FAITES TOUT CE QU'IL VOUS DIRA

Date: 54-0722 | La durée est de: 1 heure 17 minutes | La traduction: Shp
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1.         Merci. Restez debout un moment, pendant que nous parlons au… notre Père céleste.

            Seigneur, nous venons à Toi maintenant Te remercier pour ce que Tu as fait pour nous, pour la mesure de grâce qui a été répandue sur nous, en effet, Tu nous as rachetés par grâce, et maintenant nous sommes des fils et des filles de Dieu par Jésus-Christ, qui nous a aimés et qui a donné Sa propre vie pour nous. Autrefois, nous étions étrangers à Dieu, sans espérance, sans miséricorde, morts par nos péchés et nos offenses, allant vers une tombe sans fin, dans un enfer du diable, et Christ est mort à notre place pour nous réconcilier avec Son Père, en tant que des fils et des filles. Nos cœurs sont très reconnaissants pour cela ce soir. Et, Père, nous prions que ceci soit une soirée dont nous nous souviendrons pendant longtemps, à cause de Sa Présence.

            Nous offrons cette prière parce que nous savons que c'est dans la saison, car Tu as dit : "Je serai avec vous, même en vous jusqu'à la fin du monde. Les choses que Je fais, vous les ferez aussi, même de plus grandes, car Je m'en vais au Père."

            Et je sais que notre prière est correcte, en effet, Ton désir a toujours été d'accomplir Ta Parole. Tu veilles sur Elle pour La confirmer. Et je Te prie d'accorder ceci ce soir, au Nom de Ton Fils Jésus. Amen.

2.         Enchanté de vous voir. Bonsoir, mes amis. C'est un privilège d'être ici de nouveau ce soir, pour servir au Nom de ce très Merveilleux Seigneur Jésus. Et je viens de me lever un peu en retard, il y a quelques instants, nous… Nous sommes entrés juste à temps pour écouter ce merveilleux cantique de frère Ekberg : La prière du Seigneur. Je vous assure, les cantiques me font quelque chose, particulièrement les cantiques de ce genre. Je prie vraiment que Dieu bénisse notre frère et le garde ici sur terre beaucoup, beaucoup d'années jusqu'à ce que le Seigneur Jésus vienne, afin qu'il chante ces merveilleux cantiques. Il est un talent pour l'église.

            J'apprécie toutes ces bonnes choses que frère Joseph vient de dire. Je ne suis pas digne de ces choses qu'il a dites. Bien sûr, vous connaissez les sentiments qu'éprouve un ami envers l'autre. Il m'aime, et il dit ces choses, et elles viennent de son cœur, et je les apprécie.

3.         Je vois d'autres chanteurs, cet aimable frère qui est ici et qui a chanté pour nous au début de notre série de réunions, et beaucoup d'autres frères qui sont assis ici tout près. Et frère Bosworth, je - je l'ai vu assis de nouveau avec nous ce soir. Avez-vous un mot pour nous ce soir, Frère Bosworth ?

            C'est ça le christianisme, préférer que ça soit votre frère. Eh bien, nous ferons en sorte qu'il prêche à notre place demain soir alors. S'il se fait un peu tard, nous lui demanderons de prêcher à notre place demain soir.

4.         Frère Jack Moore, beaucoup d'entre vous ont déjà fait connaissance de lui, un frère qui s'est attaché à moi comme un véritable frère. Je vous assure, frère Moore n'est pas vraiment du genre à se présenter. Il ne… Ça lui importe peu d'être vu. C'est difficile de l'amener à se lever même pour prêcher dans l'une des réunions. Mais c'est un érudit, un frère, un diplomate, un prédicateur, un véritable frère ; c'est ce qu'est notre frère Jack Moore de Shreveport, en Louisiane. Frère Jack et moi, nous sommes déjà passés côte à côte par des dangers, des épreuves et des pièges. Que je me sente bien, que j'aie raison, que j'aie tort, peu importe ce que c'est, Jack Moore est toujours mon ami. C'est un vrai ami. C'est un ami dont…

            Tout le monde peut-être à vos côtés lorsque la - la foule est avec vous, mais attendez que vous soyez seul. C'est à ce moment-là qu'un véritable frère se tient à vos côtés. Et frère Jack a démontré qu'il l'est, à travers de nombreuses batailles où il a été avec moi. Ce soir j'aime frère Jack d'un amour chrétien éternel. Et un jour glorieux, je m'attends à être dans un Ciel de Dieu avec lui, ainsi qu'avec tous les autres. Quand la dernière bataille sera livrée, la fumée sera dissipée, les armes seront entassées, les Bibles seront fermées, la dernière prière sera dite, les tables seront sorties, et nous serons tous là au souper des noces, vous savez. Ce sera un moment merveilleux. J'attends impatiemment cela. Je…

5.         L'un de mes managers, notre frère Baxter, m'a dit récemment qu'au Canada, où il a été élevé, il a dit : "Une fois, on avait là une petite bicyclette, et on allait la donner à chaque garçon, ou plutôt au garçon qui parviendrait à rouler sur cent yards [environ 100 m - N.D.T.] sur une planche de six pouces [environ 15 cm - N.D.T.], disposée en l'air, à une hauteur de quatre pieds [environ 1,20 m - N.D.T.], il gagnerait une nouvelle bicyclette Schwinn." Il a dit : "Il y avait là un petit garçon, le genre maladif, dont on ne croyait même pas savoir grand- chose sur une bicyclette. Et tous les autres garçons pensaient, eh bien, chacun d'eux, qu'ils étaient de grands cyclistes. Ils descendaient en ville et se procuraient un panier de provisions, ou plutôt un sac de provisions, sans même tenir le guidon, ils viraient aux coins, et en plein trafic, puis ils revenaient chez eux avec cela. Ils disaient : 'Oh ! la la ! ce garçon a toujours les mains sur le guidon et il regarde.' Ils disaient : 'Eh bien, nous pouvons rouler mieux que ce gars.'"

            Ils étaient tous en compétition. Il s'est fait qu'il est intervenu le dernier. Tous tombèrent sauf lui. Il alla droit jusqu'à la fin du trajet. Il gagna la bicyclette. Tous les garçons l'entourèrent et lui demandèrent : "Pourquoi… Comment y es-tu arrivé ?"

            Il dit : "Je vous assure, mes amis, dit-il, vous êtes tous bien meilleurs cyclistes que moi, mais, a-t-il ajouté, vous avez fait une erreur." Il a dit : "Vous, vous regardiez en bas, pour essayer de maintenir votre bicyclette sur cette planche." Il a dit : "Moi, j'ai fixé mes yeux sur la fin, et j'ai gardé mes yeux fixés sur la fin, et je tenais le guidon fermement."

6.         Si je dois tout le temps regarder ce qui se passe autour de moi, je pourrais aussi m'écarter de la route. Mais je regarde ce qui est à la fin, je garde mes yeux fixés là, et je peux bien tenir. Que les amis m'abandonnent, que tout le reste tourne mal, et que les gens disent ceci, cela, je regarde là-bas à la fin. C'est là que je fixe mes yeux, en ce - ce moment-là, lorsque je rencontre mon ami. Quand la bataille sera terminée, et que nous serons là… et imaginez un peu quand on aura disposé la table, tous les vieux vétérans de guerres s'assiéront le long de cette table. Et je regarderai et je verrai saint Paul assis là, et Pierre, Jacques, Jean, frère Moore, frère Bose, et frère Bosworth, oh ! la la ! les autres vétérans, et je verrai là le long de cette table, vous savez, je - je - je… Vous vous serrerez la main les uns aux autres par-dessus la table. Ce sera merveilleux. Sans doute qu'une petite larme de joie coulera sur notre joue, de temps en temps, puis le Roi apparaîtra dans Sa beauté, enveloppé de ses robes, Celui Qui nous a rachetés ; vous parlez donc des cris, vous parlez des réjouissances ! Lorsque nous serons assis là et que nous penserons aux grandes batailles que nous aurons livrées ensemble, Il descendra et essuiera toute larme de nos yeux, et dira : "Ne pleurez plus ; cela est passé ; maintenant nous sommes tous là, entrez dans la joie de votre Maître."

            Ce sera un temps merveilleux pour moi. Je regarde simplement -simplement à cela toute la journée et toute la nuit. J'attends constamment cela.

7.         Nous ne serons des mortels qu'une fois. Ceci est la dernière fois de toute l'éternité où nous aurons été des mortels. Ceci est peut-être la dernière soirée où nous aurons été des mortels. Il se peut que demain, nous soyons des immortels. Faisons donc ce que nous pouvons pour des êtres mortels pendant que nous sommes des mortels, et que nous pouvons les aider. Travaillons pendant que ceci est appelé jour, car la nuit vient, où personne ne peut travailler. Dieu n'oublie pas Ses enfants.

            Et maintenant, notre temps s'écoule très vite. Hier soir, je… lorsque je suis revenu en quelque sorte à moi-même, je descendais une rue, et il était presque 22 heures, et j'ai éprouvé beaucoup de peine pour vous avoir gardés aussi longtemps. Ce n'était pas mon intention de faire cela.

8.         Eh bien, vous avez écouté beaucoup de prédications de l'Evangile ce soir, de la part des prédicateurs. Et certains d'entre vous sont donc assis pendant… depuis dix-huit heures. Et je ne veux pas vous garder plus longtemps. Je ne suis pas un grand orateur. J'aimerais lire une Ecriture, donner un petit témoignage, puis commencer la ligne de prière pendant que vous serez en prière.

            J'aimerais dire ceci : Aujourd'hui, j'ai eu le privilège d'être à un endroit, dans une très jolie maison ici à Chicago, juste en me promenant et je suis arrivé à cet endroit. J'ai rencontré un homme que je connais depuis un certain temps. Il vient de se convertir, il a mené une vie d'ivrogne pendant longtemps, un rétrograde. Et il est venu et a placé ses mains dans les miennes, puis sa main sur mon épaule, un brave frère, et il a dit : "Pardonnez-moi d'avoir douté de vous."

            Et j'ai dit : "Eh bien, quoi ? Douter de moi ?"

            Il a dit : "J'étais toujours un peu sceptique, Frère Branham, jusqu'à avant hier soir." Il a dit : "Vous êtes venu sur l'estrade, et quelqu'un est arrivé en retard."

9.         Eh bien, le mieux que je peux me rappeler de l'histoire, c'est que les gens étaient venus auprès de lui pour avoir une carte de prière. Les cartes de prière avaient déjà été distribuées. Ils avaient un bébé malade ; ils ont dit… Il a dit : "Eh bien, je vais vous dire quoi." Il a dit : "Entrez tout simplement et asseyez-vous." Il a peut-être cédé sa place à ces gens. Et Il a dit : "Entrez tout simplement et asseyez-vous, mettez-vous à prier ; vous n'avez pas besoin d'une carte de prière. Priez tout simplement." Et il a dit : "Lui-même était souffrant."

            Et il s'est éloigné … Je pense qu'il a dit que c'étaient le rhumatisme, l'arthrite, ou quelque chose d'autre qu'il a dit. Il s'est éloigné et a mis sa tête sur la rampe, et a dit : "Ô Dieu, parle à frère Branham pour ce pauvre petit bébé malade."

Et au même moment, le Saint-Esprit a écouté sa prière, Il m'a amené droit dans l'audience, et a dit - a dit aux gens qui ils étaient, d'où ils venaient, ce qui n'allait pas chez leur bébé ; Il leur a dit que dans vingt-quatre heures, le bébé connaîtrait un changement. Et ils ont expérimenté cela dans vingt-quatre heures, et le père a dit : "Le bébé va bien...?..." Alors il a dit... 

10.       Des fois, il peut sembler, quand vous voyez quelque chose de différent… nous avons une routine tout le temps, le Christianisme en a une. Nous devons rester juste dans cette routine, sinon nous ne sommes - nous ne sommes pas des chrétiens. Nous devons croire cela ainsi, sinon nous ne sommes pas des chrétiens. C'est - c'est bien dommage que nous devenions comme cela. Voyez-vous? Nous devons être flexibles vis-à-vis de l'Esprit. Laisser l'Esprit de Dieu nous conduire. Beaucoup de choses sont étranges.

11.       Eh bien, quand vous voyez quelque chose se faire dans les domaines des prodiges, que vous n'arrivez pas...?... voir, vous essayez de le comprendre, vous n'arrivez pas... Vous avez entendu cela être lu dans la Bible; cependant vous n'arrivez pas à saisir. Des fois, beaucoup de gens ont dit : "Eh bien, c'est - c'est le diable."

C'est ce que les pharisiens ont fait. Ils ont vu Jésus regarder les gens, et percevoir leurs pensées, et dire des choses qui s'étaient passées. Eh bien, la - ce qui était étrange, c'est quand ils se sont d'abord dit : "Oh, c'est juste de la psychologie." Mais quand ils ont découvert que ce qu'Il disait arrivait, que dans ce qu'Il disait, Il était parfait, précis, et qu'en plus, les malades étaient guéris, eh bien, ils n'arrivaient pas à comprendre cela. Ainsi donc, ils n'arrivaient pas - ils n'ont pas essayé de comprendre la chose, ils ont simplement dit : "C'est le diable, c'est tout." Et puis vous essayez de dire... Quand ils Le voyaient opérer la guérison, ils disaient : "Oh, Il - Il est juste... C'est un démon."

Et Jésus a dit : "Si le démon peut guérir le démon, ou plutôt chasser le démon, son royaume n'est-il pas divisé?" Vous voyez?

Ils n'essayent pas de s'asseoir pour essayer de raisonner là-dessus avec Dieu. Ils essaient de raisonner là-dessus par eux-mêmes, et vous ne pouvez pas raisonner sur Dieu. C'est tout. Vous devez croire Dieu. On ne connaît pas Dieu par la connaissance. Peu importe combien de diplômes vous avez, combien de séminaires vous avez fréquentés, ça ne vaut pas ça. [Frère Branham fait claquer ses doigts. - N.D.E.] C'est vrai. C'est par la foi que vous connaissez Dieu, pas par la connaissance. Voyez-vous? Vous ne pouvez pas connaître Dieu par - par la connaissance. 

12.       Dans le jardin d'Eden, il y avait deux arbres : l'un, c'était la connaissance, et l'autre, c'était la Vie. Et aussi longtemps que l'homme mangeait de l'Arbre de la Vie, il avait la Vie Éternelle. La première bouchée de l'arbre de la connaissance a brisé sa communion avec Dieu, et chaque fois qu'il en prend encore une bouchée, il se détruit. Il a pris une bouchée de la poudre à canon ; regardez ce que cela fait. Il a pris une bouchée de l'automobile, de l'arbre de la connaissance, cela tue plus ses camarades que toutes les guerres. Il a maintenant pris une bouchée de la bombe à hydrogène. Je me demande ce qu'il va en faire. Dieu ne détruit rien; c'est l'homme lui-même qui se détruit par la connaissance. Vous voyez?

Je suis si heureux que l'Arbre de la Vie fleurisse encore, le Saint-Esprit ici-présent, alors qu'une fois Cela nous a éloignés de l'arbre jusqu'à ce qu'il y eût… puissions être réconciliés avec Dieu par un Sacrifice de Sang, et maintenant le Saint-Esprit nous ramène à cet Arbre. Je ne sais pas comment cela se fait. Je le crois simplement; c'est tout. C'est la chose à faire: juste une foi simple. 

13.       Des fois, les gens regardent et comprennent mal. Je ne sais pas, le frère n'a jamais donné d'explication. Il s'est peut-être dit : "Eh bien, c'est..." Récemment, une personne qui n'a pas... Vous pouvez comprendre ce que je veux dire peut-être par ses sentiments. Récemment, il y a quelque temps, quelqu'un a dit - est allé à un service de guérison, il est allé à la réunion de frère Roberts, frère Oral Roberts, un très bon frère, un homme de bien ; il fait un grand travail pour Dieu. Et il priait pour les malades pendant que les gens passaient dans la ligne. On a demandé à ce ministre, on a dit : "Qu'en pensez-vous?"

            Il a dit : "C'est de la psychologie de masse."

            Et ils sont allés chez un autre frère qui prie pour les malades. On a demandé : "Qu'en pensez-vous?"

            Il a dit : "Juste un tas d'excitations."

            Alors, on l'a envoyé à ma réunion. Il est revenu et on a demandé : "Qu'en pensez-vous?"

            Il a dit : "C'est un devin raffiné."

            Eh bien, il est né pour douter. C'est donc tout ce que vous pouvez faire. C'est tout. Vous ne pouvez pas tirer du sang d'un navet, parce qu'il n'a pas de sang du tout. C'est donc ce qu'il en est. Vous ne pouvez pas avoir la foi de quelque chose qui n'a rien d'où tirer la foi. C'est tout à fait exact. Donc il faut que Dieu soit d'abord ici pour produire la foi. Est-ce juste? Exactement comme il faut qu'il y ait du sang dans un navet, pour pouvoir en tirer du sang. Donc je suis si heureux ce soir que Dieu m'ait fait miséricorde pour faire de moi un croyant de Son Fils, Jésus-Christ. 

14.       Je désire lire à Son sujet un moment. Dans Saint Jean, chapitre 2, à partir du verset 1, je désire lire les cinq premiers versets:

  Trois jours après, il y eut des noces à Cana en Galilée. Jésus… La mère de Jésus (plutôt) était là,

  et Jésus fut aussi invité aux noces avec ses disciples.

  Le vin ayant manqué, la mère de Jésus lui dit: Ils n'ont plus de vin.

Jésus lui répondit: Femme, qu'y a-t-il entre moi et toi? Mon heure n'est pas encore venue.

            Voici pour - ce sur quoi je veux attirer votre attention.

  Sa mère dit aux serviteurs: Faites tout ce qu'il vous dira. [Darby]

 

15.       C'est encore là un bon enseignement, ce soir. Faites tout ce qu'Il vous dira. S'Il vous dit de vous préparer à mourir, préparez-vous. S'Il vous dit que vous allez vous rétablir, croyez cela. S'Il vous dit que vous êtes guéri, vous l'êtes. Faites tout ce qu'Il dira. Ne pas croire cela est un péché.

Eh bien, combien c'est merveilleux de Le voir ! Quelle réponse là à Sa mère : "Qu'y a-t-il entre moi et toi? Mon heure n'est pas encore venue."

Mais, immédiatement, la mère sachant que vous ne pouvez pas demander quelque chose à Jésus et qu'Il vous déçoive, a dit : "Tout ce qu'Il vous dira, faites-le simplement tel qu'Il le dit."

"L'obéissance vaut mieux que le sacrifice, et l'observation de Sa Parole vaut mieux que la graisse des béliers." 

16.       On m'a rappelé un petit témoignage que je racontais à notre frère Joseph aujourd'hui, et il a dit : "Frère Branham, j'aimerais avoir ce témoignage." Cela m'est venu à l'esprit maintenant, rien que pour cinq petites minutes ou quelque chose comme ça, et je vais essayer de le donner. Ça va être sur bande.

Maintenant, je veille à chaque mot (je dois le faire) que je prononce, car voici (oh) huit ou dix enregistreurs posés ici. Il y a là votre voix. Vous voyez? Vous devez être sûr que chaque mot est correct, car c'est… une fois que c'est prononcé, c'est fini. 

17.       J'imagine que beaucoup d'entre vous pensent qu'une vie de ce genre est simplement un grand prestige, et que les gens vous tapotent sur les épaules, et - et ainsi de suite. "Eh bien, tout est rose", comme nous le disons, mais c'est vraiment le contraire. C'est la vie la plus dure, qu'un être humain puisse jamais vivre. Vous n'avez pas à faire qu'à l'individu. Bien des fois des fanatiques viennent, expriment leur désaccord et disent de vilaines choses. Je pense que c'est le Seigneur qui le permet. Cela vous garde humble, avec ce genre de personnes.

Ils vous disent simplement que le Seigneur a dit : "Si vous ne faites pas ceci, Il va vous punir. Le Seigneur a dit ceci et cela." Si le Seigneur voulait me dire quelque chose, nous nous parlons Lui et moi. Il me dirait la chose. 

18.       Et bien des fois, ils apprêtent un auditorium, ils font des annonces dans les journaux, disant que je dois être... je n'en sais rien, et alors les gens se mettent à me téléphoner et disent : "Eh bien, Frère Branham, on a donné une annonce à votre sujet dans le journal." Oh ! ça me fait mal. Mais il y a quelques jours, quelqu'un n'a cessé de téléphoner à la maison, et - et une série de réunions se tenaient quelque part en Pennsylvanie, une dame qui tenait les réunions a dit : "Je suis l'associée de frère Branham; il sera ici demain soir." Et les gens se sont réunis, et les ministres ont fermé leurs églises. Et elle disait : "Eh bien, je viens de l'avoir au téléphone." Elle disait : "Il ne pourra pas venir avant demain après-midi à dix-sept heures." Et alors elle a continué ainsi, jour après jour, gagnant du temps, et je ne connais même pas la… jamais entendu parler d'elle de ma vie. Vous voyez? Mais c'est ce qui se passe. Cela fait donc mal, mais ça va. Tout est… Dieu me fait simplement savoir, m'amène à prier avec un peu plus de ferveur et à rester un peu plus près de Lui. C'est un miracle qu'Il me reste encore un ami (n'est-ce pas) dans de telles conditions ! Mais, mes amis comprennent.

19.       Je vous dirai une chose, frère chrétien : Ne vous inquiétez de rien, tant que Dieu est avec vous, tout le reste se mettra bien en place et juste,… Cela va… Ce sera… l'amour. Juste dans votre cœur, priez jusqu'à ce que vous aimiez le Seigneur Jésus de tout votre cœur, et vous aimerez chacun des Siens de tout votre cœur, et vous aimerez chaque pécheur de tout votre cœur. Vous aimerez tout le monde, et les gens sauront que vous les aimez. Peu importe combien vous essayez d'imiter cela, vous ne pouvez pas y arriver. Les gens sont plus avisés, particulièrement ceux qui sont spirituels. Ils sont plus avisés. Aimez simplement, c'est l'essentiel. Si j'avais une - une chose que je pourrais dire aux gens ce soir, un commandement à observer, c'est de vous aimer les uns les autres ; aimer le Seigneur Jésus et tout ira bien. Demeurez dans l'amour.

20.       Eh bien, la vie intérieure… Personne d'autre que Dieu ne sait ce par quoi vous passez. Toutes les heures de la nuit, j'ai prié jusqu'à ce que j'étais si faible que je pouvais à peine me tenir debout, et j'étais inconscient, marchant avec un oreiller en main, la nuit, cherchant à dormir, pensant que j'allais prier pour les malades. Pas seulement cela, mais là-dedans, des démons qui sont sommés… Des fois, nous connaissons des situations difficiles.

            Il y a quelques soirées sur l'estrade, après avoir reçu cela de mon manager, de mon fils et des autres qui m'en ont parlé, un aveugle était venu sur l'estrade. Cet homme avait péché ou quelque chose - quelque chose n'était pas en ordre, j'ai simplement prié, puis je l'ai renvoyé. Quelque chose a dit : "Arrête cet homme." Eh bien, je pense que si vous demandez qu'un miracle soit accompli, des fois comme cela, cela fait obstacle à la ligne de prière. Les autres attendent à ce moment-là, comme les a appelés frère Bosworth, des auto-stoppeurs spirituels. C'est un… Ils s'attendent… Voyez-vous ? Il vous faut avoir votre propre foi. Mais si cet homme avait commis un mal, et vous remarquerez, si vous êtes très attentif, que là-dedans…

21.       Par exemple, si j'étais médecin et que vous veniez me voir en disant : "Oh, docteur, j'ai de terribles maux de tête. Ça revient tout le temps, chaque jour, et je n'arrive pas à m'en débarrasser."

            Et si je vous donnais une poignée d'aspirines et disais : "Allez-y." Ou si je vous donnais juste une injection pour arrêter les maux de tête, je ne suis pas un bon médecin. Non, je n'en suis pas un. Ce que je fais, j'essaie tout simplement de me débarrasser de vous, de vous faire partir de mon cabinet, ou quelque chose de ce genre. Un vrai médecin, si vous allez le voir et que vous lui disiez que vous avez des maux de tête qui persistent, il dira : "Entrez, déshabillez-vous. Montez sur la table." Il vous examinera et fera tout. Il ne vous donnera rien jusqu'à ce qu'il aura découvert pourquoi il vous donne cela. Il va faire le diagnostic du cas, un vrai médecin, jusqu'à ce qu'il découvre où se situe le problème, et alors il va commencer à partir de là, il sait sur quoi il travaille à ce moment-là. S'il vous repousse tout simplement, ce n'est pas un bon médecin.

22.       C'est la même chose, bien des fois, en priant pour les malades, vous voyez le cas qui se présente-là. La véritable et meilleure manière pour chaque cas serait de s'y mettre non pas dans une réunion de masse comme celle-ci, mais dans ma maison ou quelque part dans mon bureau, là où je peux prendre le malade et voir exactement où se situe le problème. Il y a une cause pour tout. Et vous pouvez… Si vous observez bien, c'est très rare de m'entendre réprimander un mauvais esprit. Réalisez-vous que les dons comme celui-ci pourraient vous amener à perdre devant Dieu ? Moïse était un prophète et il… Dieu l'avait revêtu de puissance. Et il lui a dit d'aller parler au rocher. Et au lieu de parler au rocher, Moïse s'est fâché et a frappé le rocher. Et cela détruisit tout le témoignage de la Bible, juste là. Voyez-vous ? Parce que c'était Christ. Christ n'a pas été frappé deux fois, Il n'a été frappé qu'une fois. Mais il avait le pouvoir de faire sortir le rocher… eh bien, plutôt l'eau du rocher, que cela soit ou non la volonté de Dieu, puisqu'il était un prophète. 

23.       Elie, ce jeune homme, est devenu chauve alors qu'il était jeune. Les petits enfants lui ont couru après et l'ont appelé "vieux chauve". Et cela mit en colère ce prophète, et il maudit ces enfants, et deux ourses tuèrent quarante-deux petits enfants innocents, parce que ce prophète avait maudit ces enfants au Nom de l'Eternel. Ça, ce n'est pas la nature du Saint-Esprit. Voyez-vous? Mais Dieu traitait avec lui. De la même manière, il nous faut veiller à ce que nous faisons. Lorsqu'un malade vient, soyez prudent. Des fois, il y a là un péché. Et si - si cette personne… Voici monsieur Dupont. Il y a quelques mois, il est sorti et il a été infidèle à sa famille. Il a fait quelque chose de mal, et Dieu a permis à Satan de placer une malédiction sur lui, afin de le ramener. Eh bien, le voici qui monte sur l'estrade, et je me tiens ici et je l'oins d'huile, disant : "Sors de lui, démon. Je pourrais crier comme tout jusqu'à m'enrouer, mais ce démon restera bien là. Certainement qu'il restera. Premièrement, si vous aviez votre propre pouvoir pour ôter cette maladie de cet homme qui est dans cet état, la malédiction que Dieu a mise là pour autre chose, et vous vous venez et ôtez cela… Voyez-vous ce que je veux dire ? Vous devez être prudent. Alors vous avez aussitôt des ennuis avec Dieu.

24.       La première chose à faire, si monsieur Dupont est malade, et qu'il y a quelque chose qui ne va pas et qu'il ne lui reste que peu de temps à vivre, c'est de trouver la cause. Quelle est la volonté de Dieu ? Alors la vision se produit et montre ce que monsieur Dupont a fait ou ce qu'il n'a pas fait, vous voyez alors la cause et à ce moment-là ce que... Nous savons que le remède, c'est le Seigneur Jésus-Christ. Mais nous devons connaître la cause, alors vous voyez le Seigneur Jésus vous révéler que si monsieur Dupont arrange cela, la guérison est là. Alors vous pouvez dire : "Dans le Nom de Jésus Christ, le Fils de Dieu..." Vous pouvez maudire cette maladie qui est sur lui. Ce pouvoir appartient à l'Eglise, et la chose peut être faite. Mais, autrement, prenez garde à ce que vous faites. C'est la raison pour laquelle beaucoup ont manqué d'être guéris dans la ligne; vous devez venir dans la ligne en confessant : "Ô Dieu, sonde mon cœur, si j'ai péché, pardonne-moi. Et si Tu... Si j'ai manqué de faire quelque chose, révèle-le-moi, et je vais arranger cela. J'irai faire exactement ce que Tu veux que je fasse." Car il doit y avoir une cause à cela. Croyez-vous cela ? C'est l'exacte vérité.

25.       Eh bien, cela me rappelle, je pense que j'étais avec le frère Bosworth. Je pense que c'était au cours d'une réunion que je tenais avec lui. J'étais à Dallas ; je rentrais chez moi en avion. Voici une petite histoire racontée par un des participants. Bien des fois, même les journaux ont rapporté l'accomplissement des faits mystiques, et sans savoir ce qui était arrivé. Je me trouvais exactement là lorsque cela - lorsque cela est arrivé. Il m'envoie à différents endroits.

            Par exemple, récemment, a-t-il dit, c'était près de Denver, dans le Colorado, ou il y avait un homme qui se trouvait dans un fauteuil roulant. Il a dit… Une affaire mystique est parue dans le journal. Je priais ; Il m'a envoyé là pour prier pour un bébé. Et le même jour, j'avais eu une vision de ce bébé, où le… le petit… le médecin est sorti d'un - d'un endroit, ils avaient une Ford, une petite Ford grise. Et il avait cette… et je suis allé là, et quand j'ai ouvert le portail pour entrer, une de ces veilles houes était posée à côté du portail. Et je suis entré ; la dame m'a accueilli à la porte, et elle a pris mon chapeau et l'a posé sur le lit, et une dame portant un - un pull-over rouge est venue et s'est assise. Et le bébé se mourait. Et ensuite, une autre dame portant une veste brune est entrée et s'est assise, et elle a pris mon chapeau et l'a déposé sur la télévision. Et je suis allé là et j'ai posé mes mains sur le bébé, et j'ai regardé et voilà qu'Il se tenait là à côté de moi. Le bébé s'est rétabli. 

26.       Peu après cela, trois ou quatre jours après la vision, eh bien, on m'a appelé quelque part dans le Colorado, auprès d'un homme qui souffrait de la tuberculose. Et je suis allé prier pour lui ; quelque chose m'a dit d'aller là-bas et de prier pour lui. Et j'ai pris l'avion et je m'y suis rendu. Et après avoir prié pour cet - cet homme, je ne sais pas ce qui lui est arrivé. J'attendais l'avion, et j'ai dit : "Je… Il… C'est comme si j'ai envie de marcher." Et je descendais cette rue, et j'ai vu un médecin vêtu d'une veste grise, portant un petit… Je me suis dit : "C'est comme si je connais cet homme." Et j'ai regardé là, il y avait - il y avait une petite Ford grise. Je me suis dit : "C'est une vision. C'est ce qui est arrivé l'autre jour." Et voyez-vous ? Et j'ai vu… J'ai dit : "S'il est… je vais l'observer." Il est sorti ; j'ai dit : "Bonjour." Il a parlé, il est entré dans la voiture ; il était très poli, et j'ai regardé derrière le portail, il y avait là cette houe. J'ai dit : "Ç'a y est."

Et je suis allé à la porte, j'ai frappé et une dame portant un pull-over rouge est venue à la porte, j'ai dit : "Bonjour."

Et elle a dit : "Bonjour."

Et je - j'ai dit : "Je suis ministre de l'Evangile. Y a-t-il un malade chez vous ? "

Elle a dit : "Un bébé."

J'ai dit : "Il est étendu sur le lit à gauche, quand vous entrez par la porte." J'ai décrit la manière…

Elle a dit : "Où se trouve votre - votre paroisse ? "

Et j'ai dit : "Ma paroisse, c'est le monde." J'ai dit : "Je m'appelle Branham." Elle n'avait jamais entendu parler de moi. J'ai dit : "Puis-je offrir une prière pour votre bébé ?"

Elle a dit : "Oui, monsieur." Elle a dit : "Ici, nous sommes des chrétiens." Je suis entré, elle a pris mon chapeau, elle l'a déposé sur le lit. Eh bien, l'autre dame qui portait une veste brune n'était pas encore entrée. J'ai donc attendu une heure. La dame se demandait pourquoi cette longue attente. Alors une heure s'était écoulée, la dame n'était pas encore arrivée. Et après un moment, elle est entrée, et alors elle s'est assise là où la dame au pull-over était sensée s'asseoir. Ce n'était donc pas en ordre, et mon chapeau était toujours sur le lit. Je ne pouvais pas le leur dire ; mais c'était à elles de le faire. L'Ange du Seigneur n'était pas encore là ; le signe pour moi que c'est le moment de prier. Et elles s'occupaient du bébé, après un moment, la - la dame a pris mon chapeau et l'a déposé sur la radio, et sur la télévision, alors, je suis allé vers le lit et j'ai dit : "AINSI DIT LE SEIGNEUR, le bébé vivra." Il s'est mis à tendre les bras vers sa mère et à ôter la couverture. La chose était là.

Pendant qu'elles pleuraient, je me suis glissé dehors par la porte. Elles n'ont jamais su qui j'étais ni rien à ce sujet.

 27.      Je descendais une rue, et j'ai cru entendre quelque chose grincer, et c'était un fauteuil roulant . Cela allait juste devant moi. Et c'était un homme dans un fauteuil roulant, tenant une Bible, et pleurant. Et je l'ai vu s'en aller en se réjouissant, étant hors du fauteuil roulant. Je me suis dit : "C'est étrange."

Et je suis allé et je me suis tenu là où se trouve un bazar. Une rue vient dans ce sens. J'étais là l'autre jour, je regardais cet endroit ; je n'ai rien dit à qui que ce soit. Et j'ai regardé cet endroit et il y avait… et je - j'ai vu… Je me suis dit : "Eh bien, ceci c'est…" Je me suis tenu là au coin et j'ai entendu ce grincement. Eh bien, la - la vision s'était produite moins de vingt minutes avant, et cet homme est venu, tenant une Bible, en train de pleurer. Je me suis dit : "Eh bien, voici la chose." J'ai dit : " Bonjour monsieur."

Et la dame qui le poussait… J'ai dit : "Qu'y a-t-il, monsieur ?"

Il a dit : "Je suis…"

J'ai dit : "Vous avez là un très bon Livre."

Et il a dit : "J'en crois chaque Parole."

Et j'ai dit : "En croyez-vous tout le contenu ?"

Il a dit : "Oui, monsieur, de tout mon cœur." [Espace vide sur la bande - N.D.E.]

Et j'ai dit : "Quel est le problème ?"

Il a dit : "Le médecin vient de me décourager. Je suis estropié à la suite de l'arthrite. Il me dit que je ne marcherai plus jamais."

J'ai dit : "Le contenu de ce Livre dit qu'un Homme est mort afin que vous marchiez de nouveau."

Il a dit : "Le Seigneur Jésus ?"

J'ai dit : "Oui, monsieur. Croyez-vous cela ?"

Il a dit : "Je crois."

            J'ai dit : "Levez-vous de là. AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous marcherez." Et l'homme a sauté et les gens avaient un… les gens pensaient que l'Armée du Salut était au coin. J'ai couru à travers le bazar, je suis sorti dans l'allée, je suis retourné sur l'autre chemin, j'ai pris mon taxi et je suis allé vers l'avion. Jusqu'à ce jour, les gens ignorent ce qui était arrivé. Voyez-vous ? Et cela - c'est juste. Les gens n'en savent rien. Voyez-vous ? Ce n'est pas pour ma propre gloire, c'est pour… ?… du Seigneur Jésus.

28.       [Quelqu'un dans l'assemblée parle en langues. - N.D.E.] Que le Seigneur Jésus-Christ soit béni. Je suis… Je crois maintenant que je vais commencer la ligne de prière dans un instant. Et j'ai confiance que Dieu guérira tous les malades et les nécessiteux qu'il y a ici ce soir. Que Ses bénédictions reposent sur tout le monde.

            Un petit exemple… Excusez-moi de n'avoir pas terminé ce que je racontais à frère Bosworth. C'est frère Joseph qui voulait ceci. Il y avait… Je revenais de Dallas, je rentrais chez moi, à Jeffersonville. Et j'ai peut-être le temps de prendre ceci. J'étais… [Espace vide sur la bande -N.D.E.] et on m'avait mis dans cet hôtel là-bas, et un… ce grand hôtel, je crois qu'on appelle cela Peabody Hotel. Je ne pouvais pas me permettre de rester dans un endroit pareil, mais la compagnie aérienne United Airlines m'avait logé là, aussi je… Le lendemain matin, ils ont dit que l'avion partirait . Ils nous ont appelés et nous ont informés qu'il partirait à huit heures. Je me suis levé à six heures et j'ai pris le petit déjeuner. J'avais du courrier auquel j'avais répondu, des malades m'avaient donné des cartes, de petites offrandes et tout, je leur avais répondu cette nuit-là quand je suis rentré, et j'allais déposer cela à la poste avec les mouchoirs sur lesquels j'avais prié. Je me suis mis à descendre la rue. Ceci s'est passé il y a environ huit ans, je pense. Et je descendais la rue, allant vers l'endroit où je pensais trouver une boite aux lettres. Et tout à coup, le Saint-Esprit dit : "Arrête-toi."

29.       Et j'ai remarqué qu'il y avait un magasin de matériel de pêche et de quincaillerie. Et j'aime le matériel de pêche. Et un de mes amis m'a offert un fusil là-bas, et, oh ! la la !Comme ces choses… Je suis né pour vivre dans la nature et j'aime celle-ci. Et je… en regardant ce matériel, je… comme cela, pour voir si personne ne me regardait, j'ai incliné la tête et j'ai dit : "Père, que veux-tu que je fasse ?"

            J'ai continué à attendre, à attendre. J'ai entendu quelque chose dire : "Retourne et rentre dans l'autre direction."

            Je suis passé à coté de l'hôtel ; j'ai continué à marcher sans arrêt. J'ai regardé à ma montre ; l'heure à laquelle la Limousine devait quitter pour partir à l'aéroport était déjà passée. Je me suis dit : "Je suis en retard."

            Mais quelque chose a continué à dire : "Marche, avance. Continue à marcher."

            J'étais descendu loin, près de la rivière. Très loin de Memphis. Et je marchais là, sans savoir où j'allais. Ce n'est pas mon affaire de savoir où vous allez. Il faut obéir. J'ai simplement continué à marcher.

30.       Une tempête était survenue cette nuit-là, vous savez, et les - et les avions étaient retenus au sol. Ainsi, oh, ce matin-là… C'était au début du printemps, et la rosée, vous savez, et tout, sur les roses ; cette douce odeur de - de la rose, du - du chèvrefeuille et tout avait - avait simplement parfumé l'air, ainsi j'appréciais de marcher là-bas. J'avais posé ma main sur mon cœur (pas sur ma Bible, je ne L'avais pas avec moi. J'avais ma main sur le cœur et je chantais : Je suis heureux de pouvoir  dire que je suis l'un d'entre eux. Je chantais simplement ce petit cantique pentecôtiste que je venais d'apprendre chez les pentecôtistes là-bas ; en effet, je venais de faire connaissance avec eux depuis peu, à l'époque. Et je continuais à marcher. Et il y avait là une petite maison des gens de couleur, comme une toute petite hutte. Et une vieille tante Jemima typique, une grosse femme de couleur appuyée au portail. Elle avait une chemise d'homme nouée ici autour de la tête, comme un foulard, cela lui pendait dans le dos, et elle regardait comme ceci pendant que je descendais la rue. J'étais pratiquement à une distance comme ceci quand je l'ai vue, et je - j'ai arrêté de fredonner. Je chantais pour moi-même. Juste au moment où j'allais passer, j'ai vu les larmes couler sur ses joues comme ceci. Et           je suis passé, et elle a dit : "Bonjour, Pasteur."

            J'ai dit : "Bonjour, tantine."

            Et je me suis dit : "Pasteur ! Comment a-t-elle su que je suis un prédicateur ?" Alors je me suis retourné et j'ai dit : " Tantine, excusez-moi, mais comment savez-vous que je suis pasteur ?"

            Et elle a dit : "Avez-vous déjà lu dans la Bible l'histoire de la Sunammite qui - qui voulait avoir des enfants, mais ne pouvait pas en avoir, et le prophète Elie l'a bénie, et elle a eu un enfant ?"

            J'ai dit : "Oui, madame."

Elle a dit : "Je suis l'une de ce genre de femmes." Elle a dit : "Et le seigneur m'a bénie et m'a donné un garçon." Et elle a dit : "Je l'ai élevé au mieux de ma connaissance pour qu'il serve le Seigneur." Et elle a dit : "A mon grand chagrin, elle…il s'est associé à une mauvaise compagnie, et il a attrapé une maladie affreuse, une maladie vénérienne." Et elle a dit : "Et pour les docteurs, c'est à un stade si avancé qu'ils ne peuvent rien faire pour lui. Ils lui ont administré de la pénicilline et tout, et des piqûres, mais cela ne lui a fait aucun bien." Et elle dit : "Voici deux jours qu'il est inconscient, étendu là, se mourant en rétrograde." Et elle a dit : "J'ai fait une prière au Seigneur. Elle a dit : "Pasteur, j'ai fait de la lessive sur la planche. J'ai fait tout pour élever ce garçon pour qu'il aime le Seigneur, et cela me brise le cœur de le voir devoir mourir pécheur." Et elle a dit : "La nuit dernière, j'ai prié et j'ai dit : ? Seigneur, ne peux-Tu pas bien vouloir envoyer Ton serviteur ici, ou quelqu'un qui m'aiderait à prier pour ce garçon ?' J'ai dit : ' Ton médecin déclare qu'il ne va plus jamais se réveiller.'" Et elle a dit : "Je me suis endormie à genoux." Et elle a dit : "J'ai eu un rêve dans lequel j'ai vu un homme portant un chapeau d'une couleur de plomb clair, avec un complet léger, descendre la rue exactement vous, tout à fait. Et le Seigneur a dit : ? Le voici qui vient. Et elle a dit - et elle a dit : "Je me suis réveillée vers trois heures." Et elle a dit : "Je suis venue ici et je me suis tenue au portail depuis trois heures. " Et son dos était encore mouillé. Elle a dit : "C'est depuis trois heures du matin que j'attendais ici votre arrivée. Et je vous ai vu venir, le - l'Esprit du Seigneur m'a parlé, et a dit : 'Le voici'."

            Et je me suis dit : "Eh bien, Dieu soit béni ! "

            Elle a ouvert la porte; elle savait que je venais là. Elle a ouvert la porte et a dit : " Voulez-vous entrer? "

            J'ai dit : "Merci, tantine ". J'ai ôté mon chapeau.

31.       Elle a ouvert la porte de cette vieille petite cabane. J'ai jeté un coup d'œil à l'intérieur ; c'était propre. Il n'y avait pas de tapis sur le plancher, il y avait à droite un vieux petit… à colonnes - lit en fer à colonnes. Un écriteau était accroché au mur, avec la mention : "Dieu bénisse notre maison". Aucune photo de femmes nues. "Dieu bénisse notre maison." Je préfère avoir cela suspendu au mur que n'importe quoi d'autre que je connaisse.

            J'ai été dans les palais des rois ; j'ai été dans certaines de plus belles maisons qu'il y a au monde. Je n'ai jamais eu cela. Et je me suis déjà senti le bienvenu et à l'aise, mais je ne me suis jamais senti aussi le bienvenu que ce matin-là dans cette petite maison des gens de couleur, où habitaient ces gens de couleur. Je suis entré là, un beau et grand garçon de couleur d'environ dix-huit, dix-neuf ans, était couché là. Il tenait la - la couverture dans ses mains, et faisait : "Mm, mm, mm." [Frère Branham illustre par un son. - N.D.E.]

            J'ai dit : "Qu'a-t-il ?"

            Elle a dit : "Cela fait deux jours, pasteur, qu'il dit qu'il est perdu." Elle a dit : "Il est sur une vaste mer profonde et il fait sombre, et il ne peut rien voir nulle part." Elle a dit : "C'est tout ce dont il parle."

            J'ai dit : "J'aimerais lui parler."

            Elle a dit : "Il est inconscient." Elle a dit : "C'est tout ce qu'on peut obtenir de lui. Il ne me reconnaît même pas."

            J'ai posé ma main sur ses pieds, ils étaient froids au possible. La mort avait frappé ce garçon, je le crois vraiment. J'ai dit : "Le médecin a dit : 'Il…'"

            Elle a dit : "Oui, monsieur, il a perdu la raison." Elle a dit : "Cela fait deux jours qu'il est dans cet état. Le médecin a dit : 'Il ne se relèvera plus jamais.'" Elle a dit : "Je ne peux pas voir mon bébé mourir comme cela." Elle s'est approchée et lui a donné un baisé à la tête.

32.       Et frère, quelque chose se passa dans mon cœur. Peu importe combien il était tombé dans la disgrâce, combien il était grand, ça ne changeait rien ; c'était malgré tout le bébé de cette mère. Et je me suis dit : "Si l'amour d'une mère peut descendre jusque là, l'amour de Dieu ira au-delà de cela." C'est juste, et c'est vrai. J'ai dit : "Tantine, pouvons-nous prier ?" Elle a dit : "D'accord, monsieur." Elle s'est agenouillée là.

            J'ai dit : "Voulez-vous nous conduire dans la prière ?" Et c'était une prière, je vous assure, je peux encore entendre cela. Cette brave sainte de Dieu, à genoux, implorait Dieu pour qu'Il épargne son fils. Ecoutez, elle n'a rien mentionné au sujet de la guérison.

            Je lui ai dit mon nom. Elle n'avait jamais entendu parler de moi. Et je - je ne lui ai pas du tout dit ce que j'avais déjà fait, ce que… que je priais pour les malades. Je lui ai juste dit mon nom. Et elle… et… elle ne priait pas pour qu'il se rétablisse ; elle priait pour que Dieu sauve l'âme de son fils. Elle priait donc juste comme cela : "Seigneur, ne laisse pas mon bébé mourir de cette manière. Accorde-moi - accorde-moi, sa maman, de l'entendre dire une fois : 'Maman, je suis sauvé et je rentre à la Maison, auprès de Jésus.'" Elle a continué à prier comme cela. Quand elle a arrêté de prier, nous étions tous les deux en train de pleurer. Je me suis levé, je me suis assis au bord du lit. Elle est simplement restée à genoux. Elle a dit : "Pasteur, priez maintenant."

            J'ai dit : "Oui, madame." Je me suis agenouillé. Je reconnais que je n'ai pas pu prier comme elle, et je - j'ai dit : "Seigneur Jésus, mon avion est parti, et c'est Toi qui m'as dit de continuer à marcher. Et j'ai marché jusqu'à arriver si loin, et ceci est le seul - le seul signe ou quelque chose par lequel je sais que Tu voulais que je m'arrête. Et si Tu as fait que cette pauvre femme se tienne ici dehors depuis trois heures, certainement que c'est l'endroit où Tu voulais que je m'arrête." Et je tenais les pieds du garçon.

            Et je l'ai entendu dire : "Maman ?"

            Elle a dit : "Oui, chéri."

            Il a dit : "Il commence à faire clair dans la pièce." Dans les deux ou trois minutes qui ont suivi, il était assis au bord du lit.

33.       Je me suis hâté de sortir très vite de la maison. J'ai couru pour attraper mon avion. J'ai pensé qu'on verrait combien j'avais dû m'éloigner. Et j'ai sauté dans un taxi, qui m'a amené jusque là où était l'avion. Quand j'y suis arrivé, on disait : "Dernier appel." L'avion avait eu des problèmes de moteur et il était resté posé là, m'attendant depuis deux heures et quelques. Vous voyez, vous voyez ?

            Je pense à la grâce souveraine, à l'amour de Dieu, de voir que la foi de cette pauvre femme de couleur, peut-être illettrée, a retenu cet avion pendant deux heures et demie, jusqu'à ce que quelqu'un puisse marcher jusque là pour répondre à la prière de cette pauvre vieille mère, qui probablement ne savait pas lire son nom devant son… Dieu ne regarde pas combien vous êtes instruit ; Il a besoin de votre cœur.

34.       Environ une année plus tard, je passais par-là dans un train et je me suis arrêté. Et si quelqu'un d'entre vous voyage à Memphis, le train va dans ce sens, il va vers l'ouest, et il y a un - un petit restaurant tout au bout. Et j'étais… Je suis descendu et je suis allé à ce restaurant, et un jeune porteur a crié : "Bonjour, Pasteur Branham."

            J'ai dit : "Bonjour, monsieur."

            Il est venu là et il a pris ma main en tremblant, les larmes coulant de ses yeux, il a dit : "Ne vous souvenez-vous pas de moi ?"

            J'ai dit : "Je ne pense pas."

            Il a dit : "Vous souvenez-vous d'un matin où le - où vous êtes venu chez moi prier pour moi. Cela faisait deux jours que j'étais inconscient."

            J'ai dit : "Oui, monsieur. Vous êtes ce garçon-là ?"

            Il a dit : "Oui, monsieur, non seulement je - j'ai été guéri, mais maintenant je suis un chrétien." Il a dit : "Je - je suis un chrétien." Ça c'est notre Seigneur Jésus.

35.       Quand tout sera terminé, que la dernière prière aura été dite, que j'aurai prêché mon dernier sermon un de ces jours, si Jésus tardait, et que je croisais les bras pour aller à Sa rencontre, je me demande ce qu'il en sera le matin de la résurrection, quand je pourrai m'asseoir avec ce genre de personnes là de l'autre côté, nous nous assiérons tous et parlerons un moment ensemble, sans empressement. Mais c'est maintenant que nous sommes dans l'empressement. C'est maintenant que nous devons travailler. Le soleil se couche, mes amis. Juste encore un peu de temps, et tout va se terminer. Alors nous nous verrons les uns les autres et nous jouirons des bénédictions de Dieu pendant l'éternité. Et on n'offrira plus jamais de prière pour les malades. Il n'y aura plus jamais de pécheurs. Il n'y aura plus jamais d'empressement. Il n'y aura pas de nuit. Ce sera pour toujours le jour. Persévérons donc maintenant. Et puisse le Seigneur Jésus se révéler à chacun de vous ici ce soir de telle manière que vous dirigerez vos affections vers Jésus-Christ et que vous ne changerez plus jamais votre route, mais irez droit vers Lui tout le temps que vous serez dans ce voyage de la vie. Prions.

36.       Seigneur, Toi qui as créé les cieux et la terre, alors que mon pauvre cœur d'Irlandais se met de nouveau à penser aux choses que j'ai vues Ta merveilleuse main accomplir, on est maintenant trop loin sur la route, Seigneur, pour penser à faire demi-tour, étant donné que je prends de l'âge. Je Te prie, Seigneur, de me garder dans Ta volonté. Ne me laisse jamais m'égarer ; laisse-moi rester toujours près de Toi. Et où Tu voudras que j'aille, je voudrais aller, Père. Je n'aimerais faire et dire que ce que Tu voudra m'amener à faire et à dire. Et pour le service de ce soir, je me soumets à Toi. Voici Tes pauvres enfants malades assis ici ; ils sont dans le besoin, Seigneur ; certains sont mourants, comme ce garçon dont j'ai parlé. D'autres sont dans un état horrible. Tes serviteurs, les médecins, ont fait tout leur possible. Ils sont impuissants, mais pas désespérés, Seigneur. Tu es toujours ici. Tu es notre espérance. Et je Te prie de bénir chacun ce soir ; donne-nous de Ton Esprit. Beaucoup, Seigneur, ce soir dans ce bâtiment, quand ils verront que Tu es réellement ici, que Ta Présence est ici, je prie qu'il n'y ait pas un seul qui soit faible parmi nous à la fin de la réunion. Que chaque personne malade, estropiée, affligée, aveugle, quoi que ce soit, soit guérie. Je le demande au Nom de Jésus. Amen.

37.       Est-ce là ceux sur quoi on doit prier ? [Frère Branham s'entretient avec quelqu'un. - N.D.E.] Où est mon fils ? Quel est le numéro des cartes de prière, Billy ? T ? Hier soir, je me suis un peu perdu, j'appelais juste un à la fois. Ce soir nous allons simplement appeler un groupe. Appelons à partir de… 100 ? Appelons de 35 à 50. Qui a le T-35 ? Essayons à partir de là, appelons-en quinze à partir de là : 35, 36, 37, 38, dans la série T, jusqu'à 50. Et pendant qu'ils s'alignent, nous autres, inclinons la tête juste un instant.

38.       Tendre Sauveur, dans cette caisse-ci, qui est pratiquement pleine ce soir de lettres… de pauvres personnes malades et souffrantes… Je peux T'imaginer descendre les rues et voir ce qui se passait à Jérusalem. Ton cœur était ému. Quand je vois des gens ici dans le bâtiment et que je regarde soir après soir des caisses de lettres arriver, c'est pour quelqu'un qui est à la maison. Ô Dieu, que Ton cœur soit de nouveau ému de compassion, Seigneur. Et que Ta miséricorde envahisse maintenant cette caisse. Tu vois chaque lettre, chaque mouchoir ; Tu voyais les gens écrire cela ; Tu les regardes en ce moment. Et que cela soit transporté avec soin et que le Saint-Esprit veille dessus ; lorsque cela sera posé sur le malade, qu'il soit guéri. Accorde-le, Seigneur.

            Peut-être que nous ne les verrons plus jamais dans cette vie. Il y a des milliers que nous ne verrons plus jamais, mais cependant, nous les aimons, Seigneur, car Tu les as aimés et Tu as donné Ta vie pour eux, et Tu as été déshabillé et placé contre ce poteau ce matin-là, quand ces grands coups de fouet lacéraient Tes côtes. C'était pour leur guérison. Ce n'était pas en vain, Seigneur. Je peux voir la chair frémir tandis que ces grosses boules de plomb s'abattaient sur Ton flanc. Ce n'était pas en vain. Seigneur, laisse-moi mourir en prêchant ceci. C'est par Tes meurtrissures que nous sommes guéris. Alors qu'un vent froid soufflait, Pierre se réchauffait au feu, et Ton précieux dos était collé à la vieille croix. Non, ce n'était pas en vain. Chaque goutte de sang a apporté la guérison. Et je prie, Seigneur, que le diable soit vaincu dans chaque cas ici. Que Jésus-Christ soit honoré, car c'est dans ce but que nous envoyons cela. Au Nom de Jésus. Amen.

39.       Maintenant, très doucement, s'il vous plaît, chantons Seigneur, je crois. Juste une fois, très doucement maintenant. Tout le monde, s'il vous plaît.

                        Seigneur, je crois, Seigneur, je crois ;

                        Tout est possible, Seigneur, je crois ;

                        Seigneur, je crois, Seigneur, je crois ;

                       

            Mon fils dit qu'une carte manque dans la ligne, la carte de prière T-37. Est-ce juste, Billy ? T-37, quelqu'un a-t-il le T-37. C'est peut-être un sourd. Regardez autour de vous. Peut-être qu'il n'a même pas entendu lorsque son numéro a été appelé. Regardez la carte de votre voisin. Voilà une dame, peut-être qu'elle a quelque chose dans quoi elle se tient. Peut-être… A - a-t-elle une carte de prière, dame, vous qui êtes assise à côté d'elle ? Elle - est-ce là - est-ce là son numéro ? Ce n'est pas ça. Très bien. Quelqu'un qui est un… connaîtrait celui qui a le T-37 ? Si c'est dans la salle, eh bien, amenez-le. Il a manqué sa place dans la ligne. Très bien.

40.       Maintenant, que le Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, soit miséricordieux et bénisse chacun. Maintenant, pendant qu'ils s'alignent, nous allons commencer immédiatement, si possible, avec la ligne de prière. Et la dame…

            Je me demande, pour celui qui est peut-être étranger parmi nous, que pensez-vous que Jésus ferait, si cette dame se tenait devant Lui ? Il est le même hier, aujourd'hui, et éternellement. Si elle vient pour la guérison, je l'ignore. Mais supposons qu'elle ait un - un - un mal de tête ou quelque chose qui cloche chez elle. Supposons qu'elle ait un cancer, et qu'elle doive mourir sans délai, mais que le Seigneur Jésus soit ici. Elle monterait, Jésus lui dirait : "Maintenant, pour ce qui est de te guérir, Je l'ai fait quand Je suis mort pour toi. Crois-tu cela ?" dirait-Il.

            Et elle dirait : "Je le crois."

            Il dirait : "Crois-tu que Je suis le Fils de Dieu ?" Ou quelque chose comme ça.

            Elle dirait : "Je le crois."

            Puis, si elle a peut-être quelque chose qui cloche, peut-être elle a fait quelque chose qu'elle n'aurait pas dû faire, alors Il dirait : "Va arranger cela et tu vivras." Vous voyez ? Ou peut-être quelque chose dont Il voudrait lui parler, Il le lui dirait. Mais pour ce qui est de la guérir, Il l'a déjà fait. C'est juste. Ou pour ce qui est de sauver le pécheur qui est ici, homme ou femme, Il vous a déjà sauvé. C'est à vous de recevoir cela. Maintenant, que le Seigneur soit béni tandis que nous prions.

41.       Je voudrais parler à cette dame. Combien sont ici pour la première fois, vous qui n'avez jamais été dans l'une de mes réunions auparavant ? Faites voir vos mains. C'est partout. Eh bien, il y en a un bon nombre. Et je - j'apprécie votre présence ici. Et vous en avez entendu parler, peut-être, comment cela se passe donc par des visions. Et je vais vous demander une chose pendant que ceci se passe, je vous prie d'essayer d'être respectueux. Ayez simplement du respect pour le Seigneur Jésus-Christ. Soyez simplement respectueux. Ne quittez pas votre siège. On ne me laisse pas rester trop longtemps car c'est un - un état  subconscient. Vous voyez ? Et cela… Je ne peux pas rester trop longtemps. Le manager et les autres me prennent. Soyez donc respectueux.

42.       Maintenant, vous souvenez-vous que lorsque Jésus a parlé à la femme, Il voulait découvrir ce qu'était son problème ? Il lui a parlé, à la femme au puits. Et Il a dit : "Apporte-Moi à boire", pour entretenir la conversation.

            Et elle a dit : "Il n'est pas d'usage qu'un Juif demande pareille chose aux Samaritains."

            Il a dit : "Si tu savais à qui tu parlais, c'est toi qui Me demanderais à boire." Il a continué et a poursuivi la conversation jusqu'à ce qu'Il découvrît où se trouvait son problème. Il a dit : "Va chercher ton mari."

            Elle a dit : "Je n'en ai pas."

            Il a dit : "Tu en as eu cinq."

            Elle a dit : "Eh bien, je vois que Tu es un prophète." Elle a dit : "Nous savons que le Messie viendra."

            Il a dit : "Je Le suis."

            Elle a couru dans la ville et a dit : "Venez voir un homme qui - qui m'a dit tout ce que j'ai fait." Eh bien, elle était agitée. Il ne lui a pas dit tout ce qu'elle avait fait. Il ne lui a dit qu'une seule mauvaise chose qu'elle faisait. Et, s'Il pouvait lui dire une chose, Il pouvait tout lui dire. Ne le pensez-vous pas ? Certainement.

            Il a parlé à Philippe, Il savait qui il était. La femme qui toucha le bord de Son vêtement, Il regarda dans l'assistance et dit : "Ta foi t'a sauvée de cette perte de sang." Eh bien, Il est le même Jésus ce soir, n'est-ce pas ? Croyez-vous cela ?

43.       Maintenant, tandis que je parle à cette dame, je… C'est seulement dans ce but, juste pour découvrir ce qu'est son esprit. C'est donc comme s'il y a une bobine au ciel ; nous l'appellerons ainsi ; ce n'est pas comme cela. Mais c'est comme s'il y a une bobine au ciel, et dans cette bobine tout ce qu'elle a fait se trouve, juste là devant Dieu. Et ce que… la fin de sa vie se trouve juste devant Dieu. Maintenant, alors Dieu peut me montrer ce qu'elle a fait, et elle saura si c'est vrai ou pas. Il peut donc me montrer le futur, et s'Il le fait, et si elle sait que c'est vrai, elle aura la foi pour croire ce que - ce qui sera dit comme étant la vérité. Vous voyez ? Et vérifiez chaque cas, chaque fois, c'est toujours parfait. Voyez-vous ? En effet, il ne s'agit pas de cet humble et pauvre homme ignorant qui est ici, il s'agit du Seigneur Jésus-Christ. C'est juste.

44.       Maintenant, sœur, je suppose, ne vous connaissant pas, que nous sommes des inconnus l'un à l'autre. Je ne vous connais pas, à ce que je sache. Nous sommes des inconnus l'un à l'autre, n'est-ce pas ? Je suis - je suis ici en tant que votre frère pour essayer de vous aider. Et Dieu sait que je ferais n'importe quoi qui est en mon pouvoir pour vous aider. Mais - mais maintenant, n'étant qu'un homme, eh bien, c'est très insignifiant ce que je pourrais faire, je ne suis que votre frère dans le Seigneur Jésus. Et Dieu a fait des dons à l'Eglise, afin que nous puissions nous entraider. Croyez-vous cela ? Vous êtes une chrétienne. En effet, votre esprit est le bienvenu. Vous êtes une chrétienne. Et croyez-vous que le Seigneur Jésus peut me révéler votre problème, si nous sommes des inconnus ?

            Maintenant, vous êtes - vous êtes consciente qu'il se passe quelque chose. C'est - c'est cet Ange de Dieu dont on a la photo ici. Vous voyez ? C'est exact. Vous n'étiez jamais entrée en contact avec Lui auparavant. Mais vous savez qu'il se passe quelque chose ; ce n'est absolument pas un être humain qui se tient ici.

            Et vous n'êtes pas de cette contrée-ci. Vous venez de loin. Et vous venez d'une contrée où il y a beaucoup de lacs, le Wisconsin. Il m'arrive de passer par certains endroits. Vous veniez ici et je savais à quel endroit vous vous trouvez. Vous êtes… Vous êtes venue avec quelqu'un. Vous êtes - vous êtes ici avec quelqu'un. C'est un homme. Il est plutôt corpulent, et il perd un peu les cheveux ici devant. C'est un homme qui a la tête tournée vers moi maintenant, à ce qu'il paraît, je dois le connaître. Vous souffrez d'une grosseur, et vous avez perdu le sens de l'odorat. Vous ne sentez pas les odeurs. Approchez.

45.       Ô Seigneur, je Te prie de restituer à notre sœur ce que Satan lui a ravi. Et que Ta miséricorde soit avec elle maintenant, tandis que je maudis l'ennemi qui lui a fait cette chose, et qu'elle soit guérie ce soir. J'ordonne à ce Satan de partir d'ici, de son corps, et qu'elle soit libérée sur base des ordres de Jésus-Christ qui a dit : "En Mon Nom ils chasseront les démons." Quitte-la donc, Satan. Amen.

            Cela pourrait vous sembler étrange en ce moment, mais vous êtes guérie. Je n'ai rien pour voir là où… vous permettre de vous prouver à vous-même que vous avez le sens de l'odorat. Mais vous savez que quelque chose s'est produit dans votre nez. Vous sentez quelque chose d'un peu drôle. N'est-ce pas juste ? Ce sont les odeurs de l'air et votre sens de l'odorat est là, et vous êtes guérie. Vous pouvez continuer votre chemin en vous réjouissant, et être bien portant. Que Dieu vous bénisse. Eh bien, mon humble prière est que le Seigneur soit béni et magnifié.

46.       Bonsoir, madame. Je suppose que vous et moi nous sommes des inconnus l'un à l'autre. Seul le Seigneur Jésus nous connaît, car Il nous a nourris, Il nous a bénis. Le Saint-Esprit se tient entre vous et moi, mais et aussi, il y a une ombre sombre, très très sombre juste au-dessus de vous. C'est suspendu près de vous. La chose en question, c'est - c'est la mort. Vous êtes allée chez un - des médecins, oui, et ils ont un… Je vois le médecin se retourner, un homme plutôt trapu, tout en secouant la tête. C'est le cancer. Et il vous a abandonnée ; cela a rongé votre système. Approchez.

            Seigneur Jésus, je condamne ce démon, sur base des souffrances que Jésus-Christ a endurées pour les autres, et je chasse d'elle la mort, et que la vie entre dans son corps ce soir. Et sur base de la promesse du Seigneur Jésus-Christ, je lui impose les mains pour lui confirmer cette Parole qu'Il a dite : "Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris."

            Seigneur Jésus, je crois Ta Parole, et je condamne la mort qui est suspendue près d'elle et ordonne à cela par Jésus-Christ de quitter. Amen. Allez droit vers votre témoignage, en remerciant Dieu, et en Le louant de tout votre cœur, allez-y. Que le Seigneur soit béni et magnifié. Croyez simplement maintenant de tout votre cœur. Vous pouvez recevoir exactement ce que vous demandez.

47.       Vous souffrez des nerfs, n'est-ce pas, madame, vous qui êtes assise là ? Seulement vous avez des crises de nervosité qui vous donnent l'impression de perdre la tête. Des fois, Satan vous dit que vous avez franchi la ligne. Vous avez pratiquement été nerveuse toute votre vie. Vous aviez une espèce de frayeur quand vous étiez petite, juste une fillette. Et à présent, voici que je vous vois essayer de faire quelque chose qui est - de faire des lits ou quelque chose comme ça, vous êtes si nerveuse que vous devez aller vous asseoir. Mais vous avez prié. Vous avez cherché à être guérie. Quand on priait pour cette dame-ci tout à l'heure, vous avez senti quelque chose d'étrange vous parcourir. Est-ce la vérité ? Si c'est le cas, levez la main. Si c'est vrai, je vous ai dit la vérité, je ne vous ai jamais vue. Vous êtes juste une dame qui est venue là et qui s'est assise. Je vous dis cela au Nom de Jésus-Christ, vous êtes guérie. Rentrez chez vous. Vous êtes bien portante. Amen. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez.

48.       Très bien, voulez-vous amener ce garçon ? Croyez maintenant, ne doutez pas. Ayez foi en Dieu. Et maintenant, que tout le monde soit respectueux. Ce soir, il y a l'épilepsie dans la salle, je n'arrive pas à repérer cela. Mais il y a un épileptique ici, et ç'a toujours hanté cela, car c'est une chose terrible. Voyez-vous ? Et je - je sais que Dieu va guérir cela, si seulement nous Le laissons me dire où ça se trouve. Vous voyez ? Et c'est très désobéissant. Maintenant, que tout le monde soit respectueux car ces esprits vont d'une personne à une autre. Vous savez cela. Ce sont les Ecritures qui le disent. Vous voyez ? Ainsi donc, soyez respectueux.

49.       Et un… Amenez le garçon. Bonsoir, jeune homme. Crois-tu que je suis le serviteur de Dieu ? Crois-tu que le Seigneur Jésus-Christ est le Fils de Dieu et que je suis Son serviteur ? Est-ce juste ? Et Dieu a envoyé le Seigneur Jésus sur la terre afin qu'Il puisse nous accorder le désir de notre cœur, c'est-à-dire être libérés du péché, libérés de la maladie, libéré des soucis. Est-ce que… Nous sommes des inconnus l'un à l'autre, jeune homme, je pense, n'est-ce pas? Nous… C'est la première fois que nous nous rencontrons. Tu n'es qu'un gamin, à peu près comme mon fils qui se tient là derrière. Tu as des gros ennuis, jeune homme. Crois-tu que je suis Son prophète ? Tu as un mouchoir en main, destiné à l'amie la plus chère que tu as sur la terre, ta mère qui est mourante. Tout va mal en elle. Elle souffre d'un durcissement du foie. Le médecin a déclaré qu'il n'y avait plus rien à faire. Elle a la leucémie, le cancer du sang. Tu as aussi un petit frère malade à la maison. Et tu cherches le baptême du Saint-Esprit, n'est-ce pas, jeune homme ? Donne-moi ton mouchoir et approche, mon frère.

            Ô Dieu, j'implore miséricorde. Que Ton Esprit vienne, ô Dieu, tandis que ce jeune homme se tient ici, implorant miséricorde. Je tiens ce mouchoir dans mes mains. Je prie que cela guérisse ceux à qui il est destiné, et que notre frère se réjouisse et soit heureux, sachant que Dieu a fait la promesse. Et je condamne

l'esprit de mort qui est suspendu sur sa mère, et qu'elle se rétablisse ainsi que ses bien-aimés. Et que notre frère reçoive le désir de son cœur. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            N'aie pas peur, jeune homme. Tu sais ce qui est arrivé, tu peux donc partir maintenant, en te réjouissant et en remerciant Dieu. Que Dieu te bénisse donc. Très bien.

50.       Oh, comme c'est merveilleux de croire au Seigneur Jésus ! Qu'y a-t-il, mère, vous qui êtes assise là. La dame un peu corpulente qui me regarde et qui essuie les larmes de ses yeux ? Croyez-vous que je suis Son prophète ? Vous voulez guérir de cette maladie du côlon dont vous souffrez ? Levez-vous alors ?

            Seigneur Jésus, au Nom de Ton glorieux Etre, je condamne ce démon qui tourmente cette femme. Qu'il la quitte ; d'une manière ou d'une autre, sa foi T'a touché, Seigneur. Tu m'as fait tourner vers elle et Tu as révélé ce qu'elle avait. Et je prie, ô Dieu, que sa foi ne faillisse pas. Si Tu es si bon envers elle, que sa foi s'élève en cet instant et qu'elle soit guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Ayez simplement la foi. Ne doutez pas, croyez de tout votre cœur.

51.       Bonsoir, madame. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Et croyez-vous que vous vous tenez maintenant dans Sa Présence, et que la puissance de résurrection du Seigneur Jésus-Christ est ici? Maintenant, nous sommes des inconnus l'un à l'autre. Nous ne nous sommes jamais rencontrés. Et je ne vous ai jamais vue, mais Dieu sait tout à votre sujet, n'est-ce pas ? Il sait tout à mon sujet. Je ne fais qu'engager la conversation avec vous, comme le fit notre Seigneur avec la femme au puits et ainsi de suite. Et croyez-vous qu'Il est - qu'Il va vous rétablir ? Si je dis la vérité (je parle des Ecritures), et si je dis la vérité, alors Dieu rendra témoignage à cette vérité. Et si c'est personnel, quelque chose vous concernant… Maintenant, ceci est la Vérité, la Bible. Mais maintenant, il pourrait y avoir quelque chose dans votre vie au sujet duquel la Bible n'a rien dit.

            C'est comme Josaphat, quand il est allé et a fait alliance avec Achab, il est allé dans le désert et ils ont eu des ennuis, il a dit… Ils avaient avec eux l'Arche de l'Alliance. Ils avaient tous les écrits des prophètes. Ils avaient toutes les lois avec eux, mais ils ont dit : "N'y a-t-il pas un prophète quelque part que nous pourrions consulter pour savoir ce qui ne va pas?"

52.       Eh bien, vous êtes une chrétienne, vous êtes une croyante. Et c'est ce qui fait de vous un chrétien, quand vous êtes un croyant. Maintenant, vous croyez cette Parole, mais vous désirez quelque chose comme un élévateur spirituel pour amener votre foi à s'élever. Vous êtes… Vous avez besoin d'un élévateur spirituel, c'est juste. Maintenant, une chose, vous souffrez des reins. Et la chose suivante que vous avez, vous avez un… une sorte de grosseur. C'est au niveau de la poitrine et vous avez des nerfs du visage paralysés. Et cela a été provoqué par un accident, comme un taxi ou quelque chose comme ça, un taxi. Oui. Et cela… et cela vous a causé une lésion au niveau de la colonne vertébrale. C'est là que vous avez eu ce nerf sectionné. Est-ce vrai ? Vous ne le saviez même pas. Mais vous saviez que vous aviez connu un accident. C'est juste. Vous y êtes. C'est cela. C'est… Ce n'est pas le cancer. C'est juste une tumeur en dessous de l'os de l'épaule de ce côté, sur votre flanc gauche.

            Le Dieu Tout-Puissant qui se tient ici, qui connaît votre état, sait ce qui est la vérité. Croyez-vous que Dieu va remettre en place cette colonne vertébrale et vous libérer ce nerf qui est coincé ? C'est… Que dites-vous… ? Approchez juste une minute.

            Père miséricordieux qui a créé les cieux et la terre, qui a fait toutes choses par Jésus-Christ Ton Fils, restitue donc la bonne santé à cette pauvre petite femme qui se tient ici et qui est désespérément dans le besoin, qui doit être secourue. Dieu Tout-Puissant, je Te prie de lui accorder cette bénédiction. Que l'ennemi la quitte et qu'elle soit bien portante. Et en tant que Ton serviteur, je lui impose les mains ; je condamne cet ennemi et que cela la quitte. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, sors d'elle, Satan, pour la gloire de Dieu, pour l'accomplissement de la Parole du Seigneur Jésus, qui ne peut faillir. Tu es vaincu. Tu n'as aucun droit légal. Jésus-Christ t'a dépouillé et tu n'as plus aucun droit légal pour la retenir. Quitte-la donc au Nom de Celui qui est mort pour elle, notre Seigneur Jésus. Amen.

53.       [La sœur parle à Frère Branham. - N.D.E.] Certainement. Certainement. Je ne pouvais pas le savoir. Je veux que vous… Ce… Sœur, maintenant ce que vous… Je ne saurais vous dire ce que Dieu veut que vous fassiez. Qu'Il vous commissionne pour ce que vous devez faire. Je suis juste ici en train de voir… Je ne peux dire que ce qu'Il m'a dit. Il m'a dit ce qu'il en était de vous et c'est vrai. Vous allez être rétablie. Je sais cela. Il vous dira ce que vous devez faire après que vous serez retournée. Que Dieu vous bénisse. Allez en vous réjouissant.

            Je ne saurai pas à quel moment Il vous le dira, sœur. C'est quelque chose qu'Il ne m'a jamais dit. Il m'a juste dit cela et c'est tout ce que je sais faire. Je le ferai certainement. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Merci. C'est réciproque.

            Gloire à Dieu. Je… et… une chose, je demande… Vous voyez, si je le disais à la femme, j'ai une idée, mais Dieu le lui dira. Il ne me permettra pas de dire cela car, si moi, je le lui dis, ce sera un homme. Si Lui le lui dit, c'est Dieu. Ecoutez toujours ce que Dieu dit. Si elle a un parent ici et qu'elle ne voudrait pas que cela soit connu, voyez-moi et moi, je vous dirai où elle sera appelée. Vous voyez ? Mais je veux que Dieu le lui révèle. Très bien. C'est du moins ce qu'Il a dit qu'Il ferait. Très bien.

54.       Si vous le demandez au Seigneur Jésus à l'instant, le mal de dos vous quittera, et vous rentrerez chez vous et serez bien portante. Le croyez-vous? Demandons-le-Lui.

            Notre Père céleste, je Te prie de guérir notre sœur, et qu'elle parte d'ici ce soir bien portante au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, partez en croyant, sœur, vous allez être bien portante. Que Dieu vous bénisse. Disons grâces soient rendues à Dieu.

55.       Croyez-vous, sœur, de tout votre cœur ? Cette dame de couleur assise juste là, vous souffrez de l'arthrite. Et elle souffre de maux de tête. Et croyez-vous que le Seigneur Jésus va aussi vous rétablir, madame, vous qui êtes assise là ? Et croyez-vous que le Seigneur Jésus vous rétablit de cette arthrite ? Seigneur Dieu, au Nom de Jésus Ton Fils, je condamne ces maladies et j'ordonne qu'elles quittent ces gens au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen.

            Maintenant, très bien, cela vous a quittée, sœur. Maintenant, partez en vous réjouissant et en disant : " Merci, Seigneur Jésus." C'est juste. Maintenant, vous rendez-vous compte combien vous pouvez marchez mieux ? Maintenant, revenez encore par ici. Revenez. Soulevez le pied comme ceci, vous voyez ? Comme ceci. Vos - vos genoux, pliez vos genoux. Voyez-vous ? C'est là où ça se situait, c'était dans les genoux. N'est-ce pas ? Vous voyez ? Très bien. Vous êtes guérie. Voyez-vous ? Amen. Disons : "Gloire à Dieu !"

56.       Croyez-vous que je suis prophète de Dieu ? Voulez-vous être guérie de cette maladie de femmes ? Levez la main, dites : "Je T'accepte, Seigneur Jésus."

            Seigneur Jésus, je lui impose les mains pour accomplir Ta Parole et j'ordonne à ce démon de la quitter au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Puis-je vous parler juste un instant loin de ce microphone ? Par ici. [Frère Branham s'entretient avec la sœur loin du micro. - N.D.E.]

57.       Il n'y a rien d'immoral, juste… Voulez-vous attendre juste une minute, madame ? Cela… Il se peut qu'elle ait des amis ici, qui penseraient qu'il y a quelque chose que je ne voudrais pas qu'on sache. Il s'agissait juste de quelque chose qui est arrivé à un moment donné, quelque chose que seuls elle et Dieu se tenaient là pour voir cela, et est-ce la vérité, madame ? C'est l'exacte vérité. Là où ça se tenait, et je ne pouvais pas le dire devant un auditoire mixte. J'ai eu une vision de ce qui s'est passé et je l'ai appelée ici à côté pour le lui dire. Et il n'y avait personne, nulle part dans les environs ; elle ne l'a dit à personne ni rien à ce sujet, juste à cet endroit et quand cela est arrivé, cela se produisait. Est-ce juste, madame ? Si c'est juste, agitez la main pour que les gens le sachent. Voyez-vous ? Elle va très bien. Elle est guérie. Elle - elle va très bien. Dieu l'a bénie.

58.       Vous vous sentez un peu mieux aujourd'hui, n'est-ce pas ? Hier soir, vous étiez assise là, croyant. N'est-ce pas juste ? Vous avez été guérie hier soir, sœur. Votre foi vous a guérie de cette… ?…

            Croyez-vous que Dieu va ôter de vous cette raideur ? Vous… Il l'a fait. Vous n'aurez plus à descendre du lit d'un côté le matin. Vous en êtes guérie maintenant. Traversez le plancher en vous réjouissant. Amen. Disons : "Gloire à Dieu !"

59.       Croyez-vous que le Seigneur Jésus va vous aider en ce moment où vous vous inquiétez ? Vous craignez que ce bébé ne naisse normalement, car vous craignez de le perdre. N'est-ce pas juste ? Je ne lis pas votre pensée. Mais Dieu est ici Lui qui connaît toute chose. Vous avez peur de le perdre. Mais demandons à Dieu, et Il le préservera, et qu'il naisse un bébé mignon. Que Dieu vous bénisse, pendant que je vous bénis en Son Nom.

            Seigneur Jésus, que tout aille bien pour notre sœur qui a la foi pour s'avancer devant cet auditoire ce soir, confessant sa foi dans la puissance du Dieu Tout-Puissant. Puisse cet enfant être normal et que tout se passe bien. Je la bénis dans ce but, au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur.

            Cette dame craignait une fausse-couche et le bébé était… n'avait jamais bougé. Et dès que j'ai pris sa main, juste à l'instant, elle a sursauté et m'a saisi, elle a dit : "Mon bébé a bondi pour la première fois, juste à l'instant…" Ayez la foi.

60.       Notre Seigneur Jésus-Christ qui dirige et qui règne souverainement, rien ne peut L'enfermer. Il est l'Alpha, l'Oméga, le Commencement et la Fin, Celui qui était, qui est maintenant, qui vient, la Racine et le Rejeton de David, l'Etoile du matin. Il n'y a rien, aucun endroit, aucun âge, aucune façon, qui puisse subsister devant Lui.

            Voulez-vous guérir de cet eczéma, la dame assise là, en robe sombre, assise juste là, de cette irruption d'eczéma ? Si vous croyez que Dieu va vous guérir, Il le fera. Croyez-vous qu'Il va le faire ? Croyez-vous qu'Il va vous rétablir ? Que Dieu vous bénisse, ma sœur. Cela va vous quitter.

61.       La dame assise là à côté de vous s'inquiète au sujet de son fils. Il va subir une opération samedi prochain. Levez-vous juste une minute ; je voudrais prier pour votre fils.

            Seigneur Jésus, je condamne la mort qui est suspendue au-dessus de ce garçon. Dirige la main de ce médecin et que le garçon s'en tire bien portant. Au Nom de Jésus-Christ.

62.       Combien ici en ce moment veulent que Dieu les bénisse et les guérisse à l'instant même ? Voudriez-vous lever la main ? Gardez vos mains levées vers le Créateur. Je n'ai plus de force, mes amis ; c'est à peine si je puis me tenir ici. Et je sens mon manager me toucher au dos, ce qui signifie que je dois partir.

            Inclinez la tête. Ô Seigneur, Tu as dit qu'aucune maladie, à n'importe quel moment, ne pourrait résister à la prière de la foi. Et je Te demande à l'instant, tandis que cette puissance d'attraction du Saint-Esprit qui fait que la vertu et la force s'en vont, je demande que le Seigneur Jésus-Christ ressuscité, maintenant au Nom de Celui qui a fait la promesse, je condamne chaque maladie dans ce bâtiment. Que chaque personne qui est malade, chaque aveugle, chaque estropié, chaque sourd, chaque enfant malade… Et Satan, tu n'as aucun droit, c'est-à-dire tu n'en as plus, tu es exposé ici même depuis cette estrade. Tu as perdu tes droits légaux. Ton jour est terminé. L'Eglise du Dieu vivant entre dans le domaine de la foi et tu sais que tu es vaincu et que tu l'as été. Tu n'es qu'un bluffeur. Et tu as bluffé les gens suffisamment longtemps. Maintenant, en tant qu'Eglise du Dieu vivant, nous t'ordonnons selon les commandements de notre Seigneur Jésus-Christ, et moi, en tant que Son serviteur, ensemble avec cette église, nous t'ordonnons par le Dieu vivant et Son Fils Jésus de sortir de chaque personne qui est ici maintenant. Sors d'eux. Tu es vaincu et tu as perdu la bataille. Au Nom de Jésus-Christ.

E-1 Thank you, and just remain standing a moment while we speak to the--our heavenly Father.
Lord, we come to Thee now, to thank Thee for what Thou has done for us, for the measure of grace has been poured out upon us, that Thou has redeemed us by grace, and now we are sons and daughters of God through Jesus Christ, Who loved us and gave His own life for us. We once alienated from God without hope, without mercy, dead in sin and trespasses, going to an endless grave in a devil's hell, Christ died in our stead to reconcile us back to His Father as son and daughters. Our hearts are so grateful for this tonight. And Father, we pray that this will be a night long remembered because of His Presence.
We pray this prayer, because we know that it is in season, for Thou has said, "I will with thee, even in thee till the end of the world. The things that I do, shall you also, even greater for I go unto My Father."
And I know that we're praying right, because Thou has always desired to fulfill Thy Word. You watch over It to confirm It. And I pray that You'll grant this tonight, through the Name of Thy Son, Jesus. Amen.

E-2 How do you do? Good evening, friends. It is a privilege of being here again tonight, to minister in the Name of this most lovely Lord Jesus. And I just got up a little late just a few moments ago, we just--we got in time to hear this marvelous hymn of Brother Ekberg, "The Lord's Prayer." I tell you singing does something to me, especially like that. I certainly pray that God will bless our brother and keep him here on this earth, many, many years until the coming of the Lord Jesus to sing these wonderful hymns. He's a talent to the church.
I appreciate all the nice things that Brother Joseph has just said. I'm not worthy of those things that he said. 'Course, you know how a friend feels towards another. He loves me, and he says those things, and they come from his heart, and I appreciate them.

E-3 I see other singers, this lovely brother here that sang for us in the first part of the meeting, many other brothers setting close. And Brother Bosworth, I--I noticed him setting with us again, tonight. Have you a word for us tonight, Brother Bosworth?
That's Christianity, preferring your brother. Well, we will have him to preach for us tomorrow night then. If it's getting a little late, we'll have him to preach for us tomorrow night.

E-4 Brother Jack Moore, many of you has met him, a brother who stuck by with me like a real brother. I tell you, Brother Moore's not very much of a person to present himself. He's not--doesn't care about being seen. It's hard to get him up even to preach in one of the meetings. But a scholar, a brother, a diplomat, a preacher, a real brother is our brother Jack Moore from Shreveport, Louisiana. Many dangers, toils, and snares, we have already come, Brother Jack and I, side by side. Whether I'm feel good, whether I'm right, whether I'm wrong, whatever it is, Jack Moore's still my friend. That's a real friend. That's one whose...
Anyone can go with you when the--the crowds going, but wait till you're standing alone. That's when a real brother stands by you. And Brother Jack has proved to be that, through the many battles he's come with me. I love Brother Jack tonight, with undying Christian love. And some glorious day, he with all the rest, I expect to stand in God's heaven. When the last battle is fought, the smoke is dried up, the arms are stacked, the Bibles folded, the last prayer is said, the tables are shoved out, and we're all there at the wedding supper, you know, that's going to be a marvelous time. I look forward to that. I...

E-5 One of my manager's recently said, that in Canada where he was raised, our Brother Baxter, he said, "They had a little bicycle up there one time, and they was going to give every boy, or the boy that could ride a six inch plank, hundred yards, up in the air four feet, would win a new Schwinn bicycle." Said, "They had a little, sickly, type of a boy there, that they didn't think knowed very much about a bicycle. And all the other boys thought, 'Well, each one, they were special riders.' They'd go down in the city and get a basket of groceries, or a bag of groceries, never even touch their handlebars, swing around the corners, and through traffic, and come on home with it.' They said, 'My, that boy's always got his hands on the handlebars looking.' Said, 'Why, we can out ride that fellow.'"
They was all in the contest. He happened to be the last one. Every one of them fell off but him. He went right on to the end of the road. He won the bicycle. All the boys got around him to ask him, "Why--how did you do it?"
He said, "I tell you, fellows." Said, 'You all are much better riders than I am, but," said, "you made a mistake." Said, "You were looking down, trying to keep your bicycle on this board." Said, "I set my eyes to the end, and just kept looking at the end, and I held that steady."

E-6 If I had to look what's going on around me all the time, I might stray off the road too. But I look what's at the end, keep my eye there, I can be steady. Let friends forsake, and everything else goes wrong, and people say this, that, or the other, I'm looking to the end, down there. That's where, I got our eyes set, to this--this hour, when I meet my friend. When the battle's all over, and we're there... And just imagine when they have the table set, all the old veterans of the wars will set along this table. And I look down and see Saint Paul setting down there, and Peter, James, John, Brother Moore, and Brother Bose, and Brother Bosworth, oh, my, others of the veterans, and look along that table there, you know I--I--I just... You just reach across the table and squeeze one another's hand. That's going to be wonderful. No doubt, but a little tear will run down our cheek, once in a while for joy, then the King will come out in His beauty and His robes around Him, the One Who redeemed us, then talk about crying, talk about rejoicing. When we're setting there thinking the great battles we've been through together, and He will come down and wipe all the tears from our eyes, and say, "Don't cry no more; it's all over. We all here now; enter into the joys of the Lord."
That's going to be a wonderful time for me. I'm just--just look--looking to that all day long, and all night long. All the time, I look for that.

E-7 We're only going to be mortal once. This is the last time for all eternity we'll ever be mortal. This may be the last night that we're ever be mortal. Tomorrow we may be immortal. So let's do what we can for mortal beings, while we're mortal and can help them. Let's work while it's called day, for night cometh when no man can work. God doesn't forget His children.
And now, our time gets away quickly. Last evening, I--when I kinda got to myself, I was going down a street, and it was almost ten o'clock, and I felt very bad, because I'd kept you that long. I don't mean to do that.

E-8 Now, you've heard much gospel preaching tonight, and from ministers. And some of you have been setting now for--every since about six o'clock. And I don't want to keep you any longer. I'm not no speaker much. I want to read a Scripture, give a little testimony, start the prayer line, while you're praying.
I wish to say this. Today, I had the privilege of being at a place, some lovely home here in Chicago, just out riding around, and come to this place. I met a man that I've knowed for some time. He's just recently been converted, led a drunkard's life for a long time, backslider. And he come put his hands in mine, hand on my shoulder, fine brother, said, "Forgive me for doubting you."
And I said, "Well, what? Doubting me."
Said, "I was always a little skeptic, Brother Branham, until night before last." Said, "You'd come to the platform, and someone come up late."

E-9 Now, the best of the story I can remember, they come to him to get a prayer card. The prayer cards was done give out. They had a sick baby; they said... He said, "Well, I tell you." Said, "You just go in and set down." He might have give the people his seat. And said, "You just go in and set down, and you start praying; you don't need a prayer card. Just pray." And said, "Himself, he was suffering." And he walked back over... I believe it was rheumatism, arthritis, or something he said. He walked back over, and laid his head on the rail, and said, "God, speak to Brother Branham for that poor little sick baby."
And at that very moment, the Holy Spirit heard his prayer, moved me right out into the audience, and said--told the people who they were, where they were from, what was wrong with their baby, told them, within twenty-four hours the baby would be changed. And they met it in twenty-fours hours, and the father said, "The baby's just doing fine...?..." So he said...

E-10 Sometimes it might seem like, if you see something different. We got a regular routine, Christianity has; we just have to stay right in that routine or we're--we're not Christians. We have to believe just this a way or we're not Christians. That's--that's too bad we get that way. See? We must be flexible to the Spirit. Let the Spirit of God led us. Many things are strange.

E-11 Now, when you see something going on in the phenomenal realms, that you can't...?... find out, you try to understand it, you can't... You heard it read from the Bible; yet you just can't perceive it. Many people sometimes, said, "Well, it's--it's the devil."
That's what the Pharisees done. They seen Jesus looking at people, and perceiving their thoughts, and telling things that happened. Well, the--the strange thing it was, when they thought first, "Oh, that's just phychic." But when they found out that what He said come to pass... What He said, He was perfect, accurate. And another thing, the sick got well. Why, they couldn't understand that. So then they couldn't--they didn't just try to try to figure it out, they just said, "It's the devil, that's all." And then you try to say... They'd see His healing, and they said, "Oh, He--He's just... He's a devil."
And Jesus said, "If the devil can heal the devil, or cast our the devil, isn't his kingdom divided?" See?
They just don't try to set down and try to reason it out with God. They try to reason it with theirself, and you can't reason God. That's all. You got to believe God. God is not known by knowledge. No matter how many degrees you got, how many seminaries you went through, it doesn't amount to that. [Brother Branham snaps his fingers--Ed.] That's true. You know God by faith, not by knowledge. See? You can't know God by--by knowledge.

E-12 In the garden of Eden, there were two trees: One was knowledge and one was Life. And as long as man eat off the Tree of Life, he had Everlasting Life. The first bite he took from the tree of knowledge, he separated his fellowship from God, and every time he takes a bite yet, he destroys himself. He bit off gun powder; look what that does. He bit off automobile off the tree of knowledge; kills more of his comrades than all the wars does. He's got a hydrogen bomb bit off now. I wonder what he's going to with that? God don't destroy nothing; man destroys himself by knowledge. See?
I'm so glad that Tree of Life is still blooming, the Holy Spirit here, where one time It drove us away from the tree until there was--could be reconciled to God through a Blood sacrifice, and now the Holy Spirit's running us back to that Tree. I don't know how it's done. I just believe it; that's all. That's the way to do it: just simple faith.

E-13 Sometimes people look and they misunderstand. I don't know, the brother never explained. He might've thought, "Well, it's..." Here sometime ago, a person that didn't... You can understand what I mean by his feelings perhaps. Sometime ago, a person said--went to a healing service, and went down to Brother Roberts meeting, Brother Oral Roberts, a very fine brother, fine man, doing a great work for God. And he would come through and pray for the sick as they passed through the line. They asked this minister, said, "What do you think about it?"
Said, "Mass psychology."
And they went over to another brother that prays for the sick. Said, "What do you think about that?"
He said, "Just a lot of excitement."
So they sent him down to my meeting. Come back, said, "What do you think that?"
Said, "A polished up soothsayer."
Well, he's born to disbelieve. So that's all you can do. That's all. You can't get blood from a turnip, because it hasn't got any blood. So that's the way it is. You can't get faith from something there's nothing to get faith out of. That's exactly right. So it has to be God in here first, to make faith. Is that right? Just the same as there has to be blood in a turnip, to get the blood out. So I'm so happy, tonight, that God had mercy on me, to make me a believer in His Son, Jesus Christ.

E-14 I wish to read of Him just a moment. In the 2nd chapter of St. John, beginning with the 1st verse, I wish to read the first five verses:
And the third day there was a marriage in Cana of Galilee; and Jesus... and the mother of Jesus... (rather)... was there:
And both Jesus was called, and his disciples, to the marriage.
And when they wanted wine, the mother of Jesus said unto him, They have no wine.
Jesus said unto her, Woman, what have I to do with thee? mine hour is not yet come.
Here's to--what I want to your mind.
His mother saith unto the servants, Whatsoever he saith unto you, do it.

E-15 That's still good teaching, tonight. Whatever He saith unto you, do it. If He tells you, make ready for death, you get ready. If He tells you you're going to get well, you believe it. If He tells you that you're healed, you are. Whatever He says, you do it. Disbelieve it is sin.
Now, how marvelous we see Him. What a answer there to His mother. "What have I to do with thee? My time has not yet come."
But the mother immediately, knowing that you can't ask Jesus for anything, and He'd turn you down, said, "Whatever He says, you do just as He says."
"Obedience is better than sacrifice, hearken, unto the fats at rams."

E-16 I am reminded of a little testimony that I was telling to our Brother Joseph today, and he said, "Brother Branham, I would like to have that testimony." It comes to my heart now, just for a brief five minutes or so, and I will try to give it. It'll be on the tape.
Now, I watch every word (I have to) that I say, because here's, oh, eight or ten recorders setting here. There's your voice. See? You must be sure that every word's right, 'cause it's--once said, it's over.

E-17 I just suppose that many of you think, that a life of this type, is just a great glamour, and people patting you on the shoulders, and--and going along. "Well, everything's just roses," as we say, but very much contrary. It's the hardest, drug out life that a human ever lived. You not only have the individual. A lot of time fanatics coming and disagreeing and saying ugly things. I think the Lord permits that. It keeps you humble with them type people.
Just telling you that the Lord said, "If you don't do this, He's going to punish you. The Lord said, 'This and that.'" If the Lord wanted to talk to me, I'm on speaking terms with Him. He would tell me.

E-18 And many times they fix an auditorium, advertise in the paper, that I'm to be... I don't even know nothing about it, and then the people begin to call me and saying, "Well, Brother Branham, you're advertised in the paper." Oh, that hurts me. But here a few days ago, someone kept calling in home, and--and a meeting up in Pennsylvania somewhere, a lady having a meeting said, "I'm Brother Branham's co-worker; he will be here tomorrow night." And people gathered out, and ministers closed their churches. And said, "Well, I just got him on the telephone." Said, "He can't come until tomorrow afternoon at five o'clock." And then kept on day after day, stalling it off, and I don't even know the--never heard of her in my life. See? But that's the way it goes. So that hurts, but it's all right. It's all--God just makes me know, pray a little harder and keep a little closer to Him. It's a wonder I have a friend left, isn't it, under such as that? But my friends understand.

E-19 I tell this one thing, Christian people, don't worry about anything, just as long as God goes with you, everything else will just fall right into it's place, and just--it'll--it'll be--love. Just in your heart, pray till you love the Lord Jesus with all your heart, and you'll love every one of His people with all, and you'll love every sinner with all your heart. You'll love everybody, and the people will know that you love them. No matter how much you try to impersonate it, you can't do it. People knows better than that, especially spiritual minded people. They know better than that. And just love, that's the main thing. If I had one--one thing that I could say to the people tonight, any commandment to keep, just love one another; love the Lord Jesus, and everything will be all right. Just keep in love.

E-20 Now, inside life... It's no one but God alone, knows what you go through with. All hours of the night, I have prayed till I'd be so weak I couldn't hardly stand up, and unconscious, and walking the floor with a pillow in my hand, at night time, trying to sleep, thinking I was praying for the sick. Not only that, but inside of that, demons that's commanded... Sometimes, we hit hard places.
Here a few nights ago on the platform, after picking it up from my manager, and my boy and them, telling me of it, there was a blind man came to the platform. The man had sinned or something--something was wrong, and I just had prayer and started him away. Something said, "Stop the man." Well, I think if you ask for a miracle to be performed, sometimes like that, it hinders your prayer line. The rest of them are waiting then, as Brother Bosworth called it, "Spiritual hitchhikers." It's a--they expect... See? You must have your own faith. But when this man had did wrong, and you'll notice very careful, that in there...

E-21 For instance, if I was a doctor, and you came to me and you said, "Oh, doctor, I've got a terrible headache. It comes all the time, every day, and I just can't get rid of it."
And I'd give you a handful of aspirin, say, "Go on." or give you a hypo just to knock the headache, I'm not much of a doctor. No, I'm not. What I am, I'm just only trying to get rid of you, get you out of the office, or something on that order. A real doctor, if you go to him, and tell him you're having persistent headaches, He will say, "Come in, strip down. Get on the table." He will examine you and do everything. He will not give you nothing, till he find out what he's giving it for. He diagnoses a case, a real doctor, till he finds where the trouble is, and then he starts from there, He knows what he's working on then. If he just brushes you off, that's not much of a doctor.

E-22 Same thing, many times in praying for the sick, you notice the case that's come up. The real best way to do it would be to each case, not in mass meetings like this, in my home or office somewhere, where I could take the patient and find out just where the trouble lays. There's some cause for everything. And you'll--if you'll watch, it's very seldom you ever hear me rebuke a evil spirit. You realize gifts, like this, could cause you to lose out with God? Moses was a prophet, and he--God had entrusted him with power. And He told him to go out and speak to the rock. And instead of speaking to the rock, Moses got angry and smote the rock. And that broke every record of the Bible, right there. See? Because that was Christ. Christ wasn't smitten twice, He was only smitten once. But He had power to bring the rock--well, water from the rock, rather, whether it was God's will or not, 'cause he was a prophet.

E-23 Elijah, the young fellow, went bald-headed when he was a young man. The little children run behind him, and called him "old bald-head." And that angered that prophet, and he put a curse on those children, and two she bears killed forty-two little innocent children, because that prophet cursed those children in the Name of the Lord. That's not the nature of the Holy Spirit. See? But God dealt with him.
That same way, we have to watch what you're doing. When a patient comes, be careful. Sometime there's sin laying there. And if--if this person... Here stands Mr. John Doe. He went out, a few months ago; he was untrue to his family. He did something evil, and God let Satan put a curse on him to bring him back. Now, here he comes up on the platform, and I stand here and anoint him with oil: "Come out of him, devil." I might just scream as all till I get hoarse, and that devil will lay right there. Certainly, he will. The first thing it is, and if you had power of your own to take that curse off of that man, and him in that condition, that God put that on there for something else, and you come around and take it off... See what I mean? You have to be careful. Then you're in trouble with God, right away.

E-24 First thing you should do, was Mr. Doe, if he's sick, and something's wrong, and he can't live but a little while, is find our what's the cause. What's the will of God. Then when the vision produces and shows what Mr. Doe has done or has not done, then you see where the cause is, and what then... We know the cure is the Lord Jesus Christ. But we've got to know the cause, then you see the Lord Jesus lets you know that if Mr. Doe will make this right, the healing's there. Then you can say, "In the Name of Jesus Christ, the Son of God..." You can curse that disease that's on him. That power belongs to the church, and it can be done. But, otherwise, be careful what you're doing. That's the reason so many failed healing in the line; you must come to the line making confession, "God, search my heart; if I have sinned, forgive me. And if You... If anything I've failed to do, reveal it to me, and I'll make it right. I'll go do just what You want me to do." For there's bound to be some cause for that. Do you believe that? That's exactly the truth.

E-25 Now, just reminds me, I believe I was with Brother Bosworth. I think it was a meeting with him. I was in Dallas; I was flying home. Here's a little inside story. Many, many times, even papers has packed mystic things happening, and didn't know what had come to pass. I just right there when it--when it has happened. He will send me places.
For instance, here some time ago, said, it was over near at Denver, Colorado, where there was a man, that was setting in a wheelchair. Said... A mystic affair come out in the paper. I was praying; He sent me over there to pray for a baby. And the same day, I'd seen a vision of this baby where the--the little--the doctor came out of a--a place, and they had a Ford, little gray Ford. And he had this... And I went up, and as I opened the gate to go in, there was one of these old hoes laying beside the gate. And I went in; the lady met me at the door, and she took my hat and laid it on the bed, and there's a lady come with a--a red sweater on and set down. And the baby was dying. And then, another lady come in and set down with a brown coat on, and they taken my hat and laid it up on the television. And I went over and put my hands on the baby, and I looked and here He stood by my side. The baby got well.

E-26 Not long after that, three or four days after the vision, well, I was called to a place in Colorado, to a man that had TB. And I went to pray for him; something told me to go over and pray for him. And I got in the plane and went over. And after praying for that--that man, I don't know whatever happened to him. I was waiting for the plane, and I said, "I just... He... I just feel like I want to walk." And I was walking down this street going along, and I seen a doctor with a gray suit on packing a little... I thought "That fellow looks familiar to me." And I looked setting here, set--set a little gray Ford. I said, "It's a vision. That's what come the other day." See? And I seen--I said, "If he's... I'll watch him." He come out; I said, "Howdy do?" He spoke, got in the car, very polite, and I looked laying behind the gate, and there laid that hoe. I said, "This is it."
And I went to the door, knocked on the door, and a lady come to the door with the red sweater on. I said, "Howdy do?"
And she said, "Howdy do?"
And I--I said, "I'm a minister of the Gospel. Have you sickness?"
She said, "A baby."
I said, "It's laying in a bed to the left as you go in at the door. Described how..."
She said, "Where is your--your parish?"
And I said, "The world is my parish." I said, "My name is Branham." She never heard of me. I said, "May I have a prayer, for your baby?"
She said, "You may, sir." She said, "We are Christians here." I stepped in. She took my hat and laid it on the bed. Now, the other lady with the brown coat on hadn't come in. So I waited a hour. The lady wondered what all the waiting about. So it was a hour, the lady had not come in yet. And after while, when she come in she set down in the place where the lady with the red sweater on was supposed to be setting. So that wasn't right, and my hat was still on the bed. I couldn't tell them, but they had to do it. The Angel of the Lord wasn't there yet; that was a sign to me when to pray. And they was working with the baby, after while the--the lady picked up my hat and laid it up on the radio, on the television, then I walked over to the bed, said, "THUS SAITH THE LORD, the baby will live." Started reaching for it's mother and taking the covers off of him. That was it.
While they were weeping, I slipped out the door. They never knew who I was or nothing about it.

E-27 I was going down a street, and I thought I heard something squeaking, and it was a wheelchair. It was going right along in front of me. And it was a man in a wheelchair with a Bible, crying. And I seen him going along just rejoicing out of the wheelchair. I thought, "That's strange."
And I went down and stood to where there's a ten cent store. A street come this a way. I was over the other day looking at the place, never said nothing to nobody. And I looked at the place, and there was... And I--I seen... I thought, "Well, this is..." Stood there at the corner, and I heard that squeaking. Now, the--the vision hadn't been over twenty minutes, and the man come by, holding a Bible, weeping. I thought, "Well, here it is." I said, "Howdy do, sir?"
And the lady that was pushing him... I said, "What's the matter, sir."
He said, "I am..."
I said, "You've got a mighty fine book there."
And he said, "I believe every word of it."
And I said, "Do you believe it's contents all through?"
He said, "I do, sir, with all my heart." [Blank.spot.on.tape--Ed.]
And I said, "What's the matter."
Said, "The doctor has just discouraged me. I've been crippled up with arthritis. He tells me, I'll never again walk."
I said, "The contents of that Book said that there was a Man died that you could walk again."
He said, "The Lord Jesus?"
And I said, "Yes, sir. Do you believe that?"
He said, "I do."
I said, "Rise up from there. For THUS SAITH THE LORD, you shall walk." And the man jumped up, and they had a--they thought they had the Salvation Army on the corner. I run through the ten cent store, went out the alley, and back down the other way, and caught my cab, and went to the airplane. They don't know today, what ever happened. See? And that--that's right. They don't know nothing about it. See? It isn't for self glory, it's for the Lord Jesus Christ...?...

E-28 [Person in congregation speaks in tongues--Ed.] Lord Jesus Christ be blessed. I am--I believe now that I would start the prayer line just in a moment. And I trust that God will heal all the sick and the needy that's here tonight. May His blessings come upon all.
One little instance... I'm sorry I didn't finish what I was telling of Brother Bosworth. Brother Joseph wanted this. They was... I was coming from Dallas, coming home to Jeffersonville. And I, maybe, have time to get this. I was...
[Blank.spot.on.tape--Ed.] And they put me in that hotel down there, and a--that big hotel, I believe it's called Peabody Hotel. I couldn't afford to stay in a place like that, but the United Airlines put me in there, so I... The next morning, they said the plane would leave. They called us and said it would leave at eight o'clock. At six thirty, I was up and had some breakfast. I had some mail I'd answered, sick people give me cards, and little offerings, and so forth, and I'd answered them back that night, when I got in, and was going to drop it back in the mail with the handkerchiefs I'd prayed over. I started down the street. This has been about eight years ago, I guess. And I was going down the street, walking towards where I thought I'd find a mailbox. And all of a sudden, the Holy Spirit, said, "Stop."

E-29 And I noticed there was a fishing tackle and hardware store. And I just love fishing tackle. And a friend of mine just made me a present of a gun out there, and, oh, my, how those things... I just born for nature and I love it. And I--looking at those tackles, I--like that, to see that nobody was looking at me, and I bowed my head, I said, "Father, what did You want me to do?"
I kept waiting, waiting. I heard something say, "Turn and go back the other way."
I passed by the hotel; I walked, and I walked, and I walked. I looked at my watch; it was done past time for the limousine to leave to go out to the airport. I thought, "I'm late."
But something kept saying, "Walk. Go on. Keep walking."
I was way down by the river. Way out of Memphis. And I was walking along there, not knowing where I was going. It's not my business to know where You're going. It's obedience. I just kept on walking.

E-30 It'd just come a storm, you know, that night, and the--and the planes was grounded. So, oh, that morning... It was early spring, and the dew, you know, and so forth, on the roses that sweet smell of--of the rose, and the--the honeysuckle and things had--just had the air in aroma, so I was just enjoying going along there. Had my hand over my heart (not my Bible, didn't have It with me), My hand over my heart singing, "I'm so glad that I can say I'm one of them." Just singing that little pentecostal song, that I just learned from the pentecostal people over there, 'cause I hadn't been acquainted with them just a little while then. And I kept going on; there's a little colored house there, little bitty hut like. And hanging over the gate was a typical old Aunt Jemima, big woman, colored, fat. She had a man's shirt tied around here head like a handkerchief, hanging down her back, and she was looking like this as I come down the street. I was practically the distance of this when I noticed her, and I--I just quit humming. I was singing to myself. I just started to pass by, and I seen the tears running down her cheeks like this. And I passed by, and she said, "Good morning, parson."
I said, "Good morning, Auntie."
And I thought, "Parson. How'd she know I was a preacher." So I turned around, I said, "Auntie, pardon me, but how'd you know I was a parson?"
And she said, "Did you ever read in the Bible about the Shunammite woman, that--that wanted children and couldn't have any, and the prophet Elijah blessed her, and she had a baby?"
I said, "Yes, ma'am."
She said, "I's is one of them kind of women." She said, "And the Lord blessed me and give me a boy." And she said, "I raised him the best of my knowledge to serve the Lord." And she said, "To my sorrow, she--he got out among some bad company, and he taken a horrible disease, a social disease." And said, "And the doctors, it was too far gone, they could do nothing for him. They give him the penicillin, and everything, and the shots, and it didn't do any good." And said, "He's been unconscious now two days, laying in there, a dying, a backslider." And said, "I's prayed to the Lord." Said, "Parson, I washed over the board. I done everything to raise that boy to love the Lord, and it'd just break my heart to see if he has to die a sinner." And she said, "Last night, I prayed, and I said, 'Lord, won't You please send Your servant by here, or somebody that will help me to pray for this boy?' Said, 'Your doctor man says that he ain't going to wake up any more.'" And said, "I went to sleep on my knees." Said, "I dreamed that I saw a man wearing a light lead colored hat, with a light suit on, just you, exactly, coming down the street. And the Lord said, 'Here he comes.' And said--and said, "I woke up about three o'clock." And said, "I come on out here, and stood at the gate since three o'clock." And her back was still wet. She said, "I've been waiting here since three o'clock this morning for you to come along. And I seen you coming; the--the Spirit of the Lord told me, said,'Here he is.'"
I thought, "Well, bless the Lord."
She opened up the gate; she knew I was coming in. She opened up the gate, said, "Won't you come in?"
I said, "Thank you, Auntie." I took off my hat.

E-31 She opened up the door of the little old hut there, looked inside. It was clean. No rug on the floor, little old poster--iron poster bed to the right-hand side. There hung a sign on the wall, "God bless our home." no pin up pictures, "God bless our home." Rather have that than anything I know of, hanging on the wall.
I've been in king's palaces; I been in some of the most lovely homes the world's got. I never had it. And I felt welcome and good, but I really feel any welcome, than I did in that little colored house, where those colored people lived that morning. Walked in there, there was a fine big colored boy laying there, about eighteen, nineteen years old. He had the--the blanket in his hand, going "Mh-mh-mh." [Brother Branham makes a sound--Ed.]
I said, "What's the matter with him?"
She said, "For two days, parson, he said, 'He's lost.'" Said, "He's out on a great big deep sea, and it's dark, and he can't see nothing nowhere." Said, "That's all he talks about."
I said, "I'd like to talk to him."
Said, "He don't know nothing." Said, "That's all you can get out of him. He don't even know me."
I put my hand down on his feet, just as cold as they could be. Death had struck the boy, I really believe. I said, "The doctor said, 'He... '"
Said, "Yes, sir, he's done gone out of his head." Said, "He's been that way for two days. The doctor said, 'He will never wake up no more.'" Said, "I can't see my baby die like that." She walked over and kissed him on his head.

E-32 And brother, something happened in my heart. No matter how much disgrace he got into, how big he was, nothing about it. That was that mother's baby yet. And I thought, "If the love of a mother will reach down to there, the love of God will go beyond it." That's right, and that's true. I said, "Auntie, shall we pray?"
She said, "Yes, sir." She knelt down there.
I said, "Would you lead us in prayer?" And a prayer, I tell you I can hear it yet. That old saint of God on her knees, crying out to God to spare her boy. And listen, she didn't say nothing about healing.
I told her what my name was. She'd never heard of me. And I--I never told her what I done, what--of praying for the sick. I just told her that was my name. And she a--and a--she wasn't praying for him to get well; she was praying for God to save his soul. So she was just praying like that, "Lord, don't let my baby die like this. Let me--let me, his mammy, hear him say one time, 'Mammy, I'm saved, and going home to Jesus.'" She kept praying like that. When she stopped praying, we were both crying. I got up, set on the side of the bed. She just stayed on her knees. She said, "Parson, you pray now?"
I said, "Yes, ma'am." I got down. I admit I couldn't pray a prayer like hers, and I--I said, "Lord Jesus, my plane is gone, and You told me to keep walking. And I've walked till I come this far, and this is the only--only sign or anything that I know that You'd want me to stop. And if you made this poor woman, stand out here since three o'clock, surely this is the place You want me to stop." And I had a hold of the boy's feet.
And I heard him saying, "Mammy?"
She said, "Yes, honey."
Says, "It's getting light in the room." Another two or three minutes he was setting on the side of the bed.

E-33 I hurried out of the house real quick. Run down to get my plane. Thought we'd find how far I had to got, and I jumped in a cab, took off to the plane. When I got over there, said, "Last call." The plane had engine trouble and was setting there waiting for me for two hours and something. See, see?
I think of sovereign grace, the love of God that the faith of that poor, maybe, illiterate colored woman held that plane two and a half hours, till somebody could walk down there to the answer of a prayer of that poor old mother, probably couldn't read her name before her... God don't care how much education you got; He wants your heart.

E-34 About a year later, I passed through there on a train, and I stopped. And if any of you goes into Memphis, the train goes in this way, going west, and there's a--a little restaurant way up at the end. And I was--got out and started up to that restaurant, and there was a young red cap hollered, "Hello, Parson Branham."
I said, "Howdy, sir."
He come over there and took hold of my hand and trembling, the tears run down his eye, said, "Don't you remember me?"
I said, "I don't believe I do."
Said, "You remember one morning that the--that you come down to my house and prayed for me. I'd been unconscious about two days?"
I said, "Yes, sir. You the boy?"
Said, "Yes sir, I--I'm not only healed, but I's a Christian now." He said, "I--I's a Christian." That's our Lord Jesus.

E-35 When it's all over, the last prayer's done said, I preach my last sermon one of these days, if Jesus tarries, and I fold my arms to go to meet Him, I wonder what it'll be on the resurrection morning when I get to set down with those kind of people over on the other side, and we all set and talk awhile together, no hurry. But now's when we're in a hurry. Now's when we've got to work. The sun's a setting, friends. It ain't but a little while, till it's all going to be over. Then we'll see one another and enjoy the blessings of God throughout eternity. And there'll never be another prayer said for the sick people. There'll never be a sinner. There'll never be any hurry. There'll be no night. It'll be day forever. So let's press on now. And may the Lord Jesus reveal Hisself to each one of you here tonight, in such a way that you'll set your affections towards Jesus Christ and never change your course, but go straight towards Him all the time you're in this life's journey. Shall we pray.

E-36 Lord, Who made the heavens and the earth, when my poor Irish heart goes back to think of the things that I've seen Your wonderful hand do, too far along the road now, Lord, to think of turning around, getting an aged man. I pray that You'll keep me, Lord, in Your will. Never let me stray; let me stay close to You all the time. And wherever You want me to go, I want to go, Father. I want do and say just as You'd have me do and say. And for this service tonight, I submit myself to You. Here's Your poor, sick, children setting here; they're needy, Lord, some of them just as--as dying condition as the boy that I told about. Some of them are in horrible shape. Your servants, the doctor's done all he can do. And they're helpless, but not hopeless, Lord. You're still here. You're our hope. And I pray that You'll bless everyone tonight; give us of Thy Spirit. Many, Lord, in this building tonight, when they see that You're really here, that Your Presence is here, I pray that there'll not be a feeble one among us at the end of the meeting. May every sick person, crippled, afflicted, blind, whatever it may be, may they be healed. I ask in Jesus' Name. Amen.

E-37 These to be prayed over? [Brother Branham speaks with someone--Ed.] Where's the boy? What's the number of prayer cards, Billy? T? I got mixed up a little last night, calling just one at a time. We'll just call a group tonight. Let's call from a--hundred? Let's call from thirty-five to fifty. Who has T-35? Let's try from there, call out from fifteen from there on: 35, 36, 37, 38, in T's on up to 50. And while their lining up, shall the rest of us bow our heads just a moment?

E-38 Loving Saviour, in this box here, tonight, that's filled almost to the top with letters. Poor, sick, suffering people... Can imagine You going down the streets and seeing what took place in Jerusalem. Your heart was moved. When I see people here in the building, and look at night after night, boxes of letters coming, that's for someone at home. God, let Thy heart be moved again, Lord, with compassion. And may Your mercy just sweep over this box now. You see every letter, every handkerchief; You watched them when they was writing it; You're looking at it now. And may it be carried carefully and the Holy Spirit watching it, when it's laid on the sick, may they be healed. Grant it, Lord.
We may never see them in this life. Thousands we'll never see, but yet, we love them, Lord, because You loved them and gave Your life for them, and You was striped and stood against that post, that morning when those great lashes split your ribs. That was for their healing. It was not in vain, Lord. I can see the flesh quiver as those big balls of lead swept into Your side. It was not in vain. Lord, let me die preaching this. By Your stripes we're healed. Cold winds a blowing, and Peter warming himself at the fire, and Your precious back sticking to the old cross. No, it wasn't in vain. Every drop of Blood brought healing. And I pray, Lord, that the devil be defeated at every case here. May Jesus Christ be honored, for we send it for that purpose. In Jesus' Name. Amen.

E-39 Now, real slowly if we will, let's sing, "Lord, I believe." Just once, real slow now. Every one, if you will.
Lord, I believe, Lord, I believe;
All things are possible, Lord, I believe;
Lord, I believe, Lord, I believe;
My boy says that there's one card lacking in the line, prayer card T-37. Is that right, Billy? T-37, does anyone have T-37? It may be a deaf person. Look around. They maybe don't even hear their number called. Look at your neighbors card. Here's a lady, maybe, she's got something she stands in. Maybe... Has--has she got a prayer card, lady, setting next to her? She--is that--is that her number? It isn't. All right, someone that's a--would know the T-37? If it's in the building, why, bring them up. They missed their place in the line. All right.

E-40 Now, may the Lord Jesus, the Son of God, be merciful, and bless each one. Now, while their lining up, we'll get started right away if we can in the prayer line. And the lady...
I wonder to someone maybe who be strange with us, what do you think that Jesus would do if this lady was standing before Him? He is the same yesterday, today, and forever. If she's coming for healing, I don't know. But say, she's got a--a--a headaches, or she's got something wrong with her. Say, she's got a cancer, and she's going to die right away, and the Lord Jesus was here. She'd come up; Jesus would tell her, "Now, as far as healing you, I did that when I died for you. Do you believe this?" He'd say.
And she'd say, "I do."
He'd say, "Do you believe that I am the Son of God?" Or something on that order.
She'd say, "I do."
Then maybe there'd be something wrong with her. May she'd done something that you should not have done, then He'd say, "Go, make that right, and thou shall live." See? Or maybe it'd be something that He'd want to tell her about, He'd tell her. But as far as healing her, He's already done it. That's right. Or for saving the sinner in here, sinner man or sinner woman, He's already saved you. You have to accept it. Now, the Lord be blessed as we pray.

E-41 I want to talk to the woman. How many here for your first time, you've never been in one of my meeting before? Let's see your hands. Anywhere? Why, there's quite a number. And I--I appreciate you being here. And you've heard of it, perhaps, how it by vision now. And I going to ask you one thing, while this is going on, will you try to be reverent? Just have respects for the Lord Jesus Christ. Just respect. Just keep your seat. They don't let me stay too long, 'cause it's in a--a subconscious condition. You see? And it--I can't stay too long. The manager and them gets me. So be reverent.

E-42 And now, you remember when Jesus spoke to a woman, He wanted to find out what was her trouble? He talked to her, the woman at the well. And He said, "Bring me a drink." to carry the conversation.
And she said, "It's not customary for the Jew to ask the Samaritans such."
Said, "If you knew Who you were talking to, you'd ask Me for a drink." Went ahead and carried the conversation till He found where her trouble was. He said, "Go get your husband."
She said, "I have none."
Said, "You've got five."
She said, "Well, I perceive that You're a prophet." Said, "We know that Messiah is coming."
He said, "I am He."
She ran into the city, and said, "Come, see a Man that--that told me everything I ever done." Now, she was excited. He didn't tell her all she ever done. He just told one thing she was doing wrong. But if He could tell her one thing, He could tell her everything. Don't you think? Sure.
He told Philip, He knowed who he was. The woman that touched the hem of His garment, He looked out in the audience and said, "Thy faith has saved thee from that blood issue." Now, He's the same Jesus, tonight, isn't He. You believe that?

E-43 Now, as I speak to the lady, I--only for this purpose, just to find what her spirit is. Then there's like a reel in heaven; we'll call it way; it isn't that way. But like in heaven, there's a reel, and in this reel everything that she ever did is laying right there before God. And what--the end of her life lays right before God. Now, then God can show me what she has done, and she knows whether that'll be true or not. Then He can show me what is to come, and if He does, and if she knows that was true, she'd have faith to believe what--what will be said will be true. You, see? And check anyone, any time, it's always perfect. See? 'Cause it's not this poor, humble, ignorant man here; it's the Lord Jesus Christ. That's right.

E-44 Now, sister, I suppose, not knowing you, we become stranger to each other. I do not know you, as far as I know. We're strangers to each other, are we? I am--I'm here as your brother, to try to help you. And God knows, I'd do anything that I could to help you. But--but now, being just a man, well, it's very little I could do, only I'm your brother in the Lord Jesus. And God has give gifts into the church that we can help one another. You believe that? You are a Christian. 'Cause your spirit is welcome. You're a Christian. And do you believe that the Lord Jesus can let me know what is your trouble, if we're strangers?
Now, you're--you're aware that something's going on. That's--that's that Angel of God that they got the picture of It here. See? That's exactly. You've never come in contact with It before. But you know that something is going on; it's just not altogether a human being standing here.
And you're not from this country. You're from away from here. And you're from a country that's got a lot of lakes in it: Wisconsin. I just happen to pass some places. You were coming down here, and I knew where you are. You are--you come with somebody. You're--you're here with somebody. It's a man. It's a kinda a heavy set, kinda thinning hair here in front. It's a man's got his head turned to me now, seemingly, I ought to know him. And you're suffering with a growth, and you've lost the sense of smell. You can't smell. Come here.

E-45 O Lord, I pray that You restore to our sister what Satan has robbed her of. And may Thy mercies be with her now, as I curse the enemy that has did this thing to her, and may she be healed this night. I command that Satan leave out of here, her body, and she be made free by the orders of Jesus Christ, Who said, "In My Name they shall cast out devils." So you leave her, Satan. Amen.
It may seem strange to you, at this time, but you're healed. I have nothing to see where--let you prove to yourself that the sense of smell is to you. But you know that something has happened in your nose. You feel something kind of a funny. Isn't that right? That's odors of the air, and your sense of smelling is here, and you are healed. You can go on your road rejoicing and be well. God bless you. Now, the Lord be blessed and magnified is my humble prayer.

E-46 How do you do, lady. I suppose that you and I are strangers to each other. Only the Lord Jesus knows us, for He has fed us, blessed us. 'Tween you and I is the Holy Spirit, and also just above you is a shadow of darkness, real deep dark. It's hanging near you. What it is, it's--it's a death. You have been to a--doctors, yes, and they have a--I see the doctor turn, kind of a chunky built fellow, as he shakes his head. It's cancer. And he's give you up; it's eat you up through your system. Come.
Lord Jesus, I condemn this devil, through the vicarious suffering of Jesus Christ and drive death from her, and may life enter into her body this night. And the promise of the Lord Jesus Christ, I lay my hands upon her to confirm this Word to her that He said, "These signs shall follow them that believe. If they lay their hands on the sick, they shall recover."
Lord Jesus, I believe Your Word, and I condemn death that's hanging near her and ask it to leave through Jesus Christ. Amen. Go right to your testimony, thanking God, and praising Him with all your heart go. The Lord be blessed and magnified. Just believe now with all your heart. You can receive just what you ask for.

E-47 You have a nervous trouble, setting there, don't you, lady? Only you have spells of nervousness that makes you feel like that you're losing your mind. Satan sometimes tells you that you've crossed the line. You've practically been nervous all your life. You had a scary sort of that when you were a child, just a little girl. And now, here I see you trying to do something that's a--make beds or something, you get so nervous you have to go set down. But you've been praying. You've been trying to be healed. When this lady was being prayed for just now, you felt something strange come over you. Has that the truth? If it is, raise up your hand. If that's true, I have told you the truth, I never seen you. You're just a lady that's walked up there and set down. I tell you that in the Name of Jesus Christ, you are healed. You go home. You're well. Amen. Have faith in God. Don't doubt. Believe.

E-48 All right, will you bring this boy. Believe now, don't doubt. Have faith in God. And now, everyone be reverent. There's epileptic in the room tonight, I can't find it. But there's a epileptic here, and it's always haunts that, 'cause it's a terrible thing. See? And I--I know that God will heal it, if we'll just let Him tell me where it's at. You see? And it's very disobedient. And now, everyone be reverent, because them spirits go from one to another. You know that. That's Scripture. See? And so now, be reverent.

E-49 And a--bring the boy. How do you do, young man? You believe me to be God's servant? You believe the Lord Jesus Christ be the Son of God, and that I'm His servant? Is that right? And God sent the Lord Jesus to the earth, that He might give us the desire of our heart, that's free from sin, free from sickness, free from worrying. Do--we are strangers to one another, young man, I suppose, are we? We--this is our first meeting time. You're just a lad, about like my boy standing back there. You're in deep trouble, young man. You believe me to be His prophet? You got a handkerchief in your hand to go to the dearest friend you got on earth, your mother a dying. She's got everything wrong with her. She's got hardening of the liver. The doctor has announced that no more can be done. She has leukemia, cancer in the blood stream. You have a little sick brother at home, too. And you're seeking the baptism of the Holy Ghost, aren't you, young man? Give me your handkerchief and come near, my brother.
O God, I pray for mercy. Let Thy Spirit, O God, come as this young man stands here pleading for mercy. I'm holding this handkerchief in our hands. I pray that it'll heal those who it's intended, and may our brother be rejoicing and happy, know that God has promised. And I condemn the spirit of death that hangs over his mother, and may she get well, and his love ones. And may our brother receive the desire of his heart. I ask this blessing in Jesus Christ's Name. Amen.
Don't fear, young man. You know it's happened, so you can go now, rejoicing and thanking God. God bless you now. All right.

E-50 Oh, how wonderful to trust in the Lord Jesus. What's the matter, mother, setting there, the kinda heavy-set lady, looking at me, wiping the tears from her eyes? You believe me to be His prophet? You want to get over that colon trouble you're suffering with? Stand up on your feet then.
Lord Jesus, through the Name of Thy great Being, I condemn this devil that's tormenting this woman. May it leave her; her faith has touched You some way, Lord. You turned me to her and showed what was wrong with her. And I pray, God, that her faith will not fail. If You're that kind to her, may her faith reach up just now, and be healed in the Name of Jesus Christ. Amen. God bless you, sister. Only have faith. Don't doubt, believe with all your heart.

E-51 How do you do, lady. Do you believe me to be His servant? And you believe that His Presence, and now Who you are standing, that the resurrection power of the Lord Jesus Christ? Now, we are strangers to each other. We've never met. And I have never seen you, but God knows all about you, doesn't He? He knows all about me. I'm only getting the conversation with you, like our Lord did to the woman at the well, and so forth. And you believe that He's--would make you well? If I tell the truth, I'm talking of the Scripture. And if I tell the truth, then God will testify of the truth. And if it's personal, something concerning you... Now, this is the Truth, the Bible. But now, there may be something in your life, that the Bible hasn't said nothing about.
Like Jehoshaphat, when he went out and made an alliance with Ahab, went out into the desert and they got in trouble, he said... They had their ark of the covenant with them. They had all the writings of the prophets. They had all the laws with them, but they said, "Isn't there a prophet somewhere that we could consult to find out what's the matter?"

E-52 Now, you're a Christian, and you're a believer. And that's what makes you a Christian, is a believer. Now, you believe this Word, but there's something that you would like a spiritual lift to make your faith come up. You're--you need a spiritual lift that's right. Now, you are suffering, one thing, with a kidney trouble. And the next thing you have, you have a--some sort of a growth. It's in the chest, and you've got a paralyzed nerves in your face. And that's caused from an accident, like a cab or something, a taxi cab. Yes. And it's--and it's hurt you in the spine. You've got that nerve is cut loose here. Is that true? You didn't even know it. But you knew you had the accident. That's right. There you are. It is. It's--it's not cancer. It's just a tumor, down in below the shoulder bone on that side, on your left side.
Almighty God, Who stands here, Who knows your condition, He knows what is true. Do you believe God will move that spine back into it's place, and give you liberation, that pinched nerve? It's... What say...? Come here, just a minute.
Merciful Father, Who created the heavens and the earth, brought all things by Jesus Christ, Thy Son, then bring again, health, to this poor little woman standing here, desperately in need, must have help. God Almighty, I pray that You grant this blessing to her. May the enemy come from her, and may she be well. And with Your servant, I lay my hands upon her; I condemn this enemy, and may it go out of her. In the Name of the Lord Jesus Christ, come out of her, Satan, for God's glory, the fulfilling of the Word of the Lord Jesus which cannot fail. You are defeated. You have no legal right. Jesus Christ robbed you, and you have no legal right to hold her any more. So leave her, in the Name of the One Who died for her, even our Lord Jesus. Amen.

E-53 [The sister speaks to Brother Branham--Ed.] Certainly. Certainly. I wouldn't know. I want you to... That... Sister, now what you... I wouldn't tell you what God for you to do. Let Him commission you on what to do. I'm just here seeing... I can only say what He told me. He told me what, was what to you, and that is true. You're going to be well. I know that. He will tell you what to do after you get back. God bless you. Go rejoicing.
I wouldn't know when He would tell you, sister. That's something He never told me. He just told me that, and that's all I know how to do. I certainly will do it. God bless you. God bless you. God bless you. Thank you. That's mutually.
Praise be to God. I--and--one thing, I asking... See, if I would tell the woman, I have an idea, but God will tell her. He wouldn't let me speak it, 'cause if I tell her, that's a man. If He telling her, that's God. Always mind what God says. If she's got a relative here, and she would not make it known. You see me, and I'll tell you where she'll be call to. See? But I want God to make it known unto her. All right. That's at least what He said that He would do. All right.

E-54 If you'd ask the Lord Jesus right now, the back trouble would leave you, and you go home and be well. Do you believe that? Let's ask Him.
Our heavenly Father, I pray that You'll heal our sister, and may she go from here tonight, well, in Jesus Christ's Name. Amen. Now, go, believing, sister, you'll be well. God bless you. Let's say thanks be to God.

E-55 Are you believing, sister, with all your heart?
That colored lady setting right out there, you're suffering with arthritis. But she's suffering with headaches. And you believe the Lord Jesus is going to make you well too, lady, setting out there. And you believe the Lord Jesus makes you well with this arthritis? Lord God, in the Name of Jesus Thy Son I condemn these diseases, and ask that they leave the people in the Name of Jesus Christ, the Son of God. Amen.
Now, all right, it's gone from you, sister. Now, go rejoicing, and saying thank you, Lord Jesus. That's right. Now, you realize how greater you can walk? Now, come back this way again. Come back. Raise your feet like this, you see. Like this. You're--you're knees, bending your knees. See? That's where it was at, is in your knees. Wasn't it? See? All right. You're healed. See? Amen. Let's say, "Praise be to God."

E-56 Do you believe me as God's prophet? You want to get over the female trouble? Raise up your hand, say, "I accept You, Lord Jesus."
Lord Jesus, I lay my hands on her to fulfill Your Word, and ask that this demon leave her in Jesus Christ's Name. Amen. God bless you, sister. Could I talk to you away from the microphone, just a moment? Over here. [Brother Branham speaks with the sister away from the microphone--Ed.]

E-57 Nothing immorally, just--would you wait just a minute, lady? That... She might have friends here, thinking there's something I didn't want to know. It was just something that taken place in a time, that only her and God alone, was standing there to see it, and is it the truth, lady? Exactly the truth. Where it was standing, and I couldn't say it before a mixed audience. I seen a vision what was taking place, and I called her over here to aside to tell her. And there was no one, nowhere around; she hasn't told anyone or nothing about it, right at the place, and when it happened, that was taking place. Is that right, lady? If that's right, wave your hand so the people know. See? She's all right. She's healed. She--she's all right. God has blessed her.

E-58 Been feeling a little better today, haven't you? You're setting down there last night, believing. Wasn't that right? You were healed last night, sister. Your faith made your whole of that...?...
You believe God will take that stiffness out of you? You--He has. You won't have to slip out of bed in the morning on one side. You're healed now from that. Go on across the floor, rejoicing. Amen. Let's say, "Praise be to God."

E-59 Do you believe that the Lord Jesus is going to help you in this time that you're worried about? You've afraid that this baby won't be borned right, because you're afraid you're going to lose it. Isn't that right? I'm not reading your mind. But God is here Who knows all things. You're afraid of losing that. But let's ask God, and God will keep that, and may it be borned a lovely child. May God bless you, while I bless you in His Name.
Lord Jesus, may all things be all right for our sister, who has faith to walk up before this audience tonight, confessing her faith in the power of Almighty God. And may it be normal and everything well. I bless her for this purpose. In the Name of Jesus Christ, Thy Son. Amen. God bless you, sister.
The lady has been afraid of a miscarriage, and the baby has been--never moved. And when I took her hand, just now, she jumped and grabbed me, she said, "My baby leaped for the first time, just now..." Have faith.

E-60 Our Lord Jesus Christ, Who rules and reigns supremely. There's nothing can beset Him. He's Alpha, Omega, the Beginning and the End, He that was, which is now, and shall come, the Root and Offspring of David, the Morning Star. There is nothing, no place, no time, no how, can ever stand before Him.
Do you want to get over that eczema, setting there, lady, with that dark dress on, setting right down there, that breaking out, eczema? If you believe God will heal you, He will do it. Do you believe He will? Do you believe He will make you well. God bless you, my sister. It'll leave you.

E-61 The lady, setting there next to you, is worried about her boy. He's going to go under a operation this next Saturday. Stand up just a minute; I want to pray for your boy.
Lord Jesus, I condemn death that hangs with that boy. Guide that physician's hand, and may the boy come through well. In Jesus Christ's Name.

E-62 How many in here at this time, wants God to bless them and heal them right now, would you raise your hand? Hold your hands up to the Creator. My strength is gone, friends; I'm just can't hardly stand here. And I feel my manager touching my back, which means that I must go.
Bow your heads. O Lord, no disease, You said, that any time could stand before the prayer of faith. And I ask Thee, just now, as this strength of the pulling of the Holy Spirit making virtue and strength go, I ask that the resurrected Lord Jesus Christ now in the Names of Him Who gave the promise, I condemn every sickness in this building. Every person with a disease, every blind person, every crippled person, every deaf person, every sick child... And Satan, you have no rights, to say any more, you are exposed right here from this platform. You're legal rights are gone. You're day is finished. The Church of the living God is moving up into realms of faith, and you know that you are defeated, and have been. You're only a bluff. And you've bluffed the people long enough. Now, as the Church of the living God, we take charge over thee, by the commandment of our Lord Jesus Christ, and I as His servant, along with the church adjure thee, by the living God, and His Son Jesus, that you come out of every person here now. Go out of them. You are defeated and lost the battle. In Jesus Christ's Name.

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