La communion par la rédemption

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Date: 55-0403 | La durée est de: 2 heures 4 minutes | La traduction: MS
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1     Bonjour les amis. Je suis à nouveau dans la joie d’être ici ce matin, au service du Seigneur. Comme je le disais, je suis un peu fatigué. Je pensais avoir aussi eu la grippe, mais j’étais simplement épuisé d’avoir trop travaillé. J’ai eu cinq semaines d’affilées, et cela a comme tout pris l’énergie que j’avais, bien que ça ne m’ait pas empêché de prendre du poids. Je continue à prendre du poids tout le temps. Mais la plupart de mes dernières réunions consistaient, plus ou moins, à simplement prêcher, vous voyez, et c’est ce que cela fait. Nous avons eu très peu de services de guérison; mais la plupart étaient centrés sur la prédication.

2     Nous sommes vraiment reconnaissants du privilège d’être ici aujourd’hui, à servir le Seigneur, d’être au tabernacle, d’être de nouveau avec frère Neville. J’ai reçu toute une introduction; et ça vous relève, si ça n’allait pas trop bien.

3     Cela vous ferait vous sentir bien, non, de savoir que les gens vous aiment? N’aimez-vous pas que quelqu’un vous aime? — [Amen] — Moi si.

4     Un soir, comme je sortais du tabernacle (j’espère qu’ils ne sont pas déjà en train d’enregistrer), mais comme je sortais d’ici, oh, il y a quelques années déjà, une dame m’a dit, ici à l’arrière, elle m’a dit: «Oh, frère Bill, c’était assurément un bon message ce soir.»

5     J’ai dit: « Merci, sœur.» Oh, ça m’a réconforté, vous savez.

6     Arrivé à la porte, il y avait là un type qui m’a dit: «Vous savez, je ne pourrais appuyer cela.»
    J’ai dit: «Quoi donc?»

7     Il a dit: «Oh, je ne voudrais pas que quelqu’un me vante, ou dise quelque chose…»

8     J’ai dit: « Moi, oui.» Voyez. J’ai dit: «Il n’y a qu’une différence entre toi et moi. Moi je dis la vérité.» Vous voyez. Vous apprécierez que quelqu’un vous complimente pour les efforts que vous faites. Ça vous rassure ensuite, n’est-ce pas? — [Amen.]

9     Aujourd’hui, j’aimerais annoncer, si frère Neville et la congrégation, en accord avec le bon Seigneur — j’ai mis cela à l’essai depuis environ sept ou huit ans, et réussi deux fois — j’aimerais, si possible, avoir un service régulier de guérison, dimanche matin prochain, un simple service habituel de guérison. On en a fait l’expérience bien des fois.

10     Cela avait bien marché le soir qu’on l’avait eu ici. Et le Seigneur a été si bon pour nous. Les journaux en ont parlé. Il y avait une fille, dans une chaise roulante, elle était ici depuis longtemps — la seule chaise roulante qu’il y avait dans la salle, je crois. Quelque chose n’allait pas avec elle. Elle avait négligé quelque chose, un appel du Seigneur. Cela faisait environ dix-sept ans qu’elle avait été dans cette chaise roulante. Et ici, quand ils ont monté sa chaise roulante sur l’estrade et qu’ils l’y ont assise, elle s’est levée d’un bond et elle est sortie d’ici une femme guérie, marchant normalement.

11     Il y avait sur l’estrade un homme sur un lit, comme le journal le relatait, et sa vie ne tenait plus qu’à un fil. Et le Seigneur l’a guéri. Il n’avait pas marché, je ne sais depuis combien de temps; il s’est levé et s’est mis à marcher.

12     Et puis, un soir, à l’école secondaire où cela avait lieu, le Saint-Esprit est descendu. Nous avions un service habituel de guérison. Je crois qu’il y en a quelques-uns d’entre eux ici. Je crois que sœur Rooks y était, ou… je crois que c’était ce soir-là qu’elle a été guérie, si je ne me trompe pas. Et bien des choses s’étaient produites en ce temps-là, durant ces services de guérison.

13     Nous avons essayé à deux ou trois autres reprises de les avoir. Ce n’est pas très souvent, étant donné que c’est ici. Quiconque sait ce que l’Écriture dit du fait d’être dans sa patrie, parmi son peuple.

14     C’est en quelque sorte étrange, mais ça ne marche pas comme ça devrait, vous voyez.

15     Combien aimeraient avoir un vrai service de guérison, ici au tabernacle? Oh là là! Prierez-vous pour cela?

16     ’allais donner des cartes à Leo et à Gene ce matin, ils étaient ici quelque part, et puis j’ai pensé: «Eh bien, je pourrais venir distribuer les cartes de prière, et faire une ligne de prière.» Et par la suite j’étais si fatigué que, bon, j’ai pensé qu’il valait mieux simplement venir apporter un court message.

17     Y aura-t-il un service du lever du soleil? [Oui.] Un service du lever du soleil, qui commence à… de cinq heures à six heures, je crois, ou quelque chose comme cela. Est-ce bien cela? À quelle heure se lève le soleil? [À six heures.] Six heures. Très bien. Ça devra être entre cinq et six, en ce cas. Ce sera une heure d’adoration, voyez.

18     Maintenant, ça ne fera de mal à personne de se lever à si bonne heure. Oh, les catholiques se lèvent tous les dimanches matin à cette heure, pour aller à l’église. Les protestants devraient donc être disposés à le faire une fois l’an, ne pensez-vous pas? C’est le lever du soleil.

19     Je ne prêcherai qu’un court moment, et puis nous… C’est un service d’adoration. Ensuite, accourez à la maison pour déjeuner. Moi, je n’irai pas; je resterai peut-être à l’église. Et, si le Seigneur le veut…

20     Et samedi prochain, frère Neville l’annoncera à son émission, si ça n’a pas changé. Ce sera annoncé, samedi matin prochain, entre neuf heures et neuf heures trente, si je ne me trompe pas. Est-ce exact, frère? — [Amen.] Sur la chaîne WLRP de New Albany.

21     Et puis on pourrait aussi mettre une petite annonce dans le journal de Jeffersonville, le journal de New Albany. Beaucoup de nos gens viennent de ces secteurs. Ce sera sur le journal du vendredi ou du samedi de la semaine prochaine. Ensuite, on aimerait y participer.

22     Et, après cela, à neuf heures, j’aimerais que les garçons viennent vous remettre les cartes de prière… à neuf heures pile. Cela permettra que tout soit en place pour neuf heures trente. Ensuite je sortirai de la pièce et nous commencerons; nous aurons notre sermon régulier du dimanche matin, leur lever du soleil de Pâques, et puis nous commencerons une ligne de prière.

23     Ce sera décidé cette semaine, si on l’aura ou pas. Il y a des gens ici qui sont des candidats pour le baptême d’eau. Et je pense que la période de Pâques est un des temps les plus appropriés pour les baptêmes. Et nous aurons ce service des baptêmes à Pâques, soit immédiatement après le service de guérison, soit le soir. Ça signifie une journée entière, dimanche prochain. Soyez donc en prière.

24     Et nous sommes très reconnaissants au Seigneur. Un simple rapport des réunions à présent. J’ai entendu le frère dire que vous avez tous prié. Je dépends certainement de cela. Oh, quand parfois je vois que tout va mal, alors je me dis: «Eh bien, quelque part, il y a quelqu’un qui prie.» Voyez? Et ceci m’encourage à persévérer.

25     Et ce dernier service a été le meilleur service de guérison que je n’aie jamais eu sur le continent nord-américain. Les frères Gene et Leo y étaient, les garçons qui sont assis là. Ça se passait à la réserve indienne des Apaches. Ils m’ont donné une journée de repos, et je l’ai prise. Je suis monté à la réserve indienne, et j’ai tenu la plus grande réunion que je n’avais jamais eue, sinon la meilleure.

26     Et un des bons sentiments qui m’est si fortement resté m’est venu pendant la ligne de prière, tandis que les garçons étaient à prendre autant de photos qu’ils le pouvaient, avec mon appareil, et le leur aussi. Je pense avoir eu trente-cinq visions ou plus, juste là. Et quand vous leur parlez, ils ne répondent pas comme nous le faisons, parce qu’ils ne connaissent pas la langue. Et l’interprétation… Ils n’ont pas de langue écrite; ça rend cela difficile. Les Apaches ne forment pas de phrases, ils bafouillent simplement, c’est un tas de mots. Et c’est bien difficile de se faire comprendre. Et quelques-uns d’entre eux ne comprennent pas l’anglais.

27     La première vision dont je me souvienne, c’était d’une dame et de son bébé. L’enfant était aveugle. Et Il lui a dit que c’était causé par le glaucome, ce qui est très répandu parmi les Indiens. Et quand la dame est passée dans la ligne, son petit bébé a été guéri.

28     Ensuite, je pense que quatre ou cinq muets ont suivi; des personnes sourdes, muettes. Le Seigneur a guéri chacun d’entre eux.

29     Ils sont si simples, tellement simples. Ils n’essaient pas d’imaginer des choses. Ils vous croient, c’est tout. C’est pourquoi vous devez les instruire correctement sur le Seigneur, vous voyez. Pas sur eux-mêmes, parce que ça ne marchera pas. Mais ça doit être sur le Seigneur. Et quand ils le voient vraiment, ils sont comme une bande d’enfants. Dites-leur simplement d’aller faire une chose, et ils vont la faire.

30     Et le long de la route, il y avait une belle petite princesse indienne, haute comme trois pommes. Ses petits yeux noirs, aussi beaux que brillants, pourtant ne voyaient rien du tout. Et le frère Marshall, le missionnaire indien de là, m’a dit, quand il est descendu dans la ligne, quand il l’a amenée dans la ligne, il m’a dit: «Frère Branham, elle est aveugle.»
    J’ai dit: «Ces beaux grands yeux-là, ces beaux grands yeux noirs?»

31     Il m’a répondu: «Oui. Elle est tout aussi aveugle qu’il est possible de l’être, frère Branham.»

32     Et j’ai agité ma main devant ses yeux, comme cela, et ses yeux sont restés fixes. Elle ne pouvait pas voir. Eh bien, j’ai prié pour cette pauvre petite. J’ai regardé, j’ai agité ma main de nouveau, et ses yeux restaient fixes. J’ai pensé: «Oh là là! cette pauvre petite, pas plus haute que trois pommes, aveugle.» Et je ne savais pas que son père, qui la suivait, était aussi aveugle.

33     Donc, quelque chose est survenue que je n’avais, je crois, encore jamais vu auparavant. Frère Neville, ce n’était pas comme une vision que vous verriez, mais il semblait que je pouvais me voir amener cette petite devant le Trône de Dieu, là-haut, devant Dieu, et dire à Dieu: «Père, cette pauvre petite, elle est aveugle», et d’appliquer le Sang du Seigneur Jésus à l’enfant.

34     Et puis, quand elle a été assise, et frère… j’avais mon doigt en l’air comme ceci, et j’ai dit: «Frère Marshall, quelque chose s’est passé.» J’ai dit: «Il me semblait que je me voyais monter à travers les cieux, avec cette enfant par la main.»

35     Et, tout en parlant, je bougeais comme ceci. J’ai regardé, et ces grands yeux suivaient ma main, comme cela. Elle était là, avec une vue parfaite et normale.

36     Et ils l’ont fait passer dans la ligne. Je crois que c’étaient les médecins, ou quelques-uns d’entre eux, de l’endroit. Des hommes en costumes se trouvaient là, je les ai vus la divertir, vous savez, essayé de lui faire regarder ses doigts, et lui faire signe de la suivre.

37     J’ai dit: «Allez l’examiner. Elle va très bien.» Et elle était là, normale et guérie.

38     Le suivant était son père, et il était aveugle. Et Dieu lui a rendu une vue normale, là, par terre. C’est si merveilleux ce que notre Seigneur peut faire. Maintenant, ce n’est pas l’homme qui dispose de ces choses, n’est-ce pas? C’est Dieu qui en dispose.

39     rère Cox, est-ce que frère Joseph a envoyé The Herald Of Faith? On ne les a pas reçu, ceux-là. [Non, pas encore.] Pardon? [Non, pas encore, pas encore. Vous les recevrez très bientôt.]

40     Ce cas-ci, sur la page couverture, est celui d’une dame que la clinique Mayo avait abandonnée. Et comment le Seigneur lui avait dit où elle était, et comment elle avait été, et ce qui s’était passé. Et la clinique Mayo disait qu’elle ne pourrait plus vivre. On peut voir sa civière sur la photo. Elle s’est simplement levée et est rentrée à la maison, aussi bien portante qu’il lui est possible de l’être.

41     À la page suivante on y trouve un article des plus saisissant: NÉ AVEUGLE. Je devrais simplement le lire. Est-ce que voulez que je lise ce petit paragraphe. — [Amen.] Ça ne prendra qu’un court instant. [Témoignage de Mme John Scarlato, tiré du journal The Herald of Faith, volume 22, no 4.]
Mon fils naquit aveugle. Lui et moi étions tous les deux infectés à cent pour cent. Et d’après notre médecin, il n’y avait jamais eu d’autres cas où la mère et l’enfant eurent survécus. Johnnie était toutefois aveugle.
Il avait ce qu’on appelle les “yeux secs”. Il n’avait jamais versé de larmes avant le jour où frère Branham a prié pour lui. Et au moment où frère Branham priait pour lui, les larmes ont commencé à couler sur ses bras. Et depuis ce temps il peut voir. Ensuite, après s’être tourné, quand il a vu les gens, il ne savait pas ce que c’était que tout cela. Il n’avait jamais vu de sa vie.
Je l’ai emmené de l’église jusque chez sa mère, et je l’ai couché sur un lit. Et il regardait partout, et il s’est mis à jouer avec sa petite voiture.
J’avais un rendez-vous avec lui la semaine d’après, à la clinique Mayo de Rochester, au Minnesota.. Je n’ai pas annulé le rendez-vous, et je l’ai emmené. Ils n’ont rien pu déceler d’anormal dans ses yeux. Ils m’ont dit que ses deux yeux étaient tout à fait en bon état.
J’ai emmené Johnnie au bureau du médecin pour lui montrer ce qui était arrivé, parce que le médecin demandait à ce qu’on le place dans une école pour aveugles le restant de ses jours.

42     Comment le Seigneur Jésus a fait que ce petit garçon… Savez-vous quoi? La mère et le fils, les deux étant infectés. Habituellement l’un d’entre eux meurt, et quelquefois les deux. Mais le petit Johnnie est né les yeux secs, tout à fait durs et secs. Et pendant que je tenais le jeune dans mes bras, j’ai senti quelque chose de chaud; les larmes coulaient sur son petit visage, jusque sur mon bras, comme ceci. Il me regardait de ses petits yeux brillants. Et depuis il a une vue parfaite. La clinique des frères Mayo a dit que ses yeux étaient normaux.

43     N’est-Il pas merveilleux? — [Amen.] On ne peut pas faire autrement que de L’aimer.

44     Cette semaine, priez pour que Dieu nous vienne en aide. Et dimanche prochain, si le Seigneur le veut, de cinq à six, il y aura un service du lever du soleil. Venez. Nous resterons durant l’heure, et dès que le soleil se lèvera, nous donnerons à Dieu la louange pour ce qu’Il a fait il y a quelque deux mille ans, quand, à l’aube, Il ressuscita Jésus-Christ.

45     Et nous attendons un autre lever du Soleil, la venue du Seigneur Jésus, la seconde fois, dans la Gloire.

46     Et puis ensuite, à 9 heures, les garçons seront ici pour distribuer les cartes de prière. Et, à 9 h 30, débutera l’école du dimanche. Maintenant, si vous avez des bien-aimés, amenez-les, pour qu’ils obtiennent des cartes.

47     Ensuite je voudrais venir, je voudrais prendre les vendredi, samedi et dimanche, si le Seigneur le veut, pour simplement jeûner et prier, et Lui demander de me donner au moins un autre service de guérison, Dieu voulant, dimanche prochain, ici au tabernacle. Après quoi nous verrons. Si ce n’est pas Sa volonté, bon, bien sûr, je n’y pourrai rien. Mais nous prierons et essaierons de voir si c’est Sa volonté de nous donner le service de guérison.

48     Ensuite viendra le service baptismal. Et tous ceux d’entre vous qui sont candidats au baptême, ceux qui n’ont jamais été baptisés, eh bien, nous serions heureux que vous veniez. Croyez au Seigneur Jésus et confessez vos péchés, et soyez baptisés dimanche prochain. Frère Neville annoncera tout le programme au cours de son émission du samedi matin.

49     Combien écoutent l’émission? Ne pensez-vous pas que c’est une bonne émission? Je vous le dis, ces chants sont vraiment bons. J’ai entendu le frère Temple à l’émission, l’autre jour, et j’ai apprécié ce chant qui nous était dédié. Nous étions tous à l’écoute.

50     Ce matin, on ne pensait pas pouvoir venir. Notre petite fille a fait une rage de fièvre la nuit dernière. Oh là là! elle n’a pas dormi de la nuit; elle pleurait, et tout — la petite Sarah. Mais je voulais tant être ici! Je suis allé dans sa chambre ce matin; j’ai d’abord enfilé mon peignoir et je me suis rendu à sa chambre. Et la pauvre petite était couchée-là, brûlante de fièvre. J’ai posé ma main sur elle, et j’ai dit: «Cher Dieu, je veux aller à l’église. Je veux aussi l’emmener avec moi. Donc, fièvre, tu ne peux l’accabler plus longtemps, sors d’elle.» Elle est assise à l’arrière, tout ce qu’il y a de plus normale et paisible. Vous voyez. Il est merveilleux, n’est-ce pas? — [Amen.]

51     J’ai un bon ami à moi ici, ce matin. Je sais qu’il est un peu timide, réservé. C’est un de mes frères. Il est devenu mon co-équipier et mon compagnon, suite à la grande Alaskan Highway, en Alaska.

52     C’était au cours des réunions qui se tenaient à Grande Prairie, où je retournerai dans peu de jours J’étais à Dawson Creek, en Colombie-Britannique, après quoi j’étais descendu à Grande Prairie. Et là un jeune homme s’était introduit à la réunion, et c’est alors que Dieu s’était saisi de lui. Et il lui a fallu revenir. Et il a reçu le baptême du Saint-Esprit. Et si frère Fandler voulait bien se lever, pour que les gens le voient. Il est originaire de Suisse. Que le Seigneur vous bénisse, frère Fandler. Nous sommes contents de l’avoir avec nous aujourd’hui.

53     Il est celui qui a découvert ce remarquable médicament qui sera sous peu sur le marché, lequel fera le tour du monde. C’est un remède contre l’arthrite. Le Seigneur lui a donné. Ils en ont un échantillon, au gouvernement, et ainsi de suite. C’est un remède contre l’arthrite, donné par le Seigneur Dieu seul, amen, lui disant comment faire. Il n’y avait jusqu’à ce jour rien sur le marché touchant l’arthrite. Mais à présent, le Seigneur l’a donné à frère Fandler, et nous en sommes heureux.

54     Avec nous à la rencontre des Hommes d’Affaires Chrétiens, il y a quelques jours à Los Angeles, où ils ont… Oh, Dieu œuvre de façon si merveilleuse parmi les chrétiens. Un frère, que chacun d’entre nous connaît très bien, ou qui est un des nôtres, ici, c’est frère Shakarian, un frère vraiment remarquable. Le Seigneur l’a aussi utilisé pour une invention. Simplement pour vous montrer comment Dieu opère tout ça. C’est un petit machin qu’il porte sur sa poitrine, comme ceci, et qui se présente comme ceci, et qui sert à trouver du pétrole. Il a découvert un puits de pétrole abondant au Colorado, d’une valeur de vingt-cinq millions de dollars, je crois; rien que pour un seul puits. Il prend tous les profits pour envoyer des missionnaires dans les champs étrangers. Amen.

55     C’est ce que frère Fandler est en train de faire avec sa découverte. Cela rapportera des millions de dollars par année.

56     Et en plus de cela, ce frère a inventé un appareil pour récupérer le sang, alors qu’ils ne pouvaient pas le conserver très longtemps.

57     Ceux-ci sont des hommes remplis du Saint-Esprit. Savez-vous quoi? À la Maison Blanche, quarante pour cent de nos officiers sont pentecôtistes (amen!) ou ont des antécédents pentecôtistes. Oh là là!
    Les nations s’effondrent; Israël s’éveille.

58     Et ils peuvent… Ces frères ont découvert une formule qui déshydrate le sang et le conserve indéfiniment. Et ils viennent de bâtir un laboratoire de un million de dollars. Oh, combien le Seigneur bénit, partout!

59     Voyez ce qui va arriver? Dieu se hâte d’envoyer ces messagers du Saint-Esprit dans toutes les parties du monde, car le temps est proche. Nous y sommes allés, non pas pour passer des pamphlets, lesquels sont toujours d’appoint, mais pour apporter le message de la délivrance divine à ces captifs qui sont assis dans les ténèbres. Nous L’aimons.
    Très bien. Nous lirons maintenant l’Écriture très rapidement.

60     Et si c’était la volonté du Seigneur, gardez en mémoire dimanche prochain. Souvenez-vous que ce soir est le soir de la communion, comme je crois qu’il l’a mentionné. Et mercredi soir, c’est la réunion de prière du milieu de la semaine. Chacun est invité à toutes ces réunions. Dimanche matin, c’est le lever du soleil, entre 5 et 6; et la réunion du dimanche débutera à 9 h 30; viendra ensuite le service de guérison et le service baptismal.

61     Maintenant, tournons dans le vieux Livre béni.

62     Avant de le faire, chantons. Où est sœur Gertie? Elle était ici il y a à peine une minute. Voudriez-vous revenir juste un moment? Et j’essaierai de ne pas vous retenir plus d’une demi-heure, si je le peux, pour la leçon de ce matin. Chantons un couplet de ce merveilleux chant d’autrefois, Ma foi regarde à Toi. Combien le connaissent? Est-ce dans le livre des hymnes, ou le connaissons-nous simplement? Voyons voir. […]

63     …au dedans de nous, aujourd’hui, nos cœurs débordent de joie, à la pensée qu’un jour ce vieux tabernacle terrestre dans lequel nous habitons, cette construction d’argile, telle une cage qui retient l’oiseau, que nos âmes prendront leur envol un de ces jours, comme un oiseau de sa cage, dans les bras de notre Bien-Aimé. Quand nous Te verrons venir, cette enveloppe de chair cédera et montera.

64     Notre foi regarde maintenant à Toi. Pardonne-nous pour tout ce que nous avons fait, toutes nos fautes et toutes nos transgressions. Je prie que Tu t’établiras maintenant sur nous. Viens dans nos cœurs. Bénis-nous. Et prends la Parole, la Parole de Dieu, et donnes-en à chaque cœur, à la mesure de notre besoin quotidien. Et nous Te donnerons la louange, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

65     Tournons rapidement aux Hébreux, le 9e chapitre, en commençant au 11e verset. Et ce matin, Dieu voulant, nous parlerons sur La communion par la rédemption. Maintenant, dans Hébreux 9, tous ceux qui ont leur Bible et qui aimeraient faire l’étude avec nous un moment… J’aime la Parole. Vous savez, «la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu».
    Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; Il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est-à-dire, qui n’est pas de cette création;
    et Il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec Son propre Sang, ayant obtenu une rédemption éternelle.

66     Et dans Job, le 19e chapitre, les 23e, 24e et 25e versets, nous lisons ceci, concernant la rédemption.

67     Paul, ici dans Hébreux, nous dit qui était notre Rédempteur, comment «par une seule offrande, Il a amené à la perfection pour toujours ceux qu’Il a sanctifiés».

68     Maintenant, au 23e verset, Job dit:
    Oh! je voudrais que mes paroles fussent écrites, qu’elles fussent écrites dans un livre;
    Je voudrais qu’avec un burin de fer et avec du plomb elles fussent pour toujours gravées dans le roc…
    Mais je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu’Il se lèvera le dernier sur la terre.
    Quand ma peau sera détruite, Il se lèvera; quand je n’aurai plus de chair, je verrai Dieu.
    Je Le verrai, (…); mes yeux le verront, et non ceux d’un autre; mes reins se consument dans mon sein.

69     Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à Sa Parole, parlant de rédemption et de communion.

70     Et bien souvent, nous constatons que nous, les êtres vivants de cette terre, nous devenons tout agités et ne savons plus où aller. Je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un avec un esprit chrétien qui pourrait regarder au monde d’aujourd’hui et ne pas gémir en son esprit. Je me suis souvent demandé comment les gens d’aujourd’hui pouvaient prendre cette vie autant à la légère. Ce n’est pourtant pas de peu d’importance. C’est ici la raison même pour laquelle on a été placé sur terre, c’est pour adorer et parvenir à Dieu, et pour venir en communion avec Lui. Et de voir les hommes perdre leur temps, comme s’il n’y avait point de Dieu, oh, l’homme s’est retiré lui-même dans cette sorte de condition.

71     Et en ce jour où nous sommes, je crois que le point le plus essentiel sur lequel, je pense, un ministre pourrait parler, serait de ramener les gens aux principes généraux de l’Évangile, de revenir à la base.

72     Car si vous n’êtes pas érigé sur le bon fondement, cela ne profitera de rien. Quelle serait l’utilité de construire sur une fondation qui a déjà été condamnée? Quelle serait l’utilité, comme je disais, d’essayer de… quelle serait l’utilité d’essayer de tapisser et de peinturer un vieux bâtiment que le gouvernement a condamné? Et c’est ce que beaucoup de gens essaient de faire par les temps qui courent, en réformant, en essayant de réformer. «Nous ouvrirons une église, et nous tournerons une page, et nous essaierons d’agir un peu différemment de ce que nous faisions auparavant.» Vous n’aboutirez à nulle part de cette façon. C’est de la folie même d’essayer. Voyez?
    Vous ne faites que perdre votre temps.

73     Vous dites: «Bon, je crois que si je cessais de mentir et de voler…» Toutes ces choses, aussi bonnes qu’elles soient, mais vous êtes néanmoins à un million de kilomètres en dehors du chemin battu.

74     Vous devez commencer à partir depuis la fondation. Vous devez construire une nouvelle base; non pas rafistoler l’ancienne, mais en construire une toute neuve. Vous devez y revenir, et commencer correctement. C’est pourquoi vous voyez tant d’erreurs injustifiées, tant de gens indifférents, parmi ceux qui professent le christianisme.

75     Vous savez, c’est tant soit peu dur maintenant, mais vous êtes la seule Bible que beaucoup liront jamais, vous les chrétiens. Votre vie est la seule Bible que les hommes, que beaucoup d’hommes et de femmes liront jamais, simplement par votre comportement. Donc, les chrétiens sont censés être un exemple vivant de ce que Christ est. Et si Christ est dans le cœur humain, alors Il vivra certainement Sa propre Vie, car Christ est en vous. Et si l’Esprit de Christ est en vous, vous devenez donc une nouvelle créature.

76     Maintenant, j’aime croire que les chrétiens, de partout, si celui qui invoque le Seigneur Jésus vivait exactement la vie chrétienne, eh bien, ce monde se convertirait dans les prochaines vingt-quatre heures. Tout à fait.

77     La Bible dit que «vous êtes le sel de la terre». Et le sel ne peut conserver que s’il vient en contact avec cette terre souillée. La terre est en train de se détériorer, de pourrir. Vous savez cela. Et le sel doit venir en contact avec la terre, sans quoi elle périra.

78     Il y a quelques semaines, à Chicago, j’ai été vraiment touché quand j’ai vu où la Parole de Dieu a été prouvé être la vérité. Les hommes et les femmes doivent revenir à la Parole. Je passe quasiment tout mon temps…

79     En Californie, après avoir vu surgir tant de sectes, tant d’indifférences, tant de trucs qui n’étaient pas de Dieu… Je ne suis pas ici aujourd’hui pour critiquer qui que ce soit. Je ne suis ici que pour tenter de prêcher l’Évangile. Mais quand vous voyez tant de choses surgir, sous la flatterie, et sous des ministères construits sur des personnalités, vous serez alors assis sur du sable mouvant. Un ministère doit être totalement et entièrement construit sur le Seigneur Jésus-Christ, la Bible, en dépit de toute nouveauté qui se présente.

80     Il n’y a pas longtemps ici était remis au fils d’un de mes associés, frère Moore, un doctorat en sciences. Et quand cette grande science est venue de Washington pour lui remettre son doctorat, après l’avoir serré dans ses bras, il lui a dit: «Fils, à Washington, D.C., sur les derniers développements scientifiques, il y a cent vingt-quatre faits scientifiquement prouvés concernant cette science moderne.» Il a dit: «Si je t’y amenais, il te faudrait deux ans pour lire ces livres, jour après jour, sans t’arrêter.» Il a dit: «Quand tu auras passé au travers des cent vingt-quatre livres, a-t-il dit, la chose que tu aurais alors à  faire serait d’oublier tout ce que tu as lu, parce qu’ils auraient découvert autre chose qui surpasserait celle-ci.»

81     Quand il eut dit cela, j’ai pensé: «Mais gloire à Dieu! je connais un Livre qui a traversé des milliers d’années. Il ne changera jamais, et rien non plus n’y sera ajouté.»

82     C’est le Livre des livres. Et tous les autres livres tournent en rond, ne sachant pas où ils sont. Et s’ils veulent des faits, ils doivent revenir à cette Bible pour les obtenir. C’est le Livre de Dieu, le seul Livre. Que Dieu soit à jamais loué pour ce grand et merveilleux Livre. Et en celui-là est contenu la volonté de Dieu, la promesse de Dieu. C’est le Livre de tous les livres. Tous les autres livres échouent; tous les autres livres disparaissent; leur savoir est dépassé. Mais ce Livre-ci contient la vérité éternelle de Dieu. Pour cette raison, vous pouvez dire amen à ce que dit la Bible.

83     Quand j’allais à la petite école, on m’enseignait que c’était le reflet du soleil sur les étoiles qui les faisait briller. Ils ont changé cela maintenant. Ça ne peut plus les faire briller. Je me trouvais au planétarium du mont Palomar de Los Angeles, l’autre jour, sur la colline, au plus grand planétarium du monde. Je le visitais avec le guide. Il m’a dit: «C’est ce qu’ils croyaient il n’y a pas longtemps. Mais ils ont découvert que chaque étoile émet sa propre lumière.» C’est parti. «Les rayons du soleil ne pourraient voyager aussi loin, entre chaque étoile.»

84     Ils m’ont jadis enseigné que le monde tournait autour du soleil, et que le soleil restait parfaitement immobile. Vous les gens de mon âge, c’est ainsi qu’on vous a enseignés. Ils ont changé cela depuis lors. «Le soleil se déplace.» Voyez? Ils ne savent tout simplement plus. C’est bien cela.

85     Et voici le seul Livre qui sait. Maintenant, les hypothèses qu’ils ont avancées depuis six mille ans… Josué commanda au soleil de ne plus bouger, comme le dit la Bible, et il s’arrêta. Voyez. Ça va tout revenir à ce Livre. Tout revient à la Bible.

86     Il n’y a pas longtemps, la science ridiculisa un homme, quand, dans la Bible… La Bible dit: «Votre corps est plein de lumière.»

87     La science a dit: «Votre corps, plein de lumière! A-t-on jamais entendu pareille chose! C’est impossible. Il n’y a pas de lumière dans votre corps.» Mais ils ont fait la découverte du contraire. Ils ont inventé le rayon X. Et le rayon X mesure votre propre quantité de lumière. Il n’utilise aucune autre lumière. Votre propre lumière produit le rayon X. Le rayon X n’a pas de lumière propre. C’est votre lumière qui prend la photo, la lumière qui est dans votre corps. Donc, Dieu avait raison, après tout.

88     Vous savez… Et puis ils ont dit: «Dieu a fait une erreur quand Il a dit qu’“un homme pense avec son cœur”. C’est impensable, il n’y a pas de fonctions mentales dans le cœur d’un homme par lesquelles il peut penser! C’est par son esprit qu’il pense.» Mais il n’y a pas plus de deux mois, ils ont découvert que Dieu avait raison. Ils ont été explorer le cœur humain, et ils y ont découvert un tout petit compartiment qui n’était pas même environné d’une cellule de sang, ou rien. On ne retrouve pas cela dans le cœur animal, ou le cœur d’un oiseau, ou dans tout autre cœur, à part celui de l’humain. Un tout petit emplacement, qui est appelé «l’habitacle de l’âme». Donc Dieu dit vrai. C’est du cœur que l’homme pense.

89     Un homme peut avoir une foi intellectuelle… et c’est là où la plupart des gens en arrivent aujourd’hui, de ceux qui s’appellent chrétiens. La raison pour laquelle il se fait tant d’histoires sous le nom du christianisme, comme vous pouvez le constater, c’est à cause de cette foi intellectuelle. «Que voulez-vous dire par foi intellectuelle, frère?»

90     Voici: «L’homme croit à salut»; et «La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend par la Parole».

91     Or, je pourrais prêcher la Parole; vous pourriez l’accepter et dire: «C’est tout vrai. Oui, j’y crois.» Bon, maintenant, si c’est le plus loin que ça peut aller, alors vous n’irez jamais très loin avec Dieu. — La foi intellectuelle.

92     C’est pourquoi les gens n’obtiennent pas la guérison. C’est qu’ils n’ont que le point de vue intellectuel de la guérison, que ce que conçoit leur pensée. La pensée, elle, va raisonner. La pensée dira: «Ce n’est pas possible. Je ne vais pas mieux.» Mon sens de la vue dit: «Mon bras n’est pas plus replacé qu’hier.» Mon sens du toucher dit: «Je ne sens aucune différence d’avec hier.»

93     Le raisonnement, la théologie mentale raisonnera tout, en disant: «Attend une minute, là, je crois que c’est de la folie.» Voyez? Vous raisonnez. Cette foi intellectuelle fera ainsi.

94     Mais dès que cette foi descend dans ce compartiment-ci, elle ne questionnera jamais ce qui est en haut, là, en aucun cas. Cela devient un fait absolu, et elle s’accordera avec toute Parole divine de Dieu.

95     C’est pourquoi les gens n’arrivent pas à l’endroit où ils devraient être. Cela devient une conception mentale de Dieu. Quand cette conception mentale, quand vous croyez en Lui par une foi intellectuelle, cela n’accomplira rien.

96     Cela se doit d’être une expérience de nouvelle naissance, où votre foi descend dans ce compartiment, ici. Et, en dépit des apparences, la foi dit que c’est ainsi, de toute façon. Voyez?

97     Or, l’homme a une fois été créé… Même dans la condition dénaturée dans laquelle on est aujourd’hui, l’homme a été créé pour servir Dieu. C’est ce qu’il doit sur terre. Écoutez ce grand homme, le plus sage des hommes, Salomon, et tous les autres. Dans l’Ecclésiaste, il dit: «Écoutons la fin du discours: crains Dieu et observe Ses commandements. C’est là ce que doit tout homme.» C’est là ce que doit tout homme.

98     Nous nous demandons pourquoi nous sommes ici, les hommes et les femmes, pourquoi nous portons des vêtements et avons à lutter, tandis qu’il n’en est pas de même pour les animaux. Dieu nourrit Ses petits oiseaux et prend soin de tout le reste. Mais nous, nous devons nous débrouiller. C’est que le péché nous a séparés de notre Créateur. C’est ce qui a fait cela.

99     Vous ne verrez pas l’animal s’améliorer. Il ne le peut pas. S’il parvient à une meilleure condition, ça devra venir d’une source extérieure. Il ne se construit pas une plus belle niche. Il ne se fait pas frire ses plats; il les mange habituellement crus. Voyez.

100     Il n’y a rien en lui qui lui donnerait une âme. L’animal n’a pas d’âme.

101     Mais l’homme a une âme. Et, par conséquent, cette âme est une partie de Dieu. Malgré sa condition déchue, l’homme n’en demeure pas moins la plus grande espèce de toutes les espèces de la terre. Et si vous l’amenez en contact avec Celui qui l’a créé, il devient un super-homme, presque, parce qu’il est un fils de Dieu. Il fait la connaissance de son Créateur, du Créateur de toutes choses, et ensuite, quand cette homme-là, en relation avec son Créateur, devient une partie de son Créateur, revient en communion avec son Créateur, toute Parole divine devient une réalité vivante pour lui, et il y croit.

102     Ce n’est pas étonnant qu’aujourd’hui les gens ne peuvent plus croire en la guérison divine. Ils n’ont rien en eux pour croire. Jusqu’à ce que Dieu vienne dans le cœur humain, un homme ne vaut pas beaucoup plus qu’une brute. Sa raison… il réfléchira à fond sur tout: «Comment cela se peut-il?» Et il va tout l’expliquer.

103     Mais si jamais Dieu prend Sa position dans le cœur humain, tous les raisonnements s’effacent. Dieu passe en premier. Amen.

104     Au commencement, quand Dieu créa l’homme pour L’adorer et vivre… Dieu, qui prenait soin de lui, le nourrissait. L’homme avait une communion parfaite avec Dieu. Tout était parfait. Dieu descendait le soir et parlait à Adam et Ève. Quel beau tableau! Il ne se faisait pas de mal. Rien ne pouvait leur nuire. La maladie ne pouvait pas les atteindre. Ils ne savaient même pas ce que c’était. Ils ne savaient pas ce que c’était d’être âgé. Ils ne savaient pas ce que c’était d’être blessé. C’était impossible qu’ils le soient. Ils étaient dans la présence des puissances omnipotentes de Dieu, lesquelles les tenaient en contrôle; et par Son Esprit Il les guidait. Rien ne pouvait leur nuire.

105     S’il vous arrivait de penser… Je crois que si ce petit groupe de croyants, ce matin, pouvait à chaque instant mettre de côté toute pensée, en venir au fait, à savoir que le grand Jéhovah Dieu, qui vous a créé au commencement, est en position, en place aujourd’hui, ici dans ce tabernacle, au cœur de chaque croyant! … Vous croyez cela? — [Amen.]

106     Maintenant, au commencement, quand Dieu descendait au crépuscule et parlait à Adam et Ève dans la fraîcheur du soir, et que Sa voix majestueuse leur murmurait… Ils étaient en communion, ils s’aimaient l’un l’autre. L’Esprit se mouvait à travers les buissons. Les lions montaient, les tigres, tous les autres, et ils adoraient le Seigneur. L’homme était conscient, à tout instant, que Sa présence était avec lui.

107     Maintenant, écoutez. J’aimerais vous dire quelque chose, prêtez l’oreille à ceci, à cette remarque. Je vais simplement être un peu différent ce matin. Je vais me permettre de parler un peu de quelque théologie à moi, de quelques-unes de mes opinions personnelles, de mes propres conceptions de l’Écriture, des choses que je n’ai jamais dites auparavant dans cette église ou ailleurs. Mais je sens que ce matin, ce pourrait être profitable.

108     Tout homme, en son for intérieur, a des conceptions, et ainsi de suite, qu’il croit et garde solennellement en son cœur, des secrets entre lui et Dieu, que personne ne connaît si ce n’est lui et Dieu seul. Vous savez cela. Chacun d’entre vous, croyants, savez cela. Seul le croyant et son Créateur.

109     Je n’ai jamais cru que le Ciel était un endroit où il y avait un tas de bâtiments, où il y avait un tas de maisons, faites de mortier, tapissées de papier tenture, aux murs peints. Je n’ai jamais cru qu’un Être surnaturel aurait à vivre dans une maison littérale. Je crois, quand Jésus en parla dans Jean 14, quand Il a dit, «il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père», qu’Il voulait dire un corps, un lieu d’habitation.

110     Car les Écritures confirment la même chose et disent: «Si ce tabernacle terrestre est dissout, nous en avons un qui attend.» Le voyez-vous?

111     Les êtres mortels sont les seuls à vivre dans des habitations mortelles. Les êtres immortels habitent dans des habitations immortelles. Ainsi, le lieu dans lequel on va, en attendant de revenir, n’est pas un lieu fait de briques, de mortier et d’argile, ou de pierres précieuses et de rubis. C’est un lieu de condition, une dimension où nous vivons et de laquelle on sort pour entrer dans une autre dimension. Et c’est une maison, un tabernacle, un lieu d’habitation.

112     Jésus a dit: «Détruisez ce temple, et Je le relèverai en trois jours.» Et ils ont pensé qu’Il parlait du temple de Salomon; mais Il parlait de Son propre corps.

113     Et Il est allé préparer une place pour chaque croyant, pour qu’au moment même où nous sortons de ces régions mortelles, nous ne sortions pas dans un mythe ou dans un esprit surnaturel, mais que nous entrions dans un tabernacle, un lieu d’habitation. Et ce pourrait être directement dans ce bâtiment, ce matin, dans un lieu où aucune onde de radio ou autre ne pourrait toucher. C’est là, préparé uniquement par Dieu seul.

114     Écoutez. Moïse était décédé depuis huit cents ans. Élie avait été enlevé depuis à peu près six ou sept cents ans. Et on les retrouve sur le mont de la Transfiguration, tous les deux dans leurs apparences mortelles, parlant à Jésus, peu de temps avant qu’Il aille au Calvaire. Vous voyez ce que je veux dire?

115     Or, ce que j’essaie de dire, c’est que nous regardons à un quelque chose de mythique, de lointain, d’inaccessible, à cent millions d’années.

116     J’ai eu une révélation, l’autre jour, alors que j’étais à l’observatoire du mont Palomar, regardant dans le temps, dans l’espace, jusqu’à Mars, et dans les derniers continents, et ainsi de suite, et la lumière voyageant à tant de milliers de kilomètres à la seconde.

117     Si un ange partait de l’étoile la plus éloignée pour venir ici, il lui faudrait des milliards de fois des milliards de fois des milliards d’années pour y parvenir. S’il partait de Mars pour venir ici, volant à la vitesse de la lumière, il lui faudrait des milliards d’années pour arriver jusqu’ici.

118     Je ne peux croire qu’il y ait une maison si loin là-bas. Mais je crois que cette maison, dont Dieu parlait, est ici présente maintenant. C’est le lieu où les êtres mortels… quand nous cessons d’être mortels ici, nous entrons dans l’immortalité là-bas, dans un lieu.

119     Aussi je crois que c’est là où se trouve Jésus aujourd’hui; le Seigneur Jésus ressuscité. Pas très loin là-bas quelque part, à un million et demi de kilomètres, mais directement ici, présent avec nous maintenant.

120     Dans la quatrième dimension, les gens peuvent prouver qu’à travers cette pièce, comme je vous parle, passent une onde radiophonique, des messages radiophoniques. Passant directement à travers ce bâtiment, comme je vous parle, parviennent des images télévisées; mais c’est trop rapide pour l’œil.

121     Maintenant, allez à des millions de kilomètres au delà de cette dimension, et vous parviendrez en un lieu tout aussi réel qu’il y a des images télévisées dans cette pièce-ci ce matin. Là est le Seigneur Jésus-Christ, le Fils ressuscité de Dieu, qui se tient ici. Et la raison pour laquelle vous ne pouvez Le voir, c’est que notre cœur n’a pas été syntonisé sur cette fréquence.

122     Et la raison qui nous empêche de voir les images télédiffusées, c’est que nos corps ne sont pas conçus pour capter des diffusions envoyées par moyen mécanique.

123     Mais quand notre corps se met en syntonisation avec Dieu, devenant une partie de Lui, alors notre âme peut capter la puissance du Saint-Esprit, pour confirmer la présence du Seigneur Jésus-Christ, ainsi que toute Sa puissance et Son omnipotence. Il est ressuscité des morts. Il vit avec nous aujourd’hui. Et Il veut communier avec Son peuple à nouveau. Sa grande majesté, Sa gloire, est en train de se déployer. Et Il désire communier à nouveau avec Son peuple, comme Il le faisait au jardin d’Éden.

124     Je sais que j’ai tourné autour de cela un long moment, mais je voulais que vous captiez cette image, pour que vous ne l’oubliiez jamais.

125     Où que vous soyez, que vous soyez à la piscine ou au casino, il y a Quelqu’un d’invisible qui vous surveille. Si vous supportez des persécutions pour le Nom du Seigneur, quoi que ce soit, prenez qui vous voudrez, et observez; l’homme récoltera ce qu’il a semé, à tout coup. S’il agit mal, il ne s’en tirera jamais comme cela. S’il agit correctement, il viendra dans la Gloire avec cela. Vous ne pouvez tout simplement pas passer à côté. C’est Dieu. Il est ici. Il connaît les profondeurs mêmes de votre cœur. Il sait qui vous êtes et tout ce que vous avez fait.

126     Parfois dans les réunions, j’observe comment ces visions deviennent matérielles. Je me disais: «Ô Dieu, comment cela peut-il se faire! Quand, il y a à peine une minute, se tenait ici un Homme, avec Ses bras croisés, me regardant, et j’ai entendu Sa voix me parler et me dire des choses qui allaient arriver, et qui n’ont jamais manqué d’arriver.»
    Et, pourtant, je ne Le vois plus.

127     Et je sais qu’il y a un Pays au delà de la rivière, il y a une région quelque part, là-bas, que les personnes glorieuses, que sont les grands anges de Dieu, communient à nouveau à Son Être.

128     La communion! Au commencement Dieu se mouvait à la surface de la terre. Et Adam et Ève, leur âme était sans tache. Ils entendaient le mugissement et voyaient cette belle Lumière, là-bas, brillant à travers les buissons. C’était Jéhovah qui leur parlait.

129     Et puis le péché les sépara. Ils se mirent à pécher. Dieu n’avait qu’un seul moyen, pour qu’un pécheur atteigne un Dieu saint; et ce n’était pas par sa propre justice, ce n’était pas en raccommodant une vieille chose, c’était par la mort et la résurrection. C’était le seul moyen. Dieu condamna l’homme dans le jardin d’Éden parce qu’il avait péché, et son corps entier a été imprégné du péché. Et vous ne pourrez jamais tourner une nouvelle page.

130     Écoutez: Je me soucie peu de votre grande fréquence à l’église et des bonnes choses que vous faites. Tout ça c’est très bien. Vous achetez du charbon à la veuve quand elle a froid; vous lui achetez de la nourriture quand elle a faim; vous pourvoyez à ce que les enfants ne manquent de rien. C’est bien. Y a rien à redire à ce sujet. Mais, mon frère, ma sœur, vous serez un être misérable, jusqu’à ce que ce vieux fondement soit tout à fait éliminé et que vous deveniez une nouvelle créature en Jésus-Christ, pour que cette âme puisse entrer en contact avec Dieu, pour communier. Vous le voyez?

131     Ensuite, quand vous entrez dans cette merveilleuse et glorieuse communion de Son Être, toutes les petites choses s’estompent. Oh, ça semble de si peu d’importance, si puéril. C’est pourquoi nous avons ces problèmes. C’est pourquoi l’on voit des prétendus chrétiens vivre tout juste… Aujourd’hui ils vont très bien, et le lendemain ils ne vont plus du tout; et le surlendemain, bon…! C’est qu’ils n’ont jamais démoli le vieux fondement. Ils n’ont jamais construit sur Christ.

132     Maintenant, remarquez-le dans sa gloire antérieure… Après qu’il eût péché, Dieu se sentit si désolé pour le pauvre type, les voyant, lui et Ève, s’éloigner sans… En sortant de la communion, ils leur fallaient se débrouiller tout seul. Que pouvaient-ils faire? Ils avaient un Père bien-aimé, qui aurait bien pris soin d’eux; mais voilà que par la désobéissance ils coupaient toute communion. Plus de communion. Ils devaient s’occuper d’eux-mêmes; ils devaient cultiver la terre et gagner leur pain à la sueur de leur front. Ils devaient connaître la maladie et mourir, ainsi que toutes sortes d’ennuis, des tristesses et des désappointements. Pourquoi? — La communion avait été rompue. Plus de communion avec Dieu. C’était devenu impossible.

133     C’est là où en sont les hommes, de nos jours. C’est pourquoi on les voit travailler les dimanches. C’est pourquoi on les voit aller à la pêche et à la chasse les dimanches. C’est pourquoi on les voit aller aux courses de chevaux, ou d’automobiles. C’est pourquoi on les voit plonger dans les piscines, et ainsi de suite. Il y a quelque chose dans l’homme qui cherche Quelque chose, et il ne peut Le trouver. Et ce monde-ci ne peut Le produire. Et l’église ne peut Le produire sur la base d’une théologie mentale. Non, ils ne le peuvent pas.

134     L’homme doit démolir l’ancien fondement. L’homme doit être régénéré et né de nouveau, et revenir à Dieu. Non pas tourner de nouvelles pages. Ça ne le fera pas. C’est peut-être bon, je ne m’oppose pas à cela, aux bonnes œuvres que vous faites, mais ça ne le fera pas. De se joindre à l’église ne le fera pas; d’amener les enfants à l’église ne le fera pas.

135     Jusqu’à ce que ça devienne une affaire individuelle avec vous, jusqu’à ce que vous reveniez à cette communion, ensuite nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, car notre esprit rend témoignage avec Son Esprit que nous sommes fils et filles de Dieu. Les choses anciennes sont passées, et toutes choses sont devenues nouvelles. Et voilà. Oh là là! Quand j’y songe, combien mineures ces autres petites choses m’apparaissent.

136     Mon épouse avait l’habitude de chanter ce chant:
Les traces de pas de l’Étranger ont été effacées
Sur les sables de la rive de Galilée
La Voix qui refréna les flots enragés
Ne se fera désormais plus entendre en Judée
Mais je suivrai à chaque jour avec joie
Le sentier de ce Galiléen solitaire
Et les labeurs de la route ne me sembleront plus rien
Quand j’atteindrai la fin du chemin.

137     Il y a quelque chose au delà du voile, là-bas, qui attire le chrétien. Il ne peut l’expliquer. Il ne le comprend pas lui-même. Mais il y a quelque chose dans cette communion qu’il a avec Christ!

138     Retranchez-le de là, et il devient un vagabond. C’est ce qui fait que le peuple américain d’aujourd’hui, pauvre et errant comme il est… Des pauvres types dans la rue, des jeunes dames, des jeunes hommes, n’ont pas de communion du tout. Ils vont à l’église et ils ne peuvent la trouver à l’intérieur de ses murs, parce que l’église est tellement formaliste et rituelle. Ils ne la trouveront pas là. Ils se rendent à la piscine, et ils ne peuvent la trouver là. Ils se rendront sur les plages de plaisance, ils ne pourront la trouver là. Satan se saisit d’eux et les dépouille de leurs vêtements, et de tout. Ils vivent d’adultères de toutes sortes. Les pauvres types monteront à une réunion quelque part, et diront: «Oh, frère, je pense à me suicider.» Ils ne peuvent la trouver. Non. Le péché sépare un homme de la communion.

139     Maintenant, mes amis, il n’y a qu’un seul chemin pour retourner. J’en ai vu plusieurs qui pouvaient danser dans l’Esprit, qui pouvaient parler en langues, et qui pouvaient courir de long en large du bâtiment, et bien d’autres choses, et qui n’avaient pas pour autant de communion, tout aussi misérables qu’ils pouvaient l’être, parce qu’ils avaient bâti sur le mauvais fondement. C’est vrai. Nous devons avoir la bonne chose, la chose première en premier. Sans quoi, votre départ au complet est faux. Vous devez revenir au fondement.

140     Maintenant, allons découvrir ce qu’est le fondement. Après quoi, si nous pouvons trouver le fondement, vraiment à partir de la Parole de Dieu, il n’y aura plus de question à se poser. Surveillez simplement ce qui arrive. Maintenant, écoutez-moi, mes frères et sœurs dans le Seigneur. Il n’y a qu’un fondement pour la communion. Ce n’est seulement qu’à une seule occasion et pour une seule raison où Dieu ait jamais étendu le tapis de bienvenue pour la race déchue d’Adam, qu’une seule. C’était dans le jardin d’Éden, quand Il l’étendit, par le moyen du sang versé.

141     Je crois dans le Sang. Pas d’en parler; je veux dire d’adorer en cela.

142     Quand Dieu fit une réconciliation pour Adam et Ève, Il la fit par l’effusion du sang d’un substitut innocent — par l’effusion du sang.

143     Oh, aujourd’hui, les hautes églises formalistes se sont éloignées de cela. Elles ne le prêchent plus du tout. Et ils parlent de politique et de tout autre truc du monde. Ce sont là les églises formalistes.

144     Et l’église du Plein Évangile a dévié dans tant de «ismes», de petites choses; et ils doivent faire ceci, et des petites évidences, et tout, à ce point qu’ils se sont éloignés de cela. Et le monde entier est devenu une agglomération d’absurdités. C’est vrai. Dans les conditions, c’est un état lamentable à voir. À moins que Dieu ne fasse rapidement quelque chose, toute l’affaire est perdue.

145     Dieu! envoie-nous des prédicateurs, aujourd’hui, qui se tiendront sur le fondement, qui feront cet appel aux pécheurs: «Le chemin du retour est par le Sang versé du Seigneur Jésus!» Le seul chemin. Pas d’en discuter, mais je veux dire, d’y entrer.

146     Dieu immola l’agneau, couvrit Adam et Ève de sa peau, et versa le sang, un moyen de revenir à la communion avec Dieu. Adam n’a pu revenir à Dieu que par le sang versé.

147     Caïn est parti avec la première idée d’Adam. Adam s’était fait une religion, en se couvrant de feuilles d’olivier, sur lui et sur Ève. Mais ils ont réalisé que ce n’était pas le moyen approprié de Dieu, et pour cette raison ils n’ont pas pu se tenir en Sa Présence.

148     Et de nos jours nous nous croyons encore capable par nous-mêmes. Nous utilisons toutes les différentes idées et les vaines philosophies des hommes, et ça ne mène absolument nulle part. Jésus a dit: «Les hommes m’adorent, enseignant pour doctrine leurs traditions d’homme.» Ils adorent en vain. Vous pourriez adorer le Seigneur, et toutefois ne pas adorer de la bonne façon. Cela ne vous sera pas compté comme réconciliation.

149     Maintenant, église, je voudrais que vous réfléchissiez là-dessus. Ne laissez pas ces choses passer à côté, en disant: «Frère Bill est venu et il a dit ceci et cela.» Prenez ces choses à cœur. Méditez-les. Pourquoi avons-nous nos hauts et nos bas? Pourquoi les choses vont-elles de la façon qu’elles vont? — C’est qu’il nous faut premièrement revenir au fondement.

150     Adam pensa que si seulement il couvrait sa nudité, que tout irait bien par la force des choses.

151     C’est aussi comme cela que les hommes pensent aujourd’hui. «J’irai joindre une église.» Peut-être y en a-t-il beaucoup qui disent: «Je veux être comme l’autre, donc je… je crois, je peux taper des mains jusqu’à crier.» D’autres disent: «Je croirais si je pouvais seulement parler en langues un petit peu; après quoi je serais rassuré.» Et vous pouvez entrer dans une confusion de voix, ce qui ne serait pas du parler en langues, ou, vous pourriez parler véritablement en langues et, par ailleurs, ne pas encore être en ordre.

152     Paul a dit: «Quand je parlerais la langue des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien.»

153     Vous dites: «Si j’allais imposer les mains aux malades et qu’ils recouvraient la santé, je serais rassuré.»

154     Jésus a dit: «Plusieurs viendront à moi en ce jour-là, et diront: “Seigneur, n’ai-je pas chassé des démons en Ton Nom? N’ai-je pas prophétisé, prêché en Ton Nom? N’ai-je pas, en Ton Nom, accompli beaucoup d’œuvres puissantes?” Alors Je leur déclarerai: “Je ne vous ai jamais connus; retirez-vous de moi, vous, ouvriers d’iniquité.”»

155     De venir par un autre moyen (que cela descende profondément maintenant), de venir par un autre moyen que celui pourvu par Dieu, le Sang… Adam surgit avec une couverture aussi bonne, aussi fondamentale qu’il lui était possible d’avoir, mais c’était la mauvaise façon. Et aujourd’hui les gens ont des églises qu’ils joignent, y apposent leur nom, se réforment, vont prendre la communion, et font différentes choses, tout aussi religieusement que cela peut se faire. Mais ce n’est encore pas la façon. Ce n’est pas ce que Dieu demande.

156     Sur la base du sang versé, donc, s’ouvrait pour Adam et Ève un chemin pour rentrer au bercail, pour communier avec Dieu. Il a été emprunté à travers les âges. Il a été emprunté à travers chaque âge. Job, le plus ancien livre de la Bible…

157     Pour revenir à notre lecture de l’Écriture, Job l’a emprunté. Le livre de Job a été écrit avant que la Genèse soit écrite. Le livre de Job est le plus ancien livre de la Bible. Et, bien sûr, Moïse a écrit la Genèse plusieurs centaines d’années plus tard. Mais pour Job, le seul moyen qu’il avait de venir communier avec Dieu était à travers le sang versé de l’agneau, et un holocauste.

158     Dieu l’avait béni et il devint un grand homme. Il avait des richesses en abondance, des chameaux, des bœufs, des moutons. Oh, quel grand homme il était. Et tous s’inclinaient devant lui et disaient: «Job, oh, tu es un exemple.»

159     Ensuite, Satan, l’accusateur, monta et dit devant Dieu… Et Dieu dit: «As-tu remarqué Mon serviteur Job, c’est un homme droit, un homme intègre? Il n’y a personne comme lui sur toute la terre.» Pensez donc! Personne comme lui sur toute la terre!

160     Il répliqua: «C’est sûr, Tu l’as entouré de tout côté. Cet homme possède tout: une bonne santé, de la vigueur, et beaucoup d’argent, et beaucoup de tout. Pour sûr, il peut Te servir. Mais, livre-le-moi quelques minutes.» Il dit: «Je l’aurai. Je le ferai Te maudire en face.»

161     Maintenant, remarquez. Oh, comme j’aime ceci. Dieu, connaissant le cœur. Job n’avait qu’un seul moyen, c’était par la communion, par l’effusion du sang. Il avait parlé à Dieu. Il savait qu’Il existait. Dieu avait confiance en Job, parce qu’Il avait eu cette communion avec Job.

162     Ô Dieu, puisse le Branham Tabernacle voir cela aujourd’hui. Le seul moyen qui permette à Dieu d’avoir confiance en vous, ce n’est pas parce que vous faites quelque chose ou que votre foi accomplit quelque chose, mais c’est quand vous êtes en communion. Amen. La communion!

163     Un grand réveil baptiste est en cours en ce moment. J’ai entendu un prédicateur baptiste dire: «Il y aura plus de membres baptistes à Churchill Downs qu’il y en aura au réveil baptiste.» — C’est la vérité. Et pourquoi? — Parce que l’église baptiste a laissé tomber. Ils deviennent baptistes en devenant membres; ils deviennent baptistes en joignant l’église; ils deviennent baptistes en étant baptisés d’eau.

164     Mais s’ils étaient en communion avec leur Créateur, la Présence de Dieu, de parler et communier avec Lui seraient d’un trésor beaucoup plus grand que les choses du monde. Ils ne s’inquiéteraient plus que ceux-ci se retrouvent en de tels endroits. Vous n’avez plus à vous en inquiéter, si jamais l’homme entre en communion. Amen.

165     Vous pourriez me parler de frère Neville comme étant un type bien, quel brave homme il est. Si c’est ce que j’entends dire de lui, c’est très bien, je le croirai. Je le croirai certainement. Mais je ne le saurai jamais personnellement jusqu’à ce que je fraternise un peu avec lui, jusqu’à ce que nous nous asseyions ensemble à une table, et que, par-dessus cette table, nous parlions ouvertement, et que nos esprits se fondent ensemble. Ensuite j’aurai une idée de quoi il est constitué.

166     Vous avez peut-être entendu parler de Jésus par le moyen de la prédication. Vous avez peut-être entendu dire de votre mère qu’Il est merveilleux. Vous avez peut-être entendu un prédicateur dire qu’Il guérit les malades. Et il se pourrait qu’Il vous ait déjà guéri par Sa puissance.

167     Mais vous ne saurez jamais ce qu’Il est avant de vous être une fois abandonné à Lui, dans la communion, et que votre esprit et Son Esprit se soient fusionnés ensemble, «témoignant d’un commun accord que vous êtes fils et filles de Dieu». C’est alors que les choses anciennes passent. Vous n’aurez plus à vous inquiéter du monde. «Car, par une seule offrande, Il a amené à la perfection pour toujours ceux qui ont communion avec Lui, à travers le Sang.» La communion!

168     Or, Dieu avait confiance en Job. Il avait communié avec lui et Il savait que Job pourrait mettre sa foi en Lui. Aussi dit-Il: «Très bien Satan, va-y, il est entre tes mains. Mais ne lui ôte pas la vie. Fais tout ce que tu voudras, sauf cela.» Alors Satan, excellant à son poste, se retira, et il fit périr tous les enfants de Job.

169     Là j’aimerais vous faire remarquer une petite chose. Je crois que Job a dû en avoir un pressentiment. Avez-vous remarqué que lorsque ses enfants, lorsqu’ils étaient tous réunis ce jour-là — ils avaient un grand banquet.

170     C’est là où vous tombez habituellement dans l’embarras, allant dans ces grandes soirées. Le bureau offrira un grand gueuleton… «Vous participerez à la veille de Noël», comme Billy Graham l’a relaté dans le journal, l’autre jour, «et vous vous enivrerez pour la première fois. Vous devez donner de l’air à votre âme…» […] … vous avez été enfermé si longtemps, donc vous devez sortir un peu et laisser s’évader votre âme. Vous devez sortir un peu et avoir du bon temps, pour vous relaxer, en quelque sorte, vous donner des vacances. Frères, cela montre que vous n’avez jamais été en communion avec Christ. Si un homme ou une femme a déjà goûté à la communion divine avec Christ, je le préférerais à toutes les vacances et les choses du monde. Certainement. Si vous voulez me faire relaxer, laissez-moi sentir Christ. Laissez-moi Lui parler un peu, et mes fardeaux seront enlevés. Ils ne seront plus. Non, je préférerais Lui parler à tout ce que je connais du monde. Avoir communion avec Lui. Donc, Dieu savait que Job avait goûté.

171     David a dit: «Goûtez et voyez que l’Éternel est bon!» Goûtez-y une fois seulement, et voyez s’Il n’est pas bon. Il goûte comme le miel du rocher. Maintenant, la grande communion!
    Donc, Satan descendit.

172     Mais avant qu’il ne descende, Job dit: « Mes enfants sont allés festoyer ce soir.» Je suis à me demander si on ne pourrait pas avoir plus de pères et de mères comme Job, des parents! Il dit: « Mes enfants sont sortis festoyer ce soir. Ils visitent des voisins mondains. Peut-être… au cas où ils pècheraient?» Oh là là!

173     Si les mères et les pères agissaient plus de la sorte, ils n’y auraient pas de délinquance juvénile. Les jeunes ne courraient pas les rues comme ils le font. Voyez.

174     «Mais si d’aventure ils commettaient le péché, je vais offrir une offrande pour chacun d’eux. Si quelque chose arrive, ils pourront revenir à la maison par le moyen du sang versé.» Oh là là! «Je l’offrirai pour eux. Ainsi, celui-ci est pour Jean. Je le sacrifierai, ô Dieu, pour Jean. S’il lui arrivait de dévier du chemin une fois là-bas — le Saint-Esprit n’est pas encore venu, pour le guider — aussi, s’il dévie du chemin, Seigneur, je lui tracerai un chemin ici.» Oh là là! «Marie, elle est là-bas ce soir. Ainsi, Seigneur, si elle dévie… oh, je l’ai bien élevée, mais si elle dévie, je lui tracerai un chemin, par le moyen du sang répandu, pour qu’elle revienne.»

175     Dieu, accorde-nous plus de ces mères, priant ainsi pour leurs enfants la nuit venue. C’est la colonne vertébrale de toute nation.

176     Très bien. «Je leur tracerai un chemin.» Bref, après un temps, la colère du diable s’abattit sur eux et les tua tous, ainsi que tous ses moutons, tout son bétail, et tout ce qu’il possédait. Même sa santé en prit un coup. Et il se retrouva plein d’ulcères, assis sur un tas de cendre, un tesson en main, pour gratter ses ulcères. Il avait tout perdu. Oh là là! Voici, regardez. Qu’en aurait-il été s’il n’avait eu qu’une foi intellectuelle? Ses raisonnements auraient dit…

177     Bildad et les autres descendirent. Et ils ont commencé à lui dire: «Regarde-nous, Job, je voudrais que tu réfléchisses à ceci maintenant. Regarde, cela démontre que tu es dans l’erreur. Toute ta théologie est fausse, Job, parce que, comme tu le vois, Dieu t’a tourné le dos. Tu n’as pas joint la bonne église. Tu vois, Job, regarde, tout est allé de travers.»

178     Mais si c’est tout ce qu’avait possédé Job, si tout son désir avait porté sur cela seulement, sa propre pensée lui aurait dit, aurait raisonné cela, et dit: «Je crois qu’ils ont raison. Je crois qu’ils ont raison.»

179     Mais (amen!) Job avait communié. Il dit: «Non, je ne fais pas fausse route. Car je base ma foi sur cette unique chose: J’ai parlé avec Lui. Et je suis venu par le moyen qu’Il a pourvu. Je suis venu par le moyen du sang versé, et c’est ce qu’Il exige. Et je Lui ai parlé, et mon âme demeure en Lui.» Vous y voilà. La communion! Y a rien de tel.

180     Laissez tomber votre adoration formaliste, et entrez en communion avec Lui une fois. Cessez cet «aller à l’église le dimanche», et ce «faire une petite prière avant d’aller au lit», et sortez réellement et entrez en communion. Oh! Vous vous hâterez de faire la vaisselle pour revenir communier de nouveau, lire la Parole, parler avec Lui. C’est ce qu’il nous faut. C’est ce que le monde a besoin aujourd’hui, ami chrétien. C’est ce qu’il vous faut. C’est ce qu’il me faut. C’est ce dont le monde entier a besoin, de revenir communier, communier avec Lui, Le connaître.

181     Paul a dit: «La communion de Ses souffrances, supportant les persécutions avec Lui.» Vous savez, Paul était cet homme qui avait souffert avec Christ. Et quand cet esclave, là-bas, s’eut enfui (j’aime cela), Paul avait tant supporté de persécutions, tant de choses de Christ, que, lorsque ce fugitif se sauva, Paul dit, écrivant à son maître, après la conversion de l’esclave, il dit: «Ne le considère plus comme un esclave.» Il dit: «Traite-le comme un frère. S’il te doit quelque chose, mets-le sur mon compte. Je te paierai quand je viendrai.» Voyez. Il avait tellement été en communion avec Christ, dans Ses souffrances, qu’il savait ce que c’était qu’être en exil. Savez-vous ce que c’est qu’être en exil? Il savait ce que c’était de communier à Ses souffrances, c’est pourquoi il savait sympathiser avec les autres.

182     C’est la raison pour laquelle Christ est devenu un humain, pour pouvoir connaître les douleurs de la maladie, pour pouvoir connaître les douleurs du désappointement, pour pouvoir avoir, avec nous, une communion, car Il a été participant de la vie comme nous, vie de désappointements, de douleurs et de maladies. Car Il a porté nos maladies et nos peines en Son propre corps. Une communion!

183     Remarquez maintenant, rapidement. Nous en arrivons à la conclusion de cet entretien sur la communion.

184     Job avait communié, et quel merveilleux temps c’était!

185     Satan ne pouvait pas ébranler Job de cette communion. Donc, est venue sa femme, le dernier recours. Satan a dit: «Je l’aurai par sa femme. Et je la ferai…» Les enfants n’avaient pas pu le faire, ni la perte de tous ses biens, ni la perte de sa santé. Donc, ce qui est le plus près d’un homme, en ce monde, ou qui devrait l’être, c’était sa femme.

186     Ainsi il prit sa femme et il descendit là. Et elle dit: «Job, regarde à ce que t’as l’air.» Elle dit: «Il semble que quelques-uns d’entre eux aient raison, non! Tu ne dois pas appartenir à la bonne église. Tu dois être tout embrouillé, Job. T’as peut-être fait une erreur. Pendant qu’on y est, pourquoi ne maudis-tu pas Dieu et ne meurs? Regarde-toi. On pourrait joindre une meilleure église.»

187     Et il dit: «Tu parles comme une femme insensée.» Il savait où il se tenait. Pas par une théologie mentale, pas par une foi intellectuelle, mais par une communion avec Christ, à travers l’holocauste, le sang, il avait adoré Dieu. Il dit: «Tu parles comme une femme insensée.» Il ajouta: «Le Seigneur a donné, et le Seigneur a ôté; béni soit le Nom du Seigneur!» Vous y voilà. C’est celui qui adore dans la communion. C’est l’homme qui Lui a réellement parlé. Ensuite vous savez de quoi vous parlez. Si vous substituez cela à quelque chose d’autre…

188     Et ces autres choses sont bien, toutes ces autres choses sont bien, je n’ai rien contre elles, mais ce n’est toutefois pas la base. Ne construisez pas seulement sur cela, sur cette foi intellectuelle. Revenez à cette base-ci, ayez-la ici, et puis adorez-Le, parlez-Lui, communier avec Lui. Et ensuite, érigez ces autres choses, amenez ces autres choses sur ce fondement-là. Mais vous essayez d’amener ces vérités fondamentales sur un fondement qui n’a rien à y voir.

189     Le frère Wood ici, qui est quelque part dans la salle, est entrepreneur. Eh bien, à quoi lui servirait-il de prendre une vieille bâtisse toute grugée par les vers, et qui aurait été dévastée par les termites, et qui serait pourrie jusque dans sa fondation? Et aller ensuite se décrocher le meilleur bois de construction, un bon bois de séquoia fraîchement séché, pour le clouer sur la maison. Et puis le peinturer d’une peinture recommandée par les plus grands fabricants de peintures du monde, et dire: «Regarde ici, prédicateur, je peux te prouver que c’est du vrai et authentique séquoia.»
    Je dirais: «Oui, frère Wood, c’est juste.

190     — Regarde, voici le sceau d’approbation, que ceci est la meilleure peinture qui pourrait être appliquée sur une maison.

191     — T’as raison, frère Wood, mais ta fondation n’est pas bonne. Ça devra s’écrouler.»

192     C’est ce qui en est la cause. Lire l’Écriture est bien, prêcher l’Évangile est bien, mais votre fondement n’est pas bon. Éliminez votre conception mentale des choses, et recevez Dieu dans votre cœur, par l’effusion du Sang, et puis construisez à partir de là. Votre bois est approprié, si vous le posez sur une bonne fondation. Vous y voilà. Ne m’en voulez pas maintenant. Cela peut trancher un peu, mais c’est la vérité, et c’est ce qui vous aide. Maintenant, remarquez. Retournez au bon fondement, à la communion.

193     «Maintenant, comment allons-nous entrer en communion, frère Branham? Qu’est-ce qui nous amène à la communion?» — L’effusion du Sang. C’était en Éden, c’était ici avec Job, après l’Éden.

194     Rapportons cela à un exemple ou deux de plus, et puis nous nous dépêcherons de finir.

195     Écoutez attentivement. Voici comment on entre dans cette communion. «Comment l’obtenez-vous, frère Branham? Comment entrez-vous jamais dans cette communion?» — À travers l’effusion du Sang.

196     Pas par quelque expérience. Non monsieur. Pas par quelque émotion mentale. Non monsieur. Pas par quelque exercice physique. Non monsieur. Ces choses sont très bien, autant qu’elles peuvent l’être, mais ce n’est toutefois pas la vérité fondamentale. Laissez ces valeurs de ce côté, jusqu’à ce que vous reveniez ici correctement. Revenez ici, jusqu’à ce que vous en arriviez à l’autel et que toutes les choses anciennes soient passées, qu’une paix qui surpasse toute intelligence entre, au point où vous ne pouvez plus haïr, vous ne pouvez plus envier, au point où quelque chose vous fait aimer le pire ennemi que vous ayez jamais eu. Pas une imagination. Mais quelque chose qui vous gardera de parler du voisin qui vous persécute, quelque chose qui vous fera aimer ceux qui vous maltraitent. Cela vous fera prier pour ceux qui sont indifférents et méchants à votre égard. C’est le fondement.

197     Quand l’Ange ayant charge de sceller a traversé le pays… Il avait l’ordre de «faire une marque sur ceux qui soupiraient et qui gémissaient à cause des abominations qui se commettaient dans la ville». Je dirai ceci avec respect et considération maintenant. Ne vous en prenez pas à moi… ne vous fâchez pas contre moi plutôt. Mais qu’en serait-il si l’Ange qui est chargé de sceller traversait cette nation aujourd’hui? Où trouverait-Il des hommes si profondément consacrés à Dieu, qu’ils gémiraient jour et nuit à cause des péchés de cette nation qui est en train de sombrer sous ses péchés? Où marquerait-Il l’église qui jeûne et qui prie, et qui soupire: «Seigneur Jésus!…»? Où trouverait-Il cette personne?

198     Nous avons désiré l’éducation. Nous avons désiré les sermons éloquents. Nous avons désiré le look hollywoodien et le fanatisme. Les églises doivent être de telle grandeur; elles doivent être somptueuses; elles doivent avoir des crucifix partout, et des grands orgues. Ces choses sont très bien. Mais nous avons mis toutes nos pensées là-dessus et avons mis de côté la chose réelle.

199     Le peuple pentecôtiste court après l’évidence initiale, parlant en langues, et criant. C’est très bien, mais vous avez laissé dehors la chose réelle. Car il est prouvé que vous ne pouvez aimer Dieu et haïr en même temps. La même fontaine ne peut donner à la fois l’eau douce et l’eau amère. Il ne peut se trouver à la fois le parler en langues et la guérison divine dans l’église, ainsi que l’envie, les querelles, la malice et la haine. Non, c’est impossible. Cela ne se mêlera pas. Dieu mettra cela dehors, aussi certain que le monde existe. Vous devez revenir. C’est ce qui est arrivé à l’église.

200     Vous dites: «Êtes-vous contre le parler en langues?» Non monsieur, bien au contraire, c’est la Parole de Dieu.

201     Toutefois, j’ai vu où l’église a dévié dans toutes sortes de choses insensées. Elle n’en est jamais revenue, ni n’a encore jamais reconnu ceci. Car ils font ces choses, et la malice et la haine et les querelles y sont mêlées. L’huile et l’eau ne se mêleront pas. Vous voyez ce que je veux dire? Revenons.

202     Laissons cette petite unité, ce matin, ici au Branham Tabernacle, prendre la résolution de revenir; revenons au fondement. «Dieu, crée en moi un esprit droit. Crée en moi un amour, une paix qui surpasse toute compréhension. Et, ô Dieu Tout-Puissant, à partir de là, façonne-moi. Quand je verrai quelque chose aller de travers, laisse-moi revenir au fondement et recommencer.» Démolissons et revenons à nouveau au fondement; cela doit être construit correctement. Car, ce n’est pas la hauteur de votre construction qui importe; la chute n’en sera que plus dramatique quand vous tomberez. Amen. Ô peuple…

203     Quand Israël venait communier avec Dieu, il n’y avait qu’un seul lieu pour communier avec Dieu, et c’était dans le tabernacle. C’était toujours dans le tabernacle que se faisait le sacrifice sanglant. Dieu n’a jamais promis de rencontrer le peuple ailleurs que sous le sang répandu. Pensez-y. Je vais vous laisser l’avaler un moment. Nous allons bientôt terminer.

204     Regardez. Dieu n’a jamais promis de rencontrer l’homme sur la base de ses mérites, sur le potentiel de l’homme ou de la femme. Il ne leur a jamais promis de les rencontrer là. Il n’y a pas de communion avec Dieu sur la base de vos propres mérites. Le seul lieu où il y a la communion est sous le Sang versé. De la Genèse à l’Apocalypse, ce n’est qu’à travers le Sang, un substitut innocent, pour couvrir le pécheur coupable et pénitent. Seulement le Sang.

205     Maintenant remarquez, rapidement. Israël allait au temple, ils répandaient le sang. Et ce n’était que dans ce bâtiment que Dieu se rencontrait avec le croyant et communiait avec lui. C’était dans ce bâtiment que le sang était répandu. L’agneau mourait à l’autel, chaque jour. Le sang coulait, et une fumée noire flottait au dessus du tabernacle. Et Dieu ne pouvait plus voir le péché. Donc, le peuple se mettait sous le sang et entrait en communion.

206     Maintenant, surveillez ça. Dans Exode, aux environs du 19e chapitre, nous découvrons que lorsque les enfants d’Israël furent sur le point d’entreprendre leur voyage (accordez-moi toute votre attention une minute encore, avant de terminer), Dieu dit à Moïse, Il dit: «Je voudrais que tu prennes une génisse, une génisse rousse… une génisse rousse qui n’ait jamais porté le joug, et je voudrais que tu l’égorges. Ensuite, Je voudrais, quand tu l’égorgeras, qu’Éléazar, le sacrificateur, se tienne là comme témoin. Et comme il s’y tiendra, une fois que la génisse sera morte, qu’il plonge ses doigts dans le sang et qu’il en asperge sur l’assemblée… sur le lieu d’adoration, sept fois à l’entrée, comme ceci. Sept fois devant l’arche, le lieu d’adoration public. Ensuite, prends la génisse, couvre-la, et brûle-la. Et prends ses cendres et mêle-les à l’écarlate, et à l’hysope, et au cèdre.»

207     Oh, j’aimerais avoir le temps d’aller voir ce que sont ces choses: l’écarlate, et l’hysope, et le cèdre. On découvrirait que Jésus n’était pas mort sur un cornouiller, comme ils le prétendent.

208     Remarquez. «Ensuite, brûle-les tous ensemble. Et puis dépose-les hors du camp, dans un lieu pur, comme eaux de purification. Et toutes les fois que quelqu’un sera en dehors de la communion, il devra venir, et on aspergera sur lui cette eau de purification. Ensuite, il pourra entrer en communion. En dehors de cela, il ne pourra pas entrer.

209     Surveillez maintenant la beauté de ceci, avant de terminer. Tout d’abord, la génisse rousse, la couleur rouge, signifie quelque chose.

210     Pour nous, le rouge signifie «danger». C’est un signal avertisseur, cette couleur signifie «arrêt», il y a danger.

211     Aussi, le rouge, dans la Bible, est une couverture; le rouge est une expiation; le rouge est une sécurité. Vous vous souvenez quand la prostituée Rahab laissa descendre les espions sur une corde cramoisie, pour leur sécurité? Sous le rouge, c’est toujours sécuritaire. Or, le sang est rouge.

212     Maintenant, voyez. Selon la recherche scientifique, vous prenez une pièce d’étoffe rouge, ou plutôt une pièce rouge… de cellophane, et vous regardez à travers à une autre pièce rouge. Et le rouge à travers le rouge paraîtra blanc. Essayez pour voir. Prenez du rouge, et regardez à travers du rouge, il paraîtra blanc.

213     Eh bien, nous sommes rouges par nos mauvaises actions. Si vos péchés sont comme le cramoisi, rouges, Dieu, regardant à travers le Sang versé du Seigneur Jésus (rouge à travers rouge paraît blanc) ils deviendront blancs comme la neige. Voyez? Pas à travers votre «quelque chose d’autre», mais à travers le Sang, le seul lieu où Il peut communier. En dehors du Sang, votre propre justice, Il ne la verra jamais. Vos bonnes œuvres, Il n’en saura rien, avant que vous ne veniez sous le Sang. Ensuite Il vous voit comme étant Son propre fils bien-aimé, ou Sa propre fille bien-aimée. Rouge à travers rouge paraît blanc.

214     Quoi que vous ayez fait, ami pécheur, quand Dieu regarde, quand Il voit que vous confessez avoir été dans l’erreur par vos fautes, quand Dieu regarde à travers le Sang du Seigneur Jésus, Il vous voit blanc comme la neige. Quoi que vous ayez fait, Il regarde à travers vous, à travers le Sang de Christ. Vous êtes racheté, chose précieuse! Dieu ne vous condamnera jamais plus. Il ne peut vous condamner.

215     Quand Dieu créa le premier homme… Il créa les cieux et la terre, et quand Dieu se retira de sa vieille création et en jeta un coup d’œil, ce n’était pas dans le but de la juger. Il la regarda et dit: «Comme elle est belle!» Il l’admira. Oh là là! Le voyez-vous? Il regarda et vit que cela était bon. Tout était parfait; les arbres, tout. L’homme, la femme, tout était parfait. Il dit: «C’est très bon.»
    Mais Satan a perverti cela.

216     Et si Dieu n’a pu condamner Sa première création, combien plus Lui est-il impossible de condamner Sa seconde création, quand alors vous êtes une nouvelle créature en Jésus-Christ!

217     Vous ne pouvez le faire vous-même. Même si vous le vouliez de toutes vos forces, vous ne le pourriez pas. C’est un don de Dieu. «Personne ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire. Et celui qui viendra à Moi, Je lui donnerai la Vie éternelle et le ressusciterai au dernier jour.»

218     Et quand Dieu vous a fait naître de nouveau par le Saint-Esprit, Il ne peut que vous voir comme une œuvre parfaite, parce que c’est Lui-même qui l’a faite. Gloire! Amen, amen. Il ne peut vous condamner, car vous êtes Son œuvre. Amen. Oh là là! Je sens que je vais crier comme les méthodistes. Pensez-y! vous êtes l’œuvre de Dieu. Il l’a fait comment? Par Sa grâce souveraine. Non pas parce que vous avez sauté, non pas parce que vous êtes allé à l’église, non pas parce que vous avez tourné une nouvelle page, mais parce que Dieu, par Sa miséricorde, vous a amené en Christ et dans la communion, et Il vous regarde comme une œuvre parfaite, Son œuvre. Pourquoi? «Je l’ai amené, Je l’ai présenté à travers le Sang, et Mon œuvre est parfaite.»
    Il a dit: «Vous êtes l’œuvre de Dieu.»

219     Maintenant, encore un moment. De quelle façon venaient-ils? Ils montaient, et s’ils avaient mal agi en quoi que ce soit (ces eaux de purification doivent être conservées dans un lieu pur) … Oh, j’aimerais qu’on puisse s’arrêter là-dessus un bout de temps; un lieu pur.

220     Les eaux de purification sont la Parole. Paul a dit dans Éphésiens, il a dit: «Car Il nous a lavés par l’eau de la Parole.» Voyez, les eaux de purification, la Parole. La Parole prêchée vous purifie. Vous entendez la Parole, et vous dites: «Je suis dans l’erreur. Je ferais mieux d’abandonner ceci. Je joue à l’église. Je ferais mieux d’abandonner cela.» Voyez. Ce sont les eaux de purification.

221     «Et devaient être conservées dans un lieu pur.» Pas dans un prédicateur qui fume! Non monsieur. Pas dans un prédicateur qui fait le tour du pays, en compagnie d’autres femmes, et des choses comme celles-là. Pas dans une église qui pratique l’amour libre et toutes ces choses impies, et qui vont aux joutes de baseball, et qui ont de grands divertissements et des danses sociales dans l’église. Elle doit être conservée. La Parole de Dieu doit être conservée dans un lieu pur. Amen. Un lieu pur, qui fait que lorsque l’homme du dehors vient, il peut venir en un lieu pur et être aspergé par les eaux de purification.

222     Ensuite, que va-t-il s’ensuivre, quand il enseignera la Parole, si les eaux sont bonnes?

223     Maintenant, si vous aspergez de mauvaises eaux, comme: «Venez joindre cette église-ci, c’est une bonne église. Vous devriez y mettre votre nom dans le livre. Oh, nous l’avons, gloire à Dieu, nous l’avons», ce sont là les mauvaises eaux.

224     Quelles étaient les bonnes eaux de purification? — Elles parlaient d’un substitut innocent qui mourait pour un pécheur coupable.

225     La génisse rousse mourait, ce qui était un type de Christ. Et rappelez-vous, elle n’avait jamais porté de joug à son cou. Christ n’a pas été sous le joug d’aucune organisation. Il ne s’est pas du tout impliqué avec elles. Il n’a pas été sous le joug de toute cette futilité. Si nous avions le temps, nous toucherions à cela. Très bien.

226     Mais cela a été fait une eau de purification. Voyez. Ça n’élève pas une église dénominationelle; ça n’a rien à voir avec cela. Ça ne parlera que d’un substitut mort, qui est mort à votre place. Non pas «nous le peuple», non pas «notre grande église», non pas «notre organisation», mais il s’agissait de quoi? — D’un substitut innocent qui est mort à votre place, lequel était Jésus-Christ, le Seigneur. Ensuite, nous apportant la Parole, les eaux de purification sont appliquées sur la personne.
    Maintenant, remarquez. Rapidement, avant de terminer.

227     Maintenant la chose suivante: Le Sang — de ce substitut innocent — était aspergé sept fois, comme cela, comme témoignage public. Sept est le nombre complet de Dieu. Sept âges de l’Église… Les sept derniers âges de l’Église: l’Église de Philadelphie, et l’Église de Laodicée, et l’Église…
    Chaque âge de l’Église doit venir à travers ce même Sang versé.

228     Maintenant, l’homme est venu; il s’est assis dans la congrégation; il a entendu la Parole. Maintenant, surveillez, il veut communier.

229     Le bâtiment, ce bâtiment-là, est le seul lieu de communion. Le seul lieu où ils pouvaient aller, c’était dans ce bâtiment, pour communier avec Dieu, car Dieu ne les rencontrait que là. Maintenant, surveillez attentivement. Quel type de Christ!

230     Aujourd’hui, Dieu n’a pas promis de communier à travers les méthodistes, à travers les baptistes, à travers les pentecôtistes. Il a promis de communier en Jésus-Christ. C’est le lieu de votre communion.

231     Vous pouvez fraterniser entre hommes de votre communauté, les y joindre. Vous pouvez aller de l’avant, joindre les Orignaux, les Élans, les Originaux, ces loges-là. Elles sont très bien. Elles sont bien. Mais ce n’est pas de cela que je parle en ce moment.

232     Je parle de la communion avec Christ, l’Éternel.

233     Quand le Sang a été aspergé, les eaux, «le lavage d’eau par la Parole», la Parole est sortie.

234     Vous dites: «Eh bien, regarde, j’ai joint l’église. J’ai fait ceci, mais en fait, je n’ai pas eu cette expérience-là.» Qu’est-ce que c’est? — Ce sont les eaux de purification. «Eh bien, je pensais que tout était bien si j’allais à l’église de ma mère.» Ce n’est pas cela, frère. Non monsieur. Quelqu’un est mort pour vous, c’était Jésus-Christ. Vous devez L’accepter. Ensuite vous recevez cela.

235     Ensuite, la chose suivante, vous avancez vers la communion. Vous voici parti. «Eh bien, frère Branham, où puis-je communier?» — En Christ, dans le temple, le tabernacle de Sa demeure. «Comment je fais ça?» D’abord vous marchez jusqu’à l’entrée… vous avez entendu la Parole, ensuite vous marchez jusqu’à l’entrée. Vous avez une foi mentale. Vous dites: «Oui, j’ai entendu la Parole, j’y crois.»

236     Or, avant de pouvoir entrer dans ce lieu, il y a un voile de Sang qui y est suspendu, pour la purification. Et vous devez reconnaître ce Sang comme substitut innocent. À travers la prédication de la Parole, faites descendre le voile du Sang. À l’intérieur, vous voyez que Quelqu’un est mort à votre place. Et vous renoncez à toutes vos possessions terrestres, toutes vos idées farfelues, toutes vos danses, vos habitudes de vie immorales, et vos propres théories. Votre adhésion à l’église, et vos nouveaux règlements, vos dix commandements, votre abstinence à la viande, et toutes ces choses, vous les mettez de côté.

237     Plongez tout entier dans le Sang, et dites: «Seigneur, lave-moi et purifie-moi.» Ensuite le Saint-Esprit, à l’intérieur de cette cellule de Sang, là où l’on communie, vous fait passer à travers le Sang de la purification, dans le Seigneur Jésus, par le Saint-Esprit. Ensuite vous êtes dans la communion. Les choses anciennes sont passées. C’est ensuite que vous êtes dans la communion, par le Saint-Esprit, vous attirant dans une relation avec Dieu.

238     Voici: Il n’y a qu’un seul lieu de rencontre aujourd’hui où l’homme peut accéder pour adorer dans une véritable communion, et c’est en Jésus-Christ.

239     Voyez-vous cela, église? J’ai été lent ce matin. Je ne pensais pas, je n’avais pas à dessein de rester tout ce temps, mais j’espère que vous voyez ce que j’ai essayé de vous présenter.

240     C’est que, quel que soit le fondement… Vous êtes peut-être une très brave personne; vous fréquentez peut-être une bonne église. Tout cela est bien, je n’ai rien contre cela. Mais êtes-vous déjà descendu communier avec Lui? Venir, et, de la seule manière que vous le ferez, sera à travers le Sang de Ses souffrances.

241     Puis vous vous rendez à l’endroit où la Parole est prêchée, et vous dites: «Oui, Jésus est mort à ma place. Je crois cela. Maintenant je dois être purifié de ce tempérament et de tout ce bagage que je traîne. Maintenant, Seigneur, prend-moi sous le Sang, me voici.»

242     Et après un bout de temps, cette douce paix qui surpasse toute intelligence descendra dans le cœur humain. Ensuite vous lèverez les yeux vers le ciel, et vous direz: «Maintenant je demeure en communion. Où que j’aille, quoi que je fasse, je suis dans cette merveilleuse communion. “Une paix qui surpasse toute intelligence.” Le Saint-Esprit vit en moi.»

243     Si la mort survient, qu’est-ce qu’elle peut me faire? Elle ne peut me nuire. Votre âme désire ardemment quelque chose de là-bas. Quotidiennement, vous la recherchez et vous savez où la trouver. Votre ancien tabernacle souffre, et gémit, et se plaint, et, oh, pendant que les douleurs de l’enfantement se font sentir. C’est vrai. Qu’est-ce que cela signifie? — Cette vieille masse d’argile va un jour disparaître. Mais il y a quelque chose, à l’intérieur de cette petite masse d’argile, qui essaie de sortir, qui essaie de se libérer. Oh, qu’est-ce que c’est? — C’est ce petit oiseau appelé l’âme. Et le seul moyen qu’elle a de se libérer, c’est qu’un matin, l’argile cédera, et nous l’abandonnerons et nous nous élèverons, pour saisir à jamais le prix éternel, quand l’âme ira rencontrer son Bien-Aimé, là-bas, de Ses deux bras ouverts. La seule chose qui vous garde ici est ce vieil amas d’argile.

244     Et le seul moyen qu’a Dieu de prêcher l’Évangile aujourd’hui, c’est à travers cette masse d’argile. Et c’est pourquoi Il vous garde ici. Et c’est pourquoi les gens malades ont un droit de venir à Christ. Dites: «Seigneur Jésus, si seulement Tu me guérissais maintenant, je partirais, oh, je ne suis peut-être pas un prédicateur, mais je parlerais de cela. Je ferai tout ce qu’il me sera possible de faire. Tu es le Cep; je suis l’un des sarments.» Or, le cep ne porte pas de fruits. Les sarments les portent. Pas le cep, mais le sarment. Le cep donne seulement l’énergie. L’Évangile peut être prêché par Christ, si seulement vous vous ouvrez à être un sarment porteur de fruits, pour que les autres voient Christ en vous, par votre témoignage, par votre vie et votre manière de vivre. Il est l’énergie, mais vous êtes l’image visible. Vous êtes la Bible ambulante.

245     Que Dieu vous bénisse, mes amis. J’ai foi que vous prendrez ces paroles entrecoupées, ce matin, car je me sentais physiquement faible, et que vous les prendrez à cœur, réalisant qu’elles me sont chères. Et puis, venez à ce fondement, revenez à la communion avec Christ. Ensuite, vous n’aurez jamais plus à courir d’ici à là, et de là-bas à ici. Vous êtes en communion constante avec Lui, tout le temps.

246     Courberions-nous la tête un moment. La sœur pianiste, si vous veniez. Chaque tête inclinée.

247     Tandis que nous réfléchissons à ceci, je voudrais que chacun d’entre vous prenne ceci profondément à cœur. Ai-je vraiment, suis-je vraiment à la place où je devrais être? Ai-je vraiment une paix qui surpasse toute intelligence? Ai-je vraiment, avec Christ, la communion qui m’est des plus nécessaire? Est-ce que je parle avec Lui? Est-ce que mon cœur brûle de Lui parler chaque jour? Quand je rate mon petit temps de prière, est-ce que mon cœur meurt d’envie d’être avec Lui? Si ce n’est pas le cas, mon ami, viens aujourd’hui. Ne viendrez-vous pas? La seule chose que vous aurez à faire sera de simplement L’accepter.

248     Christ a dit dans Sa Parole: «Celui qui écoute Mes Paroles… (c’est ce qui a été prêché ce matin) … et croit à Celui qui M’a envoyé… (pas dans votre tête, mais dans votre cœur) …et croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie éternelle… (dès l’instant, dès qu’il croit) …et ne vient jamais en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

249     Notre Père Céleste, comme nous approchons la fin de ce message de «communion», nous Te remercions, parce que nous pouvions nous asseoir dans les lieux célestes en Jésus-Christ, et communier dans la Parole, tandis que le Saint-Esprit nous l’apportait si amoureusement, si doucement, fortifiant nos faibles êtres et nous faisant de Sa substance. Nous T’en remercions, Seigneur.

250     Père Céleste, as-Tu fait aujourd’hui une nouvelle créature quelque part, parmi ceux qui sont là? Pendant que la Parole était prononcée, sont-ils venus aux eaux de purification? Le Sang est maintenant en train de les couvrir, comme ils sentent que quelque chose fait pression dans leur cœur. As-Tu fait une nouvelle créature ce matin, Père? Toi seul peux le faire. Si c’est le cas, Père, puissent-ils témoigner de la reconnaissance à l’instant.

251     Et tandis que nous avons nos têtes inclinées, si quelqu’un sent que Dieu lui a parlé et que vous voulez devenir Son serviteur… Il ne vous est pas nécessaire de faire quoi que ce soit.

252     Que personne ne regarde, à part Christ et moi-même. Vous ne levez pas la main vers frère Branham; vous la levez vers Jésus-Christ, disant: «Seigneur, je crois vraiment.»

253     Dieu vous bénisse, frère. Quelqu’un d’autre lèverait sa main, disant: «Je…» Dieu vous bénisse, frère. Quelqu’un d’autre lèverait sa main, disant: «Je crois maintenant, sur la base du Sang versé.» Dieu vous bénisse, monsieur. Dieu vous bénisse, mon frère. Dieu vous bénisse, mon frère. Dieu vous bénisse, ma sœur. Dieu vous bénisse, à l’arrière, mon frère. «Sur la base du Sang versé, Dieu, voici ma main. À l’heure même, et dorénavant… Ce matin, Seigneur, je crois qu’à l’intérieur de moi quelque chose s’est passé, m’a donné un nouveau départ. Je crois que c’est là, déjà. Quelque chose s’est passé, une paix dans mon cœur.»

254     Selon ce qu’Il a dit, qu’est-ce qui a fait cela? Personne ne peut le faire si Mon Père ne l’attire. Et comme ils L’acceptent, ils reçoivent la Vie éternelle. À la minute près où vous levez la main, Dieu la voit.

255     Y en a-t-il un autre, avant de prier? Dieu vous bénisse, madame. Je vous vois. Dieu vous bénisse, frère. Je vous vois. Que Dieu vous bénisse aussi, frère.

256     Venant sur la base de quoi? Sur «parce que je veux aller à l’église», «parce que je veux tourner une nouvelle page»? Non. Mais «parce que quelque chose m’a parlé ce matin, et je sens que je me tiens maintenant dans la cellule de Sang. Quelque chose m’est arrivé. Je crois réellement de façon différente, ce matin, comme je n’avais jamais cru de ma vie. Dès maintenant, je crois que je suis devenu un fils ou une fille de Dieu. Et je lève ma main vers Toi, ô Dieu, pas vers frère Branham, mais vers Toi, ô Dieu, que j’accepte maintenant comme mon Sauveur personnel. En mon cœur, quelque chose me dit que Tu es mon Sauveur. Et je T’accepte maintenant dans mon cœur. Et je vais être une femme différente, ou un homme différent à partir d’aujourd’hui. Je le sais, c’est tout.»

257     Que Dieu vous bénisse, sœur. Y aurait-il quelqu’un d’autre? Une douzaine de mains de plus se sont levées, parmi ce petit groupe de gens d’une couple de centaines de personnes ou plus. Voudriez-vous lever la main, et dire: «Je L’accepte»? Ce ne sera pas possible, à moins que Dieu ne vous le dise, car autrement vous feriez quelque chose de faux. Par contre, les gens qui ont levé leurs mains tout à l’heure sont en train d’essuyer les larmes de leurs yeux.

258     Qu’est-il arrivé? La propre Parole de Dieu l’a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles… (c’était vous)… et qui croit à Celui qui M’a envoyé…» Comment pouvez-vous le faire à moins qu’Il ne se révèle Lui-même à vous? Et parce qu’Il l’a fait, et que vous avez levé la main, Dieu dit: «Il a la Vie éternelle et ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie», pour ne plus jamais faire face au jugement. Vous êtes déjà jugé. Dieu vous a jugé, vous a tiré à l’intérieur. Vous avez accepté Christ en le prenant comme votre Sauveur. Aujourd’hui vous êtes sauvé, parce que vous avez cru en Lui.

259     Y en aurait-il un autre, avant de prier? Très bien. Tandis que nous inclinons nos têtes, rapidement…

260     Maintenant, Père Céleste, je ne sais pas ce que je pourrais faire de plus. J’ai demandé à ce que cette Parole sorte et trouve Son point d’ancrage. Plusieurs ont levé leurs mains ce matin. Ils croient en Toi, et ils implorent, Seigneur, Ta grâce et Ton pardon. Et à la minute où Tu leur as parlé, ils l’ont saisi. Ils ont su que Tu avais déposé quelque chose dans leur cœur. Quelque chose, rien d’émotionnel, mais c’était quelque chose qui brûlait à l’intérieur. Et ils l’ont accepté.

261     Et Tu as dit… Parce qu’ils l’ont fait, Tu les as acceptés. Donc, ils sont maintenant sauvés, sur la base de Ta Parole. Quiconque le croit de tout son cœur a dès maintenant la Vie éternelle, conformément à la Parole infaillible du Seigneur Jésus-Christ. Nous T’en remercions.

262     Nous prions que Tu leur accorderas longue vie. Fais d’eux Tes serviteurs, Seigneur, et qu’ils soient acceptés dans le Bien-Aimé. Et puissent-ils être maintenant remplis du Saint-Esprit, chacun d’entre eux, scellés dans le Royaume de Dieu, jusqu’au jour de la rédemption.
    Tandis que nos têtes sont inclinées…

263     Ceux qui ont levé leurs mains, vous lèveriez-vous un moment? Levez-vous, ceux qui ont levé leur main. Que Dieu vous bénisse. Restez debout. Très bien. Tous ceux qui ont levé leur main, levez-vous simplement. Restez debout quelques instants, si vous le voulez, tous ceux qui ont levé leur main. Très bien. Restez debout. Maintenant, que l’auditoire relève la tête.

264     Ceux-ci sont vos concitoyens du Royaume. Regardez autour pour voir qui sont ceux qui ont accepté le Christ, et donnez-leur la main, voudriez-vous? Quelqu’un près d’eux, tendez-leur la main, et dites: «Que Dieu te bénisse, mon frère.» À chacun.

265     Vous êtes en train de rendre un témoignage public, mes amis. Jésus a dit: «Quiconque me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant le Père et les saints anges.» À l’instant, une vie immortelle vous habite. Nous en sommes reconnaissants pour vous. Que Dieu vous bénisse, qu’Il vous donne une longue vie et Ses plus grandes bénédictions. Puissiez-vous ne jamais oublier cette merveilleuse communion dans votre cœur, à travers Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse désormais. Vous pouvez vous asseoir.

266     Maintenant, si je vous ai cité les Écritures correctement, écoutez ce que Dieu a dit ici dans Sa Parole. Écoutez ce que Jésus dit ici: «Celui qui écoute mes Paroles, … (c’est la prédication de l’Évangile) …et qui croit… (dans son cœur) … à Celui qui M’a envoyé, a… (c’est un temps présent, dès maintenant) … la Vie éternelle …» (qui ne peut cesser.) Vous ne connaissez peut-être pas le grec, mais la traduction correcte grecque est Zœ, ce qui signifie «la Vie même de Dieu». «… a Zœ et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

267     Voici ce qui vous arriverait si vous mourriez tout de suite. Conformément à la Parole de Dieu, vous sortez de l’existence des gens qui vous voient, pour passer en Sa Présence. Et c’est là où vous vivez. Vous regardez derrière, et vous n’êtes plus de ce monde. Vous vous trouvez dans un autre monde. Et que faites-vous ensuite? Vous êtes comme ces âmes qui sont sous l’autel, qui disent: «Seigneur, jusques à quand?» Voyez. Vous ne serez jamais un ange. Vous n’avez pas été créé un ange. Vous avez été créé des hommes et des femmes, et c’est pourquoi vous désirez ardemment revenir. Car vous constatez ensuite, quand vous monter ici, et que vous dites: «Oh, je vois de quoi il s’agit. Je sais pourquoi je devais y mourir. Je sais pourquoi c’est arrivé.»

268     Vous ne mourez jamais. Jésus a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie éternelle…» Vous ne pouvez mourir. Vous ne pouvez mourir. La partie mortelle meurt, mais vous êtes vivant, ici, votre esprit est ici-même avec Christ.

269     Ensuite vous dites: «Seigneur, jusques à quand?» Parce que vous n’aviez pas été créé pour demeurer là-bas. Vous n’avez pas été créé cela, parce que vous êtes un être humain. Et vous languissez de revenir dans ce corps, parfait à nouveau.

270     Et Il a dit: «Encore quelque temps, jusqu’à ce que vos compagnons de service aient soufferts, comme les martyrs ont soufferts par le passé.» Ensuite vous retournerez…

271     Après être sorti de ce corps-ci, sorti de la lumière cosmique et du pétrole, et de la matière dont vous êtes fait, et que vous passez dans la quatrième dimension, et de là à la cinquième, puis à la sixième, ensuite, vous vous retrouvez droit sous Son autel — Dieu est dans la septième.

272     Or, quand Dieu laisse repartir votre esprit, il revient à quoi? Il sort de la sixième dimension pour entrer dans la cinquième, la lumière cosmique; hors de la lumière dans le pétrole; hors du pétrole dans les sens. Et vous revoilà, de retour à la terre à nouveau, une toute nouvelle personne. Pas âgée ni abattue, mais pour ne plus jamais être malade. Vos cheveux ne tourneront jamais plus au gris; vous ne serez jamais plus ridé. On ne se séparera jamais plus. Vous ne mourrez jamais; vous n’aurez jamais faim; vous n’aurez jamais d’ennui; vous marcherez avec vos bien-aimés, et leur donnerez la main, et mangerez, boirez, bâtirez des maisons et les habiterez, et vivrez à tout jamais, dans la Présence du Seigneur Jésus. C’est ce que vous avez reçu ce matin, parce que vous avez écouté la Parole de Dieu.

273     N’est-ce pas simple? Les prédicateurs rendent cela si compliqué. Vous devez venir et vous empêcher des choses, et toutes ces autres choses. Ce n’est pas cela. La Bible a dit: «C’est si simple que l’insensé ne ferait pas d’erreur.» Simplement en L’acceptant, en y croyant, quelque chose arrive ici. Ensuite Dieu entre, avec Son Esprit, dans ce petit habitacle creux, là dans le cœur, cette âme. Maintenant vous croyez la Parole de Dieu et vous avez la Vie éternelle.

274     Ce qu’il vous faut maintenant, si vous n’avez jamais été baptisé d’eau, c’est d’être baptisé pour la rémission de vos péchés. Ensuite, Dieu a promis de vous donner le Saint-Esprit, à la minute où vous êtes baptisé. Il peut le faire tout de suite, sans même avoir été baptisé.

275     Puis une paix descend dans le cœur, et tout. Ensuite vous commencez… Ensuite vous pouvez réellement crier comme un chrétien devrait crier. Ensuite le parler en langues. Et ensuite les dons de l’Esprit commencent à se manifester derrière un cœur pur, un réel fondement. Observez alors ce qui arrive. Alors c’est le réel Saint-Esprit.

276     Mais si vous ne venez que suite à une petite émotion, ça ne marchera jamais. Vous sortirez directement et en haïrez la cause.

277     Considérez vos cœurs maintenant, comme il vous tarde de lire la Bible, comme vous désirez vous retrouver seul pour Lui parler, et dire: «Ô Père, oh, je T’aime tant!» — C’est la communion. Voyez. C’est ce qu’il nous faut. Ne le pensez-vous pas, mes amis? — [Amen.] Que Dieu vous bénisse.

278     Il y a quelques personnes malades ici, pour qui on va prier. Nous n’avons pas distribué de cartes, ou rien d’autre, pour amener les gens, les amener dans la ligne. Aussi je vous demanderai… Je crois les voir conduire un homme et lui donner un siège. Je me suis assis entre deux frères ce matin. Et j’étais assis là, et puis… je savais qu’ils avaient tous deux besoin d’une guérison. Ensuite, là-bas à l’arrière, j’ai vu quelqu’un d’autre entrer, que je sais être très malade.

279     Si vous croyez que je suis Son serviteur… Maintenant, regardez. Qu’est-ce que ceci?

280     Dans le jardin d’Éden, la communion de Dieu et de Son chef-d’œuvre, l’être humain, était parfaite. Dieu était là, veillant sur Adam.

281     Or, une fois que le Sang de Jésus-Christ nous a purifiés du péché, que représente Dieu à nouveau? Nous voici de retour à la communion. Le voici. Nous sommes en communion. C’est Lui que vous sentez dans votre cœur. C’est Lui qui vous fait oublier tous vos ennuis. Ils ne sont plus. C’est ce qui a fait cela.

282     Ce même Seigneur Jésus, qui est mort pour vos péchés, est mort pour vos maladies. Or, vous ne pouvez jamais, quoi qu’il arrive, vous ne pouvez jamais, au grand jamais, atteindre à quoi que ce soit avec Lui, avant de croire d’abord dans votre cœur qu’Il est mort pour vos péchés ou votre maladie. Pas vrai? — [Amen.]

283     Bon, il y a des choses, tels les dons. C’est vrai. Et Dieu, par Sa grâce, a donné un don qui vous permettrait de vous tenir ici, et Il vous dirait probablement qui vous êtes, d’où vous venez, ce qui en est de ceci, et quelle est votre maladie, et ce qu’il adviendra de votre venue. Ce pourrait être ainsi. Ce serait toutefois basé sur quoi? — Sur rien d’autre que la Parole de Dieu, voyez, sur votre foi personnelle au Seigneur Jésus-Christ. C’est tout à fait vrai.

284     Là, ne croyez-vous pas que Son Esprit peut se déplacer dans ce bâtiment et guérir toute personne malade? — [Amen.]

285     Mon frère, toi qui es malade, ne crois-tu pas cela? — [Amen.] Vous croyez qu’il y a… Sachant que la seule chose que vous pouvez faire, c’est de L’accepter ou de mourir. Car le cancer vous tuerait; il ne vous resterait plus qu’à mourir, voyez. Et ne croyez-vous pas que Jésus-Christ va vous guérir? Vous n’avez qu’un seul espoir, et c’est en Lui. N’est-ce pas, frère? — [Amen.] C’est le seul moyen qui vous permettra de retrouver la santé. Les médecins vous ont abandonné. Ils ne peuvent rien faire à ce sujet. Le cancer se répand, et il va vous tuer. C’est tout ce qu’ils peuvent faire. Ce sont d’honnêtes hommes. Ils vous ont ausculté.

286     Mme Morgan, êtes-vous quelque part à l’arrière? J’ai cru vous voir entrer tout à l’heure, Mme Morgan.

287     Ici, tournez-vous. Pouvez-vous vous retourner, monsieur, juste vous retourner?

288     Levez-vous, Mme Morgan, si ça ne vous ennuie pas, pour un moment. Elle est infirmière, un de mes premiers cas. Il y a environ douze à quatorze ans, elle était mourante; il ne lui restait plus que la peau et les os. C’était un cas de cancer généralisé, elle était rongée par le cancer. Regardez-la maintenant.

289     Aimeriez-vous avoir une santé comme celle-là à nouveau? Qu’est-il arrivé? Elle a cru à la chose même à laquelle je vous demande de croire.

290     Elle n’aurait pas pu, quoi qu’il… Il était impossible de changer la situation. Le médecin est venu et a dit: «Encore quelques heures, ou quelques jours, et elle mourra.»

291     Il y en a d’autres ici. Ici est assise une dame. Il y a quelques Pâques (elle est notre pianiste) elle était atteinte du cancer. Il y en a plein ici, voyez, qui étaient atteints du cancer.

292     Qu’est-il donc arrivé? Est-ce que tous ceux qui sont venus ont été guéris? Non. Les uns l’ont cru d’ici, de leur tête. Mais d’autres ont regardé à Dieu, et c’est descendu ici. Ce que le médecin dit n’a plus d’importance, ou venant de qui que ce soit. C’est accompli. Voyez? C’est accompli, parce que c’est d’ici.

293     Pouvez-vous le croire de cette façon? Vous croyez qu’Il va vous laisser vivre, mon frère? Le serviriez-vous toute votre vie? S’Il vous laissait vivre, le feriez-vous? De tout votre cœur? Et vous croyez que Jésus est mort pour vous donner la santé, mon frère? Que Dieu bénisse votre cœur. Je crois que vous allez l’obtenir. C’est ça. À vrai dire, je crois que vous l’avez déjà. Voyez. Parce qu’à la minute où vous croyez, c’est alors que vous la recevez.

294     Maintenant, combien avec lui, de ceux qui sont malades, se lèveraient une petite minute? Qui sont malades, qui se tiendraient avec ce frère? Tenez-vous debout. Dieu vous bénisse. Levez-vous; restez debout un instant. C’est bien, c’est bien.
    Maintenant, vous lèveriez-vous, mon frère? Très bien.

295     Je veux qu’une personne en santé qui se trouve à leur côté leur impose les mains, s’il vous plaît? Que quelqu’un se tourne et impose ses mains sur ces personnes. C’est bien. Oh, quel temps! Le Grand Médecin, sœur.

296     Je suis responsable pour la Parole. Je vous le dis, par la Parole de Dieu, que Jésus-Christ, Celui qui est mort pour avoir cette communion, est ici même à l’instant. Il se trouve dans le bâtiment en ce moment, avec vous tous. C’est Lui. L’affaire, ce n’est pas de se toucher, ou de me toucher, ou de toucher un prédicateur, mais c’est de Le toucher, Lui. Voyez? C’est de Le toucher. Croyez-vous maintenant que votre foi s’est élevée à l’endroit où vous sentez en vous-mêmes que vous allez être guéris? Si c’est le cas, dites: «Amen.»
    Courbons la tête.

297     Je veux que chacun d’entre vous… Je vais prier, et vous répéterez cette prière sincèrement. Répétez seulement ce que je dis.

298     Cher Dieu [Cher Dieu], je viens à Toi maintenant [je viens à Toi maintenant], croyant [croyant] que Tu as donné Jésus [que Tu as donné Jésus] pour guérir mon corps [pour guérir mon corps] et pour sauver mon âme [et pour sauver mon âme]. Je L’accepte comme mon Sauveur [Je L’accepte comme mon Sauveur] et je L’accepte aussi comme mon guérisseur [et je L’accepte aussi comme mon guérisseur]. Tes serviteurs, les médecins [Tes serviteurs, les médecins], ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour moi [ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour moi], mais ils ne sont que des hommes [mais ils ne sont que des hommes], et ils ont atteint leur limite [et ils ont atteint leur limite]. Aussi je m’en remets à Toi [Aussi je m’en remets à Toi], le grand Créateur [le grand Créateur], Celui qui m’a créé [Celui qui m’a créé]. Tu connais chaque partie de mon corps [Tu connais chaque partie de mon corps]. Et je crois, dans mon cœur, [Et je crois, dans mon cœur,] que je vais être guéri [que je vais être guéri], parce que je me suis levé, y croyant [parce que je me suis levé, y croyant]. Et sur la base du Sang répandu [Et sur la base du Sang répandu], je crois [je crois]. Et dans mon cœur [Et dans mon cœur], quelque chose est arrivé [quelque chose est arrivé], et je sais que je vais être guéri [et je sais que je vais être guéri]. Et je T’en donne la louange, Seigneur [Et je T’en donne la louange, Seigneur]. Et je Te servirai toute ma vie [et je Te servirai toute ma vie], et donnerai mon corps [et donnerai mon corps] et mon temps [et mon temps] à Ton service [à Ton service]. Seigneur, je crois [Seigneur, je crois].

299     Avec vos têtes inclinées maintenant, gardez cela dans votre cœur. Gardez cela, confessant: «Seigneur, je crois.» En ce moment, qu’est-ce qui arrive? Vous êtes guéris. Le Saint-Esprit, cette vérité, cette foi, s’est logée dans votre cœur. Je vais maintenant prier pour vous. Et ce que je ferai, c’est que je prierai et chasserai ce mal, ce doute qui vous troublerait, et le ferai vous quitter pour que vous puissiez sortir d’ici vraiment reconnaissants.

300     Père Céleste, je viens à Toi, comme Ton serviteur inutile. Comme mes empreintes sont sur cet autel, je me rappelle les années que je T’ai servi ici. Je me rappelle de l’Ange qui m’a rencontré ici. Je me rappelle les paroles qu’Il m’a dites et ce que Tu ferais si je demandais et amenais les gens à croire. Et je viens maintenant, Seigneur, défier cette puissance démoniaque du doute, qui tournerait autour de ces gens pour les faire douter de quelque manière. Je viens à travers le Sang du Seigneur Jésus. Je viens par ce tapis de bienvenue qui s’est déroulé pour moi ce matin, qui amenait chacune de ces âmes directement au Trône Blanc de Dieu, là-bas, comme je l’ai fait pour cette fille indienne, et où les saints anges volaient avec leurs ailes sur leurs faces. Et je Te les présente, ce matin, Seigneur, et j’applique le Sang de notre Seigneur Jésus-Christ sur eux.

301     Je condamne tout démon, tout démon de doute, toutes ténèbres, toute ombre de la mort. Je te réprimande. Dans le Nom de Jésus-Christ, éloigne-toi de ces gens, pour qu’ils retournent guéris et en santé.

302     Accorde-le, Dieu Tout-Puissant. Par Jésus, le Fils de Dieu, je le demande et le prononce, afin qu’il en soit ainsi. Amen.

303     Levez les mains maintenant, et dites: « Merci, Seigneur, pour ma guérison. Regardez! c’est de cette façon. « Merci, Seigneur, pour ma guérison.» Oh là là!

304     Que quelqu’un se lève et leur donne la main, et les félicite pour leur foi dans le Seigneur Jésus-Christ. C’est terminé.
    Maintenant, regardez. Je les ai vus soutenir un homme à l’arrière. J’ai vu un homme ici… Monsieur, vous n’aurez pas à être reconduit. Vous êtes raffermi. Dieu vous donne de la force.

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