Le son incertain

Autres traductions de ce sermon: Le Son Confus - Shp
Date: 60-1218 | La durée est de: 2 heures 51 minutes | La traduction: MS
doc pdf mp3
Voir le texte français seulement Voir le texte anglais seulement

1     Bonjour, les amis. Je suis de nouveau si heureux d’être à l’église ce matin, après avoir passé la semaine à remettre à tout instant au diable mon rhume. Vous savez, chaque fois qu’il voulait me le donner, je le lui refilais. Et on est encore à se battre. Je suis simplement déterminé à ce qu’il le garde, voyez. Chaque fois qu’il me le donne, je le lui refile. Il me le donne, et je lui refile. Enfin, il sait comment faire, vous savez, il a du métier. Mais on l’a finalement épuisé, ou plutôt, on a épuisé sa patience, comme je l’ai expliqué l’autre soir.

2     Quelqu’un pour qui j’avais prié m’a dit: «Le diable m’a dit que je n’étais pas guéri.» Il a dit: «Je voyais bien que tous mes symptômes persistaient.» Et il a ajouté: «Puis j’ai dit: Satan, c’est vrai, je ne me sens pas mieux. Mais tu sais quoi? Je vais continuer à témoigner de toutes mes forces pour la gloire de Dieu, jusqu’à ce que mes symptômes s’en aillent. Mais si tu veux rester à mes côtés et m’écouter témoigner, t’as beau.»

3     C’est là une vraie foi. Témoigner à la gloire de Dieu! Parce que «la foi est l’assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas». Vous voyez? On ne voit pas la foi. Vous croyez, c’est tout.

4     Et cette semaine, j’ai été pas mal occupé à la maison. Lundi, en effet, il y en a eu, je pense, pas moins d’une trentaine. Et puis ça a été toutes mes entrevues et ce qui va avec ça. Ça a été une semaine très occupée.

5     Et j’ai aussi appris quelque chose. J’ai un ami ici en ville, c’est un très chic type. Il est médecin. Lui et moi, on allait à la même école; il s’agit du Dr Sam Adair, et c’est un homme tout simplement sympathique. Et je ne l’avais pas vu depuis environ quatre ans; et cette semaine on s’est entretenu pendant trois ou quatre heures. On est allé à son bureau, on a verrouillé derrière nous, et on a discuté.

6     Et je lui racontais des choses que j’avais découvertes, en rapport au spirituel, sur les puissances du mal et leurs façons de s’introduire. Lui m’en donnait le diagnostic en termes médicaux. Et c’était étonnant de voir l’exactitude des deux rapports!

7     Donc, il me parlait d’un certain mucus qui pénètre dans l’être humain, d’où l’homme n’a pas à transporter le rhume, disons, ou autre chose. Ce n’est qu’un mucus qui pénètre, et ensuite ce mucus produit le germe.

8     J’ai dit: «Eh bien, si le mucus produit le germe, alors j’aimerais savoir d’où vient la vie du germe.»

9     Alors il a dit: «Eh bien, nous ne sommes évidemment pas au courant de ces choses. On ne sait tout simplement pas.»

10     On attrape froid, ou quelque chose comme cela, et ce germe-là se transforme. Il a un moyen de se multiplier, et il ne cesse de produire des germes de ce mucus, je pense. Un docteur ou une infirmière aurait une meilleure compréhension de tout cela.

11     Mais ce qui m’intéressait, et sur quoi je fixais mes pensées, c’était ce qui touchait à ce germe proprement dit, à la vie de ce germe. À l’intérieur de ce petit bouchon qui ressemble à une petite capsule, si menue que l’œil ne peut la voir, mais à l’intérieur de cette minuscule chose que seul un puissant microscope peut voir, à l’intérieur se trouve une vie. Qu’est-ce qui fait que cette vie s’empare de ce mucus et l’enveloppe, et produise cette capsule, voyez-vous, ou ce germe? — C’est le diable. C’est une puissance spirituelle. Ça, ils ne seront jamais capables de le voir. Ils sont parvenus à voir ce qui est encore plus infime qu’une molécule, ce petit globule, et ainsi de suite, et cette petite muqueuse qui ne peut être aperçue que par un puissant microscope. Et puis (mais) ils ne peuvent voir au delà de cela, parce qu’il n’y a pas de substance palpable sur laquelle se poser.

12     Il y a des gens debout … Charlie, j’aime donc pas te voir debout… et David et Rodney, et vous tous là. Vous prenez tellement bien soin de moi quand je vais chez vous. Et je ne peux pas vous donner une place assise dans la maison de Dieu, oh! Mais je vais vous dire ce que je vais faire. Si vous veniez ici, celle-ci est à moi. Montez ici, et sentez-vous chez vous. Si l’un d’entre vous veut venir prendre cette place, c’est libre. Vous êtes plus que les bienvenus.

13     C’est une bonne chaise. Au fait, ce n’est pas à moi, c’est à M. Wilson, le directeur d’école. Je l’ai depuis 1937; c’est la plus vieille, quoi!

14     Il était ici il n’y a pas longtemps, et il m’a dit: «Hé, t’as encore mes chaises?»
    J’ai dit: «Je m’assois toujours dessus juste avant de prêcher.»
    Et il a repris: «Eh bien, faut dire qu’elles sont entre bonnes mains.»

15     Vous êtes les bienvenus. Il y a une place ici. Et puis si vous voulez venir ici où sont assis les enfants… Faudrait pas que cela vous embarrasse maintenant; on ne vous prendrait pas pour un jeune enfant, vous n’en êtes pas un. Ici aussi il y a une place. Et il y en a une autre là. Comme ça vous serez capables, particulièrement quelques-unes des dames qui sont là… C’est gentil de rester debout comme ça. Merci. On aimerait que vous veniez vous asseoir ici. Ce serait très bien.

16     Et Charlie, je pensais que t’étais venu par ce côté-ci. Je passe mon temps à le taquiner. Je lui ai dit: «Monte à l’église.» J’essayais de le faire venir ici me visiter. Et puis je lui ai dit: «Quand tu vas venir, je vais annoncer: ‘Ce matin, le docteur Charlie Cox va nous apporter le message.’ Et puis je vais me retirer.»

17     Il m’a dit: «Je vais m’évanouir.» [Frère Branham rit. — N.D.É.] Aussi, avant que je l’appelle, il s’est sauvé dans la pièce arrière, voyez.

18     Aussi, avant de commencer notre leçon, j’aimerais… Je pense que la semaine dernière le Seigneur nous a bénis. Avez-vous aimé le… [La congrégation dit «amen». — N.D.É.] Oh là là! Des mains levées partout! Même que ce Message est rendu en Californie. Hier soir, on appelait de là-bas, à ce sujet. Et là ils veulent se fixer et avoir la même chose en Californie, au mois de janvier prochain, vous voyez.

19     Le Saint-Esprit semble simplement frapper du même coup là-bas à Shreveport. Et ça va d’un lieu à l’autre, comme cela. C’est l’heure de la révélation.

20      Aussi nous nous réjouissons et sommes pleins de confiance, de voir notre propre groupe, ici, du Tabernacle, qui prospère grandement par ceci, en voyant la manifestation de Dieu parmi nous. Nous nous en réjouissons, et nous croyons que nous sommes à cette heure glorieuse où l’Église est appelée à sortir et à mettre les choses à l’ordre.

21     J’ai découvert quelque chose, pendant que je discutais avec mon bon ami, Dr Adair, à son bureau. Il a dit… on parlait de différentes choses concernant les rayons X, les mauvais rhumes et les différents germes; il fouillait dans ses livres et me montrait à travers eux ce qu’ils avaient découvert. Il a dit: «Je vais te dire, Billy, pour un rhume, et pour bien des choses de ce genre, on n’a rien pour ça.»

22     J’ai dit: «J’ai toujours pensé que lorsqu’on a la gorge irritée, d’utiliser un liquide pour se gargariser…» J’ai dit: «Après une prédication, quand je reviens à la maison, j’ai la gorge un peu enrouée, et je me verse du Lavoris, et je me gargarise.» J’ai dit: «On utilise ce rince-bouche depuis des années à la maison.»

23     Il a dit: «Une eau fraîche ferait tout aussi bien l’affaire.» Vous voyez? Il a dit: «Parce que, ne va jamais croire qu’un rince-bouche peut te faire du bien, parce que tout ce qu’il pourrait faire serait de te débarrasser des germes qui sont dans ta gorge. Ça n’atteindrait pas les veines. Si c’était le cas, ça ferait éclater ta gorge et tu aurais une hémorragie. Tu vois?» Il a dit: «Non, ça ne peut pas t’aider.»

24     Ainsi le vieux dicton revient à nouveau: Le médicament est fait pour être vendu, pas pour être pris. [Frère Branham rit. — N.D.É.]

25     Et, après tout… je l’ai lu aussi des livres de médecine que j’ai à la maison… Je suis intéressé par la médecine, certainement; en tout ce qui peut aider le peuple de Dieu, aider l’être humain. Si c’est la paix, en étudiant des termes se rapportant à la paix, je suis intéressé en cela. Je suis intéressé d’avoir une meilleure communauté dans laquelle vivre. Je suis intéressé d’avoir de meilleures écoles où envoyer nos enfants. Je suis intéressé dans tout ce qui est bon, sain et droit.

26     Et la médecine a fait de grandes choses. Je crois que Dieu l’a utilisée dans bien des situations. Je crois que si nous étions plus sincères et plus consacrés à Dieu, ils y auraient déjà des remèdes contre les cancers et tout le reste. Dieu a le remède, si seulement nous le Lui demandions. Vous voyez, Lui demander. Et je crois que la raison pour laquelle le vaccin Salk a été trouvé, c’était de voir des petits enfants souffrir comme ils souffraient. Et Satan, cette méchante chose aux aguets, paralysait ces petits enfants et tout. Et Dieu a permis qu’il soit découvert, pour le traitement de la maladie. Cela a été d’une grande importance, et pour laquelle nous sommes reconnaissants au Dieu Tout-Puissant. Nous  sommes simplement si reconnaissants que Dieu nous ait ainsi bénis!

27     Et, frère, où… Il ne s’en retourne pas chez lui, n’est-ce pas, sœur Nash? [Sœur Nash dit: «Non. Il va chercher quelques chaises. — N.D.É.] Oh, c’est très bien, très bien.

28     Maintenant, quand je suis revenu à la maison, je me suis assis dans une pièce et j’ai étudié longuement. «Qu’est-ce que tout cela?», me suis-je demandé. Je vais vous en parler un peu, sur ce que j’étudie, pour que vous étudiez avec moi. Et le Seigneur… Quand nous étions dans la pièce, je considère que c’était bien Lui, en raison des grandes expériences que j’ai eues avec Lui.

29     Mais savez-vous qu’après que le docteur m’eût dit cela, et qu’il me l’eût montré d’un bout à l’autre des livres de médecine, des choses que je sais qu’ils viennent à peine de découvrir… Il y a un docteur parmi nous, ici, de toute façon, qui m’écoute. Maintenant ceci: la dernière et la meilleure trouvaille qu’il y ait pour un rhume… Ils n’ont pas de remède. Ils condamnent l’aspirine, et ainsi de suite; ça ne fait qu’apaiser le malaise qu’occasionne le rhume, mais ça ne touche pas le rhume en tant que tel. Ça vous aide toutefois à vous reposer. Et ce qu’il y a de mieux pour un rhume, c’est de se coucher et de dormir, de relâcher; de simplement s’étendre dans un lit, c’est à peu près ce qu’il y a de mieux à faire.

30     Là, ensuite, j’ai dû étudier. J’ai dit: «Dr Sam, alors ceci est ceci: pour un rhume, le mieux à faire c’est de se reposer?»
    Il a dit: «C’est ce qu’il y a de mieux pour tout.»

31     J’ai dit: «Eh bien merci, docteur, c’est joliment intéressant.» Puis nous avons discuté encore un peu, et je suis rentré à la maison. Je lui ai dit… Il aime le lièvre et l’écureuil. On avait l’habitude de chasser ensemble quand on était jeunes, de pêcher plus particulièrement.

32     Aussi quand je suis rentré, j’en suis arrivé à me dire: «Qu’est-ce?» Vous savez, j’ai remarqué les animaux. Quand un chien tombe malade, il va boire un peu d’eau, puis il va s’étendre quelque part. Eh bien, la conclusion m’est ensuite venue le lendemain, alors que j’étais encore au lit, en attendant que les enfants se lèvent. Ils se lèvent aux environs de 6 h 30, et moi vers les 4 h 30 ou 5 heures. J’étais couché, je réfléchissais. Souvent, Dieu révèle des choses… Vous savez, je n’enseigne pas ceci, mais saviez-vous…

33     L’homme, au commencement, quand Dieu l’a créé, Il ne l’a pas créé pour être traité par les médecins. Il avait cela en lui. Il était équipé. Il était lui-même une unité de soin. Voyez? Et puis la guérison ne vient d’aucune source extérieure; elle doit venir de l’intérieur. Maintenant, on peut recevoir une aide extérieure, pour tuer les germes ou toutes autres choses dans notre organisme. On peut avoir une greffe de la peau, ou l’ablation de l’appendice, ou l’extraction d’une mauvaise dent; mais la guérison ne vient pas d’une chose que l’on applique. La guérison ne vient que par la puissance qui est en vous, qui reconstitue à nouveau les tissus affectés. Et, par conséquent, la guérison est en vous. Maintenant, écoutez bien, et réfléchissez profondément avant de faire vos commentaires.

34     L’homme, au commencement, quand il a été créé, un homme est un dieu. Il est absolument un dieu, car il a été créé à l’image de Dieu, étant un fils de Dieu, et il est un héritier de tout ce que Dieu est. Et il lui a été donné un domaine, et ce domaine était la Terre. Vous avez la puissance sur les poissons, sur les oiseaux du ciel, et sur tout. Il parlait, et tout lui obéissait, parce qu’il était en lui-même un dieu; pas le Dieu universel, c’est-à-dire le Dieu des cieux et de la terre, mais il était un gouverneur sur son domaine. Il était un roi, un roi-gouverneur. C’était l’homme. Et même en ce moment, dans son état déchu, il en a encore l’apparence.

35     Il n’y a pas si longtemps, ils essayaient de faire des croisements, et ainsi de suite, et ils disaient que «l’homme venait d’animaux inférieurs et que par l’évolution il s’était mis sur ses pieds». Bon, vous voyez, ils en sont venus à démontrer la fausseté de leur propre théorie à force de jouer avec la science.

36     Il n’y a rien que vous puissiez croiser qui parviendra à une plus haute évolution; ça n’avancera à rien. C’est impossible. Du maïs hybride, ou toute autre chose, ne peut pas se reproduire. Ou comme je le disais l’autre jour, l’âne et la jument peuvent être accouplés et donneront un mulet, mais ce mulet ne pourra pas se reproduire. Cela doit revenir directement au commencement. Parce que Dieu a dit: «Que chaque semence produise selon son espèce.»

37     Maintenant, quand nous avons été créés… Récemment ils ont découvert que votre corps est plein de lumière. Le rayon X le prouve. Le rayon X ne possède pas sa propre lumière. Il emprunte de vous cette lumière. Vous naissez avec quatre rayons. Après un certain temps, disons vingt, vingt-cinq ans, un rayon disparaît; et à trente-cinq, un rayon disparaît, ou à quarante ans, un autre disparaît; et finalement, quand vous passez les soixante-cinq ans environ, vous vivez de votre dernier rayon. Et chaque fois qu’on vous prend un rayon X, ces rayons sont démolis. C’est pourquoi on a plus… vous mettiez les pieds de ces jeunes dans ces machines, et ça ne faisait qu’arracher les rayons de leurs petits corps. Et c’est de la lumière cosmique qui est en vous, dont vous êtes fait, plein de cellules de lumière. Ça c’est de la lumière cosmique.

38     Mais Dieu est d’une Lumière différente. Cependant Il est Lumière. Je pense maintenant à la photo, qui est une grande preuve de ce que je me prépare à dire, que Dieu est Lumière. Et quand nous marchions dans la Lumière de Dieu, comme fils de Dieu… Dieu n’est pas de la lumière cosmique, mais la Lumière de Dieu opérait à travers la lumière cosmique de nos corps, de nos cellules. Nous étions absolument, à un moment donné, de réels et authentiques fils de Dieu. Mais ensuite quand la chute est venue,…

39     Les fruits de l’Esprit aujourd’hui sont l’amour, la joie, la foi, la longanimité, la douceur, la gentillesse, la patience; tous surnaturels. C’est parvenu au point où tout le corps, graduellement…

40     Comme les algues que l’on trouve dans les fonds marins. Il arrive souvent que les plongeurs se prennent sous ses algues, et avant de s’en rendre compte, ils sont enveloppés de telle manière par ces algues qu’ils ne peuvent plus s’en déprendre.

41     Eh bien, c’est ce que le péché a fait de l’être humain. C’est ce que la froideur a fait de l’église. C’est ce que les communistes ont fait de la nation. C’est si sournois! Et puis ça a enveloppé le corps humain, et ça a poussé à l’extérieur cette Lumière de Dieu; par les dénominations et le reniement de la foi et ainsi de suite, cela a poussé à l’extérieur tous les rayons de la grande puissance de foi de Dieu, vous voyez, qui est en nous (qui devrait être en nous). Il a poussé à l’extérieur tous les rayons, au point que l’on ne s’en tient plus qu’à une loge. Et là, maintenant, c’est en deçà de la loge qu’on trouve l’église, parce que toutes les ténèbres font pression sur elle. Et on l’entendra même dire : «Ça ne se produit pas», niant que les miracles de Dieu peuvent se produire, vous voyez.

42      Et cependant, l’homme, quelque part au fond de lui, quelque part en lui, si seulement il laissait cette petite… Comme je l’ai illustré, comme un bouton. Quand un homme est sauvé, ce peu de lui est Dieu. C’est la petite Lumière qui entre, pour lui faire cesser ses mauvaises actions. Si maintenant vous pouvez ôter de lui toute la malice et l’envie, et les soucis et l’incrédulité, ce petit semblant de bouton de la Lumière et de la puissance de Dieu continuera à grandir, et grandir, et grandir, et grandir, poussant dehors l’incrédulité, faute de place. Et ce n’est pas par des exhortations… par l’exercice corporel. Vous le faites par une vie sanctifiée, consacrée, que le Saint-Esprit fait agir à travers vous. J’ai compris un peu de cela au point où, il n’y a pas longtemps…

43     Combien de vous se rappellent la fois où Elij’ Perry a été ressuscité des morts? Il y en a quelques-uns de ce côté-ci. Vous l’avez lu dans le journal, bien des fois. J’ai vu que sœur Wilson et d’autres avaient levé leurs mains. J’étais là quand l’homme est mort. Il reste pas loin d’ici à présent; il vient à l’église de temps à autre, et en témoigne.

44     Il est demeuré mort durant plusieurs heures. Il est mort d’hémorragies des poumons, et baignait dans son sang. Et je me suis éloigné; je n’étais qu’un jeune prédicateur en ce temps-là. Et sœur Jackson venait alors ici à l’église. Et la femme d’un prédicateur méthodiste… j’oublie le nom de son mari maintenant, Shafiner, frère Shafiner et sœur Shafiner, ils avaient un lien de parenté avec les Wiseheart. Elle était à son chevet, et je me préparais à partir. Le sang lui coulait de partout; il en était mort. Ses yeux étaient révulsés, et sa gorge était enflée. Et ils ont couvert sa tête d’un drap. Sa femme était là. Ils pleuraient, et ils tentaient de trouver des adresses, pour appeler les amis.

45     Et comme je m’éloignais du lit, j’ai senti quelqu’un poser sa main sur moi. Je croyais que c’était sœur Shafiner. Et quand je me suis tourné, il n’y avait personne près de moi. Cela m’a laissé quand je me suis tourné.

46     Et frère Elij’ était étendu là, mort. On avait été de très bons compagnons; on allait pêché ensemble à la rivière. Vous savez tout ce qu’on a fait ensemble. Et il s’est fait frapper, ici, sur une voie ferrée. Ça lui a écrasé les poumons. Il saignait; il saignait et a contracté la tuberculose, suite à cela, et il est mort.

47     Et comme je m’éloignais de ce côté, j’ai de nouveau senti cette main. Je me suis tourné, Il a retiré Sa main de moi.

48     Et avant de me rendre compte de ce que je faisais, j’étais étendu sur l’homme, mes lèvres contre ses lèvres. J’étais tout aussi plein de sang qu’il l’était, étendu sur cet homme; et j’implorais Dieu! Et j’ai senti quelque chose près de mon oreille, c’était sa main.

49     Et vous l’avez entendu ici même en témoigner, vous voyez. Et il est revenu à la vie. Ça se passait il y a environ vingt-cinq ans, ou peut-être trente; il habite là, dans la courbe. Il est venu en témoigner à l’église il n’y a pas longtemps.

50     Bon, c’est cette fois-là où le Canada a appelé pour savoir. J’en avais parlé au Canada quand j’ai commencé mes réunions. Ils ont téléphoné à M. Coots, l’entrepreneur des pompes funèbres, pour lui demander s’il n’y avait pas eu un homme qui était ressuscité au salon funéraire, qui était mort. J’ai encore les coupures de presse. Ils ont dit: «On a entendu parler de plusieurs miracles qui s’étaient accomplis.»  M. Coots avait répondu: «M. Branham est un ami personnel, et toutes sortes de choses se sont produites. Mais il n’est aucune mention d’une personne qui serait ressuscitée des morts, en particulier dans ce salon funéraire.»

51     Les Canadiens l’avaient mal interprété. Et le lendemain… eh bien, cela faisait les grands titres. Il a dit: «Des centaines de personnes ont appelé de partout.» Et frère Perry lui-même témoignait de la résurrection de son corps, et contestait la chose qu’on avait dite dans le journal. Là on a compris que ce n’était pas au salon. Cela s’était passé chez lui, et c’est là qu’il était, mort. On ne l’avait pas encore transporté au salon funéraire à ce moment-là.

52     Puis j’ai lu l’autre soir où Irénée, je crois, ou plutôt saint Martin s’était étendu sur le corps de son ami, après la pendaison de celui-ci. C’est là de l’histoire. Il s’était étendu sur lui durant une heure, et l’homme était revenu à la vie.

53     Et je vois dans la Bible où Élie s’est étendu sur le corps d’un enfant mort, et il est revenu à la vie.

54     Je pense au petit garçon, en Finlande, alors qu’il était étendu sur le sol, mort, sur le bord de la route.

55     Là, aussi, il y a environ deux mois, je crois, Gene, dans le Newsweek, qu’à Londres, ils ont laissé agir «les guérisseurs divins», comme ils les appellent. Ils les ont laissés aller prier pour les malades. Et il y eut environ quatre-vingt pour cent plus de guérisons qu’il y en a par la médecine. Cette prière pour les malades!

56     Le Reader’s Digest en a parlé. Et en Amérique, ici, c’était écrit dans le Reader’s Digest, où on s’était interrogé sur la guérison divine. Ils ont demandé à un frère de prier pour un malade qu’on lui avait emmené, et il a prié pour lui. Et puis ils ont placé une feuille d’aluminium (nous savons tous que la feuille d’aluminium réfléchit ce rayon) entre le malade et la main du frère qui priait, et ils en ont pris une radiographie. Et de la main de l’homme se voyait la réflexion d’un rayon, qui sortait de sa main et qui allait vers l’autre homme. Vous voyez, c’est exact.

57     Dieu savait ce qu’Il disait quand Il a dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

58     L’imposition des mains de cet homme sur un malade, et le rayon X mécanique (oh! Dieu) montrait la Lumière qui venait de la main de l’homme. Comment les gens peuvent-ils être si stupides, de dire que la guérison divine n’existe pas? Voyez? Eh quoi, même les appareils, ces machines que la science a faites, sont (quoi?) un reproche aux pensées mêmes de ces églises qui disent: «Il n’y a pas de telles choses, comme la guérison divine et la puissance de Dieu.»

59     Qu’en est-il de l’homme de Chicago (des témoignages sans nombre), quand il m’a placé devant cet appareil, là, et cette chose, comment cette main l’enregistrerait comme un détecteur de mensonge? Voyez?

60     Et cette autre femme, couchée dans un lit, mourante, lui en a fait subir le test. Ça a même fait lever sa main, avec suffisamment de force pour envoyer un message radio autour du monde, quarante fois, et démolir l’appareil. Cette sainte, mourante, faisant sa confession. On a branché cela sur la main d’un homme méchant, qui se mourait; et une fois branché, cela a projeté sa main du côté opposé, assez pour briser l’appareil. C’est ce même infidèle qui a dit: «S’il y a un Dieu et qu’Il est rempli de bonté, digne de louange, qui enverrait assez de puissance à cet appareil pour projeter sa main, il y a quelque chose dans cette femme, qui produisait cette puissance. Et si, sur un homme méchant, ça l’envoie de l’autre côté, il a dit, Dieu, soit miséricordieux envers moi, un pécheur.» Et il a donné son cœur à Christ. C’est exact. Eh bien, la science est au courant.

61     Et un jour vous allez découvrir que Dieu est en vous, vous voyez! Dieu Lui-même dans l’être humain. Dieu en nous! Oh, comme je remercie Dieu pour ces choses; c’est si merveilleux!

62     Maintenant, avant d’approcher Sa Parole, et prenons notre temps, parce que ce matin nous allons prier pour les malades …?…

63     Et quelqu’un demandait si nous allions être ici dimanche prochain. Eh bien, pour le moment, je ne sais pas. Je peux difficilement le savoir à moins que le Seigneur le révèle. Si le Seigneur le permettait, ce serait peut-être dimanche soir prochain. Je prends tous les sermons du matin à mon précieux frère, ici. [Frère Neville dit: «Amen. C’est très bien, frère.» — N.D.É.] Dimanche soir prochain, peut-être, si je suis dans les environs, le Seigneur voulant; je suis d’habitude dans les environs, à moins d’un appel de l’extérieur. Je parlerai sur: Nous avons vu Son étoile dans l’Est et sommes venus L’adorer. Vous voyez, un simple message de Noël.

64     Et avant d’approcher Sa Parole, approchons-nous de Lui par la prière. Si tous ceux qui peuvent se lever se levaient juste un moment.

65     Notre Père Céleste, nous sommes le peuple le plus heureux, nous devenons si remplis de joie que nos âmes humaines ne peuvent le contenir. Nous devons simplement pousser des cris parfois, et donner libre cours à la joie qui est dans nos cœurs par Jésus-Christ; de savoir que dans l’heure où nous vivons, malgré tous les bouleversements qui s’y trouvent, il y a cependant une Fondation qui est sûre.

66     Et d’avoir vu des hommes intelligents se lever, dans les jours passés, pour essayer de nier l’existence même de Dieu. Mais leurs propres appareils mécaniques sont revenus témoigner à la gloire de Dieu. En effet, Judas a lui-même été obligé de dire qu’il avait «trahi un Sang innocent». Le centurion romain a dit: «En vérité, c’était le Fils de Dieu.» Ses propres ennemis ont dû témoigner. Et nous vivons pour voir un siècle scientifique arriver à son terme. Ils ne peuvent aller plus loin. Ils vont, à un moment donné, s’envoyer des bombes et tout faire sauter. Et toutefois nous voyons que les appareils scientifiques qu’ils ont inventés, pour essayer de Te réfuter, se sont retourné et ont témoigné de Ta gloire. Nous T’en remercions infiniment, Seigneur! Permets qu’aujourd’hui nous nous souvenions que la Parole de Dieu ne faillira jamais.

67     Accorde-nous la foi, Seigneur. Ce que j’ai maladroitement exprimé tout à l’heure, ayant trait à la puissance de Dieu qui est en nous, et que toutes nos fibres sont Lumière de Dieu, et les ténèbres et le péché ont étouffé les petites pores en nous, de notre âme. Que le Saint-Esprit, ce matin, se répande dans notre être, imprimant la foi dans notre être le plus profond, pour que nos corps entiers et nos vies soient si saturés de la puissance de Dieu, que les gens verront que Jésus-Christ vit dans Son Église. Accorde-le, Père.

68     Nous Te remettons tout cela à présent, et demandons que Tu bénisses ces quelques paroles que nous allons prononcer, pour essayer de commenter sur ce qui a déjà été écrit par l’un de Tes apôtres, le grand saint Paul. Et je prie, Père, que le Saint-Esprit prendra ceci et qu’Il le laissera croître dans le cœur des gens, pour leur donner la foi à l’approche de ce service de guérison. Nous le demandons dans le Nom de Jésus. Amen. Assoyez-vous. [Une sœur parle dans une autre langue, puis un arrêt de la bande. Un frère parle dans une autre langue, puis un arrêt de la bande. Un frère donne une interprétation. — N.D.É.]

69     Remercions le Seigneur. Amen. Gloire à Dieu.

70     Cher Dieu, nous Te remercions pour Ta bonté et Ta grâce. Nous Te remercions pour Ta manifestation d’amour et de puissance, pour tout ce que Tu as fait pour nous. Nous sommes indignes des bénédictions que Tu nous donnes. Par le débit du message, cela doit avoir été le même message qui a été donné, et qui semblait appeler les pécheurs à se tourner vers Toi, car l’heure de la destruction est proche. Et, Père, nous prions que si cette personne est ici, ce matin, ou ces personnes, qu’elles comprendront que nous ne savons rien de ces choses, que c’est vraiment le Saint-Esprit qui parle par des lèvres humaines, pour en donner l’interprétation; pour appeler les gens qui ont été ordonnés avant la fondation du monde à être des fils et des filles de Dieu, et qui ont longtemps fui cette chose. Puissent-ils venir aujourd’hui, Seigneur, afin de Te connaître, et afin de trouver ce lieu caché, car l’heure est proche. Accorde-le, Père, tandis que nous nous attendrons à Toi, dans ce message. Dans le Nom de Jésus-Christ. Amen.

71     Maintenant, s’il y a des gens qui ne comprendraient pas exactement comment ces messages sortent de cette façon, deux d’entre eux, c’est probablement dû à ce que l’un a omis de dire une chose que l’autre a saisi; car vous avez remarqué le peu de mots que l’autre a prononcés, quelques mots peut-être que l’autre n’a pas dits. Et quand la traduction est venue, ça s’est fait en une même fois, vous voyez, le message a été donné, un appel aux pécheurs.

72     Il faut dire que ces personnes ne savent pas sur quel sujet j’allais parler. Personne ne le sait, il n’y a personne au monde qui le savait, mais c’est le sujet même dont je vais parler, voyez. Oui. Tournez maintenant avec moi à I Corinthiens, chapitre 14. C’est bon de laisser simplement toute l’incrédulité sortir de vous, pour que le Saint-Esprit puisse entrer et avoir la prééminence, vous savez, et se déplacer directement dans vos fibres et contrôler votre vie.

73     Maintenant, vous qui prenez en notes les Écritures… J’ai remarqué l’autre jour que ce genre d’enseignement aide beaucoup. J’ai trois ou quatre pages ici, sur quoi je vais parler ce matin, d’Écritures et de choses que vous pourriez peut-être écrire et en noter la provenance. Je les ai notés, comme ça je ne les oublierai pas.

74     Maintenant, au chapitre 14 de I Corinthiens, les versets 1 à 8. Écoutez attentivement:
    Recherchez la charité. Aspirez aussi aux dons spirituels, mais surtout à celui de prophétie.
    En effet, celui qui parle en langue ne parle pas aux hommes, mais à Dieu, car personne ne le comprend, et c’est en esprit qu’il dit des mystères.
    Celui qui prophétise, au contraire, parle aux hommes, les édifie, les exhorte, les console.
    Celui qui parle en langue s’édifie lui-même; celui qui prophétise édifie l’Église. Je désire que vous parliez tous en langues, mais encore plus que vous prophétisiez. Celui qui prophétise est plus grand que celui qui parle en langues, à moins que ce dernier n’interprète, pour que l’Église en reçoive de l’édification.
    Et maintenant, frères, de quelle utilité vous serais-je, si je venais à vous en parlant en langues, et si je ne vous parlais pas par révélation, ou par connaissance, ou par prophétie, ou par doctrine?
    Si les objets inanimés qui rendent un son, comme une flûte ou une harpe, ne rendent pas des sons distincts, comment reconnaîtra-t-on ce qui est joué sur la flûte ou sur la harpe?
    Et si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat?

75     Maintenant, je veux, quand vous rentrerez chez vous, que vous continuiez à lire le chapitre au complet, parce qu’il y a plusieurs versets là-dessus, quarante versets dans ce chapitre. Et j’aimerais que vous les lisiez une fois à la maison. Ils expliquent les dons.

76     J’intitulerai le sermon comme ceci: Le son incertain

77     Paul, ici, parlait du parler en langues. S’il n’y avait pas eu d’interprète, qui aurait pu savoir ce que ces personnes disaient tout à l’heure . Personne ne l’aurait su. Mais il parle simplement à Dieu. Bien sûr son esprit laisse entendre la Parole et il est glorifié, il en est béni. Il a dit: «Il s’édifie lui-même», parce qu’il a la consolation que Dieu lui parle. Mais s’il y a un interprète avec ça, vous voyez, si un interprète poursuit derrière, alors ça n’édifie pas seulement la personne, ça édifie toute l’assemblée; ça donne par ce moyen à chacun la Parole du Seigneur.

78     Ils ont dit: «S’il y a le prophète, alors, le prophète parle afin que l’assemblée entière, laquelle est…» Un prophète, qu’est-ce que c’est? — Un divin révélateur de la Parole divine, qui a la révélation de la Parole à donner aux gens. Alors cela édifie tout le monde, vous voyez.

79     Toujours, l’homme qui parle en langues peut parler en langues. Et il est défendu d’une part qu’une personne parle en langue à l’église à moins qu’il y ait un interprète. C’est aussi la raison pour laquelle il est permis de parler en langues ici, parce que nous avons maintenant trois ou quatre interprètes dans l’assemblée, de cette église-ci, des interprètes de langues inconnues. Mais s’il n’y avait pas d’interprète, alors il ne leur serait pas permis de parler dans l’église. Toutefois ils le peuvent à la maison et quand ils prient, parce qu’ils s’édifient eux-mêmes, parce que l’Esprit est sur eux. Ces gens croient en effet qu’ils se font comprendre quand ils parlent; mais ce n’est pas le cas. Ils se lèvent et commencent à dire quelque chose, et ils ne peuvent mettre un frein à cela, ça continue simplement à s’exprimer d’eux. Et ils pensent que vous comprenez ce qu’ils disent; c’est un état subconscient.

80     C’est comme quand vous êtes sur l’estrade, comme aujourd’hui, vous allez remarquer quand les discernements viennent. Il y a plusieurs personnes ici que je n’ai jamais vues de ma vie. Surveillez le Saint-Esprit quand Il descend; Il commencera à traverser l’assemblée et à dire aux gens qui ils sont, ou d’où ils viennent, leur condition et leur maladie. Tout cela, vous voyez, qu’est-ce que c’est? C’est «la Parole de Dieu, plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, (…) atteignant jusqu’à la moelle de l’os, et discernant les pensées mêmes et les intentions du cœur et de l’esprit». Vous voyez? Vous voyez? C’est la Parole de Dieu.

81     Maintenant Paul a dit: «Si tous parlent en langues, et qu’il n’y a pas d’interprète, et que survienne un homme du peuple, ne dira-t-il pas que vous êtes fous, insensés.» Le mot fou signifie «insensé». «Ne dira-t-il pas qu’ils sont insensés. Mais s’il en est un qui peut prophétiser et révéler les secrets des cœurs, alors tous tomberont sur leur face et publieront: ‘Dieu est avec vous’.»

82     Maintenant, «s’il y a un interprète…» Une interprétation à une langue inconnue est une prophétie. Voyez, c’est une prophétie en elle-même, parce que le Saint-Esprit parle et donne l’interprétation. Elle dit à certaines personnes certaines choses à faire, et tout. Et chacun sait quand ça vous frappe, vous savez à qui Il s’adresse.

83     C’est bon de voir que ce ne sont pas les êtres humains, mais que c’est Dieu dans les êtres humains qui fait Son œuvre. Nous remercions grandement le Seigneur pour ces choses.

84     Et je commence à remarquer que ça se répand dans les autres endroits, les autres églises. Charles Fuller… Combien ont déjà entendu parler du Old Fashioned Revival Hour? Un grand homme. Il y a quelque temps, il a dit: «Nous avons le parler en langues, l’interprétation, ici même.» Là-bas à Long Beach. Tout à fait. J’ai prêché là avec lui à plusieurs reprises. Donc, ils ont l’interprétation, et cela fait que chacun reste bien tranquille.

85     Voyez, la chose est que nous ne donnons pas leur place à ces dons. Et quand parfois un don sort de l’ordre, vous devez le rappeler. C’est Satan qui essaie de les faire s’emballer. S’il ne peut pas vous empêcher de recevoir une vérité, il prendra cette même vérité et vous fera vous emballer avec ça. Voyez? C’est exact. Il s’en servira pour introduire le fanatisme.

86     Nous essayons ici de garder cela dans l’ordre. Ça recommence à se manifester dans notre église, pour la première fois depuis des années. Donc on garde cela dans l’ordre; on les en instruit. Quand maintenant, souvent, comme en ce moment, il pourrait y avoir quelqu’un qui sent qu’il va parler en langue, voyez, en ce moment, mais ils sont supposés garder le silence. Car c’est l’heure de la prédication. Voyez? Voyez? Et quand la prédication est terminée, l’appel à l’autel ou quoi que ce soit est terminé ici, alors un message peut être donné, vous voyez. Celui qui parle peut parler quand le prédicateur a terminé, ou avant qu’il ait commencé.

87     Si maintenant cela continue de vouloir s’exprimer, et que les dons surviennent, alors nous tiendrons un temps particulier pour eux. Et ils se rencontreront, des heures avant que l’église n’ouvre, et ils s’assiéront ensemble, et prophétiseront, et parleront en langues; et ils écriront ces messages et les mettront ici sur l’estrade.

88     Quand le pasteur s’avancera, il dira directement: «Ainsi dit le Seigneur: Il arrivera, dans deux jours, que frère Jones, qui vit ici, près de la voie ferrée, déménagera, parce qu’il y aura une voiture qui perdra  contrôle et qui frappera de plein fouet sa maison.» «Ainsi dit le Seigneur: Il y a une femme ici, ce matin, du nom de Madame une telle. Elle vient de tel endroit. Elle a volé quelque chose quand elle était une jeune fille. Frère Branham ou frère Neville, ou un autre, imposera ses mains sur elle, après qu’elle aura confessé et réparé cette chose, et elle sera guérie. Son nom est Madame une telle.» Vous voyez? Le pasteur, avant que le service ne commence, lira ces prophéties. C’est exact. Vous voyez?

89     C’est maintenant à l’état infantile parmi nous. C’est à l’état infantile. Alors, vous voyez, il n’y a rien qui pourra se glisser. Le diable s’introduira et voudra rendre la chose charnelle; ensuite, s’il y parvient, il mettra en pièces l’église entière comme cela, voyez, ira dans le fanatisme, et sortira de l’ordre en tout temps. Mais l’Église est dans l’ordre.

90     Et maintenant, si la personne qui a un don est rappelée par l’Écriture, et qu’elle perd le contrôle d’elle-même, cela montre que ce n’était pas un don de Dieu. Parce que tout don de Dieu respectera la Parole, sera doux, vous voyez.

91     C’est pourquoi la guérison divine est ce qu’elle est. Et le Saint-Esprit respecte la Parole, le Saint-Esprit, le baptême dans le Nom de Jésus-Christ. Le Saint-Esprit en vous respectera cette Parole, parce qu’Il l’a écrite Lui-même, et Il est en vous. C’est cette Lumière de Dieu qui est en vous, qui honorera la Parole sans se soucier d’où cela vient. L’esprit des prophètes (ceux qui prophétisent, les dons) sont soumis au prophète, vous voyez, lequel est le révélateur divin de la Parole. N’êtes-vous pas heureux de voir ces choses en cette heure? — [Amen.]
    C’est maintenant un jour d’incertitude.

92     Il est dit ici: «Si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat?» Paul parlait ici, bien sûr, aux Corinthiens. Beaucoup d’entre eux étaient soldats, en ces jours-là, dans leur armée respective. Si la trompette rend un son confus, qui se préparera? Vous devez avoir la certitude des choses. Nous devons savoir si c’est vrai ou faux.

93     Nous vivons actuellement en un jour de grande incertitude. Nous en sommes tous conscients. Un jour d’incertitude, et un temps d’incertitude. Je ne crois pas qu’il y ait jamais eu un temps, — depuis le commencement du temps dans le jardin d’Éden, quand le péché est entré et qu’il a forcé le temps aux dépens de l’éternité, — je ne crois pas qu’il y ait jamais eu un temps d’une aussi grande incertitude que ne l’est ce jour. Parce qu’il n’y a pas même une ombre d’espoir dans le monde naturel d’aujourd’hui.

94     Là vous dites: «Eh bien, j’ai vu des périodes, j’ai lu dans l’histoire où les guerres étaient partout sur la terre.» — C’est vrai.

95     Mais pas une fois où la terre entière sera réduite en morceaux, en une seconde, voyez, et d’une telle ampleur. Alors qu’il aurait fallu des semaines et des heures, et ainsi de suite, maintenant il faudrait une minute, et peut-être pas autant. Un simple bouton a pressé, et elle est détruite. C’est tout. Même Cuba peut le faire. Haïti peut le faire. La moindre petite nation, si elle le veut, peut anéantir le monde par le feu, et le faire sortir de son orbite, quand ils voudront. Vous voyez? Ça ne prend qu’un seul fanatique pour le faire, quand il y en a des dizaines de billions d’entre eux autour du monde.

96     Surveillez le cas d’un suicide qui s’est produit là, et parmi eux, et le diable l’a tellement pris en sa possession, là où sont les hangars; il n’aurait eu qu’à presser un bouton, et vlam! les voilà parties. Et aussitôt qu’elles partent, elles entrent dans les écrans-radars des autres, et ils pressent les leurs. Et c’est là où nous sommes, vous voyez, c’est tout. Parce que chacun surveille son écran; sur les mers, des sous-marins; dans les îles, partout, ils sont établis; au Pôle Nord, au Pôle Sud, partout, il y a de ces grands écrans. Que quelqu’un appuie sur le bouton, c’est tout ce qu’ils veulent; aussitôt leur bouton à eux sera pressé, et celui de tous les autres. Et qu’arrivera-t-il! Mais, oh, pensez, et cela pourrait arriver avant la fin du service de ce matin.

97     Mais, rappelez-vous qu’avant que cela n’arrive, Dieu a promis de venir pour Son Église. Il a promis de venir, et nous ne connaissons pas l’heure de Sa venue. Quelle chose glorieuse! Et Il apparaîtra à tous ceux qui aiment Son avènement. N’aimeriez-vous pas Le voir ce matin? — [Amen.] Comme nous chantons ce petit chant, Je désire Le voir, Le voir face à face, Et chanter pour toujours Sa divine grâce. Quand toute vie sera terminée, et que les troubles et les peines auront pris leur envol pour la dernière fois, nous Le verrons. Et là nous serons jeunes, immortels, à jamais en Sa Présence, où il n’y aura jamais plus de péché, de maladie, de chagrin, de peine. Quand le temps fondra dans l’éternité, quelle chose merveilleuse!

98     Et puis, qu’est-ce que cela vous pousse à faire? Vous voulez travailler à amener chacun dans cette position, tous ceux que vous pouvez, pour l’Enlèvement.

99     Je me suis reconsacré, et j’ai promis à Dieu que j’essaierais de faire une double portion. J’ai fait tout ce que je savais faire. Et je souhaiterais seulement être de nouveau jeune, avoir dix-huit, vingt ans, et savoir ce que je sais; je resterais peut-être un peu plus longtemps ou je rendrais un peu plus de visites, ou quelque chose comme cela, pour le Royaume de Dieu.

100     Vous les jeunes gens, ce matin, qui avez encore toute votre jeunesse, et qui n’êtes pas pris par la famille et ces choses-là, puisse Dieu vous montrer la vision aujourd’hui, pour voir l’heure qu’il est.

101     L’incertitude. Survolons quelques points d’incertitude, en ce temps d’incertitude. Étant donné que l’on parle de guerre, il y a de l’incertitude dans la voix des seigneurs de la guerre. «Nous ne pouvons pas comprendre» disent-ils. Ils ne savent pas. Ils auront d’importants meetings, et ainsi de suite, et ne pourront s’entendre. Il y a de l’incertitude. Ils ne sont pas sûrs. Ils ne savent pas ce qui va se passer. Tous les grands stratèges, et ainsi de suite, qui étudient les guerres, et les possibilités de guerres, et comment celles-ci seraient provoquées, ils n’ont pas la réponse, ce matin. Il n’y a personne qui le sait. Ils ne pourraient pas vous le dire.

102     Eh bien, la science, après toutes les grandes découvertes qu’ils ont pu imaginer, toutes les grandes stratégies qu’ils ont pu envisager, toutes les manœuvres scientifiques, et les interrupteurs qu’ils ont pu abaisser, de leurs appareils scientifiques, et leurs grands penseurs, et quand ils se sont réunis, ils ont dit une chose: «Il est minuit moins trois.» C’est leur réponse.

103     «Pourrions-nous survivre à une telle attaque? Pourrions-nous creuser assez profond, pour nous garder de l’explosion des bombes, et survivre comme nation?» — Vous ne le pourriez certainement pas. Ça remuera la terre jusqu’à deux kilomètres de profondeur. «Et si on était à quinze kilomètres sous la terre?» — Si vous étiez à cette profondeur, vous seriez dans la lave. Si vous pouviez descendre à cette profondeur, la secousse briserait tous les os de votre corps. Il n’y a pas de sortie, par le bas.

104     La sortie est par le haut! Oh, je suis si heureux d’avoir la solution. Pas vous? — [Amen.] Un Son qui est certain!

105     Cette trompette, de creuser et de s’enfermer dans des cavernes… Et j’ai entendu qu’ils déplacent ici le gouvernement et les choses qui lui appartiennent près de Fort Knox et près de Mammoth Cave, et qu’ils ont un endroit, là qu’ils préparent. Si une petite dispute survient, d’une guerre ou de quelque chose, ils vont prendre le gouvernement à l’intérieur de ces cavernes. La Bible ne dit-elle pas clairement qu’ils se cacheraient dans les cavernes et tout, qu’ils feraient ces choses? Exactement. Voyez, ils n’ont pas de solution. Donc, notre grand régime de force militaire n’a pas de solution.

106     Autrefois notre science aimait dire: «Nous pouvons fabriquer une grosse machine. Nous avons de meilleures armes que les Allemands. Nous avons des gens qui ont beaucoup plus de cran et de pouvoir, et de dynamisme et de joueurs de tambours, et de sonnerie de clairon et de drapeaux flottants, et de hourras, et toutes ces choses-là. Ou bien nous pouvons traverser l’océan! Et on a tout ce qu’il faut derrière nous, pour le faire.» Vous n’avez pas à traverser l’océan. Cette fois-ci on va l’avoir sur notre territoire. Oui.

107     Un seul homme a à presser le bouton, c’est tout ce qu’il faut. Un seul homme. Ça ne prend pas un millier de soldats bien entraînés. Un seul homme sans jugement suffit, possédé du diable, pour presser ce bouton. Et c’est suffisant, voyez.

108     Donc, ils n’ont pas de solution; aussi, à quoi ont-ils finalement conclus? «Eh bien, il est minuit moins trois minutes.»

109     J’ai le film qui en parle. Je l’ai emprunté d’un ami médecin. Minuit moins trois. Ce film a été réalisé il y a environ cinq ans, quand les Juifs ont commencé à rentrer en Palestine. Et ce film les montre transportant des vieillards infirmes sur leur dos, à pied. Et ils les ont interviewés. Et quand ils leur ont demandé: «Vous retournez dans votre patrie, mourir dans votre patrie?»

110     Ils ont répondu: «Nous revenons pour voir le Messie.» — Et qu’est-ce que le prophète promet?

111     Plusieurs d’entre vous ont lu le magazine Look, le Life et les autres. Ils ont la photo de ces avions qui les ramènent des différents pays; de l’Iran, et de ces endroits où ils étaient. Et quand est venu le temps pour eux de s’embarquer… Voyez savez, ils labourent encore avec de vieilles charrues de bois, comme ils le faisaient il y a deux mille cinq cents ans, lors de leur dispersion par l’Empire romain. Et ils refusaient d’embarquer sur ces avions.

112     Mais leur vieux sacrificateur, un de leurs vieux rabbins, un enseignant, a pris les devants et leur a dit: «Dieu ne nous a-t-Il pas dit qu’un jour nous reviendrions dans notre patrie sur les ailes d’un aigle?» Ils ont abandonné leurs charrues, ont pris l’avion, et sont retournés dans leur patrie, sur des ailes. Ésaïe l’a vu, mais ils ne savaient pas comment nommer cela. Ça ressemblait simplement à un oiseau qui volait. Il a vu Israël revenir, agité de côté et d’autre. Et vous qui voyagez par avion, vous savez ce que c’est. C’est une agitation, de côté et d’autre, comme un oiseau qui vole, qui revient à la maison.

113     Ils sont ensuite débarqués, et ont dit: «Où est le Messie?» Ils ont voulu Le voir. Et je vais vous dire, quand vous voyez les Juifs revenir comme cela, c’est l’horloge de Dieu. Nous sommes à la fin.

114     C’est tout récemment devenu une nation, c’est devenu tout ce qu’ils sont. Ils ont leur monnaie, leur armée, et tout; ce qu’ils ont est à eux. Ils sont de nouveau une nation. Voyez? Oh! rien qu’à la pensée! J’ai quelques citations là-dessus, que je vous donnerai un peu plus loin.

115     Incertitude maintenant de la guerre, on ne sait à quelle heure. Écoutez la radio. Vous les entendez dire à la radio: «Amassez des vivres dans vos sous-sols. Faites suffisamment de provisions d’eau, à cause des retombés. Ayez avec vous une radio, et ne vous en faites plus.» J’ai lu dans des magazines qu’ils font l’annonce de petits abris où vous pourriez vous cacher, que vous pouvez mettre dans votre sous-sol ou votre cour, ou ailleurs. Si les bombes commençaient à tomber et que vous en surviviez, les retombés atomiques, elles, auraient raison de vous; donc, aussi bien ne pas vous en faire. S’ils laissent tomber une bombe sur la Nouvelle-Orléans, les retombés vont nous atteindre ici. À quoi bon, donc, vous mourrez de toute façon. «Abritez-vous, comme ça vous vivrez un peu plus longtemps», ou des choses comme ça. Oh là là! Je ne crois même pas ça. Je crois que c’est de la folie même d’essayer. C’est exact.

116     Mais l’Église n’a pas à s’en faire. Vous ne serez pas ici quand ces choses vont arriver, de toute façon. C’est là une chose assurée. Vous n’y serez pas. Parce que la certitude de la Parole de Dieu nous le promet.

117     Prenons maintenant quelque chose d’autre qui est incertain, plusieurs autres choses. Les emplois sont incertains. Vous ne savez pas quand ça peut arriver. Aujourd’hui vous travaillez, et demain vous ne savez pas. C’est une incertitude. Vous avez un bon emploi, du moins c’est ce que vous pensez, et le lendemain, le patron vous remplace par un autre, et vous, vous êtes mis à la porte. Donc, c’est l’incertitude de l’emploi.

118     Prenons aussi la vie familiale comme incertitude. Je vous le dis, je ne sais pas ce qui est arrivé à la nature de nos femmes. Le divorce, partout. C’est épouvantable. Et voyez quel est le groupe le plus touché. Ce sont des jeunes qui se marient et qui ont deux ou trois enfants, ou quelque chose comme cela. Puis ils vont se séparer, partir et se remarier, et se remarier, et se remarier, et se remarier, et se remarier. Et leurs foyers?

119     J’étais chez des gens vraiment vraiment pauvres l’autre soir. L’homme m’a dit: «Je vais vous dire, je ne sais pas du tout ce que je vais faire pour arriver.»

120     J’ai regardé autour de moi. Il revenait du travail. Il avait une femme loyale comme tout, et quatre ou cinq petits visages sales qui jouaient dans la pièce. J’ai dit: «Mais tu es un millionnaire.»

121     Et il a dit: «Hon! frère Branham, je ne voudrais pas vous contrarier, mais je n’ai pas un sou!»

122     Et j’ai dit: «Mais tu as quelque chose que l’argent ne peut pas acheter.» J’ai dit: «Tu as une petite femme, ici, qui ne possède peut-être pas deux robes à elle.» Et si c’était le cas, c’est que quelqu’un les lui avait données, parce que son mari ne travaillait qu’une journée par-çi par-là. Et j’ai dit: «Regarde, mais elle est d’une loyauté exemplaire.» J’ai dit: «Il y a plus d’un millionnaire, ce soir, qui donneraient tout l’argent qu’ils ont pour trouver à la maison à leur retour une femme comme elle.» C’est exact. J’ai dit: «Sa femme est sortie, est avec d’autres hommes quelque part, ou dans un bar quelconque; elle jure, chante, fume, court, et des choses comme celles-là. Et pourtant il l’aime, mais vois ce qu’il a. Toute sa vie est pour cette femme, et vois sa façon de se conduire.» Et vice versa. C’est pareil.

123     Le temps est maintenant arrivé où tout n’est plus qu’une agglomération de péchés. Une femme restera à la maison, pour prendre soin de ses enfants, tandis que son mari sera à l’extérieur, à boire et à se malmener, à courir d’autres femmes. Que donnerait-elle, si elle possédait des millions de dollars, pour voir son mari devenir véritablement un homme? Il n’y a qu’une seule façon pour que cela se produise: Jésus-Christ est la solution. Il n’y a rien d’autre qui puisse jamais suffire. C’est à la fin du temps. C’est Christ, et Lui seul.

124     J’ai donc dit: «Combien de pères millionnaires sur cette terre, aujourd’hui, donneraient tout ce qu’ils ont pour voir leur enfant épileptique être tout aussi en santé qu’est le vôtre ici ce soir? Voyez? Il a commencé à me regarder droit dans les yeux.

125     J’ai dit: «Regarde, de l’argent que tu as retiré cet après-midi, tu as dit avoir des viandes froides, des fèves et du pain pour nourrir tes enfants ce soir.» J’ai dit: «Ils ont tous de bons estomacs, et peuvent en manger. Et toi aussi.

126     «Dis-moi, John D. Rockefeller n’a-t-il pas dit qu’il donnerait sans broncher un million de dollars pour pouvoir manger un plat de chou?» Et j’ai ajouté: «Tu as dit que tu étais près de la fenêtre, ce matin, et que tu sentais la froideur du vent par les fentes. Lui est assis dans un palais quelque part, tu vois. Mais cependant, s’il pouvait s’asseoir là et manger un plat de chou, dans ce vent froid, bouchée par du papier, j’ai dit, John D. Rockefeller aurait donné un million de dollars pour pouvoir manger une fois ce que tu manges quand bon te semble.

127     «Combien d’aveugles, avec une canne à la main, donneraient tout l’argent qu’ils ont pour avoir tes yeux?» Voyez, on ne peut évaluer les choses qui valent une richesse par les choses qu’on appelle la richesse.

128     Maintenant, pardonnez-moi, membres d’église, c’est pourquoi nous essayons de dire, ce matin, que vous ne pouvez évaluer votre grosse église et vos hauts clochers, et ces choses, à l’amour de Dieu qui est dans nos cœurs, par le Saint-Esprit. C’est sans comparaison! Ces choses viennent de façon surnaturelle. Vous pensez peut-être que nous sommes bizarres parce que vous les avez entendus parler en langues et interpréter, et les gens pleurent et poussent des cris. Je préférerais avoir ça que tout le reste. Je préférerais être un pasteur d’une petite bâtisse comme celle-ci, où la puissance de Dieu se mêle aux gens, où l’Église se rassemble avec ces choses en son sein, que d’avoir la plus grande cathédrale du monde où y prêcher, parmi une bande de tièdes, qui se disent chrétiens, et qui surveillent tous les mots que vous dites. Et vous ne pouvez prêcher par inspiration. Cela doit être superficiel, et il faut prendre soin de tous les juges et les docteurs et tout ce qui s’y trouve, pour ne pas dire des choses qui blesseraient leurs sentiments, parce que ce sont de bons payeurs dans l’église. Je prendrai le chemin des quelques méprisés du Seigneur. Voyez? Vous ne pouvez pas évaluer cela. Il n’y a pas de façon de le faire.

129     Aussi, aujourd’hui, l’homme qui est riche est l’homme qui est en Christ. Maintenant, disons que vous avez une bonne vue, une bonne santé, beaucoup d’argent et tout le reste, mais si vous n’avez pas Christ, vous êtes perdu. Vous êtes pauvre, misérable, aveugle et nu, et vous ne le savez pas, voyez. C’est ce qu’était l’âge de l’église de Laodicée. Vous pourriez appartenir à la plus grande église qu’il y a dans la nation, vous pourriez appartenir à la plus large dénomination, mais être néanmoins aussi perdu qu’il est possible de l’être. Voyez? Donc, l’homme riche est celui qui est en Christ. C’est exact.

130     Maintenant, l’incertitude de la vie familiale, l’incertitude de l’emploi, l’incertitude de la guerre, l’incertitude des églises.

131     Étant donné que l’on vient de toucher à cela, parlons-en donc pendant quelques minutes, de l’incertitude de la vie d’église. Vous ne pouvez à peine l’évaluer; parce qu’il n’y a aucune manière d’évaluer ce qu’est une expérience dans le Saint-Esprit, à un membre d’une église. Voyez? D’aucune manière. Il n’y a aucune manière d’acheter ce Saint-Esprit. Il vient comme un don gratuit de Dieu. Il vient à tous ceux qui veulent.
    Vous dites: «Est-ce que ce sera seulement pour la Pentecôte?»

132     La Pentecôte n’est pas une dénomination. C’est ce qu’ils ont essayé d’en faire, mais vous ne pouvez pas faire de Dieu une dénomination. La Pentecôte est une expérience que tout croyant peut avoir. Voyez? C’est pour les baptistes, les catholiques, les juifs; les noirs, les blancs, les bruns, les jaunes, les rouges; pour toutes couleurs, credos, ou tout; riche ou pauvre, avec rien ou avec beaucoup; pour qui que ce soit. Pour vous, c’est pour vous.

133     Et c’est l’amour et la miséricorde de Dieu répartis pour vous, de l’accepter. Ça ne vous coûte rien. Tout ce que cela vous coûte, c’est de Lui soumettre votre vie et de Le recevoir. Comme c’est simple! Oubliez seulement tout ce que vous avez jamais su, et abandonnez-vous à Lui. Et c’est de la manière qu’Il vient, quand on Le reçoit de cette manière.

134     Les dénominations, ça ne peut être ça. La dénomination donne un son confus. Laissez-moi vous démontrer que c’est un son confus. Dans cette dénomination, ils disent: «Nous L’avons reçu. Les autres ne L’ont pas.» Très bien, allez-y. Vous allez à l’autre, ils disent: «Nous L’avons. Les autres ne L’ont pas.» Vous voyez, chacune d’elles le prétend! Il y a neuf cents différentes églises nominales. Neuf cent soixante-neuf, je crois, pour être exact, selon les statistiques. Neuf cent soixante-neuf différentes églises nominales, et chacune déclare que l’autre est dans l’erreur et qu’eux l’ont. Donc, comme son, c’est tout ce qu’il y a de plus confus. Voyez, neuf cent et…

135     Mais quel en est le son? — Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement? [La congrégation se réjouit. — N.D.É.] Y a pas d’incertitude en cela, n’est-ce pas? [Non.] C’est le moyen de l’évaluer. C’est le moyen d’évaluer où se trouve la vérité.

136     Vous dites: «Nous les méthodistes, nous L’avons. Nous les baptistes, nous L’avons. Nous les catholiques, nous L’avons. Nous les presbytériens, nous L’avons.»

137     Eh bien, Jésus-Christ est Celui qui l’a, parce qu’Il a dit: «Je suis la lumière, la vérité, le chemin.» Donc, c’est Christ en vous.

138     Donc ces différentes grandes dénominations certainement sont différentes entre elles et rendent un son très douteux. Et tout ce qui est incertain comme cela est aussi douteux. Tout ce qui est confus est douteux. Ce n’est pas simplement en vous joignant à une église que vous pouvez dire que vous êtes en sécurité. Parce que chacune donne un son différent, et où va-t-on comme ça? Cela vous rend confus. Si jamais il y a un endroit que je connaisse… J’ai souvent mentionné ceci, et je le répète à nouveau ce matin: L’endroit où l’on a le plus besoin de missionnaires, c’est bien aux États-Unis. Qu’est-ce qu’un païen? Un païen, c’est un «incroyant».

139     Et maintenant, on a en Afrique et en Thaïlande, et en différentes parties du monde, on a le païen qui adore une idole. Et on l’appelle païen parce qu’il adore une idole. Il ne fait pas de différence entre sa droite et sa gauche, il ne connaît pas son ABC. Lui, la seule chose qu’il connaisse, c’est de ce dieu dont un sorcier lui a parlé; et pour lui, c’est là où se trouve Dieu, en ces choses. Et la seule chose qu’il sache faire, c’est de se trouver de quoi manger, peu importe la manière qu’il se l’approprie. C’est là ce que nous appelons un païen. Mais, maintenant, cet homme n’est pas si difficile à convaincre quand vous lui apportez la vérité.

140     Mais le plus difficile à convaincre est ce païen instruit, vous voyez, ce païen d’ici, des États-Unis, qui est diplômé quatre fois du collège et qui se tient derrière une chaire, un incroyant.

141     Dites: «Eh bien, on a tenu un service l’autre jour, et le Seigneur a guéri une dame.

142     «Huh-huh!» dira-t-il. C’est un païen. Il n’est qu’un païen instruit. Un païen, c’est un incroyant.

143     Avant hier, alors que j’étais au bureau, il y avait un groupe de personnes, dont quelques-uns sont ici en ce moment, quand une dame est arrivée en voiture dans la cour avant. Il y avait cinq ou six personnes à l’intérieur, et une dame est arrivée, au volant d’une roulotte-mobile. Un homme est venu à ma porte, et a dit: «Frère Branham, je n’aime pas passer outre à cette indication, mais on passait et on voulait vous dire que…»
    J’ai dit: «Entrez.»

144     «Non, a-t-il dit, ma femme veut simplement témoigner, vous raconter ce qui lui est arrivé.» Eh bien, de fait, elle était une bonne amie de sœur Mercier et de la mère de frère Leo, ici, un de nos frères de l’église, un de ceux qui enregistrent.

145     Et il y a huit ou dix ans, j’étais quelque part dans l’Est, et une femme était venue sur l’estrade pour qu’on prie pour elle. Le Saint-Esprit a dit: «Vous êtes Madame une telle, et vous venez d’une certaine ville. Vous souffrez de telle et telle chose.»
    Oui, c’était l’exacte vérité.

146     Ensuite Il a dit: «Vous avez une amie qui vit en Californie; elle est une amie précieuse. Et cette femme est mourante, d’un cancer du rein.»
    Elle a dit: «Y a rien de plus vrai, frère Branham.»

147     C’est le Saint-Esprit qui révélait les secrets du cœur, vous voyez. Cela aurait dû faire tomber sur leur face le peuple américain, en disant: «Oh! Dieu!» Voyez, c’est ce que ça devrait faire.

148     Mais, oh, ce sont des païens instruits. C’est la sorte qu’il est difficile de convaincre. Voyez, il est si intelligent, il en sait plus que Dieu Lui-même. C’est aussi pourquoi il hybride le maïs, hybride les animaux et tout. Voyez-vous ce qu’il fait de lui-même? Revenant tout droit, faisant simplement, eh bien, un rejeton de lui-même, c’est vrai, en faisant ces choses. Avec tout le savoir de leur pensée, de leur esprit, ils se tirent d’affaire.

149     Maintenant nous remarquons que cette femme a dit: «Oui, c’est exact.» [Coupure sur la bande. — NDT] …jusqu’à ce que ça atteigne, je crois l’avoir entendu dire, quarante-cinq ou soixante-cinq centimètres. Et elle était si grosse, qu’elle ne pouvait rester debout, avec cette tumeur. Quand elle voulait se lever, elle ne pouvait pas bouger.

150     Et ils l’ont emmenée à cette église, et l’ont assise là. Ils l’y ont emmenée le soir suivant le service de guérison du matin. Les frères lui avaient dit que nous n’allions pas prier pour les malades ce soir-là, parce que nous avions prié pour les malades le matin. Et ils ne voulaient pas mettre trop de pression sur moi ce même jour. Et, donc, après le service, j’étais là, en train de parler à quelques personnes, et un homme l’a prise et l’a portée près de la maison, et il l’a assise sur la marche comme les gens sortaient. Elle était assise là; l’homme l’y avait amenée.

151     Et frère Taylor, l’un de nos précieux frères de l’église, se trouvait là quand cela s’est produit; et je crois même qu’il l’a aidé à porter la femme. Es-tu ici, frère Taylor? où es-tu? À l’arrière, oui, là. Il y était, et l’a aidé à la porter à l’arrière.

152     Et la tumeur se voyait, comme ceci. Donc, quand j’ai franchi la porte arrière, j’ai baissé les yeux et l’ai regardée; j’ai dit: «Femme, le Seigneur Jésus, qui vous a guérie de ce cancer du rein il y a plusieurs années, vous guérira aussi de cette tumeur. AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Je ne l’ai jamais touchée, ou rien de cela. Je me suis dirigé vers ma voiture, et m’en suis allé. Je suis parti.
    Il a dit: «Sortiriez-vous la voir.»
    J’ai dit: «Oui, certainement. Dites-lui d’entrer.»
    Il a répondu: «Non, nous n’avons pas le temps. Il nous faut partir tout de suite.»

153     Je suis sorti. Et la petite femme est sortie d’un bond de la voiture, aussi plate du ventre que je peux l’être. Elle avait eu un temps béni sur la route, parlant en langue, et criant à tue-tête, en face du pasteur presbytérien; elle avait un temps béni.

154     Bon, il y a sûrement des voisins qui ont regardé par la fenêtre et qui ont pensé: «Ça alors, ça doit être quelqu’un de l’Institut de psychiatrie venu voir frère Branham pour une prière.» Cette femme ne sortait pas d’une institution psychiatrique. Son âme revenait de la gloire, voyez, elle avait un temps béni.

155     Elle a dit: «Regardez ici, frère Branham.» Elle a ouvert son manteau, et cette proéminence ne se voyait plus. Elle a dit: «Les premiers deux ou trois mois après que vous m’ayez dit ces choses, j’étais dans un très mauvais état.» Elle a dit: «Le docteur a dit qu’il n’allait rien tenter de plus si je ne lui permettais pas d’essayer d’extraire cette tumeur de moi.»

156     Combien a-t-elle dit que ça pesait? Près de quatorze kilos, frère, frère Taylor? [C’est ça.] Ils ont estimé la tumeur à près de quatorze kilos.

157     Et elle a dit: «Tout à coup, ça a commencé à faire ‘Shuu, shuu, shuu, sh’.» Oh, Il tient Sa Parole! Tout à fait.

158     Pour ceux qui aimeraient lui écrire, nous avons son adresse et tout. Elle l’a laissée à Leo, et pour qu’il salue sa mère pour elle.

159     Et de fait, son frère à elle a marié une amie à moi, d’ici, à Utica. La fille était là. Son nom est Clyde Raines. Je connais beaucoup de… il y a beaucoup de… On l’appelle Chisel. On jouait ensemble quand on était jeunes. Il vit ici à Utica Pike; il est une sorte d’officier d’état là-bas.

160     Et sa sœur se trouvait dans la voiture. Et ils vont, je pense, à l’église cambelliste. Je me demande bien quelle impression cela a eu sur elle? Elle a dit: «Billy, c’est extraordinaire.» Je connaissais personnellement la fille. Nous sommes sortis ensemble à quelques reprises, quand nous étions jeunes, quand nous restions ici sur la route. Une très bonne fille, des plus gentille. Elle a maintenant presque mon âge. Et donc, elle écoutait ce témoignage, tout bonnement. Et c’était la sœur de son mari qui avait été guérie.

161     Oh, je vais vous dire, frères, il n’y a pas d’incertitude à ce sujet. C’est vrai. C'est la Parole de Dieu. C’est ce qui rend la chose vraie.

162     Tout ce qui est incertain n’est pas digne de confiance. Et même encore aujourd’hui, quand ils ne sont pas certains que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, laissez cela de côté.

163     C’est possible d’être certain. Vous pouvez être sûr, même s’Il n’accomplissait jamais plus d’autre miracle pour vous que le grand miracle, celui de vous pardonner vos péchés. C’est le plus grand miracle que Dieu ait jamais accompli, de pardonner à l’homme ses péchés.

164     Prenez un homme et convertissez-le des choses, voyez, qui change son être le plus profond de ces choses. Auparavant il buvait et gageait, agissait mal et des choses comme ça. Et, du jour au lendemain, il fait demi-tour et revient à l’amour, revient à sa femme, et dit: «Ma chérie, je suis désolé de t’avoir ainsi traitée.» Il prend ses enfants dans ses bras et leur dit: «Papa dépensait tout son argent à du whisky, et papa a fait ceci. Et maman s’est absentée toute la soirée et vous a laissés. Je ne le referai jamais plus. Dieu m’a pardonné.» Et ce témoignage est l’un des plus grands témoignages qu’il y ait. Tous les Alcooliques Anonymes, et tous ces mouvements ne peuvent jamais transformer comme cela le peut. Ça ne peut rien pour la personne.

165     Voyez Rosella Griffith, ici, elle est assise là, quand tous les mouvements anonymes de Chicago, quatre des grands hôpitaux et leur personnel médical l’eurent laissée tomber; l’espace d’un moment, sur l’estrade, a changé ce plus que semblant de femme qui se tenait là. Elle portait un manteau coupé comme ceci, un manteau de vison, que sa mère lui avait acheté. C’était une femme intelligente. Elle gardait ses bouteilles de whisky dans son manteau. Elle craignait de tomber dans la rue et de geler là avant que quelqu’un ne la trouve. Debout, là, quand tous les Alcooliques Anomymes et tous les autres n’eurent plus su quoi en faire. Elle est en train d’écrire un livre là-dessus.

166     Elle s’est avancée à l’estrade. Le Saint-Esprit lui a dit: «Ton nom est Rosella Griffith.» Il n’y a aucune incertitude en cela, voyez. «Tu es une alcoolique. Tu es allée chez les Alcooliques Anonymes, et tout. Mais, AINSI DIT LE SEIGNEUR, c’est terminé maintenant.»

167     Et cette autre femme, qui était assise au balcon, la partenaire de danse de Fred Astaire, s’est levée d’un bond. Le Saint-Esprit a dit: «C’est exact. Elle est, elle aussi, une alcoolique, et une droguée. Elle est recherchée en ce moment.»
    Et son père s’est levé, et a dit: «C’est assez, là!»
    Elle a repris: «Attendez un instant, papa. L’homme a raison.»

168     Il n’y a pas d’incertitude en cela. «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie. Abandonnez-vous.» Elle est maintenant sur les champs missionnaires avec son mari, prêchant l’Évangile. Oh là là!

169     Qu’est-ce que c’est? Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. En ces jours où la dénomination en donne une incertitude, pourquoi écouterions-nous une église nominale, quand Christ demeure le même? Il n’y a pas d’incertitude en cela, c’est certain à tout coup. Maintenant, la Bible, nous savons que la Bible dit ici, que si…

170     Tout ce qui est mort rend un son. Une chose morte, des églises mortes, ou quoi encore, rendent des sons. Mais à moins qu’il n’y ait une distinction dans le son, à moins qu’il n’y ait quelque façon d’en être certain…

171     J’ai des Écritures d’écrites ici concernant les soldats. Oui. Les soldats peuvent, lors de l’entraînement, différencier ces clairons. Quelques-uns sonnent la retraite, ou les appellent au boulot, et tout. Ils sont formés au son des clairons. Et s’ils ne connaissent pas le son de ces clairons, comment vont-ils se préparer? C’est exact. Mais ils sont préparés à répondre à ce clairon. Et ils savent, quand ce son retentit, ce qu’il signifie.

172     Comment, quand Titus a assiégé les murs de Jérusalem, quand il l’a investie par les armées, tous ces soldats bien entraînés… Ces disciples, ce que les historiens en écrivent.

173     Jésus, sur le mont, ce jour-là, a dit: «Quand vous verrez Jérusalem investie par les armées, que celui qui est dans les champs ne retourne pas à la maison pour prendre son manteau; que celui qui est dans la maison ne monte pas sur le toit, ou en descende, mais fuyez dans les montagnes, car il y aura un temps de détresse.»

174     Maintenant, regardez ce que toutes les grandes églises confessionnelles ont dit quand elles ont vu Titus marcher sur eux: «Nous devrions monter à la maison du Seigneur, offrir nos prières.» C’était trop tard.

175     C’était un son confus, pour le sacrificateur. C’était un son confus, pour l’église. Mais pour ceux qui avaient été entraînés à la voix de Jésus, ils se sont enfuis dans les montagnes aussi vite qu’ils l’ont pu. Et ce sont les seuls qui ont survécu. «Sortez de la ville.» Là, si Jésus ne leur en avait pas parlé ni donné instruction, ce son de préparation, comment auraient-ils su qu’il fallait s’enfuir?

176     Maintenant, Josephus, le grand historien, a dit: «Les seuls à avoir survécus ont été les disciples du Christ, qui étaient des cannibales.» — Un des historiens a dit qu’ils étaient des cannibales. Il a dit: «Ils prirent un homme appelé Jésus de Nazareth, que Pilate avait crucifié, et ils ont volé son corps du sépulcre, l’ont tranché et l’ont mangé.»

177     Ce qu’ils faisaient, c’est qu’ils prenaient la communion (le corps du Seigneur, vous savez), comme nous le faisons ici.

178     Et il a dit: «Ils ont été les seuls à survivre, parce qu’ils sont sortis de la ville.» Ils connaissaient le Son.

179     Oh, frère, puisse le Saint-Esprit venir en nos cœurs, ce matin, nous donner le son du battement du cœur du Saint-Esprit et de Sa puissance. Seulement cela pourra survivre: le retentissement de la trompette de Dieu et nos cœurs préparés à cette heure indiqueront ce qu’il faut faire.

180     «Nous qui sommes vivants et qui serons restés, nous ne devancerons pas ou ne nuirons pas à ceux qui sont endormis, car la trompette retentira.» Tous ces soldats dans leur tombe, endormis, à travers les siècles, mais quand la trompette retentira… Bien qu’ils soient endormis, cela ne les retiendra pas, car la trompette retentira et les réveillera. Ils sont prêts!

181     Ceux qui ne sont pas prêts ne connaissent pas le son. Quand ce Son, de la venue du Seigneur retentira, il secouera le Ciel et l’enfer. Mais ceux qui sont en enfer, ceux qui sont perdus, ne connaissent pas ce Son. Ils ne savent pas quoi faire.

182     Mais pour les autres, bien qu’endormis en Christ, ils connaissent ce Son certain!
Oh, la trompette du Seigneur retentira,
Et le temps cessera,
Et ce sera un matin éternel, de lumière et de justice,
Quand les sauvés de la terre se réuniront
À leur maison au-delà du ciel,
Et quand la liste sera appelé
Je veux y être.

183     Mettez aujourd’hui votre nom dans le Livre de Vie de l’Agneau, par le Sang du Seigneur Jésus, et ce ne sera pas un son incertain.

184     Maintenant nous entendons venir le bruit des troubles: des bombes atomiques en attente partout, de la détresse entre les nations, de la perplexité du temps. Pourquoi s’inquiéter de nos emplois? Pourquoi s’inquiéter de nos foyers? Pourquoi s’inquiéter de toute autre chose?

185     Jésus ne nous a jamais dit de nous inquiéter, mais Il a dit: «Quand vous verrez ces choses commencer à arriver, levez votre tête et réjouissez-vous, car votre rédemption est proche.» C’est la certitude du son de l’Évangile.

186     Quand nous voyons le Saint-Esprit venir dans l’église, commencer à discerner les pensées des cœurs, accomplir ces grands signes et renvoyer l’Esprit au temps du soir, quand les Lumières étincellent, nous Le voyons venir faire la chose même qu’Il a faite à Sodome, avant que ça ne brûle. Voyez cet Ange, le dos tourné, dire: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?», derrière Lui. Jésus a dit: «Comme il en était aux jours de Sodome, ainsi en sera-t-il à la venue du Fils de l’homme.» Qu’est-ce? — C’est le retentissement de la venue du Seigneur Jésus.

187     «Voici, Je vous enverrai Élie, le prophète, avant que ce jour grand et redoutable ne détruise le monde. Il ramènera le cœur des enfants à la foi originelle, à l’Évangile, à la puissance de Dieu, au vrai Saint-Esprit, à Christ à nouveau, avant que le jour terrible ne vienne.»

188     Nous entendons le retentissement de la trompette. Oh là là! Qu’est-ce à dire? — Réveillez-vous, saints du Seigneur, pourquoi sommeiller quand la fin est si proche; soyons prêts pour cet appel final. S’il donne un son incertain, qui se préparera au combat, si c’est confus? Mais ce ne l’est pas.

189     Les gens disent: «Quelle est cette histoire dont ils parlent, le Saint-Esprit qui lit les pensées mêmes des gens et les choses qu’ils font?» C’est là la certitude du son de l’Évangile. Christ a dit que c’est ce qu’on verrait.

190     «Eh bien, pourquoi toutes ces grandes églises sont-elles là?» Christ a dit qu’il en serait ainsi. Ce n’est pas incertain. C’en est la certitude. Nous venons de passer huit jours consécutifs là-dessus, pour savoir que la Bible dit strictement que cette chose ira en ce sens. De grandes dénominations se lèveront, elles se formeront toutes dans une confédération d’églises; c’est ce que nous avons. Faisant une image à la bête, la hiérarchie catholique. C’est déjà là, une confédération, chaque dénomination y est. Ce n’est pas un son incertain. Cela donne un vrai son. C’est un son certain.

191     «Nous avons mis une grande confiance en nos Nations Unies.» Eh bien, ça ne vaut pas plus que ce qu’était la ligue des Nations; c’est du pareil. Nous avions une ligue des Nations, après la Première Guerre mondiale. Ils allaient être les gardiens du monde entier. Ça n’a pas marché. Ce que disent maintenant les Nations Unies est si incertain; ils ne savent pas de quel côté se tourner. Krushchev aurait enlevé son soulier et tapé sur le pupitre, et cela a donné quoi de bon? Et tous les autres. C’est l’incertitude des Nations Unies. Les Nations Unies sont très bien comme ils sont, mais il est trop tard. Il est trop tard pour quoi que ce soit du genre.

192     Il n’y a qu’un son qui soit certain, et c’est l’Évangile. Préparez-vous au combat! Quel combat? — La venue du Seigneur! Préparez-vous pour le combat contre le mal, alors qu’on le voit assaillir les gens de toutes parts, alors que tout va mal, que la vie de famille va mal, que les Nations Unies échouent, que les nations s’effondrent, que les bombes atomiques nous entourent, que les foyers se brisent, que la maternité diminue, que l’immoralité est partout, que la confiance envers les autres manque, et que les dénominations dans l’ensemble se font des histoires et se mordent. Que ferez-vous? — Soyez certain, préparez-vous vous-même pour le combat!

193     Quand la télévision devient décadente, et que la radio et les journaux, toutes les annonces publicitaires, quand tout ne parle que de cigarettes, de tabac, de whisky, de boisson, de femmes sexy, de sales blagues, de plaisantins dans des programmes télévisés, et que les Américains se meurent de ces choses comme lors de la soirée chez le roi Nebucadnetsar, le soir où il y eut une agitation. Ils étaient à une partie dansante, où le vin coulait, et leur télévision, si cela s’était passé en ce jour, leurs plaisantins sont sortis, et là est apparue une écriture sur la muraille.

194     Et, aujourd’hui, quand nous nous pensions en parfaite sécurité, — nous avons les meilleurs scientifiques du monde, nous avons le meilleur de ce qu’il y a dans le monde, — et nous venons de découvrir que nous sommes loin derrière dans la course aux missiles. Uh-huh. Et ensuite, qu’est-ce qui est arrivé aux États-Unis? — Pas seulement une écriture sur la muraille, mais les balistiques des missiles écrivent dans le ciel que nous sommes loin derrière, des années derrière. Qu’est-ce qu’il y a? — L’écriture est sur la muraille.

195     Et, en ces jours-là, cela s’est écrit en une langue inconnue, écrit sur la muraille. Il n’y avait qu’un seul homme dans tout le royaume qui pouvait l’interpréter. Il avait le don d’interprétation. Et il a interprété et a dit: «Tu as été pesé dans la balance et as été trouvé léger.» Dieu vous a envoyé une nation de gens parmi vous, que vous appelez ‘exaltés’. Vous êtes allés les rencontrer et les avez déshonorés, mis à mort, et expulsés; et vous avez pris vos dieux et vos idoles, ces choses, et c’est par ces choses que vous avez adoré, et vous avez vécu de délices. Maintenant vous êtes allés prendre les vases mêmes du temple de leur Dieu, et êtes venus faire des farces sur eux, vous moquer de ‘l‘exalté, du prédicateur chauve’, et ainsi de suite. Et Dieu en a eu assez de ça! Et l’heure de votre ruine est proche. La nation même qui allait les prendre attendait à leur porte. Peu de temps après, ils étaient tués, leurs femmes retranchées. Leurs gardes, leur armée, et tout, étaient investis. «Pesé dans la balance, et trouvé léger.»

196     Et notre radio et notre télévision sont remplies de blagues et de souillure, de fausseté et de méchanceté, que Dieu en a marre de tout cela. Quand l’Évangile, le véritable Évangile de l’Église du Saint-Esprit, est prêché de long en large de la nation, démontrant la certitude de Jésus-Christ et de Sa venue, au point que le temps est venu où Dieu écrit dans nos cieux: Pesé dans la balance, et trouvé léger. Amen. Nous sommes dans une situation terrible. Écoutez le Son certain, pas les Nations Unies incertaines. Oui monsieur.

197     Même que l’autre jour, lors des élections, ils ont dit que lorsqu’ils ont compté les votes du monde politique, ils auraient dit… ils ont dit: «Nous avons maintenant un appareil, pour que tous usent d’honnêteté, parce que vous n’avez qu’à tirer un petit levier et ça inscrit votre candidat. Vous le rabaissez, ça fait un petit clic, et ça inscrit votre candidat.» On a découvert que ce n’est pas une certitude.

198     M. Edgar Hoover l’a exposé, a exposé au grand jour le Parti démocrate, l’autre jour. Après avoir installé leur appareil, chaque fois qu’ils votaient pour M. Nixon, ils devaient de même voter pour M. Kennedy. Et pourquoi n’arrêtent-ils pas cela, pensez-vous, s’ils ont découvert que ça se passe comme cela? Pourquoi? — Eh bien, il n’y a pas de certitude à cela. Non. Vous savez ce qui est arrivé à M. Hoover! Vous voyez, tout ça, tout est incertain. Vous ne pouvez pas dire qui a vraiment été élu, si c’est Kennedy ou… Kennedy a été déclaré élu, mais je ne sais pas si vraiment il l’était. Là, je ne suis pas un politicien, je ne sais rien de la politique. Mais je sais reconnaître le vrai du faux. J’ai suffisamment de sens pour savoir que ce n’est pas honnête. Quand c’est devant nous, l’homme a prouvé, par le F.B.I., qu’ils avaient truqué les appareils. Ce n’est pas l’autre parti qui l’a fait, mais c’est le parti de Kennedy qui l’a fait. Pourquoi? — Ça doit être ainsi.

199     Rien en ce monde ne peut tenir en dehors du Royaume de Dieu, car tout royaume est pesé dans la balance, et trouvé léger; notre nation. Pourquoi ça?

200     Ici, il n’y a pas si longtemps, on avait un grand arbre, et j’avais l’habitude d’aller m’y asseoir. Et je me suis dit: «Cet arbre, quand je serai devenu vieux, si j’y parviens, je vais venir m’asseoir sous ses branches.» Ce n’est plus qu’un chicot maintenant. Là où je vivais, j’ai vu mon père sortir et… Il était du Kentucky, et il faisait de la coupe de bois et ces choses. Un petit homme, d’environ soixante-cinq, soixante-dix kilos, mais fort. Oh là là! M. Coots, d’ici, m’a dit l’avoir vu charger un rondin de frêne de quatre cents kilos, tout seul. C’était vraiment un homme fort. Je le voyais, il avait l’habitude de se relever les manches pour se laver, dehors, devant un bout de miroir cassé fixé à un pommier.

201     Et sûrement qu’il y a des gens de l’Indiana qui ne savent pas comment il nous fallait s’arranger là-bas. On avait un vieux baril d’eau près de la pompe. Et ma mère avait mis là un vieux sac, un sac pour la farine, et on l’utilisait comme serviette. Elle l’avait tant soit peu décoré, en en tirant quelques fils à son extrémité. Elle me débarbouillait, puis m’essuyait avec cette serviette. La peau nous arrachait presque. C’était une vieille toile rugueuse. Elle me lavait et m’essuyait avec ça.

202     Maintenant, je voyais mon père rouler ses manches et faire sa toilette. Et, oh, je voyais ses muscles! J’ai dit: «Vous savez, il vivra sûrement cinq cents ans, il est si fort!» Mais vous savez quoi? — Il est mort, il avait cinquante-deux ans. Pourquoi ça? — Nous n’avons pas ici-bas de cité permanente.

203     Je me suis trouvé à Rome, où le grand César s’était tenu, où il avait emprunté ses rues, avec la masse des gens, en grande pompe et gloire, et tout ce qu’ils avaient. Et savez-vous où l’on trouve leur royaume? — À six mètres sous terre. Deux mille ans l’ont enfoncée.

204     J’ai été au Caire, en Égypte, où le grand pharaon s’est tenu, un jour, celui qui avait persécuté le peuple de Dieu, qui avait fait d’eux des esclaves. Leurs ruines gisent à six ou sept mètres sous la terre.

205     J’ai été à Londres, en Angleterre, où toutes les grandes hiérarchies d’archevêques se sont tenues, et j’ai vu là aussi que cela s’est enfoncé dans la terre. Qu’est-ce à dire? — Nous n’avons, ici, pas de cité permanente, mais nous en cherchons une à venir.

206     Pourquoi tous ces royaumes? — C’est simplement pour vous dire qu’ils nous parlent de celui qui est éternel. Pourquoi l’arbre est-il beau? — Il attend, il attend la pleine manifestation des fils de Dieu, quand cet arbre pourra vivre à jamais. Il y a un Royaume à venir. Et la Bible a dit: «Nous n’avons pas ici-bas de cité permanente, mais nous en attendons une.» Et là Dieu nous a donné un Royaume qui ne peut être ébranlé.

207     Tout sur terre est chancelant, ébranlable; ça s’effondre. Tout est en décadence. Nous vivons dans un monde qui est en péril. Tout est en péril. Les arbres sont en péril. Le gazon est en péril. Les fleurs sont en péril. Les villes sont en péril. Le monde est en péril. Vous êtes en péril. Tout est en péril. Je suis en péril. Tout est en péril. Ce certain rayon acide dans l’air, ces éléments chimiques de l’air…

208     Juste avant l’érection du grand pont, ici, je l’avais vu vingt-deux ans avant qu’il ne soit construit, j’avais vu des hommes perdre leurs vies sur ce pont. J’avais parlé de la construction de ce pont, et ma mère avait voulu m’emmener chez le docteur, pensant que j’avais des spasmes nerveux. Et je lui avais dit: «J’ai vu un pont sur le fleuve, et j’ai compté les hommes.» Vingt-deux ans plus tard, le pont a été érigé, et ce même nombre d’hommes a perdu la vie. Je crois qu’ils étaient seize.

209     Maintenant, j’ai pensé, quand ils ont fixé les gros piliers: «Ce pont-là est planté là pour toujours.» Oh, ils l’ont peinturé à trois ou quatre reprises, et la rouille est après lui. Qu’est-ce à dire? — Les rayons de l’air le brûlent.

210     Une belle jeune fille de seize ans, assise dans une église, mâchant son chewing gum, et faisant la pitre et se malmenant; une fois dehors, elle enlève de ses vêtements, pour avoir l’air sexy, pour se trémousser. Et il ne faudra que quelques couchers du soleil, et elle sera vieille et ridée, et sa chair sera flasque. Et ce petit corps qu’elle trémoussait, et qui laissait un esprit y vivre, la contrôler, jetait sa moralité aux chiens, et aura à répondre au jour du Jugement pour adultère. «Quiconque regarde une femme dans le but de la convoiter a déjà commis adultère avec elle.» Ne réalisant pas qu’elle n’est rien que de la poussière, et qu’elle retournera à la poussière, car «tu es poussière, et tu retourneras à la poussière». Qu’est-ce à dire? — Si seulement elle le réalisait et s’arrêtait. C’est là un son incertain.

211     «Eh bien, Untel à la télévision, Untel à l’école», qui essaie d’imiter certaines petites personnalités à l’école. Ne permettez jamais que ce soit là vos exemples. Regardez à Dieu!

212     Oh! des sons incertains! Les élections. Ce temps d’incertitude est là maintenant, plus que jamais.

213     Si nous avions du temps… allons voir dans la Bible. Je vois les sœurs prendre en note les Écritures. Maintenant, en II Timothée 2, lisons à partir du chapitre 3. Écoutez ceci. L’Esprit dit ici:
    Sache que, dans les derniers jours il y aura des temps difficiles.

214     C’est là le Saint-Esprit que vous entendez dans l’église, ce matin, qui parle depuis ce temps reculé, depuis 2000 ans, en l’an 66 de notre ère.
    Car les hommes seront égoïstes (…), fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux,

215     Considérons ce jour-là aujourd’hui. Vous parlez de saint, ils vous appellent des saints qui se roulent par terre. Voyez les enfants, ce qu’ils font. On parle de délinquance juvénile. En ceci je ne suis pas de votre avis, les parents. Ce n’est pas de la délinquance juvénile, c’est de la délinquance parentale. Vous voyez, c’est ce que c’est.

216     Certains d’entre vous ont dit que ces mamans du Kentucky étaient ce qu’il y avait de plus «illettrées». Ces vieilles mamans, avec leur capeline sur la tête, comme cela, on a dit d’elles qu’elles étaient illettrées et ignorantes. Elles ne sont peut-être pas ultra-chic, mais je vous dirai, qu’il y ait donc une de leurs filles qui rentre à la maison comme l’une des vôtres le fait parfois, toutes débraillées, du rouge à lèvres plein le visage, et toutes échevelées. Elles ne lui diront pas: «As-tu eu du bon temps, ma jolie?» Elle l’agripperait par j’ne sais où, et elle se souviendrait de la dernière fois qu’elle est sortie. Et vous l’appelez illettrée! Oui. C’est ça.
    …ingrats, irréligieux,
    insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, (Ils détestent les gens qui essaient de vivre correctement, voyez)
    traîtres, emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu…

217     Ah, ils dépenseront des millions de dollars pour aller à une joute de balle, ou quelque chose du genre, ou là où une vedette de cinéma donne un certains spectacle ou autre, comme les anciens cirques romains le faisaient il y a des années. Mais quand viendra le temps de traverser la rue pour aller à une réunion du Saint-Esprit, ils resteront assis sur leur perron et riront de ça.

218     «Eh bien, dites-vous, frère Branham, ceux-là sont des communistes.» D’accord, allons voir ce que le 5e verset en dit:
    …ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force.

219     Reniant la puissance de quoi? — De la puissance de Dieu. Ayant l’apparence de Dieu, mais reniant la puissance de Dieu. Allant à l’église et appartenant à une dénomination, mais reniant l’existence même du Saint-Esprit qui est dans l’Église, faisant en sorte qu’ils agissent et font les mêmes choses qu’ils ont faites au commencement. Oh là là! Vous voyez comment est la malédiction confessionnelle? Huh! J’espère que vous ne m’en voudrez pas; j’espère plutôt que vous le verrez à la lumière de ce que j’essaie de dire. Voyez? Maintenant, remarquez ceci.
ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi… (que dit-Il à l’Église?) Éloigne-toi de ces hommes-là. (Éloignez-vous de ça! Sortez de cela!)

220     C’est exact. Car, écoutez, lisons un autre verset, ou deux. Écoutez ça, car considérez comment est ce genre. Voyez si c’est incertain.
    Il en est parmi eux qui s’introduisent dans les maisons, et qui captivent des femmes d’un esprit faible et borné, chargées de péchés, agitées par des passions de toute espèce,
    apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité.

221     Qu’est-ce que la vérité? — Jésus-Christ est la vérité. Il a dit: «Je suis la vérité.»
    Pilate a dit: «Qu’est-ce que la vérité?»
    «Je suis le chemin, la vérité, la vie.»

222     Les femmes, avec toutes sortes de sociétés de femmes, qui font des couvertures, qui se réunissent et font des plaisanteries, qui organisent des soupers, des repas pour payer le pasteur, et ainsi de suite, et qui ne peuvent jamais arriver à la connaissance de savoir que Jésus-Christ existe aujourd’hui dans la puissance de Sa résurrection et du Saint-Esprit. Vous voyez, jamais! «Des femmes d’un esprit faible et borné!»

223     Là il ne parlait pas de vous, les sœurs. Il a dit: «Des femmes d’un esprit faible et borné», c’est ça, «agitées par des passions de toute espèce». C’est pas votre cas; et je suis fier de vous, mes sœurs.

224     Il a dit: «Ne pouvant jamais». Combien incertain, alors, que le son d’une dénomination formaliste! Combien incertain est le son de l’église d’aujourd’hui! Qui sait quoi faire? Laissez-moi vous donner un aperçu de l’église d’aujourd’hui. Il y a la crainte d’une guerre, il y a des problèmes partout, et les gens se précipitent à leur église et ne peuvent y trouver là de réponse. Le soir de Noël, je vais prêcher sur ce sujet, Pas de réponse à ce qu’était l’étoile parue dans l’Est. Maintenant, remarquez. Oh là là! C’est là, et ils ne savent pas ce que c’est. Ils ne savent pas quoi en dire. Pourquoi? — La seule chose à laquelle ils peuvent se référer, c’est: «Nous avons appris au collège.»

225     L’Église ne dépend pas de ce qu’ils ont fait au collège. Mais il s’agit du Saint-Esprit qui vit dans l’Église, qui la conduit et la guide, et qui lui montre au préalable les choses à venir, comme Il l’a fait du temps de Titus. Il les a avertis des choses à venir, de fuir la fureur à venir. Oh là là! «Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux églises.»

226     Dites-moi, y a-t-il quelque chose, alors… Je ne veux pas vous garder trop longtemps ce matin, mais, y a-t-il quelque chose de certain? Vous ayant donné tant de choses qui sont incertaines, y a-t-il quelque chose de certain? Y a-t-il quelque certitude quelque part? Eh bien, oui, et j’en suis tellement reconnaissant. Y a-t-il quelque chose de certain?

227     Je vous dirai ce qui est certain: c’est l’Évangile de Jésus-Christ. Si vous voulez le noter, vous n’avez pas à aller à ce verset, mais si vous le voulez, c’est en Matthieu 24.35, où Jésus parle de ces jours et ce qui arriverait. Matthieu 24.35, Il dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Mes paroles ne passeront point.» Et cela est certain, n’est-ce pas? — [Amen.] Voilà une chose qui est certaine, c’est Sa Parole. Il y a donc une chose. Nous voyons que nous ne pouvons pas bâtir sur notre église, nous ne pouvons pas bâtir sur notre nation, c’est trop incertain. Mais il y a une chose qui est certaine, c’est la Parole de Dieu. Vous allez certainement avoir à le faire.

228     Quelqu’un disait: «Une chose certaine, c’est les impôts.» Oh non, les impôts, c’est pas si certain que ça. Le Seigneur peut venir. Ils peuvent éliminer ces choses, et tout sera réglé du coup.

229     Ils ont dit: «La mort est certaine.» Non monsieur, la mort n’est pas certaine. De fait, elle ne l’est pas. Il pourrait y avoir un Enlèvement, et là il n’y aurait pas de mort. La mort n’est pas si certaine. Non, non, pas en ce jour. Elle l’était il y a des années, mais elle ne l’est plus maintenant. La mort n’est pas si certaine que ça.

230     Et, de plus, je connais un homme qui a marché avec Dieu, que je vous montrerai comme exemple. Et un jour il s’est fatigué de marche; aussi il est devenu très léger et a commencé à s’élever, et est rentré à la maison, avec Dieu. Voyez? Vous savez tous de qui je parle? — [Énoch.] Oui, Énoch. Et qui représentait-il? — Il était un type de l’Église de ce jour.

231     Et Noé, lui, est un type, comme nous l’avons vu la semaine dernière dans notre leçon, Noé, un type d’Israël qui est porté, sera au mont de la Transfiguration, là-bas, en Palestine, qui veille. Quand Noé a vu qu’Énoch était manquant, il s’est dit: «Que lui est-il arrivé? Qu’est-il advenu d’Énoch? Où est-il?» Noé était le petit-fils d’Énoch. Et il a dit: «Où est-il? Qu’est-il advenu de lui? On ne peut plus le trouver.» Noé s’est mis à construire l’arche. Il a su que l’heure était venue, suite à cela.

232     Et quand maintenant l’Église sera enlevée, et que les gens diront: «Eh bien, j’ai appelé la police. J’ai appelé partout. Elle était assise à table, et elle a disparu.» Eh oui. «Je ne sais pas du tout ce qui est advenu d’elle. Et puis c’est pas tout: la police nous dit que depuis le matin, ils ont reçu cinq cents appels du même genre.» Que s’est-il passé? — C’est terminé, pour les Gentils. Tout à fait. Veillez!

233     La Parole de Dieu est certaine. «Les cieux et la terre passeront (Matthieu 24.35), mais les promesses de Dieu ne passeront point.» Jésus a dit: «Les cieux et la terre passeront.»
    Vous dites: «Les cieux?» — Oui.

234     En Apocalypse 21, Jean a dit: «J’ai vu un nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. Et moi, Jean, j’ai vu descendre du ciel la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse (c’est ce que c’était) qui s’est parée pour son époux.» Oh, c’est là où je veux être. Dieu, aide-moi à y être en ce jour-là! Oui, les promesses de Dieu sont certaines, nous le constatons.

235     Maintenant, faisons un petit voyage, revenons découvrir quelque chose, pour voir qui étaient ceux qui croyaient en ces temps-là. Et comment ils s’en sont sortis, en attribuant à la Parole de Dieu un son certain. Revenons au début de la Bible, à deux ou trois personnages. Et nous serons prêts pour la ligne de prière, dans les quinze prochaines minutes.

236     Maintenant, venons-en au premier, et prenons frère Noé, au commencement. Noé, dans la Genèse. Nous constatons qu’il y avait deux ou trois sons, plusieurs sons étant entendus du temps de Noé. L’un d’entre eux, Noé a entendu la Voix de Dieu, qui disait: «Il va pleuvoir.»

237     Écoutez. Habituellement, Dieu vous dit des choses qui sont absolument bizarres, relativement aux choses du monde, qu’il est… Il le fait pour confondre le monde. Voyez? Ils se confondent dans leurs pensées. Ils disent: «Une bande d’exaltés, oh, bonté divine! vous m’dites pas, vous pensez que ce Dieu, le Saint Dieu, vivrait dans des gens comme eux?»

238     C’est aussi ce que Balak a dit, et Balaam, après avoir vu Israël. Il a dit: «Tout ce qu’il y avait de mauvais à faire, ils l’ont fait.» Mais il n’a pas vu le rocher frappé et le serpent d’airain, et les signes et les miracles de guérison et ces choses dans le camp. De prime abord, ils n’étaient pas différents. Mais Dieu a fait quelque chose de si marquant… Dieu est radical. Ça paraît étrange, mais Il l’est. Nous le verrons par quelques-uns des personnages.

239     Voyez Noé. La Bible dit que du temps de Noé, il ne pleuvait jamais. Dieu arrosait la terre, par la terre. Il n’avait jamais plu. Et voici qu’ici il y avait ce fanatique, en train de construire un gros bateau, l’équivalant de deux pâtés de maisons. Un bateau qui flotterait, alors qu’il n’y avait rien qui le ferait flotter. Il n’y avait pas d’eau. Pas même une goutte. Au plus, il y avait des ruisseaux. «Pourquoi construisait-il ça, et le goudronnait-il au dedans et au dehors? Pourquoi, disaient-ils, d’où viendra cette eau, Noé?
    — De là-haut.

240     — Je suis un scientifique. Et je peux te prouver qu’il n’y a pas d’eau là-haut. S’il y en avait, elle tomberait à l’instant où l’on se parle. Il n’y en a pas. Je peux te le prouver scientifiquement.

241     — Eh bien, a répondu Noé, tu sais, Dieu est capable d’en mettre un peu là-haut, tu vois. C’est ça. Dieu a dit que ça viendrait de là. Et ça viendra de là.
    — Qu’est-ce que tu fabriques là, Noé?
    — Je me prépare, tu vois, je me prépare.»

242     Là, la science donnait son ton de cloche. La science disait: «Cette bande d’exaltés, sur la colline, ils sont vraiment fous. Ils ont perdu la tête, ma foi! Ils sont en train de se découper un gros bateau, voulez-vous bien me dire ce qu’ils vont faire avec ça? Si on faisait converger toutes les sources d’eau du monde au même endroit, ils ne suffiraient pas à mouiller la coque. Et voici qu’ils disent: ‘Il va flotter. Et l’eau va venir d’en haut.’»

243     Mais Noé, même si la science disait que c’était fou, écoutait ce Son certain. Dieu avait dit: «Je vais détruire le monde, par l’eau», il n’y avait rien de confus en cela. À cette époque, cela semblait incertain, mais c’était la Parole de Dieu, peu importe combien ridicule cela semblait.

244     Dieu a dit: «Je suis le Seigneur qui te guérit.» Il n’y a rien de confus  en cela. Croyez en cela.

245     Dieu a dit: «Je donnerai, à celui qui veut, le Saint-Esprit.» Il est venu. Il n’y a rien de confus en cela.
    Vous dites: «Je suis un buveur. Je suis une prostituée.»

246     Ça m’importe peu. «Que celui qui veut vienne.» C’est rien de confus.

247     Je préférerais qu’Il dise cela à ceci: «Quand William Branham viendra en 1960, je lui donnerai les fontaines d’eau de Vie.» Bon, cela aurait été vraiment bien, j’aurais pu croire qu’il s’agissait de moi. Mais il aurait pu y avoir deux William Branham, et je n’aurais pas su s’il aurait vraiment s’agi de moi.

248     Mais quand Il a dit: «Que celui», je sais qu’il s’agit de moi, de toute façon, parce que je suis parmi ceux qui voulaient venir, voyez.
    Donc, vous voyez, la Parole de Dieu est certaine.

249     Maintenant, pour ceux du dehors, le monde scientifique, cela paraît vraiment confus. Parce qu’ils ont dit: «Qui aurait pensé… Regardez ça: il y a la lune la nuit; là sont les étoiles; là sont les atmosphères.» Et, vous savez, ils en savaient plus en ce temps-là qu’on en sait aujourd’hui.

250     C’est en ces jours-là qu’ils ont érigé les sphinx. Pourrions-nous les bâtir de nos jours? Cela prendrait seize wagons pour transporter une seule patte; et c’est haut comme un demi-pâté de maisons. Pourrions-nous bâtir cela?

251     C’est en ces jours-là qu’ils ont bâti la pyramide. Une seule de ces grosses pierres pèse des centaines de milliers de tonnes. Eh bien, on a rien en ce monde qui puisse bâtir ça. On n’a pas de puissance hydraulique, au carburant ou autre, qui pourrait lever ces pierres à cette hauteur. On ne pourrait avoir de machine suffisamment puissante. C’est si colossal! Et c’est si parfait qu’on ne s’est pas servi de ciment. Ils les ont taillées au sol, et les ont levées par quelque moyen, et vous ne pourriez pas glisser une lame de rasoir entre elles, comme cela; elles sont tellement près les unes des autres. Plus intelligents que nous le sommes aujourd’hui.

252     On utilisait la teinture en ce temps-là. On pouvait faire une momie en ce temps-là. On ne pourrait pas en faire de nos jours. On ne pourrait plus momifier un corps humain, nous ignorons le produit qu’il faudrait mettre dans les corps pour les faire paraître naturels. Ils utilisaient la teinture, ils en teintaient les vêtements en ce jour-là, que l’on n’a pas aujourd’hui. On ne pourrait rien produire de pareil. Il y a plein de choses qu’ils avaient alors et qu’on n’a pas aujourd’hui.

253     Ici, il n’y a pas longtemps, ils ont déterré une moderne station hydraulique, ici même, au Mexique, qui avait été engloutie durant la période antédiluvienne. Une moderne station hydraulique, beaucoup plus perfectionnée que ce que l’on a aujourd’hui. Voyez?

254     «Ce qui arriva du temps de Noé», un peuple astucieux comme ils étaient, «arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme», une autre génération astucieuse.

255     Ces gens étaient intelligents, d’une science probablement plus développée, qu’ils pouvaient mesurer la distance d’une étoile à l’autre. À ce point intelligents qu’ils ont pu ériger, géographiquement, au bon emplacement, cette grande pyramide; et si bien centrée sur la terre que, peu importe la position du soleil, on ne trouve jamais d’ombre autour: le matin, le soir, le midi, de tout côté, il n’y a pas d’ombre. Voyez? J’y ai été.

256     Maintenant, considérez tout ce qu’ils ont fait, et les compétences qu’ils avaient. Et pouvez-vous vous imaginer, il n’avait jamais plu, et rien ne présumait qu’il pouvait pleuvoir. Comment cet homme a-t-il jamais pu faire passer ce message? Il ne l’a pas pu. C’était cela.

257     Mais comme Noé se tenait dans la porte de l’arche et prévenait les gens d’une destruction imminente, il en est de même du prédicateur de l’Évangile né de nouveau, aujourd’hui, qui se tient à la porte, Jésus-Christ, enchâsser par le Saint-Esprit, mettant en garde les gens d’une destruction imminente. Bien sûr, comme ce qui arriva du temps de Noé, c’est aussi la situation que nous vivons aujourd’hui.

258     Là, comment la science a-t-elle pu dire: «La pluie, venir de là?» Mais, vous voyez, Dieu savait comment faire venir la pluie de là. Il a soit fait se produire un tremblement de terre, ou quelqu’un avait la puissance atomique, et ils s’en sont servi et fait éclater une partie de la terre. Et cela a fait s’incliner la terre, l’a fait sortir de son orbite, et maintenant elle penche en arrière. Après coup, la chaleur de la terre et la froideur de la terre, depuis le soleil et plus loin que le soleil, ont formé des nuages. Il est Jéhovah-Jiré. Il peut pourvoir Lui-même à tout ce qu’a dit Sa Parole.

259     Il peut se pourvoir d’une Église. Il n’a pas à m’avoir, moi. Il n’a pas à vous avoir, vous. Non. Il n’a pas besoin de cela. Il peut pourvoir. Quelqu’un d’autre peut prendre votre place. Prenez garde à ce que personne ne prenne votre couronne. Il n’a pas besoin de nous, mais nous avons besoin de Lui. Si vous vivez, vous devrez L’avoir. Parce qu’Il est le seul, comme l’a dit Pierre.

260     Quand Il a dit: «Voulez-vous aussi partir?», quand Il a dû leur annoncer la vérité. Il était un grand homme quand Il guérissait les malades. Oh, et quand les signes et les miracles Le suivaient, c’était un grand homme. Mais quand Il a commencé à leur parler selon la vérité, alors qu’est-il arrivé? Là on L’a pris pour un fanatique et on s’est poussé de Lui. Il s’est tourné vers les disciples… Rappelez-vous, Il était très indépendant, parce qu’Il était Dieu. Il s’est tourné vers eux et a dit: «Vous voulez aussi partir?»

261     Pierre a dit: «Seigneur, à qui irions-nous? Où irions-nous? Car Tu es Celui qui a les paroles de Vie éternelle, et nous en sommes convaincus.» Vous voyez, il n’y a pas d’incertitude en cela. «Nous sommes certains que Tu es Celui qui la possède. Nous ne sommes pas ballottés par tout vent de doctrine. Nous savons que Tu as les paroles de Vie éternelle, parce que personne ne peut faire les choses que Tu fais si Dieu n’est en lui  (c’est exact), n’est avec lui». Nicodème a fait la même remarque.

262     Disons ceci alors: Est-ce que le son auquel écoutait Noé était confus? — Non monsieur, il était sûr. On a eu la destruction antédiluvienne, qui a détruit le monde entier, et Dieu a fait pleuvoir comme Il l’avait dit. Comment ça? — C’est la Parole de Dieu qui l’a dit. Le monde scientifique a coulé et a été détruit.

263     Voyez, la chose même qui a sauvé Noé a tué ses critiques. Saviez-vous cela? L’eau même! Sans eau, Noé n’aurait pas pu être sauvé. Seule l’arche a flotté. Donc, ce qui a fait flotter l’arche est ce qui a noyé les critiques.

264     Et ce même Saint-Esprit, aujourd’hui, dont les gens se moquent, sauvera l’Église et condamnera les critiques. Cette chose même, voyez, cette chose même. Ce qui sauve le croyant est ce qui condamne l’incroyant. Tout à fait. Aussi, voyez-vous, ayez foi en la Parole de Dieu! C’est la seule chose sur quoi on peut se tenir et qui est certaine. Ce que dit Dieu est certain. Croyez-y simplement!

265     Prenons maintenant l’autre personnage, du temps de Moïse. Moïse avait tenté par les programmes éducatifs, il avait tenté par les programmes militaires de délivrer Israël, parce qu’il savait être né dans ce but. Et l’heure était maintenant venue pour lui d’agir. Mais il a essayé par ses propres moyens, par sa formation, et formant sa grande société, ou quoi encore, faisant appel à l’aspect militaire. De sa propre éthique, il a failli. Là, écoutez attentivement.

266     Mais un jour, Dieu s’est emparé de lui, par un buisson ardent. Et voyez à quel point Dieu a rendu cet homme déraisonnable. Dieu l’a attiré au buisson ardent et lui a parlé. Maintenant, Dieu ne lui avait jamais parlé auparavant; il ne Le connaissait que par la lecture. Donc, Dieu lui a parlé.

267     C’est la raison pour laquelle Noé savait de quoi il parlait. Dieu lui avait parlé. C’est comme ça qu’il le savait. Il l’avait entendu de Dieu. Voyez?

268     Mais un jour, quand Moïse, entraîné, cultivé… Oh là là! était-il instruit! oh, et c’était tout un militaire! Il s’est dit: «Avec toutes mes études, j’ai un PhD, un DDD, un double LD», et tous ces diplômes auxquels on peut se référer, «là, je vais à coup sûr savoir m’y prendre, parce que… je suis le cerveau de l’Égypte.»

269     Ça m’est égal de quoi vous êtes le cerveau, c’est pas bon. Aux yeux de Dieu, c’est de la folie. Votre savoir est de la folie pour Dieu. Voyez? «Parce que Mes voies sont plus élevées que les vôtres, et Mes pensées plus élevées que les vôtres» dit Dieu. Voyez? Donc, vos meilleurs cerveaux…

270     Comme Paul a dit: «Je ne suis pas venu à vous, vous prêchant par un discours persuasif, comme le fait la sagesse. Parce que, si je l’avais fait, vos espoirs auraient été bâtis…» Pourtant Paul aurait pu le faire, parce que c’était un homme intelligent. Il a dit: «Je pourrais le faire. Mais, s’il en était le cas, vous reposeriez sur la philosophie de l’homme. Mais je suis venu à vous, dans la puissance et la résurrection, avec le Saint-Esprit, pour que votre foi soit en Dieu.» Voilà. Car l’autre chose est un son incertain. Mais ceci est certain et vrai.

271     Donc Moïse avait essayé avec un son incertain, avec ses éthiques. Son instruction était incertaine. Mais un jour il a entendu un Son certain. Oh, là je me sens religieux. Oui, il a entendu un Son certain, car il a vu une Lumière suspendue dans un buisson. «Enlève tes souliers, là où tu te tiens, car c’est une terre sainte.» Il a dit: «J’ai entendu les cris de Mon peuple, et Je me suis rappelé Ma Parole.» Amen. Y a rien d’incertain en cela. «Je me rappelle ce que J’ai dit à Isaac, Jacob et Abraham, et tous les autres. Je me souviens de Mes promesses. Je ne les oublie pas. J’ai entendu les cris de ces gens, et l’heure est venue. Je vais t’envoyer, Moïse.»
    Moïse a dit: «Comment vais-je jamais y arriver?»

272     Écoutez. «Je serai avec toi.» Y a rien d’incertain en cela.

273     «Comme J’ai été avec Moïse, Je serai avec toi. (Voyez?) Je serai avec toi.» Y a rien d’incertain en cela. «Je serai avec toi.» Des années plus tard, Il a dit à Josué: «Comme J’ai été avec Moïse, Je serai avec toi.
    — Comment vais-je venir à bout de ces grandes villes fortifiées?»

274     — Ce n’est pas à toi de le figurer. J’ai été avec Moïse, Je serai avec toi. Et tout lieu que foulera la plante de votre pied, Je vous le donne. Continuez d’avancer (voyez). Nul ne tiendra devant toi, tant que tu vivras.» Y a rien d’incertain en cela. Je serai avec toi.
    — Je serai certainement avec toi», a dit Dieu à Moïse.

275     Maintenant, je veux que vous remarquiez que lorsqu’un homme entend la Voix de Dieu, entend personnellement la Parole de Dieu… Bon, vous pouvez l’entendre… Vous dites: «Eh bien, Dieu doit venir me rencontrer.» Oui monsieur. Je pourrais rester derrière cette chaire à prêcher jusqu’à ce que je tombe mort, et dans dix, vingt, trente, cinquante ans d’ici, vous ne l’auriez toujours pas entendue, si Dieu ne vous la révèle pas. Ça peut être directement à votre place. Vous n’avez pas à être près d’un buisson ardent. Vous êtes peut-être plus près que vous pensez l’être. Restez simplement assis et laissez Dieu vous parler, dans la Parole.

276     «Je dois quitter ce genre de vie que je vis. Je dois être en règle.» C’est Dieu, Dieu dans Sa Parole, se faisant connaître à vous. «Je devrais mettre ma vie en règle avec Dieu.» C’est Dieu. C’est Dieu. C’est certain. «Je devrai mourir un jour.» Certainement, vous allez mourir un jour. «Je devrai en répondre au Jugement.» Certainement, vous allez devoir en répondre au Jugement.

277     Où donc est votre Jugement? Là-bas au Trône, où vous n’aurez aucune miséricorde? ou ici au Trône, où vous pouvez obtenir miséricorde? C’est à vous de choisir. C’est l’arbre, comme au jardin d’Éden, celui de la Vie et celui de la mort. Si vous le reportez à là-bas, vous mourrez; prenez-le maintenant, et vous vivrez. Vous en êtes le juge, voyez, vous êtes celui qui devez en juger. Vous en êtes ici le juge, mais là-bas, c’est Lui qui le sera. C’est vous qui maintenant êtes juge, à savoir si vous Le voulez ou non. C’est Lui qui jugera là-bas si vous L’avez reçu ou non. Vous aurez à prendre la décision de ce que vous allez faire; mais ça vous regarde. Devant tout homme, comme pour Adam et Ève, est placé le bien et le mal, et c’est à vous de décider.
    «Je serai avec toi certainement.

278     — Comment pourrais-je venir dire à mon patron que j’ai été sauvé et rempli du Saint-Esprit?
    — Je serai avec toi certainement.

279     — Comment vais-je faire pour dire à mon mari que je vais arrêter mes méchancetés? Comment vais-je faire?
    — Je serai avec toi certainement.

280     — Comment vais-je faire pour dire à ma femme que je l’ai trompée et que j’ai fait des choses mauvaises? Comment vais-je faire? Comment vais-je faire pour regarder ma famille en face après cela? Ils ne me croiront pas, quand ils savent que j’ai juré, que je me suis mal conduit, et toutes ces autres choses, et venir leur dire que je suis un chrétien?
    — Je serai avec toi certainement», a dit Dieu.

281     Ça vous fera faire des choses que vous n’auriez pas pensé. Voyez Moïse, et combien cela l’a fait agir avec assurance. Qu’a-t-il fait, cet homme, de quatre-vingt ans?

282     Vous dites: «Frère Branham, j’aurai bientôt dans la cinquantaine, un vieil homme.» Oh, votre âge n’a pas d’importance, ça n’a rien à voir avec cela. Le jour où Dieu peut vous apaiser assez pour vous parler, et que vous entendez Sa Parole, c’est le jour où Il vous parle, peu importe votre âge. «Comment vais-je faire, frère Branham?»

283     Considérez Moïse, à quatre-vingt ans. L’Égypte avait conquéri le monde, ils détenaient tous les secrets militaires et le reste. Et Moïse fit monter sa femme sur une mule, mit Gershom sur elle, et il partit le lendemain, un bâton crochu en main, sa longue barbe blanche comme ceci, et sa tête chauve reluisait probablement comme cela, en tirant sa vieille mule. Il criait: Gloire à Dieu! Gloire à l’Éternel!
    Quelqu’un lui a demandé: «Tu vas où, Moïse?

284     — En Égypte, en prendre possession.» Combien ridicule!

285     Mais quand un homme parle à Dieu, et qu’il porte en lui la Voix de Dieu, et la Parole de Dieu!… «Si vous demeurez en Moi (Jean 15), et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et il vous sera accordé.» Voyez, y a rien d’incertain, cela devra se faire. Tout à fait, c’est rien de confus.

286     Moïse a dû dire à Dieu: «Comment vais-je faire une invasion tout seul? Comment vais-je faire, moi, un vieil homme de près de quatre-vingt ans, comment vais-je pouvoir descendre là, et combattre une grande armée d’un million d’hommes?
    — Je serai avec toi certainement.»

287     C’est tout ce qu’il lui fallait entendre. Le voilà parti. Il y va. Et il en a aussi pris possession. Pourquoi? — Il était certain que le Son qu’il avait entendu était vrai.

288     Et le Son que vous entendez ce matin est vrai, parce que c’est la Parole de Dieu.

289     Les enfants hébreux à la fournaise ardente, comment savaient-ils qu’ils allaient être délivrés? Ils ont dit: «Notre Dieu est capable de nous délivrer.» Il ne l’avait jamais fait auparavant. «Il est capable de nous délivrer de la fournaise ardente. Mais, néanmoins, nous sommes certains qu’Il le peut.» Y a pas d’incertitude en cela. «Nous connaissons Sa volonté, et nous ne nous inclinerons pas devant votre statue.

290     «Nous n’allons pas participer à ce festin. Nous n’allons pas fumer ces cigarettes. Nous n’allons pas boire cette boisson forte. Nous n’allons pas mentir. Nous n’allons pas commettre adultère. Nous n’allons plus tromper nos femmes, nos maris. Nous sommes certains que Dieu peut nous en délivrer.

291     «Et si c’est le cas, ils vont vous congédier des jeux de bunco. Ils vont vous congédier des parties de cartes et des maisons pour femmes.» Je me soucie peu de ce qu’ils me font. Dieu est capable de me délivrer.

292     Vous savez ce qu’ils vont faire? Ils vont vous dire que vous n’êtes pas à la mode. Si vous portez vos cheveux longs, vos jupes longues, et agissez comme des dames, vous savez ce qu’ils vont faire? Ils vont vous appeler ‘vieille mode’.

293     Je ne me soucie guère de ce qu’ils font. Mais Dieu est capable de me délivrer, et c’est ce que je poursuis aujourd’hui. Dieu est capable de me délivrer. C’est tout.

294     «Eh bien, si vous ne portez pas le short cet été, que va dire Susie?»

295     Je ne m’arrête pas à ce que Susie dit. C’est ce que Dieu dit qui m’intéresse. Parce que le son que rend Susie n’est pas certain. Mais Dieu est vrai, c’est un Son certain. Ainsi, Il les a délivrés.

296     Combien certain était Abraham, après vingt-cinq ans d’attente, d’avoir cet enfant que Dieu lui avait promis! Pouvez-vous imaginer Abraham, un vieil homme, de bonne réputation devant le peuple, et un jour Dieu lui a parlé, lui a dit: «Abraham, je vais faire de toi un ‘père des nations’, Je vais changer ton nom et t’appeler Abraham; d’Abram en Abraham. Et je vais l’appeler Sara (princesse) plutôt que Saraï; Je vais changer son nom. Et vous êtes tous les deux âgés. Tu as soixante-quinze ans et elle en a soixante-cinq. Tu vis avec elle depuis ses seize, dix-sept ans, parce qu’elle est ta demi-sœur. Tu vis avec elle depuis tout ce temps, tu l’as mariée quand elle n’était qu’une jeune fille. Toutefois, tu n’as pas d’enfants. Mais tu en auras. Je vais te donner un enfant. Me crois-tu, Abraham?
    — Oui, Seigneur, je Te crois.
    — Eh bien, ils vont maintenant te taxer de fou.
    — Oh, peu importe, Seigneur, ça ira.
    — Dis-leur que tu auras un enfant.»

297     Il a saisi Sara par le bras et lui a dit: «Ma chérie, tu sais quoi, tu vas avoir un enfant!
    — Quoi! un enfant!
    — Oui.
    — Comment tu le sais?
    — Dieu me l’a dit.

298     — Amen, c’est vrai, chéri, nous allons l’avoir! Tu sais ce que je vais faire? Donne-moi un peu d’argent; je vais aller chercher des petites bottines, et d’autres trucs. On va se préparer à l’avoir, tu vois, parce qu’il est en route.» Oui monsieur. Elle est donc descendue en ville.

299     Je les entends dire à leur médecin: «Docteur, vous savez quoi, nous aimerions que tout soit prêt, à l’hôpital, nous allons avoir un enfant.

300     — Euh, uh, uh, uh, hum! Euh, quel est votre nom déjà?
    — Abraham.

301     — Hum, oui. Oui, monsieur, vous allez devoir m’excuser, j’ai beaucoup à faire aujourd’hui.»

302     Il s’est retiré, et a dit: «Hé, vous feriez mieux de le remettre aux autorités, de faire examiner ce vieux, il doit avoir perdu la tête. À soixante-quinze ans, et sa vieille, celle qui est assise, avec un châle sur les épaules, là, la p’tite grand-mère, elle dit qu’elle va avoir un bébé. C’est bien là le fils de Térach, qui est venu de Schinear pour s’installer à la tour? Est-ce bien son fils?
    — Oui.

303     — Pauvre lui, il a trop pris de soleil, une insolation probable. Un peu maboul, hein!» Mais c’est là un son incertain.
    Abraham, lui, avait un Son certain: «Dieu l’a dit.»

304     Les autorités ont dit: «C’est un homme loyal. Je sais que bien des fois il a aidé des veuves. Il vient en aide, comme ça. Elle, elle est des plus gentille. Je ne veux pas les enfermer, ou quoi que ce soit. On ne va pas leur mettre des chaînes et agir comme cela avec eux, ils deviendraient pires. On va plutôt garder l’œil sur eux.» Et ils ont continué à les surveiller. Comme c’est incertain comme son!

305     Mais Abraham savait que ce Son-là était certain. Le premier mois passa. «Comment te sens-tu, chérie? Y a-t-il du neuf?» Maintenant, rappelez-vous, vous les dames, il y avait belle lurette qu’elle n’avait plus ces vingt-huit jours, depuis sa quarantaine peut-être. Et ici elle en avait soixante-cinq. «Comment te sens-tu, chérie?
    — Oh, chéri, rien de neuf.

306     — Gloire à Dieu, on va l’avoir, de toute façon. (Rien d’incertain.) Certain, je suis positif. Oui monsieur. Je suis tout ce qu’il y a de plus certain.»
    — Comment sais-tu, Abraham, que tu vas l’avoir?
    — Dieu l’a dit. Je vais l’avoir, de toute façon.

307     Bon, le deuxième mois, le troisième mois, la première année. «Y a-t-il quelque chose de différent, chérie?
    — Non.
    — Encore rien?
    — Non, non.
    — Eh bien, gloire à Dieu! On l’aura quand même.»

308     «Hé, Abraham, j’ai entendu dire que tu avais dit que vous alliez avoir un bébé. Ooh, oh, oh!» C’est là un son incertain, voyez.

309     Mais Abraham avait entendu un autre Son qui avait anéanti tous les autres. «Gloire à Dieu! Peu importe le temps qu’Il prendra. Je vais l’avoir, de toute façon.
    — Comment le sais-tu, Abraham?
    — Dieu l’a dit!
    — Est-ce que Dieu est descendu te le dire?
    — Oui.
    — Comment sais-tu? Laisse-moi L’entendre.

310     — C’est à moi qu’Il a parlé, pas à toi. Continue donc, continue, vieil incroyant! Tu ne crois pas, de toute façon. Je crois en Lui, tu vois. Aussi, continue. C’est ça. On aura l’enfant de toute façon.» Vingt-cinq ans passèrent.

311     Mais avant que n’arrive ce temps, ils riaient et se moquaient. Dieu a dit: «Tu sais quoi, Je vais t’éloigner d’eux. Fais tes bagages, tiens-toi prêt. Tu auras à te séparer de ce groupe d’incroyants. Là-bas Je te donnerai une petite église, des gens qui te croiront. Éloigne-toi de ces vieilles dénominations froides et formalistes. Sors d’ici, marche avec Moi seul!» Dieu ne l’a jamais béni tant et aussi longtemps qu’il ne l’a pas fait, ne s’est pas séparé de toute incrédulité.

312     Et Il ne vous bénira jamais avant que vous ne fassiez la même chose. Ôtez toutes ces vieilles superstitions de votre chemin, ces «peut-être que c’est ça, et peut-être que c’est pas ça». Si vous êtes ici pour une guérison, ce matin, venez avec une réelle foi. «Dieu l’a promis, et ça règle tout.» Et c’est bien cela, Dieu l’a promis. Et c’est tout ce qu’il y a à comprendre, Dieu l’a dit. Il l’a dit, et ça règle la question. Vous n’avez plus à discuter, à penser. Très bien.

313     Bon, après vingt-cinq ans. Abraham est à présent un vieil homme; il a cent ans. Et Sara a quatre-vingt-dix ans. Pensez à ça, une petite grand-mère, un châle sur ses épaules, une capeline contre la poussière. Et le grand-père, vous savez, comme ceci, et ce «Comment vas-tu, chérie?
    — Pas le moins différente.
    — On l’aura! Gloire à Dieu!»

314     Un beau jour, comme il leva les yeux pour regarder au loin, il vit trois hommes marcher en sa direction. Ils se sont arrêtés. Deux d’entre eux se sont dirigés vers Sodome, y prêcher.

315     Il a dit: «Abraham, où est ta femme, Sara?» Oh là là! Fiou! Maintenant, rappelez-vous, Jésus a dit que ça se verrait de nouveau, vous savez, ce même Ange. Il a reconnu que c’étaient des anges, voyez. Il avait déjà entendu ce Son. Et quand il a entendu cet Homme parler, il y avait quelque chose de particulier, qu’il a reconnu comme étant la même Voix. Voyez? Il a su que c’était la même.

316     Il a dit: «Sara (après s’être glissé discrètement dans la tente), fais vite, va promptement nettoyer l’âtre, pétris la pâte… ou prends le morceau, et place-le dans la saupoudreuse.» Vous vous rappelez de ça? «Tamise un peu de farine.»

317     Combien d’entre vous, du Kentucky, se rappellent de cela? Eh bien, vous devriez! J’ai vu ma mère prendre de cette pâte et la battre, boum, boum, boum, et la travailler, et la travailler, et boum, boum, boum, en secouant la farine dans un tamis, pour nous faire des gâteaux. Et puis bouillir une viande maigre dans un moule à pain, et y verser de l’huile. Et des pois noirs et des navets verts; c’est très bon à manger. Et quand le cidre surissait, et qu’il tournait au vinaigre, vous savez, on prenait la moisissure qui était dessus, et on mettait un peu de vinaigre dessus.  Mmm! c’est bon.

318     Je vois Sara faire cuire ces gâteaux. Et Abraham est sorti et est allé voir où il pourrait trouver un veau gras; et le tuer, le rapporter et le préparer.

319     Il est sorti, a dit: «Il y a quelque chose de particulier dans cet homme! J’ai déjà entendu cette voix-là. Je vois que ses vêtements sont pleins de poussière. Il est là, se frotte le visage, et regarde tout autour. Mais, je vous dis, je connais cette voix; parce qu’elle n’est pas un son incertain, parce que je l’ai entendue il y a vingt-cinq ans, et, chérie, nous avons attendu tout ce temps, … il y a quelque chose de particulier concernant cet homme! Je ne sais pas pourquoi, mais il y a quelque chose à son sujet, que je crois.»

320     Très bien. Quand il est sorti, il a d’abord envoyé les mouches, vous savez, et ils se sont assis pour manger. Donc, après un bout de temps, deux d’entre eux ont commencé à regarder vers Sodome, et sont partis en sa direction. Un prédicateur moderne est allé leur prêcher l’Évangile.

321     Donc Abraham était assis là avec cet homme. Et son dos était tourné à la tente. Il a dit: «Abraham, où est ta femme, Sara?»
    De lui répondre: «Elle est dans la tente, derrière toi.»

322     Il a repris: «Quand son terme sera là, Je reviendrai vers toi, selon la promesse que Je t’ai faite.» Il a su par cela que ce Son était certain.

323     Qu’arriva-t-il? — Immédiatement, après le départ de l’ Ange, Sara est devenue une jeune femme, belle, comme autrefois. Montrant ce qu’Il va faire à chaque Semence d' Abraham. Cette vieille grand-mère est devenue une jeune femme. Et Abraham, son dos s’est redressé, et sa barbe blanche a disparu; il était redevenu un jeune homme.

324     Et ils ont entrepris un petit voyage de près de cinq cents kilomètres à Guérar. Et une fois là-bas, Abimélec, roi des Philistins, se voulait une épouse. Il voyait bien les jolies femmes autour de lui; elles étaient belles, c’est un fait. Il avait vu toutes ces femmes, et avait dit: «C’est bien pour dire, mais je ne peux pas m’en choisir une.» Un jour il a vu Sara de loin, une centenaire, une petite mémé, et il a dit: «C’est celle que j’attendais! La voilà, c’est elle.» Donc, il l’a prise et allait la marier.

325     Et Dieu lui est apparu en songe, et a dit: «Tu l’as prise. C’est la femme de Mon prophète. Tu n’es qu’un homme mort.»
    Il a répliqué: «Seigneur, Tu connais mon intégrité.»

326     Y avait pas d’incertitude en cela. «Tu la lui rends, ou Je n’entendrai aucune prière qui Me vienne de toi. Je n’écouterai rien de toi, parce que, il est un prophète, et tu lui rends sa femme. Parce que, il a besoin d’un peu d’argent; c’est pourquoi tout ceci est arrivé. Donc, il a besoin d’argent. Sors et rends-lui sa femme. Sans quoi tu es un homme mort.» Il n’y avait rien d’incertain en cela, parce que Dieu avait rendu stériles toutes les femmes. C’est exact.

327     Il est sorti et a dit: «Abraham, pourquoi as-tu fait cela?»

328     Il a répondu: «Eh bien quoi, elle est ma sœur, comme je te l’ai dit, mais elle est devenue ma femme.»

329     Maintenant qu’était-il? Ensuite quand ce petit bébé est né, après toutes ces années, quand ils sont revenus, il arriva que Dieu dise: «Prends-le sur la montagne, tranche-lui la gorge.» Oh là là!

330     Genèse 22 dit qu’il l’a emmené sur la montagne, a pris le petit Isaac… oh, il n’était plus un bébé; il avait près de quatorze ans… Il a rejeté en arrière ses cheveux bouclés, comme cela, a pris le couteau, d’une main tremblante. Il n’y a pas de doute qu’il devait ravaler, la gorge serrée, vous savez. «Mon seul fils, que j’ai attendu tant d’années. Je n’ai jamais eu de garçon. Regarde-le! Regarde-le! mon seul fils, pauvre petit. Mais, ô Dieu, Tu m’as demandé de le faire. Je sais me confier en Ta Parole. Je ne sais pas comment Tu vas le faire, mais, Seigneur, Tu me l’as donné, comme provenant des morts.»

331     Si vous voulez l’écrire, c’est en Hébreux 11.17-19. Allons voir. Nous allons terminer dans une minute. Hébreux 11.17:
    C’est par la foi qu’Abraham offrit Isaac, lorsqu’il fut mis à l’épreuve, et qu’il offrit son fils unique, lui qui avait reçu les promesses,
    et à qui il avait été dit: «En Isaac sera nommée pour toi une postérité.»
    Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter les morts; aussi le recouvra-t-il par une sorte de résurrection.

332     Abraham a dit: «Seigneur, autrefois quand j’étais stérile, je n’avais rien. J’étais pécheur. Et Tu as fait de moi quelqu’un; Tu m’as fait une promesse. Et voici, Tu m’as donné ce garçon. Et je l’ai attendu vingt-cinq ans. Maintenant, quatorze ans plus tard, eh bien, il est devenu un jeune homme, la fierté d’une mère. Je l’ai fait sortir doucement de la maison, sa mère ne comprendrait pas. Mais je Te comprends, Seigneur, je sais que Ta Voix est véritable. Là Tu me demandes de l’immoler, de le tuer. Et Tu m’as dit, que par moi, moi, je serais le père d’une multitude de nations. Par lui, Tu prendrais ce garçon, et par lui… Quand Tu m’as fait la promesse et que Tu as divisé ces animaux en pièces ce jour-là, et cette petite lumière blanche est passée entre les pièces, Tu m’as fait une promesse: par cet enfant-ci, viendrait Ton propre Fils. Amen. Tu susciterais Ton propre Fils, et qu’à travers la semence de mon fils Tu susciterais Ton Fils, et Il sauverait toutes les nations. Je n’sais pas comment Tu vas le faire, Seigneur, ça ne me regarde pas, mais je connais la certitude de cela. Je connais la certitude de Ta promesse, et j’en suis persuadé. Et je l’ai reçu comme provenant des morts. Et je suis pleinement persuadé que Tu es capable de le ressusciter des morts. Et, par la foi, Tu pourrais le rappeler à nouveau. Je prendrai Ta Parole, Seigneur.»

333     Il a tiré son couteau, a dit: «Au revoir, Isaac», après l’avoir embrassé.

334     Dieu a dit: «Attends, Abraham. Attends une minute. Je sais que tu Me crois. Et Je sais que tu M’aimes. Retire ta main.»

335     À cet instant, il a entendu du bruit derrière lui. Il s’est retourné pour voir, et un bélier se trouvait là, pris dans un buisson. D’où venait ce bélier? d’où venait-il? Il était à cent soixante kilomètres de toute civilisation, dans le désert, où il y a des lions, des loups, des chacals, et toutes les bêtes du même genre, qui tuent les moutons. Et, de plus, il se trouvait au sommet de la montagne, où il n’y a pas d’eau ou quoi que ce soit qui permette à un mouton d’y vivre. Et une minute auparavant il n’était pas là. Et en se retournant, et c’était la minute qui a suivi, et il était là. Jéhovah-Jiré, Dieu peut!

336     Abraham a levé les yeux, et a dit: «Tu es Jéhovah-Jiré!» Que signifie Jéhovah-Jiré? «Tu peux pourvoir à tout ce que Tu dis.» Si Tu dis que c’est ainsi, c’est ainsi! Tu es capable de le faire.

337     Et qu’a-t-Il fait? — Il avait dû entendre le même son que Noé avait entendu: «Comment va-t-Il pouvoir tirer de l’eau du ciel?».

338     «Je ne sais pas, mais Il est Jéhovah-Jiré, Il peut pourvoir de l’eau.» [Arrêt de la bande.]

339     …a dit: «Tu vas faire quoi avec cette Bible, tu n’sais pas lire?»

340     Il a répondu: «J’y crois. J’y crois d’une couverture à l’autre; pis j’crois la couverture aussi, parce que c’est écrit Sainte Bible.»
    Il a dit: «Je présume que tu crois aux histoires qu’on y raconte?»

341     Il a répondu: «Oui, monsieur, je crois tout ce que Dieu a dit. Et tout ce que Dieu me dit, je le crois.»

342     Il a dit: «Non, non, Sambo, écoute, tu ne peux pas agir comme cela. Vois, si Dieu te demandait de passer au travers du mur de pierres qui est là, le ferais-tu?»
    Il a dit: «Oui, monsieur, je foncerais tout droit dans le mur.»

343     Il a dit: «Comment vas-tu passer au travers, sans ouverture dedans?»

344     Il a dit: «Si Dieu me dit de ‘passer au travers’, Il aura fait un trou quand j’y arriverai.» C’est à peu près cela. Tout à fait.

345     Dieu tiendra Sa Parole. Il n’y a pas d’incertitude en cela. Quand la trompette de Dieu résonne à vos oreilles, la trompette de l’Évangile, c’est certain. Amen. Demeurez avec cela. Oh, c’est certain!

346     Et tous ces gens… et nous dépassons l’heure. Un commentaire de plus, ou plutôt deux Écritures que je pense avoir notées. Pourquoi ces gens ont-ils tous agi de la sorte? — C’est parce qu’ils avaient entendu la Voix de Dieu. Très rapidement maintenant, pour finir dans trois ou quatre minutes.

347     Jésus, quand Il était ici-bas, a dit: «J’ai le pouvoir de donner Ma vie, et J’ai le pouvoir de la reprendre à nouveau.» Il n’y avait rien d’incertain en cela. «J’ai!»; pas «J’aurai», mais «J’ai maintenant!» «J’ai le pouvoir de donner Ma vie, et J’ai le pouvoir de la reprendre.» Très bien.

348     Marthe, après avoir perdu son frère Lazare, Lui avait entendu dire: «J’irai le réveiller.» Il a dit: «Où l’avez-vous enseveli?»

349     Elle était allée Lui dire: «Jésus, viens guérir mon frère, il est malade.» Jésus n’a jamais prêté attention à cela; Il est parti. Elle est revenue vers Lui, elle et Marie, et Il n’a jamais prêté attention à leur supplication.

350     Ensuite, un peu plus tard, Lazare est mort. On l’a mis dans une tombe. Déjà il sentait, depuis quatre jours qu’il était là. Son nez s’était affaissé, les vers bougeaient sur lui, et tout, enveloppé dans ces langes. On avait placé une pierre sur sa tombe. En Orient, on creuse simplement un trou, puis on place une pierre par-dessus ce trou. C’était là la tombe.

351     Elles ont donc dit: «Viens, Jésus!» Donc, Marthe s’est couvert les épaules de son châle, puis elle est sortie. Cette belle jeune fille a couru vers Lui, et a dit: «Seigneur!…» Regardez cette approche. Elle avait entendu un Son, un jour, et il était certain. Elle savait qu’il y avait quelque chose de certain Le concernant.

352     Que serait-il arrivé si elle avait dit: «On a quitté notre dénomination parce que Tu as prêché contre elle. Et on a tout fait ça parce que Tu as fait ceci et cela. Et on a la foi en Toi. On parle de nous en ville. Tout le monde dit: ‘Où est passé votre exalté de pasteur maintenant? Voyez, vous avez besoin, et Il est où? Il s’est sauvé. Vous voyez, Il est où? Ils sont où, vos guérisseurs divins?’»

353     Rappelez-vous que cela t’a été dit, frère Wright, là-bas, par les prédicateurs de l’Église de Christ. Oui monsieur.

354     «Où sont-ils? Où donc? C’est quoi tout ça? C’est quoi tout ça maintenant, vous voyez?»

355     Donc après un bout de temps, il semble qu’elle aurait dû avoir le droit de Lui faire des reproches et de Lui dire: «Pourquoi n’es-Tu pas venu quand je T’ai appelé?» Mais, voyez, ce n’est pas la manière d’approcher Dieu.

356     Ne posez pas de question. Sachez que le Son est certain. Marchez droit devant, dites: «Oui, Seigneur!»

357     «Seigneur, s’ils m’imposent les mains, comment vais-je savoir que je vais me rétablir?» — Cela ne vous regarde pas, voyez.

358     La seule chose que vous faites, c'est de connaître ce Son certain, que Dieu l’a dit, et continuez votre chemin. Dieu l’a dit, voyez. Oui monsieur, c’est la Parole de Dieu.

359     Ensuite, la première chose que l’on remarque, eh bien, la petite Marthe a couru vers Lui, et a dit: «Seigneur!» Oh, j’aime cela. Voyez, elle L’a gratifié de ce qu’Il était. Il était son Seigneur. «Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Voyez? Elle ajouta: «Mais même là, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Rien d’incertain en cela, non! Voyez? Voyez?

360     C’est quand deux positifs se rencontrent. Voyez? C’est quand deux omnipotents se rencontrent. Voyez? L’omnipotence qu’elle avait, elle avait une foi parfaite, omnipotente en Christ; et Christ était omnipotent, voyez. Elle avait une foi parfaite et sans limites en Christ, qu’Il était le Seigneur, et savait que ce qu’Il demanderait à Dieu, Dieu le Lui accorderait. En d’autres mots, elle a dit: «Prononce simplement la Parole, c'est tout ce que Tu as à faire. Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te le donnera.» — C’est de l’omnipotence, de la toute-puissance.  Parce que, s’Il l’a simplement prononcé!… voyez? Et Il était tout-puissant. C’est lorsque deux puissances, deux puissances omnipotentes se rencontrent. Cela crée un contact.

361     Quand une ligne ici possède un courant de 150 volts, et que cette autre possède 150 volts, quand elles sont reliées, vous avez du 150 volts dans les deux sens. Voyez?

362     Et quand vous avez la puissance suprême… Quand Jésus a dit: «Imposez les mains aux malades, et ils seront guéris», et que vous avez la foi suprême, que c’est la vérité, vous avez alors besoin d’un Dieu suprême qui a fait une promesse suprême, et un résultat suprême viendra. Amen. C’est tout. Voyez?

363     Maintenant, surveillez-la. Elle est venue Lui dire: «Seigneur, si Tu avais été là, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
    Il a dit: «Ton frère ressuscitera.»

364     Elle a dit: «Il est vrai, Seigneur, qu’il ressuscitera à la fin, dans les derniers jours.» Pourquoi? — Elle avait entendu cette Parole. Elle savait que c’était un Son certain. «Il est vrai, Seigneur, qu’il ressuscitera à la fin, dans les derniers jours. C’était un brave homme. Il ressuscitera à la résurrection générale, dans les derniers jours.»

365     Jésus a dit: «Je suis!» Rien d’incertain en cela. «Je suis la résurrection et la vie.» Fiou! «Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en Moi, même s’il était mort, vivra à nouveau. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.» Rien d’incertain en cela. «Crois-tu ceci?»

366     Elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es exactement ce que Tu as dit être. Tu es le Fils de Dieu qui vient dans le monde, pour nous sauver. Et je crois que tout ce que Tu fais ou dis est simplement parfait. Il n’y a pas un gramme d’incertitude à Ton sujet.
    — Où l’avez-vous déposé? Je vais aller le réveiller.»

367     Il n’a pas dit: «Je vais aller voir si Je peux. Je vais aller essayer. Je vais aller voir ce que Je peux faire.» Non, rien d’incertain. «Je vais aller le réveiller.»

368     Pourquoi? — Le Père Lui avait dit, et Il avait la promesse de Dieu, laquelle était véridique. Il avait la promesse de Dieu. Parce qu’Il a dit, en Jean 5.19, que «le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce que le Père Lui montre». Il avait déjà eu la vision de ce que Dieu allait faire, c’est pourquoi Il était positif.

369     «Je ne vais pas aller essayer. Je vais aller le réveiller!» Amen, amen, amen. Oh, je désirerais prendre cela comme on prend un tire-bouchon, et le visser en chacun. Voyez, pas «Je vais aller essayer, Je vais aller voir si Je peux.» Mais «Je peux! Je vais aller le réveiller. Je n’irai pas essayer. Je vais aller le faire. Je vais aller le réveiller», et Il l’a fait. Oh là là! Rien d’incertain. Non, non. «Je ne vais pas essayer. J’en ai la promesse!»

370     Et puis, quand Il est parti, Il ne nous a pas laissés en nous disant: «Eh bien maintenant, vous irez par tout le monde et ferez de grandes organisations. Et, oh, il en viendra plusieurs centaines, mais tout ira bien comme ça pour eux.» Cela aurait été incertain. C’est ce que l’homme a fait.

371     Mais voici ce qu’Il a dit avant de partir, pour être certain que nous ne serions pas séduits. Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. Ce sont là les incroyants, ceux qui sont arrêtés par l’incrédulité; ils ne Me verront plus. Cependant vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

372     Dans Jean 14.12, Il dit: «Les œuvres que Je fais vous les ferez aussi, et de plus grandes, d’avantage.» Le mot qui est là, regardez dans le grec, il est dit: «Vous en ferez plus.» Pourquoi? — Dieu était dans un seul Homme; et maintenant, Dieu est dans Son Église entière. Vous voyez? Dieu était auparavant dans un seul Homme; et maintenant Il est dans tous les hommes qui croient en Lui. «D’avantage que celles-ci ferez-vous, car Je m’en vais au Père. Je retourne à la Lumière que J’étais, laquelle a guidé les enfants d’Israël dans le désert. C’est à cela que Je retourne. Et encore un peu de temps, et Je reviendrai à nouveau.» Voyez, Jean 14.12: «Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi», et ici Il dit: «Et d’avantage».

373     En Marc 16, alors qu’Il s’élevait dans le ciel, Il a dit: «Allez par tout le monde, et prêchez l’Évangile à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. Et ces signes suivront peut-être! (non) …suivront.» Ils sont certains.

374     «Eh bien, vous savez, nous croyons ça, mais, bien sûr, nous vivons en un autre jour», disent les dénominations. C’est incertain.

375     Mais Jésus a dit: «Ils vont assurément suivre ceux qui croient.» Que feront-ils? — «Ils chasseront les démons, parleront de nouvelles langues, imposeront les mains aux malades, et ils seront guéris.» Oh, frère!

376     Non pas: «Ils vont peut-être faire ceci. Ils pourraient changer ça et en faire une dénomination.» Non, non …?… Oh non, non non.

377     «Ces signes vont à coup sûr les suivre.» Il est toujours le même Dieu. Il n’est pas mort. Comment le code chrétien peut-il dire qu’Il est ressuscité des morts, et puis nier qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement?

378     En Matthieu 17, maintenant, prenez ça en note, Matthieu 17.2, concernant la transfiguration. Si vous avez le lexique grec, voyez ce qu’il dit sur la transfiguration. Il est dit: «Et Il fut transformé.» Je crois que c’est… laissez-moi voir si je peux le retrouver. Matthieu 17.
    Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques, et Jean, son frère, et Il les conduisit à l’écart sur une haute montagne.
    Il fut transfiguré devant eux…

379     Maintenant, savez-vous ce que le grec dit qu’Il a fait, par transfiguré devant eux?  — Il changea Son apparence.

380     Oh, combien de temps avons-nous? [Frère Neville dit: «Toute la journée.» La congrégation dit: «Amen.» — N.D.É.] Supportez-moi encore un peu de temps, je dois juste faire passer ceci. Quelque chose vient de me saisir si fortement, que je dois à tout prix le dire. Pardonnez-moi. Le dîner, les fèves ne vont pas brûler. Oubliez tout ça, d’accord.

381     Il est toujours le même. Il n’a jamais changé. Il est toujours le même. Hébreux 13.12 et 13 a dit: «Jésus-Christ le même, hier, aujourd’hui et éternellement.» Maintenant, regardez. Si nous croyons qu’Il est ressuscité, alors, s’Il n’est pas mort, Il n’est pas dans une tombe. Il est vivant. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Vous croyez cela, n’est-ce pas? [Amen.]

382     Eh bien, qu’a-t-Il fait ici quand Il a été transfiguré? Le grec dit: «Il a changé Son vêtement.» Oh, regardez, regardez l’ordre de la résurrection. C’est ce qui m’a saisi tantôt. Remarquez. Qu’est-il arrivé en premier?

383     Ici, dans le chapitre qui suit, le 16e chapitre, Il leur a dit: «Il en est quelques-uns ici qui ne mourront point, qu’ils n’aient vu venir le Royaume de Dieu dans sa puissance.» Ce qu’ils feraient, en d’autres mots, ils verraient un avant-goût du Royaume de Dieu, ils connaîtraient l’ordre de la résurrection et la venue de Dieu. Voyez? C’est dans le 16e chapitre.

384     Il est maintenant sur la montagne, et Son apparence a été changée. En d’autres mots, Il a été révélé sous une autre facette. Me suivez-vous? — [Amen.]

385     Qu’avons-nous dit qu’était une révélation l’autre soir, selon l’Apocalypse, la signification de l’Apocalypse? Un sculpteur avait sculpté une chose, ici; puis il a enlevé ce qui recouvrait sa sculpture et a dit: «Voici.»

386     Que refaisait-Il ici? Il se révélait sous une autre apparence? Dans quelle forme se présentait-Il? — Dans une forme glorifiée, transfigurée, Sa venue, la façon dont Il revient; un Christ glorifié, transformé. Son vêtement resplendit comme le soleil. Oh là là! Il était dans la nuée; et Il vient sur les nuées avec gloire. Couvert d’une nuée. On ne parle pas ici d’un petit nuage blanc à l’horizon, mais la nuée sur laquelle Il revient est une nuée avec gloire, tous Ses anges avec Lui. Alléluia! Oh là là! C’est comme ça qu’Il revient, revenant sur une nuée avec gloire.

387     Maintenant remarquez, quand ils Le virent sur les nuées… Avant cela, Moïse et Élie Lui sont apparus. Surveillez cela.

388     Que représentait Moïse? — Moïse représentait ceux qui étaient morts et qui reposaient dans la tombe. Parce que Moïse est mort et a été enterré, personne ne sait où il a été enterré. Mais il représentait ceux qui dormaient, quand Il reviendra.

389     Et Élie représentait ceux qui sont ravis, qui n’ont pas à mourir. Voyez? Voilà.

390     Et Pierre, Jacques et Jean représentaient ce reste d’Israël qui restent et qui disent: «Voici notre Dieu, en qui nous avons cru.» Ce sont vos cent quarante-quatre mille. Voyez? Pierre, Jacques et Jean. Trois, des témoins de Sa venue.

391     Qu’était la première chose? — La résurrection, Moïse et (conjonction) Élie Lui sont apparus. Voyez? La résurrection des morts, et ceux qui n’ont pas à mourir ont été changés et se sont tenus là dans Sa Présence. Oh là là!
    Et voici qu’Il se tenait là, glorifié.

392     Et là étaient Pierre, Jacques et Jean, le reste des Juifs, qui regardaient, qui disaient: «C’est Lui. C’est Lui.» C’est l’ordre de la venue du Seigneur. Le voyez-vous? C’est là, la résurrection! Ils étaient là. Oh, n’est-ce pas merveilleux? — [Amen.]

393     Remarquez, la seule chose qu’Il ait faite, Il a enlevé Son masque d’humanité et a pris l’état glorifié. Voyez, Il a changé Son apparence.

394     Non pas trois personnes, comme aujourd’hui les dénominations essaient de nous le dire. Oh, frère! Non pas trois personnes, non pas trois, mais trois changements de la même Personne. Oh! bonté divine! Il est déjà apparu comme un Père. Il a ôté Son masque, Il était un Fils. Maintenant, Il a enlevé Son masque de chair, et Il est le Saint-Esprit. Pas trois Dieux, mais trois changements du même Dieu. Oh, béni soit le Nom du Seigneur! Trois changements de la même Personne. Voyez?

395     Maintenant, quand Il était sur la terre, Il était la Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël. N’est-ce pas vrai? — [Amen.] Ensuite Il a été fait chair, dans le Fils de Dieu, afin de goûter la mort pour la race humaine entière, en a fait l’expiation. Croyez-vous cela? — [Amen.] Qu’est-Il maintenant aujourd’hui? — Le même Jésus. Le même (quoi?), hier comme Père, le même comme Fils, le même ici dans la forme du Saint-Esprit, la même Lumière.

396     Paul, sur le chemin de Damas, a été frappé par une Lumière. Et il a dit: «Qui es-tu, Seigneur?»
    Il a dit: «Je suis Jésus.»

397     Qu’est-ce? — Il a enlevé trois fois Son masque.

398     Il a enlevé Son masque, d’une Colonne de Feu, et devenir quoi? — Un Homme, pour enlever le péché.

399     Ensuite Il a enlevé Son masque, en tant qu’Homme, et est revenu comme Esprit, appelé le Saint-Esprit; l’Esprit d’un Homme, pour revenir et être sur vous, et en vous, et faire les mêmes œuvres. Le voyez-vous, église? — [Amen.] Il n’y a rien d’incertain en cela. «Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin de la consommation, la fin du monde, la fin des temps, la fin de toutes choses. Je serai même avec vous, faisant les mêmes œuvres.» Il n’y a là aucune incertitude en cela.

400     Mais vous avez entendu dire de quelques-uns: «Eh bien, vous devez être un presbytérien. Vous devez être un méthodiste. C’est nous les baptistes qui L’avons. C’est nous les pentecôtistes qui L’avons.» C’est tout faux. Ce sont des mensonges. C’est de l’incertitude. Comment les pentecôtes peuvent-ils L’avoir, la dénomination pentecôtiste, quand parmi eux il y a environ trente organisations différentes? Laquelle serait la vraie? Comment les méthodistes L’ont-ils, quand on a les Primitifs, les Méthodistes libres, et beaucoup d’autres? Et soixante et quelques organisations différentes de baptistes, je crois, et autant d’organisations différentes de catholiques, et ainsi de suite. Laquelle serait la vraie? Ce sont des sons incertains.

401     Mais quand vous L’entendez: «Je suis le même hier, et aujourd’hui et éternellement», c’est là un Son certain.

402     Alors qui saura comment se préparer si la trompette rend un son confus? Qu’est-ce à dire? Comment peuvent-elles le prétendre, quand il y a neuf cents organisations différentes? Non, elles ne le peuvent pas.

403     Quand Il a dit, en Actes 2.38: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé dans le Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés (il n’y a pas d’incertitude en cela), vous recevrez le don du Saint-Esprit!» Non pas «Vous recevrez peut-être, vous devriez peut-être», mais «Vous recevrez!» Quand? — Quand vous vous êtes repentis. Bon, si vous entrez là sans vous repentir, vous ne Le recevrez pas. Mais quand vous vous repentez véritablement et que vous croyez au Seigneur Jésus-Christ, vous allez Le recevoir. Y a rien d’incertain. «Vous recevrez le don du Saint-Esprit.» N’est-ce pas? — [Amen.]

404     Quand Il a dit: «S’ils imposent les mains aux malades, ils seront guéris. Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je vous l’accorderai», il n’y a rien d’incertain en cela. Ces signes sont certains. «Je serai avec vous.»

405     Maintenant vous dites: «Eh bien, notre église ne croit pas en ce genre de choses.» C’est effectivement un son confus.

406     La Bible dit cela. Il a Lui-même dit: «Je serai avec vous. Et les œuvres que J’ai déjà faites, Je les ferai toujours en vous. Et Je serai avec vous, jusqu’à la fin du monde. Et ceux qui croient en Moi, quand ils imposeront les mains sur eux, s’ils sont malades, ils seront guéris. Oui! Pas «Peut-être qu’ils le seront».

407     «Jones l’a été, mais pas Johnson.» Ça n’a rien à voir. Si Johnson avait cru comme Jones, il aurait aussi été guéri. N’est-ce pas vrai? — [Amen.]

408     Y a rien d’incertain, rien d’incertain. «Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi.» Y a rien d’incertain!

409     «Eh bien, et si moi Il ne me recevait pas.» Oh, vous, pauvre ignare!

410     Écoutez, laissez-moi vous dire, en tant que Son serviteur, qu’il n’y a personne qui peut venir à Lui sans qu’Il ne le reçoive. «Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige.» Y a rien d’incertain. «J’en pardonnerai une partie; vous avez peut-être fait ceci et cela, et Je vous en tiendrai rancœur»? Non! «Ils deviendront blancs comme la neige!»

411     «Il ne me pardonnerait pas ce que j’ai fait à mon mari, ce que j’ai fait à ma femme, ce que j’ai fait à ma sœur, ce que j’ai fait à mon frère.»

412     Ce que vous avez fait importe peu. Il n’y a rien d’incertain. Il vous pardonnera tout! «S’ils sont rouges comme le cramoisi, ils seront blancs comme la laine.» Rien d’incertain!

413     «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin… (écoutez ça, vous trinitaires extrémistes), en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Cette prescription sera la même pour toutes les générations.

414     Pas: «Il se pourrait. Ça va changer, après un bout de temps, en Père, Fils, et Saint-Esprit.» Vous, pauvre enseignant ignare!

415     Dieu ne peut changer. Il est infini. La prescription fonctionne à tout coup, si vous l’appliquez correctement. Oui monsieur. «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Car c’est quoi? Cette prescription, ce baptême, ce genre de baptême, ce Saint-Esprit, cette même puissance… pas une simple poignée de main en disant: «Je vais tourner une nouvelle page et faire mieux.» Non monsieur. «Vous recevrez le don du Saint-Esprit; et la puissance de Dieu viendra sur vous, changera vos voies, vous parlerez en langues, imposerez les mains aux malades, chasserez les démons, ferez ce qu’ils ont fait.
    — Pour combien de personnes et combien de temps?

416     — Jusqu’à la fin des disciples.» Vous êtes un faux prophète si vous dites ça. Vous êtes un faux enseignant si vous dites ça.

417     Car Jésus-Christ, nous dit la Bible, est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et ici les apôtres disent que «la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi… (dites-le avec moi) …en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera». Pour combien? — Pour tout âge, toute génération, toute couleur, tout credo, tout ce que vous voudrez, en aussi grand nombre que Dieu appellera. Et si Dieu vous appelle, Il ordonne de vous faire baptiser dans le Nom de Jésus-Christ et de recevoir le Saint-Esprit. Ensuite Christ Lui-même vit en vous, et il n’y a pas de son incertain, d’incertitude face à cela. Vous avez la Bible, oh, restez avec elle. Vivez avec elle, mourez avec elle. Vous ressusciterez avec elle. Gloire! C’est la Parole de Dieu. Fiou! Oh là! Oh là là!

418     Comme Rebecca, qui a donné à boire aux chameaux. Le chameau même qu’elle a abreuvé est celui qui l’a portée à la rencontre de son époux. Le Dieu même que nous prêchons, la Parole même qui est Dieu, le Dieu même qui est dans la Parole, nous ressuscitera un jour par le baptême du Saint-Esprit. Et nos critiques seront tués par la même puissance qui vous a élevés dans la Gloire. Voyez? Oh là là! Levez-vous et chevauchez-la!
    Vous qui êtes malades, ne doutez pas de Dieu.

419     Est-ce que Leo et les autres ont distribué les cartes de prière? Y en a-t-il de distribuées? Billy n’est pas venu ce matin; il a pris un rhume hier. Très bien. On en n’aura pas besoin. Non. Écoutez.

420     Ce que j’ai prêché, croyez-vous que c’est la vérité? — [Amen.] Le croyez-vous de tout votre cœur? — [Amen.] Est-ce un Son certain pour vous? — [Oui. Amen.]

421     Comment ceci s’entend-il? La première commission que Jésus donne à l’Église, en Matthieu 10… Je ne le lis pas, je le cite. Il a appelé les douze et leur a donné le pouvoir contre les esprits impurs, de chasser les mauvais esprits, de guérir les malades et de ressusciter les morts, et de chasser les démons, et de purifier les lépreux. N’est-ce pas? — [Amen.] En amenant les gens à y croire, et en imposant ensuite sur eux les mains. En amenant les gens à y croire, et en imposant ensuite sur eux les mains. Était-ce là Sa première commission, quand Il a envoyé les soixante-dix?

422     Quelle a été la dernière commission qu’Il a donné? — Marc 16, les dernières paroles qui sont sorties de Sa bouche, quand Il a commissionné Son Église: «Allez par tout le monde, prêchez l’Évangile à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.»

423     Maintenant, rappelez-vous, «Il pourrait être condamné. Il pourrait avoir une chance»? — Il n’aurait aucune chance venant de ce monde! Y a pas de son confus en cela. S’il ne croit pas, il sera condamné.

424     Bon, quels sont les signes qui vont les suivre? Ces signes… «Sur quelques-uns, ils vont suivre; c’est possible qu’ils suivent; ils vont peut-être suivre»? Non. «Ces signes les suivront: Ils croiront en la guérison. Ils croiront au fait de chasser les démons. Ils croiront au parler en langues. Oh, ils croiront à toutes les œuvres surnaturelles de Dieu, le Jésus ressuscité œuvrant avec eux.» N’est-ce pas là la vérité? — [Amen.] N’est-ce pas là la dernière Parole de Dieu? — [Amen.] Alors, maudit est celui qui essaie d’ajouter à cela ou d’en retrancher. C’est comme ça. C’est comme ça.

425     L’église pentecôtiste n’était-elle pas une église bruyante, quand le Saint-Esprit a d’abord tombé au tout début? La vierge Marie, comme si elle avait été ivre, titubait sous la puissance de Dieu, et tous les autres pareillement. Et les gens ont dit: «Ils sont pleins de vin doux.» C’est comme ça qu’a été ordonnée l’Église. C’est ainsi que chaque Église a été ordonnée. Chaque fois que Dieu aura une Église, ce sera le même genre d’Église. Car ce n’est pas un son incertain.
    «Bon, bon, notre évêque dit…»

426     Ce que l’évêque dit importe peu, c’est ce que dit la Parole qui importe. L’évêque a donné un son confus. Si le son qu’il donne rend le même son que la Parole, il est correct. Et donc, si l’église n’agit pas comme elle l’a fait autrefois, le son est faux. Si vous dites L’avoir reçu et que vous n’agissez pas comme tel, alors il y a quelque chose qui ne va pas. Parce que c’est exactement ce que la Parole dit …?…

427     Philippe est allé prêcher aux Samaritains. Ils leur a imposé les mains, … Pierre est venu leur imposer les mains. Ils ont reçu le Saint-Esprit, ont fait la même chose qu’ils ont fait au commencement.

428     À la maison de Corneille, où se trouvaient tous les Gentils, les Grecs, et ainsi de suite, il leur a imposé les mains, ils ont reçu le Saint-Esprit comme au commencement.

429     Permettez-moi de vous dire quelque chose. Je suis un missionnaire, vous savez, et bon, je crois qu’un missionnaire est un type qui va et vient. C’est un missionnaire. Si vous y allez pour rester… ils appellent ça un missionnaire, mais, il est un citoyen, ayant simplement changé de résidence, voyez. Ce n’est pas un missionnaire. Paul était un missionnaire. Il ne restait pas, il allait d’un endroit à l’autre. Un missionnaire ne change pas de résidence, il va d’un endroit à l’autre.

430     Toujours, ils vont dans les champs de mission, je vous dirai, dans les régions les plus reculées d’Afrique, pour rejoindre les hommes de la brousse. Et il a fallu du temps avant de savoir qu’ils étaient des humains. Le gouvernement britannique, quand ils ont envahi l’Afrique du Sud… Au beau milieu de la jungle, vous verrez ces hommes qui se secouent comme une bande de singes; et regardez autour, il n’y a rien. Vous regardez par hasard, et vous verrez une tête noire surgir hors du sable et regarder tout autour. Voyez, il s’est enterré dans le sable… s’est sauvé et s’est enfoui dans le sable, très rapidement. Longtemps ils ont cru qu’ils étaient des animaux. Mais savez-vous comment ils ont découvert qu’ils étaient des humains? — Ils avaient des chiens. Et un chien ne vivra avec rien d’autre qu’un humain, voyez, et ils ont découvert qu’ils étaient des humains.

431     Et tous ceux-là, les Basutos ou les Shangaan, les Xhosas, chacune de ces tribus, ils ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche; et ils sont toujours en train de balbutier, «blaw, blaw, blu», vous savez, ils parlent comme ça. Et ils sont tous nus, les hommes, les femmes. Et je vais vous dire quoi faire! Dès que le Saint-Esprit descendra sur eux, ils feront la même chose que vous faites ici quand le Saint-Esprit descend sur vous. Il n’y a pas de son incertain en cela. De sa vie, il n’avait jamais entendu parler d’une telle chose que le parler en langue, et voici qu’il est en train de vous parler en langue.

432     Mais voici que l’interprète et ce type se parlent et disent: «Blaw? (Vous voulez être sauvé?)
    — Blaw-ah (Oui.)
    — Quelqu’un ici veut-il être… (Uh-blaw, blaw, blaw.)
    — Levez vos mains et recevez-Le! (Uh-blaw.)»

433     Oh là là! Et le voici qui se met à parler en langue; il n’était pas au courant de cela, n’en avait pas la moindre idée. Il n’y a pas d’incertitude en cela, c’est Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il ira directement rejoindre la tribu, et ira prier pour les malades. Vous n’avez pas à lui dire.

434     Et les femmes américaines et les membres d’église… Ce n’est pas tant à vous ici que je parle; c’est enregistré, vous savez. Vous, membres d’église, qui portez des shorts et qui vous comportez comme vous le faites! Vous en enlevez un petit peu plus chaque année. Ensuite vous portez des shorts, ensuite de plus petits shorts, et ensuite de plus petits shorts encore, et ainsi de suite. Vous, pauvres membres d’église illusionnés, vous êtes pires qu’ils le sont en Afrique, quand ces femmes se sont présentées ce jour-là, ce jour où trente mille ont reçu Christ comme leur Sauveur personnel, d’un seul coup. Et vous chantez dans les chorales; et vous portez des shorts dans votre cour, pour tondre votre gazon, et au centre-ville. Vous êtes pires qu’ils le sont. Ils se lèveront au jour du Jugement et vous aurez honte de vous.

435     Et j’ai vu des femmes nues, n’ayant rien d’autre qu’un petit morceau devant elles, comme cela. Et à la hauteur de leur buste, rien du tout. Une simple petite bande de dix à quinze centimètres autour de leur taille, suspendue devant elles. Et les hommes aussi étaient complètement nus. Ne reconnaissant pas leur droite de leur gauche. Et dès que la puissance du Saint-Esprit est venue, ces femmes se sont croisé les bras sur leurs seins, n’ayant rien pour se couvrir. Elles se sont croisé les bras, honteuses, et se sont éloignées. Le lendemain, elles étaient habillées. Alléluia! Oui. Il n’y a pas d’incertitude en cela.

436     Le Saint-Esprit vous fait vous habiller. Oui, vous agirez avec décence. Rien de confus en cela. Voulez-vous de Lui? N’aimeriez-vous pas servir quelqu’un comme Lui, le Seigneur Jésus-Christ? Éloignez-vous de ces sons incertains!

437     Oh, on vous aime bien, oui, toute maquillée, et tout. Vous pensez plaire à tout le monde. Mais, ma chérie, vous êtes en train de mourir. Vous pensez être en train de vivre, et vous êtes en train de mourir. La Bible a dit: «La femme qui vit dans les plaisirs est morte, quoique vivante.» La Bible dit ça. Ce n’est pas là un son confus. Elle dit: «Elle est morte.» C’est exact. Y a pas de confusion en cela. C’est de l’incertitude, frère.

438     Dieu est un Dieu saint. Et quand un homme naît de l’Esprit-Saint, il est un candidat. Non seulement ça, mais il est aussi un roi, il est un prince. Il vient d’une autre Nation. Son Royaume est d’en haut. Il est rempli de la puissance de Dieu, de la présence de Dieu. La femme qui fait cela, porte des vêtements. L’homme vit décemment et est fidèle à sa femme. La femme vit décemment et est fidèle à son mari. Ils ne désirent rien du monde. Leurs affections sont placées sur les choses d’en haut. Ils ont fini avec les choses du monde. Ils sont de nouvelles créatures en Christ. Et ils sont saints, vivent ainsi. Ce n’est pas eux qui sont saints, mais le Saint-Esprit qui les gouverne. Ils n’ont plus leurs propres pensées; c’est le Saint-Esprit qui pense en eux. C’est pourquoi ils agissent comme des fous aux yeux du monde, parce qu’ils sont mus par un Esprit d’un autre Royaume.

439     Oh, je sais que c’est ainsi, mon ami. J’étais perdu auparavant, mais maintenant je suis sauvé. J’étais aveugle à ces choses, mais maintenant je vois. La grâce m’a appris à craindre, et c’est elle qui m’a libéré de mes peurs. Elle m’est apparue si précieuse le jour où j’ai cru, quand je suis venu à Christ.

440     Pour terminer, en ce qui concerne à la fois le salut et la guérison, laissez-moi pendant une minute vous apporter ces paroles.

441     Paul Rader était un de mes amis. Je l’ai connu sur une courte durée, je n’étais qu’un garçon à l’époque, assis à ses pieds. C’était un grand ministre qui est mort ici il n’y a pas longtemps, en Californie. Il a été atteint d’un cancer et allait mourir, là-bas, en Californie. Le tabernacle que possède maintenant O. L. Jaggers, c’était lui qui l’avait auparavant. J’oublie comment on l’appelait en ce temps-là, mais c’est maintenant The World Church. Son tabernacle se trouvait sur la rue Eldorado, en face du Temple McPherson, juste en face du chemin du parc.

442     Maintenant, quand Paul Rader en était le pasteur… Avant sa mort, il a posé sa main sur l’épaule d’un frère, que je connais très bien, un ami de Ern Baxter, et il a dit: «Si j’avais pris mon message de grâce et l’avais vendu aux pétillants pentecôtistes plutôt que de perdre mon temps avec vous, baptistes, je serais vivant aujourd’hui. Mais, a-t-il dit, je suis inquiet à cause de vous, et je suis devenu si tendu, au point que je suis maintenant mourant.»

443     Donc, alors qu’il était là dans la chambre, ils ont fermé les rideaux, et ils se sont mis à chanter Plus près de Toi, mon Dieu! Il avait un sens de l’humour, vous savez, et il a dit: «Qui est-ce qui se meurt, moi ou vous? Vous me paraissez bien plus mourants que je le suis. Ne faites pas ça. Chantez-moi plutôt quelque chose de plus joyeux.» Et le petit quatuor du Moody Bible Institute s’est mis à chanter À la croix où mourut mon Sauveur. Il a dit: «C’est beaucoup mieux. Gloire à Dieu!»

444     Il a dit: «Où est Luke?» Et Luke et Paul était lié d’amitié, comme Billy, mon fils, et moi. Ils étaient frères, et ils étaient toujours ensemble. Il a dit: «Où est Luke?» Et Luke ne voulait pas voir son frère mourir; il était dans la pièce avoisinante, à l’hôpital. Il a dit: «Allez le chercher, et dites-lui de venir.»

445     Et quand il s’est approché de Paul, Paul a pris sa main. Et Luke a tenté de tourner la tête. Il a dit: «Luke, on a passé ensemble de dures épreuves; pas vrai, mon frère?»

446     Il a répondu: «Oui, c’est vrai. À travers ces années, on a travaillé dur, mon frère. C’est exact, on a mené plusieurs durs combats.»

447     Il a repris: «Luke, pense à ça! Dans cinq minutes, je serai dans la présence de Jésus-Christ, vêtu de Sa justice.» Il a serré les mains de son frère, et il est mort. Il n’y a rien d’incertain en cela. Il en connaissait le chemin. Il savait. Il avait le baptême du Saint-Esprit, la puissance de Dieu dans sa vie.

448     Il avait été bûcheron… il avait abattu des arbres.

449     Il était aussi un missionnaire, comme quand je vais outre-mer. Et lui et Luke, et les autres, alors qu’ils étaient dans les îles, ont contracté la fièvre noire. Si quelqu’un s’y connaît, c’est mortel, et c’est très virulent. Donc, il a contracté la fièvre noire. Ils se trouvaient à être très éloignés dans la jungle, où il n’y a rien, lui et sa tendre petite femme.

450     Il a dit à sa femme: «Chérie, c’est si sombre ici. Je vais mourir.»

451     Elle lui a dit: «Oh, Paul! Paul!» Et elle est tombée sur sa face et s’est mise à implorer.

452     Il a dit: «Chérie, continue. Continue d’implorer Dieu, et laisse-moi entendre ta voix. Que quelqu’un prie. Moi je ne peux plus prier. Pendant que je meurs, je veux entendre ta prière.»

453     Et elle a continué d’implorer Dieu: «Ô Dieu, ne le laisse pas mourir. Il n’a pas encore fini son travail.» Elle a continué: «Ô Dieu, s’il Te plaît, ne reprends pas Paul.» Elle était couchée en travers de lui, comme cela.

454     Ça s’est assombri de plus en plus. Il a dit: «Chérie, c’est de plus en plus sombre.»

455     Et finalement il est mort. Il a dit: «Une fois mort, j’ai rêvé que j’étais de nouveau un jeune homme.» Il a dit: «Je me trouvais dans la forêt», de l’Orégon, d’où il était originaire. Il a dit: «J’avais abattu un arbre. Le patron m’avait dit: ‘Monte sur la colline, Paul, et là tu abattras une quantité d’un certain arbre, et puis nous devons faire du bois de construction.’»

456     Il lui a répondu: «Très bien, patron.» Il a dit qu’il pouvait humer leur fraîcheur. Il se sentait si bien. Il a dit qu’il montait dans la forêt comme ça. Il a empoigné sa hache, et il a dit qu’il pouvait sentir le fer de la hache pénétrer dans ce pin tendre, vous savez, le pin d’Orégon. Dans le Sud, ils ont ce même arbre, il est très dur. Vous montez au Nord, et plus il fait froid, plus le bois devient mou. Finalement, il a dit qu’il a pris sa hache et en a coupé toutes les branches. Il a dit qu’il a planté sa hache dans l’arbre et s’est dit: «Eh bien, je vais descendre la colline avec ça.»

457     Il l’a empoigné et a dit qu’il n’avait pas pu le soulever. Il ne pouvait tout simplement pas le soulever. Il a dit qu’il avait essayé et réessayé. Il s’était souvenu que les muscles les plus forts d’un homme sont les muscles de son dos. Donc il a dit qu’il avait collé ses genoux ensemble, pour ne pas se blesser, et il s’est penché et l’a empoigné. Il a gonflé tous les muscles de son corps en forçant pour le soulever, et il a dit qu’il a tiré et tiré sans pouvoir y parvenir. Il s’est dit: «Il faut que je descende ce rondin! Il le faut! Le patron me l’a exigé, et il faut que je l’amène. Eh quoi, habituellement… Je me demande bien où j’ai laissé toutes mes forces. J’aurais pu mettre cette chose-là sur mon épaule et descendre à pied, mais je ne peux même pas le soulever.» Et il a essayé, et essayé, et essayé. Il a dit qu’il ne pouvait tout simplement pas. Il s’est épuisé.

458     Il a dit qu’il s’est effondré au pied d’un arbre et s’est dit: «J’ai essayé autant comme autant; j’ai tout essayé. Il faut bien que je le descende, mais je ne sais pas comment. Je ne peux pas le lever.» Il était assis là, et a dit qu’il s’était dit: «Je ne sais vraiment pas quoi faire.»

459     Et il a dit qu’il avait entendu sa voix, la voix de son patron, dire: «Paul», et il a dit que c’était la voix la plus douce qu’il eût jamais entendue.

460     Et il a dit: «Quand je me suis retourné pour regarder, c’était mon patron, mais c’était mon véritable Patron. C’était Jésus.»

461     Et Il a dit: «Pourquoi forces-tu là-dessus comme ça, Paul? Tu vois le ruisseau qui est là?» Il a dit: «Ce ruisseau coule jusqu’au camp. Pourquoi ne le pousses-tu pas dans l’eau? Chevauche-le et descends dessus.»

462     Donc, il a dit qu’il avait roulé le rondin dans l’eau et était monté dessus; et il a passé les cascades, en jubilant et en criant: «Je le chevauche! je le chevauche!»

463     Et il a dit, quand il est revenu, que sa femme était étendue sur lui, dans la chambre, et priait. D’un bond il s’est retrouvé au milieu de la chambre, en criant: «Je le chevauche! Je le chevauche!»

464     Frères, laissez-moi vous dire quelque chose, ce matin. Ne vous épuisez pas à cela. Je ne vais pas essayer de m’épuiser à cela. Cela vous épuisera d’aller de l’un à l’autre, et «Je suis méthodiste» ou «Je suis baptiste», et «Je suis ceci». J’ai simplement reçu Jésus. J’ai pris Sa promesse, par la grâce. Il est venu à moi, et je chevauche là-dessus. Je ne me soucie pas de ce qui arrive ou de ce qui se passe, ou combien de fois nous sommes taxés de fous ou de fanatiques.

465     Sur votre guérison, ce matin, quand on a prié… on ne va pas avoir le temps maintenant pour une ligne de discernement (il est presque 13 heures). Nous allons prier pour les malades, et prier pour tous ceux qui sont ici. Jésus a dit: «Ces signes accompagneront ceux qui croient.» N’est-ce pas? — [Amen.] «S’ils imposent les mains aux malades, ils seront guéris.» Pas vrai? C’est ça que je chevauche. Êtes-vous prêts à chevaucher là-dessus?
    Courbons nos têtes un moment.

466     Ô Dieu bien-aimé, oh, en ces derniers jours, quand les heures s’assombrissent, l’église a contourné la Parole, et ils ont zigzagué parmi les dénominations. Et ils savent que ce n’est pas correct, Seigneur. Puissent-ils cesser de déformer la Parole. Il y a probablement des gens ici, ce matin, qui ont été d’une église à l’autre; un jour dans la méthodiste, et l’autre dans la baptiste, et puis dans la pentecôtiste, ensuite dans l’Église de Dieu, ensuite dans la nazaréenne. Ô Dieu, puissent-ils arrêter d’agir ainsi.

467     Puissent-ils venir, chevaucher la promesse ce matin, Seigneur. Relaxez, prenez Dieu à Sa promesse, quand Il a dit: «Si vous vous repentez et êtes baptisé dans le Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Ô Dieu, accorde-leur de pouvoir chevaucher sur cette promesse, ce matin, de tomber directement dans l’océan de Sa bonté, les jets de la Vie éternelle, l’eau de l’Esprit. Accorde-le, Seigneur.

468     Que le Saint-Esprit, qui court en cascades, en fraîcheur, qui se trouve à leur porte cette fois, puissent-ils sauter dans le ruisseau, sur la promesse de Dieu, et dire: «Seigneur, je chevauche Ta promesse. Me voici. Je chevauche Ta promesse.»

469     Puissent les malades et les affligés, qui sont malades et ne savent plus quoi faire, les docteurs les ayant abandonnés… ils ont lutté d’un hôpital à l’autre, d’une porte à l’autre, d’une place à l’autre. Ils ne savent pas quoi faire, Seigneur. Mais le ruisseau de la Vie coule maintenant à leur côté, ce matin. Puissent-ils prendre cette Écriture, en Marc 16: «S’ils imposent les mains aux malades, ils recouvriront la santé.» Les croyants recouvriront la santé, si on leur impose les mains.

470     Seigneur, puissent-ils considérer cela, ce matin, monter là-dessus et dire: «Seigneur, me voici. Je ne sais pas comment je vais y aller, mais je la chevauche. Je vais descendre les ruisseaux, me réjouissant, faisant éclabousser de mes mains les eaux de la Vie, les jetant sur mon âme, et jusqu’à ma tête, et me baignant dans Ta bonté, et me réjouissant, comme j’avance, chevauchant Ta promesse qui dit: «Ils seront guéris.» Accorde-le, Père.
    Maintenant, avec vos têtes inclinées.

471     Je me demande s’il y aurait dans cette bâtisse, ce matin… combien ici ce matin ne connaissent pas Christ comme leur Sauveur, et vous croyez que le ruisseau de la Vie est venu jusqu’à vous? Vous avez eu toutes sortes de sons confus, vous avez bâti votre maison sur des sables mouvants. Vous réalisez qu’un jour vous allez mourir, vous allez sortir de ce monde. Et vous voulez, vous voulez vraiment entendre un Son certain, et vous croyez l’avoir entendu ce matin, que Christ vous aime toujours. Peu importe combien pécheur vous êtes, Il vous aime toujours. Et vous voudriez que je me souvienne de vous dans la prière?

472     Et là même où vous êtes… on ne peut vous appeler ici à l’autel. Il n’y en a pas, parce qu’elle est remplie d’enfants, et ainsi de suite. Mais vous aimeriez, vous croyez que vous aimeriez accepter Christ en ce moment même comme votre Sauveur personnel, et vous voulez que je me souvienne de vous dans un mot de prière? Lèveriez-vous la main, et dire: «J’accepte maintenant Christ comme mon Sauveur personnel. Je veux qu’Il me fasse part de Sa bonté.» Que Dieu vous bénisse, vous qui êtes dans le fond, là-bas. Au bout de l’allée, je vous ai vu aussi. Que Dieu vous bénisse. Y en aurait-il un autre? Levez votre main, peu importe où vous êtes. Les têtes inclinées. Que Dieu vous bénisse, jeune dame. Que Dieu vous bénisse à l’arrière, sœur. Que Dieu vous bénisse à l’arrière, sœur.

473     Vous n’avez pas levé votre main, mais je suis allé voir votre mari hier soir à l’hôpital; il était en très mauvais état. Ne vous en faites pas, il ira très bien. Le Seigneur l’a touché là même hier soir. J’ai vu ce qui n’allait pas avec lui. Les docteurs ont tenté durant quatre jours de savoir, mais ils n’ont rien pu voir par les rayons X. Mais le Saint-Esprit va plus profondément que les rayons X. Il est Dieu. Il va bien, il rentrera à la maison. Et peut-être aujourd’hui.

474     Très bien, quelqu’un d’autre? Tout au fond. Que Dieu vous bénisse. «Je veux accepter Christ comme mon Sauveur personnel. Je veux être prêt. Je connais l’incertitude de mon foyer. Je connais l’incertitude de mon emploi. Je connais l’incertitude de ma vie. Je ne connais pas le jour de ma mort. Ce pourrait être aujourd’hui. Je ne sais pas. C’est incertain. Mais je veux un Son certain. Je crois l’avoir entendu aujourd’hui à travers l’Évangile, que Jésus-Christ m’aime. Et je veux L’accepter comme mon Sauveur personnel.» Y a-t-il quelqu’un qui n’a pas levé sa main et qui voudrait le faire? — Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Quelqu’un d’autre, qui n’aurait pas encore levé sa main? Levez la main et dites: «Rappelez-vous de moi, frère Branham, dans la prière.» Que Dieu vous bénisse. D’accord.

475     Père Céleste, il y a un Son certain que ces gens ont entendu. Il y en a beaucoup qui T’ont ce matin accepté comme leur Sauveur personnel. Maintenant, Père, je sais que c’est une tradition de faire venir les gens à l’autel pour prier; mais ce n’est pas scripturaire, parce que l’Écriture dit: «Tous ceux qui crurent en Lui furent baptisés.» Aussi je prie, Père, que ceux qui ont cru en Toi, que Tu t’es révélé à eux, dans ce Son certain d’une voix, pour qu’ils sachent que c’est Toi. Et ils Te veulent comme leur Sauveur. Ils ont levé leur main, pour que je me souvienne d’eux dans un mot de prière.

476     Ô mon Dieu, sachant que le temps va s’arrêter, que les lumières vont s’éteindre… la lumière de la civilisation s’éteint. La lumière de l’Amérique s’éteint. La lumière des nations s’éteint, car la Lumière du monde entre. Je prie, ô Dieu, que Tu leur permettras de recevoir cette grande Lumière. Nous réalisons que les ténèbres ne peuvent exister dans la présence de la Lumière. La Lumière est beaucoup plus intense que les ténèbres.

477     Et laisse-leur savoir qu’il y a 10 heures à peine, cette bâtisse était recouverte de ténèbres, aucun siège ne pouvait être vu. C’était la nuit noire dans cette bâtisse, il y a 10 heures. Mais le soleil s’est levé, et où est passée la noirceur? Trouvez-la pour moi. On ne peut la trouver. Où en est sa chimie? Qu’est-il arrivé? On ne peut la trouver. Elle n’est plus.

478     Il en est ainsi des péchés maintenant. Là où, il y a 20 minutes, les ténèbres recouvraient leur âme; mais ils T’ont accepté comme leur Sauveur, et les ténèbres ont disparu. «Vos péchés, qui étaient nombreux, ont été purgés, et sont maintenant aussi blancs que la neige.» Vous ne pouvez plus les trouver. Ils ne sont plus dans le Livre. Ils ne sont plus sur le registre. Le Sang de Jésus-Christ leur pardonne leurs péchés. Puissent-ils en retour se lever et être baptisés ce soir dans le Nom de Jésus-Christ, faisant appel au Nom du Seigneur, et recevoir le Saint-Esprit. Accorde-le, Père. Je Te les remets comme les trophées du Message de ce matin, dans le Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.
    [Frère Branham poursuit le service. — N.D.É.]

Up