L'ENSEIGNEMENT SUR MOISE

Date: 56-0513 | La durée est de: 1 heure 48 minutes | La traduction: Shp
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1.         Très bien, que Dieu vous bénisse, Frère Neville. Bon. Bonjour, mes amis. Il me faut de temps en temps regarder pour me rassurer si on est le matin ou le soir. Eh bien, je suis heureux d'être ici ce matin. Il fait chaud, et certainement qu'on a eu un accueil chaleureux. Nous ne sommes plus au printemps ; nous avons l'été et l'hiver ici, n'est-ce pas ? Tout semble aller de travers de toute façon.

            Eh bien, ce qui m'a fait arriver en retard, c'est que je - je nettoyais la maison. Et ce matin, j'avais des membres raides et endoloris. Et je me suis levé, ayant beaucoup de temps, mais je ne m'étais pas rendu compte qu'une femme avait beaucoup de travail à faire, on devait apprêter trois enfants et puis, aller à l'école du dimanche. Oh ! la la ! beaucoup de choses à faire, plus que je ne le pensais. Et je me suis dit : " Eh bien, alors… Hier soir il y avait du travail, et - et je - je suis revenu du champ missionnaire pour nettoyer la maison, je pense. Oh ! la la, n'est-ce pas une tâche difficile à accomplir? Hmm ! j'ai offert trente-cinq dollars par semaine à quiconque veillerait sur l'enfant, et personne ne voudrait faire cela.

3.         Il n'y a pas longtemps, j'ai reçu une coupure d'un journal…  Evidemment , ça n'a rien à faire avec cela. Il y est raconté qu'une espèce de politicien était là dans le Kentucky, il était écrit qu'il avait fait deux fois l'armée, il avait été trois fois blessé, comme un  héros, qu'il avait vécu comme un bon citoyen dans le quartier, il avait fait beaucoup de choses, il avait épargné la vie à deux enfants, l'un, de la rivière et l'autre, de quelque chose d'autre, j'oublie tout ce  qu'il a  eu à faire. Et  finalement, il s'est dit, eh bien, qu'on devait entretenir le quartier ; il a posé sa candidature pour une fonction. Et alors, sur cent mille personnes, il a eu cinq voix. Il a demandé au chérif s'il pouvait avoir un fusil à canon coupé pour se protéger en quittant le quartier, il a dit : " Il était même dangereux de vivre là-bas. " Il n'avait pas assez d'amis pour l'aider à sortir de la ville. C'est ça la reconnaissance des Américains malgré tout, n'est-ce pas? C'est vrai.  En Amérique, plus vous accomplissez des œuvres, plus on s'attend à ce que vous en accomplissiez. C'est Vrai, plus on en attend de vous.

4.         Eh bien, je - j'aimerais faire des compliments ce matin sur la propreté et la bonne tenue de l'église. Et quand je suis arrivé, il y avait une porte là pour permettre une meilleure circulation.  Ainsi, c'est vraiment agréable, je ne sais qui au conseil des administrateurs a initié cela. C'était certainement très agréable, et c'est un bon nettoyage. Je pense que c'est Frère Hall, si je ne me trompe pas, qui a initié cela. C'est du très bon travail. Maintenant, il se fait un peu tard, mais vous savez comment sont les gens de la sainteté. Voyez, on n'a pas un temps déterminé, n'est-ce pas, Frère Slaughter et Frère Deakman ? [ Les frères et les autres disent : " Non. " - N.D.E.] Nous prenons tout comme tel.

6.         J'ai eu des réunions merveilleuses dans le Sud, mais je n'ai pu prêcher que pendant quelques jours. J'avais prêché pendant quatre mois d'affilée, et je n'avais plus assez de voix même pour - même pour murmurer. Je devais simplement faire signe de la main à ma femme, vous savez, pour lui dire ce que je voulais, et c'est en quelque sorte… Et puis, après cela, en revenant ici où il y a cette espèce de temps hypocrite que nous connaissons (Eh bien, il fait froid un jour, il fait chaud le jour suivant), j'ai attrapé une forte - forte grippe comme dans le temps. Je me suis levé il y a quelques jours et j'ai repris. Ainsi donc, nous sommes malgré tout reconnaissant à notre aimable Seigneur, pour toute Sa bonté et Sa miséricorde envers nous, et - et combien Il est bon! Nous avons eu des réunions merveilleuses là-bas, et le Seigneur nous a infiniment, abondamment bénis.

7.         Et hier soir, vers minuit, frère Wood m'a appelé chez lui, et frère Arganbright était au téléphone, il voulait que je commence par la Suisse. C'est donc trop de déplacements pour un vieil homme. Ainsi donc, nos prochaines réunions commenceront le 11 du mois prochain au Cadle Tabernacle, à Indianapolis. Au - au Cadle Tabernacle, à Indianapolis, du 11 au 15. Et puis, de là, on va à-à Minneapolis, Minneapolis ; d'Indianapolis à Minneapolis, les Hommes d'Affaires Chrétiens.

9.         Eh bien, je pense que frère Neville m'a appelé et je voulais montrer mon-exprimer mon appréciation à son égard et à l'égard du trio Neville qui était venu chanter pour moi aux funérailles que j'ai tenues avant hier. Et j'avais demandé à frère Neville, je n'avais pas de chanteurs, la famille Liddick ; M. Liddick était rentré à la Maison, dans la Gloire. Et certainement que je… Si son fils… Je ne le vois pas ici ; plus tard, j'ai découvert que c'était un fils adoptif. Sachant que son père se mourrait non sauvé, il a accouru me chercher à la maison, avant, et son papa a été sauvé avant de mourir. Donc, la plus grande chose  que ce garçon ait jamais faite, c'était de venir chercher quelqu'un pour prier pour son papa avant la mort de celui-ci. Et le trio Neville est venu et a très bien chanté pour eux.

10.       Ainsi donc, frère Neville m'avait demandé de bien vouloir parler ce matin, ainsi que ce soir aussi. Vous remarquerez donc, les Ecritures déclarent : " Demandez abondamment afin que vous… " Ainsi, frère Neville est certainement en accord avec les Ecritures sur ces choses, vraiment. Ainsi donc, je ferai de mon mieux.

11.       Eh bien, j'ai dit que ce matin, comme c'est la fête des mères, nous aimerions parler aux-aux petits enfants. Je me disais  que ce matin serait un bon moment pour-pour les petits enfants. Or, je pense que la fête des mères…

12.       Bon, il n'y a rien de plus doux sur la terre, à ce que nous sachions, qu'une véritable et authentique mère. Que Dieu bénisse la vaillante âme, d'une véritable, une véritable mère. Mais nous avons beaucoup de substituts aujourd'hui qui-qui sont appelés " mère ", ce n'est pas une mère ; ce ne sont que des femmes qui ont eu des enfants, mais pas des mères. Une mère à l'ancienne mode, c'est celle qui prend soin de sa famille, et qui ne se livre pas à ces flâneries et à ces danses, toute la nuit durant, fumant, buvant, puis elle revient. Elle ne mérite pas ce nom sacré de mère. Ce n'est qu'une femme (c'est tout.), qui élève un enfant, mais ce n'est pas une mère ; en effet, une mère, c'est autre chose que ça. Eh bien, je - je pense que si vous connaissez…

13.       Maintenant, pour la fête des Mères, j'aimerais très bien m'exprimer. J'ai moi-même une vieille mère aux cheveux grisonnants, qui est assise là. Et je pense qu'un jour, très bien… mais chaque jour devrait être une fête des mères, pas juste une fois par an. Et la raison pour laquelle ces choses se passent la fête des Mères aujourd'hui…

            Et je vois que nous ne sommes qu'une poignée, et nous nous connaissons tous les uns les autres. Nous sommes entre nous et c'est la raison pour laquelle nous allons parler comme cela.

            Et je pense qu'une mère devrait être honorée de la même manière chaque jour (C'est vrai.), une vraie mère. Et, mais ce jour-ci qu'on appelle la fête des Mères, ce n'est rien au monde qu'un grand non-sens commercial, juste pour soutirer de l'argent aux gens. Et c'est une disgrâce pour une mère :  une fête des Mères, une fois par an : " Eh bien, nous n'allons pas la voir, mais nous lui  enverrons un petit bouquet de fleurs et c'est réglé. " Ça, ce n'est pas la mère. Oh! la la ! bonté divine !  Une véritable mère, c'est une femme  que vous-celle qui vous a élevé, que vous aimez, et vous la voyez, vous lui parlez  tout le temps, vous lui exprimez votre amour tout le temps, pas juste un seul jour par an.

16.       Mais juste avant de commencer ma scènette, j'aimerais bien exprimer ceci et le rappeler à certains parmi vous. Et beaucoup parmi vous sont morts, et beaucoup parmi eux sont partis depuis que ceci a été dit. C'était en 1933. Avez-vous vu dans le journal, il y a quelques soirées, ce qui a été écrit concernant cette femme qui a tué un homme, l'a jeté là, dans son allée, et elle roulé sur lui, elle passait et repassait sur lui avec son véhicule jusqu'à ce qu'elle l'ait écrasé complètement sur la rue. Et on a demandé… Les - les - les avocats et les autres ont demandé : " Cela ne condamne-t-il pas votre conscience ? " Elle a répondu : " Dieu et moi avons marre de la façon dont les femmes sont traitées. " Hein ! Oui, elle est une idole. C'est vrai. " On en a marre. " Combien bas cette nation peut tomber ? Jusqu'à quel point pouvons-nous nous en tirer sans le jugement divin ? Je me demande : " Dieu et moi… " Si Dieu était coupable de tous les non-sens qui Lui sont imputés, Il ne serait pas Dieu, c'est tout. " Dieu et moi. " Oh! la la ! Dieu n'a rien à faire avec pareille chose. Je me demande ce qu'elle en pensera quand elle sera là dans les tourments. Oh !

18.       Amérique… Maintenant, rappelez-vous, si vous n'aviez pas écrit cela, écrivez-le. Ceci est ma prédiction. Voyez ? En 1933, quand nous tenions des réunions là où la vieille, je pense, l'Eglise de - de Christ se trouve aujourd'hui, à l'époque c'était une vieille … C'est juste ici, Frère Neville, juste ici. Charlie Kurn habitait là. C'était quoi ? L'orphelinat ici sur l'avenue Meigs. En 1933, je venais d'avoir une Ford 1933, ce matin-là, je l'ai consacrée au Seigneur. Et avant de quitter la maison, j'ai eu une vision. Je l'ai notée sur un vieux papier jaune qui se trouve  toujours dans une Bible. J'ai vu arriver la fin des temps.

19.       Et, vous,  combien se souviennent de la forme de la voiture de 1933 dans le temps ? Oh, c'était comme ceci, et là derrière, c'était coupé comme ça pour y suspendre le pneu de réserve. J'ai eu une vision montrant qu'avant la Venue du Seigneur, les voitures auraient la forme d'un œuf. Combien  se souviennent de cette prédiction ? Y a-t-il encore ici quelqu'un qui est resté ? Frère Stewrard est parti. Et je pense… C'était en 1933, quand nous tenions des réunions ici. Je pense qu'eux tous, pratiquement, sont partis depuis lors.

20.       Et j'avais prédit que l'Amérique, son dieu numéro un serait la femme. C'est ce qu'il en est. Tout est façonné à la Hollywood. J'ai des renseignements tirés des archives de la FBI qui vous choqueraient rien qu'à vous indiquer l'endroit exact, et le scandale  au  sujet de ces vedettes de cinéma, il n'y en a pas une parmi elles, pratiquement pas, qui ne soit pas une prostituée. Et la  FBI a tout récemment rendu cela public, j'ai  tiré cela de leurs propres archives. Ainsi donc, eux tous habitent là, mêmes ces vedettes de cinéma, il est prouvé qu'ils sont allés là et les ont prises, et elles vivent avec  des hommes, 25 et 50 dollars par nuit, des hommes, partout à Hollywood et ailleurs, ils ont des maisons particulières, avec des hommes là- dedans, là où on les envoie à ces gens.

            Et c'est ce que nous regardons, la télévision, et - et ici sur ces écrans et tout, nous laissons nos enfants appeler cela une idole. Et puis, appeler cela mère ? Elle est loin d'être une mère. C'est une souillure. C'est exact. Et pourtant, ce sont eux qui donnent le ton. Eh bien, les laisser, le genre d'habits qu'elles portent, observez comment s'habillent les femmes américaines, c'est juste comme elles, et tout. Assurément. Et le dieu de l'Amérique, c'est une femme. Pas  Jéhovah ; ils se sont détournés de Lui. Ce n'est donc pas adressé à la mère, là, épargnez celle-là, c'est une créature sacrée, nous allons en parler ; mais je parle de la femme.

21.       Et, rappelez-vous, j'ai prédit qu'avant le grand anéantissement complet, je ne dis pas que c'est le Seigneur qui me l'a dit, mais je pense que quelque chose arrivera  d'ici 1977. Cela peut arriver en cette heure-ci même.  Mais  d'ici 1977, je prédis qu'il y aura soit une grande destruction soit un anéantissement  total  du monde  entier, d'ici 1977 ; j'avais prédit cela en 1933.  

22.       J'avais prédit  que les femmes deviendraient sans cesse immorales et que la nation continuerait à tomber, et  qu'on s'accrocherait sans cesse à la mère, ou à quelque chose qui ressemble à une mère, jusqu'à ce qu'elles deviendront, qu'une femme deviendra une idole. Et d'ici peu, l'Amérique  sera dirigée par une femme. Notez cela et  voyez si ce n'est pas vrai. Une  femme occupera les fonctions de président ou quelque chose comme cela, de hautes fonctions, très hautes fonctions  en Amérique.

Quand… je dis ceci avec respect, mesdames. Dès qu'une femme quitte la cuisine, elle n'est pas à sa place, c'est vrai, c'est là sa place. En dehors de cela, elle n'a pas de place. Et maintenant, je ne suis pas dur à leur égard, mais je ne fais que dire la vérité et répéter la Bible. Autrefois, c'est l'homme qui était le chef de la maison, mais c'était du temps de la Bible. Il ne l'est plus, il est devenu une marionnette, ou il est le - ou le garde bébé ou  quelque  chose  comme cela. Et aujourd'hui… Non, les femmes veulent prendre soin d'un chien, pratiquer le contrôle des naissances, se promener avec un vieux petit chien dans les bras tout le  temps, pour avoir la possibilité de courir  toute la nuit.

24.       Je - je ne  parle pas d'une mère. Que Dieu la bénisse. C'est ce qui maintient cette nation aujourd'hui à mi-chemin, c'est une véritable bonne mère sauvée de Dieu et sacrée. C'est vrai.

            Mais la honte, c'est de voir comment nos femmes sont avilies. J'ai une coupure d'un journal. Je l'avais découpée après cette petite dernière guerre mondiale, la deuxième, il y était écrit : " Où est partie la moralité des femmes américaines, pour qu'après six mois  de séjour outre-mer, quatre soldats sur cinq aient divorcé de leurs femmes qui ont épousé d'autres hommes ? " Elles n'ont même pas pu attendre que leurs maris reviennent d'outre-mer, des soldats qui mourraient là, au champ de bataille. Une personne qui fait une telle chose n'est pas digne d'être appelée une mère, de ce nom sacré. Non, elle ne l'est pas. J'ai donc toujours été taxé de misogyne, mais je ne le suis pas. Je pense qu'une femme est une merveilleuse chose, et une mère surtout. Mais elles devraient être à leur place, et non pas prendre la place de l'homme, ni prendre la place de Dieu.

26.       Et ce matin, j'ai entendu une église de la sainteté dire : " C'est une mère qui dirige les étoiles du ciel " et  tout cela.  Je peux concevoir que les catholiques disent cela de la vierge Marie, et tout le reste comme cela; en effet, ils adorent des femmes mortes : sainte Cécilia et  tout comme cela, ce qui est la forme la plus élevée du spiritisme. C'est tout ce qu'il en est. Tout ce qui intercède auprès des morts,  c'est  du  spiritisme. Il n'y a qu'un seul intercesseur entre Dieu et l'homme, c'est  Jésus-Christ. C'est vrai. Il n'y a pas un autre saint, il n'y a rien en dehors du Seigneur Jésus-Christ, c'est Lui seul qui est l'Intercesseur entre Dieu et l'homme. Mais quand je vois des églises, et même les gens qui passent derrière la chaire, dépouiller Christ de tout ce qu'il y a de sacré et confier cela à une mère, tout ce qu'il y a de sacré a été ôté, et puis, elles commencent et vous y êtes.

27.       Alors, mais il existe encore une vraie mère. Que Dieu soit loué. Juste comme lorsque vous voyez un hypocrite, il y a un vrai chrétien qui mène effectivement la vie. Et là où il y a le pour il y a le contre. C'est tout à fait vrai. Et maintenant, c'est de ce genre de mère et ce genre d'enfant, que nous désirons parler maintenant dans la Bible.

28.       Bon, je me demande  combien de petits garçons et de petites filles nous avons ici ce matin ? Si  vous avez suivi l'émission radiodiffusée de frère Neville hier… Combien de petits garçons et de petites filles  aimeraient s'avancer ici et s'asseoir sur les sièges de devant pendant  que je vous parle ? Voudriez-vous avancer ici ? Il y a un, deux, trois, quatre, cinq  sièges ici ; un ici, c'est six, et de petits sièges tout au long ici. Voudriez-vous venir ici devant, certains parmi vous les petits qui peuvent venir sans vos mamans, et qui voudraient venir ici, seront plus que les bienvenus. Nos mères ne sont pas… [Frère Neville dit : " Il sont nombreux, la plupart sont dans la salle de l'école du dimanche. "-N.D.E.] Oh, ils sont dans la salle de l'école  du dimanche ; eh bien, c'est bien. Nous attendrons un instant, tout en parlant, et dans quelques minutes ils sortiront. Alors nous rassemblerons bien les petits enfants aux yeux noirs, bruns et bleus, ici, et - et nous parlerons à chacun d'eux. Bon, combien aiment le Seigneur, dites " Amen. " [L'assemblée dit : " Amen ! "-N.D.E.] Très bien.

29.       Maintenant, j'aimerais parler aux mères et aux enfants, c'est à eux  que ceci est adressé.

30.       Ce soir, le Seigneur voulant, j'aimerais parler sur le premier miracle  que Jésus avait accompli, et montrer  comment cela avait été accompli, par quelle puissance, et ce  qu'Il avait fait quand Il a accompli cela. Combien savent quel était le premier miracle qu'Il avait accompli ? Dites-le tous ensemble. [ Frère Branham et l'assemblée disent : "Il avait changé l'eau en vin. " - N.D.E.] C'est exact. C'est le premier miracle qu'Il avait accompli…  Bon, le Seigneur voulant... Pendant que je méditais ce matin, cela m'est simplement venu à l'esprit.

31.       Je vois que nous avons ce matin notre brave ami, monsieur et madame Yeker là au fond, je pense. Il m'est arrivé de les voir alors que je  contournais ce poteau comme ceci. L'autre jour, je me faisais examiner. Je dois me garder en forme en vue des examens exigés pour aller outre-mer. Et quand je suis arrivé là, qui d'autre ai-je rencontré sinon monsieur et madame Yeker, assis là au cabinet - le cabinet.

32.       Docteur Schoen, à Louisville, un très bon frère chrétien.  Je vous assure, j'ai effectivement rencontré un brave homme là, un vrai homme qui croit en Dieu et qui place sa confiance là.

            Savez-vous quoi ? Je vais vous le dire, je trouve plus de médecins que de prédicateurs qui croient dans la guérison divine. C'est vrai. Parlez-leur. J'ai dit : " Certainement. " Et quand il… quand j'allais partir, il m'a tenu par la main, il a dit : "  Frère Branham, vous faites plus pour l'humanité que je ne le pourrai jamais. " Il a dit : " C'est vrai. " Il a dit : " Vous pouvez aider les gens que moi je ne pourrai même pas toucher. " Il a dit : "  C'est vrai . "

            J'ai  dit : " Eh bien, effectivement, vous pouvez les soutirer, ou mettre un os en place, ou quelque chose comme cela. Mais c'est Dieu qui opère la guérison. "

            Il a dit : " C'est exact. " Amen. Oh, j'aime voir des hommes raisonnables qui ont un esprit ouvert.  Je pense que la chirurgie, la médecine, la chiropraxie, l'Ostéopathie, la guérison divine, tout cela ensemble, si l'une de ces choses peut aider quelqu'un, je soutiens cela. Et lorsqu'on trouve un médecin qui condamne un prédicateur, et un prédicateur qui condamne un médecin, un ostéopathe  qui condamne-qui condamne un chirurgien, et un chirurgien qui condamne un médecin, vous pouvez vous dire qu'il y a un motif égoïste  quelque part (c'est vrai.), en effet chacun d'eux a prouvé qu'il assiste quelqu'un. C'est tout à fait vrai.

35.       Maintenant, le problème en est que, à mon avis, si nos motifs sont bons, et  que nos cœurs sont droits pour les gens, nous devrions tous travailler ensemble pour aider notre prochain, pour rendre la vie plus aisée. Et alors, vos motifs ne sont pas égoïstes, vous rendrez gloire à Dieu qui donne tout gratuitement. Amen. Oui, oui. Oh, nous ne devrions manifester nulle part de l'égoïsme, en rien ; cela devrait être parfait.

            Si la chiropraxie peut assister celui-ci, l'ostéopathie peut assister celui-là, la chirurgie peut assister cet autre, quelque chose d'autre peut assister un tel autre, prions pour tout cela (Amen.), afin que  Dieu puisse vraiment aider Son précieux peuple à se rétablir et être heureux. En effet, nous n'avons pas beaucoup de temps à faire ici, c'est juste quelques jours et nous sommes en route pour quelque part. Ainsi, ce que nous essayons de faire, c'est rendre la vie un peu plus aisée, de telle sorte que vous puissiez passer un temps meilleur pendant que vous êtes ici. Amen.

37.       Eh bien, sur base de cette pensée, inclinons la tête, juste avant d'ouvrir la Bible et de parler à notre Aimable Seigneur.

            Notre Bienveillant Père céleste, nous venons très humblement ce matin dans Ta Présence, nous Te remercions par-dessus tout ce qui a jamais existé  sur terre, et tout ce qui sera jamais sur terre, pour le Seigneur Jésus-Christ. Car c'est Lui  qui a réconcilié Dieu et l'homme, Il nous a réconciliés nous les pauvres indignes, nous les étrangers impies, qui étions loin de Dieu par - par notre propre choix, nous avions fait notre propre choix et nous nous étions éloignés de Dieu. Et Il a été  si bon pour venir, et pendant  que nous n'étions pas agréables à Dieu, pendant que nous étions des pécheurs, loin de  Dieu, Il nous a réconciliés avec le Père par l'effusion de Son propre sang.

            Combien nous Te sommes reconnaissant pour Lui. Et aujourd'hui, Il est là comme Médiateur, l'Unique, entre Dieu et l'homme, qui peut faire qu'une prière entre dans la Présence de  Dieu, au travers de la plate-forme de Son propre sang, qu'Il a versé de la terre à la Gloire. Et  Il est venu  sur cette terre par une crèche, Il est né dans  une mangeoire, Il est parti de cette terre, par une peine capitale. Le monde n'a pas voulu  de Lui. Les  cieux n'ont pas pu Le recevoir, parce qu'Il était devenu pécheur ; Il avait pris sur Lui nos péchés. Le monde n'a pas voulu de Lui ; on L'a rejeté : " Otez une telle personne ! "  Il n'avait même - même pas un endroit où naître, ni un endroit pour mourir. Et  Il  a été suspendu entre les cieux et la terre ; les cieux ne pouvaient pas Le recevoir, et la terre ne le voulait pas. Et Il est malgré tout mort pour nous sauver du péché, guérir nos maladies, nous donner la joie et une position d'amour pendant  que nous étions ici sur terre. Quel Sauveur ! Oh, combien nous Te rendons grâces pour Lui.

            Ô Dieu, que toute adoration de notre cœur  soit déversée devant  Lui et Lui  seul. Que tout hommage et toute adoration, et tout ce  qui sort de nos lèvres ou de notre cœur, puisse cela revenir à Lui qui mérite tout. Lui qui était assis un jour sur le Trône avec le Livre dans Sa main, alors que personne au Ciel, ou sur la terre n'était digne ni capable de regarder le Livre, ou d'En rompre les sceaux qui scellaient Cela. Et cet Agneau qui avait été immolé depuis la fondation du monde, est venu, a pris Cela de Sa main, Il  a  ouvert les sceaux et Il  a apporté le - les Paroles aux gens.

41.       Et, Père, nous prions aujourd'hui que Son Saint-Esprit libère nos cœurs de toute obscurité, délie notre langue de tout ce qui est vile, pardonne tous nos péchés, et ôte toute obscurité, et entre dans nos cœurs ce matin.

            Et surtout pour ces petits enfants, ô Dieu, bénis-les pendant qu'ils sont assis ici ce matin avec leurs aimables mères. Et, ô Dieu, combien nous Te sommes reconnaissant pour la maternité, pour de véritables femmes. Et malgré toutes ces ténèbres, idolâtrie, souillure, et corruption du monde, nous avons encore de véritables et authentiques mères. Combien nous Te sommes reconnaissants pour elles ; des jeunes et des  vieux, tous mêmement, nous Te remercions, Père, pour la vraie maternité. Et nous Te prions, ô Dieu, de les bénir.

            Ce matin, je vois beaucoup de nos frères et sœurs qui sont assis ici porter des roses blanches ou d'œillets blancs, et des fleurs, ce qui veut dire que leurs saintes et précieuses mères ont traversé le voile et elles sont dans l'au-delà, elles ne sont pas mortes, mais  elles  sont vivantes à jamais. Un jour, eux aussi descendront à la rivière, et là, ils la reverront une fois de plus, de l'autre côté. Beaucoup portent des roses rouges ; c'est que la mère est encore ici. Nous Te sommes reconnaissants pour cela.

            Nous Te prions de nous bénir tous pendant que nous méditons Ta Parole, car nous le demandons  au Nom de Christ. Amen.

45.       Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Et nous entrons directement dans la Parole ce matin. Bon, avant même cette petite scène, je pensais aux mères et aux petits enfants… et ils m'entendront probablement, en effet ceci émet bien une voix. Et je vais présenter une petite scène, en effet, je constate donc que dans mes réunions, parfois des scènes aident beaucoup. Ne le pensez-vous donc pas ? Les petits enfants comprennent cela mieux. Je  vois quelques petits enfants aux yeux brillants assis, me regardant, ce sont eux qui seront des hommes de demain, s'il y a un lendemain.

46.       Et maintenant, avant que nous ayons une quelconque scène, ou n'importe quoi d'autre qui se passe dans l'église, ça doit avoir un fondement biblique. Amen. Il doit y avoir un fondement biblique. Premièrement, allons dans Matthieu, chapitre 16, verset 25, et nous aimerions lire ces versets. Premièrement, pendant que nous lisons, que nous nous apprêtons, peut-être qu'en ce moment-là  les petits enfants vont sortir. Bon, Matthieu 16. 25 , voici ce que nous lisons.

Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de Moi la trouvera.

            Eh bien, ça c'est un passage des Ecritures très important. Lisons-le tous ensemble. Que dites-vous ? Tout le monde, les petits enfants et tous ensemble maintenant.[Frère Branham et l'assemblée lisent ensemble le passage des Ecritures suivant.-N.D.E.]

Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de Moi la trouvera.

48.       Vous savez, les petits garçons et les petites filles, je sais que les personnes âgées apprécieront cela autant que les petits enfants. Mais, ce passage des Ecritures est très important. Et certains passages des Ecritures sont si importants que Dieu les place dans tous les quatre Evangiles : Matthieu, Marc, Luc et Jean. Mais, ceci est  si important qu'Il l'a placé six fois dans l'Evangile. Cela est  sorti de Ses propres lèvres, de celles de Jésus, à six reprises.

49.       Maintenant, là dans Marc, nous irons là, au chapitre 8 de Marc, à partir du verset 34, et je vais lire quelques passages là. Et j'aimerais que vous remarquiez une fois de plus ici, ça fait juste un peu suite à ce que Jésus a dit là-bas. Et rappelez-vous, Il a dit cela six fois dans l'Evangile, afin que cela soit établi certainement. Le témoignage est rendu sur déposition de deux personnes, mais Il a placé cela trois fois (Voyez-vous ?) afin que l'on soit sûr de s'en souvenir.

Et nous avions lui…

Puis, ayant - ayant appelé la foule avec Ses disciples, Il leur dit : " Si quelqu'un veut venir après Moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et  qu'il me suive .

Maintenant, l'un des traducteurs a traduit par : "Qu'il se charge de sa croix et qu'il Me suive chaque jour. " Eh bien, maintenant le verset 35. Ecoutez

Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de Moi  et de la bonne nouvelle la sauvera.

Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perd son âme ? Que donnerait  un homme en échange de  son âme ?

51.       Bon, prenons ce verset 35 et répétons-le ensemble maintenant. Très bien. Maintenant, disons cela ensemble. Nous allons prendre Marc 8.16, maintenant répétons-le ensemble ; Marc 8.16, Pardonnez-moi, Marc 8.16, 35. Non, je l'ai encore mal cité. Marc 8 (Excusez-moi.), Marc, saint Marc, chapitre 8, verset 35. Essayons cela maintenant. Saint Marc, chapitre 8, verset 35. Eh bien, nous avons cela. Lisons-le. [ Frère Branham et l'assemblée lisent ensemble les passages des Ecritures suivants.-N.D.E.]

Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de Moi et de la bonne nouvelle la sauvera.

52.       Est-ce merveilleux ? Eh bien, nous irons de l'avant avec notre petite histoire, et au fur et à mesure que les enfants viendront, ils occuperont leurs places. Les huissiers veillent sur eux pendant qu' ils les calment. Voyez si vous pouvez les faire entrer ici, pendant que nous apportons notre histoire. Nous allons présenter ceci sous forme d'une scène, ce matin. Et moi,  souvent, il y a quelques jours, je…

            Frère et sœur Wood étaient avec moi, je pense, là à la - la dernière réunion ; je parlais au petit déjeuner des Hommes d'Affaires Chrétiens. Et j'ai raconté une petite scène sur Zacchée dans le - en haut dans le sycomore, et,  quand Jésus est passé par là, et comment Zacchée s'est servi d'une poubelle, vous savez  (et j'ai présenté cela sous forme  d'une scène), il est monté dans un arbre pour voir Jésus. Et cet homme d'affaires était assis dans l'arbre, vous savez, se cachant à la vue de Jésus. Et Jésus ne savait pas où il était, pour ainsi dire, vous savez. Et alors, il a dit : " Oh, on me dit que cet homme sait des  choses et  qu'Il peut prédire des  choses, et  Il sait où était le poisson qui avait une pièce de monnaie. Je ne  crois pas ça. " Alors Jésus est passé droit sous l'arbre. Et il a dit : " Oh !  Il ne peut pas me voir ; me voici assis en haut dans un arbre. "  Jésus s'est arrêté, Il a levé les yeux et  Il a dit : " Zacchée, descends. " Non seulement Il avait  su qu'il était là haut, mais Il avait  su  qui  il était.  Je pense donc  qu'une petite scène parfois aide les personnes âgées, les grands garçons et les grandes filles, tout autant que les petits.

56.       Ainsi donc, vous pourrez me  poser la question, après ceci : " Frère Branham, où trouvez-vous les renseignements sur ces personnages, ainsi que ces noms ? " Pour certains, c'est mon brave ami, frère Booth Clibborn qui m'a aidé. Et pour d'autres, c'est Josèphe, le grand historien. Et puis, des livres que j'ai lus sur l'histoire, sur tel événement  ou  tel autre. Et c'est ainsi que je reçois ces renseignements sur ce  que nous allons donner sous forme de scène ce matin, pour ce…

57.       Je vois nos petits enfants sortir maintenant, et pour cette histoire de ce matin que nous allons raconter. Maintenant, vous les petits garçons et vous les petites filles, si vous le pouvez, tout ceux  qui veulent, venez ici devant. Nous avons  cinq ou six sièges vides. Si vous voulez venir directement ici, nous serons contents de  vous avoir. Ils arrivent bien à temps pour la petite scène ici.

            Ainsi donc, c'est comme ça que je reçois ces renseignements, c'est ainsi que j'arrive à les trouver. Quelqu'un pourrait prendre cela et dire : " Eh bien, je n'ai jamais lu cette partie-là dans la Bible. " Mais  si  vous ne l'avez jamais lue, l'histoire a rapporté cela. Voyez ? Ainsi, c'est donc la même histoire, seulement elle est présentée sous forme d'une-d'une petite scène.

59.       Et, c'est ça donc. C'est ça. Et est-ce là votre jeune frère ? Oh, il te ressemble certainement. Et il est un beau garçon. On peut simplement voir qu'il l'est. Très bien.

            Maintenant, aimeriez-vous venir vous asseoir ici ? Il y a deux petites filles, ou trois petites filles. Oh!la la, c'est vraiment très bien. Eh bien, j'aimerais… La petite histoire de ce matin, c'est pour les petites filles et les petits garçons. Mesdemoiselles Collins , je pense que c'est  vous là, avec l'autre jeune sœur ; veuillez passer de l'autre côté, chérie, pour vous asseoir.  Oui, je pense qu'il y a une place ici même, si cette dame veut-veut enlever son porte-monnaie. Et - et puisse… Juste ici, il y a quelques sièges, ici.

            Je veux avoir tous ces petits garçons et ces petites filles ici devant, pour pouvoir leur parler. Ici, ici nous avons quelques sièges ici ; nous veillons simplement à ce que vous ayez quelques fauteuils. Oui, oui. Certains parmi eux nous  aideront ici même, en effet, nous aimerions que ceci soit uniquement pour ces petits garçons et ces petites filles. Oh ! la la ! N'est-ce pas bien ? Eh bien, c'est… Je pense qu'il vous faudra en avoir davantage, Frère Neville ; j'en vois d'autres venir ; et maintenant, c'est très bien. Combien de mères y a-t-il ici ? Levez la main. Oh, c'est merveilleux. Bon, c'est très bien.

63.       Maintenant, si vous, les petites filles, qui êtes au fond, vous voulez venir ici, avancez directement, si vous êtes assez grandes pour  vous détacher de  votre maman. Et si maman veut vous amener ici, eh bien, dites-lui de venir carrément. C'est pour la maman aussi. Très bien.

            Tenez, enfants, nous venons de lire un verset. Voudriez-vous tous le répéter avec moi ? Voudriez-vous tous répéter ce verset avec moi ? Bon, il se trouve dans saint Matthieu, chapitre 16, verset 25, ce dont nous allons parler. Eh bien, ces petits… chaque petit garçon et chaque petite fille, ce matin, répétez ceci avec moi maintenant. Dites : " Saint Matthieu " [Les petits garçons et les petites filles disent : " Saint Matthieu. "-N.D.E.] "chapitre 16 " [" Chapitre 16 "] [" verset 25 "] ["verset 25 "] Maintenant, répétez cela avec moi. " Car celui qui voudra sauver sa vie " ["Car celui qui voudra sauver sa vie "] " la perdra " ["  la perdra "] " mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. ["mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. "] la trouvera. Oui, répétons encore cela. " Celui " ["  Celui "]  " qui perdra sa  vie "  [" qui perdra sa vie "]  " à cause de Moi " [" à cause de Moi "] " la trouvera. " [" la trouvera. "] Merveilleux !

65.       Bon, petits garçons et petites filles, savez-vous quoi ? Il y a beaucoup de choses dans le monde qui sont des valeur sûres. Et l'une de ces choses, vous l'avez avec vous aujourd'hui ; c'est l'âme qui est dans le corps. Et c'est la chose  la plus importante pour vous dans le monde. Est-ce vrai, mères ?  Dites "Amen. " [Les mères disent : " Amen. " - N.D.E.] La  chose que  vous avez, qui a le plus de valeur, c'est  votre âme. Et maintenant, si vous gardez votre âme, alors vous  allez la perdre. Et si vous perdez  votre âme, alors  vous allez la sauver ;  et  si vous perdez votre âme  pour Jésus. Voyez ? En d'autres termes,  si vous croyez en Jésus, vous devenez Son disciple. Et alors, si vous confiez votre vie à Jésus quand vous êtes petits comme ça, alors vous allez… Il va sauver cela pour la Vie Eternelle. Mais si vous - si vous voulez garder cela, vous allez perdre cela ; oui, vous allez perdre cela. Si vous voulez agir comme ces autres jeunes petites filles ou ces autres jeunes petits garçons ici, sortir et faire comme eux, alors vous allez, vous-vous allez la perdre. Mais si vous voulez confier votre vie à Jésus, alors  vous la sauverez pour l'Eternité et pour toujours.

66.       Bon, souvenez-vous-en donc, que la chose qui a le plus de valeur dans le monde entier, c'est votre petite âme. Et si vous la gardez, vous la perdrez ; si vous la confiez à Jésus, vous la sauverez. Pouvez-vous répéter cela avec moi ? Si… Dites : " Si je la garde ", [Les petits garçons et les petites filles disent : " Si je la garde. " - N.D.E.] "  Je la perdrai " ["  Je la perdrai "] ; " mais si je la confie à Jésus ", [" Mais si je la confie à Jésus "]  " je la sauverai. " [" je la sauverai. "] C'est ça. Eh bien, vous avez compris cela. N'est-ce pas… Que toutes les mères qui pensent que ça a été bien disent "Amen. " [Les mères disent : " Amen ! "] Oh, c'est bien. C'est bien.

            Maintenant, vous voyez, il y a une chose que vous pouvez faire. Maintenant, allez de l'avant. Si eux veulent agir comme cela, et avoir leurs désirs du monde… si les petits garçons et les petites filles veulent sortir là, faire des histoires, et raconter des histoires, et dire des choses qui ne sont pas correctes, et - et tricher,  voler, et - et faire de mauvaises choses, et tricher à l'école, et tout, allez de l'avant ; ils perdent. Ils perdent cela. Mais s'ils confient cela à Jésus (ils ne veulent pas le faire), alors ils sauveront cela. C'est ce qu'il vous faut faire, n'est-ce pas ?

69.       Maintenant, nous allons commencer notre petite histoire. Bon, c'est cela donc notre arrière-plan, souvenez-vous-en. Eh bien,  commençons notre petite histoire. Maintenant, vous les personnes âgées, et les - les pères et les mères, suivez aussi donc cela, surtout vous, les mères et les pères. Eh bien, juste… que nous allons  commencer. Aimez-vous les petites histoires ? Les aimez-vous ? Oh, j'aime vraiment cela, surtout aujourd'hui… Vous lisez beaucoup d'histoires qui ne sont pas vraies. Mais cette histoire-ci est vraie, absolument la vérité, chaque Parole de cela. Elle se trouve dans la Bible de Dieu, cela doit donc être la vérité (  voyez ?) En effet, c'est la Parole de  Dieu. La Parole de  Dieu est la Vérité.

70.       " Eh bien, vous savez, dit-il, je suis très fatigué. Je - j'en ai - j'en ai marre à mourir. "

            "Eh bien, a-t-elle dit, pourquoi ne montes-tu pas à l'étage dormir ? Te coucher sur le petit lit, là sur le divan et dormir. "

            Il a dit : " Mais, oh, je suis très fatigué. " Il a  dit : " Oh, chérie, si tu avais vu ce que j'ai vu aujourd'hui, oh, je suis - je… Ce que… Je n'aimerais même pas prendre de souper. Oh, c'était terrible, la scène que j'ai vue aujourd'hui ! "

            Elle a dit : " Eh bien, c'est quoi -quoi que tu as vu ? "

Il a dit : " Eh bien, je ne peux pas te le raconter devant les enfants, oh,  c'est si horrible. Oh, la la ! C'était mauvais. "

71.       " Eh bien, mais c'est quoi que tu as vu ? "

            " Eh bien, je monte me coucher un petit moment à l'étage, et puis, et puis après le souper, après que nous aurons mis tous les enfants au lit, alors je vais te raconter ce qui s'est passé aujourd'hui. "

            " Très bien ", a-t-elle dit.

            Et  Il est monté à l'étage. Il s'est couché. " Oh, je suis très fatigué, oh, la la ! " Vous savez comment papa se retrouve quand il est fatigué, vraiment très fatigué.

76.       Et peu après, la petite fille aux yeux brillants, s'est mise à courir sur le pavement, et à parler un peu à haute voix. On lui a dit : " Sh - sh - sh, ne fais pas ça. Tu vas réveiller papa. Et, oh, il est si fatigué qu'il - qu'il voulait en mourir. Il ne voulait plus vivre. Et  si papa est fatigué à ce point-là, eh bien, nous devrions le laisser dormir un peu. Ne le réveillez pas. " Alors la petite Miriam  est  allée là et s'est assise pour rester très calme.

77.       Et peu après, elle avait le repas tout apprêté, alors elle monte discrètement les marches et elle-elle l'appelle : " Amram ? "

78.       Et il dit : " Oui, Jokébed, chérie, je descends. " Alors, ils descendent les marches, vous savez, et ils ont eu un bon souper .

79.       Alors, après qu'ils avaient pris le souper, et que le petit - que le petit garçon et la petite fille avaient terminé tout leur souper, eh bien, que la mère a débarrassé, elle les a mis au lit. Et alors, elle entre en  chambre, elle et son mari, et ils s'assoient. Elle dit : " Eh bien, alors, c'était quoi que tu as vu aujourd'hui, Amram, qui te bouleverse tant - tant ce soir, au point que tu ne voulais même plus vivre ? "

80.       " Oh, a-t-il dit, chérie, je - je n'arrive simplement pas à comprendre cela. " Il a dit : " J'ai vu… C'est… Eh bien, nous voyons cela chaque jour, mais aujourd'hui c'était particulier. " Il a dit : " Oh, je - j'ai vu la scène la plus horrible que j'aie jamais vue. " Il a dit : "Nos pauvres garçons, certains parmi eux n'ont pas plus de douze ans, ils étaient en train de tirer un vieux et grand wagon, avec des cordes attachées à leurs cous, comme ça. Et ces pauvres enfants ont tiré cela jusqu'à ce qu'ils n'en pouvaient plus, gravissant cette forte montée, ces grosses pierres là-derrière, et ils ne pouvaient plus aller plus loin. Et peu près, le wagon a commencé à craquer, et à aller très lentement, et peu après ça s'est arrêté. Un homme descendait dans la rue, oh, c'était un fou. Il a vociféré : 'Pourquoi arrêtez-vous ce wagon ?' Wham ! avec ces très gros fouets comme des serpents, il les fouettait au dos, et le sang coulait de leur dos et tombait comme cela. Et ces pauvres petits enfants rattachés simplement à cette corde, criaient. Il dit : " Oh, Jokébed. Que pouvons-nous faire, maman ? Il dit : " Nous sommes le peuple de Dieu. Dieu nous a bénis. Nous sommes les enfants d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Et pourquoi devons-nous être des esclaves ici pour de telles choses ! Oh, c'est horrible à voir comment ces pauvres petits garçons pleuraient ! Oh, et je prie, et je prie, et je prie, Jokébed, et on dirait que Dieu ne m'entend même pas. Et je prie, et je prie, et on dirait qu'Il a fermé Son oreille, Il ne m'entend pas du tout. Et Il semble simplement ne plus s'en occuper. "

81.       Eh bien, a-t-elle dit, écoute, Amram, on  ne dirait pas toi. Tu es un vrai papa, et tu… On ne dirait pas toi, en effet, c'est toi qui nous encourage toujours, nous disant d'avoir foi en Dieu. "

82.       " Oh, mais, chérie, quand je prie beaucoup et - et que Dieu ne m'exauce toujours pas, et cela semble s'empirer  tout le temps. Plus je prie, pire ça devient. "

84.       Mais, petits garçons et petites filles, Dieu exauce-t-Il la prière ? [ les petits garçons et les petites filles disent : "Oui." - N.D.E ] Il exauce la prière. Dieu exauce-t-Il la prière ? Oui. Exauce-t-Il très vite ? Non, pas tout le temps, n'est-ce pas ? Non. Parfois, Il nous fait attendre. Est-ce vrai ? Oui. Mais Dieu exauce la prière, n'est-ce pas ? Et ce n'est pas parce que tout va mal que nous devons cesser de prier. Nous continuons simplement à prier malgré tout, n'est-ce pas ? C'est vrai. Eh bien, vous avez bien répondu. Dieu exauce la prière. Répétons-le tous ensemble. [Frère Branham et l'assemblée disent : " Dieu exauce la prière. "-N.D.E.] Oui. Peu importe les circonstances, Il exauce malgré  tout. Très bien.

            " Eh bien, vas-tu monter prier encore ? "

85.       "  Oui. " Et papa avait une chambre secrète là haut dans le grenier, là où il allait prier. Alors il monte là cette nuit-là ; il s' agenouille à côté ; il dit… Eh bien, il dit : " Jokébed, bon, allez de l'avant, et allez au lit, toi et les enfants. Eh bien, ne me dérangez pas, ce soir je vais prier, peut-être toute la nuit. "

86.       Il s'agenouille donc, et il prie et il prie. Je le vois lever les mains et dire : " Ô Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, souviens Toi de Ta promesse à Ton peuple ; Nous voici  loin ici en Egypte, et nous sommes en esclavage. Et, oh, nos cruels maîtres de corvées nous - nous poussent à faire des choses, ils nous frappent, et notre pauvre peuple est - est fouetté nu, et ils nous frappent avec des fouets. Et nous sommes Ton peuple. Ô Dieu, certainement que Tu exauceras la prière, certainement que Tu exauceras la prière. Et je prie, et je prie, et je prie, et il semble que Tu ne m'exauces même pas. Mais, ô Dieu, je crois que Tu es Dieu, et que Tu finira par répondre à ma prière. " Il a prié comme cela, presque toute la nuit.

87.       Et le lendemain matin, vers 3 heures ou 4 heures, il descend les petites marches, et il regarde là, son aimable petite femme était couchée là, la petite Jokébed. Elle était là au lit, endormie. Et le petit Aaron et la petite Miriam s'étaient déjà plongés au lit, ils étaient donc là endormis au possible, et ils étaient emportés dans le sommeil ; très bien. Il a dit à sa femme… Elle lui a dit : " Il se fait tard, et tu viens d'arriver ? "

            " Oui, j'ai prié toute la nuit. " Ses yeux avaient des traces de larmes, parce qu'il avait pleuré pour le peuple.

            Et elle a dit : " Ecoute donc, Amram, tu ne devrais pas trop t'en préoccuper. "

            Eh bien, a-t-il dit, écoute, chérie. C'est bien. Mais maintenant, regarde, tu as ici deux enfants à élever. Et c'est ma responsabilité. Si quelqu'un ne prie pas pour notre pauvre peuple, qu'adviendra-t-il de lui ? Que va-t-il arriver si quelqu'un ne porte pas le peuple à cœur ? Quelqu'un doit prier. "

            " Eh bien, dit-elle, Amram, tout le fardeau ne t'incombe pas. "

            " Eh bien, ça semble être ainsi. Et, de toute façon, je prierai, de toute façon, tout le temps. "

92.       Il va au travail ce jour-là, et chaque jour il vient et va, et le même vieux labeur de… Et il - il avait un travail difficile. Il devait… Les gens déversaient les mortiers dans ces grands moules, et lui devait se tenir là, à côté de cette grande fournaise. Et quand on ouvrait cela, oh! la la, cela risquait de lui enlever la peau, quelle horrible chaleur! Il jetait ces briques là-dedans et les faisait cuire, il les faisait sortir, c'était pour la construction de très grandes routes et de très hautes tours dédiées aux idoles et tout. Et ce véritable chrétien, là, travaillait comme ça pour l'ennemi… Mais il était un esclave ; il était dans l'esclavage. Il était obligé de le faire. Et chaque nuit quand il rentrait à la maison, il priait, il remontait les marches, et priait, et priait, et priait, puis il redescendait : ça ne s'améliorait pas ; ça s'empirait.

94.       Et un jour, il a entendu une rumeur là, au travail. Il a demandé : " Qu'est-ce ? Qu'est-ce ? Dites-le-moi. " Quelqu'un murmurait à l'autre. Peu après, avant la fin de la journée, cela s'était répandu dans tout le pays, ce qui allait arriver.

            Qu'était-ce ? On allait tenir un conseil cette nuit-là. Le vieux roi Pharaon, le vieux roi méchant allait rassembler tout son peuple pour tenir un autre grand conseil. Ils ont donc tenu ce grand conseil là.

96.       Ainsi, cette nuit-là, il est rentré, oh, il était tout abattu. Il est entre, sa femme a dit : " Amram, chéri. " Elle l'a rencontré à la porte, l'a embrassé et a dit : " Je t'ai préparé un souper très bien et chaud ; mais, a-t-elle dit, chéri, tu as l'air très pâle. Qu'y a- t-il ? "

            Il a dit : " Oh, Jokébed, si seulement tu savais ce qui se passe. Oh, c'est pire que jamais. "

            " Quoi ? "

            " sh, sh, sh, je ne peux pas le dire, les enfants sont là. Attends après le souper, alors je t'en parlerai. "

            "D'accord."

            Alors, elle a apprêté le souper, et elle a bien apprêté le souper, et elle a pris tous les enfants et les a mis au lit.

            Ils sont donc entrés. Il a dit : " Jokébed, j'aimerais te dire quelque chose." Il a dit : "Il va se passer l'une des choses les plus horribles. "

            " Quoi ? "

            Il a dit : " On va tenir un autre conseil aujourd'hui,ce soir. Et une fois cela tenu, ils vont nous accabler d'autres fardeaux. "

102.     Ainsi donc, allons au palais du roi ; le roi pharaon les a tous rassemblés là-bas et a dit : " Très bien, vous tous les généraux, qu'est-ce qui se passe avec vous ici ? Je donne mes ordres par ici ; ce peuple augmente tout le temps. Qu'y a-t-il ? Ne pouvons-nous pas arrêter cela ? Il a dit : " Un jour, une autre armée viendra ici. Et tous nos ennemis, que voilà, là à Goshen, ces Israélites, se joindront à cette armée-là, et ils nous vaincront. Et notre grand système économique sera détruit ; notre grand royaume sera détruit. Ils nous domineront. Qu'est-ce qui ne va pas avec vous ? Que quelqu'un parle. N'avez-vous pas quelque chose à dire ? " Oh, Il était méchant et haineux. Tous les généraux tremblaient. L'un d'eux s'est levé et a dit : " Que le roi Pharaon vive à jamais. "

            " Eh bien, dis ce que tu vas faire. "

            Il a dit : " Que le roi vive à jamais. Votre honneur, seigneur, a-t-il dit, je désire que vous accabliez le peuple de plus de fardeaux. "

            " Toi, imbécile, tu as déjà accablé ce peuple de beaucoup de fardeaux, et pourtant ils se multiplient. Eh bien, toi… si c'est tout ce que tu as comme idée, garde-la simplement pour toi. " Oh, il était rude.

105.     Peu après, quelqu'un s'est levé, son visage marqué d'un très large sourire comme un démon. Et il a dit : " Que le roi Pharaon vive à jamais. " Il a dit : " J'ai une idée. "

            Il a dit : " Eh bien, parle. Ne te tiens pas là comme ça. "

            Il a dit : "Je vais vous  dire ce qu'ils - ce que vous pourrez faire. " Il a  dit : " Vous savez, ces gens se multiplient très vite. "

" Oui, c'est vrai. " Il a  dit : "Certains parmi eux, certains parmi ces gens-là, ont même quatorze enfants ; parfois ils ont vingt enfants. Et notre peuple n'a peut-être pas un seul. Il a dit : " Ils se multiplient très vite, ils couvrent simplement tout le pays. " Voyez, Dieu était en train de faire quelque chose. Voyez, Dieu tire toujours le voile sur les yeux du diable. Voyez ? Voyez-vous ? il sait ce qu'Il fait. Voyez ? Et toutes ces femmes avaient donc beaucoup d'enfants.

109.     " Eh bien, a-t-il dit, que le  roi vive à jamais. Eh bien, je vais vous dire quoi. Chaque fois qu'une femme donnera naissance à un petit enfant mâle… Qu'on parcoure le pays ici et qu'on prenne des femmes, et qui - qui ne sont pas de mères (voyez ?), des femmes qui n'ont jamais  eu d'enfants, des femmes qui ne veulent pas des enfants et qui n'aiment pas les enfants, de vieilles sorcières au long nez (voyez ?) Plus le nez est long, mieux ça va… " Celles aux longs doigts, aux visages fardés, et prenez-les. Elles ne savent pas ce qu'est l'amour maternel. Et alors, dès qu'un petit enfant mâle naîtra, eh bien, qu'elles aillent le prendre, qu'elles sortent avec lui et qu'elles fassent sauter sa tête contre le mûr, qu'elles le jettent dans la maison auprès de sa mère, comme ça. Qu'elles le jettent dans un grand puits. Oh, mieux que ça, le faire sortir, lui lier les mains et les pieds, et le jeter pour engraisser les crocodiles ; c'est ainsi qu'on s'en débarrassera. Alors, ils ne se multiplieront pas beaucoup, parce qu'il ne restera plus d'hommes. On aura tué tous les petits enfants mâles. "

            " Oh, dit Pharaon, c'est bien. C'est une bonne idée. " Voyez-vous ce qu'est le diable ? Il est méchant, n'est-ce pas ? Il a dit : " Voilà donc la chose à faire. Allez chercher… vous avez… Eh bien, comme c'est  vous qui avez eu cette idée, je vous nomme superviseur de cela. Allez et prenez toutes les vieilles femmes que vous connaissez, qui - qui n'ont jamais été de mères, et elles n'aiment pas les enfants. Et elles  sont… Elles… "

            Voyez, il faut être une mère pour aimer un enfant. Vous rappelez-vous combien votre mère vous aimait ? Eh bien alors, voyez, la mère aime les petits enfants.

112.     Mais ils ont dû prendre quelqu'un qui-qui n'avait pas, qui n'avait pas eu d'enfants, qui n'aimait pas les enfants, juste - juste - juste de très méchantes vieilles femmes. " et il a dit : "Faites-les des policières. Et quand vous aurez fait d'elles des policières… Et donnez-leur des instructions, afin qu'elles puissent entrer dans n'importe quelle maison qu'elles voudraient, qu'elles en fassent sortir chaque petit enfant et qu'elles fassent sauter sa tête contre le mur, et qu'elles le livrent en pâture aux crocodiles : " Chaque petit enfant. " Oh, combien c'est cruel. Savez-vous donc ce qu'elles ont fait ?

            " Très bien, c'est bien. "

113.     Le lendemain donc, quand Amram était là en train de travailler, il a appris que cette décision-là avait été prise. Et, oh, il rentre à la maison. Il dit : " Oh, Jokébed, oh, chérie, laisse-moi te raconter quelque chose. Sais-tu quelle décision a été prise ? Tuer tous les petits enfants mâles. " Et il le lui a raconté. Il a dit : "Oh, je ne peux simplement pas supporter cela. " Il est encore monté à l'étage prier. Cette nuit-là, il a prié comme jamais auparavant.

            Sommes-nous censés continuer à prier ? Oh ? continuez à prier. Est-ce vrai ? Continuez simplement à prier, peu importe ce qui se passe, continuez à prier. Eh bien, alors la chose suivante, vous savez, il a prié toute la nuit : " Ô Dieu, sois miséricordieux. Et, ô Dieu, viens en aide. Nous Te prions de nous venir en aide d'une façon ou d'une autre. " Il est redescendu vers l'aube.

117.     Jour après jour, et, oh, quel hurlement dans le pays. Chaque jour on entendait des mères pousser des cris, dans des rues. On avait arraché leurs petits enfants de leurs bras, leurs petits enfants mâles mignons ; ces vieilles sorcières entraient là et les prenaient par leurs petits pieds, et les cognaient contre le mur ? les tuaient, et les jetaient en pâture aux crocodiles. La pauvre mère s'agenouillait et implorait : " Oh, ne prenez pas mon enfant. Ne prenez pas mon enfant. " Et, oh,  quel temps elles ont eu!

118.     Vous savez combien une mère aime les petits enfants, comment elle le met contre la joue. Vous vous rappelez comment la mère vous prenait, et - et - et vous lavait, et vous embrassait, et - et - et disait combien vous étiez joli. Et comment elle te mettait au lit la nuit. Et, oh, si - si vous… une petite porte s'ouvrait, un petit vent passait, quelque chose  comme ça, et, oh ,la la, elle accourait très vite et fermait la porte, et couvrait le petit enfant, et vous savez, ça la préoccupait ; elle vous aimait. Voyez ? Elle vous aimait. Oh, elle aimait ce pauvre petit être que Dieu lui avait donné, qui était sans secours et qui ne pouvait pas s'aider lui-même, elle aimait donc  ce petit enfant. Elle embrassait simplement ces petits enfants et jouait avec eux, parce qu'elle était une vraie mère. Voyez

119.     Mais ces vieilles femmes qui tuent les enfants, elles ne savaient pas ce qu'était l'amour maternel. Elles  n'étaient pas de mères. Tout ce qu'elles pensaient, elles n'avaient que de grands moments à l'esprit, les choses du monde. Alors, elles entraient, tuaient ces petits enfants. Vous êtes trop jeunes pour le savoir, mais ça se passe encore. C'est vrai. Eh bien, vous les adultes, vous savez de quoi je parle. C'est vrai. Il y en a trop … Oh, vous dites : "Je n'accepterais pas… " Mais l'avortement, c'est la même chose. Très bien, mais vous voyez, elles ne savent pas ce que c'est l'amour maternel. Maintenant, vous savez de quoi je parle quand je parle de véritables mères. C'est vrai. Ce n'est pas différent, le même diable… Alors là, ensuite, ils… et rien que de penser à des myriades chaque année, c'est tout aussi mauvais qu'en Egypte ou pire, Et là…

            Alors, elles entraient, elles n'avaient pas l'amour d'une mère, elles prenaient donc ces petits enfants et les tuaient ; oh, ça allait de mal en pis. Et un jour, il eut une autre rumeur, qu'on allait tenir une autre réunion.

121.     Pharaon a rassemblé tous ses conseillers, il les a tous rassemblés, et ils sont entrés là et il a  dit : "  Très bien, ils continuent à se multiplier. Qu'allons-nous donc faire à ce sujet ? "

            Ce même vieux gars rusé et habile, au visage de démons s'est levé et a dit : "  Que le roi pharaon  vive à jamais.  J'ai une idée. Ecoutez, vous faites travailler les hommes. Vous leur faites faire des fours des briques, autant chaque jour, vous leur faites faire cela à partir du chaume. Vous avez  tué les - les petits enfants et tout, mais ils continuent à se multiplier. Ce  que vous devriez faire, c'est de faire travailler aussi les femmes. Si vous faites travailler les femmes, alors elles ne vont pas… "  Eh bien, ce n'est pas la place d'une femme ; non. Alors, il a dit : "Faites travailler les femmes, mettez-les là et faites-les faire aussi des briques. Et alors, elles seront tellement fatiguées, à leur retour, qu'elles - elles ne pourront pas préparer le souper pour leurs maris ; elles ne pourront pas être une bonne maman ; voyez ? Ainsi donc, si elles se mettent à travailler et qu'elles continuent ainsi, alors elles - elles ne seront pas capables de faire cela. Faites-les donc travailler aussi. "

            " C'est bien, bon ; oh, la la ! tu es sage. " Et alors, il a fait travailler toutes les femmes.

124.     Et voici venir le pauvre vieux Amram, il revient cette nuit-là, et dit : "Oh, Jokébed, je ne sais pas ce que nous allons faire. Eh bien, ils vont faire travailler toutes les femmes. Je - je t'assure, oh, je ne sais simplement pas quoi faire. Nous sommes - nous sommes - nous sommes juste… nous sommes des esclaves et les choses s'empirent sans cesse pour nous. Je - je prédis ceci : Si jamais Dieu fait quelque chose pour nous, ça sera après que nous serons tous morts. "

            Eh bien, Dieu n'attend pas jusque là, n'est-ce pas ? Non. Parfois Dieu nous observe simplement, n'est-ce pas ?  Très bien.

            Ainsi donc, cette nuit-là, il a dit : "Je monte prier comme jamais auparavant. "

            Eh bien, c'est ainsi qu'il faut prier, n'est-ce pas ? Priez comme vous n'avez jamais prié auparavant, soyez vraiment à l'œuvre ! Voyez, si vous vous  approchez et [que vous dites : " Seigneur, bénis untel et untel. " Dieu ne-Dieu n'accorde pas beaucoup d'importance à ça. Mais quand vous vous mettez vraiment à l'œuvre… Quand vous, les petits garçons et les petites filles, vous priez, mettez-vous vraiment à l'œuvre. Faites-vous cela à l'école ? Cela est.. Demandez-vous à Dieu de vous aider à l'école ? Quand - quand vous vous rendez à l'école, et  que vous ne faites pas des très bons points, vous allez et  vous dites : " Ô Dieu, je - je veux que Tu m'aides " ?

128.     Priez-vous ? Combien de petits garçons et de petites filles prient ? Faites voir les mains. Oh, c'est bien. Bon, c'est bien. Avez-vous un  lieu secret où vous allez prier, où maman et papa ne  vous voient même pas ? Priez-vous comme cela ? Vous, ne priez-vous pas comme cela ? Ayez un petit endroit,  allez-y furtivement et priez, dites votre petite prière. Dites-vous cela chaque nuit avant d'aller au lit ?  Quand vous  vous réveillez le matin, chéri ? Oh, c'est bien. Combien d'autres petits garçons et petites filles prient ? Levez la main, là loin dans la salle.  Oh, n'est-ce pas bien ? Eh bien, maintenant, c'est bien. Cela montre que vous avez une vraie mère et un vrai papa qui vous enseignent à faire ces choses. Eh bien, eh bien, quand vous avez réellement un besoin, vous feriez mieux de prier sincèrement, n'est-ce pas ?

129.     Ainsi, le petit Amram monte à l'étage. Oh, la la ! Il ne voulait pas de souper. Il a dit : " C'est trop  dommage. Oh, la la !… "

            Oh, a-t-elle dit, tu  dois prendre le souper, papa. "

            " Je ne peux simplement pas faire  ça, Jokébed. Je ne peux simplement pas le faire ? Je - je… "

            " Oh, a-t-elle dit, mais tu perds de poids, et tu deviens nerveux, tu as le visage pâle. Et tu vomis la nourriture et tout. "

            " Oh, je ne  sais  quoi faire. " Mais il a dit : " Chérie, qu'allons-nous faire si personne ne prend le peuple à cœur, si personne ne prie pour le peuple ? Les choses s'empirent. Assurément, Dieu exaucera parfois. "

            Oui, c'est vrai ; C'est vrai. Dieu exaucera ; mettez-vous à la tâche et restez simplement là.

133.     Oh, cette fois-ci il monte à l'étage étant différent. Une fois monté à l'étage cette fois-ci, il s'agenouille, il lève les mains et crie : " Ô Dieu, c'est à Toi que je parle maintenant. " Amen, il se met à la tâche… " Ô Dieu, Tu as des oreilles et  Tu entends. Tu as des yeux,  et Tu vois. Tu as une mémoire ; Tu connais Ta parole. Tu  connais Ta promesse. Je plaide devant Toi, ô Dieu, baisse les regards ici, Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, et vois Ton peuple en détresse et mourant. Fais quelque chose pour nous, ô Dieu. [Frère Branham frappe trois fois sur la chaire. - N.D.E. ] Il nous faut T'avoir sur-le-champ. Il nous faut simplement T'avoir sinon nous périssons. Il nous faut T'avoir. Il nous le faut vraiment, si nous devons vivre. " C'est alors que vous priez réellement.  Oh, il a prié.

134.     Vous savez, parfois les gens, quand ils prient, ils se fatiguent. N'est-ce pas vrai, papa et maman ? Oh, ils se fatiguent beaucoup ; parfois frère Branham devient très fatigué ; je m'évanouis pratiquement quand je me mets à prier pendant longtemps ; je m'évanouis simplement, je ne mange pas et tout, pendant des jours, et je prie, et je prie, et je prie, et je prêche, j'en arrive au point où je m'évanouis presque. Et parfois les gens en arrivent là. Ce n'est pas le moment d'abandonner. Continuez. Dieu exaucera. [Frère Branham frappe trois fois sur la chaire. - N.D.E. ] Certainement. Tenez ferme. Certainement.

135.     Alors, il monte les petites marches grinçantes. Et je  vois Jokébed passer par là et  dire : " Oh, Amram, non. Chéri, je - je pense…

            Eh bien, Jokébed, écoute, tu es une bonne et aimable… " Elle était belle, c'était une petite mère jolie. Et il l'a embrassée sur la joue, vous savez, et il l'a tapotée comme ça. Il a  dit : " Eh bien, maman, rentre mettre Aaron et - et la petite Miriam au lit. Et moi, je vais monter prier. Et alors, si tu m'entends pleurer, ne monte pas. "

            " Eh bien, mais, Amram, que vas-tu faire, chéri ? Tu es-tu es pratiquement mort. "

138.     " Oui, mais je - je - j'ai à cœur le fardeau pour le peuple ; et je dois faire quelque chose à ce sujet ; je dois rester à genoux ; ainsi donc, tout le monde… " Il a dit : " Aujourd'hui, aujourd'hui même, là à la briqueterie, j'étais là, on disait sans cesse : 'Eh bien, assurément, Dieu exaucera.' Et un vieil homme corpulent s'est  approché, il a mis les mains aux hanches et a dit : 'Quand exaucera-t-Il ? Quand exaucera-t-Il ? " Voyez-vous comment les gens deviennent même violents ? Ils s'opposent à Dieu, du fait qu'ils prient et prient et prient et  que rien n'arrive ; Et celui-ci prie et prie et prie et rien n'arrive ; Et tous les sacrificateurs  disent : " Les jours des miracles sont passés, tout ce que nous pouvons faire, c'est simplement baisser la tête devant ces vieux chefs de  corvées  qui adorent des païens ou plutôt des dieux païens, et  tout le reste. Et que pouvons-nous faire ?' mais, a-t-il dit, mais je crois en Jéhovah. Amen. Je crois qu' Il exauce toujours la prière. "

            Croyez-vous cela ? [L'assemblé dit : " Amen ! " - N.D.E. ] Le croyez-vous ? Amen. Vous tous qui le croyez, dites " amen. " [L'assemblée dit : " Amen ! " - N.D.E.] Il exauce toujours la prière… Très bien.

140.     Le vieux petit corps frêle avait perdu beaucoup de poids, il monte les marches grinçantes, il va là, s'agenouille et il dit : " Ô Jéhovah… Oh, il  a prié comme jamais auparavant.  Il a  dit : ' O Jéhovah, regarde ça. Tu es un vrai Dieu. Nous croyons que  Tu as  des oreilles. Nous croyons que Tu as des yeux ; Et Tu connais toutes choses. Et nous croyons que Tu es le Dieu des Hébreux, et nous sommes le peuple de la promesse. Nous croyons que Tu tiens Ta Parole. " Il a dit : " Regarde ces païens ici, comment ils obtiennent notre service à vil prix, et  construisent d'immenses routes, des idoles et tout. Toi, ô Jéhovah, resteras-Tu assis au Ciel et laisseras-Tu les Païens régner  sur Toi ? Je ne crois pas que Tu le feras. " Amen.

141.     Je ne crois toujours pas qu'Il le fera.  Amen. Quand le diable arrive, Dieu reste toujours Dieu ; c'est vrai ; Il ne permettra pas à ces démons de faire cela. Je crois qu'aujourd'hui où la mode, le non sens et toutes ces bêtises se passent, cependant, Dieu règne toujours et Il reste toujours Dieu. Exact. Ce dont nous avons besoin, c'est de quelqu'un comme Amram, qui a à cœur le fardeau et qui restera là et priera jusqu'au bout, jusqu'à ce que les cieux s'ouvrent là, et que Dieu descende et exauce la prière. Amen.

            " Maintenant, regarde ça, a-t-il dit, ô Dieu, laisses-Tu les païens se moquer de Ton peuple comme ça ? Des semaines, des mois et des années se sont écoulés. Nous prions constamment, avec larmes mais… " [ Espace vide sur la bande-N.D.E.] " Ô Dieu, vas-Tu permettre pareille chose ? "

143.     Je me demande aujourd'hui, alors que des centaines de petits enfants sont jetés dans des  rivières et des fosses sceptiques, et qu'il ne leur est pas permis de vivre, des avortements et tout le reste sont pratiqués, ô Jéhovah, vas-Tu permettre que de telles histoires continuent [Frère Branham frappe six fois sur la chaire. - N.D.E. ] ? Aujourd'hui, alors que des whisky et la bière, et la vie nocturne, et  tout le reste, foisonnent. Et même la chaire est devenue si faible qu'on a peur de  dire  quoi que ce  soit à ce sujet ; ô Jéhovah, vas-Tu permettre qu'un tel non-sens continue ? Il exaucera un jour. Oh, Sa colère est terrible lorsque elle se manifeste. Certainement. Des femmes sortent et font mourir leurs enfants, des cendriers où laisser tomber la cendre, et tout. Et des gens amènent leurs petits enfants aux bars, de petites filles et de petits garçons sont assis là, de six ou huit ans, buvant, et des choses semblables. Et la nation légalise cela : C'est en ordre. Oh, la la ! Pensez-vous que Jéhovah ne voit pas cela? Alors qu'ils se moquent même de ceux qui sont vraiment en ordre avec Dieu. Toutes ces choses qui se passent, on s'en moque. Tenez ferme, continuez simplement à tenir ferme. Jéhovah exaucera. Ne vous en faites pas. Très bien.

144.     Allons un peu plus loin. Nous le voyons là en prière. Et il se fatigue tellement qu'il s'écroule. Il prie tellement qu'il s'écroule par terre. Il ne peut pas aller plus loin, et il a fait un petit somme. Il s'est réveillé. " Qu'y a-t-il ? Regardez-moi ça. D'où vient cette Lumière-là ? Oh, regardez, là au coin. " Là se tenait un Ange, Son épée pendait là sur Son côté. Oh, il a  de nouveau regardé, il s'est frotté les yeux. Il s'est relevé sur ses genoux ; il a  dit : " Seigneur. Oh, oh, que - que veux-Tu de moi ? "

145.     Il a dit : " Amram, Je suis l'Ange de Dieu. J'ai été envoyé des cieux pour t'annoncer que Dieu a exaucé tes prières. Je suis venu t'annoncer qu'Il va envoyer un libérateur. Il se souvient de toutes Ses promesses. " Je vois l'Ange maintenant ; regardez-Le ; Il tire cette épée, Il la pointe en direction du Nord ; Amram regarde. Et il dit : " Le bout de cette épée se pose juste sur la Terre promise. Et j'avais promis à Abraham, à Isaac, et à Jacob, tes ancêtres, que ton peuple héritera ce pays-là. Et J'ai entendu les gémissements du peuple ; J'ai entendu le cris des enfants ; et Je suis descendu. Et j'aimerais que tu saches que  tu vas  jouer un rôle important dans cela, Amram, parce que tu as été fidèle dans la prière. Et tu as été fidèle dans ta maison ; Et l'année prochaine, vers ce temps-ci, Jokébed, ta petite aimable femme, va embrasser un petit garçon. Et ça sera ce petit garçon qui sera le libérateur. " Gloire !

146.     Il a dit : " Oh, Oui. Oui. Oh, Oui. Oui. Oh, Il est très beau. " Il a regardé, et l'Ange a commencé à se lever. Et on dirait que tous les Cieux s'étaient ouverts, et l'Ange est sorti de la pièce. Il a attendu un tout petit peu. Il a dit : " Oh,  Je ne suis pas hors de moi. Il a très vite descendu les marches, et il a dit : "  Jokébed, Jokébed, très vite. "

            Elle a dit : " Oui, qu'y a-t-il, chéri ? "

            Il a dit : " Lève-toi. " Et la lumière de la lune brillait par la fenêtre, c'était… ?… Elle était belle. Et il a dit : "Je viens  de voir un Ange de  Dieu, et Il m'a annoncé toutes ces  choses. "

            " Oh, quel aspect avait-Il ? " a demandé la maman. "Quel aspect avait-il ? "

            Il a dit : " Oh, Il  était beau. Il portait une  robe brillante. Ses yeux étincelaient. Il tenait une épée en main, et Il l'a pointée en direction du Nord. " C'est dans cette direction-là, vous savez, que se trouve la Terre promise par rapport à l'Egypte ; là-haut, la Palestine. Il a dit : " Il l'a pointée vers le Nord ; Et il a dit que nous allons avoir un enfant l'année prochaine, vers ce temps-ci, et  que ce petit enfant  qui viendra sera un conquérant, et qu'il va délivrer son peuple. Oh, alleluia, Jokébed ! "

150.     Et il a remarqué qu'elle se tenait calme. Son visage, ses yeux étaient fixes ; ses grands yeux regardaient. " Jokébed, qu'y a-t-il ? "

            " Oh, Amram ! Non, non, non. Nous, avoir un garçon ? "

            " Oui. "

            " Oh, tu… ce n'est pas possible. Sais-tu quoi ? Oh, mon Dieu, n'eût été cette vision que tu as eue ! Sais-tu quoi, Pharaon est en train de tuer tous les petits enfants. "

            " Oui. Mais, tu sais, si Dieu nous donne cet enfant, Dieu prendra soin de lui. Amen. Dieu a fait la promesse. Dieu prendra soin de lui.  Eh bien, le lendemain il part au travail. Tous ses collègues là ont été frappés par Amram. Plutôt que de venir, vous savez, tout affaissé et fatigué, il avait les épaules redressées, il disait : " Passez-moi encore des briques. Allez, allons-y. "

            " Qu'y a-t-il ? "

            " Gloire à Dieu ! Dieu va exaucer la prière. Oui, oui ", allant de l'avant.

154.     Vous savez, vous vous sentez bien quand vous recevez un exaucement à la prière. Ne savons-nous pas cela, papa et maman,  lorsque  Dieu exauce la prière ? Vous n'avez pas besoin d'avoir une vision, mais juste savoir que l'exaucement est là, c'est tout. C'est tout, rien que de savoir que l'exaucement est là. Eh bien,  écoutez attentivement maintenant. J'aimerais que vous écoutiez ce qui s'est passé. Eh bien, vous savez,  peu après, il ont dit : " Très bien, Amram, qui y-a-t-il avec  toi ? "

            " Dieu va exaucer la prière. Dieu va exaucer la prière. "

            " Eh bien,  comment va-t-Il exaucer la prière ? "

            " Cela ne change rien. "

            Un vieux gars s'est avancé et a dit : "   Quand penses-tu qu'Il va donc exaucer la prière ? "

            " Je ne vais pas vous le dire, parce  que vous, vous êtes un incroyant, après tout. Passez-moi encore des briques. " Il les a jetées là-dedans, comme ça. Non… ?… Ne vous en faites pas, il ne vous faut pas tout dire aux incroyants. N'est-ce pas ? Cela ne change rien. Non, non. Certainement pas.                              Passez-moi encore des briques. Alléluia ! Il va exaucer la prière. " C'est ainsi que vous vous sentez lorsque vous savez que cela va arriver. N'est-ce pas ? Oui, oui. " Eh bien, comment va-t-Il le faire ? "

            De toutes les façons, vous ne savez pas comment Il va le faire ; continuez simplement à me passer des briques. " Mettez-les toutes là-dedans, prenez toutes ces vieilles briques là-dedans.

160.     Cette nuit-là, il est rentré chez lui, il a  dit : " Oh, Jokébed, pensez-y, nous allons avoir un enfant. Oh, et ça sera lui le libérateur. Dieu l'enverra. Oh, ça sera merveilleux.

            " Oh, mais je suis vraiment… "

            "Oh, cesse de t'inquiéter. Cesse de t'inquiéter. Oh, la la, Dieu est en train de-Dieu est à l'écoute maintenant. Dieu a des oreilles ; Dieu peut entendre. Dieu a des mains ; Il peut délivrer. " Alors… Oh, il avait alors une grande foi.

            Vous savez, lorsque vous priez jusqu'au bout, vous obtenez l'exaucement, vous avez alors une grande foi en ce moment-là. Oh ! Avez-vous déjà prié pour quelque chose et vous étiez sûr que  Dieu allait accomplir cela pour vous ? Est-ce que vous, les petites filles et les petits garçons, cela vous arrive-t-il ? Oui, assurément ; C'est alors que vous - c'est  alors que vous êtes sûr que cela va arriver. Très bien.

163.     Une année entière passe. Et la chose suivante, vous savez, voici qu'un jour Amram revient du service. Qu'est-il arrivé ? C'est le bébé le plus beau, oh, c'était un petit chéri, long comme ceci. Et alors, elle l'a pris, elle l'a tendu à Amram. Et ce dernier le baise, vous savez. Il l'aime. Voyez ? Et la maman le tenait. Oh, quel trésor ! Elle a dit : " Oh, cependant j'ai très peur, tu sais. Ce petit enfant est très beau. "

Et vous savez quoi ? la Bible dit que c'était le petit enfant le plus beau qui soit jamais né. Eh bien, je sais que les mères seront en désaccord avec moi là-dessus. Elles pensaient… votre mère pensait que vous étiez le petit enfant le plus beau. N'est-ce pas ? Oui . Elle a le droit de penser comme cela. Mais la Bible dit que celui-ci était un beau petit enfant. Oh, c'était un bijoux. Dieu avait Ses mains sur lui, vous savez. Ainsi, oh, c'était le petit être le plus mignon. Il était couché là et il - il esquissait un petit sourire sans dents.

165.     Avez-vous déjà vu un petit frère et autre, alors qu'il n'avait pas de dents, faire juste un petit sourire comme ça ?

            Et la chose  suivante, vous savez : " Ah ! "

            " Oh, la la, bonté divine ! Ouf. Je sais, cachons-le. "

            " Qu'y a-t-il ? Que fais-tu ? "

            " Amène-le au rez-de-chaussée. Tu connais les instructions. Voyez, si ces vieilles sorcières au long nez passaient par ici, elles prendraient notre enfant et le tueraient. C'est vrai. Nous ne pouvons pas le laisser pleurer. " Ainsi, oh, il avait besoin d'un - il avait besoin d'un petit déjeuner ou d'un souper. Alors, la maman l'amène là au coin, et l'allaite, vous savez. Et alors, il se calme donc.

167.     Quelques soirées après cela donc, on jouait avec lui. Et : " Wah ! "  Il était encore réparti, vous savez, il s'est mis à pleurer. Elle s'est très vite éloigné, elle l'a caché, elle l'a très vite caché comme cela. Et au rez-de-chaussée, là tout au fond, dans le mur, Amram avait aménagé un petit endroit où on pouvait cacher l'enfant.

            Et puis, tout d'un coup, vous savez, ils ont entendu quelque chose monter les escaliers… [ Frère Branham frappe six fois sur la chaire. - N.D.E.] " Ouf ! c'est parti ! " Tout le monde s'est dispersé, allant vers un seul endroit, disant : " Ce sont elles. Ce sont ces vieilles sorcières ! " Ces vieilles dames aux longs doigts, et aux ongles peintes. Et ces  vieilles sorcières regardaient là. Et Amram a regardé par la fenêtre, il a dit : " Oui, ce sont elles. Elles se tiennent là. " [Frère Branham frappe cinq fois sur la chaire. - N.D.E.] "  Ouvrez ! " Le vieux Amram est sorti, il a ouvert la porte, il a demandé : " Que voulez-vous ? "

            Elles ont  dit : " Vous avez un bébé ici et nous le savons. Et nous allons le prendre ; "

            " Nous n'avons pas de bébé à vous  donner. " (Ils n'en avait pas.)

171.     " Nous venons vérifier de toutes les façons. Nous sommes des policières. Voyez-vous nos insignes ? " Et c'est un… N'est-ce pas là une tâche à faire pour une femme ! Mais : " Nous sommes des policières. Nous détenons des pouvoirs de la part de  l'autorité. " Vous savez, nous en  avons ici aujourd'hui. Et alors - et alors, elles ont contrôlé, elles  sont entrées. Elles sont entrées, elles ont retourné le divan, elles ont ouvert tous les tiroirs et elles ont tout jeté par terre, elles ont pris toutes les couvertures, les draps de lit, elles les ont secoués, elles sont montées à l'étage, elles ont trouvé là où papa avait aménagé une petite cachette. Elles ont examiné partout, mais elles n'ont pas pu trouvé l'enfant.

172.     Elles n'ont pas pu trouver l'enfant, alors, elles  se  sont approchées de la femme là… ?… la pauvre Jokébed tenait là, visage pâle. Elles se  sont approchées et ont dit : "  Regardez  ça. Nous savons que tu es mère. On le voit par ta mine. Nous savons que tu allaites. Et nous savons que cet enfant est ici. Nous reviendrons. Nous le prendrons. " Elles sont sorties par la porte. Elles ont claqué la porte, et elles sont  sorties.

            Elle a dit : " Oh, oh, que pouvons-nous faire ? Que pouvons-nous faire ? "

            Alors Amram a dit : " Prie. " Est-ce là la chose à faire ? Est-ce là la chose ? [ Les petits garçons et les petites filles disent : " Oui. " - N.D.E.]

            " Priez. Prions. "

            " Oh, oh, oh.  Je ne sais quoi-quoi faire. " Oh !

            Alors  il a  dit : "Ecoute, calme-toi, et mets-toi encore à allaiter l'enfant. Je vais à l'étage prier. "

175.     Il va donc à l'étage, il prie. Il dit : "Ô Jéhovah, Tu as des oreilles.  Jéhovah, Tu as des yeux. Jéhovah, Tu entends.  Tu peux exaucer la prière. C'est  Toi qui nous a donné cet enfant. C'est  Toi  qui nous as  donné  Ta promesse. Et Tu tiendras Ta promesse, et Tu garderas cet enfant. Et j'ai confiance. "

            Après avoir prié, il était très fatigué et il-il s'est tout simplement écroulé  comme ceci, il s'est endormi [Frère Branham imite le ronflement. - N.D.E.]. Il était très fatigué, il travaillait toute la journée, et il priait toute la nuit. Il était fatigué. Et alors, vous savez, qu'est-il arrivé ? Il s'est endormi, et il a eu un songe.

177.     Vous savez, Dieu parle aussi par des songes. N'est-ce pas ? Assurément qu'Il le fait. Oui, Il le fait. Il le peut. Voyez ? Et Il parle par les songes. Oh, il s'est réveillé, il a dit [Frère Branham claque une fois ses doigts.-N.D.E.] " C'est ça. J'aurais dû y penser. C'est ce que je devais faire. [Frère Branham frappe une fois sur la chaire. - N.D.E.] Je ne dirai absolument rien à ce sujet. " Il descend les marches, il dit : " Jokébed. "

            " Oui, chéri. Oh, je suis très fatigué. Je n'arrive pas à dormir. "

            " Oh, va dormir. Va dormir. Tout est réglé. "

            " Comment le sais-tu ? "

            " Oh, je le sais bien. J'ai simplement confiance. "

179.     Cette nuit-là, au lieu que papa monte à l'étage prier, il est descendu dans la cave, il était occupé là en bas ; je me demande ce qu'il faisait. Faufilons-nous là et observons-le. Je le vois là en bas faisant… [Frère Branham se met à fredonner et à marteler pendant qu'il imite la fabrication de quelque chose. - N.D.E.] " Clac, clac, clac. " [Frère Branham fredonne. - N.D.E.] Prends ce roseau-ci et examine-le, tords-le et vois s'il est bon. [ Frère Branham fredonne.] Le petit Aaron était sorti ce jour-là, il en avait ramassé  toute une brassée, il les avait déposés dans la cave, vous savez. [ Frère Branham fredonne.] Dieu prend soin de toi.  [Frère Branham fredonne. - N.D.E.] " L'ancien Evangile, ça doit être entièrement vrai ! " [ Frère Branham martèle sur quelque chose. - N.D.E]… Rattache cela. Elle dit : " Amram, qu'y a-t-il avec toi ? "

            " Alléluia ! Rien, chérie. Va de l'avant. " [ Frère Branham fredonne.-N.D.E.] C'est l'ancien Evangile.  [ Frère Branham martèle encore.] C'est l'ancien Evangile. 

            Apporte cela ici, tu sais. C'est l'ancien Evangile ; 

            " Sh, sh, sh ", scelle entièrement cela. " Et c'est assez bon pour moi. Donne-moi cet ancien… " Il était en train de fabriquer quelque chose.

181.     Vous savez, une ou deux semaines… la chose suivante, vous savez, les autres se demandaient ce qu'il fabriquait. Alors une nuit, pendant qu'ils dormaient tous, il monte furtivement à l'étage. Il monte avec cette petite chose à l'étage, vous savez ; il fait monter cela comme ceci. Et il fait monter cela. Il soulève la couverture dont se couvrait Jokébed sa femme qui dormait, il glisse cela sous la couverture. Et - et le petit Aron ainsi que-ainsi que la petite Miriam étaient endormis, vous savez. Oh, elle était douce, cette fillette, et le petit Aaron aussi.

            Alors Amram a placé cela là, en dessous. Il a  dit : " Jokébed, chérie. "

            Elle a dit : "As-tu été dans la cave prier cette fois-ci la nuit, Amram ? " Il a dit : " Non. J'ai été dans la cave louer Dieu. "

            Elle a dit : " Que faisais-tu ? "

            Il a dit : "Je voudrais te le dire. Eh bien, tu sais que ces vieilles sorcières vont revenir. "

            " Oui. "

            Et j'aimerais te  dire ce que nous allons faire. Ça fait maintenant trois mois depuis que nous avons cet enfant, et nous devons nous en débarrasser. "

            " Oh, Amram, tu dois faire quoi ? "

            "  Nous devons nous débarrasser de l'enfant. "

            " Nous débarrasser de l'enfant ? "

            " Oui. "

            " Oh, tu es cruel ! "

            " Non, je ne  suis pas cruel.  Non, non, non. Je sais ce que je fais. "

            "  Mais que veux-tu dire ?  Eh bien, tu seras  aussi mauvais que Pharaon. Nous allons nous débarrasser de notre enfant ? "

            " Oui, nous allons nous débarrasser de l'enfant. "

            " Oh, nous ne le pouvons pas. "

            " Eh bien, écoute. Si nous le gardons, nous allons le perdre. Et  si nous le remettons à Celui qui nous l'a  donné, nous le retrouverons. " Est-ce vrai ? " Eh bien, si vous le gardez, nous allons le perdre ; "

            " Comment va-t-on le perdre ? "

            " Eh bien, ces vieilles sorcières passeront par ici et le prendront. "

188.     Et écoutez, si vous gardez cette âme et  que  vous allez de l'avant  et  que  vous vivez  comme le monde, vous allez la perdre ; les sorcières de  l'enfer vous pourchasseront. Et c'est vrai. Et  toute cette vieille folie du monde et des choses qu'il y a là, cela sera juste  à vos trousses. Si vous gardez cela, vous allez le perdre ; mais si vous remettez cela à Celui qui vous l'a donné, vous le retrouverez et vous le garderez. Qu'est-ce  donc ? Si nous gardons cela, qu'est-ce que nous faisons [Les enfants  disent : " Nous perdons cela.-N.D.E.] Nous perdons cela. Si nous la confions à Christ, nous faisons quoi ? Nous la garderons. Amen ! C'est bien. Maintenant, vous avez bien répondu.

            Eh bien, il a dit : " Jokébed, nous perdrons cet enfant si nous le gardons. Alors, si nous le remettons - le remettons à Celui qui nous l'a donné, nous le garderons donc.

190.     Eh bien, vous avez une âme, et papa et maman, aussi. Mais si vous la gardez, vous allez la perdre. C'est vrai, les sorcières de l'enfer s'en accapareront. Elles sont toutes à la recherche de cela. Mais si vous la remettez à Celui qui vous l'a donnée, vous la garderez pour la Vie Eternelle. Alléluia !  Amen. Excusez-moi, les enfants ; je suis simplement assez à l'ancienne mode pour pousser des cris. Si vous la gardez… Disons-le tous ensemble [Frère Branham et l'assemblée le répètent ensemble. - N.D.E.]

            " Si vous la gardez, vous la perdrez. Si vous la remettez à Celui  qui vous l'a  donnée, vous la garderez. " Amen. Souvenez-vous-en donc, remettez-la-Lui. Maintenant, suivons. Oh, elle s'est mise à pleurer ; elle a dit : " Oh, que vas-tu faire avec lui ? " Elle a dit…

            "  Ecoute ça, j'aimerais te montrer quelque chose. "

            " Qu'as-tu placé sous mon lit, là ? "  Il a dit : " Laisse-moi te le montrer. " Et il a sorti cela.

            " Oh, c'est un petit panier en roseaux. "

192.     C'est un petit bateau, c'est ce qu'il en est. Ça n'a pas de gouvernail, et ça n'a pas de voile, ça n'a pas de canaux, et cependant cela va transporter la cargaison la plus précieuse qu'aucun navire n'ait jamais transportée jusqu'alors. Ecoutez ça ; il n'avait pas de capitaine[Frère Branham claque ses mains deux fois. - N.D.E.] Ça n'avait pas d'équipage. Frères, je connais un bateau comme cela aussi pour un adulte.

            " Oh, a-t-elle dit Am, laisse-moi bien voir cela. Amram, laisse-moi voir. "

            Elle va là.

            Il dit : "Regarde ça, ça a un petit couvercle au-dessus. Regarde, tu soulèves le petit couvercle. "

            Elle a dit : " Ouf, ça pue. Uhm Ouf ! Oh, la la ! "

            Il a dit : " Oui, ça pue. "

            " Pourquoi ? "

            " Je l'ai complètement enduit de bitume. C'est entièrement enduit, partout. " Le bitume, c'est du poix, vous savez, on enduit donc tout cela de poix. C'est ce  qu'il faisait bouillir là en bas, il a déversé cela sur ces roseaux. Il a enduit cela de poix. Il a dit : " Voyez, l'eau ne peut pas - l'eau ne peut donc pas entrer là-dedans, voyez, c'est complètement scellé. " et il a dit : " Et ça - ça ne peut simplement pas entrer ; l'eau ne peut pas entrer. J'ai enduit cela de poix. "

            Il a dit : "Ouf, ça sent mauvais ! "

196.     Vous les enfants vous savez ce qu'est le bitume, lorsqu'on répare les rues, vous savez, oh, cela a une mauvaise odeur. Mais  cela - cela - cela - cela conserve le… cela - ça bouche toutes les fissures dans la rue. Et  c'est ce que ça fait ; ça bloque complètement l'eau.

            Et c'est ce que la prière fait pour les croyants. C'est ce qui retient le monde loin de  vous, c'est lorsque vous vous enduisez de poix à genoux et que vous dites : " Seigneur Jésus. " Alors le sang descend et vous scelle complètement de telle sorte  que le diable ne peut pas vous atteindre. Voyez, c'est vrai. Voyez-vous ? Ainsi donc, oh, souvent les gens vont ça et là et  disent : " C'est horrible ! " Mais cela ne change rien ; cela vous garde en sécurité. Voyez-vous ? C'est ça l'essentiel : être en sécurité. On dit  que vous êtes démodé, mais, cela importe peu ; ça vous garde en sécurité.

198.     " Eh bien, a-t-il  dit, qu'allons-nous faire ? "

            " Très bien, a-t-il  dit, je vais te  dire ce que nous allons faire. Nous  allons prendre cet  enfant et nous allons nous séparer pendant un peu de temps. Nous  allons prendre cet enfant et le placer là-dedans, et le mettre dans le fleuve Nil. "

            " Oh, non, non, non. Amram, tu ne peux pas mettre notre enfant dans le fleuve. "

            " Oui, oui. Je sais ce que je fais " ; Voyez,  il  avait  eu un songe ; il savait quoi faire. Voyez-vous ? Dieu lui avait  donné des instructions. Il savait quoi faire. Il avait fabriqué cela, et il avait vu que c'était le type même de l'arche  qui avait jadis sauvé Mo -Noé  à son époque.

             Alors, il a dit : "Regarde ça, j'ai fait un petit trou juste au  sommet, de sorte qu'il puisse respirer. Tu  vois, il peut recevoir la lumière du soleil par là. " Et vous savez, l'arche, jadis dans la Bible, dans le passé lointain, c'était ainsi fabriqué. Et ça avait un trou juste au  sommet,  de  sorte qu'on pouvait voir dedans (voyez-vous ?), par où on devait regarder en haut.  Ainsi donc, ce pauvre petit enfant, sans nom, il n'avait même pas de nom, un petit enfant sans nom, et cependant c'était le petit enfant le plus mignon du monde.

204.     La nuit suivante, lorsqu'ils sont entrés, ils ont attendu jusque vers trois heures du matin, et alors ils… Il s'avance. Et il a fini de prier. Il s'avance et dit : " Eh bien, viens donc, Jokébed, lève-toi. "

            Et alors, ils ont réveillé le petit Aron et la petite Miriam. Oh, elle est venue, elle a placé ses bras et a dit : " Papa. " La petite Miriam, elle a dit : " Tu ne vas pas emporter notre petit frère, notre bébé, n'est-ce pas, et le placer là dans le Nil, là où il y a  tous ces vieux crocodiles ! " Et il a renvoyé sa petite chevelure en arrière comme ça. Et son… Elle avait de beaux yeux et une jolie petite chevelure. Et alors, il l'a embrassé sur la joue. Il a dit : " Chérie, ça me fait  aussi mal. Ça me fait aussi mal, mais nous devons faire ça. "

207.     Vous voyez, petites filles et petits garçons, parfois il nous faut faire des  choses qui nous font un peu mal, mais il nous faut de toutes les façons le faire.  Quand les jeunes filles  disent : "Heuh, avez-vous déjà fumé une cigarette ? "

            Vous  dites : " Non. "

            " Eh bien, essayez-en une. Oh, je suis votre copain, vous savez. Oui, essayez-en une. " Mais vous, peut-être que ça fait un peu mal, mais dites : "Non ! Je n'en veux pas. Je n'en veux pas. "

            Quelqu'un dira : " Allez-vous venir avec moi aux spectacles ce soir ? "

            "Non, non. Non !  Je ne vais pas aux spectacles. "Voyez-vous ? Cela peut faire un peu mal. Voyez ?

            " Oh, vous n'êtes qu'une vieille baderne. " Ne croyez pas cela. Cela peut faire un tout petit peu mal. Détournez simplement la tête de cela ; c'est la chose juste à faire. Voyez-vous ? Faites toujours cela ; faites la chose correcte. Très bien.

212.     Eh bien, quand les jeunes  filles apprennent cette petite danse aux pointes de pied…, et des  histoires  comme cela, et  qu'elle veut que vous fassiez cela, vous leur dites : " Non, non. " Vous ne faites pas  cela. Voyez-vous ?

            " Oh, eh bien, ça divertie beaucoup. " Peu vous importe combien de divertissements il y a. Vous aimeriez faire ce qui est  juste, alors, faites toujours ce  qui est  juste. Bon, souvenez-vous-en donc. Vous n'allez pas oublier ceci, n'est-ce pas ? Eh bien, eh bien, maintenant qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ils ont donc pris le petit enfant, et ils sont montés avec. Et le petit Aaron s'est avancé, il a  dit : " Papa, que vas-tu faire avec notre enfant ? "

            Il a  dit : " Aaron, assis-toi ici sur mon genou, chéri. " Il a dit : "Ecoute, Aaron. Si nous gardons cet enfant, qu'allons-nous faire ? [L'assemblée dit : " le perdre. ".-N.D.E.]  Le perdre. Mais  si nous le remettons entre les mains de Celui qui nous l'a donné, que ferons-nous ? [L'assemblé dit : Nous le garderons - N.D.E.] C'est ça.

            " Mais, comment vas-tu le faire, papa ? "

            " je ne sais pas. Je ne sais pas comment ça va se faire, mais c'est Dieu qui le fera. " Voyez-vous ?

217.     Ainsi donc, ils ont placé le petit enfant là-dedans, et alors il part. Et les voici partir maintenant, ils se dirigent vers la porte. Ils descendent vers la porte ; il regarde dans la rue dans cette direction-ci, dans cette autre  direction-là, il n'y a personne, personne qui vient. Il  dit : " Viens, Jokébed. Viens, Aaron. Viens, viens, Miriam. Allons. "

            Ils prennent leur petite arche et ils descendent vers le glaïeul du fleuve. Oh, c'est bien avant l'aurore ; et  voici venir le petit Aaron, là-derrière tenant la petite Miriam, le petit frère et la petite sœur, ils sont en train de pleurer. Et la pauvre petite Jokébed, tout au long de la route fait [Frère Branham imite Jokébed en train de pleurer.-N.D.E.] " Sh - sh - sh - sh - sh. " On surveille la route.  Faites attention. Sh. Faites attention : " Ils continuent en descendant la rue. " Sh - sh - sh. Faites attention. " Tout en portant le petit enfant. Et c'est la mère qui portait l'enfant, et - et le papa portait l'arche.

219.     Ils descendent  au fleuve. Oh, c'est un très grand fleuve, pratiquement le deuxième fleuve le plus grand du monde. C'était donc ce très grand fleuve, rapide, plein de très grands et vieux crocodiles et de très grands alligators. Oh, ils étaient gras. Ouf ! On leur avaient donné en pâture tous ces enfants. Ils étaient vraiment gras. Et-et elle a dit, Jokébed a dit à Amram, son mari,  elle a dit : " Oh, et si ces alligators s'emparent de lui ? Et si ces crocodiles  qui sont ici le touchent ? "

            Il a dit : " Ne t'en fais pas. Si jamais ils foutent leurs nez dans ce bitume, ils vont directement s'en éloigner. Voyez-vous ? C'est pourquoi cela pue. Voyez-vous ? Il foutra son nez ", a-t-il dit, "il ne pourra pas sentir l'odeur de la chair humaine, alors il s'en éloignera. Ce bitume dégagera une puanteur tellement mauvaise  que les crocodiles s'en éloigneront. Tout ira bien ; ne t'en fais pas. " Alors ils… Et vous savez, il s'est agenouillé et a déposé cela, la petite arche. Et elle a dit… " Eh bien, allaite l'enfant. "

221.     Alors la maman prend l'enfant et l'allaite, elle allaite l'enfant pour qu'il prenne son petit déjeuner tôt ce matin. Et ensuite elle [ Frère Branham émet le son d'un baiser à 3 reprises.-N.D.E.] donne un baiser à l'enfant. Et  elle  dit : " Eh bien, Aaron, tu peux le baiser. " Et Aaron donne le baiser à l'enfant. Et ensuite il le tend à Miriam et Miriam donne le baiser à l'enfant. Et la maman  donne le baiser à l'enfant, et : "Oh ", dit-elle, je… "

            " Sh - sh - sh. Eh bien,  écoutez donc, il nous faut être des soldats ; voyez-vous ? Il nous faut être des  soldats. Maintenant, voulez-vous tous lui donner un baiser une fois de plus ? Tous lui donne encore un baiser, à tour de rôle. Ensuite on le plaça là-dedans. Et la maman avait confectionné une petite couverture dont elle l'a couvert, ainsi qu'un petit oreiller, elle a placé l'enfant dessus. Et  elle a dit : " Mon petit enfant chéri, que Dieu te bénisse. "

            " Sh-sh-sh. Bien! Dieu s'en occupera. Ne t'en fais pas. " On a refermé le petit couvercle. Et tout d'un coup, vous savez, papa s'est mis à ôter son manteau, il a enlevé sa chemise. Le voici partir pataugeant dans l'eau.

225.     Que pensez-vous qu'il se passe au ciel en ce moment-là ? Alléluia ! vous savez, lorsqu'il se passe des choses ici sur terre, il y a quelque chose  qui se passe aussi là-haut. Amen. Je peux voir Dieu se lever de Son trône, s'avancer et  dire : " Gabriel, Gabriel, où es-tu ? "

            Gabriel  dit : " Me voici,  Seigneur. "

            " Viens ici ; Je vais te montrer quelque chose. "  Il a dit : " Vous tous les anges, venez ici une minute ; Je veux vous montrer quelque chose. J'ai des gens qui Me croient ; oui, J'ai des gens  qui me font confiance ; venez donc ici un instant. C'est bien pour vous tous les anges, vous voyiez ceci. Regardez. "

            " Où est-ce ? "

            " Juste là même sur terre. Où est-ce ? "

            " Oui, oui, oui, je vois ça. "

            " Regarde là en bas. Vois-tu  au bout de ce-au bout de ce - ce jonc-là, ce glaïeul et autre ? "

            " Oui. "

            " Regarde-là. "

            " Qu'est-ce. "

            " Il y a là un homme à genoux, avec les mains en l'air, en train de M'invoquer. Il y a une maman en train de pleurer, et  deux petits enfants en train de pleurer. Ils me font confiance même jusque au bout. Tu te rappelle Gabriel, lorsque  tu étais partis là ? Te  souviens-tu de cet homme ? "

            " Oui,  je l'ai rencontré dans une chambre cette nuit-là, je lui avais parlé. Oui, oui. "

            " Il me fait toujours confiance. J'ai des gens qui croient en Moi. J'ai des gens qui Me feront confiance jusqu'au bout[Frère Branham tape six fois sur la chaire. - N.D.E.] Regarde, le vois-tu ? Regarde-le. Oui, oh n'est-il pas brave ! "

231.     Le papa marche dans l'eau,  et  se met à repousser ce petit bateau. Je peux L'entendre  dire : " Gabriel. "

            " Oui, Seigneur. "

            " Fais venir dix mille anges sur la  scène. Intime-leur l' ordre de se mettre  en marche  tout de suite. Fais venir les armées des cieux. Fais-les naviguer tout au long de balustre du ciel, et place-les tout au long  du Nil. J'ordonne qu'aucun crocodile ne touche cette cargaison ; que rien ne touche cela. Que même pas un gros morceau de bois ne s'approche de cela. " Alléluia !

            Gabriel  dit : " C'est ce qui se fera. "

            " … ?…  Sonne la trompette. " Dix mille anges arrivent armés

            Le Père… " Où vas-Tu être, Seigneur ? "

            " Je serai à l'autre bout. " Il est toujours au poste récepteur.

"J'attendrai là à l'autre bout. J'ai un but. Quand les gens Me font confiance, j'ai quelque chose, un but, tout ira bien pour eux. " Très bien, Il descend à l'autre bout.

235.     Je vois Moïse-ou plutôt le petit Aaron et les autres remonter la  rue en train de pleurer. " Sh - sh - sh - sh - sh. " Regardez ça.

            Et la petite Miriam, elle se  tient là débout, observant. Elle a  dit : " Oh, oh ! "

            On lui a dit : " Viens, Miriam ; le jour s'élève. Viens, les coqs chantent pour annoncer le jour. Viens, le jour s'élève ; viens, chérie, partons. "

            Elle a  dit : " Oh, papa, papa. S'il te plait, encore un instant. Laisse-moi simplement rester ; laisse-moi observer cela et voir ce qui arrive. Je reviendrai à la maison d'ici peu. "

            " Oh, [Frère Branham claque son doigt.-N.D.E.] C'est une bonne idée, Miriam, c'est peut-être une bonne chose. Tiens-toi simplement là et observe ce  qui se passe. "

" Très bien, je vais-je vais observer cela. "

            " Eh bien, reviens vite à la maison peu après. Regarde seulement ce qui arrive. Viens,  apporte-nous des nouvelles sur ce qui va se passer. "

            "Très bien, papa. " Et ils sont rentrés à la maison, ils devaient se dépêcher. La petite Miriam, elle se tient là et elle observe. La chose  suivante, vous savez, il fait jour. " Oh, oh, oh, qu'est-ce qui s'approche là ? Eh bien, c'est un - c'est un morceau de bois. Non. Est-ce un alligator ? Oh, il a dévié.

242.     Ah-ah ! Qu'a-t-il vu ? Il a vu ce que beaucoup de gens ne  voient pas. Voyez-vous ? Cette petite cargaison était en train de partir, flottant-là. Ils pensaient que cela n'avait pas de pilote ; ils pensaient que cela n'avait pas de capitaine. Cela en avait un. Ils étaient rassemblés tout autour. Voici venir un petit crocodile, il dit : " Oh, regardez-ça. " Le voici venir, flottant comme ça, il va… Oh, non. Non, non.  Il ne peut pas s'approcher de cette cargaison. Là-dedans se trouvait l'émancipateur qui délivrerait… rendrait libre des millions des Juifs qui avaient besoin d'être libérés. Aucun démon de l'enfer ne pouvait le toucher. Cela flotte-là, sur le fleuve, cette petite arche faite avec du bitume.

244.     Tout d'un coup, vous savez, cela entre dans un tourbillon. " Oh, a fait Miriam, oh, non, oh regardez-là, ce tourbillon ; regardez cela ; regardez ça  comme ça. " La chose suivante, vous savez, tout d'un coup cela glisse doucement.

            C'est  ainsi que ça se passe. Nous entrons parfois dans un tourbillon, avec cette petite barque. Ne vous en faites pas. Il y a quelqu'un qui veille : " Les Anges de  Dieu campent  autour de ceux  qui Le craignent. "  Il y en avait dix mille donc sur la liste de ceux  qui devaient se mettre en route.

246.     La petite Miriam, elle descend, elle monte sur ce grand rocher, et elle file là-dessus comme ceci. Et elle descend en courant, elle observe l'arche. Ça passe par ici, ça traverse ce tas de glaïeul, peu après, ça se bloque là. Elle dit : " Oh, oh, je me pose bien de questions… "

            Eh bien, son papa lui avait dit, il lui avait dit : " Eh bien, que personne te  voie observer cela. Si quelqu'un s'approche, fais comme si tu ne regardais même pas cela ;  continue simplement dans une  autre voie. Ne fais pas comme si  tu étais même en train d'observer cela, pas du tout ; continue simplement à avancer. "

            " Très bien. " Avait-elle dit.

248.     Elle descend les rivages, et ça se bloque. La chose suivante, vous savez, il y avait un grand groupe de pêcheurs. Et elle a fait comme si ce n'était qu'une jeune fille qui se promenait par là. C'était vers dix heures du matin  donc, vous savez, et elle a continué simplement à longer  le fleuve, elle a continué à regarder derrière, de côté pour voir où cela se dirige. Peu après, elle dépasse un  autre groupe.  Elle a simplement  continuer à observer, elle va un peu plus loin.  Elle a  continué, elle est  allée un peu plus loin.

            Peu après, elle est arrivée devant un  très grand mur : " Oh! la la, ça passe derrière ce mur. " Que peut-elle faire ? Elle ne sait quoi faire. Elle ne sait  donc pas traverser le mur, alors elle patauge simplement dans l'eau, et enjambe cela comme ceci, rampe par dessus. Et elle passe de l'autre côté, et elle continue à marcher.

251.     Tout d'un coup, vous savez, elle se retrouve dans un beau jardin. Des fleurs épanouissent partout, et c'est très beau. Eh bien, écoutez juste un instant. Maintenant  suivez, petites filles. Les jolies fleurs, et, oh, des arbres sont tous taillés, cela était très beau. C'est un parc. Oh, elle dit : "Regarde ça là ! Oh, la la !  Je me retrouve dans le parc du palais, du palais  du Pharaon, dans le parc. Que vais-je faire ici? Et si jamais on m'attrapait ici, oh, la la, que fera-t-on de moi ? " Et  elle a observé. La petite arche s'est avancée là, et cela s'est un peu arrêté dans l'eau, et ça se met à tournoyer dans l'eau. Je me demande pourquoi ? Et elle entend quelqu'un parler. Elle s'éclipse sous les buissons. Elle s'est assise, et elle a regardé comme ça, vous savez, la petite Miriam… ?… regarde et voit ça.

253.     Tout d'un coup, vous savez, voici apparaître deux costaux, des noirs, portant un dais comme ça. Et des demoiselles qui suivaient, en train de chanter. Et  voici apparaître une femme, avec une très grosse bande en or  autour de la tête, tenant un grand serpent à la bouche ouverte (comme ça), en face. C'est une belle femme, elle descend.  Elle porte des très jolies robes et tout. Et j'entends l'une des servantes dire : " Votre majesté, pensez-vous que l'eau sera chaude ce matin ? "

            Miriam dit : " Majesté ?  Oh, ça doit être royale, la royauté, c'est que je dois être dans le parc. Et si on m'attrape par ici, que fera-t-on de moi ? "

255.     Très bien, elle descend, et ces grands hommes noirs la transportant, tenaient simplement comme ceci, elle descend au bord de l'eau comme ça, et elle enlève ses chaussures. Et une servante tenait des serviettes de bain, et l'autre du savon. Et, elle descendait prendre le bain matinal. Elle descend là et elle s'apprête à - à prendre bain. Elle enlève ses  chaussures et  dit : " je vais plonger mes orteils dans l'eau pour voir si c'est encore chaud. Oh, c'est vraiment bien, juste… Qu'est-ce qu'il y a là ? "

256.     " Oh, Miriam, la petite Miriam dit : " Oh, oh, oh, oh, elle espionnait cette arche là. "

            " Oh, dit-elle, est-ce là un crocodile ? "

            L'un de ces costaux hommes fort dit : " Un instant ; je vais voir. " Il entre dans l'eau : splash, splash, splash, il prend ça comme ça, et revient. Il dit : " Votre majesté… " Il donne cela à une servante. Et la servante le transmet, le lui donne et celle-ci le dépose par terre.

            Elle dit : " Qu'est-ce ? Ouf, ça pue. C'est couvert de bitume partout ? regardez ça, cela a un trou au sommet. "

            Miriam dit : " Oh, oh, mon petit frère s'en va là. Mon petit frère s 'en va là. "

260.     Et alors elles ouvrent cela comme ceci. " Oh, c'était un enfant. " Et il commence…  Le plus beau petit enfant du monde … Et, oh, le  Dieu qui peut susciter la haine, peut susciter l'amour ; tout l'amour qu'Il est capable de déverser dans le cœur d'un homme, dans le cœur d'une mère pour un enfant, Il l'a déversé dans le cœur de cette jeune fille-là. Et elle - elle a dit : " C'est l'un de Jui… je sais ce  que c'est. C'est à cause de mon méchant père. Il est très méchant. Il a ordonné que tous ces petits enfants Juifs soient  tués. Et l'une de ces mères a simplement jeté son enfant, s'attendant à ce qu'il accoste, n'importe où qu'il le peut.  Oh, il est méchant. Eh bien, il ne tuera pas celui-ci, car il m'appartient. " Oui, oui, voyez-vous comment Dieu agit ?

261.     Elle l'a pris et [Frère Branham émet le son d'un baiser. - N.D.E.] elle l'a embrassé. Et l'enfant a pleuré. Et quand il a pleuré, cela a simplement réchauffé  son cœur. Elle a  dit : " Pauvre petit être. " Elle a dit : " Je vais l'amener et je vais lui donner le nom de …  Je vais lui donner un nom. " et c'est de là qu'il a eu  son nom. Quel était son  nom ? [L'assemblée  dit : " Moïse. "-N.D.E.] Moïse. Et [" Moïse " signifie " tiré des eaux. " ] Voyez-vous ?

263.     Elle a  dit : " Eh bien, je l'appellerai Moïse, et  il sera mon propre enfant. Je le garderai. " Mais  alors, elle a dit : " Mais je  suis une  jeune fille, je ne peux pas l'allaiter. Je-je-je n'ai aucun moyen de le nourrir. " A l'époque, on n'avait pas ces biberons et autres. Les femmes ne fumaient pas de cigarettes et autres comme elles le font  aujourd'hui (voyez-vous ?) et s'empoisonnent à outrance. Alors elle a dit : " Eh bien, si vous connaissez une… "  Elle a  dit : " Que - que ferai-je ? "  Alors  elle a  dit : " je… "

             Et l'une de ses servantes a dit : " Votre majesté, je vais  vous  dire quoi, je vais vous trouver une nourrice pour votre enfant. "

            " Oh,  a-t-elle dit, c'est très bien. "

            Un petit Quelque  chose a parlé, un ange se tenant là à côté du buisson, a  dit : "  Miriam, voici une occasion pour toi. Voici une  occasion pour toi. " [Frère Branham frappe huit fois sur la chaire.- N.D.T.] Miriam a accouru. Et elle a dit : " Ne dis rien maintenant, ne laisse pas passer cela. Va là et dis que tu vas trouver une nourrice et va chercher ta maman. " Très bien, c'est ce qu'elle a donc fait. Elle a dit : " Votre majesté… "

266.     Normalement, elle aurait demandé : " Que fais-tu ici ? " Mais, vous voyez, Dieu assurait la couverture de tout cela. Pourquoi ? Il avait dix mille anges en route. Voyez-vous ? Son programme allait être exécuter. Il avait dix mille anges  qui se tenaient là.

            Alors tout d'un coup, vous savez, elle a dit  que votre… elle a  dit : "  Oui, petite chérie, que fais-tu ici ? "

            Elle a dit : " Je viens de vous voir avec un enfant. " Elle a dit : " Je sais où trouver une bonne mère qui peut prendre soin de votre enfant. "

            Elle a dit : " Va la cherchez, et dis lui que je  lui payerai 300 Dollars par semaine pour qu'elle prenne soin de cet enfant, et je lui trouverai un appartement au palais. Et si  tu sait où se trouve une femme Juive, qui est une nourrice, qui peut allaiter cet enfant…  C'est mon  enfant. "

            Elle a  dit : "  Oui, votre majesté, je vais vous en trouver une. "

            Elle a  dit : " Maintenant, attendez une minute. Avant  d'entrer au château, il vous faut avoir un mot  de passe. Voyez, vous ne connaissez pas le mot de passe. Chaque jour nous avons un mot de passe. Maintenant, le mot de passe pour aujourd'hui, savez-vous ce  que c'était ? Une fourche à foin dans un tas de  foin. " Elle a dit : " C'est ce qu'il vous faudra dire pour franchir la porte. "

271.     Alors, la petite Miriam a détalé vers la maison aussi vite que possible, elle a sauté par-dessus le mur, elle est descendu dans la rue, elle est partie dans cette direction-là, dans telle autre direction, aussi vite que possible. Elle est entrée dans la maison en  courant ; Et - et Amram venait juste de rentrer à la maison et Jokébed aussi, oh, ils étaient tristes, se demandaient  ce  qui se passait.  Elle a  dit : " Mon pauvre enfant, mon pauvre enfant. "  Elle…

            Il a dit : " Eh bien, écoute donc. "  A-t-il dit : " Je viens de passer, il n'y a pas longtemps, là dans la rue, et une pauvre mère en a parlé à tout le monde toute la journée. Elles  sont passées dans ce quartier-ci ce matin, et elles ont fait éclater la tête de chaque petit enfant qu'il y avait dans le quartier. Et il a  dit : " Oh, comme les gens  poussaient des cris et pleuraient. Eh bien, on ne sait pas ce qu'il en est de ton bébé, où qu'il soit,  là où notre  bébé se trouve, Dieu  prendra soin de lui. "

274.     Juste en ce moment-là quelqu'un… [Frère Branham frappe quatre fois sur la chaire.-N.D.E.] " Oh, oh,  elles sont là à la porte maintenant. " Alors, ils sont allés, ils ont regardé. Non, ce n'était pas ça. C'était Miriam.

            Elle a dit : " Oh, oh, Miriam ! entre, chérie. Qu'est-il arrivé à l'enfant ? "

            Elle a  dit : " Maman, j'ai très faim. "

            Elle a dit : " Mais  qu'est-il arrivé à l'enfant ? "

            Elle a dit : " j'ai pratiquement crevé de faim, maman. " Elle a dit : " Oh, gloire au Seigneur ! Alléluia ! j'ai pratiquement crevé de faim, maman. "

            Elle a dit : " Mais  qu'est-il arrivé à l'enfant ? "

            Elle a dit : " Maman, je suis tellement affamée que je pourrai manger  tout ce qu'il y a dans la maison. "

            Elle a dit : " Nous allons te servir quelque chose à manger, mais qu'est-ce  qui est arrivé à l'enfant ? " [ Frère Branham frappe trois fois sur la chaire. - N.D.E.]

            Elle a dit : " Oh, l'enfant va très bien, maman. Donne-moi quelque  chose à manger. Oh, je  suis  très heureuse. "

            " Mais que lui est-il arrivé ? "

            " Eh bien, donne-moi quelque chose à manger ; j'ai pratiquement crevé de faim. " Pouvez-vous vous représenter cela ?

            Elle a dit : " Miriam, nous voici ta maman et ton papa ; où est l'enfant ? "[Frère Branham frappe trois fois sur la chaire. - N.D.E. ]

282.     Elle a dit : "Maman, je vous l'ai dis. L'enfant, je l'ai  vu, et il va très bien. Eh bien, maman, trouve-moi quelque chose à manger. Je crève de faim. Tu sais, je - j'ai pratiquement crevé de faim. " C'est  comme vous l'êtes lorsque vous revenez de l'école, vous savez ; oh, il vous faut avoir quelque  chose. Alors, elle est allée et lui a apprêté un sandwich. Elle a dit : " Maintenant, raconte-moi. " Et elle a fait  "yam, yam, yam ",en mangeant, vous savez, comme ça. Elle a  dit : "Maman ? "

            Elle a dit : " Oui,  qu'est-il arrivé à l'enfant ? " " Eh bien, a-t-elle dit, maman… " Elle lui a raconté l'histoire. Elle a dit : " Maman, va chercher tes meilleurs habits, et fais ta valise, car c'est  toi  qui vas t'occuper de l'enfant. " Oh ! Oh! Oh !

            " Quoi ? "

            " Si vous le perdez, vous le retrouverez " ; est-ce vrai ? Si vous le gardez, vous le perdrez.  Si vous  donnez  cela, perdez cela,  vous le retrouverez. Est-ce vrai ?

 286.    Et la petite Miriam, tout en mangeant, a dit : " Oui. " Elle a  dit : " Tu vas te rendre au palais  aujourd'hui. Et non seulement cela, mais on va te donner - donner 300 Dollars par  semaine, ainsi que les meilleurs appartements du pays pour prendre  soin de  ton propre enfant. " C'est la première fois dans toute l'histoire  du monde qu' une mère a donc été payée pour allaiter son propre enfant. Voyez-vous comment Dieu s'y prend ? [ Frère Branham frappe ses mains trois fois.- N.D.T. ] Alléluia ! Allaiter son propre enfant,  et recevoir 300 Dollars par semaine pour cela, ainsi que les meilleurs appartements du pays.  Dieu fait des  chose,  n'est-ce pas. ? Est-ce ça paye de prier ? [ L'assemblée dit : " oui " - N.D.T.] Est-ce une bonne chose ? Amen.

288.     Elle a alors apprêté sa petite valise. Nous allons nous dépêcher maintenant ; nous allons terminer juste dans une minute.  Ainsi nous…  Elle a apprêté sa  valise, elle est descendu dans la  rue,  tout  aussi  vite que possible. Et la  chose  suivante, vous savez elle est arrivée ; un gaillard  se tenait là avec sa grosse lance  et il a dit : " Qui passe-là ? "

            Elle a  dit : " Une  fourche de foin dans un tas de foin. "

            " Passez. "

            Voyez-vous comment  Dieu fait des choses ?  Elle est arrivé devant le garde  suivant. Ce dernier a tiré son épée et a  dit : " Qui êtes-vous ? Qui passez-là ? "

            Elle a dit : " Une fourche de foin dans un tas de foin. "

            Il a dit : " passez. "

            Oh ! la la ! Voyez- vous  comment  Dieu fait des choses ?

            Elle monte au palais, elle se met à monter, toute la garde royale s'avance, dégaine leurs épées : " Qui passe par là ? "

            Elle  dit : " Une fourche de  foin dans un tas de foin. "

            " Entrez. " Tout d'un coup, vous savez,  un homme s'avance et dit : " Est-ce vous la petite dame  que sa majesté attend ? "

            " Oui. "

            Est-ce la nourrice pour cet enfant  qui a été trouvé ce matin ? "

            " Oui. "

            Il lui dit : " Eh bien, faites-la entrer. " Elle fait donc entrer l'enfant-ou plutôt on fait enter la mère.

294.     Et - et la - la petite princesse sort, et dit : " Savez-vous quelque chose  sur les  enfants ? "

            Elle dit : " Oui,  votre majesté. "

            Elle  dit : " Regarde cet enfant, n'est-il pas beau ? "

            " Si, votre majesté. Si. "

            Elle dit : " Savez-vous allaiter un enfant ? "

            " Oui, votre majesté. Assurément. "

            " Eh bien, dit-elle, je  vous  donnerai un salaire  de 300 Dollars par semaine. " Uh ! Dieu n'était-Il pas bon ? et elle a  dit : " Vous avez les meilleurs appartements du palais ; et on vous enverra vos repas. Et  vous n'aurez même pas à  sortir pour préparer vos propres repas. " Elle a dit : " Eh bien,  voici l'enfant ; faites attention. Ne le faites pas  tomber. "

            " Oh, ne vous en faites pas, je ne le ferai pas. Ne vous en faites pas, je ne le ferai pas tomber. "

            " Occupez-vous de lui le mieux possible. "

" Ne vous en faites pas, je le ferai. Il aura les meilleurs soins. " Assurément, c'était son propre enfant. Voyez-vous ?  " Je lui accorderai les meilleurs soins. "

" Voyez-vous que c'est un bel enfant ? "

" Il est très beau ", a-t-elle dit.

" Très bien. "

297.     La porte s'est refermée  sur Miriam, sa mère et le petit Moïse. Et une fois la porte fermée, elle a regardé tout autour. Elle a dit : " Tsk, tsk, tsk, et tu étais son enfant ! Ah, ah, ah, ah. " Oh! la la ! Elle l'a tapoté.

            Qu'a-t-elle fait ? Elle… Si elle l'avait gardé, qu'est-ce  qu'elle aurait fait ? [L'assemblée  dit : " elle l'aurait perdu. "-N.D.E.] Puisqu'elle l'avait remis à Celui qui le lui avait  donné, alors, elle quoi ?  Elle l'a retrouvé. Et  elle peut le garder. Eh bien,  qu'est-ce qui arrive  si nous perdons… si nous gardons notre âme,  qu'est-ce  qui arrive ? Nous la perdrons. Et si nous la remettons à Celui qui nous l'a  donnée, qu'arrivera-t-il ? [L'assemblée dit : " Nous la garderons. " -  N.D.E.] Nous la garderons. Est-ce vrai ?

299.     Combien parmi vous  tous  aimerez venir autour de cet  autel et prier ? Voudriez-vous le faire? Voudriez-vous que Jésus s'occupe de vous comme Il s'était occupé de ce petit enfant ? Maintenant, rassemblons-nous tous petits enfants autour de l'autel-ci. Allez-vous le faire ? Venez tout autour, agenouillez-vous tout autour de l'autel. Prions, tous. Tous les petits enfants, maintenant venez ici. Avez-vous appréciez mon histoire là-dessus ? [ L'assemblée dit : "Oui. " - N.D.E.] Avez-vous  appréciez cela ? Très bien, maintenant venez  directement  autour de l'autel. Maintenant, venez. Vous  tous les petits enfants venez, agenouillez-vous juste là à - à l'autel agenouillez-vous simplement là même sur-là même sur l'autel. C'est ça. Vous tous les petits enfants qui êtes là derrière, venez ici maintenant, nous allons prier. Très bien. Vous aimeriez  vous avancer et prier. Venez vous agenouiller autour de l'autel. C'est ça. Maintenant c'est bien. C'est vraiment bien. Très bien. Maintenant, les mamans, vous aimeriez aussi venir, les papas  aussi,  agenouillez-vous tous dans les allées.

301.     Maintenant, j'aimerais vous poser une question à vous les petits enfants qui êtes ici. Ecoutez, croyez-vous que Jésus vous aime tout comme Il aimait Moïse ? Croyez-vous que les  anges veillent  sur vous comme cela ? Eh bien, Dieu vous a donné une âme, n'est-ce pas ? Eh bien,  si vous gardez votre âme,  que lui arrivera-t-il ? [ Les enfants disent : " Vous la perdrez - N.D.E.] Vous la perdrez. Mais si vous la remettez à Jésus ce matin, alors qu'allez-vous donc faire ? " Vous la garderez. " Vous la garderez… ?… Maintenant,  vous  aimeriez sauver  votre âme, n'est-ce pas ? Et  vous  aimeriez grandir pour devenir de véritables mères et de véritables dames, n'est-ce pas, de vrais hommes, des prédicateurs  et  autres ?  N' aimeriez-vous pas faire cela ? Maintenant, si vous le voulez, alors donnez votre âme à Jésus. Voici comment  vous le faites. Vous  dites : " Bien-aimé Jésus, voici tout ce que j'ai à Te  donner, mon âme, mais veille sur moi  comme  Tu avais veillé  sur Moïse. "

302.     Maintenant, si certains parmi vous les personnes plus âgées, voudriez venir vous agenouiller aussi, certaines parmi vous les mères, peut être que vous voudriez  vous agenouiller ici ce matin… ?… Que Dieu vous bénisse si vous le faites. Si vous  voulez venir et  vous agenouiller juste ici, c'est bien. Voici venir une mère avec son petit garçon. Il y a-t-il quelqu'un d'autre ? Un père, un papa, n'importe  qui parmi vous, si vous voulez devenir un homme de prière comme Amram, alors avancez et agenouillez-vous aussi. Maman, si vous voulez devenir comme Jokébed, eh bien, avancez et agenouillez-vous aussi. Assurément, c'est pour tout le monde. Pourquoi ? Vous avez aussi une âme. Si vous la gardez, qu'est-ce  qui arrivera ?  Vous la perdrez.  Et si vous la remettez à celui qui vous l'a donnée, qu'est-ce  qui arrivera ? " Vous la sauverez " Vous la sauverez pour la Vie Eternelle. C'est vrai. Maintenant, j'aimerais que vous vous rassembliez  tout autour, vous tous qui le voulez maintenant, et prions avec ces petits enfants, avec notre… avec tous maintenant.

306.     La fête des mères, c'est une journée merveilleuse… et peut être  que ce  soir, je pourrais changer mon sujet et continuer ce soir et raconter ce que cette mère avait fait, ce que cette mère avait fait. C'était elle qui avait éduqué son petit garçon pour  qu'il conduise tout Israël vers la terre promise. Oh, elle était une véritable mère. N'était-elle pas une véritable mère ? [ Les enfants disent : " Oui." - N.D.E. ] Eh bien, vous avez  aussi une véritable mère, et maman prie pour vous. Et il était un véritable papa. Et papa prie pour vous. Et maintenant, nous allons tous prier ensemble, et demander à Jésus de nous aider. Frère Neville, voudriez-vous venir vous agenouiller  avec nous ?

307. Et inclinons tous la tête, partout. Maintenant, sœur Gerty… [La pianiste se met à jouer Amenez-les .-N.D.E.]

            Bien-aimé Père Céleste, cette petite  histoire simple  aujourd'hui, sur ce qui s'est passé il y a longtemps, d'un vrai père et une vraie mère, ou un vrai croyant, qui étaient venus  auprès de Toi et T'avaient adoré, ils avaient  cru en Toi. IL y avait une détresse dans le pays en ce temps-là. Et  comment savons-nous s'il n'y a pas un petit Moïse moderne qui est  agenouillé ici ce matin ? Comment savons-nous qu'il n'y a pas une petite Miriam moderne agenouillée ici ce matin  aussi, une prophétesse ?

            O Père bien-aimé, ces petits enfants T'aiment, et ils sont venus s'agenouiller à la Croix, reconnaissant qu'ils ont une âme  qui doit être sauvée, et ils Te la confie maintenant. En effet, nous venons de lire dans Ta Parole : " Si vous la perdez, vous la retrouverez ; et si vous la gardez, vous la perdrez. " et, Père, ils ne veulent pas garder leurs âmes eux-mêmes. Ils ne veulent pas vivre pour  eux-mêmes. Ils  aimeraient Te confier leurs âmes, de telle manière  qu'en Te la confiant ils retrouvent la Vie Eternelle… ?… Accorde-le, Seigneur.

310.     Bénis tous ces petits garçons et ces petites  filles tout autour de l'autel. Bénis leurs mères et  leurs pères  qui sont ici ce matin. Oh, puisse Ta bienveillante grâce et Ta miséricorde reposer sur eux tous. Pardonne-nous, Seigneur, tous  nos péchés et tous nos manquements. Ôte la maladie du milieu de nous. Envoie les anges. Alléluia ! Oh Dieu, Toi qui avait donné des instructions à Gabriel, et  dix mille anges s'étaient mis en route ; combien plus d'anges sont venus tout autour quand ils ont vu ces pauvres petits enfants s'agenouiller à cet autel ce matin ! Tout autour, à cet autel, dans cette église, il y a des anges de Dieu. L'ange qui fait l'enregistrement est  ici,  en train d'inscrire leurs noms dans un Livre. Ils sont en train de perdre leurs âmes, afin qu'ils puissent la retrouver en Christ. Accorde-le, Seigneur.

312.     Puisse, dès aujourd'hui, désormais leurs vies devenir douce et humble. Puissent-ils être des enfants obéissants à leurs parents et à leur Père céleste jusqu'au jour où Tu les rappellera à la Maison. Guide-les dans leurs petites barques, là près  du tourbillon. Chaque fois qu'elle sera bloquée au buisson, puisse les anges de Dieu repousser cela dans le flot coulant de l'amour de  Dieu. Accorde-le, Seigneur. Et au bout du chemin, puissent-ils trouver une belle demeure, avec leurs mères et leurs bien-aimés là dans la gloire, là où Dieu se tient à la porte pour [leur] souhaiter la bienvenue en ce jour-là. Accorde-le, Père.

            Pardonne nous tous nos péchés et nos offenses. Aide-nous dès ce jour à être entièrement à Toi. Nous confions ces petits enfants entre Tes mains maintenant, ainsi que ces mères avec  eux, Seigneur, afin qu'elles  soient le bon genre de mères en cette fête des mères, en ce temps commémoratif qui a été consacré aux mères. Puissent-elles devenir d'aujourd'hui, de meilleures mères ; puisse les enfants devenir de meilleurs enfants. Puissions-nous nous tous devenir meilleurs, Seigneur, et Te servir d'avantage. Accorde-le, Père, car nous le demandons  au Nom de Jésus. Amen.

314.     Maintenant, chantons un petit chœur. Croyez-vous que Jésus vous a sauvés ? Voulez-vous que Jésus veille sur vous maintenant pendant  que vous vous levez ? Levez la main vers Lui comme ceci. Maintenant, j'aimerais que  vous retourniez vers papa et maman, et tous les autres. Retournez-vous comme ceci. Maintenant, regardez ici, maman et papa. Vous  tous, les petites filles et les petits garçons, tenez-vous debout. Maintenant, combien acceptent Jésus comme leur sauveur, et vont désormais se  confier en  Jésus pour  qu'Il prenne  soin de vous comme Il avait pris soin du petit Moïse, faites voir les mains. Chacun de vous donc. C'est bien. Maintenant, qu'est-il arrivé ? Si vous gardez  votre âme, vous faites quoi ? [ L'assemblée dit : "Vous la perdrez. " - N.D.E. ] Vous la perdrez. Mais si vous la donnez à Jésus, qu'est-ce qui arrivera ? " Vous la garderez. " Vous la garderez. Maintenant, et si Jésus vous a reçu  donc ce matin ? Vous appartenez donc à Jésus, n'est-ce pas ? Vous êtes le petit garçon et la petite fille de Jésus.

315.     Regardez ces petits amis qui se  tiennent ici avec des larmes. Allez-vous me dire que Dieu ne reconnaît pas ça ? Amen. Les hommes et les femmes de demain ; oui. C'est vrai. Amen.

            Ramenez-les de champs du péché ;

            Ramenez-les, ramenez-les,

            Ramenez les petits enfants à Jésus.

            " Oh, combien j'aime Jésus. "  Maintenant, venez.

            Oh,… -vous tous)… Combien j'aime Jésus (Levez les mains maintenant.)

            Oh, combien j'aime Jésus,

Oh, combien j'aime Jésus,

            Parce  qu'Il m'aima le premier.

316.     N'est-ce pas beau ? Maintenant…  Jésus aime les petits enfants du monde. Donnez-nous de la mélodie, sœur. Maintenant, retournez-vous vous tous vers-moi, vous les petites filles. J'aimerai chanter " Jésus aime les petits enfants du monde. " Combien connaissent cela ?

            Très bien, chantons maintenant.

            Jésus aime les petits enfants du monde,

            Tous les enfants du monde,

            Le rouge et le jaune, le noir et le blanc,

            Ils sont précieux à Ses yeux,

            Jésus aime les petits enfants du monde.

317.     Maintenant, vous tous, vous êtes dans l'armée maintenant. Savez-vous cela ? Savez-vous que  vous êtes dans l'armée de Dieu ? Regardez droit vers moi, maintenant. Et chantez ceci avec moi maintenant, en effet  vous êtes des  soldats maintenant. Savez-vous cela ? Soldat de la croix. Maintenant : " Peut-être que je ne marcherai jamais … " Connaissez-vous ce cantique-là ? Très bien. Très bien, ça fait longtemps que j'ai appris ce vieux cantique à l'école  du dimanche. " Peut-être que jamais je ne mar… " regardez-moi maintenant. [ Frère Branham fait des gestes pendant  qu'il chante les paroles de " je suis dans l'armée du Seigneur. " -N.D.E.]

            Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'infanterie,

Rouler dans la cavalerie, tirer le canon.

Peut-être que jamais je ne pourrai survoler l'ennemi, à bord d'un avion,

Mais je suis dans l'armée du Seigneur,

Je suis dans l'armée du Seigneur !

            Oh, je suis dans l'armée du Seigneur !

            Nous tous, tous ensemble maintenant. Maintenant.

            Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'infanterie,

            Rouler dans la cavalerie, tirer le canon,

            Peut-être que jamais je ne pourrai survoler l'ennemi, à bord  d'un avion,

            Mais je  suis dans l'armée du Seigneur.

318.     Pensez-vous que vous pouvez chanter cela seul ? Venez ici, Lassie, venez  juste ici maintenant. J'aimerais  que  vous  tous vous exécutiez les mêmes gestes que moi. Venez derrière l'autel ici  donc. Venez ici, vous tous, approchez ici où je suis. Voyez-vous ? Approchez ici. Qu'il n'y ait personne de ce côté de l'autel, venez ici, près de moi. C'est ça. Passez par derrière ; maintenant, tournez-vous dans ce sens, regardez de ce côté ici, comme ceci ;  C'est ça. J'aimerais vous montrer ce  que ces gentils petits garçons et petites filles font après qu'ils ont connu Jésus. Maintenant, passez derrière, de ce côté-ci, petits garçons et petites filles. Maintenant, c'est ça ; maintenant, regardez  là.

319.     Maintenant, quand je  dis : " Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'armée ", vous… "marcher dans l'infanterie ", vous aussi marcher. Quand je  dis : " Peut-être que jamais je ne pourrai rouler dans la cavalerie, faites la même  chose  que moi. Maintenant, reculez là loin donc, pour créer de l'espace. Là loin, là loin, tenez-vous un peu au loin maintenant. J'ai besoin d'espace. Un peu plus loin, plus loin, maintenant, soyez prêts, fils. Maintenant, venez, chantons cela. [Frère Branham et les enfants font des gestes pendant  qu'ils chantent.-N.D.E.]

            Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'infanterie (marcher !)

            Rouler dans la cavalerie, tirer le canon,

            Peut-être que jamais je ne pourrai survoler l'ennemi, à bord d'un avion,

            Mais je  suis dans l'armée  du Seigneur.

            Oh, je suis dans l'armée du  Seigneur.

Je suis dans l'armée du Seigneur ! (prêt !)

Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'infanterie,

Rouler dans la cavalerie, tirer le canon ;

Peut-être que jamais je ne pourrai survoler l'ennemi, à bord d'un avion,

Mais je suis dans l'armée du seigneur.

Amen. Tenez-vous simplement tranquille. Combien  aiment ça,  dites amen. [L'assemblée  dit : " Amen. " - N.D.E.] Très bien.

321.     Maintenant, Père Céleste, bénis ces petits enfants  aujourd'hui. Ils sont à Toi, Seigneur. Ils T'ont donné leurs  vies. Ils ont entendu la petite histoire sur Moïse et comment Tu l'a protégé. Ils ont entendu parler d'une bonne mère et d'un bon papa qui l'ont assisté et qui l'ont élevé. Et ces petits enfants ont  aussi de bonnes mères et de bons papa. Et je Te  prie, Père, de veiller sur eux et de les conduire dans le flot du temps, et puissent les anges de Dieu les protéger. Accorde… et puis, sois au poste récepteur, pour les recevoir dans les derniers jours, Seigneur, dans Ton royaume. Nous le demandons  au nom de Christ. Amen.

322.     Maintenant, vous pouvez rentrer à vos sièges et  dire à papa et maman combien vous vous sentez bien. Amen.  Tous les jours de leurs errances, ils ont été conduits . Connaissez-vous aussi celui-là … ?… Gerty ?

            …de leurs errances ils ont été conduits,

            Au pays de la promesse, ils ont été conduits ;

            Par la main du Seigneur dans une conduite sûre,

            Ils ont été amenés au rivage de Canaan.

(Tout le monde !)

            Le signe du feu pendant la nuit,

            Et le signe de la nuée pendant la journée,

            Planant au dessus, juste devant,

            Alors qu'ils progressait dans leur pèlerinage,

            Sera un guide et un conducteur,

            Jusqu'à ce qu'on ait traversé le désert,

            Car le Seigneur, notre  Dieu, au moment opportun pour Lui,

            Nous conduira finalement à la lumière.

324.     Combien sont malades ce matin et veulent la prière ? Faites  voir la main. Etant donné que nous  sommes un peu en retard, peut être que nous allons reporter notre service de guérison pour ce  soir, mais nous allons juste offrir un mot de prière maintenant, parce que nous sommes un peu en retard.

            Avez-vous apprécier la petite histoire ? [L'assemblée dit : " Amen. "- N.D.E.] Pensez-vous que c'était bien pour les petits enfants ? [" Amen. "-N.D.E.] Oui. Nous-nous les oublions  souvent. Nous ne devrions pas faire  cela. Voyez, je n'ai pas l'occasion d'enseigner l'école du dimanche ; et ce matin, c'était pour moi un temps de leur parler. Je ne voulais pas vous lasser, mais je tenais à vous raconter cette petite histoire.

            Rappelez-vous, petits enfants, ce n'est pas une vieille petite histoire qu'on a lu n'importe où. C'est la Vérité. C'est la Vérité. Dieu a fait cela. Et Il est  avec  vous maintenant. Très bien.

            Inclinons la tête maintenant, pendant que nous chantons notre cantique pour nous congédier, doucement : " Prends le nom de  Jésus avec toi, comme un bouclier contre tout ennemi. " Très bien.

            Prends le nom de  Jésus avec  toi,

            Enfants de chagrin et de tristesse

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