Comment communier

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Date: 55-1009 | La durée est de: 1 heure 34 minutes | La traduction: MS
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1    Chantons maintenant:
Tout est possible, crois seulement;
Crois seulement, crois seulement.
Tout est possible, crois seulement.
    Inclinons la tête juste un instant pour la prière.
    Notre Père céleste, qu'à Toi reviennent toute la louange et la gloire pour Ton amour et Ta grâce rédempteurs, car Tu as quitté les portails du Ciel pour venir sur la terre nous racheter, nous les indignes, et nous introduire dans cette merveilleuse communion, les uns avec les autres et avec le… pendant que le Sang de Jésus, Ton Fils, nous purifie de toute iniquité. Nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait pour nous.
    Et nous Te prions maintenant, de nous accorder ce soir, d'atteindre le point culminant dans ce service. Puisse ceci être la soirée où, une fois de plus, je ne verrai personne quitter le bâtiment étant faible, sans être complètement rétabli. Sauve chaque pécheur, ô Dieu, accorde-le. Nous nous recommandons à Toi, au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2    Ce sont des gens comme vous qui rendent ce monde un lieu où il fait beau vivre, et qui rendent cela si pénible quand nous pensons qu'un jour nous aurons à le quitter et nous séparer pour un petit instant. Et alors, la pensée glorieuse, au-delà de cela, c'est de savoir que nous serons encore ensemble, alors pour toujours, là où il n'y aura plus de séparation.
     Ceci a vraiment été, comme toute réunion que j'ai toujours eue à Chicago, un moment exaltant pour moi de rencontrer le peuple de Dieu, d'avoir communion, et de voir notre Seigneur Jésus guérir les malades, et ç'a vraiment été un temps merveilleux. Je voudrais remercier les prédicateurs, et surtout frère Joseph ici présent, qui est un ami intime. Et j'ai appris à aimer frère Joseph de tout mon cœur. Et je pense qu'il le sait, lui aussi m'aime, et c'est la raison pour laquelle il m'a invité à Chicago. Et je le remercie, lui et vous tous, de tout mon cœur, pour cette merveilleuse invitation.

3    Il est vrai que j'envisage d'effectuer un voyage très bientôt. Je voudrais remercier cette… je pense que c'était un homme ou une femme; je pense que c'était une femme, aujourd'hui, qui, je ne sais pas si elle y avait pensé avant ou je ne sais quoi; elle m'a envoyé une lettre, elle est propriétaire d'une concession là dans le Colorado, elle voulait me la céder. C'est très gentil de votre part, ma sœur, si vous êtes ici ce soir.
    Et Billy est venu, il m'a donné de petits cadeaux qui provenaient de chacun de vous, même des boîtes de petites galettes sèches. Nous apprécions ça. Joseph est trop petit pour ça, mais Sara et Becky en raffolent; alors, elles vont certainement apprécier ça, chaque petite chose, chaque petit signe.
    L'autre jour, un homme a donné à mon fils un fusil. Maintenant, souvent je… Vous savez combien j'aime chasser. Et non seulement j'aime chasser, mais j'aime bien être dehors dans les bois; et je–j'aime vraiment ça. Les fusils ainsi que les choses que les gens m'ont donnés, je n'accepterais rien en échange de cela, il n'y a rien qui puisse les acheter.

4    Or, si je m'en achète un moi-même, et que quelqu'un vienne me dire: «Frère Branham, j'aime ça, je souhaiterais en avoir un.» Je lui dirai: «Allez-y, prenez-le.» Mais si c'est quelqu'un d'autre qui me l'a donné, rien ne pourrait me l'enlever. Il vous faudra attendre mon départ pour l'avoir, c'est le seul moyen de l'avoir; car j'apprécie tout, peu importe ce que c'est.
    Et de petites choses que l'on estimerait insignifiantes, peut-être que certaines personnes pensent qu'on pourrait les jeter, juste de petites vieilles breloques et autres, de petites coquilles de moule d'Afrique, ou quelque chose comme cela. Je conserve tout ça. Je me souviens aussi de ça, car ça vient de quelqu'un.
    Gypsy Smith, je pense que c'était lui, a dit une fois que la plus grande offrande qu’il n’ait jamais eue, en dehors du salut… Il a dit: «Un soir, il allait recevoir une offrande d'amour prélevée de ça, pour lui.» Je pense, soit dit en passant, c'est la raison pour laquelle il a été exclu de l'Armée du Salut, c'était à cause du prélèvement d'une–une offrande, ou quelque chose comme ça… Non, c'était à cause de quelque chose que quelqu'un lui avait donné, une montre ou quelque chose comme ça. Je pense que l'on n'est pas censé faire cela dans l'Armée du Salut.

5    Mais il a dit que tous voulaient… lui avaient donné une offrande d'amour. Et c'était du fond de leur cœur qu'ils avaient fait ça. Beaucoup de ces gens sont dans la Gloire ce soir, et ayant leur récompense pour avoir aidé ce merveilleux homme de Dieu. Et il a dit une chose frappante: quand il était sur le point de quitter l'assistance ce soir-là, il y avait derrière les rideaux une petite fille en lambeaux, et elle avait un petit cadeau enveloppé dans sa main. Et elle a dit: «Prenez, Mr. Smith, a-t-elle dit, c'est tout ce que j'ai, mais ceci est mon offrande d'amour pour vous.» Et quand il est sorti et qu'il a déballé cela, c'était une sucette, c'était un peu léché. Mais elle avait pensé qu'elle… C'était tout ce qu'elle avait à donner.

6    Il racontait comment il–comment cela l'avait ému. C'est vrai, c'est tout ce qu'elle avait. Vous savez, Celui qui avait vu la veuve faire une offrande de deux petites pièces de monnaie en ce temps-là, Il a vu cette sucette. Ne croyez-vous pas cela? Il l'a certainement vue, Il voit tout. Peu importe combien c'est insignifiant, Jésus a dit: «Ne vend-on pas deux passereaux–deux passereaux pour un sou», et un sou, c'est le quart d'un penny. Deux passereaux pour un sou, le quart d'un penny achète deux passereaux. Comme c'est insignifiant! Et Il a dit: «Aucun d'eux… aucun d'eux… Pas un seul passereau ne peut même pas tomber sans que votre Père le sache.» Il sait tout, n'est-ce pas? Alors, n'est-il donc pas merveilleux d'exposer tout simplement nos cœurs juste devant Lui?
    Et je voudrais remercier chacun de vous de votre coopération, vous les pasteurs. Et si votre pasteur n'est pas ici, et qu'il ait parlé de la série de réunions et de n'importe quoi, exprimez-lui mes sentiments d'amour et d'appréciation, en toute sincérité. Et ma prière pour lui est que votre église soit–devienne un grand phare spirituel et qu'un grand réveil éclate dans votre église, chacun de vous. Peu m'importe l'église dont vous êtes membre, ça n'a aucune importance pour moi, et je suis sûr que ça n'en a pas non plus pour Dieu. Juste… C'est vous qu'Il cherche, c'est vous.

7    Et tout à l'heure, quand frère Joseph a dit qu'on avait prélevé une offrande d'amour pour moi, pour ces soirées que j'ai passées ici… J'apprécie vraiment ça, et peut-être que les frères sont en train de compter cela maintenant. Et après le service, avant que je parte, ils vont peut-être me remettre un chèque, à la place. Et je vous remercie. J'aurais souhaité ne pas prendre ça, mais je suis outre-mer, j'ai été outre-mer plusieurs fois donc, et je n'ai pas un fonds. Et je suis tout simplement obligé de tenir une réunion ici en Amérique de temps en temps. Je dépense environ cent dollars par jour pour le bureau et tout, où que je me trouve. Et je m'enfonce très, très, très, très bas dans des dettes. Ensuite, je vais tenir quelques réunions, on me donne des offrandes d'amour et je suis presque relevé. Puis, quelqu'un vient là, il veut me parrainer outre-mer, je m'en vais prêcher l'Évangile.

8    Et les deux dernières fois, ç'a été les Hommes d'Affaires Chrétiens et les autres, ils m'ont envoyé là où je n'avais pas à recevoir un sou. Ils ne peuvent pas me donner de l'argent, car ce serait un don à moi, mais ils peuvent me payer le voyage. Et j'en suis très reconnaissant. Et quelqu'un m'a offert l'autre jour. Ils veulent m'envoyer là outre-mer, en Palestine, aussitôt que le Seigneur me conduirait à y aller. Et c'est vraiment bien, j'en suis donc reconnaissant; et de tout, je suis reconnaissant. Et par dessus tout, je suis reconnaissant de Jésus-Christ qui rend cela possible pour, pour que nous puissions nous rassembler.
    Frère Joseph parlait de mon foyer, de ma femme. S'il y a un mérite à attribuer à un Branham, attribuez-le à ma femme. C'est vrai. C'est elle qui en est digne. Elle a trente-six ans, ses cheveux sont complètement blancs. Encore une jeune fille, elle ne savait pas ce que c'est que se reposer. Et nous connaissons des temps difficiles dans notre pays, c'est ma ville natale. Pardonnez-moi [Frère Branham tousse–N.D.É.]. C'est là que je suis né, ou plutôt que j'ai été élevé. Elle a essayé cette semaine de trouver, pour n'importe quel salaire qu'elle pouvait payer, quelqu'un qui accepterait de venir s'occuper de Joseph pendant qu'elle venait ici passer ces quelques dernières soirées avec nous. J'ai offert aux femmes jusqu'à 35 et 40 dollars par semaine, comme salaire, si elles acceptaient de venir et de ne prendre soin que des enfants; nous n'en trouvons aucune. Ce n'est pas depuis une semaine ou deux, c'est depuis deux ou trois ans.

9    Et alors, apparemment, c'est comme si le Saint-Esprit m'éloigne de Jeffersonville. J'attends donc l'endroit où Il veut que j'aille. Et Chicago me va très bien, s'Il m'envoie de ce côté-ci, ou n'importe où, j'irai. Alors, je suis tout simplement en prière, et priez pour moi, afin que je prenne la bonne décision. Mais je ne peux guère rester plus longtemps, et on dirait qu'il y a d'autres choses aussi. Il n'y a rien, personne n'est contre moi, à ce que je sache. Si c'était le cas, je serais certainement au seuil de sa porte le matin, cherchant à savoir ce qu'il en est. Mais c'est le Saint-Esprit. Vous vous souvenez de Jacob, les choses commençaient à mal tourner, voyez, et il avait un ardent désir, et–et tout avait pris une autre tournure, alors il lui fallait tout simplement s'en aller, alors… retourner dans sa patrie. Ainsi, partout où le Saint-Esprit conduira, c'est en ordre.

10    Eh bien, c'est maintenant le temps de prendre mes vacances, avant que ce grand combat ait lieu l'année prochaine. C'est à cette période que les Hommes d'Affaires Chrétiens, cette année tout comme ils l'ont fait l'année passée, supportent pour moi un petit voyage, un voyage dont je ne saurais supporter moi-même le coût. C'est là à la Rivière Salmon, à la Rivière de non retour. Vous naviguez avec un radeau pendant dix jours, là sur des vagues qui descendent jusqu'à trente pieds [9 mètres–N.D.T.], un voyage très difficile, mais on se retrouve au pays de Dieu. Et j'aime ça.
    Et j'ai… Maintenant je quitte… Je passe quatre heures à la maison cette fois-ci avant de partir pour un mois. Et je vais là à cette Rivière de non retour, le bon Dieu voulant; et là, j'amène mon fusil un matin, parfois avant l'aube, et je vais loin dans la montagne, seul; je dépose mon fusil, je m'assieds au sommet d'une montagne, d'où je peux avoir une bonne vue, et là, je parle à Dieu le reste de la journée. Parfois, je passe deux jours, peut-être plus, juste là sous un arbre, ou peu importe où je suis, ou sur un rocher. Il ne s'agit pas tellement de la chasse, il s'agit de se retrouver seul avec Dieu. Je prierai pour vous [L'assemblée dit: «Amen.»–N.D.É.]. Que Dieu vous bénisse. Puisse Son… Lui qui fait briller la lune, qui fait briller les étoiles quand il fait sombre, afin de nous permettre de marcher, puisse-t-Il être avec vous dès maintenant jusqu'à ce que nous nous rencontrions de nouveau. Que Dieu vous bénisse tous.

11    Et je désire maintenant ouvrir les Écritures ici pour lire un–un court passage. Et si j'ai omis quelque chose… Oh! une seule chose: ce brave homme ici, le concierge, un très brave monsieur. Il m'a reconnu et il a été très gentil envers moi, et je l'apprécie de tout mon cœur. Et il m'accueillait vraiment très bien.
    Et le comité de l'école secondaire Lane Tech, qui nous a permis de venir ici, que Dieu les bénisse. Puisse cette école produire le meilleur que n'importe quelle école peut produire, sur place en Amérique, c'est ma prière. Que Dieu soit avec eux; ils ont ouvert leurs portes à ces choses. Si jamais vous avez un programme, et que je sois capable de vous venir en aide, je le ferai sans doute; si certains responsables m'entendent, je ferai tout mon possible pour vous aider, car je sais que vous serez bénis; vous avez ouvert les portes à l'Évangile. Merci beaucoup.

12    Et puis, j'ai un petit groupe d'amis que l'on ne voit pas, qui sont assis ici ce soir. J'aurais bien voulu les appeler tous par leurs noms, je ne le peux pas. Mais ils me supportent certainement par leur prière et tout, ils sont assis ici dans la fosse d'orchestre. Je ne sais pas, peut-être qu'il y a un musicien là aussi. Je ne pense pas que ces gens-là soient des musiciens; je pense qu'ils sont ici… Si vous jetez juste un regard à votre pasteur, par-dessus, ici, vous saurez… Ce sont des spécialistes en enregistrement, ils vont là et enregistrent ces messages. Et ainsi, je connais frère Beeler, et je connais l'homme qui est assis à côté de lui. Je ne me souviens pas de son nom, c'est un missionnaire auprès des Juifs ou des Arabes, l'un ou l'autre.

13    Et, évidemment, Leo et Gene qui sont assis ici, mes collaborateurs dans l'Évangile. Et frère Alment, et l'autre frère ici, il roule jusqu'à mon tabernacle chaque jour. Il savait que je serai ici, et je ne… Quel est ton nom, Frère? Smith. Est-ce vrai? Smith. Et il vient de loin, de là aux alentours de Hammond ou Gary, ou quelque part là, à bord d'une vieille petite voiture, et je… Quelqu'un a regardé l'autre jour dans une voiture toute neuve, et il a effectué avec ça environ quatre-vingt mille miles et quelques [129 km–N.D.T.]. Et la plus grande partie du parcours, c'est entre ici et Jeffersonville, faisant des allers et retours en voiture.
    Et je connais ce frère de visage, mais son nom m'échappe. Et la plupart d'entre vous, je vous connais de visage, mais je ne peux tout simplement pas me rappeler vos noms. J'ai aussi des amis de couleur qui sont assis ici ce soir, par ici, des nouveaux, en train de faire l'enregistrement ici. Que le Seigneur vous bénisse tous. Merci, Frère Joseph. Je suis un peu enroué. Merci.

14    Eh bien, nous L'aimons de tout notre cœur; alors, ce soir nous allons apporter une petite leçon sur les Écritures, et ensuite, je voudrais essayer d'avoir–d'être–de faire passer la ligne de prière, et – comme demain c'est lundi, et vous devez aller au travail, vous devez prendre les trains. Je vous ai gardés jusque tard chaque soir, pardonnez-moi pour cela, je vous prie. Et bien des fois, je deviens très enthousiasmé quand je commence. Pourrais-je appeler ça prêcher? De toutes les façons, quand je passe un bon moment, eh bien, je deviens alors tellement enthousiasmé que je perds toute notion de temps et tout. Ainsi, vous avez été très gentils, en restant avec moi, et ça m'amène à vous aimer de tout mon cœur.
    Maintenant, je voudrais lire quelques Paroles dans la Bible de Dieu, dans I Jean, chapitre 1, de verset 5 à 7. Et je pense que nous lirons juste le verset 7 et ça sera bref comme ça. Lisez tout le chapitre quand vous rentrerez chez vous, si vous le pouvez.
    Si nous marchons dans la lumière, comme Il est dans la lumière, nous avons communion les uns avec les autres, et le sang de Jésus-Christ, son Fils, nous purifie de tout péché.
    N'est-ce pas merveilleux? Demandons-Lui de bénir la lecture de Sa Parole maintenant.

15    Père céleste, bénis Ta Parole ce soir et qu'Elle puisse aller dans chaque cœur, y trouver une demeure et ne plus jamais quitter. Accorde-le, Seigneur. Et maintenant, circoncis les lèvres de l'indigne personne qui doit parler. Et circoncis toutes les oreilles de ces gens qui doivent entendre. Et tire gloire de ce service, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton aimable Fils. Amen.
    Maintenant, je voudrais vous parler pendant juste un instant ce soir, étant donné qu'on a eu une très merveilleuse semaine, sur comment avoir communion. Eh bien, nous savons que… J'allais continuer mon service ce soir, les enfants d'Israël de l'autre côté, dans la patrie, Josué les faisant traverser, là où nous nous étions arrêtés hier soir, quand il traversait la mer Rouge. Mais je n'aurais pas le temps avec cette ligne de prière, pour vous permettre d'attraper les trains et autres, et regagner la maison pour aller au travail le matin.

16    Maintenant, ça sera bref, nous pouvons vous parler juste brièvement là-dessus. Mais, ô comme tout le monde désire avoir communion. Je n'ai jamais vu quelqu'un, jusqu'à présent qui ne désirait pas avoir communion, quelqu'un qui est–était–est normal, mentalement équilibré. Eh bien, peut-être que vous voudriez faire un choix pour votre communion, évidemment, cela est vrai pour chacun de nous. C'est la raison pour laquelle ce soir, toutes ces braves personnes se sont entassées ici dans ce bâtiment, où elles se tiennent, c'est parce qu'elles aiment ce genre de communion. Elles aiment la communion chrétienne. Et c'est pourquoi nous sommes venus ce soir, pour communier autour de la Parole.
    J'aime la Parole, pas vous? Et savez-vous pourquoi vous aimez la Parole? C'est parce que vous avez le Saint-Esprit en vous. En effet, la Bible dit que l'homme ne vit pas de pain seulement, mais de chaque Parole qui sort de la bouche de Dieu. Ainsi, le Saint-Esprit se nourrit de la Parole. Et alors, quand vous entendez la Parole… Tout le monde aime L'entendre, peu importe… Chaque petite documentation que l'on peut trouver, on–on lit ça. Et on suit la radio, et on va à l'église et tout le reste, car on désire ardemment avoir cette communion autour de la Parole.

17    Et que Dieu nous aide ce soir à comprendre comment nous pouvons avoir une parfaite communion. D'où que surviennent les orages, que vous ayez tort ou raison, vous pouvez toujours avoir communion. Et l'unique façon pour vous d'avoir communion, c'est quand votre amour est rendu parfait. Ne m'oubliez jamais. Si je ne revois plus certains d'entre vous, rappelez-vous ceci, que mon thème c'est l'amour couvre tout. Je crois à l'amour rédempteur du Seigneur Jésus. J'aime ce cantique:
Depuis que, par la foi, j'ai vu le flot
Que Tes blessures saignantes alimentent,
L'amour rédempteur a été mon thème,
Et il le sera jusqu'à ma mort.

18    Je préférerais avoir une église… Écoutez, juste un instant. Je préférerais avoir une église qui ne sait rien au sujet d'un quelconque don spirituel, et qui est vraiment pleine d'amour, les uns pour les autres et pour Christ; je préférerais avoir cela plutôt que d'avoir chaque don spirituel opérant dans l'église. Maintenant, cela peut sembler trop fort dans un groupe pentecôtiste, mais je préférerais plutôt cela. Là où il y a des dons, ils failliront. Là où il y a des dons, ils causeront de la confusion. Là où il y a des dons, ils peuvent être remis en question. Mais là où il y a l'amour, c'est parfait. C'est vrai. Et si vous aviez l'amour parfait, vous auriez des dons parfaits. C'est vrai. Alors, travaillez d'abord avec amour. Cela amène la communion, et la communion amène les dons.
    Maintenant, la raison… Qu'est-ce qui fait que les gens aiment parfois différentes choses, ils aiment la communion? C'est parce que, d'abord, l'homme a été créé pour communier. Eh bien, pensez-y bien ce soir… Malgré mon ardent désir d'aller chasser et faire la pêche en plein air, mon cœur a plutôt plus soif d'aller au sommet de cette montagne et de parler à Dieu que n'importe quoi que je sache. Voyez, je–je voudrais me retrouver seul; je voudrais me rassurer qu'il n'y a personne dans un rayon de cent miles autour de moi. Et j'aime les gens, mais le seul moyen pour moi de leur rendre service, c'est de recevoir d'abord le Message venant de Dieu.

19    Et je sais cette seule chose, et ma foi me le rassure, c'est que chaque personne qui est née de nouveau, à qui j'ai prêché, j'aurai une éternité pour communier avec elle. Mais nous voudrions en faire sortir plus de ténèbres. Il y a nos pauvres frères et sœurs perdus ici ce soir dans des bars. Et je suis passé par le quartier de clochards hier soir, comme mon fils et les autres voulaient voir ça, et voir ces pauvres gens là-bas, en train de boire, et ils pensent qu'ils ne–ils ne savent pas ce dont ils ont vraiment besoin. J'ai pensé: «Si seulement ils connaissaient mon Jésus, ils ne se retrouveraient certainement pas là.» Voyez? Et c'est l'unique chose qui peut les sauver de ce chaos où ils se trouvent; il n'y a pas de médicament ni rien. Un alcoolique est un échec total et radical, dépourvu de tout secours, en dehors de Jésus-Christ. C'est vrai. Il n'y a pas de médicament. J'ai été à Bowery. J'ai été à Pigalle en France, dans des quartiers les plus vils que je pouvais trouver, parlant, priant et tout l reste. Et le seul espoir pour ces gens, c'est le Sang de Jésus-Christ, c'est l'unique chose, le seul espoir.

20    Maintenant, qu'est-ce qui amène les hommes à désirer la communion? C'est parce qu'il a été créé ainsi, il a été créé pour avoir communion. Qu'est-ce que la communion? J'ai quatre jours de déplacement par véhicule à partir de demain. J'ai quatre jours de déplacement par véhicule sur une distance d'environ deux mille cinq cents miles [4,022 km–N.D.T.]. Et je dois les parcourir seul à bord d'une vieille petite camionnette. Et quelqu'un, un ami à moi, va venir là, il vient de laisser un mot cet après-midi, qu'il va parcourir tout le chemin, là, avec moi par véhicule et retourner seul par bus de greyhound [Greyhound, nom d'une compagnie de transport en Amérique du Nord; greyhound signifie lévrier] juste communier. N'est-ce pas merveilleux? Vous savez, j'apprécie de tels amis. Que Dieu bénisse son petit cœur suisse. Je l'aime. Il veut rouler juste pour être en ma compagnie, quatre jours à travers les montagnes, et les prairies, là-bas, juste pour communier. Nous nous aimons beaucoup, comme de précieux frères bien-aimés. Et puis, il a tout le chemin retour à parcourir jusqu'à Shawano, dans le Wisconsin, par bus ou par un autre moyen, juste pour retourner. Oh! cela fait bondir mon cœur. Et alors, Dieu a tellement désiré communier avec Ses enfants qu'Il a parcouru tout le trajet depuis la Gloire et Il est mort pour communier avec nous. N'est-ce pas merveilleux? C'est si merveilleux de penser…

21    Eh bien, au commencement l'homme avait communion. D'abord, nous savons que si on peut communier avec Dieu, alors ne vous en faites pas, Dieu prendra soin du reste. La chose principale dont je voudrais parler… j'ai subdivisé cela en quatre parties ici: comment communier avec Dieu, la communion les uns avec les autres, et ainsi de suite; mais nous voudrions parler seulement d'une seule phase de cela, c'est la communion avec Dieu. Et maintenant, je vais surveiller cette horloge, là, pour me rassurer que je commencerai la ligne de prière à temps.
    Mais la communion avec Dieu est ce que… La première et l'originelle communion que les êtres humains ont eue, c'était avec Dieu. Il n'y avait même pas une autre–une autre créature vivante sur la terre avec laquelle il pouvait communier (Adam), à part Dieu. Ensuite, Dieu a fait pour lui une aide, une femme, qui est une partie de lui.

22    Et pouvez-vous vous représenter les soirs, après le coucher du soleil, il allait se coucher, là, se couchant là loin à l'ouest, et ces rayons de lumière descendant au travers de ces grands arbres aux feuilles toujours vertes, c'était la grande cathédrale de Dieu, et on entend un mugissement de ces coups de vent à travers les sommets des arbres, Adam et Ève étaient assis là dans le jardin, dans la grande cathédrale de Dieu en train de communier avec Dieu. Tout le monde désire faire ça. Chaque chrétien éprouve un ardent désir de communier, n'est-ce pas vrai?
    J'ai lu des histoires des hommes qui ont passé toute leur vie, presque, à gravir très haut dans les collines, à descendre au bord du lac, rien que pour trouver un lieu de communion. Mais après tout, il ne vous faut aller nulle part ailleurs, si ce n'est au Calvaire; c'est la seule voie. Il y a une voie, il n'y a qu'une seule voie que vous pouvez emprunter pour communier.

23    Et remarquez, alors pas une voie… Ce n'est pas seulement dans cet âge, ç'a été dans tous les âges. Pensez tout simplement à Job, loin… le plus vieux Livre de la Bible, il désirait ardemment avoir communion. Il savait qu'il y avait un Créateur. Et il croyait en Lui de tout son cœur. Et il a dit, à la manière des enfants: «Oh! si seulement je pouvais aller auprès de Lui! Si seulement je savais où Il habite, je m'y rendrais et frapperais à Sa porte et Lui parlerais juste un petit instant.» N'aimerions-nous pas tous faire ça?
    Mais pensez-y, Il est plus proche de vous que ne l'est Sa porte. Sa porte, c'est votre cœur. Et Il est si proche ce soir, Il est plus proche de vous donc que ne l'est votre bras. Il est une partie de vous. Et si seulement nous pouvons nous rendre compte qu'Il est ici, et combien Il aime communier avec nous… Son cœur est beaucoup plus disposé à communier que les nôtres. Et la raison pour laquelle Il nous a créés ainsi, c'est parce que nous sommes Sa progéniture. C'est ce qui nous fait ardemment avoir communion.

24    C'est ce qui amène une mère à mourir pour son enfant. Pourquoi? C'est ce qui amène un père à donner sa vie pour sa femme. Un mari, un vrai mari donnerait sa vie pour sa femme. Pourquoi? Car Christ a donné Sa Vie pour l'Église, Sa Femme. C'est une contrainte en vous. Cela pousserait une mère à se jeter précipitamment dans un feu brûlant, sans penser à elle-même, avec les cheveux en feu, et ses habits en feu, pour s'emparer de son enfant et sortir en courant avec lui. Pourquoi? C'est l'amour d'un parent. Et Dieu est le premier et originel Parent. Et c'est par là que vient cette contrainte, du fait que la femme a donné naissance à l'enfant.
    Et c'est la raison pour laquelle Dieu est descendu, Il a été manifesté dans la chair, Il est entré dans les flammes mêmes et la souffrance la plus accablante, c'est afin qu'Il puisse nous ramener à la communion avec Lui, sans faire cas de Lui-même. «Non pas Ma volonté, mais que Ta volonté soit faite.» Oh! comme c'est merveilleux, la communion que nous avons les uns avec les autres et avec Dieu!

25    Maintenant, Dieu voulait cette communion. Alors, qu'est-ce qui a causé la séparation? Qu'est-ce qui empêche l'homme d'avoir un entretien direct comme le faisait Adam? J'ai souvent pensé qu'Adam là, dans le jardin d'Eden, ne connaissant pas le péché, ni Ève sa femme non plus, elle était belle, elle se tenait dans le jardin… Et alors Leo, le lion, pouvait s'approcher et le tigre vient par ici, la grosse bête des–des champs venait entrer dans cette cathédrale, s'agenouiller, et ils… Même–même les bêtes ne s'entre-tuaient pas, ils… il n'y avait pas de mort, nulle part.
    C'est le diable qui pousse les bêtes sauvages à chercher à vous faire du mal. Et si vous pouvez produire dans votre cœur la bonne sorte d'amour envers l'animal le plus horrible qui existe dans les bois ou au désert, cet animal ne vous fera pas de mal. C'est vrai. Je le sais par expérience. Mais vous ne pouvez pas faire semblant là-dessus. Il sait si vous le faites réellement ou pas. Il y a quelque chose en lui qui le lui fait savoir. Mais si vous n'avez vraiment pas peur, je n'ai jamais vu quelque chose qui puisse vous nuire, que ce soit un lion, quoi que ce soit, il va s'éloigner de vous. Mais si vous courez, ou si vous agissez comme si vous avez peur ou quelque chose comme ça, alors vous serez tué. Ainsi, vous ne pouvez tout simplement pas faire semblant là-dessus, vous devez vraiment en être sûr dans votre cœur, que vous n'avez pas peur.

26    C'est ça le problème de l'homme aujourd'hui; c'est ça le problème des gens aujourd'hui, vous avez peur. C'est la plus grande malédiction qui existe parmi les gens du plein Évangile, ou parmi n'importe quel autre peuple, c'est parce qu'ils ont peur. Dieu a pourvu, mais vous avez peur de prendre Sa Parole pour ça. Si vous étiez- si vous n'aviez pas peur ce soir, eh bien, vous recevriez votre guérison par la foi, et vous sauriez que Dieu a promis cela, et la chose vous quitterait du coup. Effrayés, ayant peur… Et j'ai remarqué ça. Et c'est la raison pour laquelle je suis un fervent croyant à la guérison. Je sais que si vous pouvez vous débarrasser de cette peur-là, et avoir de l'amour à la place, quelque chose va arriver.
    Et il n'y a que deux facultés qui dirigent un homme, et l'une, c'est–c'est la foi, qui produit les résultats; et l'autre, c'est la peur qui n'a aucune vertu du tout. La foi vient de Dieu. La peur vient du diable. La peur vous abat; la peur vous amène à vous poser des questions. Et si j'allais mourir le matin, à quoi me servirait-il d'être tout agité à ce sujet? Qu'adviendrait-il si j'allais être tué sur la chaise électrique le matin, et que ma vie allait prendre fin demain matin, à quoi me servirait-il de m'inquiéter à ce sujet?

27    «Eh bien, diriez-vous, à quoi servirait-il d'avoir la foi?» La foi peut obtenir la signature de ma grâce, certainement; il y a de la vertu dans la foi. Ne soyez pas abattu; n'ayez pas peur; ne soyez pas inquiet; ayez tout simplement foi et croyez. Et le seul moyen pour vous d'avoir foi, c'est d'avoir premièrement de l'amour, car l'amour produit la foi. Car l'amour parfait (saisissez ça), l'amour parfait bannit toute peur.
    J'aurais bien voulu avoir le temps de vous raconter les expériences que j'ai eues avec les animaux sauvages, ceux que j'ai vu être domptés par la foi, par l'amour. Je vous ai raconté l'autre soir l'histoire de la vieille mère opossum qui avait été envoyée. J'ai vu un taureau violent un jour, qui allait me tuer. Ceci est enregistré; j'étais un garde-chasse à l'époque, j'allais de l'autre côté de la colline prier pour un homme malade. Et nous étions censés porter un fusil, mais vous ne pourriez pas aller prier pour un malade avec un fusil en main. Ainsi, j'avais pris mon fusil et l'avais déposé dans une vieille camionnette, et j'ai traversé le champ. Et j'étais très avancé dans le champ et je savais… J'avais un. Je devrais avoir la présence d'esprit que ce taureau meurtrier était là, il venait de tuer un homme de couleur dans une ferme, monsieur Burks, il y avait environ trois mois de cela; et on l'avait vendu là aux gens qui avaient ce bétail Durham.

28    Et alors, quand je me suis engagé dans le champ, juste là dans un grand champ en plein air, et à pas plus de trente yards [27 m environ–N.D.T], environ, de moi, ce gros animal se leva, projeta ses cornes vers le bas et poussa un grand beuglement, si vous connaissez de quoi je parle. Il était là, avec des cornes à peu près comme ceci, et il a foncé.
     Dans un premier temps, cela m'a fait peur. Je–j'ai cherché un arbre, et il n'y avait pas d'arbre. Et je sais qu'il pouvait courir plus vite que moi vers la clôture. Je me suis donc dit : «Eh bien, ça y est.» Et alors, quelque chose s'est passée. Ô Dieu, si seulement cela pouvait rester là plutôt que de partir. Quelque chose s'est passée. Je–je souhaite que Dieu laisse cela arriver à tout un chacun qui est ici ce soir pendant assez longtemps pour qu'il soit guéri. Voyez?

29    Quelque chose s'est passé de sorte que je n'avais plus peur de ce taureau. J'ai éprouvé du regret pour l'avoir dérangé; je me trouvais dans son domaine. Il était couché là sans me déranger. Je suis venu et je l'ai réveillé. Et alors, j'étais désolé pour lui. Maintenant, vous ne pouvez pas faire semblant là-dessus; ça doit être là. C'est ainsi qu'il en est de la foi; vous ne pouvez pas tromper; vous devez réellement avoir cela. Le diable le saura.
    Et cet animal fonça sur moi, la tête baissée, de toutes ses forces. Je n'ai plus eu peur de ce taureau, pas plus que je n'en aurais de l'un de mes bien-aimés frères et sœurs qui se tiennent sur cette estrade. Et il a foncé jusqu'à environ cinq pieds [1,52 m–N.D.T.] de moi et il s'est arrêté, il m'a regardé, étant très épuisé; il a regardé à gauche et à droite. J'ai dit: «Mon ami, je suis désolé de t'avoir dérangé.» J'ai dit: «Eh bien, tu es une créature de Dieu, et je suis serviteur de Dieu. Or, le Créateur qui t'a créé est le même qui m'a créé, et je suis Son serviteur, je suis en route vers l'autre côté de la colline afin de prier pour l'un de Ses enfants qui est malade. Si je savais que tu étais couché là, je ne serais pas passé par ici pour te déranger. Ainsi donc, au Nom de Jésus-Christ, le Créateur, retourne te coucher.»

30    À la barre du Jugement, vous verrez cela être mis au clair. Ce taureau m'a regardé pendant quelques minutes, il s'est retourné, il s'est approché et s'est couché. Et je–je me suis tenu là, les larmes me coulant sur les joues. J'ai marché à cinq pieds [1 m et demi–N.D.T.] de ce taureau, et il n'a même pas retourné sa tête pour me regarder. Pourquoi? Au lieu de le haïr, je l'ai aimé. L'amour conquerra tout. C'est vrai.
    C'est ce qui a conquis mon cœur, quand j'ai su que Dieu m'a tant aimé qu'Il a donné Son Fils unique, afin que je ne puisse pas périr; quand j'ai su que j'étais né dans ce monde, un pécheur, et que je périssais, et Dieu m'a aimé au point qu'Il a donné Son Fils pour–pour racheter ma vie. Et alors, je–je ne pouvais plus haïr. Je devais aimer. C'est ça qui produit ces résultats que vous voyez. C'est l'amour.

31    Je ne sais pas. Peut-être que je l'ai déjà raconté, que je l'ai déjà raconté, des centaines de petites choses qui ont eu lieu. Un jour, j'étais en train de tondre la pelouse dans ma cour. Je devais arriver dans la cour arrière, ça pousse dans la cour de devant avant que j'arrive dans la cour arrière, à cause des gens qui venaient pour que l'on prie pour eux et tout le reste, de… Voyez, comme Joseph l'a dit il y a un instant, c'est seulement… Ici, c'est seulement–c'est seulement Chicago. À la maison, c'est le monde entier, voyez, là où les gens viennent et repartent, venant de tous les quatre coins du monde.
    Et pendant que je tondais cette pelouse, j'ai buté contre, j'avais oublié ça, il y avait un guêpier là derrière. J'ai cogné la tondeuse contre la clôture, et j'étais tout couvert de guêpes, ces très gros insectes, ils vous terrasseraient en vous piquant. Dans un premier temps, j'ai également eu peur, sincèrement. Je n'avais pas de chemise sur moi… Et quelque chose s'est passée. Je–j'étais désolé d'avoir cogné ces insectes, non pas parce que j'avais peur d'être piqué, mais en réalité, ç'a l'air enfantin, mais si seulement nous pouvions être un peu plus enfant! Si nous pouvions avoir plus les manières des enfants, c'est la simplicité de Dieu qui confond les étudiants de l'université. Soyez simples dans ces choses. Juste comme un enfant, faites tout simplement confiance et croyez. Ne cherchez pas à vous emballer, soyez tout simplement détendu et croyez ça. C'est tout. Ne cherchez pas à vous emballer: «Ô Dieu, alléluia, je réprimande.» Ce n'est pas–pas bien. Non, croyez tout simplement ça et allez de l'avant. C'est tout.

32    Alors, quand cela a eu lieu, je me suis dit: «Ces pauvres petits insectes étaient donc là dans leurs nids, et voici que je viens de cogner contre le mur et je les ai fait sortir de leur nid», avec cette vieille grande tondeuse que je poussais. Et j'ai dit: «Vous êtes de petites créatures de Dieu, je suis désolé d'avoir cogné contre ce mur. Je suis–je suis désolé de vous avoir dérangés. Eh bien, je suis serviteur de Dieu, et je prie pour Ses enfants malades. Je dois me dépêcher et tondre cette pelouse dans cette cour. Maintenant donc, hâtez-vous de retourner dans votre nid; je ne vous dérangerai plus, au Nom du Seigneur Jésus.»
     J'ai redémarré ma tondeuse et je l'ai arrêtée. J'ai tiré la file… et j'ai ainsi redémarré ça et ces abeilles ont tout simplement bourdonné tout autour de mes épaules nues, et elles se sont empressées et sont retournées droit dans leur nid, sans du tout piquer. L'amour. Je ne peux pas produire ça; je ne peux pas manœuvrer cela; C'est Dieu qui doit donner ça.

33    C'est là que l'on en est ce soir. C'est Dieu qui doit donner ça. Alors l'amour produit une communion. Or, quand Dieu a dit autrefois… Le jour où le péché avait causé la séparation d'avec cet amour Divin, Dieu avait dit à Adam et à Ève de ne pas manger certains fruits, mais ils ont mangé ça, alors le péché avait causé la séparation. Et le péché, par la séparation, a suscité la haine, la malice, la dispute, l'envie. Est-ce vrai? Qu'est-il arrivé? Ils se sont séparés de l'amour Divin.
    Et quand vous vous séparez de l'amour Divin, alors vous ne pouvez plus fermer les yeux sur les fautes de votre frère. Vous vous mettez à l'engueuler pour ça. C'est vrai. Vous ne pouvez plus fermer les yeux sur les fautes de votre sœur. Parce que vous vous êtes éloigné de cette partie Divine, cette partie amour. Mais si vous aimez vraiment le Seigneur Jésus et qu'une sœur ou un frère vous fasse quelque chose: «Oh! eh bien, c'est en ordre, ils n'en avaient pas l'intention.» C'est le genre d'amour que Jésus avait: «Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font.»

34    Que serait-il arrivé s'Il avait retenu mes péchés à ma charge? Quelle horrible personne j'étais, mais Il m'a tellement aimé qu'Il me les a pardonnés. Quand j'étais imparfait, Il m'a pardonné. Il m'a aimé, d'un amour pur. Et quand Adam s'était séparé de ce pur amour qui consistait à garder la Parole de Dieu dans son cœur, quand il a fait ça, alors il s'est mis… ces autres facultés se sont installées: la malice, l'envie, la dispute, la haine et tout le reste.
    Eh bien, quand Dieu a vu que Ses enfants s'étaient séparés, Il est descendu pour la communion, et il n'y avait personne là pour L'accueillir. Vous rappelez-vous l'autre soir quand j'ai prêché sur la femme qui avait lavé les pieds de Jésus? Il n'était pas le bienvenu chez les pharisiens. Il n'est pas le bienvenu ce soir chez beaucoup de gens. Il n'est pas le bienvenu dans beaucoup d'églises, dans beaucoup de villes.

35    Regardez lorsque Israël partageait son pays. Il y avait, je crois que c'était ça, Gad était l'un d'eux, et peut-être, la demi-tribu; ils n'avaient pas traversé pour aller dans la terre promise, ils étaient restés de ce côté-ci, à la frontière. Jésus a visité ces gens mêmes. Et regardez les conséquences du fait d'être resté loin de tous les avantages de l'amour Divin. Quand Jésus leur a rendu visite, Il est allé à Gadara, c'est là qu'ils habitaient, c'est là qu'ils avaient fait… c'est de là qu'ils étaient venus, juste là. Et leur attitude est restée toujours la même. Parce que ça… ils avaient… ça leur a coûté un troupeau de cochons pour avoir la réunion, ils ont demandé à Jésus de quitter leur contrée. Ils ne voulaient rien à voir avec ça; ils avaient leurs propres voies; ils avaient leurs propres églises. Ils ne voulaient rien à voir avec Jésus, aussi Lui ont-ils demandé de quitter leur contrée.

36    Mais Il est parti malgré tout parce qu'Il y avait une seule âme qui L'appelait. Pensez-y bien, Il a traversé ce lac orageux, là de l'autre côté, pour trouver une seule âme qui était dans le besoin; c'était là Son amour pour une seule âme dans le besoin. Il descendra de la Gloire ce soir vers l'auditorium de cette école pour une seule âme qui est dans le besoin, qui va croire en Lui.
    Et ainsi donc, quand le péché est entré, il a séparé l'homme de la communion. Remarquez ce que Dieu a fait pour ramener l'homme à la communion. Il a présenté au monde une Rédemption par le Sang. Dieu a tué des animaux et a enlevé leurs peaux, montrant la Rédemption par le sang. Et là, Dieu, après avoir été séparé de Ses–de Ses créatures, Dieu a posé le tapis de bienvenue pour souhaiter un bon retour à la maison, en répandant du sang. Il en a été ainsi alors, il en est ainsi, et il en sera toujours ainsi, les dispositions que Dieu prend pour avoir communion avec Lui, c'est à travers le Sang versé.

37    Mon ami, écoute-moi juste quelques instants, car je vois que j'ai encore douze minutes. Écoutez, je voudrais vous poser une question, on a crié–on a essayé par tous les moyens de remplacer le Sang par l'instruction. Ça ne marchera jamais. Ils ont essayé par tous les moyens d'y substituer la dénomination pour amener la communion. Instruire les gens… le monde aujourd'hui…
    Comme frère Tommy Hicks, ce merveilleux jeune frère qui était ici aujourd'hui, nous racontant son histoire de là derrière le rideau de fer, là en Russie, avec toute sa culture et sa science, on cherche à créer une communion par le communisme, par la science et la culture, et ils renient le Sang de Jésus, alors que le Sang de Christ est la seule voie par laquelle vous pouvez communier. Rien ne le remplacera. Grâces soient rendues à Dieu. Il ne vous faut pas être brillant, il ne vous faut pas être intelligent; vous devez simplement avoir un cœur humble et soumis. Pensez-y. Il a présenté le Sang.

38    Eh bien, je voudrais que vous observiez très attentivement maintenant. Nous parlions de Job, il y a quelques instants, Job se préparait de cette même manière. Le plus vieux Livre de la Bible, même avant que la Genèse fût écrite, Job avait déjà été écrit. Et Job était un homme juste, un homme qui craignait Dieu. Et il a eu des ennuis. Mais je voudrais que vous remarquiez que juste avant que les ennuis surviennent, Job s'y était préparé.
    Écoutez, ami, ami pécheur, il y a des ennuis qui vous attendent ce soir. Et ce sont les vallées des ombres de la mort. Vous feriez mieux de prendre des dispositions pour le seul Ami qui peut marcher en votre compagnie au milieu de cela. C'est vrai, prenez vos dispositions pour cela.
    Job avait un groupe de filles et de garçons. Et quand il apprenait qu'ils étaient sortis… comme des oiseaux… les gens élèvent des enfants aujourd'hui. J'ai pitié des papas et des mamans aujourd'hui, étant moi-même parent, connaissant une seule raison; j'essaie d'éloigner mes enfants de notre ville, nous n'avons pas d'écoles chrétiennes là. Et je veux les amener quelque part où ils pourront être formés dans une école, dans une bonne école fondamentaliste où ils apprendront à aimer le Seigneur, l'enseignement que je peux leur donner à la maison, cependant ils sortent en compagnie de cette foule de mondains, le diable est un gars rusé et il leur inculque ça. Si vous les gardez sous l'Esprit jusqu'à ce qu'ils deviennent assez grands pour recevoir le Saint-Esprit et pour savoir ce qu'il en est, alors Dieu prendra soin du reste. Mais, ils doivent d'abord passer leur petite période d'adolescence.

39    Eh bien, chaque personne pense à ses enfants. Pendant qu'ils sont sous–sous votre surveillance, vous pouvez veiller sur eux. Mais une fois qu'ils sont hors de votre surveillance, alors le diable a tous les petits vieux Oscar qu'il peut larguer là pour s'associer avec vos enfants, ces gens qui sont infidèles, méchants, possédés du diable et tout le reste. Que Dieu nous vienne en aide. Cette délinquance juvénile ici à New York, à Chicago et dans ces grandes villes, ce dont parlent les journaux, comment ils s'entre-tuent et tout le reste… Des petits enfants, des jeunes garçons et des jeunes filles qui tuent et qui commettent de meurtre, qui fusillent et des choses de ce genre. Oh! si seulement ces pauvres petits enfants se rendaient compte que c'est le diable! Assurément!

40    Ce qui est à la base de la délinquance juvénile, c'est la délinquance des parents; les parents ne prennent pas soin des enfants. Rappelez-vous qu'il y a quelques années, quand mon garçon fut né, il y a maintenant environ, je pense qu'il a environ dix-neuf ans maintenant. Je me rappelle que le docteur avait parlé à ma femme, disant: «Laisse tout simplement cet enfant pleurer.» Il a dit: «Ça ne lui fera pas de mal. Et si la grand-mère vient le prendre, dit-il, prends-la… écarte ses mains de l'enfant.» Il a dit: «Il devrait quitter le berceau à six mois.»
    Or, vous en savez mieux que ça. Ç'a l'air des propos d'un sorcier plutôt que d'un vrai médecin [En anglais witch doctor et real doctor–N.D.T.]. Et alors savez-vous ce que cela a éclos? Ç'a éclos une bande de névrosés et une bande de gangsters. Écoutez. Dieu vous a donné cet enfant pour l'aimer. Peu m'importe combien vous le gâtez; aimez-le de toute façon. C'est vrai. Aimez-le. Si vous ne l'aimez pas maintenant, il grandira dans une maison froide et indifférente, et il cherchera l'amour ailleurs, ou quelque chose comme ça. Ça fera une lumière externe[out-light] quelque part. Mère, prenez cet enfant et communier avec lui et aimez-le maintenant. Faites de lui une partie de vous, c'est ce qu'il est, et agissez comme ça, étreignez-le, embrassez-le et–et aimez-le. Ne soyez pas trop froide à cause de choses du monde. Dieu vous l'a donné comme un trésor; élevez-le correctement. Amen. Remarquez, c'est ça le problème; nous nous éloignons des choses de Dieu. Vous vous éloignez de la nature, et alors vous vous éloignez de la volonté de Dieu.

41    Maintenant, je voudrais que vous remarquiez donc, Job, comme il se souciait de ses enfants, il a dit: «Eh bien, peut-être, que lorsqu'ils étaient sortis, ils ont commis un péché.» Alors, il prenait les seules dispositions qu'il connaissait, c'était l'holocauste, l'effusion du sang. Il répandait le sang d'un agneau pour ses enfants, prenant des précautions pour le cas où ils auraient péché. Vous voyez ça? Job se souciait de ses enfants, prenant des dispositions pour leur péché.
    Et vous, les mères et les pères, si vous pouviez arrêter de dépenser de l'argent pour que vos enfants apprennent la danse claquettes et des choses semblables, et des choses telles que comment devenir un acteur, et que vous consacriez plus de temps à implorer le Sang de Jésus-Christ pour eux, et à leur manifester de l'amour et la communion, nous nous en tirerons mieux. Et il en sera de même pour les enfants. Enseignez votre enfant.

42    Je crois que si chaque parent prenait son enfant et… D'abord le parent revient à Dieu, et fait sortir la bière du réfrigérateur, enlève les cartes de la table. «Oh! diriez-vous, ça ne fait aucun mal.» Voyez-vous ce que cela a éclos? Frère, je ne permettrais pas qu'une carte se retrouve chez moi. Non monsieur. C'est une chose du diable. Gardez-les loin de ça. Vous me direz: «Vous êtes un type à l'ancienne mode, Frère Branham.» Eh bien, c'était l'Évangile à l'ancienne mode qui m'avait sauvé. Amen. C'est le salut à l'ancienne mode qui me rend heureux. C'était le Saint-Esprit à l'ancienne mode qui m'avait guéri. C'est la même chose qui va nous amener à la Maison, dans la Gloire, assurément. Enseignez votre enfant.

43    Écoutez ceci. Observez ce que le monde peut faire. Maintenant, ce sont de petites choses pures, je suppose. Je n'ai rien à voir avec ça. Mais écoutez ceci. Chaque enfant de la ville peut vous dire qui était David Crockett. Oh! la la! Oh! la la! Ça se trouve sur les petites cuillers, sur son chapeau, sur sa cravate, partout, David Crockett. Le monde a enseigné aux enfants, l'Amérique, comme une mode, a enseigné à tous les enfants au sujet de David Crockett. Ils peuvent vous dire qu'il est venu de Tennessee, quand il était né, et tout à ce sujet. Il portait un képi en peau de raton laveur et qu'il a tué un ours à l'âge de trois ans et tous ces genres d'histoires fictives. Ils savent tout au sujet de David Crockett. Et vous êtes disposé et vous aimez lui raconter ça.
    Or, s'ils sont capables d'apprendre au sujet de David Crockett, et de s'habiller comme David Crockett, et d'agir comme David Crockett, assurément que vous pouvez leur apprendre au sujet de Jésus-Christ, et ils agiraient comme Jésus-Christ, et ils aimeraient Jésus-Christ autant qu'ils ont pu aimer David Crockett. La communion autour de la Bible. Dites-leur que Jésus les aime.

44    David Crockett, c'est une réalité, mais qu'il ait tué l'ours à l'âge de trois ans, ça, j'en doute. Beaucoup de ces choses, on croit beaucoup de fictions, beaucoup de ces histoires sont des fictions. Quand j'étais un petit garçon, j'aimais beaucoup Guillaume Tell, il avait tiré sur une pomme se trouvant sur la tête de son fils. Quand je suis allé là en Suisse, pas un seul mot de tout ça n'est vrai; tout est fiction. C'est vrai. C'est vrai qu'il a existé un Guillaume Tell, mais il n'a jamais tiré sur une pomme qui était sur la tête de son fils, non non, rien de tel là-dessus. Mais c'est tout simplement de la fiction, et–et des histoires qui sont racontées. Mais apportons la vérité aux gens. Ne communions pas avec ça. Communions avec Dieu, et avec la Bible, et avec le Saint-Esprit. Prenons des dispositions pour nos enfants.

45    Et remarquez, lorsque les épreuves sont finalement arrivées, et que Job est passé par les épreuves… Oh! j'aime ça. Excusez-moi, je ne suis pas émotif, mais je commence tout simplement à me sentir bien. J'aime ça. Les épreuves! Dieu éprouvant Ses enfants… N'aimez-vous pas ça? Chaque épreuve lors du test, c'est un. de test, un polygone; ceci est un temps d'épreuve, Dieu éprouve Son peuple, Il les apprête.
    Avant que vous achetiez un groupe de chevaux, vous allez les tester, les éprouver. Vous les laissez -résister au mors un instant, vous les faites courir pour voir s'ils sont poussifs… vous mettez le citron dans leurs nez et tout le reste. Oh! ne saviez-vous pas qu'on met les citrons dans le nez pour un cheval poussif? Heuh! On le fait. Très bien. Pour votre véhicule, vous l'entretenez avec les huiles de ri–ricin, et de bonnes huiles, dans le moteur, c'est vraiment épais, et vous débosselez cela afin qu'il puisse être vendu. Voyez? Toutes ces autres choses, le test. Dieu soumet Ses enfants à une épreuve. Je suis très heureux pour ça. Alors, Il peut vous manifester Son amour.

46    Eh bien, l'épreuve, Job est passé par une série d'épreuves à cause de Dieu. Il n'avait pas péché; les gens disaient qu'il avait péché, mais ce n'était pas le cas. Comment savait-il qu'il n'avait pas péché? Il savait qu'il avait suivi la seule voie que l'on puisse suivre, c'était à travers le sang versé. Il avait offert un sacrifice; il avait confessé ses péchés sur base du sang versé. Il savait qu'il était justifié aux yeux de Dieu, peu importe ce que disait n'importe qui. Il savait qu'il était juste, car il était justifié par sa foi dans le sacrifice pourvu par Dieu. Il croyait en cela. Très bien.
    Et quand les épreuves sont arrivées, cela s'est avéré vrai. Dieu lui ôta tout ce qu'il avait, Il ôta ses enfants, Il les tua tous. Il enleva tout son bétail, les brebis, les chameaux, Il tua tout cela. Il fit tout et Il brisa tout son corps, Il ôta sa santé. Mais il continua à aimer le Seigneur. Car il avait suivi la voie de Dieu et il était connecté à Dieu. Et une fois que vous êtes connecté à Dieu par le Sang versé, vous savez qu'il y a là quelque chose. Vous ne prenez pas la théologie, vous prenez ce que le Sang témoigne pour vous. Voilà.

47    Et remarquez, Dieu lui a restitué tout ce qu'il avait perdu, cela était doublé. Il a doublé ses brebis; il a doublé les chameaux. Mais remarquez, Il ne lui a donné que sept enfants, juste comme il en avait. Et quels enfants étaient-ce? C'étaient les mêmes enfants qu'il avait perdus. Ils étaient sous le sang. Ils étaient dans la Gloire, l'attendant. C'est ainsi qu'il faut faire pour nos enfants, n'est-ce pas? C'est vrai. Il lui a restitué ses enfants, assurément, il est avec eux ce soir et il sera avec eux aux siècles des siècles.
    Israël avait le sang versé de l'agneau, l'unique voie. Et le seul lieu où Israël pouvait adorer, c'était sous le sang versé. Tous les sacrifices et tout le reste étaient apportés à un seul lieu commun, et là, sur l'autel d'airain, on brûlait les corps et on aspergeait le sang. Et Dieu (Écoutez, voici la chose maintenant), Dieu ne rencontrait Israël que sous le sang versé. Le seul lieu de rencontre, où Dieu rencontre Son peuple, c'est sous le sang versé, il n'y a pas d'autre voie. Il ne vous rencontrera pas dans votre dénomination. Il ne le fera pas, aussi bonne qu'elle puisse être. Il ne vous rencontrera pas à travers votre instruction, votre théologie, aussi bonne qu'elle puisse être. Il vous rencontrera uniquement sous le Sang versé.
    Le seul lieu où Dieu rencontrait Israël, c'était sous le sang versé. La seule voie par laquelle Il pouvait parler à Adam et Ève, c'était sous le Sang versé. La seule voie par laquelle Il pouvait parler à Job, c'était sous le Sang versé.

48    Et la seule voie par laquelle… Remarquez. Les gens devaient venir là où le Sang a été versé. Comprenez-vous cela? Le seul moyen pour vous d'avoir la communion parfaite avec Dieu, c'est de venir là où le sang a été versé. Où est-ce? Christ est le lieu de rencontre avec Dieu. Nous nous rassemblons, nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Christ Jésus. Et le Saint-Esprit entre dans le bâtiment quand nous sommes sous le Sang.
    Comment entrons-nous en Jésus-Christ? D'abord, c'est par les éléments qui étaient sortis de Son corps que nous entrons dans Son corps. Il était sorti de Son corps l'eau, le Sang, l'Esprit. C'est l'Esprit qui vous fait entrer. La préparation par le Sang, c'est ce qui vous purifie, par les eaux de séparation, quand la génisse rousse était brûlée et qu'on en faisait les eaux de séparation. Et chaque croyant qui venait au temple s'arrêtait d'abord dans les parvis. Juste pour un instant, il s'arrêtait dans les parvis, où étaient gardées les eaux de séparation, et ils étaient aspergés.
    Les Eaux de séparation, c'est la Parole. La Parole de Dieu, les Eaux de séparation, par le lavage d'eau de la Parole. Vous venez entendre la Parole, et la première chose qu'Elle fait, Elle vous sépare, afin que vos pensées se détournent du mal pour s'appliquer au bien.

49    Ensuite, la chose suivante qu'ils faisaient, après avoir quitté les parvis, ils se dirigeaient vers le temple. Sur le temple, dans le désert, le doigt du souverain sacrificateur aspergeait le sang à sept reprises, à la mort de la génisse, et on aspergeait ça sur la porte, montrant que chaque croyant qui venait à cette communion devait d'abord reconnaître qu'un substitut était mort et qu'il avait préparé une voie devant lui.
    Tout homme qui entre dans cette merveilleuse communion doit d'abord (La foi vient de ce que l'on entend, ce que l'on entend de la Parole) – donc reconnaître le Sang de Jésus-Christ, le tapis de bienvenue placé par Dieu pour leur retour à la maison pour communier. Et il doit reconnaître que le sang a été versé pour lui; Sa Vie avait été livrée ici sur la terre afin que vous puissiez avoir communion.

50    Ensuite, le Saint-Esprit, quand vous passez derrière le voile, ici derrière les rideaux, vous baptise, l'eau, le Sang, l'Esprit. Il vous baptise dans le Corps de Christ… Alors, ça y est, frère et sœur, écoutez attentivement maintenant; nous terminons. C'est alors que vous ne les appellerez plus jamais de saints exaltés. Non. Une fois derrière le rideau, qui est Sa chaire, vous laissez le Saint-Esprit vous purifier par le Sang, vous faire entrer en Christ. Alors vous avez communion. Le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché à la porte, maintenant nous avons communion les uns avec les autres.
    Pensez-y. Un frère méthodiste peut serrer ma main à moi, baptiste. Et un pentecôtiste, et un nazaréen et un pèlerin de la sainteté, un presbytérien, qui que nous soyons, nous pouvons nous serrer la main, les uns aux autres, et communier les uns avec les autres, quand le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché. J'espère que vous comprenez cela.
    J'ai dépassé mon temps. C'est pour ça que nous sommes ici. Dieu a envoyé Son Fils, ne le croyez-vous pas? Il a donné Son Fils afin que nous puissions vivre. Le Fils devait verser Son sang. Il a ressuscité Son corps; Son corps et les os sont dans la Présence de Dieu ce soir. Mais Son sang continue à tacher la terre.

51    Et au travers ce Sang versé provient. La vie se trouve dans le sang, et la Vie, c'est le Saint-Esprit qui est revenu. Jésus a dit: «Encore un peu de temps (Écoutez) et le monde ne me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car j'aurai communion avec vous jusqu'à la fin du monde.» Je (pronom personnel) aurai communion; Je serai avec vous. «Là où deux ou trois sont assemblés, Je serai au milieu d'eux, communiant avec vous jusqu'à la fin du monde.»
    Reconnaissez-vous qu'Il est ressuscité des morts ce soir, frère chrétien? Mon ami pécheur, je vous aime; Dieu sait que je ne veux pas que vous soyez pécheur. Dieu ne veut pas que vous soyez pécheur. Mais voudriez-vous jouir d'une véritable communion comme vous n'en avez jamais eu auparavant? Cela dépassera une tasse de café et une cigarette n'importe quand. Cela dépassera boire le whisky ou faire des beuveries la nuit pour souiller les vertus d'une fille, et quoi que ce soit. Ne voudriez-vous pas venir ce soir? Vous dites: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi pécheur; je veux avoir communion. Je veux avoir quelque chose de réel dans ma vie.»

52    Jésus est réel. Il est ressuscité des morts. Il sera ici même sur l'estrade dans quelques minutes, accomplissant les mêmes choses qu'Il avait accomplies jadis, pour vous montrer qu'Il est ici et qu'Il désire avoir communion. Vous ne douterez plus de Lui, n'est-ce pas? Ayons communion ce soir, ne voudriez-vous pas faire ça? Ne doutez plus de Lui. Dites: «Ô Dieu, Tu es ici, je suis–je suis maintenant même en train d'avoir communion. C'est maintenant le moment, je Te prends à Ta Parole. Tu me parles, pas à travers frère Branham, mais à travers Ta Bible. Ensuite, Ton don parle par ce moyen pour s'identifier par un corps humain, que Tu es ici et que j'ai communion avec Toi. Je vais sortir d'ici ce soir, croyant de tout mon cœur.» Nous pouvons incliner la tête. La pianiste, si elle le veut, venez–venez au piano juste un instant.

53    Pendant que nous avons nos têtes inclinées, que tout le monde est en train de prier, je me demande bien ce soir, ami pécheur, avez-vous vraiment un ardent désir d'avoir quelque chose que vous n'avez jamais eu? Vous avez grandement besoin de la joie. Vous roulez en voiture à quatre-vingt-dix miles à l'heure [145 km à l'heure–N.D.T.], faisant grincer les pneus. Mademoiselle, vous–vous vous habillez de n'importe quelle manière que vous voulez pour amener les garçons à vous siffler, et vous pensez que c'est un ravissement? Avez-vous vraiment besoin d'un ravissement éternel ce soir? Venez à Jésus.
    Voulez-vous être aimé de quelqu'un qui n'arrêtera jamais de vous aimer? Venez à Lui. Ne voudriez-vous pas faire cela? Vous n'avez jamais eu cette merveilleuse communion. Vous ne savez vraiment pas ce que c'est que d'avoir un vrai ami. Je sais qu'il y a en Un qui vous attend maintenant même.

54    Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, ceci étant ma dernière soirée ici, je voudrais vous demander quelque chose. Tout le monde est en prière, ceux qui savent prier. Ami pécheur, voudriez-vous lever la main vers Dieu et dire: «Ô Dieu, je voudrais vraiment avoir cette communion avec Toi.» Voudriez-vous bien lever la main? Partout dans le bâtiment, à l'étage et en bas, juste… C'est juste. Que Dieu vous bénisse, c'est… Que Dieu vous bénisse, et vous. Je voudrais avoir communion, ô Dieu. Que Dieu vous bénisse, sœur. Je vois. Je voudrais avoir communion, Seigneur. Ma religion a été froide; je me contentais d'aller à l'église; c'est à peu près tout ce que j'ai fait. Mais je n'ai jamais vraiment su ce que c'était que de T'inviter dans ma vie et de communier avec Toi. Voici ma main, ô Dieu, reçois-moi ce soir; je voudrais avoir communion. Je passe par le Sang maintenant même. Je lève la main, par la foi je reçois cela.» Voulez-vous lever la main, quelqu'un d'autre? Que Dieu vous bénisse, fils. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse, vous. C'est bien.
    Oh! la la! beaucoup d'entre vous. Là au rez-de-chaussée, ici, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, vous. Par ici, à ma gauche. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, Monsieur. Que Dieu vous bénisse, Frère. Que Dieu vous bénisse vous là derrière, oui. À ma droite.

55    «Seigneur, voici ma main. Je suis maintenant même par la foi… Je suis venu à ces réunions. Je suis là. Je–je me posais un peu des questions. J'avais des doutes. Je suis allé à l'église. J'essaie de mener une bonne vie, mais ô Dieu, en réalité, je–je n'ai jamais su ce que c'était que de m'asseoir et parler avec Toi, T'aimer et vraiment–vraiment être tellement captivé par la prière que je ne peux pas me lever. Je T'aime et je resterai là, et je crierai et lèverai mes mains vers Toi, et mon cœur bondissant tout simplement de joie. Je n'ai jamais eu ça, Seigneur, je ne T'ai jamais vu descendre et exaucer ma prière, et faire quelque chose pour moi, frayer un chemin pour moi quand tout est sombre, et je ne sais pas quelle voie prendre, et Toi, Tu viens, Tu ouvres la voie et Tu me gardes plein de… Seigneur, je n'ai jamais eu une telle communion, bien que j'aie été à l'église, mais je désire l'avoir maintenant même, je viens à travers la voie du Sang, la voie que frère Branham a indiquée selon la Bible, je vais lever la main.»

56    Quelqu'un d'autre, maintenant même, levez tout simplement la main vers Dieu. «Je viens en suivant cette voie, Seigneur.» Que vous Dieu bénisse aussi. Oui. Y a-t-il ici ce soir quelqu'un qui est dans l'abîme? Dites: «Ô Dieu, je viens pour cette communion. J'en ai vraiment besoin, du fond de mon cœur.» Que Dieu vous bénisse aussi. Que Dieu vous bénisse, sœur, je vois votre main. Dieu voit ça. Que Dieu vous bénisse, ma sœur, vous communiez. C'est bien, très bien, un petit mot de prière maintenant. Après le service, on va faire l'appel à l'autel, si vous voulez venir à l'autel et prier un instant, ce serait bien.
    Père céleste, ceux qui viennent, personne n'aurait levé la main, naturellement, Seigneur, si que quelque chose n'avait frappé son cœur en ce jour cruel, sombre et mauvais où nous vivons. Oh! comme les hommes et les femmes s'éloignent de Toi! Oh! comme le monde par la culture et par la science est d'emblée sorti de la catégorie de Dieu. Et nous regardons aujourd'hui dans la ville, et nous regardons là et nous voyons des bâtiments commencer à s'écrouler, nous voyons les rues se détériorer, montrant, il y a plusieurs années, c'étaient–c'étaient de bonnes routes, de bons bâtiments. Mais ils ont vieilli maintenant. Le vieux monde, partout, est là, attendant le jugement.

57    Ô Dieu, il faudra que Tu viennes sans tarder, et tout sera terminé. Juste comme une femme et un homme qui ont passé leur vie dans le péché, assis dans un coin avec un regard fatigué, attendant la mort, et serrant les dents, et qui feraient n'importe quel mal qu'ils peuvent, donc une personne misérable, attendant son jugement, que sa destination éternelle soit prononcée…
    Combien cela pourrait être différent. Comme ils pourraient même être vieux, mais cependant de manière ordonnée, avec amour, une vieille mère qui a passé sa vie au service de Dieu, dans la pureté et dans la féminité, attendant sa récompense. Ô Dieu, sois miséricordieux.
    S'Il Te plaît, Dieu bien-aimé, ces gens paient de leur poche, ils m'aident à vivre. Ils achètent de la nourriture pour mes enfants. Ils… Ô Dieu, je ne sais tout simplement pas quoi dire, mon cœur bat. Pas pour qu'ils puissent m'entendre, mais pour que Toi, Seigneur, je Te prie de pardonner à chacun d'eux et que Tu les fasses entrer dans la parfaite communion ce soir. Fais-le, ô Dieu, pour moi, je T'en prie. Je T'aime, et Tu as dit que si je demande n'importe quoi Tu le feras.
    Et puis, guéris tous les malades ce soir, je Te prie, Père? Tu es ici sur l'estrade maintenant même. Et je sais que Tu feras ces choses. Et ouvre les yeux de ces gens ce soir. Peut-être que la plupart ne T'ont jamais vu agir dans Ta grande puissance, mais puissent-ils voir le Seigneur Jésus dans Sa glorieuse communion.

58    Et dans la Bible, au matin de la première résurrection, il y eut deux hommes, Cléopas et son ami, qui étaient en route vers Emmaüs. Jésus avait marché avec eux toute la journée. Ce soir-là, quand Il est entré avec eux à l'intérieur, Il a fait quelque chose d'un peu différent de ce que les hommes font généralement. Ils ont reconnu que personne d'autre ne pouvait faire cela en dehors de Jésus, ils L'ont reconnu par ce signe qu'Il a accompli. Puisse-t-il en être ainsi ici à Chicago ce soir, Seigneur.
     Il y a beaucoup de gens assis ici, venant de grandes et bonnes églises ici de la ville. Peut-être qu'ils sont membres là-bas, mais ils ne sont jamais nés de nouveau. Fais quelque chose d'un peu différent ce soir, Seigneur, pour amener leur cœur plus près de Toi, car nous le demandons en Son Nom. Amen.
    Je me demande, Sœur, pendant que nous appelons les cartes de prière, si vous connaissez ce cantique Ma foi regarde à Toi. Pouvez-vous nous en donner la mélodie? Combien connaissent cela Ma foi regarde à Toi? J'aime cela. Pendant que nous nous détendons un instant. Appelons les cartes de prière. Billy, où en es-tu?

59    Carte de prière …?… Combien en avez-vous distribuées? Combien? 100? Très bien. Commençons par le numéro 1 et allons vers, [Billy parle: j'ai distribué deux séries différentes–N.D.É.] (Oui, la série M et la série N.) Laquelle avez-vous distribuée hier soir? La série M. Très bien. Vous étiez ici aujourd'hui pour recevoir l'enseignement et avoir la carte de prière …?… Nous commençons par le numéro 1, qui a ça? 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10.
Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du calvaire,
Sauveur Divin;
Maintenant écoute-moi pendant que je prie,
Ôte toute ma culpabilité,
Oh! laisse-moi de ce jour,
Être tout à Toi…
    Frère Wood, voudriez-vous aider Billy dans la ligne de prière? Très bien, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25.
Que Ta riche grâce fortifie mon cœur défaillant,
Qu'elle inspire mon zèle;
Comme Tu es mort pour moi,
Oh! puisse mon amour pour Toi,
Être pur, chaud, et immuable,
Un feu vivant…
    N'est- ce pas précieux? Chantons cela très doucement.
Ma foi regarde à Toi,
Toi Agneau de calvaire,
Sauveur Divin;
Comme Tu es mort pour moi,
Oh! puisse mon amour pour Toi, (Écoutez.)
Être chaud et immuable,
Un feu vivant.

60    Ne L'aimez-vous? Combien désirent être ainsi dans leur cœur? Pur, que votre amour soit pur, chaud, immuable et un feu vivant. La foi de nos pères est toujours vivante, comme c'est merveilleux… Rappelez-vous toujours, mes amis, l'amour change les choses, rien que l'amour. Cela accomplira le travail. Maintenant, aimez-Le pendant que vous venez. Maintenant, ne Le critiquez pas lorsqu'Il commencera à agir; aimez-Le tout simplement; embrassez-Le, dites: «Je T'aime, Seigneur.» Maintenant, pour la dernière fois, afin que je puisse me hâter de faire passer la ligne de prière aussi vite que possible. Aussitôt que l'onction entre en action, je me mettrai à prier rapidement pour les gens.
    Tout le monde, croyez de tout votre cœur, Jésus vous guérira. Rappelez-vous, Il est ressuscité des morts. Il a dit: «Je ne fais rien de moi-même sinon ce que je vois faire au Père. Ce que le Père me montre, je le fais aussi.»

61    Parlant avec la femme, Il lui a révélé ses péchés. En parlant avec Nathanaël Il lui a dit où il se trouvait. En parlant avec Pierre, premièrement Il lui a dit où… quel était son nom, qui était son père. Et plusieurs autres fois dans la Bible… Et Jésus a dit Lui-même donc, afin que vous compreniez clairement: Je ne fais que ce que le Père me montre premièrement.» Il est ressuscité des morts; Il fait la même chose ce soir, juste tel que le Père le montrera.
    Eh bien, je suis un homme, Lui aussi était un homme. Il était le Fils de Dieu, l'unique, né d'une vierge. Moi je suis un pécheur sauvé par grâce. Sa grâce m'a sauvé. Ainsi, Il a ouvert un canal par élection, par prescience, Il a ouvert un canal dans mon cœur pour se faire une place, afin qu'Il puisse travailler en votre faveur. C'est votre foi qui fait cela, pas la mienne; je ne pourrais pas faire cela. Vous dites: «Frère Branham, levez-vous–levez-vous–levez-vous, et dites-moi ce qui ne va pas en moi.» Je ne pourrais pas vous le dire. Il faut votre foi pour faire cela. Voyez? La femme qui toucha Son vêtement et s'en alla, Il lui a dit: «Ta foi t'a guérie.» Parlons-Lui encore une fois.

62    Père céleste, ce soir avec un amour Divin et chaud, l'amour chrétien, nous nous approchons de Toi au Nom de Jésus. Maintenant, Seigneur, nous n'allons pas rester ici debout des heures et des heures. Si seulement Tu nous parles un peu, Seigneur, si seulement Tu Te fais connaître ici, et alors nous aurons la prière, chacun. Alors nous croirons, et nous sortirons d'ici ce soir ayant réellement eu une véritable et tendre communion avec le Père. Nous sortirons au Nom de Jésus. Accorde-le, Seigneur. Pour Ta gloire, je me soumets à Toi, m'abandonnant au Saint-Esprit, afin que le Saint-Esprit accomplisse les oeuvres de Jésus-Christ au travers de ce pauvre corps indigne. Amen.
    Très bien. Bonsoir, Sœur. Eh bien, maintenant assistance, je souhaiterais… Je vais vous demander vraiment une faveur, si vous voulez bien l'accorder. Les gens doivent aller prendre les bus et les trains. Nous ne resterons ici qu'un petit moment, ce n'est pas nécessaire. Mon ministère, je trouve, je n'ai pas encore eu des résultats; je cherche à changer ça pour revenir prier seulement pour les malades. Frère Joseph écrira probablement et m'en parlera. Mais mon ministère, le voici: c'est de déclarer tout simplement que Dieu est ici. Ça importe peu, que je prie pour vous ou pas dans cette réunion spéciale, donc, il s'agit de votre foi. Il n'est pas question de me toucher moi, il est question de Le toucher, Lui. Voyez? Vous Le touchez, cela se produira.

63    Combien là maintenant… Afin que cette assistance-ci, les gens tout autour, combien veulent qu'on prie pour eux ici et–et–et veulent que Dieu les guérisse, et–et–et vous–vous qui êtes malades et qui voulez que Dieu vous guérisse, mais vous n'avez pas de carte de prière et tout, vous voulez que Dieu vous guérisse? Voyez, maintenant croyez tout simplement en Lui et voyez ce qui va arriver. Alors, s'Il fait cela une seule fois… Lorsque Moïse, Dieu lui avait dit ce qu'il devait faire, et il s'est rendu là et il a accompli ce signe devant Israël, chacun d'eux a cru et il est sorti. Est-ce vrai? Maintenant, nous devons aussi croire. Ça ne devrait pas se faire continuellement, continuellement, continuellement, continuellement, continuellement, pour toujours. Ça doit se faire une seule fois et vous dites: «Ça y est.» Et nous devons nous rassembler dans cet Esprit d'amour chrétien dans lequel nous sommes, nous imposer les mains les uns aux autres, et prier, et sortir de nos fauteuils et dire: «Merci, Bien-aimé Seigneur Jésus, je pars maintenant avec le cœur plein d'amour et d'assurance que Tu es le Dieu tout-Puissant qui garde Ta Parole.» Cela devrait régler la question. Voyez?

64    Maintenant, je pourrais prendre… peut-être me tenir ici jusqu'à minuit; je pourrais probablement prendre une centaine de gens par ici, mais… si jamais je vivais aussi longtemps que ça. On ne me laisserait pas rester, car je mettrais une semaine ou deux pour m'en remettre. Voyez? Maintenant, ce n'est pas quand j'en suis sorti, ou quand je suis dedans; c'est dans l'intervalle entre les deux moments, voyez, lorsqu'on en sort. C'est une onction, et si vous ne comprenez pas ce que cela signifie, si jamais vous n'avez accepté Christ, et que vous ne savez pas ce que ça signifie que d'être oint, c'est une autre dimension. C'est une autre dimension et un autre sens. Alors je… En parlant aux gens, je vois qu'il y a une femme ici. Maintenant, s'il y a quelque chose qui est dit à son sujet, ça doit être dit par Quelqu'un d'autre que moi, car, je ne connais pas cette femme. Sommes-nous étrangers l'un à l'autre? Nous sommes étrangers l'un à l'autre. Elle se tient ici, c'est tout ce que je sais. Et elle se tient tout simplement ici.

65    Et maintenant. Et elle est beaucoup plus jeune que moi, donc, elle est née après moi, et nous–nous ne–nous ne nous sommes jamais vus auparavant. Maintenant, quelque chose qui doit arriver si… Maintenant, s'il s'agit de la guérison, si elle a besoin de la guérison, je–j'aurai bien voulu faire cela, mais cela m'est impossible. La seule chose que je puisse faire, peut-être, c'est par un don divin comme prêcher la Parole ou un autre don, la prophétie, d'élever sa foi. Si Dieu fait cela là dans cette ligne de prière pour une personne, me rassurez-vous tous ce soir que vous allez croire que Jésus est ici, et que vous allez alors bien communier avec Lui, allez-vous le faire? Maintenant soyez en prière là.
    Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. Et que chaque personne reste assise juste pendant les dix ou quinze prochaines minutes, s'il vous plaît. Ne vous levez pas et ne vous déplacez pas; restez tout simplement assis tranquillement.

66    Maintenant, Sœur, je voudrais vous parler, la première personne ici ce soir, et je voudrais m'entretenir avec vous, en fait, c'est pour amener d'abord l'onction. Que vous ayez foi ou pas, je ne sais pas; il n'y a rien que nous connaissons maintenant. Voyez? Nous devons tout simplement attendre pour voir ce que dira le Saint-Esprit. Mais s'Il me révèle vraiment ce pour quoi vous êtes ici, ou quelque chose que vous–quelque chose dont vous–vous savez que je ne sais rien, allez-vous alors accepter cela, allez-vous le faire? Maintenant, Sœur, tout ce que je peux faire, c'est juste être un homme. Voyez? C'est tout ce que je peux, c'est tout ce que je suis, juste un pécheur sauvé par grâce.
    Et je vois que vous êtes une chrétienne, car vous éprouvez un sentiment merveilleux dans votre esprit, quand il vient me rencontrer. Voyez? Maintenant, si ce n'était pas cela, il y aurait eu une répulsion. Vous voyez, si jamais vous avez été dans la réunion, lorsque les pécheurs viennent, tout de suite, ce n'est pas bien accueilli. Les critiques, vous le sentez immédiatement. Voyez? En effet, c'est spirituel. Voyez? Mais ceci est surnaturel, et vous êtes une chrétienne; vous croyez en moi, absolument. C'est vrai. Mais maintenant l'autre chose: vous pourriez avoir été une critique, et je ne l'aurais pas su, voyez, naturellement, mais je le sais maintenant, voyez? Voyez, parce que l'onction du Saint-Esprit est ici.

67    Maintenant, vous êtes ici parce que vous voulez qu'on prie pour vous. Je vous vois; vous êtes–vous êtes une personne très nerveuse, vous êtes très contrariée. Et je vous vois tout le temps tenant votre… Ce sont les maux de tête que vous avez tout le temps. Vous êtes constamment dérangée par des maux de tête, tout le temps. Maintenant, c'est vrai, n'est-ce pas? C'est vrai. Maintenant, chacun de vous devrait croire. Chacun devrait croire de tout son cœur. Croyez-vous cela? Très bien. Maintenant, vous voyez, si je parlais davantage à cette dame, davantage de choses seraient dites. Je pourrais soit prendre une seule personne, parler longtemps avec elle, et ne pas en faire passer beaucoup. Mais faites-les passer rapidement et faites-les passer tous. Cela dépend tout simplement de tout ce que… J'ai beaucoup de force; et cela sortira, c'est une provision. Et lorsque ça sera terminé… Voyez-vous ces hommes qui se tiennent là à leur poste? Ils vont me ramener. Je ne sais pas si j'existe ou si je n'existe pas. ais croyez au Seigneur Jésus.

68    Parlons, vous et moi. Vous semblez être une personne très gentille, depuis que vous vous tenez là. Et je crois qu'Il vous a déjà dit de quoi vous souffrez ou quelque chose comme ça. Maintenant, regardez tout simplement dans cette direction, juste un instant. Et vous êtes–vous êtes une personne avec laquelle on peut très facilement parler, car je crois que vous avez une foi réelle–réelle. C'est vrai. Je vois que vous n'êtes pas de cette ville; vous venez d'une ville qui est à côté de l'eau. Mais ce n'est pas l'eau qu'on a ici; c'est de l'eau salée. Et c'est très loin; vous venez du nord-est, vous vous dirigez à l'ouest en venant vers Chicago, et vous êtes–vous êtes dans une ville, je vois un nom appelé, c'est Portland. Et Maine est le–c'est le–l'État, Portland, dans Maine.
    Et je vous vois amener quelqu'un là, à qui vous portez intérêt, c'est une personne qui est affligée par quelque chose comme une maladie des os ou des muscles, ça l'afflige et c'est votre parent, c'est un neveu. Et puis, vous avez aussi un frère. Et vous avez deux mouchoirs dans votre main; je vous ai vue lorsque vous les avez pris. Et vous–et vous, l'un est pour un frère qui souffre des nerfs, et l'autre, c'est pour un neveu qui est souffrant. C'est la vérité, n'est-ce pas? Très bien. Croyez-vous maintenant? Très bien, laissez-moi…

69    Père céleste, au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ, qui se tenait au puits et parlait à la femme, disant: «Va chercher ton mari.»
    Elle a dit: «Je n'en ai pas.»
    Tu avais dit: «C'est vrai. Tu en as eu cinq.»
    Elle a dit: «Je vois que Tu es prophète, Seigneur. Je sais que lorsque le Messie viendra, Il nous révélera ces choses.»
    Jésus a dit: «Je le suis.»
    Père, ce soir, Tu nous as promis cette communion, et nous voici en train d'en jouir. «Les oeuvres que je fais, vous les ferez aussi. Je serai avec vous, communiant jusqu'à la fin du monde.» Oh! nous T'aimons, Jésus, Tu es ici, accorde les requêtes de cette femme, alors que je la bénis avec ces mouchoirs, au Nom de Jésus. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, ma sœur, et qu'Il vous accorde le désir de votre cœur.

70    Bonsoir, sœur. Je suppose que nous sommes également étrangers l'un à l'autre. Nous le sommes. Jésus nous connaît tous les deux. Vous avez un mal de dos, n'est-ce pas, petite dame assise là? C'est vrai. Le dos et les dents, vous avez aussi un problème avec vos dents. Croyez-vous que Jésus peut vous rétablir? Si vous le croyez, vous pouvez l'avoir. Voyez? OK.
    Croyez-vous réellement cela, vous avez un bon livre sur vos genoux, si seulement vous continuez à le lire, eh bien, j'aurai confiance en vous. Amen. Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous en Lui de tout votre cœur maintenant? Maintenant, nous sommes étrangers l'un à l'autre, mais pas devant Jésus. Voyez? Il nous connaît tous les deux. J'ai juste vu quelque chose se déplacer. C'était quelqu'un qui se déplaçait, j'ai pensé que c'était… Je dois suivre une Lumière (Voyez?) qui est le Saint-Esprit. Dieu est Lumière. Ceux qui demeurent en Dieu demeurent dans la Lumière. Est-ce vrai? Croyez-vous cela?

71    Cette dame se tient ici, si cette assistance peut entendre ma voix, j'espère qu'ils le peuvent en ce moment-ci. Elle est–elle est très malade. Elle a un problème très grave de nerfs, elle en souffre. Et elle est–elle a eu deux dépressions nerveuses. C'est vrai. Et vous avez récemment eu une sorte de–dans votre poumon… C'était une pneumonie, et un virus. Oui, ils en avaient. Et je… Vous avez également subi quelques grandes opérations. C'est vrai. Croyez-vous qu'Il est ici pour vous guérir maintenant? Venez ici.
    Je voudrais vous demander quelque chose, Sœur. Vous, dans l'état où vous êtes, et Quelque Chose est ici maintenant à côté de moi, je ne suis qu'un homme, vous le savez, je ne vous connais pas. Mais il y a Quelque Chose ici qui vous connaît. Cela opère à travers ce corps, on ne sait trop comment. Il a dit: «Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru, s'ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Vous devez faire cela, n'est-ce pas? Croyez-vous cela? La seule chose, ce serait l'incrédulité. Même la Parole de Dieu vous le dit premièrement. Voyez? Si vous… Ensuite, Il envoie autre chose avec amour, quelque chose d'autre pour encourager votre foi. N'est-il pas merveilleux? Maintenant, allez et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.

72    Grâces soient rendues à Dieu. Croyez-vous, Madame? Vous êtes très malade. Mal à la gorge. C'est vrai. C'est le cancer de la gorge, aussi. C'est vrai. Bien sûr, vous saviez cela. Croyez-vous que Jésus vous rétablit, Madame? Le seul espoir que vous avez, c'est par Lui. Si vous croyez, Dieu vous rétablira. Croyez-vous cela? Venez ici.
    Bien-aimé Père céleste, il y a quelque mille neuf cents ans, une vieille croix rugueuse allait là au Calvaire, laissant derrière les empreintes ensanglantées de pas de Celui qui la transportait. Et en route vers là, Son pauvre petit corps tomba; Il saignait, marchant dans le sang. C'était une traînée, ouvrant les portes. Son petit et faible corps physique ploya sous l'épreuve, et là se tenait Simon de Cyrène, un homme de couleur qui ramassa la croix et la plaça sur ses épaules, et l'aida à la porter. Quelle heure sombre! Quel Calvaire sombre!

73    Voici l'un de ses enfants ce soir, se tenant ici, il se tient dans l'ombre de la mort. Ô Dieu, sois miséricordieux. Toi, démon qui tues cette femme, par la lumière du Calvaire, je t'ordonne par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de la quitter; avec mes mains sur elle selon les commandements de mon Seigneur, sors d'elle au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. «Si vous pouvez croire, tout est possible.» Croyez-vous? Ayez tout simplement foi. Cette petite dame assise ici avec une petite veste sur les épaules, en train de regarder dans ma direction, elle a une affection pulmonaire. Elle est assise juste là derrière, au bout de la rangée, avec la main levée, elle a une veste sur les épaules. Madame, quand je priais pour la femme de couleur tout à l'heure, vous priiez au même moment. N'est-ce pas vrai? Et vous avez une affection pulmonaire. Jésus vous avait guérie avant même de guérir cette femme. Vous êtes guérie maintenant. Votre foi vous a guérie. Amen. Ayez tout simplement foi. Voyez? Peu importe où vous êtes. Croyez-vous ceci? C'est sa foi. Vous dites: «Est-ce Biblique?» Certainement. Il a dit à la femme: «Ta foi t'a guérie.» Si vous pouvez croire.

74    En regardant autour de cette femme là, croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette affection de vésicule biliaire et croyez-vous qu'Il vous rétablira? Croyez-vous qu'Il le fera? Il l'a fait. Très bien. Que Dieu vous bénisse. C'est comme cela que je veux vous voir croire. C'est comme cela que je veux vous voir venir, calme, avec une foi tranquille. Si vous pouvez croire.
    Bonsoir, Madame. Croyez-vous de tout votre cœur? Eh bien, je vous suis étranger, Madame. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Jésus vous connaissait avant que vous naissiez. Il vous connaissait lorsqu'Il formait votre esprit avant la fondation du monde, lorsque vous avez été créée dans le–là sous la forme spirituelle. Il savait qu'un jour vous viendriez sur la scène et que vous vous tiendriez sur cette estrade, c'est cela mon Seigneur, Il connaît tout cela.

75    Maintenant, vous savez qu'Il est avec vous. Vous n'êtes pas de cette ville-ci. Vous n'êtes pas ici pour vous-même. Vous vous tenez ici pour un prédicateur. Et ce prédicateur, c'est une femme. Elle a une affection de cœur, et elle est une prédicatrice pentecôtiste. Je la vois agiter ses mains en avant et en arrière, et elle prêche beaucoup. Et autre chose, elle est–ces quelques derniers jours, elle crache du sang. Dites donc! C'est dans un… Ce n'est pas ici; c'est dans le Kentucky, près de Covington. Je la vois passer à côté du fleuve, là. C'est vrai. Maintenant, ramenez-lui ce mouchoir et placez-le sur elle donc, pour sa guérison, au Nom de Jésus.
    Béni soit le lien qui unit nos cours à Jésus-Christ. Si vous pouvez croire, tout est possible à ceux qui croient. Oh! Il est très doux, très aimable, je L'aime vraiment de tout mon cœur. Je suis sûr que vous aussi.

76    Elle a une maladie de femme, elle est assise là au bout, Madame. Croyez-vous que Jésus vous guérit? Si vous croyez cela de tout votre cœur, vous pouvez l'avoir; ne doutez tout simplement pas. Amen. Vous êtes très malade, Madame. C'est une tumeur à l'estomac; mais Jésus peut vous guérir. Croyez-vous cela? Venez ici.
    Père céleste, sois miséricordieux envers cette femme, sachant qu'elle est maintenant sous les ombres de la mort. Mais Tu peux la rétablir. Accorde-le, Dieu bien-aimé. Puissent Ton amour éternel et Tes bénédictions reposer sur cette femme alors que je la bénis au Nom de Jésus. Et puisse-t-elle vivre encore pendant beaucoup, beaucoup d'années heureuse pour Ta gloire. Amen. Que Dieu te bénisse, sœur, aie foi et crois

77    Croyez-vous? Vous n'avez pas l'air d'être anémique, pourtant vous l'êtes. Croyez-vous que Jésus-Christ va guérir? Et pour le mouchoir aussi? Ô Bien-aimé Jésus, je prie que le Saint-Esprit vienne sur cette femme, la guérisse et la rétablisse. Amen. Que Dieu vous bénisse, Sœur. C'est pour un enfant, un petit-fils, madame, que vous priez, il n'arrive pas à bien parler, il est en quelque sorte affligé. Croyez-vous que Jésus va rétablir cet enfant? Croyez-vous? Très bien, n'ayez tout simplement pas peur maintenant; ayez foi. J'ai vu le petit enfant se tenir ici il y a quelques instants. Ayez donc tout simplement foi. Je crois qu'il va se rétablir. Amen.
    L'aimez-vous? De tout notre cœur.

78    Madame, vous avec des cheveux peignés comme ceci, vous qui portez une veste rose, qui portez des lunettes, vous souffrez de l'arthrite, vous êtes assise là, croyez-vous que Jésus va vous rétablir aussi? Vous êtes assise juste là, la ligne derrière cette dame-là, croyez-vous de tout votre cœur que Jésus va vous rétablir? Croyez-vous en Lui? Si vous croyez, vous pouvez avoir ce que vous demandez aussi. Amen. Oh! Il est réel, si vous pouvez croire qu'Il est réel. C'est vrai. Mais vous devez croire en Lui.
    Cette dame assise ici souffre de sinusite. Croyez-vous, Madame, que Jésus vous guérira de cette maladie de sinusite? Cette dame assise à côté de vous souffre de varices, celle qui est assise juste ici derrière. Ne pouvez-vous pas voir? Assurément, c'est vrai; voilà votre main. Amen. Oh! la souveraineté de Dieu, on cherche à prendre une personne, on en appelle quatre. N'est-ce pas… n'est-Il pas merveilleux?

79    Bonsoir. Nous sommes étrangers l'un à l'autre, Monsieur, n'est-ce pas? Nous sommes étrangers l'un à l'autre. Vous ne connaissez pas… Vous entendez difficilement, très bien. Venez ici. Inclinez la tête un instant.
    Ô Jésus, Fils de Dieu, il ne nous faut pas voir des miracles pour croire, Seigneur, la seule chose que nous devons faire, c'est de savoir que nos cœurs sont purs à Tes yeux. Mais veux-Tu ouvrir l'oreille de cet homme, afin qu'il entende ce que je dis? Accorde-le, Père. Si Tu le fais, nous serons reconnaissants. Et maintenant, Père, sachant que c'est un homme, et qu'il devrait avoir la foi pour lui-même, mais par la foi je lance un défi à ce démon. Et je t'ordonne, toi démon de surdité, sors de cet homme, au Nom de Jésus, quitte-le.

80    Vous m'entendez maintenant, n'est-ce pas? L'aimez-vous de tout votre cœur? [L'homme dit: «Amen.»–N.D.É.] Maintenant, vous avez recouvré votre ouïe. Voyez? N'est-Il pas merveilleux? [L'homme dit: «Merveilleux.»] Il l'est assurément. Autre chose, vous… je vois que vous avez aussi une tumeur, mais Jésus peut vous guérir, n'est-ce pas? Croyez-vous cela de tout votre cœur? Voyez, très bien. Votre prénom, c'est Jerry, n'est-ce pas? Mann, c'est votre nom de famille, vous habitez à Gary, dans l'Indiana. N'est-ce pas vrai, ça? Votre numéro, c'est 2689 ou 87, 89 quelque chose comme ça. C'est vrai, n'est-ce pas? Oui oui. Croyez-vous maintenant de tout votre cœur? Sur la rue Fulton. Maintenant, rentrez directement à la maison, vous réjouissant et soyez guéri, au Nom de Jésus-Christ. Disons: «Loué soit l'Éternel». [L'assemblée dit: «Loué soit l'Éternel.»] Madame, voulez-vous aller prendre votre souper? Oh! ce vieil ulcère vous a déjà quittée. Allez tout simplement et dites: «Grâces soient rendues à Dieu.»

81    Croyez-vous, Monsieur? Vous savez quoi? Cette vieille affection asthmatique vous quittera, vous cesserez de tousser et vous serez rétabli si seulement vous croyez maintenant même. Croyez-vous de tout votre cœur? Alors allez et cessez de tousser au Nom de Jésus. Amen.
    Venez, Madame. Cette vieille dame a une maladie de femme qui… Eh bien vous, cela vous dérange depuis longtemps, depuis très longtemps, à la ménopause. Mais… Est. C'est la vérité, n'est-ce pas? Très bien, rentrez maintenant à la maison et soyez guérie, au Nom du Seigneur Jésus.

82    Disons: «Loué soit l'Éternel.» [L'assemblée dit: «Loué soit l'Éternel.»–N.D.É.] Allez là au bout du chemin et dites: «L'arthrite m'a quitté.» Amen. Et soyez guéri. Disons: «Loué soit l'Éternel.» [L'assemblée dit: «Loué soit l'Éternel.»] Allez prendre votre souper, les maux d'estomac vous ont quitté. Disons: «Loué soit l'Éternel.» Croyez-vous? Tout est possible à celui qui croit. Si vous êtes un croyant, vous pouvez recevoir cela. Combien veulent être guéris, faites voir vos mains. «Si vous pouvez croire.» Je crois maintenant même.

83    N'amenez pas cette femme, ici, elle se tient près de moi. Eh bien, écoutez, faisons tout simplement maintenant… Oui oui, que Dieu vous bénisse là au balcon, vous qui êtes assis et qui regardez vers moi, vous souffrez des nerfs. Gardez votre main levée. Que Dieu .bénisse. Oui, l'homme de couleur assis là derrière, vers le fond. C'est vrai, monsieur, vous avez été guéri tout à l'heure, Jésus-Christ vous a guéri. Alléluia! J'ordonne à votre foi de regarder, croire et de communier avec Jésus-Christ. Imposez-vous les mains les uns aux autres maintenant, nous allons tout régler.
Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur Divin;
Maintenant écoute-moi pendant que je prie,
Ôte tous mes péchés,
Ne me laisse jamais m'écarter,
Loin de Toi.
    Jésus, Jésus, mon Seigneur, mon Seigneur, le Nom de Jésus guérit chacun de vous, Seigneur. Au Nom de Jésus-Christ, que Ton Esprit se meuve sur cette assistance maintenant même et qu'Il guérisse chaque personne qui est ici. Satan, tu n'as plus d'emprise sur ce groupe; sors d'ici. Tu es réprimandé. Au Nom de Jésus-Christ, quitte cette assistance, et puisse le Saint-Esprit s'occuper de chaque personne ici et la guérir pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus-Christ.

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