Expériences

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Date: 48-0302 | La durée est de: | La traduction: BBV
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1         Bien-aimé frè... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] C'était miracle après miracle qui étaient accomplis : les sourds, les muets, les aveugles, les estropiés et tout. Un homme est venu sur l'estrade, complètement aveugle, il a recouvré la vue ; il m'a suivi partout, tournant en rond sur l'estrade, dans l'allée, comme cela. Et un autre homme est venu, aveugle, il a recouvré la vue. Il y avait, oh! quelques trois ou quatre jeunes dames et de jeunes filles, de petits enfants qui avaient des yeux complètement louches, des yeux hideusement louches, et ils ont été guéris là sur place.

Et deux médecins se tenaient là, juste un... tous les deux, à ma droite, ont examiné cela ; ils ont observé cela, ils ont examiné les patients et autres. Et ils sont venus au micro, ils ont témoigné qu'ils... parfaitement... C'étaient des médecins, l'un est un spécialiste de San Francisco, en Californie.

2        Ainsi, Dieu est Dieu. Il est toujours le Grand JE SUIS, non pas le J'ETAIS, JE SUIS, maintenant, le temps présent. Il est-Il est toujours ici pour guérir ceux qui croient. Et il n'y a que ceux qui croient qui vont être guéris, peu importent les circonstances. Il vous faut croire cela.

Si vous voulez... Dieu peut vous permettre, ici même, cet après-midi, de vous lever, et vous marcherez sur cette estrade, puis vous redevenez estropié. Vous pouvez quitter cette estrade en marchant, le doute et l'incrédulité frappent votre cœur, la maladie que vous aviez reviendra sur vous. Et si vous partez et que vous ne Le servez pas, une chose pire reviendra sur vous. C'est vrai. Vous devez servir Dieu avec révérence toute votre vie, en croyant en Lui de tout votre cœur.

3     Et maintenant, aujourd'hui, nous avons beaucoup de temps cet après-midi ; car nous allons prier pour tout le monde qui est dans la salle cet après-midi. En fait, nous en avons le temps. Et puis, avant de partir, j'aimerais prier pour tout le monde, avant de quitter Phoenix. Et je ne vous parlerai pas très longtemps, parce que j'aimerais y consacrer du temps. Vous avez de bons prédicateurs ici. Vous avez un bon groupe de ministres. Et ils prêchent ; moi, je ne suis pas un prédicateur pour commencer. Alors, vous pouvez... Ces prédicateurs peuvent vous parler comme ils l'ont fait ce matin lors des services.

Combien sont allés à l'église ce matin ? Faites voir la main, partout dans la salle. Eh bien, c'est bien. Et combien ont l'intention d'y aller ce soir ? Faites voir la main, partout dans la salle, ceux qui vont aller à l'église ce soir ? C'est bien. Il y a environ le tiers parmi vous qui n'était pas parti. J'espère que vous irez ce soir. J'espère que vous irez à l'église ce soir. Allez à une église quelque part. Ne manquez jamais d'aller à l'église le dimanche. Et... pour la réunion de prière.

4        Nous avons besoin de gens qui n'ont pas d'église ici, qui se débattent. Mon conseil pour vous serait de rester à votre poste de devoir aussi loyalement que possible pour la cause de Christ, et soutenez votre pasteur et tout ce qui- qui-qui se passe, et... pour la cause de Christ. Et faites-le, Dieu vous bénira. Le seul moyen pour vous de pouvoir respecter Dieu, c'est de vous respecter les uns les autres. Est-ce vrai ?

Si vous voulez que quelqu'un dise quelque chose de bien à votre sujet, dites quelque chose de bien au sujet de quelqu'un d'autre ; on dira quelque chose de bien à votre sujet. Jette du pain à la surface des eaux, tu le retrouveras. Comme le frère l'a dit l'autre jour au Canada, il a dit : « Oui, frère Branham a beurré cela. » C'est à peu près vrai. Vous voyez, et si vous le jetez à la surface des eaux, vous le retrouverez beurré. C'est ainsi, car je suis ...?... Faites donc... faites aux autres ce que vous aimeriez qu'ils vous fassent. C'est donc une bonne chose à mettre en pratique.

5         Maintenant, j'aimerais prendre juste un peu de temps pour vous expliquer certaines choses qui sont très essentielles. Et une des choses qui, à mon avis, constituent, à beaucoup d'endroits, des obstacles à nos réunions, c'est le fait de ne pas rester à un endroit faute de temps. Je n'arrive pas à rester assez longtemps à un endroit. Peut-être deux jours, trois jours, ou quelque chose comme cela. Les réunions devraient durer trente jours.

Cela semble être un temps long. Mais voici ce que j'ai remarqué : chaque jour que je reste en un endroit, le lendemain, il y a une foule plus grande avec un nouvel enthousiasme. Et ça augmente jour après jour, jour après jour. Et alors, les résultats de la guérison sont... Oh, il n'y a pas de rapport avec l'autre.

Eh bien, c'est juste comme dans notre série de réunions ici à Phoenix ; nous avons un seul dimanche, le diable a trouvé l'occasion de refroidir les esprits avant que je puisse retourner de nouveau le dimanche suivant. C'est vrai. Il vous faut prendre la chose et frapper là-dessus, et continuer à enfoncer cela. Vous ne pouvez pas tapoter un clou, et puis vous éloigner et laisser les enfants jouer avec cela un moment, et puis revenir le dimanche suivant et tapoter de nouveau. Il vous faut enfoncer ce clou-là, comme cela, le river dans le bois.

6         Eh bien, c'est comme ça avec la foi. Vous devez la faire ancrer dans les gens. Ils vont accourir ici un dimanche, juste pendant quelques instants, ils sont agités : « Est-ce qu'on va prier pour moi ?» Ils vont se précipiter dans une ligne de prière, sans même savoir ce pour quoi ils viennent. La semaine suivante, ils se mettent avec des critiqueurs qui disent : « Ah! il n'y a rien là. Je sais qu'on avait prié pour la femme de Jim Jones. Ça ne l'a pas du tout aidée.» C'est vrai. Ce n'était pas pour la femme de Jim Jones. C'est pour vous qui croyez. C'est pour les croyants. C'est seulement pour les croyants. Et, rappelez-vous, si vous n'avez pas de foi, cela ne vous fera aucun bien.

Maintenant, pour commencer, ce don n'a pas été donné pour faire l'œuvre que je suis en train de faire avec maintenant, dans ces réunions d'auditorium. Ce n'est pas, le plan divin de Dieu que ça se fasse comme ça. Le plan divin pour Dieu, si j'avais l'occasion de rester juste quelques semaines ici pour vous expliquer tout cela... Cela vient par révélation.

Nuit et jour, quand je rencontre cet Ange, Il m'envoie quelque part. Il peut dire : «Va à tel endroit.» Je n'ai jamais vu l'endroit auparavant.

7         Laissez-moi vous donner un exemple, quelque chose comme cela, et vous pourrez comprendre. Il va... J'entre dans une maison tout aussi physiquement que je me tiens ici. Peut-être qu'il y a une dame qui me rencontre à la porte. Elle porte un tricot rouge. Et dans la cour, il y a une vieille houe par terre. J'ai vu cela en entrant par la porte. Il y a une Bible déposée sur la-sur la table de toilette, et il y a quelqu'un qui est couché sur un lit, un estropié.

Eh bien, alors, je me rends à cette maison ; peu de temps après, je trouve le lieu. Quand je vais à cette maison, je vois la houe déposée dans la cour. Oui, la femme en tricot rouge me rencontre à la porte. J'entre. Mais la Bible n'est pas déposée sur la table de toilette, elle se trouve sur un bureau. Eh bien, je ne peux pas dire AINSI DIT LE SEIGNEUR. Je ne peux pas le leur dire jusqu'à ce que quelqu'un prenne cette Bible et La dépose ici sur la table de toilette sans savoir ce qu'il fait. Alors, on peut se tenir là et dire : AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et... [Espace vide sur la bande-N.D.E.]

8         Untel viendra vers moi : « Frère Branham, vais-je me rétablir ? » Je-je- j'espère que ce sera le cas pour vous, sœur. Un-untel autre viendra vers moi : « Qu'en est-il de celui-ci ? Nous entendons mon oncle, mon... oh! » Eh bien, ça vous rend simplement fou. Si vous laissez cela rester tout le temps à votre esprit, eh bien, vous serez aussitôt un malade mental (voyez ?), pas... On ne prendra que quelques heures pour le devenir. Eh bien, alors, je ne sais rien à ce sujet.

Mais dans ces réunions qui se tiennent dans l'auditorium, la raison pour laquelle nous permettons cela, c'est qu'il y a beaucoup de gens. Eh bien, il est très rare que cet Ange envoie, avant qu'un cas... Mais je remarque que, quand Il m'envoie pour un cas, on voit plus de gloire de Dieu que si vous teniez quinze réunions dans l'auditorium. C'est vrai. En effet, vous partez avec l'AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et cela s'accomplit là.

9         Ecoutez. Nous avons beaucoup de temps. J'aimerais vous raconter juste un cas, afin que vous puissiez comprendre. Cela a eu lieu tout récemment. Je vous donne les noms des gens, afin que vous notiez cela. J'étais chez ma mère. Et ceci arrive très souvent. Je priais en chambre. Je n'allais pas rentrer chez moi, car je voulais être seul là. J'éprouvais un désir, je voulais rester seul, j'avais juste un fardeau sur le cœur : prier. Quelqu'un parmi vous a-t-il déjà ressenti cela ? Et je me suis simplement mis à prier. Je suis allé, j'étais-j'étais couché de travers sur le lit, et je me suis endormi. Et je me suis réveillé ; ça devait être vers deux heures du matin. Et j'avais toujours ce fardeau-là. Je me suis mis à prier de nouveau. Et je me suis agenouillé sur le plancher pour prier. J'ai regardé dans un coin comme cela.

Nous sommes des gens très pauvres, et nous avions un... Ma mère faisait d'habitude sa lessive, faisait entrer les habits et les déposait sur une chaise. Je ne sais pas si vous, les femmes, vous avez déjà fait cela ou pas. Mais on les entasse sur une chaise, juste entassés dans un coin.

10     Et j'ai pensé : « Eh bien, pauvre vieille mère, il y a là les habits lavés.» J'ai vu un grand quelque chose de blanc là au coin. J'ai dit : « Eh bien...» Et il m'est arrivé de regarder ces habits lavés. Je n'avais pas vu cela auparavant. Mais on dirait que ces habits lavés se déplaçaient comme ceci en l'air. Eh bien, je me suis dit qu'il faisait sombre dans la chambre, et je me suis essuyé les yeux, et... J'ai alors remarqué... Soit c'est moi qui allais vers ces habits lavés, soit c'étaient ces habits lavés qui venaient vers moi, quelque chose de blanc... J'ai fini par découvrir qu'il n'y avait pas d'habits lavés dans la chambre ; c'était un nuage blanc vaporeux, là dans le coin. Et voilà que ça venait vers moi.

Eh bien, rappelez-vous, comme je témoigne ceci devant vous, un jour je vais devoir répondre pour ces paroles au Jugement.

11     Eh bien, je sais que vous avez prêché sur le fanatisme. Que Dieu bénisse votre cœur, frère ; j'en ai trouvé beaucoup (c'est vrai), du pur fanatisme. Et ce ne sont que les œuvres du diable que d'empêcher tout ce qu'il peut contre Dieu. C'est vrai.

Et cela s'est approché, ça s'est avancé droit vers moi. Et je suis entré dans le nuage ou-ou quelque chose comme cela. Je ne sais pas ce qui s'était passé.

Mais quand je me dirigeais vers cela, j'ai vu que j'allais à une petite maison blanche, située... une petite maison effilée de trois pièces, ou plutôt de deux pièces, construite comme ce que nous appelons une maison Shotgun [maisons effilées dont les portes donnent les unes sur les autres-N.D.T.], et une petite maison effilée.

12     Et je suis entré par la porte de devant, et alors, j'ai regardé à-à ma gauche, il y avait-il y avait un divan rouge pliable. Une vieille mère était assise là, pleurant. Là à ma droite, il y avait un divan pliable, et un jeune homme aux cheveux blonds ondulés était assis là. Une femme aux cheveux noirs s'appuyait contre la porte qui donnait à la cuisine, ou plutôt à l'autre pièce ; elle pleurait. Et j'ai remarqué là, au lit, un petit lit en fer avec affiche, l'un des spectacles hideux que je n'aie jamais vus de ma vie. C'était un petit garçon qui était couché là, portant une salopette bleue en velours côtelé. Et l'une de ces petites jambes était tordue comme ça, au point qu'elle s'était collée contre sa petite hanche. Et la jambe gauche était tordue comme ça. Et chaque bras était tordu dans le sens inverse, contre le flanc. Et quelque chose était placé sur sa petite poitrine ici, et son petit corps était tordu comme ça. Oh! il y avait un... Et son père, un homme élancé et sombre, se tenait là, en train de pleurer sur l'enfant.

«Eh bien, ai-je dit, n'est-ce pas étrange ? J'étais chez ma mère tout aussi... tout aussi... étrange, ce n'est pas...» Vous ne rêvez pas. C'est juste comme quand on a un cauchemar. C'est tout aussi réel que je sais que je me tiens ici à Phoenix, en Arizona, dans cet auditorium, plus que ça. Alors j'ai pensé : « Eh bien, alors, c'est étrange.» Et je commençais à me retourner... Il se tient toujours à ma droite. Et quand je me suis tourné vers la droite, là se tenait l'Ange du Seigneur avec Son... cet Homme qui vient vers moi. Qui est-Il ?

13       Eh bien, rappelez-vous, saisissez ceci. Après que frère Branham sera parti, ne... Je ne connais pas Son Nom. Il ne me l'a jamais dit. C'est un Homme grand. Il pèse plus de 200 livres [l00kg-N.D.T.], je pense, d'après les mesures humaines; Il porte une robe blanche, Il a des cheveux noirs. Et II se tient juste

comme ceci. Il se tenait à ma droite. Alors II a dit : « Cet enfant peut-il vivre ?»

Et j'ai dit : « Je-je... Seigneur, je ne sais pas.» Il a dit «Prie pour lui.»

Le père me l'a amené. Et j'ai posé mes mains sur lui, comme ceci, et j'ai prié pour lui. Il a sauté des bras de son père et il est tombé sur l'une de ces petites jambes tordues. Et quand il est tombé sur cette petite jambe, celle-ci s'est simplement déployée. La première jambe s'est déployée. Et il a fait un autre pas, une autre jambe s'est déployée, la jambe gauche. Et il est allé au coin, il a fait le prochain pas, et son petit corps s'est redressé. Et il est revenu vers moi en marchant et il a mis ses petites mains dans les miennes, en disant : « Frère Branham, je suis parfaitement guéri. »

Alors j'ai dit : « Eh bien, gloire au Seigneur ! »

14     Et puis, cet Ange est revenu à ma droite. Il m'a soulevé, et je me suis retrouvé sur une vieille petite route de campagne. Et je me tenais là, Il a dit... Il m'a montré un cimetière. Il a dit : « Note son numéro.» Et je l'ai fait. Il m'a placé à côté du prochain, et j'étais à un petit endroit où il y avait juste une petite station d'essence et un magasin, un magasin peint en jaune au devant. Et il y avait un vieil homme qui en est sorti, vêtu d'une salopette bleue en velours côtelé, ou une salopette bleue et un képi jaune en velours côtelé, et il avait une moustache blanche. Il a dit : « Il va vous indiquer le chemin.»

Alors, Il m'a fait entrer dans une maison comme ceci, partant du nord vers le sud. Et quand j'y suis entré, il y avait un... Je suis entré, il y avait un vieux réchaud placé là, un vieux four en bois, ce que nous appelions le four en tronc d'arbre. Je ne pense pas que vous en ayez ici en Arizona. Combien savent ce que c'est un four en tronc d'arbre ? Faites... Etes-vous de l'Arkansas ? C'est là qu'on en trouve beaucoup. Combien de gens d'Arkansas sont ici ? Voyons. C'est ce que je pensais. Voyez ? Très bien.

15     Et ils avaient un... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] Les mains, juste là, placées sur eux ...?... Aujourd'hui, on a enlevé ces écriteaux des maisons modernes et on y a placé des photos des jeunes filles nues... Je préférerais avoir un vieil écriteau : « Que Dieu bénisse notre maison.» Pas vous ? C'est vrai.

Et alors... J'ai remarqué que dans un-un grand lit d'airain, là à ma gauche, était couché soit une jeune fille ou un jeune garçon. Son visage était comme celui d'un homme. Mais j'ai pensé qu'il avait de longs cheveux. Il avait des lèvres en forme de cœur comme celles des femmes. Et sa main droite était comme ceci, et la jambe gauche était tordue au niveau des orteils, tordue de côté. Et il... J'ai pensé : « Eh bien, n'est-ce pas étrange ?» Je me suis demandé : « Est-ce un homme ou une femme ?» Et j'ai regardé.

Et j'ai entendu Quelque Chose me parler, et j'ai vu se tenir là... Cet Ange se tenait là, Il a dit : « Eh bien, va prier, pose tes mains comme ceci », droit toutes les deux, juste sur le ventre de cette personne.

16    Eh bien, je me suis dit : « Ça doit être une fille ou un garçon, vous savez ; en effet, si c'était une fille, c'est une jeune fille.» Il m'a dit de placer mes mains de travers sur le ventre de cette personne. Eh bien, je n'oserais pas refuser de faire ce qu'il me dirait. Et j'ai posé mes mains au... sur le ventre de cette personne et j'ai prié.

Et alors, j'ai entendu une petite voix dire : « Gloire au Seigneur!» Et j'ai regardé, j'ai vu cette main infirme se redresser, sa jambe redevenir normale. J'ai vu la personne se lever. Et quand cela s'est passé, son... la jambe du pyjama s'est relevée et a dévoilé le genou rond comme celui d'une jeune fille. Vous savez comment est le genou d'un homme, il est plutôt osseux. Eh bien, le-le genou de la jeune fille était rond. J'ai vu que c'était comme cela sur son... lorsque la jambe de son pyjama s'était relevée. Et elle était parfaitement guérie.

Et à peu près en ce moment, j'ai entendu les gens dire : « Oh ! Grâces soient rendues à Dieu!»

Eh bien, je me suis dit : «N'est-ce pas étrange ?» J'ai entendu quelqu'un crier : « Oh ! Frère Branham! Oh! Frère Branham !»

Je me suis dit : « J'entends quelqu'un.»

« Oh! Frère Branham...»

17 Je-je revenais à moi-même dans la pièce. Je me tenais en plein milieu de la pièce. Je n'avais été nulle part, on dirait, si ce n'était en plein milieu de la pièce. Il y avait quelqu'un qui était entré par la porte. J'ai dit : « Oui, entrez.»

Quelqu'un... Il a ouvert la porte et il est entré. Il a dit : « Qu'y a-t-il ? » Et j'ai dit... Il pleurait. Il a dit : « Frère Branham, vous souvenez-vous de moi ?»

Et j'ai dit : « Non, monsieur, je ne me souviens pas de vous.»

Et il a dit : « Mon nom est John Emmel.» Il a dit : « Il y a environ quatre ans, vous m'avez baptisé, moi et ma famille.» Et il a dit : « Pendant la guerre, ici à l'usine de poudre, vous...»

J'ai dit : « Je me souviens de vous maintenant. Vous aviez tué un homme, n'est-ce pas ?»

Il a dit : « Oui, oui. Je lui avais donné un coup de poing et il s'était cassé le coup lors d'une bataille.» Et il a dit : « Et je-j'avais fui.» Il a dit : « J'avais rétrogradé.» Et il a dit : « L'année passée, mon petit garçon est mort de pneumonie.» Il a dit : « Il me reste un petit garçon, et docteur Bruner de notre ville dit qu'il va donc mourir de pneumonie.»

Et j'ai demandé : « Est-ce vrai ?»

Il a dit : « Oui. Voudriez-vous prier pour lui ?»

J'ai dit : « Oui, oui.»

Il a dit : « Eh bien, je vais prendre Graham Snelling...» Il est maintenant mon pasteur associé au Branham Tabernacle, à Jeffersonville. Il a dit... « Je suis... »

C'était son cousin. « Je vais prendre frère Graham pour qu'il vienne avec nous.» Et il a dit : « L'enfant... » Il a dit : « Savez-vous où j'habite ?»

Et j'ai dit : « Non, non.»

Il a dit : « J'habite à 4 miles [6 km-N.D.T.] à peu près au nord d'Utica, dans l'Indiana.» Et Utica est à 7 miles [12 km] de Jeffersonville.

Et j'ai dit : « Très bien, j'irai.»

Il a dit : « Eh bien, ne prenez pas votre voiture, je vous amènerai à bord de la mienne.»

Et j'ai dit : « D'accord.»

18    Et aussitôt qu'il est sorti, ma mère m'a appelé, elle a dit : « Mon chéri, quel est le problème avec cet homme ? Il ne faisait que secouer et appeler, secouer la porte.»

Et j'ai dit : « Maman, je... Quelque chose est arrivé.» J'ai dit : « Je-j'étais en vision.»

Elle a dit : « Oh, c'est vrai ?»

Et j'ai dit... Elle a dit : « Est-ce une bonne chose ?»

Et j'ai dit : « Oui, le petit garçon de cet homme va être guéri.» Et peu de temps après, il est revenu, je suis monté à bord de la voiture et nous nous sommes dirigés vers l'usine de fabrication de navire... Et je... En remontant donc la route, il a dit...

J'ai dit : « Monsieur Emmel, je pense que c'est vraiment difficile pour vous étant donné que vous êtes rétrograde maintenant ?»

19     II a dit : « Oui, Frère Branham, a-t-il dit, j'ai honte de moi-même. J'avais même honte de venir vous chercher.» Il a dit : « Ça fait environ deux semaines que l'enfant est malade.» Mais il a dit : « Je-j'avais honte de venir vous chercher.» Il a dit : « Et docteur Bruner a dit qu'il allait mourir.» Il a dit qu'il avait quitté vers 2h. On était alors vers 4-4h 30. Il a dit : « Il dit qu'il va mourir. Et il n'y avait donc rien d'autre à faire sinon venir prendre la dernière chose que je sache...»

J'ai dit : « Monsieur Emmel, vous avez dit que vous habitez au nord d'Utica?»

Il a dit : « Oui, oui.»

Et j'ai dit : « Vous habitez dans une petite maison blanche, n'est-ce pas ?» Il a dit : « Oui, oui.»

Et j'ai dit : « La porte de devant donne au sud par rapport à chez vous ?»

Et il a dit : « Oui, oui.»

J'ai dit : « Vous avez un divan rouge pliable dans cette maison-là, n'est-ce pas?»

Il a dit : « Oui, oui.»

Et j'ai dit : « Vous avez la plinthe rouge, ou-ou des contours, comme ceci, la languette, faite en languette...»

Il a dit : « Oui.»

J'ai dit : « Votre enfant a environ... Je dirais environ trois ans et il porte un velours bleu côtelé.»

Il a dit : « Avez-vous déjà été là-bas ?»

Et j'ai dit : « Oui, oui ; pas-pas comme vous le penseriez.»

Il a dit : « Eh bien, Frère Branham, c'est... »

J'ai dit : « Et le-l'enfant respire à peine, n'est-ce pas ?»

Il a dit : « C'est ça.» « Eh bien, ai-je dit, c'est AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre enfant va vivre.»

Il a dit : « Frère Branham ?»

Et j'ai dit : « Eh bien, est-ce... Comment... Eh bien, avez-vous déjà été chez moi ?»

J'ai dit : « J'ai été là il y ajuste quelques instants.» Il a dit : « Eh bien, je ne vous ai point vu, Frère Branham.» J'ai dit : « Non, j'étais... C'était en vision, Frère mmel.» Et il a dit...

J'ai dit : « Mais ne vous en faites pas, votre enfant vivra.»

20   II a freiné sa vieille Ford modèle T qu'il avait, il a passé ses bras autour, l'un autour de frère Graham et l'autre autour de moi. Et jamais de ma vie je n'ai entendu un homme pleurer et se repentir comme cela. Il a dit : « O Dieu, j'ai honte de moi-même.»

Il a dit : « Je ne Te tournerai jamais-jamais le dos, une fois de plus, si seulement Tu me pardonnes.» Et là, il a redonné son cœur à Christ, là à notre... Et nous étions là, à environ 15 minutes, et il pleurait. Et il a senti que Dieu lui avait pardonné.

Et il est monté, il est entré dans la maison. Aussitôt que je suis entré, j'ai vu la maman.

21    Eh bien, c'est là que l'on peut toujours parler, quand il ne le faut pas. Comme j'ai apporté ce cas, c'est là où j'avais failli échouer et provoquer quelque chose. Vous devez veiller à ce que vous faites.

Et-et je-je suis entré dans la pièce, le petit enfant était couché là. La plinthe était là... Le divan pliable se trouvait là. Et cet homme qui était avec moi, frère Graham Snelling... [Espace vide sur la bande-N.D.E.]

Dieu n'est pas pressé ...?... L'homme est pressé, pas Dieu. Alors j'ai dit : « Amenez-moi l'enfant maintenant, si vous avez la foi.» Ils ont am... [Espace vide sur la bande] Et la mère était... C'est à peine si l'enfant vivait. Et le seul moyen de le savoir était de placer un petit morceau de papier léger devant son nez pour voir s'il aspirait et refoulait le souffle par son nez. C'était grave à ce point-là.

Eh bien, j'ai vu son corps déformé, c'était la pneumonie. Il était pratiquement mort, tout ceci était remonté jusqu'ici, et c'est l'unique endroit où il respirait. C'est ce que représentait ce signe, être tordu. J'ai dit : « Amenez-le ici.»

Et ils l'ont amené là. Et oh ! la la ! après que j'eus prié pour lui, si rien... son état s'était empiré. Ses petits yeux étaient fixes, sa langue ressortie, sa petite tête renvoyée en arrière.

Eh bien, je me suis dit : «Un instant, il y a quelque chose qui ne va pas.» Jamais de ma vie je n'ai vu cela faillir, parce que ce-c'est tout aussi vrai que la Bible. Dieu a déjà proclamé cela. Quelque chose... Il n'y a aucun moyen pour vous d'en douter. Vous n'avez pas à demander à la personne. «Si vous avez foi... » C'est déjà proclamé par le Dieu Tout-Puissant. Cela va arriver.

22     Et je me suis dit qu'il y avait quelque chose qui clochait, et il m'est arrivé de penser : « Eh bien, il y a une personne qui n'est pas dans la maison. Et rien n'était en ordre.» Cette vieille mère... il n'y avait là personne en lunettes. Où était-elle ? Eh bien, je me suis dit : «Eh bien, maintenant, cela... »

Et ils ont amené le petit enfant là, et il était tout étouffé, il faisait... [Frère Branham imite le son de quelqu'un qui étouffe.-N.D.E.] Et la maman a accouru vers lui, le père aussi, et ils se sont mis à le réanimer, ils lui ont mis cette histoire au nez, et tout. Et tous deux se sont mis à crier et ils ont abandonné l'enfant seul. Frère Graham s'est mis à le réanimer. Alors... juste comme mort... Eh bien, tout aussi bleu que ce petit corps pouvait l'être, il était étendu là raide, comme ça. Les poumons, déjà... Les poumons étaient congestionnés. Il était même replié, repoussant... ses petites côtes comme cela, là où ses poumons étaient-étaient enflés. C'est ainsi qu'il était couché.

Et je-je me suis dit : « Oh ! la la ! Quelque chose n'est pas...» Je savais que cette mère n'était pas là. Alors, j'ai su que j'avais-que j'avais manqué... je n'avais pas obéi à Dieu.

23     Ils réanimaient donc cet enfant depuis ce temps-là jusqu'à l'aube, le soleil s'était levé. Je n'avais plus dit un mot. Je ne pouvais pas dire un mot. Je ne pouvais pas le leur dire. Mais j'ai vu le divan pliable, j'ai tout vu.

Il était alors temps pour frère Snelling d'aller absolument travailler. Et alors, monsieur Emmel allait le ramener chez lui. Il a dit : « Frère Branham, souhaiteriez-vous partir ?» Et j'ai dit : « Non, non. Je vais juste rester ici.» Et je me suis dit : « O Dieu!» Je priais : « Pardonne-moi. Pardonne-moi.»

24     C'est... Eh bien, vous vous rappelez qu'il y a deux, trois dimanches, je me tenais ici, à la chaire, quand j'ai fait quelque chose. C'est l'unique chose que je... Oh! c'est... Je-je considère le côté humain, j'essaie de suivre ce que quelqu'un dit plutôt que d'attendre voir ce que Dieu dit. Priez pour moi. C'est alors que j'ai besoin de vos prières. Eh bien, je vous ouvre tout simplement mon cœur ici aujourd'hui, car... C'est peut-être la dernière fois que nous nous rencontrons donc dans la vie.

Et alors, je me suis retourné, et je-je ne savais que faire. Il a dit : « Eh bien, voudriez-vous partir en voiture avec nous, Frère Branham ?»

J'ai dit : « Non, j'attendrai ici.» Je savais que si Dieu pouvait exaucer ma prière et me pardonner, il y aurait une chance pour cet enfant. Mais cependant, je suis... tout... Rien n'était parfaitement en ligne.

Et... Eh bien, cela peut ne pas représenter beaucoup pour vous, mais aux yeux de Dieu, cela représente tout. Cela doit être parfaitement en ligne. C'est vrai. Et j e-j ' ai vu le j eune garçon...

25     Frère Snelling a dit : «Eh bien, je dois partir, parce que je dois aller travailler.» Il conduisait un tracteur chez Colgate; il y avait là la compagnie Palmolive Peet, là. Alors, il-il a enfilé son veston. Et je me suis dit : « Oh ! la la ! s'il part, j'aurai peut-être à passer deux ou trois jours ici, jusqu'à ce qu'il revienne.» En effet, je savais que c'était lui l'homme aux cheveux blonds frisés qui était dans la vision.

Eh bien, vous ne savez pas quelles pensées j'avais, ami. Et vous ne le saurez jamais jusqu'à ce que nous nous rencontrions au Jugement, au jour où j'aurai à répondre pour ces paroles que je prononce près de ce micro.

Et je-j'étais assis sur le divan pliable. Et le soleil se levait. Il faisait terriblement froid. C'était en hiver. Et j'étais assis là. Frère Emmel portait son manteau et son large chapeau lourd. Et-et frère Snelling portait son manteau et le peignoir. Et ils voulaient sortir. Et il a dit... Il a parlé à sa femme, frère Emmel. Et j'étais assis à la fenêtre, regardant comme ceci, là. Et il m'est arrivé de voir un petit sentier passer par le trottoir, pour ainsi dire, un petit sentier en terre autour de la maison. Et voici venir la grand-mère de l'enfant. Elle portait des lunettes.

Oh ! la la ! Vous ne savez pas quel sentiment vous éprouvez alors. J'ai pensé : « Oh! si seulement ils ne quittent pas maintenant.» Je me suis dit : « O Dieu, combien je Te suis reconnaissant.»

26     Et cette femme venait toujours par la porte de devant. C'est par là qu'on les visite, en passant par la porte de devant. Mais ce matin-là, ma voiture n'était pas là, il n'y avait que la voiture de son beau-fils. Elle avait quitté à un moment du matin, car l'enfant était dans un très mauvais état. Et elle était rentrée chez elle pour dormir un peu. Et elle a contourné par la porte de derrière. Je ne pouvais rien dire. Je devais simplement rester assis là et observer donc, pourquoi ?

Mais vous ne saurez jamais comment je m'étais senti quand j'ai regardé et vu cette femme venir. J'ai reconnu que c'était elle. Je ne l'avais jamais vue de ma vie. Mais j'ai reconnu que c'était elle, je l'avais vue passer comme cela. Je me suis dit : « O Dieu, gloire au Seigneur.»

Et frère Snelling était... Ils étaient tous sur le point de partir. Elle est entrée par la porte de la cuisine, et elle est venue à la porte du milieu et a frappé à la porte. Et si elle n'avait pas fait cela, la vision n'aurait toujours pas été complète. Sa fille est allée pour ouvrir la porte, pour voir qui c'était. Et c'était sa mère.

Et elle a dit : « Comment va l'enfant ? Y a-t-il une amélioration ?»

Et madame Emmel a dit : « Non, maman, non. » Et elle a simplement levé la main comme ça pour pleurer, comme ça, vous savez. Elle a placé la tête contre le mur. Et c'était exactement comme ça dans la vision.

27     Eh bien, j'étais sur le divan pliable, là où frère Snelling était supposé être. Je me suis levé du divan pliable, je suis allé comme ceci, me demandant ce qui allait arriver. J'ai pensé : « Elle doit s'asseoir dans cette chaise rouge.» Et je me suis simplement tenu là, un petit instant. Et je-je me posais des questions. Et frère Snelling s'est aussi mis à pleurer. Comme il l'avait vue pleurer. Il a tout juste enlevé son chapeau, et il s'est assis sur le divan pliable.

J'ai pensé : « Oh ! la la !» Encore une chose pour que cela arrive. J'ai regardé tout autour pour voir où tout en était. Et j'ai regardé, et la dame, elle était... Oh! non, elle a déposé son petit cartable qu'elle avait. Et elle a reculé là, elle s'est assise sur le divan pliable, elle a enlevé ses lunettes et elle a commencé à les essuyer, exactement comme c'était dans la vision.

28     C'est alors que j'ai pu sentir Quelque Chose se tenir près de moi. J'ai reconnu qu'il était là. Et j'ai dit : « Frère Emmel.» Et il m'a regardé.

J'ai dit : « Avez-vous toujours foi en moi ?»

Il a dit : « Frère Branham, je vous aime de tout mon cœur.»

J'ai dit : « Je vais vous le dire maintenant, je suis désolé pour ce que j'ai fait il y a quelques instants. La vision n'était pas complète. Mais maintenant, vous devez prouver que vous avez toujours foi en moi.» Si vous croyez cela... L'enfant était tout aussi bleu que possible. Et j'ai dit : « Si vous avez toujours foi en moi, amenez l'enfant.» [Espace vide sur la bande-N.D.E.]

L'enfant... [Espace vide sur la bande] ...?... la vision. Je suis désolé de ce que j'ai fait il y a quelques instants. Pardonne Ton serviteur, et guéris cet enfant au Nom de Jésus-Christ.

29     Et quand j'ai dit cela, le petit enfant a passé ses bras autour du cou de son père et il a dit : « Papa, papa.» Oh! vous parlez d'un groupe de gens qui poussent des cris dans une maison ! Et alors... Alors, ils se sont mis à courir. J'ai dit : « Remettez-le au lit ; trois jours passeront avant qu'il se rétablisse, car il avait effectué trois pas, cela l'avait fait sortir de là.»

Je suis rentré, j'ai dit à l'église ce qui était arrivé. Et le troisième jour, j'ai dit : « Maintenant, je n'entendrai plus parler de cela. Le troisième jour, allez-y et voyez s'il ne traverse pas la pièce, pour mettre ses petites mains dans les miennes, et dire : Frère Branham, je suis parfaitement guéri.»

Et ainsi donc, vous pouvez à peu près vous représenter combien étaient allés pour voir cela : toute l'église. Il y avait des voitures partout sur la route. Et je n'avais dit à personne d'aller. Je devais aller le premier (voyez ?) pour eux, afin qu'ils voient que ça venait de Dieu. Et ils s'étaient rassemblés là.

30      Je me suis avancé à la porte, j'ai frappé à la porte, et la maman était derrière dans une petite cuisine. Elle a traversé la maison en courant et-et elle a ouvert la porte, et alors, elle a dit : « Oh! c'est frère Branham. Entrez, Frère Branham.» Elle a dit : « Voyez-vous combien il a changé ?»

Il avait bu du lait au chocolat et il s'était fait l'une de ces petites moustaches, vous savez, en buvant du lait au chocolat. Et il a traversé la pièce. Tout le monde se tenait là, regardant par la fenêtre et tout. Il s'est avancé, il s'est tenu dans la pièce, il n'avait jamais prononcé un mot. Il s'est avancé et a placé ses petites mains dans les miennes, il a dit : « Frère Branham, je suis parfaitement guéri.» Voyez ?

31       Je commence à parler de la suite. Deux semaines plus tard, je sortais de mon bureau. Et généralement, nous avons un petit-un petit casier où nous plaçons notre courrier. Mais Herbert Scott, un très brave homme là, il a dit-il a dit : « Frère Branham, a-t-il dit, avant que vous ne descendiez à mon bureau par ici, (j'étais en patrouille)...» Il a dit : «Il y a une lettre sur mon bureau pour vous.»

J'ai dit : « Je la prendrai.» Et je commençais à descendre les marches pour aller dans la partie principale du bureau, comme notre bureau local se trouvait vers la partie supérieure du bâtiment. Je me suis mis à descendre et on dirait que quelque chose m'intriguait de façon étrange au sujet de cette lettre-là. Je suis allé vers la lettre, à l'endroit, et je l'ai prise ; j'ai regardé cela, l'expéditeur était mentionné. Je l'ai ouverte, j'ai regardé cela. Et j'ai dit : « Eh bien, je dirai...»

32     J'ai regardé cela, c'était écrit : « Je suis madame Harold Nail.» Elle disait : « Révérend Branham, j'ai une jeune fille de seize ans qui est malade.» Elle disait : « Elle souffre depuis un temps. L'arthrite l'a placée dans cette affliction.» Et elle disait : « Elle ne fait que pleurer nuit et jour.» Et elle disait : « Je suis membre de l'Eglise méthodiste à-à ... juste un...» Je mentionnerai le nom de l'endroit juste dans une minute. C'est au sud de Salem, dans l'Indiana.

Y a-t-il quelqu'un ici qui vient de tout près de Salem, dans l'Indiana ? Il y a quelqu'un là derrière. De quelle partie de l'Indiana êtes-vous, sœur ? De quelle partie de l'Indiana ? Salem ? Salem dans l'Indiana. Oh ! la la! Connaissez- vous Harold Nail ? Connaissez-vous Harold ? Voilà, c'est bien. Maintenant, ceci est une preuve donc. Maintenant, nous avons cela juste ici. C'est bien. J'aimerais vous voir après la réunion. C'est... Eh bien, je vous dirai où cela... South Boston. Savez-vous où se trouve South Boston ? C'est... très bien. Maintenant, nous avons le récit appuyé par une preuve. L'autre jour, j'étais... J'aime que les gens soient près. Très bien.

33     Eh bien, je-j'ai amené cette lettre. Il y était écrit : « J'habite à Salem, dans l'Indiana, ou à South Boston, dans l'Indiana» Et il était écrit : « Notre pasteur est venu et il-il nous a dit... Nous avions eu une réunion de prière et quelqu'un nous a apporté un petit livre intitulé Jésus-Christ le même hier, aujourd 'hui et éternellement. Et il était écrit : « Nous avons lu ce petit livre sur la guérison et quelque chose a touché mon cœur pour vous envoyer chercher, afin de prier pour cette jeune fille.» Et il s'est fait que, quand elle a indiqué la nuit où cela a eu lieu, c'était la même nuit où j'ai eu la vision. Voyez-vous ? Maintenant, vérifiez cela.

Je suis rentré chez moi, j'en ai parlé à ma femme. J'ai dit : « Ecoute ça ! »

Elle a dit : « Oui.»

Elle a dit : « Oh ! c'est une vision, n'est-ce pas ?» J'ai dit : « C'est ça.»

A la réunion de prière de ce soir-là, à l'église, je suis allé là et j'ai présenté cela. Tout le monde voulait partir. Il y avait là une famille du nom de Brace, Ad Brace.

34    Je les ai souvent cherchés. Je... Peut-être qu'ils sont dans cette réunion-ci. Est-ce qu'Ad Brace du Texas est ici ? Ou quelqu'un qui le connaît ? Ils étaient venus là pour être guéris, madame Brace. Elle souffrait de la tuberculose. Et alors, ils-ils voulaient partir.

Et j'ai dit : « Bon, premièrement, où se trouve South Boston ?» Quelqu'un m'a indiqué où ça se trouvait.

Alors... Et je suis allé au sud de New Albany. Connaissez-vous Hoosier, là au fond? Je suis allé au sud de New Albany et nous sommes allés très loin. Et là- bas, c'était New Boston au lieu de South Boston. Eh bien, je n'avais jamais entendu parler de South Boston. Je me suis dit : « Eh bien, alors-alors, c'est étrange, n'est-ce pas ? New Boston.» Eh bien, je suis revenu.

Et il y avait un vieux pêcheur du nom de Wisehart, là à la rivière. Il m'a parlé, disant : « Non, South Boston est loin... Allez vers Salem dans l'Indiana.»

35    Ainsi donc, j'ai pris la route de Henryville pour prendre le virage. Et ils m'ont dit de prendre le virage à Henryville. Et vous connaissez cette route qui passe par là depuis Henryville, je pense. C'était une route boueuse-boueuse. Eh bien, je... Et alors, j'ai repris cette petite vieille route de gravier et j'ai continué à partir. Il y avait un petit cantique qu'ils... C'étaient des pentecôtistes. Et ils m'ont appris un cantique sur... Quelque chose comme...

Il y a presque partout des peuples

Dont les cœurs sont tout enflammés.

Du feu qui descendit à la Pentecôte,

Qui les purifia et les rendit saints ;

Oh! cela brûle maintenant dans mon cœur,

Oh! gloire à Son Nom !

Je suis très heureux de dire que je suis l'un d'entre eux.

Avez-vous déjà entendu cela ? Eh bien, ils essayaient de m'apprendre ce cantique-là. Eh bien, il y a là quelque chose, et il a dit le... l'une ou l'autre chose au sujet d'un infirme qui avait été rendu capable de marcher et autres comme cela. Et je pensais que c'était bien.

J'ai dit : « Venez, reprenons cela.» Et nous chantions, poursuivant le chemin comme cela.

36     Et tout à coup, Quelque Chose m'a frappé, ça a failli me paralyser. Et je- j'ai pensé que c'était... J'ai pensé que peut-être j'étais tombé malade. Et j'ai arrêté la voiture. J'étais là au sommet d'une petite colline. Et il y avait là une église à ma gauche. Je me suis dit : « Peut-être ça peut être l'Ange du Seigneur. Je dépasse une église.» Alors, je suis sorti et je suis allé derrière la voiture. J'avais une petite vieille Ford... J'ai mis mon pied sur le... là-derrière, près du coffre. Je me suis tenu là. Et je me suis dit : « Je me demande bien ce que c'est.» Alors, il s'est fait que j'ai regardé à ma gauche, et il y avait là un cimetière. [Espace vide sur labande-N.D.E.]

37     ...moi ce bout de papier. Et elle me l'a apporté là, nous avons vérifié les noms et les numéros des tombes. C'était exactement l'endroit. J'ai dit : « C'est ça la route. Nous sommes sur la bonne route maintenant. Et c'était l'Ange du Seigneur qui m'avait arrêté. Moi, j'étais passé à côté de cela sans le remarquer. Voyez ? Vous savez comment se présente le cimetière Bunker Hill. Et jamais de ma vie je n'ai été dans cette contrée, je n'en savais rien. Je suis donc parti... Je veux... J'ai poursuivi mon chemin. J'ai rencontré un homme qui se tenait à côté d'un-d'un bâtiment où il était... une petite station d'essence, et il roulait une cigarette.

Et j'ai dit : « Est-ce le chemin vers South Boston ?» Il a dit : « Oui, monsieur. Continuez tout droit.»

J'ai dit : « Connaissez-vous quelqu'un là-bas, du nom d'Harold Nail ?» « Oui, monsieur.»

Très bien. J'ai donc continué. J'ai continué à avancer. Ils ont dit : « Eh bien... »

J'ai dit : « Eh bien, si j'arrive dans cette ville... (la ville, South Boston.) Il y aura un homme qui sortira en salopette bleue. Il aura un képi jaune en velours côtelé et une moustache blanche.» J'ai dit : « Il sortira d'un petit magasin qui a une façade j aune. »

Et alors... Et elle... Madame-madame Brace a dit : « Eh bien, je-je n'ai jamais vu de pareil, Frère Branham.» Elle a dit : « Je ne sais pas ce que je-je... Je ne sais que faire de plus.» Elle a dit : « Quand je pense à ces noms là- derrière. » Elle n'en revenait pas. Elle n'avait jamais vu de pareil.

38   Et alors, nous avons continué. Je suis descendu. Je ... Nous avons passé quelques virages et j'avais confondu la route là-bas. Et je me suis adressé à un homme, il a dit : « Eh bien, vous-vous savez comment est l'Indiana. Vous virez à droite, vous virez à gauche.» Ainsi, je devais avoir pris un mauvais virage. Ainsi, malgré tout, je... Il a dit : « Suivez tout droit ce chemin.»

Un autre homme qui se tenait là a dit : « Vous-vous allez à South Boston. C'est à environ 4 ou 5 miles [6,4 ou 8 km-N.D.T.]

Je conduisais. Nous bavardions, vous savez. Peu après, j'ai atteint une petite ville ; je l'ai dépassée. J'ai dit : « C'est cet endroit-ci.» C'est ici même. Et c'était un endroit spacieux, sur la route, on dirait, vous savez, une petite route de campagne là. J'ai dit : « C'est l'endroit, ici même.» Et voilà, le magasin avait une façade jaune. Observez.

Nous sommes allés un peu plus loin. Un homme en salopette bleue et en képi jaune en velours côtelé est sorti de ce magasin, il avait une moustache blanche. Madame Brace s'est tout simplement effondrée là même dans la voiture, elle s'est évanouie. Et elle-elle ne savait pas...

39     J'ai dit : « Le voilà. C'est lui l'homme en question.» J'ai dit : « Maintenant, observez, il agira de façon étrange, parce que Cela... La puissance du Seigneur est tout près de lui.» Et je me suis rapproché ; j'ai dit : « Monsieur, ai-je dit, vous êtes censé m'indiquer là où se trouve Harold Nail.»

Et les lèvres du vieil homme ont commencé à trembloter, comme cela. Il a dit : « Oui, monsieur.» Il a dit : « Remontez directement cette route, et prenez le virage. C'est la troisième maison à droite, du côté d'une grande grange rouge érigée sur la colline.»

J'ai dit : « Oui, oui.»

Il a dit : « Pourquoi ?»

Et j'ai dit : « Avez... A-t-il une jeune fille qui est assez malade ou quelque chose comme cela ?»

Il a dit : « Oui.»

J'ai dit : « Elle va être guérie.»

De très grosses larmes ont commencé à couler sur ses pauvres vieilles joues. Et nous avons fait demi-tour. Et frère Brace parlait à la sœur Brace, en lui essuyant le visage avec sa main. Et nous avons fait demi-tour, nous sommes rentrés, et nous avons descendu la route, nous sommes arrivés au lieu.

40     II y avait une-une femme du genre corpulent, madame Nail, elle est sortie de la maison. Et elle a dit : « Je sais que c'est vous Frère Branham, à partir de votre photo qui est dans le livre.»

J'ai dit : « Oui, madame.»

Elle a dit : « Entrez.»

Nous sommes entrés. Ils m'ont donc accompagné. Nous avons emprunté le passage qui était là. Et quand nous étions... passions par la porte, j'ai dit : « Observez maintenant ce qui est dans la chambre.» Aussitôt qu'on franchit la porte, il y aura un grand vieux réchaud en tronc d'arbre placé là. Il y aura là l'écriteau : «Que Dieu bénisse notre maison.» Il y avait le-le grand lit avec affiche. Il y avait une jeune fille couchée là, ayant l'air d'un garçon, un regard dur, et ses mains étaient recroquevillées par l'arthrite, et son pied était comme cela. Et jusqu'au papier qui était jaune, avec des images rouges.

Madame Brace s'est de nouveau évanouie. Elle s'est de nouveau évanouie en voyant cela et en voyant ce qui s'était passé.

41 Eh bien, et-et alors, c'était comme s'il se passait quelque chose d'étrange. C'est comme si mon esprit ou mon être, ou quelque chose comme cela, était sorti. Et je me rappelle que je me suis avancé, et j'ai posé mes mais sur le ventre de cette jeune fille. Et j'ai dit : « AINDI DIT LE SEIGNEUR, sœur, vous allez être guérie.» Et je me suis mis à prier.

Et quand je me suis mis à prier, j'ai entendu quelque chose dire, une petite voix dire : « Gloire au Seigneur.» Et c'était elle. Elle pleurait nuit et jour à cause de cette affliction. Et quand j'ai regardé, sa main était redevenue normale, son pied s'était redressé, et quand elle s'est relevée, la jambe gauche de son pyjama s'est relevée assez haut à ce niveau, pour dévoiler le genou rond. Et lorsque madame Brace a vu cela, elle est repartie. Elle s'est donc effondrée parterre et elle a dit : « Maman, maman.»

La jeune fille est sortie de la chambre, elle est revenue habillée, se peignant les cheveux avec cette main qui était infirme, son pied infirme... Et aujourd'hui, elle habite à Salem, dans l'Indiana.

Par hasard, la connaissez-vous, sœur ? Quel-quel est votre nom ? Laurel. Vous venez de Salem, dans l'Indiana. Connaissez-vous madame Nail ? Connaissez- vous la jeune fille ? Connaissez-vous le cas ? Voilà un témoin.

Eh bien, disons : « Gloire au Seigneur !» Tout le monde.

Que faites-vous très loin dans cette contrée ? C'est un bon endroit, n'est-ce pas ? Ça l'est assurément. C'est vraiment bien. Vous venez de Salem, dans l'Indiana... C'est à environ-à environ 30 miles, 35 miles [49 km-N.D.T.] de chez moi, je pense, de Salem, dans l'Indiana.

Eh bien, voyez-vous ? Or, c'est juste un des cas où Dieu se fraie une voie pour accomplir ces choses.

42   Je me demande si j'ai le temps de vous en raconter très vite un qui est à l'esprit, juste quelques instants. Je me demande si nous pouvons le faire. Voudriez-vous dire amen, si vous voulez entendre cela ? Est-ce que ça vous dérange que j'en parle ? Si vous voulez entendre cela, dites amen. [L'assemblée dit : « Amen.»-N.D.E.]

C'était à Little Rock, dans l'Arkansas. Combien connaissent G.H. Brown de Little Rock, dans l'Arkansas? Un pasteur, G.H. Brown. Quelqu'un ici au fond ? Très bien. Le connaissez-vous ?

Eh bien, écrivez-lui pour avoir ce témoignage. Et maintenant, cet homme, si vous voulez lui écrire pour avoir ce témoignage, voyez la dame là derrière, premièrement si vous le voulez. Et ensuite, écrivez à madame Harold Nail, à South Boston, dans l'Indiana. Ou écrivez à l'autre, c'est monsieur John Emmel à Utica, dans l'Indiana, RFD 2. Et si vous voulez écrire à cet homme pour avoir ce témoignage-ci que je vais vous raconter maintenant, c'est Révérend G.H. Brown, 505, Hickory Street, Little Rock, Arkansas. Je vais essayer de vous le raconter aussi vite que possible, dire un mot de prière, et alors nous commencerons la ligne de prière.

43     Combien sont ici aujourd'hui pour qu'on prie pour eux ? Voyons... [Espace vide sur la bande-N.D.E.]

La ligne de prière... de près. J'appelle toujours cela un manque ...?... dans un événement, ou quelque chose comme cela. Ça a beaucoup à faire avec la foi de la personne.

Mais quand II m'envoie quelque part, mon ami, peu me-m'importe que la personne soit dans la tombe, morte depuis cinquante ans, elle en sortira. En effet, Dieu a déjà proclamé cela. Absolument. Et... Maintenant, c'est tout aussi vrai, mes amis, que je me tiens ici. La Bible déclare : « Toute affaire se réglera sur la déclaration de deux ou trois témoins.» Est-ce vrai ? Maintenant, demandez.

44     Maintenant, c'est ainsi que le don est censé opérer. Voyez ? Eh bien, j'aimerais que vous remarquiez ceci. Ce n'était pas ma prière sincère qui avait fait venir ce don. Les dons ne viennent pas par des prières sincères. Les dons sont préordonnés de Dieu. Ils sont ordonnés et envoyés.

Ici, au pont municipal. Sœur, sans doute que vous savez là où se trouve le pont municipal, n'est-ce pas, qui relie Jeffersonville à Louisville ?

Vingt-deux ans, alors que j'étais un petit garçon, juste un petit garçon d'environ cinq ou six ans, quand l'Ange du Seigneur est apparu dans le buisson... Vous m'avez entendu raconter cela, n'est-ce pas ? Quand je transportais de l'eau.

Eh bien, environ deux semaines après cela, je jouais aux billes avec mon jeune frère. Et je pensais que j'étais tombé malade, un sentiment vraiment étrange m'avait envahi. Je suis allé m'asseoir à côté d'un arbre. Et j'ai regardé la rivière, et un pont a été jeté là, un grand, un très grand pont qui enjambait la rivière. Et j'ai compté seize hommes qui étaient tombés de ce pont-là et s'étaient noyés. Je suis allé en parler à ma mère. Et je lui ai dit que j'avais vu cela. Et ils ont pensé que j'étais fou ou quelque chose comme cela. Ils ont pensé que j'étais juste un tout petit peu nerveux, un enfant nerveux.

Et vingt-deux ans plus tard, au même endroit, le pont municipal a été jeté et seize hommes ont perdu leur vie là. Voyez ? Ce n'était pas quelque chose

que... C'est-c'est Dieu qui a envoyé cela. Vos prières ont amené cela. Voyez ?

45    Et il se peut que cet homme soit assis dans cette salle maintenant même, c'est un prophète divin qui vient. Il peut se lever ; il peut prétendre des choses. Il y a beaucoup de fanatismes qui suivent généralement ces choses. Faites attention. Je vous avertis avant que cela n'arrive. Mais Dieu rendra témoignage à Son don. Est-ce vrai ? Il en rendra témoignage.

Maintenant, remarquez. Et soyez vraiment attentifs à ça. Cela... Vous m'avez entendu raconter la guérison de cette femme-là, cette folle de l'autre jour, celle qui était couchée sur son dos là, à Little Rock, dans 1'Arkansas. Vous rappelez- vous m'avoir entendu raconter cela ?

J'avais reçu un appel téléphonique ; frère Brown est venu me prendre. J'avais reçu un appel téléphonique de Memphis, dans le Tennessee.

Y'a-t-il ici quelqu'un de Memphis, dans le Tennessee ? Dans les parages du Tennessee ? Il y en a beaucoup. Je vois des voitures du Tennessee là-dehors. Alors je me suis dit... Très bien, c'était à Memphis, et c'était arrivé à votre receveur des postes. Et... N'importe qui, quel est le nom de cette ville de l'Arkansas, frère, sœurs, où cela s'est passé ? C'est ça. Là où la fille de Paul Morgan... Walnut Ridge, dans l'Arkansas. Y a-t-il ici quelqu'un qui vient des environs de Walnut Ridge ? Combien connaissent Paul Morgan, à Walnut Ridge, dans l'Arkansas ? Levez la main. Très bien, vous reconnaîtrez le cas donc, c'est bien. Walnut Ridge, dans l'Arkansas...

46   Eh bien, j'étais à Corning, dans l'Arkansas, dans la réunion, quand le cas de Walnut Ridge était arrivé. Il était tout simplement couché sur le... Vous savez comment les gens sont dans l'Arkansas. Le temps ne les arrête pas là-bas ; ils s'amènent carrément. Et on les met là, dans les rues, autour de l'église, autour du presbytère. Et j'allais nuit et jour donc. C'est ça donc mon problème. Voyez ? Je me suis simplement effondré. Au commencement, j'étais juste...Ils n'avaient pas de temps d'arrêt, je... Les églises m'ont simplement laissé continuer toute la nuit.

Et alors un téléphone sonnait sans cesse. Et connaissez-vous madame Nelly Riggs là, à Little Rock ? Ou-ou au... Non pas à Little Rock, mais à Corning ? Eh bien, c'était elle qui répondait au téléphone. Elle a dit : « Eh bien, nous ne pouvons pas le réveiller, monsieur. » Elle a dit : « Il vient... Nous venons à peine de le mettre au lit.»

Et l'homme a continué, très, très persistant. Alors, je—j'ai dit : « Laissez-moi lui parler.»

Elle a dit : « C'est Paul Morgan.»

47     Qui était-il, frère ? Qui est-il là, dans l'Arkansas ? Un collecteur du comté. Et alors... Je ne pense pas que c'était ça à l'époque, n'est-ce pas ? Un commis, la ville... ou un commis du comté.

Et alors, je suis allé—je suis allé au téléphone. Il a dit : « Je suis le commis du comté ici à Walnut Ridge», qui se trouve à environ 70 miles [environ 113 km- N.D.T.] au sud par rapport au lieu où j'étais. Et il a dit : « Monsieur, j'ai entendu parler de grandes œuvres de Dieu.» Il a dit : « Je désire que vous veniez accomplir un miracle sur ma fille. »

J'ai dit : « Monsieur Morgan, ai-je dit, eh bien, je ne peux accomplir aucun miracle.» J'ai dit : « C'est Dieu qui est le Guérisseur.»

Il a dit : « Eh bien, j'ai appris...» Il a dit : « Ecoutez, monsieur.» Il a ajouté : « Ma-ma fillette se meurt.» Et il a dit : « Elle est-elle est dans un état très grave. Et nous ne nous attendons pas à ce qu'elle vive plus de deux ou trois heures.» Et il a dit : « J'aime ma fillette.» Il a dit : « Elle est mon unique enfant. Elle a environ douze ans.» Et il a dit : « Je voudrais... Je-je désire que vous veniez.»

J'ai dit : « Monsieur Morgan, je serai content de venir. Mais écoutez ceci, monsieur.» J'ai dit : « Il y a des gens ici debout, dans la véranda, avec des petits enfants. Et ils sont trempés pour être restés sous la pluie, debout, toute la nuit.» J'ai dit : « Ils n'arrivent même pas à s'approcher de l'endroit. »

Et il—il a dit : « Je le sais monsieur. » Il a dit : « Et j'apprécie cela. » Mais il a dit : « Vous êtes aussi un père, n'est-ce pas ? »

J'ai dit : « Oui, oui. »

48     II a dit : « Pensez-y donc. Ces mères-là, leurs enfants ne se meurent pas. » Il a dit : « Ils peuvent avoir autres choses. » Mais il a dit : « Mon enfant a attrapé la pneumonie. Et le meilleur spécialiste que je puisse avoir a dit qu'il ne lui reste que trois heures à vivre. »

J'ai dit : « Eh bien, monsieur. Je ne pourrais même pas arriver là dans trois heures. »

Il a dit : « Mais, Frère Branham, a-t-il dit, ne pensez pas que j'essaie d'user de mon autorité pour faire pression. » Et monsieur Morgan est un gentil homme. Il nous a suivi pendant longtemps, n'est-ce pas, Frère Kidson, tout au long des réunions. Il a dit : « Si seulement vous venez, a-t-il dit, je vais simplement... Vous ne savez pas ce que... » Il a dit : « Monsieur, leurs enfants, s'ils ont pu tenir toute la nuit, a-t-il dit, peut-être qu'ils-ils peuvent attendre un peu. Mais mon enfant ne le peut pas. » Il a dit : « Je viens de perdre une fillette ici, d'environ douze ans. Ma première fillette est morte, a-t-il dit, bien avant que ces affaires de guérison commencent. »

49     Et je compatissais avec lui pour cette pauvre enfant mourante. [Espace vide sur la bande-N.D.E.] Il a dit : « Eh bien, Frère Branham, vous ne pouvez pas aller là, chéri. » Il a dit : « Mon..., a-t-il dit, eh bien, vous êtes-vous êtes pratiquement mort.» J'ai dit : « Eh bien, laissez-moi me coucher derrière votre... [Espace vide sur la bande] la petite voiture Plymouth.» Et on a roulé sur cette autoroute à 70 miles par heure [113 km / heure-N.D.T.] vers l'Arkansas.

Et en route vers là, je priais. Et l'Ange du Seigneur était dans la voiture avec moi pendant juste un moment. Il a dit : « Dis-lui ceci : AINSI DIT LE SEIGNEUR, il y a des eaux claires qui coulent, c'est Ma Parole à lui transmettre. » Quand II a quitté, je-j'étais tout aussi éveillé que je le suis maintenant. Et je me suis mis à crier et à louer le Seigneur, et frère Johnson a dit : « Qu'y a-t-il ? »

J'ai dit : « l'Ange du Seigneur était ici, Frère Johnson. »

Il a dit : « Oh! Frère Branham... » Vous savez... S'il y a parmi vous quelqu'un qui connaît frère Johnson, c'est un très brave homme. Il a freiné. Il s'est mis à crier. J'ai dit : « Allez simplement de l'avant maintenant. Allez de l'avant et allez tout droit. »

50    Et quand nous sommes arrivés là, eh bien, les gens de l'Arkansas s'aiment les uns les autres. Et ils aiment Paul Morgan. Et tout autour de cette clinique- là, il y avait vraiment des gens réunis partout, attendant le dernier mot. Ils étaient restés là toute la nuit, attendant les derniers mots pour la fillette. Elle était aimée de tout le monde.

Mais vous ne savez pas comment... quel-quel sentiment on a. On est sorti de là et on a commencé à se frayer un chemin à travers la foule. Et il y avait le- l'un des médecins qui se tenait là. Ils étaient à la porte. Ils ne pouvaient plus faire entrer les gens, sauf ceux qui pouvaient accéder sur les marches. Et ils attendaient là, tout le monde les aimait.

Il a dit : « Est-ce vous le révérend Branham ? »

J'ai dit : « Oui, oui, c'est moi. »

Il a dit : « Monsieur Morgan vous attend. »

Il a dit : « Puis-je vous montrer la chambre ? »

J'ai dit : « Oui, oui. »

J'ai dit : « L'enfant vit encore. »

Il a dit : « Oui, elle vit. »

Etj'aidit : «Là... »Et alors sur le ...?... nous avons rencontré un stagiaire.

Il a dit : « Voici le révérend Branham, a-t-il dit, que monsieur Morgan attend. » Alors... Eh bien, le stagiaire est rentré avec moi et il a dit : « Voudriez-vous être seul, Frère Branham ? »

J'ai dit : «Je préfère. J'aimerais voir premièrement le père et la mère. »

Il a dit : « Eh bien, on a deux infirmières dans la chambre, ils sont en train de lui donner de l'oxygène. »

51 On ne pouvait pas la placer sous la tente à oxygène, ils ont dû lui mettre un masque en caoutchouc. Or, s'il y a un médecin ici, je n'avais jamais vu cela auparavant. Ils lui ont mis cela et ils lui donnaient de l'oxygène par force. Elle respirait un peu, faisant... [Frère Branham illustre-N.D.E.] Puis, on remettait cela sur elle, faisant... Alors, ça redescendait, puis l'infirmière enlevait et poussait cela, faisait... ôtant cela comme ceci, c'est ainsi qu'ils l'ont gardée vivante.

Je commençais à frapper à la porte. Oh! la la! j'ai simplement senti Quelque Chose se tenir près. Frère Johnson était là, j'ai dit : « N'entrez pas, Frère Johnson. Laissez-moi aller seul. »

Je suis allé à la porte. L'une des infirmières a ouvert la porte. Elle a dit : « Que voulez-vous ? »

J'ai dit : « C'est moi frère Branham. J'aimerais voir... » Elle a dit : « Entrez. » Je suis entré. Monsieur Morgan a dit : « Est-ce vous frère Branham ? » J'ai dit : « Oui. »

Il est simplement venu mettre ses bras autour de moi. Vous savez comment il est, un très grand homme, gentil. Il a dit : « Frère Branham, a-t-il dit, j'essaie de vivre correctement. Je-j'essaie de faire ce qui est correct. Je ne sais pas pourquoi Dieu retire mon enfant. »

J'ai dit : « Ne soyez pas excité, monsieur Morgan. Asseyez-vous.» Je me suis approché de l'infirmière. Et elle a dit : « Il nous faudra maintenir cet oxygène en cours. »

J'ai dit : « C'est en ordre. Je voudrais que vous le fassiez. »

52     La fillette était couchée, on dirait voûtée comme ceci. J'ai posé mes mains sur elle et j'ai dit : « Maintenant, papa (au papa), ai-je dit, est-ce que vous et la maman, vous promettez de servir Dieu, de témoigner de cela partout où vous allez ? »

« Nous le ferons. »

J'ai dit : « N'ayez pas peur. J'ai une Parole pour vous ; en effet, c'est de la part du Seigneur, après ma prière pour votre enfant. » J'ai posé mes mains sur l'enfant, j'ai invoqué sur elle le Nom de Jésus-Christ. Et dès que je l'ai fait, ce n'était plus alors nécessaire de lui donner de l'oxygène par le nez. Je me suis retourné et j'ai dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, Monsieur Morgan. » J'ai dit : « Beaucoup de spécialistes ont déclaré que votre enfant se mourait. Mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre enfant vivra. » J'ai dit : « Elle se rétablira. Voici une Parole pour vous. Souvenez-vous-en toute votre vie : Il y a des eaux claires qui coulent. » Vous n'avez pas de témoignage là même, n'est-ce pas ? Non. Et il est signé par le notaire. Et alors, je suis sorti du bâtiment. Et le troisième jour, l'enfant était retournée à l'école. Elle était guérie, bien portante. Voyez ?

53     Eh bien, puis à Little Rock, ils m'ont envoyé chercher pour... Quel était le nom de cet homme-là ? Le receveur de poste là au... Qui qu'il soit, vous de-de Memphis, vous savez de qui je parle, je pense. C'est un-un homme élancé. Mais de toutes les façons, après que je l'aurai décrit ici, vous le reconnaîtrez. Et l'homme qui était avec lui, c'était Kenny. Je me rappelle cela, monsieur Kenny.

Et ils m'ont envoyé chercher pour prier pour cet homme, disant qu'il se mourait. Eh bien, je me suis apprêté à aller par le premier vol. Et au lieu d'aller à... Je m'apprêtais et j'enfilais ce costume. J'ai entendu quelque chose comme un vent souffler dans la chambre, se mettre à faire whoouf, whoouf, whoouf. [Frère Branham illustre cela.-N.D.E.] Je me suis dit : « Oh ! la la ! le vent est très fort aujourd'hui. » Et j'enfilais ma chemise, vous savez, le costume et tout. Je chantais. Et Frère Brown s'apprêtait à m'amener là, il a dit que l'homme se mourait.

54  Et cet homme-là qui était allé chez le médecin, Général Patton... Vous souvenez-vous tous de lui ? On l'a amené là par avion pour cet homme-là. Tout indiquait qu'il se mourait, un cas de pneumonie aussi. Il a dit : « Il se meurt. Cet homme ne peut pas se rétablir. » Il avait l'asthme, la pneumonie asthmatique. Et alors, j'ai commencé à enfiler mon costume, je pensais que frère Brown allait être là à n'importe quel moment.

Et on ne pouvait pas obtenir un... Et monsieur Kenny était venu par voiture. C'était un genre d'officier de la loi là, vous savez, il avait un-il avait un gyrophare et une sirène sur son véhicule. Et il était venu là, il avait quitté tôt afin de pouvoir me prendre au cas où l'avion ferait donc défaut.

55     Et j'ai regardé là, et juste un tourbillon on dirait passait par la chambre. Je me suis agenouillé pour prier. Et alors, l'Ange du Seigneur a parlé, disant : « Ne va pas là. Son temps est arrivé. » Très bien. Je me suis levé et j'ai ôté mon costume. Quelques instants après, ils sont venus à la porte. Et comme frère Kenny entrait précipitamment, il a dit : « C'est vous frère Branham ? »

J'ai dit : « Oui. » Et frère Brown était avec lui. Eh bien, vous tous, vous connaissez frère Brown, ou n'importe qui d'entre vous qui voudrait écrire pour avoir ce témoignage. Il a fait passer son bras autour de moi, il a dit : « Oh! j'ai eu la foi pour le savoir. » Il a dit : « C'est un ami personnel de Paul Morgan. » Il a dit : « Il a appris au sujet de sa fille. » Et il a dit : « Bien sûr, il est inconscient maintenant. » Mais il a dit : « C'est mon ami intime. » Il a dit : « Vous savez... »

J'ai dit : « Mais monsieur, vous allez probablement trouver votre ami parti à votre retour. Car AINSI DIT LE SEIGNEUR, cet homme va mourir. »

56     Eh bien, vous, juste vers... Eh bien, vous, juste vers... « Eh bien, le Saint- Esprit m'a avisé de ne pas partir. Il m'a parlé ici dans cette chambre il y a quelques instants. » Il a dit : « Mais, Frère Branham, a-t-il dit, il est... Sa femme a dit... Ils sont juste... Ils viennent de sortir de la... d'une grande église, vous savez, pour entrer dans leur église. » Et il a dit : « Si seulement vous... Si vous... a-t-il dit, cela représente beaucoup pour elle. » J'ai dit : « Mais je n'y puis rien, monsieur. Je ne peux pas aller à l'encontre de la volonté de Dieu. Je ne peux pas aller.» Il a dit : « Vous voulez dire que mon ami va mourir ? »

J'ai dit : «Il sera probablement mort à votre retour. » J'ai dit : « Néanmoins, à quelle heure allez-vous rentrer ? » Il a dit : « Je retournerai vers 20h ce soir. »

J'ai dit : « Appelez-moi le matin. Je serai en train de prier. » J'ai dit : « Son cas m'intéresse. Et faites-moi savoir quand il mourra. » J'ai dit : « Appelez-moi le matin et faites-moi savoir son état et l'heure exacte de sa mort au cas où il serait parti quand vous arriverez. Et ne vous dérangez pas de m'appeler ce soir, car je serai dans une réunion. Et ne m'appelez pas, parce que je ne sais pas, il se peut que je ne sois pas revenu de la réunion avant deux ou trois heures du matin. »

Eh bien, il était très... Il s'est mis à pleurer. Il a dit : « Mon pauvre ami, mon pauvre ami », comme cela, il est rentré en pleurant.

57     Eh bien, je suis allé à la réunion ce soir-là, et c'était le même soir où le fou avait été guéri. Voyez ? On est rentré et je suis allé au lit. Et le lendemain matin, comme j'étais rentré vers deux heures...

Et le lendemain matin, je-je me suis levé dans la chambre... Eh bien, j'aimerais que vous écoutiez très attentivement ceci maintenant, afin que vous puissiez comprendre l'histoire de frère Brown. Quand je me suis réveillé en chambre, je... juste... comme cela. Et je me suis dit : « Oh ! la la ! C'est l'aube. » J'ai regardé, il y avait là, à côté de mon lit, une dame. Eh bien, ma chambre était fermée à clef. La porte était fermée à clef. Elle portait un ensemble brun, un ensemble brun clair, elle avait on dirait des cheveux gris entremêlés. Elle portait un corsage blanc, quoi... peu importe comment les femmes appellent cela. Je pense qu'on appelle cela un ensemble, n'est-ce pas ? Lorsqu'on a la robe et la veste de même couleur, vous savez, la même chose. Alors elle était assise là. Elle était-elle regardait de côté avec beaucoup de tristesse.

Et j'ai dit... Je me suis levé ; je me suis dit : « Eh bien, ici... Comment cette femme est-elle entrée ici? La porte est fermée à clef, et voici la clef ici. Et cette femme est assise là. » Et j'allais me lever pour dire : « Madame...»

Et alors, j'ai regardé ici derrière, et il y avait là un homme assis, là. C'était un homme élancé, il portait un costume clair, il avait des cheveux gris et une cravate rouge. Il avait l'air très triste, comme cela. Et elle a regardé vers lui, et il a un peu souri. Et ils se sont regardés l'un et l'autre.

58    Alors, je me suis dit : « Eh bien, qu'est-ce ? » Et je me suis directement levé... Tout aussi réel, mes amis, (Dieu est mon Juge) que je me tiens ici même en train de vous regarder, comme ça. Et j'ai dit : « Eh bien, qu'est-ce ? » Et j'ai levé les yeux, et je me tenais sur une estrade, quelque part dans une église. Eh bien, eh bien ...?... Ou-ou je me suis mordu le doigt pour voir si je ne dormais carrément pas ou ce qui n'allait pas avec moi.

Et j'ai vu que ceci n'était-n'était pas... c'était une vision. Alors, j'ai considéré cela, et juste à ce moment-là, c'est parti... cela a commencé à disparaître. Et je les ai vus rire l'un à l'autre. Et ils avaient les têtes inclinées vers moi, comme ça, et ils souriaient l'un à l'autre, les têtes inclinées comme ça. Et ils ont disparu de la chambre, comme cela.

59     Eh bien, je me suis levé, et j'ai prié. Et j'ai dit : « O Dieu, je ne les connais pas. Qu'est-ce que cela signifie ? Probablement que quelqu'un répondant à ce profil va venir aujourd'hui. » Parfois, je vois des gens venir dans des réunions, comme ça. J'ai dit : « Eh bien, lorsque je les verrai... » Vous m'entendez... Vous m'avez plusieurs fois entendu me mettre à dire : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, levez-vous. » Voyez ? C'est parce que Dieu avait déjà dit cela. Cela doit arriver. Alors, je me suis dit : «Eh bien, il y aura quelqu'un comme cela qui va venir. »

Et alors, je-je pensai : « Eh bien, je vais lire ma Bible.» Cette Bible même. J'ai dit : « Seigneur, où voudras-Tu que je lise dans Ta Bible, ce matin ? » J'aime vraiment lire la Parole du Seigneur. J'ai simplement pris ma main comme ceci, je l'ai posée sur la Bible et j'ai ouvert Cela. Et Elle s'est ouverte là où Esaïe avait été envoyé vers Ezéchias pour lui annoncer que son temps était arrivé. Ezéchias avait tourné son visage contre le mur et avait prié le Seigneur. Et le Seigneur avait entendu sa voix, Il est revenu et II a parlé à Esaïe, disant : « Va lui dire que je lui accorde quinze ans. » Vous rappelez-vous cela ? « Eh bien, ai-je dit, n'est-ce pas là une chose étrange ? » Eh bien, je-j'ai dit que cette Ecriture semble... J'avais oublié ce-ce cas là-bas. J'ai dit : « C'est étrange, n'est-ce pas ? »

60     Et à ce moment-là, le téléphone a sonné. J'ai dit : « Eh bien, c'est frère Brown qui vient m'aider, me prendre et m'amener.» Vous savez comment... Là, il y avait deux ou trois personnes avec lui. Je me suis dit : « C'est lui qui vient me prendre pour le petit-déjeuner.» Et j'ai pris le combiné.

J'ai dit : « Salut. »

Il a dit : « Salut. Frère Branham ? »

J'ai dit : « Oui, oui. Comment ça va, Frère Brown ? »

Il a dit : « Ce n'est pas frère Brown. C'est frère Kenny de Memphis. »

J'ai dit : « Oh ! » Je pensais que personne à part-à part frère Brown ne savait dans quelle chambre je restais et que les gens se demanderaient où je restais (voyez-vous ?). Et j'ai vu que frère Kenny le savait aussi. J'ai dit : « Oui. » J'ai dit : « Eh bien, quelle nouvelle ? »

61 Et juste à ce moment-là, la vision m'est venue à l'esprit. Et il a dit : « Eh bien, Frère Branham, nous sommes restés éveillés toute la nuit. Nous pensions qu'il allait mourir. » Il a dit : « Le... Ils sont ici maintenant. » Il a dit : « On attend la dernière minute n'importe quand. » Il a dit : « Frère Branham, je suis... je sais que je peux amener ma femme à venir là si je... dans votre prochaine réunion, quand vous viendrez à Jonesboro, le premier de l'an. » Il a dit : « L'amener, la faire entrer dans la réunion ? »

J'ai dit : « Peut-être que vous le pouvez, monsieur. » Mais j'ai dit : «Vous disiez ...?... »

Il a dit : « Oui, a-t-il dit, il se meurt. » J'ai dit : « Est-ce que sa femme est là ? »

Il a dit : « Oui. » J'ai dit : « Est-ce que sa femme porte un ensemble brun avec un corsage blanc et qu'elle est une femme aux cheveux grisonnants ? »

Il a dit : « Certainement. »

J'ai dit : « Est-ce que lui porte un costume clair ? Est-ce qu'il a des cheveux grisonnants, et porte une cravate rouge ? »

Il a dit : « C'est ce qu'il porte tout le temps. Pourquoi ? Le connaissez-vous ? »

J'ai dit : « Oui, oui. Dites à sa femme de venir au téléphone. »

Il a dit : « Eh bien, Frère Branham, j'ai dit qu'on s'attendait à ce qu'il s'en aille à tout moment. »

J'ai dit : « Eh bien, dites-lui de venir au téléphone. »

Il a dit... Eh bien, il a dit : « Je lui ai déjà dit que vous aviez dit qu'il allait mourir. »

J'ai dit : « Mais j'aimerais qu'elle vienne au téléphone. »

Elle est venue au téléphone et j'ai dit : « Salut. » Et je lui ai demandé si c'était elle.

Elle a dit : « Oui. »

Alors j'ai dit : « Eh bien, c'est Frère Branham. » Elle a dit : « Oui. » Elle a dit : « J'ai entendu, Frère Branham. » J'ai dit : « Mais écoutez, sœur. Etes-vous prête maintenant ? » Elle a dit : « Que voulez-vous dire ? »

J'ai dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre mari vivra. » J'ai dit : « Est-ce que-est-ce que... Croyez-vous cela ? » Je n'entendais pas de réponse. J'ai dit : « Croyez-vous cela ? » Je n'arrivais pas à entendre de réponse.

62    Je me suis dit... Alors, j'ai entendu quelqu'un s'agiter là, elle s'était évanouie. Et le... Elle était tombée par terre. Et alors, frère Kenny a pris le

combiné : « Qu'est-ce qui se passe, Frère Branham ? La femme s'est évanouie.

»

J'ai dit : « Je lui ai dit : AINSI DIT LE SEIGNEUR, son mari va vivre. »

Il a dit : « Quoi ? »

J'ai dit : « Oui, il va vivre. »

J'ai dit : « Je l'ai décrit. Je l'ai vu en vision il y a quelques instants. Elle va vivre... ou plutôt il va vivre. »

Il a dit : « Oh! puis-je venir vous chercher ? »

J'ai dit : « Attendez le prochain vol. Je serai là. »

63       [Espace vide sur la bande-N.D.E.] ... allé à cet hôpi... [Espace vide sur la bande] ...?... les médecins étaient là. Je suis entré. Voici venir sa sœur dans le hall, elle a dit : « En voilà une idée ...?... Un prédicateur saint exalté par ici, alors que mon frère se meurt là. Je pense que c'est une disgrâce. »

Oh ! la la ! Cela ne pouvait pas... Rien ne pouvait arrêter la chose. Le diable ne pouvait pas envoyer assez de diablotins de l'enfer pour arrêter cela. Il n'y a rien. Il n'y a rien. C'était absolument là. C'est tout. Il avait déjà été dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» C'est là. Oh ! vous ne savez pas comment je m'étais senti en entrant là!

J'ai parcouru le hall, et voici venir une infirmière, sortant de là, vous savez. Et j'ai dit : « Y a-t-il quelqu'un là-dedans, madame ? »

Et elle a dit : « Oui, il y a deux médecins à l'intérieur. »

J'ai dit : « Dites-leur de sortir. » Oh ! la la ! Oh ! la la ! Vous ne savez pas comment je m'étais senti. Dans la chambre, il n'y avait que ces deux. Je suis allé là...

Mes amis, vous... Je sais que vous pensez... Certains parmi vous me taxent de fanatique, mais Dieu est mon Juge, Lui que je sers. Je suis entré dans cette chambre, comme cela, et ces médecins en sont sortis, avec un regard très sarcastique, vous savez. Je suis entré, et la pauvre sœur, elle était bien sur le point de s'évanouir. Alors, j'ai dit : « Maintenant, ne vous en faites pas. »

64     Je n'avais pas mon veston, et j'avais emprunté celui de frère Brown. Et j'avais cette-cette Bible enfouie dans la poche. Et le veston était trop grand pour moi ; je le trimbalais tout simplement pour faire ...?... J'avais l'air très bizarre. C'était un temps froid. Et alors, j'ai déposé le veston sur la chaise, je lui ai dit : « Eh bien, allez prendre la Bible et prenez tel passage des Ecritures », ce que j'avais vu là dans Esaïe. Et il... elle s'est mise à lire cela.

Je-je-je l'ai regardée, et ses yeux étaient ternes, vous savez, là, ses yeux étaient comme, vous savez, cette eau qui sort. Sa bouche était renvoyée en arrière ; ses oreilles étaient à peu près comme cela. Il était couché là, sous cette tente à oxygène-oxygène, comme ça, vous savez.

65     Et j'ai pris... j'ai introduit la main sous la tente à oxygène et j'ai saisi sa main. Il y eut une vibration qui s'est fait sentir. Alors, je l'ai secoué un peu. J'ai dit : « M'entendez-vous, monsieur ? »

Elle a dit... Il a dit : « Oui, oui. » Ça faisait environ deux jours, là.

J'ai dit : « Ne... Vous ne-vous ne doutez pas d'une parole que je dis, n'est-ce pas ? »

Elle a dit : « Absolument pas. Je ne doute de rien. » C'est une brave petite femme.

J'ai saisi la main de son mari. J'ai dit : « Dieu bien-aimé, Toi qui m'as parlé ce matin dans une vision, je sais que ces gens sont ...?... Jonesboro, dans l'Arkansas... ou... Car je me tenais sur cette estrade-là et ceux-ci sont l'homme et la femme en question. » J'ai dit : « Maintenant, que l'Ange de Dieu parle. » J'ai senti la vibration quitter. J'ai tout simplement continué à prier.

Je l'ai senti saisir ma main. Je savais que Dieu était là. Je l'ai senti saisir ma main ; je savais que la vie était là. Directement, j'ai levé les yeux, et je l'ai vu commencer à mouiller ses lèvres. Elle était toujours là au chevet du lit, pleurant. Et j'ai attendu juste un tout petit peu, et je l'ai aussitôt vu regarder comme cela. J'ai dit : « Me connaissez-vous ? »

66    Et elle s'est très vite levée et elle a regardé. Elle l'a vu relever la tête,

comme sur sa main, comme ceci, me regardant. J'ai dit : «Me connaissez-vous?»

Il a dit : « Oui, c'est frère Branham. »

Oh ! la la ! Elle a failli foncer sous cette tente à oxygène. Elle a dit : « Papa, papa, papa, papa, » comme cela, elle l'a saisi, comme cela, et elle s'est mise à l'embrasser et tout. Je me suis tout simplement glissé hors de la chambre comme cela, pendant qu'ils continuaient ; j'ai descendu les marches, je suis retourné à l'avion. Quand je me dirigeais vers l'avion, les Assemblées de Dieu avaient assez de gens là, je ne sais pas où ils étaient... Ils passaient par la ligne. Il y avait une petite fille qui avait la polio. Ils ont dû lui jouer... l'amener au piano.

Et lorsque je me suis arrêté là à l'avion... le prochain voyage après ceci, j'étais assis là dans un restaurant, et une jeune fille s'est approchée et s'est assise à côté de moi. Elle a demandé : « Vous souvenez-vous de moi, Frère Branham ? » Je pensais... J'avais failli m'évanouir là même quelques instants. Et j'ai dit : « Non, madame. Non. »

Elle a dit : « Vous avez prié pour moi. J'avais la polio ...?... là-bas. » Et là... [Espace vide sur la bande.-N.D.E.]

67    Et le troisième... le deuxième jour après cela, l'homme avait quitté son lit, il s'était rasé, il prenait le jambon et les œufs comme petit déjeuner, il était rentré chez lui et il avait repris son travail. Il vit là maintenant. Pourquoi ? C'est l'AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez-vous ce que je veux dire ?

Maintenant, vous, les gens de Phoenix, voici ce que c'est. C'est ainsi que Dieu veut que ce don opère parfaitement. Comprenez-vous cela, vous tous ? Si vous comprenez, dites : « Amen. » [L'assemblée dit : « Amen. »-N.D.E.] Maintenant, rappelez-vous, écrivez à cet homme pour qu'il vous donne ce témoignage. Révérend G.H. Brown, 505 Victor Street, Little Rock, dans l'Arkansas. Et l'autre, c'est Harold Nail, à South Boston, dans l'Indiana. Et John Emmel, à Utica, dans l'Indiana, RFD 2. Maintenant, pour ces témoignages... Cas après cas...

68     Maintenant, quand l'Ange de l'Eternel parle comme cela, rien ne peut résister devant cela. C'est absolu... Alors quel... ma foi ? Eh bien, je sais que ça va arriver. Ça ne sert à rien de dire quoi que ce soit de plus là-dessus ; ça doit arriver. Si cette personne était morte et qu'elle se trouvait dans la tombe depuis vingt ans, et qu'il disait : « Va là-bas et parle », je croirai que tous les cieux seraient ébranlés de leur orbite avant que l'on refuse d'exaucer cette prière. Dieu fera cela. Là, c'est quand il y a réellement l'AINSI DIT LE SEIGNEUR.

Eh bien, quand nous venons à ces réunions, je détecte les vibrations. Parfois je peux demander des vibrations, et Dieu honorera ma prière. Il enverra cela. C'est vrai. Mais s'il y a quelque chose entre vous et Dieu, et que vous n'arrangez pas cela... Si votre foi est faible et que vous attendez simplement une ligne lente afin que cela puisse être rejeté... si votre foi n'est pas tout à fait au point, cela reviendra directement sur vous. Cela ira ailleurs. Car j'ai prié pour les gens. Je vous ai caché cela. Mais j'ai prié pour des gens qui viennent dans la ligne, et je les ai placés quelque part là, puis je suis retourné dans quinze minutes vérifier sur eux, cela était revenu sur eux. Voyez ?

69    Votre foi est l'unique chose qui peut vous faire du bien, votre foi, votre foi en Dieu. Voyez-vous ce que je veux dire ? Sans la foi, c'est impossible. Est-ce vrai ? Maintenant, croyez cela de tout votre cœur, quand vous passerez, que vous allez être rétabli, et vous serez en bonne santé. Si vous ne croyez pas, cela ne sera pas guéri, peu importe ce qui arrive. Vous ne serez pas guéri, à moins de croire cela de tout votre cœur.

Maintenant, écoutez. Combien parmi vous peuvent dire que je porte une chemise blanche ? Combien parmi vous, là maintenant, disent que j'ai une chemise blanche ? Comment savez-vous que je porte une chemise blanche ? Vous la voyez. C'est l'unique moyen pour vous de le savoir. Etes-vous sûrs que c'est blanc ?

Eh bien, alors, écoutez. La vue, c'est un sens du corps. Est-ce vrai ? La vue, c'est l'un des sens. Combien de sens y a-t-il dans le corps ? La vue, le goût, le toucher, l'odorat et l'ouïe. Combien de sens y a-t-il pour l'esprit ? Deux : la foi et le doute.

Etes-vous deux personnes en vous-même ? Vous êtes l'âme... Votre âme, c'est la nature de l'esprit, naturellement. Mais maintenant, vous êtes corps et esprit. Est-ce vrai ? Vous êtes un corps, une chair, et vous êtes à l'intérieur, donc l'esprit. Est-ce vrai ? Très bien. L'extérieur... L'homme intérieur quitte, l'homme extérieur meurt. Est-ce vrai ? [Espace vide sur labande-N.D.E.]

70     Je pense que j'ai ce ...?... maintenant ...?... Très bien. Maintenant, regardez ici. Je crois qu'un homme se tient devant moi maintenant et qu'il porte un veston sombre. Combien pensent que j'ai raison ? [Espace vide sur la bande.-N.D.E.] Il porte une chemise blanche. Croyez-vous que j'ai raison ? Très bien. Maintenant, représentez-vous, je sais qu'il se tient là. Je le vois. Est- ce vrai ? Y a-t-il un autre moyen au monde par lequel je puisse dire qu'il est là, en dehors de la vue ? C'est l'unique moyen, n'est-ce pas ?

Maintenant, regardez ici. Eh bien, je ne vois pas cet homme maintenant, n'est- ce pas ? Mais il se tient toujours là. Comment est-ce que je sais qu'il se tient là ? Je le sens. C'est le sens de toucher. Tout celui qui a le sens de toucher reconnaîtra la même chose. Maintenant, peut-être qu'il discute avec moi, je ne le vois pas. Mais cependant, je le touche. Je ne le touche pas, cependant je le vois. Voyez-vous les sens ? Ils sont directs, n'est-ce pas ? Ils sont parfaits, ce que vous appelez parfait.

71     Mais puis-je me tromper là-dessus ? Assurément que je le peux. Il se peut que je sois daltonien. Ce veston... Il se peut que vous soyez daltonien. Oui, oui. Il se peut que vous soyez... Il se peut que ça soit tout à fait différent. Il se peut qu'il ne porte pas une chemise blanche. Vous n'êtes pas... Mais vous jurerez par cela. Est-ce que je le touche ? Je dirais qu'il se tient là parce que je le touche. Voyez ? Mais il se peut que je me trompe là-dessus. Et pourtant, je le sais, je le crois vraiment de tout mon cœur, qu'il se tient là, car le sens de toucher déclare qu'il est là.

Maintenant, j'aimerais que vous remarquiez. (Allez au piano.) J'ai un autre sens. Je voudrais que vous remarquiez ceci. Si... (Appuyez sur une touche) [Un frère joue une note sur le piano-N.D.E.] J'entends la musique. Il y a la musique dans la salle. (Continuez à appuyer cela, frère, appuyez toutes les touches du clavier là.) Combien entendent cela ? Combien savent que cela... Est-ce que je vois cela ? Est-ce que je touche cela ? Est-ce que je goûte... [Espace vide sur la bande] Est-ce que je sens par l'odorat... [Espace vide sur la bande] Comment est-ce que je sais qu'on joue la musique là ? J'entends cela. C'est le sens de l'ouïe. Voyez ?

72     Eh bien, je sais que quelqu'un dirait : « Il n'entend pas cela. » Si, je l'entends. Jouez cela de nouveau, frère. Je sais que j'entends cela, n'est-ce pas ? Pourquoi ? Vous entendez cela. Vous ne voyez pas cela, mais vous entendez cela. Vous ne voyez pas la musique, n'est-ce pas ? Vous ne goûtez pas la musique, vous ne la touchez pas, n'est-ce pas ? Mais comment reconnaissez- vous que c'est de la musique ? Vous entendez cela. C'est vrai.

Eh bien, frère, la foi est une ferme assurance des choses que l'on espère, une démonstration de celles que l'on ne voit pas, que l'on ne goûte pas, que l'on ne touche pas, que l'on ne sent pas, ou que l'on n'entend pas. Vous savez cela. C'est une foi.

Oh ! que Dieu bénisse vos cœurs. Je souhaiterais pouvoir vous amener à voir cela. Ecoutez ceci, mes amis, c'est certain. Est-ce que cette chemise est blanche ? Bien, la guérison est réelle, si vous croyez [Espace vide sur la bande.-N.D.E.]

Une ferme assurance, non pas ce que vous... La plupart des gens espèrent tout simplement, en disant : « Oh ! je crois que je serai guéri. » Sur mille personnes qui passent, neuf cent quatre-vingt-dix-neuf ne connaissent pas le principe élémentaire de la foi. C'est vrai. Ils ont l'espérance au lieu de la foi. La foi est sûre.

73     Oh ! je... réel, quand vous pouvez être sûr que cela va arriver. Si vous êtes sûr que vous serez guéri cet après-midi... Si votre sens de la foi... Voici ce que c'est, comprenez cela. Si votre sens de la foi vous déclare que ce don vient de Dieu et que vous allez être guéri, tout autant que votre vue déclare que cette chemise est blanche, vous allez assurément recevoir cela, lorsque vous passerez. Voyez-vous ce que je veux dire ?

Maintenant, si vous pouvez faire confiance au côté humain, pourquoi ne pas faire confiance au côté super humain ? Si vous pouvez faire confiance au corps, pourquoi ne pas faire confiance à l'esprit ? En effet, l'esprit est supérieur au corps. Amen. Voilà. Voyez-vous ce que je veux dire ? Il s'agit de la foi, une ferme assurance des choses que l'on espère.

74     Ecoutez. Ce n'est pas ceci... ce n'est pas ceci : « Je le crois, je pense à cela. » Vous en êtes sûr. C'est une ferme assurance des choses que l'on espère, une démonstration de celles que l'on ne voit pas, l'on ne goûte pas, l'on ne touche pas, l'on ne sent pas, l'on n'entend pas. Si vous le croyez, ça sera là, de toute façon.

Certaines personnes s'en vont et disent : « Eh bien, je ne me sens pas mieux. L'on a prié pour moi la semaine passée. » Ah ! Probablement que vous ne vous êtes jamais senti mieux non plus. C'est vrai. Il vous faut croire cela. Sinon...

Jésus n'a jamais dit : « Avez-vous senti cela ?» Il a dit : « Avez-vous cru cela ? » Vous croyez cela. Et vous avez la foi, vous savez cela. Alors, quand cette révélation de la part de l'Ange vient, il n'y a pas assez de démons en enfer pour pouvoir empêcher cela de s'accomplir.

Eh bien, n'allez pas ici et là, en disant : « Eh bien, je ne me sens pas bien depuis deux ou trois semaines, depuis qu'on a prié pour moi. Je ne me sens pas mieux.» Ne prêtez pas attention à cela. Si vous croyez réellement que c'est un don de Dieu, levez-vous et, peu importe ce que vous sentez, allez en vous réjouissant et en louant Dieu. C'est fini. C'est tout. Vous le savez.

75     Quand j'avais été guéri de la gastrite, eh bien, je me rappelle que je me tenais le ventre en marchant, là. Et après qu'on avait prié pour moi, je n'avais personne avec le don de guérison pour prier pour moi. Un ancien m'avait oint d'huile. Il m'avait dit... J'avais lu dans la Bible. J'avais vu que la Parole de Dieu était vraie. Et je sais qu'il en avait le droit. Même s'il était un prédicateur baptiste, il est venu oint : « La Bible le dit. » Il a déversé de l'huile sur ma tête. Il a dit : « Maintenant, croyez-vous que vous serez rétabli ? »

J'ai dit : « ...?... O Dieu, je demande de tout mon cœur d'être guéri. » Je suis directement rentré à la maison pour me mettre à manger. Je prenais la boisson à base d'orge et le jus de prune depuis environ trois, quatre mois. Le médecin avait dit : « Une seule bouchée de nourriture solide vous tuerait sur-le-champ. » Savez-vous ce que j'ai fait ? Je suis directement rentré à la maison, et nous prenions du pain de maïs, des haricots et des oignons pour dîner.

Je ne sais pas si vous avez déjà pris cela comme ça ou pas. Mon vieux, c'est bon. Je peux en supporter maintenant même. Et... maman avait fait cuire... Ma mère avait fait cuire un gros vieux pain de maïs avec cela dedans, comme cela. Et je prends toujours le bout, c'est bon et ça a de la graisse, vous savez, et c'est croustillant.

Ainsi, à la maison, nous sommes toujours assez baptistes pour rompre le pain. Vous savez, nous ne le coupons pas. Jésus rompait le pain et le bénissait. Ainsi, nous le faisons cuire dans... Et vous étendez simplement la main et vous en rompez un morceau. Alors, je...

76 Maman a dit... Nous ne priions jamais à la maison. Et papa... papa était catholique. Alors, je—j'ai dit : « Maintenant, je vais essayer de demander une bénédiction. »

Et je n'oublierai jamais mon pauvre vieux papa, comment il avait crié. Et maman a dit : « Mon souci, ce n'est pas que tu aies de la religion, chéri, mais que tu... le médecin a dit que cela te tuerait. »

J'ai dit : « Mais Dieu a dit que je vivrais. [Espace vide sur la bande-N.D.E.] Si je meurs... Et si je meurs, je rentrerai à Ta maison. Et quand je Te rencontrerai à la porte, je serai mort en faisant confiance à Ta Parole. » J'ai dit : « J'ai assez longtemps tenté avec les médecins. Ils n'arrivent pas à me faire du bien.»

Et j'ai pris une bonne bouchée de haricots et un oignon, et j'ai mordu à belles dents un très gros morceau de ce pain de maïs, et j'ai commencé par cela. Et je l'ai mâché. Cela avait un très bon goût, un peu drôle, mais... Je n'avais pas mangé de la nourriture solide depuis environ plus d'un an. Et quand j'ai avalé la première bouchée, voilà, elle est aussitôt remontée. Et alors, j'ai mis la main sur la bouche pour empêcher cela de sortir. J'ai pris encore une autre cuillérée jusqu'à ce que j'en ai terminé tout un plat, qui en était plein. Quand je me suis levé de la table, il m'a fallu tenir la main. Tout aussi aigre que l'acide peut l'être.

Maman a fait venir le médecin. Elle a dit : « Il va mourir. C'est tout. Une seule bouchée le tuera. C'est tout... »

J'étais là, parcourant la salle, vous savez. Elle a dit : « Es-tu... comment te sens-tu ? »

J'ai dit : « Merveilleux, bien. »

Elle a dit : « Tu es sur le point de mourir. »

J'ai dit : « Non, maman. » Et j'avalai tout aussi vite que possible, de l'eau chaude dans ma bouche, vous savez, c'est passé de l'autre côté, et j'ai vu que tout était fini. Je suis entré dans la chambre, je me suis mis à parcourir la chambre, en disant :

Je peux, je vais, je crois vraiment,

Je peux, je vais, je crois vraiment, Je peux, je vais, je crois vraiment, Que Jésus me guérit maintenant. Je Te prendrai au Mot, Je Te prendrai au Mot...

... comme cela, vous savez. J'ai continué, croyant cela de tout mon...

77    J'étais devenu très faible, j'ai failli tomber sur le lit, comme cela; je pensais : « Oh ! Miséricorde, miséricorde. » Et je me suis levé le lendemain, je descendais la rue, vous savez. Oh ! la la ! Je ne me faisais pas de soucis. Maman est rentrée. Elle avait veillé sur moi toute la nuit, pensant que j'allais sûrement mourir, vous savez. Le lendemain matin, tous les haricots étaient bien là, au même endroit. Elle a dit : « Que veux-tu ? »

J'ai dit : « Je veux encore les haricots et du pain de maïs. » Oui... Oh ! le diable n'allait pas me dérober cela. Non, non. Dieu l'a dit.

Et chaque promesse dans le Livre est mienne,

Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne. (Est-ce vrai ?)

Je me confie en Sa Parole divine,

Car chaque promesse dans le Livre est mienne.

C'est vrai. 11-11... Je préférerais qu'il dise : « Quiconque veut » plutôt que de dire : « William Branham. » Il se peut qu'il y ait une centaine de William Branham. Mais chaque : « Quiconque veut », je sais que cela s'applique à moi. C'est vrai. J'ai simplement dit : «Je Te crois. » Oui, oui. Et je me suis mis à descendre la rue... On me demandait : « Comment vous sentez-vous, Frère Branham ? »

Et je répondais : « Merveilleux. » Je descendais la rue faisant... la bouche pleine de haricots, je les ravalais. Non, non. Je n'allais pas les cracher. Non, non. Je les ravalais. Le Seigneur les bénissait. Ils étaient miens. Cela a continué...

Je descendais là, quelqu'un disait : « Salut, Frère Branham. » Je disais : « Salut. » « Comment te sens-tu ? » « Merveilleux. »

78    II n'y a pas longtemps, quelqu'un m'a parlé, disant : « Frère Branham, tu mentais. » Non, je ne mentais pas. Non, je ne mentais pas. Eux me demandaient comment mon corps se sentait, moi, je répondais en disant comment ma foi se sentait. C'était merveilleux. Oui, oui. Certainement. Ma-ma foi se sentait merveilleusement bien, parce que j'avais pris Dieu au Mot. Peu m'importait comment je me sentais. Même si je continuais à avoir un renvoi, je disais toujours que j'étais guéri. Amen. C'est vrai. Assurément, parce que la Parole de Dieu est vraie. Croyez-vous cela ? Chantons cela alors.

Chaque promesse dans le Livre est mienne,

Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne,

Je crois en Son cœur divin,

Chaque promesse dans le Livre est mienne.

Vous tous les malades, pour qui on va prier maintenant, chantez cela avec moi.

Chaque promesse dans... (levez la main) est mienne,

Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne,

Je crois en Sa Parole divine.

Chaque promesse dans le Livre est mienne

Que devons-nous faire ?

Crois seulement,

Crois seulement, (C'est tout ce qu'il vous faut faire.) Tout est possible, Crois seulement.

79 Je ne suis pas fameux comme conducteur de chants. Mais je sais vraiment, dans mon cœur, qu'il vous faut croire cela. Est-ce vrai ? Très bien. Maintenant, frère, donnez-nous-en l'accord et nous suivrons cela. Très bien. Tout le monde, une fois de plus maintenant :

Crois seulement,

Crois seulement,

Tout...

La Bible le dit, n'est-ce pas ? Dieu n'a-t-Il pas dit cela ? Ne vous a-t-Il pas promis le don ? Ils sont ici. Les autres sont guéris, ne le pouvez-vous pas ? Vous ? Vous ? Ne le pouvez-vous pas ?

... crois seulement.

Tout est possible, (Gloire à Dieu. Assurément.)

Crois seulement.

Seigneur, je crois maintenant (Croyez-vous ?),

Seigneur, je crois,

Tout est possible,

Seigneur, je crois,

Seigneur, je crois,

Seigneur, je crois,

Car tout est possible,

Seigneur, je crois.

Ecoutez. Si je ne ...?... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] ...au Jugement, je dirai toujours que je crois que chaque promesse est vraie. C'est vrai. Croyez- vous cela ? Très bien.

80     Inclinons la tête maintenant, jouez bien cela, s'il vous plaît, frère. Inclinons la tête maintenant, pendant qu'on s'apprête pour la prière.

Notre Père céleste, nous Te remercions aujourd'hui pour chaque promesse dans le Livre. Nous Te remercions pour avoir fait descendre le Saint-Esprit pour les-les gens qui Le possèdent, et pour la salle. Et nous Te prions, ô Dieu, de les sauver tous et de les faire entrer dans Ton Royaume en ce jour-là, car ils ont été gentils en ouvrant-ouvrant leurs portes pour nous laisser entrer. Bénis tout le monde. Bénis les médecins de cette ville. Bénis toutes les infirmières, les asiles.

O Dieu, que les gens sachent que je suis ici pour essayer d'aider la pauvre humanité qui souffre. Je ne suis pas ici pour une quelconque cause, si ce n'est d'essayer d'aider ces gens aux yeux enfoncés, malades, qui se meurent. Et, ô Dieu, comment quelqu'un oserait-il dire quelque chose de mal contre quelque chose de ce genre, alors qu'on s'efforce de leur présenter un Christ aimable, qui guérit toute maladie et toute affliction ?

81     Bénis Tes ministres, Seigneur. Puissent-ils être des tisons oints. Et qu'un réveil à l'ancienne mode éclate maintenant ici, à Phoenix, et qu'ils aillent d'une église à une autre, d'un lieu à un autre, jusqu'à ce que cet endroit devienne un endroit dont toute la nation dira : «Allez à Phoenix, en Arizona, car le Saint-Esprit se déverse encore là et de grands signes et des prodiges s'accomplissent parmi les gens. » 0 Dieu! Tu sais combien j'aime cette petite ville! Et je Te prie de la garder, Seigneur. Accorde cela, Seigneur, et envoie un réveil à l'ancienne mode.

Guéris tout le monde, Père. Et puisse Ton Ange que j'ai essayé de présenter au peuple clairement, disant que je ne peux parler que quand Lui parle... Ma prière, c'est uniquement pour la foi des gens. Mais, ô Dieu, puissent-ils avoir la foi pour croire cet après-midi, alors qu'ils passent par cette ligne. Il y a plusieurs centaines de gens. Et quand ils passeront, puissent-ils être guéris, et nous Te rendrons toutes les louanges et toute la gloire, car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.

82     Maintenant, comme un petit cantique d'adieu, pendant qu'on termine la ligne de prière, donne-nous l'accord là, frère, de II prend soin de toi. Le veux- tu ? «Il prend soin de toi », vous savez.

II...

C'est ce que je veux vous chanter et, vous, chantez-le-moi donc en retour, tout le monde. Combien connaissent cela ? Il prend soin de toi. Faites voir les mains (Très bien. Entonnez-le-nous maintenant. Très bien.)

Il prend soin de toi,

Il prend soin de toi,

Tant le jour que la nuit,

Il prend soin de toi.

Chantons-le maintenant tous ensemble. Allons-y. Il prend soin de toi, Il prend soin de toi, Tant le jour que la nuit, Il prend soin de toi.

83     Ecoutez. Laissons cette aile du milieu chanter cela pour le reste parmi vous. Chantez-le avec moi, juste cette aile du milieu, par ici. Allons-y donc.

Il prend soin de toi, (ils chantent pour vous tous.)

Il prend soin de toi,

Tant le jour que la nuit,

Il prend soin de toi.

Que tous les malades qui peuvent se lever, tous les malades, levez-vous, ceux qui vont passer dans la ligne de prière. Maintenant, vous ici qui êtes bien portants, que vous et moi, nous chantions cela pour les malades qui vont passer dans la ligne de prière.

II... (désignez-les du doigt.)

Il prend soin de toi,

Il prend soin de toi,¶Tant le jour que la nuit,

Il prend soin de toi. (Que tout le monde se lève maintenant.) II...

84     Maintenant, retournez-vous et serrez la main à votre voisin. Que tout le monde chante II prend soin de toi. Serrez la main à quelqu'un à côté de vous.

Il prend soin de... (C'est bien. Retournez-vous pour une bonne poignée de main.)

Il prend soin de toi. (Chantons-le une fois de plus.) Il prend soin de toi, Il prend soin de toi, Tant le jour que la nuit, Il prend soin de toi.

Disons tous : «Amen. » Allons-y. Cela ne vous fera pas de mal. Maintenant, disons : «Gloire au Seigneur. » Allons... Gloire au Seigneur. Maintenant, écoutons-nous tous dire ensemble : «J'aime mon voisin. » [L'assemblée dit : «J'aime mon voisin. »-N.D.E.] Désormais, j'essaierai d'être un serviteur de Christ. [Désormais, j'essaierai d'être un serviteur de Christ.]

Il prend soin de... (Oh ! la la! Entrons du coup là-dedans.)

Il prend soin de toi,

Tant le jour que la nuit,

Il prend soin de toi.

85      (Plus lentement, frère.) Maintenant, inclinons la tête. Le gouverneur de votre Etat est dans un état critique, il m'a envoyé un mot pour que je prie pour lui maintenant. Inclinez la... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] O, Père! qui collabores vraiment avec nous dans l'amour. Cet homme qui est à un niveau plus élevé, là sur le siège, régnant sur le peuple...

O Dieu! épargne la vie à notre gouverneur d'ici, de l'Arizona. O Dieu! nous l'aimons et nous savons que Tu l'as placé là pour veiller sur les gens et sur les biens de la nation ici dans-dans cet Etat. Et je Te prie de lui envoyer Ton Ange maintenant même et de lui faire savoir que nous sommes en train de prier pour lui maintenant. Et, ô Dieu, exauce notre prière, et puisse-t-il se rétablir immédiatement. Puisse-t-il être en bonne santé et qu'il T'aime tous les jours de sa vie. Accorde-le, Père. Je réclame la vie du gouverneur, qu'elle soit épargnée, au Nom de Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant. Amen.

Maintenant, restez tous assis. Merci.

[Un frère donne des instructions aux gens dans la ligne de prière et aux huissiers] (Osbush ?) Gouverneur Osborn, de sa part.

86     Très bien. Eh bien, tout le monde, soyez vraiment respectueux maintenant. Nous allons commencer la ligne de prière. Et vous-vous, les huissiers, vous savez comment continuer à faire avancer les gens dans la ligne. Je prierai pour tout le monde, autant que possible.

Bon, je vous dirai ce qui est arrivé. Maintenant, je ne sais pas ce qui va arriver le long de la ligne, mais je sens qu'il y a du bruit dans des mûriers. C'est vrai. C'est un... J'aurais souhaité que nous ayons environ huit ou dix jours, là, vous pourriez bien continuer à monter et vous gagnerez du terrain ici. C'est vrai.

Maintenant, il est-il est 16h 30. Bon, je ne sais pas à quelle heure nous sortirons. Nous sortirons après avoir prié pour tout le monde. C'est vrai. Ainsi donc, c'est ce que j'aimerais faire. Et je vous remercie tous pour votre gentillesse. En effet, probablement, quand je serai donc sous l'onction, je ne voudrais pas en sortir. Voyez ? Et je remercie chacun de vous pour votre gentillesse.

87     M'aimez-vous toujours comme votre frère ...?... Eh bien, je vous aime toujours et j'ai une confiance totale en vous. J'espère que vous en avez en moi. Et puisse Dieu veiller sur nous et veiller parmi nous jusqu'à ce que nous nous revoyons. Et si c'est au Jugement, ma prière est que nous nous retrouvions tous assis sous l'Arbre de la Vie, et je passerai chaque tranche de mille ans à parler avec vous tous. C'est vrai. Ainsi, que Dieu vous bénisse maintenant.

Et maintenant, si vous devez rentrer chez vous, quand vous vous lèverez, allez avec révérence. Mais si c'est pour chasser un mauvais esprit...

Parfois, je sens, quand une personne vient vers moi, je sens cette pression de la foi s'exercer sur moi. Peut-être que c'est un aveugle, un sourd ou un muet. Quand je sens cette pression s'exercer sur moi, que je sais que c'est la foi, généralement je m'arrête comme cela. En effet, si les gens ont foi pour que cela s'accomplisse, peu importe ce qui ne va pas en eux... Mais si je ne sens pas cette foi, j'offre tout simplement une prière de foi et je les laisse passer. Voyez-vous ce que je veux dire ? Vous comprenez tous, n'est-ce pas ?

88     Très bien. Maintenant, que tout le monde incline la tête et soit dans la prière maintenant.

Dieu bien-aimé, notre sœur passe maintenant. Qu'elle ne s'y prenne pas selon ses sentiments, mais suivant sa foi. Puisse-t-elle aller, guérie, au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, petite dame.

Maintenant, j'aurais souhaité que tous les prédicateurs qui sont ici puissent collaborer, qu'ils parcourent cette ligne-ci, parlent à ces gens et prient pour eux, si vous le voulez. Tous les prédicateurs collaborateurs qui le veulent, qu'ils parcourent cette ligne de prière là et prient. Dieu exauce vos prières, frères, vous tous qui êtes prédicateurs.

Jésus, aie pitié de notre sœur et guéris-la. Accorde-le, Seigneur. Au Nom de Jésus-Christ, puisse celle-ci être guérie. C'est bien, jeune dame. Allez maintenant, en vous réjouissant.

Que Dieu vous bénisse, frère. Vous êtes dans un état critique. Vous en êtes conscient, n'est-ce pas ?

89     O Dieu, je pense maintenant à la radiographie qui vient d'arriver, il y a quelques instants sur le témoignage de ce médecin. Plus de la moitié de ses poumons sont... étaient abîmés, et les rayons-x montrent cela. Maintenant... Ici même à Phoenix... Et maintenant, le suivant qu'on lui a tiré n'a rien montré.

O Christ, s'il Te plaît, aie pitié de cet homme qui est venu depuis tout là-bas, de ce bel Etat d'Ohio, mon voisin, pour qu'on prie pour lui ici en Arizona.

Toi, démon, sors de lui au Nom de Jésus-Christ.

Maintenant, bien-aimé frère, vous êtes mon voisin là-bas. Ne doutez pas. La vibration que vous aviez s'est arrêtée. Maintenant, si vous pouvez croire cela de tout... Sentez-vous cela ? Très bien. Que Dieu vous bénisse.

Disons : «Gloire au Seigneur », tout le monde. Gloire au Seigneur, tout le monde. Cet homme est venu d'Ohio jusqu'ici, pour qu'on prie pour lui, c'est mon voisin là-bas.

90    Très bien, maintenant, inclinez la tête. Oh ! la la ! Pourquoi n'avez-vous pas ce genre de sentiment tout le temps ici à Phoenix ? C'est le genre de sentiment qu'il vous faut pour que les gens soient guéris. Maintenant, inclinez la tête, tout le monde donc.

Oui, oui. Vous savez, monsieur, que votre temps arrive à sa fin, pour le pèlerinage de la vie, à moins que quelque chose ne soit fait. Où habitez-vous, monsieur ? Fennell. Très bien. Ayez foi maintenant. Ne doutez pas. Ayez simplement foi. Vous souvenez-vous de ce que je vous ai dit ? Croyez simplement de tout votre cœur.

Père céleste, je prie maintenant pour mon frère qui a le cancer. Sa vie est rongée par cette grande ramification du cancer. Tu es l'unique qui peut le débarrasser de cet octomus, ce démon qui étend ses puissances et ses membres là pour ronger la vie même de cet homme. Père, c'est notre frère. Et nous venons auprès de Toi en tant que Tes enfants.

Toi, démon, sors de lui au Nom de Jésus-Christ.

Frère, vous pouvez vous-même regarder ma main. Elle est dégagée. Allez en vous réjouissant. Que Dieu vous bénisse...

O Jésus de Nazareth, je Te prie d'aider notre sœur ici, qui souffre à cause de cette puissance hideuse qui la dérange.

Satan, sors de cette femme au Nom de... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, vous, là-bas.

91     Que Dieu vous bénisse, sœur. Père, je crois que cette femme pour qui nous sollicitons cette bénédiction maintenant mérite ce que nous demandons ; c'est la femme de notre frère, Ton serviteur. Et elle est continuellement au travail ici. Récompense-la pour sa bonne collaboration, Père, en la guérissant aujourd'hui. Veux-Tu exaucer la prière de Ton serviteur ? O Dieu, c'est Toi qui m'avais envoyé chez Harod Nail, c'est Toi qui m'avais envoyé à Utica, là chez frère Emmel, et là chez l'homme de Little Rock, et à divers endroits ; c'est Toi qui as accompli ces choses. Exauce la prière de Ton serviteur alors que nous passons vite ici, et délivre cette femme de ceci, aujourd'hui même. Je le demande au Nom de Jésus Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur Outlaw. Ne vous en faites pas. Je crois que vous allez vous porter très bien.

92     Bien. Je viens d'entendre le témoignage de sœur Outlaw. Je l'ai dépêchée pour prier pour sa sœur l'autre soir, qui était sérieusement malade. Et elle a récupéré et elle s'améliore, et le petit garçon, le petit garçon espagnol, le petit frère Joseph... Je ne l'ai pas vu aujourd'hui. J'aimerais voir Joseph avant de partir. Voudriez-vous m'amener dans la chambre de ce petit garçon espagnol, dont on pensait qu'il allait mourir? Il était couché là, le cerveau écrasé et tout. Le petit garçon a repris conscience, il était guéri, il est sorti de l'hôpital et est rentré à la maison. Gardez la tête inclinée pendant que nous prions maintenant. (Vous pouvez demander là-bas.)

93     Père, je Te prie d'aider notre frère maintenant à se rétablir. Satan, je t'adjure de quitter le jeune garçon, au Nom de Jésus-Christ. La maladie de nerfs a quitté là. Que Dieu vous bénisse, mon bien-aimé frère. Allez avec foi maintenant.

Je vois que vous portez un cornet acoustique. Croyez-vous que Dieu m'a envoyé faire ceci, vous restituer votre ouïe sans ce cornet acoustique ? Ne m'entendez-vous pas? Très bien, frère.

Père céleste, cet homme se tient ici maintenant avec ce cornet acoustique, et Tu es l'unique qui peut le délivrer. Je Te prie de guérir mon frère. Il en a marre de ce vieux cornet acoustique. Il en a marre de voir les gens fixer leur regard sur lui. Tu es ici pour le libérer. Parle, Dieu bien-aimé.

Toi, démon, sors de cet homme, au Nom de Jésus-Christ.

M'entends-tu ? M'entends-tu ? Vous pouvez relever la tête maintenant. Cet homme ne m'entendait même pas avec son cornet acoustique. Ecoutez. M'entends-tu ? [L'homme répond : «Oui, oui. »-N.D.E.] M'entends-tu ? [Oui, oui.] Il y a quelques instants, il ne m'entendait pas avec son cornet acoustique. M'entends-tu très bien ? [Oui, oui.] Gloire au Seigneur. Amen.

Disons : «Gloire au Seigneur », tout le monde. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez, en louant le Seigneur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Oh ! la la !

Et c'est comme le Ciel pour moi,

Oui, c'est comme le Ciel pour moi ;

J'ai traversé le Jourdain vers le beau pays de Canaan,

Et c'est comme le Ciel pour moi.

94 Maintenant, inclinez la tête, tout le monde donc, pendant que nous prions. O Jésus, Tu es l'Unique qui peut guérir notre sœur. Accorde-le aujourd'hui, Père, que son ouïe lui soit restituée, que ses veines, que ces varices disparaissent complètement. Accorde-le, Eternel Dieu, au Nom de Jésus- Christ.

Toi, démon, sors de cette femme, au Nom de Jésus-Christ. M'entends-tu ? M'entends-tu ? Je parle à voix basse, madame. Très bien, vous pouvez lever la tête. M'entends-tu ? M'entends-tu ? Dites : «Amen. » [La femme dit : «Amen. »-N.D.E.] Gloire au Seigneur. [«Gloire au Seigneur. »] Maintenant, je parle à voix basse, madame. Excusez-moi. Voyez, c'est ce que je-j'entends. Voyez, vous-vous n'avez pas compris cela. C'était ça. Aussitôt que vous faites cela (voyez ?), je vois que quelqu'un pourrait... ou qu'on ferait cela, voyez ? Parfois ils peuvent bien dire : «Eh bien, ceci, cela. » C'est la raison pour laquelle je vous ai très vite arrêtée (voyez ?), afin que vous puissiez comprendre cela. M'entendstu ? Elle m'entend bien. Disons : «South Dakota. » South Dakota. Rendons une grande louange au Seigneur pour elle. Que Dieu vous bénisse, sœur.

95     Oh ! la la ! Je sentais qu'il le ferait aujourd'hui. C'est bien. Oh ! Ne L'aimez- vous pas ? Dites : «Amen. » Très bien. Maintenant, gardez la tête inclinée, tout le monde maintenant, pendant que les gens passent.

Frère, croyez-vous que si je demande à Dieu, Il vous guérira de cette tuberculose ? Dieu bien-aimé, Toi qui peux faire entendre les sourds, ou faire voir les aveugles, et faire parler les muets, Tu peux guérir notre frère de cette tuberculose. Je Te prie, Père, d'accorder cela. Que cela le quitte au Nom de Jésus-Christ.

Que Dieu vous bénisse, mon frère. Maintenant, regardez. Voici ce que c'est... la simplicité de la prière, votre foi ; il ne s'agit pas d'une longue prière. C'est votre foi (voyez ?) qui fait cela. Voyez ?

96       [Espace vide sur la bande-N.D.E.] ...vous me touchez au dos comme cela. Il y en a des centaines qui passent au même moment, et cette femme est bien portante. Allez de l'avant. Vous allez vous rétablir, si vous croyez.

O Dieu, je prie pour ce petit enfant, que Tu le guérisses et qu'il soit rétabli, Père. Je Te prie de le guérir au Nom de Jésus-Christ. Et bénis sa mère qui a cette maladie de cœur. O Dieu, puisse ceci être un nouveau jour pour eux. Puissent-ils partir d'ici en se réjouissant et rétablis, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Croyez-vous, maman, de tout votre cœur ? Votre enfant va se rétablir, et vous aussi, si seulement vous pouvez croire cela.

O Dieu, je Te prie de guérir mon frère, debout ici maintenant et il est totalement sourd. Je Te prie de lui accorder sa guérison, maintenant. Je le demande au Nom de Jésus-Christ.

Je vais faire passer celui-ci, et examinez-le vous tous là, et voyez ce qui est arrivé donc. Examinez ceux-ci maintenant, pendant que nous les faisons passer.

97     O Dieu, je Te prie de guérir mon bien-aimé frère de cette maladie de vésicule biliaire et accorde-lui de se rétablir. Je prie au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C'est ce qui a fait ça, tout à l'heure. Vous L'avez reçu maintenant, allez de l'avant. Dieu... Oh ! la la ! Il en a vu la vision tout à l'heure. Oh ! la la ! Oh ! la la ! C'est libéré.

O Dieu, je prie pour ma sœur ; que Tu la guérisses. Au Nom de Jésus-Christ, je Te le demande. Merci, Jésus.

Vous, sœur, s'il vous plaît. O Dieu, je Te prie de guérir la sœur de cette maladie de gorge. Je le demande au Nom de Jésus-Christ.

O Dieu, bénis ma sœur. Je Te prie de la guérir, Père... le Nom de Jésus-Christ. Amen ...?... Bénis-la ...?... Maintenant... Oui. Que Dieu vous bénisse, monsieur. O Dieu, bénis ce petit enfant, qui souffre de cette maladie de cœur. Je Te prie de le guérir, Père, et de le rétablir. Je lui impose les mains au Nom¶de Jésus-Christ pour sa guérison. Bénis la maman, Père. Accorde-lui une longue et heureuse vie, une bonne santé, au Nom de Jésus. Que Dieu vous bénisse, petite dame ...?...

98     O Dieu, ce pauvre petit garçon ici raide, souffrant de muscles, levant ses petits yeux bleus, ô Dieu, Tu es l'unique qui peut faire cela.

Satan, sors de ce jeune garçon au Nom de Jésus-Christ.

Quelqu'un a levé la tête. Gardez la tête inclinée, mes amis. Ceci revient directement. Frère Tora, avez-vous vu comment ma main a changé là ...?... Crois-tu, chéri ? Tout le monde, gardez la tête inclinée. Père, aie pitié de ce petit garçon, guéris-le de cette maladie de muscles. Tu es le seul qui peut faire cela.

Toi, démon, sors de lui. Je t'adjure par Jésus-Christ et par Son saint Ange.

Maintenant, avance vers moi, puis lève et fais descendre la main ...?... Voilà. Lève les mains et fais-les descendre. Eh bien, place ta... comme ceci. C'est bien. Maintenant, descends directement les marches aussi vite que possible. (Levez la tête, auditoire.) Tu n'es plus malade. Regarde, descends les marches.

Disons : «Gloire au Seigneur », tout le monde.

C'est bien. Remonte les marches maintenant. Remonte, montre-leur. Disons : «Gloire au Seigneur », tout le monde. Maintenant ...?... Passe par ici. Disons : «Gloire au Seigneur », tout le monde. Très bien. Inclinez la tête, partout maintenant, dans la salle ; en effet, nous avons plusieurs centaines de gens pour qui prier. Maintenant, inclinez la tête et soyez vraiment respectueux.

99     Père, Tu es le Seul qui peux guérir ce frère de son ulcère. Nous savons, Père ; je parlais, il y a quelques instants, de mon estomac qui avait un gros ulcère à vif de sang, c'était presque un cancer. Mais je T'ai pris au Mot. Puisse notre frère faire de même et être guéri, au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, frère.

Que Dieu bénisse mon bien-aimé frère. Je Te prie, Père, de guérir son corps, au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez en vous réjouissant maintenant.

Père bien-aimé, je Te prie de guérir notre sœur maintenant. Puisse-t-elle partir d'ici en se réjouissant et qu'elle soit rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Voulez-vous être rétablie, sœur ? Continuez votre chemin en vous réjouissant. Oubliez cela maintenant. Allez-y, ayez donc foi.

Père bien-aimé, je prie pour la jeune dame afin que Tu la guérisses. Et puisse- t-elle partir... Non pas... juste comme elle le ferait pour le serpent d'airain, ou la piscine dont les eaux étaient agitées, ou plus que cela, comme elle le ferait en passant par le Calvaire. Accorde-le, Père. Je le demande au Nom de Jésus- Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous que vous allez vous rétablir ? La maladie de rein... Que Dieu vous bénisse, sœur.

100 O Dieu! cette pauvre femme sourde se tient ici, avec ce petit corps infirme, cette pauvre petite créature, je l'ai vue assise là cet après-midi et j'ai senti qu'elle avait la foi. Ainsi donc, Père, viens au secours, et que ce démon qui l'a liée quitte.

Je t'adjure de la quitter. Sors d'elle, au Nom de Jésus-Christ. C'est fait. Tu as vu cela, n'est-ce pas ? M'entends-tu ? Très bien. Vous pouvez lever la tête maintenant. Je l'ai vue sauter. Vous-vous savez ce qui s'est passé, n'est-ce pas ? M'entends-tu ? Amen. Venez ici, vous ne souffrez plus d'arthrite, vous non plus. [Espace vide sur la bande-N.D.E.]

Bon, elle m'observait. La pauvre créature... Je me tenais là. J'ai senti sa foi venir là. Je... J'ai enfoncé mes deux mains dans vos oreilles. Et quand j'ai retiré mes oreilles... mes mains comme ça, son ouïe lui a été restituée juste comme cela; ça s'est fait en un instant. Très bien donc, maman. C'est bien.

Très bien. Inclinons la tête, tout le monde. Mettez...

Père bien-aimé, je prie pour notre sœur ; que Tu guérisses son corps et que Tu la rétablisses. Accorde-le, Dieu bien-aimé, afin que cette gorge soit guérie, que ses yeux soient rétablis. Accorde-le, Père, au Nom de Jésus. Que Dieu vous bénisse, sœur. Croyez-vous cela ? Vous aurez cela si vous pouvez... [Espace vide sur la bande]

101    O Dieu, aie pitié de notre sœur et guéris-la de cette colite, au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, petite dame. Croyez-vous maintenant ? De tout votre cœur ? Très bien, vous aurez cela.

Dieu Tout-Puissant, ce pauvre homme se tient ici, même dans cette ambiance où on est en bonne santé, se mourant de tuberculose. Nous savons qu'il faut Ta Puissance, Père. Puisse-t-il se tenir grâce à cette modeste et petite bénédiction, rien qu'avec une simple foi d'enfant pour passer et être guéri. Je prie pour sa guérison, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Allez en vous réjouissant. Ne faites pas cas de ce que vous sentez, portez-vous bien.

O Dieu, aie pitié de notre sœur et guéris-la de cette dépression nerveuse, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, vous allez vous rétablir, sœur. Vous n'allez plus vous en soucier. C'est parti. C'est vrai. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. C'est bien.

102    Père, je Te prie de guérir notre sœur et de la rétablir. Puisse-t-elle quitter cette chaire en se réjouissant simplement de tout son cœur, au Nom de Jésus- Christ. Amen.

Croyez-vous, sœur ? Dorsa, est-ce vrai ? C'est un beau nom. Très bien. Maintenant, allez en vous réjouissant, Dorsa. Croyez-vous, sœur, que Dieu vous débarrassera de cela ? Père, je prie pour notre sœur qui souffre de cet esprit qui l'étouffé. Que cela la quitte et que ça ne la dérange plus. Je réprimande cela au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, jeune sœur. Quoi ? Oh ! Vous voulez dire que c'était visible ? Ce n'est pas le cas maintenant.

Dites donc, ouvrez un instant les yeux. Cette jeune fille avait un goitre qui a disparu de sa gorge ici même. C'était là, un-un goitre était visible. Etait-ce vrai, jeune fille ? Regardez ceci. Disparu. Disons : «Gloire au Seigneur! » Que Dieu vous bénisse, jeune dame ...?... Vous êtes rétablie.

103   Quel âge avez-vous ? Croyez-vous que Dieu exaucera ma prière, si seulement je le Lui demande ? Eh bien, je crois que vous êtes déjà guérie. Je le crois de tout mon cœur. O Dieu, bénis cette jeune fille. Je crois, Père, de tout mon cœur, que sa foi l'a déjà sauvée. Au Nom de Jésus, je Te remercie. Jeune fille, vous étiez guérie pendant que vous marchiez dans cette ligne-ci.

Amis, j'aimerais que vous ouvriez les yeux. Je... C'est le... Je-j'avais dit que c'était le lieu le plus pauvre en foi, mais je crois que c'est le plus riche cet après-midi. Cette jeune fille était guérie avant que je la prenne par la main. Juste... J'ai senti quelque chose quitter, et la jeune fille a été guérie.

Un sentiment étrange vous a envahie, n'est-ce pas ? Vous êtes guérie, jeune dame. Très bien. Notez ma parole et voyez si ce n'est pas vrai. Glorifiez le Seigneur.

104     Ecoutez, mes chers amis. Ce n'est pas ma prière qui vous guérit, c'est votre foi en Dieu ; c'est cela qui vous a guéris. C'est un simple rôle que de passer et de croire cela. Et, rappelez-vous, je vous l'ai dit, l'Ange de Dieu... et je tenais ma Bible en main. Il m'a dit que rien ne résisterait à la prière si j'étais sincère et que j'amenais les gens à me croire. C'est tout ce qu'il vous faut faire : croire simplement et passer, et vous pouvez recevoir cela, mes amis. Et si vous croyez cela, agissez en conséquence. Allez çà et là, réjouissez-vous et témoignez, parlez-en aux gens. Assurément, la foi, ce n'est pas ce que vous sentez ; la foi, c'est ce que vous avez (Est-ce vrai ?), ce que vous croyez. Maintenant, inclinez donc la tête pendant que nous prions. Oh! ça fait vraiment du bien. J'ai confiance en Dieu que cela continuera.

Père, je Te prie de guérir notre frère de cet asthme au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, papa. Croyez-vous ? N'ayez pas cela.

105     Croyez-vous cela, jeune dame ? O Dieu, bénis cette jeune dame, son tendre cœur aussi. Je prie qu'elle aille çà et là maintenant, se réjouissant pour sa guérison au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur.

O Dieu, bénis notre frère qui se tient ici estropié suite au rhumatisme. Toi, démon, quitte-le au Nom de Jésus-Christ. Conduisez simplement celui-ci donc. Eh bien, maintenant, vous n'êtes plus estropié suite au rhumatisme. Descendez les marches. Descendez les marches. Merci. Le voilà partir. Regardez-le.

Disons : «Gloire au Seigneur! » tout le monde. Inclinez donc la tête, tout le monde.

106     O Dieu, je Te prie de guérir ce jeune garçon de ce trouble de langage. Que cela le quitte ici même à la chaire, maintenant. Je réprimande ce trouble de langage au Nom de Jésus-Christ. Dites : «Amen. » [Le jeune garçon dit : «Amen. »-N.D.E.] Gloire à Dieu. [Gloire à Dieu] Papa. [Papa] Maman. [Maman] Ecoutez ceci. Amen. [Le jeune garçon dit : «Amen»] Papa. [Papa] Maman. [Maman] Dites : «Gloire au Seigneur. », tout le monde. Allez-y ...?...

Père, aie pitié de la sœur et guéris-la de cette hypertension, et elle dépérit, Père, et elle est faible. Je prie qu'elle rentre chez elle aujourd'hui rétablie au Nom de Jésus-Christ. L'êtes-vous, sœur ? Croyez-vous cela maintenant ? «Seigneur Dieu, je crois maintenant que Tu m'as guérie. De tout mon cœur, je m'en vais me réjouissant pour cela. » Est-ce ainsi que vous vous sentez à ce sujet ? Poursuivez tout bonnement votre chemin en vous réjouissant donc.

107    O Dieu, bénis cet homme qui est en train de perdre la vue. Puisse son ...?... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] ...ne perdrez pas votre vue. Regardez partout dans la salle maintenant. Cet huissier debout ici sur l'estrade. Levez la main, monsieur. Combien de doigts a-t-il levés ? Voyez-vous ses mains ? C'est tout à fait vrai, frère. Vous avez raison. Voyez-vous ce qui vous est arrivé ? Dieu vous récompense pour votre foi. Très bien ...?... fils.

O Dieu, cette pauvre mère ici debout, elle veut être guérie pour Ta gloire. Puisse sa grande foi regarder vers Toi maintenant, qu'elle mette tout de côté et qu'elle Te croie de tout son cœur, et qu'elle soit guérie, au Nom de Jésus- Christ. Amen. Puisse Dieu t'accorder le désir de ton cœur, sœur. Ta sœur...

Père, je Te prie de guérir cette jeune fille qui est sourde. Au Nom de Jésus- Christ, puisse-t-elle recevoir son ouïe, maintenant. Maintenant, vérifiez son parler, frère.

Ô Dieu, je prie pour notre sœur ; que Tu la guérisses au Nom de Jésus-Christ. O Dieu, guéris cette maladie de bronchite, au Nom de Jésus-Christ.

Guéris la gastrite de mon frère, au Nom de Jésus.

108    Guéris cette fillette, Père ; je prie au Nom de Jésus. Croyez-vous, petite dame ?

Quoi ...?... Des yeux louches... des yeux louches... Madame, croyez-vous que Jésus-Christ est mort pour les péchés du monde et qu'il est mort pour la guérison ? Très bien. Inclinez la tête ...?... Croyez-vous que je suis capable de faire cela ? Les gens de couleur parfois là, dans mes autres réunions, ne viennent pas nombreux. Mais croyez-vous, croyez-vous que je suis le ...?... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] Que Dieu vous bénisse, sœur. Votre fille va être guérie maintenant.

Père céleste, je pense maintenant à cette jeune fille de couleur aveugle à Jonesboro, dans l'Arkansas, comment elle avait saisi mon vieux veston en lambeaux et avait dit : «Ne me passez pas. » Tu les connais, Père. Tu es mort pour cette race de couleur tout autant que pour nous tous. Et nous sommes tous un en Jésus-Christ. Tu ne fais acception de personne.

109     Et maintenant, on m'amène une petite fille aux yeux louches, qui souffre de l'asthme et elle a la tête affectée. Tu es ici, Seigneur, pour la guérir. Maintenant, Toi qui as porté la croix à travers Jérusalem ce matin-là, et quand Tu es tombé, alors Simon de Cyrène, cet homme de couleur, est venu T'aider à porter la croix. O Dieu, je sais que Tu comprends. Et pour prouver à ces gens ici, à Phoenix, que Tu ne fais acception de personne, je réprimande donc ces yeux louches au Nom de Jésus-Christ. Maintenant, gardez vos têtes inclinées, tout le monde maintenant.

O Dieu Tout-Puissant et omnipotent, que l'on sache aujourd'hui que Tu es Dieu et que je suis Ton serviteur. Que les gens puissent savoir que Tu es l'unique Dieu vivant et que Tu m'as oint et Tu m'as envoyé, et que je ne parle pas de moi-même, mais c'est suivant les Paroles que Tu m'as révélées. Par conséquent, Ange de Dieu, Toi qui m'as dit de partir et que, si j'étais sincère et que les gens croyaient, rien ne résisterait à la prière... Je demande ceci. Je quitte Phoenix. Et, Seigneur, j'aime cette contrée. Et prouve que Toi, Tu es Dieu et que moi, je suis Ton serviteur.

Toi, démon, je te réprimande. Sors de cette enfant au Nom de Jésus-Christ.

110     Garde simplement tes petits yeux fermés maintenant. Maintenant, relève la tête, mais garde les yeux fermés. (Tout le monde, gardez les yeux fermés.) Maintenant, ouvre lentement les yeux, regarde moi, lentement donc, comme- comme les miens. Les voilà. Très bien. Ses yeux sont droits et normaux.

Regarde ici en face, si quelqu'un veut regarder... Regarde l'assistance.

Regarde ici, sœur ...?... Juste. Bien parfait. Disons tous : «Gloire au Seigneur!»

Oui, oui. Les maux de tête sont aussi partis, maman. Tout va bien. Regardez-la ...?... Oh ! la la ! Aimez-vous Jésus ? Vous L'aimez ? C'est chouette. Regarde là, l'auditoire maintenant. Maintenant, suivez ceci, mes amis. Ses yeux, les yeux louches sont ...?... Vous l'avez vue regarder mon doigt. Maintenant, vous ...?... Garde les yeux sur mon doigt. Ne ...?... tes yeux. Voici ce que j'aimerais que tu fasses avec tes yeux ...?... comme ça. Proche... des va-et- vient. Maintenant, redresse-toi pour que les gens voient. Parfait. Rendons gloire à Dieu.

Tu es ici, Père ...?... Ta Parole ...?... Te glorifie. Et je Te prie de garder cette fillette chaque jour dans Ta volonté, Père. Que Dieu te bénisse. Cours maintenant tout du long et raconte aux gens ce que le Seigneur a fait pour toi.

Très bien. Gardez vos têtes inclinées maintenant. Beaucoup de gens pour qui prier.

111     O Dieu, Toi qui as créé le flanc de cette mère, qui as fait sortir cet enfant. Et maintenant, voici qu'elle souffre de côte. Et maintenant, je réprimande cette peine. Quitte la femme. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je te réprimande. Sors d'elle. Je pense que c'était une rate défectueuse, mais c'est parti. Allez... Où habitez-vous ? Vous semblez être un témoignage pour Dieu, sœur... [Espace vide sur la bande-N.D.E.]

Il est venu pour être guéri. Oh! aide-moi maintenant. [Espace vide sur la bande] C'est la tuberculose qui frappe cet homme... Oh ! Satan, pourquoi as- tu fait ça ? Quitte-le au Nom de Jésus-Christ. Maintenant, juste un instant, mes amis, c'est encore sur cet homme.

Regardez, monsieur, dans ma direction. Depuis quand en souffrez-vous ? Depuis 1944. J'aimerais que l'auditoire... peut-être que certains parmi vous n'ont jamais vu une vibration. J'aimerais qu'ils regardent cela. Venez ici juste un instant.

Très bien, levez la tête, auditoire. Il y a une vibration de tuberculose. Voyez- vous ces marques blanches qui montent et descendent sur ma main ? Rouge, voyez comment cette main paraît blanche ? Regardez celle-ci. Regardez ici, voyez ces marques blanches, les voyez-vous faire des va-et-vient ? Voyez- vous cela ? Voyez-vous ce que je veux dire, monsieur ? Regardez ici une minute. Maintenant, si Dieu vous en débarrasse, monsieur, ça s'arrêtera, et ma main redeviendra comme cette autre. Il y a vraiment une différence entre ces deux mains, n'est-ce pas ? Maintenant, observez simplement ma main, et vous, les malades ici. Observez ma main. Si elle devient normale comme celle-ci (Et je ne bougerai pas cela.), et si elle devient normale comme celle-ci, c'est vous qui en serez témoin. Quelque chose est donc arrivé, n'est-ce pas ? Vous voyez que quelque chose est certainement arrivé. Maintenant, inclinez la tête, partout.

112     Dieu Tout-Puissant et omnipotent, c'est Toi qui as créé les cieux et la terre; Tu as formé le corps de l'homme et ce démon cherche à retirer la vie à ce jeune homme. O Jésus, Tu es ici pour l'aider. Aide, Père, et que l'on sache là, parmi les gens, dans le voisinage, que Tu es Christ et que moi, je suis Ton serviteur. Ainsi donc, je viens affronter ce démon au Nom de Jésus-Christ.

Sors de lui, toi démon de tuberculose ; je t'adjure par Jésus-Christ de Nazareth. Quitte cet homme.

Avant que je redresse la tête, monsieur, ou que j'ouvre mes yeux, ma main redevient blanche, n'est-ce pas ? Très bien. Maintenant, ça y est. (Maintenant, vous, l'assistance, vous pouvez lever la tête.) Maintenant, monsieur, vous savez que je n'ai point bougé ma main, pas du tout. Elle est restée dans cette position même, n'est-ce pas ? Et c'était rouge partout, avec des taches blanches sur cela (Est-ce vrai ?), circulant. Maintenant, elle est exactement comme l'autre là, n'est-ce pas ? Oui. Maintenant, quelque chose de physique est arrivé, n'est-ce pas ? Les vibrations se sont arrêtées. Maintenant, si vous croyez de tout votre cœur et que vous vous redressez, descendez la rue en vous réjouissant, rendant témoignage que Dieu vous a guéri, vous serez un homme bien portant. Que Dieu vous bénisse, mon frère. C'est bien. Disons : «Gloire au Seigneur... »

113    Maintenant, tout le monde... combien re-combien restent pour qu'on prie pour eux ? Voyons combien se tiennent là. Eh bien, voyons. Maintenant, à vous qui devez vous dépêcher pour aller à votre église maintenant, il est 17h. Il est 5h. Ai-je... Est-ce que ma montre marche bien ? Est-ce à peu près exact, frère ...?... à 17h.

Dites donc, pendant que l'occasion m'est offerte, j'aimerais remercier frère Faulkner, frère Outlaw, frère Garcia, frère Fuller, et ce frère ... je ne me rappelle pas votre nom. Eh bien, Truman, Truman, et divers autres prédicateurs... C'est... ? Est-ce un prédicateur ? Ballard, frère Ballard. Et tous les autres... Frère Garcia et tout... Voici frère Garcia assis derrière moi. Et tous ces prédicateurs qui collaborent partout... frère Beamons de Mesa. Où- Où est-il ? C'est lui ? Ici même avec le-avec l'appareil photo. C'est bien. Nous aimerions le remercier. Tous ces frères et vous tous les membres, et tout, pour avoir collaboré avec nous ici, dans cette série de réunions ici, à Phoenix. Donnons à tous ces prédicateurs une poignée de main, tout le monde. Venez, ils le méritent, une bonne poignée de main en guise d'appréciation. C'est bien.¶Je suis vraiment content que vous ayez de tels prédicateurs ici à Phoenix. Oh ! la la! Je souhaite que vous teniez de grands réveils d'ensemble et que vous remplissiez ces auditoriums et tout, pleins de gens, et que vous ameniez les gens à l'autel.

114    J'ai parlé à frère Sharitt. Voilà un autre homme que je n'aimerais pas oublier. Ecoutez. Je pense que Phoenix est béni avec un homme comme John Sharritt. Qu'en pensez-vous, vous tous? Amen. Est-ce vrai ? Donnons-lui aussi une poignée de main ; en effet, il a été un frère pour moi. C'est vrai. Un très... Et maintenant... Oui, frère Gibson, je ne pouvais pas oublier sa femme. C'est vrai. Elle est une aimable petite créature qui n'a rien à dire, si ce n'est : «Eh bien, oui. » Et elle est une cuisinière à l'ancienne mode. Et elle a été pour moi comme une sœur et lui, comme un frère, et je leur suis très reconnaissant ainsi qu'à leurs petits enfants.

Eh bien, c'est en fait-en fait ça. Je suis reconnaissant à Dieu pour vous tous. Amen. C'est très bien. Et je suis certainement reconnaissant de voir cet esprit accueillant ici cet après-midi. Quand on en arrive au point où sil vous faut croire, quitte ou double, c'est alors que Dieu descend. Est-ce vrai ? Et je suis vraiment reconnaissant, mes amis ; ceci a été la série de réunions les plus grandes que nous ayons tenues à Phoenix, la série actuelle de réunions. C'est vrai.

115     Maintenant, gardez simplement vos têtes inclinées et nous allons donc essayer de prier pour tout le monde. Maintenant, vous... Ne soyez pas en retard à votre église. Vous qui devez aller à l'église, allez-y directement. Ne ratez donc pas l'église. En effet, je... si vous pouvez rester et ne pas aller à l'église, eh bien, restez tout simplement. Si vous pouvez rester un peu plus longtemps, bien, vous êtes vraiment le bienvenu. Rappelez-vous, jusqu'à ce que nous nous rencontrions, que Dieu bénisse chacun de vous. Maintenant, pendant que nous prions, continuez avec votre musique, s'il vous plaît, sœur.

Que Dieu bénisse cette femme. Je Te prie de la guérir, Père, de cette affection au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Allez-vous vous rétablir maintenant ?

O Dieu, aie pitié de... oh! attendez, elle a plus que ...?... Oh! sœur. Je vais-je ne vous dirais pas ce que c'est avant d'avoir fini de prier pour vous. Vous pouvez... Croyez-vous?

Dieu Tout-Puissant, aie pitié de cette femme et guéris son corps. Toi, démon, sors d'elle. Je t'adjure par Jésus-Christ.

Vous pouvez garder cette foi-là maintenant, sœur. Ça s'est arrêté. Voyezvous ? Savez-vous ce qui n'allait pas chez vous ? Vous n'avez pas peur maintenant.¶Vous savez que vous allez vous rétablir, n'est-ce pas ? Le cancer. Très bien. Vous soupçonniez cela ? Maintenant, continuez donc à croire.

116        [Espace vide sur la bande-N.D.E.] ... ici avec le cancer. Et le petit garçon ici a la pneumonie sur ...?... voulait envoyer son petit mouchoir pour qu'on prie dessus. Père, nous avons appris qu'on prenait les mouchoirs et les linges qui avaient touché le corps de Paul. Et nous savons que nous ne sommes pas saint Paul. Mais, de toutes façons, nous savons que ce n'était pas lui qui opérait la guérison, c'était Ton Esprit qui précédait et qui suscitait la foi des gens. J'envoie ce mouchoir cet après-midi à ce petit garçon pour la guérison de son corps. Au Nom de Jésus-Christ, puissent-ils, lui et sa mère, être rétablis et heureux pendant beaucoup d'années, pour Ta gloire. Amen. Allez donc en vous réjouissant, sœur. Que Dieu vous bénisse.

O Dieu, aie pitié de notre bien-aimée sœur et guéris-la. Au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, je le demande. Ne vous en faites pas, sœur ; vous allez vous rétablir. Que Dieu vous bénisse, jeune fille.

Vous avez un ulcère, n'est-ce pas ? Très bien. Là, vous allez à l'église de frère Garcia. Oh! vous ne pouvez pas... Très bien. Vous croyez en Dieu, n'est-ce pas ?

Père céleste, comme cette petite dame se tient ici cet après-midi avec cet ulcère dans son estomac, Tu es l'unique qui saches comment ôter cela. Elle est venue avec respect, Père. Et je Te prie de l'aider.

Toi, démon d'ulcère, je t'adjure de quitter cette jeune fille au Nom de Jésus- Christ. Petite dame, tu n'as pas de quoi te faire des soucis maintenant. Tu seras guérie de ton ulcère. Tu seras donc rétablie. Que Dieu te bénisse, sœur.

117     Père céleste, je prie pour notre sœur; que Tu guérisses son corps et que Tu la rétablisses. Satan, sors de cette femme au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu bénisse son cher mari, qui attend à la maison. Puisse sa femme retourner en poussant des cris et en louant Dieu pour sa guérison. Puisse-t-il aussi se lever et se mettre à pousser des cris, ô Dieu. Tu as proclamé la Parole. Et à la même heure, elle a commencé à se remettre. Allez-y, maman. Ne doutez de rien. Allez en vous réjouissant.

O Dieu, pour ce petit garçon qui se tient ici, je Te prie de guérir son petit corps. Quelle que soit la chose qui cloche, Tu le sais, et je Te prie de le rétablir, Père, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, petit garçon.

O Dieu, bénis cette femme. Je Te prie, Père, de guérir son corps. Nous voyons qu'elle est estropiée et elle a été conduite ici par cette jeune fille. Mais Toi seul, Tu peux la rétablir. Je prie pour elle, je Te prie d'exaucer ma prière. Et que Satan soit réprimandé, Père, au Nom de Jésus-Christ. Madame, à quel point vous croyez ? De tout votre cœur ? Très bien. Au Nom de Jésus-Christ, puissiez-vous rentrer chez vous, rétablie. Amen.

118    O Dieu, aie pitié de notre sœur et guéris-la, Père. Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je réclame sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse. Madame ? Qu'était-ce ? Cela s'est arrêté, vos vibrations. Ce que c'était... Voyez, ça s'est passé sur mon front... Cela vous a quitté maintenant. Quoi que c'était, (voyez ?) c'est simplement parti. Quand les vibrations quittent, c'est... Croyez-vous ...?... C'est bien ...?... Que Dieu vous bénisse, maman.

Notre Père céleste, je prie pour cette précieuse âme qui se tient ici avec cette canne à la main, vieille et en mauvaise santé. Mais Tu es ici pour restaurer sa santé. Je Te prie d'accorder cela au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, maman. O Dieu, guéris cette pauvre sœur, ici présente, de cette maladie de cœur. O Dieu, ce trouble féminin. Tu sais tout, la pauvre âme. Elle veut être rétablie. Je réclame sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, sœur. Allez maintenant en vous réjouissant, vous serez guérie.

O Dieu, je Te prie de guérir notre sœur de cette maladie de cœur. Accorde-le, Bien-Aimé Père céleste. Je le demande au Nom de Ton Fils Jésus. Allez en croyant donc, sœur.

119     Que Dieu vous bénisse. Qu'est-il arrivé ? La main ? Oh! c'est un os qui n'a pas de vie, au niveau de la jambe. Ecoutez donc, sœur, quel âge avez-vous ? Dix-sept ans, juste une enfant. D'où venez-vous, de Phoenix ? De la Californie. Ecoutez donc. Si vous croyez ceci de tout votre cœur... vous allez servir Dieu. C'est ce que vous aimeriez faire, n'est-ce pas vrai ? Etes-vous chrétienne ? Oui. Et vous allez servir Dieu le reste de votre vie, si Dieu permet que ce calcium commence à revenir dans l'os et que la vie revienne et rende cet os normal ? Vous vous servirez de cette jambe-là, non pas pour danser, mais pour aller servir Dieu. Est-ce vrai ? Vous allez faire cela. Très bien, laissez-moi tenir votre main.

Père, cette jeune dame, sans doute qu'elle a appris à travers le pays beaucoup de choses que Tu as faites. Et, eh bien, elle a eu un accident. Et nous avons appris que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Et maintenant, l'os ne sera pas rétabli, il n'y a pas de vie dans ses membres. O Dieu, elle n'est qu'une enfant. Aie pitié d'elle. Elle m'a promis qu'elle ne danserait jamais, et elle... Elle Te promet, Père, qu'elle ne dansera jamais et n'utilisera cette jambe que pour Ta gloire. Maintenant, Dieu Tout-Puissant, Toi qui es la seule source de la vie, je Te demande, au Nom de Ton Tendre Fils Jésus-Christ, de susciter la vie dans cet os cet après-midi, de telle manière qu'elle soit rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Sœur, aussi fermement que je crois que je me tiens ici, la bénédiction de Dieu vous est parvenue, et vous redeviendrez une jeune fille normale et en bonne santé. Comment vous appelez-vous ? Rome. De quelle partie... Où-où, en Californie ? Redlands, Californie ? Très bien. Allez-vous écrire... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] Ne voudriez-vous pas... ?

120     [Espace vide sur la bande-N.D.E.] ... sera dans le corps sous les neuf têtes principales. Rappelez-vous cela. Nous sommes près d'eux maintenant. Eh bien, vous devriez le savoir. Je ne peux pas faire cela. Et je crains maintenant... je vais empêcher certains prédicateurs de tenir leurs réunions. Et nous allons commencer à prier pour les gens, juste un peu plus...

Ecoutez. Ce n'est pas ma prière qui vous guérit. J'ai déjà prié pour vous. C'est votre foi en Dieu qui vous guérit. Maintenant, écoutez. Evidemment, je vérifie effectivement auprès des gens ici et je chasse ces esprits, et des choses comme ça. Vous pouvez le voir.

Et je vous l'ai donc dit, il n'y a qu'une seule fois où j'ai vu cela faillir dans ma vie. C'était, il y a deux ou trois dimanches, quand je m'étais tenu ici à la chaire et que j'avais demandé à Dieu, au cas où II ne voudrait pas que j'opère ces miracles, de ne pas les laisser se produire. Combien étaient ici ce jour-là, pour voir cela ? Très bien. C'était l'unique fois où j'ai donc vu cela dans ma vie, que des gens n'ont pas été guéris alors que je consacrais du temps à ...?... à la chaire. Et je dois tout simplement Le laisser m'arrêter. Quand II m'arrête, je m'arrête. Et quand II ne m'arrête pas...

121     Savez-vous ce que je Lui ai promis ? Combien se souviennent de ce que je Lui ai promis ? Que j'attendrai Son témoignage. Et c'est vrai. C'est ce que j'ai fait depuis. Et il y a eu beaucoup plus de miracles qui ont été accomplis depuis lors, plus qu'auparavant donc. J'aimerais donc conserver la faveur de Dieu. Et vous voudriez que je le fasse, n'est-ce pas ? Chacun de vous voudrait que je le fasse. Et je-j'aimerais vivre un peu plus longtemps.

Quand l'une de ces vertus sort de vous, frères, sœurs, votre corps dépense plus d'énergie que si vous priez pour cinq cents personnes. Quelque chose sort de vous ; il vous faut veiller à cela. Vous trouvez un bon faisceau de foi, comme c'était le cas pour ce pauvre petit garçon, il y a quelques instants, il s'est tenu ici sur ses petites jambes, marchant comme cela. Le petit garçon a levé les yeux vers moi, les larmes coulaient de ses petits yeux, il a plutôt souri, comme cela. Eh bien, la foi était bien en action. Je savais que quelque chose a dû se produire. Voyez-vous ce qui était arrivé ? Assurément. Satan savait qu'il devait céder. Ce petit enfant n'était pas insensible comme beaucoup d'adultes. Eh bien, ayez simplement foi, avec conviction.

122     Et nous sommes... Maintenant, nous allons faire passer les gens et parcourir toute la ligne. J'aimerais prier pour chacun de vous. J'aimerais prier, pas juste vous faire passer sans prier pour vous. J'aimerais offrir une petite prière pour vous, mais nous allons devoir entreprendre une marche constante, comme cela.

Maintenant, prédicateurs, mettez-vous tous debout ici. Venez ici, s'il vous plaît, et vérifiez certains de ces cas donc, quand ils passent. Et si, apparemment, ils ne reçoivent pas cela, eh bien, alors, renvoyez-les. Eh bien, nous ferons de notre mieux. Très bien.

Eh bien, tout le monde, soyez simplement en prière maintenant. Et vous tous, mettez-vous en ligne, ou plutôt les huissiers vous le diront là, et nous commencerons à faire passer la ligne. Maintenant, que tout le monde incline la tête pendant que j'offre la prière, afin que chacun de vous sache que l'on a prié pour lui. Chacun de vous...

123     Dieu Tout-Puissant, je prie... Tu sais, Père, que la plupart de ces gens attendent d'aller à l'église ce soir. Et il se peut qu'ils aient un bien-aimé qui est sauvé. Et je sais, ô Dieu, que le serpent d'airain ne priait pour personne. Les eaux agitées ne priaient pour personne. La femme qui avait touché le bord du vêtement de Jésus, on n'avait pas prié pour elle. Ceux qui étaient couchés à l'ombre de Pierre, on n'avait pas prié pour eux. Ceux sur qui on appliquait les mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul, on ne priait pas pour eux. Mais, ô Dieu, ils étaient guéris parce qu'ils croyaient et reconnaissaient Ton don.

Maintenant, Père, je prie que, si ces gens, non seulement ici à Phoenix, mais ceux pour qui Tu as ordonné cela, cela soit connu dans le monde entier. Puissent-ils passer, non pas à cause de Ton pauvre et humble serviteur illettré qui se tient ici, mais à cause de Ton don que Tu as honoré. Et Père, Tu sais que je ne peux rien faire à ce sujet. Je n'ai jamais fait que ce Message aille dans le monde entier comme ceci. C'était Toi, Père. Je n'ai fait qu'obéir et exécuter ce que Tu as dit, et Toi, Tu as accompli cela.

124     Maintenant, Dieu bien-aimé, que les gens voient qu'il s'agit de la simple foi d'enfant, pour croire et Te prendre au Mot. Et puisse chaque personne malade, dans cette salle, alors qu'ils vont passer à cette chaire cet après-midi, puisse chacun d'eux rentrer chez soi. Aussitôt qu'ils sortiront de ce bâtiment, puissent-ils lever simplement les mains et se mettre à Te louer pour leur guérison, descendant des rues en témoignant comme Marie l'avait fait avant qu'elle sente la vie ni quoi que ce soit. Elle savait qu'elle allait avoir un enfant sans avoir connu un homme. Oh! l'impossible, quelque chose qui n'était jamais arrivé auparavant, mais elle savait que c'était vrai, parce que l'Ange l'avait dit.¶Et Père, je sais que ceci est vrai, parce que l'Ange l'a dit. Et je sais que c'est Toi qui l'as déclaré. Si ce n'était pas le cas, Tu n'en aurais pas rendu témoignage. Si c'était du fanatisme, cela aurait failli en peu de temps. Mais maintenant, Tu as répandu cela dans le monde entier.

Maintenant, Dieu bien aimé, que ces gens voient cet après-midi leur besoin et qu'ils passent par cette ligne, chacun d'eux, et qu'ils soient guéris, qu'ils s'asseyent dans les prochains jours et qu'ils écrivent leur témoignage, disant : «Je rends grâce à Dieu pour m'avoir guéri. » Puisse cela sonner l'alarme dans toute cette ville, partout, Seigneur, dans toutes les régions de cet Etat. Je prie pour chacun d'eux au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.

125     Père, guéris notre sœur, au Nom de Jésus-Christ. Père, guéris notre sœur au Nom de Jésus-Christ. Père, guéris notre frère, au Nom de Jésus-Christ. Puisse-t-il être en mesure de sortir de ce fauteuil roulant, ou de ce brancard, et de rentrer chez lui en se réjouissant, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Croyez- vous, monsieur ? Vous aurez ce que vous avez demandé. C'est impossible pour vous de ne pas recevoir cela, si vous croyez. Que Dieu vous bénisse, mon bien-aimé frère. Que Dieu bénisse cette fillette. Je Te prie de la guérir, Père. O Jésus, bénis la maman. Je prie pour sa guérison. Que Dieu bénisse notre frère... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] Oh! elle ne savait simplement pas. Elle est Espagnole. Voyez-vous ? Elle a une ouïe difficile. Mais je sais cela ...?... [Espace vide sur la bande] Oh ! Etes-vous...

126     Dieu... (quel était le problème ? Oh, vraiment ?) O Jésus, je Te prie de guérir mon frère bien-aimé et de le rétablir. Puisse-t-il sortir de cette salle en se réjouissant, levant les mains en l'air, criant, Seigneur, au Nom de Jésus. Guéris mon bien-aimé frère, Père, je Te prie, au Nom de Jésus-Christ. Guéris ce petit garçon, Père, de cette vue défectueuse, au Nom de Jésus. Guéris mon frère du rhumatisme, au Nom de Jésus-Christ, et de l'asthme. Guéris mon frère, au Nom de Jésus-Christ, je Te prie, Père. Que Dieu te bénisse, petit garçon. Tu vas te rétablir maintenant après être passé ici. Le savais-tu ? Oui. On va enlever ta jambe de ce plâtre et tu redeviendras un jeune garçon normal et bien portant.

127     Dieu Tout-Puissant, qui cr... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] guéris ce corps... [Espace vide sur la bande] ...?... Février passé, il s'était cassé la jambe. Maintenant, il est à moitié rétabli. Je ne connaissais pas le jeune homme, mais comment ai-je reconnu cette foi quand il passait ? Voyez ? Comment ai-je reconnu cette foi-là ? Eh bien, le Saint-Esprit est ici, l'Ange de Dieu. Voyez ? Regardez ses yeux maintenant, c'est parfait.

Disons : «Gloire au Seigneur », tout le monde. Certains d'entre eux disent : «Cela va-t-il durer ? » Si vous avez cru. Tant que vous croirez, cela durera.

Est-ce vrai ? C'est ça. Oh ! la la ! Tout le monde de Phoenix, rendez une grande louange pour ce jeune homme. Oh ! la la! C'est beau. Observez sa petite jambe aussi. La foi parfaite, eh bien, il a reçu cela... je n'aurais pas dû dire un mot pour lui. Le fait de passer aurait fait la-aurait fait la chose malgré tout. Vous allez être une femme bien portante... un homme bien portant, je veux dire. Très bien. Inclinez la tête, tout le monde. Père, je prie pour ma sœur au Nom de Jésus, pour sa guérison... [Espace vide sur la bande]

128    Là, au fond de la salle et tout... sans même les yeux. C'était à Vandalia. Très bien. Inclinons la tête maintenant pendant que nous prions pour eux.

Un peu nerveux, n'est-ce pas, jeune homme? Bien-aimé Père céleste, ils viennent de loin, de plusieurs kilomètres. Et si c'est Ta volonté, nous survolerons ce bel Etat dans quelques jours. Et je Te prie, Père, de guérir ce frère. Et quand il retournera, puisse-t-il aller en se réjouissant. Que cette nervosité se calme, et puisse-t-il sortir dans la rue comme Ton serviteur l'avait fait, rendant témoignage, disant aux gens : «Autrefois, j'étais nerveux. Mais regardez-moi maintenant. Je suis bien portant, car le Seigneur Jésus m'a guéri. » Satan, quitte-le au Nom de Jésus-Christ.

Que Dieu vous bénisse, frère. Allez en vous réjouissant. C'est bien. Vous avez une vaillante foi, jeune homme. Vous allez recevoir une bénédiction de la part de Dieu ici.

O Dieu, je prie pour cet homme qui est ici totalement sourd, dit-on. Je Te prie de lui accorder l'ouïe cet après-midi même. Accorde-le, Père bien-aimé. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Maintenant, Frère Hooper, j'aimerais que vous vérifiiez son ouïe. Laissez-le simplement se tenir ici quelques minutes. Prélevons les vibrations dans sa main. J'aimerais que vous fassiez vérifier chez lui juste un instant. Et s'il ne... Laissez-le se tenir là juste un instant. Surveillez-le.

129    O Dieu, aie pitié de notre sœur, guéris-la, Père, de cette nervosité et de cette maladie de rate au Nom de Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant. Voyez ? Que Dieu vous bénisse, sœur. Maintenant, allez en vous réjouissant. Allez... soyez heureuse.

O Jésus, je prie pour notre sœur maintenant, que Tu la guérisses. Je le demande au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. Ayez foi maintenant.

Jeune sœur, j'avais autrefois, chez moi, un frère qui gisait mourant à l'hôpital, là, et on disait qu'il n'allait jamais guérir, qu'il ne quitterait jamais le fauteuil. Il est maintenant un acrobate. Croyez-vous que Dieu vous guérira ? Vous servez Dieu, n'est-ce pas ? Voyant que vous avez une bonne foi... catholique. Souvent les catholiques sont toujours guéris, parce qu'ils ont la vision.

Père céleste, cette petite dame se tient ici avec ce rhumatisme articulaire aigu, et on lui a enseigné, Père, à croire et à faire confiance. Je Te prie maintenant d'avoir pitié et de la guérir. Satan, ta puissance de l'enfer, qui a lié cette enfant pour lui ôter la vie, pour l'emporter par cette crise cardiaque, sors d'elle, au Nom de Jésus-Christ.

Que Dieu vous bénisse, petite dame. Cela peut sembler vraiment étrange pour vous. Vous... Avez-vous déjà eu des palpitations de cœur quand vous... de palpitations au niveau de la ceinture. Cela n'a probablement pas atteint cette partie-là. Mon frère avait trois valves ouverts dans son cœur. Maintenant, vous allez vous rétablir. Allez en vous réjouissant.

130    O Dieu, aie pitié de notre sœur à cause de ce cœur hypertrophié. C'est Toi seul qui peux la guérir. Je Te prie d'accorder cela au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur.

Dites donc, j'aimerais faire une déclaration maintenant même. Il y a une fillette catholique qui est passée ici, pour qui on a prié pour le rhumatisme articulaire aigu. Je ne sais pas où est-ce qu'elle est partie. Mais elle a été guérie. Oui. Je... Cette personne est revenue à la chaire il y a quelques instants. Où est-elle partie ? C'était une fillette catholique avec un...

Très bien, sœur. C'est bien. C'est le genre de foi qu'il faut avoir. J'ai senti cela revenir. Cela vous a quittée quand vous êtes descendue les... vous avez un sentiment particulier, un sentiment un peu étrange en partant d'ici, un sentiment quelque peu étrange, c'est ce que c'était.

Cela l'a quittée là même. J'ai senti cela revenir par ici. C'était... Maintenant, vous pouvez penser que c'est étrange. Observez-la et voyez si je n'ai pas raison. Disons : «Grâces soient rendues au Seigneur », tout le monde.

131     Je vous assure, il faut des catholiques pour avoir la vision de cela. Vous voyez, voici ce qu'il en est. Les catholiques... Les membres de ma famille sont catholiques. Ma mère... plutôt mon père. On nous a appris à croire que ce que le prêtre dit est vrai. Et c'est ici que ça se trouve. Vous voyez, vous devez me croire. Ils croient en Dieu. Combien croient en Dieu ? Vous tous. Certainement. Eh bien, maintenant, la capacité de Dieu n'est pas mise en doute. C'est-à-dire, que l'Ange vienne me parler ou pas. Voyez ? Et les catholiques ont appris à croire ce que leur prêtre dit que c'est vrai. Et quand ils voient certaines de ces choses être accomplies, ces miracles, ils sont guéris (c'est tout), croyant cela de tout leur cœur. Et ils... Ils le croient.

A propos, ma tante-ma... grand-tante a fondé un couvent à Montréal, dans l'Ontario. Eh bien, inclinez la tête, tout le monde, pendant que nous sommes...

Jusqu'où sommes-nous arrivés maintenant ? Combien y en a-t-il encore pour qui nous devons prier ? Faites voir la main, en la levant. Dites donc, je-je prends tout le temps. Je prends tout le temps. Eh bien, frère, voyons ce que le temps... combien ici aimeraient aller à l'église ce soir, ceux qui aimeraient qu'on prie pour eux, ceux qui cherchent à aller à l'église, faites voir la main en la levant, ceux qui veulent aller à l'église ce soir.

132     Oh ! la la ! Frère. Nous allons devoir faire quelque chose à ce sujet. C'est vrai. Il y en a quelques-uns des vôtres aussi, n'est-ce pas, frères, quelques-uns parmi vous prédicateurs ? Les vôtres aussi, Frère Garcia, je pense. Très bien. Eh bien, ayez foi maintenant. Je vais prier et demander simplement à Dieu de les bénir. Nous allons devoir commencer... Oh ! Oui, je vois. Je vois. Très bien. Tout ce que vous...

Très bien. Maintenant, tout le monde, croyez maintenant pendant que nous venons à...

Frère Garcia, le frère ici, je ne me rappelle pas votre nom. Je ne savais pas que vous étiez ministre. Ballard ? Frère, vous tous, maintenant, descendez par ici. Frère Outlaw et vous tous, priez simplement de tout votre cœur pour ces gens. Et priez au fur et à mesure qu'ils passent. Maintenant, tenez-vous ici, citez leurs maladies, frère, et examinez-les. Est-ce...

Père, guéris mon frère, au Nom de Jésus-Christ, je prie. O Dieu, guéris cette pauvre femme aveugle au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ. Bien-aimé et miséricordieux... Depuis quand êtes-vous aveugle ? Trois ans. Sœur, levez les yeux vers ces lumières-là. Voyez-vous ces lumières ? Les voyez-vous ? Maintenant, regardez ici vers ces lumières, par ici. Croyez maintenant que vous allez recouvrer votre vue, et que vous aurez cela. Etes-vous avec elle, monsieur ? C'est votre femme ?

133     O Dieu, Adorable Père, cette pauvre femme se tient ici ...?... Aie pitié maintenant. Et puisse sa vue lui être restituée dans quelques instants, Père. Puisse-t-elle être en mesure de voir ces lumières. Et elle aura un témoignage de Ta guérison, au Nom de Jésus. Amen.

Asseyez-vous ici un instant, juste ici où je peux la surveiller. Alors, je vais vérifier son cas dans quelques instants.

Maintenant, gardez la tête inclinée. Voici une femme sourde. [Espace vide sur la bande-N.D.E.] Que Dieu bénisse ma sœur et qu'il la guérisse au Nom de Jésus-Christ. Amen.

134     Juste un instant. Je vais essayer pour celui-ci ici. Je sens ces deux esprits qui combattent ensemble là. Cette jeune fille est sourde-muette ...?... pour moi. Elle ne sait pas ce que c'est l'ouïe ou le parler. Maintenant, inclinez la¶tête. Tout le monde, soyez vraiment respectueux. Voyez si je peux l'amener à entendre.

Père bien-aimé, cette petite fille, née sourde-muette. Nous nous rendons compte qu'elle ne sait rien sur le parler ou l'ouïe. Mais Tu es le seul qui peux lui accorder cela. Maintenant, aide-moi, Dieu bien-aimé. Aide-moi à vaincre cet esprit de surdité et de mutisme. Accorde-le, Dieu bien-aimé, au Nom de Jésus-Christ.

Toi, esprit sourd-muet, sors de cette jeune fille au Nom de Jésus-Christ. [Frère Branham tape les mains.-N.D.E.] M'entends-tu ? Elle n'est pas ...?... Maintenant, gardez vos têtes inclinées donc. Amen. Vous. Voyez ? Amen. [La jeune fille dit : «Amen.»] Très bien, chérie. Papa. [Papa] Levez la tête. Née sourde-muette. Observez-la. M'entends-tu ? [Elle m'entend] [Frère Branham tape les mains.] M'entends-tu ? [Oui] M'entends-tu ? Une jolie petite fille. Amen. [Amen]

135     Maintenant, peux-tu voir cela ? J'aimerais te dire quelque chose donc. Observe. Voici ce qui se passe. Voyez-vous, c'est... J'aimerais savoir si vous tous vous avez remarqué cela. Nous sommes sur le point de clôturer, vous savez, sur le point d'aller aux réunions. Avez-vous remarqué que chaque fois, après que j'ai demandé ou réprimandé un esprit, je reste toujours parfaitement silencieux pendant quelques instants ? Qui a remarqué cela dans des réunions ? Faites voir les mains. Avez-vous remarqué cela ?

Maintenant, voici ce qu'il en est. Il y a trois mots que je dois répéter en ce moment-là. Voyez ? Et ce sont les trois mots nobles de la Bible. Aucun mortel sur terre ne sait cela. Voyez ? Et quand je demande cela, et alors cela revient avec secousses, à un point... au retour de cet esprit-là. Alors le ...?... guéri. C'est la raison pour laquelle vous m'entendez dire cela. Voyez ? C'est ce qui se passe.

136     Maintenant, j'ai fait cela afin que vous ne m'interrogiez pas à ce sujet en venant dans la ligne. Cela est donc vrai. Maintenant, je sais que vous avez remarqué plusieurs fois quand je demande, je réprimande, je me tiens tranquille pendant quelques instants et je répète ces trois mots que l'Ange du Seigneur m'avait dit de répéter. Alors si je sens que cela revient, alors je sais que c'est accompli.

C'est ce qui est arrivé à cette jeune fille qui est avec nous. Et c'est la raison pour laquelle je n'ai jamais dit quelque chose à ce sujet, car je savais que- qu'elle était guérie. La puissance l'avait quittée. Eh bien, bien sûr qu'elle ne sait pas ce qu'est le parler, elle ne sait pas ce qu'est l'ouïe. Elle doit simplement commencer comme...

137    Vous ai-je parlé de cinq-de sept qui étaient sortis de l'asile de fous en Oregon, et cinq d'entre eux sont passés par des examens médicaux en Californie ? Combien se souviennent de cela ? J'ai leurs photos là même, là même dans mon-dans mon sac de voyage pour les montrer. Oui, oui. Notez cela de côté, guéris. Ils ont subi des examens en Oregon, ils ont parcouru la Californie, car les médecins étaient rentrés chez eux. Née sourde-muette...

Oh ! la la ! Il est merveilleux, n'est-ce pas ? Assurément qu'il l'est. Rendons gloire à Dieu. Entendez-vous cela ? Entendez-vous cela ? Entendez-vous ? Amen.

Merci, frère. Très bien. Inclinez la tête, tout le monde maintenant, pendant que nous prions. Père, guéris notre sœur au Nom de Jésus-Christ. O Dieu, je Te prie de guérir notre sœur au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. O Dieu, guéris notre sœur au Nom de Jésus-Christ. Dieu bien-aimé, guéris notre sœur au Nom de Jésus. Dieu... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] la miséricorde sur lui, guéris son corps... [Espace vide sur la bande]

138     Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth. Débarrassez-vous de cette tuberculose que vous avez maintenant, monsieur. Un sentiment étrange, n'est- ce pas ? L'Ange de Dieu est près, frère. Vous êtes conscient que vos jours sont abrégés, de nouveau. Vous en êtes même... vous avez même une fièvre, vous êtes brûlant. Ne vous en faites pas. Allez en croyant. Croyez-vous que vous allez vous rétablir tout de suite ? Vous aurez cela, au Nom de Jésus-Christ. Où habite-t-il ? Glendale. Eh bien, ne doutez pas, monsieur. C'est vous le conducteur ? Merci, monsieur. Que Dieu vous bénisse pour avoir attendu.

Père, je Te prie, au Nom de Jésus-Christ, de le guérir. Ne doutez pas, monsieur. Allez en croyant.

O Dieu, guéris cette femme, je prie, Père, au Nom de Jésus.

Et guéris cet homme, Père, au Nom de Jésus-Christ, je Te le demande, Père. Guéris notre frère, Père, au... Jésus [Espace vide sur la bande-N.D.E.] ...?... sienne... faite.

139     Dites donc, mes amis. Vous parlez de la foi, ce petit garçon se tenait ici avec des paupières roses cristallisées. Cela l'a quitté. Je peux le soulever directement ici devant les gens. Le voilà. Regardez ses yeux. Voyez ? Parfaitement clairs. Il s'est tenu ici sur l'estrade avec des paupières cristallisées. Mes amis, c'est vrai. Savez-vous que Dieu se tient ici quelque part ? L'Ange même de Dieu.

Allez montrer à cet homme malade, qui est couché là, chéri. Allez lui montrer vos yeux qui étaient roses il y a quelques instants, et maintenant ils sont clairs.

Monsieur, voici venir un petit garçon pour vous le témoigner. Frère Hooper, ce petit garçon aux paupières roses cristallisées venait d'être guéri instantanément.

Maintenant, je ne sais pas à quel point vous croyez cela, mais que le Dieu que je sers m'ôte la vie pendant que je me tiens ici même, si ce n'est pas vrai. Quand j'ai regardé ce petit garçon tout à l'heure, les taches roses sont montées au-dessus de sa petite tête, et elles ont disparu. C'est vrai. Disons : «Gloire au Seigneur », tout le monde.

O Dieu, guéris ma sœur bien-aimée. Puisse-t-elle s'en aller en se réjouissant maintenant et guérie au Nom de Jésus-Christ de Nazareth. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Et vous aurez cela ...?...

140     Une petite fille avec de l'eau. (Très bien.) Crois-tu, sœur, que si je demande à Dieu, Dieu le fera ? Bien-aimé Père céleste, j'impose les mains à cette petite fille chérie et je Te prie de la guérir, ô Dieu. Puisse-t-elle commencer, à partir de cette heure même, à s'améliorer, que sa tête se rétrécisse et redevienne normale. Et puisse cet enfant être... moyen de devenir un enfant normal. Et je demande cette bénédiction au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ. Amen. Maintenant, ne doutez pas. Est-ce votre enfant ? C'est l'enfant de votre sœur. Croyez-vous qu'elle va se rétablir maintenant ? J'aimerais avoir de ses nouvelles, sœur. C'est un frère. [Espace vide sur la bande-N.D.E.]

141     O Dieu, je Te prie de réprimander les paupières cristallisées de cet enfant. Sors de lui, toi démon, au Nom de Jésus-Christ. Et celui-là est parti. Regarde ici. Pas du tout de rose dans ses yeux. Regarde ici, chéri. S'il y a un médecin dans la salle, il peut l'examiner en toute liberté. Descends en courant, chéri. Si vous êtes un médecin, venez examiner ses petits yeux. Ils étaient cristallisés... il y a quelques instants quand il se tenait ici, roses.

Disons : «Gloire au Seigneur. » Gloire au Seigneur. Etaient-ils malades ? Etaient-ils des frères ? Ils étaient des frères, ces deux petits garçons. [La femme dit : «Et leur sœur a cela. Elle est là dehors. »-N.D.E.] Est-ce vrai ? Amen. Où habitez-vous, sœur ? Est-ce vrai ? Eh bien, ils ont sûrement été élevés dans la foi ou quelque chose comme cela. Eh bien, c'est vrai. C'est... Voyez, élevez l'enfant selon la voie qu'il doit suivre. Est-ce vrai ?

142     Sa-sa maman avait senti ... était guérie de l'asthme en février. Etait-ce ici à Phoenix ? Ici même à Phoenix, guérie de l'asthme. Vous y êtes. Voyez-vous, mes amis ?

En partant, laisser derrière nous des empreintes sur... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] temps. (Est-ce vrai ?)¶Des empreintes que peut-être un autre, Naviguant sur l'océan solennel de la vie, Un frère abandonné et qui a fait naufrage, En les voyant, puisse reprendre courage.

Père céleste, je Te prie de guérir cette sœur, alors qu'elle passe avec son vaillant cœur, s'attendant à Toi pour sa guérison. Je Te prie d'accorder cela au Nom de Jésus-Christ. Bénis ces mouchoirs, Père, et les gens pour la guérison de leur corps, je le demande au Nom de Jésus-Christ.

Dites donc, à propos, avant que je ne l'oublie. Combien ici voulaient avoir un mouchoir sur lequel on a prié ? Voyons combien de mains il y a ici, de ceux qui en voulaient un. Je vous ai expliqué cela. Voyez ? Eh bien, écrivez-moi simplement donc. Je n'ai pas de mouchoir ici, parce que je ne saurais pas prier pour cela. Mais envoyez cela par la poste à Branham Healing Campaign, Boîte Postale 325, Jeffersonville, et on vous enverra un tissu avec des directives pour l'utiliser.

143     Chaque matin, à neuf heures, placez votre main sur votre cœur, placez-la dans un esprit de prière, d'abord le tissu, placez cela sur votre cœur, à l'intérieur du vêtement, placez votre main sur votre cœur et priez à 9h, à 12h et à 15h. Confessez toutes vos fautes, les uns aux autres, faites venir les voisins, priez et tenez des réunions de prière. Vous serez guéri. Voyez ? Les directives vous seront envoyées. Envoyez simplement en mon nom, à Jeffersonville, dans l'Indiana, et vous recevrez cela.

Très bien. Inclinez la tête. Père, je Te prie de guérir cette précieuse mère aux cheveux grisonnants, qui est assise ici. Que la puissance de Dieu qui a ressuscité Christ de la tombe la fasse sortir de ce fauteuil roulant et fasse d'elle une femme en bonne santé, alors que je proclame cette bénédiction pour elle au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse, frère.

Attendez, je vais... juste une seconde. Cette pauvre femme s'est évanouie. Oh ! la la ! Que Dieu vous bénisse, madame. Je sais que vous étiez couchée là. Eh bien, regardez. Que Dieu bénisse votre précieux cœur. Vous n'êtes qu'une jeune... Et vous savez que vous êtes-vous êtes couchée là pendant cette dernière heure comme ça. Oh ! la la ! Combien aurais-je souhaité qu'ils puissent... quelque chose pour lequel je pourrais tendre la main et faire pour vous, vous savez, pour... si je pouvais sortir là et dire : «Le voici.» Voyez- vous cela ? Et vous débarrasser de cela. Voyez ? Je souhaiterais pouvoir faire cela. Mais il n'y a qu'une seule chose que je sais, qui vous fera vivre, sœur. Et vous-vous êtes très-très... [La sœur parle à frère Branham.-N.D.E.] C'est¶pourquoi cette foi tirait à partir de vous. Maintenant, nous commençons à atteindre le point qu'il faut.

144     L'hiver passé, quand j'étais... elle était à Booneville, dans l'Arkansas... Ça fait un mois. Elle était à Booneville, dans l'Arkansas, quand j'étais à... Où était-ce ? A Corning, dans l'Arkansas... Etes-vous de l'Arkansas... Cette femme, oui. Et elle a prié qu'à un moment où un autre Dieu permette que nous nous rencontrions. Et-et-et quelqu'un est allé et l'a amenée ici. Où restez-vous présentement, ici, sœur ? A Superior, en Arizona. Et Dieu a permis cela. Et je crois que c'est maintenant l'heure, n'est-ce pas ? La petite, pauvre petite femme couchée ici, en train de se mourir. C'était tout aussi sûr que possible

Maintenant, mes amis, même si certains parmi vous peuvent attendre un long moment, permettez-moi d'avoir juste un moment avec cette femme, le voulez- vous ?

Petite dame, que Dieu vous bénisse. Combien d'enfants avez-vous ? Deux petits enfants. Oh ! la la! Oh ! la la ! Est-ce que votre mari est ici avec vous ? Que Dieu vous bénisse, sœur. Je... Croyez-vous que vous allez vous rétablir si je le demande à Dieu ? Vous avez attendu tout ce temps. Et, bien-aimée sœur, avez-vous eu ici un de mes petits livres, Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement ? S'il vous plaît, donnez-le-lui. Et j'aimerais que vous lisiez le témoignage de la petite Georgie Carter, qui ne pesait que 40 livres [20 kg-N.D.T.], une femme qui souffrait de la tuberculose. Et, maintenant, elle est ma pianiste à l'Eglise baptise de Milltown. Elle pèse environ 145, 150 livres [72,5 kg, 75 kg-N.D.T.]. Maintenant, ayez foi. Je vais prier Dieu de tout mon cœur.

145     Dieu bien-aimé, je ne sais pas pourquoi quand j'ai regardé cette scène malheureuse là cet après-midi et que j'ai vu cette petite femme mince et délicate, se roulant là, et pratiquement morte donc, ses poumons pratiquement abîmés... Les médecins ont fait tout leur possible. Elle a été au Sanatorium. Il y a quelque chose en elle, Père, qui ne fait qu'attirer mon attention, son regard pathétique ; en effet, elle est sincère. Elle sait qu'elle va mourir tout à l'heure si quelque chose n'est pas fait. O Dieu, je plaide. Oh! devant Toi, je me prosterne pour Te demander de tout mon cœur. Ange de Dieu, Toi qui es venu dans la chambre cette nuit-là et qui m'as dit ces choses... j'ai essayé de rester fidèle à cela. Oh! ne voudras-Tu pas avoir pitié de cette pauvre petite femme? Manifeste Ta grande puissance, Dieu bien-aimé. Pas tellement pour que les gens voient cela afin de croire en Toi, mais pour Ta gloire, et sa foi d'enfant, pour la vie de cette pauvre femme. Oh! aide-la, Dieu bien-aimé. Exauce la prière de Ton serviteur pendant que je demande de tout mon cœur, de toute mon âme, que Toi, Tu la rétablisses. Accorde-le, Père. Puisse Ton serviteur recevoir de ses nouvelles. Maintenant, elle commence à gagner du poids ; qu'elle se rétablisse donc. Oh! accorde-le, Père. Elle Te servira tous les jours de sa vie, elle rendra témoignage de cela n'importe quand qu'il sera possible. Faire tout ce que nous pouvons pour manifester notre appréciation, si seulement Tu épargnes la vie de cette pauvre femme. Je le demande au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ. Amen.

146     Petite femme, je... Il y a quelque chose en toi que j'aime. Et je... il me faut te le dire... Tu attends impatiemment d'être... quand la profondeur appelle la profondeur. Maintenant, crois. Je crois cela de tout mon cœur, tu seras guérie. Maintenant, mets-toi à Le servir ...?... Tu es... Que Dieu vous bénisse, papa. Dieu vous aime. C'est... Tenez bon, bien-aimé frère. Puisse le Seigneur vous bénir toujours pour votre bravoure.

Votre attention a-t-elle déjà été attirée sur quelque chose ? Cette pauvre petite femme. Très bien. Inclinez la tête, chacun de vous.

O Dieu, aie pitié de cette femme ici qui a des yeux abîmés. La foi vient de ce que l'on entend. Et elle est venue donc et a même ôté ses lunettes, car elle croit que quelque chose va se passer. Accorde-le, Père. Qu'elle ne soit pas déçue, mais qu'elle soit guérie au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse.

O Dieu, aie pitié de ma sœur et guéris-la au Nom de Jésus-Christ. Croyez-vous que ça va s'arranger ?

O Dieu, bénis mon jeune frère ici, qui souffre des reins. Puisse-t-il être guéri, Père, et que cela ne le dérange plus. Je prie au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, croyez-vous que vous serez guéri, mon petit garçon chéri ? Hein ? Très bien.

147    O Dieu, aie pitié de notre frère qui a cette arthrite. Puisse-t-il sortir de ce bâtiment en marchant d'un pas lourd, en sautant, en sautillant et en louant Dieu. Je réprimande l'arthrite au Nom de Jésus-Christ. Allez, en croyant, monsieur. Allez directement en vous réjouissant, vous recevrez cela.

O Dieu, aie pitié de notre sœur et guéris-la de ce cancer. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, sœur. Croyez-vous maintenant de tout votre cœur ? Soyez sûre et rendez témoignage, parlez aux gens de la gloire de Dieu.

O Dieu, je Te prie de guérir cette précieuse vieille mère brisée qui passe par cette ligne maintenant. Je lui impose les mains au Nom de Jésus-Christ.

O Dieu, aie pitié de notre frère et guéris-le, Père, au Nom de Jésus.

O Dieu, aie pitié de notre sœur, Père, et guéris-la au Nom de Jésus.

Ô Dieu, guéris ce pauvre cœur.

O Christ, ôte toute la misère, je prie au Nom de Jésus-Christ. O Dieu, guéris mon frère. Je Te prie au Nom de Jésus-Christ. Est-ce vrai ? Quel est votre...

1                   Dear fr... [Blank.spot.on.tape-Ed.] It was miracle after miracle performed: deaf, dumb, blind, lame, and everything. A man come up on the platform totally blind, received his sight; followed me all around, circling around through the platform, down the aisle like that. And another man come up blind, received his sight. There was, oh, some three or four younger women, and young girls, little children that were just as cross-eyed, hideously cross-eyed, and were healed right there.

And two doctors standing there, right one... both of them right from my right side, checking it, watching it, and checking the patients and so forth. And come to the microphone and testified that they could see perfectly... That was medical doctors; one's a specialist in San Francisco, California.

2                   So God is God. He's still the great I AM, not the I was, I AM, now, present tense. And He's-He always here to heal to those who believe. But only those who believe are the only ones that's going to be healed, regardless. You've got to believe it.

If you would... God might permit you right here this afternoon to get up and be crippled, and you walk around on this platform. You could walk off, and doubt and unbelief hit your heart, your condition will come right back to you again. And if you walk off and don't serve Him, a worse thing's going to come back to you again. That's right. You must serve God reverently all your life, believing Him with all your heart.

3                   And now, today, we got plenty of time this afternoon, because we're going to pray for everybody in the building this afternoon. 'Cause we got time to do it. And then before leaving, I want to pray for everyone 'fore leaving Phoenix. And I won't talk to you very much, because I want to put the time in. You've got good preachers here. You got a fine bunch of ministers. And they preach; and I'm not a preacher in the first place. So you can... These ministers can speak to you as they did this morning in their services.

And how many attended church this morning, let's see your hands, all over the building? Well, that's fine. And how many intended to attend tonight, let's see your hands, all over the building, going to go to church tonight? That's fine. That's about one third of you that didn't; I hope you do tonight. I hope you go to church tonight. Go somewhere to church. Don't never miss going to church on Sunday. And... for the prayer meeting.

4                   And you people, who have little churches here, who's struggling. My advice would be for you to stand at your post of duty just as loyal as you can to the cause of Christ, and back up your minister and everything that's-that's-that's going on, and-for the cause of Christ. And do that, and God will bless you. The only way that you can respect God is to respect one another. Is that right?

If you want somebody to say something good about you, you say something good about somebody else; they'll say something good about you. Cast your bread upon the water; it will return to you. As the brother said in Canada the other day said, "Yes, Brother Branham: buttered." So that's about right. You see, if you'll just cast it upon the water, it'll return buttered. That's the way, so it comes back. So you do... You do unto others as you'd have them do unto you. So that's a good thing to live by.

5                   Now, I want to take just a little of time to explain to you a few things that's very essential. And some of the things that I think that hinders our services many places, is because of the lack of time of staying. I don't get to stay long enough in the place. Maybe two days, three days, or something like that. The meetings should stay thirty days.

That sounds like a long time. But I've noticed this: that every day that I stay, the next day it's a larger crowd with new enthusiasm. And each day just builds, and builds, and builds. And then the healing results is... Oh, there's no comparison to the difference.

Now, it's just like in our meeting here at Phoenix; we have one Sunday, the devil gets a chance to snuff the minds over 'fore I can get back again next Sunday. That's right. You've got to take the thing and hit it, and just keep driving it. You can't tap a nail, and then walk on off, and let the kids play with it around awhile, and then come back next Sunday and tap it again. You've got to drive that nail right on home, like that, anchor it down into the wood.

6                   Well, that's the way it is with faith. You've got to get it anchored in the people. They'll run in here one Sunday, just a few moments, they're restless, "Am I going to get prayed for?" They'll rush through a prayer line, not even knowing what they're coming through about. The next week, get around some critics, say, "Aw, there's nothing to that. I know Jim Jones' wife was prayed for. Didn't help her a bit." That's right. It wasn't for Jim Jones' wife. It's for you who believes. That's for believers. It's only for believers. And remember, if you do not have faith, it will not do you any good.

Now, in the first place, this gift was not given to do the work that I'm doing with it now in these auditorium meetings. That's not God's Divine plan for doing it. The Divine plan for God is if I had the opportunity to stay just a few weeks here to explain it all. It comes by revelation.

At nighttime, in daytime, when I meet this Angel, He will send me to a place. He will say, "You go to a place." I've never seen it before.

7                   Let me give you an illustration, something like it, and you might understand. He will... I'll go into a place just as natural as I'm standing here. Maybe there's a lady meets me at the door. She has on a red sweater. And in the yard, there lays an old hoe laying. I noticed it as I come in the gate. And there's a Bible laying on the-on the washstand, and there's somebody laying in a bed crippled.

Well now, I go to that house, by and by I find the place. And when I go to that house, I see the hoe laying in the yard. Yes, the lady with the red sweater on meets me at the door. I go in. But the Bible's not laying on the washstand; it's laying on the desk. Now, I cannot say, THUS SAITH THE LORD. I can't tell them until somebody picks up that Bible and puts it over here on the washstand, not knowing what they're doing. Then you can stand and say, THUS SAITH THE LORD. And... [Blank.spot.on.tape-Ed.]

8                   This one will come to me, "Brother Branham, am I going to get well?" I-I-I trust you will, sister. This-this one will come to me, "What about this one? Well here, my uncle, my... oh..." Why, it will just run you wild. If you let that keep on your mind all the time, why you'd soon be a mental case (You see?), not-wouldn't take but a few hours to do it. Well then, I don't know about that.

But in these auditorium meetings, the reason that we permit them, there is a great amount of people. Now, this Angel very seldom sends until some case... But I notice, when He sends me to a case, there's more glory seen of God there than if you had fifteen auditorium meetings. That's right. Because you go with THUS SAITH THE LORD. And there it happens.

9                   Listen. We got plenty of time. I want to tell you just of one case, so that you would understand. Just recently taken place. I give you the name of the people, so you can write it. I was at my mother's house. And this happens quite often. And I was praying in the room. I wasn't going up home, because I wanted to be alone in there. It just felt like I wanted to be alone, just a burden on my heart to pray. Did any of you ever feel that way? And I just started praying. And I went, was-was lying down across the bed. And I went to sleep. And I woke up; it must've been about two o'clock in the morning. And I still had that burden. I started praying again. And I knelt down on the floor to pray. I looked over in a corner like that.

And we're very poor people, and we had a... Mother usually does her washing, and brings them in and puts it on a chair. I don't know whether you women ever do that or not. But pile them up on a chair just piled up in the corner.

10              And I thought, "Well, poor old mother, there's the washing." I seen a big white something there in the corner. I said, "Well..." And I happened to notice that washing. I hadn't noticed it before. But looked like that washing was moving up in the air, like this. Well, I thought just the room's dark, and I rubbed my eyes, and... I noticed then... Either I was going to that washing, or that washing was coming to me, a white looking... Come to find out, it wasn't a washing in the room; it was a white misty cloud there in the corner. And here it was coming to me.

Now, remember, when I testify this before you people, I'm going to have to answer for them words at the judgment someday.

11              Now, I notice you've preached of fanaticism. God bless your heart, brother, I'm finding plenty of it (That's right.), of pure fanaticism. And it's only the works of the devil to hinder everything he can against God. That's right.

And this come right up, moved right up to me. And I went into the cloud or-or something. I don't know what taken place.

But when I was going to it, I found out that I was going to a little white house, setting... A little long three roomed house, or two room house, kinda made in what we call the "shotgun" house, kind of a little straight house.

12              And I entered the front door, and when I did, I looked to-to my left, it was, and there set a red duofold chair. There was an old mother setting in there, a crying. Over to my right was a duofold itself, and a young man was setting there with blond wavy hair. There was a black headed woman leaning against the door that went out into the kitchen, or the other room, a crying. And I looked over here at the bed, a little iron poster bed, and one of the hideous sights I ever seen in my life. A little boy was laying there with a blue corduroy overalls on. And one of his little legs had been twisted just like that, till it was wound against his little hip. And the left one was twisted like that. And each arm was twisted vice versa against his side. And something had been laying on his little chest here, and his little body was twisted up like that. Oh, it was a... And his father, a tall dark looking man was standing crying over the baby.

Well, I said, "Isn't that strange? I was in mother's just as... just as... Strange it's not..." You're not dreaming. Just like you're having a nightmare. It's just as much reality as I know I'm standing here at Phoenix, Arizona, in this auditorium, more so. And I thought, "Well now, that is strange." And I started to turn... It always is to my right. And when I turned towards the right, standing there stood the Angel of the Lord with His-that Man Who comes to me. Who He is?

13              Now, remember, you get this. When Brother Branham leaves, don't... I don't know what His Name is. He's never told me. He's a large Man. He weigh over two hundred pounds, I guess, in human weight, wears a white robe, and got dark hair. And He stands just like this. And He was standing to my right. And He said, "Can that baby live?"

And I said, "I-I... Sir, I know not."

He said, "You pray for it."

The father brought it to me. And I laid my hands upon it like this and prayed for it. It dropped out of its father's arms, and it hit on one of those little crooked legs. And when it hit on that little leg, it just went to unwinding. First leg unwound. It made another step, and another leg unwound, the left leg. And it got into the corner, and it made its next step, and his little body unwound. It come walking back to me and put its little hands up to mine, said, "Brother Branham, I'm perfectly whole."

And I said, "Well, praise the Lord."

14              And then this Angel walked to my right again. And He picked me up, and I set down on a little old country road. And was standing there, He said... He showed me a graveyard. He said, "Take the numbers off of it." And I did. He set me down next, and I was at a little place where there's just a little gasoline station and a store a yellow front store. And there was an old man walked out with a pair of blue corduroy overalls, or blue overalls with a yellow corduroy cap and a white mustache. He said, "He will show you the way."

Then He taken me into a house this a way, turning to from the north coming south. And when I walked in there, there was a... I walked in, there was a old stove setting there, old wood burner, what they call chunk stove. I don't think you have them here in Arizona. How many knows what a chunk stove is, let...? Are you from Arkansas? That's where they have plenty of them. How many Arkansas'ers are here, let's? I thought so. See? All right.

15              And they had a [Blank.spot.on.tape-Ed.]...?... "God Bless Our Home." They taken them signs down now in the modern homes and put a pin-up girl. I'd rather have the old sign, "God bless our home." Wouldn't you? That's right.

And then... I noticed in a-a big brass bed over to my left laid, it was either a girl or a boy. It had a mannish look to its face. But I thought it had long hair. Had a heart shaped lips like a woman. And its right hand was like this, and the left leg was twisted in toes, twisted sideways. And He... I thought, "Well, isn't that strange?" I thought, "Is that a man or a woman?" And I was looking.

And I heard Something speak to me, and I looked standing here, and here stood this Angel. Said, "Now, you go and pray, and put your hands like this," both straight, right across the stomach of this person.

16              Well, I thought, "Must have been a girl, or a boy, you know, 'cause if it was a girl, it's a young lady." He told me to put my hands across the stomach of the person. Well, I daresn't not to do what He would say to do. And I put my hands at-upon the stomach of the person, and I prayed.

And when I did, I heard a little voice say, "Praise the Lord." And I looked, and I seen that crippled hand straighten out, its legs come back to its normal condition. I seen it raise up. And when it was, her-the pajama leg come up high, and it showed the round knee like a girl's. You know how a man's knee is, kinda bony like. Well, the-the girl's knee was round. I seen it was like that on her-when her pajama leg raised up. And she was perfectly made well.

And about that time, I heard the people saying, "Oh, thank God."

Well, I thought, "Isn't that strange?" I heard somebody hollering, "Oh, Brother Branham, oh, Brother Branham."

I thought, "I hear someone."

"Oh, Brother Branham..."

17              I-I was coming to myself in the room. I was standing right in the middle of the floor. I hadn't been nowhere, it looked like but right in the floor. There was someone had come in to the door. I said, "Yes, come in."

Somebody... He opened the door and come in. He said, "What's the matter?" And I said... He was crying. He said, "Brother Branham, do you remember me?"

And I said, "No, sir, I don't."

And he said, "My name is John Emmel." He said, "About four years ago, you baptized me and my family." And said, "During the time of the war, up here at the powder plant, you..."

I said, "I remember you now. You killed a man, didn't you."

He said, "Yes, sir. I hit him with my fist and broke his neck in a fight." And said, "And I-I ran away." He said, "I backslid." And said, "Last year, my little boy died with pneumonia." Said, "I got a little boy left, and Doctor Bruner of our city says he's dying now with pneumonia."

And I said, "Is that right?"

Said, "Yes." Said, "Will you pray for him?"

I said, "Yes, sir."

He said, "Well, I'm going down to get Graham Snelling..." He's my associate pastor now at the Branham Tabernacle at Jeffersonville. He said... "I'm..." That was his cousin. Said, "I'm going to get Brother Graham to come go with us." And he said, "The baby..." Said, "Do you know where I live?"

And I said, "No, sir."

He said, "I live about four miles above Utica, Indiana." And Utica is seven miles from Jeffersonville.

I said, "All right, I'll go."

He said, "Well, don't get your car, I will take you in my car."

And I said, "All right."

18              And as soon as he went out, mother called me, she said, "Honey, what was the matter with that man? He just kept shaking and calling, shaking the door."

And I said, "Mother, I... Something's happened." I said, "I-I was in a vision."

She said, "Oh, were you?" And I said... She said, "Is it anything good?"

And I said, "Yes, the man's little boy is going to be healed."

And so just in a few moments, he returned, and I got in the car and we started up to the Navy yard. And I... So going up the road, and he said...

I said, "Mister Emmel, I guess it's awfully hard on you being backslid now."

19              He said, "Yes, Brother Branham," said, "I'm ashamed of myself. I was even ashamed to come after you." Said, "The baby's been sick for about two weeks." But said, "I-I was ashamed to come after you." Said, "And Doctor Bruner said it was going to die." Said that he left at about two o'clock. It was then about four, four-thirty. He said, "He says it was going to die. So there wasn't nothing to do but come and take the last thing I knew to..."

I said, "Mister Emmel, you said you lived above Utica?"

He said, "Yes, sir."

And I said, "You live in a little white house, don't you?"

And he said, "Yes, sir."

And I said, "The front door faces south of you?"

And he said, "Yes, sir."

I said, "You have a red duofold in that house, don't you?"

He said, "Yes, sir."

And I said, "You have red baseboards, or-or around the side, like this, tongue, made out of tongue and groove stuff."

Said, "Yes."

I said, "Your baby's about... I'd say about three years old, and is wearing blue corduroys?"

He said, "Was you ever up there?"

And I said, "Uh, uh, not in-in the way that you would think I was."

He said, "Well, Brother Branham, that's..."

I said, "And the-the baby's barely breathing, isn't it?"

He said, "It is."

Well, I said, "It's THUS SAITH THE LORD, your baby's going to live."

He said, "Brother Branham?"

And I said, "Well, is it... How..."

"Well you never was in my house?"

I said, "I was just there a few moments ago."

He said, "Well, I never seen you, Brother Branham."

I said, "No, I was... It was a vision, Brother Emmel."

And he said...

I said, "But don't worry, your baby will live."

20              He just pulled up the brakes on this old Model-T Ford he had, threw his arms around, one around the Brother Graham and one around myself. And I never heard a man cry and repent so in my life.

He said, "God, I'm ashamed of myself." He said, "I'll never, never go back on You again, if You'll just forgive me." And there, he gave his heart back to Christ there at our... And we were there about fifteen minutes, and he was crying. And he felt that God had forgive him.

He went up, walked into the house. And as soon as I walked in, I seen the mother.

21              Now, here's where you can always speak out of turn. Being that I brought this case, is where I almost missed, and caused something to happen. You have to watch what you're doing.

And-and I-I walked into the room, and there laid the little baby laying there. There was the baseboard. There was the duofold chair with the duofold. And the man that was with me was Brother Graham Snelling... [Blank.spot.on.tape-Ed.]

God's in no hurry, we're the ones in a hurry, not God. And I said, "Bring me the baby now if you got faith. They brou... [Blank.spot.on.tape-Ed.] And the mother was... The baby just barely living. They only way you could tell was hold a little piece of fine paper to its nose to see if there's breath coming and going from its nose. That's how bad it was.

Well, I seen that twisting of its body was the pneumonia. It was just dead, practically, all of it up to here, and that's the only place it was breathing. That's what that sign was of the twisting. I said, "Bring it here."

And they brought it over there. And my, when I prayed for it, if anything, it got worse. Its little eyes set; its tongue came out; its little head went back.

Well, I thought, "Wait, there's something wrong." I have never in my life seen that fail, because that-that's just as true as the Bible. God has already spoke it. Something... There's no way you can doubt that. You don't have to ask the person. "If you got faith..." It's already pronounced by Almighty God. It's going to happen.

22              And I thought there was something wrong, and I happened to think, "Why, there's one person that wasn't in the house. And nothing was in order." This old mother... Was nobody there with them glasses on. Where was she at? Well, I thought, "Well, now, that..."

And they took the little baby over there, and it just choking, went [Brother Branham makes choking sounds-Ed.] And the mother run over to it, and the father, and they begin to work with it, and put this stuff over its nose, and things. And they both got to screaming and left the baby alone. Brother Graham started working with it. So... Just like past... Now just as blue as it could be its little body, it laying stiff like that. Lungs, already... Lungs was congested. It was even folded up, and pushing his little ribs like that where the lungs was-was swollen in the little thing. And that's the way it was laying.

And I-I thought, "Oh, my, something's not... I knowed that mother wasn't there. Then I knew that I had-that I had missed-failed God.

23              So they worked with that baby from then until it got daylight, sun come up. I never spoke one more word. I couldn't speak a word. I couldn't tell them. But I seen the duofold; I seen everything.

So then it got time that Brother Snelling had to go to work. And so, Mr. Emmel was going to take him back home. He said, "Brother Branham, do you wish to go?"

And I said, "No, sir. I'll just stay here." And I thought, "O God." I was praying, "Forgive me. Forgive me."

24              That's... Well, you remember two or three Sunday's ago, standing here on the pulpit when I done something. That's the only thing I... Oh, it's... I-I look at humanity, and I try to listen to what somebody says, instead of waiting to see what God says. You pray for me. That's what I need your prayer. Now, I'm just opening up my heart to you here today, 'cause ser... May be the last time we'll ever meet in life.

And then, I turned around, and I-I didn't know what to do. He said, "Well, you want to ride down with us, Brother Branham?"

I said, "No, I'll wait here." I knew that if God would hear my prayer and forgive me, there was a chance for the baby. But yet I'm... Every... Nothing was lined up right. And...

Now, that might not seem very much to you, but in the sight of God, it means everything. It's got to be right to the dot. That's right. And I-I he said, "Well..."

25              Brother Snelling said, "Well, I got to go, because I've got to go to work." He was driving a tractor at Colgate, down there was Palmolive Peet Company there. So he-he got on his coat. And I thought, "Oh, my, if he leaves, I may have to set here two or three days till he comes back." 'Cause I knew he was the man that had the blond curly hair was in the vision.

Well, you don't know how I thought, friend. And you'll never know until we meet in judgment, at the day when I'll have to answer for these words that I'm saying close to this microphone.

And I-I set down on the duofold. And the sun was coming up. It was awful cold. It was wintertime. And I was setting there. Brother Emmel had on his coat, and his big heavy cap. And-and Brother Snelling had on his coat and wraps. And they was started to go out. And he told... He was talking to his wife, Brother Emmel was. And I was setting at the window, looking like this, down. And I happened to notice coming up the sidewalk, the little old path, it was, little dirt path around the house. And here come the grandmother of the baby. She had on glasses.

Oh, my. You don't know how you feel then. I thought, "Oh, if they just don't leave now." I thought, "O God, how I thank You."

26              And the woman always come to the front door. That's where they visit, coming through the front door. But that morning, my car wasn't there, just her son-in-law's car. She had left sometime in the morning, 'cause the baby was so bad. And she had went home to get some sleep. And she come around to the back door. I couldn't say nothing. I just had to set there and watch now, why?

But you'll never know how I felt when I watched and seen that woman come over. I recognized it to be her. I never seen her before in my life. But I recognized it to be her, seen her pass by like that, go by. I thought, "O God. Praise the Lord."

And Brother Snelling was... They was all ready to go. And she come in the kitchen door, and come to the middle door, and knocked at the door. And if she hadn't have done that, the vision still wouldn't have be complete. Her daughter went to the door to open the door to see who it was. And it was her mother.

And she said, "How is the baby? Any better?"

And Mrs. Emmel said, "No, mother, no." And she just threw her hand up like that to cry, like that, you know. Put her head up against the wall. And that's just the way it was in the vision.

27              Well, I was setting on the duofold where Brother Snelling was supposed to be. I got up off the duofold, walked over like this, wondered what was going to take place. I thought, "She's got to be setting in this red chair." And I just stood there a little bit. And I-I wondered. And Brother Snelling, he started crying too, 'cause he seen her crying. He just took off his hat, just set down on the duofold.

I thought, "Oh, my." Just one more thing to happen.

I looked all around to see where everything was. And I looked over, and the lady, she was... Oh, no, she set down her little satchel she had. And she backed over here, and set down on the duofold, took off them glasses and begin to wipe them, just exactly the way it was in the vision.

28              Then I could feel Something standing near me. I knew He was there. And I said, "Brother Emmel." And he looked at me. I said, "Do you still have faith in me?"

He said, "Brother Branham, I love you with all my heart."

I said, "I'm telling you now; I'm sorry for what I done awhile ago. The vision wasn't complete. But now, you got to show that you still got faith in me." If you believe it... The baby was just as blue as it could be. And I said, "If you still have faith in me, bring me the baby." [Blank.spot.on.tape-Ed.]

Baby... [Blank.spot.on.tape-Ed.] "...?... the vision. I'm sorry for what I did awhile ago. Forgive Your servant, and heal this baby in the Name of Jesus Christ."

29              And when I said that, the little baby threw his arms around his daddy's neck, and said, "Daddy, daddy." Oh, you talk about a screaming bunch in the house. And then... So they begin to run.

I said, "Now put him back in the bed; it'll be three days before he's recovered, because he made three steps, bringing it out."

I went back, reported to the church what had happened. And on the third day, I said, "Now, I won't hear no more about it. On the third day, go up there and see if he don't come across the floor and put his little hands in mine, and say, "Brother Branham, I'm perfectly whole."

And so then, you can about imagine how many went up to see it: the whole entire church. There was cars all up-and-down the road. And I told no one to go. I had to go first (You see?) for them, so they could see it was coming from God. And they gathered around.

30              I went up to the door, knocked at the door, and the mother was back in the little kitchen. She come running through the house, and-and she opened the door, and she did, she said, "Oh, it's Brother Branham. Come in, Brother Branham." Said, "Looky the difference of him."

He'd been drinking some chocolate milk and had one of them little mustaches, you know, chocolate milk on him. And he come walking across the floor. Everyone standing there looking through the windows and everything. He walked out, I just stood in the floor, never said a word. He walked over and put his little hands up to mine, he said, "Brother Branham, I'm perfectly whole." See?

31              I begin to tell about the rest of it. Two weeks later, I started out of my office. And usually, we have a little-little pigeon holes where we put our mail. But Herbert Scott, very fine man there, and he said-he said, "Brother Branham," he said, "before you go down, on my desk over here (I was on patrol.)..." He said, "On my desk is a letter laying for you."

I said, "I'll pick it up." And I started down the steps to go down into the main part of the office, as our local office is around the top. I started down, and seemingly, something moved me, strangely, about that letter. I walked over to the letter, to the place and picked up the letter; I looked on it, it said who it was from. I tore it open, looked at it. And I said, "Well, I'll say."

32              Looked on there, it said, "I am Mrs. Harold Nail." She said, "Reverend Branham, I've got a afflicted girl that's sixteen years old." And said, "She's been afflicted for some time, and arthritis has set into this affliction." And said, "She just cries day and night." And said, "I belong to the Methodist church at-at... just a..." I'll call the name of the place just in a minute. It's below Salem, Indiana.

Is anybody here from near Salem, Indiana? There's somebody back there. What part of Indiana you from, sister? What part of Indiana? Salem? Salem, Indiana. My... Do you know Harold Nail? You know Harold? There, fine. Now, this is the evidence now. Now, we got it right here. Fine. I want to see you when the service is over. That's... Now, I'll tell you where it... South Boston. You know where South Boston is? That's... All right. Now, we got the story lined up with the evidence. The other day, I was... I like for people to be near. All right.

33              Now, I-I brought this letter down. It said, "I live in Salem, Indiana, or at South Boston, Indiana." And said, "Our pastor come down, and he-he told us... We had a prayer meeting, and somebody brought us a little book called 'Jesus Christ, The Same Yesterday, Today, And Forever.'" And said, "We were reading that little book about healing, and something moved on my heart to send for you come pray for this little girl." And it happened to be, that when she gave what night it was, it was the same night the vision came to me. See? Now, check with that.

I went home; I told the wife. I said, "Looky here."

She said, "Yes." Said, "Oh, that's that vision, isn't it."

I said, "That's it."

At the prayer meeting that night at the church; I went over, I showed it. Everybody wanted to go. And there was some people there by the name of Brace: Ad Brace.

34              I've looked for them many times. I... They might be in this meeting. Is Ad Brace here from Texas? Or anybody that knows him? They'd come up there to be healed, Mrs. Brace. She's a tubercular case. And so they-they wanted to go.

And I said, "Now, first thing, where is South Boston?" Somebody told me where it was at.

So... And I went down below New Albany. Do you know Hoosier, back there? I went down below New Albany, and went way down. And it was New Boston down there, instead of South Boston. Well, I never heard of South Boston. I thought, "Well, now-now, that's strange, isn't it. New Boston." Well, I come back up.

And there's an old fisherman by the name of Wisehart, down on the river. He told me, said, "No, South Boston is way... You go up towards Salem, Indiana."

35              So then, I went up to Henryville to turn off. And they told me to turn off in Henryville. And you know where that road is leading through from Henryville, I guess. That was one muddy, muddy road. Well I... And so I got back on that little old gravel road and kept going. And there was a little song that they... They were Pentecost people. And they were teaching me a song about-something about:

There are people almost everywhere,

Whose hearts are all aflame.

The fire that fell on Pentecost,

That cleansed and made them clean;

Oh, it's burning now within my heart,

Oh, glory to His name!

So glad that I can say I'm one of them."

You ever hear it? Well, they were trying to teach me that song. Now, there's something about there, and said the... something or other about the lame was made to walk, and so forth like that. And I just thought that was fine.

I said, "Come on, let's have that again." And we were singing, and going along like that.

36              And all of a sudden, Something that struck me that I almost was paralyzed. And I-I thought it was... I thought maybe I was sick. And I stopped the car. And I was up top of a little hill. And there's a church back over to my left. I thought, "Maybe it might be the Angel of the Lord. I'm passing a church." And I got out and went around behind the car. And I had a little old Ford run-about. I put my foot upon the; back there by the trunk. And I was standing there. And I thought, "Wonder what it is." And I happened to look over to my left, and there was a graveyard. [Blank.spot.on.tape-Ed.]

37              Me that piece of paper. And she brought it over there, and we checked the names and numbers on the tombstones and that's just exactly the place. I said, "This is the road. We're on the right road now. And that was the Angel of the Lord that stopped me." I went right on by it and not noticed it. See? You know how the Bunker Hill graveyard sets over. And I'd never been in that country in my life, knowed nothing about it. So I went... I want... Just kept on going. And I met a man standing by the side of a-a place where he was-a little filling station; he was rolling a cigarette.

And I said, "Is this the way to South Boston?"

He said, "Yes, sir. Go straight ahead."

I said, "Do you know of somebody over there by the name of Harold Nail?"

"Yes, sir."

All right. So I just went on. I kept on going. They said, "Now..."

I said, "Now, if I hit the place... (The place, South Boston.) There'll be a man come out that's got on a pair of blue overalls. He will have a yellow corduroy cap on with a white mustache." I said, "He will come out the little store. It's got a yellow front in it."

And so... And she... Mrs-Mrs. Brace said, "Well, I-I just never seen anything like that, Brother Branham." Said, "I don't know what I-I... I don't know what more I'll do." Said, "When I think of them names back there." She couldn't get over it. She never seen anything like that.

38              And so we went on. I went down. I... We'd come around some bends, and I got mixed up on the road there. And I said to the fellow, he said, "Well, you-you know how Indiana is. You jog to your right and jog to your left." And so I must've got the wrong jog. So anyhow, I... He said, "Go right on straight through this way."

Another man standing there said, "You-you'll get to South Boston. Just about four or five miles."

I was driving on. We was talking, you know. After while, I come into the little place; I passed it. I said, "That's the place. There it is, right there." Just a wide place in the road, like, you know, a little country road there. I said, "That's the place, right there. That's the yellow store front. Watch."

We moved up a little bit farther. Out of the store stepped a man with the blue overalls on, yellow corduroy cap, and a white mustache. Mrs. Brace just toppled right over in the car, fainted. And she-she didn't know...

39              I said, "There he is. That's the man." I said, "Now, watch, he will act real funny, because It... The power of the Lord is so near to him." And I drove up close; I said, "Sir." I said, "You're to tell me where Harold Nail is."

And the old fellow's lips begin to quivering like that. He said, "Yes, sir." Said, "You go right up here to this road, and you turn down. It's the third house on the right-hand side where a big red barn sets up on the hill."

I said, "Uh-huh."

He said, "Why?"

And I said, "Hasn't he got a daughter that's pretty sick or something?"

Said, "Yes."

I said, "She's going to be healed."

Great big tears begin to rolling down off his poor old cheeks. And we turned around. And Brother Brace was talking to Sister Brace, and rubbing her in the face with his hand. And we turned around, and went back up, and went down the road, turned in to where the place was.

40              There was a-kind of a heavy set lady, Mrs. Nail, came walking out of the house. And she said, "I know you're Brother Branham by the looks of your picture in the book."

I said, "Yes, ma'am."

She said, "Come in."

We walked in. So they went walking up with me. We turned into the way it was. And when we were... entered the door, I said, "Watch now what's in the room." Soon as you get in the door, there's a big old chunk stove setting there. There's the sign up, "God bless our home." There was the-the big poster bed. There laid the girl laying there, kind of a boyish look, rough looking, and her hands drawed up with arthritis, and her foot like that. And over to the paper was yellow, and with the red figures in it.

Mrs. Brace taken another fainting spell. Down she went again when she seen it and seen what had happened.

41              Now, and-and then it seemed like something strange happened. It seemed like that my spirit, or my being, or something, moved out. And I remember walking over and laying my hands on the stomach of that young girl. And I said, "THUS SAITH THE LORD, sister, you're going to get well." And I begin to pray.

And when I begin to pray, I heard something say, a little voice say, "Praise the Lord." And that was her. She'd been crying day and night with that affliction. And when I noticed, her hand was back normal, her foot was straight, and when she raised up, her pajama leg raised up high enough here to show her round knee. And when Mrs. Brace seen that, down she went again. So she toppled on the floor, and he said, "Mother, mother."

The girl walked out of the room, come back in dressed, combing her hair with that crippled hand, and her crippled foot. And she lives in Salem, Indiana, today.

You happen to know her, sister? What-what's your name? Laurel. From Salem, Indiana. Do you know Mrs. Nail? Do you know the girl, and know the case? There's a witness.

Now, let's say, "Praise the Lord," everybody.

What you doing way out in this country? It's a fine place, isn't it? It really is. That's mighty fine. From Salem, Indiana... That's about-just about thirty miles, thirty-three miles from my home, I guess, from Salem, Indiana.

Now, you see? Now, that's just one of the cases of God making His way to perform these things.

42              Wonder if I got time to tell you one that's on my mind if I could take but just a few minutes. Wonder if we could do it. Would you say, "Amen," if you want to hear it? Does it bore you talk of them? You want to hear it, say, "Amen." [Congregation says, "Amen."-Ed.]

That was at Little Rock, Arkansas. How many knows G. H. Brown of Little Rock, Arkansas, a pastor, G. H. Brown. Somebody back there in here? All right. Do you know him, do you?

Now, you write to him for this testimony. And now, this man if you want to write for this testimony, see the lady back there, first thing if you want to. And then write to Mrs. Harold Nail at South Boston, Indiana. Or write to the other one, is Mr. John Emmel, Utica, Indiana, RFD 2. And if you want to write to this man for this testimony I'm going to tell you now, it's Reverend G. H. Brown, 505 Hickory Street, Little Rock, Arkansas. And I'll try to make this just as quick as possible, have a word of prayer, and when we start the prayer line.

43              How many's here today to be prayed for, let's see?

[Blank.spot.on.tape-Ed.]

Prayer line closely. I always call it a miss...?... in a happen, or something like that. It's a whole lot to do with the person's faith.

But when He sends me to any place, friend, I-I don't care if the person has been there in his grave, dead, for fifty years; they'd come up again. 'Cause God's already spoke it. It's got to be. And... Now, that's just as true, friends, as I'm standing here. The Bible said, "In the mouth of two or three witnesses let every word be established." Is that right? Now, you ask.

44              Now, that's the way the gift is supposed to be working. See? Now, I want you to notice this. It wasn't my sincere prayer that brought this gift. Gifts are not brought by sincere prayers. Gifts are foreordained of God. They're ordained and sent.

Here at the municipal bridge. Sister, no doubt you know where the municipal bridge is, don't you, cross from Jeffersonville to Louisville?

Twenty-two years, when I was a little boy, just a little bitty lad about five years old, or six years old, when the Angel of the Lord appeared in the bush... You've heard me tell that haven't you, when I was packing water?

Well, about two weeks after that, I was playing marbles with my little brother. And I thought I'd got sick, some real funny feeling came on me. And I went and set down by the side of a tree. And I looked down at the river, and there went a bridge, a big, great big bridge going across the river. And I counted sixteen men that fell off of that bridge and drowned. And I went and told mother. And I told her I seen it. And they thought I was crazy or something. They thought I was just at a little nervous hysterical child.

And twenty-two years from that time, on the same ground went the municipal bridge across, and sixteen men lost their lives on it. See? Wasn't nothing that... It's-it's God sent it. Your prayers brought it. See?

45              And there may be the man setting in this building right now that's Divine prophet is coming. He may raise; he may claim things. There's lots of fanaticism usually follows these things. Beware of it. I'm warning you before it comes. But God will testify of His gift. Is that right? He will testify of it.

Now, notice. And get real close to this. That... You heard me tell you of the healing of that woman, that maniac the other day, was on her back there at Little Rock, Arkansas. You remember my telling you about that.

I just had a phone call, Brother Brown to come to get me. And I had a phone call from Memphis, Tennessee.

Is anybody here from Memphis, Tennessee? Around in Tennessee? There's plenty. I see some Tennessee cars out there, so I thought... All right, this was at Memphis, and it's your Postmaster is the one that it happened to. And... Anybody, what's the name of that Arkansas place, brother, sisters, where that taken place? That's it. Where that Paul Morgan's daughter... Walnut Ridge, Arkansas. Anybody here from around Walnut Ridge? How many knows Paul Morgan at Walnut Ridge, Arkansas, raise your hands? All right, you'll know the case then. That's fine. Walnut Ridge, Arkansas...

46              Well, I was at Corning, Arkansas, in the meeting when the Walnut Ridge case come up. They was just laying on the... You know how they are in Arkansas. The weather don't stop them there; they just bring them on. And they'd lay them out there around on the streets, around the church, around the parsonage. And I was just going day and night then. That's what's the matter with me now. See? I'm just broke down. In the beginning I was just... They didn't have no certain closing times, I... Just them churches just kept me going all night.

And so there was a phone kept ringing, ringing. And you know Mrs. Nelly Riggs there at Little Rock? Or-or at the... Not Little Rock, but Corning? Well, she was the one was answering the phone. She said, "Well, we can't get him up, sir." Said, "He just... We just got him to bed."

And the man kept on, so-so persistent. So I-I said, "Let me talk to him."

She said, "That's Paul Morgan."

47              What was he, brother? What is he there in Arkansas? Tax collector of that county. And so... I don't think he was that then, was he? Clerk, the city-or the County Clerk.

And so I went-went to the phone. He said, "I'm the County Clerk down here at Walnut Ridge," which is about seventy miles below where I was at. And said, "Sir, I've heard of the great works of God." Said, "I desire you to come perform a miracle on my daughter."

I said, "Mr. Morgan," I said, "well, I can't perform no miracle." I said, "God is the Healer."

He said, "Well, I've heard..." Said, "Look, sir." Said, "My-my little girl is dying." And said, "She's-she's in a very serious condition. And we don't expect her to live but just a-just a two or three more hours." And said, "I love my little girl." Said, "She's my only child. And she's about twelve years old." And said, "I would... I-I would desire you to come."

I said, "Mr. Morgan, I will be glad to come. But looky here, sir." I said, "Here's people standing here on the porch with little babies. And they're soaking wet from standing here all night in the rain." I said, "They couldn't even get around the place."

And he-he said, "I know that, sir." Said, "And I appreciate it." But said, "You're a father too, aren't you?"

I said, "Yes, sir."

48              Said, "Just think. Those mothers, their babies are not dying." Said, "They may have different things." But said, "My baby has got pneumonia. And the best specialist I can get says she ain't going to live but about three more hours."

I said, "Well, sir. I couldn't even get there in three hours."

He said, "But Brother Branham," said, "don't think I'm trying to use my authority now for pressure." And Mr. Morgan is a fine man. He followed us a long time, didn't he, Brother Kidson, right along in the meeting. He said, "If you'll just come," said, "I'll just... You don't know what..." Said, "Sir, their babies, if they been standing all night." Said, "Maybe they-they can wait a little while. But my baby can't." He said... And I just lost a little girl here about twelve years ago. My first little girl died, it was a long time before healing came to me.

49              And I knowed how he felt, that poor little thing dying. [Blank.spot.on.tape-Ed.] Said, "Well, Brother Branham, you can't go down there, honey." Said, "My," said, "well, you're-you're just about dead."

I said, "Well, let me lay in the back of your... [Blank.spot.on.tape-Ed.] little Plymouth car." And drove down that highway at the speed of seventy miles an hour, around through Arkansas.

And on the road down, I was praying. And the Angel of the Lord set in the car with me for just a little piece. He said, "Say this to him. 'THUS SAITH THE LORD, waters are running clear ahead,' that's My Word to give him."

When He left, I-I was just as wide awake as I am now. And I went to shouting and praising the Lord, and Brother Johnson said, "What's the matter?"

I said, "The Angel of the Lord was setting here, Brother Johnson."

He said, "Oh, Brother Branham..." You know... Any of you know Brother Johnson, he's a very fine man. He pulled up his brakes. He started crying.

I said, "Just go ahead now. Go ahead and go right straight."

50              And when we got there, well, the Arkansas people love one another. And they love Paul Morgan. And all around that clinic there, there was just people gathered everywhere waiting for the last word. They'd been setting up there all night waiting for the last words for the little girl who was loved among everyone.

But you don't know how to-how it felt. Got out of there and started pushing up through the crowd. And here was the-one of the doctors standing there. And they was at the door. They wouldn't let no more in, but just what could get to the steps. And they was waiting; everybody loved them.

He said, "Are you the Reverend Branham?"

I said, "Yes, sir, I am."

He said, "Mr. Morgan's waiting for you." Said, "Shall I show you to the room?"

I said, "Yes, sir." I said, "The child still lives."

And he said, "It does."

And I said, "There..." And then on the road up we met the intern.

He said, "This is the Reverend Branham," said, "Mr. Morgan's waiting for."

So... Well, the intern went back with me, and he said, "Will you be left alone, Brother Branham?"

I said, "I would rather. I'd like to see the father and mother first."

Said, "Why, they got two nurses in the room, and they're giving it oxygen."

51              They could not put it in a tent, they had to put it over... a rubber mask. Now, if there's a doctor here, I never seen it before. They put it on there, and force the oxygen in-in-into the baby. And it would take a couple of breaths, go... [Brother Branham illustrates-Ed.] Then they'd put that on her again, go... then go... Then go down again, then the nurse would take and push it over, go... Take that like that, and that's the way they was keeping it alive.

When I started to knock at the door, oh, my, I just felt Something standing near. Brother Johnson standing there, I said, "Don't come in, Brother Johnson. Let me go alone."

I got to the door. One of the nurses opened the door. She said, "What do you want?"

I said, "I'm Brother Branham. I want to see..."

Said, "Step in." I walked in.

Mr. Morgan said, "Are you Brother Branham?"

I said, "Yes."

And he just come put his arms around me. You know how he is, a great big fine fellow. He said, "Brother Branham," he said, "I try to live right. I-I try to do what's right. I don't know why God's taking my baby."

I said, "Don't be excited, Brother Morgan. Set down."

I walked over to the nurse. And she said, "We'll have to keep this oxygen going."

I said, "That's all right. I want you to."

52              The little girl was laying, kinda stooped over like this. I laid my hands down upon her, and I said, "Now, father (to the father)," I said, "do you and mother promise to serve God, testify wherever you go about it?"

"We will."

I said, "Don't fear. I have a Word for you, 'cause it's from the Lord after I pray for your baby." Putting my hands on the baby, I called over it the Name of Jesus Christ. And whenever I did, they didn't have to put the oxygen on its nose then. I turned around, and I said, "THUS SAITH THE LORD, Mr. Morgan." I said, "Many specialists has pronounced your baby dying. But THUS SAITH THE LORD, your baby shall live." I said, "It'll recover. And here's your Word. Remember this the days of your life. 'The waters are running clear ahead.'"

You don't have the testimony right there, do you? No. And he signed by notary.

And so I walked out of the building. And on the third day, the child returned to school. It was healed, well. See?

53              Now, then at Little Rock, they sent for me to come to... What was that man's name? Postmaster there at... Ever who it is, you from-from Memphis know who I'm speaking of, I guess. He's-he's a tall fellow. But anyhow, when I get through with the description here, you'll know. And the man was with him was named Kenny. I remember that, Mr. Kenny.

And they sent for me to come over there to pray for this man, said he was dying.

Well, I got ready to go, first plane flight. And instead of going over... I was getting ready, and I was putting on this suit of clothes. And I heard something like a wind blowing in the room, begin going, whew, whew, whew, whew. [Brother Branham illustrates-Ed.] I thought, "My, the wind's awful high today." And I was putting on my shirt, you know, and coats and things. I was a singing. And Brother Brown was going to fix me to go over there, said the man was dying.

54              And that man that went over to doctor General Patton... You all remember him? They'd brought him in there by plane for this man. Everything said he's dying, a pneumonia case too. Said, "He's dying. The man can't get well," had asthma, asthmatic pneumonia. And so I started to put on my coat, and I was thinking Brother Brown would be there most any time.

And they couldn't get a... And Mr. Kenny had come by a fast car. He was some kind of an official of the law there, you know, and he had a-had a red light and siren on his car. And he come over, had left early so he could get me, so if the plane did miss.

55              And I looked over there, and just a whirl like going around in the room. And I knelt down to pray. And when I did, the Angel of the Lord spoke, and said, "Do not go over there. His time has come." All right. I got up and took back off my coat. In a few moments, they come up to the door. And as Brother Kenny run in, said, "You, Brother Branham?"

I said, "Yes." And Brother Brown was with him. Now, you all know Brother Brown, or any of you wish to write to this testimony. He put his arm around me, said, "Oh, I've had faith to know." Said, "He's a personal friend of Paul Morgan." Said, "He knowed of his daughter." And said, "Of course, he's unconscious now." But said, "He's a bosom friend of mine." And said, "You know..."

I said, "But sir, you'll probably find your buddy gone when you return back. For THUS SAITH THE LORD, the man is going to die."

56              Well, you just about... [Blank.spot.on.tape-Ed.] "Well, the Holy Spirit is warned me not to go. He spoke to me here in the room a few moments ago."

He said, "But Brother Branham," said, "they just... His wife said... They're just... They're coming in out of the... of a big church, you know, into their church." And said, "If you just... If you," said, "it'd just mean so much to her."

I said, "But I can't help it, sir. I cannot go against the will of God. I can't go."

He said, "You mean my buddy's going to die?"

I said, "He will probably be dead when you return." I said, "However, what time will you get back?"

He said, "I'll get back by eight o'clock tonight."

I said, "Call me in the morning. I'll be praying." I said, "I'm interested in him. And let me know when he passes away." I said, "You call me in the morning and let me know his condition, and just when he passed away, if he was passed away when you got there. And never mind calling me tonight, 'cause I'll be in service. And don't call me, 'cause I don't know, may not be in from service till two or three o'clock in the morning."

Well, he was so... He started out crying. He said, "My poor buddy. My poor buddy," like that, going back crying.

57              Well, I went on to service that night, and that was the very night the maniac was healed. See? Went back and got in the bed. And the next morning, as I went in about two o'clock.

And the next morning, I-I woke up in the room... Now, I want you to listen to this real close, now, so that you can get the story from Brother Brown. When I woke up in the room, I just... like that. And I thought, "My, it's daylight." And looked, setting there by the side of my bed, and there set a lady. Well, my room was locked. The door was locked. She had on a brown suit, light brown suit. She had kinda mingled gray hair. She had on a white waist, what-ever what they call the women. I think that's called coat suit, isn't it, when it's got the dress and the coat up here of the same color, you know, and same thing? So she was setting there. And she was-she was just looking so sad sideways.

And I said... I raised up; I thought, "Why, here. How'd that woman get in here. The door's locked, and here's the key laying here. And that woman setting there." And I said-started to raise up to say, "Madam..."

And when I did, I looked back over here, and there set a man setting there. And he was a tall man, wore a light suit, and gray hair, and had a red tie on. He was just looking so sad, like that. And she looked around to him, and he kinda smiled. And they kinda looked over at each other.

58              And I thought, "Well, what is this?" And I raised up right... Just as natural, friends (God is my Judge.), as if I'm setting right here looking at you, like that. And I said, "Well, what is this?" And I looked up, and I was standing on a platform, somewhere in a church. Well, I... Well...?... Or-or I bit my finger to see if I was just sleeping, or what was wrong with me.

And I seen this was-was not, it was a vision. And I looked at it, and just then it went... It just went fading out. And I seen them laughing at each other. And they was bowing their heads towards me like that, and smiling to one another, and bowing their head like that. And they just faded out of the room like that.

59              Well, I got up, and I prayed. And I said, "God, I don't know them. What does that mean? There'd probably be somebody come in today with that description." Sometimes I see people coming into the meeting like that. I said, "Now, when I see them..." You hear me... You heard me many times go and say, "THUS SAITH THE LORD, stand up." See? 'Cause God's already spoke that. That has to happen. And I thought, "Well, somebody be in like that."

And so I-I thought, "Well, I will read my Bible," this very Bible. I said, "Lord, where would You have me to read in Your Bible this morning." I just love to read the Word of the Lord. I just took my hand like this, laid it on the Bible and opened it up. And it opened up there to where Isaiah was sent to Hezekiah to pronounce to him that his time had come. Hezekiah turned his face to the wall and prayed unto the Lord. And the Lord heard his voice and come back and spoke to Isaiah, said, "Go tell him I've spared him fifteen years." You remember that? "Well," I said, "isn't that a strange thing?" Well, I-I said that Scripture seems... I done forgot about that-that case over there. I said, "That's strange, isn't it."

60              And about that time, the phone ring. I said, "Well, that's Brother Brown coming up to help come get me and take me down. You know how... There, two or three with him. I thought, "That's him coming to get me for breakfast. And I took down the receiver. I said, "Hello."

He said, "Hello. Brother Branham?"

I said, "Yes, sir. How are you, Brother Brown?"

He said, "This is not Brother Brown. This is Brother Kenny in Memphis."

I said, "Oh." I thought nobody knowed what room I was in, and no one knew where I was staying (You see?) but-but Brother Brown. And I knew Brother Kenny knew then. I said, "Yes." I said, "Well, what kind of a news you got?"

61              And just then it dawned on my mind what the vision was. And he said, "Well, Brother Branham, we've set up all night. We thought he was leaving." Said, "The... They're here now." Said, "They're just looking for the last minute any time." Said, "Brother Branham, I'm... I reckon I could get my wife to come over if I... In your next meeting, when you go over to Jonesboro the first of the year." Said, "Bring her over, put her in the meeting?"

I said, "It may be you could, sir." But I said, "You saying sh...?"

He said, "Yes," said, "He's dying."

I said, "Is his wife there?"

Said, "Yes."

I said, "Does his wife ever wear a brown suit-like and got a white waist on it. She's kind of a gray haired woman?"

Said, "Sure."

I said, "Does he ever wear a light colored suit? Does he got gray hair, and he wears a red tie?"

Said, "That's the way he dresses all the time. Why? You know him?"

I said, "Yes, sir. Tell the wife to come to the phone."

He said, "Well, Brother Branham, I said they're looking for him to go at any minute."

I said, "Well, tell him to come to the phone."

Said... Well, said, "I already told her that you said he was going to die."

I said, "But I want her to come to the phone."

She come to the phone, and I said, "Hello." And I asked if it was her.

Said, "Yes."

And I said, "Well, this is Brother Branham."

Said, "Yes." Said, "I heard, Brother Branham."

I said, "But look, sister. Are you ready now?"

She said "What do you mean?"

I said, "THUS SAITH THE LORD, your husband shall live." I said, "Do you-do you... Do you believe that?" And I didn't hear no answer. I said, "You believe that?" I couldn't hear no answer.

62              I thought... And I heard somebody carrying on out there, and she'd fainted. And the... And she'd fell down on the floor. So then, Brother Kenny picked up the phone, "What's the matter, Brother Branham? The woman fainted."

I said, "I told her, THUS SAITH THE LORD, her husband's going to live."

He said, "What?"

I said, "Yes, he's going to live." I said, "I described him. I seen him in the vision a few moments ago. She is going to live... or he's going to live."

He said, "Oh, can I come after you?"

I said, "Just meet the next plane. I will be there."

63              [Blank.spot.on.tape-Ed.]... went up that hospi... [Blank.spot.on.tape-Ed.]...?... doctors were over there. I walked in. Here come his sister down the hall, she said, "The very idea...?... holy-roller preacher around here, and my brother dying in there. I think it's a disgrace."

Oh, my. That couldn't... Nothing could stop it. The devil couldn't send enough imps out of hell to stop that. There's nothing. There's nothing. It's absolutely there. That's all. That's done said, THUS SAITH THE LORD. It's there. Oh, you don't know how I felt to walk in there.

Walked down the hall, here come a nurse out from in there, you know. And I said, "Is there anyone in there, lady?"

And she said, "Yes, there's two doctors in there."

I said, "Tell them to get out." Oh, my. Oh, my. You don't know how I felt. In the room, there's just them two. Walked down there...

Friends, you... I know you think... Some of you would judge me a fanatic, but God is my Judge, Who I stand before. Just walked into the room like that, and them doctors went out, that very sarcastic look, you know. Walked in, and poor old sister, she was just about to faint. And I said, "Now don't worry."

64              I didn't have a overcoat, and I borrowed Brother Brown's. And I had this-this Bible sticking down in the pocket. And the overcoat was too big for me; I just carried it to make... keep me from looking so bad. It was cold weather. And so I laid the overcoat down in the chair, and I told her, "Now, you go get the Bible and turn to a certain Scripture," where I'd seen there in Isaiah. And he-she begin to read it.

I-I-I looked at him, and that muddy looking color in his eyes, you know, of where his eyes, like, you know, that water coming out. His mouth was back; his ears was about like that. He was laying there under that oxygen-oxygen tent like that, you know. And...

65              I took... reached over into the oxygen tent and got a hold of his hand. There's the vibration's hitting. And I shook him a little bit. I said, "You hear me, sir?"

She said, "He's been unconcious for about two days there."

I said, "Don't... You don't-you don't doubt a word I say, do you?"

She said, "No, sir. I do not doubt a thing." She's a fine little woman.

I took hold of his hand. I said, "Dear God, You Who spoke to me this morning in a vision, I know these people are to meet me at Jonesboro, Arkansas in the service... For I was standing on that platform and this is the man and woman." I said, "Now, let the Angel of God speak." I felt the vibration leave. I just kept on praying.

I felt him grip my hand. I knowed God was there. I felt him grip my hand, squeeze that a little bit. Directly, I looked up, and I begin see him wetting his lips. She was still down at the foot of the bed, crying. And I just waited just a little bit, directly I seen him look over like that. I said, "You know me?"

66              And she raised up right quick; and she looked. She seen him raise up on his head, like on his hand, like this, looking at me. Said, "Know me?"

Said, "Yes, it's Brother Branham."

My, she just dove through that oxygen tent nearly. She said, "Dad, dad, dad, dad," like that, grabbed him up around like that, and just went a hugging him and everything. I just slipped right out of the room like that, while they was going on, right on down the steps, went right back to the plane. When I started out to the plane, the Assemblies of God had enough people out there, I don't know where they was... They're going through the line. There's a little girl, polioed. They had to play her... pack her to the piano.

And when I stopped on the plane here... trip next to this, I was setting in a restaurant there, and the girl come up and set down by the side of me. Said, "You remember me, Brother Branham?"

I thought... I just about fainted on the ground just a few moments. And I said, "No, ma'am. No."

She said, "You prayed me. I was a polio case...?... up over there." And there... [Blank.spot.on.tape-Ed.]

67              And on the third-the second day from then, the man was up out of the bed, shaved, eating ham and eggs for breakfast, and went home, and went back to his work. He's living there now. Why? It's THUS SAITH THE LORD. See what I mean?

Now, Phoenix people, here's what it is. That is the way that God intends this gift to work perfectly. Do you understand it, all of you? If you do, say, "Amen." [Congregation says, "Amen."-Ed.] Now, remember, write for that man to get that testimony. Reverend G. H. Brown, 505 Victor Street, Little Rock, Arkansas. And the other is Harold Nail, at South Boston, Indiana. And John Emmel, Utica, Indiana, RFD 2. Now, for those testimonies... Case after case...

68              Now, when the Angel of the Lord speaks like that, there is not nothing can stand before it. It's absolute... Then wha... My faith? Well, I know it's going to happen. There's no need of saying anything more about it; it's got to happen. If that person had been dead and in the grave for twenty years, and He'd say, "Go there and speak," I'll believe all heaven would shake out of its orbit before that prayer would be refused from being answered. God will do it. Now, that's when it's really, THUS SAITH THE LORD.

Now, when we come to these meetings, I detect vibrations. Sometimes I can ask the vibrations, and God will honor my prayer. He will send it away. That's true. But if there's anything between you and God, and you don't make it right... If it's your faith that's weak, and you're just waiting for a slow line for that to be cast away... If your faith ain't just right, it'll return right back to you. It'll just move out to a place. For I've prayed for them. I've kept this back from you. But I've prayed for them coming through the line, and set them down there somewhere else, and walk back in fifteen minutes time to check them, it'd be back on them again. See?

69              Your faith is the only thing that can do you any good, your belief, your faith in God. See what I mean? Without faith, it's impossible. Is that true? Now, you believe it with all your heart when you come through, that you're going be well, and you'll get well. If you don't believe it, it won't get well, no matter what happens. You won't be healed unless you believe it with all your heart.

Now, look. How many of you people would say that I got on a white shirt? How many of you out there now say I got on a white shirt? How do you know I got on a white shirt? You see it. That's the only way you know it. Are you positive it's white?

Well now, look. Sight is a sense of the body. Is that true? Sight is one of the senses. How many senses are there of the body? See, taste, feel, smell, and hear. How many senses are there to spirit? Two: faith and doubt.

Are you two people in one? You're soul... Your soul, that's the nature of the spirit of course. But now, you're body and spirit. Is that right? You are a body, flesh, and you're inside, then, spirit. Is that true? All right. The out... The inside man leaves; the outside man's dead. Is that right? [Blank.spot.on.tape-Ed.]

70              I think I got that...?... now...?... All right. Now, looky here. I believe there's a man standing before me now, and he's got on a dark coat. How many thinks I'm right? [Blank.spot.on.tape-Ed.] got a white shirt. Do you believe I'm right? All right. Now, just think that I know he's standing there. I see him. Is that right? Is there any other way in the world that I could tell he's there, only but by seeing him? That's the only way, isn't it?

Now, looky here. Now, I don't see that man now, do I? But he's still standing there. How do I know he's standing there? I feel him. That's the sense of feeling. Anybody that's got a sense of feeling would know the same thing. Now, perhaps he's got a... Argue with me, I don't see him. But yet I feel him. I don't feel him, yet I see him. See the senses? They're direct, aren't they? They're perfect, what you call perfect.

71              But could I be wrong there? Sure I could. I could be color blind. That coat... You could be color blind. Yes, sir. You might be... It might be altogether different. He might not have on a white shirt. You're not... But you'd swear by that. Am I feel him? I'd say he's standing there, because I feel him. See? But I could be wrong against that. But yet, I know it, just believe it with all my heart that he's standing there, because the sense of feeling says he's there.

Now, I want you to notice. (Walk over to the piano.) I have another sense. I want you to notice this. If... (Up down on the note.) [A brother plays notes on a piano-Ed.] I hear music. There's music in the room. (Just keep hitting them, brother, just hitting up and down on the keys anywhere there.) How many hears that? How many knows that that... Do I see it? Do I feel it? Do I taste... [Blank.spot.on.tape-Ed.] Do I smell... [Blank.spot.on.tape.] How do I know it's playing there? I hear it. It's a sense of hearing. See?

72              Now, I know someone'd say, "You don't hear that." Yes, I do. Play it again, brother. I know I do, don't you? Why? You hear it. You don't see it, but you hear it. You can't see music, can you? You can't taste music, feel music, can you? But how you know it's music? You hear it. That's right.

Well, brother, faith is the substance of things hoped for, the evidence of things you don't see, taste, feel, smell, or hear. But you know it. It's a faith.

Oh, God bless your hearts. I wished I could get you to see it. Looky here, friends, it's positive. Is that shirt white? Well, healing's right then, if you believe [Blank.spot.on.tape-Ed.]

The substance, not what you... Most of the people just hope, say, "Oh, I believe I'll get well." Nine hundred and ninety-nine out of every thousand passes by don't know the first principle of faith. That's right. They have hope instead of faith. Faith is positive.

73              Oh, I... Real, when you can know it's going to be. If you know that you're going to be healed this afternoon... If your sense of faith... Here it is, get it. If your sense of faith declares to you that this gift come from God, and you're going to be healed, just as much as your sight declares that that's a white shirt, you're sure to get it when you pass by. See what I mean?

Now, if you can trust the human part, why not trust the super-human part? If you can trust the body, why not trust the spirit? For the spirit is superior over the body. Amen. There it is. See what I mean? It's faith, the substance of things hoped for.

74              Look. It isn't this... It isn't this, "I believe it, I think it." You know it. It's the substance of things hoped for, the evidence of things you don't see, taste, feel, smell, or hear. If you believe it, it's there anyhow.

Some people go away and say, "Well, I don't feel any better. I was prayed for last week." Ha. Probably never feel any better too. That's right. You've got to believe it. Not if...

Jesus never did say, "Did you feeled it?" He said, "Did you believe it?" You believe it. And you have faith you know it. Then when this revelation of the Angel come, there isn't enough devils out of hell could stop it from being so.

Now, don't you go around say, "Well, I been feeling bad for two or three weeks, and I was prayed for. Don't feel any better." Don't pay any attention to that. If you believe this truly is a gift of God, rise up, and don't care how you feel, go about rejoicing, praising God. It's gone. That's all. You know it.

75              When I was healed with stomach trouble, why, I remember holding my stomach going along there. And when I was prayed for, I didn't have nobody with the gift of healing to pray for me. The elder anointed me with oil. He told me... I read in the Bible. I seen God's Word was right. And I know he had a right. Though he was a Baptist preacher, he come along and anointed me, said, "The Bible said so." He poured some oil on my head. Said, "Now, you believe you'll get well?"

I said, "...?... God, I'm asking with all my heart. Let me get well." I went right down home to start into my eating. I'd been drinking barley water and prune juice for about three, four months. The doctor said, "One mouthful of solid food would kill you right now." You know what I done? I went right down home, and we had corn bread, beans, and onions for dinner.

I don't know whether you ever eat it like that or not. Boy, it's good. I could stand some right now. And... Mom baked... My mother baked it with a big old pone in it like that. And I always get the corner where it's nice and greasy, you know, and brittle.

So we're still enough Baptist around home to break bread. You know, we don't cut it. Jesus broke bread and blessed it. So we break it out... And just reach over and break you off a piece. So I...

76              Mother said... We never had had a prayer at home. And dad... Dad was Catholic. So I-I said, "Now, I'm going to try to ask the blessing."

And I never will forget poor old dad, how he cried. And mother said, "I don't mind you having religion, honey, but you... The doctor said it would kill you."

I said, "But God said I would live." [Blank.spot.on.tape-Ed.] "If I die...?... [Blank.spot.on.tape-Ed.] And if I die, I'm coming up to Your house. And when I meet You at the door, I died trusting Your Word." I said, "I've tried doctors long enough. And they can't do me no good."

And I took that big mouthful of beans and a onion, great big chomp of that corn bread, and I started on it. And I chewed. It taste pretty good, a little funny, but... Hadn't eat in about, over a year of anything solid. And when I swallowed the first mouthful, here it come right back up again. When I did, I held my hand over my mouth to keep it from coming up. Got me another spoonful till I eat the whole entire plate full of them. When I got up from the table, I just had to hold my hand. Just as sour of acid as it could be.

Mother called doctor. Said, "He will die. That's all there is to it. One mouthful will kill him. That's all there is..."

Here I was, going across the floor, you know. She said, "Are you... How you feeling?"

I said, "Wonderful, fine."

She said, "You're about to die."

I said, "No, ma'am." Just swallowed as fast as I could. Hot water in my mouth, you know, went on across, and I seen they's all gone. I got in the room, I started across the floor, saying,

I can, I will, I do believe.

I can, I will, I do believe.

I can, I will, I do believe,

That Jesus heals me now.

I'll take You at Your Word,

I'll take You at Your Word,

Like that, you know. On down, believing that with all of my...

77              I just got so weak, I just almost fell across the bed, like that, I thought, "Oh, mercy, mercy." And I got up the next day, I walked down the street, you know. My, I didn't care. Mother come in. She watched me all night long, thought sure I'd die, you know. Next morning, all them beans was laying right there at the same place. Said, "What do you want?"

I said, "I want some more beans and corn bread." Yes... Oh, devil wasn't going to cheat me out of it. No, no. God said so.

And every promise in the Book is mine,

Every chapter, every verse, every line.

(Is that right?)

I am trusting in His Word divine,

For every promise in the Book is mine.

That's right. He-He... I'd rather He said, "Whosoever will," than said, "William Branham. There might be a hundred William Branhams. But every, "Whosoever will," I know means it's mine. That's right. I just said, "I believe You." Yes, sir. And I started on, went down the street... Said, "How you feeling, Brother Branham?"

And I said, "Wonderful." I'd go down the street going... Mouth full of beans, swallow them back. No, no. I wasn't going to spit them out. No, sir. Swallowed them back. The Lord blessed them. They were mine. Kept on...

Go down there, say, "Hello, Brother Branham."

I said, "Hello."

"How you feeling?"

"Wonderful."

78              Somebody told me not long ago, said, "Brother Branham, you was lying." No, I wasn't. No, I wasn't.

They was asking me how my body was feeled; I was answering how my faith was. It was wonderful. Yes, sir. Yes, sir. My-my faith was feeling wonderful, because I took God at His Word. I didn't care how I felt. If I'd still been belching up, I'd still say I'm healed. Amen. That's right. Sure, because God's Word is right. Do you believe it? Let's sing it then.

Every promise in the Book is mine,

Every chapter, every verse, every line.

I am trusting in His heart divine,

Every promise in the Book is mine.

All you sick people now that's going to be prayed for, sing it with me.

Every promise in... (Raise your hand.) is mine,

Every chapter, every verse, every line.

I am trusting in His Word divine,

Every promise in the Book is mine.

What do we have to do?

Only believe, only believe,

(That's all you have to do.)

All things are possible, only believe.

79              I'm not very much of a song leader. But I do know in my heart that you have to believe it. Is that right? All right. Now, brother, give us a key on it and we get it. All right. Everybody again now.

Only believe, only believe,

All things...

The Bible said so, didn't It. Didn't God say so? Didn't He promise you the gift? They're here. Others are being healed, can't you? You? You? Can't you?

... only believe,

All things are possible, (Praise God. Yes they are.)

Only believe.

 

Lord, I now believe (Do you?), Lord, I believe,

All things are possible, Lord, I believe,

Lord, I believe, Lord, I believe,

For all things are possible, Lord, I believe.

Listen. If I don't...?... [Blank.spot.on.tape-Ed.]... at the judgment, I'll still say I believe that every promise is true. It's right. Do you believe it? All right.

80              Let's bow our heads. Now just kinda just chord that, if you will, brother. Let's bow our heads now while they're getting ready for the prayer.

Our heavenly Father, we thank Thee today for every promise in the Book. We thank Thee because Thou has brought down the Holy Spirit, for the-the people that owns It, and the lodge. And we pray, God, that You will have them, every one, be saved and in Thy Kingdom at that day, for they've been kind to spread-spread forth their doors to let us come in. Bless everyone. Bless the doctors of this city. Bless all the nurses, the institutions.

God, let the people know that I'm here trying to help poor suffering humanity. I'm not here for any other cause but to try to help these hollow-eyed, sick, dying people. And O God, how could anyone say anything evil against something of that type, when trying to introduce to them a lovely Christ, Who heals all sickness and diseases?

81              Bless Your ministers, Lord. May they be anointed fire brands. And may there be an old fashion revival break out now down here in Phoenix, and go from church to church, from place to place until this is one place that all the nation will say, "Come to Phoenix, Arizona, for the Holy Spirit is being poured out again down there, and great signs and wonders are being done among the people." O God, Thou knowest how I love this little city. And I pray that You'll keep it, Lord. Do grant it, Lord, and send an old fashion revival.

Heal everyone, Father. And may Your Angel, Who I've tried to make it plain to the people, that I can only speak as He speaks. My prayer is only that for the people's faith. But O God, may they have faith to believe this afternoon as they file through this line. There's several hundred people. And as they pass, may they be healed, and we'll give all praise and glory to Thee, for we ask it in His Name and for His glory. Amen.

82              Now, for a little farewell song while they're finishing the prayer line, give us a chord there, brother, of "He Careth For Thee." Will you? "He Careth For You," you know.

He...

This is what I want to sing to you, and you sing back to me now, everybody. How many know it? "He Careth For You," let's see your hands? (All right. Lead us off now. All right.)

He careth for you,

He careth for you;

Through sunshine or shadow,

He careth for you.

Let's all together now sing it. Come on.

He careth for you,

He careth for you;

Through sunshine or shadow,

He careth for you.

83              Listen. Let's let this middle aisle sing it for the rest of you. Sing it with me, just this middle aisle through here. Come on now.

He careth for you, (They're singing to you all.)

He careth for you;

Through sunshine or shadow,

He careth for you.

Let all the sick people that can to stand, all the sick people, stand, that's going to be in the prayer line. Now, you people here that's well, let's you and I sing it to the sick people that's going to be in the prayer line.

He... (Point your finger to them.)

He careth for you,

He careth for you;

Through sunshine or shadow,

He careth for you. (Let everyone stand now.)

He...

84              Now, turn around and shake hands with your neighbor. Everybody sing "He Cares For You." Shake hands with somebody standing by you.

He careth for... (That's right. Turn right around with a good handshake.)

He careth for you. (Let's sing it again.)

He careth for you,

He careth for you;

Through sunshine or shadow,

He careth for you.

Let's all say "Amen." Come on. It won't hurt you. Now, say, "Praise the Lord." Come... Praise the Lord. Now, let's hear us all say together. "I love my neighbor." [The congregation says, "I love my neighbor."-Ed.] "From this time on, I'll try to be Christ's servant." From this time on, I'll try to be Christ's servant.

He careth for... (Oh, my, get right into it.)

He careth for you;

Through sunshine or shadow,

He careth for you.

85              Chord it slowly, brother. Now, let's bow our heads. The governor of your state is in serious condition, and sent word for me to pray for him now. Bow your... [Blank.spot.on.tape-Ed.] Oh, Father, just cooperating with us so lovely. Man that's in the higher places, up in the seats, dominion over the people...

God, spare our governor's life here, of Arizona. God, we love him, and we know that Thou has put him up to be an overseer over the people, and the things of the nation here of the-of this state. And I pray that You'll send Your Angel to him right now, and let him know that we are praying for him now. And God, answer our prayer, and may he recover immediately. May he be well, and love You all the days of his life. Grant it, Father. I ask for the governor's life to be spared in the Name of Jesus Christ, the Son of the living God. Amen.

Now, you be seated everyone. Thank you.

[A brother gives instructions to the people in the prayer line and to the ushers-Ed.]

(Osbush?) Governor Osborn, it come from.

86              All right. Now, everybody be real reverent now. We're going to start the prayer line. And you-you ushers know how to keep the line a moving. I'll pray for every one that I possibly can.

Now, I'll tell you what happened. Now, I don't know what's going to happen along the line, but I feel there's a shaking in the mulberry bush. That's right. It's a... I wish we just had about eight or ten days, where you could just keep climbing on and you're gaining ground here. That's right.

Now, it's-it's four-thirty. Now, I don't know what time we'll be out. We will be when everybody's prayed for. That's right. So now, I want to do that. And I thank you all for your kindness. 'Cause probably, when I get under the anointing now, I won't want to come out from under it. You see? And I thank every one of you for your kindness.

87              Do you still love me as your brother...?... Well, I still love you and got perfect confidence in you. I trust that you have in me. And may God watch over us, and watch between us, until we see each other again. And if it's at the judgment, I pray that we'll all set down under the Tree of Life, and I'll have a thousand years apiece to talk with you all. That's right. So God bless you now.

And now, if you have to go home, when you get up, go reverently. But if it's casting out an evil power...

Sometimes I feel a person, when they come to me, I feel that pressure of faith come against me. Maybe they're blind, or deaf, or dumb. When I feel that pressure come against me, that I know that it's faith, I usually stop like that. Because if them people have faith for it to be done, no matter what's wrong with them... But if I don't feel that faith, I just ask a prayer of faith and let them go by. See what I mean? You all understand, don't you.

88              All right. Now, everyone bow your head and be in prayer now.

Dear God, our sister's now passing by. Let her go not according to her feelings but her faith. May she go and be healed in the Name of Jesus Christ. God bless you, little lady.

Now, I wished all the ministers here that can cooperate, will get right down along this line here and go to talking to these people and praying for them, if you would. All cooperating ministers that will, get along that prayer line, and be praying. God hears your prayers, brother, all of you all that's ministers.

Jesus, have mercy upon our sister, and heal her. Grant it, Lord. In the Name of Jesus Christ, may this be healed. That's right, young lady. Go now, rejoicing.

God bless you, brother. You're in serious condition. You realize that, don't you?

89              O God, I'm thinking now of that x-ray that just come in awhile ago with that doctor's testimony. Over half of her lungs are-was gone, and the x-rays showing. Now... Right here in Phoenix... And now, her next one shows negative. O Christ, please have mercy on this man that's come all the way down from that lovely state of Ohio, my neighbor, to be prayed for here at Arizona.

Thou demon, come out of him in the Name of Jesus Christ.

Now dear brother, you're my neighbor up there. Don't doubt. Your vibration has stopped. Now, if you can believe it with all... You felt it? Fine. God bless you.

Let's say, "Praise the Lord," everybody. Praise the Lord, everybody. The man come from Ohio down here to be prayed for, right next door to me there.

90              All right, now, bow your heads. Oh, my. Why don't you have this kind of a feeling all the time around Phoenix here. This is the kind of a feeling you need for people to be healed. Now, bow your head, everybody now.

Yes, sir. You know, sir, that you're time is very near at the end of life's journey, if something isn't done. Where do you live, sir? Fennell. All right. Have faith now. Don't doubt. Just have faith. Remember what I told you? Just believe with all your heart.

Heavenly Father, I pray for my brother now with cancer. His life is being eat up with this big demon cancer is doing it. You're the only One Who can take that "octomus" out of him, that demon, stretching forth his powers and limbs in there to eat the very life out of this man. Father, he's our brother. And we come to You as Your children.

Thou demon, come out of him in the Name of Jesus Christ.

Brother, you can look at my hand yourself. It cleared. Go rejoicing. God bless...

O Jesus of Nazareth, I pray that You'll help our sister here who's suffering with this hideous powers that's bothering her.

Satan, come out of the woman in the Name of... [Blank.spot.on.tape-Ed.] In the Name of Jesus Christ, I ask it. God bless you there.

91              God bless you, sister. Father, I believe that this woman now that we're asking this blessing, is a worthy of what we're asking for; it's our brother's wife, Your servant. And she's constantly been used in the service here. Reward her for her fine cooperation, Father, by healing her today. Will You hear the prayer of Your servant? God, You Who sent me out to Harold Nail's house, You, Who sent me up to Utica, up to the Brother Emmel, and over to the man at Little Rock, and different places, You Who done these things, hear the prayer of Your servant as we're hastening through here, and give this woman deliverance from this, right this very day. I ask this in Jesus Christ's Name. Amen. God bless you, Sister Outlaw. Don't worry. I believe you're going to be all right.

92              Fine. I just heard a report from Sister Outlaw. I had her to run and pray for her sister the other night, who was very serious. And she's gaining, getting better, and the little boy, little Spanish boy, little Brother Joseph... I haven't seen him today. I'd like to see Joseph before I leave. Will you take me in the room where the little Spanish boy, they thought was dying, laying there, crushed brain and everything. The little boy regained conscious, was healed, and went home from the hospital.

Keep your heads bowed now as we pray. (You can ask in there.)

93              Father, I pray Thee to help our brother now to be well. Satan, I adjure thee to leave the boy in the Name of Jesus Christ. There went the nerve condition. God bless you, my dear brother. Go with faith now.

I see you're wearing a trumpet in your ear. Do you believe that God sent me do this, to give you your healing without this trumpet? You can't hear me? All right, brother.

Heavenly Father, the man is standing here now with this trumpet in his ears, and You're the only One Who can deliver him. I pray that You will heal my brother. He's tired of this old trumpet. He's tired of people gazing upon him. And You're here to liberate him. Speak, dear God.

Thou demon, come out of the man in the Name of Jesus Christ.

Hear me? Hear me? You can raise your head now. The man couldn't even hear me with his trumpet. Listen. Hear me? [The man answers, "Yes, sir."-Ed.] Hear me? ["Yes, sir."] He couldn't hear me with his trumpet awhile ago. Hear me all right? ["Yes, sir."] Praise the Lord. Amen.

Let's say, "Praise the Lord," everybody. God bless you, brother. Go, praising the Lord. God bless you. God bless you, my brother. Oh, my.

And this is like heaven to me,

Yes, this is like heaven to me;

I crossed over Jordan to Canaan's fair land,

And this is like heaven to me.

94              Now, bow your heads, everyone now, while we're praying.

O Jesus, You're the only One Who can heal our sister. Grant today, Father, that her hearing will come to her, and her veins, the varicose veins will be dried up. Grant it, eternal God, in Jesus Christ's Name.

Thou demon, come out of the woman in the Name of Jesus Christ.

Hear me? Hear me? I'm whispering, lady. All right, you can raise your heads. Hear me? Hear me? Say, "Amen." [The woman says, "Amen."-Ed.] Praise the Lord. ["Praise the Lord."] Now, I'm whispering, lady. Excuse me. See, that's what I-I was hearing. See, you-you didn't get it. That's what it was. As soon as you do that (You see?), I see that somebody would... or they'd do that (See?), sometimes they'd just say, "Well, this, that." That's the reason I stopped you right quick (You see?), so that you'd get it. You hear me? She hears me fine. Let's say, "South Dakota." South Dakota. Let's give her a big praise for the Lord. God bless you, sister.

Oh, my. I felt that He would do it today. That's right. Oh, don't you love Him? Say, "Amen." All right. Now, keep your heads bowed, everyone now as they come through.

95              Brother, do you believe that if I'll ask God, He will heal you of this tuberculosis? Dear God, You Who can make the deaf hear, or the blind see, the dumb speak, Thou can heal our brother of this tuberculosis. I pray, Father, that You'll grant it. May it leave him in the Name of Jesus Christ.

God bless you, my brother. Now, look. Here's what it is-the simplicity of prayer, your faith; it isn't a long prayer. It's your faith (You see?) that does it. See?

96              [Blank.spot.on.tape-Ed.]... you touch me on the back like that. There's hundreds are going by the same time, and the woman's sound and well. Go on. You're going to be well if you believe.

God, I pray for this little baby, that You'll heal it and let it get well, Father. I pray through Jesus Christ's Name that You'll heal it. And bless its mother with this heart trouble. God, may this be a new day for them. May they go forth from here rejoicing and be well, in Jesus Christ's Name. Amen.

You believe, mother, with all your heart? Your baby shall get well, and you will too if you can just believe it.

O God, I pray that You will heal my brother. Who's standing here now and is totally deaf. I pray that You'll give him his healing, now. In Jesus Christ's Name, I ask it.

I'm going to pass this one through, and you all check him there, and see what happened now. Check couple of these now, while we pass them through.

97              God, I pray that You'll heal my dear brother with this gallbladder trouble, and let him get well. In Jesus Christ's Name, I pray. God bless you, sir. That's just what done it, right then. You've got it now, go on. God... Oh, my. He seen the vision of it right away. My, my. That's free.

O God, I pray for my sister, that You will heal her. In the Name of Jesus Christ, I ask You. Amen.

You, sister, if you will. God, I pray that You will heal the sister of this throat trouble. In Jesus Christ's Name, I ask it.

God, bless my sister. I pray that You'll heal her, Father... Jesus Christ's Name. Amen. I never knowed about it. Bless her...?... now...?... Yes. God bless you, sir. God, bless this little baby with heart trouble. I pray that You'll heal it, Father, and let it get well. I lay hands upon it in the Name of Jesus Christ for its healing. Bless the mother, Father. Give her a long happy, healthy life in Jesus' Name. God bless you, little lady...?...

98              O God, this poor little stiffened up boy here with this muscular condition, looking up in his little blue eyes, O God, You're the only One Who can do this.

Satan, come out of the boy in the Name of Jesus Christ.

Somebody's got their head up. Keep your head down, friends. This come right straight back. Brother Tora, you seen how it turned my hand there...?...

You believe, honey? Everybody keep your head bowed. Father, have mercy upon the little boy, and heal him of this muscular condition. You're the only One Who can do it.

Thou demon, come out of him. I adjure thee by Jesus Christ and His holy Angel.

Now, walk over towards me honey, raise your feet up and down like this...?... There you are. Raise your hands up and down. Now, put your... Like this. That's fine. Now, go right down the steps just as hard as you can go. (Raise your head, audience.) You're not stiff no more. Look, walk down the steps.

Let's say, "Praise the Lord," everybody.

That's right. Come back up the steps now. Come back up; show them. Let's say, "Praise the Lord," everybody. Now turn and go right down here, just go right on down this way. Let's say, "Praise the Lord," everybody. All right, bow your head, everywhere now in the building, 'cause we got several hundred to pray for. Now, bow your head, and be real reverent.

99              Father, You're the only One Who can heal this brother of his ulcer. We know, Father, I was speaking a few moments ago of how my stomach was one big bloody raw ulcer, almost to a cancer. But I took You at Your Word. May our brother do likewise, and be healed in Jesus Christ's Name. God bless you, brother.

God bless my dear brother. I pray, Father, that You'll heal his body in the Name of Jesus Christ. God bless you, brother. Go rejoicing now.

Dear Father, I pray that You'll heal our sister now. May she go from here rejoicing and be well in the Name of Jesus Christ. Amen. You want to be well, sister? Go on your road rejoicing. Forget about it now. Go on, have faith now.

Dear Father, I pray for the young lady that You'll heal her. And may she go by... Not... Just as she would the brazen serpent, or the troubled pool, or more than that, as she was passing by Calvary. Grant it, Father, in Jesus Christ's Name, I ask it. Amen. God bless you. You believe you're going to be well? That's your...?... Kidney trouble... God bless you, sister.

100         O God, this poor deaf woman standing here with this crippled up body, poor little drawed thing, seeing her sitting down there this afternoon, and felt she had faith. Therefore, Father, come to the rescue, and may that demon that's bound her come forth.

I adjure thee to leave her. Come out of her in the Name of Jesus Christ.

Thank you, Father.

That got it. You seen that, didn't you. You hear me? All right. Can you raise your head now.

I seen her jump. You-you know what happened, didn't you? Hear me? Amen. Come over here, you're not stiff with arthritis no more either. [Blank.spot.on.tape-Ed.]

Now, she was watching me. The poor thing... I was standing there. I felt her faith coming through there. I... Stick both my hands inside your ears. And when I jerked my ears-my hands back like that, hearing was to her just like that, done in a moment. All right now, mother. That's fine.

All right. Bow your heads, every one. Put...

Dear Father, I pray for our sister that Thou will heal her body and make her well. Grant it, dear God, that this throat will be healed up, her eyes will get well. Grant it, Father, in Jesus' Name. God bless you, sister. You believe it? You shall have it if you can... [Blank.spot.on.tape-Ed.]

101         God, have mercy upon our sister, and heal her of this colitis in the Name of Thy Son, Jesus Christ. God bless you, little lady. You believe now? All your heart? All right, you shall have it.

Almighty God, this poor man standing here, even in this healthy climate, dying with tubercular. We know it takes Your power, Father, and may he stand in this simple little blessing, just simple child faith to pass by and be healed. I pray in Jesus' Name for his healing. Amen. God bless you, my brother. Go rejoicing. Don't pay any attention to how you feel, get well.

God have mercy on our sister, and heal her of this nervous breakdown in the Name of Jesus Christ. Amen. Now, you going to get well, sister? You're not going to worry no more about it. It's gone. That's right. Go away rejoicing. That's fine.

102         Father, I pray that You'll heal our sister and will make her well. May she leave this pulpit just rejoicing with all of her heart in Jesus Christ's Name. Amen. You believe, sister? Dorsa, is that right? A fine name. All right. Now, go rejoicing, Dorsa.

You believe, sister, God will let it go away for you? Father, I pray for our sister with this choking spirit. May it leave her and bother her no more. I rebuke it in the Name of Jesus Christ. God bless you, little sister. What? Oh, you mean it was showing? It isn't now.

Say, open your eyes just a moment. This girl had a goiter that disappeared from her throat right here. There it was, a-a showing goiter. Was that right, young lady? Looky here. Swallow. Let's say, "Praise the Lord." God bless you, little lady...?... got well.

103         How old are you? You believe God will hear my prayer if I'll just ask Him? Why, I believe you're already healed. I do it with all my heart. God, bless this young lady. I believe, Father, with all my heart that her faith has done saved her. In Jesus' Name, I thank You. Young lady, you was healed when you walked to this line.

Friends, I want you to open your eyes. I... This is the... I-I've said it was a poorest place for faith, but I believe it's greatest this afternoon. This girl was healed before I took hold of her hand. Just... I felt something move, and the girl was healed.

A strange feeling come to you, didn't it? You're healed, young lady. All right. You mark my word and see if that isn't right. Glorify the Lord.

104         Look, dear friends. It isn't my prayer that heals you; it's your faith in God, what heals you. It's the simple part of just to pass by and believe it. And remember, I told you, the Angel of God and held my Bible in my hand. He told me that nothing would stand before the prayer if I'd be sincere, and would get the people to believe me. That's all you have to do: just believe and come on by, and you will receive it, friends. And if you believe it, act like it. Go about and rejoice and testify, and tell the people. Sure, faith is not what you feel; faith is what you have (Is that right?), what you believe. Now, bow your head while we're just praying. Oh, it's just doing fine. I trust to God that this will keep up.

Father, I pray that You will heal our brother for... of this asthma in Jesus Christ's Name. God bless you, dad. Do you believe? You shall have it.

105         Do you believe it, young lady? God, bless this young lady and her tender heart. I pray that she'll go about now rejoicing for her healing in Jesus' Name. Amen. God bless you, sister.

God, bless our brother who's standing here crippled up with rheumatism. Thou demon, leave him in Jesus Christ's Name. Just guide this then. Well, now, you're not crippled with rheumatism. Go on down the steps. Walk on down the steps. There he goes. Look at him.

Let's say, "Praise the Lord," everybody. Bow your head now, everyone.

106         God, I pray that You'll heal this boy with this impediment of speech. May it leave him right here at the pulpit, now. I rebuke this impediment of speech in the Name of Jesus Christ. Say, "Amen." [The boy says, "Amen."-Ed.] Praise God. ["Praise God."] Daddy. ["Daddy."] Mama. ["Mama."] Listen to this. Amen. [The boy says, "Amen."-Ed.] Daddy. ["Daddy."] Mama. ["Mama."] Say, "Praise the Lord," everybody. Go on...?...

Father, have mercy upon sister and heal her of this high blood pressure, and she's run down, Father, and weak. I pray that she'll go home today and be well in Jesus Christ's Name. Are you, sister? You now believe it? "Lord God, I now believe You healed me. With all my heart, I go rejoicing for it." Is that the way you feel about it? Go right on your road rejoicing then.

107         God bless this man who's losing his sight. May his...?... [Blank.spot.on.tape-Ed.]... will not lose your eyesight. Look around over the building now. This usher standing here on the platform. Raise up your hand, sir. How many fingers has he got up? Can you see his hands? That's exactly right, brother. You're right. See what's happened to you? God rewards you of your faith. All right...?... son.

God this poor mother standing here, she wants to be healed for Your glory. May her great faith look up to Thee now, lay aside everything, and believe You with all of her heart, and be healed in Jesus Christ's Name. Amen. May God grant to you your desire to you, sister. Your sister...

Father, I pray Thee to heal this girl that's deaf. In the Name of Jesus Christ, may she receive her hearing, now. Now, check her speech, brother.

God, I pray for our sister that You'll heal her in the Name of Jesus Christ.

God, heal this bronchitis case in Jesus Christ's Name.

Heal my brother's stomach trouble in Jesus' Name.

108         Heal this little girl, Father, I pray in Jesus' Name. Do you believe, little lady?

What...?... crossed eyes-cross-eyed. Lady, do you believe that Jesus Christ died for the sins of the world and died for healing? All right. Bow your head...?... Do you believe I'm able to do this? Colored people sometimes up in my other meetings don't get to come in much. But do you believe, you believe me for the...?... [Blank.spot.on.tape-Ed.] God bless you, sister. Your daughter shall be healed now.

Heavenly Father, I'm thinking now of that blind colored girl in Jonesboro, Arkansas, how that she grabbed my old ragged coat and said, "Don't pass me." You know them, Father. Thou hast died for this colored race just the same as all of us. And we're all one in Christ Jesus. Thou art no respecter of persons.

109         And now, they bring to me a little cross-eyed girl, asthma, affected head. Thou art here, Lord, to make her well. Now, You Who was bearing the cross through Jerusalem that morning, and when You fell, then Simon the Cyrene, that colored man, came and helped You bear the cross. God, I know You understand. And to prove to these people here in Phoenix that Thou art no respecter of persons, I therefore rebuke these crossed eyes in the Name of Jesus Christ. Now, keep your heads bowed, every one now.

Almighty and omnipotent God, let it be known today that You are God and I be Your servant, that the people might know that Thou art the only living God, and You have anointed me, and sent me forth, and I speak not of my own words, but them words in which You revealed to me. Therefore, Angel of God, You Who told me to go, and if I'd be sincere, the people would believe; there would be nothing stand before the prayer... I ask for this. I'm leaving Phoenix. And, Lord, I love the country. And prove that Thou art God and I be Your servant.

Thou demon, I rebuke thee. Come out of the child in the Name of Jesus Christ.

110         Just keep your little eyes closed honey. Now, raise your head, but keep your eyes closed. (Everybody keep your eyes closed.) Now, slowly open your eyes, looking towards me, slowly now, like-like mine. There they are. All right. Her eyes are straight and normal. Look out here in front, if anybody who wants to look out... Look out to the audience. Look here, sister...?... right. Just perfect. Let's all say, "Praise the Lord."

Yes, sir. Head trouble's gone too, mother. Everything is all right. Look at her...?... Oh, my. You love Jesus? You do? That's fine and dandy. Look out there at that audience now. Now, watch here, friends. Her eyes, cross-eyes are...?... You follow, look at my finger. Now, you...?... You move your eyes with my finger. Don't...?... your eyes. Here's what I want you to do to your eyes...?... like that. Close... Ba-back and forth. Now, raise up so the people can see. Perfect. Let's offer praise to God.

Thou art here, Father...?... Thy Word...?... Glorify Thee. And I pray that You will keep this little girl every day to be in Your will, Father, in Jesus' Name, Amen. God bless you. Run along now and tell the people what Lord done for you.

All right. Keep your heads bowed now. A whole lot to be prayed for.

111         O God, You Who created the side of this mother, taken the child. And now, here she has a misery in her side. I now rebuke that misery. Leave the woman. In the Name of the Lord Jesus Christ, I rebuke thee. Come out of her. I think it was a defective spleen there, but it's stopped. Go... Where do you live at? You be a testimony to God, sister... [Blank.spot.on.tape-Ed.]

Has come to be healed. Oh, help me now. [Blank.spot.on.tape-Ed.] it's tubercular, that's hitting this man... Oh, Satan, why would you do this? Leave him in Jesus Christ's Name. Now just a moment, friends, this holds on the man.

Look, sir, this way to me. How long you been suffering with it? Forty-four. I want the audience, maybe some of them never seen a vibration. I want them to look at it. Move out here just a moment.

All right, raise your head, audience. There's a tubercular vibration. See them white welts rising and falling on my hand? Red, see how white this hand looks? Look at this one. Look here, see them white welts, see them coming and going? Do you see it? See what I mean, sir? See here a minute. Now, if God shall take that away from you, sir, that'll stop, and my hand will be like this one. Quite a difference between them two hands, isn't it? Now, you just watch my hand, and you, the patient here. You watch my hand. If it clears up like this one (And I won't move it.), and if it clears up like this one, that's you're witness. Something happened then, won't it? You see that something has surely happened. Now, bow your head, everywhere.

112         Almighty and omnipotent God, You're the One Who made heavens and earth. You made the body of man. And this demon is trying to take this young man's life. O Jesus, You're here to help him. Help, Father, and may they know down in their people, and amongst their neighborhood, that Thou art Christ and I be Thy servant. Therefore, I come to meet this demon in the Name of Jesus Christ.

Come out of him, thou demon of tuberculosis; I adjure thee by Jesus Christ of Nazareth. Leave the man.

Before I raise my head, sir, or open my eyes, my hand's turning white, isn't it? All right. Now, there it is. (Now, you audience, can raise your head.) Now, sir, you know I never moved my hand at all. It stayed right that same way, hasn't it? And it was red all over it with white spots over it (Is that right?), coming and going. Now, it looks just like that one there, does it? Yes. Now, something natural happened, didn't it? The vibrations stopped. Now, if you believe with all your heart and straighten yourself up, go down the street rejoicing, testifying of God healing you, you'll be a well man. God bless you, my brother. That's fine. Let's say, "Praise the Lord..."

113         Now, everybody... How many's to be-left to be prayed for? Let's see how many stands there. Now, let's see. Now, to you people that's got to hurry for your church now, it's five o'clock. It's five o'clock. Did I get... Is my watch right? Is that about right, Brother...?... At five o'clock.

Say, while I got a opportunity, I want to thank Brother Faulkner, Brother Outlaw, Brother Garcia, Brother Fuller, and this brother I can't think of your name. Well, Truman, Truman, and the various other ministers... This...?... Is this a minister? Ballard, Brother Ballard. And all the rest... Brother Garcia, and all... Here's Brother Garcia setting behind me. And all these cooperating ministers everywhere... Brother Beamons from Mesa. Where... Where's he? This him? Right here with the-with the camera. That's fine. We want to thank him. All of these brothers, and all of you members, and everything, for cooperating with us here in the Phoenix meetings. Let's all give those ministers a hand, everybody. Come on, they're worthy of it, of a good hand of praise. That's right.

I'm sure glad that you got ministers like that here in Phoenix. My, I hope you have great union revivals and fill these auditoriums and everything full of people, and get people down at the altar.

114         I talked to Brother Sharritt. There's another man I don't want to leave out. Listen. I think Phoenix is blessed with a man like John Sharritt. What do you all think about it? Amen. Is that right? Let's give him a hand too, 'cause he's been a brother to me. That's right. A very... And now... Yes, Brother Gibson, I couldn't forget his wife. That's right. She's a lovely little character that doesn't have nothing to say, but just, "Well, yes." She's a swell cook. And she's been to me like a sister, and like a brother, and I'm very thankful for them and their little children.

Well, in fact-fact this. I thank God for all of you. Amen. Very fine. And I'm certainly thankful to see this welcoming spirit here this afternoon. When it comes to a place where you have to believe, in or out, that's when the Lord will come down. Is that right? And I'm just thankful, friends; this has been the greatest meeting yet we've had in Phoenix, this meeting now. That's right.

115         Now, just keep your heads bowed, and we're just going to try to pray for everyone. Now, you... Don't be late at your church. You who have to go to church, you get right on. Don't miss your church now. 'Cause I... But if you can stay, and not going to church, why, you just stay on. If you can stay a little longer, just make yourself welcome. Remember, till we meet, God bless each one of you. Now, while you pray, keep on with your music, if you will, sister.

God bless this woman. I pray that You'll heal her, Father, of this trouble in Jesus' Name. Amen. God bless you, sister. You going to get well now?

God, have mercy on... Oh, wait, she's got more than...?... Oh, sister. I'll-I won't tell you what it is till after I get through praying for you. You could... Do you believe?

Almighty God, have mercy upon the woman and heal her body. Thou demon, come out of her. I adjure thee by Jesus Christ.

You can keep that faith now, sister. It's stopped. You see? Do you know what was wrong with you? You're not scared now. You know you're going to get well, do you? Cancer. All right. You have a suspicion of that? Now, just go on believing now. [Blank.spot.on.tape-Ed.]

116         On here with cancer. And here the little boy has got pneumonia on the verge of, and wanted to send his little handkerchief to be prayed over. Father, we're taught that they taken from the body of Paul, handkerchiefs or aprons. And we know we're not the Saint Paul. But we realize it wasn't he anyhow that done the healing, it was Your Spirit that went before and stirred the faith of the people. I send this handkerchief this afternoon to that little boy for the healing of his body. In the Name of Jesus Christ, may he and his mother be healthy and happy many many years for Your glory. Amen. Go rejoicing now, sister. God bless you.

O God, have mercy upon our dear sister and heal her. In the Name of our Lord Jesus Christ, I ask this. Don't worry, sis; you're going to get well. God bless you, little girlie.

Got a ulcer, haven't you? All right. Where, you go to Brother Garcia's church. Oh, you can't... All right. You believe in God, don't you. Heavenly Father, as this little lady stands here this afternoon suffering with this ulcer in her stomach, You're the only One Who knows how to take it out. And she's come reverently, Father. And I pray that You'll help her.

Thou demon of ulcer, I adjure thee to leave this girl in the Name of Jesus Christ. Little lady, you have nothing to worry about now. Your ulcer will get well. You'll be all right now. God bless you, sister.

117         Heavenly Father, I pray for our sister, that You'll heal her body and will make her well. Satan, come out of the woman in the Name of Jesus Christ. God bless her dear husband who's waiting at home. May his wife return shouting and praising God for her healing. May he also rise and go to shouting, God. You spoke the Word. In that same hour he begin to mend. Go, mother. Doubt nothing. Go rejoicing.

O God, to this little boy standing here, I pray that You'll heal his little body. Whatsoever is wrong, Thou knowest, and I pray that You'll make him well, Father, in Jesus Christ's Name. Amen. God bless you, little boy.

God, bless this woman. I pray, Father, that You'll heal her body. We see she's crippled up and being led up here by this girl. But Thou alone can make her well. I pray for her, pray that You'll hear my prayer. And may Satan get this rebuke, Father, in the Name of Jesus Christ. Lady, how much you believe? With all your heart? All right. In the Name of Jesus Christ, may you go home and be well. Amen.

118         God, have mercy upon our sister, and heal her, Father. In the Name of Jesus Christ, the Son of God, I ask for her healing. Amen. God bless you. Ma'am? What was that? Stopped, your vibrations. What it was... See, it was made me to my forehand. It's left you now. Ever what it was (See?), it's just gone. When the vibrations leave, that's... Do you believe...?... Go rejoicing, go be happy, that's right. That's right...?... God bless you, mother.

Our heavenly Father, I pray for this dear soul standing here with this cane in her hand: old, and broken down in health. But Thou art here to restore her health. I pray that You'll grant it in Jesus Christ's Name. Amen. God bless you, mother.

God, heal this poor sister here of this heart trouble. O God, this female disorder, Thou knowest all things, the poor soul. She wants to be well. I ask for her healing in the Name of Jesus Christ. God bless you, sister. Go now rejoicing; you'll get well.

God, I pray that You'll heal our sister of this heart trouble. Grant it, dear heavenly Father. I ask it in the Name of Thy Son Jesus. Go, believing now, sister.

119         God bless you. What happened? Hand? Oh, it's a bone died in the leg. Now, look, sister, how old are you? Seventeen, just a child. Where you from, Phoenix? California. Now, look. If you will believe this with all your heart... You're going to serve God. That's what you want to do, is that right? Are you a Christian? You are. And you will serve God the rest of your life if God will let that calcium begin to come back into the bone and life come there again, make it a normal bone? You'll use that leg, not to dance, but just to go serve God. Is that right? You'll do it. All right, let me have your hand.

Father, this young lady, who's no doubt heard across the nation of the many things that You've done. And now, she's had a wreck. And we're taught that all things work together for good to them that love God. And now, the bone will not heal; it's dead in her limbs. O God, just a child. Have mercy upon her. She promised me that she'd never dance, and she... And she promises You, Father, she'll never dance, and use this leg for nothing but for Your glory. Now, Almighty God, You Who are the whole resource of life, I ask You in the Name of Your loving Son, Jesus Christ, to start life in that bone this afternoon, that she will be well, in Jesus Christ's Name. Amen.

Sister, as firmly as I believe that I'm standing here, the blessing of God has happened to you, and you will be a normal, well girl. What's your name? Rome. From what part... Where-where in California? Redlands, California? All right. Will you write... [Blank.spot.on.tape-Ed.] Won't you...

120         [Blank.spot.on.tape-Ed.]... will be in the body under nine major heads. Remember that. We're close at them now. Now, you people ought to know it. I can't do this. And I'm afraid now, I'm going to hold some of the ministers up from their meetings. And we're going to start praying for the people, just a little more...

Look. It isn't my prayer that heals you. I've already prayed for you. It's your faith in God what heals you. Now, look. 'Course I do take the people here and cast out them spirits, and things like that. You can see it.

And I told you now, there's only one time that I ever seen it fail in my life. That was two or three Sundays ago when I stood here on the pulpit, and asked God if He didn't want me to work them miracles, not to let them happen. How many was here that day to see it? All right. That was the only time I have ever seen it in my life, that things wasn't healed when I took time to...?... on the pulpit. And I just have to let Him stop me. When He stops me, I stop. When He doesn't stop me...

121         You know what I promised Him? How many remembers what I promised Him? That I would wait for His witness. And that's right. I've done that since. And there's been, really, more miracles performed since then, than there wasn't before then. So I want to keep the favor of God. And you want me to, don't you? Every one of you wants me to. And I-I want to live a little longer.

When you pass out one of those powers, brother, sister, it takes more strength out of your body than praying for five hundred people. Something goes out of you; you just have to watch that. You find a good streak of faith, like that poor little boy awhile ago, standing here with his little legs walking like that. Little fellow looked up at me, the tears come to his little eyes, kinda smiled like that, why, the faith was just a moving. I knowed something had to take place. You see what happened? Sure. Satan knew that he had to give away. That little child wasn't calloused like many of the adults. Now, you just have faith with belief.

122         And we're... Now, we're going to pass the people, and get right through the line. I want to pray for each one of you. Want to pray, not just pass by and just not pray for you. I want to have a little prayer with you, but we're going to have to start a constant walk, like that.

Now, ministers, you all get up here. Come up here, if you will and check some of these cases now when they come through. And if they don't, seemingly, get it, well then, send them back. Why, we'll do the best we can. All right.

Now, everybody, just be in prayer now. And you all just get to lined up, or the ushers will tell you there, and we'll start the line coming right through. Now, everybody bow your head while I ask prayer, so every one of you will know that you're prayed for. Every one of you...

123         Almighty God, I pray... You know, Father, that many of these people are waiting to go to church tonight. And they might have a loved one that gets saved. And I realize, God, the brazen serpent didn't pray for anyone. The water that was troubled didn't pray for anyone. The woman who touched the hem of Jesus wasn't prayed for. The ones that laid in the shadow of Peter, wasn't prayed for. The ones who had the handkerchief taken off of Paul's body and brought to theirs, wasn't prayed for. But God, they got well because they believed and recognized Your gift.

Now, Father, I pray if these people, not only here locally in Phoenix, but Thou hast so ordained it, that it's known world wide now. And may they come through, not because it's Your poor, humble, illiterate servant standing here, but because it's Your gift that You have honored. And Father, Thou knowest there's nothing I could do about it. I never called this message to go over the world like this. It was You, Father. I just obeyed and done what You said, and You brought it to pass.

124         Now, dear God, may the people see it's just simple child faith to believe and take You at Your Word. And may every sick person in this building, as they file across this pulpit this afternoon, may every one of them go home. As soon as they get out of this building, may they just raise up their hands and go to praising You for their healing, going down the street testifying like Mary did before she felt life or anything. She knew that she was going to have a baby not knowing a man. Oh, the impossible, something that had never happened before, but she knew that it was right, because the Angel said so.

And Father, I know this is right, because the Angel said so. And I know that You have declared it. If it wasn't so, You wouldn't have testified of it. If would've been a fanaticism, it would've fell shortly. But now, Thou hast took it all over the world.

Now, dear God, may these people see this afternoon and believe and come through this line, each one, and be healed, and set down in the next few days and write their testimony in, saying, "Thank God for healing me." May it be an alarm all over this city, everywhere, Lord, in all parts of the country. I pray for every one of them in the Name of Thy Son, Jesus Christ. Amen.

125         Father, heal our sister in the Name of Jesus Christ.

Father, heal our sister in the Name of Jesus Christ.

Father, heal our brother in the Name of Jesus Christ. May he be able to come out of this wheelchair, or stretcher, and go home rejoicing in the Name of Jesus Christ. Amen. You believe, sir? You shall have that what you've asked for. It's impossible for you not to receive it if you believe. God bless you, my dear brother.

God bless this little girl. I pray that You'll heal her, Father.

O Jesus, bless the mother. I pray for her healing.

God bless our brother... [Blank.spot.on.tape-Ed.]

Oh, she just didn't know. She's Spanish. You see? She's hard of hearing. But I know it...?... [Blank.spot.on.tape-Ed.]...?...

126         God... (What was the matter? Oh, really?) O Jesus, I pray that You'll heal my dear brother and make him well. May he go out of this building rejoicing, throwing his hands up in the air, shouting, Lord, in Jesus' Name.

Heal my dear brother, Father, I pray Thee in the Name of Jesus Christ.

Heal this little boy, Father, of this bad eyesight in Jesus' Name.

Heal my brother of rheumatism in the Name of Jesus Christ.

And asthma, heal my brother in Jesus Christ's Name, I pray Thee, Father.

God bless you, little boy. You're going to get well now after passing by here. Did you know that? You are. You're going to take the cast off the leg and you're going to be a normal well boy again.

127         God Almighty, Who cr... [Blank.spot.on.tape-Ed.] Heal his body... [Blank.spot.on.tape.]

...?... Last February, he broke his leg. Now, it's half new. I didn't know the boy, but how'd I recognize that faith when he come by? See? How did I recognize that faith? Why, the Holy Spirit's here, the Angel of God. See? Look at his eyes now, how perfect.

Let's say, "Praise the Lord," everybody. Some of them says, "Does it last?" If you believed. As long as you would believe, it lasts. Is that right? There it is. Oh, my. All the Phoenix people, give a big praise for that boy. My, that's fine. Watch, his little leg too. Perfect faith, why, he received it... I wouldn't have had to say a word for him. Passing by would've done the-would've done the job just the same. You're going to be a well woman... well man, I mean.

All right. Bow your head, everybody.

Father, I pray for my sister in Jesus' Name for her healing... [Blank.spot.on.tape-Ed.]

128         Back in the room and everything... Without even eyes. That was at Vandalia. All right. Let's bow our heads now while we pray for them.

Kinda nervous, aren't you young man. Dear heavenly Father, they're from many miles away. And You're willing we'll be flying over that lovely state in a few days. And I pray, Father, that You will heal this brother. And when he returns back there, may he go rejoicing. May this nervousness just quieten down, and may he go out on the street as Thy servant did, testifying, telling the people, "I once was nervous. But look at me now. I'm well, because the Lord Jesus has healed me." Satan, leave him in the Name of Jesus Christ.

God bless you, brother. Go rejoicing. That's right. You've got a fine faith, young man. You're going to receive a blessing from God here.

O God, I pray for this man who is here totally deaf, they say. I pray that You'll give him his hearing this very afternoon. Grant it, dear Father. In Jesus Christ's Name I ask it. Amen.

Now Brother Hooper, I want you to check this man. Just let him stand here a few minutes. Picking his vibrations up this hand. I want you to check him just in a moment. And if he doesn't... Let him stand there just for a moment. Check him.

129         O God, have mercy upon our sister, and heal her, Father, of this nervous and spleen trouble, in the Name of Jesus Christ, the Son of the living God. See? God bless you, sister. Now, go rejoicing. Go... Be happy.

O Jesus, I pray for our sister now, that You'll heal her. In the Name of the Lord Jesus Christ I ask it. Amen. Have faith now.

Little sister, I had a brother home once that laid in a hospital up there dying. They said he would never be well. He'd never get...?... out of chair. He's an acrobat now. You believe God will heal you? You serve God, do you? Seeing you have good faith... Catholic. Most always Catholics are healed, because they see the vision.

Heavenly Father, this little lady standing here with this rheumatic fever, and she's been taught, Father, to believe and to trust. And I pray now, that You'll have mercy and heal her. Satan, thy power of hell, that has bound this child to take her life, to cause her to go in this heart attack, come out of her in the Name of Lord Jesus Christ.

God bless you, little lady. It may seem awful strange to you. You... Have you ever had fluttering in your heart when you... Flutter in the belt. It hasn't probably got to that part. My brother had three valves open in his heart. Now, you're going to be well. Go rejoicing.

130         O God, have mercy upon our sister with this enlarged heart. Thou alone can heal her. I pray that You'll grant it in Jesus Christ's Name. Amen. God bless you, sister.

Say, I want to make a statement just now. There's a little Catholic girl come by here, was prayed for with rheumatic fever. I don't know where she went. But she was healed. Yes. I... This fellow just come back across the pulpit just a few minutes ago. Where'd she go to? Was a little Catholic girl with a...

All right, sister. That's fine. That's the kind of faith to have. I felt it come back. It left you when you went down the... You have a peculiar feeling, kind of a odd feeling when you come off of here, kind of a strange feeling? That's what it was.

It left her right there. I felt it come back across this way. It was... Now, you may think that's strange. You watch her and see if I'm not right.

Let's say, "Thank the Lord," everyone.

131         I tell you, it takes the Catholic people to see the vision of it. You see, here's what it is. The Catholic... My people are Catholic. My mother... my father, rather. We're taught to believe what the priest says is right. And that's where this is in here. You see, they've got to believe me. They believe God. How many believes God? All of you. Sure. Well now, God's ability is not in question. This is, whether the Angel come to talk to me or not. See? And Catholics are taught to believe what their priest says is right. And when they see some of these things performed, these miracles, they get healed (That's all.), believing it with all their heart. And they... They do.

By the way, my aunt-my great aunt founded a convent at Montreal, Ontario.

Now, bow your heads, everyone, while we're...

How far are we down now? How many more we got to pray for? Let's see the hands go up. Say, I-I'm getting more all the time. I'm getting more all the time. Well, brother, let's see what time... How many in here wants to go to church tonight that wants to be prayed for, that's trying to get to church; let's see you put up your hands, going to church tonight.

132         Oh, my, brother. We're going to have to do something about this. That's right. There's some of your people's in there too, aren't they, brothers, some of you ministers? Yours too, Brother Garcia, I guess.

All right. Now, have faith now. I'm going to pray, and just ask God to bless them. We're going to have to start... [Blank.spot.on.tape-Ed.] Oh, yes, I see. I see. All right. Whatever you...

All right. Now, everyone believe now while we come to...

Brother Garcia, brother here, I can't get your name. I didn't know you was ministers. Ballard? Brother, all you, now get down along here. Brother Outlaw and you all, just pray with all your heart for these people. And encourage them to come through. Now, you stand here call their diseases, brother, and you test them. Is there...

Father, heal my brother in Jesus Christ's Name I pray.

God, heal this poor blind woman in the Name of our Lord Jesus Christ.

Merciful dear. How long you been blind? Three years. Sister, look up toward them lights there. See them lights? See them? Now, look out here towards these lights out here. Believe now that you're going to get your sight, and you shall have it. Are you with her, sir? It's your wife?

133         O God, blessed Father. This poor woman standing here for her healing. Have mercy now. And may her sight come to her in the next few moments, Father. May she be able to see these lights. And she'll have a witness of Your healing, in Jesus' Name. Amen.

Just sit here awhile, right here where I can watch her. Then I'll check her in a few moments.

Now, keep your heads bowed. Here's a deaf woman. [Blank.spot.on.tape-Ed.]

God bless my sister and heal her in the Name of Jesus Christ. Amen.

134         Just a moment. I'm going to try for this one here. I feel them two spirits that's battling together over there. This girl's deaf and dumb...?... to me. She don't know what hearing or speech is. Now, bow your head. Everybody be real reverent. See if I can get her to understand.

Dear Father, this little girl, born deaf and dumb. We realize that she don't know nothing of speech or hearing. But You're the only One Who can grant it to her. Now, help me, dear God. Help me to have power over this deaf and dumb spirit. Grant it, dear God, in the Name of Jesus Christ.

Thou deaf and dumb spirit, come out of the girl in the Name of Jesus Christ.

[Brother Branham claps his hands-Ed.] Hear me? She's not...?... Now, keep your heads bowed now. Amen. You. See? Amen. [The girl says, "Amen."-Ed.] Very good, honey. Daddy. ["Daddy."] Raise your heads. Born deaf and dumb. Watch here. Hear me? ["It's hear me."] [Brother Branham claps-Ed.] Hear me? ["Yes."] Hear me? Pretty little girl. Amen. ["Amen."]

135         Now, can you see that? I want to tell you something now. Watch. Here's what takes place. See, it's... I want to know if you all noticed this. We're fixing to close, you know, fixing to go into the meetings. Have you noticed, always, after I ask or rebuke over a spirit, I'm always perfectly silent for a few moments? Who's noticed that in the meetings, let's see your hands. Have you noticed that?

Now, here's what it is. There's three words that I have to repeat at that time. See? And it's the three high words of the Bible. No mortal on earth know it. See? And when I ask that, and then I feel that drop, then it comes shakes back to a place in return of that spirit. Then the...?... healed. That's the reason you hear me say that. See? That's what takes place.

136         Now, I did that so you wouldn't keep questioning me about it coming through the line. So that is true. Now, I know that you had noticed a lot of times when I ask to rebuke, I stand still just for a few minutes and repeat these three words that the Angel of the Lord told me to repeat. Then if I feel it come back, then I know it's done.

That's what happened to this girl with us. And that's the reason I never said nothing about it, 'cause I knew she-she was healed. The power had gone from her. Now, of course she don't know what speech is; she don't know what hearing is. She just have to begin like...

137         Did I tell you about five-seven coming from the institution in Oregon, and five of them passed through the California medical tests? How many remembers that? I've got their pictures right there, right there in my-in my grip to show it. Uh-huh. Mark that on the side, healed. Passed through the Oregon tests, and down through California for the doctors went home. Born deaf and dumb...

Oh, my, He's wonderful, isn't He? Sure is. Let's give God a praise. Hear it? Hear it? Hear? Amen.

Thank you, brother. All right. Bow your head, everybody now, while we pray.

Father, heal our sister in the Name of Jesus Christ.

God, I pray that You'll heal our sister in the Name of the Lord Jesus Christ. Amen.

God, heal our sister in Jesus Christ's Name.

Dear God, heal our sister in Jesus' Name.

God... [Blank.spot.on.tape-Ed.] Mercy upon him, and heal his body... [Blank.spot.on.tape.]

138         In the Name of Jesus Christ of Nazareth. Give vent to that TB you have now, sir. An odd feeling, isn't it. The Angel of God is standing near, brother. You realize that your days are short, again. You even be-had a fever, burning. Don't worry. Go believing. You believe you're going to be well then now? You shall have it, in Jesus Christ's Name. Where's he live? Glendale. Now, don't doubt, sir. You the driver? Thank you, sir. God bless you for waiting.

Father, I pray in Jesus Christ's Name that You heal him. Don't doubt, sir. Go believing.

God, heal this woman, I pray, Father, in Jesus' Name.

And heal this man, Father, in Jesus Christ's Name I ask You Father.

Heal our brother, Father, in Jesus... [Blank.spot.on.tape-Ed.]...?... her done.

139         Say, friends. Talk about some faith, this little boy was standing here with pink granulated eyelids. They disappeared from him. I can raise him right up here before the people. There it is. Look at his eyes. See? Perfectly clear. Granulated eyelids standing here on the platform. Friends, that's true. You know that God is standing here somewhere? The very Angel of God.

Go show that sick man laying there, honey. Go show him your eyes that was pink awhile ago, and now they're clear.

Sir, here comes a little boy down to testify to you.

Brother Hooper, that little boy with pink granulated eyelids, was just now healed instantly.

Now, I don't know how much you believe this, but if God, Who I stand before, may take my life standing right here if this isn't true. When I looked at the little fellow just then, the pink place went right up above his little head and vanished away from him. That is true.

Let's say, "Praise the Lord," everybody.

God, heal my dear sister. May she go rejoicing now and be healed in the Name of Jesus Christ of Nazareth. Amen. God bless you, sister. And you shall have that...?...

140         A little girl with water. (All right.) Do you believe, sister, if I ask God, God will do it? Dear heavenly Father, I lay hands upon this darling little girl and pray that You'll heal her, God. May she start from this very hour to mending, the head go down and be normal. And the child be... way to be a normal child. I ask this blessing in the Name of our Lord Jesus Christ. Amen. Now, don't doubt. Is that your baby? Your sister's. You believe she will get well now? I'd like to hear from her, sister. He's a brother. [Blank.spot.on.tape-Ed.]

141         O God, I pray that You'll rebuke the granulated eyelids from this baby. Come out of him, thou demon, in the Name of Jesus Christ. And that one left. Looky here. Not a pinkness at all about his eyes. Look here, honey. If there's a doctor in the building, you can examine him freely. Run down, sweetheart. If you are a doctor, just come look at his little eyes. They was granulated a few moments ago standing here, pink.

Let's say, "Praise the Lord." Praise the Lord.

Were they sick, were they brothers? They were brothers, the two little boys. [The woman says, "And their sister has it. She's out there."-Ed.] Is that right. Amen. Where do you live at sister? Is that right? Well, they sure been raised around faith or something. Well, that's fine. That's... See, bring up a child in the way it should go. Is that right?

142         Her-their mother was feeled-healed of asthma in February. Was that here in Phoenix? Right here in Phoenix, healed of asthma. There you are. See, friends?

Partings leave behind us

Footprints on... [Blank.spot.on.tape-Ed.] time.

(Is that right?)

Footprints, that perhaps another,

Sailing over life's solemn main,

For a forlorn and shipwrecked brother,

Seeing, shall take heart again.

Heavenly Father, I pray Thee, to heal this sister, as she comes through with her gallant heart looking up to Thee for her healing. Pray that You'll grant it in Jesus Christ's Name.

Bless this handkerchief, Father, and the people for the healing of their body in the Name of Jesus Christ, I ask.

Say, by the way, 'fore I forget it. How many in here wanted a handkerchief prayed over? Let's see how many hands in here wanted one. I've explained it to you. See? Why, you just write me now. Don't have a handkerchief in here, 'cause I don't get to pray for it. But mail it to Branham Healing Campaign, Post Office Box 325, Jeffersonville, and you'll be sent a cloth with instructions on how to use it.

143         Every morning at nine o'clock, put your hand over your heart, put it on prayerfully, the cloth first, get it over your heart on the inside of your garment, put your hand over your heart and pray at nine o'clock, twelve o'clock, and at three o'clock in the afternoon. Confess all your faults one to another; call in the neighbors and pray and have prayer meetings. You'll get well. See? The instructions will be sent to you. Just send in my name, Jeffersonville, Indiana, and you'll get it.

All right. Bow your heads. Father, I pray that You'll heal this dear gray headed mother sitting here. May the power of God that raised Christ from the grave bring her from this wheelchair, and make her a well woman, as I pronounce this blessing for her in the Name of Jesus Christ. Amen. God bless you. God bless you, sister. God bless you, brother.

Wait, I'll... Just a second here. This poor lady fainted. Oh, my. God bless you, lady. I know you'd been laying there. Now, look. God bless your dear heart. You're just a young... And you know you're-you're laying down for the last hour this way. Oh, my. How I wish that they would... something that I could just reach down and do for you, you know, to... If I could pull out here and say, "Here it is. You see it?" and throw it away from you. See? Wished I could do that. But there's only one thing that I know that will let you live, sister. And you-you're very, very... [The sister talks to Brother Branham-Ed.] That's why that faith was pulling from you. Now, we're beginning to hit the right place.

144         Last winter, when I was... she was at Booneville, Arkansas...?... She was at Booneville, Arkansas, when I was at... Where was it? At Corning, Arkansas... Are you people from Arkansas... This woman was. And she prayed that sometime, God would let us meet. And-and-and somebody went out and got her here. Where you at here now, sister? At Superior, Arizona. And God has permitted it. I believe that this is the hour, don't you? The little, poor little woman's laying here dying. That was just sure as it could be...?...

Now, friends, even if some of you is waiting a long time. Let me have just a moment with this woman, will you?

Little lady, God bless you. How many children do you have? Two little children. My, my. Is your husband here with you? God bless you, sister. I... You believe you're going to get well if I'll ask God? All this time you've waited. And dear sister, have you got one of my little books here, "Jesus Christ The Same Yesterday, Today, And Forever." Did you ever read one of them? If you will, give it to her...?... And I want you to read little Georgie Carter's testimony, that only weighed forty pounds, a woman with tubercular. And now, she's my piano player in the Milltown Baptist church. She's about a hundred forty-five, fifty pounds. Now, have faith. I'm going to ask God with all my heart.

145         Dear God, I don't know why when I looked down upon that poor scene there this afternoon, and seen that little, thin, delicate woman rolling around there on that place, and nearly dead now, and her lungs is about gone. The doctors is done all they can do. She's been in sanatorium. And there's something about her, Father, that just attracts my attention, her pathetic look, because she's sincere. She knows she's going to die right away if something isn't done. O God, I plead. Oh, before You, I bow to ask You with all my heart. Angel of God, You Who came into the room that night, and told me these things... I've tried to live true to it. Oh, won't You please have mercy on this poor little woman. Show Your great power, dear God. Not so much as the people have to see it to believe You, but for Your glory, and the sake of the children in this poor woman's life. Oh, help her, dear God. Hear the prayer of Your servant when I call with all my heart, with all my soul that You'll let her get well. Grant it, Father. May Thy servant hear from her. Now, that she's begin to gain weight; she's getting well now. Oh, grant this, Father. She'll serve You all the days of her life, will testify of this whenever it's permitted. Do anything that we can to show our appreciation, if You'll just spare this poor woman's life. I ask it in the Name of our Lord Jesus Christ. Amen.

146         Little woman, I... There's something about you I like. And I... Need I tell you. You look forward to being... When the deep calls to the deep. Now, you believe. I believe it with all my heart, you're going to be fine. Now, you go serve Him...?... You are... God bless you, father. God loves you. That's... Take good, dear brother. May the Lord ever bless you for your gallantry.

Did you ever have your attention just called to something? That poor little woman. All right. Bow your heads, every one of you.

God, have mercy of this woman here with bad eyes. Faith cometh by hearing. And she's come now and even took off her glasses, for she believes that something's going to happen. Grant it, Father. May she not be disappointed, but be healed in Jesus Christ's Name. God bless you.

God, have mercy upon my sister and heal her in the Name of Jesus Christ. You believe it's going to get well?

God, bless my little brother here suffering with kidney trouble. May he get well, Father, and it not bother him no more. In Jesus' Name, I pray. Amen. Now, do you believe you're going to get well, honey boy? Huh? All right.

147         God, have mercy on our brother with this arthritis. May he go right out of this building, stomping, and jumping, and leaping, and praising God. I rebuke the arthritis, in the Name of Jesus Christ. Go, believing, sir. Go right on out rejoicing, you shall have it.

O God, have mercy upon our sister, and heal her of this cancer. In Jesus Christ's Name, I ask it. God bless you, sister. You believe now with all your heart? Be sure and testify and tell the people about God's glory.

God, I pray that You'll heal this dear, old, broken down mother that's passing through the line now. I lay hands on her in the Name of Jesus Christ.

God, have mercy upon our brother and heal him, Father, in Jesus' Name.

God, have mercy upon our sister, Father, and heal her in Jesus' Name.

God, heal this poor heart. O Christ, take away all the misery, I pray in Jesus Christ's Name.

God, heal my brother. I pray Thee in Jesus Christ's Name.

Is that right? What is your...

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