Jésus Ne Manque A Aucun De Ses Rendez-Vous

Date: 64-0418E | La durée est de: 1 hour and 50 minutes | La traduction: Shp
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1 … Restons debout juste un moment et inclinons la tête pour un mot de prière. Et maintenant, alors que nos têtes sont inclinées, ainsi que nos coeurs, je – je me demande, comme cette soirée est celle qu’on a donc prévue, comme – comme soirée pour le salut, pour que les gens viennent et qu’ils reçoivent le Saint-Esprit, je me demande combien ont une requête et aimeraient dire ceci : « Seigneur Dieu, souviens-Toi de moi. J’aimerais me mettre en ordre avec Dieu. » Voudriez-vous lever la main maintenant ? Que le Seigneur vous bénisse.

2 Notre Père céleste, nous sommes si reconnaissant de Ta Présence, et des gens sincères qui croient réellement que – que Tu viens, et qu’ils doivent se préparer pour ce grand évènement que le monde entier a attendu depuis tous ces milliers d’années. Et nous vivons juste, pour ainsi dire, en un temps où il nous faut veiller, où l’histoire arrive à sa fin, et où l’éternité commence à s’installer. Et nous voyons la chose poindre à l’horizon, ainsi nos coeurs sont réchauffés d’une manière particulière. Nous Te prions, Père, de sonder nos coeurs ce soir et de nous éprouver. Et s’il y a un péché en nous, Seigneur, ôte-le. Cette semaine, nous avons contemplé Ta glorieuse Présence, comme nous T’avons vu Te mouvoir au-dessus de cette assemblée, descendre dans cette assemblée, dévoiler les pensées mêmes du coeur, nous les révéler et nous déclarer ces choses.
Maintenant, ce soir, Seigneur, nous voudrions que nos coeurs soient fidèles et en ordre vis-à-vis de Toi. Nous Te prions de nous bénir. Sur cette estrade, ou plutôt sur cette chaire, est déposée une boîte de mouchoirs – de petits objets qui iront aux nécessiteux. Je prie, Père céleste, comme – comme ces choses sont envoyées à partir de cet endroit où la prière a été offerte avec foi, en croyant en Dieu, que – que lorsque chacun de ces mouchoirs, chaque petit linge et chaque petit objet toucheront les malades, que ces derniers soient guéris, car cet auditoire et nous tous ensemble, nous Te demandons d’un commun accord de les guérir, Père. C’est un mémorial que nous avons demandé.
Tu as dit : « Demandez et vous recevrez. Et lorsque vous priez, croyez que vous recevez ce que vous demandez. » Je crois, Seigneur ; nous croyons tous. Et cela a été demandé. Maintenant que cela soit accompli pour la cause du Royaume de Dieu. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3 Eh bien, il est certainement bon d’être de nouveau de retour à – à cet auditorium ce soir, et nous attendons impatiemment que le Seigneur nous visite ce soir, alors que ce soir nous avons renoncé à la prière pour les malades pour le – pour chercher le salut de nos âmes. Nous avons tous besoin de consacrer de nouveau nos vies. Et cette semaine, nous avons vu la Présence de Jésus-Christ, l’Ecriture confirmée, nous L’avons vu ici même parmi nous, en observant ce qu’Il a fait… Il est en train d’accomplir exactement les mêmes choses qu’Il avait accomplies auparavant quand Il était ici sur terre.

4 Eh bien, lorsque nous voyons le ministère croître, exactement comme nous croissons pour entrer dans un jour parfait, pour devenir une Eglise parfaite… Nous avons commencé juste comme – comme nous disions ce matin dans notre aimable petite communion de ce matin… Nous avons certainement passé des moments merveilleux au déjeuner. Je remercie les frères pour leur collaboration. Je dois serrer la main à plusieurs d’entre eux, ces braves hommes qui sponsorisent cette série de réunions, qui nous ont fait venir ici pour…
Cela montre qu’ils s’intéressent à leurs fidèles. Ce sont des bergers et ils sont intéressés à leurs brebis. Et ainsi je suis – je suis reconnaissant que certains de ces… Tout berger aime nourrir ses brebis de vitamines. Et celles-ci sont des vitamines spirituelles, pour ainsi dire, cela – cela aide les brebis à grandir et à avoir une foi solide en notre Dieu. Et ainsi je – j’apprécie de tels hommes.

5 Et, eh bien, ce matin, en parlant de l’Eglise qui est en pleine croissance (Voyez-vous), qui s’élève comme une semence de la terre… Et cette semence, une fois plantée, elle grandit de gloire en gloire. Et quelque temps après, elle fleurit. Et ensuite, on obtient encore la même semence. Et cette dernière est semblable à la semence originelle qui a été plantée.
Il en a été de même de l’Eglise. L’âge de l’Eglise a commencé dans ces derniers jours. Après les âges sombres, Martin Luther a commencé avec la reforme, prêchant la justification par la foi. Après son époque, l’Eglise fut organisée, et elle est morte. Et puis, vint Zwingli après Luther, et Zwingli ne croyait même pas à la naissance virginale. Il s’est rendu en Suisse. Là, ils ne croient toujours pas à la… D’après la doctrine de Zwingli, ils ne croient pas que Jésus était né virginalement. Ils disent qu’Il était le fils de Joseph, qu’on appelait le Fils de Dieu.
Mais cela ôte tout appui sur lequel repose toute la fondation du christianisme. Il est né virginalement, sinon Il n’est qu’un homme comme vous et moi. Il était le Fils de Dieu.

6 Et puis après cela, vint Calvin, et ainsi de suite. Finalement, l’Eglise est entrée dans une telle condition... qu’il devait y avoir une autre réforme. Et Dieu a envoyé John Wesley avec un message de sanctification, la pureté de l’esprit. Et puis, lui et Whitefield, et plusieurs d’entre eux, ont continué dans la grande réforme, de même qu’Asbury, ils sont venus aux Etats-Unis. Et ce grand réveil a sauvé l’Angleterre et le monde en ce temps-là.
Qu’ont-ils fait ? Après la mort de ces fondateurs, ils ont commencé à s’organiser sur la base de leurs doctrines, et la première chose, vous savez, ils se sont formés une organisation. Et nous avons eu d’autres qui se sont détachés de là, tels qu’Alexander Campbell, John Smith, et l’Eglise baptiste, et ainsi de suite. Et puis vinrent les nazaréens, les pèlerins de la sainteté, et les autres.

7 Et puis, la grande réforme est revenue, les pentecôtistes qui sont sortis de ces organisations, avec la restauration des dons, le parler en langues, la guérison divine ; de grands miracles et des signes se sont produits. Cela a duré longtemps. Maintenant, ç’a fait cinquante, cinquante-huit ans environ, depuis que le Saint-Esprit a commencé à tomber sur la vieille Rue Azusa là, en Californie, ici aux Etats-Unis, où Il a commencé à tomber. Un temps glorieux était venu. Ensuite, que firent les pentecôtistes ? L’un s’est formé une organisation. L’un disait : « Il vient sur un cheval blanc », et l’autre disait : « Il vient sur une nuée blanche. » Et ils se sont plongés dans des organisations et se sont divisés, brisant la fraternité parmi les frères.

8 Et juste comme Israël… Israël ne savait pas du tout que quand ils criaient victoire sur les bords de la rivière, ils n’étaient qu’à environ quatre jours de marche (Environ quarante miles) pour arriver à la terre promise. Ils ne se rendaient pas compte qu’ils étaient – qu’ils passeraient quarante ans. Mais qu’était-ce ? La grâce les avait pourvu d’un prophète, d’une colonne de feu, d’un agneau de sacrifice, d’une délivrance. Néanmoins, ils voulaient une loi. Ils voulaient quelque chose dans lequel ils pouvaient avoir quelque chose à faire, quelque chose dans lequel ils pouvaient être impliqués. C’était là l’erreur la plus grave qu’ils aient jamais commise, c’est dans Exode 19, lorsqu’Israël a rejeté la grâce pour accepter la loi.
Et ensuite, qu’ont-ils fait ? Dieu les a laissés simplement là, dans le désert, pendant quarante ans. Ils ont planté des vignes, ils en ont mangé des fruits, ils ont épousé des femmes, et ils ont élevé des enfants jusqu’à ce que la vieille génération est morte et une autre génération est venue. Quarante ans plus tard… Alors qu’il leur fallait à peine quarante heures pour y arriver, pourtant ils ont dû attendre pendant quarante ans avant de traverser. Et puis, un nouveau conducteur c’était Josué, et ils sont entrés dans le pays avec un nouveau groupe.

9 Eh bien, je pense que c’est un très bon type de ce que nous trouvons ici. Il y a bien longtemps, lorsque nos ancêtres du réveil de la Pentecôte se sont levés, ils avaient le vieux conseil général. De là, se sont formées les Assemblées de Dieu. Et de là, sont venus les UPC, et les Pentecôtistes unis, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’ils ont eu organisation après organisation, se querellant et se combattant. Dieu les a laissés simplement s’établir là, épouser leurs femmes, élever les enfants, parler en langues et danser en Esprit. Et maintenant, il y a un nouveau groupe qui apparaît.
Ils n’étaient qu’à quelques jours de la terre promise. Toutes ces bénédictions qu’ils ont eues étaient bonnes. Et souvenez-vous, tout le pays leur appartenait. Maintenant, nous sommes sur le point d’entrer dans la terre promise. Que le Seigneur nous vienne en aide alors que nous examinons ces choses. Voyez-vous ?

10 Juste comme la pyramide… Avez-vous remarqué comment la pyramide a été construite (Eh bien, il ne s’agit pas de la doctrine sur la pyramide, juste une pyramide) ? Regardez sur votre billet d’un dollar. Le sceau des Etats-Unis, c’est cet aigle. Eh bien, pourquoi est-il écrit là sur la pyramide : « le Grand Sceau » ? Pourquoi cela devrait-il être plus grand ici aux Etats-Unis que… et le sceau des Etats-Unis, le Grand Sceau, l’oeil qui regarde ? Et la – la pierre de faîte qui doit se trouver au-dessus de la pyramide a été – a été rejetée. Elle n’a jamais été posée sur la pyramide, jusqu’à ce jour : la pierre de Scone [Pierre sur laquelle les rois anglais sont intronisés. – N.D.E.], comme on l’appelle, mais elle n’a jamais été placée dessus, la pierre de faîte. Pourquoi ?
Jadis lorsque Enoch et les autres ont construit les pyramides là, en Egypte, nous voyons là que la pierre angulaire… ou plutôt la pierre de faîte serait rejetée. Et les pierres de cette pyramide ont été ajustées si parfaitement qu’on n’a pas besoin de mortier. Ces pierres ont été si mécaniquement taillées qu’elles s’ajustent les unes aux autres de manière si serrée qu’on ne peut même pas faire passer une lame de rasoir entre elles.
Eh bien, la pyramide a continué à monter peu à peu, eh bien, elle s’est complètement amenuisée au sommet, et prête pour la pierre de faîte quand elle viendra. C’est de cette manière que Dieu a évolué avec Son Eglise, de la justification à la sanctification, de la sanctification au baptême du Saint-Esprit, et maintenant, le ministère de l’Esprit, lequel est le... ce qui vivifie la Parole ; ce ministère dans l’Eglise devrait être très exactement semblable au Sien.

11 Par exemple, lorsque l’ombre de ma main… Si je n’ai jamais vu ma main, en voyant l’ombre, en quelque sorte, elle… Elle devient diffuse au fur et à mesure que la main s’éloigne. Mais au fur et à mesure qu’elle s’approche, le négatif et le positif s’unissent, au point où ils deviennent la même chose. Et c’est exactement à ce moment-là que l’Eglise et la Parole doivent être Un, comme Jésus et Dieu étaient Un, exactement. Les…
Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Et Christ, l’Oint de la Parole, devra de même être dans l’Eglise, afin d’accomplir toutes choses. Et c’est la Pierre de faîte qui vient sur le dernier âge de l’Eglise, le… Non pas l’âge de Laodicée, c’est donc un appel à en sortir, une Epouse sortant d’une église, l’Eglise sortant d’une église, en d’autres termes, juste comme Il a appelé une nation hors d’une nation en Egypte. Et maintenant, nous vivons en ce jour-là ; et nous sommes reconnaissants de ces choses glorieuses que nous avons vues.

12 Eh bien, demain après-midi, le Seigneur voulant, ce sera la fin de ces services, cette partie du service. Nous allons consacrer complètement cela à la prière pour les malades. Et tout celui qui veut qu’on prie pour lui peut venir prendre une carte de prière, afin de passer dans la ligne de prière. Eh bien, la raison pour laquelle nous donnons ces cartes de prière dans ces réunions, c’est pour garder les gens en ligne. Et si donc vous ne le faites pas, ils vont simplement passer continuellement (Voyez-vous ?), et ils… Ainsi, ils… Nous leur donnons une carte de prière. Prenez une carte de prière, entrez dans la ligne, et vous verrez… Croyez et vous verrez la gloire de Dieu se manifester. Ça sera glorieux.

13 Et maintenant, nous vous remercions pour tout ce que vous avez fait, cet accueil remarquable que nous ont réservé ces frères prédicateurs et les autres. Eh bien, demain c’est dimanche, et ces églises seront ouvertes. Il n’y aura pas de service ici demain matin. Il y aura l’école du dimanche. Et vous les visiteurs… J’ai moi-même des amis ici qui – qui sont avec nous dans le groupe, et certains sont venus ici en provenance de ma ville pour être avec nous.
Eh bien, ce sont eux qui sponsorisent cette série de réunions. Ils croient en ce genre de réunions. Et si j’habitais ici dans cette ville, je serais membre de l’une de leurs églises. Certainement, car ils croient la même chose que je crois. Et je serais membre de l’une de leurs églises, si j’habitais ici.

14 Et vous qui avez donné votre vie à Christ cette semaine, et qui n’avez pas une église où vous vous sentez chez vous, pourquoi ne leur en parlez-vous pas ? Ils croient cette même Chose, sinon ils ne seraient pas assis ici pour représenter Cela. Voyez-vous ? Ainsi, maintenant, vous – vous… trouvez-vous une bonne – une de ces bonnes églises demain, et allez-y. Et je suis convaincu qu’ils vous feront du bien. Ils vous aideront. Ils vous aideront à croire. Et si vous n’avez pas encore été baptisé, demandez-leur de vous baptiser. Si vous n’avez pas encore reçu le Saint-Esprit, renseignez-vous auprès d’eux à ce sujet, et ils vous aideront à recevoir Christ, et ils vous conduiront tout au long du chemin jusqu’à Son retour. Maintenant, que le Seigneur bénisse chacun de vous.
Et maintenant… Vous savez, on dit que les presbytériens se lèvent et se rassoient toujours. Moi, je ne suis pas un presbytérien, mais je crois absolument que quand on lit la Parole, on devrait se tenir debout, parce que c’est un honneur qu’on rend à Dieu quand on se lève. C’est comme lorsque nous saluons le drapeau, ou que nous jurons fidélité au drapeau, ou que sais-je encore.

15 Et maintenant, pour ce soir, comme texte à lire, j’ai choisi un passage des Ecritures dans l’Evangile de saint Luc, chapitre 7, à partir du verset 36. Et, eh bien, j’ai médité toute la semaine sur une – une – une pensée qui m’est venue à l’esprit, pendant que j’étais en route, pour ici, sur le dévoilement du Dieu Tout-Puissant. Mais après que j’ai terminé à examiner mes Ecritures et tout, je me suis retrouvé avec environ vingt pages de notes. Ainsi, je n’aurais jamais assez de temps pour terminer cela ici. Je me suis donc dit qu’il me faudrait changer cela ce soir, c’est donc ce que j’ai fait. Et je crois que c’est la volonté du Seigneur que je dise ces choses.

16 Maintenant, Saint Luc, chapitre 7, verset 36 : …Un pharisien pria Jésus de manger avec lui. Jésus entra dans la maison du pharisien, et se mit à table. Et voici, une femme pécheresse qui se trouvait dans la ville, ayant su qu’il était à table dans la maison du pharisien, apporta un vase d’albâtre plein de parfum, et se tint derrière, aux pieds de Jésus. Et elle pleurait ; et bientôt elle les mouilla de ses larmes, puis les essuya avec ses cheveux, les baisa, et les oignit de parfum. Le pharisien qui l’avait invité, voyant cela, dit en lui-même… : Si (Souvenez-vous, non pas à haute voix ; en lui-même) : Si cet homme… était prophète, il connaîtrait qui et de quelle espèce est cette femme qui le touche ; car elle est une pécheresse. Jésus prit la parole, et lui dit : Simon, j’ai quelque chose à te dire. – Maître, Parle, répondit-il. – Un créancier avait deux débiteurs ils devaient… : l’un devait cinq cents deniers, et l’autre cinquante. Comme ils n’avaient pas de quoi payer, il leur remit à tous deux leurs dettes. Lequel l’aimera le plus ? Simon répondit : Celui, je pense, auquel il a le plus remis. Jésus lui dit : Tu as bien jugé. Puis, se tournant vers la femme, il dit à Simon : Vois-tu cette femme ? Je suis entré dans ta maison, et tu ne m’as point donné d’eau pour laver mes pieds ; mais elle, elle les a mouillés de ses larmes ; et les a essuyés avec ses cheveux. Tu ne m’as point donné de baiser ; mais elle, depuis que je suis entré, elle n’a point cessé de me baiser les pieds. Tu n’as point versé d’huile sur ma tête ; mais elle, elle a versé du parfum sur mes pieds. C’est pourquoi, Je lui dis… je te le dis, ses nombreux péchés lui ont été pardonnés : car elle a beaucoup aimé. Mais celui à qui on pardonne peu aime peu. Et il dit à la femme : Te péchés te sont pardonnés. Ceux qui étaient à table avec Lui se mirent à dire en eux-mêmes : Qui est celui-ci, qui pardonne même les péchés ? Mais Jésus dit à la femme : Ta foi t’a sauvée, va en paix.

17 Prions. Seigneur Jésus, cette histoire a eu lieu depuis tant d’années. Mais c’est une histoire vraie, car elle est écrite dans les pages de notre Bible, et nous savons qu’elle est vraie. Et maintenant, nous n’essaierions d’aucune manière de décrire cela de nouveau ce soir, mais nous voudrions que Tu nous aides à apporter ceci comme un message ce soir aux gens, afin qu’ils voient que – que Tu es toujours le même Seigneur Jésus. Et nous réclamons Tes bénédictions sur nous tous, étant donné que nous sommes un peuple nécessiteux. Nous avons besoin de Toi, Seigneur.
Et ce soir, nous croyons que même si nous Te voyions ouvrir les yeux des aveugles, faire entendre les sourds, et faire marcher les boiteux, et – et que nous Te voyions ressusciter cinq personnes d’entre les morts à des moments différents, dans des pays différents, avec les attestations des médecins à l’appui… Mais cependant, Seigneur, je crois que la chose la plus malade que je connaisse sur cette terre ce soir, c’est le Corps de Christ, l’Eglise. Elle est très malade. Guéris-la ce soir, Seigneur.
Cette partie qui s’est assemblée ici, ce – ce groupe de gens qui séjournent ici à – à Tampa, cet aimable groupe de gens, Seigneur, guéris chacune de leurs plaies ce soir. Que l’Esprit nous accorde cela, car nous le demandons au Nom de Jésus, pour Son honneur et pour Sa gloire ici dans cette ville où nous séjournons. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

18 Maintenant, si je devrais appeler ceci juste pendant quelque moment… Et chaque soir, je n’essaye pas … Je dois vous présenter toutes mes excuses, car vous avez été si gentils, et je… Vous êtes un auditoire auquel il est si facile de prêcher qu’on ne sait tout simplement pas quand arrêter. Et cela fait savoir au prédicateur que vous vous nourrissez, ou plutôt vous recevez ce que je prêche. Et je suis venu auprès de vous lorsque j’ai été… Je suis plus fatigué que je l’ai été je ne sais quand.
Voyez, je ne me suis pas reposé depuis Noël. Je vais quitter immédiatement ici pour Tucson, pour commencer à nouveau les réunions ; de là, j’irai en Colombie Britannique pour baptiser toute une tribu d’Indiens qui, autrefois, étaient des catholiques, et que j’ai conduits à Christ l’automne passé, lorsque j’étais dans une partie de chasse. Et tous ces Indiens ont donné leurs coeurs à Christ à la suite de la guérison d’une mère, de l’une des mères, que les médecins… Personne ne pouvait la toucher. Elle était couchée là, mourante. Et ils m’invitent à y retourner aussitôt la glace fondue. Voyez, là-bas, la température atteint 29,4 degrés Celsius en dessous de zéro.

19 Et ainsi, la glace s’est fondue, je les prendrai et tous… C’est un groupe important de trappeurs et de chasseurs, ils vont tous me rencontrer tout le long de l’autoroute de l’Alaska, pour être baptisés et accepter Christ. Ils ont vu le Seigneur montrer une vision d’une certaine chose, l’endroit où se trouverait un certain ours, combien il pèserait, de quelle espèce il serait, et l’endroit où se trouverait un certain animal, comment… la personne qui serait là, et le vêtement qu’il porterait, et tout à ce sujet. Et je le leur ai dit avant que cela se soit accompli.
Et ils ont dit : « De tels animaux n’existent même pas dans cette contrée. » Et nous nous y sommes directement rendus. Et cela s’est accompli littéralement. Et les trophées sont suspendus aujourd’hui dans mon bureau. Voyez-vous ? Ils ont dit : « Nous aimerions aussi être baptisés. » Des hommes rudes, mais vous savez, Dieu a des semences partout.

20 Ce soir, mon sujet, c’est : Jésus ne manque à aucun de Ses rendez-vous. J’aimerais que vous gardiez cela à l’esprit pendant que nous apporterons la Parole. Et je – je ne serai pas trop long. J’aimerais que vous y réfléchissiez maintenant, que – souvenez-vous, un jour vous devrez rencontrer cette Personne qui est présente parmi nous ce soir.

21 Eh bien, ç’a dû être presqu’au coucher du soleil, que cette scène dont nous parlons ce soir a commencé. Ç’a dû être vers le coucher du soleil. Et ce messager avait couru toute la journée, peut-être pendant deux ou trois jours, cherchant à trouver Jésus. Il est peut-être parti de Dan jusqu’à Beersheba, car Jésus, dans Son ministère, Il pouvait prêcher à un endroit, accomplir des signes et des prodiges, et les gens se rassemblaient tous là ; puis, Il se rendait ailleurs. « Il faut que j’aille dans l’autre ville », a-t-Il dit.
Et ce messager avait passé un temps difficile. Peut-être qu’il était allé à Capernaüm, et les gens lui ont dit : « Eh bien, Il a quitté ici il y a une semaine. Nous ne savons pas exactement où Il est allé, mais Il est allé ailleurs. » Et, il… Oh ! il était fatigué. Il avait les cheveux trempés de sueur, les jambes couvertes de poussière et imprégnées de sueur ; et… lorsqu’il est entré dans la réunion où Jésus prêchait.
Et Jésus était aussi fatigué. Il avait prêché toute la journée ; sa bouche était devenue sèche à force de parler. Et Ses mains ont commencé à trembloter, et ses yeux étaient fatigués, alors que le soleil commençait à se coucher.

22 Et il voulait voir Jésus. Il avait un message pour Lui. Et maintenant, Jésus avait autour de Lui douze hommes qui tenaient les gens éloignés de Lui, car ils se rueraient sur Lui. Et ainsi ils… (Je vais présenter cela sous forme d’un drame, pour que tout le monde comprenne.) Et ainsi, nous trouvons là-dedans que les gens qui suivaient Jésus… Il a dû venir, disons qu’il est allé auprès de Philippe. Et peut-être que Philippe a dit quelque chose comme ceci : « Monsieur », ou plutôt « jeune homme », nous aimerions certainement vous permettre de rencontrer le Maître, mais – mais Il est très fatigué, et nous – nous devons vraiment veiller sur Lui, car Il – Il continue simplement jusqu’à en arriver à s’écrouler. Et dernièrement, nous avons été dans bien des réunions et autres, jusqu’à… Je suis désolé, je ne pense pas que nous puissions vous le permettre. »
Mais Il dit : « J’ai – j’ai ici une note de la part d’une personne très importante dans le monde religieux. Et c’est une invitation pour votre Maître, ce qui sera une grande – une chose honorable si – s’Il peut y aller. Et il faut que je Le rencontre ; en effet, j’ai été enjoint de Lui amener cette note et de veiller à ce qu’Il l’obtienne personnellement. »

23 Ainsi, finalement, ils – ils l’ont conduit auprès du Seigneur Jésus. Et pendant qu’Il le regardait, le Seigneur Jésus, peut-être ayant quitté Son endroit (la chaire) à partir duquel Il prêchait, l’endroit que les disciples et les autres Lui avaient préparé pour prêcher, tandis qu’Il regardait, eh bien, Il a observé le jeune homme. Il a dû l’aimer. Et le jeune homme Lui a dit : « Je suis en – en mission, Monsieur. Il y a un homme de très haut rang là-bas dans telle ville. Et c’est un homme d’entre les pharisiens, qui sont de la religion la plus stricte. Et il est un – il offre un – un dîner, de grandes festivités, un grand banquet, et il veut que vous veniez pour être l’Invité d’honneur. Et il est… Plusieurs aimeraient assister à ce banquet, mais il vous a choisi. Et depuis trois jours, j’ai cherché à vous rencontrer à travers cette contrée. Et j’étais certainement content d’être arrivé ici, Monsieur, et de vous remettre cette note venant de – de sa part.»

24 Et Il a reçu la note et l’a lue. Et nous voyons que ce pharisien avait – avait organisé une fête, et – et L’avait invité à aller là-bas pour être un Invité d’honneur chez lui. Ainsi, Jésus s’étant arrêté pendant quelques instants, et ayant regardé le jeune homme… Et cependant peu importe à quel point Il est occupé, toutefois vous ne pourrez jamais L’inviter sans qu’Il ne vienne. Il viendra, peu importe la situation.
Il a dit : « Dites à votre – à votre maître que J’y serai. Je serai là telle date et à telle heure. »
Et le messager a dû sourire, étant satisfait, il est retourné, dévalant la colline pour rapporter la bonne nouvelle à son maître, comme quoi il avait réussi à faire parvenir le message à la Personne désirée.

25 Qu’avait-il, ce messager ? Comment serait-ce possible ? Etait-il conscient de ce qu’il avait fait ? C’était peut-être la première fois dans sa vie de se tenir dans la Présence de Jésus, pourtant il n’a même pas demandé le pardon de ses péchés. Il n’a jamais – il n’a jamais saisi l’occasion. Oh ! combien il en est de même des gens d’aujourd’hui. Bien des fois, ils – ils réalisent qu’ils sont dans Sa Présence, mais ils ne demandent jamais pardon. Eh bien, cela… Il... peut-être qu’il ne lui était plus jamais offert une autre occasion [du genre], et il a rejeté la dernière occasion qu’il avait pour demander pardon. Comment avait-il donc pu faire cela ? Comment ce garçon pouvait-il donc être emballé par le message de son maître, qu’il devait apporter, au point de manquer de demander pardon dans la Présence du Fils de Dieu ? La chose entière était devenue une question d’affaire.

26 Et, vous savez, c’est pareil à ce que les gens font aujourd’hui. L’Eglise… Christ est devenu une – une – une affaire, ou – ou – ou une affaire sociale pour adhérer à l’église, et afin d’occuper simplement une… dans une position sociale un peu meilleure pour vos affaires et autres. Et vous émergez dans les voisinages. Il n’est pas question de – de venir se repentir réellement, comme un – un pécheur devrait le faire. Bien des fois, dans l’église, les gens s’amènent droit dans la Présence du Christ et se retournent pour faire la chose irréfléchie exactement comme l’avait fait ce messager.
Oh ! il aurait dû tomber à genoux et… lorsqu’il a d’emblée réalisé que – que c’était de Lui qu’il s’agissait. Et il aurait dû dire : « Maître, j’ai un message pour Toi. Mais d’abord, j’aimerais Te demander de me pardonner. » Voilà ce qu’aurait été l’approche correcte. Et ensuite, s’il y avait une affaire à traiter, cela devait être traité après. Mais il devait d’abord mettre sa propre âme en ordre avec Dieu.

27 C’est la raison pour laquelle je pense que tant de fois la guérison devient un échec, ou elle devient une guérison de profession. Car pour commencer, les gens ne sont pas prêts pour la guérison ; ils ne veulent pas confesser leurs fautes. La Bible déclare : « Confessez vos péchés les uns aux autres et priez les uns pour les autres. » Mais nous ne sommes pas disposés à le faire.
Si nous pouvons considérer la guérison, et aller de l’avant, et retourner pour faire ce que nous faisions, les gens accepteraient cela. Mais lorsqu’il s’agit vraiment de venir premièrement se mettre en ordre avec Dieu, les gens ne veulent pas le faire. Et c’est la raison pour laquelle cela jette un – un mauvais – l’effet d’une douche froide sur la guérison divine. Nous voyons tant de gens qui entrent comme cela, et ressortent, et qui ne… Et Dieu connaît tout sur ces choses.

28 Eh bien, nous pourrions nous dire que cet homme a fait quelque chose de très irréfléchi. Nous pourrions penser : « Si seulement je pouvais être à sa place. Si seulement je pouvais monter devant Son Trône, pour – pour Lui apporter un message, la première chose que je ferais… » Que feriez-vous ? Seriez-vous intéressé à ce que votre organisation vous a envoyé là-bas à découvrir, ou seriez-vous en train de regarder ça et là pour voir comment le ciel est décoré ? Ou est-ce que dans Sa Présence, la première chose que vous diriez serait : « Seigneur Dieu, pardonne-moi, un pécheur » ? Ce serait la chose correcte à faire.

29 Eh bien, pendant que Jésus regardait le garçon, comme il s’en allait, quelque chose Lui est peut-être venu à l’esprit… Pourquoi ce garçon n’a-t-il pas fait cela ? La raison était qu’il n’a pas réalisé qui c’était. Puis-je dire ceci, non pas de manière sacrilège, puis-je dire ceci, non pas parce qu’il s’agit de cette réunion, ou de n’importe quelle réunion, mais je pense que c’est ce qui se passe aujourd’hui. Les gens n’en sont pas conscients. Ils voient l’Ecriture parfaitement identifiée. Mais ils ne comprennent pas de Qui il s’agit. Ils peuvent voir quelque chose, et ils diront : « Oh ! ç’a été merveilleux. C’était bien. Je – je… » Mais vous ne réalisez pas ce que c’est. Dans le cas contraire, les gens se repentiraient, pleurant et poussant des cris. La ville aurait un tel réveil, que la moitié d’entre vous se seraient enfermés avant le matin. C’est vrai, si nous réalisions ce que c’est. Et, bien des fois, nous passons à côté et nous ratons l’occasion du fait que nous ne nous rendons pas compte.

30 Je ne pense pas que ce garçon se soit vraiment rendu compte. Il avait été élevé aux côtés de ce pharisien, qui était un – un grand chef, un prince, ou – ou un religieux. Et il avait été élevé à ses côtés, et – et – et il a simplement opté pour sa religion. Et ce pharisien s’était – s’était moqué de Jésus, et L’avait ridiculisé, ou ils Lui ont fait quelque chose du genre, comme ils… en ce jour-là. Et il s’en était simplement débarrassé. Ce n’était qu’un message ordinaire qu’il avait à transmettre. Il s’était simplement tenu là. Et il était dans Sa Présence, c’est tout ce dont il s’est contenté, cela ne représentait rien pour lui. Mais s’il avait réalisé ce que c’était, ce garçon aurait pu ressusciter d’entre les morts aujourd’hui, et s’asseoir cette semaine dans cette réunion, il aurait fait quelque chose à ce sujet. Il aurait un témoignage qui nous aurait secoué tous. Mais il n’en était pas conscient.

31 Eh bien, il y a quelque chose qui cloche là, dans cette scène. Il n’y a pas… Il y a quelque chose d’anormal, non seulement du fait que Jésus regardait ce garçon s’en aller fatigué et épuisé, mais dans toute cette scène, il y a quelque chose qui cloche. Ces pharisiens haïssaient Jésus. Et pourquoi devraient-ils L’inviter comme Invité d’honneur alors qu’ils Le haïssaient ? Ce pharisien avait un (comme le dit la vieille expression des joueurs à l’argent) – il avait une idée derrière la tête. Il avait plus d’un tour dans son sac, car ils haïssaient Jésus. Et je crois que Jésus s’en était tout de suite rendu compte.
Vous voyez, les gens ont certainement des choses en commun. Ma mère avait un adage qu’elle utilisait souvent : « Les oiseaux de même plumage volent ensemble. » Vous ne verrez pas – vous ne verrez pas les buses et les colombes manger ensemble. Elles sont – elles sont… L’une est une charognard. Et la colombe ne pourrait pas manger ce que mangent les buses, parce qu’elle n’a pas de bile. Elle – elle ne pourrait pas le digérer.
Et vous ne verrez pas les croyants et les incroyants marcher ensemble, à moins que ça soit dans un certain but. Il y a quelque chose – quelque chose qui cloche. Ce gars avait plus d’un tour dans son sac. Il voulait en jouer un à Jésus.

32 Maintenant, considérez les gens, prenez par exemple les jeunes gens, les adolescents, ils n’aiment pas côtoyer les vieillards, car ils – ils ont entre eux les jeunes des choses en commun. Les jeunes couples mariés ont des choses en commun. Les vieillards n’aiment pas tellement côtoyer les enfants. Ils – ils ont des choses en commun. Quand vous voyez une petite fille s’accrocher tout le temps à la grand-mère, eh bien, c’est qu’il y a – il y a là quelque chose qui cloche. Il y a un grand écart d’âge. Soit elle est la chérie de la grand-mère, soit la grand-mère a un sac de bonbons quelque part. Voyez-vous ? Il y a – il y a – il y a un truc quelque part. Moi-même j’ai un petit-fils, et je le sais. Il y a un petit truc quelque part. voyez-vous ? Et quand vous la voyez s’accrocher à la grand-mère, c’est que la grand-mère a un – un sac de bonbons ou quelque chose du genre.

33 Ainsi, ce pharisien avait une idée derrière la tête. Et tout cela s’était passé dans une réunion de ministres, où ils s’étaient tous rassemblés. Et ils avaient débattu de la question concernant cet Homme qui se disait Prophète. Et ils ne croyaient pas qu’Il était Prophète, car il ne pouvait pas comprendre comment un homme qui ne s’accordait pas avec eux dans toute leur doctrine pouvait être un prophète. Et ainsi, dans cette réunion de ministres, ils avaient conclu qu’Il n’était pas Prophète.
Et ce vieux pharisien allait leur prouver qu’Il n’était pas un prophète. Le pharisien allait le – le – le prouver et démontrer devant l’assemblée, et à tous les gens de cette ville, qu’Il n’était pas un prophète, avant même qu’Il ne puisse visiter la ville. Jésus n’avait jamais été dans cette ville auparavant. Ainsi, avant qu’Il ne vienne, il allait L’exposer. Oh ! Cet esprit est encore vivant ; il allait L’exposer, faire quelque chose pour faire obstacle à la réunion qu’Il aurait pu tenir là-bas.

34 Ainsi, nous voyons qu’il s’est dit : « J’organiserai un dîner et j’inviterai tous ceux des villes avoisinantes. Et ensuite, nous prouverons qu’Il n’est pas un prophète. Nous le prouverons. » Et ainsi, ce pharisien s’était peut-être dit qu’en faisant cela, il aurait – il aurait un petit … Peut-être qu’il deviendrait quelque temps après un ancien ou quelqu’un du genre. Il aurait – il aurait – il aurait vraiment fait bonne impression à son groupe. Il allait ridiculiser le Seigneur Jésus au banquet, prouver qu’Il n’était pas un prophète ; Il le mettrait quelque part dans une situation difficile. Alors lui deviendrait un grand homme parmi eux, il deviendrait un homme important.

35 Maintenant, nous découvrons que ce messager est retourné pour annoncer à son maître : « Je L’ai trouvé. Il a promis de venir. Et Il sera ici ; en effet, je le dis d’après la façon dont Il a réagi. Il – Il sera ici. » Très bien.
Et maintenant, le pharisien a attendu le temps fixé. Et il savait à quel moment organiser ce banquet, et à quel moment tout était parfaitement en ordre. Dans notre petit drame de ce soir, nous pourrions nous dire que – qu’il a organisé ce banquet en un temps où les raisins étaient mûrs. Si vous avez déjà été en Palestine pendant la saison de raisins, ou même ici en Californie, lorsque ces grosses grappes de raisins sont rouges et mûres, dans tout le pays, la vallée est vraiment pleine de – de cette bonne et douce odeur que répandent ces raisins. Il savait simplement à quel moment organiser cela correctement. Ainsi, il avait choisi cette période et ils ont fixé un certain jour où il allait organiser cette fête.

36 Finalement, le temps arriva où la fête devait avoir lieu, et il a invité tous ceux qu’il pouvait inviter à venir, toutes les célébrités, et toutes les associations, et autres, tous les clubs de la ville, dont il était membre. Ils allaient tous se rendre à ce grand et beau palais. Celui-ci était en surplomb. C’était un palais remarquable dans la ville. Et le temps arriva où cette fête devait avoir lieu. La cour était certainement bien préparée, et toutes les tables étaient dressées, et la salle de fête était prête.
Et ensuite… Maintenant, il va falloir qu’il s’occupe de – de ses invités à leur arrivée. N’importe quel hôte fera cela. Ainsi, il a dû engager quelques valets d’écurie, car certains de ses hôtes viendraient – ou plutôt certains de ses invités viendraient sur des chariots, et d’autres chevauchant des mulets, et d’autres encore marchant à pieds. Ainsi, quiconque organise une – une… organise un banquet doit se préparer à recevoir ses invités. Ainsi, le pharisien avait simplement tout apprêté, il a préparé tous ses serviteurs, il a amené les valets d’écurie là où ils pouvaient s’occuper de chevaux, apprêter tout le fourrage et d’autres histoires pour eux, et ensuite il avait un aubergiste, ou plutôt un portier, qui devait récupérer les invitations (Car on – on ne pouvait pas venir à moins d’être invité) – il devrait récupérer les invitations. Il avait les noms de tous les invités. Et à leur arrivée, leurs noms étaient identifiés, et ainsi ils pouvaient entrer.

37 Ensuite… Regardons juste pendant quelques instants ce que – ce qu’il devait faire. J’ai été en orient (et peut-être plusieurs d’entre vous y ont déjà été), et j’ai observé comment ils font cela. C’est – c’est vraiment frappant. Et remarquez donc, lorsque tout est préparé et que les invités franchissent la porte, d’abord le – le portier leur demande qui ils sont. Et ils disent qui ils sont. Il consulte la liste et y voit le nom. Puis, il vérifie cela. Que fait-il après cela ? Il prend son bâton, le place dans un coin ; le – le garçon d’étable prend le cheval si l’invité est à pied, ou plutôt s’il est à cheval, et le portier place le cheval dans une étable.

38 Eh bien, et puis ensuite, l’invité entre dans une salle. Et là-dedans, il y a un groupe de – de gens qui s’occupent de lavage des pieds, les laquais, comme on les appelle. C’est le travail le moins payant, celui du laquais qui s’occupe du lavage des pieds.
Et pensez-y ; et nous pensons être quelque chose ; or notre Seigneur s’est identifié sur la terre à un laquais qui s’occupait du lavage des pieds. C’est exactement ce qu’Il a fait. Et ensuite, nous pensons être quelqu’un d’important. Nous courrons à une école pour acquérir un peu d’instruction, et… nous apprenons à utiliser des termes pompeux, nous en revenons, portant un – un complet ; puis, nous sortons là et nous voulons être appelé Docteur, Révérend, ou un autre titre.

39 Il n’y a pas longtemps, j’étais dans un grand musée et je regardais la valeur d’un homme qui pesait cent cinquante livres [68 kg. – N.D.E.], combien d’éléments chimiques il y avait dans son corps. Savez-vous combien il vaut quand il est complètement décomposé ? Il vaut quatre-vingt quatre cents. Puis vous mettez un chapeau de dix dollars au-dessus de quatre-vingt quatre cents, un manteau de vison de cinq cents dollars et vous redressez votre nez. S’il pleuvait, vous vous noieriez. Et vous continuez donc à prendre soin de ces quatre-vingts quatre cents (C’est vrai), pensant être quelqu’un. Et vous ne prenez pas soin, ou vous n’agissez pas en conséquence, au sujet de cette âme qui vaut dix millions de mondes. Voilà la différence, à quel point nous pouvons être imprudent…

40 Eh bien, ce laquais qui s’occupait du lavage des pieds, devait leur laver les pieds. Maintenant, dans le… quand vous voyagez en Palestine, le vêtement qu’on porte en Palestine, c’est une robe. Celle-ci descend jusqu’en bas. Et puis, le sous-vêtement descend simplement jusque vers le mollet ici ; ça, c’est le vêtement qui servait de sous-vêtement. Et comme ils… Les animaux et les hommes empruntent le même sentier. Naturellement, les animaux marchent le long de piste ; et – et comme ils utilisent le même sentier… Et – et les animaux soulevaient la poussière en marchant, et cette poussière puait. Et la poussière se collait aux pieds des gens pendant qu’ils transpiraient. Et leurs pieds étaient chaussés de sandales. Et ils étaient tout en sueur, et – et devenaient humides et gluants.
Et ensuite, cette odeur qui se dégageait des endroits où les animaux avaient traversé la piste… Le vêtement palestinien se balançait comme une jupe et descendait jusqu’en bas, ça ramassait cette poussière, qui passait en dessous, et se répandait sur les pieds et sur les – les jambes des gens. Et ces derniers étaient vraiment… sentaient l’odeur de la piste, l’odeur de l’endroit où les animaux avaient marché. Ainsi, en entrant dans une – dans une maison comme celle de ce pharisien (Ils envoyaient chercher en Perse ces grands et beaux tapis, et – tout), eh bien, vous allez vous gêner de vous présenter devant votre hôte, et – et – et avec toute cette mauvaise odeur comme cela.

41 Ils avaient donc une certaine façon de s’en occuper ; ils avaient un laquais qui s’occupait de lavage des pieds, et il restait là. Et aussitôt que vous entriez et que votre nom était enregistré, les garçons d’étable prenaient les chevaux, ou vos animaux, et les amenaient derrière pour les nourrir (un groupe de garçons). Et ensuite, le portier vous reconnaissait à partir de la liste qu’il avait dans sa main. Et puis, vous vous apprêtiez pour être reçu par le laquais qui s’occupait de lavage des pieds.
Alors, vous entrez. Vous soulevez les pieds, il enlève les sandales, il les dépose à un endroit, afin de reconnaître où vous êtes. Et de l’autre côté, par ici, il avait une petite paire de chaussures. Et après avoir terminé de vous laver les pieds, débarrasser vos pieds de toute la poussière et autre, pour vous rafraîchir, il vous faisait porter cette petite chaussure, comme vous le voyez de nos jours dans les avions, lorsque vous traversez – vous allez outre-mer. On vous donne cela la nuit, quand vous… C’est comme ces petites choses que les femmes portent lorsqu’elles n’ont pas de bas. Parfois, je vois ma femme et ma fille les porter. Elles… C’est un petit… Je – je ne sais pas comment on appelle cela, mais vous savez, c’est juste comme la partie inférieure d’une chaussette, vous savez, et – et vous les portez aux pieds. C’est quelque chose de ce genre, seulement, c’est un peu plus haut, car vous n’aimeriez pas prendre vos vieilles sandales sales et marcher avec sur ces tapis là, à l’intérieur. Ainsi donc, on vous lavait les pieds. Ensuite, la chose suivante qu’on faisait… Vous portez ces petites bottes, comme je les appellerais.

42 Et puis, la chose suivante, c’est qu’un homme se tenait là avec une serviette sur son épaule, et il tenait du parfum dans sa main. C’était une huile parfumée. Eh bien, les rayons directs du soleil de la Palestine vous frappent sur le cou, ils vous provoquent simplement des ampoules. Et une autre chose, cette poussière qui monte leur arrive parfois jusqu’à la barbe et aux cheveux. Cet homme se tient là, avec du parfum, qui se trouve dans son petit vase. On vous le verse dans les mains, et vous vous en frottez le visage, et le cou. Et ensuite, vous prenez cette serviette et vous vous essuyez, et vous arrangez vos cheveux.

43 Maintenant parfois… Ce parfum est très rare ; en effet, avec ça, vous sentez bon. Bien des fois, c’est extrait des rosiers sauvages là, dans les montagnes. Vous avez vu une rose après la tombée du pétale. Et puis, ça porte une petite… quelque chose comme une petite pomme qu’on écrase pour en extraire ce parfum. On raconte que la reine de Seba, quand elle est allée chez Salomon, elle a amené une grande quantité de ce bon parfum pour le lui offrir. C’est un parfum très rare. C’est très difficile d’obtenir cela là, dans les montagnes.

44 Et puis, après s’être essuyé la barbe et le cou, avec cette serviette et qu’ils étaient devenus propres, ils étaient alors prêts pour – pour rencontrer l’hôte – pour rencontrer celui qui les avait invités. Vous voyez, ils ne pouvaient pas se sentir à l’aise en entrant avec toute cette poussière. Voilà pourquoi ils faisaient ce lavage des pieds. Voyez-vous ? Ils – ils – ils sentaient mauvais, et ils devaient se faire laver les pieds. Ils ne pouvaient pas se sentir à l’aise, ayant porté ces vieilles sandales lourdes sur ces beaux tapis. Ils se gênaient. Mais alors, après que leurs pieds étaient lavés, ils étaient bien propres. L’invité sentait le parfum de cette huile qui était répandue sur lui – c’est ce qu’ils appellent leur oindre la tête d’huile – et ils s’en frottaient le visage, et puis ils s’essuyaient. Après cela, ils étaient tout frais.
Eh bien, la chose suivante pour l’invité, c’est qu’il rencontre son hôte, celui qui l’a invité, il désire le rencontrer. Maintenant, il n’aurait pas l’envie de le rencontrer avec toute cette poussière sur lui. Après tout cela, il est bien propre et prêt.

45 Alors, l’hôte le rencontre à la porte. Et ils ont une pratique très étrange, et elle est encore d’usage dans certaines églises – une salutation avec un baiser. Ainsi, ils prennent une main, la passent comme ceci, ils s’embrassent les uns les autres (C’est entre les hommes), en – en s’entourant des mains comme ceci, et ils se donnaient un baiser par le cou. Et lorsque l’hôte vous donne un baiser, vous êtes le bienvenu. C’est le baiser de bienvenue.
Eh bien, vous n’aimeriez pas que votre hôte vous embrasse avec toute cette poussière, et autre sur – sur vous. Ainsi, il vous faut être bien propre avant d’être embrassé en signe de bienvenue. Mais, oh ! une fois qu’on vous a donné le baiser de bienvenue, vous êtes un véritable frère. C’est tout. Vous pourriez… Aujourd’hui, l’unique chose que vous pourriez faire, comme par exemple aujourd’hui quand vous entrez dans une maison et que vous vous sentez chez vous ; vous êtes l’un d’entre eux. Il vous a donné un baiser de bienvenue.
Vous souvenez-vous de Judas qui a embrassé Jésus (Voyez-vous ?) en hypocrite ? Voyez-vous, en effet s’il L’a embrassé, c’était un bon accueil. C’était un baiser amical, non pas sur les lèvres, mais c’était au cou, il leur donnait un baiser au cou.
Bon. Nous remarquons alors que vous pouviez entrer. Si vous vouliez aller (comme ce serait le cas aujourd’hui) prendre un très gros sandwich au congélateur, vous étendre sur le lit pour le manger, vous vous sentez simplement chez vous. « Vous êtes le bienvenu. Entrez. » C’est … Vous vous sentez alors à l’aise. Vous vous sentez simplement un des membres de la famille à ce moment-là, car vous êtes à l’intérieur.

46 Eh bien, vous bénéficiez de tous ces soins, vous êtes parfumé, vous êtes bien propre, vous êtes embrassé en signe de bienvenue. Et ensuite, vous entrez, vous vous serrez alors la main à la fête. Vous rencontrez vos amis. L’hôte vous a embrassé pour vous faire entrer ; ainsi, vous êtes – vous êtes libre maintenant. Vous vous sentez simplement comme l’un d’entre eux. Vous avez été invité. Vous avez été lavé. Vous avez été embrassé en signe de bienvenue, et maintenant vous êtes l’un d’entre eux. Vous entrez et vous communiez.
Maintenant, je me représente que presqu’à ce moment-là l’odeur de cet agneau rôti qui était posé là sur des barbecues là-derrière, ainsi que l’arôme provenant de ces raisins et autres, se répandaient à travers toute cette contrée. On peut imaginer les pauvres se tenant là tout autour de la clôture, à saliver. Ils n’étaient pas invités, c’était simplement les célébrités qui y avaient été invitées. Ainsi, la – la fête battait maintenant son plein. Tout allait très bien – la fête battait son plein.

47 Maintenant, je me représente le pharisien et tous ses amis en train de trinquer, prenant des liqueurs fortes et du vin de la meilleure qualité qu’il y avait en Palestine en ce temps-là. En effet, ils étaient riches, et ils pouvaient bien s’en procurer. Et ils… tout le monde, les femmes, leurs belles femmes ornées de pierres précieuses étaient là, dans un coin fraternisant, assises tout autour sur les divans et autre, selon la – la coutume de ce temps-là, et les hommes étaient là à prendre leurs pains grillés, conversant, et le sacrificateur et tous les rabbins et les autres passaient de bons moments. Et la – la – la fête battait son plein.
Et alors Jésus, quoi qu’Il soit occupé au possible et que Son programme soit chargé, Il ne manque jamais à Ses rendez-vous. Vous pouvez compter sur cela. Il ne manque pas à Ses rendez-vous.

48 Maintenant, regardons dans la salle et voyons ce qui se passe. Je peux voir le pharisien trinquer en disant : « Rabbi, vous savez quoi ? » Et la grande conversation s’est poursuivie, les hommes d’affaires parlaient de leurs affaires, et tout. La fête est – la fête est maintenant dans une bonne ambiance, cette grande fête.
Mais regardez assis là, contre le mur, Jésus dont on ne faisait aucun cas. Il avait répondu à Son rendez-vous. Il est venu. Il tient toujours Sa Parole. Il accomplit toutes Ses promesses. Mais remarquez-Le. Il est assis là-bas, sale. J’ai du mal à le dire. Cela me tue de le dire. Mais Ses pieds étaient sales. Il n’avait pas été parfumé. On ne lui avait pas donné un baiser pour lui souhaiter la bienvenue, bien qu’Il ait été invité. C’est pareil à certains de nos réveils modernes. (Les Français L’appellent « Jésus ». « Jésus » avec les pieds sales.)

49 Pourriez-vous imaginer cela ? Il avait été invité et Il était venu. Et Il était là. Il y est entré d’une certaine manière. Et Il était assis là comme faisant tapisserie, on ne faisait pas cas de Lui. Il n’était pas le bienvenu là comme c’est le cas dans certains de nos réveils modernes, dans nos fêtes, dans nos soi-disant rassemblements religieux. Il n’était pas le bienvenu. Personne ne faisait cas de Lui. Ils étaient trop occupés à d’autres choses, quoi qu’Il ait été invité. Mais Il n’était pas le bienvenu quand Il est venu.
Qu’est-ce qui est arrivé à ce laquais qui s’occupait du lavage des pieds ? Comment a-t-il jamais manqué cette opportunité ? J’aurais aimé avoir l’occasion qui lui a été offerte. Oh ! la la ! Si j’avais su qu’Il viendrait, Je me serais tenu là à L’attendre. Je – je me serais préparé pour cela. Comment a-t-il fait cela ? Eh bien, ne le condamnons pas trop, car nous pourrions faire la même chose sans le savoir. Voyez-vous ? Il L’a manqué. Oh ! la la !

50 Remarquez. Il vient aussi aujourd’hui répondre à nos appels. Il vient au milieu de nous. Je n’aimerais pas dire ceci, mais je – je dois le dire. Et comme nous le comprenons, Il est assis là au milieu de nous, tout aussi sale qu’Il était à l’époque devant les gens. C’est tout à fait vrai : on Le traite de saint exalté et de tous les noms possibles. Et cependant, nous crions pour un réveil. Et Il viendra. Et quand Il vient, nous Le traitons pratiquement comme ils firent à l’époque. Et si quelqu’un se lève dans l’Esprit de Dieu et s’écrie : « Amen. » Ou s’il pousse un cri ou autre chose du genre, quand il se trouve que Jésus passe, eh bien, le… il sera excommunié. Eh bien, ils pensent que c’est vraiment une honte, un déshonneur pour l’église, un déshonneur pour les gens ; alors que c’est Jésus Lui-même qui passe.
Or, nous Le voyons venir et identifier Sa Parole, et agir exactement comme à l’époque ; et aujourd’hui, les gens disent : « C’est un diseur de bonne aventure, c’est de la télépathie mentale, ou un mauvais esprit. » Devant les gens, Il est tout aussi sale qu’Il l’était, assis là : « Jésus, la Parole de Dieu.» Et nous ne faisons rien à ce sujet.

51 Nous sommes trop intéressés à notre organisation ou à notre – notre position sociale. Nous avons honte d’être appelés de Son Nom. Nous avons réellement honte de Lui. Ils avaient honte de Lui parce qu’Il était sale. Les invités ne Le connaissaient pas. Ils avaient honte de Lui parce qu’Il était sale.
C’est ce qui se passe aujourd’hui. Ils ont encore honte de Lui, car ils entassent au possible toute la poussière sur Cela, ils appellent Cela saint exalté, et que sais-je encore qu’ils peuvent penser. Personne ne fait rien à ce sujet.
Il était assis là, les pieds sales, faisant tapisserie à cette fête, faisant tapisserie dans un rassemblement religieux. Il est invité, nous Lui demandons de venir pour un réveil. Et quand Il vient, nous Le traitons de la même manière qu’ils firent à l’époque. Il vient et s’identifie, mais personne ne veut rien avoir affaire avec Lui.

52 S’Il pouvait accomplir une espèce d’astuce, ou – ou – ou accomplir une espèce de – de miracle… Comme Il l’a fait devant Pilate… Pilate, c’est l’unique occasion qu’il avait jamais eue ; il Lui posa des questions, il voulait voir s’accomplir quelque chose, il voulait… « Montre-nous un signe. » Il aurait dû se repentir. C’est ce que ce monde cruel, destiné à l’enfer devrait faire ce soir, se repentir de ses péchés. C’est ce que ces membres d’église devraient faire : se repentir de leur incrédulité, prendre position pour Lui. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et Il s’identifie juste comme à l’époque. Et les gens aujourd’hui adoptent la même attitude que ce pharisien, la même sorte d’attitude : Le laisser s’asseoir là, après L’avoir invité.
Cependant, ils ne veulent pas de Lui ; ils L’invitent, on dirait, simplement pour la forme. Il le sait. Nous L’avons traité aujourd’hui, exactement comme ils le firent à l’époque, au lieu de Le laver, d’ôter Son… l’opprobre, au lieu d’essayer de vous tenir là et dire : « Vous êtes en erreur. » C’est la Parole de Dieu rendue manifeste. C’est ce qu’Il a promis. Il a dit qu’Il répandrait son Esprit dans les derniers jours. Nous vivons dans les derniers jours. Au lieu de cela, nous nous tenons simplement en retrait comme ils firent. Nous avons peur de prendre position.

53 Que se passerait-il si l’un d’entre eux s’était levé en disant : « Celui-ci c’est Jésus de Nazareth. Je crois qu’Il est un Prophète de Dieu ?» Savez-vous la raison pour laquelle ils n’ont pas fait cela ? C’est parce qu’ils ne croyaient pas qu’Il était un Prophète, et ils ne le croient toujours pas aujourd’hui. Ils pensent qu’Il est un éducateur. Ils pensent qu’Il est une dénomination. Ils ne savent pas qu’Il est toujours un prophète. C’est pour cette raison qu’ils doutaient de Lui. C’est toujours pour la même raison qu’ils doutent de Lui aujourd’hui. Personne n’est prêt à prendre position pour Lui. Ils disent simplement : « Eh bien, je n’ai rien avoir affaire avec Lui. » Voyez-vous ? « Je fais partie de l’église. Voilà mon pasteur, et tous sont assis juste là. Je suis une bonne personne.» Et « Jésus » avec des pieds sales, personne ne se souciait de Lui. La Bible même…

54 Or, nous nous avançons et nous nous serons la main, nous faisons inscrire notre nom dans le registre. Et le... si les méthodistes ne veulent pas de nous, nous irons chez les baptistes. Si ces derniers nous mettent à la porte, nous irons chez les nazaréens. Si les unitaires nous mettent à la porte, nous irons chez les binitaires. Si les binitaires nous mettent à la porte, nous irons chez les trinitaires. Nous ne devons supporter rien de cela, ils sont tous empesés. C’est exactement de la même manière que nous…
Et lorsque Jésus vient, nous ne Le reconnaissons même pas. Ça nous importe peu. C’est comme ça qu’ils agissent. Et cependant, nous crions : « Viens Seigneur Jésus. Viens Seigneur Jésus », et Il vient. Et que faisons-nous ? La même chose qu’eux firent. Pourquoi ? Si quelque chose est dit et qu’ils l’acceptent, quelqu’un d’autre entendra cela et se moquera d’eux. Aussi Le laissent-ils s’asseoir là, sale. Ils traitent cela d’un esprit impur.
Souvenez-vous, un jour Jésus leur a dit, quand ils ont dit : « Cet homme fait ces choses par Belzébul », Il leur a dit : « Vous dites cela contre moi, cela vous sera pardonné. Mais un jour le Saint-Esprit viendra pour faire la même chose, et une seule parole contre Cela ne sera jamais pardonné. » Nous y voilà : « Jésus » avec les pieds sales.

55 Pourriez-vous imaginer cela ? Pourriez-vous imaginer que les gens qui prétendent aimer Dieu, soient si plongés dans leurs crédos, leurs dénominations et leurs ismes ? Jésus a dit : « Par votre tradition… Vous avez annulé la Parole de Dieu. Et Il était là, et la Parole était en action, car Elle était faite chair, et il était prouvé exactement qu’Il était le Christ. Et les gens, à cause de leurs traditions, ne voulaient pas La laisser agir sur les autres. C’est ce qu’Il faisait, essayant de démontrer cela. Ils … Voyez-vous ? Ils ne croyaient pas qu’Il était un prophète, et cependant la Bible avait annoncé qu’Il serait un prophète. La Bible… Moïse a dit : « Le Seigneur votre Dieu vous suscitera un Prophète » : Deutéronomes 18 : 15. Et la Bible a prédit exactement ce qu’Il ferait. Et Il est venu là, accomplissant cela parmi ces gens.

56 Et aujourd’hui, nous Lui collons un nom tout aussi sale que celui qu’Il avait à l’époque. On laisse les gens dire des choses contre cela, comme par exemple : « Les jours des miracles sont passés. Ça n’existe pas », alors que la Bible dit qu’ « Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Et nous avons toujours honte de nous tenir là et de dire quelque chose à ce sujet. Nous avons honte de notre témoignage, selon lequel nous – nous prétendons croire.
Au lieu de Le laver, d’essayer de Le laver avec nos larmes de joie, montrant qu’Il est ici, nous Le laissons simplement assis là, sale. Je ne veux rien avoir affaire avec cela. Je ne veux pas collaborer dans quelque chose de pareil, ni m’y impliquer. Voyez-vous ? Voilà. C’est la même bande de pharisiens, simplement sous un autre nom.

57 Nous Le laissons encore assis là, comme cela, pour la même raison. Nous ne croyons pas qu’Il est prophète. Nous avons honte de cela. Pourquoi ? C’est pour la même raison. Nous ne croyons pas cela. Les gens ne… non, non. Il peut venir faire tout ce qu’Il veut. Ils sont établis dans leurs voies. Et ça ne sert à rien d’essayer de perdre votre temps avec eux. Et savez-vous que la Bible dit qu’ils seraient ainsi ? Exactement. La Bible dit qu’ils seraient ainsi, tièdes, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Voyez-vous ? C’est vrai.
Nous nous joignons à ce groupe de gens raffinés et instruits qui se tiennent là, et nous avons des grandes soirées, et nous avons de belles églises et de belles décorations. Et puis, Jésus-Christ peut y entrer, mais vous Le laissez assis là, sale. La Parole peut être rendue manifeste au milieu de nous, mais nous continuons toujours notre chemin, nous laissons les gens en parler. Oh ! là là !

58 Et vous savez, pour aller vite avec notre histoire, changeons de scène ce soir. Tournons notre caméra dans une autre direction, là, loin, vers une ruelle, une vieille petite ruelle sale, très haut là au sommet, vers une vieille petite pièce qui avait de barreaux. La porte s’ouvre, et une femme en sort. Eh bien, elle n’avait pas beaucoup d’estime parmi les gens. C’était une pécheresse, et elle gagnait sa vie par la mauvaise voie. Ainsi, on la voit descendre ce vieux petit escalier grinçant. Elle emprunte la ruelle, elle la longe en passant à côté des poubelles, et elle sort dans la rue.
« Eh bien, il n’y avait personne là. » Ainsi, elle commence à se demander ce que… « Oh ! Je me souviens. » « Ce pharisien-là, le pasteur pharisien, offre un grand banquet. Tout le monde est là-bas. Les affaires ne marcheront pas aujourd’hui. »

59 Ainsi, elle descend la rue sans se presser, et comme elle commence à avancer, elle se dit : « Eh bien, il me faudra simplement attendre jusqu’à ce que cette fête soit terminée. » Et elle gagnait sa vie par la mauvaise voie, ainsi elle descend la rue. Et quelques instants après, son pauvre petit estomac affamé a senti l’odeur de cet agneau rôti. Elle s’est dit : « Oh ! la la ! Ça sent bon. Je n’ai jamais eu quelque chose comme cela à manger de ma vie. Mais elle avait peut-être été abandonnée dans la rue lorsque… par les parents. »
Vous savez, bien des fois nous pensons à la délinquance juvénile. Moi je pense plus qu’il s’agit de la délinquance des parents. On devrait enseigner aux enfants à prier, et à servir Dieu, au lieu que la maman se rende quelque part à une partie de cartes (à sa partie religieuse de cartes) et que le papa se rende quelque part à un parcours de golf, et que la soeur sorte avec le cadet là, dans la rue, courant tout autour et … Peut-être que les choses auraient été différentes s’ils avaient un autel de prière à l’ancienne mode, la Bible au lieu de jeux de cartes, et s’ils avaient jeté cette télévision à la porte il y a longtemps. Cela aurait pu être très différent. Autrefois, pour vous tous, c’était un acte répréhensible que de vous rendre au cinéma. Le diable nous a vraiment eus ; il l’a carrément introduit dans notre maison.

60 Elle était affamée. Elle a senti cette odeur. Elle s’est dit : « Oh ! la la ! Ça sent bon, je me demande vraiment comment un morceau de viande d’un agneau rôti goûterait vraiment dans la bouche d’un homme. Je – je ne sais pas comment ça goutte. Je crois qu’il me faut simplement m’approcher. »
Eh bien, elle ne pouvait pas s’approcher trop d’eux, car elle était une femme impure. Et eux, ils étaient pharisaïques. Voyez-vous ? Ils étaient tous membres de l’église. Ainsi ils… Elle ne pouvait pas s’approcher de l’endroit où ils étaient. Elle était considérée comme une pécheresse.
Ainsi, comme elle s’approchait de plus près pour jeter un coup d’oeil par là tout autour, elle a vu tous ces gens qui se tenaient là, et vous savez, salivant pendant qu’ils mouraient d’envie de manger de cette viande, vous savez, en regardant cette viande du bélier – ou plutôt de cet agneau en train d’être rôti là, et tous ces mets délicieux et autres qu’on amenait là. Quels moments merveilleux !

61 Et elle s’est mise à regarder à travers la foule, comme cela, et son regard est tombé sur Lui. « Qui est Celui-là ? Il a des pieds sales. Je me demande Qui est ce… Quelqu’un pourrait-il me le dire ? Dites donc, voudriez-vous… » Celui-ci se détourne très rapidement, il ne veut rien avoir affaire avec elle. Elle est une pécheresse. Et ainsi, finalement, elle demande à quelqu’un d’autre, peut-être à une dame qui croyait et qui regardait dans la même direction. Elle a demandé : « Madame, voudriez-vous… Pardon. Mais voudriez-vous… Qui est Celui-là qui est assis là ? Comment a-t-Il… Cette Personne… »
« Eh bien, dit-elle, tu sais Qui c’est ? As-tu entendu les gens parler de ce Jésus de Nazareth, Celui qui est censé être un prophète ?
– Oh ! oui. Est-ce Lui ?
– C’est Lui.
– Eh bien, mais Il n’a pas été lavé. Si je comprends bien, tout le monde est censé être lavé avant d’entrer là et ensuite être oint. Regarde-Le. Eh bien, ce n’est pas correct. »

62 Elle avait une occasion qui lui avait été offerte. Elle s’est rappelé une histoire que quelqu’un lui avait racontée. Une autre femme de son métier, une fois, là-bas, en – en Samarie, dans la ville de Sychar, avait été pardonnée de tous ses péchés. Et elle s’est rendue compte que c’était peut-être une occasion qui lui était offerte.
Mais comment va-t-elle maintenant L’atteindre ? Elle a vu qu’Il était dans le besoin, et elle voulait Le servir, mais elle ne pouvait pas L’atteindre. C’est à peu près ce qu’il en est. Ainsi, elle s’est demandé : « Que puis-je faire ? Il n’est pas oint ; Ses pieds sont sales. Personne ne fait cas de Lui. Oh ! si seulement je pouvais entrer là. » Ça, c’est un véritable coeur repentant. « Si seulement je pouvais arriver là. »
Eh bien, elle pense – saisit… Son esprit saisit quelque chose. Savez-vous ce que je pense que je ferais ? Je sais. Elle descend la rue en toute vitesse, elle prend la ruelle, elle monte ce vieux petit escalier grinçant et ouvre la porte ; elle entre là, elle saisit... un bas par sa partie supérieure, vous savez, elle tire cela, et elle compte le montant d’argent qu’elle a.

63 Elle s’est dit : « J’ai … Est-ce suffisant pour acheter du parfum ? Voyons si c’est suffisant. Il y a vingt pièces de deniers romains. Peut-être que c’est suffisant. Mais un instant. Je ne peux pas le faire. Il est un prophète, et Il saura d’où j’ai eu cet argent. Il saura comment je l’ai eu. Je ne peux simplement pas le faire. Ainsi, elle a peut-être mis ça de côté.
Et après qu’elle a mis ça de côté, quelque chose a continué à parler à son coeur. «Mais veux-tu Le laisser assis là, sale comme cela ? Veux-tu laisser l’unique Homme qui peut ôter tes péchés assis là, sale, alors que tu peux Lui rendre service ?»
Ainsi, elle se dit en elle-même : « Qu’Il le sache ou pas, j’irai. Et elle est descendue là, dans la rue et est entrée en courant dans un magasin où se trouvait un petit monsieur au nez crochu, qui était assis là, et qui lui a demandé : « Eh bien, que veux-tu ici ? »
Elle a répondu : « Je cherche la meilleure qualité du parfum d’albâtre que vous avez. Non pas le moins cher. Je veux le meilleur parfum.» Elle avait une raison spéciale.
Et c’est ce que nous devrions faire. Nous devrions Lui donner le meilleur de nous-mêmes, tout ce que nous sommes, notre vie de jeunesse, non pas attendre jusqu’à ce que nous soyons vieux et mourants. Donnons-Lui le meilleur que nous avons.
Et là, elle a pris le meilleur parfum. Et l’homme est monté pour voir, et il a dit : « Voyons, combien ça coûte. »
Pour commencer as-tu l’argent ? Il la connaissait aussi. Ainsi, Il a dit… Oui, elle avait l’argent. « Où vas-tu donc avec ça ? »
J’en ai besoin pour une occasion spéciale. Ainsi, la voilà partir.

64 Maintenant, elle n’a pas d’invitation. Mais comment va-t-elle entrer ? Mais d’une manière ou d’une autre, si vous voulez accomplir un service pour Jésus, Il frayera pour vous un chemin pour entrer.
D’une manière ou d’une autre, elle y est entrée. Et Jésus était toujours assis là. Il se trouve que, quand elle est entrée là, son coeur battait la chamade, elle s’est dit : « oh ! là là ! et s’Il arrivait qu’Il me rejette ? » Elle pouvait penser à beaucoup de choses : Et s’Il s’avançait vers moi et qu’Il me disait : « Dis donc, toi espèce de femme impure, que fais-tu ici dans ma Présence ? » Ne sais-tu pas que Je suis le Fils de Dieu ? Tu ne devrais pas te tenir ici dans ma Présence ? Elle allait presque avoir une crise cardiaque. Et elle s’est dit : « Que puis-je faire ? Mais il me faut parvenir jusqu’à Lui. Je ne pourrais pas laisser passer cette occasion. Il se peut que ça soit la dernière occasion qui m’est offerte. »

65 Il se peut que ça soit aussi la dernière occasion pour vous. Elle a baissé les yeux, et elle a commencé à avoir le coeur gros. Elle – elle savait qu’elle était dans Sa Présence. Il y a quelque chose qui se passe quand vous entrez dans Sa Présence. Elle a remarqué que les larmes ont commencé à lui couler sur les joues, et elle se tenait là, tremblotant, cette boîte à la main. Et – et elle est tombée à Ses pieds. Et elle s’est dit : « Je ne saurai pas lever les yeux. Je suis si coupable et sale que je ne saurai lever les yeux. Ainsi, elle s’est mise à sangloter ; les larmes ont commencé à tomber sur les pieds de Jésus. Et elle a commencé à les laver, comme cela, avec ses mains, à essuyer – essayant d’essuyer les larmes de Ses pieds et lavant les pieds de Jésus avec ses larmes.

66 Et quelques temps après … Elle n’avait pas de serviette pour – pour Lui essuyer les pieds. Ainsi, ses cheveux pendaient jusqu’en bas, aussi a-t-elle commencé à – à Lui essuyer les pieds avec les cheveux de sa tête. Nos soeurs ne pourraient-elles pas une fois faire cela aujourd’hui ? Il leur faudrait faire le poirier pour faire cela (Voyez-vous ? Certainement. C’est vrai), nos soeurs aujourd’hui. Je me demande si vous… Je me demande si les femmes réalisent que Dieu tient toutes Ses promesses. Je me demande si vous réalisez qu’il vous est totalement impossible d’y entrer comme cela. Il tient toutes Ses promesses. Vous rendez-vous compte de ce que vous faites, quand vous faites cela ? Vous êtes en train de renier une vertu. La Bible dit que si une femme se coupait les cheveux, ce serait même vulgaire pour elle de prier. Et elle déshonore son mari en faisant cela.

67 Et souvenez-vous, c’était une femme qui a brisé un des commandements de Dieu ; c’est ce qui a causé tout ceci. Pensez-vous que celui qui en brise un entrera ? Pensez-y. Quelquefois, peut-être que les ministres n’ont pas assez de courage pour vous le dire. Cette fois-ci vous allez l’entendre. C’est la vérité.
Quelqu’un a demandé : « Pourquoi ne laissez-vous pas libres ces femmes ? » Un grand homme m’a dit cela il n’y a pas longtemps. Il a dit : « Eh bien, elles croient que vous êtes un prophète. Enseignez-leur comment recevoir le Saint-Esprit, et comment recevoir ces très grandes choses, et comment devenir des prophétesses, et ainsi de suite. J’ai dit… « Leur enseigner de plus grandes choses ? »
J’ai dit : « Comment puis-je leur enseigner l’algèbre alors qu’elles ne veulent même pas apprendre leur ABC ? » Cela montre que l’extérieur exprime ce qui est à l’intérieur. Mais vous continuez à le faire de toute façon. Pourquoi ? Vous n’en êtes pas conscients.

68 La voilà. Avec ses cheveux, elle s’est mise à laver les pieds de Jésus, et à les sécher. Elle avait terriblement peur. Et quelque temps après, elle a ramassé cette bouteille de parfum, elle l’a ouverte. Et elle a essayé de cogner dessus et elle l’a ouverte, et elle a déversé cela sur Ses pieds. Elle pleurait. Et chaque fois qu’elle pleurait, elle se penchait pour baiser Ses pieds. Elle a agi comme une folle.
Lorsque vous entrez dans Sa Présence, cela vous fait agir comme un fou. Moi-même j’étais devenu comme un fou. Tout homme qui entre dans Sa présence, qui croit en Lui et qui a foi en Lui, cela le fera agir comme un fou. Le jour de la Pentecôte, lorsqu’Il est venu sous la forme du Saint-Esprit, ils ont agi comme des fous. Et lorsque vous croyez vraiment, que vous êtes conscient que c’est votre occasion, et que vous êtes dans sa Présence, vous en êtes convaincu.

69 Elle faisait [Frère Branham produit un son pour imiter un baiser répété. – N.D.E.], elle baisait Ses pieds, et pleurait, elle lavait et essuyait Ses pieds et les baisait continuellement. Vous savez, si Jésus avait bougé un pied, elle se serait relevée d’un bond et serait sortie de là en courant. Mais, vous savez, Il est resté simplement assis là et l’a laissé faire.
Vous savez, si vous voulez faire quelque chose pour Lui, Il vous laissera le faire. Il se peut que cela soit inopportun, mais Il vous laissera le faire de toute façon. Voyez-vous ?
Et Il… Elle Lui rendait un service, elle Lui lavait les pieds. Et Il était simplement assis là à la regarder. Elle avait peur de lever les yeux, car elle avait peur qu’Il l’enverrait promener. Et voyez, elle lavait Ses pieds. Elle avait vu que c’était l’occasion de faire quelque chose pour Lui. Et elle était simplement…
Eh bien, voyez-vous, lorsqu’Il – lorsque Jésus s’est retourné pour parler au pharisien, Il a justifié cette femme par ses oeuvres. Or quand Il a justifié la femme, Il l’a justifiée par sa foi en disant : « Ta foi t’a sauvée. » Il a montré au pharisien ce qu’étaient ses oeuvres, car vos oeuvres expriment votre foi.

70 Maintenant, laissez croître vos cheveux. Eh bien, voyez, cela exprime ce que vous croyez ou ce que vous ne croyez pas, c’est la Parole de Dieu. Toutes les Ecritures dans la Bible sont la vérité. Pourquoi faites-vous cela ? Eh bien, remarquez. Il y a trop de Hollywood parmi les Pentecôtistes, c’est ce qui se passe. Maintenant, nous découvrons… C’est ça la vérité ; Il y a simplement trop d’Hollywood là-dedans. Vous regardez ces choses, vous en faites votre modèle.
Une dame m’a parlé il n’y a pas longtemps, disant (Elle était vêtue d’une petite drôle de robe serrée)… J’ai dit : « Pourquoi n’enlevez-vous pas ça, vous qui êtes une soeur ? »
Et elle a répondu : « Eh bien, Frère Branham, on ne fabrique plus d’autres vêtements. »
J’ai dit : « On fabrique des machines à coudre, et on a des tissus. » Voyez-vous ?

71 C’est simplement vous qui le voulez. Je vais vous dire pourquoi. Laissez-moi vous dire, soeur… [L’auditoire applaudit. – N.D.E.] Merci. Un de ces jours, vous aurez à répondre d’avoir commis adultère. Vous direz : « Eh bien, Frère Branham, je suis fidèle à mon mari au possible. »
« Je suis fidèle à mon petit ami. »
Il peut bien en être ainsi. Mais Jésus a dit : « Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur. » Et si vous vous êtes présentée ainsi là dehors et que ce pécheur développe de telles pensées à votre sujet, parce que vous vous êtes présentée de cette manière, au jour du jugement, lorsqu’il répondra d’avoir commis adultère, qui sera coupable ? Pensez-y. C’est tout a fait vrai. Oh ! vous les femmes ! Revenez, mes soeurs, revenez à Christ. Mes frères, faites de même. Et vous les hommes qui laissez vos femmes faire cela, et qui vous dites des hommes, chef de la maison… Remarquez. Nous sommes dans un temps terrible, mes amis.

72 Et nous remarquons que cette petite femme qui était là à baiser Ses pieds, à laver Ses pieds, et à les essuyer avec les cheveux de sa tête… Et tout à coup, il s’est trouvé que ce vieux pharisien, qui était là au coin, a remarqué cela. Oh ! la la ! Sa colère indignée est montée. Et son grand menton a gonflé, et on dirait que son visage allait exploser. Oh ! la la !
Il a dit : « Tenez. Voyez-moi ça. Regardez là-bas. » Et il s’est dit dans son propre coeur, dans son – dans son esprit ; il a dit : « Si cet Homme était un prophète, Il connaîtrait quel genre de femme est en train de Le toucher. »

73 Voyez s’Il est un prophète, ou pas. Voyez, Il connaissait les pensées qui étaient dans son coeur. Et tout à coup, Il a bougé. Et la petite femme s’est levée pour regarder en haut, ses yeux regardant fixement. Jésus a regardé et a dit : « Simon, a-t-Il dit, Je – Je – J’ai quelque chose à te dire (Oh ! la la ! Voici ce qu’il y a avec toi, Simon.). J’ai quelque chose à te dire. Tu m’as invité ici. Je suis venu sur ton invitation. Tu m’as invité. Et lorsque Je suis arrivé à la porte, tu n’as pas lavé Mes pieds. Et lorsque Je suis entré, tu n’as pas oint Ma tête. Tu M’as laissé entrer, sale. Tu ne M’as pas donné un baiser de bienvenue, bien que tu M’aies invité.
Mais cette femme, ici, peu importe ce qu’elle est, elle M’a lavé les pieds avec ses larmes ; elle les a essuyés avec les cheveux de sa tête, et elle a oint Mes pieds, et elle a constamment baisé Mes pieds depuis qu’elle est là. » Il s’est rendu compte s’Il était un prophète ou pas.
Puis, Il a dit : « Simon, J’aimerais que tu considères quelque chose. » Il a dit : « Quel genre de… J’aimerais te donner une parabole. Il a dit : « Celui à qui on pardonne beaucoup aime beaucoup. » Et Il lui a donné la parabole, et Simon Lui a répondu.

74 Remarquez. Simon ne Lui a pas donné quelque chose avec quoi se laver les pieds, mais Il avait la meilleure eau qu’il puisse y avoir. Pensez-y simplement. Les larmes d’un pécheur, repentant, lavant la poussière des pieds de Jésus : les larmes des yeux d’un pécheur lavant la poussière de Ses pieds. Oh ! vous hommes et femmes, ce soir, lorsque vous voyez l’opprobre sur l’Evangile, et comment nous sommes si formalistes, si nous pleurions à chaudes larmes, cela vous ferait enlever tout le maquillage de votre visage, et nous aurons l’air horrible quand nous sortons dans la rue. Que serez-vous quand vous ferez face aux portails du ciel là-bas ?

75 Et elle était là. Elle avait lavé Ses pieds, elle avait baisé Ses pieds, elle Le parfumait, et elle faisait tout ce qu’elle pouvait faire, car elle avait besoin du pardon. Et tout à coup, elle – elle s’est demandé ce qu’Il allait donc faire. Il avait dénoncé Simon, et cela lui est retombé. Sa déclaration selon laquelle Jésus n’était pas un prophète, avait été démentie ; Il l’était, Il était la Parole de Dieu.
Eh bien, il s’est tenu là avec une humeur noire. Il aurait saisi cette femme et l’aurait boutée hors de l’église. Mais elle avait obtenu ce qu’elle avait demandé. Amen. Peu importe ce que les autres disaient, elle a obtenu ce qu’elle avait demandé.

76 Eh bien, Il s’est retourné vers elle. Son petit coeur a commencé à battre la chamade. Maintenant, que va-t-Il dire ? Elle est là. Tous ses beaux cheveux lui tombaient en boucle jusqu’à la taille ici, et ses – ses yeux étaient striés de larmes, son visage et ses lèvres étaient pleins de graisse à force de Lui baiser les pieds après L’avoir oint de parfum. Elle avait certainement l’air bouleversé, avec ces gros yeux, qui regardaient pour entendre ce que Jésus allait dire. Jésus a dit : « Je lui dis que tous ses nombreux péchés lui sont pardonnés. » voilà. « Tous ses nombreux péchés lui sont pardonnés. »
C’est ce que j’aimerais entendre. Oh ! Voilà les Paroles dont j’ai besoin. Peu m’importe ce que disent les autres. Je suis prêt à me tenir dans sa dénomination, et déclarer qu’Il est la Parole de Dieu. Peu m’importe ce qu’ils disent. Laissez-les jeter n’importe quelle flétrissure qu’ils veulent sur cela, en Le traitant de lecteur des pensées, d’un diseur de bonne aventure, et que sais-je encore. Je suis prêt à ôter l’opprobre de Lui en Le baisant. C’est Sa Parole. Certainement. Il a promis cela. Il est tout autant la Parole aujourd’hui qu’Il était à l’époque. C’est ce qu’Il a dit.

77 Eh bien, mes amis, il se peut qu’il y ait des gens assis ici qui ne pourront pas être d’accord qu’Il est le Prophète. Il se peut que vous ne soyez pas d’accord qu’Il est Le Guérisseur. Mais il y a une chose sur laquelle tous les membres de l’église devraient être d’accord, c’est qu’Il est le Sauveur.
Et j’aimerais dire ceci avant de terminer. Il n’y a pas longtemps un ami à moi, un procureur, qui essayait de traiter le cas d’un homme et d’une femme qui allaient se séparer. Et le procureur était un bon gentleman chrétien. Il a dit : « Ne – ne vous séparez pas. » Il a tenté de son mieux de les empêcher de le faire. Mais en vain, ils étaient déterminés à le faire. Quelque chose leur est arrivé.
Et quelque temps après, il a dit : « Eh bien, si vous avez une maison là-bas, vous ferez mieux d’aller vous partager vos biens ; en effet, s’il – s’il vous arrive d’aller en ville, ces avocats et autres vont s’y mêler, vous savez ce qui va se passer. Ils vont s’accaparer tout cela. »
Ainsi, ils sont entrés dans les chambres pour se partager ce qu’ils avaient. Ils sont allés au salon. Ils se disputaient et se querellaient : « C’est moi qui ai acheté ceci », et « C’est moi qui avais ceci », ils sont entrés dans l’autre chambre et se sont partagé ce qui s’y trouvait.

78 Et finalement, ils sont montés dans le grenier. Ils avaient un – ils se sont souvenus qu’ils avaient une vieille malle là-bas. Ils y sont entrés, et ils se sont mis à dire : « Eh bien, ceci appartenait à ma mère », et « ça, c’était à ma mère », comme cela. Et ils se sont mis à fouiller la malle, tous deux étaient à genoux sur le sol avec cette malle ouverte, se partageant tout ce qu’ils pouvaient trouver, et ils ne pouvaient pas se mettre d’accord.
– Ça, ça m’appartient. C’est moi qui l’ai acheté. C’est moi qui ai travaillé.
– « Eh bien, c’est moi qui suis restée à la maison quand tu étais au travail. » Et Ils continuaient ainsi à se disputer.
Finalement, ils ont soulevé quelque chose d’autre, et tous deux ont saisi la même chose. Qu’était-ce ? Une petite paire de chaussures appartenant à un petit bébé qui était né de leur union, et que Dieu avait repris. Ils ne pouvaient plus se disputer. Ils avaient quelque chose en commun. Comme ils tenaient cela dans leurs mains, l’homme s’est souvenu que c’était elle la mère de ce bébé. Il s’est souvenu qu’elle était la mère ; elle s’est souvenue que cet homme était le père. Comme ils tenaient les petites chaussures dans leurs mains, ils se sont tirés l’un contre l’autre, ils se sont enlacés. Le divorce était annulé. Pourquoi ? Ils ont trouvé quelque chose qu’ils avaient en commun.

79 Il se pourrait que vous ayez été en désaccord avec moi cette semaine, de voir le Saint-Esprit entrer, confirmer Ses paroles et ces choses en rapport avec cela. Il se pourrait que vous ne soyez pas d’accord avec cela. Il se pourrait que vous ne soyez pas d’accord que les malades sont guéris. Mais nous avons une chose en commun ; c’est le Sang de Jésus-Christ qui nous sauve du péché. Voudriez-vous laver la saleté de Ses pieds ce soir ?
Inclinons la tête juste un moment. Souvenez-vous, Il tient chaque promesse. Il tient chaque promesse. Il a promis : « Même si vos péchés sont rouges somme le cramoisi, ils seront blancs comme la neige. » Tous vos péchés vous sont pardonnés, si seulement vous croyez.
Eh bien, avec nos têtes inclinées, je me demande combien ici voudraient lever la main et dire : « Frère Branham, j’aimerais… Pour le reste de ma vie, je n’aimerais pas Le laisser, assis là, et être humilié. Et j’ai – j’ai une occasion comme cette petite femme. J’aimerais, avec mon témoignage, ôter la poussière de Lui, de – de Son précieux Nom. » Voudriez-vous lever la main, et dire : « Priez pour moi, Frère Branham. J’ai – j’ai … Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien.

80 Maintenant, Père céleste, beaucoup, beaucoup de mains se sont levées juste en ce moment. Nous voyons que le Nom de Jésus-Christ a été foulé aux pieds. Et tout dans le ciel porte ce Nom-là. Tout sur la terre porte ce Nom-là. Chaque – chaque membre de l’Eglise, chaque membre du Corps de Christ est madame Jésus. Et nous prions, Père céleste, que nous voyions et que nous comprenions cela ce soir. Et puisse Ta grâce venir sur ces gens en ce moment, et pardonne chaque péché ; qu’ils sachent que Ta présence est ici maintenant, et qu’ils sachent que Tu es ici.
Que Ton Saint-Esprit nous enseigne tous maintenant, et que nous soyons pardonnés de tous nos péchés et de nos erreurs. Et puissions-nous être dès ce soir de nouvelles créatures remplies de Ton Esprit. Accorde-le. Puissions-nous être conscients de Ta présence. Car nous le demandons en Son Nom.

81 Et pendant que nous avons la tête inclinée, Je me demande ce soir… maintenant, je m’adresse aux pécheurs, aux membres d’églises, aux rétrogrades, et à tous ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit. C’est à vous que je m’adresse. Pourquoi les pharisiens ne L’ont-ils pas accepté ?
Nous continuons à L’appeler : « Oh ! Seigneur, veux-Tu venir ? » Quand votre bébé était malade, vous L’avez appelé. Il était sans doute miséricordieux. Lorsque vous étiez sur le point de connaître cet accident là-dehors, vous L’avez appelé. Il – Il vous a aidé à vous en tirer. Mais je me demande, je me demande vraiment, avec toutes ces choses que nous Lui demandons, et pour lesquelles nous L’invitons, et puis, lorsqu’Il nous rend visite comme cela, je me demande si nous n’avons pas simplement honte de dire : « Eh bien, j’ai été un membre d’une église, mais j’aimerais Le trouver dans le baptême du Saint-Esprit ce soir. J’ai besoin de Lui. J’ai besoin de Lui. Peu m’importe ce que le reste du monde dit à ce sujet, j’ai besoin de Lui. »

82 Voudriez-vous avoir le baptême du Saint-Esprit ? Si vous le voulez, je vais vous demander de faire quelque chose. J’aimerais que vous vous avanciez ici, juste ici où je me tiens maintenant. Venez juste ici et tenez-vous juste à ce parterre ici à côté de moi. Toute personne ici présente, toute personne qui n’est pas sauvée premièrement. Voudriez-vous vous avancer ici, et vous tenir ici juste une minute ? Si vous croyez qu’Il entend la prière, voudriez-vous venir ici, vous tenir ici juste une minute maintenant, pendant que nous chantons un couplet de ce cantique ? C’est quel chant encore ? Doucement et tendrement Jésus appelle. Très bien, avec nos têtes inclinées pendant que tout le monde prie, venez juste ici et tenez-vous ici, juste ici dans ce parterre par ici. Doucement et tendrement Jésus…. (Venez, le voulez-vous, mes amis, partout où vous êtes ?) Il t’appelle et … Jésus dans ces derniers jours, juste avant Son apparition sous la forme physique maintenant, assis avec les pieds sales, êtes-vous disposés à venir prendre votre position pour ôter l’opprobre de Son Nom ? Il appelle, ô pécheur,
Reviens à la maison !
Reviens à la maison… Ne voudriez-vous pas… ? Sortez vite, maintenant. Prenez votre décision. Venez juste en ce moment. Nous avons beaucoup de temps. Demain, c’est dimanche. L’école du dimanche ne commence qu’à neuf heures trente. Venez maintenant. … es fatigué, reviens à la maison ;
Instamment, tendrement… (Vous rendez-vous compte que Jésus est ici ?) Il appelle, ô pécheur, reviens à la maison !
Reviens à la maison… C’est vrai. Descendez du balcon. Nous vous attendrons. Approchez-vous, chacun de vous maintenant, et prenez place juste ici, maintenant juste… Ceci est … signifie votre vie.
Que se passe-t-il ? Regardez les tremblements de terre partout sur la terre, qui sont encore en train de secouer la terre. Regardez ce qui se passe partout. Le temps est proche. Et observez, la porte sera fermée sous peu, et vous crierez pour y entrer, et ça ne sera plus possible.

83 Il y a quelque temps, je parlais à une jeune femme. Je tenais une réunion dans une église baptiste, et ce soir-là, je lui ai demandé de venir à Christ. Et elle ne le voulait pas. Et puis par après, elle m’a rencontré dehors, et elle a dit : « Ne m’embarrassez jamais comme cela de nouveau. » Une année après, je passais dans la rue… C’était une jeune fille honorable. Et je passais dans la rue, et voilà qu’elle descendait la rue, son jupon dépassait de sa robe, elle fumait une cigarette. Elle était la fille d’un diacre. Et j’ai dit : Bonjour, là, n’es-tu pas… »
Elle a dit : « Salut, pasteur », dans un tel argot. « Salut, pasteur. »
Je lui ai dit : « N’as-tu pas honte de cette cigarette ? »
Elle a dit : « Hé ! voudriez-vous boire un petit quelque chose de ma bouteille ? » Elle était à moitié ivre.
Et j’ai dit : « N’as-tu pas honte de toi-même ? »
Elle a dit : « Venez ici. J’aimerais vous amener là où j’habite. »
J’ai dit : « N’es-tu pas à la maison ? »
« Non. »
J’ai dit : « Que se passe-t-il ? »
Elle a dit : « Buvez un petit rien de ma bouteille ; je vous dirai quoi. »
J’ai dit : « N’as-tu pas honte de toi-même de m’offrir à boire, ou à fumer ? »
Elle a dit : « J’aimerais vous dire quelque chose, pasteur. Souvenez-vous de ce soir où vous m’avez dit que c’était ma dernière chance ? »
J’ai dit : « Oui, je me souviens. »
Elle a dit : « Vous aviez raison. » Elle a dit : « Depuis lors, mon âme a été vraiment endurcie. »
Elle a dit… (Maintenant, voici la remarque. Cela me cause simplement des frissons sur le dos.) Elle a dit : « Je peux voir l’âme de ma propre mère frire en enfer comme une crêpe et me moquer d’elle. » Voudriez-vous entrer dans cet état ? Ne Le rejetez pas. Ainsi, juste en ce moment, voudriez-vous venir et vous tenir ici avec les autres ? Reviens à la maison, reviens à la maison, Vous Le rejetez, et c’est ce qui se passe. Souvenez-vous, vous Le rejetterez pour la dernière fois. ... Reviens à la maison ;
Instamment… Il ne manque à aucun de Ses rendez-vous. Vous en avez un avec Lui. Vous allez Le rencontrer soit au jugement soit ici. Il appelle, ô pécheur, reviens à la maison !

84 Vous savez, je suis très surpris. J’éprouve des sentiments très bizarres dans mon coeur. Je pensais aujourd’hui, quand je priais… J’avais un autre message que j’allais prêcher. Il m’a dit de faire cela. Il m’a dit de dire cela. Je pensais que toutes les femmes aux cheveux coupés se tiendraient ici à cet appel à l’autel. Voyez, vraiment vous ne faites que vous endurcir et vous éloigner. Voyez-vous ? Vous traversez cette ligne de démarcation (voyez-vous ?), comme vous n’écoutez pas la Parole de Dieu. Je me disais que cela arriverait certainement. Mais je pense qu’il est peut-être plus tard que je le pense réellement.
Souvenez-vous, le sang n’est pas sur mes mains. Je vous ai annoncé le conseil de Dieu sans en rien cacher. Souvenez-vous, il y a quelque chose à l’intérieur qui s’identifie à l’extérieur. Eloignez-vous de cela, ma chère soeur. Frère, prenez-la par la main et venez ici. Pourquoi ne pas – pourquoi ne pas être… Ne voudriez-vous pas devenir un véritable chrétien ? A quoi bon mener une vie à moitié, et vivre sous la condamnation ? Ne faites pas cela. Voyez, vous direz : « Eh bien, je – je… » Peu m’importe ce que vous avez fait. C’est à vos fruits qu’on vous reconnaît.

85 Je traverse constamment l’Amérique, et à chaque année que je la traverse, elle devient de plus en plus pire. Ainsi, je sais qu’il y a quelque chose qui cloche. Le jour de grâce est en train de passer. Ne laissez pas cela vous arriver ici à Tampa. Vous êtes ici dans une très grande ville fabuleuse où tout est plein d’éclat, juste comme Hollywood.
Le monde entier est devenu contaminé. Tout ce qui passe à la télévision et autres, ce sont de vieilles choses sales et vulgaires. Et vous essayez de prendre cela comme modèle. Ne voudriez-vous pas prendre Jésus comme modèle ? Ne voudriez… Pourquoi ne Le laissez-vous pas… Pourquoi n’écoutez-vous pas Sa Parole ? Ne voudriez-vous pas faire ces choses qui sont justes ? Combien ici diront sincèrement qu’ils reconnaissent ne pas avoir le Saint-Esprit, et qu’en s’examinant dans le miroir, reconnaissent qu’ils n’En ont pas ?

86 Non. Et considérez simplement votre propre vie, et la manière dont vous vous comportez. Non pas parce que vous êtes membre de l’église : « Je suis membre de l’église méthodiste, de l’église baptiste, de l’église pres… Je… » C’est très bien. Je n’ai rien à redire à cela. Mais je vous pose la question : « Connaissez-vous Jésus-Christ ? » Vit-Il en vous ? S’Il vit en vous, là Il s’identifiera. S’Il est là, Il est tenu de se faire connaître. Vous ne pourrez pas Le cacher, Il va se manifester. Si vous n’avez pas le Saint-Esprit, et que vous savez que vous ne L’avez pas, levez la main. Soyez assez sincères et dites : « Je n’ai pas le Saint-Esprit. Je sais que je ne L’ai pas. » Que Dieu vous bénisse pour cette sincérité. Dieu honorera cette sincérité. Si vous avez besoin du Saint-Esprit, voudriez-vous maintenant venir vous tenir ici avec les autres, ces pécheurs repentant ici ? Ne voudriez-vous pas venir en ce moment ? Venez vous tenir ici pendant que nous chantons cela de nouveau. Dites : « J’En ai besoin, Frère Branham. » Je vous dis qu’il faut ce… Il vous faudra L’avoir pour participer à l’enlèvement. C’est tout à fait exact. Maintenant, souvenez-vous-en. Croyez-vous que Dieu vous parle ? Croyez-vous que c’est Jésus-Christ ? Levez la main, si vous croyez, vous qui avez été cette semaine dans ces réunions, si vous croyez que c’est Christ. Très bien, alors votre place est à l’autel.

87 Et vous femmes, honte à vous. Vous hommes, honte à vous pour avoir laissé vos femmes faire cela, vous les hommes qui êtes présents ici et qui faites ces choses. Et vous, certains d’entre vous les ministres, à cause du pouvoir de ce dollar, au lieu de la Parole du Dieu Tout-Puissant, vous laissez cette assemblée entrer dans un tel état, tout simplement parce qu’une certaine organisation…
Vous lisez la même Bible que je lis. N’avez-vous pas honte de vous-mêmes ? Jésus avec les pieds sales. N’avez-vous pas le véritable courage chrétien pour vous lever et prendre position pour cela ? Il semble que vous devriez en avoir. Que Dieu soit miséricordieux.
Je prie Dieu d’envoyer le Saint-Esprit pour convaincre juste en ce moment, cela amènera cette assemblée à se rendre compte de là où elle se tient.

88 Etes-vous conscients que ceci est votre occasion ? Allez-vous faire comme ce messager, louper votre dernière occasion ? Allez-vous faire cela ? Ne le faites pas. S’il y a un doute quelque part, ou quelque chose de faux, prenez votre place juste ici. Prenez votre place. Voici votre place. Vous direz : « Eh bien, je n’ai pas besoin de … » Eux non plus n’en avaient pas besoin. Ils auraient pu aller là-bas Le voir assis. Ils auraient pu aller s’identifier. Mais cela était contre leur congrégation. Qu’en est-il de … Ce n’était pas contre Lui. Ça importait peu à cette petite femme. Elle savait qu’elle était une pécheresse. Elle a reçu le pardon.
Je ne sais pas ce qui s’est passé. Où sont-ils ce soir ? Où est cette femme ce soir ? Pensez-y, où est le pharisien ce soir, malgré qu’il fût religieux ? Donc si vous pouviez les entendre tous deux, là où ils sont, vous auriez certainement voulu prendre la place de cette femme à tout moment. Ainsi peu importe combien vous êtes religieux, si vous…

89 Jésus ne manque à aucun rendez-vous, à aucun commandement pour lequel vous aurez à répondre. Ainsi, vous feriez mieux de venir maintenant si vous n’avez pas le Saint-Esprit. C’est ce qu’Il vous a recommandé. Il a dit dans le Livre des Actes, Pierre l’a dit, il a dit : « Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de péché, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Et tant qu’Il continue d’appeler, Il donne toujours le Saint-Esprit.
Pendant que nous chantons de nouveau, voudrez-vous venir ? Maintenant c’est ma dernière fois. Souvenez-vous, Christ a été ici, et vous tous qui avez levé la main, Il a été identifié que c’était Lui et Sa Parole. Et tout au fond de mon coeur, ce Christ est attristé.

90 Une fois, Jésus S’est tenu à Jérusalem et a dit : « Jérusalem, Jérusalem, combien de fois ai-Je voulu vous rassembler comme une poule rassemble ses poussins. Mais vous ne l’avez pas voulu.» Et plusieurs fois, quand je suis venu au milieu de … C’est comme je vous l’ai dit ce matin au petit-déjeuner. Vous les braves gens de la pentecôte, et toutes sortes de gens, quand je viens parmi vous, le Saint-Esprit en moi me dit : « Combien de fois ai-Je voulu les rassembler ! Combien l’Eglise se tiendrait aujourd’hui dans Sa puissance ! Mais vous ne l’avez pas voulu. Voyez-vous ? Vous ne l’avez pas voulu.»
Ne voudriez-vous pas le faire maintenant ? Voici le moment. Rejetez tout fardeau, et le péché qui vous enveloppe si facilement. Courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte. Pendant que nous appelons une fois de plus, que tout le monde chante maintenant avec moi. Levez-vous et venez ici. Si vous n’avez pas reçu le baptême du Saint-Esprit, si vous êtes un pécheur, un rétrograde, peu importe ce que vous êtes, venez et prions ensemble. Voudriez-vous le faire maintenant ? Voici notre dernier appel. Doucement et tendrement Jésus appelle,
Il nous appelle, toi et moi,
Regarde aux portails où Il attend et observe.
Il vous observe toi et... Qu’arriverait-il si le pharisien était assis là derrière et s’il pouvait entendre cet appel à l’autel ce soir ? Que ferait-Il ? Reviens à la maison, reviens à la maison, Il a manqué son – son jour en péchant. Allez-vous faire la même chose ? Qu’arriverait-il si ce messager pouvait de nouveau se tenir devant Lui ? Que serait la première chose ? … à la maison ;
Sincèrement, tendrement, Jésus appelle,
Il appelle…
Reviens à la maison, reviens à la maison (Ô Dieu.)
… Toi qui es fatigué, reviens… Ces choses qui se passent aujourd’hui sur la terre vous inquiètent-elles, quand vous les apprenez ? Ou avez-vous dépassé ce point ? Y a-t-il encore un endroit sensible là à l’intérieur ? S’il y en a, venez. Laissez-Le entrer et prendre le contrôle là même. Il fera de vous une nouvelle créature. Vous quitterez ici, la personne la plus heureuse que vous n’avez jamais été. Il appelle, ô pécheur, reviens à la maison !

91 Avec nos têtes inclinées maintenant, fredonnons cela. [Frère Branham commence à fredonner. – N.D.E.] Ne voudriez-vous pas revenir à la maison maintenant ? Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Toi qui es fatigué, reviens à la maison,
ô rétrograde, reviens à la maison.
Instamment, tendrement… Etes-vous concerné ? Si vous êtes convaincu, alors vous êtes concerné. Mais si vous n’êtes pas encore convaincu que c’est Jésus, alors vous ne pouvez donc pas être concerné. … reviens à la maison ! Maintenant, vous ne pouvez pas beaucoup en parler juste ici en public, lorsque vous venez faire une confession.
Il y a quelque temps j’ai entendu une petite histoire. J’aimerais que vous puissiez écouter attentivement maintenant. Il y avait un homme appelé Danny Martin. Il a parcouru cette nation avec beaucoup de grands réveils. On déclare qu’un soir, il avait fait un songe qu’il était mort. Et il – il commençait à monter au Ciel ; quelqu’un est venu à sa rencontre. On lui a demandé : « Qui s’approche là? »
Et il a dit : « C’est moi, Danny Martin. » Il a dit : « Je suis un évangéliste. »
Le – l’homme qui était au portail a dit : « Voyons si ton nom se trouve ici dans le Livre. » Il a dit : « Ça n’y est pas. »
Danny Martin a dit : « Eh bien, j’étais un ministre. » L’homme lui dit : « Ça m’est égal ce que tu étais. Si ton nom n’est pas inscrit ici, tu ne peux pas entrer par cette porte. Elle est hermétiquement fermée, à moins que ton nom figure dans…?... Il faut que ton nom soit dans le Livre. »
Et il a dit : « Eh bien, que puis-je faire ? »
Il a dit : « Pour ton cas, si tu veux, tu pourrais en appeler au jugement du Trône Blanc de Dieu. Oh ! mes frères, mes soeurs, ne désirez jamais arriver là.
Ainsi, il a dit : « Je pense que je n’ai pas d’autre alternative que d’introduire un recours pour mon cas. » Ainsi, il a dit que finalement il a commencé à se diriger vers quelque part, il ne savait pas où il se trouvait.

92 (Voici le songe de cet homme.) Et il a dit : « Je suis entré dans une lumière. Elle sortait d’on ne sait où. Mais j’ai ralenti, et après quelques instants je me suis arrêté. Une voix s’est fait entendre, disant : ‘Qui s’approche de Mon Trône de jugement… de justice ?’ »
Il a dit : « C’est moi, Danny Martin. » Il a dit : « Je suis un évangéliste des Etats-Unis. » Il a dit : « J’ai – j’ai – j’ai – j’ai gagné des âmes, et je… On n’a pas voulu me laisser franchir la porte. »
Dieu a dit : « Très bien, si pour ton cas tu as introduit un recours pour comparaître devant Mon tribunal, a-t-Il dit, alors J’exige la justice. » Il a dit : « J’ai les commandements. » Il a dit : « Danny Martin, as-tu déjà menti dans ta vie ? »
Il a répondu : « Je croyais que j’avais été un homme fidèle, mais dit-il, dans la présence de cette Lumière, j’ai réalisé que j’avais dit certaines choses qui étaient louches. » Il a dit : « Oui, oui. J’ai dit des mensonges. »
Il a demandé : « As-tu déjà volé ? »
Il a dit : « Je me croyais honnête, mais j’ai donc fait certaines affaires… »

93 Attendez d’entrer dans la Présence de cette Lumière. Vous pensez que vous êtes parfait maintenant, mais attendez d’y parvenir. Essayez une fois de vous approcher avec des cheveux coupés, et en fumant la cigarette. Essayez simplement cela une fois. Voyez-vous ? Pensez-vous que je le dis pour le plaisir de le dire ? Je vous le prouverai ici à partir des Ecritures. C’est tout à fait vrai. Essayez de porter des pantalons, des shorts, vous découvrirez où vous en êtes, car la Bible dit que c’est une abomination aux yeux de Dieu. Essayez une fois cela. Voyez-vous ? Où en est votre conscience ?
Il a dit : « Eh bien, as-tu déjà fait telle ou telle chose ? »
« Oui », répondit-il.
« En plus, Danny, as-tu déjà péché ? »
Il a dit : « Oui, j’ai péché. »
Et il s’apprêtait à entendre (Il a dit qu’il semblait que ses os allaient se séparer des jointures.) – à entendre : « Eloigne-toi de Ma présence, et va en enfer pour toujours. »
Il a dit qu’il a entendu la voix la plus douce qu’il ait jamais entendue, il a dit qu’il s’est retourné pour voir. Il a dit qu’il a vu le visage le plus doux qu’il ait jamais vu.
Il a dit que cet Homme-là a dit : « Père, c’est vrai. Danny a essayé de vivre en tout point au mieux de sa connaissance, mais il a réellement commis des fautes. Mais il a fait une chose : là sur la terre, il a pris position pour Moi. Il a pris position pour Moi, il a pris position pour Moi et pour toute Ma Parole. Maintenant Je prendrai position pour lui ici. »
C’est ce que vous faites maintenant. Vous êtes en train de prendre position pour Lui ici. Il prendra position pour vous devant le Père.

94 Seigneur Jésus, je Te prie d’être miséricordieux maintenant et d’accorder le pardon des péchés à ces gens. Ils sont venus ici pour prendre position. Ils veulent tous être remplis du Saint-Esprit. Accorde-leur de Le recevoir. Je les réclame, Seigneur, pour Ta gloire, pendant qu’ils se tiennent devant cet auditoire qui en est le témoin.
Certains d’entre eux sont des membres d’église, les autres sont rétrogrades, les autres ne T’ont jamais accepté. Et ils se tiennent ici. Ils voient l’opprobre qui suit la confession d’un véritable et authentique chrétien. Et ils sont maintenant prêts à prendre leur position, comme cette femme, et à confesser qu’ils sont des pécheurs. Et avec larmes de repentance, ils veulent débarrasser Ton Nom de la saleté, Seigneur. Accorde-leur de pouvoir le faire.

95 Eh bien, je vais vous demander une chose. Nous avons des pièces juste derrière par ici ; là, vous ne serez pas devant le public comme ici. Si vous voulez vous repentir, j’aimerais que vous reveniez avant d’entrer là-bas avec eux. Prenez directement cet escalier et passez juste par ici. Voudriez-vous le faire maintenant pour moi ? Passez juste par ici. Nous avons des places préparées ici pour vous, mes amis. Venez juste par ici… ?... Que Dieu vous bénisse tous.
Y a-t-il encore d’autres qui voudraient venir en ce moment pendant qu’ils y vont. J’aimerais que tout le monde ici présent… ?... On devra vous rejoindre là juste dans un instant. Maintenant… ?... C’est maintenant le temps de recevoir le Saint-Esprit, si vous ne L’avez jamais reçu. C’est maintenant le moment de venir Le recevoir. C’est le moment de vous mettre en ordre avec Dieu. Vous pourriez encore prendre position. Eh bien, si vous ne voulez pas le faire, Il ne prendra pas position pour vous là-bas lorsque là… ?...

96 Que le Seigneur vous bénisse. Il semble que tous y vont. Je crois qu’Ils sont très profondément sincères. Je pense que ça sera la soirée la plus glorieuse que nous aurons eue à Tampa, et ce, pour longtemps. Quelqu’un d’autre voudra-t-il s’avancer maintenant ? Il y a – des serviteurs indépendants là derrière, portant des badges, qui entrent là avec eux. Nous y entrerons juste dans quelques minutes pour être là, à leurs côtés, ils…à l’intérieur maintenant. Vous les frères, allez-y les rejoindre pendant qu’ils y entrent, pour les séparer dans les pièces. Nous allons vous rejoindre juste dans une minute.
Quelqu’un d’autre voudrait-il venir rapidement, alors qu’ils y vont maintenant ? Veuillez simplement vous lever.

97 Laisseriez-vous Jésus assis là aujourd’hui ? Vous direz : « Si j’avais été là à l’époque, si je L’avais vu dans cet état, je n’aurais pas fait cela. » Qu’en est-il de maintenant ? Votre propre attitude présente montre ce que vous auriez fait à l’époque. Voyez-vous ? Avec l’attitude que vous affichez maintenant, sentez-vous que vous agissez plutôt bien ? Très bien. C’est entre vous et Dieu. Je ne suis pas le juge. Je suis simplement responsable de la Parole. Voyez-vous ? Il est ici, dans cette réunion. Ils viennent aussi des églises. Mais ils entrent là pour régler cela juste en ce moment. C’est fini. Ils sont prêts.
Pourquoi voudriez-vous mener une vie chrétienne à moitié ? Soyez soit pour Dieu soit contre Lui, afin que le monde connaisse vos couleurs et votre position. Que Dieu les bénisse pendant qu’ils y vont. Ils entrent là juste comme des gens qui vont pour mourir en eux-mêmes. Ils vont donner leur vie. Ils vont au Calvaire. Ils vont pour être crucifiés aux choses du monde et aux modes de ce jour de prestige dans lequel nous vivons ici. Ils vont mourir en Jésus-Christ dont la Présence est ici en ce moment. Ils vont mourir en eux-mêmes, et naître de nouveau en Jésus-Christ.

98 Que Dieu les bénisse. Y a-t-il quelqu’un d’autre qui veut venir, pendant que nous chantons doucement maintenant ? Instamment, tendrement, Jésus appelle,
Il appelle, ô pécheur, reviens à la maison,
Reviens à la maison (… ?...), reviens à la maison,
Toi qui es fatigué, reviens à la maison ;
Maintenant, Instamment … Le Saint-Esprit dans mon coeur semble simplement réclamer à grands cris. Je sais que beaucoup manquent la chose. Il appelle, ô pécheur, reviens à la maison ! Là, au balcon, partout, souvenez-vous que je vous offre Jésus-Christ. Voudriez-vous Le recevoir ? Voudriez-vous Le recevoir ? Le voulez-vous, ma soeur ? Le voulez-vous, mon frère ? Venez faire vos… renouveler vos voeux ce soir et promettez que vous allez Le servir ?

99 Et vous savez bien que je ne me tiendrais pas ici à vous parler, si je ne savais pas... ?... Il y a quelqu’un qui reçoit son dernier appel. Eh bien, c’est embarrassant de tirer les gens qui n’ont pas reçu la vérité. C’est ce que nous constatons. Et c’est – c’est honteux ; c’est – c’est dommage, mais je pense qu’il doit en être ainsi. Au-dedans de moi, il y a quelque chose qui me déchire.
Maintenant, laissez-moi simplement – simplement vous montrer quelque chose là-dessus. Regardez ici. Juste pour montrer qu’Il est toujours ici, à vous qui êtes malades et nécessiteux, je regarde juste une personne qui est assise juste ici, qui a perdu son sens de l’odorat, c’est une femme. Elle était en train de prier à ce sujet il n’y a pas longtemps. Si c’est vrai, madame, levez la main, si c’est vrai.

100 Voici une vieille femme, assise juste là à l’extrémité. Elle vient d’entrer dans cette contrée aujourd’hui. Elle vient de la Georgie. Elle a une grosse tumeur à l’intérieur, elle est dans un état très critique. Si elle croit, elle peut être guérie. Elle vient à peine d’entrer ; elle s’appelle madame Turner. Si vous croyez de tout votre coeur maintenant, Jésus-Christ vous rétablira. Le croyez-vous ?
Croyez-vous que Dieu… Etes-vous une étrangère ? Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas ? Vous venez d’entrer aujourd’hui ; quelqu’un est allé vous prendre. Vous venez d’un état qui est au nord, c’est la Georgie. Croyez-vous maintenant que – que Dieu… C’est votre fils qui est allé vous prendre. Très bien. Maintenant, vous savez qu’il m’est totalement impossible de le savoir ; en effet, vous venez d’entrer il y a quelques instants, et vous vous êtes assise ici. Si c’est vrai, levez la main. Voyez-vous ?

101 Eh bien, le même Saint-Esprit, qui est en train de dire cela, est en train de faire pression sur les gens juste ici. Voyez-vous ? Voyez, Il est identifié, mes amis. Ne – ne faites pas cela. Ne le faites pas, car vous êtes – vous êtes en train de commettre une grave erreur. Je vous aime. Souvenez-vous, vous êtes venu pour écouter. J’apprécie cela. L’amour est correctif. Si vous voyiez votre enfant là dans la rue, diriez-vous, vous contenteriez-vous simplement de dire : « Junior, tu ne devrais pas faire cela » ? S’il sortait là, vous le prendriez et l’enfermeriez, si vous l’aimiez. L’amour est correctif, on n’a pas à vous tapoter. Je dois vous réprimander. Souvenez-vous, ce sont même vos offrandes et autres qui financent ces réunions et permettent qu’on soit là. Est-ce que je vous aime ? De tout mon coeur. Soeur, vous pourriez penser que j’ai quelque chose contre vous, à cause de ces choses que vous faites ; ce n’est pas que j’aie quelque chose contre vous, mes soeurs. Il s’agit de l’amour divin que j’ai pour vous. Quelqu’un a dit : « Si vous étiez un peu plus jeune, vous ne verriez pas les choses de cette manière. » C’est ainsi que je voyais les choses lorsque j’avais quatorze ans. C’est la Bible qui le dit. C’est la même… ?...

102 Ne commettez pas cette erreur. Ne vous fiez pas au parler en langues comme évidence du Saint-Esprit. Le Saint-Esprit parle en langues. Mais ne vous fiez pas à cela et ne vous confiez pas non plus aux choses que vous faites, au fait d’avoir dansé en Esprit, d’éprouver une espèce de sensation. Christ est une Personne. Certainement… ?... Et Il est la Parole. Et s’Il est dans La Parole, Il La fait toujours marcher exactement tel qu’Elle est sensée marcher. Lorsque vous La rejetez, comment pourrait-Elle être Christ ? Reviens à la maison, reviens… (La porte est encore ouverte. Souvenez-vous, au Jugement, je ne serai pas coupable.) Toi qui est fatigué… Jésus-Christ est identifié parmi vous, prouvant que ce même Esprit… Il a dit : « Aux jours où le Fils de l’homme sera révélé… » Il est le même hier… Le même Jésus qui est assis là avec des pieds sales. Confirmera-t-Il un hypocrite ? Confirmera-t-Il quelqu’un qui ne connaît pas Sa Parole ? C’est l’identification comme quoi Il connaît réellement la Parole. Je vous dis la vérité. Ne négligez pas cela.

103 Reviens à la maison…
La dernière fois… Il se tient ici, prêt à vous rencontrer. Les pièces sont… ?.. là, à l’intérieur. Les gens se sont agenouillés partout. Toi qui es fatigué, reviens à la maison… Ô Dieu, sois miséricordieux, sois miséricordieux. Ne pouvez-vous pas sentir combien Il est attristé ? Instamment, tendrement, Jésus appelle ;
Il appelle, ô pécheur, reviens à la maison !
Reviens à la maison, reviens à la maison (Que Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est une glorieuse prise de position pour le… ?...) …reviens à la maison,
Instamment, tendrement, Jésus appelle,
Il appelle, ô… Qu’est-ce qu’un pécheur ? C’est ne pas celui qui fume. Fumer n’est pas un péché ; boire n’est pas un péché. Maudire n’est pas un péché. Commettre adultère n’est pas un péché. Non, non. Ce sont des attributs de l’incrédulité. Vous faites ces choses parce que vous n’êtes pas un croyant. Il n’y a que deux choses : soit vous êtes un croyant, soit vous ne l’êtes pas. Si vous n’êtes pas croyant, peu importe combien vous êtes religieux, vous êtes toujours un pécheur.
Vous êtes toujours un pécheur, si vous n’acceptez pas chaque Parole de cette Bible, chaque Parole. Car les cieux et la terre passeront, mais il n’En disparaîtra pas un seul iota ni un seul trait de la lettre. Et nous, nous avons des comptes à rendre pour cela. Vous direz : « Eh bien, Je suis membre de l’église. Mon peuple ne … » Cela importe peu. « Je fais ceci. » Peu m’importe ce que vous avez fait. Soit vous êtes un croyant, soit vous êtes un pécheur. C’est très fort. Mais je le dis simplement, car la même Personne qui connaît les secrets de votre coeur me dit de dire cela. Est-ce que c’est fini ? Je vois encore d’autres personnes venir. J’attends simplement parce que je ne sais pas si… Il se peut qu’il y ait quelqu’un d’autre. Juste un instant.

104 Pourquoi ne venez-vous pas entrer pendant que l’eau est agitée maintenant ? Quelque chose de glorieux s’accomplira là à l’intérieur juste dans quelques minutes. Ne voudriez-vous pas venir ? Levez-vous à partir de là, faites un voeu à Dieu, disant: « Seigneur Dieu, pardonne-moi pour ce que j’ai fait. Je Te le promets. J’ai dit que j’étais un chrétien. Mais Seigneur, il y a quelque chose en moi qui me dit que je – je – je suis condamné juste en ce moment dans la Présence de Celui qui est en train de s’identifier comme étant le Seigneur Jésus-Christ. Je me sens condamné juste dans mon propre coeur, et sachant que Tu es en train de rendre cela si clair. Je me sens condamné. Je vais entrer là pour mettre cela en ordre, immédiatement. Je promets à Dieu ici même qu’à partir de ce soir, je vais vivre pour Lui. » Ne voudriez-vous pas le faire ? Très bien.

105 Pendant que… Si c’est tout, maintenant, levons-nous, vous qui êtes là-bas dehors, juste une minute. J’aurais voulu chanter. J’aime chanter ce cantique. Pardonne-moi, Seigneur, et éprouve-moi une fois de plus.
Je serai Tien, cher Seigneur, si Tu veux être mien.
Si je tombe, ou si je faillis, laisse-moi me relever et
Essayer à nouveau.
Pardonne-moi, Seigneur, et éprouve-moi une fois de plus.

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