petite foi, lâchez-la ce soir et dites : " Seigneur Jésus, c'est tout ce que j'ai pour croire Ta Parole, et me voici, je viens. C'est à Toi de prendre soin du reste. " Dieu prendra soin du reste. Vous, lâchez-la simplement et laissez-Le avoir cela.

            Quel genre d'atome Jésus avait-t-Il alors lâché? Il a pris du poisson, non seulement Il a nourri les gens avec du poisson cru, ou plutôt du poisson vivant, mais aussi Il les a nourris avec du poisson cuit et du pain cuit. Amen ! Où a-t-Il eu cela ? Je ne sais pas. De toute façon, Il-Il les a nourris et ils ont mangé cela.

33        C'est comme disait un gars il n'y a pas longtemps, il disait : " Croyez-vous cette histoire d'Elie assis là et les corbeaux... "

            J'ai dit : " Certainement. J'en crois chaque mot. " C'est vrai.

            On pensait qu'Elie était fou. Il était assis là, sur la montagne, et il buvait de l'eau quand il en avait besoin ; et ces gens de haut rang et de la haute classe se mouraient de faim là ; et puis, ils le taxaient de fou. Il était mieux que beaucoup de gens. Il avait un serviteur de couleur qui lui apportait à manger chaque fois qu'il avait faim. C'est mieux que beaucoup de gens qui sont assis ici ce soir. C'est vrai. Chaque fois qu'il avait faim, un corbeau venait avec un sandwich et le lui donnait, il s'envolait. Il s'agenouillait et buvait de l'eau quand il en avait besoin. Il était dans la volonté de Dieu. Il avait pris Dieu au Mot. Amen ! C'est tout ce qu'il vous faut faire : prendre Dieu au Mot.

34        Quelqu'un a dit : "Eh bien, Frère Branham, voulez-vous vraiment dire que ce corbeau lui apportait un sandwich ? "

            J'ai dit : " Oui, oui. "

            Il a dit : " Eh bien, où est-ce que ce corbeau trouvait cela ? "

            J'ai dit : " Je ne sais pas. " Le corbeau prenait cela, l'apportait à Elie, et ce dernier le mangeait. " J'ai dit : " Il en est de même du Saint-Esprit. Vous pouvez vous moquer de moi du fait que je crie. " J'ai dit : " Je ne saurais pas vous dire d'où Cela vient ; c'est le Saint-Esprit qui produit cela. J'en mange simplement. J'aime cela et j'en vis. Je ne sais d'où ça vient, mais j'en prends ; c'est tout ce que je sais. Tant que c'est Lui qui apporte cela, je suis disposé à en prendre. " Amen.

            " Dites donc, comment cet homme-là va-t-il marcher alors qu'il n'est pas allé chez le médecin ? " Je n'y peux rien ; quand Dieu dit que c'est ainsi, Il le fera de toute façon. Observez simplement. C'est à Dieu de prendre soin de Sa Parole. Il veille pour accomplir cela, et Il y est tenu ; et Il le fera dans chaque cas (Amen !), pour chaque homme ou pour chaque femme qui osera Le prendre au Mot. Oh ! la la ! C'est la vérité.

            Oui, oui. Moïse est allé là, et il a fait exactement ce que le Seigneur lui avait dit de faire. Si seulement vous prenez ce que vous avez en main et que vous laissez Dieu l'avoir...

35        Eh bien, il y eut une fois un petit homme, un peu plus tard, qui s'appelait David, un drôle de jeune berger qui restait là sur le flanc d'une colline en train de paître les brebis de son père. Mais il savait que les bénédictions du Seigneur étaient sur lui. Ainsi, il savait que Dieu était avec lui. Et, un jour, alors que les armées d'Israël étaient rassemblées là pour se battre contre les Philistins, eh bien, Isaï, son père, avait dit : " Maintenant, je vais t'envoyer auprès de tes frères ; apporte-leur des raisins et autres, va voir comment se portent tes frères. " Deux de ses frères aînés étaient à la guerre.

            David est donc parti. Et, vous savez, quand il est arrivé là-bas, il a vu un spectacle. Les Philistins étaient rassemblés d'un côté et Israël, de l'autre. Saül se tenait là, il mesurait sept pieds et quatre pouces [2,30 m] ou quelque chose comme cela, un très grand gaillard aux allures de prince. Mais de l'autre côté de la vallée, là-bas, se trouvait l'armée des Philistins, et ils avaient un grand défi, ou plutôt un grand champion du nom de Goliath. Oh ! la la ! Il mesurait environ neuf pieds et quatre pouces [2,84 m], et quel gaillard c'était ! Et quand le diable sait qu'il a l'avantage sur vous, alors il va certainement vous menacer s'il le peut.

36        Il s'est donc présenté là sur le flanc de la colline et a dit : " Je vais vous faire une proposition, à vous tous. Ne faisons pas couler du sang. " Voyez ? Il est grand, et il avait le dessus sur eux tous. Il a donc dit : " Envoyez, choisissez-vous un homme dans les armées d'Israël, et qu'il vienne ici se battre contre moi ; et si je le tue, alors vous tous, vous nous serez assujettis. S'il me tue, alors nous vous serons assujettis. " Certainement. C'est comme ça que le diable s'y prend.

            Eh bien, prenez par exemple ce gars-ci. " Si seulement je peux voir telle, telle ou telle chose. " Voyez ? Chaque fois qu'il leur arrive d'attraper ce genre de pensée...

            Mais un jour, il s'est vanté à l'oreille de l'homme qu'il ne fallait pas. Il y avait un pauvre petit homme décharné qui pesait probablement cent dix livres [50 kg], avec de petites épaules un peu voûtées, et qui s'était enroulé dans un petit manteau de berger. Et ce matin-là, alors que les armées montaient et descendaient, criant les uns aux autres, cherchant à se ranger en bataille, eh bien, ce grand challenger s'est présenté là et a dit : " Eh bien, je lance un défi aux armées d'Israël. " Malheureusement pour lui, cette fois-là cela tomba dans l'oreille de l'homme qu'il ne fallait pas. Oui, oui.

37        Il y avait là un drôle de petit garçon qui savait de quoi il parlait. Il a dit : " C'est quoi ça ? Voulez-vous me dire que vous allez vous tenir là et laisser le... ce Philistin, cet incirconcis, défier les armées du Dieu vivant ? " Amen ! Il savait de quoi il parlait. Oh ! la la ! Goliath, vous vous êtes alors mal vanté.

            Et quand David l'a entendu, alors son frère a dit : " Eh bien, écoute ça : Je connais la malice de ton coeur. Maintenant, cesse de dire de telles choses. " Certains parmi eux lui ont dit : " Eh bien, il pourra épouser la fille du roi, et ce dernier lui donnera des richesses. Et la maison de son père sera affranchie en Israël et ainsi de suite. "

            Il a dit : " De quoi parlez-vous tous donc ? " Eh bien, juste un bout d'homme, c'est comme ça qu'il...

38        Eh bien, vous ne pouvez pas juger d'après les apparences. C'est vrai. Ne jugez pas d'après les apparences. Jugez d'après ce qu'il y a dans votre coeur. C'est vrai. Si vous jugez d'après les apparences... Eh bien, Israël aurait passé un mauvais quart d'heure en pensant qu'il pouvait avoir de l'eau du rocher. C'était l'endroit le plus sec qu'il y avait dans le pays. Mais Dieu avait dit : " Parle au rocher. C'est lui qui contient de l'eau. "

            Alors, les gens disent aujourd'hui : Si la guérison divine existait, elle serait dans certaines de ces grandes églises classiques. C'est juste ce que vous en pensez. Voyez ? C'est vrai. Peut-être que c'est l'endroit le plus sec que vous ayez jamais vu, mais c'est là qu'il y a de l'eau, si seulement vous parlez à cela. Amen.

39        Maintenant, j'aimerais que vous remarquiez. Puis, quand David... je peux bien le voir s'avancer là, alors qu'on l'amenait là devant le roi. Il a dit : " Eh bien, attendez une minute ici, a-t-il dit, amenez ce garçon ici. " Alors, il s'est avancé vers lui, David... Saül l'a appelé jouvenceau. Il doit avoir été un bout d'homme maigre (vous savez ?), ayant de petites épaules tombantes, marchant là, avec de petits yeux brillants fixés sur lui. Il a dit : " Eh bien, écoute, tu ne le peux pas. "

            Il a dit : " Que personne ne se décourage à cause de ce géant. " Il a dit : " Ton serviteur ira se battre avec lui. " Oh ! la la ! J'aime ce courage. Pas vous ? Pourquoi ?

            Nous allons voir dans un instant pourquoi il avait ce courage, ce qui faisait la différence. Oui, oui. Il a dit : " J'irai là me battre avec ce géant. " Et là se tenait Saül, le gros bébé, pratiquement aussi grand qu'un géant, et il était censé être un roi en Israël et tout ceci, mais alors il était là, craignant d'aller se battre avec lui.

40        Cela me rappelle beaucoup de ces gens aujourd'hui qui ne croient pas dans la guérison divine. Ils prétendent croire la Bible, mais alors ils laissent simplement le diable leur marcher sur les pieds, n'importe quoi. Je crois dans une expérience du Saint-Esprit à l'ancienne mode, naître de nouveau, être enraciné, deux fois morts... Je-je crois dans quelque chose qui donne la vie à un homme. Ça lui donne du courage et ça l'enflamme. C'est vrai. Cela lui fera affronter le diable sur n'importe quelle promesse divine de Dieu et considérer cela comme la vérité, peu importe à quoi ça ressemble.

            Le pauvre petit David... Eh bien, il lui a dit : " Tu ne peux pas faire ça. " Il a dit : " Laisse-moi aller. "

            Il a dit : " Eh bien, comment sais-tu que tu pourras y parvenir ? "

41        Il a dit : " Ecoute ceci. Je vais te raconter une histoire. J'ai eu une expérience. " C'est ce qu'il faut aujourd'hui, c'est quelqu'un qui a eu une expérience.

            David a dit : " J'ai fait une expérience. Quand je faisais paître les brebis de mon père, un lion a surgi, un ours aussi, s'est emparé d'un chevreau, d'un petit agneau, et l'a emporté. " Il a dit : " Je l'ai pourchassé et je l'ai frappé à la tête avec cette fronde et, alors, quand j'ai commencé à arracher l'agneau de sa gueule, il s'est relevé et je l'ai tué. " Il a dit : " Le Dieu qui a livré le lion entre mes mains, ainsi que l'ours, a-t-il dit, Il livrera à plus forte raison ce Philistin, cet incirconcis. " C'est vrai.

42        Saül a alors dit : " Viens ici, et je ferai alors de toi un véritable prédicateur ecclésiastique. " Il l'a alors amené là, l'a revêtu d'une imposante armure, son casque et tout. Il a tiré cela sur ses petites oreilles, et je m'imagine que ça le dépassait de côté, et il portait une énorme armure, il n'arrivait pas à bouger. Il ne pouvait vraiment pas avancer.

            C'est ça le problème des gens aujourd'hui. Dès qu'un homme reçoit un petit appel dans son coeur pour aller prêcher l'Evangile, vous devez l'amener à l'un de ces grands séminaires, ou quelque chose comme cela, là, et faire sortir de lui tout ce qu'il y a de prédicateur pour lui inculquer cette théologie du monde, comme cela, et faire sortir de lui tout ce qu'il y a de prédicateur, puis lui dire de partir. Ce n'est pas étonnant qu'il ne puisse pas croire. Bonté divine ! tout harnaché du monde. Alléluia !

            Il nous faut nous présenter et agiter là un peu le Saint-Esprit à l'ancienne mode et faire fondre toutes ces vieilles morgues ; c'est ce dont nous avons besoin ici. Amen. Oui, oui.

43        Le pauvre David là, Saül l'a revêtu de son... Il avait sa licence en lettres et en sciences humaines, vous savez, et son-son... en droit, et son doctorat en droit, et son G.D., vous savez, tout cela. Il a dit : " Je ne connais rien sur cette histoire. Je n'ai jamais essayé cela. Je ne sais pas ce que c'est. " Il a dit : " Je ne peux pas le faire. " Et Saul a vite découvert que sa veste ecclésiastique ne convenait pas à un homme de Dieu. Amen.

            C'est ça le problème des gens aujourd'hui. Si seulement vous ôtez ces vieilles vestes ecclésiastiques et que vous vous agenouilliez... Je préférerais avoir une vieille expérience... Je préférerais que mon garçon soit avec un homme qui ne connaît pas son abc et qui peut l'amener là sur le flanc d'une colline, quelque part à côté d'une vieille souche, et prier avec lui pour avoir l'expérience du Saint-Esprit à l'ancienne mode plutôt que de l'envoyer dans toutes ces écoles qu'il y a dans le pays, qui vont ôter de sa vie la puissance de Dieu et les bénédictions de Dieu. Amen. C'est vrai. Oui, oui.

44        Et là, David a considéré cette armure, il a dit : " Je n'en sais rien. Je ne sais pas comment ils disent Aaamen, et toutes ces doxologies, et toutes ces histoires comme ça. Je ne sais pas comment vous faites cela. " Il a dit : " Laissez-moi aller avec ce qui s'est déjà avéré efficace pour moi. " Alléluia !

            C'est ce que je dis. Je sais que, quand je m'étais avancé devant mon surveillant général et que je lui avais dit que l'Ange de l'Eternel m'avait rencontré, il avait dit : " Billy, rentre chez toi. Tu as fait un cauchemar. " Il a dit : " Eh bien, tu veux dire qu'avec ton instruction de l'école primaire, tu iras prier pour les malades et que tu iras prier pour des rois ? "

            J'ai dit : " C'est ce qu'Il a dit. "

            Il a dit : " Comment vas-tu t'y prendre ? "

            J'ai dit : " Je ne sais pas, mais Il m'a conduit jusqu'ici ; Il continuera à me conduire jusqu'au bout. " Dieu en est capable. Il a fait la promesse. Ça s'accomplira.

            Il a dit : " Oh ! Fiston, je pense que tu ferais mieux de rentrer. Tu as besoin de repos. " Je n'avais pas besoin de repos. Il me fallait me mettre au travail. Ça faisait alors très longtemps que je me reposais.

            C'est ça le problème pour beaucoup de gens aujourd'hui. Soyez à l'oeuvre. Le temps... Les gens ont des ennuis, amenons-les rapidement au Seigneur Jésus.

45        Nous remarquons là, nous voyons le pauvre petit David, il a dit : " Eh bien, écoutez. Je ne sais rien sur votre... tous vos diplômes ; je ne sais rien sur vos armures et sur toutes ces choses avec lesquelles vous, les gars, vous combattez et au sujet desquelles vous discutez et faites des problèmes, mais je sais une seule chose : j'ai confiance en cette vieille petite fronde. Dieu a livré le lion par cette fronde. Il a livré tous ces autres animaux par cette fronde, et Dieu va livrer ce Philistin, cet incirconcis, par cette fronde. "

            Je sais que quand j'étais pécheur, perdu, et que je mourais dans le monde, sans Christ, le Saint-Esprit m'a sauvé. Je sais que quand je suis fatigué, le Saint-Esprit me rend heureux. Je sais que, quand j'ai besoin de nourriture, le Saint-Esprit me nourrit. A combien plus forte raison le Saint-Esprit va-t-Il me guérir si je suis malade, après que Dieu a promis cela. Je ne connais pas vos autres histoires, mais je sais avec certitude que Dieu a fait la promesse. Et c'est la promesse de Dieu, et Dieu va s'en tenir à Sa promesse.

            Qu'y a-t-il dans ta main, David ? Il a dit : " Une fronde. " Amen !

            " Comment vas-tu te battre avec ce géant-là qui a une lance de quinze ou vingt pieds [4,57m ou 6,9 m] ? Tu ne peux pas t'approcher de lui.

            Il a dit : " J'ai éprouvé ceci. Je sais de quoi ceci est capable. "

            C'est vrai. Et chaque fois qu'un homme ou une femme est née de l'Esprit de Dieu, celui qui a donc reçu le Saint-Esprit, il sait de quoi cela est capable. Je ne sais pas ce que toutes vos discussions et toutes vos écoles vont enseigner, mais tout ce que je sais, c'est que cela s'accomplira, ce que Dieu a dit.

46        Le petit David avait appris sur Dieu dans la nature. Il se retrouvait seul là-bas, parlait des eaux paisibles et de verts pâturages. Il avait vu Dieu en action dans Son état initial, Dieu dans Sa nature.

            Dieu est dans la nature. Ne le croyez-vous pas ? Certainement qu'Il y est. J'aime vraiment L'observer dans le coucher du soleil, L'observer dans... quand les fleurs poussent, Le contempler au lever du soleil.

            Il n'y a pas longtemps, j'étais dans les montagnes. C'est là que je vais quand je me sens si fatigué que je ne sais plus avancer. Et je suis allé chasser là un automne, je faisais la chasse à l'élan. C'était vers la fin de l'automne. Nous étions tout en haut ; en effet, la neige n'était pas tombée pour faire fuir le troupeau vers le bas. Et j'étais tout au sommet, près de la limite des arbres. Et, en automne, là très haut dans les montagnes, il arrive... il neige un peu, et puis il pleut un peu, et ensuite le soleil paraît, et... Vous savez comment ça se passe en automne. Alors, pendant que j'avançais, pas pour tirer sur du gibier, pas plus que pour juste... je m'étais éloigné pour être seul.

47        J'aime me retrouver à l'écart avec Dieu. Chaque homme et chaque femme... C'est ça le problème. Vous devez chaque jour consacrer plus de temps, au lieu de s'ennuyer, de courir çà et là, et... Vous ne devriez pas être dehors, vous devriez être quelque part en train de prier et de chercher Dieu. Amen.

            Et là-haut, je m'avançais, un orage a éclaté et je me suis caché derrière un arbre comme ceci. Je me tenais derrière cet arbre et les vents soufflaient. Il ne fait pas de vent là-bas de toute façon. Ainsi donc, après l'orage, je suis sorti de derrière l'arbre, j'avais déposé mon fusil par terre. Et j'ai regardé, j'ai commencé à entendre un troupeau d'élans loin devant moi. Ils s'étaient perdus dans l'orage. Ils beuglaient l'un à l'autre.

            Ma mère est une demi-indienne, et c'est bien assez pour que j'aime la nature. Oh ! la la ! Comme David a dit : " Quand la profondeur appelle la profondeur... " Et cela a alors commencé à appeler vraiment une profondeur.

            Une vieille louve blanche s'est mise à hurler là, et un mâle lui a répondu là au fonds. J'ai pleuré comme un enfant. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je me tenais simplement là, hurlant, avec les mains en l'air.

48        J'ai alors regardé. Le soleil était apparu là loin à l'ouest, à l'horizon. Ça épiait, ce gros oeil qui voit tout, et au-dessus de cet arbre toujours vert, la glace gelait là. Cela avait formé un arc-en-ciel dans la vallée comme cela. Je me suis dit : " Ô Dieu ! " Partout où vous regardez, vous pouvez Le voir. Il était là. Je me suis dit qu'Il... Il regarde ; Il regarde. Il est là dans le troupeau d'élans, et Le voici dans le cri de loups. Le voici dans la nature. J'ai pensé, comme Pierre l'avait dit : " Il est bon d'être ici. Dressons trois tentes. "

            Et je m'étais senti vraiment religieux, et je courais sans cesse autour de cet arbre, hurlant à tue-tête, criant simplement et sautant aussi fort que possible. Si quelqu'un se présentait là, il désirerait m'amener dans un asile de fous, il penserait qu'il y avait un fou là dans le bois. Mais j'étais à environ trente-cinq ou quarante miles [56 ou 64 km] de la civilisation. J'étais seul avec le Seigneur, et je passais un bon moment.

49        J'ai levé les yeux et j'ai vu ce... Je me suis dit : " Oui. Cet arc-en-ciel, Dieu l'avait donné à Noé. Ce dernier devait regarder cet arc-en-ciel comme la pierre de jaspe et de sardoine. Le Premier, le Dernier, Celui qui était, qui est, et qui vient, la Racine et le Rejeton de David, l'Etoile du Matin. " Et j'ai de nouveau contourné sans cesse l'arbre aussi vite que possible, criant vraiment à tue-tête.

            Et un vieux petit écureuil de pin... Je ne sais pas si quelqu'un parmi vous, les frères, en a déjà vu un ou pas. Mais un vieux petit écureuil de pin était perché sur une souche là. Il s'est mis à faire : " Chat, chat, chat, chat, chat, chat, chat ", comme s'il allait me mettre en pièces. Je me suis dit : " Pourquoi ce petit animal est-il si excité ? " Il ne faisait que jacasser.

50        Et j'ai regardé là, et je me suis dit : " Peut-être qu'il a peur de moi. " Et alors, il s'est fait que j'ai regardé, et un gros aigle que le vent avait-avait forcé à descendre sortait de là en-dessous. Et ce gros aigle, quand il s'est montré, c'est lui qui faisait glapir ce petit écureuil. Il a sauté sur une branche comme cela, et le petit écureuil a reculé d'un pas en jacassant.

            J'ai regardé ce gros aigle. Je me suis dit : " Eh bien, Seigneur, ai-je effrayé cet aigle-là, ai-je crié trop fort ? " Je l'ai donc regardé et je me suis dit : " Eh bien, Tu l'as placé ici devant moi pour que je voie quelque chose. Je ne sais pas pourquoi Tu as placé cet aigle devant moi. "

            Je continuais à le regarder. Oh ! il était gros, un oiseau énorme. Et j'ai remarqué ses gros yeux veloutés qui regardaient partout. Je me suis dit : " Eh bien, il y a une seule chose que j'apprécie chez toi, mon gars : c'est que tu es brave ; tu n'as pas peur. " Et je me suis dit : " Pourquoi n'as-tu pas peur ? C'est ce que je veux savoir. Pourquoi n'as-tu pas peur ? N'as-tu pas peur de moi ? " Et je l'ai regardé, vous savez. Et il a hérissé ces ailes (vous savez ?) et a marché de long en large sur ce rondin, regardant tout autour. Il a regardé cet écureuil de pin, et il m'a regardé. J'ai dit : " Mon gars, sais-tu que je peux te tirer dessus ? " Il m'a simplement regardé et a continué, vous savez...?... allant et venant. Il ne l'inquiétait pas tellement.

51        Et je me suis dit : " Pourquoi as-tu... n'as-tu pas peur ? " Alors, il s'est fait que j'ai dit : " Eh bien, je vais examiner, Seigneur. Pourquoi ceci ? Eh bien, je Te vois là dans l'arc-en-ciel ; je T'entends dans le troupeau d'ours ; je Te vois là dans le coucher du soleil. Eh bien, es-Tu dans cet aigle ? " Alors, j'ai regardé un peu cet oiseau. Je me suis dit : " Oui, la raison pour laquelle il n'a pas peur, il-il bouge ces ailes à plusieurs reprises. Dieu lui a donné une paire d'ailes et il sait qu'avant que je puisse prendre ce fusil en main, il serait au sommet de ces arbres et je ne serais jamais capable de lui tirer dessus. J'ai dit : " Gloire à Dieu ! " J'avais une autre crise. Je me suis mis à courir. Je me suis dit : " C'est vrai. " Tant que vous pouvez sentir le Saint-Esprit autour de vous, qu'est-ce que ça change, ce qui arrive ? Advienne que pourra. Tant que vous pouvez percevoir une petite pensée, vous savez qu'Il est là.

            Quelqu'un a dit : " Frère Branham, n'avez-vous pas peur de commettre une erreur un soir ? "

            J'ai dit : " Non, tant que je sens qu'Il est là. " Non, non. Quand Il part, je quitte l'estrade. Mais tant qu'Il est là...

52        J'ai observé cet oiseau quelques minutes. J'en arrive à mon sujet. Mais voici ce que je voudrais dire. Quand je l'ai observé là un petit instant, après un temps, il s'est fatigué d'écouter ce drôle de petit écureuil de pin jacasser, jacasser, jacasser, jacasser. Il a juste fait un grand bond comme cela ; et il était juste là-haut, au-dessus de ces cimes, quelques coups d'ailes. Et il n'a point battu ses ailes une fois de plus. Il savait bien comment disposer ses ailes. Et je l'ai observé. A chaque coup de vent, il montait plus haut. Chaque fois que le vent soufflait, il s'élevait. Il a sans cesse  continué jusqu'à ce qu'il était devenu un petit point.

            Je me suis tenu là et j'ai crié à tue-tête. J'ai dit : " Oui, Seigneur, c'est ça. C'est ça. Il n'est pas question de sauter, et se joindre aux méthodistes, revenir chez les baptistes, puis aller chez les presbytériens, aller chez les pentecôtistes, les assemblées, les unitaires, tournoyant comme cela. Il est juste question de disposer ses ailes. " Alléluia ! C'est ça.

53        Il ne s'agit pas de courir d'une réunion de guérison à une autre. Il ne s'agit pas de courir d'un cabinet de médecin à un autre. Il s'agit de savoir comment disposer à temps vos ailes de la foi à la puissance du Saint-Esprit, de se lever et de naviguer là-dessus (Alléluia !) jusqu'à ce que vous ayez quitté cette vieille jacasserie, jacasserie, jacasserie rattachée au monde. Ce vieux groupe qui dit que les jours des miracles sont passés et que c'était pour les gens d'il y a longtemps, volez au-dessus de cela. A chaque vague du Saint-Esprit, disposez vos ailes vers Lui et montez jusqu'à ne plus être visible, là-haut dans les cieux des cieux. Quittez ce vieil Untel lié au monde ici et qui dit : " Eh bien, je crois que les jours des miracles sont passés. Je crois que ces gens qui pensent comme cela ont perdu la tête. " Volez simplement au-dessus de cela. Amen ! Ne battez pas des ailes et ne sautez pas, disposez simplement vos ailes. Laissez le Saint-Esprit vous faire monter, vous faire monter, vous faire monter. Continuez simplement à aller jusqu'à ce que vous disparaissiez.

54        Puis, un jour, là-haut, j'étais en train de paître le bétail, il m'est arrivé de voir une autre-une autre chose au sujet d'un aigle. Une vieille mère aigle, quand elle construit son nid, elle le fait avec de grosses épines et autres, et cela pue.

            Ainsi, quand les aiglons apprennent à voler... j'ai remarqué... J'ai regardé, j'ai attaché mon cheval à un arbre et je suis parti. J'avais des jumelles et j'observais simplement. J'ai vu cette vieille mère aigle là-haut ; elle faisait quelque chose, elle voltigeait là dans les airs. J'avais mis mes jumelles là et je l'observais ; en effet, on faisait descendre le bétail. Et j'ai regardé là-haut et je l'ai vue, comment elle faisait sortir ces petits. Et elle continuait à tourner sans cesse ces aiglons là-haut.

55        Et, un instant après, elle les a tous pris sur ses ailes ; et elle les a simplement fait sortir de ce vieux nid qui puait, elle est descendue là dans la vallée, et elle a étendu ses grandes ailes comme cela, et alors tous ces aiglons sont tombés et se sont mis à marcher là, tout autour ; c'était la première fois pour eux de poser leurs pattes sur l'herbe. Oh ! la la ! Comme ils passaient un bon temps ! J'ai dit : " Seigneur, si ce n'est pas là un vieux réveil du Saint-Esprit à l'ancienne mode, je n'en ai jamais vu un de ma vie-de ma vie. " C'est vrai. J'ai dit : " Regardez-les. " Ils ont quitté ce vieux nid puant là-haut, vous savez, là où il y avait de vieilles épines piquantes et autres...

            C'est ainsi que Dieu s'y prend. Il vous élève sur les ailes de l'aigle et vous transporte loin de ces vieilles choses puantes du monde juste en ce lieu-ci, là où tout est possible, et vous êtes aussi libre que possible. Amen !

56        Puis, je l'ai vue tournoyer, saisir une petite ronce couverte d'herbe là et courir en saisir une bouchée, là, jouer, passer simplement un bon moment ; pas du tout de condamnation. Je me suis dit : " Eh bien, que va faire cette vieille mère ? "

            Après qu'elle a vu ses petits se mettre à très bien jouer et à passer un bon moment, elle a encore déployé ses ailes et est montée très haut, au rocher le plus élevé qu'elle pouvait trouver. Elle s'est tenue là, s'est perchée et a commencé à regarder tout autour. Oh ! la la ! Je me suis dit : " C'est ça. " Après que le Seigneur Jésus m'a fait sortir de la boue d'argile et m'a placé sur le Rocher, Jésus-Christ a escaladé les remparts de la Gloire, s'est assis en haut, et Il regarde en bas. Ses yeux veillent sur les passereaux, et je sais qu'Il veille sur moi. Pas de mal, pas de danger, rien d'autre ne peut survenir tant que nous sommes dans Sa Présence Divine. Amen. Advienne que pourra. Même la mort elle-même a perdu son aiguillon. En effet, Il se tient là, dans la Gloire, ce soir ; Ses yeux observent cette réunion pour voir exactement ce qui va se passer, pendant que Ses enfants se rassemblent autour du Trône de Dieu, se réjouissant de la Parole de Dieu, criant dans la Présence de Dieu (oh ! la la !) sans souci.

            Ces pauvres oiseaux ne s'attendaient à rien. Mon gars, qu'un coyote s'avance vers l'un d'eux, il va attraper le fouet le plus fort qu'il ait jamais eu de sa vie. Amen ! Oh ! la la !

57        Et quand elle s'est placée là-haut, et puis, peu après... Je me suis assis là environ deux heures à l'observer. Un petit vent du nord passa, un  petit éclair vert passa vite et l'orage éclata. Et quand elle lâcha un cri, après avoir quitté ce nid là-haut, elle descendit en volant comme cela, elle lâcha un cri, et tous les aiglons, partout, dans-dans le prés, là, se mirent à courir pour se rassembler. Elle déploya ses ailes comme cela. Chacun de ces aiglons courut et sauta sur les ailes, enfonça son petit bec sur les plumes comme cela. Elle leva ses énormes ailes imposantes, et cet orage descendit d'ici, sifflant à soixante miles [96 km] à l'heure. Elle piqua droit vers ce rocher de toutes ses forces et les emporta à l'abri.

            Je me suis dit : " Oui, l'un de ces jours, un cri retentira du Ciel ; le Seigneur Jésus viendra et Il étendra Ses grandes ailes, et tous Ses enfants iront droit sur les bras de la vieille croix rugueuse, et nous serons emportés en sécurité de...?... jusqu'à ce que l'orage de la vie soit passé. " Oh ! je me demande si vous voyez Dieu dans Sa Nature.

58        David avait vu cela et savait que Dieu existait et qu'Il délivrerait. Il avait vu Dieu dans Sa nature. Il a donc dit : " Donnez-moi cette petite fronde. Je l'ai déjà expérimentée. C'est tout ce dont je sais quelque chose, c'est cette fronde. " Et tout ce dont un croyant connaît quelque chose, c'est : " Dieu l'a dit, et ceci est la vieille fronde. Je placerai confiance en cela en tout temps, contre tout ce que le diable peut ériger. " Amen ! C'est la Parole de Dieu.

            La Parole de Dieu fera fuir et vaincra Satan n'importe où, n'importe quand, dans n'importe quelle condition, si un homme ou une femme ose prendre Dieu au Mot. Amen.

59        Et je peux donc le voir, alors qu'il disait : " Eh bien, va de l'avant. Que l'Eternel soit avec toi. "

            Il s'inclina là et se chercha davantage de Dieu, il se procura cinq petites pierres et les mit dans sa petite gibecière. Il en plaça une dans sa fronde et s'avança là à la rencontre de Goliath. Alors Goliath le regarda et dit : " Suis-je un chien ? " Eh bien, il le maudit au nom de son dieu. Il dit : " Je vais te prendre, toi, on dirait petit chafouin, saint exalté, et t'enfoncer cette lance, te suspendre là-bas et te donner un instant en pâture aux oiseaux. " Oui, oui.

60        Vous direz : " David n'était pas un saint exalté. " Si, il était ce que vous appelez un saint exalté.

            Comme l'Arche de l'Eternel entrait, il sortit et dansa de toutes ses forces devant l'Arche. Sa femme se moqua de lui ; il dit : " Tu n'apprécies pas ça, observe ceci. " Et il s'y mit et tournoya de nouveau autour de l'Arche. Si ce n'est pas ça un autre saint exalté, je n'en ai jamais vu un de ma vie. Vous y êtes.

            Quelqu'un m'a dit : " Frère Branham, vous avez là un peu de ce nouveau genre de religion, n'est-ce pas ? "

            J'ai dit : " Non, j'ai une bonne dose de l'ancien genre. " Amen.

            Il a dit : " ...?... Je veux dire cette religion où on pousse des cris. "

            J'ai dit : " Ça, c'est la plus vieille religion qui soit jamais connue. " J'ai dit : " Dieu a demandé à Job : 'Où étais-tu quand Je fondais la terre ? Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d'allégresse, et que les fils de Dieu poussaient des cris de joie, dix mille ans avant la fondation du monde ?' " Amen ! Vous allez me taxer de saint exalté de toute façon. Ainsi, vous feriez tout aussi bien de vous apprêter, j'y suis habitué. Remarquez, frères...

61        Permettez-moi de vous dire quelque chose. David le savait, et il a enroulé cette vieille fronde. Il est allé et a dit : " Tu marches contre moi avec une arme et une lance en tant que Philistin, au nom de Philistin, mais moi, je marche contre toi au Nom de l'Eternel Dieu d'Israël et de l'armée même que tu as défiée. " Et il a dit : " En ce jour, je livrerai ton cadavre aux oiseaux et aux animaux des champs. " Et j'ai pris toute la chair de ces Philistins... Et tout le... et le pauvre gars s'est mis à sa poursuite.

            Eh bien, je vois David, alors qu'il courait vers ce petit ruisseau, il le traversa pour aller à sa rencontre. Et alors, qu'avait-il en main ? Voici ce que David avait. Il avait cinq pierres, f-a-i-t-h [Foi en français] dans cinq doigts ; c'était enroulé autour de J-é-s-u-s ; le voilà venir. Cinq pierres et cinq doigts, la foi dans le Seigneur Jésus. Et cette pierre alla droit au crâne de ce pauvre géant et David le terrassa et lui coupa la tête. Et alors, il regarda tout autour ; et tous les autres, ayant vu ce qui s'était passé, prirent courage, dégainèrent leurs épées et se mirent à combattre les Philistins jusqu'à la défaite. Ils les tuèrent tous.

62        Il y a quelques années, quand je venais de débuter, il n'y avait guère quelqu'un qui prêchait la guérison divine. Quand ils ont vu le sénateur Upshaw et beaucoup d'autres être guéris, je vous assure, les presbytériens, les méthodistes, les Assemblées de Dieu et eux tous, ils en ont eu un, et d'autres en ont eu un, et l'Eglise de Dieu en a eu. Oral Roberts et les autres ont eu quelqu'un d'autre et, frère, nous avons taillé en pièces les Philistins de part et d'autre. Alléluia ! En effet, si tous prennent courage ce soir, alors la moitié n'a pas encore été racontée. Le Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, l'a promis. Qu'y a-t-il dans ta main ce soir ? Utilisez tout ce que vous avez pour la gloire de Dieu.

            Je peux voir là-bas un gars du nom de Samson. Un jour, il est sorti (et les Philistins avaient causé un peu de tort là-bas), il lia des renards par les queues et consuma tout leur blé. Ainsi, ces Israélites sont venus et l'ont attrapé, ils ont dit : "Nous devons te livrer aux Philistins. "

            Et ils l'ont pris là-bas, l'ont lié avec des cordes et l'ont amené là-bas. Et les Philistins allaient le maltraiter, et quand il est arrivé là, l'Esprit du Seigneur est descendu sur lui. Amen ! C'est ce qui faisait la différence. Quand il a senti l'Esprit du Seigneur descendre sur lui, il n'avait rien en main. Et il a regardé par terre, et là se trouvait une mâchoire de mulet. Et il prit cette mâchoire dans sa main et tua mille Philistins. Amen ! C'est tout ce qu'il avait.

63        Il n'avait pas à avancer et à dire : " Un instant donc ! Laissez-moi ramasser cette mâchoire, que je la teste pour voir si elle va supporter la pression ou pas. " Il n'avait pas le temps de penser à toutes ces choses. Il y avait urgence. Les Philistins étaient sur lui. Tout ce qu'il devait faire, c'était ramasser une mâchoire et combattre. C'est tout ce qu'il y avait.

            Et, ce soir, vous n'avez pas le temps de courir pour comprendre toutes ces histoires. Le réveil va se terminer demain soir. Prenons la Parole de Dieu. Elle est entre vos mains. Combattons avec tout ce qu'il y a en vous. Amen. Dieu lui a donné la victoire.

64        Il y eut dans la Bible un petit homme, là, qui s'appelait Shamgar. Il se peut qu'il ne soit même pas remarqué là, dans le Livre des Juges, juste un pauvre petit homme. Présentons-le sous forme de saynète.

            Je peux le voir là, un pauvre petit homme. C'était un temps où chacun faisait ce qui lui semblait bon. Et Israël n'avait pas de roi. Il était tout séparé, divisé, en petits groupes, juste comme l'église l'est aujourd'hui.

            L'un est des Assemblées. L'autre, de l'Eglise de Dieu. L'autre est unitaire. L'autre, baptiste. L'autre, presbytérien. L'autre, méthodiste. Oh ! la la ! Si nous n'aimons pas cela ici, nous allons ici, et là, et là, et... Oh ! la la ! Je-je-je ne comprends pas cela moi-même.

            Et alors, quand ils en sont arrivés là et, oh ! ce dont ils avaient besoin, c'était... Juste ce dont ils avaient besoin à ce moment-là, c'était d'un bon genre de libération à l'ancienne mode, c'est ce dont nous avons besoin aujourd'hui (Amen !), ramener l'Eglise à croire au Dieu vivant, à revenir à la promesse de Dieu, à revenir à la gloire de Dieu, à revenir à la puissance de Dieu.

65        Shamgar avait entassé tous ces produits, son blé, comme il le faisait chaque année. Au moment où il rassemblait sa moisson, les Philistins venaient alors la lui arracher. C'est exactement ce que fait le diable. C'est pratiquement ce dont le diable est capable. Juste au moment où vous prenez un peu de courage ou l'une ou l'autre chose, alors le diable vient et vous l'arrache. C'est vrai.

            Juste comme le réveil qui est en cours maintenant. Au moment même où il commence et que la gloire de Dieu commence à se déverser, alors un charlatan doit venir faire quelque chose de mal et ôter de la chose la gloire de Dieu.

66        Il n'y a pas longtemps, j'ai abordé cela avec l'une de nos soeurs chrétiennes, qui était maquillée comme une Jézabel. J'ai dit : " Qu'y a-t-il ? "

            Elle a dit : " Eh bien, gloire à Dieu ! " Elle a dit : " Mon pasteur m'a dit que c'était l'émancipation de la femme. " L'émancipation de la femme, qu'y a-t-il avec vous ? Une telle chose n'existe pas. Christ vous a libérées du péché, agissez en conséquence et habillez-vous en conséquence.

            Au moment où l'église est édifiée et prend un bon départ, alors quelque chose de pareil doit arriver. Oui, oui.

            Elle a dit : " Eh bien, je vais vous le dire. " Elle a dit : " Mon pasteur m'a dit que je pouvais faire tout ce... " Et elle avait assez de maquillage pour peindre une grange. Ses-ses doigts donnaient l'impression qu'elle avait mangé un steak cru, avec du sang sur ses ongles. Je me suis dit : " Femme, pour moi, vous n'avez pas l'apparence d'une chrétienne. "

67        Ecoutez, madame, qu'on ne vous fasse pas avaler ce genre de sottises. Un bon réveil du baptême du Saint-Esprit à l'ancienne mode vous débarrassera de cela exactement comme...?... C'est vrai. Souvenez-vous simplement que vous avez perdu du terrain quelque part. Peu m'importe ce que cette femme prédicateur... Elle n'avait pas été ordonnée, sinon Dieu vous l'aurait dit pour commencer. C'est vrai. C'est tellement contraire à la Parole.

            Ecoutez. Il n'y a eu dans la Bible qu'une seule femme qui se soit jamais maquillée pour aller à la rencontre d'un homme, et c'était Jézabel. Dieu l'a donnée en pâture aux chiens.

            Ainsi, si vous voyez une femme toute maquillée, dites simplement : " Bonjour, Mademoiselle Viande pour chien. " C'est ce que Dieu a fait d'elle. Juste une pauvre viande pour chien. Ne faites pas attention à cela ; c'est du diable. C'est vrai. Oh ! elle devait se purifier et agir comme Jacob l'avait ordonné à sa femme et à sa fille. Soyez tel que vous devriez être. Amen.

68        Ce dont nous avons besoin ce soir, c'est d'un bon réveil du Saint-Esprit à l'ancienne mode, où l'on prêchait de retourner à la puissance de Dieu qui se répand à cet endroit et abaisse les gens empesés et les cols raides. Alléluia ! Oui, oui. C'est ce dont nous avons besoin. Oui, oui. Très bien.

            Le pauvre Shamgar en était arrivé là au moment où il avait édifié quelque chose, alors quelque chose comme cela a dû se produire. C'est ainsi que l'église... Quand le réveil commence, alors quelque chose de pareil doit surgir. Frère, prêchez simplement... à l'ancienne mode...

            Eh bien, nous avions beaucoup de brebis dans notre contrée, et il y avait des chiens qui tuaient des brebis. Si nous surprenions un chien avec de la laine sous ses crocs, nous prenions le vieux fusil à deux canons et nous le braquions sur lui. Frère, c'est la chose qu'il faut braquer sur ce genre de gars, c'est ce vieux fusil à deux canons. Il est dit que cela redressera les choses. Assurément. Cela mettait fin au massacre des brebis. Amen. Je ne savais pas que j'allais dire cela, mais vous pouvez bien vous en souvenir. Très bien. Pensez-y.

69        Oh ! la la ! Et au moment où il avait rentré son blé et tout, voici surgir ces drôles de Philistins très corpulents et ils le lui arrachaient. Juste là au bord de la route, ils le lui arrachaient.

            Un jour, il avait étalé toute sa récolte et l'avait toute battue. Le pauvre petit homme était là ; il se tenait là, à la grange, et regardait tout autour. Et il a dit : " Eh bien, mère, peut-être-peut-être que nous aurons... nous pourrons subsister cet hiver, nous et les enfants. " Il a regardé tout autour et, tout d'un coup, vous savez, il s'est-il s'est fait qu'il a entendu quelque chose venir sur la route, faisant : " Tromp, tromp, tromp, tromp. " Voici venir six cents hommes armés, portant de gros et vieux casques en airain, de drôles de gros souliers en fer, avec leurs lances en main et de grandes épées pendant à leurs côtés, ils remontaient sur la route pour lui arracher sa récolte.

70        Je peux voir le petit Shamgar dire : " Oh ! la la ! " Ecoutez. Il a regardé sa pauvre petite femme. Elle se tenait là, les coudes de sa robe trouées. Les petits enfants se tenaient là, visiblement tout maigres parce qu'ils n'avaient rien eu à manger. Les Philistins avaient emporté cela.

            C'est pratiquement la mine qu'affichent certains chrétiens ce soir. Un pauvre chétif qu'on appelle croyant, un chrétien né de nouveau. Amen ! Il n'a pas assez de foi pour mettre donc un point sur un "i" avec de l'encre. C'est vrai. Oh ! la la !

            Ne laissez pas le diable venir ôter de cette église la gloire de Dieu, renvoyer votre pasteur pour lui permettre d'obtenir tous ces doctorats en théologie, puis revenir se tenir ici et dire " amen " comme un veau qui se meurt. Ce dont vous avez besoin, c'est d'un prédicateur qui a une religion à l'ancienne mode, de fond de bois, au ciel bleu, qui tue le péché, qui prêchera la vérité et se tiendra sur le fait que ce que Dieu a dit est la vérité, et libérera les gens. Amen !

            Je ne suis pas rude. Ce n'est pas mon intention, mais, frère, il est le temps que nous apportions... de dire noir ce qui est noir et blanc ce qui est blanc. Oui, oui. Vous aurez Dieu dans votre camp, et vous entendrez encore le cri de triomphe royal dans le camp, après que vous aurez mis au point ces choses. Amen.

71        Maintenant, remarquez. Et vous voyez là ce pauvre petit Shamgar se tenir là, à la fenêtre en train de regarder, et voilà venir les Philistins. Il a dit : " Oh ! maman, regarde là. "

            Sa pauvre fillette pleurait. Je peux la voir, les mains baissées, dire : " Papa, nous n'aurons rien à manger cet hiver. " Et alors, je vois la mère qui se mit à pleurer là.

            Vous savez, Shamgar a regardé tout autour. Il ne savait simplement pas quoi faire. Il a regardé tout autour. Il s'est dit : " Je ne pourrais pas me battre. Je ne suis pas un lutteur, et je-je n'ai pas le temps de sortir apprendre comment me battre en duel, et faire tous ces entraînements et autres. Je-je n'ai pas le temps de le faire. "

72        Mais il a par hasard jeté un coup d'oeil, il y avait là au coin un vieil aiguillon à boeuf. Savez-vous ce qu'est un aiguillon à boeuf ? C'est un gros bâton avec un bout en cuivre pour frapper le... pousser le bétail par la porte d'une part et, d'autre part, enlever la saleté de la charrue après avoir labouré avec cela. Et il y avait là un vieil aiguillon à boeuf ; c'était tout ce qu'il pouvait avoir en main. Mais, vous savez quoi ? Je ne dis pas qu'il s'est fâché, mais son indignation de juste a été suscitée. Oui, oui. Frère, je vous assure qu'il a... Qu'y a-t-il dans ta main ? Rien qu'un vieil aiguillon à boeuf.

            Et il a dit : " Je ne suis pas un lutteur. Je-je n'en suis pas capable. Je-je n'ai pas été entraîné. " Mais il n'avait pas le temps de s'entraîner. Tout ce dont il avait besoin, c'était que l'Esprit de Dieu soit sur lui. Il a sauté par cette fenêtre, l'Esprit de Dieu étant sur lui, a pris cet aiguillon à boeuf et a tué six cents Philistins. Amen.

73        Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, ce n'est pas d'aller au séminaire pour apprendre si Marc 16 est vrai ou pas. Frère, les gens se meurent. Ce qu'il nous faut faire, c'est sortir à l'instant même. Il n'est pas question de savoir si vous êtes duelliste ou pas. C'est vrai. Oui, oui.

            Il savait que c'était un Philistin. Il savait que c'étaient des Philistins incirconcis. Aussi sûr que je sais que cette maladie... Tant que vous savez que vous souffrez du coeur, peu importe votre maladie, nous savons que c'est du diable. Et il savait qu'il était un Israélite. Il savait qu'il était circoncis. Il savait qu'il avait droit à la promesse. Il savait que Dieu avait promis de le bénir. Alors, cela l'a vraiment énervé, il a pris cet aiguillon à boeuf et s'est mis à l'oeuvre.

74        Ce dont nous avons besoin ce soir, c'est de croire, mon frère, que vous êtes un fils de Dieu et que vous y avez droit, et que la promesse est vôtre. Tout ce qui est dans votre main, prenez-le, mettez-vous à tuer le diable de part et d'autre. Amen. Et vous verrez que les plumes commenceront à s'envoler et le diable sera vaincu, et vous serez de nouveau en bonne santé.

            Qu'y a-t-il dans ta main ? Vous direz : " Frère Branham, je n'ai rien en main. " Vous aurez peut-être une carte de prière. Jetez-la par terre, levez-vous au Nom de Jésus-Christ et dites : " Ce soir, j'accepte Christ comme mon Guérisseur. " Alléluia !

            Vous pouvez avoir sur le bras un petit adhésif du catéchisme ; et vous voulez vérifier pour voir si j'ai raison ou pas. Laissez tomber cela, levez-vous au Nom de Jésus-Christ, soyez baptisé du Saint-Esprit et entrez dans le camp. Amen. Je crains que vous ayez un tas de petits credos que les gens doivent répéter le matin avant d'aller à l'église, les apprendre jusqu'à les réciter. Laissez tomber cela et que votre coeur soit rempli du Saint-Esprit. Amen. Laissez tomber cela et prenez ce que vous avez en main. Tout ce que vous avez en main, prenez-le et faites le mieux possible avec pour la gloire de Dieu. Amen ! Bonté divine ! Je n'ai assurément pas... Oh ! il est presque 10h. Prions.

75        Notre Père céleste, nous n'avons pas grand-chose en main, mais, ô Dieu, ce n'est pas ce qui est dans notre main qui compte , c'est ce que Toi, Tu peux placer dans nos mains. Ô Dieu, nous avons besoin de foi ce soir. Prends ce petit message de ce soir, Seigneur, et place-le dans le coeur de chaque croyant, et qu'on sache que peu importe combien quelqu'un est faible, il a toujours Christ à portée de main. Et je Te demande d'accorder ces bénédictions ; sauve les perdus, remplis du Saint-Esprit ceux qui sont en dehors de Christ, et tire gloire de ce service. Je le demande au Nom de Jésus.

            Avec vos têtes inclinées, je me demande, pendant que nous faisons cet appel à l'autel juste un moment... Je sais que c'est une prédication à l'ancienne mode, dure, qui récure, qui taille, sassafras au possible, mais, frère, vous en avez de fois besoin. C'est vrai. Vous en avez besoin.

76        Et je me demande s'il y a quelqu'un ici ce soir, pas avec une histoire pathétique pour faire pleurer et avancer... Ecoutez. Beaucoup de gens seront séduits là-dessus plus que sur n'importe quoi que je connaisse. Je ne vais pas au Ciel parce que ma mère y est allée. J'y vais parce que Jésus-Christ est mort afin que je puisse y aller. J'aimerais voir ma mère, assurément. Mais je dois venir à Christ, non pas parce que ma mère y est allée, mais parce que je viens comme pécheur, et j'ai confessé mes péchés, et que j'accepte la voie à laquelle Dieu a pourvue. C'est ça. Maintenant...

            Dites-vous ce soir : " Je suis un pécheur, prédicateur, et je voudrais que vous vous souveniez de moi dans la prière. Je lève la main vers vous pour vous demander de vous souvenir de moi dans la prière, moi pécheur. " Veuillez lever la main n'importe où dans l'auditoire. Que Dieu vous bénisse tous là-bas. Oh ! la la ! Oh ! la la ! Oh ! la la ! Tout là-bas autour du balcon, y a-t-il quelqu'un là ? Oui, je vois vos mains. Partout, Dieu les voit aussi. Certainement qu'Il les voit.

77        Aussitôt après le service, j'aimerais que vous veniez ici et que vous confessiez, que vous donniez votre coeur à Christ et que vous serviez le Seigneur de tout votre coeur.

            Père céleste, alors que la nuit avance, il y a des petits enfants malades tout autour ici. Je prie, ô Dieu bien-aimé, que Ta miséricorde se répande dans nos coeurs maintenant même. Puisse ce petit sujet Qu'y a-t-il dans ta main ? [Espace vide sur la bande - N.D.E]... pour Moise, rien qu'un bâton sec ; pour David, rien que deux petites cordes avec un morceau de cuir, une fronde ; pour Samson, rien qu'une mâchoire sèche d'un mulet... Ô Dieu, pour Shamgar, pas même... rien qu'un aiguillon à boeuf dans sa main, un bâton avec un peu de cuivre au bout, et il a tué six cents Philistins. Il n'était pas un guerrier, il n'était pas un lutteur, mais un homme sous l'alliance.

78        Ô Père céleste, ne veux-Tu pas ce soir, Seigneur, prendre chaque personne dans Ta main. Accorde-le, Seigneur, et donne la foi à leur coeur, et puisse le Saint-Esprit faire infiniment au-delà de toute mesure ce soir, Seigneur, alors qu'ils sont dans l'attente. Hier soir, j'étais si heureux de Te voir redonner la vue aux aveugles, faire entendre les sourds et amener les pécheurs à Toi. Et, ô Dieu, toutes ces grandes choses que Tu as faites, les paralysés ont été redressés, ont quitté leurs chaises et ont marché çà et là au Nom du Seigneur. Ô Seigneur Dieu, Tu es Grand. Et nous Te rendons grâce pour cela et nous Te prions de sauver ce soir chaque personne qui a levé la main. Qu'ils ne soient plus jamais perdus, mais puisse celle-ci être la soirée où ils Te recevront. Littéralement, une ou deux centaines ont levé la main, et je Te prie de sauver chacun pour l'amour de Jésus. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

79        [Espace vide sur la bande - N.D.E]...?... Il a envoyé un million de Bibles là, à ces Juifs. Ils viennent de rentrer de l'Iran là, de l'Iran, de l'Irak, et...?... et là, dans ces pays là. Vous avez lu cela... lu dans ces magazines comment le... des millions de Juifs ont été ramenés. Si nous avions le temps d'aborder cet événement prophétique... Et quand ces Juifs revenaient (j'ai leur film qui a été tourné à leur arrivée), ils descendaient des bateaux, des avions, transportant leurs frères boiteux, estropiés et aveugles.

            Nous nous sommes donc approchés d'eux. L'homme a tourné ce film, frère Arganbright et les autres (ce qui est permis ici dans la réunion), il leur a posé une question, disant : " Pourquoi revenez-vous tous? "

            " C'est notre patrie. "

            Il a dit : " C'est pour que vous puissiez avoir un endroit propre à vous, mourir dans la patrie ? "

            Ils ont dit : " Non. Nous revenons pour voir le Messie. "

            Oh ! vous, les enseignants de la prophétie, si seulement vous saviez ce que c'était ! Quand cet Evangile quittera les Gentils pour retourner chez les Juifs, ça sera terminé pour les Gentils. C'est le temps de la fin.

80        Et alors, ils leur ont donné des Bibles. Ils en ont envoyé un million là-bas. Ces Juifs se sont mis à lire ces testaments. Ils ont tout lu. Ils n'avaient jamais su que Jésus était ici. Ils n'avaient jamais rien entendu à ce sujet. Ils étaient là depuis la déportation à Babylone, la captivité. Alors ils ont dit : " Si ce Jésus que vous invoquez est le Messie, qu'on Le voie accomplir le signe du prophète, comme Il avait fait ici dans cette Bible, et nous L'accepterons. Nous L'accepterons tous, s'Il vient et accomplit le signe du prophète. Nous L'accepterons. "

            Frères, oh ! la la ! j'étais à quelques centaines de miles de là, il y a quelques semaines, mais le Saint-Esprit m'a contraint ; ce n'était pas encore le temps. Oh ! comme j'aurais voulu...?... quelques millions d'entre eux et dire : " Je le demande au Nom du Seigneur Jésus. S'Il n'accomplit pas le signe du prophète... Combien ici, sur cette même terre, vont L'accepter comme leur Sauveur personnel ? " Et alors, quand ils auront fait cela, on leur dira : " Sur cette même terre où vos aïeux ont reçu le baptême du Saint-Esprit, les mêmes signes que Jésus avait accomplis se répéteront exactement comme vous l'avez lu dans la Bible. "

            Ils ne veulent pas avoir... Leur Dieu est un Dieu puissant. Leur Dieu ne meurt pas. Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement, et ils croient cela.

81        Remarquez. Quand Jésus était ici sur terre, Il ne disait pas qu'Il était un Guérisseur. Beaucoup de gens venaient vers Lui et ils n'étaient pas guéris. Souvent, peut-être, on L'amenait auprès des morts. Je m'imagine qu'il y en avait des milliers qui mouraient pendant qu'Il était ici sur terre. Il n'en a ressuscité que trois en guise de confirmation. Il est passé près de la piscine de Bethesda, là où étaient couchés des boiteux, des estropiés, des aveugles, des gens avec des membres atrophiés, Il n'en a guéri aucun, Il est allé vers un homme qui était couché sur un grabat et l'a guéri, Il s'est éloigné, laissant les autres qui étaient couchés là.

            Un Homme plein de vertu, plein de foi, Dieu Lui-même, Emmanuel, ici sur terre, habitant parmi nous, Il a dit : " Je ne fais rien de Moi-même. " Quand on L'a interrogé dans Saint Jean 5:19, Il a dit : " En vérité, en vérité, Je vous le dis, Le Fils ne peut rien faire de Lui-même ; Il ne fait que ce qu'Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. " Eh bien, voyez si cela s'est fait dans la Bible, et voyez  si ce n'était pas tout le temps ce que le Père Lui montrait. Jésus a dit : " Ce n'est pas Moi qui fais les oeuvres. C'est Mon Père qui demeure en Moi ; c'est Lui qui fait les oeuvres. "

82        Quand Philippe s'est converti, il est allé trouver Nathanaël et l'a amené ; que s'est-il passé ? Il a dit : " Viens voir qui nous avons... j'ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph. "

            Il a dit : " Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? "

            Quand il est venu voir Jésus, il s'est avancé dans la ligne comme ici. Jésus l'a regardé. Peut-être qu'il était dans la ligne de prière, à ce que je sache. Mais il est venu là où Jésus était en train de prier pour les malades. Quand Il l'a regardé, Il lui a dit... Jésus l'a regardé et a dit : " Voici un Israélite dans lequel il n'y a point de fraude. "

            Et alors, il a dit : " Comment me connais-Tu, Rabbi ? "  Cela l'a étonné.

            Eh bien, Il a dit : " Avant que Philippe t'appelât, quand tu étais sous l'arbre, je t'ai vu. "

            Il a dit : " Tu es le Fils de Dieu ; Tu es le Roi d'Israël. "

83        Il remontait la route de Samarie. Il allait à Jéricho, mais Il est passé par la Samarie, là sur la colline. Il s'est assis, Il a envoyé Ses disciples. Une femme samaritaine est venue. Il l'avait vue là puiser de l'eau. Le Père Lui avait dit d'aller là. Il ne Lui avait pas dit ce qui allait se passer, juste aller là.

            Il a donc trouvé cette femme là, et Il lui a dit : " Donne-moi à boire. "

            Elle a dit : " Il n'est pas de coutume que les Juifs demandent pareille chose aux Samaritains. Nous n'avons pas de relations. "

            Il a dit : " Mais si tu connaissais qui est Celui qui te parle, c'est toi qui M'aurais demandé à boire. "

            Qu'a-t-Il fait ? Il a continué la conversation jusqu'à ce qu'Il ait saisi son esprit. Alors, quand Il a saisi son esprit, ce qui clochait en elle, Il a dit : " Va chercher ton mari. "

            Elle a dit : " Je n'en ai point. "

            Il a dit : " Tu as dit vrai. Car tu en as eu cinq et celui que tu as maintenant n'est pas tien. "

            Elle a dit : " Je vois que Tu es prophète. " Elle a dit : " Eh bien, je sais que quand le Messie sera venu, Il fera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu ? "

            Il a dit : " Je Le suis, Moi qui te parle. "

            Et elle est entrée dans la ville en courant et a dit : " Venez voir un Homme qui m'a dit tout ce que j'ai fait. Ne serait-ce pas le Messie ? "

84        Or, si ce Jésus est le même Jésus aujourd'hui, Il peut faire la même chose aujourd'hui, et suivant la révélation de Dieu. Il peut faire la même chose. Est-ce vrai ?

            Eh bien, écoutez ceci : Hier soir, il y avait des hommes et des femmes assis ici dans cette rangée-ci, qui étaient paralysés, assis dans des fauteuils roulants. Ce soir, ils sont là dans l' assemblée, où qu'ils soient, marchant. Pourquoi ? Jésus-Christ.

             Il y a eu des hommes, des femmes qui sont venus à l'estrade, ayant des péchés dans leur vie. Le Saint-Esprit est allé jusqu'au fond là, Il leur a révélé juste ce qu'il y avait et ce qu'ils devaient faire. Ils ont été guéris, ils se sont tenus juste ici à l'estrade, ils ont donné leur coeur à Christ. Si ce n'est pas là Jésus-Christ de la Bible, je ne connais pas la Bible.

            Qu'est-ce, prédicateurs ? Cet aspect est-il un type dans la Bible ? Eh bien, ce ne sont pas des hommes ; c'est Christ. Eh bien, s'Il retourne ici ce soir et accomplit la même chose qu'Il avait faite quand Il était ici sur terre, allez-vous tous alors L'accepter comme Sauveur, comme Guérisseur, et croire en Lui de tout votre coeur ? Si c'est le cas, voulez-vous lever la main ? Que Dieu vous bénisse.

            Maintenant, Père céleste, maintenant, c'est tout ce que je sais faire. Le reste Te revient, mon Bien-aimé Sauveur, et je Te prie d'accorder des bénédictions au Nom de Jésus. Amen.

85        Eh bien, nous avons pris toutes les cartes de prière hier soir. Je pense qu'ils ont distribué quelques nouvelles cartes aujourd'hui. Si le jeune homme... je... Il était ici il y a un moment. Et... C'était quoi ? La série O. Très bien. Commençons à aligner quelques personnes alors.

            Qui a le numéro 1 ? Oh ! regardez votre carte de prière et vous verrez cela. Si c'est vous, vous pouvez venir... Est-ce cette dame juste ici ? Ça va. Oui. Venez simplement, madame, juste ici. C'est un peu difficile. Je vais probablement en appeler juste une ou deux.

            Qui a O numéro 2 ? Voudriez-vous lever la main, celui qui a le numéro 2 ? La dame là derrière, veuillez venir, madame, s'il vous plaît. Qui a O numéro 3 ? Voudriez- vous lever la main ? Celui qui a O numéro 3, voudriez-vous lever la main ? Là derrière, monsieur ? Désolé. Très bien. Voudriez-vous venir ici ? Numéro 2 et numéro 3. Maintenant le numéro 4. Qui a O numéro 4, voudriez-vous lever la main ? Vous, monsieur ? Voudriez-vous venir ici ? Très bien.

86        Numéro 5. Qui a O numéro 5 ? Vous l'avez, madame ? Voudriez-vous venir ici ? Numéro 6, qui a le numéro 6 ? Voudriez-vous lever la main ? Numéro 6 ? Qu'un huissier vienne ici et... prenne ceux qui sont ici dans ces fauteuils...?... Je suis désolé. Très bien. C'est bien. Très bien. Numéro... Où étais-je ? 5 ? Qui avait... 6 ? Qui a 7 ? Carte de prière 7, voudriez-vous lever la main juste...? 7, la dame là. 8, voudriez-vous lever la main, rapidement ? 8... 9, voudriez-vous lever aussitôt la main ? 9. Très bien. 10 ? Et...

            Maintenant, alors qu'ils s'alignent, maintenant, combien dans cet auditoire... Partout ici maintenant, j'aimerais vous poser une question. Eh bien, ce style de prédication sassafras à l'ancienne mode peut être rude au possible, mais, frère, c'est tout ce que je sais. C'est ce qui m'a sauvé. Et c'est tout ce que je sais. Je... Tout ce que je sais... Je n'aimerais pas vous offenser, mais je préférerais certainement vous offenser un tout petit peu maintenant (cela vous met en ordre avec Dieu) et je sais que j'aurai à me tenir là ce jour-là et vous me pointerez du doigt en face et direz : " Pourquoi ne m'avez-vous pas dit la vérité ? " Voyez ? Je préférerais redresser cela maintenant, n'est-ce pas ? Avoir tout réglé ?

87        Maintenant, combien ici n'ont pas de carte de prière et veulent qu'on prie pour eux ? Voudriez-vous lever la main ? Levez simplement la main, ceux qui n'ont pas de carte de prière, mais pourtant croient que Dieu va les guérir. Puisse le Seigneur Jésus vous bénir donc dans Sa Miséricorde. Très bien.

            Maintenant, si seulement nous restons respectueux pendant quelques instants, voyons s'ils alignent... Eh bien, c'est comme ça, autant-autant que vous pouvez en avoir dans cette ligne, je suppose. Très bien. Nous allons prier pour quelques-uns ici même maintenant, et puis le... Nous allons attendre un tout petit peu pour voir où le... notre Précieux Père céleste va conduire. Eh bien, je voudrais que vous croyiez de tout votre coeur.

            Je vois qu'un homme a déjà tendu... Est-ce votre fille ? C'est ça ? Un homme qui a une grande foi, il a une fillette assise là, souffrant de la polio. Quand on a commencé cette ligne de prière, il a tendu la main et a ôté ce grand appareil orthopédique et le soulier du pied de son enfant. C'est comme ça. C'est comme ça. Et c'est-c'est la foi. C'est ainsi qu'il faut croire cela. Notre Aimable Sauveur connaît tout, Il peut tout faire.

88        Maintenant, ici dans cette ligne de prière, il y en a juste quelques-uns, peut-être que nous en mettrons debout un peu plus dans un moment. J'aimerais vous poser une question, vous là. M'êtes-vous tous inconnus, vous  dans cette ligne de prière ? Si c'est le cas, levez la main. Vous tous qui êtes inconnus. Etes-vous tous inconnus là ? Levez la main. Partout dans ce...?... Tous inconnus. Alors, je ne vous connais pas. Je ne sais rien sur vous, mais j'aimerais vous poser une question. Je vais juste baser cela sur la Bible.

            Eh bien, et si Jésus se tenait ici, portant ce costume qu'Il m'a donné, eh bien, et-et s'Il se tenait ici, que ferait-Il en pareille situation, ce soir ? Et si-si quelqu'un, là, venait et disait : " Jésus, veux-Tu me guérir ? " Savez-vous ce qu'Il vous dirait ?

            Il dirait : " Je l'ai déjà fait. Ne le croyez-vous pas ? " Est-ce vrai ? Ce qu'Il a fait au Calvaire, Il ne peut plus le faire. Voyez ? Il-Il-Il vous a guéri au Calvaire. Il vous a sauvé au Calvaire.

89        Maintenant, vous direz : " J'ai été sauvé il y a deux ans, Frère Branham. " Eh bien, vous n'étiez pas sauvé... deux. Vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans. Vous avez accepté cela il y a deux ans.

            Jésus a payé le prix de vos péchés quand Il est mort au Calvaire. Il a payé le prix de votre maladie quand Il est mort au Calvaire. Par conséquent, si Dieu, dans Sa miséricorde, a fait cela, tout ce qu'Il peut faire maintenant serait soit de prendre la Bible et prêcher la Parole, soit pouvoir parler dans une langue qui serait interprétée par quelqu'un d'autre et dire à quelqu'un quoi faire. Ou soit Lui, étant le Prince des prophètes, Il pourrait, peut-être, se tenir ici comme Il l'a fait du temps de la Bible, et votre foi pourrait se déployer et Le toucher au point que la vertu sortirait de Lui, alors Il se retournerait et dirait : " Qui M'a touché ? " Et Il regarderait tout autour et vous dirait exactement ce qui est arrivé. Est-ce vrai ? Est-ce Jésus ?

90        Alors, si cette dame assise ici dans le fauteuil venait ici, Jésus la connaît... Je ne la connais pas. Dieu le sait. Je ne l'ai jamais vue de ma vie. Mais ce que je cherche à obtenir de vous, mes amis, afin que vous vous souveniez toujours...

            Eh bien, quand Jésus a accompli ces oeuvres, qu'a dit Philippe qu'Il était ? Le Fils de Dieu. Qu'a dit la femme qu'Il était ? Le Messie même parce qu'Il avait fait cela. Mais qu'ont dit les Juifs qu'Il était ? Ils ont dit : " C'est un diseur de bonne aventure. C'est un démon. C'est Béelzebul, le prince de tous les diseurs de bonne aventure. " Voyez ? Ils savaient que Lui connaissait ce qui n'allait pas en eux. Il connaissait leurs coeurs. Il connaissait leurs problèmes, car le Père Lui montrait ce qu'Il voulait qu'Il sache. Voyez-vous ce que je veux dire ? Eh bien, c'est Jésus ce soir, le même. Très bien.

            Maintenant, soyez respectueux, où que vous soyez. Et maintenant, ceci devrait régler la question une fois pour toutes.

91        Voudriez-vous amener cette dame ici, ou lui dire de venir ici. Venez ici. Je... Eh bien, madame, je voudrais simplement que vous vous teniez là ; c'est tout ce qu'il y a à faire, juste... C'est tout ce que je vous demande de faire, vous tenir simplement là.

            Eh bien, je ne vous connais pas. Vous ne me connaissez pas. Vous veniez de lever la main pour montrer que vous ne me connaissiez pas et que je ne vous connais pas. Mais Dieu nous connaît tous deux, soeur, et Il-et Il... J'ai hésité une minute au sujet de cette soeur (voyez ?) pour dire cela, mais je sais maintenant que vous l'êtes. Eh bien... Voyez ? C'est la première-la première chose que je connais, c'est que vous êtes une chrétienne. En effet, aussitôt que j'ai saisi votre esprit, ça s'est révélé que vous étiez chrétienne. Voyez ? Votre esprit était le bienvenu. Si ça avait continué à devenir sombre et nuageux, j'aurais su que vous ne l'étiez pas ; et, par conséquent, je ne vous aurais pas appelée ma soeur. Ainsi donc... mais vous êtes une chrétienne. Eh bien, autant...

92        Eh bien, ce-eh bien, c'est exactement ce que Philippe a dit à Nathanaël. Quand il est venu, il lui a été dit : " Voici un Israélite, ou plutôt un croyant dans lequel il n'y a point de fraude. "

            Il a dit : " Comment as-Tu su que j'étais un Israélite, un vrai croyant ? " Voyez ? C'est le même esprit. Cette femme pouvait être une pécheresse de haut niveau, mais je sais qu'elle est chrétienne. Voyez ? En effet, la première chose, son esprit, quand cette onction qui est ici maintenant, ça était très vite pris. Vous voyez ? J'ai vu que c'était une chrétienne. C'était accueillant. Voyez ? Ainsi, elle... Je sais qu'elle est une chrétienne.

            Eh bien, si je ne connais pas la femme, elle ne me connaît pas... si le Saint-Esprit lui révèle ce pour quoi elle est ici... Maintenant, bien sûr, plus je lui parle, plus des choses seront dites. Vous savez cela, soir après soir.

93        Mais s'Il lui disait simplement ce pour quoi elle est ici, tout votre groupe croirait-il que je vous ai dit la vérité ? Ce serait Dieu confirmant que c'est la vérité. Eh bien, un homme peut venir ici et vous raconter tout ce qu'il y a au monde, fabriquer une espèce de fanatisme, faire tout ce qu'il veut, ce... Il pourrait faire cela, vous dire cela. Cela ne rend pas la chose réelle. Mais quand Dieu vient après et confirme que c'est la vérité, alors vous feriez mieux de croire cela. En effet, cela... ne pas croire cela, c'est le péché.

            J'ai donc rendu témoignage. Maintenant, c'est le temps pour Dieu de témoigner si j'ai dit la vérité ou pas. Très bien. Maintenant, je me tiens juste ici en train de parler à cette dame, je ne l'ai jamais vue de ma vie. Mais la dame est très consciente, en ce moment même, que Quelque Chose se tient près d'elle, qui n'est pas son frère ici, qui est un homme. Il y a quelque chose près d'elle, elle sait que cela est là. Et c'est cet Ange que vous voyez juste là sur la photo. Il est juste ici maintenant, juste une Lumière entre moi et la femme. C'est la raison pour laquelle c'est tombé là, et j'ai senti que c'était accueillant. La lumière partout, c'est une chrétienne.

94        Eh bien, j'aimerais juste vous parler un instant, étant donné que vous êtes la première patiente. Et j'aimerais que tout le monde, peu importe où vous êtes et ce qui cloche en vous, regarde dans cette direction-ci et dise : " Maintenant, Seigneur Jésus, si Tu... Je connais cet homme là debout. Ce n'est qu'un homme, et si... Et si seulement Tu me permets-Tu me permets d'avoir la foi et que Tu permets que ma foi soit édifiée au même niveau que la dame qui va... " Et alors, observez ce que Dieu va faire, et puis acceptez-Le comme votre Guérisseur, comme votre Sauveur, tout ce dont vous avez besoin.

            Maintenant, pour vous parler, madame. Il y a des gens tout près, partout ici ce soir. Je dois simplement vous isoler. De partout les esprits...

            Eh bien, moi, je suis juste un homme, de même vous, juste une femme. Vraiment le même genre de tableau que celui de Jésus parlant à la femme au-au puits. Il y a de nouveau un homme et une femme.

            Eh bien, je ne vous connais pas et je ne vous ai jamais vue, mais je dois simplement séparer votre esprit de celui des autres qui parlent, ou plutôt prient (vous savez ?) en ce moment, la foi vient.

95        Mais, aussitôt... Eh bien, si l'auditoire continue à entendre ma voix, la dame s'éloigne de moi, et c'est-c'est une dame... Cette femme qui se tient devant moi a tout récemment été dans un hôpital, et ça fait quelques heures. On l'a fait sortir de l'hôpital aujourd'hui, ou plutôt cet après-midi, à 19h, quand elle est sortie de l'hôpital. Elle souffre d'une maladie rare de sang, ainsi que d'une maladie mentale, la nervosité. Poursuivez votre chemin, soeur, votre foi vous a guérie, vous pouvez être rétablie. Amen.

            Croyez-vous ? De tout votre coeur maintenant, ayez foi ; ne doutez pas. " Si tu peux croire, tout est possible. " Mais vous devez croire. Eh bien, ayez simplement foi là, et vous aurez ce que vous demandez.

96        La jeune dame assise là en manteau rose souffrant de la vésicule biliaire, juste... vous avez été guérie. Que Dieu vous bénisse.

            Imposez la main à la dame à côté de vous ; en effet, elle souffre de nervosité, là, de ce côté.

            Notre Père céleste, sa foi a touché. Je me suis senti faible. J'ai vu Ta Lumière suspendue au-dessus d'elle. Je la déclare guérie au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen.

            Voyez, vous n'avez pas besoin d'une carte de prière. Vous avez la foi. Croyez que Dieu a dit la vérité. Car Il n'est que la Vérité ; Il est la source de toute vérité.

            Eh bien, soyez vraiment respectueux. Croyez simplement de tout votre coeur. Vous-vous pouvez avoir ce que vous demandez si seulement vous croyez cela.

97        Eh bien, est-ce-est-ce le patient ? Je ne suis pas hors de moi, mais le monde ne saura jamais, soeur, quelle sensation c'est.

            Eh bien, êtes... Nous ne nous connaissons pas. Nous sommes inconnus l'un à l'autre, et moi, votre frère dans le Seigneur Jésus, et nous sommes ici pour essayer de nous entraider. Si je pouvais-je pouvais vous aider et que je ne le fasse pas, je serais une brute. Si je pouvais vous aider, mais il n'y a en moi rien qui puisse aider, à moins que Dieu me fasse savoir quoi faire. Si donc Il me révèle pourquoi vous vous tenez ici, allez-vous donc accepter cela comme étant la vérité, que ce soit pour de l'argent ou quoi que ce soit ? Allez-vous croire que Dieu s'intéresse à votre cas et qu'Il va exaucer ? Le ferez-vous ? Puisse le Seigneur accorder cela. C'est ma prière, alors que vous me regardez.

            Non pas... Vous savez, comme Pierre et Jean passaient par la porte appelée La Belle, ils ont dit : " Regarde-nous. (Voyez ?) Regarde-nous. " Non pas les regarder, eux, comme Lui, mais juste accorder l'attention à ce qu'ils disaient, saisir l'attraction de l'Esprit.

98        Je vois que vous avez des problèmes dus à une maladie des yeux, et je vois un médecin en train d'examiner cela. Et il a consulté un autre homme, et cet homme... Ils ne savent pas ce qui cloche dans votre oeil. Ils ne peuvent pas dire... Ils n'arrivent pas à découvrir ce que c'est. Et alors, je les vois vous administrer un certain produit là à l'estomac... C'est un affaissement d'estomac. Vous avez un affaissement d'estomac. Les médecins vous ont abandonné aux regards de cela. Et vous n'êtes pas de... Vous n'êtes pas de cette ville-ci. Vous avez remonté la route, dans cette direction-ci : l'Atlanta. Et les médecins ont dit : " Mademoiselle Trudy ", ou un nom comme cela par lequel on vous a appelée. C'est vrai. Retournez chez vous et soyez guérie. Votre foi vous guérit. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi.

99        Etes-vous le père de cet enfant ? Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, mais croyez. Si tu peux croire... Eh bien, souvenez-vous, ce n'est pas moi. Ecoutez ceci, non. Eh bien, votre attitude envers cela... Appelez cela comme vous le voulez ; ça déterminera ce que vous tirerez de cela. Ça dépend de la manière dont vous vous approchez de Cela.

            La femme a touché Son vêtement ; elle a reçu une force. L'homme qui L'avait frappé sur le visage, qui L'avait frappé avec un roseau et avait dit : " Prophétise et dis-nous qui T'a frappé ", il n'y avait pas de vertu là-dessus.

            La jeune dame assise juste là derrière, vous souffrez de la tête, n'est-ce pas, madame ? Assise là en train de me regarder, juste là. Vous croyez... Oui, madame, croyez-vous que Jésus va vous guérir ? Il vous a guérie à l'instant même. Votre... Vous souffrez de cela depuis longtemps, madame. Cela vous a quittée maintenant. Votre foi vous a guérie. Gloire soit rendue au Dieu vivant. Oh ! Combien nous L'aimons ! Combien vous devriez L'aimer !

100      Pendant que le Saint-Esprit agit là, il y a un homme assis juste derrière vous, assis là, souffrant d'arthrite. Croyez-vous, monsieur, que le Seigneur Jésus va vous rétablir ? Croyez-vous cela ? Oui, oui. Croyez-vous ? Très bien, monsieur. Vous pouvez alors obtenir votre guérison. Que Dieu vous bénisse. Cela vous donne un doux choc, n'est-ce pas ?

            La dame assise juste là derrière, qui a la main soulevée, en train de prier, elle souffre de la vésicule biliaire. Elle veut aussi être guérie, elle regarde droit vers moi, elle est assise tout au fond. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, là derrière, madame ? Très bien. Si vous le croyez, vous pouvez obtenir votre guérison. Amen. N'est-Il pas merveilleux ?

            La dame assise là derrière, juste là au fond, elle regarde droit vers moi. Je vois la Lumière suspendue au-dessus d'elle. Elle n'a pas de carte de prière, mais elle a une maladie de coeur et d'arthrite. Cette Lumière est partie droit de cet homme là-bas vers elle. Directement ici, et maintenant, soeur, si vous voulez croire de tout votre coeur, vous qui portez des lunettes, vous voulez croire, vous pouvez être guérie. Jésus-Christ va vous rétablir. Que Dieu vous bénisse. Très bien. C'est réglé. Amen ! Oh ! comme c'est merveilleux ! Croyez-vous ?

101      Eh bien, il y a... C'est comme si vous pouviez voir cela, amis chrétiens. Voyez-vous cette Lumière qui tourbillonne ? Elle se tient juste là. Elle passe juste au-dessus de cette da... assise juste là avec... vous avez des varices, vous assise juste là. Croyez-vous que Jésus va vous guérir de ces varices, vous guérir ? Croyez-vous cela de tout votre coeur ? Si vous croyez, vous pouvez avoir votre guérison. Que Dieu vous bénisse.

            Excusez-moi, monsieur. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Vous-vous êtes venu avec votre enfant, un petit enfant très doux. Je ne vous connais pas. Vous le savez. Je vous suis un parfait inconnu. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, je pense, monsieur. Nous sommes totalement inconnus l'un à l'autre, mais Dieu nous connaît tous deux ; n'est-ce pas, monsieur ? Vous avez votre petit enfant, et je peux voir cet enfant revenir d'un certain examen médical. Et le médecin a dit qu'il n'y a pas d'espoir pour lui. Ce bébé souffre d'un cancer de sang, appelé la leucémie. C'est vrai. Il n'y a pas d'espoir au monde pour ce cas. Et mon frère, le père de cet enfant, vous avez besoin du Seigneur Jésus-Christ comme votre Sauveur, n'est-ce pas ? Vous êtes un pécheur. Voulez-vous L'accepter maintenant comme votre Sauveur ? Voulez-vous lever la main et dire : " Seigneur, je T'accepte. " Maintenant, placez votre main juste sur votre enfant.

102      Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ, je réprimande maintenant ce démon qui tue cet enfant. Que la grâce qui pardonne soit accordée à ce père, et puissent-ils aller, vivre et être heureux ensemble, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse. Vos péchés sont partis. Ayez foi en Dieu maintenant. Amen. Croyez au Seigneur Jésus-Christ et vous pouvez être rétablis. Croyez-vous en Lui ?

            Qu'en pensez-vous, monsieur ? Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu ? Votre maladie, c'est au dos. C'est une maladie de la colonne vertébrale. C'est vrai. N'est-ce pas ? Vous avez l'espoir ce soir que vous pouvez être sauvé et, autre chose, vous avez une habitude dont vous voulez être délivrée, n'est-ce pas ? Le fait de fumer la cigarette. Voulez-vous abandonner cela maintenant même? Levez la main et dites : " Ô Dieu, que ceci arrête la chose. " Poursuivez votre chemin, et votre mal de dos sera guéri. Au Nom de Jésus.

            Disons : " Gloire soit rendue à Dieu ! " La mort approche , la vie aussi.

103      Croyez-vous que Christ peut vous guérir de cet horrible démon ? Croyez-vous qu'Il peut vous débarrasser de ce cancer et vous rétablir ?

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cette femme et guéris-la au Nom de Jésus, je prie. Satan, je Te réprimande au Nom de Jésus. Amen. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant maintenant.

            Juste un instant... Qu'en pensez-vous, monsieur, assis ici dans ce fauteuil roulant ? Croyez-vous ? Croyez-vous que Jésus vous rétablira ? On dirait que cela vous a alors frappé, n'est-ce pas ? Vous vous êtes rendu compte que quelque chose s'est passé. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Allez-vous m'obéir en tant que Son prophète ? Alors, vous pouvez vous lever de votre fauteuil roulant, le pousser et rentrer chez vous. Jésus-Christ vous rétablira. N'ayez pas peur. Croyez.

            Et les autres, pendant qu'il sort, vous pouvez faire autant maintenant. Le voilà...?... se lever. Chacun de vous, levez-vous maintenant même.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Ton Esprit sur ces gens et guéris-les tous. Satan, je te condamne. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, sors de ces gens. Levez-vous tous, partout, et rendez gloire à Dieu. Le Saint Esprit...?...

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