Je vois que Tu es Prophete

Date: 53-0614 | La durée est de: 57 minutes | La traduction: SHP
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1.         J'ai prié sur ces mouchoirs donc, Frère Willis. Ils sont donc en ordre. Je viens de prier. Bonsoir, amis chrétiens. Je suis très heureux d'être ici ce soir, et d'être au service du Seigneur. J'aimerais d'abord dire que je… [Espace vide sur la bande - N.D.E.]… J'ai lu ce verset dans saint Jean chapitre 4, c'est la conversation de Jésus avec une femme. Je ne sais pas si je peux lire cela ici devant. Je ne sais pas. Je n'ai pas de programme tout tracé. J'arrive tout simplement, et tout ce que je me sens conduit à faire, je le fais.

            Et c'est la première réunion que j'ai depuis des années, où j'appelle des gens à l'estrade pour prier pour eux, juste au hasard au fur et à mesure qu'ils viennent.

2.         Hier soir, nous avions environ deux cents personnes dans la ligne. Et tous ceux qui avaient des cartes de prière, on a prié pour eux hier soir. Et on avait des groupes qui n'avaient même des cartes de prière qui étaient venus à l'estrade et pour qui on avait prié. Est-ce vrai? Et le Saint-Esprit s'est mis par les gens, Il a arrêté un tel et un tel, leur disant ce qu'ils avaient fait et où étaient leurs péchés, et ce qu'ils devraient faire, et ce qui était la cause de leurs maladies, tout à ce sujet. N'est-ce vrai? Et exactement ce qu'il en était ainsi pour lui. Et c'est la vérité.

            Maintenant j'aimerai lire cette entretien, au verset 14 :

Celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura jamais soif, et l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d'eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle.

La femme lui dit : Seigneur, donne-moi cette eau, afin que je n'aie plus soif, et que je ne vienne plus puiser ici.

Va, lui dit Jésus, appelle ton mari, et viens ici. La femme répondit: Je n'ai point de mari. Jésus lui dit : Tu as raison de dire : Je n'ai point de mari. Car tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n'est pas ton mari. En cela tu as dit vrai. Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es prophète.

            Inclinons la tête juste un instant. Avez-vous un besoin spécial maintenant même? Levez la main. Dieu connaît cela.

3.         Père, le service, c'est sur le point de tourner la page maintenant de l'histoire. je Te prie, ô Dieu, de bénir tout ce qui a été fait. Puissent des grandes bénédictions reposer sur toute cette réunion. Bénis tous les prédicateurs. Ô Dieu, puissent leurs petites églises croître tout simplement, et puissent leurs ministères devenir très grand. Accorde-le, Père.

            Puissent-ils gagner plusieurs milliers d'âmes pour toi. Je sais que c'est le désir de leurs cœurs. Bénis tous les membres de différentes églises dont ils proviennent de tous les coins du pays. Et le…. Je Te prie d'être avec eux.

            Bénis cette ville-ci, Père. Que le maire de la ville, j'ai appris qu'il est malade. Je Te prie de la bénir et de la guérir. Je Te prie, ô Dieu, d'être avec les officiels, avec tous ceux qui nous ont aidé à obtenir ce parc et cet endroit.

4.         Maintenant, je Te prie de venir ce soir avec un grand amour rédempteur et une grande puissance de la rédemption. Sauve les perdus. Fais que les incrédules deviennent des croyants. Guéris les malades et les affligés ce soir. Et puisse l'Ange de Dieu Celui qui m'a guidé depuis le jour de ma naissance, puisse-t-Il venir ce soir et bénir les gens par une manifestation de don de Dieu. Car je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Y a-t-il quelqu'un qui est ici pour la première fois? Faites-le-nous voir. Celui qui est ici pour la première fois dans la réunion, levez la main. Faites-les-nous voir. Oh, c'est un grand groupe parmi vous qui est ici pour la première fois. Y a toujours des nouveaux venus, ceux qui viennent pour la première fois, comme nous les appelons.

            Eh bien, comme nous allons commencer à consacrer la plus grande partie de notre temps ce soir au service de la guérison… Je suis très fatigué, je fais des va et vient en voiture, cent vingt miles dans un sens et cent vingt en allé et en retour, cent vingt en allé cent vingt au retour…

5.         [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Souvenez-vous de ceci, cher ami chrétien, à vous qui peut-être ne comprenez pas la guérison divine et vous avez une critique contre cela, nous avons beaucoup de gens qui critiquent, certainement. Et parfois lorsque je me mets à parler des critiques, cela me fait sentir que nous méritons effectivement cela. Y a quelques soirées, dans une réunion, un homme a écrit une lettre, c'est une très bonne lettre, cependant c'était une critique amère. Mais j'apprécie cela, je crois que cet homme a fait cela pour mon bien. Il m'aimait. Il me parlait de ce qu'étaient les réunions, et comment elles étaient tenues. Et… Mais il a dit : "Frère Branham, vous ne priez pas pour assez de gens." Et il - il m'en a donné la raison. Il a dit : "Je crois que si vous laissez seulement les gens passer et que vous priez pour eux, il y aura plus de succès." Et j'ai essayé cela pour la première fois dans cette réunion pour voir.

6.         Eh bien, lorsque l'Ange du Seigneur est venu vers moi pour la première fois… Ma mère qui est assise là quelque part dans ce bâtiment ici ce soir… Je ne sais pas si elle a eu un siège tout près ni où elle est. Elle est quelque part ici. Elle peut en témoigner.

            J'étais un petit garçon d'environ, j'avais trois ans dans le monde lorsque l'Ange du Seigneur est venu pour la première fois. Les gens de ma famille n'étaient pas religieux. Nous habitions dans une petite cabane dans des montagnes de Kentucky. Vous avez cela dans le livre. Alors Il est venu là, et tout au long de la vie il y a eu quelque chose qui m'a annoncé des événements avant que cela arrive.

            Eh bien, ce n'était pas parce que je - il n'y avait rien qui me faisait mériter cela. C'est parce que Dieu avait ordonné que cela soit ainsi. Les dons et les appels sont sans repentir. Est-ce vrai? La Bible le dit. Dieu a donc préordonné des choses à exister. Alors si un homme vient et dit autre chose, Dieu a telle chose, eh bien, alors, vous avez le droit de mettre cela en doute jusqu'à ce que Dieu le confirme comme étant la vérité.

7.         Eh bien, si cet homme… Comme nous étudions cette semaine, au sujet de la façon dont Dieu répond… Dieu dans l'Ancien Testament répondait soit par la prophétie, par le prophète, par un songe, ou par l'Urim Thummim. Si le - si le prophète disait quelque chose et que l'Urim Thummim ne confirmait que c'était la vérité, la voix de Dieu reflétait Ses couleurs sur l'uril Thummim, alors ce n'était pas vrai.

            Si quelqu'un avait un songe sur quelque chose et qu'on a donné une interprétation, cela passait devant l'Urim Thummim et si ça ne donnait pas une réponse en retour, alors ce songe là n'était pas vrai. Ce n'était l'interprétation correcte.

            Et si un homme, ou quelqu'un passait par là et qu'il ne pouvait pas être confirmé par cela, en effet aujourd'hui l'Urim Thummim de Dieu, c'est la Parole, cela a été faux. Cela doit se trouver dans la Bible, l'AINSI DIT LE SEIGNEUR (Voyez-vous?), ça doit absolument être dans les Ecritures.

            Eh bien, les gens parlent de la guérison divine… Je sais que les gens ont dit que j'avais un don de guérison. Eh bien, je crois qu'il y a beaucoup, beaucoup de dons de guérison. Combien ici croient du fond de leur cœur, sans l'ombre d'un doute, que Dieu est guérisseur aujourd'hui comme Il a toujours été? Faites-le-nous voir. Il y a le don de guérison dans l'église aujourd'hui, chacun d'eux.

8.         Ce n'est pas parce que je prie beaucoup pour vous, si vous même vous n'avez pas la foi, cela ne servira à rien. C'est vrai. Il faut votre foi. Et peu importe combien je vous prêche et combien je vous ai apporté l'Evangile, si vous même… C'est votre propre foi personnelle en Christ qui vous sauve. Est-ce vrai? Moi je ne peux pas vous sauver, peu importe combien j'aimerais le faire. J'ai des frères qui ne sont pas sauvés. J'ai essayé au mieux de les persuader, d'implorer, de supplier, j'ai essayé de me tenir à la brèche pour eux. Mais ils doivent avoir leur propre foi en Dieu.

            Beaucoup parmi vous chrétiens ici, vous avez des frères et des sœurs, des mères et des pères, des enfants et autres qui ne sont pas sauvés. Est-ce vrai? Levez la main. Eh bien, vous ne pouvez pas les sauver. Vous ne pouvez pas faire ce que Christ a déjà fait. Christ les a sauvés. Maintenant, la seule chose qu'ils doivent faire, c'est d'accepter ce salut, le don gratuit de Dieu.

9.         Maintenant, vous ne pouvez pas les guérir. Personne ne peut guérir l'autre. Ils doivent accepter leur guérison comme étant le don gratuit de Dieu pour eux. Il a été blessé pour nos péchés, c'est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Alors, voyez, il n'y a rien du tout que l'on puisse faire en rapport avec le salut ou la guérison divine. Il s'agit de la foi de l'individu en Christ.

            Eh bien, pour élever cette foi en Christ, il y a des prédicateurs. C'est la chose la plus importante aujourd'hui, un bon prédicateur envoyé par Dieu. J'apprécie ça. Et leur don est de loin plus que n'importe quoi qui peut être fait d'autre, c'est un prédicateur, un homme qui sait dispenser correctement la Parole de Dieu.

            C'est le don le plus merveilleux qu'il y a au monde, celui d'être un prédicateur. C'est un… Il y avait dans le Nouveau Testament, c'est le prophète moderne, un prédicateur. Prophétiser signifie annoncer, ou dire des choses personnelles. En d'autres termes, si vous lisez la Bible, et que vous vous mettez à dire… Alors c'est un enseignant. Voyez? Mais prophétiser c'est témoigner ou annoncer. Très bien. Maintenant… Et l'Esprit de Christ, c'est la prophétie.

10.       Eh bien, dans cette église où nous sommes aujourd'hui, et des fois il y a, un prédicateur peut s'avancer et vous expliquer le salut, et vous acceptez cela, vous êtes sauvé. Eh bien, tout ce que ce prédicateur a pu faire pour vous sauver, c'était de vous expliquer cela.

            Eh bien, le seul moyen par lequel un homme peut vous amener à être guéri, c'est de vous expliquer cela dans la Bible, de façon tellement parfaite que vous pouvez le voir et croire cela et être - et accepter votre guérison et être guéri. Est-ce vrai? C'est le seul moyen : par la prédication.

            Maintenant, la chose suivante sera… Eh bien, je sais cela. Je crois que tout le monde qui crie n'a pas le salut. Je crois qu'il y en a beaucoup qui crient qui ne sont pas sauvés. Cependant cela est l'un des attributs du salut, crier.

11.       Je crois que tout celui qui parle en langues n'a pas le Saint-Esprit. Mais cependant, je crois que le Saint-Esprit peut parler en langues. Certainement. Mais alors, s'il y a quelqu'un qui parle en langues, comme un don de parler en langues, il parle en langues, ensuite il y a quelqu'un qui interprète cela. Eh bien, alors, celui qui interprète dit quelque chose à l'assemblée ou leur parle de quelque chose qui est arrivé. Il y a trois ou quatre juges qui prennent cela, avant, avant que l'église reçoive cela. Alors si cela s'accomplit, c'est la vérité. Voyez-vous? C'est vrai.

            Eh bien, ce don de prophétie ou le don de l'interprétation et autre, c'est dans - cela devrait se trouver dans chaque corps local. Chaque église local devrait avoir… Il y aura un soir, ça pourra être sur une personne et le soir suivant c'est l'autre personne, l'autre soir c'est sur l'autre comme cela, l'autre, autre, autre chose. Mais c'est dans chaque corps local.

12.       Si vous le permettez, s'il vous plaît, n'allez pas penser que je dis cela en mal, c'est là où il y a eu une petite division qui a surgi parmi les pentecôtistes tout récemment, les gens qui sont appelés les gens de la dernière pluie, c'est là qu'ils se sont écartés de la ligne, là même. Lorsque le don de la prophétie vient chez quelqu'un, on le déclare un prophète. Eh bien, c'est faux. Il y a une grande différence entre le don de prophétie et un prophète.

            Un don de prophétie se trouve dans l'église, mais un prophète est né prophète. Voyez-vous? C'est cela la différence. Ainsi n'importe quel homme ou… Cet homme peut prophétiser ce soir, il pourra ne plus jamais prophétiser. Il se peut que cette femme là prophétise le soir suivant, et cet autre homme là derrière le soir suivant, et celui-là là-bas. Voyez-vous?

13.       Mais lorsque le don de prophétie opère, cela ne peut pas être reçu avant que deux ou trois ne le jugent, pour voir si c'est vrai ou pas. Mais un prophète, au singulier, p-r-o-p-h-è-t-e est né prophète, il vient étant prophète. Tout ce qu'il dit au Nom du Seigneur est absolument la vérité, s'il prophétise.

            Eh bien, vous direz : "Là c'était pour l'Ancien Testament." oh non. Il y avait des prophètes dans le Nouveau testament. Agabus et beaucoup d'autres étaient des prophètes de Nouveau Testament.

            Mais maintenant, cela ne transmet pas par l'imposition des mains. Si vous imposez les mains… Je sais qu'on pense au sujet des anciens là. Mais c'est comme un jeune garçon qui s'est levé dans une église, on sait qu'il va devenir un prédicateur. On voit le don opérer en lui et tout comme cela. On lui impose les mains pour l'ordonner. C'est ce que…?… Ce c'est pourquoi on impose les mains. Eh bien… de cela…

            Alors il y a quelque chose… Eh bien, on a fait une grande œuvre. Une chose, on a formé une organisation, on s'est rendu compte qu'il n'y avait pas une seule brèche. Cela a fait du bien. Mais néanmoins, l'Esprit de Dieu, l'un des jours, prendra - ôtera tout cela et prendra l'église, aussi certainement que deux fois deux font quatre. C'est vrai.

14.       Eh bien, un don doit premièrement être reconnu comme étant selon la Bible. Et ensuite si c'est confirme à la Bible, et que l'homme prétend l'avoir, alors si Dieu confirme ce don, que c'est la vérité, alors on devra croire que cet homme est véridique. Mais si Dieu - Dieu ne témoigne pas de ce don… Hébreux 11.2 dit : "Dieu rendant témoignage à ce don." Eh bien alors, si ce don est confirmé par Dieu, alors c'est Dieu qui a donné le don à l'homme. Si Dieu le dit, vous n'avez pas le droit d'en douter. Eh bien, alors, un don de prophétie, le don de discernement, le don de sagesse, le don de connaissance, toutes ces choses sont des dons divins qui sont placés dans l'église.

15.       Eh, ô Dieu, accorde aujourd'hui que lorsque nous pourrions tous nous rassembler, et voir ces neuf dons spirituels agir dans l'église, opérer dans tout le corps ecclésiastique. Alors nous irons dans l'enlèvement. Cela sera…, et nous irons dans l'enlèvement. Si nous ne pouvons pas avoir la foi pour la guérison divine, comment allons-nous avoir la foi pour l'enlèvement? L'église a une voie à parcourir encore, du chemin à faire encore. Mais je crois que Dieu fera cela.

            Eh bien, concernant mon faible petit don pour notre Seigneur, cela n'a pas été mon choix. Absolument pas. Savez-vous ce que je voulais faire dans la vie? Etre un trappeur dans les montagnes. C'est ce que j'avais à l'esprit de devenir, ce que j'allais être, peu importe les circonstances. Mais Dieu m'a fait changer d'avis lorsque j'étais étendu là dans un hôpital juif, mourant. Il m'a laissé savoir que je… Qu'Il fera ce que… J'ai fait ce qu'Il a dit de faire.

            Alors un soir, quand cet Ange est venu et qu'Il m'a dit d'aller prier pour les malades, c'était vraiment intrigant. Eh bien, je suis allé là devant un monde moderne, comment allais-je me présenter là devant un monde moderne et introduire quelque chose comme cela, et les gens pensant que j'étais fou? Je ne voulais pas le faire. Mais Il m'avait dit d'aller. Alors j'ai commencé.

16.       Et l'un des premiers cas pour lequel j'ai prié, là où Il m'avait dit… Je Lui ai dit que je ne pouvais pas partir. Avec l'instruction de l'école primaire, et le niveau de six ans de l'école primaire, comment pouvais-je faire cela? Il a dit : "De même qu'il a été donné à Moïse deux signes comme confirmation, de même il t'en sera donné; et Il m'a dit comment Moïse guérissait et comment il s'y prenait, et ce qu'étaient ces choses. Et Il m'a parlé de ce discernement qu'Il allait donner quand j'étais un petit garçon. Et c'est en ce temps-là que c'est arrivé. Il a dit que je prierai pour les rois, les monarques et autres. Et c'est la vérité. Je ne pouvais pas croire cela en ce temps-là, mais j'en suis sûr maintenant.

            Le premier cas que j'ai eu, je m'en souviens, si cette femme peut me pardonner du fait que je dis cela, si elle est quelque part ici dans ce bâtiment ce soir, c'était une infirmière, c'était un cas de cancer, une femme, l'une des meilleures infirmières à mon avis que j'ai jamais rencontré de ma vie. C'était une infirmière diplômée de l'Etat, elle avait vingt et un ans. Le cancer l'avait rongée, elle ne restait plus que les os.

            Alors son mari m'a rencontré. Et c'est un - il travaille au… Churchill là, il fait quelque chose au sujet de… C'est un très bon électricien. Et c'est un homme qui a été guéri, il porte le nom de McDowell, il avait un… dans les yeux. Et le docteur lui avait dit qu'il restera dans cet état-là pendant environ une semaine ou dix jours. Et cela fait environ trois ou quatre jours après que l'Ange m'avait parlé; j'ai expliqué cela à mon église.

17.       Et alors, je suis allé prier pour Monsieur McDowell. Et le deuxième jour, il est allé au travail. Le médecin a dit : "Cela ne peut pas être vrai." Il a examiné ses yeux, et je crois que Monsieur Morgan était son patron. Il l'a envoyé chez un médecin, et le médecin a dit : "Il est rétabli. Il l'a remis au travail." Il n'arrivait pas à comprendre comment cela c'était accompli.

            Alors, Monsieur Morgan a dit à Monsieur McDowell : "Est-ce que cela peut marcher pour ma femme? Elle se meurt de cancer là dans l'hôpital baptiste de Louisville."

            Il a répondu : "Je ne sais pas." Il a dit : "C'est juste un homme ordinaire. Allez lui poser la question." Il a dit : "Il dit qu'un Ange lui est apparu."

            Cet homme est venu poser la question. J'ai dit : "Qu'en pensez-vous?" Et la femme a été amenée, on a prié pour elle. Elle n'était que la peau et les os, le cancer avait absolument… Ce médecin qui jouait au Golf avec son mari, il avait fait la chirurgie, il a dit : "C'est on dirait un tas de racines d'un arbre enroulé autour d'elle, c'est au point que ces intestins sont tellement rattachés par le cancer qu'on n'arrive même pas à lui faire un pansement pour…"

18.       On l'avait abandonnée, j'oublie combien, combien de traitement profond au rayon X et autres, on ne l'avait fait que consumer au point qu'elle était mentalement dérangée même. Et rien… Le cancer avait continué malgré tout. Alors Monsieur Morgan a posé la question au médecin. Ce dernier a dit : "Oh, cela ne lui fera aucun bien. Laissez-la tout simplement continuer. Peut-être qu'elle peut regarder la rivière pendant qu'elle s'en va. Et elle en parlait toujours."

            Et ce soir cette femme est guérie par Dieu, comme je me tiens là. L'Esprit de Dieu était descendue, Il lui avait dit ce qui n'allait pas en elle, et Il lui avait dit qu'elle serait rétablie en un instant. Et cette femme est parfaitement normale, il y a de cela sept ans ou plus.

            Madame Morgan, où êtes-vous? Vous êtes - vous êtes quelque part dans ce bâtiment. Je souhaiterais que vous vous leviez pour donner un exemple, où que vous soyez donc, Madame Morgan. La voici, ici même, elle fait signe de main. Voilà Madame Morgan donc : une infirmière, qui pesait environ cent cinquante cinq pounds, elle travaille toujours à l'hôpital du Contrée de Clark, [Clark County Memorial Hospital], elle est en parfaite santé. Elle a une expérience d'infirmière d'environ vingt-cinq ans, c'est depuis qu'elle est enfant, tous les médecins dans cette contrée l'appellent…

19.       A cause de cela, les médecins sont venus chez moi et tout, tout autour dans toute cette contrée. Dieu est le Guérisseur de toutes les maladies.

            Voici une femme assise, elle est assise devant moi, elle vient de mon église : elle se mourait du cancer. Levez-vous, madame, juste pour faire voir ce que Dieu peut faire pour une personne après qu'Il l'a guérie du cancer, quelqu'un qui était rongé par le cancer. En voilà une venant du Tabernacle.

            Si nous pouvons faire venir des boiteux, les estropiés, les aveugles… C'était à travers madame Morgan. Elle m'a accompagnée à Fort Wayne. Y a-t-il quelqu'un qui était à la réunion de Fort Wayne? Monsieur… Un homme était là, on avait prié pour lui et il avait une chose ou une autre… Cela m'avait amené à aller à… Le roi George de l'Angleterre avait sollicité une prière pour les scléroses en plaques. Et alors…

            Il y avait là un homme qui était assis, qui tenait en main la lettre de roi George d'Angleterre, qui m'avait appelé depuis, pour prier pour lui pour les scléroses en plaques. Et ce roi a été guéri : le roi George d'Angleterre. Très bien.

            Dieu reste toujours Dieu. Le sénateur Upshaw, qui était invalide pendant soixante-six ans, combien se souviennent de lui, de sa guérison? Il a gardé le fauteuil roulant pendant soixante-six ans, et Dieu l'a guéri instantanément, il s'en est allé marchant parfaitement et bien.

            Florence Nightingale, sa mère était la fondatrice… La grande mère avait fondé la Croix Rouge en Angleterre. Son statut était tout terminé, c'était à Durban en Afrique du Sud. Elle a pris l'avion là lorsque je passais par - par Londres, en Angleterre, j'allais à Westminster Abbey, Buckingham Palace.

20.       Et comme nous allions là, cette Florence Nightingale, qui pesait plus au moins 35 pounds… cinq pieds, huit inches de taille, elle pesait moins de trente-cinq pounds, ce n'était qu'un tas des os, elle a été guérie de ce cancer duodénal de l'estomac. Et aujourd'hui elle pèse environ cent soixante-cinq livres, elle est en parfaite santé, Florence Nightingale.

            Elle a rependu cette nouvelle partout en Afrique du Sud, ce qui a causé un réveil qui a envoyé de centaine d'âmes en Christ. C'est vrai. L'une des choses les plus extraordinaires auxquelles je peux penser, avant que je termine… maintenant.

21.       Là autrefois… J'étais dans une petite ville, j'ai quitté cela tout récemment, c'est Jonesboro, dans l'Arkansas. Je n'oublierai jamais cette réunion. Le journal avait publié… Le "Arkansas Sun" disait qu'il y avait vingt-huit mille personnes là. Ils étaient tous là si l'Arkansas a dit qu'ils étaient là.

            C'était au début de la journée, il y a de cela six ans. Les gens étaient étendus… Ça faisait quelques semaines que j'étais là, lorsqu'on avait des milliers entassés. Ils étaient étendus sur le balcon et partout, recevant Christ. Je me rappelle que c'était la première… j'avais quitté la maison. Quand je suis revenu eh bien, j'avais pratiquement perdu tous mes cheveux, mes épaules s'affaissées, et j'avais perdu environ vingt-cinq, trente poids. Je priais jour et nuit pour les gens. J'ai dit : "Je resterais ici même jusqu'à ce que j'aie prié pour chaque personne."

22.       Et j'avais prié pendant huit jours et huit nuits sans avoir quitté l'estrade. Je prenais mes repas et je m'appuyais sur les côtés de la chaire et m'endormais. Et lorsque je suis parti, il y avais environ dix fois plus des gens pour lesquels il fallait prier qu'il y en avait au début : "C'était sans fin, ça continuait sans cesse."

            Mais, frère, Dieu a confirmé Sa Parole. Et l'autre jour, quand je me tenais là, il y avait littéralement des centaines et des centaines de gens qui élevaient leurs voix vers Dieu, disant : "J'étais guéri dans cette réunion-là, Frère Branham."

            Une petite femme a dit : "Tu ne te souviens pas moi?"

            Et j'ai dit : "Non." Ton mari… Son garçon plutôt, c'était quelqu'un qui abattait les bêtes là au - au Texarkana. Elle était passée par la ligne de prière, elle avait levé la main comme ceci; je pensais qu'elle pleurait. Alors je me suis arrêté. C'était tôt le matin. Et j'ai dit : "Dis donc, vous avez un cancer, n'est-ce pas, madame?" Elle a enlevé le mouchoir, et il n'y avait pas de nez là, cela avait été rongé. Le cancer avait rongé son visage, c'était une jeune femme, d'environ trente-cinq ans.

23.       Et j'ai dit : "Croyez-vous?"

            Elle a dit : "Frère Branham, je suis obligée de croire."

            J'ai dit : "Eh bien, alors sœur, acceptez simplement cela et croyez de tout votre cœur. Je prierai de tout mon cœur pour vous. C'est tout ce que je peux faire."

            Elle a dit : "Demandez à Dieu. C'est tout ce que je veux que vous fassiez. Il fera cela." Elle avait vu ce John Rhyn, ce n'est pas le vieil homme aux cheveux blanc, il s'asseyait dans la rue et mendiait des petites pièces de monnaie. Dieu l'avait rétabli. Il était passé par la ligne de prière quelques soirées avant cela. Il passait par la ligne de prière, et j'ai dit : "Je vois que vous êtes - que vous êtes aveugle."

            Il a dit : "Oui monsieur."

            J'ai dit : "N'est-ce pas que vous êtes Catholique?"

            Et il a dit : "Oui."

            Et j'ai dit : "Croyez-vous que Dieu vous guérira?"

            Il a dit : "Oui monsieur." Il a dit : "J'entends une femme là qui criait, disant qu'elle avait un goitre et que cela a quitté sa gorge."

24.       J'ai dit : "Oui monsieur. C'est vrai." Il a dit… Et j'ai dit : "Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu?" Je devais dire cela, parce que l'Ange m'avait dit qu'il fallait que j'amène les gens à me croire. Voyez? Ainsi ce n'est pas croire ne moi comme en Lui. Croire que c'est Lui qui m'a envoyé prier pour vous. Voyez? C'est comme Pierre et Jean avaient dit : "Regarde-nous." Et j'ai - j'ai dit : "Très bien."

            Et j'ai prié pour lui. Et j'ai eu une vision qui est apparue devant ce vieil homme.

            J'ai dit : "Bon, vous avez recouvré la vue. Allez et soyez guéri."Il s'en est allé. Quelques minutes après, le voici revenir, conduit par deux hommes.

            Il a dit : "Prédicateur, vous m'avez dit que j'avais recouvré la vue." J'ai dit…

            "Que je suis guéri."

            J'ai dit : "Oui."

            "Eh bien, a-t-il dit, je ne vois pas une chose."

            J'ai dit : "Cela n'a rien à faire avec votre guérison. Vous êtes déjà guéri."

            Il a dit : "Eh bien, si - si je suis guéri, je peux voir, n'est-ce pas?"

            J'ai dit : "Pas maintenant même, il se peut que vous ne voyez pas maintenant même. Mais Dieu vous a dit que vous allez voir." J'ai dit : "Je vous le dis, j'ai eu une vision et vous allez recouvrer la vue."

25.       Il se peut qu'il soit assis ici même ce soir, à ce que je sache. Ce même homme. J'ai dit : "Dieu a dit… J'ai eu une vision. Vous allez recouvrer la vue."

            Il a dit : "Eh bien, on dirait que si j'ai été guéri je devais être capable de voir."

            J'ai dit : "Pas exactement, il se peut que cela n'arrive pas maintenant, il se peut que cela arrive dans une semaine, dans un mois, dans une année. Mais cela doit absolument arriver."

            Et il a dit : "Eh bien, je ne comprends pas ça." Et il s'en est allé. Quelques minutes après, le voici revenir. Il dit : "Je ne vois toujours pas."

            Et j'ai dit : "Eh bien, cela n'a rien à faire avec la chose."

            Il a dit : "Eh bien, vous m'avez dit que j'étais guéri."

            J'ai dit : "Ecoutez monsieur, vous êtes sur le point de - de perdre ce que vous avez reçu." J'ai dit : "Vous m'avez dit que vous me croyez."

            Il a dit : "Oui."

            J'ai dit : "Etes-vous en train de me mettre en question alors? Si vous me croyez, faites ce que je vous ai dit."

            "Oh, a-t-il dit, je - je comprends ce que vous voulez dire." Voyez, il a tout simplement compris cela. Il a dit : "Que dois-je faire, prédicateur."

            J'ai dit : "Allez simplement à la maison et dites : 'Gloire au Seigneur' et continuez à faire cela." Eh bien alors, il - ayant eu une formation de - de l'église Catholique, il n'était pas habitué à quelque chose comme cela. Ainsi, il est sorti et il a continué à crier : "Gloire au Seigneur."

26.       Et le soir suivant, je tenais une réunion. Il était assis là au balcon. Il criait : "Silence tout le monde." Il se levait et criait : "Gloire au Seigneur pour m'avoir guéri," il s'asseyait. Je prêchais un peu. Il disait : "Bon, silence tout le monde." Il se levait : "Gloire au Seigneur pour m'avoir guéri." Il a simplement continué comme cela. Il n'a fait que ce qu'on lui avait dit de faire. Et écoutez, si vous les protestants vous obéissez aux Ecritures, et autres, tout autant que les Catholiques obéissent à leurs commandements, vous auriez une église différente. C'est vrai. Vous aurez l'une des églises, vous amènerez l'un d'eux à voir la vérité, frère, et cela réglera la question. C'est ça. Il fera ce que vous Lui dites.

27.       J'ai dit : "Continue simplement à dire : 'Merci ô Dieu, gloire au Seigneur.'" Eh bien, deux ou trois soirées plus tard, il continua à faire la même chose. Il faisait cela chaque soir. Il dérangeait même les réunions. Et alors que je tenais une ligne de prière, il se levait et criait : "Gloire au Seigneur pour m'avoir guéri." Et tout le monde se retournait et regardait. Il continuait.

            Et alors, j'ai quitté pour aller à un endroit pour environ deux ou trois semaines. Et il se tenait au coin, il vendait des journaux. Il criait : "Spécial! gloire au Seigneur pour m'avoir guéri. Spécial! gloire au Seigneur pour m'avoir guéri."

            Eh bien, les gens se disaient : "Ce vieil homme est un peu, il est un peu dérangé dans sa tête." Alors, il ne faisait jamais cas de cela.

28.       Il a demandé à un autre petit vendeur des journaux, s'il pouvait l'amener chez le coiffeur, là où un certain… allait le coiffer. Alors il l'a amené dans…. Là il s'est mis à lui enlever… de son visage. Il a dit : "Dis donc, papa, j'ai appris que cet homme, Branham, ce guérisseur divin qui était ici, que vous étiez là aux réunions."

            Il a dit : "Oui. J'y étais." Il lui a enlevé la barbe, vous savez, il enlevait la barbe.

            Il a dit : "J'ai appris que vous étiez parti aux réunions."

            Il a dit : "J'y suis allé."

            Il a dit : "J'ai appris que le Seigneur vous a guéri."

            Il a dit : "Oui. Gloire au Seigneur, Il m'a guéri." Et ses yeux se sont ouverts. Il a vu tout autour. Il a dit : "Je suis maintenant guéri."

29.       Et il a quitté ce fauteuil avec la serviette autour du coup, le coiffeur  chercha à le saisir avec son rasoir à main. Il a détalé dans la rue aussi vite que possible. Et cet homme prêche la guérison divine, il tien des campagnes.

            Il a dit : "Voici une seule chose dont je suis sûr, Dieu est vrai véridique. J'étais aveugle et maintenant je vois." C'est vrai…

            Là à la maison de David, à Benton Harbor, à Michigan, j'étais assis là… ce juif qui le connaissait… et il a dit : "Eh bien, c'est un fait qui est connu, ce qui était arrivé à John. Il a demandé : "Par quelle autorité avez-vous fait cela?"

            J'ai dis : "Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu."

            Il a dit : "Il n'était pas le Fils de Dieu."

            "Eh bien, ai-je dit, il a accomplis cet œuvre malgré tout."

            Et il a dit : "Oh…"

            J'ai dis : "Ne croyez-vous pas qu'Il était le Fils de Dieu ?"

            Il a dit : "Non." Il a dit : "Je crois que c'était un homme de bien."

            Et j'ai dit : "Eh bien, Il était le Fils de Dieu."

30.       Il a dit : "Sans doute que c'est un fait tu es connu de beaucoup des gens, ce qui est arrivé à John ici." Il a dit : "Mais - mais cela n'a pas pu être Jésus-Christ." Il a dit : "Ça pouvait…" Il a dit : "En effet, Jésus n'était pas le Christ." Il a dit : "Vous les gentils, vous ne pouvez pas couper Dieu en trois morceaux et le donner aux juifs."

            J'ai dit : "Ce sont quelques-uns parmi les gentils qui le coupent en trois morceaux, mais pas moi." Absolument pas. J'ai dit : "Il y a un seul Dieu et ce Dieu Jéhovah a été manifesté dans la chaire ici dans Son Fils, Jésus-Christ." J'ai dit : "Vous avez pris une mauvaise pente là à ce sujet." Je me suis mis a lui citer un passage des Ecritures, Esaïs 9.6 et tout le reste. Il est venu et peu à près il a dit… il s'est tenu là et il a regardé tout au tour.

            Il a dit : "Oh, je crois que c'était un homme de bien."

            J'ai dit : "Allez-vous vous accrocher à cela ?"

            Il a dit : "Oui." Il a dit : "Eh bien, je crois qu'Il était un prophète."

            J'ai dit : "S'Il était un homme de bien, Il ne mentirait pas. S'Il était un prophète, Il ne pourrait pas à peine mentir et demeurer toujours un prophète. Alors, vous croyez qu'Il était le Fils de Dieu."

31.       Il s'est retourné un peu, il a rabaissé son chapeau, les larmes lui coulaient sur sa barbe rouge. Il s'est retourné et a dit : "Dieu est capable de ces pierres-ci de susciter des enfants à Abraham." Il s'est mit à s'éloigner, je l'ai saisi par la main. J'ai dit : "Juste un instant. Croyez-vous qu'Il était le Christ ?"

            Il a dit : "Ecoute ça, prédicateur. Tu vois ces signes qui mentionnent là Israël ?"

            J'ai dis : "Oui."

            Il a dit : "C'est là que je gagne ma vie."

            J'ai dis : "Et vous connaissez la vérité mais néanmoins vous sacrifiez cela?"

            Il a dit : "Si je n'étais pas là, je me retrouverais dans la rue entrain de mendier."

            J'ai dis : "Je préférerais dormir sur mon ventre, boire de l'eau plate, manger des biscuits secs et dire la vérité, plutôt que prendre des poulets crues trois fois pas jour et demeurer dans une erreur." C'est vrai.

            Il a dit : "Je vous verrais une autre fois," secouant sa tête et prenant fuite.

32.       Eh bien, John prêche toujours la guérison divine, prêche encore la guérison divine ce soir. Et dans cette réunion là, il avait été guéri. Et oh, comme Dieu avait déversé Ses bénédictions ! Et je me rappelle, ma femme était venue me voir. Il y avait environ quatre paquets des maisons, les gens étaient près pour un réveil. Ils se tenaient là, et ma femme a dit : "Tu ne veux pas dire tout ces gens ici sont venus pour t'entendre prêché !"

            J'ai dit : "Non, ils sont venus apprendre au sujet de Jésus."

            Je ne sais où elle est allée ce soir. Quatre hommes étaient venus me prendre pour me faire entrer. Je me suis tenu à la chaire. Et il m'est arrivé de regarder et, oh, c'était la moitié de cette place-ci où il n'y avait que des ambulances, et des fauteuils, et des brancards qui étaient placés là. Je leur parlais. Une petite fille qui était là, venait juste d'arriver… sa foi. Elle avait la tuberculose. Elle avait deux infirmières qui se tenaient à côté d'elle.

33.       Quelqu'un avait fait signe de la tête là. Il portait un costume comme celui des chauffeurs. Alors j'ai reconnu que c'était lui le conducteur de l'ambulance, je pense. Et il y avait environ seize ou dix-huit ambulances qui étaient alignées de côté. Je me suis avancé là pour voir ce que… j'ai demandé ce qu'il voulait.

            Il a dit : "Prédicateur, a-t-il dit, ce n'est pas ici chez le médecin." Et il a dit : "Je pense que mon patient est mort. Voudriez-vous venir au près d'elle ?" Quatre hommes se sont approchés de nous et nous sommes allés là. Et je suis entré à l'intérieur. C'était un vieux papa, le vrai type de l'Arkansas, il s'était agenouillé, il avait son chapeau cousu avec un cordon de ficelle et une chemise rafistolée au bout avec… sans soulier aux pieds, alors qu'il allait à genoux, son chapeau roulait en main, et il a crié au près de Dieu pour qu'Il laisse sa femme lui parler une fois de plus. Il avait là un patient. Eh bien, on ne soutenait pas qu'elle était morte. Je ne pourrais pas dire cela. Je ne le sais pas. Mais je suis entré et il… et le conducteur a dit : "Voici frère Branham."

34.       Des milieux des gens faisaient contre - entre l'auditorium et là où il y avait les brancards - où là où il y avait des ambulances. Et lorsque je suis entré à l'intérieur, je l'ai regardé ; j'ai dit : "Qu'y a-t-il papa ?"

            Il a dit : "Est-ce vous frère Branham ?"

            J'ai dis : "Oui." Il y avait un homme qui venait de Kennett, en Missouri, qui avait été guéri ce soir-là - le soir avant celui-là plutôt, il était aveugle… il était aveugle pendant… il a été tiré de la maison des aveugles ça faisait dix, douze ans.

            Et le suivant, il a parcouru cette ville. Il était entré dans l'église méthodiste avec son chapeau posé sur une cane, sa cane d'aveugle, il louait Dieu, il poussait des cris, au point qu'ils ont dû le mettre dehors. Il est allé à l'église catholique, on l'a chassé. Et il était là au - les épaules de cet homme avec une cane  sur son… roulant cela comme ça, louant tout simplement Dieu, alors que les autres le chassaient dans leurs églises.

            Eh bien, il était pratiquement en pièce là, avoir comment il persévérait. Ça faisait dix ans qu'il était aveugle et il avait recouvrer la vue, eh bien, assurément. Je l'aurais aussi fait, pas vous ? Certainement.  

35.       Et alors le… cette femme… quelque… il a dit : "Frère Branham, a-t-il dit, je fais tout ce qu'un homme peut faire." Il a dit : "J'ai… ce vieux… là. Elle a fait de moi ce que je suis. Nous avons élevé nos enfants." Et il a dit : "Elle a attrapé un cancer, et cela se trouve sur les foies." Et il a dit : "Elle se meurt." Et il a dit : "Le… que nous avons pris l'été passé, nous les avons vendus, et une partie de cela c'est ce qu'elle a… a-t-il dit, pour réunir l'argent qu'il fallait pour payer l'ambulance et venir ici l'amener ici." Il a dit : "Elle est morte." Il ne faisait que crier et pleurer.

36.       J'ai dit : "Eh bien papa !" J'ai baissé mon regard. Eh bien, cette femme, tout indiquait qu'elle était morte. Mais je ne sais pas si elle était morte ou pas. Je ne peux pas le dire. On avait enlevé ses dents artificiels et ses lèvres étaient repliées. Ses yeux étaient embués, vous savez, et ramenés là en bas dans ces orbites. Elle était totalement immobile avec une transpiration collée, c'était froid.

            Alors il a dit : "Qu'elle s'en est allée, frère Branham." Il a dit : "Je tenais vraiment à vous voir. Et nous ne pouvions pas la faire passer cette foule." Il a dit : "Elle était très malade. Et elle s'en est allée." Et elle avait pleuré ou plutôt lui avait pleuré.

            J'ai dit : "Eh bien, nous allons simplement nous agenouiller et faire une prière, papa, pour être réconforté." Alors je l'ai prise par la main. Et j'ai dit : "Père céleste, je Te prie de venir en aide à ce pauvre vieil homme, et bénis-la, Seigneur. Et je Te prie de la recevoir un peu dans le meilleur de pays."

37.       Et pendant que je priais, je - je l'ai senti saisir ma main. Le diable m'a dit : "Ce sont ces muscles, après que cela est mort ça se dilate." Alors j'ai simplement continué à prier et elle m'a encore saisi de nouveau. Il a dit : "Ce ne sont que des muscles qui se dilatent." J'ai donc continué à prier, mais je l'ai regardée. Et la peau de son front, eh bien, cela commençait à former de plues. Ce n'était pas des muscles qui se dilataient. J'ai regardé, et elle me regardait.

            Elle a dit : "Qui êtes-vous ?"

            J'ai dis : "Je suis frère Branham."

            Elle a dit : "Est-ce vous frère Branham ?"

            J'ai dis : "Oui." Alors elle s'est levée et son marie était en train de pleurer et prier.

            Il a dit : "Maman, maman, maman." Et il l'a saisie à la taille comme ça. Ils se sont mis a crier et à pousser des cris. Quel moment !

38.       Environs deux ans plus tard, j'ai rencontré cette femme là en Californie. Elle suivait une série des réunions, elle témoignait partout où elle pouvait. Le chauffeur de l'ambulance a dit : "Prédicateur, oh ! la la ! On avait apporté des gens du côté de cette ambulance là, a-t-il dit, vous ne pouvez pas passer par là." Il a dit : "J'ai envoyé ces hommes là au fond du parking, là au fond." Il a dit : "C'est toujours plein des gens, les gens se tiennent là au fond pendant des jours." Il pleut, cela ne leur fait rien."

            Alors il a dit : "Je vais faire comme-ci je vais enlever mon mentaux donc, comme ceci. Alors ils ne pourront pas voir. Et vous vous allez de ce côté-ci de l'ambulance, et contourner, et passer par le fond, et entrer comme ceci par derrière." Il a dit : "Ces prédicateurs seront là pour vous prendre par le haut," ses huissiers plutôt.

            Et j'ai dit : "Très bien."

            Cela me semblait un peu comme un trique hypocrite, mais c'est tout ce que j'ai pu faire. Je ne pouvais pas traverser cette foule. Alors je suis sorti et je suis passé le long de ces ambulances puis je suis revenu.

39.       L'autre jour je me tenais là au fond et je ne faisais que lever mes mains pousser des cris à Dieu. Je suis passer par derrière, en passant, j'ai traversé la foule, vous savez, aussi vite que possible. Et je me suis précipité, quelqu'un a dit : "Arrête de te précipiter." Je ne faisais que me hâter, vous savez. Quelqu'un a dit : "Arrête. Arrête-toi" Je ne faisais que continuer à me hâter, vous savez, cherchant aller là où cet homme tenait une réunion. Directement, je me suis buté contre un grand gaillard. Il a mis sa main sur mon épaule, disant : "J'ai dit d'arrêter de te hâter." Je l'ai fait, en effet j'avais peur qu'il allait me congé. Alors - j'ai dit : "Oui. Excusez-moi."

            Personne ne me connaissait. Je n'étais jamais sorti du bâtiment pendant des jours. Et les gens ne pouvaient entrer. Alors nous étions simplement là. On m'a apporté le jus d'orange et autre. Et j'étais continuellement là sur l'autel priant pour les gens au fur et à mesure qu'il passait, comme ça.

40.       Ainsi donc, il… c'était une espèce de pluie… qui tombait là. Il - il… comme cela, et il a continué à parler. Alors je me suis dit : "Eh bien, j'espère qu'il va se calmer." Eh bien, je l'ai un peu regardé. J'ai regardé tout autour. Je me suis dit : "Où sont ces gens ? Je suis passé derrière le bâtiment. Ne vont-ils pas venir ?" Personne ne me connaissait. Je me tenais là, vous savez. Et peu après, j'ai entendu crier : "Papa, papa ?" Je me suis dit : "Où est-ce ?" Et il y avait beaucoup des gens, pratiquement, ils se tenaient là derrière, elle là où ils étaient ce soir là, juste dans le parking, juste là il y avait la lumière.

            Et en passant par les gens… Eh bien, là dans le sud, ils ont la loi de Jim Crow : c'est la loi qui interdit que les gens des couleurs et les blancs ne puissent être ensembles. Alors il y a une jeune fille de couleur qui est venue là, elle avait environ, dix-sept, dix-huit ans. Et oh, elle était dans un… son… ses… ses yeux étaient blancs comme cette chemise à cause des cataractes. Et elle venait, passant par traversant cette foule, disant : "Que quelqu'un m'aide à retrouver papa."

41.       Alors je me suis dit : "Pourquoi personne, ces gens n'aident pas cette pauvre jeune fille ? Alors qu'il ne voyait pas, je me suis un peu avancé. Alors je suis arrivé là. J'ai continué à aller sur sa voie. Et j'observais ces gens qui venaient. Et elle est arrivée là, elle s'est tenu comme cela. Elle s'est cogné contre moi. Elle - ses mains m'ont… elle a dit : "Excusez-moi, monsieur, excusez-moi." Elle a dit : "Papa ?"

            Je me suis dit… j'ai dis : "Que cherche-tu ?"

            Elle a dit : "Monsieur, j'ai perdu mon papa. Je suis aveugle." Elle a dit : "Et je n'arrive pas à le retrouver. Je ne sais que faire." Elle a dit : "Personne ne veut m'aider. Voudriez-vous m'aider, gentil homme ?"

            Et j'ai dis : "Eh bien, je vois des gens de couleurs par ici." J'ai dis : "D'où venez-vous ? Elle a dit : "De Memphis."

42.       Et j'ai regardé il y avait tout un tas des bus… qui étaient parqués là. Je savais l'un de ses bus était de Memphis, c'est ainsi… J'ai dit : "Que faite-vous ici ?"

            Ella a dit : "J'ai suivi la radio ce matin." Elle a dit : "J'ai appris que tous les sourds et tous les muets qu'il y avait ici, que les sourds et les muets qu'il y avait hier soir, parlaient à la radio.

            Et j'ai dit : "Et vous êtes aveugle ?" Voyez-vous ? Je dis : "Qu'êtes-vous venu faire ici ?"

            Elle a dit : "Je suis venu pour voir le Healah."

            J'ai dis : "Le quoi ?"

            Ella a dit : "Le Healah."

            Et j'ai dis : "Vous ne croyez pas cela, n'est-ce pas ?"

            "Oh, oui."

43.       Eh bien, on dirait que c'était aussi hypocrite, tiré profit d'une femme aveugle. Voyez-vous ? Mais je voulais voir si elle croyait réellement cela. J'ai dis : "Croyez-vous que c'est la vérité ?"

            Elle a dit : "Oui, sourd." Et je me suis a t'hâter un peu. Et elle a dit - elle a dit : "Oui, sourd. Je crois cela."

            Et j'ai dit : "Eh bien, vous croyez que Dieu peut faire quelque chose comme cela, alors que la médecine est avancée telle qu'elle est ?"

            Elle a dit : "Hâtez-vous, quand j'étais une petite fille, j'avais eu des cataractes dans les yeux. Le médecin m'avait dit que cela mûrir, je ne sais pas ce que ça signifie, mais, quand cela mûr, on les enlève." Et elle a dit : "Eh bien, cela est mûr, a-t-elle dit : "On dit que si on enlève cela, cela ôtera le nerf optique de mes yeux." Et il a dit : "Je - je ne vois pas, et le seul espoir que j'ai c'est d'arriver là. Et cet homme en est à sa derrière nuit ici, et on me dit que je ne peux même pas arriver à m'approcher du bâtiment. J'ai perdu mon papa. Je ne sais que faire."

            Et j'ai dit : "Croyez-vous que si vous entrez là, vous serez guéri ?"

            Elle a dit : "Eh bien, j'ai entendu un homme à la radio ce matin, il est venu de Kennett en Missouri, ça faisait dix ans qu'il était aveugle, et il a recouvré la vue." Il a dit : "Eh bien, ne pourrez-vous pas aussi être guéri ?"

            J'ai dit : "Croyez-vous cela ?"

44.       Elle a dit : "Monsieur, je veux dire ce que je ferais. Si seulement vous me faites entrer là où se trouve cet homme, je pourrais retrouver mon papa après cela." Oh ! la la ! J'ai senti comme-ci mon cœur allait se fondre en moi. Je me suis dit, pauvre petite aveugle. J'ai dit : "Ecoute jeune fille, es-tu sérieuse ?" Elle a dit : "Oui."

            "Oh, ai-je dit, peut-être que je suis celui que tu es sensé voir." Alors elle m'a saisi comme ça.

            "Est-ce vous le Healah ?"

            J'ai dis : "Non, maman." J'ai dis : "C'est moi frère Branham. Jésus est le guérisseur. " Alors elle m'a saisi.

            Elle a dit : "Oh, frère Branham, ai pitié de moi. Ai pitié de moi."

            Et j'ai pensé à la pauvre petite aveugle Fanny Crosby :

            Ne me passe, oh doux Sauveur,

            Ecoute mon humble cris;

            Pendant que tu appelles les autres,

            Ne me passe pas.

45.       Alors j'ai regardé je me suis dit : "Son seul espoir, c'est Christ. J'ai dit : "Eh bien, je ne voudrais pas être reconnu dans cette foule, jeune fille. Incline la tête et nous dirons un mot de prière. " J'ai dis : "Premièrement, j'aimerais te tenir par la main pendant que je prie." Je n'arrivais pas à ôter sa main de mon manteau. Elle n'allait pas me laisser partir.

            Et j'ai dit : "Eh bien, laisse-moi tenir ta main."

            Elle a dit : "Ne me passe pas." J'ai tenu sa main, j'ai enlevé cela, et j'ai tenu sa main. Et pendant que je priais… Eh bien, vous pouvez taxer cela de fanatisme si vous le voulez, ça c'est entre Dieu et vous. Voyez-vous ? Je ne peux que dire la vérité. Quelque chose est arrivé. J'ai su que cette femme était guérie. J'attendrais les… de ces cataractes.

46.       J'ai dit : "Eh bien, garde les paupières fermés." J'ai dit : "Eh bien, relève la tête juste là où tu penses que dans la direction où tu penses que ma voix provient. Et je vais te dire quoi faire.

            Elle a dit : "Oui, sourd." Elle a dit : "Quelque chose de froid m'a parcouru."

            J'ai dit : "Redresse simplement la tête." J'ai dit : "Eh bien, ouvre le yeux car ainsi dit le Saint-Esprit, tu as recouvré la vue."

            Et elle a ouvert le yeux. Et elle a dit : "Sont cela les lumières ?"

            Et j'ai dit : "Oui."

            Elle a dit : "Ce point noir-là, c'est sont les gens ?" Et ça commençait à devenir de plus en plus clair. "Oh, a-t-elle dit, ô Seigneur, autre fois j'étais aveugle maintenant je vois. Et là la fort. Et alors… Il y avait… Il y avait des gens qui se tenaient là entrain d'observer cela. Et ils sont arrivés. Oh ! la la ! Vous parlez de…

47.       Et il m'est arrivé de regarder. Il y avait un vieil homme qui se tenait là avec une cane, et un morceau de bois en main. Sa jambe était recroquevillée de côté. Il a dit : "Frère Branham, je vous connais." Il a dit : "Ça fait huit ou dix jours que je me tiens sous la pluie ici." Il a dit : "Ne passe pas, s'il vous plait, frère Branham." Il a dit : "J'ai un tas d'enfants à la maison." Il a dit : "Ils ont besoin de moi." Il a dit : "Il y a eu un wagon qui m'a marché dessus et je suis… ma jambe est déformé comme ceci."

            J'ai dit : "Croyez-vous ?"

            "De tout mon cœur."

            J'ai dit : "Alors au Nom du Seigneur Jésus, donné moi votre cane." Et Dieu qui est mon juste souverain, lorsque cet homme, dans un acte de foi a tendu la cane, sa jambe s'est redressée, il a sauté, il a bondi en l'air et il a crié."

48.       J'ai regardé et là venaient des hommes, ils se bousculaient à travers la foule, s'avançant vers moi. Et vers ce moment là, des femmes, des hommes, se pressaient de tout côté, des femmes essayant de saisir leurs petits enfants pour les amener à me toucher. Ou… c'était une scène pathétique. J'ai aussi les petits enfants qui sont ici ce soir. Si l'un d'eux était malade, j'aurai le même sentiment si quelqu'un pouvait aider à partir quelque part. vous pouvez dire que c'est insensé et… non, ça ne l'ai pas. Soyez une fois désespéré vous ferez la même chose… ?… Egalement. C'est comme Jaïrus l'était… à ce temps-là, je vous dis la vérité, ma femme qui est assise ici présentement… je ne pouvais pas m'acheter un costume à ce temps-là.

49.       Mon frère, qui est ici ce soir, m'a donné l'un de ses costumes. C'était un jeune homme. Il avait eu un accident d'automobile, et la poche du costume s'était détaché. Et le pantalon a été déchiré à plusieurs endroits. Ma femme et moi nous sommes allés dans un bazars et nous avons acheté certains de ces…, on a repassé cela avec un fer chaud. Et nous avons repassé cela sur des habits, et cette… qui était là à déchirer la poche, j'ai pris une aiguille du fil j'ai cousu cela moi-même. Et c'était loin d'être un… c'était horrible avoir.

            Et j'avais honte de ce vieux manteau. Et lorsque j'ai eu à rencontrer le prédicateur, je devais tenir mon bras droit comme ceci au-dessus de ce manteau, et j'étendais ma main gauche, pour serrer leurs mains. Je disais : "Excusez-moi d'étendre la main gauche ; elle est plus proche de mon cœur." Et je - je leur ai serré la main. C'était ça le problème. Je ne voulais pas qu'ils voient ce vieux manteau en lambeau.

50.       Mais ce groupe de que… les gens de l'Arkansas, qui se tenaient là et qui avaient vu l'Ange de Dieu venir au milieu des gens, ils ont essayé de toucher ce vieux manteau en lambeau. Et tout ceux qui touchaient cela étaient guéris, non pas parce que c'était un manteau en lambeau, mais parce qu'il croyait que Dieu était au milieu d'eux.

            Laissez-moi dire ceci ce soir : il se peut que je ne porte plus ce vieux manteau en lambeau, mais le Dieu qui était là ce soir-là, est ici ce soir pour faire la même chose. Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. Le seul moyen pour vous de pouvoir tiré profit de quelque chose, c'est que Dieu place la foi là, pour que vous approchez cela comme il faut, que vous croyez cela. C'est la raison pour laquelle ces gens étaient guéris, parce qu'ils venaient avec une attitude mentale correcte, croyant que c'était la vérité, et que s'ils pouvaient s'approcher, ils seraient guéris. Et Dieu confirmait Sa Parole pour eux.

51.       [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Très bien, inclinez la tête. Il y a un esprit de surdité sur un homme. Seigneur Jésus, Créateur des cieux et de la terre, aie pitié de cet homme et guéris-le de cet esprit de surdité. Satan a essayé de l'amener à être tué ou quelque chose comme cela par un véhicule, mais tu es ici pour le rétablir. Sors de lui, Satan, au Nom de Jésus. Amen.

            M'entendez-vous maintenant très bien ? Est-ce… m'entendez-vous… m'entendez-vous… je murmure à peine. M'entendez-vous très bien? C'est bien. C'est merveilleux. Maintenant vous êtes guéri. Dites donc, n'êtes-vous pas un prédicateur ? Je pensais que vous l'étiez. Oui oui. Cela… vous êtes un prédicateur. Et vous cherchez à me voir au sujet d'une réunion. Est-ce vrai ? Et dans votre voisinage, là où vous habitez, il y a là quelqu'un qui a jeté beaucoup de disgrâces sur la cause de la guérison divine. Est-ce vrai ? Si cela est vrai, levez la main. Très bien, allez et je vous verrais. Que Dieu vous bénisse. Disons : "Gloire à Dieu. " Très bien. Tout le monde soyez vraiment respectueux au temps que possible maintenant.

52.       Eh bien, sommes-nous inconnus, madame, ne nous connaissons-nous pas l'un et l'autre ? Nous ne connaissons rien l'un au sujet de l'autre ? Très bien. Croyez-vous que Dieu est ici sur l'estrade pour - pour vous aider ? Vous ne croyez rien… le… Vous avez - vous acceptez que c'est Dieu, est-ce vrai ? Vous êtes une chrétienne, absolument.

            Vous avez une espèce de fièvre, une fièvre de rhumatisme. Est-ce vrai ? C'est quelque chose de dangereux, ça tue, sœur. Cela va au cœur et ça l'affecte. Mais venez ici juste un instant. J'aimerai vous poser une question. J'aimerai que vous regardez dans ma direction. Eh bien, n'ayez pas peur. Ayez foi. Je voudrais juste… attendez juste un instant, voyez, alors je… votre esprit peut être dans une position correcte pour saisir l'onction de Dieu. La foi.

            Voyez, la foi triomphe, elle ne connaît pas d'échec ; cela triomphera juste de toute chose. Voyez-vous ? Vous avez des problème dans votre foyer aussi. Un enfant, je crois, c'est une fille. N'est-ce pas vrai ? Et cette fille a quelque chose qui ne marche pas. elle a environ dix ou onze ans. Est-ce vrai ? Elle a quelque chose qui ne va pas à l'estomac. Lorsqu'elle mange, elle n'arrive pas à retenir cela dans l'estomac.

53.       Est-ce vrai ? C'est une… nerveuse à l'estomac. Elle est nerveuse. Vous aussi vous êtes nerveuse. C'est de cela que ça provient. Est-ce la vérité madame ? [La dame dit : "Ce matin elle a piqué une crise maladie. " - N.D.E.] C'est alors que je l'ai vu vomir.

            Croyez-vous que le même Dieu qui était avec notre Seigneur Jésus-Christ, est ici avec son peuple ce soir, se manifestant Lui-même ? Croyez-vous fermement cela de tout votre cœur ? Alors ma sœur, je vous bénis. Au Nom de Jésus-Christ, puisse cette maladie vous quitter, et puisse tous vos problèmes au foyer être résolus et réglés, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Allez donc en croyant, et vous recevriez ce que vous avez demandé. Disons : "Gloire à Dieu [L'assemblée dit : "Gloire à Dieu. " - N.D.E.] ayez foi au Nom de Jésus-Christ.

            Très bien. Venez, madame. Petit enfant… non, c'est vous. Ce n'est pas l'enfant. C'est vous. Et, sœur, êtes-vous consciente de ce qu'il ne va pas ? Vous êtes dans une situation dangereuse. Vous avez le cancer. Ce cancer là, je crois ce que le médecin dit, c'est un cancer de sang, c'est grave. Est-ce vrai ? Voulez-vous recevoir la guérison ? Vous voulez cet enfant là, n'est-ce pas, mère ? Alors regardez à Jésus-Christ.

            Dieu Tout-Puissant, sauve la vie de cette femme, et guéris-la au Nom de Jésus-Christ, je demande que sa foi surmonte. Et que ce démon, cette chose sans que cela puisse arracher cette maman à cet enfant, que cela sorte d'elle, au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse. Allez, ayez donc foi, et soyez rétablie.

54.       Voulez-vous vaincre cet hernie ? Levez-vous, Dieu vous a guéris donc, pendant que vous étiez assis là. Rentrez à la maison. Amen. Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre cœur. Juste une minute, madame. A-t-on prié pour vous ? Levez-vous juste une minute. Non. C'était votre maladie, la fièvre rhumatic ? Je l'ai vu avancer à l'eau - oh, c'est c'est… assis là. Le rhumatisme, n'est-ce pas ? Juste là contre le mur. Très bien. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir ? Très bien, levez-vous. Il vous a guéris de ce rhumatisme tout de suite. Que Dieu vous bénisse. Allez donc, et soyez… Que Dieu vous bénisse.

55.       Bonsoir. Ma sœur je vous vois… Ce n'est pas à cause de votre couleur naturel, n'est-ce pas ? Sommes-nous inconnus l'un à l'autre ? Croyez-vous que je suis son prophète ? Vous croyez. Cela a été causé par le médicament. Vous avez pris un genre de médicament pour votre nez quelque chose comme cela… vous mettiez des goûtes dans le nez contre le sinusite n'est-ce pas ? Et cela est à la base de cette situation : l'empoisonnement, n'est-ce pas ? Que Dieu vous bénisse. Venez ici.

            Seigneur Dieu, guéris cette femme. Je lui impose la main je la bénis pour sa guérison. Tout cela l'a quitté, cette couleur, l'empoisonnement, que cela s'en ail. Et puisse-t-elle redevenir normal au Nom de Jésus. Amen. Allez vous faire photographier maintenant, et puis prenez une photo après que cela aura quitté et envoyez-moi cela. Très bien. Disons : "Dieu merci." [L'assemblée dit : "Dieu merci." - N.D.E.]

56.       Croyez-vous de tout votre cœur ? Voulez-vous être guéris ? Maintenant, votre maladie, c'est la nervosité. N'est-ce pas vrai ? Très bien, acceptez votre guérison et traversez cette estrade disant : "Merci, Seigneur Jésus." Amen.

            Disons : "Gloire à Dieu."

            Croyez-vous, sœur ? Vous qu'il va… Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme. Puisse-t-elle quitter ici et être complètement guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, madame. Allez en vous réjouis… vous… ce que vous… ce que vous avez demandé, ce n'est pas pour vous, c'est vrai. Vous avez continué… cela vous voulez que je vous dise ce que c'est. Est-ce vrai ? Voulez-vous que je vous dise ce qu'est votre problème ? Très bien, je vais prier pour vous et vous laissez partir. Très bien, regardez dans cette direction et croyez-moi de tout votre cœur.

57.       Non. Vous êtes ici pour une sœur. Et cette sœur est dans un asile des fous, n'est-ce pas? Eh bien, croyez-vous que je suis Son prophète? Alors ne doutez plus. Allez et ayez foi. Disons : "Gloire à Dieu." [L'assemblée dit : "Gloire à Dieu." - N.D.E.]

            Vous avez un problème de dos, n'est-ce pas, sœur? Vos reins? Croyez-vous maintenant? Est-ce la vérité? C'est l'exact vérité, n'est-ce pas? Eh bien, c'est tout à fait vrai, et Dieu vous a guérie. Allez votre chemin, et puisse…

58.       Croyez-vous, monsieur? Voulez-vous vaincre cette affection de cœur? Allez donc et soyez guéri, ou bine portant au Nom du Seigneur. Disons : "Dieu merci." [L'assemblée dit : "Dieu merci." - N.D.E.] Que Dieu…    

            Je vois l'Ange du Seigneur se tenir juste là dans cette deuxième rangée, vers la troisième  personne qui a l'hypertension, juste dans cette rangée-ci. C'est vrai. C'est vrai. Dieu vous guérit, vous rétablit.

            Voulez-vous vaincre cette maladie d'asthme, vous qui êtes assis à côté d'elle là? Si vous le voulez, acceptez votre guérison. Levez-vous. C'est vrai. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez être guéri. Asseyez-vous. Cette femme assise à côté de vous, souffre aussi de l'hypertension. Levez-vous, madame, et soyez guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen.

59.       Disons : "Dieu merci." [L'assemblée dit : "Dieu merci." - N.D.E.] Très bien, venez madame. Croyez-vous de tout votre cœur? Vous avez l'hernie. Voudriez-vous vaincre cela? Dites : "Merci, Seigneur pour m'avoir guérie." Et partez de cette estrade en croyant, et vous serez guérie.       

            Disons : "Gloire à Dieu." [L'assemblée dit : "Gloire à Dieu." - N.D.E.]

            C'est la même chose avec cet enfant-là. Voulez-vous croire pour votre guérison? Croyez de tout votre coeur, Dieu vous rétablira de cela. Croyez et vous aurez exactement ce que vous demandez. Amen. Très bien. Que tout le monde soit respectueux. Croyez en Lui de tout votre cœur. Dieu vous rétablira.

60.       Venez, monsieur. Croyez-vous de tout votre cœur? Vous croyez que Dieu est ici? Croyez-vous que je suis Son prophète, que je Le représente? Vous souffrez de la nervosité, n'est-ce pas?" Je vais vous dire ce qui vous rend nerveux : c'est une habitude que vous avez contracté, fumé la cigarette. Avez-vous abandonné cela? Abandonné cela? Allez et soyez rétabli. Donnez votre cœur à Christ et allez vivre pour Lui. Allez-vous le faire?                    

            Seigneur Jésus, je bénis cet homme au Nom de Jésus-Christ. Puisse-t-il partir d'ici ce soir et être rétabli. Au Nom de Jésus-Christ, ôte chaque péché, ôte ces habitudes de lui, et nous Te louerons. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. Maintenant, ne doutez de rien. Allez votre chemin en vous réjouissant et croyez en Lui de tout votre cœur.

61.       Venez, monsieur. Vous aimeriez prendre votre souper? Très bien, cet ulcère vous a donc quitté. Allez-y, prenez votre souper étant bien rétabli. Croyez-vous - croyez-vous que l'anémie vous a quitté? Voulez-vous que cela… Pensez que cela quittera? Allez, croyez en Dieu et vous serez guéri et rétabli.

            Disons : "Gloire au Seigneur." [L'assemblée dit : "Gloire à Seigneur." - N.D.E.]

            Merci ô Dieu. N'ayez pas peur. Ayez foi. Ne criez pas, petit garçon, chéri. Tu as été guéri il y  quelques minutes. Ainsi tu… l'hernie que tu avais va te quitter et tu seras en ordre. Ne ten fais donc pas. Tout va bien. Disons : "Dieu merci." [L'assemblée dit : "Dieu merci." - N.D.E.] Nous aimons le Seigneur Jésus. Bénis soit Son Nom. Ayez foi.

62.       Venez, monsieur. Voyez-vous? Vous voulez vaincre cette affection d'estomac? Très bien, dites : "J'ai… Seigneur, j'accepte la guérison de mon nom - de cette affection d'estomac." Allez donc manger. Soyez bien portant. Croyez, vous qui êtes assis là, maintenant. Ayez foi en Dieu. Amen. Oh, comme nous L'aimons. Croyez-vous, vous qui êtes assis là, monsieur, juste au-dessus de cet enfant-là? Il y a quelque chose qui ne va pas dans la colonne vertébrale ou quelque chose comme cela. Est-ce vrai? Il y a quelque chose qui ne va pas dans vos poumons, n'est-ce pas vrai? Eh bien, levez-vous et acceptez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus. Votre dos est guéri, vous êtes bien portant, frère, allez et louez Dieu.

63.       Venez, petite fille. Si Jésus-Christ était ici, croiriez-vous en Lui? Croyez-vous que s'Il était ici, et qu'Il vous imposait les mains, vous serez rétablie? L'aimez-vous? Allez-vous Le servir? Vous avez une affection de cœur, n'est-ce pas, chérie? Voulez-vous être rétablie? Venez ici.            

            Seigneur Jésus, prend l'innocence de cet enfant ici, Père, je lui impose les mains, j'ordonne que ce démon quitte cet enfant et qu'il soit guéri, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, chérie. Allez, remerciant le Seigneur Jésus et étant bien portant. Très bien. Voulez-vous guérir de cette maladie de femme, madame? Dites : "Merci Seigneur pour m'avoir guérie." Très bien, c'est bien. Allez et louez Dieu. Croyez en Lui. Amen. Eh bien, vous tous vous devriez être guéris en une fois. Oh! comme Dieu vous guérit absolument, guéris les malades et les affligés et… Croyez-vous cela de tout votre cœur?

64.       Je vois l'Ange du Seigneur se tenir sur quelqu'un juste là au fond, il a eu… Ça fait environ vingt-cinq ans, il est assis là au fond au bout de cette rangée-ci, juste là même au fond. Voulez-vous accepter votre guérison? Très bien, vous pouvez vous tenir debout, et recevoir cela, si vous croyez de tout votre cœur. C'est bien. Levez-vous. Amen. Voilà, cet homme est juste là avec une petite cravate. Vous aussi vous le pouvez, monsieur, si vous acceptez la vôtre. Vous aviez une affection de la prostate, également. Allez donc de l'avant, vous êtes guéri. Dieu vous guérit. Amen. Disons : "Dieu merci." [L'assemblée dit : "Dieu merci." - N.D.E.]

65.       Venez, madame. Vous voulez guérir de cette affection de cœur? Seigneur Jésus, je Te prie de la guérir, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Allez, croyant maintenant de tout votre cœur et soyez rétablie. Ayez donc foi.                    

            Ce gentleman avancé en âge qui est assis juste ici souffre aussi de l'hernie, il a une moustache, est-ce vrai, monsieur? Voulez-vous vous tenir debout et acceptez votre guérison? Très bien, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Puissiez-vous recevoir cela.

            Cette dame assise juste ici a une affection de vésicule biliaire, celle qui est assise juste là, juste de ce côté-ci. Oui, il y a quelque chose au sujet de l'eau et tout. Si vous croyez de tout votre cœur, si vous croyez, vous pouvez être guérie. Que Dieu vous bénisse. C'est ça.

66.      Très bien, venez madame. Croyez-vous de tout votre cœur? Croyez-vous que c'est l'Esprit de Dieu qui est ici? Vous avez une espèce de toux. Je ne peux pas… C'est l'asthme. Est-ce vrai? Seigneur Jésus, je Te prie de la guérir et de briser la puissance des démons sur elle, et puisse-t-elle partir rétablie, au Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Allez, regardez et croyez. Amen. Chacun de vous devrait croire sans l'ombre d'un doute. Je vois une dame assise là en train de prier. Elle a le cancer. Ce cancer là, le médecin…

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