Celui Qui Est En Vous

Date: 63-1110E | La durée est de: 2 heures 3 minutes | La traduction: MS
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1     Merci. Que le Seigneur te bénisse. Restons debout un instant, alors que nous prions. Inclinons maintenant nos têtes et que tous ceux qui aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans cette prière lèvent la main et disent: «Ô Dieu, pense à moi.»

2     Oh, Dieu très saint et miséricordieux, nous apportons ces personnes devant Toi, avec leurs requêtes. Elles ont demandé qu’on se souvienne d’elles; Seigneur, ma main est aussi levée. Je Te prie d’être miséricordieux envers nous. Tu connais nos besoins et nous dirons, comme Tu nous as enseignés à prier, que Ton règne vienne, que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Et ce soir, Père, nous réclamons Ta miséricorde et la liberté d’esprit, pour que nous puissions apporter aux gens la vérité de l’Évangile et ce que nous croyons être le Message de l’heure pour Ton Église. Seigneur, nous Te prions, afin que nous soyons une partie de cette Église qui est appelée à sortir en ces derniers jours. Père, si nous ne sommes pas cette partie, alors révèle-nous ce que nous devons faire pour le devenir et donne-nous la grâce et la puissance en cette heure d’épreuve pour tous ceux qui habitent sur la terre. Donne-nous Ton Saint-Esprit, pour nous conduire et nous guider, afin que nous puissions à la fin venir à Toi dans la paix, en vue de cette Vie éternelle que tous les croyants attendent depuis que le temps existe. Aide-nous, Seigneur. Nous Te le demandons au Nom de Jésus. Amen! Vous pouvez vous asseoir.

3     Je suis vraiment reconnaissant pour le privilège d’être ici ce soir, et pour la grâce de Dieu qui nous a été donnée au travers de Jésus.

4     Et au sujet du Message de ce matin [Les âmes qui sont en prison maintenant — N.D.T.], je veux que tout le monde comprenne parfai-tement. Je m’en remets à Dieu, espérant que ce n’est pas le temps en question. Voyez-vous? Mais le Message est vrai. Le Message est vrai. Un jour, cela arrivera, si ce n’est pas déjà le cas. Et cela ressemble tellement à ce temps-là, que je me suis senti comme Paul, qui déclara il y a longtemps: «Je vous ai annoncé tout le conseil de Dieu, sans en rien cacher.» Voyez-vous? Tout ce qui doit être fait.

5     J’ai dit une chose ce matin que je regrette avoir prononcée. J’ai mentionné le nom d’un frère qui, je pense, est dans l’erreur. Je n’aurais pas dû le faire. Je ne mentionne jamais de nom de personne. Et s’il arrivait que la bande tombe entre ses mains, j’aimerais le voir et lui parler, parce que je pense que ce frère est un homme grand et bon, qui a prêché ici même de cette chaire, frère David DuPlessis. Et ce n’était pas mon intention de mentionner son nom; j’étais inquiet au sujet du Message, etc., à savoir : «Et si c’était maintenant?», et j’ai mentionné le nom de ce frère. Je ne fais pas cela d’habitude. Je regrette de l’avoir fait. J’aime frère David DuPlessis. Il est notre frère et je pense vraiment qu’un homme intelligent comme lui devrait être plus instruit dans l’Écriture.

6     Je vais vous dire ce qui en est. C’est… l’entretien que David et moi avons eu. À un moment donné, il a parlé pour moi dans les réunions. Il a prêché de cette chaire, ou dans l’ancienne église. Et son frère Justus a été mon interprète en Afrique du Sud, où je dois retourner. Ils sortent d’une bonne famille, d’un foyer pentecôtiste; c’est un homme vraiment très bien. Je crois que David a été une fois président des Assemblées pentecôtistes mondiales et de la Conférence pentecôtiste mondiale. Il a été l’un des présidents. Plus tard, il est venu aux États-Unis et s’est établi au Texas avec frère Gordon Lindsay; puis il a commencé à prêcher dans différents endroits.

7     Mais la raison pour laquelle je pense que notre cher frère a commis une erreur, ce qui peut m’arriver, ou à n’importe qui, c’est qu’il a commencé à fréquenter les gens de la haute société. Il parlait continuellement de l’Université de Princeton et des endroits qui l’invitaient, pensant qu’il faisait ce qui était juste et qu’il mettait de la nourriture dans la machine. Voyez-vous? Et avec quel zèle! Et non seulement cela, mais il s’est mis à collaborer avec les hommes d’affaires du Plein Évangile, qui cautionnent mes réunions dans le monde entier. Voyez-vous? J’aime ces hommes, mais je ne suis certainement pas d’accord avec leurs principes. Ils ont quitté leurs principes du début, et maintenant ils deviennent comme n’importe quelle autre organisation. Voyez-vous? Pourquoi? C’est qu’ils ne veulent pas rester simplement pentecôtistes, mais croient pouvoir mélanger la Pentecôte au reste.

8     Et il me semble que frère DuPlessis, un homme merveilleux comme lui, devrait connaître suffisamment l’Écriture pour savoir que lorsqu’il voit la vierge endormie essayer d’acheter de l’huile, le temps est passé. Voyez-vous? Souvenez-vous: Quand elle vint pour acheter de l’huile, il n’y en avait plus. C’est l’Écriture. Et elle dit à l’Église: «Donnez-nous de votre huile», mais elle n’en reçut point. Elle peut faire des sauts, parler en langues, et quoi encore, mais selon la propre Parole de Dieu, elle n’en reçut point. Voyez-vous? Elle se trouva dehors dans les ténèbres où il y eut des pleurs et des grincements de dents, tandis que l’Épouse élue était déjà entrée. Les vierges sages avaient de l’huile dans leurs lampes.

9     Je connais un autre homme… quelque chose qui est arrivé l’autre jour. Ce qu’il y a, c’est que ces braves gens arrivent à avoir une certaine, vous savez ce que je veux dire, une certaine emprise sur les gens. Et ils ont l’impression que c’est Dieu qui fait cela, alors que souvent c’est le diable. Voyez-vous?

10     Jésus eut l’occasion de venir devant Hérode. Il eut l’occasion d’être devant beaucoup de monde et ils voulurent L’utiliser comme curiosité. Voyez-vous? C’est tout ce qu’ils essaient de faire de la Pentecôte. La Pentecôte est sortie de ces choses pour être différente. Mais, «comme une truie retourne à son bourbier et un chien à ce qu’il a vomi», elle est retournée à cela et se trouve maintenant dans le Conseil œcuménique. Voyez-vous? C’est malheureux. C’est dommage.

11     Ô Dieu, garde-moi petit et humble, afin que Tu puisses révéler Ta vérité. Voyez-vous, je ne veux jamais faire cela. Pas de lumière éclatante, pas d’éclat vif et de tape-à-l’œil venant du monde. Laissez-moi prendre le chemin avec le petit nombre des méprisés du Seigneur. Laissez-moi rester avec la Parole.

12     Maintenant, parlons du Conseil œcuménique qui fusionne avec le Vatican. Croyez-vous qu’ils pourraient fusionner avec la Parole? Peut-être avec l’organisation, mais ils ne peuvent pas le faire avec la Parole. C’est vrai. Ainsi, il ne faut pas établir de compromis. Voyez-vous? Une organisation, c’est pareil; tout est pareil. C’est parfaitement dans la ligne: mère et fille. Mais quand il s’agit de cette Parole, je suis aussi fermement opposé aux baptistes, méthodistes, presbytériens qu’au catholicisme, parce que c’est la mère et la fille, d’après cette Parole. C’est à cette Parole que je suis fidèle. Voyez-vous? À ceci, à chaque Parole qu’elle contient.

13     Maintenant, ce cher frère… lui et sa femme sont de bons amis. Beaucoup parmi vous ont vu le magazine. Or, comment ce cher frère, envoyé par Dieu, a-t-il pu laisser sa femme…  Quelqu’un lui a dit qu’elle ressemblait à Jacqueline Kennedy et elle s’est fait une de ces volumineuses coupes de cheveux, et ensuite… Qu’est-ce? Elle s’est mêlée tout le temps à ce genre de personnes, et finalement… Si un homme bon prend une mauvaise femme, soit elle deviendra une femme bonne… je veux dire, si un homme bon prend une femme mauvaise, soit elle deviendra une femme bonne, soit lui deviendra un homme mauvais. Montrez-moi qui vous fréquentez, et je vous dirai qui vous êtes. Voyez-vous? Qui se ressemble s’assemble. Restez éloignés de ce qui brille!

14     L’autre jour, je suis descendu dans une mine située au sommet des montagnes frontalières, entre l’Arizona et le Mexique. Frère Sothmann, qui est ici, et moi étions ensemble. Je suis entré là-dedans et j’ai déterré un morceau de ce … cela ressemble tout à fait à de l’or. Mais ce qui vous permet de reconnaître que ce n’est pas de l’or, c’est que ça brille plus que de l’or. Ça brille, tandis que l’or ne brille pas, il rayonne. Voyez-vous? Et cette matière s’appelle «l’or du fou». Ça ne vaut pas même autant que la pierre dans laquelle il se trouve. C’est du sulfure de fer. Je pense que le… Les hommes de science prétendent que l’eau et les acides qui ont suintés n’ont pas été suffisants pour le durcir et pour que cela devienne de l’or. Ainsi ça brille plus, mais ça ne contient pas les éléments chimiques nécessaires. Et c’est à ceci que ressemble beaucoup de ce soi-disant christianisme, voyez-vous. Cela brille comme Hollywood; mais l’Église rayonne de l’Évangile. Voyez-vous?

15     Maintenant, une sœur ici, Billy vient de me le montrer, a eu la gentillesse d’aller chercher ce magazine Life, de faire agrandir la photographie représentant les sept anges, et de me l’envoyer. C’est la photographie. Et si vous remarquez ici, alors que cela s’en allait et remontait, après que les anges eurent apporté leur Message, c’était en forme de pyramide, exactement comme je vous l’avais annoncé trois mois avant que cela n’arrive. Est-ce vrai? Et l’ange le plus important, avec ses ailes de côté… Vous vous souvenez de lui, j’avais dit à son sujet qu’il avait la tête… venant pour me parler. Ne voyez-vous pas les ailes, là? Et voici l’ange. Exactement tel que cela avait été annoncé.

16     Dieu seul peut faire cela. On a aussi ici la photographie d’une femme qui a déclaré… Souvent les gens disent…

17     Dans le discernement, je dis parfois: «Cette personne est couverte de l’ombre de la mort, une ombre noire.»

18     Certains disent ensuite: «Eh bien, c’est simplement lui qui l’a dit.» Vous voyez que les gens qui ne vont pas jusqu’au bout ne peuvent pas voir cela. Ils peuvent pousser des cris avec vous, ils peuvent parler avec vous, mais quand il s’agit de vraiment croire le tout, corps et âme, ils ne peuvent pas le faire. Mais, voyez-vous, si Dieu est dans cela et que c’est la vérité, c’est pour la dernière fois de l’histoire. C’est la dernière fois dans l’histoire du monde. On arrive à la fin. Un jour, il n’y aura plus de temps. Dieu confirme tout, à la fois spirituellement et scientifiquement.

19     Dans mes jeunes années, j’ai dit: «C’est une colonne de Lumière qui ressemble à une étoile.»

20     Combien se souviennent que dans le passé, ils appelèrent cela une «étoile». Quand elle apparut, ici sur la rivière, et qu’Il dit: «De même que Jean-Baptiste fut envoyé…»

21     Finalement, elle est descendue, et une photographie en a été prise. D’habitude, nous en avions une ici quelque part. Oui, ils disent que c’est dans le coin, mais je ne peux pas la voir… C’est prouvé scientifiquement que c’est la vérité.

22     Et maintenant, quand il est dit que les gens étaient «couverts d’une ombre». Il y a là une femme, une photographe. Cette photographie est tout à fait semblable à n’importe quelle autre. J’ai dit… (une personne se posait des questions à ce sujet)… et j’ai dit à la femme: «Vous êtes couverte de l’ombre de la mort. C’est un cancer. Il y a une ombre noire.» Et l’autre se tourna et prit la photographie. Cette dame est venue pour témoigner, et elle est peut-être ici, ce soir, voyez-vous. Maintenant, voici la femme au capuchon noir. Très bien. Voici la preuve scientifique que c’est la vérité. Et immédiatement après que la femme eut été déclarée guérie, ils prirent une photographie, et ce n’était plus là. Alors qu’est-ce qui frappa l’objectif? Et quelle chose disparut quand il fut déclaré qu’elle était guérie? Voyez-vous.

23     Je me suis tenu là et je vous ai dit que les anges viendraient. Frère Fred étant un… J’ai vu frère Fred il y a quelques instants. Je pensais qu’il était ici, mais je l’ai perdu de vue quelque part… Oh, là-bas, au fond. Oui, c’est juste. Il était à trois kilomètres ou deux, ou peut-être trois kilomètres de l’endroit où j’étais. Il entendit l’explosion et vit les rochers et tout le reste, quand le coup partit. Est-ce vrai, frère Fred? Et il y avait l’ange qui me renvoya avec le Message. Et ils étaient placés en forme de pyramide, comme je l’avais annoncé avant que je parte, vous disant de quelle manière ils apparaîtraient. À travers le pays, plusieurs photographes le photographièrent, jusqu’au Mexique; il avait 48 kilomètres de haut et 43 kilomètres de large. Il était si haut que même l’humidité de pouvait pas… L’humidité ne va pas plus haut que treize à quatorze kilomètres et demi. Alors, c’était un endroit où il n’y avait rien pour produire de l’humidité. Voyez-vous. Et c’était, soit haut de 43 kilomètres et large de 48, ou l’inverse, 48 kilomètres de haut et 43 kilomètres de large, l’un ou l’autre. Le magazine Life en a parlé, ou le Look. Lequel était-ce? Look ou Life? Life. Le magazine Life. Je crois que c’était dans le numéro du 17 mai. C’est cela.

24     Maintenant, voilà, il est prouvé scientifiquement que c’est la vérité. C’est pourquoi nous ne nous inquiétons pas de savoir si c’est la vérité. À la fois scientifiquement et spirituellement, ce qui avait été annoncé est arrivé. Ainsi, le Message des sept sceaux, une fois apporté, représente le Message de la Bible entière. Les sept sceaux terminent le Nouveau Testament et le scellent. C’est vrai. Maintenant, nous savons cela à la fois par déclaration prophétique, par témoignage scientifique, et par la Parole. Trois ont rendu témoignage que c’est la vérité.

25     C’est pourquoi nous savons que nous sommes à la fin des temps; nous y sommes. Je ne connais pas la distance qui nous en sépare. Il ne nous le dira jamais, car Sa venue sera semblable à celle d’un voleur dans la nuit, mais, mon ami, mon frère, ma sœur, soyons néanmoins prêts. Éprouvons-nous nous-mêmes, voyez-vous, parce que le monde continuera comme avant. Ils ne sauront même pas que c’est arrivé. Quand les portes de la miséricorde seront fermées, les prédicateurs continueront à prêcher le salut, à inciter les gens à se repentir, et ils continueront ainsi, comme ça toujours été le cas. Ce fut ainsi dans d’autres âges et ce sera pareil dans cet âge. Et l’Enlèvement sera si soudain et si rapide que le monde ne se rendra même pas compte qu’ils sont partis. C’est vrai. Ils n’en sauront rien. Il viendra et s’éclipsera avec elle. Elle sera partie, qu’ils n’en sauront rien. Ainsi, soyez en prière. Priez pour moi. Je prie pour vous. Nous ne savons pas quand cette heure arrivera, mais nous croyons que ce sera bientôt. Tenez-vous éloignés de ce qui brille. Restez avec l’Évangile, voyez-vous. Restez maintenant à cet endroit même et priez.

26     Maintenant, Billy m’a écrit une lettre, ou plutôt une note que j’ai ici, me disant: «Quelqu’un aimerait consacrer un bébé.» Si c’est juste… est-ce le cas? Levez la main si… Oui, deux bébés. Très bien. Amenez-les par ici. Et frère Neville… Je me demande si notre sœur pourrait venir un moment au piano pour la consécration des bébés. Nous ne voulons pas en laisser aucun de côté.

27     Maintenant, souvenez-vous, à cette heure-ci demain soir, Dieu voulant, je serai à New York City. Nous allons là-bas sur le champ de bataille, pour combattre le bon combat de la foi.

28     Par ici, sœurs, s’il vous plaît. Juste ici devant. Je les prendrai… Merci. Et maintenant, nous sommes…

29     Combien veulent prier pour moi? Maintenant, si Dieu le veut, ce que j’espère, dimanche dans une semaine, si c’est en ordre avec frère Neville, dimanche dans une semaine, je repasserai ici avant d’aller en Louisiane, et je m’arrêterai pour une réunion à l’église.

30     Je veux tous vous remercier de votre gentillesse, en particulier la dame qui m’a envoyé ce chocolat là-bas; j’apprécie cela. Je ne sais pas qui est cette dame, mais quelqu’un m’a envoyé une boîte de chocolats et quelques petites friandises. C’était vraiment, vraiment délicieux. J’en ai encore l’estomac bien garni et je vous en remercie. Et vous pensez que ces petites choses ne veulent pas dire beaucoup?  Au contraire.
    Ce sont de petites marques d’affection. Et différentes personnes ont donné des petits cadeaux à Billy Paul pour qu’il me les transmette. Je les ai reçus et vous ne savez pas combien j’apprécie cela. Que Dieu vous bénisse. Je m’en souviendrai, et combien, à plus forte raison, Lui s’en souvient, voyez-vous? «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à Moi que vous les avez faites.» Voyez-vous? On fera miséricorde à qui aura fait miséricorde.

31     Maintenant, nous avons ici de gentils petits enfants. Voulez-vous… Je désire que vous restiez là et que vous chantiez ensuite. Faites-les entrer. Très bien. Vous, frères, venez ici une minute. Eh bien, voici le premier. Une paire de petits yeux bruns qui me regardent avec un beau grand sourire. Une petite fille? [Sharon Rose.] C’est un grand nom pour moi, en souvenir de ma petite fille qui est partie… Vous lui avez donné un nom avant sa naissance; si c’était une petite fille, vous alliez l’appeler Sharon Rose… Cela devait en être une… Vous savez quoi? Je ne sais pas si vous le savez ou non, mais si ma femme était ici, probablement elle s’évanouirait presque, car c’est le même genre de robe que ma petite fille portait à sa consécration, la petite Sharon Rose. Celle-là sera peut-être… Puisse celle-ci vivre là où Dieu a repris la mienne. Quel est votre nom de famille, madame? Êtes-vous de la ville, ici? [Chicago.] Frère et sœur Goodman! Que Dieu vous bénisse. Et vous savez, ma petite Sharon lui ressemblait. Je ne pense pas qu’il y ait ici quelqu’un qui se souvienne d’elle, comment elle était. Elle avait aussi de petits yeux bruns, comme sa maman. C’était vraiment une gentille petite fille, avec des cheveux foncés. Elle avait environ… Quel âge a le bébé? [Cinq mois.] Elle avait huit mois quand Dieu l’a reprise. Je l’ai revue peu de temps après. Vous connaissez l’histoire. Oui, vous l’avez à la maison sur bande. Sharon Rose vient du mot… j’ai inversé le mot, la rose de Saron. Et Il avait besoin d’une petite sur Son autel, c’est pourquoi Il l’a reprise. Mais je serai de nouveau avec elle. Puisse votre petite Sharon vivre pour accomplir la vie qu’elle aurait vécue ici sur la terre. Et puisse-t-elle être avec vous dans la gloire, de même que je crois que ma petite Sharon sera avec moi.
    Bonjour! Vous parlez d’une petite fille sympathique, regardez ça. Tu ne fais que sourire. Inclinons nos têtes.
    Dieu bien-aimé, alors que je tiens ce petit trésor, une petite Sharon Rose, Tu sais Seigneur à quoi je pense dans mon cœur, c’est pourquoi je n’ai pas besoin de l’exprimer. Béni soit le Seigneur qui donne ces petits joyaux dans nos cœurs. Bénis cette famille Goodman. Puissent les parents être honorés, ce qu’ils sont, pour avoir un tel joyau dans leur foyer. Puisse-t-elle rester dans leur foyer, Seigneur. Et s’il y a un lendemain, fais-en une femme honorable pour demain.  Et maintenant, Seigneur Dieu, en obéissance à la mission que Tu nous as donnée par Ton exemple, Tu as pris les petits enfants dans Tes bras et Tu les as bénis. Tu as dit: «Laissez venir à moi les petits enfants.» Et ils apportent vers moi le bébé, me reconnaissant pour Ton serviteur, étant donné que Tu as envoyé Tes serviteurs pour continuer Ton œuvre. Et il y a là Tes serviteurs frère Neville, frère Capps, et moi. Et maintenant, Seigneur Dieu, des bras du père et de la mère, nous Te donnons la petite Sharon Rose Goodman, que nous consacrons pour une vie de service, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Cinq enfants à part elle, comme c’est charmant. Que Dieu vous bénisse, frère Goodman. Que Dieu vous bénisse, sœur Goodman. Et puisse le Seigneur bénir la petite Sharon.
    Bonjour, frère. Voyons… [Arneff.] Arneff, c’est juste… Vraiment, ah! [William.] William Arneff. [James William Arneff.] C’est un gentil garçon. Vous savez, il y a des choses que lui et moi avons déjà en commun: le prénom et la façon dont nous séparons nos cheveux. C’est un bon garçon. Jimmy, je pense que c’est ainsi que vous l’appelez? [James.] James. Bon, je me demande si je pourrai le tenir; je ne sais pas si je… Nous sommes de vrais copains, tu le sais, n’est-ce pas? Très bien. Inclinons nos têtes.
    Seigneur Dieu, Tu as béni ce foyer, la famille Arneff, avec ce gentil petit garçon. Et je Te prie de bénir son père, sa mère et ses bien-aimés. Ils sont chrétiens. Et Tu sais avec quelle force son père a combattu ses cigarettes et différentes choses; mais un jour, c’est venu au travers du AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il était pareil à la femme qui persistait pour arriver là-bas. Bien que son commerce ne marchât pas et que tout semblât aller mal, il a néanmoins pris une partie de son argent et a attendu, d’une entrevue à une autre, jusqu’à ce qu’un matin, cela arrive. Il croyait que cela arriverait. Maintenant, il apporte son petit garçon dont la venue a été une bénédiction pour lui. Oh, Dieu, le fruit de leur union. Je bénis ce petit James William Arneff, au Nom de Jésus-Christ. Donne-lui une longue vie. Fais-en un homme digne de Ton Évangile pour demain, s’il y a un lendemain. Et finalement, dans le Royaume qui doit venir, puissions-nous y être ensemble. En tant que Tes serviteurs, nous lui imposons les mains et le consacrons à Jésus-Christ pour une vie de service. Amen.
    Vous en avez encore deux? Oh, ce sont les mêmes. Très bien. Je crois que tu pourrais presque… Maintenant, voici Alvin et… Al et Martha. Laissons l’assemblée… j’aime qu’ils voient les enfants. Je pense que lorsqu’ils sont petits et jeunes, ils sont charmants. Maintenant, imposons-leur les mains.
    De même, Dieu tout-puissant, nous, tes serviteurs, posons nos mains sur ces enfants qui sont le petit frère et la petite sœur de ce petit garçon qui vient d’être consacré. Nous leur imposons les mains pour leur consécration, venant du père et de la mère, pour les placer dans les bras de Jésus-Christ, pour une vie de service, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Que le Seigneur soit avec vous.
    Ce jeune homme, oh, c’est un grand garçon. Je pouvais coiffer mes cheveux comme cela dans le passé… Comment s’appelle-t-il? [Harold Keith Walker.] Quel brave garçon. Je me demande… je ne sais pas, il me regarde un peu comme s’il allait… Vraiment, c’est un gentil garçon. C’est un petit amour. Harold… Harold… Harold Keith Walker.
    Dieu tout-puissant, des bras des parents aux bras de Jésus-Christ, nous T’apportons le petit Harold Keith Walker. Nous lui imposons les mains pour sa consécration au Dieu tout-puissant. Comme le père et la mère désirent que leur enfant soit élevé dans la crainte de Dieu s’il y a un lendemain, fais de lui un serviteur digne de cette consécration. Car nous, Tes serviteurs, posons nos mains sur cet enfant et le consacrons au Seigneur Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Est-ce sœur Walker? C’est très bien. Vous avez un gentil garçon, et puisse Dieu vous bénir.
    Bien, monsieur… Cette petite fille… C’est frère Grimsley… ah, Gramby. Je mélange les noms. Je connais un frère Grimsley et je continue à penser que c’est lui. Frère Gramby apporte cette petite fille, et quand elle est venue au monde, elle avait une grosse nodosité au visage. J’ai prié pour elle et la nodosité a disparu. Et maintenant ils veulent que nous prions parce que… Les parents sont-ils chrétiens? [Ils ne sont pas chrétiens et ils ont peur qu’un mauvais esprit soit en train de prendre possession de leur enfant. Et ils veulent qu’il s’en aille.]
    Prions. Seigneur Jésus, Tu as manifesté Ta grâce sur cette enfant penchée là sur l’autel, en faisant disparaître cette tumeur, cette nodosité de sa bouche. Maintenant, un mauvais esprit essaie de prendre la vie de cette enfant. Il n’y a pas de doute que Tu pourrais utiliser cette fille et que Tu projettes de le faire, mais Satan essaie de contrecarrer Ton plan. C’est pourquoi, nous ordonnons à Satan, au Nom de Jésus-Christ, de retirer ses mains et de s’éloigner de cette enfant. Et nous la donnons au Seigneur Jésus-Christ pour la gloire de Dieu. Amen. Croyez, frère Gramby. L’enfant paraît bien un peu petite pour avoir la foi, mais ce sera ainsi.

32     Je L’aime, pas vous? Il est merveilleux. J’ai promis, ce soir, que je sortirais vers 8 heures 30, ainsi cela me donne une demi-heure. Maintenant, je ne sais pas, mais ce sera peut-être un petit peu plus tard que cela. Mais maintenant…

33     Je suis content de voir frère Dauch ici, ce matin. Je ne sais pas où est allé l’autre homme, mais ce matin, s’il a un sosie… il y avait là un homme assis au fond qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Je me suis dit: «Lequel est frère Dauch?» J’ai regardé de long en large et j’allais lui donner un nom, mais j’étais si pris par le Message… Vous savez, frère Dauch, vous êtes toujours le même. Je suis si content de le voir dans cette condition.

34     Récemment, j’ai reçu un téléphone de Tucson afin qu’on prie de nouveau pour lui, car quelque chose d’autre lui était arrivé. Frère Dauch a, je pense, quatre-vingt-dix ou quatre-vingt-onze ans. À cet âge, votre corps commence à tomber en douves. «Le malheur atteint souvent le juste, mais l’Éternel l’en délivre toujours.» Et parfois, quand le corps en arrive au point où rien ne tient ensemble, je sais qu’il tient une Main. Bien qu’il ne soit qu’une poignée de poussière, Dieu a promis de le ressusciter au dernier jour. Et je suis si reconnaissant.

35     Je me souviens de frère Dauch quand il est entré dans l’eau, ici, pour être baptisé au Nom de Jésus-Christ; il n’avait même pas d’habits de baptême, mais il voulait le faire quand même. Et Dieu a été bon pour cet homme. Pensez, il a dépassé de vingt ans le temps que Dieu lui avait fixé. Voyez-vous? Si ce n’est pas la grâce! Et l’autre jour, il était encore étendu dans une extrême faiblesse, secoué en plus par une crise cardiaque. Si Dieu n’a pas guéri cet homme et ne l’a pas relevé! Et je crois que depuis lors, son médecin est décédé. Est-ce vrai?  Oui, même le médecin, un médecin juif qui le soignait et qui m’a parlé de lui dans le hall déjà n’est plus. Voyez-vous? Oh! combien Son amour est profond! Combien Ton amour est grand, Seigneur!

36     Nous avons ici quelques mouchoirs sur lesquels nous allons prier dans quelques instants, mais je vais vous parler un peu de la foi. Et ensuite, nous verrons comment le Seigneur conduit et ce que nous allons faire après. Laissons cela simplement entre Ses mains; c’est ce qu’il y a de mieux à faire.

37     Oh, être assis ensemble dans les lieux célestes! J’ai parlé à des amis aujourd’hui, après être sorti du Blue Boar, et j’ai dit: «Allez-vous rester pour le service?
    — Oui.»

38     J’ai dit: «Vous devrez probablement conduire jusqu’à minuit ou une heure.» Il prévoit d’arriver chez eux vers six heures du matin; cela fait un long trajet. Souvenez-vous que ce sont des humains et qu’il leur arrive d’être fatigués comme moi. Ils vont jusque tout au sud du Tennessee. Que le Seigneur les bénisse!

39     Je pourrais dire autant de choses que cela prendrait tout le temps, mais je ne vous vois pas si souvent et j’aime pouvoir vous parler d’une façon ou d’une autre. Mais si je n’arrive pas à vous dire combien je pense à vous, ici… Voyez-vous, je veux le dire à ces frères dont certains ont fermé leur église.

40     Frère Jackson a donné ce matin cette belle interprétation d’une langue inconnue dans laquelle un frère avait parlé, confirmant et appuyant que c’était Dieu. Avez-vous remarqué? Il n’a jamais dit que ce n’était pas juste. Il n’a jamais dit que ce n’était pas ainsi. Il a simplement donné un avertissement selon lequel il fallait écouter. Voyez-vous? Ainsi, frère Junior était ici ce matin et a renvoyé sa réunion. Et je crois savoir que d’autres frères des églises près de Sellersburg…

41     Et frère Ruddell, il était ici ce matin. Je ne sais pas s’ils sont là ce soir ou pas… Oui, ils sont de nouveau là ce soir. Eh bien, que le Seigneur vous bénisse, frère Ruddell. Et vous… je n’arrive pas à exprimer ce que je pense, mais peut-être… mais quand nous serons de l’autre côté, je veux m’asseoir avec chacun de vous dix mille ans, vous voyez. Ainsi, nous pourrons en rediscuter.

42     Ainsi, pendant que la moisson est mûre et que les ouvriers sont peu nombreux, mettons-nous à creuser, là, au cas où il y aurait un pécheur à côté. Il y a peut-être quelqu’un pour qui ce soir apportera un changement dans le cours de sa vie. Et si ce n’est pas arrivé ce matin, ce soir verra peut-être le Livre se fermer. Souvenez-vous que pas un seul de plus n’entrera, quand ces noms auront été rachetés! Avant…

43     Maintenant, que chacun écoute attentivement avant que je lise l’Écriture. Tous ceux qui devaient être une fois rachetés, Dieu mit leurs noms dans le Livre de Vie de l’Agneau, avant même que le monde fut créé. Combien le savent? C’est l’Écriture. Et l’antichrist, dans les derniers jours, ressemblera tellement à la chose véritable, à la véritable Église, comme le fut Judas, qu’il séduirait même les élus, s’il était possible. Est-ce vrai? Mais nul ne peut venir à Jésus si Dieu ne l’y envoie, et tout ce que Dieu Lui a donné viendra à Lui. Et quand Il prend ce Livre, le dernier nom…

44     Voyez-vous, tous dans l’âge de Luther, Il les a fait sortir. Tous dans l’âge de Wesley, Il les a fait sortir. Tous dans les différents âges, l’âge pentecôtiste, Il les a fait sortir. Ils sont de ce côté et ils ne seront pas jugés avec eux; ils seront enlevés. Et quand apparaît ce dernier nom qui avait été placé dans le Livre de Vie de l’Agneau qui fut immolé avant la fondation du monde, quand ce dernier nom a été racheté, Son œuvre est terminée. Il s’avance pour réclamer ceux qu’Il a rachetés.

45     Cela fait saigner notre cœur. Mais si cela continuait encore mille ans, il n’y aurait pas un seul racheté de plus. Nul ne peut être racheté à moins d’avoir été placé dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde. Qui sont-ils? — Je ne sais pas. Personne ne le sait, voyez-vous. Dieu seul. J’espère fermement que le nom de chacun d’entre nous est dans ce Livre. Si le mien y était, je suis sûr d’y être. S’il n’y était pas, je n’y serai pas, c’est tout. Voyez-vous, cela dépend de Dieu. «Cela ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde.» Voyez-vous?

46     Maintenant, approchons-nous de la Parole avec tout le respect et la sincérité possible. Je pense que c’est une chose que nous devons faire, voyez-vous. Arrêtons autant de non-sens! Soyez respectueux, sincère! Je prête attention parfois à ces confessions, quand ils… à la télévision, quand ils eurent cette réunion de Billy Graham. Je n’ai rien contre Billy Graham, mais là-bas, en Californie, l’homme prêcha un merveilleux message ce dernier soir; il prêcha exactement la même chose que moi ici, il n’y a pas longtemps, sur Daniel: «Tu as été pesé dans la balance et tu as été trouvé léger.» Combien l’ont vu? Beaucoup parmi vous, je pense.

47     Regardez. Avez-vous remarqué ces gens qui venaient des couloirs en mâchant du chewing-gum, en se taquinant et riant? Ce n’est pas marcher entre la vie et la mort, ce n’est pas avoir du regret pour ses péchés et se repentir, voyez-vous? C’est simplement ce que Billy a dit: «Prendre une décision.» Et une décision froide, l’œil sec, n’est rien, voyez-vous; ce n’est rien. Vous devez avoir du regret pour vos péchés et vous en séparer. Billy lui-même a dit, pour prouver cela: «De ces trente mille, vous ne pouvez pas en trouver trente une année plus tard.» L’autre jour, j’ai dit: «Qu’y a-t-il avec New York? J’ai eu là cette grande réunion, et qu’est-il arrivé? Maintenant, le péché est pire que jamais.» Et ça continuera à empirer!

48     Il n’y aura pas de repentance nationale. La nation est finie. Seulement vous en tant qu’individus. Mais bientôt ce sera terminé, si ce n’est pas déjà le cas. Maintenant, inscrivez simplement cela, vous jeunes gens. Voyez jusqu’à quel point frère Branham… ce n’est pas frère Branham, voyez si ce que j’ai dit est juste ou faux. Le péché deviendra toujours pire, jusqu’à ce qu’un jour, les cieux s’enflamment. Elle tombera sur la terre et la terre brûlera avec une grande chaleur. Mais les rachetés ne seront pas ici à ce moment-là, ils seront partis.

49     Maintenant, dans le livre de Saint Marc, au chapitre 11; I Jean 4.4, et Matthieu 28.20, j’aimerais lire…

50     Maintenant, premièrement j’aimerais lire dans Saint Marc, au chapitre 11, et les versets 12 à 24. Écoutez maintenant très attentivement ce passage de l’Écriture. Ceci servira de base à un petit témoignage et à quelques paroles d’exhortation. Et ensuite nous verrons ce que le Seigneur veut que nous fassions. Que chacun reste assis, et soyez en prière maintenant, pendant que nous lisons.

51     Marc 11.12:
    Le lendemain, après qu'ils furent sortis de Béthanie, Jésus eut faim.
    Apercevant de loin un figuier qui avait des feuilles, Il alla voir s'Il y trouverait quelque chose; et, s'en étant approché, Il ne trouva que des feuilles, car ce n'était pas la saison des figues.
    Prenant alors la parole, Il lui dit: Que jamais personne ne mange de ton fruit! Et Ses disciples L'entendirent.
    Ils arrivèrent à Jérusalem, et Jésus entra dans le temple. Il se mit à chasser ceux qui vendaient et qui achetaient dans le temple; Il renversa les tables des changeurs, et les sièges des vendeurs de pigeons;
    et Il ne laissait personne transporter aucun objet à travers le temple.
    Et Il enseignait et disait: N'est-il pas écrit: Ma maison sera appelée une maison de prière pour toutes les nations? Mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs.
    Les principaux sacrificateurs et les scribes, L'ayant entendu, cherchèrent les moyens de Le faire périr; car ils Le craignaient, parce que toute la foule était frappée de Sa doctrine.
    Quand le soir fut venu, Jésus sortit de la ville.
    Le matin… (maintenant, c'est un autre jour) …en passant, les disciples virent le figuier séché jusqu'aux racines.
    En vingt-quatre heures, le miracle était arrivé, après qu'Il lui eut dit: «Que personne ne mange…» À ce moment-là, rien ne semblait être arrivé; mais d'ici le jour suivant, il avait séché.
    Pierre, se rappelant ce qui s'était passé, dit à Jésus: Rabbi, regarde, le figuier que Tu as maudit a séché.
    Jésus prit la parole, et leur dit: Ayez foi en Dieu.
    Je vous le dis en vérité, si quelqu'un dit à cette montagne: Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s'il ne doute point en son cœur, mais croit que ce qu'il dit arrive, il le verra s'accomplir.
    C'est pourquoi Je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir.
    Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses.
    Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.
    Il y a une condition.

52     Maintenant, j’aimerais lire I Jean 4.4:
    Vous, petit enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que… (écoutez attentivement!) …Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.

53     Puis-je le lire de nouveau:
    Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus… (parlant de l’antichrist) …parce que Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.
    Deux pronoms, voyez-vous. Celui, un pronom démonstratif.
    Celui qui est dans le monde et Celui qui est en vous. Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.

54     Maintenant, le chapitre 28 de Saint Matthieu, et le verset 20:
    Enseignez-leur à observer tout ce que Je vous ai prescrit. Et voici, Je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.

55     Ce soir, j’aimerais prendre le texte suivant: Celui qui est en vous. Et sur ce thème j’aimerais construire votre foi, en vue bien sûr d’un service de prière. Et pour commencer, aussi vite que…

56     Maintenant, c’est comme je vous l’ai dit, j’aime vous mettre au courant des événements qui sont arrivés, et, généralement, j’attends de venir ici à l’église pour en parler. Ensuite, si d’autres veulent l’entendre, ils peuvent écouter les bandes; mais j’attends d’être ici. À propos de l’événement dont je vais vous parler maintenant, il y a ici plusieurs témoins, des frères chrétiens. Frère Banks Wood était présent. Il y avait aussi frère David Wood. Et encore frère Evans et son fils Ronald, qui sont également ici. Il y avait aussi notre fidèle diacre, frère Wheeler. Comme autre personne présente, il y avait frère Mann. Frère Mann est-il ici? … de New Albany? Un prédicateur méthodiste que j’ai baptisé récemment au Nom de Jésus-Christ. Il y était aussi quand c’est arrivé.

57     Cela faisait un certain temps, voire plusieurs années, que j’avais un lourd fardeau sur ma poitrine, ou plutôt dans mon cœur. C’était comme si j’avais fait quelque chose de faux. Et à plusieurs reprises, j’ai regardé dans ma vie ce qui pouvait être faux. «Seigneur, si j’ai fait quelque chose de faux, alors révèle-le-moi et j’irai le rectifier.» Mais rien ne m’était révélé. Je disais: «Ai-je blessé quelqu’un? Ai-je laissé quelque chose d’inachevé? Ai-je… Est-ce que je lis assez? Est-ce que je prie assez?» Et je lisais et je priais, et je pensais: «Révèle-le-moi, ai-je blessé quelqu’un? Si c’est le cas, j’irai le rectifier. Montre-le-moi simplement, je ne veux pas ce fardeau.» Et durant ces cinq dernières années, depuis que j’ai quitté le champ missionnaire, j’ai eu un fardeau dans mon cœur.

58     Je suis allé dans la montagne, je suis allé au bord de la mer, j’ai été partout, et j’ai prié, j’ai prié et j’ai prié, et cela ne voulait pas diminuer. J’ai pensé à toutes sortes de choses, me demandant si j’avais fait quelque chose. Mais ça ne voulait toujours pas diminuer. J’étais comme en esclavage. C’est très étrange que cela se soit dissipé au moment où ce Message a été apporté ce matin. Est-ce Dieu qui le retenait en vue de ceci? Je ne sais pas. Voyez-vous, je… ces choses sont toutes dans mon esprit. Vous pouvez vous imaginer ce qu’il y a dans le cœur d’un homme quand vous devez supporter cela. Voyez-vous? Savoir ce qui arrive et devoir le dire aux gens, conscient que certains l’interpréteront mal, et que les uns partiront dans cette direction, et les autres dans cette autre direction. Vous savez comment c’est; certains le croiront, d’autres ne le croiront pas, et… Mais c’est ce que vous devez endurer.

59     Comment pouvez-vous le dire sans blesser? Comment devez-vous le dire pour obtenir le résultat désiré? Comment devez-vous le dire, afin de montrer aux gens que vous ne cherchez pas à les accuser, mais que vous les aimez? Comment pouvez-vous être strict et ferme, et pourtant être plein d’amour et… Comment allez-vous le présenter? Mais malheur à moi si je ne l’annonce pas! Voyez-vous? Vous y êtes. Voyez-vous? Ce n’est pas étonnant que cela vous rende nerveux et travaillé.

60     J’étais venu d’Arizona pour rencontrer ici un groupe de frères qui vont chaque année chasser avec moi dans le Colorado. Maintenant, certaines personnes m’ont demandé: «Pourquoi allez-vous chasser? Qu’est-ce qui vous pousse à le faire?» Voyez-vous? Ici vous vous rechargez, et moi je me vide. Là-bas, je me recharge, pour que je puisse me vider ensuite. Voyez-vous. Je n’y vais pas simplement pour tirer du gibier. N’importe qui, ici, qui part avec moi, sait que j’ai passé à côté de centaines de bêtes sans jamais les tirer. Je ne fais pas cela.

61     Ici, il n’y a pas longtemps, j’ai commencé à tirer du gibier pour les hommes d’affaires chrétiens. «Quand tu partiras, me disait-on, Billy, attrape-moi un mâle. — Attrape-moi une femelle. — Attrape un élan. — Attrape-moi ceci ou cela.» Je partais et je tirais du gibier à gauche et à droite. Le Seigneur m’a aidé à voir et à trouver le gibier et, étant un assez bon tireur, à les toucher. Eux restaient simplement assis à parler de leurs affaires.

62     Puis le Seigneur me dit de ne plus faire cela. J’en ai eu du regret; c’est pourquoi je Lui ai promis que je ne le ferais plus, vous savez. J’ai dit: «Si c’est une urgence et que quelqu’un en a besoin, je le ferai. Mais s’ils n’en ont pas besoin, je ne le ferai pas.» Car ces hommes ont suffisamment d’argent pour s’acheter du bœuf ou autre. Ainsi, pourquoi devrais-je le faire? Laissez l’animal vivre, si vous n’avez pas l’intention de l’utiliser.

63     Ainsi, je pars simplement pour être seul. Et n’importe quel homme qui va chasser avec moi sait que je ne chasse avec personne. Je pars de mon côté pour être seul. Je vais avec eux pour pouvoir fraterniser le soir et nous tenir debout en cercle pour prier, etc. Mais cette année, il y avait là, en haut de la montagne, beaucoup d’autres prédicateurs, entre autres notre frère Palmer. Je crois l’avoir vu il y a quelques instants. Le voilà qui est assis là, frère Palmer. Et un certain frère Bob Lambert; il était ici ce matin. J’ai reconnu sa voix quelque part. Je pense qu’il est toujours ici. Il y avait aussi frère… les deux frères Martin. Je pense qu’ils sont ici. Sont-ils ici, les frères Martin? Frère Martin. Vous m’avez téléphoné l’autre jour, c’était bien. Cet homme a été guéri, ce frère prédicateur.

64     Êtes-vous ici, pour lequel j’ai prié au téléphone l’autre jour? J’ai oublié son nom. Il vient de l’Arkansas. Sa femme m’a téléphoné; l’homme était tout enflé de côté, avec une forte fièvre, et il se mourait. Le même homme qui a été désigné à Little Rock… ou à la réunion de Hot Springs. Il a bonne façon. S’il est ici, je pense qu’il ne va pas se lever, maintenant. Mais j’ai oublié son nom. Je ne peux pas me rappeler son nom. Blair! Frère Blair. Il se trouvait à la réunion de Little Rock. Combien étaient à… je veux dire, à Hot Springs? Combien étaient à la réunion? Et le Saint-Esprit appela cet homme et lui dit que le diable essayait de l’amener à me renier, disant que j’étais un faux prophète. Et l’homme attesta que c’était la vérité. Voyez-vous ce que le diable était en train de faire? Cet homme ne va pas chez le médecin, parce qu’il ne croit pas que ce soit juste. Mais Satan savait que cette maladie allait le frapper et qu’il pourrait le faire mourir à ce moment-là. Voyez-vous? Ainsi, il essayait de faire en sorte qu’il me renie. Et le Saint-Esprit, dans Sa grâce, le désigna et lui dit de ne pas faire cela. Cet homme m’était inconnu. Il lui dit de ne pas faire cela.

65     Et l’autre soir, sa femme m’appela, en disant: «Frère Branham, je crois qu’il est en train de mourir.» Elle ajouta: «Il est tout enflé, et la fièvre… il est presque hors de lui-même. La dernière chose qu’il a dite, c’était: `Appelle frère Branham.’» 
    J’ai dit: «Avez-vous quelque chose, un mouchoir dans votre sac?
    — Non.» J’étais à Tucson, elle était en Arkansas.
    Et je dis: «Avez-vous autre chose?»
    Elle répondit: «Je crois… son foulard.»
    Je dis: «Bon, posez votre main sur le foulard. Et maintenant, tenez le récepteur dans l’autre main.» Et j’ai prié en demandant à Dieu d’être miséricordieux et de faire partir cet ennemi.

66     Et elle alla poser le foulard sur cet homme. Et le matin suivant, c’est lui qui m’appela. Voyez-vous? En vingt-quatre heures environ, ou même moins.

67     Notre cher frère, je ne l’ai pas encore vu ce soir, frère Roy Roberson. Vous savez, frère Roy était militaire. S’il est ici, j’espère qu’il comprendra, parce que je ne condamne pas cela. Là, tout est strict; il était sergent à l’armée, vous savez, et habitué à commander des hommes. Il dit: «Eh bien, toutes ces choses spirituelles sont pour les autres.» Voyez-vous, pas pour lui! Mais le Seigneur l’épargna. Il devrait être mort. On l’a considéré comme mort pendant longtemps, mais le Seigneur l’a guéri. Il L’a suivi depuis ce moment-là. Mais de toutes les choses spirituelles, il n’en savait rien, des visions non plus.

68     Et ici, il n’y a pas longtemps, beaucoup connaissent la vision qu’eut frère Roy. Avant même que j’aille là-bas, me voyant debout sur la montagne, avec cette Lumière et une Voix qui venait de là, cela enleva tout doute dans le cœur de frère Roy.

69     Et l’autre soir, il fut frappé à tel point qu’il tomba très malade et que sa température monta beaucoup. Le médecin lui avait donné des médicaments, mais ils ne lui faisaient aucun bien et il en était même arrivé au point où il ne pouvait plus bouger. Ses jambes et son corps étaient comme paralysés.

70     Le pauvre frère avait été touché par des éclats d’obus d’un 88 allemand, et cela le… je crois que tout son détachement fut tué à l’exception de lui, qui était là, grièvement blessé.

71     Et savez-vous ce qui est arrivé? J’ai dit à sa femme, sœur Roberson, de… je lui dis: «Avez-vous quelque chose là-bas?»

72     Et elle répondit: «J’ai un mouchoir sur lequel il désire que l’on prie.

73     — Allez le chercher.» J’étais donc à Tucson. Elle a posé sa main là-dessus, j’ai prié, chassé cela, et dit: «Sœur Roberson, ça va disparaître.»

74     Quelque chose venait de me dire: «Ça va disparaître, dis-le!» Et en une demi-heure, la fièvre avait disparu et il était à la cuisine cherchant quelque chose à manger. Voyez-vous?

75     Ce que j’essaie de dire, c’est, ne perdez jamais confiance. Ne laissez pas Satan vous dire du mal de moi, parce qu’il y en a beaucoup. Mais gardez cette confiance, parce que si vous ne le faites pas, cela n’arrivera pas. Ne regardez pas à moi en tant qu’homme. Je suis un homme, je suis plein de fautes. Mais regardez à ce que je dis à Son sujet. C’est Lui, c’est de Lui qu’il s’agit.

76     Alors que nous étions là-haut dans le Colorado… Nous y étions retournés et il avait fait très sec; le gibier était rare. Le Seigneur avait béni frère Wheeler et lui avait donné un beau trophée. Nous en étions si heureux, car c’était la première fois qu’il était allé chasser dans les bois, et le Seigneur l’avait béni. Ensuite, j’ai tiré un beau trophée que je recherchais depuis vingt ans, frère Banks et moi l’avions longtemps pourchassé. Et quand je tirai avec mon fusil… J’avais amené mon fusil d’une région chaude et le changement de température avait fait gonfler le fût, si bien qu’il tira plusieurs centimètres à côté. L’animal, debout entre les arbres, fut touché au mauvais endroit. S’il avait été touché plus bas, il eut été tué avec humanité en une seconde. Mais il fut touché si haut, qu’il sauta et tomba comme cela.

77     Billy était avec moi, et il dit: «Il a été touché.» Je le croyais aussi; mais quand nous sommes arrivés sur place, ce n’était pas le cas. Ainsi, il dit: «Tu as touché un arbre.» J’ai regardé de haut en bas, mais il n’y avait pas de marque à aucun arbre. Ensuite, je suis parti à sa recherche. C’est alors que vint un signe d’avertissement. Il y avait une centaine d’hommes, juste au-dessus de nous. Frère Palmer et les autres en sont témoins. Frère Evans aussi, c’est juste, il y était. Frère Welch Evans et son garçon Ronnie (je crois que je l’ai nommé il y a quelques instants). De nombreux hommes étaient partis au-dessus de nous vers ce qu’on appelle le camp des vaches, le point d’attache du cow-boy, où il monte à cheval et garde les vaches séparées. Dans le temps, j’ai aussi été dans ce camp surveiller le bétail et le garder séparé.

78     Ainsi, il y avait là environ cent hommes. Tout le monde sait que dans cette contrée, lorsqu’un blizzard est annoncé, la meilleure chose à faire, c’est de partir immédiatement. Ainsi, frère Palmer et les autres partirent tôt, parce qu’ils n’avaient qu’une transmission à trois vitesses à leur voiture et qu’ils devaient partir de là, parce que le temps… Si vous êtes là, il se peut que vous ayez à y rester des semaines. Ainsi, ils dirent: «Il y a un blizzard qui vient. Les prévisions du temps, les journaux, la radio l’ont annoncé.» Chargement après chargement, pratiquement tout ce qu’il y avait là-bas partit. Ils partirent immédiatement, parce qu’ils savaient que c’était la chose à faire.

79     Mais mes frères avaient deux permis pour chasser le cerf et ils ne voulaient pas partir. Je dis alors: «Eh bien, restons.» Mais, j’avais une réunion environ six jours plus tard, et je devais retourner à Tucson.

80     En outre, ma petite femme… Nous avons été mariés vingt-deux ans. Et pendant vingt ans, le jour de notre anniversaire, je m’étais trouvé chaque fois là-bas. Ça s’est trouvé que cela tombait sur cette date. Alors, j’ai trouvé un petit coin où j’allais toujours prier. Il ressemblait à l’endroit où je l’avais emmenée, un jour.

81     Vous savez, j’ai fait un petit quelque chose. Comme je n’avais pas assez d’argent pour faire à la fois une tournée de chasse et ma lune de miel, j’ai pris en quelque sorte ma femme dans une tournée de chasse, en guise de lune de miel. Ainsi nous étions à New York, et je me souviens l’avoir aidée à passer par-dessus les troncs pour arriver à un certain endroit. Et j’ai là-bas un petit coin où je pense toujours à elle, quand j’y vais au moment de notre anniversaire. Le 23 octobre tombe pendant la période de chasse, et pendant vingt ans je n’ai pas été à la maison; j’étais toujours là-bas.

82     Ainsi, ce jour-là, c’était notre anniversaire. Et frère Mann… Je dis: «Maintenant, si vous, frères…» Je dis, autour du feu ce matin-là, ou plutôt ce soir-là: «Si vous voulez tous rester, souvenez-vous que nous serons peut-être ici un mois.» J’ai vu tomber six mètres et demi de neige en une nuit. Vous alliez là-bas et c’était parfaitement sec et beau. Mais le matin suivant, il y avait comme ça de neige, peut-être plus haut que votre tente. Alors, vous restiez là jusqu’à ce que ça fonde. Ainsi, vous êtes à vingt-cinq ou trente kilomètres à l’intérieur d’un lieu sauvage, c’est pourquoi j’ai dit… Et s’il y a une urgence, bien sûr, on envoie des hélicoptères et on vous en fait sortir, mais si… Généralement, si personne n’est en danger de mort, il faut attendre là.

83     Ainsi, tout le monde fila dès qu’ils entendirent les prévisions du temps. Quant à nous, nous étions là-bas, et je dis: «Maintenant, décidez-vous! Si vous voulez rester, je suis ici pour chasser avec vous. Je téléphonerai à mon épouse pour lui dire: Heureux anniversaire!  Puis, nous irons faire des emplettes, parce que nous devrons peut-être rester ici.» Nous n’avions plus de pain. Et je ne veux plus voir ces grandes crêpes pendant longtemps! Ah, ces crêpes! J’en avais mangé au Canada pendant vingt et un jours et j’en avais sûrement ma ration. Ainsi, je voulais acheter du pain.

84     Ils dirent qu’ils voulaient rester. Ainsi, il n’y avait rien d’autre à faire que de rester. Frère Mann et moi, nous sommes partis acheter des provisions. Je voulus téléphoner à mon épouse, mais personne ne répondait. Personne ne répondait. J’attendis environ une heure, jusqu’à ce que nous ayons fait nos emplettes. Je retournai téléphoner, mais elle ne répondait toujours pas. Je dus alors téléphoner à sœur Evans, — je crois que sœur Evans est ici, je lui ai dit… Oui, frère et sœur Evans sont ici.

85     Je téléphonai donc à sœur Evans de la part de son mari et lui dis ce qui en était. Elle dit: «Eh bien, je téléphonerai à sœur Branham et lui souhaiterai un heureux anniversaire.» Mais à ce moment-là elle était partie faire des emplettes pour les enfants.

86     Puis nous sommes rentrés. Le lendemain, le ciel était couvert de nuages. Il n’avait pas plu là-bas pendant tout l’automne et c’était vraiment sec. Ils durent prolonger la saison de la chasse de quelques jours à cause de la sécheresse. Ce matin-là, je dis aux frères: «Maintenant, à la première goutte de pluie, au premier flocon de neige, ou premier grésil ou autre, revenez au camp aussi vite que possible, car dans les quinze minutes qui suivront, vous ne pourrez plus voir votre main devant vous. Voyez-vous? Ça va commencer à souffler en rafales, et, quelle que soit votre connaissance de la région, vous serez bloqués où vous serez et vous périrez. Car il arrive que vous ne pouvez même pas respirer à cause du grésil qui souffle si fort, et vous mourez sur place.» Et j’ajoutai: «Dès que ce grésil commencera à tomber, revenez au camp aussi vite que possible, peu importe où vous serez.»

87     Puis je dis: «Montez là-haut et mettez-vous dans ces ravins. Moi, je monterai très haut et ferai rouler des pierres pour faire peur aux cerfs; cela les fera descendre et vous attraperez ce que vous voudrez.»

88     Je commençai à grimper très haut et comme j’arrivais à un endroit que nous appelons la selle… J’ai l’habitude de passer par là pour aller au lieu dit Quaker Knob, qui se trouve juste sur la ligne de partage des eaux continentales, là-bas, tout en haut. Et comme j’arrivais presque à cette petite selle, les nuages devinrent toujours plus noirs. Il ne restait plus une voiture, il n’y avait que nous là-haut et le cow-boy au camp. Le temps continua à se gâter et au bout de quelques minutes, il commença à pleuvoir… Je pris mon fusil et le mis sous ma veste pour éviter que la lunette se couvre de buée et que le fût soit mouillé. Il se pouvait que je rencontre un ours ou quelque chose d’autre en revenant, c’est pourquoi je tins la lunette comme cela. Je m’assis quelques minutes sous un arbre. J’étais assis là et je priais. Je dis: «Seigneur Dieu, Tu es le grand Jéhovah et je T’aime.»

89     Que d’expériences j’ai vécues! J’ai montré aux frères, à frère Palmer et aux autres, les endroits où l’aigle… Vous savez, je l’ai vu s’élever ce jour-là comme… C’est là que toutes ces choses sont arrivées. C’est quelque chose de sentimental pour moi. J’ai vécu tellement d’expériences merveilleuses avec mon Seigneur là-bas dans ces montagnes. Vous ne pouvez pas aller là-bas sans Le voir; Il est partout.

90     Alors que j’étais assis là, le grésil commença à tomber et le vent à souffler. Je dis: «Je connais le chemin pour descendre, mais je ferais mieux de partir d’ici immédiatement.»

91     Je regardai vers le bas; je ne pouvais même plus voir ce qu’il y avait en contre-bas, avec ces nuages qui tourbillonnaient et ce grésil qui soufflait. Et voilà! c’était le blizzard. On avait annoncé depuis plusieurs jours qu’un grand blizzard viendrait.

92     Frère Tom est ici. Frère Tom Simpson, alors qu’il venait du Canada, entendit les prévisions du temps et on lui déconseilla de traverser cette partie du pays, parce que les prévisions du temps disaient: «Il va y avoir un blizzard.» Où êtes-vous frère Tom? Je pense que… oui, le voilà. Le blizzard arrivait. Tout le monde avait pris ses dispositions en vue de cela.

93     Je remis mon fusil sous ma chemise comme ceci, ma chemise rouge, et je me mis à redescendre de la montagne. Je marchais et j’étais maintenant à environ huit cents mètres de la selle. Oh là là! avec ces flocons de neige gros comme ça et le vent qui tourbillonnait et soufflait sur cette montagne, je ne pouvais plus en voir le pied. Je pouvais voir à environ six mètres devant moi ou peut-être neuf mètres, et je savais que je devais descendre ce qu’on appelle le dos d’âne, une petite crête, et que je devais ensuite arriver au ruisseau; je savais que je devais le suivre. Je savais aussi où aller si ça se gâtait vraiment.

94     Ainsi, je me mis à descendre, et à mi-chemin environ, quelque chose me dit aussi clairement que vous pouvez m’entendre: «Arrête-toi et fais demi-tour!»

95     Oh, je pensai: «Qu’est-ce qui me prend? Peut-être que ce n’est que mon imagination.» Mais, je ne pus pas faire un pas de plus en avant.

96     David m’avait préparé un sandwich ce matin-là, et je pense qu’il essayait de me rendre la pareille pour en avoir préparé un une fois pour son papa, avec des oignons et du miel. C’est tout ce que nous avions. Ainsi, il m’en prépara un avec de la charcuterie, et oh! je ne sais pas du tout ce qu’il y avait là-dedans! Je l’avais dans ma chemise; il avait été mouillé à travers ma chemise, et je pensai: «Je vais m’arrêter et manger ça, et peut-être qu’ensuite tout ira bien.» Je sortis le sandwich; il était environ dix heures, et je commençai à manger. Alors que je mangeais le sandwich, je pensai: «Maintenant, ça va bien aller pour moi», et je me remis en marche. Mais quelque chose me dit: «Retourne d’où tu viens!»

97     Retourner dans cette tempête! Huit cents mètres ou plus en haut de la montagne, dans ce bois sombre où vous pouviez à peine voir plus loin que d’ici à cet orgue, mais, je deviens vieux! Voilà trente-trois ans que je suis chrétien, et je sais que peu importe combien cela peut paraître ridicule, obéissez toujours au Seigneur. Faites ce que le Seigneur dit.

98     Je fis demi-tour et repartis vers la selle, en cherchant mon chemin. Oh, le grésil devenait toujours plus fort et il faisait toujours plus sombre. Je m’assis là et je mis ma veste comme ceci, ou plutôt ma chemise sur la lunette. Je m’assis. Je pensai: «Que suis-je en train de faire ici? Pourquoi revenir ici?»

99     J’attendis quelques minutes. Puis je me levai et aussi clairement que j’eus souhaité l’entendre, une voix me dit: «Je suis le Créateur des cieux et de la terre! J’ai créé le vent et la pluie.» J’enlevai mon chapeau.

100     Je dis: «Grand Jéhovah, est-ce Toi?»

101     Il dit: «Je suis celui qui a fait cesser les vents sur la mer. Je suis celui qui a apaisé les vagues. J’ai créé les cieux et la terre. Ne suis-Je pas celui qui t’a dit de parler et qu’ainsi des écureuils ont été créés. Je suis Dieu.»

102     Maintenant, quand une voix vous parle, observez l’Écriture. Si ce n’est pas scripturaire, laissez cela. Peu importe combien cela paraît clair, restez-en éloigné.

103     Je dis: «Oui, Seigneur.»

104     Il dit: Parle au vent dans cette tempête et il s’en ira.» Maintenant, cette Bible se trouve devant moi, ma vie est là-dedans.

105     Je me levai et dis: «Je ne doute pas de Ta voix, Seigneur!» Et j’ajoutai: «Nuages, neige, pluie, grésil, votre présence me déplaît. Au Nom de Jésus-Christ, retournez d’où vous êtes venus! Et maintenant, j’ordonne au soleil d’apparaître immédiatement et de briller pendant quatre jours, jusqu’à ce que notre tournée de chasse soit terminée et que je parte avec mes frères.»

106     Ça jaillissait comme ça: WHOOOOSSSSH. Ça commença à faire WHOOOSH; et ensuite, cela fit WHEW WHEW WHEW WHE, et ça s’arrêta!

107     Je restai tranquille. Mes frères là-haut se demandaient ce qui arrivait. Le grésil et la pluie s’arrêtèrent. Un vent se mit à tournoyer sur la montagne et à soulever les nuages; l’un partit de ce côté, en direction de l’est; l’autre, au nord, puis à l’ouest et au sud. Et dans les quelques minutes qui suivirent, le soleil se mit à briller et à faire sentir sa chaleur. C’est la vérité! Dieu sait que c’est la vérité. Et j’étais là, mon chapeau à la main, regardant tout autour de moi.

108     Vous pensez, je devins comme paralysé.

109     Je pensai: «Le Dieu même de la création… tout est dans Sa main! Qu’est-Il en train de me montrer?»

110     Je ramassai mon fusil, essuyai la lunette et me mis à redescendre la colline. Et quelque chose me dit: «Pourquoi ne viens-tu pas te promener avec Moi dans ce lieu sauvage et marcher un peu avec Moi?»

111     «Oui, Seigneur, de tout mon cœur, ce serait l’une des choses les plus merveilleuses que de marcher avec Toi.» Mon fusil à l’épaule, je me mis donc à marcher entre ces arbres vierges, où jamais une hache n’avait été utilisée.

112     Alors que je marchais sur ces pistes de gibier, je pensai: «Je crois que je vais monter à l’endroit où… C’était hier notre anniversaire et je vais rester là-bas quelques minutes. Ceci afin de rendre un petit salut à Meda, à l’endroit où il y a plusieurs trembles sur un petit mamelon.» Et je dis: «Je crois que je vais marcher jusque là pour marquer notre anniversaire. Puis je redescendrai de l’autre côté de ces bois sombres. Je me dirigerai vers les pics Corral et je reviendrai par là.» J’étais réjoui tout en marchant.

113     Je disais: «Père, je sais que Tu marches avec moi. Quel privilège! Je ne pourrais marcher avec personne de plus grand, car c’est Dieu Lui-même!» Et ce soleil chaud, même quand je quittai les montagnes…

114     Je me suis arrêté à des stations d’essence, et j’ai dit: «Quel beau jour!» C’était trois jours plus tard; il ne plut pas dans cette partie du pays jusqu’à la fin des quatre jours. Le soleil brilla chaque jour. Est-ce vrai, frères? Voyez-vous. Et pas un nuage dans le ciel.

115     En arrivant à la station d’essence, je dis: «C’est vraiment une belle journée.
    — Oui, en effet.»
    Je dis: «Il a fait terriblement sec.»

116     Il a dit: «C’est étrange! …(ce service-man dit)… vous savez, on nous a dit que nous allions avoir un gros blizzard, mais tout à coup, il s’est arrêté!»

117     Continuant ma route, j’arrivai à la frontière du Nouveau Mexique. Mon fils Billy et moi, nous entrâmes là-bas dans un petit magasin pour acheter… le matin de notre départ, et je dis: «C’est vraiment une belle journée.
    — Oui, en effet.»
    Je dis: «On dirait que ça été assez sec.
    — Oui, c’est vrai.»
    Je dis: «Êtes-vous d’ici?»

118     Il répondit: «Non, je viens du Wisconsin, de par là-bas.» Il ajouta: «J’habite ici depuis vingt ans environ; ainsi, je pense que je peux me considérer chez moi.»

119     Je dis: «Vous êtes alors un indigène, je pense.» «Oui, monsieur», me répondit-il. Je dis: «On dirait que ça été très poussiéreux?»

120     Il dit: «Vous savez, la chose la plus étrange est arrivée. On nous a annoncé que nous aurions du blizzard et beaucoup de neige. Cela a effectivement commencé, puis ça s’est arrêté!»

121     Je dis: «Vraiment?»

122     Puis, j’arrivai à la maison. Frère Tom déclara qu’il avait été averti de ne pas aller dans cette direction, un blizzard étant attendu. Et il avait traversé la région sans même une goutte de pluie ou quoi que ce soit d’autre. Il est toujours Dieu, voyez-vous, Il ne change pas.

123     Voyez-vous, alors que je marchais là-bas, je suivais… J’espère que ma femme ne recevra pas cette bande, voyez-vous. Je vais vous dire quelque chose. Et je ne vous dis… Je vous dis simplement la vérité, voyez-vous, et c’est la seule façon d’agir. Je me suis souvent demandé pourquoi elle ne se plaignait pas de ce que j’allais faire ces tournées un jour d’anniversaire. Savez-vous ce que j’avais conçu dans mon esprit? Je dis: «Il y a tellement de gens autour de la maison, et je suis toujours…» Vous savez combien je suis nerveux. Et tout ce dont je veux parler, c’est de Dieu, de la Bible ou autre. «… Peut-être qu’elle pense simplement que c’est un peu de repos pour elle. Elle se débarrassait de moi pendant quelques jours en m’envoyant à la chasse.» Et je pensais à moitié à cela tout en marchant là-bas.

124     Mais, je lui demanderai pardon, et j’ai demandé à Dieu de me pardonner d’avoir de telles pensées, parce que cela circulait. Je pensai: «Eh bien, elle pense…» Eh bien, miséricorde! C’est une travailleuse, vous savez, et tout le temps, quand elle est à la cuisine ou quelque part dans…

125     Et n’importe qui parmi vous la connaît; cette machine à laver marche tout le temps. Ainsi, je sortais, la prenais par le bras en disant: «Ne lave pas comme ça! Parle-moi. Je t’aime. Je veux que tu me dises quelque chose. Dis-moi que tu m’aimes aussi.»

126     Elle répondait: «Mais tu sais que je t’aime», puis elle se remettait à laver aussi fort qu’elle pouvait.

127     «Je ne veux pas que tu fasses cela. Je veux que tu entres et que tu t’assoies près de moi.

128     — Oh, Bill, j’ai tellement de travail maintenant!»

129     Et je pensai: «Eh bien, vois-tu, continue à monter ici, ça lui laissera le temps de faire son travail.» Je marchais là en pensant à cela. Maintenant, souvenez-vous, j’ai posé cette Bible ici, afin que vous voyez que je suis devant la Parole.

130     Alors que je continuais à marcher, quelque chose m’est arrivé. Premièrement, je pensai à la fois où je l’avais emmenée là-bas pour notre lune de miel. C’était une jolie fille aux cheveux noirs, petite, aux yeux bruns, et je la soulevais par-dessus ces troncs, vous savez, et j’essayais d’arriver avec elle à l’endroit où j’avais tué un ours. Et je voulais montrer à ma femme où j’avais attrapé cet ours. Elle avait mes bottes de cow-boy aux pieds. Et cela fait environ vingt-deux ans ou vingt et un ans de cela; je crois que cela fait vingt-deux ans. Nous nous sommes mariés en 1941. Et je la soulevais, vous savez, par-dessus ces troncs.

131     Et je pensai: «Maintenant, ce pauvre petit être qui a dû me supporter est grisonnant.»  Et je pensai: Eh bien, je… je fis: «[Frère Branham se racle la gorge. — N.D.É.]» Je ne m’étais pas rasé depuis quelques jours et je découvris que j’étais moi aussi grisonnant. Et je vis ma barbe qui poussait toute grise, et je pensai: «Mon vieil ami, tu es presque fini maintenant. Si tu veux faire quelque chose, tu ferais mieux de te dépêcher. Tu te fais aussi vieux.» Voyez-vous.

132     Et ainsi, alors que je me promenais, quelque chose arriva. Tout à coup, je me revis un jeune homme. Mon comportement et mes pensées étaient ceux d’un jeune homme. J’avais la tête inclinée, et comme je levais les yeux, je la vis, aussi distinctement que jamais, debout devant moi, les bras tendus. Je m’arrêtai, frottai mon visage et regardai. Je dis: «Meda, est-ce toi, chérie?»

133     Je regardai ici et je pensai: «Maintenant, qu’est-il arrivé?» Et je pensai: «Oui, je suis en train de marcher avec Lui.» Et cela changea alors, j’étais de nouveau un vieil homme et la vision avait disparu devant moi.

134     Je m’arrêtai, j’enlevai de nouveau mon chapeau, je le mis sur mon cœur et je dis: «Jésus, mon cœur a été si chargé pendant des années. Je n’ai pas besoin de Te dire que je suis chargé. Je me suis repenti, je me suis repenti, j’ai fait tout ce que je savais, mais pourquoi ce fardeau ne me quitte-t-il pas?»

135     Et je me remis en marche. Et alors que je gravissais ce petit mamelon qui se trouvait à trente ou quarante mètres devant moi, je commençai à me sentir très faible. Et il y avait là un petit tremble d’environ vingt-cinq centimètres de diamètre qui se dressait et formait comme une flèche pour s’élever à nouveau. Et quand j’arrivai là, je me sentis si faible que je titubais. J’avais remis mon chapeau, et j’appuyai ma tête contre ceci; c’était juste ce qu’il fallait pour que je puisse appuyer ma tête contre ce petit tremble, comme ceci. C’était plutôt un peuplier, ça ressemblait à un bouleau, vous voyez. Et j’étais appuyé là-contre. J’étais simplement debout, là, la tête inclinée, les rayons du soleil me chauffant le dos, et je pensai: «Le Dieu même, qui a fait partir cette pluie et ce vent…»

136     Et j’entendis quelque chose qui faisait «pat pat pat».

137     Je pensai: «Qu’est-ce donc? L’eau s’est tout évaporée, le soleil brille. Qu’est-ce qui fait ce bruit?» Je regardai par terre, et c’était l’eau venant de mes propres yeux qui coulait sur ma barbe grisonnante et tombait goutte à goutte devant moi sur les feuilles que Dieu avait séchées. Et je me tenais comme ceci, appuyé contre l’arbre. Et mes mains… cette main en bas, ma tête appuyée contre l’arbre, ma main sur la bretelle du fusil comme ceci, j’étais là qui pleurais.

138     Je dis: «Ô Dieu, je ne suis pas digne d’être Ton serviteur. Je regrette, j’ai fait beaucoup de fautes. Ce n’était pas mon intention de faire des fautes, Seigneur. Tu as été bon pour moi.»

139     J’avais les yeux fermés, et j’entendis quelque chose qui faisait: «Stomp, stomp; stomp, stomp.»

140     Je levai les yeux, et juste devant moi se trouvaient trois cerfs. Et je pensai: «Il y a celui de frère Evans, celui de frère Wood…; voilà les trois cerfs.» Voyez-vous. C’était juste ce que je cherchais et je me ressaisis immédiatement. Je tendis le bras pour saisir mon fusil et je dis: «Je ne peux pas faire cela. J’ai promis à Dieu que je ne le ferais pas.» Voyez-vous. Je Lui ai promis que je ne le ferais pas.

141     Et quelque chose me dit: «Mais voilà justement…»

142     Et je pensai: «Oui, une fois, il y avait un homme qui dit à David: `Dieu l’a livré entre tes mains!’« Vous savez, le roi Saül.

143     Et Joab lui dit: «Tue-le! Il est couché là!»

144     Il dit: «Que Dieu me garde de toucher à Son oint.»

145     Et ces cerfs étaient là en train de me regarder. Je pensai: «Ils ne peuvent pas se sauver. C’est impossible pour eux de se sauver. Ils ne sont pas à trente mètres de moi et j’ai ce fusil. Je suis ici et voilà trois cerfs. Non, je ne peux pas le faire. Je ne peux simplement pas le faire.» C’était une daine et deux grands faons. Ainsi, je ne pouvais simplement pas prendre mon fusil. Je dis: «Je ne peux pas le faire.» Je n’ai pas bougé. Je suis resté simplement là. J’ai dit: «Je ne peux pas le faire, parce que j’ai promis à Dieu que je ne le ferais pas, car, en fait, ces frères n’ont pas besoin de ces cerfs.» Voyez-vous. «Je ne peux pas faire ceci. Je ne peux simplement pas le faire.»

146     Et cette daine s’approcha… Maintenant, écoutez. Il y avait eu une centaine d’hommes qui avaient cherché à leur tirer dessus pendant quatre ou cinq jours. Sont-ils craintifs? À la première tache de rouge (et j’avais une chemise rouge et une casquette rouge) au premier signe, ils s’éclipsent. Mais ils étaient là tous les trois qui me regardaient en face.

147     Je dis: «Mère, prends tes deux bébés et pars dans les bois. Tu es entre mes mains. Ta vie est entre mes mains, mais je ne vais pas te faire de mal. J’ai promis à Dieu que je ne le ferais pas.» Voyez-vous. Et elle s’approcha encore. Elle me regarda. Tous les trois s’approchèrent, jusqu’à ce qu’ils soient arrivés si près qu’ils auraient pu presque manger dans mes mains. Et le vent soufflait directement sur eux. Alors, elle fit demi-tour, recula un peu… tous les trois.

148     Et la voilà qui revint de nouveau et s’avança jusqu’à devant moi. Je n’ai pas bougé, je suis simplement resté là. J’ai dit: «Va, pars dans les bois, je les aime aussi. Vis.» Voyez-vous. «Ta vie est entre mes mains, mais je t’épargnerai. Tu ne pourrais pas t’échapper et tu le sais.» J’aurais pu les tuer tous les trois en une seconde environ, ou en tout cas, en trois secondes, juste le temps de faire feu, et ils n’auraient pu s’échapper, étant donné qu’ils étaient juste devant moi, voyez-vous. Et je dis: «Je vous épargnerai. Allez et vivez.» Je suis resté là. Et ils sont repartis dans les bois.

149     Je m’essuyai le visage comme cela, et à ce moment-là quelque chose arriva. Une Voix parla très clairement de ce ciel bleu sans nuage. Tout cela était arrivé en peu de temps. La Voix parla et dit: «Tu t’es souvenu de ta promesse, n’est-ce pas?»

150     Je dis: «Oui, Seigneur.»

151     Il dit: «Je me souviendrai aussi de la mienne. Je ne te délaisserai point et Je ne t’abandonnerai point.» Le fardeau quitta mon cœur. Il ne s’y est plus trouvé depuis lors. Puisse-t-il ne jamais revenir.

152     Ensuite, j’arrivai à Tucson. C’était étrange, mais il ne m’est jamais arrivé autant de choses depuis que je suis revenu là. Je crois que c’est Dieu qui le gardait pour cette heure. Je crois que le temps est proche maintenant où quelque chose doit arriver.

153     Si nous pouvions seulement recevoir cette vérité. Maintenant, un instant. Si nous pouvions seulement réaliser la signification de ce passage de l’Écriture : «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Nous ne pouvons pas comprendre cela, pourtant, nous disons que nous le croyons. Et nous savons que c’est la vérité, mais nous ne le comprenons pas effectivement. — Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. Qui a-t-il en vous de plus grand? C’est Christ, le Oint! Dieu qui était en Christ est en vous. «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.»

154     Alors, s’Il est en vous, ce n’est plus vous qui vivez, c’est Lui qui vit en vous. Voyez-vous? Ce n’est pas votre pensée et ce que vous pensez de ceci, c’est ce qu’Il dit à ce sujet. Voyez-vous? Alors, s’Il est en vous, Il ne niera absolument pas ce qu’Il a dit. Il ne pourrait pas le faire. Mais Il garde ce qu’Il a dit et Il essaie de trouver la personne au travers de laquelle Il puisse se manifester.

155     Maintenant, cela ne veut pas dire qu’Il doive le faire pour chacun. Au temps où Moïse conduisait les enfants d’Israël, il y en avait un, c’était Moïse. Les autres suivaient simplement le Message. Voyez-vous? Certains d’entre eux essayèrent de s’élever pour imiter cela. Et Dieu dit: «Sépare-toi!» Et Il les engloutit. Voyez-vous?

156     Maintenant… MaisCelui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde… Dieu en vous, comme Il était en Jésus-Christ. Parce que tout ce que Dieu était, Il le déversa en Christ; et tout ce que Christ était, Il le déversa dans l’Église. Voyez-vous? C’est Dieu en vous, Celui qui est en vous.

157     Ce n’est pas étonnant que les vents et les vagues Lui aient obéi, qu’ils aient obéi à Sa Parole! Ils obéirent à Sa Parole, parce que c’était la Parole de Dieu au travers de Lui. Il était un homme, mais Il était la Parole faite chair. Voyez-vous? Et quand Il parla, c’était Dieu qui parlait par une bouche humaine. Voyez-vous? Ce n’est pas étonnant que les vents et les vagues… Le Créateur même, qui avait créé les vents et les vagues, était en Lui. Maintenant, pensez-y! Pensez profondément maintenant, avant que ce soit le moment pour terminer. Ce n’est pas étonnant que les démons aient été paralysés en entendant Sa Parole! C’était Dieu en Lui. C’était Dieu en Christ. Les démons étaient paralysés. Ce n’est pas étonnant que les morts, qui étaient en train de retourner à la poussière, n’aient pas pu rester là en entendant Sa Parole! Car Il était la Parole. Il dit à Lazare, alors qu’il était mort depuis quatre jours et qu’il sentait déjà mauvais, son visage, son nez s’étaient affaissés pendant ce temps-là: «Lazare, sors!» Et un mort se leva. Pourquoi? C’était Dieu. Celui qui était en Christ, c’était Dieu. Les morts ne pouvaient pas tenir en Sa présence! C’était Dieu en Christ.

158     Le vent… Maintenant, souvenez-vous que Dieu créa le vent; c’est de l’air. Dieu créa les vagues; c’est de l’eau. Mais quand le diable entra là-dedans, il bouleversa tout pour apporter la destruction. Dieu créa les hommes pour être des fils de Dieu, mais quand le diable entre en eux, voyez-vous, il y a des ennuis. C’était donc le diable qui entra dans les vents, qui amenèrent cette tempête. Le Créateur qui a créé le vent ne pouvait-Il pas dire: «Retournez où Je vous ai créés»? N’est-ce pas le même Créateur qui se tenait au sommet de cette colline, l’autre jour? Voyez-vous? N’est-ce pas Celui qui a pu prendre un morceau de poisson, le briser et faire en sorte qu’un autre morceau recroisse? En fait, Il n’avait pas besoin de faire cela. Il aurait pu le dire. N’est-ce pas ce même Créateur qui a créé des écureuils? Alors, Celui qui était en Christ est en nous! Voyez-vous? Car cela produit les mêmes œuvres que Lui. C’est pareil. Les morts ne pouvaient pas se tenir en Sa présence en entendant Sa Parole.

159     Regardez, nous avons cinq déclarations véridiques de personnes qui étaient mortes, pour qui le Seigneur a donné une vision, et qui ressuscitèrent après que j’eus été vers elles. Il y a justement ici une des personnes qui est morte à l’endroit même où elle est assise, et le voilà vivant, après être tombé d’une crise cardiaque. Voilà sa femme, qui est infirmière. Nous nous étions approchés de lui, tout était fini; ses yeux étaient immobiles et il n’était plus. Et le voici vivant. Voyez-vous? Car Celui qui est ici, en nous, est plus grand que celui qui est dans le monde. Voyez-vous?

160     Il est plus grand! C’est Dieu, le Créateur! Les vents et les vagues durent Lui obéir. Les démons devinrent paralysés. Toute la nature Lui obéit, parce qu’Il était le Créateur de la nature. Oh, quand nous y pensons, cela retire l’aiguillon. Alors nous comprenons ces choses, vous voyez? Qu’est-ce? Ce n’est pas l’homme. L’homme ne peut pas faire cela, l’homme est une partie de la création. Voyez-vous. Mais ce sont les vents et les vagues qui ont obéi au Créateur. Voyez-vous? Et il faut que ce soit le Créateur qui le fasse: «Car Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Celui qui peut produire le trouble, c’est celui qui est dans le monde. Celui qui est en vous, c’est le Créateur qui a fait le vent. Il peut chasser le démon des vents, et le calme est là. Il peut chasser le démon de la tempête, et il n’y a plus de tempête. Il est le Créateur. Et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.

161     Voyez-vous, le diable est du monde. Le monde lui appartient. Il lui a toujours appartenu. «Pourquoi es-tu tombé, ô Lucifer, fils de l’aurore?» Voyez-vous, ce monde lui appartenait. C’est quand il fut jeté hors du ciel et qu’il y revint. Voyez-vous?

162     C’est lui qui dit à Christ: «Ces royaumes m’appartiennent. Je fais avec eux comme je veux.» Ils lui appartiennent et «il est celui qui est dans le monde».

163     Jean venait de dire aux disciples: «Vous avez appris la venue de l’antichrist qui est déjà en train d’agir dans les fils de la rébellion. Mais, petits enfants, vous n’êtes pas de ce monde, vous êtes de Dieu. Et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» C’est Christ en vous!

164     Celui qui a créé les cieux et la terre fut manifesté dans la personne de Jésus-Christ; Dieu en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Allons voir! Vous dites: «Oh, frère Branham, c’était le Fils de Dieu.» Très bien. Regardons si oui ou non Il est le Dieu éternel.

165     Celui qui était en Josué était plus grand que le soleil. Et Josué était un homme né dans le péché comme vous et moi. Et Celui qui était en Josué était plus grand que le soleil qui marchait par le commandement de Dieu. Dieu commanda au soleil de briller et de se tourner, étant gouverné et contrôlé par les lois de Dieu. Mais Celui qui était en Josué était plus grand que les lois de Dieu, parce que le Créateur Lui-même était en Josué quand celui-ci leva les yeux vers le soleil et dit: «Reste là où tu es, jusqu’à ce que j’aie fini cette bataille.» Et le soleil et la lune lui obéirent. Car Celui qui était en Josué était plus grand que le soleil et que la lune — Celui qui était en Josué.

166     Celui qui était en Moïse était plus grand que l’Égypte. L’Égypte avait les armées puissantes du monde; ils avaient conquis le monde en ce temps-là. Mais Celui qui était en Moïse était plus grand que l’Égypte, parce que Moïse vainquit l’Égypte. Celui qui était en Moïse était plus grand que la nature elle-même. Avez-vous déjà pensé que Dieu prit Sa Parole et la donna à Moïse, en disant: «Va là-bas et commande au soleil de ne plus briller»? Et le soleil devint noir comme de l’encre. Est-ce vrai? Il peut faire en sorte que le soleil brille et que les nuages se dissipent, ou bien que le soleil devienne noir. Il est Dieu. Il peut faire tout ce qu’Il veut, et Il est dans l’enfant qui croit. Amen. C’est cela.

167     Il n’y avait pas de mouche en vue. C’était peut-être l’hiver et il n’y a pas de mouches, mais Dieu dit à Moïse: «Va, prononce Ma Parole. Je mettrai dans ton esprit ce qu’il faut dire. Va là-bas, ramasse de la poussière et jette-la en l’air.»

168     Et il dit: «Qu’il y ait des mouches!» Et en quelques heures, il y eut probablement une épaisseur de plusieurs centimètres qui couvrait le sol. Est-ce vrai? Le Créateur!

169     Il n’y avait pas de grenouilles. Il étendit donc sa verge et dit: «Qu’il y ait des grenouilles!» Et elles s’amoncelèrent partout, si bien que le pays entier fut empesté. Est-ce vrai?

170     Quand il arriva à la mer Rouge et que celle-ci se trouva en travers de son chemin, Dieu dit: «Parle à la mer.» Et Moïse parla à la mer. Celui qui était en Moïse était plus grand que la mer elle-même. Est-ce vrai? Oh là là! Maintenant, vous voyez, Celui qui était en Moïse était plus grand que celui qui était dans le monde. Celui qui était en Moïse était plus grand que toute la nature du monde. Il commanda à la nature… Tout ce que Dieu lui disait de dire, il le disait et c’était ainsi.

171     Ce même Dieu est avec nous ce soir! Pas seulement avec nous, mais en nous! Il a prouvé qu’Il était en nous. «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Pourquoi avons-nous peur du monde?

172     On a découvert l’autre jour une espèce de dent de dinosaures, ici autour de… Je pense que vous en avez tous entendu parler, ici aux chutes de Niagara. On a déclaré qu’elle pesait environ deux mille sept cents kilos. Je pensais qu’ils allaient dire qu’elle venait d’un homme, mais je crois qu’ils ont finalement estimé qu’elle venait d’une sorte d’animal préhistorique. Ces animaux ont probablement vécu une fois sur la terre. Où sont-ils maintenant? Savez-vous que le Dieu tout-puissant pourrait ordonner à des dinosaures de venir sur cette terre et que, dans l’heure qui suit, il y en aurait sur une épaisseur de soixante-quatre kilomètres. Savez-vous que Dieu pourrait détruire ce monde par des mouches? Il pourrait faire appel à des mouches. Où vont-elles quand elles meurent? Qu’arrive-t-il à la mouche domestique? Qu’arrive-t-il à la sauterelle? L’hiver arrive, il fait quarante sous zéro; vous ressortez le printemps suivant et il y a des sauterelles partout. D’où viennent-elles? Il est le Créateur qui appelle cela à l’existence. Il est Dieu! La nature obéit à Sa Parole.

173     C’est là que beaucoup de nos frères s’emballent. Ils ont l’impression que Dieu a dit de faire une certaine chose et ils affirment que c’est le AINSI DIT LE SEIGNEUR, alors que ce n’est pas le cas. C’est la raison pour laquelle cela n’arrive pas. Mais quand c’est vraiment Dieu qui vous le dit, cela doit arriver, cela doit être ainsi. Quand Dieu le prononce, cela doit arriver.

174     Celui qui était en Moïse était plus grand que celui qui était en Égypte. Celui qui était en Moïse était plus grand que tout ce que Pharaon pouvait faire, tout son enchantement. Celui qui était en Moïse était plus grand que celui qui était dans les magiciens. Voyez-vous? Celui qui était en Moïse était plus grand que toute la nature.

175     Celui qui était en Daniel était plus grand que les lions. Il put arrêter ces lions affamés. Ainsi, tout ce que vous pouvez arrêter… Il est plus grand que ce qu’il arrêta. Les lions affamés sortirent précipitamment pour manger Daniel; mais Celui qui était en Daniel était plus grand que celui qui était dans les lions.

176     Au début, quand le lion fut créé, il était un ami de l’homme. C’est le diable qui lui fait faire cela. C’est vrai. Dans le Millénium, le loup et l’agneau paîtront ensemble, et le lion, comme le bœuf, mangera de la paille et il se couchera avec lui. Il ne se fera ni tort ni dommage, dans le Millénium. Le diable ne sera plus là. C’est le diable qui fait que les animaux sauvages déchirent, éventrent et mangent comme ils le font. C’est Satan qui fait faire cela. Mais Celui qui était en Daniel est plus grand que celui qui était dans les lions. Voyez-vous? Celui qui était en ce prophète était plus grand que celui qui était dans ces lions.

177     Celui qui était dans les enfants hébreux était plus grand. Celui qui était en eux était plus grand que celui qui était dans le feu. Car ils furent jetés dans le feu, et Celui qui était en eux était avec eux, et Il empêcha le feu de les brûler, bien que la fournaise eût été chauffée sept fois plus qu’auparavant. Est-ce vrai? Celui qui était avec les enfants hébreux était plus grand que celui qui était dans le monde.

178     Il y avait là Nebucadnetsar… ou Belschatsar… Je crois que c’est Nebucadnetsar qui fit chauffer la fournaise sept fois plus qu’auparavant. Il était inspiré par le diable lorsqu’il prit ces gens, parce que ceux-ci prenaient position pour la Parole de Dieu. Il les jeta dans cette fournaise, qui avait été chauffée sept fois plus que d’habitude, et elle ne put même pas les brûler. Car Celui qui était avec Schadrac, Méschac et Abed-Nego était plus grand que celui qui était dans le monde. Absolument. Oh là là!

179     Celui qui était en Élie était plus grand que les cieux d’airain, parce qu’Il put faire sortir de la pluie d’un ciel d’airain, bien qu’il n’eût pas plu depuis trois ans et six mois. Celui qui était en Élie était plus grand que la mort, car, quand ce fut le moment pour lui de mourir… Dieu vit ce vieux prophète fatigué, qui avait réprimandé Jézabel et tout son fard, et ces choses modernes. Il était si fatigué, qu’Il ne le laissa même pas venir à pied comme Il le fit pour Énoch, mais Il envoya un char pour le prendre et Il l’emmena à la Maison. Celui qui était en Élie était plus grand que celui qui était dans Jérusalem, dans la Judée et dans les montagnes. Celui qui était en Élie était plus grand que la mort elle-même. Celui qui était en Élie était plus grand que la tombe, parce qu’il échappa à la tombe, il échappa à la mort et il monta simplement à la Maison dans un char. Voyez-vous? Il était plus grand, et Il était en Élie.

180     Vous dites: «Oh, mais c’était un grand homme.»

181     Attendez une minute! La Bible dit que c’était un homme avec les mêmes passions que vous et moi. C’est vrai. Mais quand il pria, il crut qu’il avait reçu ce qu’il avait demandé. C’est ce que Jésus nous a dit: «Quand vous priez, croyez que vous avez reçu ce que vous avez demandé, et vous le verrez s’accomplir.» Il pria instamment pour qu’il ne plût point et il ne tomba pas de pluie pendant trois ans et six mois. Voyez-vous? Celui qui était en Élie était plus grand que la nature.

182     Alors, qu’en est-il de la guérison des malades, voyez-vous? Celui qui est en vous est plus grand que la maladie. Voyez-vous? Parce que c’est une interruption; la maladie interrompt les lois mêmes de Dieu. Car Celui qui est en vous, Celui qui guérit, est le Créateur et Il est plus grand que le diable qui a interrompu le programme même de votre vie. «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Voyez-vous? Celui qui était en Élie était plus grand. Celui qui était en Ésaïe était plus grand que le temps, ou n’importe lequel de ces prophètes, parce qu’ils virent plus loin que le temps. Voyez-vous?

183     Job vit la venue du Seigneur et il dit: «Mon Rédempteur est vivant, et Il se lèvera le dernier sur la terre. Quand ma peau sera détruite, et de ma chair je verrai Dieu.» Voyez-vous? Celui qui était en Job était plus grand que la mort. Plus grand, parce que la mort essaya de le prendre, mais elle ne le put. Elle ne put pas le faire, parce qu’il déclara: «Je ressusciterai»; et il le fit. Il le fit.

184     Écoutez. Je souhaiterais que nous ayons le temps de continuer. Mais j’aimerais vous poser une question, car j’ai entendu quelqu’un faire une remarque, l’autre jour, concernant «Christ en vous». Maintenant, n’allez pas vous reposer sur quelque chose que vous avez fait, en disant: «J’ai senti un petit frisson. — J’ai parlé en langues. — J’ai dansé dans l’Esprit.» Je n’ai rien là contre, c’est en ordre, mais ne vous reposez pas là-dessus. Voyez-vous? Votre vie doit être ceci. C’est ceci. Vous et ceci devez devenir un. Voyez-vous? Et ensuite ceci se manifeste. Voyez-vous?

185     Maintenant, qu’arriverait-il si, ce soir, vous pouviez dire de tout votre cœur que l’esprit de Shakespeare vit en vous, que Shakespeare vit en vous? Savez-vous ce que vous feriez? Vous feriez les œuvres de Shakespeare. Vous composeriez des poèmes et des pièces, parce que Shakespeare était ce genre d’artiste, un grand écrivain, un écrivain de poèmes. Ainsi, si Shakespeare vivait en vous, vous feriez les œuvres de Shakespeare. Est-ce vrai?

186     Et si Beethoven vivait en vous? Qu’arriverait-il si Beethoven vivait en vous? Savez-vous ce que vous feriez? Vous écririez des hymnes comme Beethoven, le grand compositeur. Vous écririez des hymnes comme Beethoven, parce que Beethoven serait votre vie. Vous seriez un Beethoven réincarné. Si Beethoven vivait en vous, vous feriez les œuvres de Beethoven, parce que Beethoven vivrait en vous. Vrai?

187     Mais Celui qui est en vous, c’est Christ! Et si Christ est en vous, vous ferez les œuvres de Christ, si Christ vit en vous. Il l’a dit: Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi fera aussi les œuvres que Je fais.» Si vous étiez en Christ… ou si Christ vivait en vous. Alors, Christ est la Parole. Est-ce vrai? Et la Parole vient à Ses prophètes. Voyez-vous? Et si Christ vivait en vous, les œuvres de Christ seraient accomplies au travers de vous. Les œuvres qu’Il a accomplies, la vie qu’Il a vécue, et tout le reste, seraient manifestés en vous; comme si Shakespeare, Beethoven ou n’importe qui d’autre vivait en vous.

188     Si Sa vie… Mais si vous vivez toujours votre propre vie, alors vous ferez vos propres œuvres. Voyez-vous. Par contre, si vous vivez la vie de Christ, si Christ est en vous, «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde». Si vous avez en vous des doutes et de la déception au sujet de la promesse de Dieu, alors Christ n’est pas là. Vous voyez? Vous vous êtes seulement monté la tête. Mais si la vie… si Christ vit en vous, Il reconnaîtra Sa Parole et Il accomplira Sa promesse. Voyez-vous? Il le fera.

189     «Quand tu pries, crois que tu recevras ce que tu as demandé et tu le verras s’accomplir. Et si tu dis à cette montagne: Ôte-toi de là, et si tu ne doutes pas en ton cœur, mais crois que ce que tu dis arrive, tu le verras s’accomplir. Mon Père a agi jusqu’à présent; Moi aussi J’agis. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même; mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait aussi pareille-ment.» Voyez-vous? Et quand le Père Lui avait montré ce qu’il fallait faire, Il y allait sans doute aucun, et disait: «Que cela soit», et cela arrivait! Et ce même Christ vit en vous! Il vit en nous. Alors nous ferons Ses œuvres, parce que Christ est la Parole. Et une promesse de la Parole vous apporte la guérison. Le croyez-vous? Assurément!

190     Il dit: «Je ne vous laisserai pas orphelins, ainsi que J’ai prié… l’ai demandé il y a quelques instants.» Là, dans Matthieu 24, Matthieu 28.20, voyez-vous, Il dit: «Je viendrai à vous, Je serai en vous. Je (la personne, Christ, dans la forme du Saint-Esprit) viendrai et Je vivrai en vous. Alors ce n’est plus vous qui vivrez. Je serai en vous et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Voyez-vous? Hébreux 13.8 dit: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

191     Celui qui était en Noé était plus grand que le jugement de l’eau. Et Celui qui est en vous est plus grand que les jugements du feu. Voyez-vous? Celui qui est en vous est plus grand, parce qu’Il a payé le jugement et vaincu pour vous. Voyez-vous? Il n’y a pas de crainte à ce sujet, vous voyez, vous êtes là-dedans. Oui! Celui qui était en Noé était plus grand que celui qui était dans les jugements de l’eau qui détruisit le monde. Ce dernier ne crut pas, alors que Noé crut. Et Celui qui était en lui et qui lui parla était plus grand que celui qui était dans le monde. C’est ainsi que Noé échappa au jugement, parce que la Parole de Dieu était plus grande que cela et il fut élevé au-dessus du jugement. Plus grand! Nous pourrions nous arrêter là-dessus un instant, voyez-vous.

192     Celui qui était en David était plus grand que l’ours qui vola sa brebis. Celui qui était en David était plus grand que le lion qui vint prendre un de ses agneaux. Celui qui était en David était plus grand que l’ennemi Goliath, le grand Philistin, qui se tenait là avec ses trois mètres soixante ou quatre mètres vingt, des doigts de trente-cinq centimètres de long, avec une lance comme une aiguille de tisserand; et il était recouvert de cinq ou sept centimètres et demi d’épaisseur d’acier ou d’airain. Mais ce qui était en David était plus grand que ce qui était en lui. Cet homme avait la puissance, les muscles. C’était un guerrier. Il a dit qu’il ramasserait David et le soulèverait par le bout de sa lance, le suspendrait quelque part, et laisserait les oiseaux le dévorer.

193     Et David dit: «Tu me rencontres en tant que Philistin, au nom d’un Philistin. Tu me maudis au nom du dieu des Philistins. Tu t’es vanté de ce que tu allais faire. Tu viens à ma rencontre avec une armure et une lance, mais je te rencontre au Nom du Seigneur Dieu, et aujourd’hui, j’enlèverai ta tête de tes épaules.» Et il le fit, parce que Celui qui inspirait David et lui donnait ce courage était plus grand.

194     Celui qui est en vous est plus grand que cette chaise roulante. Celui qui est en vous est plus grand que ce brancard. Celui qui est en vous est plus grand que ce cancer. Celui qui est en vous est plus grand que cette affliction. Il est plus grand que tout ce que le diable pourrait mettre sur vous. «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Il est plus grand! Oui!

195     David était plus grand… ce qui était en David, Dieu en David. Il est en nous, c’est-à-dire, le Christ. Il fut le vainqueur pour nous de tous les ennemis. Quand Il était ici sur la terre, Il vainquit le péché, Il vainquit la maladie, Il vainquit la mort, Il vainquit l’enfer, Il vainquit la tombe; et maintenant, Il vit en nous en Vainqueur. Il a vaincu la maladie, l’enfer, la mort, la tombe et Il est venu vers nous pour nous libérer de toutes ces choses. Et Celui qui est en vous est plus grand que celui qui exerce une séduction sur vous. Oui! «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.»

196     C’est ainsi que ces miracles arrivent. C’est ainsi que ce vent cessa l’autre jour. Un être humain pourrait-il le faire? Non monsieur! c’est impossible. Quand j’étais là en train de pleurer et que ces vents se déchaînaient… Combien y a-t-il de personnes qui se trouvaient là-bas? Levez la main. Levez la main, tous ceux qui étaient là-bas dans le Colorado, cette fois-là. Très bien. Frère Fred est, je pense, le seul à avoir été présent. Je pensais peut-être que frère Mann était ici, mais il… Frère Evans, c’était bien frère Mann, n’est-ce pas? Frère Evans y était cette fois-là, oui. Très bien. Oui.

197     Remarquez. N’est-ce pas la vérité? N’est-ce pas arrivé ainsi? La pluie ne s’est-elle pas arrêtée de tomber et les vents n’ont-ils pas cessé de souffler? Qu’est-ce? Ma parole? Non! Parce que c’est Lui qui m’a dit de le faire. Et Celui qui est en nous est plus grand que toute la nature. N’est-ce pas le même Dieu qui a pu apaiser les vagues sur la mer et faire que les vents retournent d’où ils venaient? N’est-Il pas le même qui a pu assombrir le soleil et faire briller le soleil? «Car Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Voyez-vous? Très bien.

198     Or, voilà pourquoi ces véritables miracles peuvent être accomplis, parce que c’est une promesse de Dieu: «Vous ferez aussi les œuvres que Je fais.» — Jean 14.12. Lui, Christ, qui a apaisé les vents et les vagues, en est le Créateur. Il est toujours autant Créateur qu’Il l’était alors; Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a guéri les malades, détruit le péché, tout changé pour vous, et Il est venu vers vous afin de pouvoir habiter en vous. Il a vaincu toutes ces choses, afin de venir vivre en vous. Il est ce vainqueur qui a déjà vaincu ces choses et que les Écritures ont confirmé. Il est revenu, Il a tout vaincu et vous a prouvé qu’Il est le même Dieu mille neuf cents ans plus tard. Le voici faisant toujours parmi nous la même chose qu’alors. Il a vaincu la mort, l’enfer, la maladie et la tombe.

199     Ce Christ, c’est Celui qui est en vous! C’est Christ. Comme Jean l’a dit: «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» C’était Christ! Il est plus grand que le monde entier, parce qu’Il a conquis le monde. Il est plus grand que toutes ces choses, parce qu’Il les a vaincues pour nous. Nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés et qui s’est donné pour nous, afin qu’Il puisse revenir et accomplir Ses œuvres au travers de nous et nous prouver ainsi qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Quand Il était ici sur la terre, parmi les gens, Il a prouvé qu’Il était le Messie. Il put discerner les pensées qui étaient dans leur cœurs. Et la Bible dit… Moïse a dit qu’Il serait un prophète. Est-ce vrai? Il connaissait les secrets du cœur. Il savait qui étaient ces gens. Il savait ce qui n’allait pas chez eux. L’avez-vous vu se manifester? Fois après fois!

200     Nous savons que ces personnes ont été ressuscitées des morts. Certaines étaient mortes depuis un jour et demi. Ou étant mort le matin, ils prirent l’enfant avec eux ce soir-là, voyagèrent toute la nuit et le jour suivant, vers midi, ou juste après midi, ils arrivèrent à l’emplacement de la tente. Un petit bébé, mort et froid, couché dans les bras de sa mère. Le Seigneur Dieu prononça la Parole de vie et ce bébé se réchauffa, commença à crier et fut rendu à sa mère.

201     Madame Stadklev était là à son arrivée. C’est la raison pour laquelle elle pleura tellement pour son bébé et voulut que je m’envole pour l’Allemagne. Mais le Seigneur dit: «C’est Ma main, n’interviens pas dans cela.» Voyez-vous. Vous savez mieux faire que cela. Quand Il dit à Moïse: «Parle au rocher! ne le frappe pas.» Cela voulait dire parler et non frapper. Vous voyez, vous devez obéir à ce qu’Il vous a dit de faire. Mais nul ne peut faire quelque chose par lui-même. Il doit l’entendre premièrement de Dieu.

202     La Parole de Dieu a déclaré qu’Il vit, et parce qu’Il vit, vous vivez. Il a laissé cette promesse: «Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi, les mêmes choses; vous en ferez même davantage, parce que Je m’en vais au Père.» Il vainquit toutes choses. Il est celui qui arrêta… Il est celui qui créa ces écureuils. C’est arrivé deux fois. C’est arrivé une fois, là-bas où tu habites, Charlie, et c’est arrivé ici en haut, quand frère Fred, frère Banks et les autres étaient avec nous.

203     C’est arrivé en Allemagne, quand cette quinzaine de sorciers-guérisseurs qui se trouvaient de chaque côté de moi dirent… Parce que Billy et frère Arganbright ne voulaient pas les laisser me voir, l’un d’eux dit alors: «Eh bien, nous ferons en sorte que cette tente s’envole.» Et ils s’assirent là avec leurs enchantements et ils invoquèrent leur dieu (le diable) qui vint avec un orage. Il y avait là trente à quarante mille Allemands, et cette tente levait et redescendait comme ceci. Puis ils prirent des ciseaux, coupèrent des plumes et les taillèrent en pointe comme cela. Ils étaient assis là, pratiquant tous leurs enchantements et prononçant les trois mots saints. Ils disaient: «Le Père, le Fils, le Saint-Esprit; wo-oo-oo-oo-oo-oo. Le Père, le Fils, le Saint-Esprit, ahhhh.»

204     Ils faisaient ainsi et l’orage vint effectivement. Assurément, il est le prince de la puissance de l’air; Satan. Et ils firent venir l’orage et comme… Même cette énorme tente, qui était comme cela… oh, elle couvrirait tout le quartier, presque; et elle avait une armature de bois sur laquelle la toile était fixée. Le vent s’engouffra là-dessous et la souleva. Ce vent soufflait et les éclairs brillaient, mais je continuai néanmoins à prêcher.

205     Et, oh, ils continuaient à pratiquer leurs enchantements et à prononcer ces trois petits mots saints. Ils disaient les trois mots saints: «Père, Fils et Saint-Esprit», des deux côtés, comme cela. Puis je vis l’un d’eux s’incliner et être entouré de démons, mais sans être lié.

206     Et je dis à frère Lowster: «Ne traduisez pas ceci.»

207     Je dis: «Frère Arganbright, prie simplement.»

208     Je dis: «Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, c’est Toi qui m’as envoyé ici, et j’ai posé mon pied sur ce sol allemand au Nom de Jésus-Christ, parce que c’est Toi qui m’as envoyé ici. Et ce nuage n’a aucune puissance sur moi. Il n’en a aucune, parce que je suis oint et envoyé ici pour le salut de ces gens. Je t’ordonne au Nom de Jésus de partir d’ici.»

209     Et le tonnerre faisait: «BANG! BANG! BANG!» Puis il fit: «GRRRRRRRRR», et s’en alla. Et juste au-dessus de la tente, le vent souffla en sens contraire et le soleil se mit à briller.

210     Et dans les dix minutes qui suivirent, il y avait environ dix mille personnes autour de l’autel, invoquant la miséricorde, après avoir vu la puissance de Dieu. Pourquoi? «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Voyez-vous?

211     «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Vous voyez les afflictions et… Oh, frères, sœurs, nous n’avons aucune inquiétude. Celui qui est grand, c’est Dieu, et Il est en vous. Le croyez-vous?

212     Maintenant, j’ai largement dépassé mon temps. C’est environ neuf heures quinze, et je sais que ces gens ont une longue route devant eux. Inclinons nos têtes un instant.

213     Oh, Père divin, Tu sais ce qui s’est passé dans le Colorado. Tu sais que ces choses sont vraies. Je le dis pour Ta gloire, afin que ces gens puissent reconnaître, suite à toutes les preuves scientifiques venant des photographies et des œuvres du Saint-Esprit. Seigneur, Tu sais que j’ai déclaré clairement aux gens, chose que je fais toujours, que c’est parce que Tu l’avais promis. Et Tu es ici, cherchant quelqu’un à travers lequel Tu puisses Te confirmer, afin de permettre à d’autres de voir que Tu vis et que Tu es le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Je Te prie, Seigneur, d’être miséricordieux, de nous guider et de nous diriger dans nos pensées.

214     Il y en a ici qui sont malades et affligés. Il y en a qui mourront peut-être, s’ils ne reçoivent pas l’aide de Ta part. Peut-être que beaucoup d’entre eux sont arrivés au bout de la route, où les médecins ne peuvent plus les aider. Mais Tu es Dieu, Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement, et Tu es présent au milieu de nous.

215     Seigneur, nous ne savons pas ce que sera ce Troisième Pull auquel nous nous sommes référés. Nous ne le savons pas. Mais nous savons une chose, c’est que le Premier Pull était la perfection. Le Deuxième Pull, étant les «cinq», représentait la grâce. Et, ô Dieu, je Te prie, ce soir, de Te révéler à nous, après avoir entendu qu’il est dit: «Celui qui est en vous…» Tu as dit: «Vous ferez aussi les œuvres que Je fais», et Tu as ajouté que Tu ne faisais rien avant que cela ne Te soit montré du Père.

216     Nous avons vu ce que Tu as fait, quand Tu as pu dire à l’apôtre Pierre qui il était et quel était le nom de son père. Tu as dit à Nathanaël quelle était sa mission, de quelle manière il était venu là, où il était auparavant, ce qu’il avait fait. Tu as dit à la femme au puits quels étaient ses péchés et qu’elle avait vécu dans l’adultère avec ces six hommes ; qu’elle en avait eu cinq et que celui avec lequel elle vivait maintenant n’était pas son mari. Tu es toujours le même Dieu.

217     Tu as dit… C’était la condition dans laquelle se trouvait Bartimée, l’aveugle, alors qu’il se tenait là. Mais pourtant, dans son cœur, il avait une vue qui lui permettait de voir que si c’était Jéhovah qui s’était manifesté en tant que Fils, en Jésus-Christ, Il pourrait reconnaître son cri. Et il s’écria: «Toi, Fils de David, aie pitié de moi!» Et cela T’arrêta, Tu te retournas et le guéris, ô Père, en lui disant que sa foi l’avait sauvé.

218     Cette femme atteinte d’anémie, qui perdait son sang et qui passait par la ménopause… Depuis de nombreuses années, cela ne pouvait s’arrêter. Elle avait dépensé tout son argent entre les mains des médecins, et aucun ne pouvait l’aider. Elle vint à l’une de Tes réunions, alors que Tu parlais à un homme, là en Galilée, pendant que Tu te rendais chez Jaïrus. Cette femme avait pensé dans son cœur, sans l’appui d’aucune Écriture: «Si je peux seulement toucher Son vêtement, je crois que je serai guérie.» Et elle reçut ce qu’elle désirait, quand elle toucha Ton vêtement. Tu lui dis que sa foi avait fait ceci; Tu as décrit son besoin et elle fut guérie.

219     La Parole nous déclare que Tu es notre souverain sacrificateur, assis dans les lieux très hauts, toujours prêt à intercéder; et aussi que Toi, en tant que souverain sacrificateur, en ce moment, Tu peux compatir à nos souffrances. Seigneur Dieu, accorde à chaque personne ici, ce soir, le privilège de Te toucher, Toi, le grand souverain sacrificateur, et d’être ainsi guérie. Je te le demande pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus. Amen.

220     Y a-t-il des cartes de prière? J’ai dit à Billy de ne pas… Quelqu’un a-t-il une carte de prière? Très bien. C’est juste, je lui ai dit de ne pas en distribuer. Je pensais que je serais peut-être un petit peu long, comme je… oh, je parle tellement. Mais, regardez, voyez-vous, quand j’ai dit: «J’essaierai de sortir à huit heures trente», vous avez ri, et je savais que vous saviez de quoi vous parliez. Ainsi… mais, je vous aime, voyez-vous.

221     Ce que j’essaie de faire, mes amis… Je me suis toujours efforcé qu’on ne puisse jamais dire: «Frère Branham a fait ceci.» Frère Branham ne peut rien faire, voyez-vous. C’est Jésus-Christ.  Et Celui qui est en moi est en vous. Vous n’avez qu’à simplement le croire. Est-ce vrai? Voyez-vous? Celui qui est en vous est plus grand que votre maladie.

222     Maintenant, combien y a-t-il de personnes ici qui sont malades dans leur corps, qui ne me connaissent pas, mais qui croient, qui ont suffisamment de foi pour toucher le Souverain Sacrificateur? Levez la main et dites: «Je crois.» Très bien. Oh, il y en a pratiquement partout. Très bien. Combien y a-t-il de personnes ici qui me connaissent et qui savent que je ne sais rien au sujet du besoin qu’elles ont et qui désirent que Dieu les touche? Levez la main. Voyez-vous? Voyez-vous? Très bien.

223     Franchement, je ne connais personne ici qui soit malade à part ce garçon-là. J’ai souvent prié pour lui. Je ne peux pas me rappeler son nom, mais il vient du Kentucky. Il m’écrit sans arrêt. C’est un ami personnel de frère et sœur Wood, et c’est là qu’il va. Cela fait très longtemps qu’il suit les réunions. C’est la seule personne que je connaisse.

224     Maintenant, frère Dauch, pour autant que je sache, va bien, sinon il ne serait pas ici. Il était très malade l’autre jour et le Seigneur l’a guéri.

225     Je ne connais pas cette personne. Je ne sais pas à qui appartiennent ces béquilles. Peut-être à la personne qui est ici, je ne sais pas. Je connais beaucoup d’entre vous, mais Dieu, dans le ciel sait qu’en ce moment je ne sais pas ce que vous voulez. Je n’ai aucune idée.

226     C’est assez difficile ici au tabernacle, parce que, voyez-vous, je connais beaucoup de gens. Maintenant, voici ce qui en est. Quand vous venez à un endroit… Parfois, je viens ici et je dis: «Très bien, nous allons donner une carte de prière à chacun et les aligner. Venez sur la plate-forme.» Quelqu’un partira… Maintenant, vous ne pouvez pas… Mes amis, je vais ouvrir mon cœur, maintenant, et vous dire quelque chose. Vous ne pouvez pas cacher cela. Je sais exactement ce que vous pensez. C’est vrai. Je sais ce que vous pensez. Voyez-vous?

227     Et quelquefois vous dites: «Frère Branham, je crois.» Oui, vous croyez, mais jusqu’à un certain point, voyez-vous. Je sais. Et vous êtes ici-même, quand je… Eh bien, maintenant, l’onction descend sur moi, vous voyez, et je peux sentir cette sorte de vibration. Voyez-vous? Une palpitation venant de différents endroits. Mais maintenant, ne soyez plus incrédules. Croyez tout le Message. Croyez qu’Il… si ce n’est pas écrit dans la Bible, alors ne le croyez pas. Mais si cela se trouve dans la Bible, alors le Saint-Esprit qui vit en nous est dans l’obligation d’accomplir cela, si nous Le croyons. Est-ce vrai? Je sais que c’est difficile. Voyez-vous. Rien ne vient facilement.

228     C’était difficile pour Lui de mourir, afin que ceci puisse être présenté. C’était difficile pour Lui d’aller au Calvaire. Il voulait rester, à tel point qu’Il cria: «Pas Ma volonté, mais que Ta volonté soit faite.» Voyez-vous? Il ne voulait pas y aller. C’était un jeune homme et Il avait Ses frères. Il les aimait comme je vous aime. Mais il n’était pas possible qu’Il vive et eux aussi. C’est pourquoi Il mourut, afin que nous puissions vivre. Ce n’était pas facile. Il dut le faire. Regardez quelle sorte de mort se trouvait devant Lui! «Père, l’heure est venue… Prierai-Je que Tu éloignes cette coupe de Moi?» Non, Il ne voulait pas faire cela, Il voulait que la volonté de Dieu soit faite.

229     Mais regardez. Si vous croyez la même chose… Maintenant, n’assombrissez pas tout cela. Croyez-le simplement, croyez-le totalement. Ne doutez pas de cela, croyez-le!

230     Si je fais venir les gens dans la ligne de prière et que je dise: «Très bien, maintenant cette personne… vous savez que je ne vous connais pas.»

231     «Non, c’est vrai, frère Branham.»

232     Alors, là-bas dans l’auditoire, vous surprendrez quelqu’un qui dira: «Hé! Hé! mais il lit ce qu’ils ont mis sur la carte de prière! C’est de la télépathie, rien de plus!»

233     «Bon, dis-je, eh bien, dimanche, nous n’allons pas distribuer de carte de prière. Je veux que tous ceux qui sont des étrangers ici, qui ne sont jamais venus auparavant, se lèvent.» Voyez-vous? Et alors le Saint-Esprit viendra et discernera tout ce qui est en eux. Voyez-vous? Est-ce vrai? Aussi vous avez vu cela présenté de deux façons.

234     «Eh bien, il y a quelque chose de faux là-dedans.» Voyez-vous? Il n’y a pas moyen… Vous ne pouvez pas… Voyez-vous, aussi longtemps que Satan pourra s’emparer de quelque chose, il vous fera croire n’importe quoi. Et il vous montrera toutes mes fautes, et j’en ai beaucoup. Mais, ne regardez pas à cela! Ne regardez pas à cela, je suis un homme. Voyez-vous. Mais souvenez-vous que cette Parole de Dieu est la vérité et que j’essaie de vivre en accord avec elle.

235     Si je vais quelque part et que je commence à agir mal, à faire des choses qui ne sont pas justes, à pécher, à boire ou à fumer, venez et reprenez-moi, car ce n’est pas convenable. Je veux alors quitter le monde, je veux partir avant que cela arrive. Voyez-vous? Je ne veux pas faire cela.

236     Mais, aussi longtemps que j’essaie de vivre correctement, de faire ce qui est juste, et de vivre comme un chrétien, que je laisse Dieu m’instruire par Sa Parole et que mon désir est de rester avec Lui, bien que cela me coûte la perte de beaucoup d’amis et de la popularité de ce monde, et des choses comme cela, d’être haï par beaucoup, d’être mis à la porte des dénominations, je veux néanmoins être fidèle à cette Parole. C’est la Parole de Dieu. Et j’aime Dieu. Ainsi, c’est la Parole de Dieu. Et je vous dis qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement, et qu’Il est en nous maintenant.

237     Si la vie de Shakespeare était en moi, vivante en moi, si Shakespeare vivait en moi, ne ferais-je pas les œuvres de Shakespeare? Si Beethoven était en moi, ne ferais-je pas les œuvres de Beethoven? Si l’esprit de Dillinger était en moi, si John Dillinger vivait en moi, ne serais-je pas un John Dillinger? Si Beethoven était en moi, je serais un Beethoven, voyez-vous? Si Castro était en moi, je serais un Castro, voyez-vous? Et si Jésus-Christ est en moi, je ferai Ses œuvres, parce que c’est Lui. Et n’a-t-Il pas dit que la même chose arriverait?

238     Maintenant, que ferait-Il s’Il se tenait ici et qu’Il soit le même hier, aujourd’hui et éternellement? Il dirait: «Je peux faire seulement ce que le Père me montre.» Est-ce vrai? Eh bien, c’est ce qu’Il fit hier. Maintenant, n’est-Il pas le même? Qu’en est-il de la maladie? Votre prix est déjà payé. Chacun de vous est déjà guéri de sa maladie. Est-ce vrai? Chacun d’entre vous est pardonné, mais vous devez l’accepter. Chacun d’entre vous est guéri, mais vous devez l’accepter.

239     Maintenant, pour prouver qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement… S’Il se tenait ici, Il ne pourrait pas vous guérir avec votre incrédulité. Vous devriez croire cela, de même que vous devez Le croire maintenant. Cela devrait être pareil, voyez-vous, car Il ne put pas accomplir de grandes œuvres de Son temps, à cause de leur incrédulité. Est-ce vrai? Il y a beaucoup de grandes œuvres qu’Il ne peut pas accomplir aujourd’hui, à cause de l’incrédulité.

240     Ainsi, qui pouvait prédire cela? — Dieu. Qui est-ce qui a dit ceci? — Dieu. Qui est-ce qui a fait cela? — Dieu. Qui est-ce qui a dit où l’ours, le cerf, le caribou, toutes ces autres choses et les sept … toutes ces choses qui sont arrivées? Qui est-ce qui a dit cela? — Celui (Christ) qui est en nous, prophétisant Lui-même au travers de nous, révélant Lui-même qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Qui arrêta les vents? Qui créa les écureuils? — Le même qui a créé le bélier pour Abraham, quand son… Il L’appela Jéhovah-Jiré. Ce nom composé de Rédempteur s’applique toujours à Lui. Il est toujours Jéhovah-Jiré : l’Éternel peut pourvoir pour Lui-même un sacrifice.

241     Maintenant, je veux que chacun de vous soit le plus sincère possible. Si vous êtes prêts à croire vraiment de tout votre cœur, il n’y aura plus une seule personne de faible au milieu de nous d’ici le moment où cette pendule aura avancé de cinq minutes. Il n’y aura pas une personne ici à ne pas être sur ses pieds, guérie, si vous êtes prêts à Le croire. Pouvez-vous croire?

242     Maintenant, voyons s’Il va s’approcher de nous et se révéler à nous, tandis que nous inclinons la tête.

243     Seigneur Jésus, aide-moi maintenant, et je T’obéirai, Seigneur, le mieux possible. Pardonne mes péchés et mes offenses. Je Te le demande au Nom de Jésus. Amen.

244     Maintenant, prenons ce côté-ci, quelqu’un dans cette partie. Croyez, ayez foi, ne doutez pas! Quelqu’un qui ne me connaît pas, si possible… Je ne peux pas dire où va la vision. Je dois simplement la surveiller. Et si elle fait cela, alors vous savez si c’est juste ou non. Croyez simplement et ne doutez point. Et s’Il le fait, croirez-vous, après tout ce qui a été accompli aujourd’hui? Voyez-vous? Acceptez simplement votre guérison. Dites: «Seigneur, je touche maintenant Jésus-Christ. Je crois.» Et puisse le Dieu du ciel l’accorder.

245     «Celui qui est en vous, Christ, est plus grand que celui qui est dans le monde.» Dans la réunion où nous Le touchons, Il se réfléchit. De même que la femme toucha Dieu au travers de Christ, Celui-ci, en se réfléchissant, lui révéla son besoin.

246     Je vois maintenant quelqu’un dans le coin. Cela ressemble à un homme. Il est très sérieusement… non, ce n’est pas cela… c’est une femme qui prie pour un homme et l’homme n’est pas ici. Mais c’est une femme. Et je ne vois que cette femme. C’est son père et il se meurt du cancer. Il est atteint très sérieusement. L’homme n’est pas ici. Il est dans un autre lieu, ce n’est même pas dans cet État, c’est… il est en Géorgie. Continuez à prier. Croyez-vous maintenant de tout votre cœur? Continuez à prier. Le nom de la femme qui prie, c’est madame Jordan. Elle ne vient pas de la Géorgie, elle vient de la Caroline du Nord. Si c’est juste, madame, levez-vous. C’est absolument la vérité. Étiez-vous en train de prier pour cela? Bon, très bien. Croyez-vous que Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde? Croyez-vous qu’Il est ce…

247     Regardez, voici quelque chose d’autre, vous avez reçu une importante formation dans vos jeunes années, parce qu’il semble que vous soyez impliquée dans une sorte de credo. Votre père ou quelqu’un de votre parenté n’est-il pas prédicateur ou quelque chose comme cela? C’est votre mari. Je peux voir quelqu’un, se tenant près de vous, en train de prêcher l’Évangile, et vous étiez dans une église; il vous était apparenté. Très bien. Vous y êtes.

248     Maintenant, je ne connais pas cette dame, mais Dieu la connaît. Avez-vous quelque chose dans votre sac à main, un petit mouchoir ou quelque chose d’autre? Très bien. Alors priez; quand vous vous serez assise, mettez vos mains sur ce mouchoir et ne doutez pas, car Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est en train de tuer votre papa. Croyez de tout votre cœur, et il en sera ainsi, alors que vous croyez.

249     Maintenant, je veux vous poser une question. Je ne connais pas cette femme. Autant que je sache, c’est la première fois que je la voie, je pense. Mais elle est assise là dans un état désespéré et elle prie. Et le Dieu même, qui put retourner et dire à la femme qu’elle avait une perte de sang, est le même Dieu qui est ici, montrant que Celui qui est en vous a vaincu le monde. Croyez-vous? Si vous avez simplement la foi, ne doutez pas.

250     Parlant du cancer, je vois de nouveau cette ombre noire. Elle est au-dessus d’une femme qui est assise là. Elle a le cancer de la gorge et elle est en mauvais état. On a prié pour elle et elle a essayé d’accepter sa guérison. Madame Burton, vous croirez! Je ne connais pas cette femme, mais si vous croyez de tout votre cœur… En fait, la chose… Laissez-moi vous expliquer ceci. Ce que vous essayez de faire… Vous en avez perdu la voix et vous essayez de prier pour que votre voix revienne. Est-ce vrai? Agitez la main comme ceci. Or cette femme est une étrangère pour moi. Je ne la connais pas. La voyez-vous? Voyez-vous, c’est juste. La voilà. Voyez-vous? Celui qui est en vous, — que la foi peut toucher, — est plus grand que celui qui est dans votre gorge. Croyez-vous de tout votre cœur?

251     Sœur Larsen, je vous connais. C’est ma propriétaire. Mais, sœur Larsen, vous avez été chez un médecin ou quelque chose comme cela. Vous avez une opération en perspective. C’est vrai. N’est-ce pas? Celui qui est en vous, sœur Larsen, est plus grand que celui qui est dans le monde. Jésus a dit: «J’étais un étranger et vous M’avez recueilli.» Voyez-vous? «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à Moi que vous les avez faites.» Oh, Père Céleste, soit miséricordieux!

252     Vous, que pensez-vous? Vous êtes aussi sur le point de subir une opération. Vous êtes une étrangère pour moi. Est-ce vrai? Vous n’êtes pas d’ici. Vous me connaissez, mais je ne vous connais pas. Mais Dieu vous connaît. Le croyez-vous? Vous avez une opération en vue. Vous n’habitez pas ici. Vous êtes près de Bedford, Springville. C’est cela. Springville. Madame Burton… non… Je vous demande pardon, je ne voulais pas dire cela… madame Parker, c’est votre nom, n’est-ce pas? Celui qui est en vous est plus grand que celui qui essaie de vous faire mourir. Est-ce vrai? Croyez-vous de tout votre cœur? Alors, si c’est le cas, vous n’aurez pas besoin de cette opération.

253     Que pensez-vous de tout ceci, sœur? Je ne vous connais pas. Vous êtes une étrangère pour moi. Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous le croyez. Merci. Dieu honorera cela. Vous êtes madame White. Vous venez de Fortworth, au Texas. Vous avez une maladie musculaire et un état nerveux dépressif. Vous êtes très mal en point; il n’y a pas d’espoir pour vous au point de vue médical. Votre mari, lui, a un besoin spirituel pour lequel il prie. Vous avez là un fils qui souffre du dos et d’une maladie de cœur. Le petit garçon qui est assis sur ses genoux a un problème d’élocution pour lequel vous priez. Si c’est vrai, levez la main. «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Le croyez-vous? De votre cœur tout entier?

254     Maintenant, inclinons nos têtes. Maintenant, Il a traversé le bâtiment, Il vous a prouvé qu’Il était Dieu. «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» C’est le Seigneur Dieu. Maintenant, laissez Celui qui est en vous avoir la prééminence. Laissez-Le avoir le dernier mot sur ce que vous… Dites en ce moment-même dans votre cœur, si vous le croyez de tout votre cœur: «La maladie qui était dans mon corps a disparu.» Voyez-vous? «Je ne suis plus affligée. Je n’ai plus de maladie. Celui qui est en moi est plus grand que celui qui est dans mon corps. Celui qui est en moi est plus grand que celui qui est dans ma chair. Donc, Celui qui est dans mon cœur a créé les cieux et la terre. Ma chair a été contaminée par Satan et je suis un temple dans lequel le Saint-Esprit doit habiter. C’est pourquoi, Satan, je t’ordonne de quitter mon corps. Au Nom de Jésus-Christ, sors de moi.» Voyez-vous? Le croyez-vous? Maintenant, prions tous comme nous l’entendons, chacun, pendant que je prie pour vous.

255     Dieu tout-puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de notre vie, Toi qui révèles les secrets des cœurs, Tu as dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, et elle discerne même les pensées.»

256     C’est la raison pour laquelle, quand la Parole fut faite chair, elle sut ce qu’ils pensaient, alors qu’Il percevait leurs pensées. Il était la Parole, et la Parole connut les secrets de leurs cœurs. Et cette Parole est toujours la même Parole. Et ce soir, nous La voyons se révéler en nous, après deux mille ans, parce qu’Il l’a écrite sur du papier, et Il est ici, confirmant et montrant que c’est juste.

257     Il y a ici des mouchoirs. Les malades sont partout. Je prie le glorieux Saint-Esprit qui est présent, qui montre ces choses, qui les prédit sans jamais se tromper, celles-ci devant toujours être reconnues exactes, ne pouvant faillir une seule fois, parce que c’est Dieu, qu’Il oigne ces mouchoirs de Sa présence, et guérisse chaque malade sur lesquels ils seront posés. Que le Dieu qui est toujours vivant après deux mille ans, qui peut venir dans le cœur des pécheurs, lesquels sont rachetés par la grâce et par la foi, et qui peut prononcer Ses propres Paroles par la bouche des mortels et voir cela arriver, exactement comme Il l’a promis…

258     Oh, Seigneur Dieu, je Te demande d’être miséricordieux envers nous. Et puisse chacun, chaque homme et chaque femme ici présent, et affligé de n’importe quelle sorte de maladie… De même que Moïse se jeta dans la brèche pour les gens, ce soir je place mon cœur devant Toi, Seigneur. Et avec toute la foi que Tu m’as donnée en Toi, je la leur donne, à l’exemple de Pierre qui déclara, à la porte appelée la Belle, «ce que j’ai, je te le donne: Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche». Et l’homme resta boiteux et faible quelques instants, mais tandis qu’ils le soutenaient, ses chevilles se fortifièrent. Et il entra dans la maison de Dieu en sautant, en louant et en bénissant Dieu.

259     Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et Ses apôtres déclarèrent: «Ce que j’ai, je te le donne.» C’était la foi. Et je déclare: Ce que j’ai, je le donne à cet auditoire: Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, abandonnez votre maladie, parce que Celui qui est en vous est plus grand que le diable qui essaie de retrancher votre vie. Vous êtes des enfants de Dieu. Vous êtes les rachetés. J’ordonne que Satan quitte ces gens.

260     Puisse le Dieu qui arrêta cette tempête l’autre jour, le Dieu qui fit cesser les vents et les vagues, puisse-t-Il veiller à ce que chaque maladie soit extirpée de ces gens, et que la puissance de Christ soit rendue manifeste dans leur vie en ce moment. Puisse chaque pécheur se repentir. Puisse chaque personne qui ne s’est pas encore approchée de Toi se mettre en ordre en ce moment. Et puisse-t-il en être ainsi, au Nom de Jésus-Christ.

261     Moi, en tant que votre pasteur, votre frère, avec la foi que je possède, j’ai demandé à Dieu de la placer en vous. Je crois que je reçois ce que j’ai demandé.  Maintenant, si vous le croyez avec moi, avec la foi que j’ai, je vous l’accorde en cet instant. Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, abandonnez votre affliction, votre maladie, et dites-lui: «Tu dois partir!» Parce que vous avez votre foi plus ma foi, avec la puissance de Jésus-Christ, dont l’omniprésence est ici pour confirmer cela et prouver qu’Il est là; cela fera que vous serez aussi guéris en ce moment.

262     Le croyez-vous, madame, vous qui êtes étendue sur cette couchette? Bien que vos muscles soient ainsi à cause de sclérose, vous pouvez marcher, si vous essayez. Levez-vous, au Nom de Jésus-Christ. C’est bien. Ça y est. Croyez-vous? Vous tous, levez-vous et abandonnez votre maladie. Ses chevilles reçurent de la force.
    Maintenant, levons nos mains et louons-Le. Louez Jéhovah-Dieu! Au Nom de Jésus-Christ, nous nous remettons à Toi pour la guérison.

1 Thank you. The Lord bless you. Let's just remain standing, just a moment while we pray. Let's bow our heads now, and all that'd like to be remembered in this prayer, raise your hands and say, "God, it's me."

2 Most holy and gracious God, we bring this people before You with the requests that they have. They asked to be remembered; and, Lord, my hand up also. I pray Thee to be merciful to us. Thou knowest our needs, and we would pray as You have taught us to pray: Thy Kingdom come. Thine will be done on earth, as it is in heaven." And, Father, we would ask tonight for mercy, and for liberty of spirit, that we might be able to bring to the people the Gospel truth, and the--what we believe to be the message of this hour for Your Church; Lord, praying that we are a portion of that Church that's to be called out in the last day. And, Father, if we are not that portion, then reveal to us what we must do to be that portion, and give us grace, power, in this trying hour that's upon the earth to try all them that dwell here. Give us of Thy Holy Spirit to lead us and guide us, that we might finally, at the end, come to Thee in peace for that Eternal Life that all believers has looked forward to since the beginning of time. Help us, Lord. We ask in Jesus' Name. Amen. (You may be seated.)

3 I am indeed grateful for the privilege of being out here tonight--tonight and for the grace of God that's been given to us through Jesus.
And then, about the--the message this morning... And now, I want everyone to thoroughly understand. Now, I am trusting to God that it isn't that time. See? But the message is true. The message is true. It will--it will be sometime, if this isn't that time. And it looks so much like the time, till I felt like Paul of old, who said, "I haven't shunned to declare to you the whole counsel" (See?), everything that's to be done.

5 There was one thing that I did, this morning, that I'm sorry that I said it. I--I called a brother's name that I think is in error. I shouldn't have done that. I never call a person's name. And if the tape would happen to fall in his hands, and I--I want to see him and talk to him, because I think the brother, a great man, a good man, that's preached right here from the pulpit, Brother David duPlessis. And I didn't mean to call his name; I was worried about the message and so forth, about whether "what if it is this time?" and I called the brother's name. I don't do that. I'm sorry I did it. I love Brother David duPlessis. He is our brother, and I--I do think that a smart man like that should be more instructed in the Scripture.

6 I tell you what it is. It's... The talk that David and I had, he once spoke for me in the meetings. He preached right from this pulpit, or in the old church, right here from the pulpit. And his brother, Justus, was my interpreter in South Africa, where I'm returning. And they're out of a fine family, a Pentecostal home, a real fine person. David was, I believe, the chairman, at one time, of the World Pentecostal Assemblies, and at the Pentecostal World Conference. He was one of the chairmen. And later he come to the United States and settled in--out in Texas with Brother Gordon Lindsay, and then just started preaching around different places.

7 But what it was, where I think that our precious Brother made the error, just like I'm subject or anyone else, he started dealing with the ups-and-ups. He kept talking about the Princeton University and the places that was inviting him, thinking that he was doing what was right, and was feeding fodder right into the machine. See? And such rejoicing... And not only that, but the Full Gospel Business Men which sponsors my meeting worldwide--wide... See? I--I love those man (See?), but I certainly don't agree with them upon the principles that they--they are--they're... They have--they have left from where their principles they started, and now becoming just like any other organization or anything. See? And what it is, they're not trying to remain Pentecostal, but they're trying to mix Pentecost and the rest of it together.

8 And looks to me like that Brother duPlessis, a wonderful, fine man like that, would know enough about the Scripture that when he sees the sleeping virgin trying to buy oil, the time is passed. See? Remember, when she came to buy oil, there was no oil left. That's the Scripture. And she said, "Give us of your oil," to the church, but she did not receive it. She might jump up and down, speak in tongues, and whatevermore, but according to God's own Word, she did not receive it. See? And she was out into outer darkness, and there was weeping, wailing, and gnashing of teeth, when the elected Bride had done gone in; the--the wise Virgins had oil in their lamp.

9 Now, I--I know another man, something that happened just the other day... What it is, it's these fine people (See?), getting a little, you know what I mean, a little hold among the people. And the first thing you know, they feel that that's God doing that. And many times, that's the Devil doing that. See?
Jesus had a chance to come before Herod; He had a chance before many, and they wanted to use Him for showmanship. See? That's all they're trying to do with Pentecost. Pentecost come out of those things, to be different, and like a hog to its wallow and a dog to its vomit, turns right back again, and now in the Ecumenical Council. See? It's too bad. It's a shame.

11 God, keep me little and humble so that He can reveal His truth. See, I never want to do that. No bright lights, no flare and flash of the world; let me take the way with the Lord's despised few. Let me stay with the Word.

12 Now, talking about the Ecumenical Council consolidating with the Vatican... Do you believe that they could consolidate on the Word? They might in organization, but they can't on the Word. See? That's right. So there's nothing to compromise. See? A organization, it's all the same (See?), everything the same. It's perfectly in line: mother and daughter. But when it comes to this Word, I'm just as firmly against Methodist, and Baptist, and Presbyterian, as I am against Catholicism, 'cause it's mother and daughter according to this Word. It's this Word that I stand by (See?), This, every Word of It.

13 Now, this precious brother, he and his wife are my close friends. Many of you seen the magazine where how that that precious, God-sent brother could ever let his wife... Somebody told her she looked like Jacqueline Kennedy, and she bushed up a--one of them great big haircuts, and then... What is it? She associates with them kind of people, all the time, and finally... A good man taking a bad woman, she'll either become a good woman... Or, I mean, a good man taking a bad woman, she'll either become a good woman or he will become a bad man. Show me your company; I will tell you who you are. See? Birds of a feather, flock together. Keep away from shiny stuff.

14 I climbed down in a mine, the other day, way in the top of the mountains on the Arizona and--and Mexico line; Brother Sothmann and I (setting here) was up there together. And I got in there and dug out a bunch of what... It looks just exactly like gold. But the only way you can tell it isn't gold, it shines better than gold. It shines; and gold does not shine; it glows. See? And what it's called, it's fool's gold. It's not even worth as much as the rock that it's in. It's called iron pyrite. I think in the--the--the scientists claim that the waters and the leaking acids and things never got there quite enough to harden it and bringing it into a place to make it gold; so it--it shines better, but it don't have the chemical in it. And that's just the way a lot of make-believe Christianity is. See? It'll shine, and like Hollywood; but the Church glows with the Gospel. See?

15 Now, some sister here, Billy just showed me, was nice enough to go get this Life magazine, this picture, and blow it up, of that... of this--of the seven Angels, and had it taken and sent to me. That is the picture. And now, if you'll notice here, as it was a-leaving, ascending back, when the Angels had brought their message, it was in the form of a pyramid, just exactly what I told you three months before it happened, the way it would be. Is that right? And the notable Angel, with His wings back on the side, back, laying back, you remember me, said, "He had His head... coming to speak." Don't you even see the wings there? And there's the Angel there, just exactly the way it was said.

16 Now, only God can do that. They have a photograph laying here too, of a woman that said... Many times, people say... In the discernment, say, "This person is shadowed to death, a dark shadow."
They say, "Well, he just said that." See, that's the people that can't go all the way; they can't see that. They can shout with you; they can--they can talk with you; but when it comes to really believing all whole soul and body, they can't do it. So, but you see, if God is in it and telling the Truth, this is the last time of history. This is the last of the world's history. It's closing. There'll be time no more, someday. God is confirming everything both spiritually and scientifically.
When I said, a little boy, "A Pillar of Light, looked like a star..."

20 How many remembers, old times, they used to can it "Star"? When It appeared down here on the river, when He said, "As John the Baptist was sent..."
Now, finally, That come down and the picture was taken of It at... We used to have one here somewhere. Yeah, they say it's over on the corner, I can't see it. Scientifically proves that's the truth.
And now, and saying the people were shadowed. Now, here was a woman, a photograph. There it is, regular, just like any other photograph, like one taking this one, a machine. I said... (a person was wondering about that)... and said to the woman, "You are shadowed to death with cancer. There's a dark shadow." She turned and took the picture. The woman's been here to testify, and may be here yet tonight for all I know. See? Now, there is the woman with like a black hood over her. All right, now, there is the scientific proof that that is the truth. And immediately after the woman was pronounced well, they took the picture, and it wasn't there. What struck the lens then? And what left that didn't--wasn't on the lens when it was pronounced that she was healed? See?

23 Now, standing here, told you that the Angels was coming. Brother Fred, being one... (I seen Brother Fred awhile ago. I thought he was right over here, but I've missed him somewhere. Oh, back here, that's right.) He was standing within a--a two mile, or a mile and a half, or two mile of where I was, heard the explosion, felt the rock and everything else, when it went off. That right, Brother Fred? And there went the Angel that sent back with them message. And here it even is in the pyramid form, as I showed you what it would be in here, told you how they'd be standing before I left. Photograph after photograph across the country took it, plumb into Mexico, be thirty miles high and twenty-seven miles across it. And it's so high that even moisture or nothing can... Moisture don't travel over about eight or nine miles high. Then you's out to a place where there's nothing to make moisture. See? And this was, I think it was either twenty-seven miles high and thirty miles across it, or either it was--it was twenty--thirty miles high and twenty-seven miles across it, one or the other. The "Life" magazine packed it, or "Look." Which was it, "Look" or "Life"? "Life, Life" magazine. I think, May the 17th, issue. That's it.

24 Now there it is, scientifically, proof that it is the truth. So therefore we--we don't worry about whether it's truth. Both scientifically and spiritually, and what was said come to pass. So the message of the Seven Seals, in their closing, that's the message of the entire Bible. The Seven Seals closes the New Testament and sealed it up, that is true. Now, we know that that is by prophetic utterance, by scientific, and by the Word. Three has give the witness to it, that it's the truth.

25 Therefore, we know that we're at the end time; we're here. I don't know how far away; I--He--I... He will never let us know that, because His coming will be as a thief in the night. But, friend, my brother, sister, let's us be ready regardless. Let's just chaste ourselves. See, because the world will go right on. They'll never even know it's happened. When the doors of mercy's closed, preachers will be preaching salvation, be (See?), causing people to repent, going right on just like it always did. It did in other ages and it did in--it will in this age. And the rapture will be so sudden and so quick that the world will never even miss them, that they're gone. That's right. They'll know nothing about it. He comes and slips Her away. It'll be gone; they know nothing about it. So be in prayer. Pray for me. I pray for you. We don't know when that hour will be, but we believe it'll be soon. And stay away from shiny things. Stay with the Gospel. See? Stay right there now and pray.

26 Now, Billy wrote me a letter here, or a note rather, and said someone wanted to dedicate a baby. If that's right... Is it? Raise up your hand, if some... Yeah, two babies. All right, bring them up that way. And Brother Neville... And I wonder if our sister at the piano would come over here just a moment for baby dedication. We don't want to leave out any...
Now, remember, by this time tomorrow night, the Lord willing, I'll be in New York City and we're going there on the battlegrounds to fight the good fight of faith.
So just right here, sister, if you will, right here in front. I'll pick them up. Now, you are... Thank you.
And now, we are... How many will pray for me? Now, if God is willing, which I hope He is, Sunday, a week (if it's all right with Brother Neville)... Sunday, a week, I'll be back again on my road to Louisiana, and stop over for a meeting here at the church.

30 I want to thank you all for your kindness. That lady that sent me that candy up there, I--I appreciate that. Don't know who the lady was, someone sent me a box of candy and some little puffballs like that. It was really, really delicious. I'm filled up on it right now, and I--I thank you. And you think them little things don't mean much? It sure does; little token. And different ones handing me their little love gifts, and showing Billy Paul; and giving them, and things. I--I get it (See?); you don't know how I appreciate it. God bless you. I'll remember it (See?); how much more does He remember it. "Insomuch as you have done unto the least of these, My little ones, you have done it to Me." See? Now, mercy will be shown when mercy is given.

31 Now, we have some fine little fellows here. Would you... I want you stay there and sing "Bring Them In," afterwards. All right, you brothers come up here just a minute.
My, here's a fresh one: a little pair of brown eyes looking at me with a big cute smile. Little girl? What's it's... Sharon Rose. That's a great name to name her, after my little girl that's gone on. Named it before she was born; if it's to be a little girl, you was going to name it Sharon Rose. [We was sure she was going to be a girl. She had to be--Ed.] Had to be... You know what? I don't know that you know it or not. If my wife was standing here, she'd probably almost faint. This is the same kind of a dress that my little girl had at the dedication, little Sharon Rose. This one maybe... May this one live, where God taken mine out of... What's your last name. Mrs...?... Are you from here in the city? Chicago. Brother and Sister Goodman, God bless you.

31a You know, my little Sharon looked like that. I don't guess there's anybody here remembers her by how she looked. She had little a--brown eyes like that, like her mother, real sweet, little girl with dark hair, just about... How old is the baby? Five months. She was eight months when God called her up. I seen her a little after that. You know the story. You have it at home on a tape.
Sharon Rose comes from the Word. I turned it around from the Rose of Sharon. And He needed a little one of them on His altar, so He took her. See? And I'll be with her again. May your little Sharon live to fulfill the life that she would've lived here on earth. And may she be with you in glory as I feel that my Sharon would be with me.

31b How do you do...?... You talk about a friendly little thing, look at this. She's just all smile. Let us bow our heads.
Dear God, as I hold this little treasure, a little Sharon Rose, You know in my heart, Lord, what I'm thinking, so I don't have to express it. Blessed be the Lord God Who gives these little jewels to our heart. Bless this Goodman home. May the parents be honored, which they are, to have such a jewel in home. May it remain in their home, Lord. And if there is a tomorrow, may it get a honorable woman for tomorrow.
And now, Lord God, in obedience to what You commissioned us by Your example to do, You took little children in Your arms and blessed them, and said, "Suffer little children to come to Me." When they bring the baby to me, being Your servant, as You have said Your servants to carry on Your work... And here stands Your servants, Brother Neville, and Brother Capps, and myself...
And now, Lord God, from the arms of the father and mother we give to You little Sharon Rose Goodman, who we dedicate for a life of service, in the Name of Jesus Christ. Amen. God bless you. Five little ones besides this, how sweet. God bless you Brother Goodman. God bless you Sister Goodman, and may the Lord bless the little Sharon.

31c How do you do, brother. Now, let's see. I--I... Arnette, Arnette... That's right. Is that right? William? William Arnette, James William Arnette, that's a fine boy. You know, some things we have in common, he and I already: names, and then we part our hair alike, just as plain...?... He's a fine boy, Jimmy? Guess that's what you call him, James? James, James. All right. Wonder if I could hold him. I don't know now; I...?... Remember we're real buddies. You know that, don't you? Well, let us bow our head.
Lord God, Thou has blessed this home of the Arnette home, with this fine little boy. And I pray that You'll bless his father, his mother, his loved ones. They are Christians. How that his father fought so hard, them cigarettes and different things. From one day it come through, "THUS SAITH THE LORD..." He was like the woman that was persistent that she was going to get there. Although his business failing him; everything seemed to be failing, he still taken a portion of his money and waited for interview after interview till one morning it happened. He believed that it would.
Now, he brings this little boy that You have blessed him with, O God, the fruit of their union. I bless this little James William Arnette in the Name of Jesus Christ. Give him a long life. Make him a worthy man of Your Gospel for tomorrow, if there is a tomorrow. And finally, in the Kingdom that is to come, may we be there together. I, as Your servants, we lay our hands upon him and dedicate him to Jesus Christ for this life of service. Amen.

31d Bless you...?... Got two more? Oh, these are the same ones. All right. I believe you could almost take me instead of me take you. Now, this is Alvin, and Al, and Martha. Just let the congregation... I like for you to see children. I think when they're little and young, they're sweet. Now, let's lay our hands upon them. Likewise, Almighty God, we, Your servants, lay our hands upon these children, the little brother and sister of this little boy that's just dedicated here. We lay our hand upon them for a--a dedication from the mother and father to the arms of Jesus Christ for a life of service, in the Name of Jesus Christ. Amen.
God bless you...?... It's been nice seeing you again now. Lord be with you...?...

31e Is this young fellow, my, he's a good boy. I used to be able to part my hair like that. What's his name? Terrell Keith Walker. What a fine boy. I wonder. I just don't know. He looks at me kinda like he might... Wonder if I could hold him. Is that right, Keith? Oh, he's a fine boy. Isn't that a darling little boy? Harrell? Terrell--Terrell Keith Walker.
Almighty God, from the arms of the parents to the arms of Jesus Christ, little Terrell Keith Walker, we lay our hands upon him in dedication to Almighty God, as the father and mother so desires that this baby shall be raised in the admonition of God. If there is a tomorrow, make him a servant worthy of this dedication, for we, Your servants, lay our hands upon this baby and dedicate him to the Lord Jesus Christ. Amen.
Bless you, brother and sister. Is this Sister Walker? It's really fine. You got a fine boy and may God bless him.

31f All right, sir. [The brother has a conversation with Brother Branham--Ed.] Yeah. This little girl is... Brother Grimsley, our... Grimby. I--I get that mixed up. I got a Brother Grimsley; I can't think... Brother Grimby brings this little girl. And when she was born, she had a big knot in her face. And I prayed for her and the knot healed. And now... They want to pray because... Is the parents Christians? They're not Christians, and they're afraid that a evil spirit is taking the child over. And they want it moved.
Let us pray. Lord Jesus, upon this little child, as it leans over the altar, which You've showed grace to remove a tumor knot in it's mouth... Now a evil spirit tries to take the child's life. No doubt but what You could use this girl and planning on doing, and Satan is trying to beset the plan. Therefore, we charge Satan, in Jesus Christ's Name, to take his--his hands and hisself away from this child. We give her to the Lord Jesus Christ for the glory of God. Amen...?... then would you believe in the...?... The child's too little to hardly have faith, but it'll be...

32 I love Him. Don't you? He is wonderful. Now, everybody, I promised tonight that I would be out by eight-thirty, so that gives me a half hour. I don't know now, about that; I may be just a little bit later than that. But let us now...

33 I'm glad to see Brother Dauch here this morning. And I don't know where the other man went; but this morning, if he ever had a second, there was a man setting right back there, was a perfect second to him. I said, "Which is Brother Dauch?" I looked back and forth, and I was going to name him; I was so wrapped up in the message. You know, Brother Dauch, you look just like you always did. I'm so glad to see him in that condition.
Just recently, I had a long distance call from Tucson, to pray for him again, that something else had happened to him. Brother Dauch is, I think, ninety or either ninety-one. He's ninety years old, I believe, or ninety-one. And your body gets run down, but "Many are the afflictions of the righteous, but God delivereth him out of them all." And sometime when the body gets to a place to where it will not anymore hold together, I know he's holding to a hand. Though a clod of dirt, God promised to raise it up again in the last day. And I'm so thankful.

35 I remember Brother Dauch, when he come into the pool here to be baptized in the Name of Jesus Christ, and he didn't even have any clothes here to be baptized in, but wanted to go anyhow. And God has been gracious to that man. Just think, he's twenty years over the time that God promised. See? If that isn't grace... And still laying, the other day, with a complete heart failure, and a heart attack (See?) on top of that. And if God didn't heal that man and bring him up again. I believe...?... And I believe since then his physician has died. Is that right? I under... Yes, they... Even the physician, a Jewish physician that--that was doctoring him and things, and stood in the hall and talked to me about him, he's done gone on. See? My, how much... How deep is Thy love, O Lord. How great is Thy love.

36 Now, we have some handkerchiefs here that we're going to pray over just in a few moments, but I'm going to speak to you a little bit on faith. And then we'll see what the Lord leads, what we're going to do from then on. Well, let's just leave it up to Him; that's the best way.
Oh, to be setting together in heavenly places. I spoke to some of my friends today after I come out of the Blue Boar over there. And I said, "You going to stay for the service?".
"Yeah."
I said, "You'll probably have to drive till twelve or one o'clock." They expect to get home around six in the morning, long ways away. Remember, they're human, and get tired just like you. Way down in Tennessee and around, they're going. The Lord bless them.

40 There's so many things I could say, I'd just take up all the time, but I--I don't get to see you so often, and I--I--I just love to talk to you somehow. But if I don't get to tell you, all I think about you, here... See? I want to tell them brothers; some of them dismissed their churches.
Brother Jackson here this morning give that beautiful interpretation of the--of an unknown tongue that some brother spoke in, and confirming or backing up that it was God. Did you notice, He never said it wasn't wrong; He never said it wasn't so; He just give warning to listen. See, see? So Brother Junior was here this morning and dismissed his church; and I understand that other of the brothers from down in the other churches from here at Sellersburg.
And--and Brother Ruddell, he was here this morning. I don't know whether they're here tonight or not, or... Here again tonight... Well, the Lord bless you, Brother Ruddell, and I just can't express it, just what I think. But maybe... When we get over on the other side, I want to set down with you for just ten thousand years apiece. See? So we can... See, we'll talk it all over.

43 And while the harvest is ripe and the laborers are few, let's dig right into it, by chance there might be a sinner setting by. There might be someone that tonight might change the whole course. And if it wasn't the time this morning, tonight might close the books. Remember, there will not be one more come in when them names are redeemed. Before...
Now, everybody listen real close, 'fore I read the Scripture. All that ever would be redeemed, God put their name on the Lamb's Book of Life before the world ever come into creation. How many know that? That's the Scripture. And the antichrist in the last days, is going to be so close like the real thing, real Church, everything just like Judas was, until it would deceive that very elected if it was possible. Is that right? But no man can come to Jesus except God sends him. And all that God did give to Him, will come to Him. And when He takes that Book, the last name...

45 See, all in the Lutheran age, He pulled them out. All in the Wesley age, He pulled them out. All in the different ages, the Pentecostal age, He pulls them out. They're over here, won't be judged with them, they're rapturing. And then, when the last name comes out, that was put on the Lamb's Book of Life, that was slain before the foundation of the world; when that last name has been redeemed, His work is finished. He comes forth to claim what He has redeemed. That makes our heart bleed. But if it went on a thousand years later, there would not be one redeemed. And no one can be redeemed unless they were put on the Lamb's Book of Life before the foundation of the world. Who are they? I don't know. Nobody else knows (See?), just God alone. I'm trusting that every one of us, our names are on that Book. If mine was on there, I'm sure to be there. If it wasn't, I won't be there; that's all. See, it's just--that's just up to God. "It's not him that willeth, him that runneth, but God that showeth mercy." See?

46 Now, let us now approach the Word with all reverence and sincerity. And I think that's one thing we must do. See? Let's stop so much nonsense. Be reverent, sincere. I noticed those confessions sometimes when they--on television, when they had that Billy Graham's meeting, not nothing against Billy Graham. But out there in California, the man preached a wonderful message, that last night, preached the very same thing that I preached here not long ago on Daniel, "Thou are weighed in the balance and found wanting." How many saw it? Many of you, I guess.

47 Look, did you notice those people coming from the aisles, chewing chewing gum, laughing, punching one another? That's not walking up between death and Life. That's not sorry for sin and repentance. See? It's just what Billy said, "Making a decision." And a cold, dry-eyed decision is nothing (See?), not a thing. You've got to be sorry for sin and turn from it. And Billy himself said, "Proves that out of thirty thousand, you can't find thirty in a year." Said other day, "What's the matter with New York? I had that great meeting there and what happened? Sin's worse than it ever was." And it will continue to get worse.

48 There will be no national repentance; the nation is gone; just you individuals, and soon that'll be over if it isn't already. Now, you just mark that down, you young children. See how far Brother Branham (It ain't Brother Branham), that what I've said is right or wrong. Sin will get worse and worse until one day the skies will catch on fire; she'll fall to the earth and the earth will burn with fervent heat. But the redeemed won't be here then; they'll be gone.

49 Now, in the Book of St. Mark the 11th chapter, I John 4:4, and Matthew 28:20, I wish to read.
Now, first I wish to read from St. Mark the 11th chapter and the 12th verse to the 24th. Listen real close now as we read. And now, this is going to back up for a little testimony and a few words of exhortation, and then we'll see what the Lord will have us to do. Everybody just remain seated and be prayerful now as we read. Mark 11:12:
And on the morrow, when they... came from Bethany, he was hungry:
And seeing a fig tree far off having leaves, he came, if happily he might find any thing thereon: and when he come to it, he found nothing but leaves; for the time of figs was not yet.
And Jesus answered and said unto it, No man eat fruit of thee from henceforth for ever. And his disciples heard it.
And they came to Jerusalem: and Jesus went into the temple, and begin to cast out them that sold and bought in the temple, and overthrew the tables of the money-changers, and the seats of them that sold doves;
And would not suffer that any man should carry any vessel through the temple.
And he taught, saying unto them, It is... written, My Father's house shall be called the... of all nations the house of prayer? but you have made it a den of thieves.
And the scribes and the chief priests heard it, and sought how they might destroy him: for they... for they feared him, because all the people was astonished at his doctrine.
And when evening was come, he went out of the city.
And in the morning,... (Now, that's another day.)... as they passed by, they saw the fig tree dried up from the roots.(Within twenty-four hours, the miracle had taken place, after He said to it, "No man eat." Nothing, looked like, happened then; but by the next day, it was dried up.)
And Peter calling to remembrance said unto him, Master, behold, the fig tree which thou did curse is withered away.
... Jesus answering him said unto them, Have faith in God.
For verily I say unto you, That whosoever shall say unto this mountain, Be thou removed, and be thou cast into the sea; and shall not doubt in his heart, but shall believe that those things which he said shall come to pass; he shall have whatsoever he saith.
Therefore I say unto you, What things soever you desire, when you pray, believe that you receive them, and you shall have them.
And when you stand praying, forgive, if you have ought against any: that your Father also which is in heaven may forgive you your trespasses.
But if you do not forgive, neither will your Father which is in heaven forgive your trespasses. (It's on condition.)

52 Now, I would like to read I John 4:4.
Ye are of God, little children, and have overcome them: because... (Listen close.)... greater is he that is in you, than he that is in the world.
May I read it again now.
Ye are of God, little children, and have overcome them:... (talking of the antichrist)... because greater is he that's in you, than he that is in the world. (Two pronouns... See? He, personal pronoun, and he that's in the world, and He that's in you; He that's in you is greater than he that's in the world.)

54 Now, and the--the 28th chapter of St. Matthew and the 20th verse:
Teaching them to observe all things whatsoever I have commanded you:... lo, I am with you always, even to the end of the world...
Now, a text from that tonight, I would like to use this as a text: "He That Is In You." And on this I wish to build faith, of course, for a prayer service. And...?... just as quick...

56 Now, it is as I have told you, I like to post you on events that has taken place, and I usually wait until I come to the--the church here to say the events; and then if others likes to hear it, they can pick it up through the tapes, but I wait till I'm here. And there is at least, to this event that I'm going to tell you about just now, there's several men here that's witness of these, Christian brothers. One that was present was Brother Banks Wood. Another that was present was Brother David Wood. Another that's present here was Brother Evans and his son, Ronald. Another one was present is our noble deacon Brother Wheeler. And another present was Brother Mann. Is Brother Mann here from New Albany, a Methodist preacher that I baptized in the Name of Jesus Christ just recently? He was there also when this happened.

57 It's been for some time, for a few years, that I have had a deep burden on my chest that I--in my heart. It felt to me as if I had done something wrong. And I searched my life over and over and over to see what was wrong: "Lord, if--if I've done anything wrong, then You just reveal it to me what's wrong, and I'll go and make it right." But nothing would be revealed to me. I'd say, "Did I hurt somebody? Did I leave something undone? Have I... Do I read enough? Do I pray enough?" And I'd read and pray and--and I'd--I'd think, "Reveal it to me. Did I harm somebody somewhere? If I did, I'll make it right. Just show me; I don't want this burden." And for the last five years since I come off the field, there's been a burden hanging in my heart.

58 I've went to the mountain. I've went to the seaside. I've went everywhere and prayed and prayed and prayed, and it just wouldn't let up. And I've thought of everything, if I done anything. But it still, it wouldn't let up; I was just in bondage like. And it's very strange that this would be lifted just at the time this message come forth (See?), of this morning. Now, was it God holding back for this? I don't know. See, I... These things is all in my mind. You can imagine what's in a man's heart when you put up with that. See? To think of what is taking place, and know to tell the people, knowing that some will get the wrong slant, and some will go this a-way, and that way, and you know how it is; some will believe, and some won't, and... But that's what you have to put up with.

59 How can you say it without hurting? How can you say it, that it'll take effect? How can you say it to show the people that you're not--not picking on them, that you love them? How can you be strict and firm, and yet be loving and... Oh, how you going to present it? And then woe unto me if I don't present it. See? And there you are. See? It... No wonder it keeps you nervous and tore up.

60 I had come down from--from--come up from Arizona to meet a bunch of brethren here, that goes hunting with me up in Colorado each year. Now, some people has wondered, "Why do you go hunting? What makes you?" See, here you are filling up; I'm emptying out. There I'm filling up so I can empty out. See? Now, I don't go just to shoot game. Why, people, anyone here that goes with me, knows that I passed by hundreds of head of game and never even touch them. I don't.

61 Now, here not long ago, I begin to shoot game for the Christian business Men. When they go and say, "Billy, get me a bull, get me a cow, get a elk, get me this, or that, the other." I'd go out and just shoot game from right and left. The Lord helped me so I could see, and find game, and pretty fair shooting, and hit them. And--and they just set around and talk about their business.
Then the Lord told me not to do that no more. And I--I felt bad about it, so I promised Him I wouldn't do it no more. You know, I said, "If it's emergency and somebody needs it, I'll do it. But if they don't need it, I won't do it." Just them men, they got plenty of money to buy beef and stuff. So why should I do that? Let the animal live if you're not going to use him.

63 So I just go to be alone. And any man that ever goes hunting with me, knows I don't hunt with anybody. I go out to myself to get alone. I go with them to have fellowship at night, and stand around and pray and so forth, but there was many other ministers there. There was, up in the mountains this year, was our Brother Palmer. I believe I saw him somewhere awhile... Here he is setting here, Brother Palmer. And a Brother Bob Lambert, he was here this morning; I heard him shouting somewhere. I guess he's still here. And then there was a Brother--the two Martin boys; I guess they're here, are you, Martin boys? Brother--the Brother Martin. You called me the other day, that was good; that boy was healed, that brother minister.

64 Are you here, the one that I prayed for on the phone the other day? I forget his name from down in Arkansas there. His wife called me; the man was all swelled up in his side, and high fever, dying. The same man that was called out, down at the--the Little Rock--or the Hot Springs meeting, setting in the meeting, and it's a fine looking fellow. If he's here, I guess he won't raise up now at all. But I forget his name. I can't think of his name. Blair, Brother Blair, somebody... Well, now, setting in the meeting at Little Rock... How many was at... I mean at the Hot Springs. How many was at the meeting? And the Holy Spirit called that young fellow and told him that the Devil was trying to get him to renounce me, to say I was a false prophet. And the man witnessed it was the truth. You see what the Devil was doing? The man don't go to doctors. He don't believe in going to doctors. But the Satan knew this disease was going to strike him, and he could kill him right there. See? So he was trying to get him to renounce me. And the Holy Spirit, in grace, called him out and told him not to do that (the man being a stranger) called him not to do that.

65 And the other night his wife called me and said, "Brother Branham, I believe he's dying." He's is all swelled out, and his fever... He's out of his head nearly." And said, "The last thing he said, 'Call Brother Branham.'"
I said, "Have you got anything, your purse with a handkerchief?"
"No." (I was in Tucson; she was in Arkansas)
And I said, "You got any?"
She said, I believe, her scarf."
I said, "Now, put your hand on the scarf. And now, hold it up, receiver in the other hand." And I prayed and asked God to be merciful and to renounce that enemy. And she went and laid the scarf on the man; and the next morning he called me. See, see?

67 Now, and about twenty four hours, or less than that, our precious brother, I haven't seen him tonight yet, Brother Roy Roberson... And at once, you know, Brother Roy was kind of a military man. If He's here I--I hope he understands, because I--I--I'm not condemning that. But everything is strict; he was a sergeant in the army, you know, and you have to kinda get in used to handling men like they do in the army. "Well, these spiritual things for somebody else," not him. But the Lord spared him. He would've been dead; they laid him out for dead for a long time. The Lord healed him; he's followed ever since. But all this spiritual stuff, he didn't know about, and visions.

68 And here, not long ago, many know the vision that was give to Brother Roy even 'fore I went out there, about him seeing me standing up on the mountain there; and that Light, and a Voice coming from It. That took all doubt from Brother Roy.
And the other night he was stricken in such a place until he was so sick and he got so high in fever and stuff, and the doctor had give him medicine and everything, and then it didn't do no good, and he even become to a place till he couldn't even move hisself anymore; his legs and things was like paralyzed.
And the poor little brother has been shot to pieces with shrapnel from a 88, German 88, and is a--he was just the... and I think all of his whole crew was killed but him, and there he was blowed to pieces.
And you know what happened? I told his noble wife, Sister Roberson, to... She said... I... Have got anything there?"
She said, "I got a handkerchief you once prayed over."
"Go get it." And I was in Tucson (and laid her hand upon that), and prayed, and rebuked, and said, "Sister Roberson, it's going to be gone."
Just Something told me there, "It's going to be gone, say it." And within a half hour, the fever was gone; he was in the kitchen hunting something to eat. See, see?
What I'm trying to say, "Don't never lose your confidence." Don't let Satan tell you evil about me, 'cause there's much. But you keep that confidence; 'cause if you don't, it won't happen. Don't look to me as a man; I'm a man; I'm full of mistakes. But look to what I'm saying about Him. It's Him; He's the One.

76 As we were in Colorado (See?), as we were up there, we went back, and it'd been rear dry. Game was scarce. Brother Wheeler, the Lord blessed him and gave him a--a fine trophy, and we was so happy about that, is the first time he's ever in the woods hunting. And the Lord blessed him. And then I had shot a big trophy that I had looked for for twenty years, been watching him, Brother Banks and I been after him for a long time. And when I did, shooting my rifle in down in the hot country, bringing it up into a cold, it swelled the stock although it was glass bedded, and it shot it several inches off. And hit the animal, standing between trees, where it oughtn't to hit him; lower than that which would've humanely killed the animal in a second. But it hit him so high, it... He jumped and like he fell like that.

77 And Billy was with me, and he said, "That got him." And I thought it did too; but when we went over there, it wasn't. So he said, "You hit a tree." I looked up and down, there was no mark on a tree. And then I went to searching for it. And then, there come a warning sign. There was practically a hundred men, just above us. And Brother Palmer and them is a witness of that. And Brother Evans, that's right, he was there; Brother Welch Evans and his boy Ronnie (I believe I called them awhile ago.). And great loads of men had went up above us, what they call the "cow camp" up there, where the cowboy stays and rides, keeps the cows separated. I used to stay in that camp myself and herd those cattle and keep them apart.

78 And then... So in there there was about a hundred men. But anyone knows in that country, when a blizzard is forecast, you'd better get away right now. That's why Brother Palmer and them left early, because they only had a three-speed transmission in their car, and they had to get out of there, 'cause weather... You're there, and you might stay for weeks. So they said, "There is a blizzard coming," the forecast, the papers, the radio. Load after load, practically everything from up around in there left out. They'd gone, right now, 'cause they knowed to get out of there.

79 But my brethren had two deer license, and they--they didn't want to go. So I--I said, "Well, we'll stay." But I had a meeting coming up in about six days, and I had to go back to Tucson.
So my little wife... Now, we been married twenty-two years. And twenty years on our anniversary, I'd been up there every time; just happened to hit there. So I--I got a little place I always walk out and pray, and it looked like the place where I took her.
You know, I made kind of a little thing, you know; I didn't have enough money to take the hunting trip and my honeymoon, so I--I--I kinda took my wife on a hunting trip for the honeymoon. So we was in New York, and I remember helping her up over logs and things, a-getting to a place. And I got a little place out there, I always think of her when I go there on our anniversary. October twenty-third is when season's open there, and twenty years I haven't been home, always up there.

82 So that day was our anniversary. And Brother Mann... I said, "Now, if you brethren..." I stood to the fire that morning, "Now, if..." that night, rather, "If you an want to stay now, remember, we may be in here for a month." 'Cause I've seen twenty foot of snow fall just in a little, just overnight, just... You'd go out there and you--just as dry and nice, and the next morning, snow is this deep, over--maybe over top of your tent. So then I said... And then you stay there till that melts off. So you're about fifteen to twenty miles back in the wilderness. And so then I said... And if it gets emergency, 'course they send in helicopters and get you out, but usually they just, nobody perishing, they just have to wait there.

83 So everybody scats just as soon as they hear that broadcast, and or forecast, rather. So we were back there, and I said, "Now, you make up your mind. If you want to stay, I'm here to hunt with you, and I'll call my wife and tell her 'Happy Anniversary!'" But I said, "Then in that, I will also... I'll... We well--we'll get some groceries, 'cause we might have to stay in here." We was out of bread then. And I don't want to see anymore flapjacks for a long time, them pancakes. So then... I'd been eating them in Canada for about twenty-one days, and I sure had a fill of them things. And so then, I wanted to get some bread.

84 So they just said they wanted to stay. So there wasn't nothing to do to stay. But Brother Mann and I went out, and we went down there, and I got the groceries. And I called the wife, and the phone wouldn't answer. No one answered; so I waited about a hour till we got the groceries shopped, went back, called; she didn't answer. And I had to call Sister Evans. I believe Sister Evans is here. And I told... Yeah, Brother Evans and Sister Evans is here.
So I called Sister Evans for Brother Evans and told him; she said, "I'll call Sister Branham and tell her a 'Happy Anniversary,' of course, you know. So... But she'd gone shopping to get some groceries for the children.
And then we come back; and the next morning, what was in the skies but clouds. It hadn't rained up there all fall, and it was really dry. And they had to prolong the hunting season a few days extra on account of the dryness.

86 Well, I said to the brethren that morning, "Now, the first drop of rain starts to fall, the first snow, the first sleet, anything, take for the camp just as hard as you can, 'cause within fifteen minutes you can't see your hand before you. See? And it'll just twist and blow, and I don't care how well you know the country, you--you're going to stay right there, and you'll perish. 'Cause sometimes you can't even breathe, the sleet blowing so, you die right there." And I said, "As soon as it starts with that sleet, you take for the camp just at hard as you can; I don't care where you are."

87 Well, I said, "Go up here and set in these gulches, and I'll climb way high and roll rocks over the hill and so forth, scare the deers off the top and run them down; you pick out what you want."
So I started climbing high, and about time I got up to where we call the saddle, a little place there that I always cross over to go to a place called Quaker Knob, right on the continental divide there, way high. And when I got to almost this little saddle, the clouds was getting blacker and blacker. Wasn't a car left, just us up there as far--and a cowboy on the camp. So it got--it got worse and worse, so it... In a few minutes it started to raining. Well, I took my gun and put it under my coat, keep the scope from smoking up and--and the stock getting wet; whether run into a bear or something, coming back, so I--I held my scope like that and set down under a tree a little bit. And I set there and prayed. I said, "Lord, God, You're the great Jehovah, and I love You."

89 How many experiences have I had. I pointed out to the brethren, Brother Palmer and them, the places where the eagle, you know,... I seen him rise up that day, you know, and how... That's the places where it all taken place in there. It's a temperamental thing to me in there. I've had so many great experiences with my Lord up in them mountains. So you just can't go there without seeing Him; He's just everywhere.
So then, as I--I set there, then the sleet started, and the wind twisting, like that. And I said, "Well, I know the way down, but I better get off of here right now."
So I said, "It--it..." Looked down, and I couldn't even see the bottoms no more, them clouds just whirling and twisting, and sleet a-blowing. And there it was, the blizzard, forecast for several days, a big blizzard coming.

92 Brother Tom is here. Brother Tom Simpson, coming down from Canada, heard the forecast, and he was advised not to go through that part of the country, 'cause this forecast said. "It'll be blizzard." Where are you, Brother Tom? I think that... Yeah, right here. And he... The blizzard was coming. Everybody had done set in for it.

93 Well, I put my gun back under my shirt, like this, my red shirt, started walking down the mountain. And as I started, got about half a mile from the saddle; and oh, my, those big drops of snow like that, and the wind twisting up on that mountain and blowing. I couldn't see the bottom no more. I could see about twenty feet in front of me, or thirty, and I knowed to come right down this little, what we call a little hogback, little ridge, and I'd come off to the creek, and then I knowed to follow the creek, and where to go to if it got real bad.

94 And so then I started down, and got about half way down there, and Something said to me, just as plain as you hear me, "Stop and go back."
Well, I thought, "What was I thinking about? Maybe it's just my mind." And I just couldn't make another step forward.
David had fixed me a sandwich that morning, and I think he tried to get even with me for fixing his daddy one, one time, of onion and honey; that's all we had. So he fixed me a baloney and, oh, I don't know what all it was, wrapped in there. And I had it in my shirt, and it done got wet through my shirt, I thought, "I'll just stop and eat this, and maybe I'll--it'll be all right then." So I pulled out the sandwich, about ten o'clock, and I started eating the sandwich. And as I eat the sandwich, I thought, "Now, I'll be all right." And I started to move on, but something said, "Go back where you come from."

97 "Go back through that storm, a half a mile or more back up the mountain into that dark timber where you..." Can then hardly see as far as that organ... But I'm getting to be an old man, and I been a Christian now for thirty-three years; and I know no matter what, how ridiculous it seems, mind the Lord. Do what the Lord says.
And I turned and went back to the saddle, feeling my way back, oh, sleet getting harder and harder, getting darker and darker. And I set down there, and just put my coat up like this, or my shirt over the scope again; set down. I thought, "What am I doing here? Why would I come back up here?"

99 And I just waited a few minutes. And I started to get up again, and just as plain as I've ever want to hear, a voice said, "I am the Creator of heavens and earth. I make the wind and the rain."
I took off my hat; I said, "Great Jehovah, is that You?"
He said, "I was the One Who made the winds to cease upon the sea. I was the One Who made the waves to go down. I created heavens and earth. Was not I--I not the One that told you to speak to those--for squirrels and they come into existence? I am God."
Now, when a voice speaks to you, watch the Scripture. If it's not Scriptural, you leave it alone; I don't care how plain it is; you stay away from it.
I said, "Yes, Lord."
He said, "Speak to those winds and that storm, and it'll go away." Now, this Bible lays before me, which my life is in That.
I raised up; I said, "I do not doubt Your voice, Lord." I said, "Clouds, snow, rain, sleet, I resent your coming. In the Name of Jesus Christ, go to your places. I say that the sun must come out immediately and shine for four days till our hunting trip is over and I leave with my brethren."

106 It was just gushing, just going "Whooosssh," like that. And it started go--going, "Whoosh"; and then went "whew, whew, whew, whew." Stopped... I stood real still. My brethren up there, wondering what was happening. And the sleet and rain stopped. There came a wind whirling down through the mountain, lifted up the clouds, and one went this way: east, north, west, and south. And within a few minutes, the sun was shining nice and warm. That's truth. God knows that's truth. I just stood there, just looking around with my hat off, looking.
"Are..." You say... I got numb all over. I thought, "The very God of creation, it's all in His hand. What's He telling me?"
And I picked up my gun, wiped off the scope, started walk back, go down the hill. And Something said to me, "Why don't you stroll with Me through this wilderness, walk with Me?"
I said, "Yes, Lord, with all my heart, would be one of the greatest things I could do was walk with You." So I put my gun over my shoulder, and I started walking down through that (never a axe laid in it, virgin timber), walking through there.

112 And as I did, walked along, down along these game trails, I felt like, "I believe I will go up to the place where... yesterday was our anniversary, and I will stand there just a few minutes, just as a little salute to Meda, at where there's a little bunch of quaking asp upon a little knob." And I said, "I believe I'll walk up there, just as a salute to our anniversary. Then I'll go back down on this other side in these dark timbers, and walk around, and go right over by--towards Corral Peaks, and come back down that way."
Just walking and rejoicing, I was saying, "Father, I know You are walking with me, and what a privilege. There's nobody greater I could be walking with; the very God." And that warm sunshine...

114 Even to when I come out of the mountains, I stopped at filling stations, and I said, "Beautiful day," three days later. It never rained in that part of the country until the four days was over. The sun shined every day. Is that right, brethren? See? And not a cloud in the sky...
And I come out to the filling station; I said, "Sure a beautiful day."
"Yes, it is."
I said, "Been awful dry?"
Said, "It's a strange thing," this attendant said--said, "You know, they told us we was going to get a big blizzard, but all of a sudden it stopped."

117 I come on down, on the New Mexico line. Billy and I, my son, we went into a little place there to get some--the morning we left, and I said, "Sure a pretty day."
"Yes, it is."
I said, "Look like it's been pretty dry."
"Yes, it has been."
I said, "Are you from here?"
Said, "No, I'm from Wisconsin," or somewhere. Said, "I been out here about twenty years, so I guess you could call it home."
I said, "You're a native then, I guess." So I said, "Yes, sir," I said, "looks like it's been awful dusty."
Said, "You know, the strangest thing happened." Said, "We had a forecast that we was going to get to blizzard, a lot of snow; and it actually started and then quit."
I said, "You don't say so."
And I come home. And Brother Tom said that he was told not to go that way, a blizzard was due. And he come right through the country without even a sprinkle of rain or anything. He's still God (See?), just as much as He ever was to me.

123 Walking up there, I was going along... Now, this part, I hope my wife don't get this tape. See? But I'm going to tell you something. And now, I--I don't tell you... I just tell you the truth. See, and that's the only way to do it. I've often wondered why she didn't complain about me going on these trips on an anniversary. You know what I had made up in my mind? I said, "There's so many people around the house. And then I'm always, you know how I am, nervous, and everything I talk, I want to talk about is God, the Bible, or something. Maybe she just thinks it's a little rest for her. She'd get me away for a few days, go hunting." I, half thinking that, going along there.

124 Now, that I'm... I--I apologize to her, and I'm--I'm ask God to forgive me for such thoughts," 'cause I was going away. I thought, "Well, she thinks... Well, my goodness, she--she's a worker, you know, and--and all the time when she's out in the kitchen or somewhere out in the..."
And any of you knows her, that washing machine's going all the time. And so, I'd go out, I'd pull her... I said, "Don't be washing like that. Talk to me. (See?) I--I love you. I want you to tell me something: tell me you do too."
She said, "Well, you know I do," then right on washing just as hard as she...?...
"I don't want you to do that; I want you to come in here and set down by me."
"O Bill, I got so much work to do."
And I thought, "Well, see, go on up here, she gets time to do her work." Go along there thinking that.
Now, remember, I laid this Bible up here so you'd see that I'm before the Word.

130 As I was walking along, something happened to me. As I started, first I was thinking about when I taken her on the honeymoon up there, she was a pretty, little, black-headed, brown-eyed girl, and I was lifting her over these logs, you know, and everything, and trying to get her up there in this place where I'd kill some bear. And I wanted to show her, you know, and so where I got these bear. And she had on my cowboy boots. And that's about twenty-two years, or twenty-one years before that, twenty-two years, I believe it was, ago. We were married on 1941. And I was picking her up, you know, over these logs.
And I thought, "Now, poor little fellow, putting up with me, she's done turned gray." And I thought, "Well..." I went... [Brother Branham clears his throat--Ed.]. And I hadn't shaved for a few days, and I found out I was gray too. And I seen my beard sticking out of here, gray, and I thought, "Old boy, you just about finished now. See, you--you going to do anything, you better hurry up. You're getting old too." See?

132 And so, as I went along like that, something taken place. All of a sudden, in every motion, principle, I was a boy; I thought as a boy. I had my head down, and I looked up and just as plain as I ever saw her, there she stood before me with her arms out. And I stopped, rubbed my face; I looked. Said, "Meda, is that you, honey?"
I looked here; I thought, "Now, what's happened?" And I thought, "Yes, I'm walking with Him." And it changed then, I was back an old man again; and the vision was gone from front of me.
And I stopped; I took my hat off again, put it over my heart. I said, "Jesus, my heart has been so burdened for years. I don't have to tell You that I'm burdened. I've repented; I've repented; I've done everything I know. And why has it this burden don't leave me?"

135 And I just started walking on. And as I climbed this little knoll, just about thirty forty yards in front of me; I started up this little knoll, I begin to feel real weak. And there was a little quaking asp about ten inches through, come up and made like a "L," and then went up again. And just as I got there, I felt so weak I was staggery. So I just... I had my cap back on again. And I just laid my head up against this; fit me just right to lay my head right here against that little quaking asp, like this. It's really a poplar; it's like--looks like a birch. You see? And it's--it's a... I was laying against there. And I was just standing there with my head down, that warm sun hitting me in the back, and I think, "The very God that departed that rain and that wind..."
And I heard something going, "pat, pat, pat."
I thought, "What's that? The water's all blowed off. The sun is out. What's that splat?" I looked down; it was water from my own eyes, cutting down through the gray beard and dropping off on the dry leaves that God had dried up, laying before me. And I just stood there like this, just against the tree. And my hands--this hand down, my head laying against the tree, my hand on the rifle sling, like this, a-standing there, crying.

138 I said, "God, I'm not worthy to be Your servant." I said, "I--I'm sorry; I--I made a... I've made many mistakes. I didn't mean to make mistakes, Lord. You've been so good to me."
My eyes closed; and I heard something going, "stomp, stomp; stomp, stomp." I raised my eyes, and standing right in front of me come three deer. And I thought, "There's Brother Evans' one, Brother Wood's, and there's the three deer. (See?) Just what I'm looking for, and I ranged right up. I reached to get my rifle, as "I can't do that. I promised God that I wouldn't do that. (See?) I promised Him I wouldn't do it."
And something said to me, "But there it is."
And I thought, "Yeah, that's what a--a man told David, one time, 'God delivered him.' (I said...) 'into your hands.'" You know, king Saul.
And Joab told him, said, "Kill him. There he lays."
He said, "God forbid I touch His anointed."

145 And those deer stood there and looked at me. And I thought, "They can't get away. There's no way for them to get away. They're not thirty yards from me, and I got this rifle. Standing here, and there's three deer. Aw, I can't do it. I--I just can't do it." It was a doe and two big fawns. So I--I--I just couldn't take the rifle. I said, "I can't." I--I never moved. I just stayed there. I said, "I can't do it, 'cause I promised God I wouldn't do it. Though them brethren, they--they don't need them deer. (See?) Now, I can't do this. I just can't do it."

146 And that doe come, walked... Now, listen, there'd been a hundred men shooting at them up there for four or five days. Scary? The first sign of red (and I had a red shirt, red cap), the first sign, they're gone; but they were standing there, all three of them, looking right at me.
I said, "Mother, take your babies and go on out in the woods. You're in my hand. Your life is in my hands; I ain't going to hurt you. I promised God that I wouldn't." See? And she walked closer. She looked at me. All of them walked closer, till they come so close they could eat out of my hands nearly. They don't... And the wind blowing right on them. So she turned around, walked back a little piece, all three of them.
And here she come back again, walked right up to me. I never moved, just stood there. I said, "Go on out into the woods; I love it too. Live. (See?) Your life is in my hand, but I'll spare you. You couldn't get away; you know you couldn't." I can kill all three of them in--in just about one second, three seconds anyhow, just as fast as I could fire; and they couldn't get away, standing right by me. See? I said, "I spare you. Go on; live." I stood there. They went walking on, went on into the woods.

149 I wiped my face like that, and just then something happened. A voice spoke out just as clear, right out of them blue skies, not a cloud. It all been within just about--just a little bit of time. And a voice spoke out, and said, "You remembered your promise, didn't you?"
I said, "Yes, Lord."
He said, "I'll remember Mine too. I'll never leave you nor forsake you." The burden left my heart. It hasn't been there since. May it never again.
Then I come to Tucson. Strange thing, I have never had so much happening since I've come down. I--I believe it was God holding for that hour. I believe the time is now at hand where something must take place.

153 If we only could receive this truth. Now, just a moment. If we only could realize what this Scripture means, "He that is in you is greater than he that's in the world." We can't understand that, yet we say we believe it. And we know it's true, but we really don't understand it. "Greater is He that's in you, than he that's in the world." What is in you that's greater? It's Christ, the anointed; God that was in Christ is in you. "Greater is He that's in you, than he that's in the world."
Then if He is in you, it's not you any more living; it's Him living in you. See? It's not your thinking and what you would think about this; it's what He said about this. See? Then if He is in you, He absolutely would not deny what He said. He couldn't do it. But He would keep what He has said, and He's trying to find that person that He can vindicate Himself through.

155 Now, that doesn't mean He has to do it to everybody. In the time that Moses led the children of Israel, there was one: that was Moses. The rest of them just followed the message. See? Some of them tried to rise up to impersonate it. And God said, "Separate yourself," and just swallowed them up. See, see?

156 Now... But He that's in you is greater than he that's in the world. God in you, like He was in Jesus Christ, because what all God was, He poured into Christ; and all Christ was. He poured into the Church. See? That's God in you. "He that's in you..."
No wonder winds and waves obeyed Him, obeyed His Words, obeyed His Words, because It was God's Word through Him. He was a man, but He was the Word made flesh. See? And when He spoke, it was God speaking through human lips. See? No wonder the winds and the waves... The very Creator that created the winds and the waves was in Him. Now, think of it. Think deep now, 'fore I come to this moment of closing. No wonder demons paralyzed at His Word. It was God in Him. It was God in Christ. The demons was paralyzed. No wonder the dead, that was turning back to the dust, could not lay there at His Word, for He was the Word. He said to Lazarus, after being dead and stinking four days (His face, nose, had fell in, in that much time.), "Lazarus, come forth." And a man, dead, raised up on his feet. Why? It was God. He that was in Christ was God. The dead could not stand in His Presence. It was God in Christ.

158 The wind... Now, remember, God created the winds; it's air. God created the waves; it's water. But when the Devil got into it, he got it tumbling to bring destruction. God created men to be sons of God, but when the Devil gets into them (See?), it's trouble. Now, that was the Devil that got into the winds that sent that storm. Couldn't the Creator that created the wind, say, "Go back, where I created you"? Isn't that the same Creator was standing on Colorado hill the other day? See? Isn't that the same One that could take a piece of fish and break it, and another piece grow on? He didn't actually have to have that. He could've said it. Isn't that the same Creator that created squirrels? Then He that was in Christ is in us. See? For It does the same works He did, the same thing. The dead could not stand in His Presence at His Word.

159 Look, we have five bonafide statements of people dead, and the Lord giving vision, and going to them and raising them back. Here sets one right here now, that died right where he's setting right there. And here he is alive. Now, he fell in a heart attack. There's his wife, a nurse. We went down; and everything was gone, his eyes was set and gone. Here he is alive. See? For greater is He that's in here, in us, than he that's in the world. See?

160 Greater is He. It's God the Creator. The winds and the waves had to obey Him. Demons become paralyzed. All nature obeyed Him, because He was the Creator of nature. Oh, when we think that, it takes the bite out. Then we understand these things. You see? What is it? It isn't man. Man cannot do that; man's part of the creation. See? But it's the winds and the waves that obeys the Creator. See? And it takes the Creator to do it, "For He that's in you is greater than he that's in the world." He that can cause the turmoil, that's he that's in the world. He that's in you is the Creator Who made the wind; He can rebuke the Devil out of the winds, and there's a calm. He can rebuke the Devil out of the storm, and there's no storm. He's the Creator; "and greater is He that's in you, than he that's in the world."

161 See, the Devil is of the world. The world belonged to him. It's always been his. "Why art thou fallen, O Lucifer, the son of the morning?" See, this world belonged to him. That's when he kicked out of heaven, he come back to it. See?
He was the one who said to Christ, "These kingdoms are mine; I'll do with them as I will." They belonged to him, and he's the one that's in the world.
John had just told the disciples, "You've heard of antichrist who is to come, and is already here working in the children of disobedience; but little children, you're not of this world. You're of God; and greater is He that's in you, than he that's in the world." That's Christ in you.

164 He that--that created the heavens and earth, was made manifest in the Person of Jesus Christ: God in Christ, reconciling the world to Himself. That say... You say, "That wasn't the Son of God though, Brother Branham." All right, let's find out if He's the eternal everlasting God.
Greater was He that was in Joshua than the sun. And Joshua was a man, sin-born like you and I. And greater was He that was in Joshua than in the sun that was running by the commandment of God. God commanded that sun to shine and turn itself around, and it's governed and controlled by the laws of God. But greater was He that was in Joshua than the laws of God was; because the Creator Himself was in Joshua when Joshua looked up to the sun and said, "You stand there where you're at. And moon, you hang there where you're at till I finish this battle." And the sun and the moon obeyed him, for He that was in Joshua was greater than the--the sun and the moon: He that was in Joshua.

166 He that was in Moses was greater than Egypt. Egypt was the mighty armies of the world; they had the world conquered at that time. But greater was He that was in Moses than Egypt was, because Moses overcome Egypt. Greater was He that was in Moses than even nature itself. Did you ever think that God took His Word and give It to Moses, and said, "Go out there and command that the sun don't shine." And the sun was pitch dark. Is that right? He can make the sun to shine and the clouds to go back, or He can make the sun to be black. He's God; He can do whatever He wishes to, and He is in the believing child. Amen. That's it.

167 There wasn't a flea in sight. It might've been wintertime; there's no flies, but God said to Moses, "Go, speak My Word. Now, I'll put in your mind what to say. And you go out there and pick up some dirt off the ground, and throw it up into the air, the dust, and said, 'Let there be fleas.'" And fleas was crawling, probably several inches deep all over the ground in a few hours. Is that right? The Creator...
There wasn't any frogs, so he stretched out his rod, and said, "Let there be frogs." And they were everywhere, piled up, till the whole land was stinking. Is that right?

170 When he come to the Red Sea and it was in his way, God said, "Speak to the sea." And Moses spoke to the sea; and greater is He that was in Moses than the sea was itself. Is that right? Oh, my. Now, you see, greater was He that was in Moses than he that's in the world. Greater is He that was in Moses than any nature there is in the world. He commanded nature at... Whatever God told him to say, he said it, and that's the way it was.
That same God is with us tonight, not only with us, but in us. He's proved He was in us. "Greater is He that's in you than he that's in the world." What are we afraid of the world?

172 Here the other day they had found a--a--some kind of a dinosaur tooth up here around... of... I guess you all heard about it, up here at the Niagara Falls. Said, "It weighed six pound." I thought they was going to say it come out of a man, but I--I think they finally defined it as some kind of a prehistoric animal. Those animals probably lived one time on the earth. Where are they now? Do you know, God Almighty could command dinosaurs to come upon this earth; in the next hour, they'd be forty miles deep. You know, God could destroy this world with fleas? He could call for fleas. Where do they go when they die? What happens to the housefly? Whatever happens to the grasshopper? Wintertime comes and goes forty below zero; and go out the next spring, grasshoppers all over everywhere. Where did they come from? He's the Creator that speaks it into existence. He's God. Nature obeys His Word.

173 Where many of our brethren gets excited, they get impressed that God says do a certain thing, and they say it's THUS SAITH THE LORD when it isn't. That's the reason it don't happen. But when it's God really telling you, it's got to happen; it's got to be that way. When God speaks it, it has to be.
Greater is He that was in Moses than he that was in Egypt. Greater is He that was in Moses than anything Pharaoh could do (all of his enchantments). Greater was He that was in Moses than the he that was in the magicians. See? Greater was He that was in Moses than all nature.

175 Greater... He that was in Daniel, was greater than the lions. He could stop them hungry lions. So anything you can stop anything is greater than what he stopped. So the lions rushed out, hungry, to eat Daniel; and greater was He that was in Daniel than he that was in the lion.
Now, when the lion was first created, he was a friend of man. It's the Devil that makes him do that. That's right. In the millennium, the wolf and the lamb shall feed together, and the lion shall eat straw like the bullock and shall lay down with the bullock. They'll not hurt or destroy in the millennium. The Devil will be gone. It's the Devil that makes wild beasts tear, and rip and eat, and things like that, the way they do. It's Satan that does that. But greater was He that was in Daniel, than he that was in the lion. See? Greater was He in that prophet, than he that was in the lion.

177 Greater was He that was in the Hebrew children, greater was He that was in them than he that was in the fire. For they was throwed into the fire; and He that was in them, was with them and kept the fire from burning them, when the furnace was het seven times hotter than it ever was het, heated. That right? Greater was He that was with the Hebrew children than he that was in the world.
There set Nebuchadnezzar, or Belteshazzar, Nebuchadnezzar, I believe it was, that had the furnace het seven times hotter than it ever was. Inspired by the Devil to take these people because they were standing for the Word of God, and throwed them into this furnace (seven times hotter than it ever was), and it couldn't even burn them. For greater was He that was with Shadrach, Meshach, and Abednego than he that's in the world. Absolutely. Oh, my.

179 Greater was He that was in Elijah than the brassy skies was, 'cause he could bring the rain out of a brassy skies that hadn't rained for three years and six months. Greater is He that was in Elijah than death, for when it come time for him to die... God seen that old, tired prophet, he'd been rebuking Jezebel and all of her paint and modern things, and he was kinda tired, so He didn't even let him walk home like He did Enoch; He sent a chariot and picked him up and took him up home. Greater is He that was in Elijah, than he that was in Jerusalem, in Judaea, and in the mountains; greater was He, is in Elijah than death itself. Greater is He that was in Elijah than the grave; 'cause he escaped the grave; he escaped death; and he just went up home in a chariot. See? Greater was He, and He was in Elijah.
You say, "Oh, well, that was a great man." Wait a minute. The Bible said he was a man that had like passions like you and I. That's right. But when he prayed, he believed he got what he prayed for; what Jesus said to us, "When you pray, believe that you receive what you ask for; it shall be done." He prayed, earnestly that it wouldn't rain, and it didn't rain for three years and six months. See? Greater was He that was in Elijah than nature.

182 Then what about healing the sick? See? Greater is He that's in you than the sickness. See? Because that's a interruption, interrupting the very laws of God, sickness is. Where greater is He that's in you, that's the Healer and Creator, than the--than the Devil that's interrupted the very program of your life. "Greater is He that's in you than he that's in the world." See? Greater was He that was in Elijah. Greater was He in Isaiah than time was; or any of those prophets, because they seen apast the time. See?
Greater is He that was in Job than even the skin worms, and death and the grave, because by vision he saw the coming of the Lord, and said, "My Redeemer liveth, and at the last day, He'll stand upon the earth; and though after my skin worms destroys this body, yet in my flesh shall I see God." See? Greater is He that was in Job, than death. Great... 'Cause death tried to take him and it couldn't do it. It couldn't do it because he said, "I'll rise up again." And he did. He did.

184 Listen, wish we had time to go further on this. But I'd like to ask a question, that I heard remarked the other day, about Christ in you. Now, don't--don't go rest upon something that you've done, say, "I felt a little shiver. I--I--I spoke in tongues. I--I danced in the Spirit." Nothing against that now; that's all right (See?); but--but don't rest upon that. See? Your life's got to be This. This is It. You and This has to become one. See? And then This manifests Itself. See?

185 Now, what if--what if tonight that you could say with all your heart, that the spirit of Shakespeare lived in you, that Shakespeare lived in you? You know what you'd do? You'd do the works of Shakespeare. You'd--you would--you would create poems, and--and plays, and so forth, because Shakespeare was that type of an artist (a great writer, a poem writer). Now, if Shakespeare lived in you, the works of Shakespeare you would do. Is that right?
What if Beethoven lived in you? What if Beethoven lived in you? You know what you'd do? You'd write songs like Beethoven, the great composer. You'd write songs like Beethoven, because Beethoven would be your life. You would be a Beethoven reincarnated again. If Beethoven lived in you, the works of Beethoven you would do, 'cause Beethoven lived in you. Is that right?

187 But He that is in you is Christ. And if Christ is in you, the works of Christ you'll do, if Christ lives in you. He said so, St. John 14:12, "He that believeth in Me, the works that I do shall he do also." If you was in Christ, or if--if Christ lived in you... Then Christ is the Word. Is that right? And the Word come to His prophets. See? And if you--Christ lived in you, the works of Christ would be done through you, the Life of Christ would be lived through you. The works He did, the life He lived, and everything, it would live in you, just like if Shakespeare, Beethoven, or--or whoever it was, lived in you.
If His Life... But if you still living your own life, then your own works you'll do. See? But if you're living the Life of Christ, if Christ is in you, "He that's in you is greater than he that's in the world." If your doubts and flusterations about God's promise is in you, then Christ isn't there. See, you're only worked up. But if the Life... If Christ is living in you, His Word He will recognize and His promise He'll do. See? He'll do.

189 "When thou prayeth, believe that you receive what you asked for, and it shall be given to you. If you say to this mountain, 'Be moved,' and don't doubt in your heart, but believe that what you say will come to pass, you can have what you say. The Father worketh, and I worketh hitherto. Verily, verily, I say unto you, the Son can do nothing in Himself; but what He sees the Father doing, that doeth the Son likewise." See? And when the Father showed Him what to do, walked out there without a failure of anything, and said, "Let it be," and it was. And that same Christ lives in you and lives in us. Then His works we'll do, because Christ is the Word. And a promise of the Word brings healing to you. Do you believe that? Sure.

190 He said, "I will not leave you comfortless," as I pray--asked awhile ago there in Matthew 24 (See?), or Matthew 28:20. See? He said, "I will come to you, be in you. I (the Person, Christ in the form of the Holy Ghost) will come and live in you. Then you won't be your... You won't be yourself no more; I'll be in you. And greater is He that's in you than he that's in the world." See? Hebrews 13:8 says He's the same yesterday and forever.

191 He that was in Noah was greater than the judgment of water. And He that's in you is greater than the judgments of fire. See? He that's in you is greater, because He paid the judgment and conquered the judgment for you. See? There's no fear about it. See, you're in there. Yes. Greater is He that was in Noah, than he that was in the judgments of the water that destroyed the world which believed not, because Noah believed. And greater was He in him that believed Him that spoke to him, than he that was in the world. That Noah escaped all the judgment because of the Word of God was greater than that, and he lifted above the judgment. Greater; how we could hang on that for a while. See?

192 Greater is He that was in David than the bear that stole his sheep. Greater was He that was in David than the lion that come in and took one of his lambs. Greater is He that was in David than the enemy Goliath, the great Philistine that stood there some twelve, fourteen feet tall, with fourteen-inch fingers on him, with a spear like a weaver's needle, and covered all over with two or three inches thick of steel, or metal, brass. But what was in David was greater than what it was in him. He was power and muscles. He was a warrior. He could just--said he'd pick up David by the end of his spear and hang him up, and let the birds eat him.
And David said, "You meet me as a Philistine in the name of a Philistine. You curse me in the name of the Philistine god." And said, "You made your brag what you'll do. You meet me with an armor and a spear. But I meet you in the Name of the Lord God, and today I'll take your head from your shoulders." And he did it, because greater was He that was inspiring David for that courage.

194 Greater is He that's in you than that wheelchair. Greater is he that's in you than that stretcher. Greater is He that's in you than that cancer. Greater is He that's in you than that affliction. Greater is He than anything that there is the Devil could put on you. "Greater is He that's in you than he that's in the world." Greater is He. Yes.
Greater was David--what was in David, God in David. He is in us; that's the Christ. He was the Conqueror of every enemy for us. When He was here on earth, He conquered sin, He conquered sickness, He conquered death, He conquered hell, He conquered the grave; and now He lives in us as a Conqueror. He conquered sickness, hell, death, grave, and come to us to set us free from all of those things. And greater is He that's in you than he that can put these bluffs over on you. Yes. "Greater is He that's in you, than he that's in the world."

196 That's how these miracles happen. That's how that wind ceased, the other day. Could a human being do that? No, sir, it's impossible. When I stood there crying, and them waves a-ripping and... How many's in here, was up there? Let's see you raise your hands. Raise your hands up, everybody was up there that--up--up in Colorado then there at that time. All right, Brother Fred, I guess, is the only one that was present then. I thought maybe Brother Mann was here, but he... Brother--Brother Evans, wasn't he? Brother Evans was up there that time. Yeah. All right. And... Yeah.
Notice. Isn't that the truth? Isn't that the way it happened, the rains just ceased and the winds ceased to blow? What was it? At my word? No. Because He told me to do it. And greater is He that's in us than any nature. Isn't that the same God that could still the waves on the sea to make the winds go back to their place? Isn't He the same One that could darken the sun, could make the sun shine? "For greater is He that's in you than he that's in the world." See? All right.

198 Now, that's why these true miracles can be done, because it's a promise of God: "The things that I do, shall you do also," St. John 14:12. He, Christ, that stilled the winds and the waves, is the Creator of them. He's still just as much Creator as He was then; He's the same yesterday, today, and forever. He healed the sick, and destroyed sin, and changed it all for you, and come to you that He might dwell with you. He conquered all these to come and live in us. He is that Conqueror that's already conquered these things, proved it in the Scriptures, come back and conquered everything, and proved to you that He is the same God; and after nineteen hundred years, here He's still doing the same thing among us that He did then. He conquered death, hell, sickness, and the grave.

199 This Christ, this He, He is... He that's in you; He is Christ. As John said, "He that's in you is greater than he that's in the world." That was Christ. He is greater than all of the world because He conquered the world, and is the greater than all those things because He conquered it for us; and we are more than conquerors through Him that loved us and gave Hisself for us, that He might come back and do His works through us to prove to us that He is the same yesterday, today, and forever.
When He was on earth He proved, when He stood among the people, He was Messiah. He could discern the thoughts that's in their heart. And the Bible said, Moses said that He'd be a prophet. Is that right? He knew the secrets of the heart. He knew who the people were. He knowed what was wrong with them. Have we seen that done? Time after time.

200 We know that the dead has been raised, right from the dead. Some of them's been dead for a day and a half, or died one morning and they brought it back that night, and traveled all night and the next day about noon, or a little after noon that come in to where the tent was, a little dead baby, cold, and laying in the mother's arms. See? And the Lord God spoke the Word of life, and that baby warmed up and started crying, and hand it back to its mother's arm.
Mrs. Stadsklev standing there to see that done, that's the reason she cried so for her baby, wanted me to fly to Germany. But the Lord said, "That's My hand; don't you rebuke that." See, He knowed better. When He told Moses, said, "Speak to the rock; don't smite it." That meant speak; don't smite it. See? You got to obey what He says do. But no man can do nothing in himself. He's got to hear it first from God.

202 Now, the Word of God promised that He lives; and because He lives, you live. He promised that "The works that I do, shall you also; the same things, only more of it, will you do, because I go to the Father." He conquered all things. He's the One that stopped... He's the One that made those squirrels. That happened two times. Happened once down at your place, Charlie. And it happened; it happened up here, when brethren, Brother Fred and Brother Banks, and them up there with us.
It's happened in Germany when them fifteen witch doctors, on each side of me, said... Because Billy and Brother Arganbright wouldn't let them--let them see me, they said, "Well, we'll cause that tent to blow away." And they set down there with their enchantments, and called on their god the Devil, and here he come with a storm. About thirty thousand, forty thousand Germans out there, and that tent just raising up and down like this... Them... And then cut a--took a scissor and cut a feather, and pointed it back like that. And setting there, going through all of their enchantments and saying the three holy words, they say, "The Father, the Son, the Holy Ghost; wo-loo-loo-loo-loo-loo. The Father, the Son, the Holy Ghost; uhhhh," going like that, and actually the storm come up, sure. "He's the prince of the powers of the air," Satan.

204 And they called the storm, and I... Even that great big tent, setting out like that... Oh, my, cover about a city block; and it built up, built out of two-by-four's, and just canvas tacked over it. The wind got under there and just raised it, like that. That wind and lightening a-flying like that, I just continually preached.
And oh, they just going into a big enchantment, going on and on like that, saying those little holy words. They said, "The three high holy, words: Father, Son, and Holy Ghost," on both sides like that. Then I seen him bound, surrounded by devils there, but not bound.
And I said to Brother Lowster, "Don't interpret this."
I said, "Brother Arganbright, just pray."
I said, "Lord God, Creator of heavens and earth, You sent me here; I set my foot on this German soil in the Name of Jesus Christ because You sent me here. And that cloud has no power over me. It does not, because I'm anointed and sent here for the salvation of this people. I command you in Jesus' Name to depart from here."

209 And the thunders going, "Bang, bang, bang, went grrrrrr," and rolled away; and right straight over the tent, blowed back, and the sun shined out.
And within ten minutes, there was about ten thousand around the altars and things, screaming for mercy to see the power of God. Why? "Greater is He that's in you than he that's in the world." See, see?
"Greater is He that's in you than he that's in the world." See the afflictions and the thing... Oh, brother, sister, we have not one worry at all. The greatness is God, and He is in you. Do you believe that?

212 Now, I've went way overtime. It's fifteen minutes about after nine. And I know there's people, a long way to drive. Let's bow our heads just a moment.
O Father God, Thou knowest about Colorado. You know those things are true, and I say it for Your glory, that these people might know after all the scientific proving of the pictures and of the works of the Holy Ghost. And, Lord, Thou knowest that it--that I plainly stated to the people, and always do, that it's because You promised it. And You're here, trying to find someone that You can confirm Yourself through, to let others see that You live and You are the same yesterday, today, and forever. I pray Thee, Lord, to be merciful and to guide and direct us in our thoughts.
There are those setting here who are sick and afflicted. There are those who perhaps may die if they don't get help from You. Many of them, perhaps, is at the end of the road where the doctors cannot help no more. Thou art God, and You're the same yesterday, today, and forever, and Your Presence is here.

215 And, Lord, we don't know what this Third Pull, as we have referred to it, will be. I don't know what. But we know one thing, that the First Pull was perfection. The Second Pull, being the five, was grace. And, God, I pray tonight that You will reveal Yourself to us, that after these things, saying, "He that's in you..." And You said, "The works that I do, shall you do also," and said You did nothing till the Father showed You.
And we seen what You did when You was able to tell Apostle Peter who he was, what his father's name was, and tell the--Nathanael what his mission was, how he come to be there, where he was beforehands, what he had done; told the woman at the well of her sin and what she had--living in this adultery with these six men, five she had had, and one she was living with now was not her husband. Thou art still the same God.

217 You told... It was Bartimaeus' blind condition as he stood there; but yet, in his heart he had a sight that he could see that if that was Jehovah manifested in the Sonship of Jesus Christ, that He was able to know his cry. And he cried out, "Thou Son of David, have mercy on me." And it stopped You, and You turned and healed him, O Father, telling him that his faith had saved him.
That little anemia woman, that through this blood issue and the change of life... And for many years it could not stop. She had spent all of her money for doctors, and none of them could help her. She came to one of Your meetings as You was talking to the men there at--at Galilee, as You was on Your road to Jairus' house. This little woman had said within her heart, without a Scripture behind it, "If I can only touch His garment, I--I believe that I'll be made whole." And she got her desire when she touched Your garment. And You told her that her faith had did this, described her wants, and she was made whole.
We're told in the Word that You're a High Priest, that's setting on high, ever living to make intercessions. And--and also that You, being the High Priest at this time, that could be touched by the feeling of our infirmities. Lord God, grant that every person here tonight may be--have the privilege of touching You tonight, the great High Priest, and be made well. For the glory of God, I ask it in Jesus' Name. Amen.

220 Now, I don't... Is there prayer cards? I--I told Billy not... Is anybody got a prayer card? All right, that's right; I told him not to give them out. I thought maybe I'd get a little long, as I... Oh, I just talk so much. But look... See? And you told me, when I said, "I'll try to be out eight-thirty," you laughed, and I--I knew you knew what you were talking about. And I--I... But I--I love you.
See, what it... What I'm trying to do, I've always tried this, friend; never for somebody to say, "Brother Branham did this." Brother Branham can't do nothing. See? It's Jesus Christ. And He that's in me is in you. You just have to believe. Isn't that right? See? He that's in you is greater than your disease.

222 Now, how many people in here is sick in their body, don't know me, but you believe that you have faith enough to touch the High Priest, raise up your hand, say, "I believe it." All right. Oh, there's practically everywhere, hands. All right. How many in here that knows me and knows I know nothing about what you have need of, and you want God to touch you, raise up your hand. See, see? All right.
Frankly, there's nobody in here that I know anything about, right at this present time, of being sick, but this boy setting here, I know him. I've prayed for him many times. I can't think of his name, but he's from down in Kentucky. He writes to me all the time, personal friend of Brother and Sister Wood and them, and comes up there. And he's attended the meeting for a long, long time. That's the only person that I know.
Now, Brother Dauch, as far as I know is all right or he wouldn't be setting here. He was very sick the other day, and the Lord healed him.
I don't know this person. I don't know who it is has these crutches here, maybe that person in the chair. But I--I don't know. And I--I know lots of you, but God in heaven knows; at this time I don't know what you want. I have no idea.

226 It's kinda hard here in the Tabernacle, 'cause (See?), I know a lot of people. Now, here's what it is. When you come to a place... Now, I come here sometime and I say, "All right, we'll give everybody a prayer card and line them up. Come up on the platform." Somebody will go away... Now, you can't... You... Now, friends, I'm going to open up my heart and tell you something. You can't hide that. Just what you're thinking, I know it. That's right. I know what you're thinking. See?
And sometimes you say, "Brother, I believe." Why, why, you believe to an extent. See, see? I know. And you're right here, when I... Just right now, the anointing's just coming upon me (You see?), and I can just feel that pulse, like a-beating (See?), a throb from different places. See? But now, don't--don't no more disbelieve. Believe the--all the message. Believe that it... If it isn't--if it isn't written in the Bible, then don't you believe it. But if it is in the Bible, then the Holy Spirit that's living in us is duty bound to perform that, if we believe it. Is that right? I know it's hard. See? Nothing comes easy.

228 It was hard for Him to die that this might be produced to you. It was hard for Him to go to Calvary. He wanted to stay, even so much till He cried, "Not My will, but Thine be done." See, see? He don't want to leave; He was a young Man, and He had His brethren. He loved them just like I love you. But He--He couldn't live and them live also; so He died that we might live. That wasn't easy. He had to do it. Look what a death laid before Him. "Father, the hour has come. And shall I pray that You take this cup away from Me?" No, He didn't want to do that; He wanted God's will to be done.

229 Now, look, if you believe that same thing... Now, don't--don't--don't shadow it at all. Just believe it; just absolutely believe it. Don't doubt; and believe it.
If I bring the people up in a prayer line, and I say, "All right, now this person, you know I don't know you."
"No, that's right, Brother Branham."
Then right out there you'll catch somebody that says, "Uh-huh, but he's reading what they put on that prayer card: telepathy." He just verily will do it.
Then I say, "All right, now this Sunday we're not going to give out any prayer cards. I want everybody here that's a stranger, never was in here before, you stand up." See? And--and then the Holy Spirit will turn right around and discern what was all in them. See? Is that right. You see it both ways.
"Oh, well, there's something wrong with that." See? See, there--there's no way, you--you--you can't... See, as long as Satan can get possession, he'll just make you believe anything. See? And he'll show you every fault that I've got, and I got plenty of them he can show you. Don't you look at that. Don't you look at that; I'm a man. See? But remember, this Word of God is the Truth and I'm trying to live by It.

235 If I go out here and start doing things wrong, that's not right, sinning, and drinking, and--or smoking, or--or doing things that's not right, you--you come, call me down, 'cause that--that ain't becoming. I--I want then to leave the world. I don't... I want to leave before that happens. See?--I don't want to do that.
But as long as I'm trying to live what's right and do what's right (See?), and try to live like a Christian ought to, and then let God take His Word and hearing me stand by It... Though It cost me so many friends and popularity of the world, and things like that, and hated by many, and denomination's kicked out, yet I want to be true to this Word. It's God's Word. And I love God. So it's God's Word. And I--I tell you that He is the same yesterday, today, and forever. And He is in us now.

237 And if the... Now, if the life of Shakespeare was in me, living in me, if Shakespeare lived in me, wouldn't I do the works of Shakespeare? If Beethoven is in me, wouldn't I do the works of Beethoven? If the spirit of Dillinger was in me, if John Dillinger live in me, wouldn't I be a John Dillinger? If Beethoven was in me, I'd be a Beethoven? See? If Castro was in me, I'd be a Castro? See? And if Jesus Christ is in me, His works I'll do, because it's Him. And didn't he say that same thing would take place? See?

238 Now, what would He do if He was standing here, if He is the same yesterday, today, and forever? He'd say, "I can only do what the Father shows Me to do." Is that right? Well, that's the way He did it yesterday. Now, is He the same? What about the sickness? Your price is already paid. Every one of you is already healed of your sickness. Is that right? For that... Every one of you is forgiven, but you have to accept it. Every one of you is healed, but you have to accept it.
Now, to prove that He is the same yesterday, today, and forever, if He was standing here, He could not heal you at all with your unbelief. You'd have to believe it, just the same as you have to believe it right now. It'd have to be the same (See?), 'cause many mighty works He could not do in His day because of their unbelief. Is that right? Many mighty works He can't do today because of the unbelief.

240 Now, who was it could foretell that? God. Who was it that said this? God. Who was it that did that? God. Who is it that said where the bear, deer, and caribou, all these other things, and the seven--oh, all these things that's happened? Who was it said that? He, Christ, that's in us, prophesying Himself through us, revealing Himself that He is the same yesterday, today, and forever. Who stopped the winds? Who created the squirrels? The same One that created a ram for Abraham, when he called Him "Jehovah-jireh." Them compound redemptive Names still apply to Him. He's still Jehovah-jireh, "the Lord can provide for Himself a Sacrifice."

241 Now, each one of you, I--I want your deepest of sincerity now. If you will actually believe with all your heart, there won't be a feeble person in the midst of us by the time that clock turns five more minutes. There won't be a person here but what'll be on their feet well, if you'll just believe it. Can you believe?
Now, let's just see now if He will come to us and reveal Hisself, while we bow our heads.
Lord Jesus, now You help me now. And I'll obey You, Lord, all I know how. Forgive my sins and trespasses...?... I pray in Jesus' Name. Amen.

244 Now, let's take this side here, someone in here. Believe; have faith; don't doubt. Somebody that doesn't know me, if possible, I can't say where the vision's going. I just have to watch for it. And if It does do that, then you know it, whether it's true or not. You just believe and don't doubt. And if He'll do it, will you believe (See?), after all this that's been done today? See? Just accept your healing. See? Say, "Lord, I am now touching Jesus Christ. I'm believing." Now, may the God of heaven grant it.
"Greater is He that's in you, Christ, than he that's in the world." Now, in the meeting where we touch Him, He reflects Hisself back, as the woman touched God through Christ and reflected back her need.

246 I see now over in a corner here, it looks like it's a man; he's very seriously. No, it isn't; it's a woman praying for a man, and the man is not here. But it's a woman. I see that that woman... It--it's her--her father, and he's dying with cancer, very seriously. The man's not here. He is in another place; it isn't this country even; it's... He's in Georgia. Keep praying. You believe with all your heart now? Just keep praying for me. The woman's name that's praying is Mrs. Jordan. She's not from Georgia; she's from North Carolina. If that's right, lady, stand up on your feet, all the truth. Was you praying for such? All right. [The woman speaks to Brother Branham--Ed.] You believe that He that's in you is greater than he that's in the world? You believe that He that...

247 Look, here's something else, you've had a great training in your early days, or something another, because looks like you're mixed up or in some kind of a creed. Isn't your father a minister or somebody like that, some of your people, or something? Your husband, that's who it is. I can see someone standing by you preaching the Gospel, and you was in a church; he was connected with you. All right, there you are.
Now, the lady I don't know, but God knows the woman. Now, have you got something in your pocketbook, a little handkerchief or something there? All right, then you pla--when you set down, put your hands on that handkerchief and don't doubt, and He that's in you is greater than he that's killing your daddy. Believe with all your heart, so shall it be as you believe.

249 Now, I want to ask you something. I don't know that woman. As far as I know, that's the first time, I guess, I ever saw her. But she's setting there in a desperate condition, praying. And the very God that could turn and tell the woman about her blood issue, is the same God that's here; showing that He that's in you has conquered the world. You believe? If you just have faith, don't doubt...

250 Talking of cancer, I see that black shadow again. It's over a woman setting right here. She has cancer of the throat, and she's in a bad shape. And she has been prayed for, and trying to accept her healing. Mrs. Burton, if you will believe... I don't know the woman, but if you'll believe with all your heart... Really, the thing... Let me explain this to you. What you're trying to do, you've lost your voice from it, and you're trying to pray for your voice to come back. Is that right? Wave your hand like this. Now, the woman's a stranger to me. I don't know her. See? See, that's right. There--there she is. See? Greater is He that's in you, the faith that can touch Him, than he that's in your throat. You believe with all your heart?

251 Sister Larsen, I do know you. She's my landlord. But Sister Larsen, you've been to a doctor or something--something another. You're up for an operation. That's right. Isn't that right? Greater is He that's in you, Sister Larsen, than he that's in the world. Jesus said, "I was a stranger, and you took Me in. Insomuch as you have done unto least of these, My little ones, you have done it unto Me." O heavenly Father, be merciful.
What do you think? You're up for an operation too. You're a stranger to me. Is that right? You're not from here. You know me, but I don't know you. But God knows you. You believe that? You're up for an operation. You don't live here. You're near Bedford, Springville, something like. That's where it's at, Springville. Mrs. Burton... not... I beg your pardon; I didn't mean it. Mrs. Parker, that's your name, isn't it? Greater is He that's in you than he that's trying to kill you. Is that right? Do you believe with all your heart? Then you won't need your operation, if you do.

253 What do you think of all this, sister? I don't know you. You're a stranger to me. You believe me to be His prophet? Oh, you do. Thank you. God will honor that. You're Mrs. White. You come from Fort Worth, Texas. You got a muscular disease, a nervous condition. You've very bad; there's no hopes for you as far as medical science is concerned. Your husband, he has a spiritual need that he's praying over. You got a son there; he has trouble with his back and heart trouble. You got a little boy in his lap; that little boy has some kind of a speech that you're praying over. If that's right, raise up your hand. "Greater is He that's in you than he that's in the world." Do you believe that? With all your heart? With all of it?

254 Now, let's bow our head. Now, He's went through the building. He's proved to you that He's God. "Greater is He that's in you than he that's in the world." It's the Lord God. Now, He that's in you, let Him have preeminences. Let Him have the over-saying of--of what you... You say in your heart right now, if you can with all your heart, and believe it, "The disease that was in my body is gone. (See?) I am no more afflicted. I have no more disease. He that's in me is greater than he that's in my body. He that's in my heart is greater than he that's in my flesh. Therefore, He that's in my heart created the heavens and earth. My flesh has been contaminated by Satan, and I am a temple for the Holy Spirit to live in. Therefore, Satan, I command you to leave my body. In the Name of Jesus Christ, come out of me." See? You believe it?
Now, let us all pray in our own way now, each one, while I pray for you.

255 Almighty God, the Creator of heavens and earth, the Author of Life, the Revealer of the secrets of the heart, You said, "The Word of God is sharper than a two-edged sword, It even is a Discerner of the thoughts of the mind."
That's the reason when the Word was made flesh, It knowed what they were thinking about as He perceived their thoughts; He was the Word, and the Word knowed the secrets of their hearts. And that Word is still the same Word. And tonight we see It revealing Itself in us after two thousand years, because He wrote It on the paper and is here confirming it, showing it, that it's right.
Here lays handkerchiefs, laying here. Sick people are everywhere. I pray that the great Holy Spirit that's present, that shows these things, that tells these things, and never fails till what It's right; not one time can It fail, because It's God. Let Him anoint these handkerchiefs with His Presence, and heal every sick person that they're laid upon. And the God, Who can be alive after two thousand years and can form Himself into sinners' hearts that's been redeemed by grace and faith, and can speak His Own Words through mortal lips, and watch it happen just exactly what He promised...

258 O Lord God, I ask Thee to be merciful to us. And may every man and woman that's setting present, that has any kind of a sickness or affliction; as Moses throwed hisself in the breach for the people, tonight I lay my heart out before You, Lord. With all the faith that I have, that's in You, that You have given me, I give to them. As Peter said at the gate called Beautiful, "Such as I have, give I thee: In the Name of Jesus Christ of Nazareth, rise up and walk." And the man was lame and--and weak for a few moments, but while they held him, his anklebones received strength. And he entered into the house of God, leaping and praising and blessing God.
Thou art the same, yesterday, today, and forever. And His apostles said, "Such as I have, give I thee," was faith. And I say, "Such as I have, give I to this audience: In the Name of Jesus Christ of Nazareth, renounce your sickness, 'cause greater is He that's in you than the Devil that's trying to take your life. You are children of God. You are the redeemed. I command that Satan leave this people."
May the God Who rolled back that storm the other day, the God Who made the winds and the waves to cease, may He see to it that every disease is taken from these people and the power of Christ is made manifest in their life at this hour. May every sinner repent. May every person that's not close to You, get right at this hour. And may it be so in the Name of Jesus Christ.

261 I, as your Pastor, your brother, with what faith I have, I've asked God to place it on you. I believe that I receive what I have asked. Now, if you will believe it with me, with what faith that I have, I give to you for this hour. And now, in the Name of Jesus Christ, the Son of God, renounce your affliction, your sickness, and say to it, "You have to go." 'Cause you have your faith, plus my faith, with the power of Jesus Christ Whose omnipresence is here to vindicate it and prove that He is here, will make you well at this time.
Do you believe that, lady, laying on this cot? Though your muscles be all that, because of sclerosis and things, you can walk if you'll try. And...?... There she goes. Don't you believe? The rest of you, stand up and renounce. Her anklebones received strength.
Now, let's raise our hands and give Him praise. Praise Jehovah God. In the Name of Jesus Christ, we commit ourselves to You for the healing.

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