L'Expectative

Date: 61-0308 | La durée est de: 1 heure et 33 minutes | La traduction: Shp
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1          ... le principal par le secondaire, comme Dr. F. F Bosworth, l'un de mes associés qui est tout récemment rentré à la Maison, dans la Gloire, il avait près de cent ans... Combien ont jamais connu frère Bosworth ? Je suis sûr que beaucoup parmi vous l'ont connu. Il avait l'habitude de me parlait, disant : " Eh bien, Frère Branham, la guérison divine ne nous sert que d'appât que l'on met à l'hameçon; on ne montre jamais l'hameçon au poisson, on lui montre l'appât. Et une fois qu'il mord l'appât, il mord l'hameçon. " C'est-c'est  ainsi donc que nous avons essayé d'utiliser la guérison divine.

            C'est un don de Dieu qui... Et alors, nous... Elle attire les gens, et ils voient quelque chose se passer, et ils reconnaissent que cela ne pouvait pas se passer sans Dieu. Par conséquent, elle détourne leur attention de choses du monde pour la diriger vers Dieu. Voyez ? Et c'est ce que...c'est la raison pour laquelle nous disons que c'est un appât qui conduit les pécheurs...

            C'est cela le but principal de notre présence ici, c'est d'attraper l'incroyant pour l'amener à croire en Dieu. C'est ce que nous voulons faire,  avoir...voir le pécheur être converti à une foi vivante dans notre Seigneur Jésus-Christ. C'est cela l'essentiel pour nous.

            La chose suivante, c'est essayer d'aider les malades et les nécessiteux à trouver de l'assistance. Et beaucoup parmi eux, évidemment, comme c'est le cas à travers le monde, sont absolument sans secours à moins que Dieu fasse quelque chose pour eux ; en effet, notre médecine... Certains parmi eux sont au-delà de cela.

2          Et hier soir, ou plutôt avant-hier, oui, hier, je venais de quitter la maison, où j'ai vu le Seigneur prendre une personne complètement folle, qui avait passé deux ans sans  même reconnaître là où elle se trouvait, quel était son nom, ni rien à ce sujet, et la rétablir dans son bon sens au point que tout le personnel de l'hôpital a dit qu'il n'avait jamais rien vu de pareil. Voyez ?

            Une personne complètement folle, une jeune dame folle, deux ans durant, et juste... Quand on voit pareille chose, on reconnaît qu'il faut Dieu pour l'accomplir. C'est tout. Vous savez que l'homme ne peut pas accomplir des choses de ce genre, et cela ne relève pas du pouvoir de l'homme. Après tout, la guérison divine...

            Il n'y a qu'une seule sorte de guérison, et c'est la guérison divine ; il n'existe pas d'autres guérisons en dehors de la guérison divine. Toute guérison provient absolument de Dieu. Le Psaume 103.3 dit : " Je suis l'Eternel qui guérit toutes tes maladies. "

3          Eh bien, le traitement médical ... La médecine ne prétend pas guérir; ils soutiennent seulement qu'ils assistent la nature. C'est Dieu seul qui guérit.

            J'ai eu un entretien chez les frères Mayo, et c'est ce qu'ils m'ont dit là, ils ont dit : " Nous ne prétendons pas guérir les gens; nous soutenons seulement que nous assistons la nature pendant que Dieu opère la guérison. "

            En d'autres termes, si vous avez une entaille à la main, eh bien, ils vont la suturer. Ils ne la guérissent pas. Si vous avez un appendice affecté, ils peuvent l'enlever, mais c'est tout ce qu'ils peuvent faire. Si vous avez un bras fracturé, on peut plâtrer le bras. Qui va pourvoir au calcium et autres qu'il faut pour raccorder-raccorder cet os?

            Il faut-il faut la vie pour reformer les cellules, et c'est la vie qui opère la guérison. Nous pouvons faire une entaille, nous pouvons effectuer une opération et autres, mais nous ne pouvons pas guérir. C'est Dieu Lui-même qui doit le faire. Il s'agit d'une reproduction des cellules. Cela-cela ne se fait que par Dieu, c'est Dieu seul qui peut le faire.

            Nous pouvons fabriquer un robot capable de tendre ses mains et de penser, pratiquement, mais nous ne pouvons pas produire des cellules. C'est-c'est Dieu seul qui le fait. Ainsi, Il est l'Eternel qui guérit toutes nos maladies. Nous pouvons arracher une dent, mais qui va arrêter l'écoulement de sang ? Et qui va guérir l'endroit d'où elle a été arrachée? Si Dieu ne le fait pas, on ne sera jamais guéri. C'est vrai.

4          Qu'arriverait-il si je faisais démarrer ma voiture à la manivelle ici dehors, effectivement ça fait longtemps, c'est du temps de la vieille voiture modèle T, à la carrosse relevée, là, à l'époque où on démarrait l'ancienne voiture à la manivelle, qu'arriverait-il si je me fracturais le bras, et que j'entrais en courant et disais : " Médecin, guéris très vite mon bras. Je-je dois terminer de démarrer ma voiture à la manivelle " ?

            Eh bien, il dirait : "Vous avez besoin de la guérison mentale. " Eh bien, c'est ce qui conviendrait. Voyez ? Il dirait : " Eh bien, je peux-je peux plâtrer votre bras, mais il faut Quelque Chose de plus élevé que moi pour guérir cela." C'est vrai.

            Il peut le plâtrer, c'est là son obligation. C'est ce qu'il nous faut faire, aller et le laisser plâtrer cela, mais c'est Dieu qui opère la guérison. Ainsi, je ne crois pas qu'il existe un guérisseur divin en dehors de Dieu. Je crois que Dieu est l'unique guérisseur qui existe.

5          Donc, les gens disent souvent : " Frère Branham est un guérisseur divin. " Non, je ne suis pas guérisseur divin, pas plus que le pasteur n'est sauveur divin. Ainsi, je ... Nous ne faisons que prêcher l'Evangile, l'Evangile du Seigneur Jésus-Christ. C'est la Bonne Nouvelle selon laquelle " Christ a été blessé pour nos péchés, a été brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c'est  par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. " C'est quelque chose qui est passé. Voyez ? Christ a tout accompli pour nous, ce qui était requis. Et tout ce qui peut être fait, est déjà fait. Je pense que tout ce qu'il nous faut faire, c'est accepter ce qu'Il a déjà fait : ce qui est déjà fait.

6          Et alors, un prédicateur, n'importe lequel, ou un laïc, a le droit de prier pour les malades, tout autant-tout autant que n'importe qui d'autre. En effet, il est dit : " Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez-soyez guéris. Car la prière fervente du juste  a une grande efficace. "

            Je crois réellement qu'il y a de la puissance dans la prière. J'ai vu des prières être exaucées sur le champ, mais jamais de ma vie je n'ai guéri quelqu'un. Mais j'ai vu Dieu accomplir beaucoup de ces choses. Ainsi, je-je crois qu'il s'agit de la foi personnelle dans l'oeuvre déjà accomplie.

            Eh bien, vous direz...Je peux demander ce soir ici : " Combien ici sont chrétiens ? " Beaucoup de mains se lèveraient. " Combien ont été sauvés l'année passée ? " Beaucoup de mains se lèveraient. " Combien ont été sauvés il y a peut-être une semaine ? " Il y aurait peut-être deux ou trois mains qui se lèveraient.

            Je serais en désaccord. Vous - vous n'avez pas été sauvés il y a un an, vous n'avez pas non plus été sauvés il y a deux ou trois jours. Vous avez été sauvés il y a mille neuf cents ans au Calvaire, mais vous avez accepté cela l'année passée, ou vous avez accepté cela la semaine passée (voyez ?), ou il y a deux jours. Et c'est pareil : " C'est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris. " Voyez ? " Vous avez été (c'est le temps passé) guéris. "

            Eh bien, vous pouvez accepter cela ce soir, ou vous pouvez l'accepter demain soir, ou n'importe quand que vous acceptez cela, eh bien, c'est à vous. Ça dépend donc de vous, quand vous voulez accepter cela sur cette base-là.

7          Et Il est maintenant le Souverain Sacrificateur, Hébreux 3, qui est assis au Ciel,  à la droite du Dieu Tout-Puissant, intercédant sur base de notre confession.

            Eh bien, le mot qui est utilisé là, dans la-dans l'Epître aux Hébreux, qui est utilisé dans la version King James, on a utilisé " professer ", mais " professer " et " confesser ", c'est la même chose. Vous professez quelque chose ou vous le confessez, vous avez professé que vous croyez qu'Il a...  " Il a été bléssé pour vos péchés, c'est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris. " Il est donc le Souverain Sacrificateur pour intercéder sur base de notre confession. Et il ne peut rien faire pour nous avant que nous l'ayons premièrement accepté et confessé.

            Or, nous pouvons nous agenouiller à l'autel et prier jusqu'à être... jusqu'à nous coucher sur notre face et mourir. Si nous ne croyons pas et que nous n'acceptons pas Sa grâce qui pardonne, nous sommes toujours des perdus. Peu importe combien fort nous pouvons crier, ou pendant combien de temps nous pouvons y rester, ou combien nous pouvons nous priver à manger, tant que dans notre coeur...la révélation que Dieu nous donne comme quoi Jésus-Christ est mort pour nous sauver, et que nous acceptons cela comme nous appartenant personnellement. C'est quelque chose que Christ a fait pour moi, a fait pour vous et pour quiconque le croira. Alors, vous êtes sauvé pour avoir cru cela, et vous êtes de même guéri. Les gens disent souvent : " Je-j'aime sentir que je suis guéri. "

            Jésus n'a jamais dit : "  Avez-vous senti cela ? " Il demandait : "  Avez-vous cru cela ? " C'est ça. " Croyez-vous cela ? " Les sensations n'ont rien à faire là-dessus; il s'agit de votre foi. Si je suivais mes sensations, je me retrouverai souvent dans une mauvaise situation. Est-ce vrai, frères ? Je pense que nous le serions nous tous. Mais il ne s'agit pas de ce que je ressens, il s'agit de ce que je crois qu'Il a déjà accompli. Pas mes sensations, il s'agit de ma foi dans l'oeuvre accomplie au Calvaire.

8          Eh bien, là-dessus, il y a peut-être beaucoup... C'est la première fois pour moi d'être dans votre ville, ou plutôt je pense que c'est la première fois pour moi d'être en Virginie, de tenir donc une réunion en Virginie. J'ai fait sept fois le tour du monde, et pourtant je n'ai jamais été en Virginie, n'est-ce pas terrible ? Eh bien, comme on le dit toujours : " On réserve le meilleur pour la fin. " Est-ce cela, frères ? " Le meilleur vient à la fin. " Nous espérons donc que ce sera tout à fait cela.

            Si tous sont comme ceux que nous avons rencontrés depuis que nous sommes ici (nous avons certainement fait la connaissance des gens très gentils), et peut-être que je n'ai croisé que des gens de...juste des citoyens, peut-être même pas des chrétiens. Qu'en sera-t-il alors des chrétiens, si les citoyens qui ne sont pas chrétiens sont comme cela ? Ça sera merveilleux. Ainsi donc, une réunion ne peut être que ce que les gens veulent en faire.

9          Eh bien, Dieu le veut si nous le voulons, mais nous avons notre rôle à jouer. Nous avons tous un rôle à jouer. Je ne peux pas non plus en susciter un réveil, ni en faire une réunion, pas plus que quoi que ce soit. Et un individu ne le fera pas, ou pas juste deux ou trois parmi vous, il faudra nous tous ensemble, travaillant ensemble, par le Seigneur Jésus-Christ, pour voir quelque chose être accompli dans cette ville, pendant que nous y sommes assemblés pour la gloire du Royaume de Dieu. Et, frère, soeur, nous sommes proches de la fin. Nous le savons tous. Il n'y a pas... avec...

            Si vous aviez voyagé avec moi ces dernières années, vous auriez-vous auriez reconnu que c'est vrai (Voyez ?) que nous sommes-nous sommes dans une situation d'agitation et que le temps de la fin est proche. Et ces choses, comme nous le verrons la semaine, nous les exposerons, ce qui est passé, ce qui est sur le point d'arriver. Et ce que vous voyez dans vos journaux, aux émissions télévisées, et que sais-je encore, vous l'entendrez aussi dans les Ecritures et dans ce que le Saint- Esprit a à dire.

10        Eh bien, je suppose... Je pense que généralement nous terminons vers une heure, n'est-ce pas, ou quelque chose comme cela ? Une heure ou deux heures du matin, ça nous donne à peu près le temps de terminer... tenir le service pour... parfois, est-ce...?... Eh bien, ne partez pas ; je taquinais tout simplement. Je taquinais simplement là-dessus. Généralement, nous terminons vers 21h ou 21h30, et alors... avec la ligne de prière. Je pense donc que c'est avec tout... Les concierges, je pense, nous diront combien ou pendant combien de temps nous pouvons garder l'auditorium ouvert ou que sais-je encore.

            Eh bien, il vous faut téléphoner. Il vous faut téléphoner aux gens, et-et faisons ... Vous dire maintenant... Je vais vous dire comment nous, je pense, ou avec les frères nous organisons les réunions.

            Et rappelez-vous, chaque fois que vous voulez qu'on prie pour quelqu'un, n'importe lequel de ces frères ici croit le même Evangile que je vous prêche ici. Et votre pasteur a tout autant le droit de prier pour vous que n'importe qui d'autre.

            Nous nous sommes juste assemblés ici. Je crois qu'il est écrit dans les Ecritures, c'est le Seigneur qui le dit : " Si le peuple sur qui est invoqué Mon Nom s'assemble et prie, Je l'exaucerai donc des cieux, je guérirai son pays. "

11        Nous croyons donc que la prière est l'arme la plus puissante qui ait jamais été placée à la disposition d'un être humain. Vous savez, une fois, la prière a changé la pensée de Dieu. Savez-vous cela ? Assurément que c'est arrivé.

            Esaïe, le prophète, a annoncé à Ezéchias qu'il allait mourir sur ce lit où il était. Alors, Ezéchias tourna son visage contre le mur et pleura amerèment, réclamant auprès du Seigneur quinze ans de plus. Et Dieu renvoya aussitôt le prophète lui dire : " J'ai exaucé. " Et il a été épargné cette fois-là. Voyez ? Alors que Dieu avait déjà annoncé sa mort. Cependant il l'a épargné, parce qu'il avait prié. Si donc la prière est puissante à ce point-là, que peut-elle faire ? Oh! la la! nous ne nous rendons pas compte de sa puissance.

12        Eh bien, au cours des réunions... Comme chaque soir, nous essayons de poser un fondement. Alors, quand quelqu'un arrive, peut-être, un peu en retard, peut-être demain soir, peut-être aussi la soirée suivante, des nouveaux venus arrivent, ils peuvent voir quelque chose se passer et ils diraient à ce sujet : " Eh bien, je n'y comprends simplement rien. " Si donc ils n'y comprennent rien, prenez alors les Ecritures et montrez-leur cela.

            Et alors, si jamais vous voyez un fait se produire ici sur l'estrade, ou quelque chose dont je parle ici sur l'estrade, qui n'est pas absolument scripturaire, alors vous êtes tenu vis-à-vis de moi, en tant que chrétien, d'attirer mon attention sur cela. En effet, je crois vraiment que Dieu fait des choses qui ne sont pas écrites dans la Parole. Je crois qu'Il peut-qu'Il peut faire tout ce qu'Il veut. Il est Dieu.

            Mais tant qu'Il fait ce qu'Il a promis de faire, ça me suffit : juste-juste tenir Sa promesse. Je-j'aime ça. Et je crois réellement que la Parole de Dieu est le fondement ; je crois que c'est la Parole de Dieu. Et c'est mon fondement,        ma vie. Et toute ma foi repose sur la Parole.

13        Et voici comment j'aimerais donc que vous croyiez cela maintenant : Dieu est-est infini ; Il est Omniprésent, Omniscient, et Il est le Dieu Tout- Puissant. " Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. " Il ne peut changer et être Dieu. Et tout ce que Dieu fait une fois, Il prend une décision, cette décision doit subsister à jamais. Elle ne peut être changée. Dieu... Si Dieu prend une décision cette année-ci et que l'année prochaine Il la change, c'est la preuve qu'Il n'était pas Dieu. En effet, Il est infini, mais nous, nous sommes limités.

            Or, nous pouvons prendre une décision... Je peux en prendre une ce soir et, dans l'espace de dix minutes, être obligé de la changer ; en effet, souvent,  très souvent, je-je me trompe ; vous aussi, mais pas Dieu. Ainsi, si jamais Il prend une décision, cela doit donc demeurer éternellement Sa décision. C'est comme ceci, par exemple : si jamais un homme est venu auprès de Dieu et s'est reconnu perdu et a voulu être sauvé, et que Dieu lui ait demandé (C'est sur cette base qu'Il a placé cela) s'il croit cela et qu'Il ait sauvé cet homme-là, et pour le prochain homme qui viendra et qui voudra être sauvé, Il devra agir de même qu'autrefois.

            Il doit agir de même dans ce cas-ci que dans ce cas-là, sinon Il avait mal agi au départ. Voyez ? Il doit le faire pour demeurer Dieu. Son... Et si ceci n'est pas Sa Parole, alors Il n'est pas Dieu. Voyez ? En effet, ceci est ce qu'Il a dit, et s'Il ne tient pas Sa Parole, alors Il ne peut avoir Sa Parole.

14        Aucun homme ne vaut plus que sa parole. Si je... Si ma poignée de main et ma promesse envers mon frère ne suffisent pas, et que je sois obligé de signer un tas de papiers, un tas de ceci... Ce-c'est un manque de confiance. Je-je ... Vous devez me croire sur parole ; moi aussi, je dois vous croire sur parole. Et si-et si nous ne pouvons pas nous faire confiance l'un à l'autre... Alors, si ma parole n'est pas digne de confiance, donc moi non plus. Et si la Parole de Dieu n'est pas digne de confiance, donc Lui non plus. Il ne vaut pas plus que Sa Parole. Et voici ce que je déclare : Dieu tient chaque Parole qu'Il a prononcée et chaque promesse qu'Il a faite. Et si vous affichez une bonne attitude mentale envers n'importe quelle promesse que Dieu a jamais faite, Il l'accomplira. Si seulement vous pouvez afficher une bonne attitude et-et croire cela de tout votre coeur. Voyez ?

            L'individu, ce n'est pas que vous ameniez quelqu'un à vous imposer absolument les mains pour une certaine sensation. Oh! la la ! Aujourd'hui, il y a beaucoup de sensations, ça ne peut pas être vrai. Mais la Parole de Dieu est toujours vraie. Voyez ? C'est vrai.

            Je ne sais rien au sujet des sensations que j'éprouve, mais je sais avec certitude que la Parole de Dieu est vraie. Ainsi donc, quand Dieu dit quelque chose, cela doit toujours demeurer ainsi. Et c'est ainsi que je crois ça. J'ai étudié cela, l'histoire aussi, ce qu'Il a dit qu'Il ferait au cours des âges-des âges de l'Eglise, et tout, et je vois que cela s'emboîte si parfaitement que je suis convaincu qu'Il est Dieu et que chaque Parole est vraie. Et Il tient Sa Parole envers Son peuple.

15        Eh bien, la façon dont nous procédons... Le soir, environ une heure avant le début des services, afin que ça ne dérange pas les préliminaires, nous envoyons des jeunes gens et ils distribuent... des cartes de prière individuelles. Et nous le faisons chaque soir. En effet, au début, voici comment nous avions procédé. Au début, quand nous avions commencé, quand je... naturellement, si c'était juste comme ici, eh bien, nous ne serions même pas obligés de distribuer les cartes de prière à un petit groupe comme celui-ci. Voyez ? Mais quand nous avons de grands groupes... En fait, nous nous attendions à ce que cet endroit soit  archicomble ce soir.

            Eh bien, nous venons de quitter Vandalia... c'était Visalia, en  Californie, et la première soirée, le... Nous sommes arrivés là, et on a renvoyé des centaines et des centaines, et la deuxième soirée ça a doublé de plus en plus. Nous sommes allés à un champ de foire, et il y avait là tellement de gens, à trois heures, qu'on a été obligé de fermer les barrières pour... même pour accéder sur les lieux. Voyez-vous ?

            Juste... Dès que les réunions commencent et que les gens commencent à... Les gens aux coeurs affamés commencent à voir que... Eh bien, c'est-c'est une action du Saint-Esprit parmi les gens. Voyez ? Ce n'est pas un prédicateur avec une foi super et formidable. Je ne crois pas dans ce genre des choses. Je crois que la foi vient de ce qu'on entend la Parole de Dieu. Et l'individu devrait mettre sa vie en ordre, se mettre en ordre avec Dieu, s'il s'attend à être guéri. C'est... Je-je crois que si la guérison tarde, c'est que l'individu doit se mettre en ordre avec Dieu.

            Toutes ces impositions de mains aux pécheurs en leur disant : " Ça va; oublie simplement ça, Dieu vous guérira de toute façon. " Je-je ne crois pas à cela. Je crois qu'un homme devrait se purifier et se mettre en ordre avec Dieu, se redresser, venir et vivre pour Dieu et faire ce qui est juste. Et cela fait traîner la guérison. Durant ces trente et un ans, j'ai remarqué que c'est vrai, que l'homme ou la femme qui est prêt à se mettre en ordre avec Dieu, Dieu va se mettre en ordre avec lui. Voyez-vous ? Vous devez vous mettre en ordre avec Dieu.

16        Ainsi donc, la raison pour laquelle nous faisons ceci, au début quand nous avions commencé, nous avions l'habitude d'envoyer aux pasteurs, chaque pasteur qui collaborait, une centaine de cartes, eh bien, pour son assemblée et pour les malades et autres qu'il inviterait. Eh bien, alors, quant au premier pasteur... Beaucoup parmi vous ont été aux réunions auparavant, évidemment, je pense. Eh bien, quant au premier pasteur, il avait fait venir son groupe, c'était reglé. Nous ne pouvions donc pas procéder de cette manière.

            Ainsi donc, nous nous étions dit, eh bien, nous distribuerions bien les cartes de prière le premier jour où nous serions là, nous les donnerions à tout le monde. Et puis, naturellement, c'était réglé. Tout celui qui venait, un autre jour que le premier, eh bien, n'avait donc pas la possibilité d'entrer dans la ligne de prière, parce que nous en avions assez là pour faire longtemps.

            Ainsi donc, nous nous sommes mis à distribuer les cartes de prière chaque jour. Et alors, comme nous en faisions venir peut-être quinze ou vingt, n'importe combien que nous prenions cette soirée-là, eh bien, alors, juste sur l'estrade, ce que nous pouvions faire venir là, nous avons trouvé que les gens, s'ils ne recevaient pas un certain numéro, ou une carte portant un numéro jusqu'à quinze ou vingt, ils jetaient cela par terre. Ils n'en voulaient pas. On ne les appellerait pas.

17        Ainsi donc, je me suis dit, bien, je vais prendre un petit enfant, ici  devant, le laisser venir ici et compter, un petit garçon comme ce petit garçon qui me regarde ici, en cravate rouge et en veston sport. Et je... Il a à peu près la taille de mon petit Joseph, là ... Et je-je faisais venir l'un de ces petits enfants ici et je lui disais : " Sais-tu compter, fiston ou soeur ? "

            " Oui. "

            " Compte. " Et il se mettait à compter, ou elle, et là où il s'arrêtait, c'est là que je commençais. Que vous croyiez ou pas, la maman savait indiquer à Junior le numéro exact auquel il devait s'arrêter, au profit de sa carte. Ainsi, nous avons toujours des êtres humains, vous savez, et c'est avec eux que nous traitons.

            Ainsi donc, après-après, j'ai pris un prédicateur, j'ai commencé à distribuer les cartes. Et alors, s'il ne témoignait pas un peu de faveur envers son organisation, cela causait des frustrations parmi les frères.

            Puis, j'ai pris mon frère pour qu'il distribue les cartes de prière, ou avant ça, j'ai pris quelqu'un d'autre, j'avais pris quelqu'un de l'extérieur, mais je l'ai surpris en train de vendre les cartes de prière.

18        Ainsi donc, j'ai dû me débarrasser de cela. J'amenais donc mon frère avec moi et il... Ainsi donc, maintenant j'ai mon fils avec moi et aussi deux jeunes gens : l'un d'eux est l'un de mes associés, frère Gene Goad, je pense qu'il a été présenté ; et frère Leo Mercier, il est quelque part ici. Et mon fils Billy Paul, il est quelque part ici. L'un deux distribuera les cartes de prière. Généralement, c'est Billy Paul qui le fait lui-même, car Leo et Gene... Gene s'occupe des enregistrements, et-et frère Leo, je pense, des livres.

            Maintenant, c'est nous donc qui les distribuons, et c'est donc ainsi que nous procédons, afin que chacun le sache. Nous arrivons ici, nous prenons les cartes, nous nous tenons devant les gens, et nous les battons ici même sur l'estrade, afin que vous voyiez les cartes être battues. Par conséquent, les... quiconque les distribue ne sait pas qui reçoit-qui reçoit tel numéro. L'un de vous vient ici et dit : " J'ai le numéro 1. C'est moi. Oui, oui. " Le prochain  dit : " C'est moi, le numéro 2, ici. " Eh bien, naturellement, celui-ci peut recevoir le numéro1, le suivant peut recevoir le numéro 45, et 62, ainsi de suite. On ne sait pas où ça sera.

19        Eh bien, alors, voyez, vous direz : " Eh bien, je ... Eh bien, si je n'ai pas reçu un numéro qui va de 1 à 15, je ferais tout aussi mieux de rentrer à la maison. " Non, non, ce n'est pas ça. Voyez ? Personne ne sait donc jusqu'où j'irai. Là où le Saint-Esprit me conduit à commencer, peut-être de 1 à 20, ou de 20 à 60, ou de 90 descendant vers 30, ou quelque part, comme ça.

            Ainsi donc, c'est juste... Nous trouvons donc qu'ainsi le Saint Esprit a le moyen de faire cela (voyez-vous ?), de les faire venir. Je pense que c'est tout à fait... Ne pensez-vous pas, frères, que c'est un... ? C'est ce que je fais ces dernières, oh! quatre ou cinq années, six ou quelque chose comme ça. Ainsi donc, petit à petit, quand vous recevez une carte de prière, gardez-la en tout cas, gardez-la, car si on ne vous appelle pas la première soirée, nous finirons par y arriver, à la fin.

            Bon. Et puis, cela... Nous appellerons un certain nombre de ces cartes de prière chaque soir. Si je... Si le Seigneur me conduit à le faire comme... Nous venons d'avoir, tout récemment, le plus grand succès que j'aie jamais eu en Amérique, en procédant ainsi.

20        Et maintenant, à quelle heure commence votre service principal, vers 19h30 ? 19h30. Vous feriez alors mieux d'être ici entre 18h30 et 19h alors, je pense, ou-ou quelque chose comme cela... ou 18h30 et 19h30. Ne venez pas plus tard que... Vous feriez mieux de venir aussitôt que possible, car aussitôt qu'un certain nombre de cartes est distribué, eh bien, c'est-c'est ça. Aussi, amenez les... amenez vos bien-aimés, vos amis malades, et amenez-les ici. Téléphonez-leur demain. Venez prendre une carte de prière demain-demain soir entre 18h30 et 19h30 à l'auditorium principal. Vous n'avez nulle part de réunion l'après-midi, je pense, frère ? D'accord.

            Parfois, on les distribue comme ça à la réunion de l'après-midi, on n'a pas de temps à perdre pour ça la nuit. Mais si nous... dans une église ou quelque part...  Mais si on procède comme ça, ça sera en ordre. Venez simplement demain après-midi, entre 18h30 et 19h30. Et aussi, nous nous attendons à tenir des réunions chaque soir.

21        Je prêcherai chaque soir, le Seigneur voulant. L'organisateur... Il n'y a que les jeunes gens et moi ici. Et ainsi, nous sommes... Nous nous efforcerons  donc chaque soir de prier pour les malades, faire venir les pécheurs à l'autel,  travailler avec nos frères, faire tout notre possible pour que ceci déclenche un réveil-un réveil à l'ancienne mode qui secouera toute la Virginie comme jamais auparavant, pour la gloire du Royaume de Dieu.

            Que chaque église soit archicomble, que les serviteurs de Dieu prêchent l'Évangile comme jamais auparavant, que les pécheurs viennent au Calvaire, que les malades soient guéris dans chaque église et que la gloire de Dieu se manifeste partout : voilà le désir de notre coeur.

            Bon, je suis content d'avoir cette petite horloge ici et j'espère que c'est presque... C'est bien, alors, on suit ma montre.

22        Alors, maintenant, j'aimerais juste lire un passage des Écritures et vous parler un peu ce soir. Et maintenant, rappelez-vous, nous sommes ici pour rien d'autre... Nous ne sommes pas ici pour représenter une quelconque dénomination; en effet, je-je ne suis membre d'aucune église dénominationnelle. J'ai été ordonné prédicateur chez les baptistes missionnaires, et j'étais le pasteur d'un tabernacle à Jeffersonville pendant dix-sept ans. Et puis, je suis allé dans le champ missionnaire il y a de cela environ quinze ans, et depuis lors, je suis dans le champ de travail.

            Et quand je suis allé prier pour les malades, j'ai simplement quitté l'église, ou plutôt j'ai quitté l'organisation, car, ici, je-je les réunis tous ensemble. Et ainsi, je-je trouve que c'est comme ça que le Seigneur a Ses enfants partout. Tout homme né de nouveau de l'Esprit de Dieu est mon frère et toute femme, ma soeur, celle qui est née de l'Esprit de Dieu.

            Je ne représente donc aucune organisation. Si j'habitais cette ville-ci, pour les convertis, je serais membre de l'une de ces bonnes églises-ci qui croient la même chose que moi. C'est ainsi donc que je-je m'y prendrai moi-même. Vous avez votre propre choix à faire, tout ce que vous désirez...?...

23        Et puis, nous ne sommes pas ici pour l'argent. J'aimerais que vous le sachiez. Nous ne sommes pas ici pour l'argent. Non, non. J'ai 51 ans. Ça fait trente et un ans que je suis prédicateur, j'ai prêché pendant dix-sept ans au-au tabernacle baptiste, à Jeffersonville, dans l'Indiana. Jamais de ma vie je n'ai prélevé une offrande. J'ai prêché pendant dix-sept ans sans un sou de quoi que ce soit, n'importe lequel des administrateurs peut vous le dire. Jamais je n'ai pris un sou, je travaillais pour gagner ma vie. Je ne recevrais même pas cela aujourd'hui, si j'avais les moyens de payer ces réunions.

            Tout ce que je fais, c'est venir ici et tenir des réunions. Et tout ce que vous avez à faire, c'est effectuer les dépenses pour le bâtiment, ou n'importe quelle dépense occasionnée par la réunion, c'est tout en ce qui me concerne. Payez simplement cela et ce-c'est réglé. Vous ne me devez rien.

            Nous avons des livres. Mais ces livres, je les achète avec une réduction de 40%, non pas-non pas que ce soit une affaire d'argent, car je vais subir une perte là-dessus, mais le message est apporté aux gens. Les bandes viennent de l'Audio Mission, c'est un autre groupe qui n'est pas avec nous. C'est... Eh bien, ils  font les bandes pour le tabernacle, c'est ce qu'ils font, dans une sorte de collaboration là, ils font des bandes. Mais pas pour moi-même.

24        Parfois, à la fin de la réunion, si on a payé toutes les dettes, on me donne une offrande d'amour. Si on n'a pas payé les dettes, on ne me donne rien. Et si on me donne une offrande d'amour, je remets cela pour-pour payer les dettes. Nous voulons quitter cette ville sans devoir un seul sou. S'il nous faut envoyer un mot à la maison pour avoir de l'argent, quelque part, nous le ferons. Voyez ?

            Mais nous ne laissons pas de dettes ; jamais, jusqu'à présent. Nous aimerions garder notre réputation nette et claire et au-dessus de soupçon, parce que nous faisons face aux malades, nous affrontons Satan sur son terrain, et nous -nous aimerions avoir des mains propres de telle manière que, quand nous venons prier pour les malades, nous soyons honnête, juste, sans rien de louche. Nous sommes correct devant Dieu en tant que Son serviteur. Et nous voulons rester correct, net et clair pour tous. Et j'aimerais que vous sachiez donc qu'il n'y a pas de pression pour l'argent et qu'il n'y a rien à ce sujet. Ce n'est pas pour ça que nous-nous sommes ici. Et nous vous aimons réellement et nous sommes venus communier avec vous. Et comme frère Bosworth me le disait un jour, il disait : " Frère Branham, savez-vous ce que c'est la communion ? "

            Et j'ai répondu : " Je pense que oui, Docteur. " J'ai dit : " Je pense que je... Eh bien, a-t-il dit, voici ce que c'est ? Ce sont deux hommes à bord d'un navire. "

            Et j'ai dit : " C'est à peu près...?...rapport : deux hommes à bord d'un navire. " C'est donc cela que nous désirons. Si nous pouvons entrer à bord de votre petit navire, et vous, à bord du nôtre, nous pourrons communier l'un avec l'autre, pendant que nous pêchons à la seine dans cette ville-ci pour faire entrer  chaque âme perdue que nous pouvons faire entrer dans le Royaume de Dieu.

25        Inclinons maintenant la tête avant de parler à l'Auteur, de lire Sa Parole.

            Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissant ce soir de ce privilège de nous tenir, pour la première fois, dans ce grand Etat de Virginie. Oh! comme nos aïeux ont débarqué, il y a de cela plusieurs années, ici, ce grand Etat représentait beaucoup pour notre Union. Seigneur, je Te prie de faire éclater d'une façon ou d'une autre, dans ce grand Etat aujourd'hui, un réveil qui sera-sera connu à travers le monde.

            Qu'il y ait une délivrance de la part de Dieu, le Feu et l'Esprit du Saint-Esprit qui sauveront les perdus, guériront les malades, feront voir les aveugles, feront marcher les estropiés, feront entendre les sourds, feront parler les muets, les pécheurs seront sauvés dans le Royaume de Dieu, chaque église sera bien illuminée par Ta Présence, au point qu'on entendra parler de cette grande réunion dans le monde entier.

26        Maintenant, nous pouvons demander cela, Seigneur, et croire cela. Maintenant, aide-nous à travailler dans ce but-là. En effet, il serait vraiment inutile de Te demander quelque chose et de ne pas-pas travailler dans ce but-là, croire que Tu-que Tu l'accompliras. Nous nous attendrons impatiemment à ce que Tu nous l'accordes. Et à la fin des réunions, le prochain dimanche après-midi, qu'il y ait un tas de fauteuils roulants ici au coin, de petits lits, des brancards ; que les pécheurs soient lavés dans le Sang de l'Agneau, avec leurs mains en l'air, louant Dieu. Que les membres du clergé, Tes précieux bergers, ceux qui paissent les brebis, que leurs coeurs soient  tellement enflammés comme un nouveau ministère leur a été donné. Accorde-le, Seigneur. Bénis chaque église et chaque prédicateur dans cette contrée, chaque saint et sauve les pécheurs.

            Alors que nous abordons maintenant Ta Parole, pour avoir juste un petit fondement à partir duquel commencer la réunion de ce soir, nous Te prions de bénir Cela. Nous savons que nos paroles failliront, mais Ta Parole ne peut pas faillir. Aussi, pendant que nous lisons Ta Parole, nous Te prions de nous L'interpréter par le Saint-Esprit. Car nous le demandons au Nom de Jésus et pour Sa gloire. Amen.

27        Maintenant, ne l'oubliez donc pas. Téléphonez quelque part, faites venir les malades, ceux qui sont vraiment dans le besoin, et on distribuera les cartes de prière. Eh bien, il vous-vous faut avoir une carte de prière. Elle portera un numéro, une lettre et un numéro.

            On distribuera ces cartes de prière chaque soir et...de 18h30 à 19h30. Et puis, elles seront appelées suivant leurs numéros. C'est pour empêcher les gens de se précipiter, et... Ce n'est pas une arène, vous le savez, c'est-c'est une église. Et... Cela doit se passer en ordre, comme Paul l'a dit : " Avec bienséance  et avec ordre. " Ainsi donc, nous aimerions qu'ils viennent au fur et à mesure que leurs numéros sont appelés pour qu'on prie pour eux sur l'estrade.

            Eh bien, ces cartes de prière ne sont pas inter-in... interchangeables. Vous devez garder votre propre carte. Vous ne pouvez pas la prendre et la remettre à un voisin, faire entrer votre voisin. Le voisin doit venir et suivre les instructions en vue de recevoir la carte.

            Si... En effet, souvent, en faisant cela, si vous faites entrer dans la ligne de prière des gens qui ne connaissent rien au sujet de Dieu..., et vous y êtes une fois de plus. Voyez-vous ? Et-et laissez-les donc venir suivre les instructions et voir leur propre foi être édifiée au point de pouvoir recevoir leur guérison quand nous prierons pour les malades. Ce sera donc demain après-midi, entre 18h30 et 19h30.

28        Je désire lire dans Saint Luc, chapitre 2, versets 25 et 26.

          Et voici,  il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d'Israël, et l'Esprit Saint était sur lui.

          Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu'il ne mourrait point avant d'avoir vu le Christ du Seigneur.

            J'aimerais prendre comme contexte, ou plutôt comme sujet, pour édifier un contexte, L'Expectative. Eh bien, de telles réunions suscitent une expectative. Et-et quand on voit quelque chose d'inhabituel se passer... Il y a généralement trois catégories de gens qui assistent à ce genre de réunions, comme ce fut le cas à l'époque de notre Seigneur et dans toutes les époques; il y a les incroyants, les soi-disant croyants et les croyants. Cela attire simplement leur attention. Ça a toujours été le cas.

29        Mais " l'expectative ", c'est une grande chose, s'attendre à quelque chose. Généralement, vous recevez ce à quoi vous vous attendez. Certaines personnes viennent aux réunions et disent : " Eh bien, je ne-je ne m'attendais pas à en recevoir quelque chose. " Eh bien, ils ne recevront rien. Mais ceux qui s'attendent à recevoir quelque chose, Dieu leur accorde ce à quoi ils s'attendent, s'ils le font avec respect et dans la crainte de Dieu.

            Eh bien, chaque fois, pour trouver quelque chose, il faut d'abord voir si c'est la volonté de Dieu ou pas. Et alors, si c'est la volonté de Dieu, votre object-objectif poursuivi là, et puis, vos motifs en faisant cela, si c'est la volonté de Dieu, et que votre objectif est juste, vos motifs corrects, ça doit s'accomplir. Il n'y a pas moyen que ça ne s'accomplisse pas.

            Ainsi, premièrement, recherchez la volonté, si c'est la volonté de Dieu. Et puis, quel-quel est votre objectif en faisant cela ? Quel est... ? Si c'est égoïste, vous n'allez-vous n'allez jamais...vous n'obtiendrez-vous n'obtiendrez jamais que ça s'accomplisse, c'est tout. Ça doit être vraiment clair et net devant Dieu, sinon ça ne s'accomplira simplement pas. C'est tout. C'est... Il vous faut  toujours garder cela à l'esprit, que ça doit être clair et net. Vos coupes doivent être claires et nettes devant Dieu, sinon Dieu ne peut pas oeuvrer avec vous.

30        Eh bien, les hommes de tout temps ont toujours, ceux qui ont entendu parler de Dieu... Et là où Dieu se trouve, il y a le surnaturel ; car il est le Dieu surnaturel, opérant des choses surnaturelles. Croyez-vous cela ?

            Eh bien, dans l'Ancien Testament, on avait un moyen de découvrir si un message était vrai ou pas. Eh bien, sous le sacerdoce des Lévites, ils avaient ce qu'on appelait l'Urim Thumim. Et c'était le pectoral qu'Aron portait ici. Il portait les pierres de douze tribus sur le pectoral. Et on le suspendait au coin, ou plutôt au poteau du temple. Et puis, quand un prophète prophétisait ou que quelqu'un racontait son songe, et pendant qu'il racontait cela, si ces lumières formaient un conglomérat de lumières, pareil à un arc-en-ciel, dont le reflet provenait de cet Urim Thumim, c'était la preuve  que le surnaturel était là, alors ce prophète disait la vérité ou le songe de cette personne-là était vrai.

            Peu importe, cependant, à quel point cela semblait réel (Eh bien, gardez cela à l'esprit.), peu importe à quel point cela semblait réel, si cet Urim Thumim ne formait pas une Lumière surnaturelle, on ne pouvait pas accepter cela, parce que ce n'était pas Dieu. De même, quand vous voyez quelqu'un prêcher l'Évangile et que Dieu ne descend pas confirmer cela comme étant vrai, laissez cela de côté, parce que ce n'est pas vrai.

31        Dieu reste toujours Dieu. Il est vivant aujourd'hui ; Il est tout aussi vivant qu'Il l'a toujours été. Il-Il est Dieu. Eh bien-eh bien, quand ce sacerdoce-là a pris fin, nous avons alors eu un nouveau sacerdoce. Et aujourd'hui, il y a un nouvel-un nouvel Urim Thumim qui va aussi avec ce sacerdoce, et c'est la Parole de Dieu. La Parole de Dieu est l'Urim Thumim de Dieu. Ainsi, si Dieu promet quelque chose dans la Bible et que vous l'acceptiez de tout votre coeur et vous croyiez que c'est vrai, vous verrez le surnaturel de la Parole de Dieu s'accomplir et manifester la chose que vous avez crue.

            Peu importe ce que c'est, si vous le croyez... la Parole de Dieu est une semence ; Elle est semée dans le coeur humain, et s'il n'y a rien là qui  - qui La gêne... c'est juste comme quand Dieu prend une décision, c'est Son Absolu. Et si votre absolu est que Dieu demeure exactement le même, quand ces deux se mettent ensemble, quelque chose doit s'accomplir. Ça ne peut simplement pas manquer de s'accomplir. Voyez ? Et si votre absolu est le même que Celui de Dieu, alors quelque chose doit s'accomplir.

32        Si Dieu fait une déclaration, Elle doit être vraie. Alors, quand vous prenez position, comme quoi c'est vrai, quelque chose doit s'accomplir. C'est juste... Ça doit s'accomplir. Et les hommes de tous les âges, une fois qu'ils avaient entendu la Voix de Dieu leur parler, qu'ils avaient-avaient vu le surnaturel, ils vivaient et attendaient l'accomplissement de la chose, et jamais cela ne manquait de s'accomplir.

            Abraham s'est attendu à ce que l'enfant vienne. Et même vingt-cinq ans après que la promesse lui eut été faite, il continuait à attendre cela, exactement de la même façon à cent ans qu'il le faisait à soixante-quinze ans, quand la promesse lui a été faite. La Bible dit qu'il ne faiblit point, mais qu'il fut de plus en plus fortifié, sans cesse, croyant que Dieu accomplira cela.

            Pouvez-vous vous représenter un vieil homme de soixante-quinze ans, là, et une femme de soixante-cinq ans... Elle était inféconde et lui, stérile. Et les voilà sortir là, ils vont voir un médecin à l'hôpital pour faire réserver un lit. Ils vont avoir un enfant. Oui. Une vieille femme de soixante-cinq ans et un vieil homme de soixante-quinze ans, que dirait le médecin ? " Le pauvre vieux couple, ils sont un peu détraqués... "

            Eh bien, alors, tout celui qui prend réellement Dieu au Mot, tel quel, est considéré comme un peu détraqué. En effet, le... C'est tellement surnaturel que le monde naturel n'en sait rien. Tenez... C'est de la folie pour l'esprit charnel. Vous ne comprendrez donc jamais cela.

33        Mais Abraham a cru cela. Il a dit : " C'est vrai ", et il a cru que ce l'était. Je peux l'entendre dire à Sara : " Eh bien, chérie, nous allons l'avoir, cet enfant. C'est réglé, comme Dieu l'a dit. " Elle a acheté les couches, les épingles, elle a tout apprêté et elle a tricoté de petits chaussons, tout était prêt. Et après un bon nombre de jours, vingt-huit jours : " Comment te sens-tu, chérie ? "

            " Aucun changement, chéri. "

            " Gloire à Dieu, nous l'aurons de toute façon. "

            Le premier mois est passé, aucun changement ; le deuxième mois, la première année, la deuxième année. " Comment te sens-tu, chérie ? "

            " Aucun changement. "

            " Gloire à Dieu, ça sera un miracle plus grand qu'il ne l'aurait été il y a deux ans ; il a deux ans de plus. "

            Et vingt-cinq ans après, il a continué à afficher la même attitude, exactement la même, parce que Dieu l'avait dit. Comment le savez-vous ? Dieu l'a dit. C'est réglé. Si Dieu l'a dit, il n'y a plus à dire à ce sujet. Voyez ? Il l'a dit. Et à cent ans, il continuait à croire en Dieu, que Dieu l'accomplirait.

34        La Bible dit, dans Hébreux 4, qu'Abraham ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu. " Et nous sommes censés être la postérité d'Abraham : " Car, nous qui sommes morts en Christ, nous sommes la postérité d'Abraham. " Est-ce vrai ? Le Saint-Esprit fait de nous la postérité d'Abraham.

            Abraham n'était pas un Juif. Abraham était un Gentil. Ce n'était pas le fait d'être Juif ou Gentil, c'était sa foi dans la Parole de Dieu qui avait fait de lui-de lui l'héritier de la promesse. Et nous, en étant morts en Christ, nous devenons la postérité d'Abraham, Ses co-héritiers, selon la promesse. Je vous assure, c'est vrai ; nous le sommes, mais parfois nous n'agissons pas en conséquence.

            Parfois nous nous mettons à dire : " Eh bien, j'irai pour qu'on prie pour moi. Je verrai ce qui va arriver. Eh bien, je ne sens aucun changement. " La postérité d'Abraham ? Oh! la la ! c'est une excuse minable de la part d'un-même d'un membre d'église, encore moins la postérité d'Abraham. La postérité d'Abraham ne tient pas compte de circonstances ; elle considère la Parole de Dieu. C'est tout.

35        Il y a quelque temps, j'ai été appelé au chevet. Ça fait environ dix ans... auprès d'un... Eh bien, ça fait environ douze ans, auprès d'un jeune garçon qui se mourait de la diphtérie. Et le médecin ne voulait pas me laisser entrer. Il disait : " Je  ne peux pas vous laisser entrer. Vous êtes marié. " Et ce médecin était lui-même catholique. Alors, j'ai dit : " Eh bien, si un prêtre venait et que ce garçon se mourait là-dedans, et que vous saviez et disiez qu'il mourrait ce soir, et vous... Laisseriez-vous entrer ce prêtre ? "

            Il a répondu : " Certainement. "

            " Pour lui administrer les derniers sacrements ? "

            " Oui, oui. "

            Et je-je savais qu'il le ferait. Mes ancêtres étaient aussi  catholiques. Alors, j'ai ... je-je-je savais qu'il le ferait. Alors, j'ai dit : " Eh bien, qu'arriverait-il donc... ? "

            Il a dit : " Oui, mais lui-lui n'est pas marié. Vous, vous avez des enfants. Vous transmettrez cela aux enfants. Vous avez deux petits enfants. "

            J'ai dit : " Oui, oui ; c'est vrai. " Mais j'ai dit : " Ma foi en Dieu ... "

            Il a dit : " Je n'y crois pas. " Voyez ?

            J'ai dit : " Eh bien, maintenant, écoutez. Cela... Pour ce garçon qui est là à l'intérieur, d'après ce père et cette mère ici présents, je-je vaux autant que le prêtre pour vous, si vous étiez mourant. " Voyez ? J'ai dit : " C'est tout autant. Notre foi regarde à Dieu exactement de la même manière. "

36        Finalement, il m'a habillé en Ku Klux, et il m'a laissé entrer. Alors, je - je suis entré prier pour le jeune garçon, et le jeune garçon était là, et une petite infirmière nous a accompagnés. Alors, le vieux père et la vieille mère se sont agenouillés de l'autre côté du lit. On lui avait, tirant ce... comme un... pour lui faire aspirer et refouler l'air, une respiration artificielle. Et on disait... on... Je me suis agenouillé et j'ai juste offert une petite prière ordinaire, j'ai imposé les mains au jeune garçon et  j'ai dit : " Seigneur, Tu as promis d'accomplir ceci. Ce père et cette mère le croient. J'impose donc les mains à ce jeune garçon. Et Tu as dit : 'Voici les miracles qui accompagneront ce qui auront cru : ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.' Donc, Seigneur, je crois dans mon coeur que Tu tiens Ta Parole, ce père et cette mère aussi. C'est terminé, Père. Merci. "

            Nous nous sommes levés. Alors, le vieux papa a saisi la mère, et la mère a saisi le papa et ils se sont mis à s'embrasser et à crier tout simplement : "N'est-ce pas merveilleux, chérie ? N'est-ce pas merveilleux ? "

            Mais le jeune garçon n'avait point bougé. Il était resté inconscient deux ou trois jours. Et eux disaient :  "Oh! n'est-ce pas merveilleux ? "

            Et j'ai dit : " Que le Seigneur vous  bénisse tous ", et je sortais. Alors, la petite... Et je sortais. Et ils...  m'enlevant tout ça, là, afin que je puisse continuer.

37        Puis après, la petite infirmière s'est approchée, elle a dit : " Monsieur. " Elle a dit : " Je n'arrive simplement pas à comprendre. " C'était juste une jeune fille. Elle a dit : " Je n'arrive pas à comprendre. " Vous voyez... Quelque chose du cardiogramme, cela ... Elle a dit : " Si jamais cela descend à un certain niveau, a-t-elle dit, dans toute l'histoire, on n'a jamais appris que cela soit remonté. " Et elle a dit : " Tout ce qui maintient ce garçon ici... il s'affaiblit tout le temps. " Elle a dit : " Il se meurt simplement- il se meurt simplement maintenant même. " Et elle a dit : " Quand il... cet homme a offert cette prière pour cet enfant, ou plutôt ce jeune garçon, a-t-elle dit (il avait environ douze ans, quatorze), elle a dit : Vous... " Elle a dit : " Ça n'a pas du tout changé son état. " Elle a dit : " Son état n'a pas du tout changé. " Et elle a dit : " Cette aiguille est toujours ici même en bas. " Elle a dit : " Il est juste comme il était. " Et elle a dit : " Elle ne peut plus jamais remonter, car elle est là en bas et c'est tout. "

            Alors, le vieux gentleman, vous savez, à l'allure paternelle, a mis son  bras  autour de cette petite infirmière et a dit : " Oh ! Ma précieuse enfant ! " Il a dit : " Que le Seigneur te bénisse, chérie. " Il a dit : " Je ne me moque pas de toi, parce que... Et je n'aimerais pas discuter ce que tu dis. " Il a dit : " Mais, tu vois, a-t-il dit, ne... on t'a appris  à croire qu'une fois cette aiguille ou cette pointe, ou je ne sais quoi, descendue à ce niveau-là, elle ne peut plus jamais remonter. "

38        Elle a dit : " Monsieur, c'est la vérité. " Elle a dit : "Cela-cela ne peut pas remonter. " Elle a dit : " C'est fini pour le jeune garçon. " Elle a dit : " C'est à peine qu'il est ici. " Et elle a dit : " Si vous lui enlevez ceci, il meurt sur place. "

            Il lui a dit : " Chérie, a-t-il dit, tu regardes cette aiguille. " C'est bien.

            Elle-elle lui a simplement demandé : " Comment pouvez-vous rire et agir comme cela, alors que votre jeune garçon se meurt ? "

            Il a dit : " Il ne se meurt pas. " Il a dit : " Il est guéri. "

            Et elle a dit : " Eh bien, comment pouvez-vous vous attendre à cela, alors que cette aiguille ... "

            Et il a dit : " Chérie, c'est tout ce que tu sais regarder, cette aiguille-là, mais moi, je regarde à  une promesse (c'est vrai) que Dieu a faite."

            Et ce jeune garçon a deux enfants et il est aujourd'hui un missionnaire en Afrique. Oh ! Ça dépend de ce que vous regardez... Il s'attendait à ce que cela arrive, parce qu'il avait rempli les conditions de Dieu. Il a placé le jeune garçon sur l'autel. Il avait... la médecine avait fait tout son possible, et tout était au-delà de l'assistance physique qui pouvait être apportée au jeune garçon. Alors, il est venu à Dieu et a cru que Dieu lui accorderait... Et la Bible dit : " Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent. " C'est vrai.

39        Si vous cherchez Dieu de tout votre coeur et que vous vous mettiez à l'oeuvre, Il sera là pour vous rencontrer. C'est vrai. Mais il ne vous faut pas juste flâner, pour ainsi dire, il vous faut aller tout droit vers Dieu, tout confesser, exposer la chose et venir sur cette base-là, et Dieu vous rencontrera là. Il fera quelque chose pour vous. Il exaucera vos prières.

            Tout homme qui ait jamais cru en Dieu ou qui ait jamais entendu la Voix de Dieu, s'est attendu à Le voir faire quelque chose. Quand Dieu parla à Noé dans l'Ancien Testament...

            Eh bien, il n'y avait jamais eu de pluie sur terre. Eh bien, il y avait... Dieu arrosait la terre... Jusqu'alors, avant la destruction antédiluvienne, eh bien, Il l'arrosait par l'irrigation, toute la terre. Il n'avait jamais plu. Et Dieu parla à-à Noé et lui dit de préparer une arche pour sauver sa famille, car il allait pleuvoir. La pluie tomberait des cieux et toute la terre serait couverte d'eau. Et Noé s'est attendu à ce que cela arrive. S'il ne s'était pas attendu à cela, au passage du premier critiqueur, il aurait dit : " Eh bien, je pense que j'étais peut-être en erreur. Ce n'était pas Dieu. " Voyez ? Il aurait donc été emporté.

40        Eh bien, c'est à peu près ça la version de 1961, la façon dont l'église agirait. Mais ce n'est pas vraiment... Un vrai chrétien né de nouveau, quand Dieu le dit, nous nous attendons à ce qu'il en soit ainsi. Dieu l'a dit, c'est ainsi que ce sera. Ça doit être ainsi.

            Il a dit... Vous savez, pourquoi sommes-nous ce que-pourquoi sommes-nous tels que nous sommes aujourd'hui ? Comment l'église est-elle tiède dans cet âge de l'église de Laodicée ? Eh bien, c'est... Dieu a dit qu'il en sera ainsi. Vous ne pouvez pas vous attendre à autre chose. Il doit en être ainsi. C'est vrai. Mais Il doit... " Il reprend et châtie tous ceux qu'Il aime, Je me tiens à la porte et Je frappe. Si quelqu'un entend Ma Voix... " C'est ainsi que  Dieu s'adresse à cet âge de l'église, dans la Bible, dans l'Apocalypse, chapitre 3, à l'âge de l'église de Laodicée.

41        Eh bien, nous voyons que Noé s'était lui-même préparé une arche, il était saisi de crainte et il a fait-fait une arche, il s'est tenu à la porte, il a prêché aux incroyants. Mais il s'attendait à ce que Dieu tienne Sa promesse, parce qu'il avait entendu la Voix de Dieu dire qu'il pleuvrait.

            Eh bien, si vous pouvez vous asseoir juste là où vous êtes maintenant et vous consacrer tellement à Dieu et vous attendre à ce qu'Il fasse quelque chose, vous entendez la Voix de Dieu murmurer au fond de votre coeur : " Vous n'avez pas à attendre une carte de prière demain soir, voici le moment où Je vais te  guérir. " C'est tout. C'est réglé. Rien ne pourra vous ébranler.

            Si vous n'avez jamais reçu le Saint-Esprit et que vous dites : " Seigneur, j'ai cherché le Saint-Esprit pendant des années, mais je viens d'entendre une Voix me dire que je vais Le recevoir ce soir même ", c'est réglé. Ce-c'est ça. Vous attendrez cela si impatiemment, cela s'accomplira.

42        Eh bien, Noé était... il s'est tenu là... il martelait cette arche, parce qu'il s'attendait à ce qu'il pleuve. Eh bien, prenons juste quelques instants pour voir les critiqueurs qui passaient par là et disaient : " Eh bien, alors, juste un instant, monsieur. Monsieur Noé, vous me dites qu'il va pleuvoir. "

            " Oui, oui. "

            " Eh bien, je suis un homme de science. " En effet, il y avait des hommes de science. Les hommes de science descendent de la lignée de Caïn. Ainsi, il a dit : " Eh bien, nous-nous sommes des hommes de science, et-et nous aimerions que vous nous démontriez que cette pluie est là-haut. "

            Eh bien, la foi n'est pas quelque chose que l'on peut voir, mais " c'est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas. " Dieu l'a dit. Nous n'avons rien à prouver. Rien à prouver... Vous ne pouvez pas prouver Dieu. Vous ne pouvez même pas prouver que vous avez un esprit. C'est vrai. Vous ne pouvez pas le prouver. Si vous le pouvez, faites-le-moi voir, faites-le moi goûter, faites-le-moi sentir par le toucher, faites-le-moi sentir par l'odorat, faites-le-moi entendre. Avez-vous déjà senti par le toucher votre esprit ? Vu votre esprit ? Goûté votre esprit ? Voyez, les sens ne l'attestent pas, mais cependant, vous en avez un ; vous savez que vous en avez.

            Et c'est tout à fait pareil pour Dieu. Vous direz : " Comment est-ce que je sais que j'ai un esprit ? " Je vois comment j'agis. Je sais comment quelque chose m'a changé de pécheur en chrétien. J'ai reçu un Dieu que je sais être - être réel, tout aussi réel que votre esprit, ou-ou-ou  n'importe quel autre sens qui fonctionne.

43        Remarquez donc. Il y a cinq sens par lesquels nous entrons en contact avec le corps humain, cinq sens. L'âme a aussi cinq entrées, qui  sont la conscience et autres, l'imagination. Mais il n'y a qu'une seule entrée vers l'esprit (il y a l'âme, le corps et l'esprit), vers l'esprit, et c'est la voie du libre arbitre ; et cela place tout homme et toute femme sur la même base que celle sur laquelle on était dans le jardin d'Eden.

            Vous aimeriez faire... vous avez un... vous avez le libre arbitre pour agir comme vous le voulez. Et aucun de ces autres sens n'a quelque chose à faire avec ça, ni l'âme ni le corps, mais c'est par l'esprit, sur base du libre arbitre. Dieu a dit à Adam : " Le jour où tu en mangeras, tu mourras. " Eh bien, il pouvait manger et vivre, ou plutôt il-il pouvait-il pouvait manger et mourir, soit s'en abstenir et  vivre.

            Eh bien, c'est pareil pour nous ce soir. Nous pouvons recevoir Sa Parole et être guéris, ou nous pouvons L'abandonner, nous En éloigner, et ne pas être guéris. Nous pouvons avoir la Vie Eternelle en croyant en Lui, ou nous pouvons nous En éloigner et ne pas avoir la Vie Eternelle. Ça dépend de vous : le libre arbitre.

44        Et quand Noé entendit la Voix de Dieu lui dire qu'il pleuvrait, qu'il y aurait des nuages, qu'il pleuvrait alors qu'Il n'avait jamais fait cela dans tous les âges et-et..., mais qu'il allait pleuvoir, Noé a reconnu ceci, que Dieu est un Dieu Créateur, qu'Il pouvait-qu'Il pouvait faire tout ce qu'Il voulait. Et par conséquent, Il-Il était Dieu et il n'y avait rien d'autre là. Il a tout simplement reconnu que-qu'Il était capable de créer la pluie là-haut, s'il n' en y avait pas là-haut. Il est Jéhovah Jiré, l'Eternel s'est pourvu d'un sacrifice.

            Dieu peut donc créer la pluie. S'il n'y a pas de nuages là-haut, pas de pluie là-haut... Puisque Il avait dit qu'il pleuvrait, Noé a dit : " Je vais, en tout cas, tout de suite construire cette arche. " Car il s'attendait à ce qu'il pleuve. Et quand il a construit l'arche et que tout était en ordre, il a plu parce qu'il avait cru.

45        Eh bien, ça vous fait agir drôlement, quand vous-quand vous prenez réellement Dieu au Mot. Et quand vous agissez suivant vos attentes... Je vois des gens venir à l'estrade et dire : " Eh bien, écoutez. Je suis malade, monsieur. Ne le savez-vous pas? "

            " Eh bien, assurément, je sais que vous êtes malade. " Très bien.

            " Eh bien, pouvez-vous faire quelque chose ? "

            Eh bien, maintenant, vous ne-vous ne recevrez jamais cela comme ça. Absolument pas. On priera pour eux, on leur imposera les mains, ils quittent l'estrade : "Je ne sens aucun changement. " Eh bien, vous n'en aurez pas. Ça, c'est une chose sûre. Vous n'en aurez pas.

            Eh bien, vous ne vous attendez à rien. Venez à l'estrade, suivez les instructions de Dieu telles que Dieu les donne, puis partez en étant dans l'expectative : " Oui, oui, je vais recevoir cela. C'est déjà fait. J'ai fait ce que Dieu m'a dit de faire. Alors, c'est réglé. " C'est-c'est comme ça. C'est ça la postérité d'Abraham.

46        Maintenant, nous allons en prendre un autre : Moïse. Moïse, oh! c'était un théologien de formation. Il avait une grande connaissance; en effet, il pouvait-il pouvait enseigner la sagesse égyptienne. Il était très intelligent. Et il savait qu'il était né et qu'il avait été élevé pour être un libérateur d'Israël. Et il s'est donc dit qu'il pouvait se servir de sa formation théologique et aller en fait là pour accomplir cela. Mais il s'est rendu compte qu'il était un échec.

            Et quand nous cherchons à instruire l'église pour qu'elle sache  communier, quand nous cherchons à instruire les gens pour les amener à Christ, nous ne faisons que battre l'air. Nous n'arriverons nulle part. Il n'y a qu'une seule voie par laquelle un homme et une femme peuvent venir à Christ, c'est au travers du Sang  de Jésus-Christ et de la nouvelle naissance. C'est l'unique voie par laquelle nous pouvons passer. Quand vous passez par là, alors vous recevez l'authentique foi du Saint-Esprit qui vous amène à appeler tout ce qui est contraire à la promesse de Dieu comme existant... comme n'existant pas.

            Peu importent les circonstances, peu importe à quel point vous êtes malade,  ce que le médecin a dit... Il vous a abandonné en disant : " Vous allez mourir du cancer et vous avez une maladie de coeur, vous pourrez partir n'importe quand. " Vous ne tenez même pas compte de cela. Vous considérez ce que Dieu a dit. Vous vous attachez là même, à ce que Dieu a dit. C'est... Il l'a dit, c'est réglé pour toujours. Or, vous ne pouvez pas bluffer là-dessus. Il vous faut réellement croire cela.

47        Vous direz : " Oh! oui. Je crois cela. " Oh! J'ai vu des gens dire cela, et si la foi était l'ink  [encre en français N.D.T. ], vous ne pourriez pas mettre un point sur " i ". Ils... simplement, ils-ils étaient simplement pris d'émotions. C'est de l'espérance plutôt que la foi. La foi authentique n'accepte pas " non " comme réponse. Elle a-elle a des poils sur le torse; et elle est costaude. Elle parle et tout le reste se tient tranquille. C'est tout.

            Si le vieux... Vous savez, les sensations s'élèvent et disent : " Vous- vous ne sentez aucun changement. Vous-vous... "

            Vous dites : " Silence. " La foi le fera. Tenez-vous tranquille. Dieu prend  le dessus. C'est ça. Eh bien, cela...

            " Eh bien, votre estomac fait toujours mal. "

            " Silence ! Je ne sens même pas cela. " C'est ça. C'est... Ne-ne soyez pas... Assurément, elle considère ce que Dieu a dit. Dieu l'a dit, ainsi la foi le croit. Si seulement vous pouvez tenir bon, la foi, continuellement, et laisser-laisser simplement la foi prendre le dessus, elle fera que le reste paraisse comme de petits rabougris. Elle les fait tout simplement se tenir tranquilles, parce qu'elle est la patronne. Elle a de très gros muscles bien bâtis, et je vous assure, tout le reste, toutes les sensations et les superstitions et les petits ismes et tout se tiennent simplement tranquilles quand la foi prend le dessus. Elle-elle est la patronne. C'est vrai.

48        Eh bien, et ils sont... Evidemment, Moïse pensait avoir cela. Mais quand il s'y est pris à sa façon, il s'est retrouvé en erreur. Et il s'est retiré et a épousé une belle petite éthiopienne et a eu un fils, là, Guerschom. Et il s'est établi là-bas pour mener une bonne vie, élever les brebis, et il savait qu'il deviendrait héritier aussitôt Jéthro mort, qu'il hériterait de tous les bétails, lui seul. Ainsi donc, il était bien satisfait.

            Mais un jour, il marchait derrière le désert, il s'est passé quelque chose qui ne s'était jamais passé au séminaire. Il était arrivé quelque chose dont il n'avait jamais entendu parler auparavant. Il a vu un buisson ardent. Il s'est détourné pour voir ce que c'était. Et une Voix s'est fait entendre de là, disant : "Moïse,  ôte tes souliers. Le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte. " Oh! la la ! " J'ai entendu les cris de Mon peuple. J'ai vu son affliction. Je me souviens de Ma Parole. Je me souviens de ce que J'ai dit à Abraham, que sa postérité séjournerait dans un pays étranger pendant quatre cents ans. Ce temps est accompli. Je me souviens de Ma Parole. C'est ça, Moïse, Je t'envoie. "

49        Pouvez-vous vous imaginer un homme assez lâche pour fuir d'un pays à cause des ennuis qu'il avait eus après avoir tué un homme (et il avait fui le pays), revenir par la puissance de Dieu et  tuer toute une nation sans jamais avoir des ennuis ? Voyez ? Cela montre si vous le faites selon la volonté de Dieu ou selon votre propre volonté, là. Voyez ? Ce que vous pouvez faire et qui vous attire des ennuis, pourquoi ne lâchez-vous pas simplement prise et laisser Dieu faire cela ? Ce-c'est ainsi qu'il faut s'y prendre.

            Il était donc là le lendemain... Vous parlez de quelque chose de radical ! On voit donc Moïse le lendemain, après être devenu un vieux berger... Il avait-il avait quatre-vingts ans, peut-être qu'il avait une longue barbe blanche, sa tête était chauve, et-et il tenait en main un petit bâton crochu et bizarre, avec un mulet, sa femme était assise à califourchon dessus, avec un petit à la hanche. Et la voilà descendre là comme ça, poussant simplement des houp, criant en descendant : " Gloire à Dieu ! ", descendant en Egypte.

            " Où allez-vous, Moïse ? "

            " Je descends envahir l'Egypte. " Oui, oui.

            " Quoi ? Une invasion par un seul homme ? "

            " Oui, oui. C'est ça. "

            " Pourquoi ? Comment savez-vous que vous allez le faire ? "

            " Dieu l'a dit. " C'est réglé. " J'ai entendu Sa Voix. Je m'attends à ce qu'Il accomplisse cela. " C'est ça.

            C'est comme un seul homme qui va vaincre la Russie. Voyez ? Cependant il l'a fait, parce que Dieu l'avait dit. Et il s'était attendu à ce que Dieu tienne Sa Parole. Amen ! Je m'attends à ce que Dieu tienne Sa Parole envers nous. Dieu tiendra Sa Parole envers n'importe quel homme qui prendra Sa Parole et dira : " Elle est mienne. Dieu a promis et je m'attends à ce que Tu le fasses. Je n'accepte pas " non " comme réponse. Je me tiens ici même.   

50        C'est  comme Buddy Robinson un jour, alors qu'il labourait un champ avec son vieux mulet, là ; ce dernier s'est enfui et Buddy lui a  mordu l'oreille. Et il essayait de prêcher la sanctification, alors il a dit : " Eh bien, je-je...n'ai-je-je pas l'air joli ici avec ce poil de mulet, partout, entre mes dents alors que je prêche la sanctification ? " Alors...Il s'est donc agenouillé dans le champ ; il a dit : " Seigneur, si Tu ne me donnes pas le Saint-Esprit, à Ton retour Tu trouveras un tas d'os ici même, à Ton retour. " Alors, il a reçu le Saint-Esprit. Ainsi, cela est juste la deuxième bénédiction ; il l'appelait la sanctification.

51        C'est ainsi donc. Quand vous amenez cela à Dieu : " C'est ça. Ceci règle la question. Dieu, Tu l'as dit, et c'est tout. Les médecins ont fait tout leur possible pour moi, et je suis un cas désespéré entre les mains de la médecine ; je suis un cas désespéré pour l'hôpital. Il ne reste qu'Un seul, et je me suis abandonné à Toi. Je suis maintenant entre Tes mains. Dieu, je suis entre Tes mains. " Amen. Tenez-vous-en là même. Quelque chose va donc arriver.

            Quelque chose est sur le point d'arriver. Quand vous entendez cette Voix de Dieu vous dire : " Tu es mien. Tu Me-M'appartiens. Je t'ai acquis par Mon Sang. Je vais... C'est par Mes meurtrissures que tu as été guéri. " Oh! frère, Je vous assure, quelque chose est sur le point d'arriver quand vous entendez cela.

            Oui, cela fera... Oh ! Les gens diront : " Eh bien, Lucie, Nettie, ou Marthe, Marie, eh bien, vous savez, ils ont perdu la tête. Je- je vous assure, elle est allée à une réunion là-bas, elle a été ointe et aujourd'hui, vous savez... Nous savons qu'elle se mourrait du cancer. Le médecin dit qu'elle ne peut pas se rétablir. Et voici, elle est là en train de faire toute sa lessive, chantant simplement : 'Alléluia, alléluia', allant çà et là, faisant des histoires comme ça. Eh bien, la pauvre femme a perdu la tête. " Non. Elle a tout simplement pris Dieu au Mot. Elle agit comme une folle aux yeux des gens, mais elle obéit à ce que Dieu a dit. C'est vrai. Exact.

52        C'est ce que Moïse a fait. Le voici partir... Pouvez-vous vous représenter ce vieil homme en train de boiter d'un pied ? Le voilà partir, vous savez, un mulet derrière lui :  " Gloire ! Alléluia ! "

            " Où allez-vous, Moïse ? "

            " Je descends en Egypte faire l'invasion. " Il y allait tout droit faire l'invasion. A quatre-vingts ans, descendant affronter l'armée la mieux mécanisée qu'il y avait au monde : ils avaient conquis le monde entier. Il descend là, à quatre-vingt ans, avec une femme et un enfant. C'est-c'est...?... sont humains, probablement, assis à la hanche de sa mère, et voilà cette dernière descendre là, conduisant ce vieux mulet, descendant faire l'invasion, et il l'a faite. Oui. Pourquoi ? Il s'y attendait. Pourquoi ? Dieu l'avait dit. C'était réglé. Comme Dieu l'a dit, c'était...

53        Jean, quand il s'est présenté là, il s'est tenu sur le rivage du Jourdain en train de prêcher. Les sacrificateurs, sur le rivage en face, ont dit : " Tu veux me dire qu'il arrivera un jour où le sacrifice perpétuel sera ôté du temple et où il n'y aura plus de sacrifices, plus d'oblations là? "

            Il a dit : " Il arrivera un jour où Quelqu'Un viendra, Il sera le Sacrifice. "

            Oh ! ressaisis-toi, prédicateur. Qu'est-ce qui cloche en toi ? Ce temps-là n'arrivera pas. "

            Et il s'est mis à regarder, il a dit : " Voici (Amen!)...Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. " Pourquoi ? Il L'attendait;  en effet, il a dit : " Celui qui m'a parlé au désert, qui m'a envoyé baptiser d'eau, celui-là m'a dit :  'Celui sur qui tu verras l'Esprit descendre et s'arrêter, c'est celui-là qui baptise du Saint Esprit et du feu.' " C'est celui-là. Il s'attendait à Le voir.

            Il a dit : " Je L'ai reconnu par le signe du Messie qui est au-dessus de Lui, une Lumière qui est au-dessus de Lui, et j'ai reconnu que c'était le Messie. " Et il s'attendait à Le voir.

54        Oh ! Eglise, nous devrions nous attendre à voir Dieu accomplir quelque chose, nous devrions nous attendre à voir un réveil dans toute la ville, une secousse parmi les gens. Certainement. Cela nous est promis. Nous le croyons. Croyez avec moi. Si nous mettons nos coeurs ensemble et que nous croyons, quelque chose va arriver. Ça doit arriver : s'attendre à cela. Certainement.

            Oh ! comme nous pourrons continuer! Comme nous pourrons simplement continuer avec beaucoup d'autres, mais arrivons-en à Siméon maintenant pour terminer dans les quelques prochaines minutes.

55        Siméon était un grand homme. Eh bien, j'ai lu à son sujet il n'y a pas longtemps, il était là quelque part, il avait quatre-vingts ans, un vieux sage, bien-aimé des gens, mais il était toujours un homme spirituel. Et alors, un jour, il est sorti et a dit : " Je ne mourrai point avant de voir le Christ du Seigneur. " Eh bien, pouvez-vous vous représenter...

            Vous direz : " Comment dites-vous cela, Siméon ? Qu'est-ce qui vous fait dire cela ? Vous avez piqué une crise. Quel genre d'isme avez-vous introduit ?"

            " Aucun. "

            " Pourquoi... Qu'est-ce qui vous fait dire cela ? "

            " C'est le Saint-Esprit qui me l'a dit. Le Saint-Esprit m'a révélé que je ne mourrais pas avant de voir le Christ du Seigneur. Et je le crois; c'est tout. " Il allait çà et là, racontant à tout le monde. Peu importe combien grande était sa réputation, il n'avait pas à faire le noble, mais il-il ... Peu importe ce qu'il était, il croyait toujours que le Saint-Esprit avait raison. Eh bien, il n'y a pas deux Saint-Esprit, il n'y a qu'un seul  Saint-Esprit. C'est vrai. Et il était conduit par le Saint-Esprit, cela lui avait été révélé par le Saint-Esprit. Et le même Saint-Esprit qui a révélé cela à Siméon peut vous le révéler, la promesse qu'Il a faite. C'est ça.

56        Eh bien, nous voyons qu'il...Le voici aller çà et là, le racontant à tout le monde : " Oui, je ne mourrai pas. Je-je ne mourrai pas avant de voir le Christ du Seigneur. " Je peux entendre l'assemblée dire : "  Pauvre vieux Siméon! C'est vraiment pitoyable, le pauvre vieil homme. Vous savez, il est un peu... Il a un pied dans la tombe maintenant même, il a une quatre-vingtaine d'années, il est sur le point de mourir. Et regardez, même depuis l'époque d'Adam, on attend Christ. Ecoutez. David L'a attendu, il a chanté à Son sujet. Les prophètes ont prophétisé à Son sujet, et tout ça. Et voici, ce vieil homme... Eh bien, nous sommes plus loin de cela que nous ne l'ayons jamais été dans toute notre vie, et voici ce vieil homme qui a un pied dans la tombe, qui est vraiment sur le point de partir... Et le voici aller çà et là, parmi les gens, en disant : 'Non. Je ne mourrai pas avant de voir le Christ du Seigneur. C'est proche.' "

            " Comment le savez-vous ? "

            " Le Saint-Esprit me l'a dit. " Il s'est attendu à cela. C'est ça. S'attendre à ce que cela soit accompli.

57        Eh bien, si vous-si vous vous attendez à ce que cela s'accomplisse, alors cela va s'accomplir. C'est juste comme un...  J'ai souvent dit : " Quand la profondeur appelle la profondeur... " David a dit : " Au bruit de la-de Tes ondées, la profondeur appelle la profondeur. " Il y a quelque chose au sujet... quelque chose que vous désirez ardemment, quelque chose qui est dans votre coeur. Je-j'aime... une scène... J'aime chasser. C'est depuis que j'étais un petit garçon que je gravissais les montagnes, je montais là et je contemplais le coucher du soleil le soir, je contemplais le lever du soleil le matin, je contemple ce grand oeil de Dieu, on dirait, qui pouvait se déplacer là.

            Je voyais venir le printemps là, et les petites semences qui étaient ensevelies sous cette neige-là, il y a quelques semaines, éclataient, sortaient, la pulpe sortait d'elles. Il ne restait rien, pas de semence, pas de pulpe, pas de tige, pas de pétales, il ne restait rien de cette fleur-là. Le-le... Même la semence, elle en tombait. Savez-vous que Dieu organise un cortège funèbre pour Ses fleurs ? Le saviez-vous ? Assurément.

58        La petite... la gelée frappe la petite fleur, tendre ou vieille, elle incline la petite tête et meurt ; c'est la mort. Et de cette petite fleur tombe par terre une petite semence noire. Puis voici venir septembre, puis octobre suit ; de ces pluies d'octobre les larmes commencent à tomber, vous savez, et ça l'ensevelit : un cortège funèbre. Voyez?

            Et cela passe tout l'hiver là et pourrit. Et-et puis, la gelée vient et fait éclater cette petite semence ; le pulpe en sort. Et vous pouvez prendre une poignée de poussière de cette terre, l'amener au laboratoire, on ne peut pas trouver au monde des produits chimiques qui puissent jamais retrouver ce germe de vie là. Pourtant, il est quelque part là. C'est vrai.

            Il est caché, on ne peut pas le retrouver. Mais laissez simplement le-le soleil... Le soleil fait pousser la végétation. Eh bien, quand ce soleil se met à briller, cette vie sort de nouveau.

59        Je vous dis quoi : Sortez ici et construisez-vous une allée en béton cette-cette année, construisez-la juste dans la cour. Et où l'herbe sera-t-elle plus touffue l'année prochaine ? Où est-ce ? Où est-ce n'importe quand ? Juste au bord de l'allée. Pourquoi ça ? C'est cette vie qui se trouve là, sous le béton. Et quand ce soleil... Ça ne l'abrite pas du soleil. Quand ce soleil se met à briller, cette vie va se frayer une voie tout autour jusqu'à atteindre le bout de ce trottoir, puis redresser la tête pour louer Dieu. Pourquoi ? Le soleil brille.

            Il est un maître ; il est un dispensateur de la vie à toute la végétation. Cela... Peu importe où elle se trouve, elle va encore briller. Cette vie continuera simplement à se frayer une voie, se frayer une voie, se frayer une voie jusqu'à ce que, finalement, elle sorte de là pour redresser la tête et glorifier Dieu. Comment alors quelqu'un peut-il nier la résurrection ? Oh ! Quand ce... non pas s-o-l-e-i-l de Dieu, mais le F-I-L-S de Dieu, la Vie Eternelle...

            Vous pourrez m'ensevelir sous la mer; vous pourrez m'ensevelir sous n'importe quoi que vous voulez, mais dès que ce F-I-L-S commence à briller à Sa Venue, tous ceux qui étaient morts en Lui et qui avaient la Vie Eternelle ressusciteront et iront avec Lui, tout aussi certainement que je me tiens à cette chaire ce soir. C'est vrai.

60        [Espace vide sur la bande - N.D.E.] ...?... souvent. Mais il n'y a pas longtemps, il y avait un-un petit garçon, dans notre ville, dont l'enseignant avait parlé à sa mère, disant  : " Il vous faut en tout cas surveiller ce petit garçon. " Il a dit : " Il ne fait que manger des gommes de crayons aussitôt qu'il en trouve une. " Manger les gommes de... Et puis, sa maman l'a surpris en train de manger la pédale d'une bicyclette sous la véranda de derrière : il se tapait bien un jubilé gastronomique, mangeant une pédale d'une bicyclette.

            Eh bien, on a pris le petit garçon, on l'a amené à une-à une clinique pour le faire examiner. Les médecins l'ont examiné, ils ont examiné son corps. Et ils ont finalement découvert que le petit garçon... Le corps réclamait du  soufre. Il... Il y a du soufre là-dedans. Son corps réclamait du soufre. Et il y a du soufre dans le caoutchouc, c'est donc pour cela qu'il mangeait du soufre.

            Eh bien, avant qu'il y ait quelque chose ici dedans pour réclamer le soufre, il devait d'abord y avoir du soufre pour répondre à ce besoin-là, sinon il n' y aurait jamais eu un besoin pour le soufre.

61        En d'autres termes, avant qu'il y ait un arbre qui devait pousser sur la terre, il devait d'abord y avoir une terre où cet arbre devait pousser, sinon il n'y aurait pas eu d'arbre. Avant qu'il y ait un poisson... une nageoire sur le dos d'un poisson, il devait d'abord y avoir de l'eau où ce poisson devait nager, sinon il n'aurait jamais eu de nageoire. Voyez ? C'est ça.

            En d'autres termes, il devait y avoir un Créateur pour créer la création. Et quand dans votre coeur... Combien croient dans la guérison divine ? Levez la main. Eh bien, maintenant, aussi (Merci)-aussi certainement que vous croyez dans la guérison divine, il y a quelque chose dans votre coeur, ici en vous, qui vous dit qu'il existe un Dieu qui guérit. Et avant cela, avant même que cette création puisse être en vous, il devait y avoir un Créateur pour créer la création. Amen ! C'est ça.

            La raison même pour laquelle vous êtes ici ce soir,  la raison même pour laquelle cette réunion se tient, c'est la preuve qu'il y a une Fontaine de la guérison divine ouverte quelque part. Des coeurs affamés...

62        J'étais récemment en Afrique où nous avons eu trente mille convertis en un seul après-midi, on en a vu vingt-cinq mille être guéris à la fois, sept grands camions, pratiquement aussi longs que cette salle, se déplacer. Le lendemain matin, il y avait vingt-cinq mille personnes qui descendaient la rue avec leurs béquilles et tout déposés là, de vieilles civières et autres, ils les avaient amenés  là, ils marchaient là. Diverses tribus s'étaient unies et chantaient Crois seulement, tout est possible. " Le maire de la ville et moi, nous nous tenions là, à l'hôtel, en train de pleurer simplement comme des enfants, en voyant...

            Ces purs indigènes, la veille, ne savaient pas distinguer la main droite de la main gauche ; ils étaient là, des chrétiens aimables, guéris par la puissance de Dieu, en un instant. Pourquoi ? Ils avaient vu quelque chose se passer. Et aussitôt qu'ils ont vu cela se passer, quelque chose s'est manifesté à eux, et ils ont dit : " C'est pour moi aussi. " Et quand ils en ont eu l'occasion, ils ont accepté cela, et ils sont partis. C'est tout ce qu'il en est. Voyez ?

63        Il devait d'abord y avoir une - une création, ou plutôt un Créateur pour créer une création afin de vous amener à désirer ardemment et croire en Dieu. Et alors, aussi certainement que vous croyez cela, c'est la preuve qu'il y a quelque part une Fontaine de la guérison divine. C'est vrai. Absolument. La Bible parle et dit que c'est Son-que c'est Son Saint-Esprit qui vous conduit. Le même Saint-Esprit qui conduit-qui a conduit Siméon à croire cela, c'est le même Saint-Esprit qui vous conduit à croire dans la guérison divine. Il n'y a pas deux Saint-Esprit, il n'y a qu'Un seul.

            Et ce même Saint-Esprit qui lui a révélé qu'il ne mourrait point avant de voir le Christ du Seigneur, ce même Saint-Esprit vous dit : " Il y a une puissance de Dieu qui guérit les malades. " Voyez ? Oh ! N'est-ce pas clair ?  C'est si... Eh bien, on ne saurait le rendre plus clair. Voyez ? Il y a une puissance de Dieu qui guérit les malades. Voyez ?

64        Eh bien, le médecin a dit : " Je sais que le gentleman, il est... " C'est très bien. Je prie tout le temps pour eux, et je ne condamne pas le médecin. Absolument pas. C'est un-c'est un serviteur de Dieu, il s'occupe des gens. Mais il y a des choses qu'il ne sait pas et d'autres qu'il ne peut pas faire. Alors, s'il ne peut pas le faire, allons auprès du Spécialiste (voyez-vous ?), le Grand, le Grand Spécialiste, le Grand Médecin. Et...  Allez auprès de Lui. Il... Nous sommes  invités. Il nous demande de venir. Il attend que nous soyons là. C'est vrai.

            Il nous attend. Et c'est la raison pour laquelle Il s'est révélé à vous : " Je suis l'Eternel qui guérit toutes tes maladies. Je suis Jéhovah Rapha, Jéhovah le Guérisseur, l'Eternel qui guérit toutes tes maladies. " Quelque chose vous dit dans le coeur : " C'est vrai. Je crois cela. " Eh bien, c'est le même Saint-Esprit qui a dit : " Siméon, tu ne mourras point avant de voir le Christ du Seigneur. "

65        Combien de malades ici croient qu'ils vont être guéris au cours de cette série de réunions ? Levez la main. Dites : " Je-je crois que je serai guéri; mes bien-aimés et autres vont être guéris. " Très bien, c'est bien. Voyez ? Quelque Chose vous l'a révélé. Quoi ? Le même Saint-Esprit. Vous attendez-vous à cela ? Vous attendez-vous à ce que ça arrive ? Combien croient que nous allons avoir une grande réunion ? Levez maintenant la main : " Je crois que nous allons... " Voyez ? Moi aussi. Voyez ? Qu'est ce ? Le Saint-Esprit nous l'a révélé. Amen.

            Je crois que nous allons voir la puissance de Dieu. Ne le croyez-vous pas ? Assurément. Le Saint-Esprit nous le révèle. Nous-nous le croyons. Et nous nous y accrochons bien.

66        Eh bien, vous savez, il n'y avait pas de télévision à l'époque (Grâces soient rendues à Dieu pour ça !) ; ainsi donc, il-il est arrivé... Je suis... Je crois dans la pure sainteté ; certainement. Je crois dans... vraiment, je...Vous dites...Vous m'avez entendu tout à l'heure dire que j'étais baptiste, je suis un baptiste pentecôtiste. Je suis un baptiste qui a reçu le Saint-Esprit. C'est ça.

            Je crois dans la religion de la Pentecôte, à l'ancienne mode, au ciel bleu, qui tue le péché. Oui, oui. Je crois au fait d'avoir le canon braqué tout droit et prêcher cela de la même façon, vivre ce que vous prêchez,et sauter juste à la hauteur de votre vie. C'est tout à fait ça. Si votre vie ne peut pas s'élever très haut, alors ne sautez pas très haut. Cependant, eh bien, ceci vous amènera à sauter à la hauteur de votre vie. Et je crois qu'il devrait en être ainsi. C'est alors que Dieu honorera Sa Parole. C'est-c'est-c'est soit vrai, soit faux. Et je-je crois que Dieu a dit : " Examinez toutes choses. " Et j'ai des preuves que c'est vrai, c'est pourquoi je le crois. Amen.

67        Maintenant, remarquez ceci. J'aimerais poser une question. Maintenant, ce n'est pas pour me mettre à-à... Ce sont les prédicateurs qui prêchent. Je suis venu ici pour le service de guérison. Mais j'aimerais poser une question, au vu de la civilisation, de toute cette beauté et des réalisations. Avez-vous remarqué que nos femmes pentecôtistes et autres se dévêtissent un peu plus chaque année, un peu plus, un peu plus jusqu'à ce qu'elles sont devenues pratiquement... jusqu'à ce que c'est devenu une disgrâce ?

            Eh bien, nous pouvons nous attendre à cela de la part des gens du monde. Ils ne font pas de distinction. Mais pour nous, pentecôtistes... Et j'aimerais dire quelque chose. J'étais là où j'ai vu trente mille purs indigènes recevoir Jésus- Christ à la fois. Ces femmes étaient là, tout aussi nues qu'elles l'étaient en venant au monde, jeunes et vieilles, avec juste un vêtement, un morceau suspendu par devant, à peu de cette largeur : elles n'avaient jamais su qu'elles étaient nues, elles n'en savaient rien. Et là sur le champ, là où elles ont vu cette guérison s'opérer, ainsi que ce signe (ce que j'aborderai en détails demain soir), elles ont vu cela se produire, je... Elles ont voulu recevoir... Elles voulaient Quelque Chose, elles voulaient recevoir Christ. Alors, j'ai dit...  J'ai demandé : " Que tous ceux qui croient qu'Il les sauvera se lèvent. " Et trente... Eh bien, on en a compté trente mille. Je ne sais pas combien étaient là, mais trente mille s'étaient levés.

68        Et puis... Et frère Bosworth et les autres ont dit : " Frère Branham, je pense que ces gens pensent qu'il s'agit de la guérison physique. "

            Et j'ai dit : " Ce n'est pas ce que je veux dire... " J'avais quinze interprètes, vous savez. Alors, j'ai dit : " Je ne parle pas de la guérison physique ; je parle du salut,  à savoir vous-vous acceptez Christ, le Fils de Dieu comme votre Sauveur personnel, vous voulez Le servir." Beaucoup parmi eux tenaient des idoles en main. J'ai dit : " Vous qui êtes sincères là-dessus, cassez vos idoles par terre. " On dirait un nuage de poussière, on a vu cela monter comme cela.

            Et quand... Aussitôt qu'elles avaient reçu Christ, ces femmes nues... Frère, soeur, elles ont croisé les bras comme ceci, pour s'éloigner de devant les hommes. Et si une indigène rudimentaire, qui ne sait pas distinguer la main droite de la main gauche, aussitôt que Christ la touche, se rend compte qu'elle est nue, qu'en sera-t-il alors de  nous qui prétendons être de l'Eglise du Dieu vivant ? Et nous nous dévêtissons chaque année. Ça n'a pas de sens pour moi. Il y a quelque chose qui cloche quelque part. C'est vrai.

            Ô Dieu! Oui, nous sommes dans Laodicée ; c'est là que nous sommes.   Nous sommes-nous sommes très avancés sur la route, près de la Venue du Seigneur Jésus. Oh ! Soyons prêts à Le rencontrer. Oui, oui.

69        Siméon... Comme je l'ai dit, il n'y avait pas de télévision. Pendant que j'étais sur ce sujet, j'avais fait un commentaire, quelque chose sur cela... Une fois, il y avait une dame qui m'avait dit, je parlais des femmes qui portent ces petits habits bizarres, moulants et autres, et alors elle a dit-elle a dit : " Eh bien... "

            J'ai dit : " Si vous le faites, vous répondrez au jour du Jugement pour avoir commis adultère. " Et c'est quelqu'un qui m'avait forcé la main là-dessus.

            J'ai dit : "  Jésus a dit : 'Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur.' " Et vous pourriez être aussi pure que le lys pour votre mari ou pour votre fiancé. Vous pourriez être une femme aussi vertueuse qu'on puisse l'être aux Etats-Unis d'Amérique, tout aussi vertueuse que vous l'étiez en sortant du sein de votre mère, mais madame, si vous vous habillez comme cela, pour que le pécheur vous regarde comme ça, il va vous convoiter, alors, au jour du Jugement, quand il répondra de son adultère, c'est vous qui vous étiez exposée devant lui. " Vous y êtes. Vous allez donc répondre d'adultère.

70        Une femme m'a dit, elle a dit : " Eh bien, Frère Branham, c'est l'unique genre d'habit qu'on confectionne. "

            J'ai dit : "  On a toujours des machines à coudre et on vend toujours des tissus. Il n'y a pas d'excuse là-dessus. "  C'est tout à fait pareil. C'est vrai.

            Nous... Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est d'une bonne religion à l'ancienne mode, au ciel bleu, qui tue les péchés, un ancien réveil à la saint Paul par le Saint-Esprit, et qui ramène une fois de plus aux vrais messages de la Pentecôte,  qui ramène à la vérité.

71        Ce qu'il y a aujourd'hui, c'est que, pour beaucoup d'évangélistes dans le champ de travail, des évangélistes, c'est devenu pour eux un ticket de repas.          Ils ont de grandes émissions à parrainer, ils ne peuvent pas mentionner cela devant l'église.

            Un prédicateur m'a parlé, disant : "Avec ça, vous allez ruiner votre ministère. "

            J'ai dit : " Tout ministère que la Parole de Dieu ruinera devra être ruiné et bouté dehors de toute façon... " Oui, oui. J'ai dit : " Je-je ... " C'est vrai. Vous ne... Ce dont nous avons besoin, c'est du retour à la Bible, du retour à la véritable sainteté, retourner à Dieu, retourner-retourner là où les gens peuvent avoir la foi. Comment Dieu peut-Il construire Son Eglise sur pareil fondement ?

            Nous avons pris nos églises et nous en avons fait des organisations, nous en sommes devenus membres et nous nous sommes établis tout bonnement comme les autres. Et aujourd'hui... Nous avions l'habitude de dire : " Ces vieux baptistes froids et formalistes! " Mais aujourd'hui, c'est un baptiste qui dit : " Les pentecôtistes froids et formalistes. " C'est vrai. C'est tout à fait vrai. Les pentecôtistes sont devenus plus formalistes que les baptistes. Oui, oui. Nous y sommes donc.

72        Ce dont nous avons besoin, c'est d'un bon réveil à l'ancienne mode qui secoue toute cette contrée, qui ramène les hommes et les femmes à Dieu. Eh bien, l'église était dans une meilleure condition pour la Venue de Jésus, il y a quarante ans (jadis quand on avait la véritable Pentecôte parmi les gens), qu'elle ne l'est aujourd'hui.

            Mais aujourd'hui, nous avons affaibli notre voie et nos chaires se sont affaiblies, au moins à la quatrième ou cinquième génération de petits prédicateurs de séminaire qui se sont infiltrés avec une chevelure bizarre, vous savez, ou que sais-je encore. Je ne dis rien à ce sujet, parce que je n'en ai pas, mais cela ne fait pas... Mais ce que je veux dire, c'est qu'ils en sont arrivés au point où, on dirait, Dieu avait des petits-enfants. Dieu n'a pas de petits-enfants.

73        Vous savez, les méthodistes... Si vous êtes un méthodiste et que vous êtes né de nouveau, vous êtes un fils de Dieu. Mais qu'est-ce qu'on trouve ? Wesley vient et la première génération dee méthodistes, c'était bien ; à la deuxième, ils commencent à faire entrer leurs enfants. C'est ce que les pentecôtistes ont fait.

            Il y a quelques années, on avait la véritable Pentecôte, les hommes et les femmes s'agenouillaient à l'autel et payaient le prix, allaient jusqu'au bout, frère, et ils menaient la vie. Oui, oui. Eh bien, qu'ont-ils fait ? Ils ont fait entrer leurs enfants, ils les ont fait asseoir dans des rangées, ils les ont consacrés dans l'église, et ces derniers étaient devenus pentecôtistes. Ce sont des petits-enfants. Il n'y a pas de passage dans la Bible où Dieu ait eu des petits-enfants. Il n'est pas un grand-père ; il est Dieu. Il est un Père. Alléluia ! Chaque homme et chaque femme, peu importe...?...vous, ou combien votre père et votre mère ont été bons, il vous faut avoir la même expérience de la nouvelle naissance et du remplissage du Saint-Esprit, si vous vous attendez à être un fils ou une fille de Dieu. C'est vrai.

74        Rien que le mot pentecôtiste  ne vous sauvera pas. La Pentecôte n'est pas une organisation. La Pentecôte est une expérience pour " quiconque veut, qu'il vienne boire à la Fontaine des eaux de la Vie. " Amen. Eh bien, c'est vrai, ami. C'est sassafras comme cela... Avez-vous des sassafras par ici ? Très bien, vous savez ce que je veux dire.

            J'ai dit cela une fois, quelqu'un a demandé... quelqu'un m'a écrit des lettres, disant : " C'est quoi sassafras ? " Très bien. Mais vous ici, vous savez ce que c'est. Oui, oui. Oh ! mais frère, je vous le dis, cela-cela vous redressera. Cela va-cela vous amènera à vivre correctement. C'est vrai. Agenouillez-vous là, et restez-y jusqu'à ce que ça soit terminé, mettez-vous en ordre avec Dieu. Oui.

75        Et à l'époque, Siméon était... avait cette promesse-là ; il la croyait de tout son coeur. Jésus était né à Bethléhem de Judée. Les mages étaient venus, on n'avait pas de journaux. Et, huit jours plus tard, la mère était venue au temple pour offrir des tourterelles et des pigeons pour la purification, la circoncision de l'enfant. Et maintenant, voici venir Jésus.

            Maintenant, pour terminer, voici venir Jésus, c'est pour Lui la première fois d'être au temple, dans les bras de Sa petite mère. On me raconte que ce dont Il était emmailloté, c'était le vêtement que l'on mettait au dos du joug d'un veau, ça pendait dans l'étable. Et alors, nous pouvons porter un manteau de vison de     cinq cents dollars, lever notre nez, de façon à nous noyer s'il pleuvait, et nous pensons être quelqu'un.

            Alors que notre Sauveur, le Dieu du Ciel, vint et fut emmailloté :  " Les renards ont des tanières et les oiseaux ont des nids, mais le Fils de l'homme n'a pas où reposer Sa tête. "

            Et alors, nous pensons être quelqu'un. Nous pouvons conduire une voiture meilleure que celle des voisins et laisser nos enfants crever pratiquement de faim, pour l'acquérir, aussi avoir une meilleure télévision ou quelque chose comme cela ; rester à la maison le mercredi soir, ne pas aller à la réunion de prière, laisser l'église vide pour suivre Nous aimons Suzy  ou quelque chose comme cela qui passe, ce non-sens à la télévision. Cela montre le niveau de votre amour pour Dieu.

76        Je vais vous le dire, frère, c'est... ce dont nous avons besoin, c'est d'un réveil. C'est tout à fait vrai. C'est ce dont cette nation a besoin, revenir à Dieu. Oui, oui. Quand vous-vous vous présentez... Vos actes prouvent ce qu'il y a ;  les actes des gens le prouvent, tout à fait. Si vous aimez le monde ou les choses du monde, la Bible dit que l'amour de Dieu n'est même pas en vous. C'est vrai.

            Oh ! Vous adhérez à l'église ; c'est bien. Mais ceci est une chose, ce dont nous parlons. Vous n'y adhérez pas, vous y naissez. Ça fait cinquante et un ans que je suis dans la famille Branham, on ne m'a jamais demandé d'adhérer à cette famille-là. Pourquoi ? J'y suis né. Je-je suis un Branham par naissance. C'est ainsi qu'on devient chrétien : on entre dans l'église du Dieu vivant par naissance. On devient chrétien par naissance.

77        Eh bien, Jésus entra au temple... Je peux me représenter ces mères de l'époque, vous savez, elles sont toutes là, avec les petits enfants en petits chaussons, portant des vêtements tricotés, vous savez, tout faits, de petites couvertures avec fantaisie, et les femmes de la haute classe, vous savez,  parlant de... Et tout d'un coup, vous savez, la petite Marie arrive, portant ce petit enfant emmailloté (voyez ?), emmailloté d'un vêtement provenant du joug d'un veau. Elle est passée, je peux entendre certaines d'elles dire : "...?... Regardez-moi ça. Regardez cette sainte exaltée. " Ou, vous savez, ce que je... peut-être que c'est faux. Voyez ? Mais j'ai dit...

            Elles ont dit : " Regardez cette femme-là. Savez-vous quoi ? Elle a épousé... Cet enfant-là est né en dehors du mariage ? Ne me le dites pas. Il n'y a pas de fumée sans feu. Oui, oui. Je vous le dis, mes amis, c'est tout ce qu'il en est. Je vous le dis, c'en est une. Vous feriez mieux de la surveiller. (Voyez ?) Gardez votre distance d'elle. "

            C'est ainsi que les croyants tièdes cherchent à agir vis-à-vis du vrai croyant : " Oh ! il a perdu la tête, il a piqué une crise. Il y a quelque chose qui cloche. Et je... Il se confie en Dieu pour ce...?... " Il a dit : " Oh ! les jours des miracles sont passés. La guérison divine n'existe pas. " D'accord.

78        Mais dans son petit coeur, Marie savait à qui appartenait cet Enfant. Elle le savait. Et de même, chaque homme né de l'Esprit de Dieu sait où il se tient. Il connaît la révélation et qui lui donne cette révélation. Cela... Paul a dit : " Je ne suis pas allé chez vous, vous prêcher avec des discours persuasifs de l'homme, afin que votre sagesse... et que votre foi repose sur la sagesse d'homme, mais je suis venu vous prêcher la puissance du Saint-Esprit. "...?...C'est ça, frère, c'est clair et simple, assez clair pour être cru, c'est tout. Dieu l'a dit et c'est réglé. C'est-c'est tout.

            Elle savait à qui appartenait cet Enfant, peu importe ce que les autres... Je peux les voir dire : " Eh bien, gardez votre distance. Ne vous approchez pas d'elle. N'ayez rien à faire avec elle. Elle est... Tenez-vous bien loin d'elle. " Elle ne se souciait pas de ce qu'elles faisaient cela ou pas, ça ne changeait rien pour elle. Elle savait à qui appartenait cet Enfant. Elle savait Qui c'était. C'est vrai.

79        Vous savez quoi ? Quand vous recevez le Saint-Esprit, vous savez ce qui vous est arrivé ; vous étiez là. Vous savez d'où Cela est venu. Cela n'est pas venu d'un séminaire ou d'un cimetière, ou... Cela est venu-cela est venu de Dieu. Eh bien, ces deux endroits sont pareillement des lieux des morts, ainsi donc...?...ainsi donc.

            Elle savait d'où venait cet Enfant. Elle n'a fait qu'observer et elle a dit : " Oui, oui. " Elle savait, elle a continué à marcher comme cela, sans faire cas, parlant à son Enfant. Elle n'avait pas le temps de s'affilier à toutes leurs-leurs associations. C'est ça le problème de notre église aujourd'hui ; elle a l'association des dames, l'association des hommes, telle société, le base-ball, les soupers de soupe et tout le reste. Et on a laissé tomber les réunions de prière, vous savez. Plus... Et le Saint-Esprit a promis qu'Il ne scellerait que ceux qui soupiraient et pleuraient à cause des abominations qui se commettaient dans la ville. Amen.

80        Membres du clergé, pouvez-vous désigner du bout des doigts dix personnes ce soir, dans cette ville, qui soupirent et pleurent nuit et jour, à cause des méchancetés et autres qui se commettent dans la ville ? Y a-t-il quelqu'un dans cet auditoire qui connaît cinq personnes que l'on peut désigner du doigt, qui soupirent et crient nuit et jour à cause des péchés et tout qui se commettent dans cette ville ? Eh bien, alors, la Bible dit : " Marquez ceux qui soupirent et pleurent à cause des abominations qui se commettent dans la ville. " C'est vrai. C'est ça. Voyez ? Il n' y a plus de fardeaux pour des âmes perdues ; c'est fini.

            Nous avons-nous avons adhéré à l'église et nous nous sommes établis : " C'est tout ce qui est nécessaire. " Voyez ? C'est ainsi que nous recevons... C'est si ... Le péché est si sournois, ça vous attrape de façon sournoise avant que vous vous en rendiez compte. Voyez ? C'est ainsi qu'il s'y prend. Ça vous prend comme le faisait l'ancienne glissade toboggan, et cela vous a eus. C'est ce que le diable fait.

            Eh bien, frère, retirons-nous directement de son territoire ; retournons à Dieu ; retournons à l'autel, rebâtissons une fois de plus l'autel qui a été détruit ; et rebâtissez votre foyer. Enlevez de la table ces cartes de la table, et tous ces vieux magazines d'histoire d'amour. Ouvrez la Bible, lisez la Bible et priez. Ne vous agenouillez pas juste pour dire : " Bénis ma famille, Marie, Joe, John, et eux tous ", vous sautez au lit. Non, non. Restez là avec Dieu. Oh! la la !

81        Vous connaissez cette chanson qu'on chantait : " Des fois, j'aime me tenir tout seul avec Christ, mon Seigneur. Je peux Lui raconter tous mes ennuis, en étant tout seul. C'est ce dont nous avons encore besoin. C'est ce que...  Ce genre de réunions, ce genre d'église, c'est le genre d'église qui fait descendre les bénédictions de Dieu par la prière. Je suis sûr que votre pasteur appréciera chaque membre qui devient ainsi. Comment, il... Et oh! ce que cette église serait si seulement elle devenait ainsi.

            Alors, elle s'avance avec cet Enfant. Eh bien, voilà Christ au temple. Très bien. Si Christ est au temple et que Dieu a révélé à Siméon que c'était... qu'il Le verrait, le Christ, avant de mourir... Eh bien, je pense, si Christ est au temple, il est temps que le Saint-Esprit se mette à l'oeuvre sur Siméon. Ne le pensez-vous pas ?

82        Imaginons-nous que c'était le lundi matin. Eh bien, combien de petits enfants naissaient ? Il y avait à l'époque environ deux millions et demi de gens en Israël. Et je pense qu'il y avait au moins des centaines d'enfants qui naissaient chaque soir ; et tous les huit jours, ils devaient être circoncis, et on faisait l'offrande de purification. Très bien. Les voilà là, on est le lundi matin. Tout... Siméon est derrière, dans un bureau, en train de lire les rouleaux. Voyons. Il prend Esaïe et se met à lire jusqu'à Esaïe 9. 6 : " Un Enfant nous est né, un Fils nous est donné, on L'appellera Conseiller, Prince de la paix, Dieu puissant, et Père Eternel, la domination reposera sur Son épaule. Et le... " Oh! qui ça pouvait être ? Vers ce temps-là, le Saint-Esprit a dit : " Siméon, lève-toi. "

            " Lève-toi. "

            " Que veux-Tu que je fasse ? "

            " Lève-toi simplement. "

            " Eh bien, où vais-je aller ? "

            " Non, non, lève-toi simplement. C'est tout ce que Je veux que tu fasses. "

            C'est ainsi que Dieu veut que nous agissions : Faites exactement ce qu'Il dit. C'est ce qu'il vous faut faire cette semaine. Quand Dieu parle, agissez. Faites-le. Il dit : " Allez voir Untel pour qu'il vienne à l'église. " Agissez. Faites-le.

            " Lève-toi ; c'est tout. "

            " Me voici. Quelle est la prochaine chose ? "

            " Mets-toi en marche. "

            "Vers où ? "

            " Marche, c'est Moi qui te conduis ; toi, marche. " Voyez ?

83        Le voici venir. Je le vois venir en se posant des questions : " Eh bien, je sais que c'est le Saint-Esprit, parce qu'Il m'a parlé auparavant. " Vous savez ce que je veux dire, n'est-ce pas ? Croyez-vous que les fils de Dieu sont conduits par l'Esprit de Dieu ? Ils-ils le sont. Voyez ? Le voici venir, marchant, traversant le temple, sans savoir où il va, juste conduit par le Saint-Esprit. Eh bien, il s'avance, il traverse des milliers de gens, partout. Il atteint ici cette ligne de la circoncision des enfants, il s'avance, parcourt cette ligne.

            Il voit cette petite femme que tout le monde tient à distance. Il s'avance. Le Saint-Esprit commence à faire battre son coeur très vite, vous savez. Oh ! Il vous conduit vers la promesse. Oui. S'Il vous donne la promesse et que vous croyez dans la guérison divine, Il vous conduit  droit vers là. Si vous croyez au baptême du Saint-Esprit, Il vous conduit droit vers là. Voyez ? Là où elle se trouve, c'est là qu'Il vous conduit. Eh bien, il L'a ici même, à côté. Siméon tend la main, prend cet Enfant des bras de Sa mère, lève ses mains et dit : "  Ô Dieu, Tu laisses Ton serviteur s'en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut. "

84        Là loin, dans un coin, une vieille femme aveugle, du nom d'Anne... C'était une prophétesse. Anne était une prophétesse. Elle était aveugle pendant des années. Elle était assise là, elle aussi attendait la consolation d'Israël et y croyait. Elle croyait que ce Prophète viendrait. Et elle croyait. Elle était assise là, et le Saint-Esprit a dit : " Anne, lève-toi. " Ceux qui sont spirituels sont toujours conduits, vous le savez, au temps convenable. " Lève-toi, Anne. "

            Et voici venir cette vieille femme aveugle : " Excusez-moi, monsieur. Excusez-moi, madame. Je suis désolée. "  Conduite par le Saint...

            " Où allez-vous, Anne ? "

            " Je ne sais pas.  Je suis simplement conduite. "

            Tout d'un coup, vous savez, elle arrive là même où se tient Siméon, qui disait : " Seigneur, Tu laisses Ton serviteur s'en aller en paix. " Elle aussi, avec le Saint-Esprit sur elle, se met à prophétiser sur cet Enfant.

85        Oh ! Frère, soeur, si le Saint-Esprit a pu conduire une femme aveugle dans ce genre de...?... à combien plus forte raison devrait-Il nous conduiremême si nous devenons aveugles ? Laissez-Le nous ramener à la Fontaine !

            Il y a une fontaine remplie du sang,

            Tiré de veines d'Emmanuel

            Les pécheurs plongés  sous ce flot

            Perdent  toutes les taches de culpabilité.

            Croyez-vous cela ? Que Dieu vous bénisse. Vous attendez-vous à ce que quelque chose se passe ? Mon temps est terminé. Eh bien, vous êtes une aimable assistance, je peux encore vous parler pendant une heure, mais mon temps est terminé. Et attendons-nous à ce que Dieu nous accorde un grand réveil. Allez-vous-allez-vous vous joindre à moi dans la prière à-à cette fin-là ? Allez-vous le faire ? Inclinons donc la tête.

            Maintenant, frères prédicateurs, je sais que vous tous, vous vous attendez à cela. Nous sommes ici pour travailler ensemble comme une unité de Dieu. Ne laissez rien faire obstacle maintenant. Eglise, nous sommes ici pour travailler avec vous. Vous tous, membres des Assemblées de Dieu, Eglise de Dieu, Pentecôtistes Unis, quoi que vous puissiez être, la marque que vous portez nous importe peu. Nous croyons simplement-simplement que Dieu le fera. Joignons-nous ensemble maintenant, d'un commun accord.

86        Notre Père céleste, ces mots entrecoupés et ce petit discours, c'est juste pour ainsi débarrasser Ton Eglise de toute peur et de tout empesement, juste pour briser cette terre en jachère afin de poser un fondement ici, ou plutôt, pas poser un fondement, mais construire sur le fondement qui a été déjà posé, Jésus-Christ. Ces gens ont appris au cours des années à croire que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est le même hier, aujourd'hui et éternellement.

            Père céleste, je prie que comme nous unissons nos coeurs ainsi que nos prières ensemble... La Bible dit au chapitre 4 de, je pense, des Actes des Apôtres, que quand les gens étaient assemblés et qu'on leur avait fait le rapport,  ils ont ensuite prié d'un commun accord, et le bâtiment a tremblé, le lieu où ils étaient assemblés, et ils ont apporté la Parole de Dieu avec hardiesse.

            Ô Dieu, nous allons ici aujourd'hui avec ce merveilleux Nom collé sur nous, comme croyants pentecôtistes, témoignant que nous sommes nés de nouveau du Saint-Esprit et que le Saint-Esprit nous conduit. Puis, Seigneur, de voir l'église s'affaiblir, déchoir, s'écrouler, et, ô Dieu, quelle-quelle condition ! Revigore-nous, Seigneur. Envoie Ton Saint-Esprit sur nous et apporte le rafraîchissement, les gouttes de la miséricorde d'En-Haut.

            Ô Dieu, réveille notre-notre-notre communauté ici, réveille toute la  ville. Réveille les églises des alentours, réveille les méthodistes, réveille les baptistes,  réveille-les tous, Seigneur. Et, ô Dieu, puisse cela commencer ici même dans cette assemblée. Puisse-t-il y avoir un grand réveil et un grand éveil parmi nous, Seigneur, jusqu'à ce que le Saint-Esprit s'empare de nos coeurs, nous taille en pièces et nous presse pour faire sortir de nous la-la précieuse onction dont Il veut que notre église soit ointe. Accorde-le, Seigneur.

87        Bénis-nous maintenant. Pardonne-nous nos péchés, nos manquements. Ô Dieu, qu'il n'y ait pas un malade qui assiste à cette série de réunions et qui manque d'être guéri. Accorde-le, Seigneur. Qu'il n'y ait pas une seule personne pécheresse, ou incroyante, qui vient donc à cette série de réunions et qui manque d'être sauvée. Accorde-le, Seigneur.

            Que les anges de Dieu aillent à chaque église de cette contrée, partout, dans des bars, et-et convainquent les pécheurs. Et que les chrétiens aillent  témoignant, disant : " Venez voir. Venez voir. Nous n'avons jamais vu pareille chose. " Accorde-le, Seigneur. Qu'un grand bruit se répande dans toute cette contrée et que Dieu en tire gloire. Accorde-le, Père.

            Bénis Tes précieux bergers ; je le demande une fois de plus, ici derrière, ils sont ici debout sur l'estrade ; certains, je ne les ai jamais vus de ma vie. Mais, Seigneur Dieu, ils se tiennent ici pour témoigner qu'eux aussi sont des croyants. Ils sont ici pour-pour accomplir leur part, pour s'atteler à la tache. Nos coeurs brûlent du désir, Seigneur, de voir l'Esprit de Dieu agir parmi nous. Accorde-le. Fais-le pour nous, Père. Nous nous confions à Toi au Nom de Christ, nous le demandons pour Sa gloire.

88        Maintenant, que ceux qui sont malades et nécessiteux ici lèvent la main maintenant même ; levez juste la main. Très bien. Je veux que vous vous imposiez la main les uns aux autres ; imposez-vous juste la main les uns aux autres maintenant. Certains... Maintenant, ne priez pas pour vous-même. Priez pour la personne à qui vous imposez la main, elle prie pour vous. J'aime ça : " Tout est possible " [Le pianiste joue Crois seulement. -N.D.E.]

            Maintenant, c'est dans nos coeurs, pensons-y donc. Je peux voir un groupe de disciples autour d'un jeune garçon souffrant d'épilepsie. Je peux entendre André dire : " Reculez, mes gars. Je-je vais vous montrer comment je m'y étais pris à Capernaüm. Quand j'avais chassé l'épilepsie là-bas, voici comment je m'y étais pris. " Mais ça n'a pas marché.

            Simon Pierre a dit-a dit : " Eh bien, maintenant, voici comment je m'y étais pris là à Joppé. Je vais vous montrer comment je m'y étais pris là-bas. " Et ça n'a pas marché.

89        Mais il leur est arrivé de voir Quelqu'Un descendre la colline, Quelqu'Un marchant lentement, peut-être pas un Homme élancé. Il est dit : "Il n'avait pas de beauté pour attirer notre regard. " Mais Il avait quelque chose.

            Et le père de cet enfant a accouru vers Lui et a dit : " Seigneur, aie pitié de mon fils. Il est dérangé de diverses manières par un démon. Je l'ai amené à Tes disciples et ils n'ont pas pu le guérir. "

            Jésus a dit : " Je le peux, si tu crois, car tout est possible à celui qui croit. " Il a dit : " Seigneur, je crois. Viens au secours de mon incrédulité. "

90        Ce même Homme, notre Sauveur, en quittant le monde, a prononcé Ses dernières Paroles : " Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. " Le dernier miracle dont Il a parlé, c'est : " Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. "

            Maintenant, il y a là un croyant qui vous a imposé les mains, un croyant qui croit dans la guérison. Jésus a fait cette déclaration : " Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. "

            Maintenant, croyez de tout votre coeur, ne doutez pas, le... et votre prière de foi. Alors, celui qui est... à qui vous avez imposé la main prie pour vous. Maintenant, croyez.

91        Notre Père céleste, nous imposons les mains aux malades et aux affligés par la foi, et nous demandons que Ta grâce et Ta miséricorde pourvoient à tout ce dont ils ont besoin. Ils prient, Seigneur, comme ils le font dans leurs églises. Ils T'aiment et croient en Toi. Et je Te prie, Père céleste, de tout mon coeur, de briser toute chaîne d'incrédulité, de chasser chaque mauvais esprit ; puissent-ils ne pas être capables de résister dans cette salle, Seigneur. Chasse-les. Qu'il n'y ait maintenant, dans chaque coeur, que la foi pure et sans mélange en Dieu.

            Que le diable soit vaincu dans nos vies. Et nous savons qu'il est vaincu, parce qu'il est un être vaincu. Et, Satan, je me tourne maintenant vers toi, pour te dire ceci, que tu es vaincu. Tu n'as pas peur de nous, mais tu as peur de Celui dont nous parlons. Tu as perdu toute la puissance que tu aies jamais eue. Tu as été vaincu au Calvaire.

            Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a vaincu chaque ennemi. Il a vaincu toute maladie, toute mort, le séjour des morts et la tombe. Et Il a remporté chaque victoire qui ait jamais été remportée. Et tu n'es qu'un bluffeur, et nous repoussons tes bluffs ce soir. Lâche ces gens, au Nom de Jésus-Christ. Ils ont obéi pleinement et ils s'attendent à être guéris. La puissance de Dieu est ici. Les croyants ont leurs mains les uns sur les autres.

92        Satan, quitte ces gens, sors d'eux, au Nom de Jésus-Christ, tu as perdu la bataille. Et ils seront guéris, parce que Dieu l'a dit. Dieu l'a promis. Nous nous y attendons. Et nous allons au Trône du Calvaire, car Satan est vaincu et Dieu a la prééminence. Nous savons que c'est vrai, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ ; qu'il en soit ainsi, pour la gloire de Dieu.

            Maintenant, restez simplement enfermés avec Dieu. Continuez simplement de croire maintenant, de tout votre coeur : " Seigneur, je crois que Tu m'as guéri maintenant même. Je crois, parce que j'ai imposé la main à cet homme-ci ; il m'a imposé la main ; à cette femme, elle m'a imposé la main. J'ai été conduit à le faire. J'ai été conduit à imposer la main à cette personne. Elle a été conduite à m'imposer la main. Le même Saint-Esprit qui a parlé à Siméon, lui faisant la promesse, m'a conduit à faire ceci pendant que nous sommes ici même, à cet endroit, pour la guérison divine. Maintenant, je crois, Seigneur. Satan, tu ferais tout aussi mieux de t'éloigner de moi maintenant même, parce que je prends... Je suis une postérité d'Abraham par Jésus-Christ et je prends la prééminence. "

            Continuez simplement à croire cela de tout votre coeur, pendant que je demande à l'un de nos pasteurs ici, l'un-l'un des frères ici, s'il vous plaît ; veuillez venir offrir une prière. L'un - l'un des pasteurs ici, venez prendre la relève du service, l'un de vous ici. Très bien, monsieur. Jusqu'à ce que...

93        Auditoire, restez enfermés avec Dieu juste quelques instants. J'aimerais vous demander maintenant... alors que vous enlevez vos mains les uns des autres, et que vous dites : " Je crois et je Le reçois maintenant même comme mon Guérisseur. Et peu importe ce que Satan essaie donc de me dire, je vais croire que Dieu me guérit. "

            Levez la main et dites : " J'accepte cela maintenant. " Levez la main. Que Dieu vous bénisse. C'est ainsi qu'il faut s'y prendre. Gardez ce genre de foi, et vous verrez infiniment au-delà de tout ce que vous pouvez même faire ou penser. Jusqu'à ce que je vous revoie demain soir, voici le pasteur. Que Dieu vous bénisse.

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