Du baume en Galaad

Date: 59-0707 | La durée est de: 1 hour and 39 minutes | La traduction: Shp
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1 … et une bonne soirée à tous les serviteurs de Christ qui sont ici et à ceux qui suivent à la radio. C’est un privilège pour moi de venir ce soir, pour parler à cette belle assistance.
Et je me suis souvent demandé ce que je ferais si je tenais dans le…, un plateau, une tasse, un verre, comme on appellerait cela, deux gouttes du Sang littéral du Seigneur Jésus. Je me suis souvent dit : « Si on m’accordait ce privilège de porter deux gouttes du Sang littéral du Seigneur, combien je serrerais cela contre mon coeur, je marcherais très humblement et très lentement, veillant à chaque pas, afin que je ne fasse pas tomber cela ou – ou plutôt ne renverse cela d’une façon ou d’une autre. »
Mais alors, pendant que je pensais à cela [je me suis dit] : « Ce soir, j’ai devant moi, aux yeux du Seigneur, un plus grand prix que les deux gouttes du Sang littéral de notre Seigneur ; j’ai l’acquisition de Son Sang : Son peuple, puisqu’Il a offert Son Sang afin que ce peuple puisse avoir la Vie. » Il a donc eu plus de considération pour le peuple que pour Sa propre Vie. Il a offert Sa Vie afin que Son peuple puisse vivre. Par conséquent, je tiens ceci, mon assistance ce soir, avec le plus grand respect, car c’est l’acquisition du Sang du Seigneur.

2 Hier soir, j’ai parlé un peu longuement. Et j’avais roulé sur plusieurs kilomètres et j’étais fatigué. Et je pense que j’ai trop fatigué mon auditoire ici présent en parlant pendant près d’une heure. Mais aujourd’hui, lorsque quelqu’un a fait le compliment selon leuel les gens étaient contents d’être là, j’ai senti comme si je devais vous remercier. Et, il y a quelques instants, je suivais le speaker à la radio, je voudrais le remercier pour ce merveilleux compliment qu’il a fait. Que le Seigneur vous bénisse, mon frère.
Et je souhaite que toutes les radios aux Etats-Unis émettent de tels programmes, et qu’elles consacrent leur temps à la prédication de l’Evangile comme le fait cette station de radio. Puisse-t-elle demeurer jusqu’à ce que Jésus vienne. Je suis cela ainsi que ses bons programmes. Et j’apprécie vraiment une station de ce genre. Si je vivais ici dans les environs, le bouton de ma radio serait constamment sur cette chaîne. Et je – j’aime la musique chrétienne, et je... Et j’aime les oeuvres de Dieu et j’aime écouter les serviteurs de Dieu.

3 Maintenant, pour me dépêcher et entrer directement, puisque ce soir nous allons prier pour les malades, alors que je venais tout à l’heure dans la voiture, j’ai entendu frère Hall faire un tel compliment ; je ne mérite pas ces compliments, et je remercie frère Hall. Mais si on peut trouver quelque chose de bon dans un être humain, c’est à cause de Christ. En effet, pour commencer nous ne valons absolument rien. Il n’y a rien de bon en nous. S’il y a quelque chose de bon, c’est Dieu.
Et maintenant ce soir, avant d’ouvrir les pages de la Bible pour trouver un texte, j’aimerais expliquer une petite chose : cela concerne la prière pour les malades, car il se peut que nous soyons toujours à l’antenne lorsque je commencerai la ligne de prière.
Eh bien, jamais lors de tous mes voyages à travers le monde (en effet, le Seigneur m’a envoyé environ cinq fois à travers le monde), jamais je n’ai guéri qui que ce soit. Je ne crois pas que n’importe quel autre évangéliste ait guéri qui que ce soit. Je ne crois pas qu’il y ait eu un médecin, ou un hôpital, ou un médicament qui ait déjà guéri qui que ce soit. Je crois que c’est Dieu qui est le Guérisseur. Psaumes 103 dit : « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. »
S’il y a des prédicateurs qui prétendent être des guérisseurs, alors ils sont en dehors des Ecritures. Si un médecin prétend être un guérisseur, eh bien, je n’accepterai pas qu’il exerce sur moi. En effet, il n’y a qu’un seul Guérisseur, disent les Cliniques Mayo ainsi que d’autres grandes institutions médicales, et c’est Dieu. Nous avons des médecins, des hôpitaux, des médicaments, et ainsi de suite, que je loue vivement et je prie chaque jour qu’ils aient du succès. Ce sont des institutions données par Dieu. Mais elles ne guérissent pas ; elles assistent simplement la nature. C’est Dieu qui est le Guérisseur.

4 Par exemple, si je me fracturais le bras et allais chez un médecin et disais : «Docteur, je faisais démarrer ma voiture à la manivelle. Je me suis fracturé le bras. Guérissez-le immédiatement, guérisseur, afin que je puisse terminer de faire démarrer ma voiture à la manivelle. »
Le médecin me regarderait et dirait : « Vous avez besoin d’une guérison mentale. » Et ce serait vrai. Le médecin peut remettre mon bras en place, mais c’est Dieu qui doit le guérir. Le médecin peut ôter de moi l’appendice, ou une tumeur, ou une quelconque grosseur ; mais c’est Dieu qui doit guérir cet endroit. Dieu est le seul qui soit capable de créer, et des cellules doivent être créées pour la reconstitution.
Une fois, j’ai fait une déclaration de ce genre, et après un homme a dit : «Comment expliquez-vous la pénicilline ? »
« Oh ! ai-je dit, c’est très simple. C’est juste comme si vous avez une maison infestée de rats, et vous y mettez un raticide. Les rats creusent des trous dans la maison. Le poison tue les rats, mais il ne répare pas les trous. C’est la même chose que fait cette pénicilline. Elle tue les microbes, mais elle ne reconstitue pas les cellules que ces microbes ont détruites. C’est Dieu qui doit faire cela. C’est Dieu qui guérit. » Je crois la Parole de Dieu, et si Elle dit : « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies », je crois cela. C’est la vérité. C’est la seule façon dont je puisse avoir la foi, c’est dans ce que Dieu dit.

5 Le ministère de guérison consiste à prier pour les malades. Toutes les églises prient pour les malades. Je n’ai jamais fixé les limites dénominationnelles, une quelconque barrière. J’ai été ordonné dans l’Eglise Missionnaire Baptiste par le Dr. Roy E. Davis. Mais je n’entretiens aucune barrière dénominationnelle. Je crois que Christ est mort pour tous Ses enfants, et je prie pour tous Ses enfants qui sont partout. Pour moi, on ne demande jamais à Dieu : « Cette personne-ci étant baptiste peut-elle être guérie ? » Si vous avez la foi, vous pouvez être guéri.
Je ne crois pas que la guérison soit quelque chose qu’un ministre pourrait opérer pour vous, tout ce qu’il peut faire c’est vous expliquer ce que Christ a déjà fait pour vous. Je ne crois pas que j’ai été sauvé il y a trente et un ans. Je crois que j’ai été sauvé il y a mille neuf cents ans, lorsque Jésus est mort pour mes péchés. J’ai accepté cela il y a trente et un ans.
Et « Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. » Avez-vous remarqué : « Avons été » ? Temps passé. Lorsqu’Il est mort, et lorsqu’Il a été meurtri, tout était accompli... Tout ce que Dieu peut faire pour vous a été accompli lorsque Christ est mort au Calvaire. En effet, Il a apporté une rédemption complète à la race humaine.

6 Nous ne l’avons pas maintenant dans sa plénitude ; nous avons le gage de notre salut. Nous avons le gage de la Vie Eternelle, d’une vie immortelle, que nous vivrons éternellement, lorsque nous recevons le Saint-Esprit. Nous avons également le gage de notre résurrection. Quand nous voyons un corps frêle, qui n’est plus qu’une ombre étendue, rongé par le cancer que plusieurs bons médecins ont essayé de tuer sans succès, de voir le Dieu Tout-Puissant guérir cette personne, c’est la preuve de la résurrection. J’en connais des milliers dans le pays ce soir.
Eh bien, un ministre de la guérison, si vous remarquez dans I Corinthiens 12, ce n’est pas... Il existe un don de prophétie, mais des dons de guérison, c’est au pluriel. Dieu emploie beaucoup de moyens différents.

7 Or, il y a cinq offices que Dieu place dans l’Eglise ; il y a neuf dons spirituels qui accompagnent ces offices ainsi que tous les membres du Corps. Le premier, ce sont les apôtres, c’est-à-dire les missionnaires. Le mot apôtre signifie un envoyé. Le mot missionnaire signifie un envoyé, c’est le même mot. Apôtres, prophètes, docteurs, pasteurs, évangélistes, ce sont les offices que Dieu a placés dans l’Eglise. Ils sont tous en action, ou le devraient. Nous ne pouvons pas passer outre les uns et dire qu’il y a des docteurs sans dire qu’il y a des évangélistes. Nous ne pouvons pas dire qu’il y a des évangélistes sans dire qu’il y a des apôtres. Nous ne pouvons pas dire qu’il y a des apôtres sans admettre qu’il y a des prophètes. Tous sont là pour le perfectionnement du Corps de Christ.
Le Seigneur me donne des visions. Ces choses ont commencé lorsque j’étais un petit bébé. Je ne crois pas qu’un homme puisse être appelé par l’homme et avoir du succès en tant que ministre. Je crois que les dons et les appels sont sans repentir, et que Dieu par Sa prescience a préordonné Ses ministres à l’Evangile ainsi que les dons dans l’Eglise.
Dieu a dit à Jérémie, je crois que c’est à lui qu’Il a dit : « Avant même que tu ne sois formé dans le sein de ta mère, Je t’avais connu, sanctifié et établi prophète des nations. » Sept cent douze ans avant la naissance de Jean-Baptiste, Dieu a dit à Esaïe qu’il était la voix de celui qui crie dans le désert. Il ne pouvait pas s’empêcher d’être Jean. Et depuis le jardin d’Eden, oui, avant la fondation du monde, Jésus-Christ fut ordonné Fils de Dieu. Nous sommes donc ce que nous sommes par la grâce de Dieu.

8 Et maintenant, avant que nous ouvrions les pages pour un petit texte évangélique... Et s’il y a beaucoup de ministres qui sont assis ici, ce qui est le cas, et beaucoup qui écoutent, sans doute… Mais je ne crois pas que la guérison divine soit la chose primordiale. Et nous ne pourrions jamais accorder la primauté à ce qui est secondaire.
Je crois que la guérison divine, c’est comme un homme qui va à la pêche. Il met l’appât sur l’hameçon. Il ne montre pas l’hameçon au poisson ; il ne lui montre que l’appât. Et ils… le poisson, en prenant l’appât, avale l’hameçon.

9 C’est la raison pour laquelle récemment à Durban, en Afrique du Sud, là où deux cents mille personnes étaient réunies, j’ai vu trente mille purs païens briser leurs idoles par terre et recevoir Jésus-Christ comme leur Sauveur personnel.
Lorsqu’un homme qui ne pouvait jamais marcher, qui n’était même pas dans son bon sens, et le Saint-Esprit lui a révélé qui il était et tout ce qui concernait sa vie, et alors quand j’ai vu une vision au-dessus de lui montrant qu’il allait être rétabli, j’ai dit : « Combien parmi vous recevrons Christ maintenant si Dieu guérit ce pauvre homme ? » Et j’ai dit : « Le Saint-Esprit vient de dire qu’il est né dans cette condition. Et vous avez vu ses parents très loin, dans l’assistance, là sur le champ de course, attester que c’était la vérité. Il lui a dit comment il s’appelait. » J’ai dit : « Je ne parle même pas sa langue. »
J’ai dit : « Maintenant je défie tous les prêtres mahométans à venir ici, vous qui dites que votre religion est si grande, et de redresser cet homme. Vous tous bouddhistes, ou n’importe quelle autre religion... » Et, évidemment, c’était le grand silence dans l’assistance. J’ai dit : « Moi non plus, je ne peux pas le faire. Mais le Dieu du Ciel, qui a ressuscité Son Fils Jésus-Christ, m’a montré une vision maintenant même, disant que ce garçon va recouvrer son état normal. S’il ne le recouvre pas, alors je suis un faux témoin de la résurrection, et je devrais être chassé de l’Afrique. Si c’est le cas, alors combien parmi vous mahométans, païens et bouddhistes recevront Christ comme leur Sauveur personnel ? » Aussi loin qu’on pouvait voir, des mains noires étaient agitées. Et j’ai prononcé ce que le Seigneur avait dit, et l’homme a sauté sur ses pieds, non seulement guéri, mais dans son bon sens. Et trente mille personnes ont brisé leurs idoles par terre et ont reçu Christ comme leur Sauveur personnel. C’était l’appât qui les avait amenés à recevoir Christ. Prions.

10 Grand Dieu, Tu n’as jamais perdu Ta puissance, et Tu ne la perdras jamais, parce que Tu es le Dieu infini, Tu n’as jamais eu de commencement et Tu n’auras jamais de fin. Lorsque ce vieux monde a titubé sous le poids du péché au point que celui-ci est allé au-delà des étoiles, si Tu avais envoyé le jugement pour le détruire, il n’y aurait plus de monde, ni de lune, ni d’étoiles, ni de système solaire ; Toi, Tu serais toujours Dieu. Alors que les déserts… les océans sont devenus des déserts, pleurant à cause du péché, Tu es toujours Dieu.
Et qu’est-ce que l’homme pour que Tu te souviennes de lui ? Pourquoi es-Tu si bon envers nous en nous envoyant Jésus Ton Fils unique, afin qu’Il meure pour nous sauver de nos péchés ?
Et puis, dans ces dernières heures de la fin de l’histoire du monde, alors que le monde titube sous l’impact du péché, et que les bombes à hydrogène et les bombes atomiques sont entre les mains des païens, des incroyants impies qui pourraient détruire le monde entier en quelques secondes (C’est notre science moderne qui nous le dit, et il est minuit moins une), ô Seigneur, réveille les hommes et les femmes. Oins Tes ministres, Seigneur, comme des flammes de feu faisant leur dernier appel, le signe du dernier jour. Et puisse cela être glorieux.

11 Puissions-nous voir cela ce soir, le Christ vivant, qui n’est pas mort, mais qui est ressuscité pour notre justification, qui vit maintenant parmi nous sous forme du Saint-Esprit. Puisse-t-Il venir ce soir et parler à chaque coeur de l’auditoire visible et de l’auditoire invisible. Et puisse-t-Il accomplir dans leurs coeurs cette oeuvre de la nouvelle naissance. Apporte-leur la puissance de la rédemption de Sa résurrection, en ôtant toute ombre de doute et d’incrédulité, et en détruisant tout scepticisme, afin que l’Eglise puisse avancer dans une harmonie parfaite avec la volonté de Dieu, telle que la présentent la Bible et le Saint-Esprit.
Prends les Paroles que je vais lire ce soir dans Ta Parole, ô Seigneur, et oins-Les dans la bouche de Ton serviteur, et place-Les dans les coeurs de ceux qui écoutent. Circoncis les oreilles et les coeurs, Seigneur, afin qu’ils reçoivent Ta Parole. Et puis à la fin, nous inclinerons la tête avec humilité vers la poussière d’où nous avons été tirés, pour Te louer. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen.

12 Je voudrais li… – voudrais lire ce soir un verset dans le Livre de Jérémie 8.22 : N’y a-t-il point de baume en Galaad ? N’y a-t-il point de médecin ? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas ? C’était là la question que Jérémie a posée, sous l’inspiration de Dieu, alors qu’il apportait ce message à la porte du temple, il y a plusieurs années. La ville et les gens s’étaient tout à fait éloignés de Dieu et Dieu avait dit à Jérémie, le prophète, d’aller se tenir à la porte et de prononcer ces paroles : « N’y a-t-il point de baume en Galaad ? N’y a-t-il point de médecin ? Et si donc il y en a, pourquoi alors la guérison de la fille de Mon peuple (c’est-à-dire l’Eglise) ne s’opère-t-elle pas ?»
La question c’est « Pourquoi ? » Lorsque Dieu fraye une provision, ou plutôt une voie par laquelle le peuple doit échapper, et que ce dernier refuse de recevoir cela, alors Dieu pose la question : « Pourquoi ? »
Il y a quelque temps, je lisais un poème. Il se peut que je ne sois pas capable de le déclamer, peut-être une – une ligne, mais c’est quelque chose comme ceci : Lorsque la grande armée en marche aura entassé toutes ses armes,
Et lorsque l’imitateur aura joué son dernier drame,
Lorsque la Bible sera fermée à la chaire,
Et que le prédicateur aura fait sa dernière prière,
Lorsque les livres du jugement seront ouverts,
On nous demandera de donner une raison, alors pourquoi ?

13 Je me demande, quand ces Etats-Unis d’Amérique, ma douce patrie, lorsque le grand Livre de Dieu sera ouvert au jour du Jugement, quand cette nation sera jugée et qu’Il pointera du doigt les Billy Graham, les Oral Roberts et les autres qui ont parcouru de long en large cette nation, prêchant l’Evangile et accomplissant de grands miracles et prodiges de Sa Venue, les Anges de Dieu qui ont accompagné leurs ministères se tiendront là comme témoins, quand on demandera à l’Amérique: « Pourquoi les gens ne se sont pas repentis ? », je me demande ce que sera leur réponse.
Quand ils ne cessent… le whisky, les boissons et les trucs du diable continuent d’abonder. Alors que l’Evangile avance, ils deviennent chaque année plus invétérés avec leur boisson ; le péché progresse chaque année, chaque année. Et on dirait que c’est juste une petite histoire de Noël qu’on raconte.
Mais nous vivons dans ce grand jour où les grands signes de la Venue du Seigneur apparaissent. Et des ministres oints de l’Esprit prêchent de tout leur coeur, mais les hommes continuent à ignorer cela. Je me demande quel genre de réponse sera donnée au Jugement.

14 Une fois dans les Ecritures, après la mort d’Achab, un des rois les plus méchants d’Israël, son fils, Ezéchias, lui succéda sur son trône en Samarie.
Et un jour, pendant qu’il se promenait dans le porche supérieur, il tomba par les treillis et se blessa, et il attrapa une certaine maladie. Et alors, il appela deux de ses hommes et les envoya consulter les prophètes du dieu Béelzébul à Ekron, pour savoir s’il allait se rétablir ou pas.
Et Elie le Tischbite, étant un vrai prophète de Dieu, le Saint-Esprit est venu vers lui dans une vision et lui a dit : « Monte et tiens-toi sur la route. »
Dieu bloque le chemin. Ce n’est pas facile d’aller en enfer. C’est difficile d’aller en enfer. Dieu envoie Ses messagers, et Il envoie Ses prophètes ; Il envoie Son Evangile ; Il fait de Ses Eglises une flamme de feu, et les hommes sans cesse combattent carrément cela. Il L’envoie soit par les ondes d’éther de la radio ; Il L’envoie par la télévision ; Il L’envoie par la Parole publiée ; Il L’envoie de bouche à oreille, mais les hommes continuent carrément de marcher dessus.

15 Mais Dieu envoie Son prophète pour arrêter cela. « Pourquoi iriez-vous à Ekron consulter Béelzébul ? Est-ce parce qu’il n’y a pas de prophète en Israël ? N’y a-t-il pas de Dieu là ? »
Est-ce la raison pour laquelle les gens vont aujourd’hui délibérément à des buveries, dansent toute la nuit, jouent à l’argent, trichent, cherchent à se faire beaucoup d’argent ? Est-ce parce qu’il n’y a pas de plaisir en Dieu ? Est-ce parce qu’il n’existe pas de Dieu pour procurer du plaisir ? La raison même pour laquelle vous avez soif de cela, c’est parce que vous rejetez Dieu. Dieu a créé l’homme pour que ce dernier ait soif, mais pour qu’il ait soif de Lui. Et si vous rejetez cela, vous devez... Le diable essaye de satisfaire cette soif avec la boisson, le tabac, les jeux d’argent et d’autres choses. Est-ce parce que nous n’avons pas le Saint-Esprit pour apporter la joie ? Est-ce que vous cherchez ces choses parce qu’il n’y a aucune satisfaction en Christ ?
Il a dit : « N’y a-t-il point de Dieu en Israël ? Pourquoi allez-vous consulter Béelzébul, le diable ? »

16 N’y a-t-il pas de plaisir à servir Christ ? Est-ce la raison pour laquelle les hommes boivent continuellement et fréquentent l’église pour se couvrir ? Vous n’avez pas encore goûté le Seigneur. Vous n’avez jamais su à quel point Il est bon. Si jamais l’homme arrive à la Fontaine remplie de Sang tiré des veines d’Emmanuel, une fois qu’il est plongé dedans, les péchés du monde et tout ce que le diable peut offrir serait tout ce qu’il y a de plus mort. C’est parce que les gens refusent de faire cela. C’est parce qu’ils refusent de recevoir le Saint-Esprit, le Baume de Dieu, voilà pourquoi ils le font.
Cela me fait penser à un homme qui meurt sur le seuil de la porte du médecin, un homme qui meurt sur le seuil de la porte du médecin, parce qu’il refuse de prendre le remède prescrit pour sa maladie. Si le médecin a le remède pour votre maladie et que vous disiez : « Je ne veux pas prendre cela. » Vous pouvez beau vous asseoir au seuil de sa porte, aussi près que cela, vous mourrez quand même, parce que vous refusez le remède. Alors n’imputez pas la faute au médecin. Il a le remède. Il a la chose à vous inoculer, mais c’est votre obstination à ne pas recevoir cela.

17 Ce n’était pas parce qu’il n’y avait pas un Dieu en Israël ; ce n’était pas parce qu’il n’y avait pas un prophète là-bas ; c’était parce que le roi était trop obstiné. Il haïssait le prophète.
C’est ça le problème aujourd’hui. Il y a une satisfaction ; il y a la guérison pour l’âme et le corps en Dieu, en Christ, mais les gens sont trop obstinés. Ils sont comme Ezéchias d’autrefois. Ils veulent être modernes. Ils détestent le message de l’Evangile. C’est la raison pour laquelle ils meurent dans leurs péchés sur les marches de l’église. Les hommes sont assis dans les sièges de leurs églises et ils meurent dans le péché, parce qu’ils rejettent le remède de Dieu, le Saint-Esprit. Ce n’est pas parce qu’Il n’est pas là, c’est parce qu’ils refusent de Le reconnaître et de Le recevoir.

18 Ce roi haïssait le prophète et son Evangile. C’est pourquoi, il s’imaginait qu’il pouvait trouver un autre moyen pour être soulagé, pour satisfaire son désir.
Permettez que je dise à ceci – vous dise ceci plutôt, ce soir. Mes très chers amis, il se peut que vous ne soyez jamais satisfaits. Vous pouvez avoir toute la richesse du Tennessee. Vous pouvez vivre dans la plus belle maison, et conduire un parc de Cadillacs climatisées. Vous pouvez être très populaire sur la piste de danse. Vous pouvez être le chef de votre troupe, l’animateur et le rigolo de votre groupe. Mais vous ne serez jamais satisfait tant que vous n’aviez pas goûté la Vie Eternelle de Dieu par le Saint-Esprit. C’est là la toxine de Dieu. C’est la seule chose.
Comment trouve-t-on la toxine ? On prend un cobaye. Et on prend la toxine et on la prépare. Et ensuite on prend cette toxine et on l’administre à un cobaye. Si cela a de bons effets sur le cobaye, alors on la donne aux êtres humains. Parfois cela n’a pas de bons effets sur l’être humain ; en effet, le corps du cobaye n’est pas exactement comme celui d’un être humain. Certains médicaments aident certaines personnes pour en tuer d’autres. Il y a donc un doute là-dessus, sur le fait de prendre le médicament.
Mais il n’y a aucun doute en ce qui concerne le Baume de Dieu, Sa Toxine ; Elle agit sur quiconque veut, qu’il vienne afin qu’il boive à la Fontaine du Seigneur. Il n’y a pas de doute là-dessus.

19 On prépare cela et on administre cela au cobaye, puis on observe sa réaction. Le monde ne meurt pas de... Le tueur numéro 1 dans le monde aujourd’hui, ce n’est pas la maladie du coeur, comme on nous le dit. Le tueur numéro 1, c’est la maladie du péché. C’est la maladie du péché qui tue le monde.
J’ai souvent fait cette déclaration : « Ce n’est pas le rouge-gorge qui picore la pomme qui la tue ; c’est le ver qui se trouve dans le coeur qui tue la pomme. » Ce n’est pas le communisme qui tue l’Amérique. Ce – ce n’est pas une autre nation qui pollue cette nation ; c’est le péché qui se trouve dans cette nation qui la pollue. C’est l’immoralité des gens. Et des milliers d’entre eux sont des chrétiens de nom. Le monde ne les trouve aucunement différents de toute autre personne. Par conséquent, le niveau de leur christianisme est trop bas.

20 Je vous prie d’excuser cette expression rude, très rude. Je ne dis pas cela pour me montrer méchant. Je ne dis pas cela avec méchanceté. Je le dis avec amour. Samedi passé, mon épouse et moi allions à l’épicerie. Et notre petite ville a une population d’environ trente-sept mille personnes. Et on a un nouveau centre commercial, et le samedi tout le monde va à ce centre commercial de Youngstown, car la plupart de grandes chaînes de magasins y sont représentées.
Et pendant que nous roulions sur, des centaines de femmes que nous avons passées, nous en avons vu une seule en jupe. Les autres étaient habillées de façon très immorale. Mon épouse m’a dit, elle a dit : « Billy, regarde. Ne penses-tu pas que cette femme-là sait qu’elle est nue ? »
J’ai dit : « Je ne pense pas. »
Elle a dit : « Si elle ne sait pas qu’elle est nue, alors elle a perdu la tête. »
J’ai dit : « Non, elle est juste une Américaine. Elle suit la tendance américaine. Elle se comporte comme les autres Américains. »
Bien, elle a dit : « Alors, ne sommes-nous pas des Américains, nous ? »
J’ai dit : « En considérant la citoyenneté de notre chair, nous le sommes. Mais nous sommes des pèlerins et des étrangers ici ; et nous cherchons une Cité à venir. » J’ai dit : « C’est la raison pour laquelle cette Américaine-là est différente de l’autre. Nos esprits sont nés d’En-haut. Et dans ce pays d’où nous venons, la nature et les habitudes de ce pays sont la sainteté, la pureté et la piété. Et quand l’Esprit de ce Pays-là entre en nous, alors ce pays-ci nous est étranger. » En effet, ce sont votre âme et votre esprit qui motivent vos actes ; cela fait de vous ce que vous êtes. Et vous ne pourrez jamais adhérer à des églises et ôter cela de vous ; vous serez toujours un membre d’église et vous vous moquerez toujours des gens qui prêchent contre une telle immoralité.

21 Vous devez naître de nouveau d’En-haut. Alors vous devenez de nouvelles créatures en Christ Jésus, et vous êtes comme Abraham ; vous êtes ses enfants. Vous cherchez une Cité dont l’Architecte et le Constructeur est Dieu. C’est la raison pour laquelle vous vous comportez différemment. C’est la raison pour laquelle vous voyez les choses différemment. Vous n’arrivez jamais à vous habituer à ce monde, parce que vous êtes d’En-haut. Vous vous comportez d’après le Royaume auquel vous appartenez.
Je suis heureux d’être un citoyen américain. Je pense que c’est le meilleur [pays]. Mais, oh ! frère, je déteste me fier à cela comme étant mon salut. L’esprit américain est vulgaire, méchant.
Tous les royaumes du monde sont contrôlés par le diable. C’est la Bible qui le dit. Satan a dit : « Ils m’appartiennent tous et j’en fais ce que je veux. »
Jésus n’a jamais dit le contraire. Mais Il savait qu’Il en deviendrait Héritier dans le Millénium. Et Il a dit : « Arrière de Moi, Satan ! » Il n’est pas étonnant que les Ecritures disent : « Réjouissez-vous, cieux et toi, toute la terre, car le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à Son Christ. » Oui. Voilà qui change quelque chose.

22 Certains disent : « Je ne peux m’empêcher de fumer. Je ne peux m’empêcher de boire. » La raison pour laquelle vous le faites, c’est parce que vous refusez de prendre la Toxine contre cela. Vous ferez toujours cela à moins que vous preniez la Toxine, à moins que vous soyez inoculé. La raison pour laquelle les gens font cela, c’est…
C’est ça la raison pour laquelle nous avons tant de différentes églises dénominationnelles. Elles font ceci... Elles savent que c’est scripturaire, c’est pourquoi elles essayent de contourner cela. Et bon nombre de grandes églises de la sainteté tombent dans cette même ornière, en essayant de contourner cela. On va là et on serre la main au ministre et on dit : « Je crois que Christ est le Fils de Dieu. » Le diable croit la même chose. La raison pour laquelle ils font cela, c’est pour chercher à contourner la nouvelle naissance.

23 Eh bien, je ne souhaite pas que vous pensiez que je suis sacrilège, mais je voudrais faire une déclaration, et écoutez attentivement. Toute naissance est un gâchis. Qu’une naissance ait lieu dans une basse-cour, un veau, c’est un gâchis. Qu’une naissance ait lieu n’importe où... Qu’elle ait lieu sur un lit de cosse, ou sur la housse d’un matelas en paille, ou dans un hôpital décoré en rose, c’est toujours un gâchis.
Et cette nouvelle naissance n’est rien de moins qu’un gâchis. Vous vous levez de l’autel en pleurant, en braillant et vous comportant drôlement. Cela amène une église guindée à penser que vous ne devez pas faire cela. Mais c’est par cela que la nouvelle naissance apporte la nouvelle Vie. Vous ne pouvez L’avoir que si vous êtes prêt à vous salir complètement. Lorsque vous faites sortir de vous l’amidon, lorsque vous vous éloignez de l’hypocrisie qu’on s’est fabriquée et dans laquelle nous vivons aujourd’hui, et que vous êtes disposé à payer le prix, et à rester là jusqu’à ce que vous soyez mort aux choses du monde, et né de nouveau du Saint-Esprit... Les gens contournent cela.

24 Nous prenons nos ministres et en faisons de grands docteurs en théologie, au lieu de leur donner la nouvelle naissance. Bon nombre de nos séminaires prennent l’homme et essayent de l’instruire. L’instruction est une chose merveilleuse. Mais l’instruction ne remplacera jamais le salut ou la nouvelle naissance. C’est impossible.
Dieu a un programme et nous devons être à la hauteur de ce programme. Nous essayons de faire acquérir la connaissance à nos ministres. Nous devrions leur enseigner le baptême du Saint-Esprit. Nous devrions leur enseigner Christ. Mais nous cherchons à avoir une meilleure classe de gens parmi nous. Il n’y a pas meilleure classe que les chrétiens nés de nouveau. Il se peut qu’ils soient particuliers, qu’ils agissent de manière particulière, qu’ils aient une apparence particulière, qu’ils s’habillent de façon particulière, mais eux sont un peuple particulier, un sacerdoce royal, une nation sainte, offrant des sacrifices spirituels, le fruit de nos lèvres, donnant gloire à Son Nom. Certainement.

25 La connaissance est la première chose qui a éloigné l’homme de Dieu. Quand, dans le jardin d’Eden, il y avait un arbre de la connaissance, à la première bouchée qu’Adam a prise, il s’est séparé de Dieu. Mais nous, nous essayons d’enseigner la connaissance, d’instruire les gens pour qu’ils entrent dans le programme de Dieu. Vous ne pouvez pas faire cela. L’instruction, c’est bien. C’est une très bonne chose. Mais permettez-moi de dire ceci : cela ne remplacera jamais la nouvelle naissance ou les dispositions de Dieu pour le salut.
Pourriez-vous imaginer un petit canari sauter sur la petite branche de la cage où se trouvent d’autres canaris, et dire quelque chose comme ceci : « Mes frères canaris... » il réajuste ses petites lunettes, pour ainsi dire, sur son nez comme un professeur, et il dit : « J’ai effectué des études. J’ai acquis beaucoup de connaissance. Je commence à connaître tout au sujet des ces êtres humains. Oh ! je les connais de A à Z. » C’est exactement comme ça que nous essayons de connaître Dieu.
Et puis ensuite, un professeur de Purdue arrive. Il dit : « Bonjour, mon petit ami insignifiant », et il se met à employer de grands mots en parlant au petit canari. Et celui-ci est embarrassé. Il tourne sa petite tête ; il prête l’oreille. Il a des yeux ; il peut le voir. Il a des oreilles ; il peut l’entendre. Mais il ne le comprend pas. Pourquoi ? Il a une cervelle de canari.

26 Et c’est à peu près ce qu’il en est de nous avec notre connaissance humaine. Comment allons-nous comprendre Dieu, le Surnaturel, avec un esprit naturel, avec la connaissance ? Parfois je ne veux pas dire une plaisanterie ; ce n’est pas une plaisanterie ; mais pourtant nous agissons comme si nous avions une cervelle de canari quand nous faisons cela. Nous ne comprenons pas Dieu et nous ne pouvons pas comprendre Dieu, d’aucune autre façon que... Ce n’est pas par la connaissance ; mais la seule façon, c’est seulement par la révélation par le Saint-Esprit. Les Ecritures disent : « Nul ne peut dire que Jésus est Christ, si ce n’est par le Saint-Esprit. »

27 Quand Dieu a testé cette Toxine... Vous savez, il y eu un temps où nous n’avions pas de toxine pour la variole. Beaucoup de gens sont morts. Mais maintenant nous avons la toxine pour la variole. Nous en avons pour la variole, et pour la diphtérie, et pour beaucoup de maladies, nous avons même maintenant des toxines pour la poliomyélite.
Et il y eut un temps où la toxine n’était pas très efficace, ou plutôt extrêmement efficace pour l’âme, mais maintenant elle est parfaite. Sous la vieille toxine de la loi, c’était une – une loi selon laquelle les animaux mouraient afin de nous réconcilier avec Dieu. Elle ne pouvait pas supprimer le péché ; elle couvrait tout simplement le péché. Mais aujourd’hui, la Bible dit que celui qui rend ce culte, étant une fois purifié, n’a plus aucune conscience de son péché. Ou plutôt la traduction correcte serait : aucun désir de commettre le péché après qu’il a pris la Toxine.

28 Cette toxine a été testée, pas sur un cobaye. Cette Toxine de la Vie Eternelle n’a pas été testée sur un cobaye. Dieu n’a jamais choisi un cob-… cobaye ; Il a choisi Son Fils unique pour tester cette Toxine pour la race humaine. « Et quand Il a été baptisé, Il est sorti directement de l’eau, et voici, les cieux se sont ouverts. Et Jean a rendu ce témoignage qu’il a vu l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe, et qu’une Voix a dit : ‘Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis toute Mon affection.’ »
Il a marché dans la vie comme nous. Il a été tenté avec la même tentation que nous, sans qu’Il pèche, prouvant par là que la Toxine agirait, pas sur un cobaye, pas sur un animal, mais sur le Fils de Dieu, un Homme.
Et quand Il est mort, la Toxine s’est avérée efficace. Cela L’a amené à prier pour Ses ennemis. Et puis le matin de Pâques, Dieu a confirmé que la Toxine était efficace, quand Il L’a ressuscité des morts. Jésus est ressuscité le matin de Pâques pour prouver que cette Toxine, le Baume de la Vie Eternelle, ressuscitera les morts aux derniers jours, à la Venue du Seigneur. Il n’y a plus de supposition là-dessus, c’est prouvé. Cela agit pour tout le monde. Celui-là même qui a la Toxine a dit : «Que celui qui veut vienne. »

29 Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de Baume ; c’est parce que les gens refusent de Le prendre. Ils vont à l’église et restent guindés. Ils adhèrent à l’église et inscrivent leurs noms dans le registre. Mais quand il est question de naître de nouveau et de recevoir le Saint-Esprit, ils tournent le dos et s’En moquent. C’est la raison pour laquelle ils ne peuvent pas croire à la guérison divine. C’est la raison pour laquelle ils... « Comment pouvez-vous tirer du sang d’un navet ? », disait ma vieille mère qui était du sud. Il n’y a pas de sang dans un navet. Vous ne pouvez pas croire à moins de naître de l’Esprit de Dieu.
Nicodème a demandé : « Comment un homme peut-il y arriver ? »
Jésus a dit : « Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut comprendre le Royaume de Dieu. » Il faut naître d’abord.

30 Dans le jardin d’Eden, le diable a pris l’oeil de l’homme pour lui montrer, son intellect. Dieu a pris son coeur. L’homme va dans les très belles églises, et vers ce qu’il voit dans la haute classe. C’est son oeil. Dieu a choisi son coeur pour l’amener à croire les choses qu’il ne peut pas voir : « Or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. » Dieu a pris son coeur ; c’est ça la tour de contrôle de Dieu.
Et Il a ressuscité Jésus pour confirmer cela. Il L’a envoyé et L’a inoculé, et a confirmé cela à travers le monde. Il est allé prêcher l’Evangile. Il a vu des visions à l’avance.
Quand on Lui a amené le premier homme, lequel était Simon Pierre, quand Pierre est venu, Jésus l’a regardé ; Il était inoculé et Il a dit : « Ton nom est Simon, et celui de Ton père, c’est Jonas. »
Que s’est-il passé ? Pierre était étonné. « Comment a-t-Il su qui je suis ? » Il était inoculé. Il avait le Baume de la Vie Eternelle. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

31 Un homme avait entendu cela. Et il s’est mis en route pour aller trouver son ami. Ce dernier s’appelait Nathanaël. Et il a trouvé... Philippe trouva plutôt Nathanaël dans le jardin, en train de prier. Et quand il s’est tenu là et lui a dit : «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph. »
Et de voir un homme très guindé dire : « Eh bien, Philippe, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? »
Il a dit : « Viens et vois. » C’est la meilleure réponse qu’un homme puisse donner : « Viens voir par toi-même. »
« Y a-t-il quelque chose de réel Là-dedans ? » Ne restez pas à la maison à critiquer, venez découvrir. Sondez les Ecritures.
Et quand il est venu, il lui a parlé sans aucun doute de la réunion… quand Jésus avait rencontré Pierre. Et imaginons-nous qu’ils ont dit ceci, Philippe et Nathanaël, pendant qu’ils bavardaient. Nathanaël a dit : « Eh bien, qu’est-ce que tu me racontes ? »
Il a dit quelque chose comme ceci : « Nathanaël, ne sais-tu pas que Moïse a dit : ‘ L’Eternel notre Dieu suscitera un prophète comme moi’ ? Et que doit être le Messie ? Il doit être le Dieu-Prophète. Et cet Homme, sans connaître Simon Pierre, le vieux pêcheur, qui ne sait même pas écrire son propre nom... » Mais il plut à Dieu de faire de lui le chef de l’église à Jérusalem, lui qui n’avait pas assez d’instruction pour écrire son nom, mais il a cru.
Remarquez, et quand il a fait cela, il a dit : « Ne doit-Il pas être le Dieu-Prophète ? »
« Si. »
Et quand ils sont arrivés à l’endroit où Il priait pour les malades, dès que Jésus a posé les regards sur Nathanaël, Il a dit : « Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude. » Comment le connaissait-Il ? C’est parce qu’il y avait du Baume en Galaad, c’est parce que la promesse que Moïse avait faite était rendue manifeste.
Il était là : « Voici un Israélite (pas à cause de la façon dont il était habillé... Tous les Orientaux s’habillaient de la même façon), dans lequel il n’y a point de fraude. »
Cela a tellement étonné cet homme qu’il a dit : « Comment m’as-Tu connu, Rabbi ? »
Il a dit : « Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Il a su qu’il y avait du Baume en Galaad. Il a dit : » Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël. »

32 Ceux qui étaient là ont dit : « Cet homme est Béelzébul. »
Jésus a dit... Parce qu’Il discernait leurs pensées... Et Jésus a discerné leurs pensées quand ils ont pensé cela dans leur coeur. Ils ne l’ont jamais dit à haute voix. Ils étaient des membres d’église dévoués, et ils n’ont pas osé le dire ouvertement. Mais Jésus a dit : « Je vous pardonne cela. Mais un jour... (c’est textuellement comme ceci), le Saint-Esprit viendra et fera la même chose. Et un seul mot contre Lui ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. »
« Il y aura continuellement du Baume en Galaad. Ce sera après Mon départ. Et ces oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Voici, Je suis avec vous, et même en vous jusqu’à la fin de la consommation. Je suis avec vous pour un peu de temps ; le monde ne Me verra plus ; mais vous Me verrez (l’Eglise, le croyant), car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde. » Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, absolument…

33 Remarquez. Les Juifs attendaient Sa Venue. C’est ainsi qu’Il s’est manifesté.
Il n’existe que trois catégories de gens : la descendance de Cham, de Sem et de Japheth. Ce sont les Juifs, les Gentils, et les Samaritains.
Jésus passa par la Samarie, il le fallait. Pourquoi ? Il y avait là une femme. Et Il l’a regardée, et Il a engagé une conversation avec elle. Il a dit : « Apporte-moi à boire. »
Elle a dit : « C’est contraire à la coutume. Il y a une ségrégation ici. » Elle a dit : « Les Juifs et les Samaritains ne se parlent pas. »
Il a dit : « Mais si tu savais à Qui tu parles, c’es toi qui Me demanderais à boire. » La conversation s’est poursuivie jusqu’à ce que Jésus a décelé ce qui était dans son coeur. Et Il a dit : « Va chercher ton mari, et viens ici. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. Tu as dit vrai. »
Ecoutez cette femme. Elle n’a jamais dit : « Tu es Béelzébul. » Elle attendait l’inoculation. Elle a dit : « Nous savons... Nous les Samaritains, nous savons que quand le Messie viendra, Celui qu’on appelle Christ, Il nous annoncera ces choses.» Elle le savait. Pourquoi ? Elle attendait ce Baume en Galaad. « Son Esprit… Il sera le Dieu-Prophète. Il nous révélera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»
Il a dit : « Je le suis, Moi qui te parle. »
Là-dessus, elle laissa sa cruche d’eau et s’en alla dans la ville et elle dit aux gens : « Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même ? » Le Baume était en Galaad. Certainement.

34 Après Sa mort et Sa résurrection, cent vingt personnes s’étaient rassemblées dans la chambre haute pour recevoir l’Inoculation. Et soudain, il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Dieu déversait le Baume de Son Saint-Esprit dans la Pentecôte.
Et ils sont sortis de la chambre et sont allés dans tous les coins du monde, prêchant l’Evangile, voyant des visions, subissant la persécution à cause de Son Nom, et étant traités d’hérétiques. Mais ils étaient heureux de souffrir pour la cause et pour la justice de Christ, et ils ont considéré cela comme un sujet de joie, ils ont donné leurs vies et ont scellé leur témoignage. Pourquoi ? Ils étaient inoculés. Ils avaient reçu le Baume qui était en Galaad.

35 Considérez Paul à la fin de sa route. Qu’a-t-il dit ? Voyez si le Baume a marché pour Paul quand on allait le décapiter. Il n’y a pas longtemps, je me tenais dans ce petit cachot souterrain où il écrivait, et il disait : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais la couronne m’est réservée; le Seigneur, le juste Juge, me la donnera en ce jour-là. » Qu’était-ce ? Il était inoculé. Il avait le Baume. Il était l’un des médecins de Dieu.
Il y a du Baume en Galaad. Il y a également un médecin là. Mais ce sont les gens qui ne veulent pas recevoir cela. Pour terminer, je puis dire ceci. Le jour de la Pentecôte... Ecoutez, vous tous, prêtez l’oreille. Le jour de la Pentecôte, quand ces gens avaient reçu la nouvelle naissance et la Vie Eternelle... Si vous avez la Vie Eternelle en vous, vous pouvez démontrer la Vie Eternelle. Vous vous abstenez des choses du monde.

36 Mais le jour de la Pentecôte, quand ils ont vu tous ces gens manifester la nouvelle Vie ressuscitée, qu’ils étaient inoculés, ils ont demandé à l’un des médecins de Dieu... Voulez-vous connaître son nom ? Docteur Simon Pierre. Ils lui ont demandé : « Que pouvons-nous faire pour recevoir ceci ? »
Et Docteur Simon Pierre a écrit une prescription pour toutes les générations. Il a dit : « Repentez-vous, chacun de vous. » Cela signifie faites demi-tour. « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit ; car cette prescription est pour toutes les générations, pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
Voilà la prescription. Vous pouvez recevoir le Saint-Esprit. La promesse est pour vous, quand vous vous éloignez de votre incrédulité et que vous vous repentez, que vous faites demi-tour, et vous tournez vers Dieu, plutôt que vers votre pensée intellectuelle. Dieu a fait la promesse. C’est la prescription que le Docteur Simon Pierre a écrite : « La promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
Dieu est toujours vivant. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

37 Pourquoi alors ? N’y a-t-il pas de Baume en Galaad ? N’y a-t-il pas de médecin là ? Certainement. Il y a un grand Médecin ici. Pourquoi les gens ne veulent-ils pas recevoir cela ? C’est à cause de leur incrédulité. Ils s’asseyent juste dans l’église et meurent. Ils reviennent du cabinet médical et se couchent dans la maison, et ils meurent, parce qu’ils refusent de croire au grand Médecin. Ils se couchent dans leurs lits de la mondanité, périssent et vont à un enfer éternel, parce qu’ils refusent de recevoir le Baume qui est en Galaad pour les âmes pécheresses. Que cela ne vous arrive pas, mes amis.
Je vous ai parlé longuement. Mais laissez-moi dire ceci : voici environ 45 minutes que je parle. Il y a du Baume en Galaad. Il y a là un Médecin. Alors pourquoi l’église est-elle si malade ? Pourquoi est-elle si pleine de péchés ? C’est parce que les gens refusent de – de croire cela. Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement, est ressuscité des morts. Il est juste ici maintenant. Il est le même qu’Il était autrefois. Quand Il était ici, Il n’a pas prétendu être un guérisseur. Il a seulement déclaré qu’Il faisait... Dans Saint Jean 5.19, Jésus a dit : « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père ; le Fils le fait pareillement. »

38 En d’autres termes, Il n’accomplissait pas un miracle sans avoir vu dans une vision ce que Dieu faisait. Et alors, Il disait : « Le Père agit, et Moi j’agis jusqu’à présent. » Le Père Lui montrait ce qu’Il devait faire. Eh bien, Il a dit : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi, vous en ferez davantage. » Je sais que le Roi Jacques dit « de plus grandes », mais ça ne peut pas être de plus grandes, c’est « davantage » ; en effet, Il était dans un seul Homme à ce moment-là ; aujourd’hui Il est partout dans le monde et dans chaque membre. « Vous en ferez davantage, parce que Je m’en vais au Père. »
Pensons-y maintenant, et sachons qu’il y a du Baume en Galaad. Il y a du Baume dans le Nom de Jésus-Christ, s’il est prononcé par des lèvres saintes et respectueuses, qui ont été sanctifiées par Son Sang et appelées au ministère. Pourquoi ai-je dit cela ? Parce que Jésus a dit : « Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai. Si vous demeurez en Moi, et que Mes paroles sont en vous, demandez ce que vous voulez, et cela vous sera accordé. » Prions. Il y a du Baume en Galaad. Galaad, c’est l’Eglise.

39 Et dans l’auditoire invisible, si vous n’avez jamais... Là-bas, mon cher ami qui êtes rejeté... Vous n’êtes pas rejeté de Jésus-Christ. Il vous aime, et Il vous veut. Et vous avez recherché la satisfaction. Vous êtes allé aux parties de danses, vous êtes allé à des endroits, vous avez bu, vous avez joué à l’argent, vous avez vécu dans l’adultère. Il y a peut-être beaucoup de choses que vous avez faites. Et il se peut que vous ayez même adhéré à l’église.
Ce n’est pas ce que vous devez faire ; vous devez naître de nouveau. C’est ça l’inoculation du grand Médecin. C’est à ce moment-là qu’Il vous garantit qu’Il vous gardera. « Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé a (temps présent) la Vie E – Eternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. » Ecoutez cela, ami pécheur, et acceptez-Le maintenant comme votre Sauveur personnel.

40 S’il y a dans cet auditoire visible quelqu’un qui n’a pas encore accepté Christ comme son Sauveur personnel, et qui voudrait qu’on se souvienne de lui dans la prière, maintenant, afin qu’avant qu’il ne quitte cette salle, Dieu lui donne la nouvelle naissance, voulez-vous lever la main et dire : « Priez pour moi, Frère Branham, je veux croire maintenant de tout mon coeur, et je mets tout de côté. Cependant, je n’ai encore jamais vu un mouvement de Sa résurrection. Je… Avant que quelque chose soit fait ce soir, je veux malgré tout accepter cela sur base de Sa Parole. Je crois qu’Il est vivant, qu’Il vit dans Son Eglise. » ?
Et si la vie du cep... Si la première Eglise... Jésus a dit : « Je suis le Cep... » Ecoutez attentivement. « Je suis le Cep ; vous êtes les sarments. » Et si le premier sarment qui est sorti du Cep était un sarment pentecôtiste, portant la guérison divine ainsi que tous les signes de la résurrection, le deuxième sarment sera exactement comme le premier ; et ce sera pareil jusqu’au dernier sarment, parce que c’est la même Vie qui est dans le Cep.

41 Eh bien, si vous ne croyez pas dans ces choses, comment pouvez-vous... Comment pouvez-vous vous joindre à une église et avoir ces choses ? Vous devez naître de l’Esprit de Dieu, alors la Vie qui est dans le Cep sera dans le sarment, et vous porterez le fruit de Sa Présence qui est avec vous.
Prions. Dieu bien-Aimé, nous T’apportons ce soir, dans l’auditoire visible et invisible, tous ceux qui cherchent la Vie Eternelle, tous ceux qui veulent être remplis de Ton Baume. Il y a du Baume en Galaad pour l’âme malade du péché. Il y a là aussi un Médecin pour guérir.
Et pourquoi, ô Seigneur, l’église est-elle si pleine de péchés ? Pourquoi les gens n’arrivent-ils pas à croire ? En effet, nous savons que l’incrédulité, c’est le péché, et c’est le seul péché qui existe. « Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Et les gens font le mal puisque ce sont des incroyants. S’ils étaient des croyants, « voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, a dit Jésus, en Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues, saisiront des serpents ; ou boiront des breuvages mortels ; et ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris. »
Ô Dieu, accorde ce soir que chaque personne, peu importe comment… à quel niveau il nous faut descendre, Seigneur... Si la nouvelle naissance est juste comme la naissance naturelle, un gâchis, peu m’importe, Seigneur, e… que je doive devenir un proscrit, que je doive être traité de saint exalté, ou de n’importe quel genre de nom vulgaire que le diable a donné à l’Eglise [Espace vide sur la bande – N.D.E.]... traité de tout, donne-moi simplement la Vie Eternelle. Accorde-moi d’avoir Christ dans mon coeur. Accorde que j’aie le Baume de Galaad, car je L’aime. Accorde Ta grâce à tout celui qui Le désire librement, Seigneur. Nous Te les présentons comme des trophées de ce Message. Garde-les, Seigneur. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.

42 A vous tous qui suivez par la radio et qui avez accepté Christ comme votre Sauveur personnel, je vous conseille maintenant de vous glisser quelque part et de demander à Dieu de vous remplir de Son Saint-Esprit.
Eh bien, vous dites : « Frère Branham, c’est une doctrine très dure pour un baptiste. Je pensais qu’on recevait le Saint-Esprit quand on croyait. »
Dans Actes 19, Paul a dit aux baptistes là-bas : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru ? » Voyez-vous ?
Quelqu’un me parlait il n’y a pas longtemps, il a dit : « Frère Branham, savez-vous que Dieu avait donné à Abraham dans un... Il a ôté ses péchés, et cela lui fut imputé à justice, parce qu’il croyait en l’Eternel. Tout ce qu’il pouvait faire, c’était de croire. »
J’ai dit : « C’est vrai. Mais Il lui donna le sceau de la circoncision comme confirmation qu’Il avait agréé sa foi. »

43 Et si Dieu ne vous a pas encore donné le Saint-Esprit et vous prétendez être un croyant, sans avoir jamais reçu le Saint-Esprit et sans être jamais passé de la mort à la Vie, alors Dieu n’a pas encore confirmé votre foi. Voyez-vous ? Ephésiens 4.30 dit : « N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par Lequel vous avez été scellé jusqu’au jour de votre rédemption. » C’est ça le Sceau de Dieu, le Saint-Esprit. Recevez-Le, mes amis.
A vous mon auditoire visible ici ce soir, dès que la ligne de prière sera terminée, j’aimerais que vous contactiez quelques-uns de ces braves prédicateurs que voici. Vous avez accepté Christ comme votre Sauveur ; parlez-en avec eux. Adhérez à leurs églises. Allez et choisissez-vous une église quelque part, n’importe quelle dénomination que vous voulez ; cela dépend de vous. Afin que vous naissiez de nouveau et soyez rempli de l’Esprit de Dieu. Vous ferez honneur à n’importe quelle église, si vous recevez Christ de cette façon-là. Que Dieu vous bénisse.

44 Maintenant, nous allons appeler la ligne de prière. Etant donné qu’il se fait un peu tard ce soir, je me suis dit que je ferais ceci : ce soir dans la ligne de prière, je voudrais appeler juste un petit nombre, dans ce que nous appelons la ligne biblique, là où le Saint-Esprit pourrait nous parler, pour voir s’Il voudra bien le faire. Je ne dis pas qu’Il le fera. Mais s’Il le fait et accomplit les mêmes choses sur lesquelles j’ai prêché, lorsque Dieu... Et – et j’appelle cela... Et je n’ai pas l’intention d’être sacrilège en disant cela ; l’Inoculation, Il a déversé Son Saint-Esprit dans Son Fils Jésus, et ce Dernier est allé çà et là et a accompli ces genres de signes, Il a dit à Pierre qui il était, Il a accompli et a discerné les pensées de l’esprit, et Il a dit à la femme... Et c’était là le signe du Messie.
Pourquoi n’a-t-Il pas fait cela avec un homme des Gentils ? Pas une seule fois dans la Bible. Pourquoi ? Les Gentils n’attendaient pas Sa Venue. A présent, les Gentils ont prêché l’Evangile pendant deux mille ans. Maintenant, nous attendons Sa Venue. Dieu ne peut pas être infini, celui qui ne fait acception de personne, et leur donner ce signe pour ne pas nous le donner à nous. Il a promis qu’Il le ferait. Combien croient cela ? Il l’a certainement promis.
Très bien, nous en parlerons davantage demain soir. Il se fait tard.

45 As-tu distribué des… ? Série A, de 1 à...?... Mon fils a distribué les cartes de prière. Combien ici n’ont pas reçu de cartes de prière et sont malades ? Levez la main ? Très bien. Voyez comment le Saint-Esprit va agir.
Maintenant, nous allons appeler... Nous veillerons à ce que les cartes soient apportées pour qu’on prie pour les concernés. Nous ne les prenons pas ce soir, nous le ferons demain soir. Nous allons commencer quelque part sur cette ligne et appeler quelques personnes sur cette centaine de cartes de prière. Carte de prière série A... Voyons. Appelons les vingt dernières. Cela fait de 80 à 100 de la série A. Et celles qui sont les premières seront les dernières, et celles qui sont les dernières seront les premières. C’est vice versa ; au lieu de commencer par la première tranche, nous allons commencer par la dernière tranche. Et puis, nous allons aussi les prendre au fur et à mesure que nous avançons, peut-être ce soir, sinon, nous les terminerons demain soir, les cartes de prière.

46 Qui a la carte de prière 80 ? 80 ? A-80, levez-vous. S’agit-il de vous ? Veuillez vous tenir juste... Descendez-là, je vous prie, certains d’entre vous, pour aider. 80 ? 81, qui a le 81 ? Levez la main si c’est possible. 81 ? 82 ? Très bien, madame, juste par ici. 83 ? Là-haut au balcon ? 83 ? Qui a la carte de prière 83, voulez-vous lever la main ? Peut-être qu’il s’agit d’un sourd, de quelqu’un qui n’entend pas. Regardez vos cartes de prière. Que chacun regarde sa carte de prière. Carte de prière 83 ? Regardez la carte de prière de votre voisin. Peut-être qu’il s’agit d’un estropié. Nous voyons des lits de camp et des civières. Que quelqu’un regarde leurs cartes de prière. Peut-être qu’ils ne peuvent pas se lever, ou ne peuvent même pas lever la main. 83 ? Très bien. Peut-être qu’il est sorti. Si tel est le cas, il se peut qu’il revienne prendre sa place. 84 ? Qui a la carte de prière 84 ? La dame qui s’en va là ? Levez la main lorsque je vous appelle. 85 ? Très bien. 86 ? 87 ? 88 ? Puis-je voir 88 ? Carte de prière 88, 89, 90, 91, 91 ? 92, 93, 93 ? 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100 ? Ai-je vu le 100 ? Qui a la carte de prière 100 ? Très bien, ça vient de très loin derrière.
Eh bien, pendant que ces... Nous allons les garder pendant quelques minutes, puis nous allons recommencer de l’autre côté.

47 Maintenant, je voudrais dire ceci pendant que vous attendez tous juste un instant, et que les huissiers apprêtent les gens à conduire sur l’estrade... Je voudrais avoir toute votre attention. Je voudrais que ceux qui suivent par la radio... Je pense que nous avons quitté l’antenne maintenant. Très bien. J’allais leur donner aussi quelque chose. Mais maintenant, vous qui êtes ici... Eh bien, ne bougez pas, restez vraiment tranquilles. Ne vous déplacez pas, soyez très révérencieux.
En effet, combien dans cette salle savent que je ne les connais pas ? Levez la main. Combien là-bas dans cette ligne de prière savent que je ne les connais pas ? Levez la main, tout le monde dans la ligne de prière. Combien sont malades et n’ont pas de cartes de prière, mais qui pourtant veulent que Dieu les guérisse ? Levez la main. Je voudrais voir. Ceux qui n’ont pas de cartes de prière... ? Il y en a des centaines. Très bien. Je veux que vous fassiez ceci : pendant qu’ils alignent les gens, je veux que vous regardiez juste par ici vers moi maintenant. Ecoutez attentivement.
Maintenant, j’ai prêché longuement. Il y a du Baume en Galaad. Combien savent que le Baume en Galaad, que Dieu a mis là-dedans, c’est le Saint-Esprit ? Bien, si le Saint-Esprit dans la première Personne a fait que cette Personne agisse de manière à pouvoir, par l’Esprit de Dieu, à pouvoir discerner les pensées des gens et révéler [des choses] aux gens, et ainsi de suite comme cela, fera-t-Il la même chose s’Il est encore inoculé en nous ? Est-ce juste ? Si la même Vie est en nous...Jésus a-t-Il dit : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi » ? A-t-Il dit cela ? Alors Sa Parole doit être vraie.

48 Alors, aux ministres, et à ceux qui sont là, écoutez ceci maintenant. Vous n’avez pas de carte de prière. Maintenant, vous ne ... La carte de prière n’a rien à voir avec la chose. Maintenant, écoutez. Permettez que je vous raconte une petite histoire.
Une fois, Jésus traversait une mer houleuse. Et il y avait là une petite femme. Que nous... Elle avait une perte de sang. Et disons qu’elle n’avait pas de carte de prière, ainsi elle ne pouvait pas entrer dans la foule. Mais elle s’est frayée une voie d’une façon ou d’une autre, jusqu’à ce qu’elle a dit dans son coeur... Maintenant, écoutez attentivement. Elle a dit dans son coeur : « Si seulement je peux toucher le bord du vêtement de cet Homme, je serai rétablie. » Avez-vous déjà lu cette histoire ? Levez la main. Très bien. Et elle a dit : « Je crois qu’Il est le Messie qui a été annoncé. Il est ce prophète galiléen. »

49 Un matin, pendant que la foule s’était réunie sur la rive, tout le monde Le touchait et disait : « Salut, Rabbi. Comment vas-tu, Docteur, Prophète de Galilée ? » Et d’autres se tenaient là, disant : « Hé ! toi qui ressuscites les morts, nous en avons un cimetière plein ici. Viens en ressusciter quelques-uns ici. Toi qui as ramené Lazare à la vie, essaye cela sur le vieil homme Jones ici (Voyez-vous ?) ; il est mort il y a environ une semaine ; un bon vieil homme qui payait ses dîmes et tout. Viens essayer cela sur lui. Essaye cela sur le petit bébé de Johnson qui gît ici. » Il s’agit là des critiqueurs, généralement les membres d’église. « Viens essayer cela sur lui. »
Jésus a dit : « Je ne fais rien à moins que le Père me le montre premièrement. » Voyez-vous ? C’était là Sa réponse aux critiqueurs.
Mais cette petite femme, elle s’est faufilée, jusqu’à ce qu’elle a touché le bord de Son vêtement.

50 Tout le monde sait que le vêtement palestinien flottait autour de la personne. Et c’était une robe. C’est la raison pour laquelle ils faisaient le lavage des pieds. Quand les gens marchaient, cette robe ramassait de la poussière là où les animaux avaient été sur la route, et – et ils attrapaient la poussière, et cela puait. Ils devaient être lavés avant de pouvoir être honorés comme invités dans une maison. Et puis, ils portaient un vêtement de dessous qui dépassait les genoux.
Et maintenant, tout le monde sait que ce petit toucher de la bordure, du bord de ce vêtement, (elle se tenait probablement quelque part à une distance de 2 à 6 ou 8 pouces de Lui) physiquement parlant, Jésus n’a pas du tout senti cela.
Et elle L’a touché puis s’est retirée, disons, dans l’auditoire, et s’est assise. Jésus s’est arrêté. Il a dit : « Qui M’a touché ? »
Et vous savez, c’était une telle surprise que Simon Pierre L’a même repris. Il a dit : « Pourquoi, Seigneur, pourquoi dis-Tu une chose pareille ? Eh bien, c’est tout le monde, c’est toute la foule qui Te touche. Et comment peux-Tu dire : ‘Qui m’a touché ?’ » Il a dit : « Eux tous T’ont touché. »
Voici la réponse de Jésus : « Mais J’ai connu que Je me suis affaibli. » Le Roi Jacques dit : « Une vertu est sortie de Moi. » Et tout le monde sait que la vertu, c’est la force. « Une force est sortie de Moi ; cela m’a affaibli. »
Voyez-vous, elle L’avait touché d’un genre de toucher différent. Il ne savait donc pas qui c’était. Mais c’est elle qui L’avait touché. Ecoutez maintenant. Alors Il s’est retourné et a parcouru des yeux l’auditoire, peut-être comme celui-ci ce soir. Il a regardé tout autour jusqu’à ce qu’il a trouvé la petite femme. Et Il lui a dit que sa foi l’avait guérie de sa perte de sang. Est-ce juste ? Qu’était-ce ? Il avait en Lui un certain type d’inoculation venant de Dieu, un Baume de Dieu, un B-a-u-m-e de Dieu en Lui, qui était le Saint-Esprit, puisque cette femme, par sa foi en Dieu, sachant que c’était Son Fils, L’a touché ; et cela a attiré l’attention sur la femme. Est-ce juste ? Et Il a dit : « Ta foi, ta perte de sang est finie maintenant, parce que ta foi a... » Le mot grec, c’est Sozo, qui signifie sauvé, physiquement ou spirituellement, les deux à la fois dans toutes les Ecritures, Sozo. Très Bien. « Ta foi t’a sauvée. »

51 Maintenant, Jésus Christ est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement ? Si vous le croyez, dites : « Amen. » [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Très bien. Prédicateurs, ministres, enseignants d’école du dimanche, laïcs, le Nouveau Testament, enseigne-t-Il, dans l’Epître aux Hébreux, qu’Il est maintenant même le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités ? Est-ce juste ? Eh bien, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, et si vous L’avez touché de la même manière, n’agira-t-Il pas comme autrefois ? S’Il est le même Souverain Sacrificateur, la même Vie. Maintenant, où est-Il ce soir ? A la droite du Dieu Tout-Puissant, faisant l’intercession en tant que Souverain Sacrificateur.
Maintenant, si vous L’avez touché, et que cette Vie qui était en Lui, le Baume qui était en Galaad, en Christ, car Il était l’Eglise dans la plénitude... Et maintenant, nous sommes Son Epouse, qui a été tirée de Lui pour servir à Sa place. Si vous L’avez touché, Il pourrait parler par moi ou par quelqu’un, et parler exactement comme autrefois, et vous dire la même chose qu’Il a dite à la femme, s’Il est le même Souverain Sacrificateur. Est-ce juste ?

52 Maintenant, vous qui n’avez pas de cartes de prière, priez, et voyez. Ne critiquez pas simplement. Restez tranquilles pendant les prochaines dix ou quinze minutes, et dites dans votre coeur : « Seigneur Dieu, peut-être que je ne comprends pas ceci. » Moi non plus, je ne comprends pas, mais je sais que c’est la Parole de Dieu. Dieu est obligé de tenir Sa Parole. Dites : « Seigneur, je suis malade. Cet homme ne me connaît pas. Mais je suis malade, et j’ai besoin de Ta puissance de guérison. Et si je ne la reçois pas, je vais périr. Mon médecin a fait tout son possible. Il m’a abandonné. Et j’ai le droit de venir à Toi. Je ne peux pas me rétablir autrement. Aie pitié, ô Grand Souverain Sacrificateur de Dieu, Jésus-Christ, Son Fils. Touche-moi ce soir, et répond au travers de Ton serviteur, et permets qu’il me parle ici comme Tu l’as fait avec la femme qui avait touché Ton vêtement. Permets-moi de toucher Ton vêtement, et confirme-le-moi. Je n’ai même pas une carte de prière. Je ne peux pas monter sur cette estrade. Parle-lui tout simplement, et permets qu’il me parle, et je prendrai… je croirai cela de tout mon coeur. » Allez-vous le faire ? Vous qui n’avez pas de carte de prière, levez la main et dites : « Je vais le faire. Je vais prier et être vraiment sincère. »
Si donc Il ne le fait pas, alors je suis un faux prophète. S’Il le fait, c’est que j’ai dit la vérité, et alors vous, recevez-Le. Et vous saurez alors qu’il y a du Baume en Galaad.

53 Très bien. Est-ce que tous, tout le monde est venu ? Tous... ?... Très bien. Qu’en est-il de cette femme qui manque ? Est-elle entrée dans la ligne ?
Maintenant, s’il vous plaît, soeur. Très doucement pendant que vous pouvez continuer sur l’orgue : Crois seulement. Tout doucement. C’est la première soirée.
Maintenant, avec cette Bible sur mon coeur, que je chéris comme étant la Parole du Dieu Eternel... Alors, si Dieu a promis que Jésus, Son Fils, qui était Dieu sur la terre, Dieu fait chair qui a demeuré parmi nous... Je crois que l’Esprit de Dieu, par Jésus-Christ, a promis qu’Il demeurerait avec nous pour toujours, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut pas recevoir.
Avez-vous déjà pensé à ce que c’était ? Et si vous ne pouviez pas croire ? Ce serait la chose la plus pitoyable à laquelle je puisse jamais penser. En effet, Jésus a dit : « Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire. » Il faut que Dieu nous attire.

54 Et maintenant, Lui qui est présent... Je ne vois présentement dans cette salle personne que je connais. Je sais qu’il y a quelqu’un ici qui… mes garçons qui enregistrent les bandes, Leo et Gene, mon fils. Je connais certains des ministres qui sont ici. Mais j’essaye de regarder là pour voir s’il y a une personne que je connais, que je connais personnellement. Je cherche frère Wood. Il est ici quelque part. Frère Sothmann du Canada... Frère Wood est là, frère Sothmann du Canada, ici derrière... Oui, je connais, juste ici, frère Welch Evans, son épouse, sa fillette.
Combien là-bas savent que… au balcon ou n’importe où, savent que je ne les connais pas ? Levez la main. Très bien. Mais Dieu vous connaît. Si donc je puis me soumettre au Saint-Esprit, pour que je n’utilise pas ma pensée, et qu’Il prenne totalement le contrôle, et qu’Il laisse Son… l’Esprit de Son Fils, Jésus, accomplir la même oeuvre que Jésus, croirez-vous ? Maintenant, ici... Est-ce la patiente ? Etes-vous la dame ? Très bien.

55 Voici une femme. Je pense que nous sommes étrangers l’un à l’autre. Dieu connaît cette femme ; Il me connaît. Je ne la connais pas ; elle ne me connaît pas. Mais Dieu nous connaît. Elle est ici dans un but ; je ne sais pas. Je n’ai aucune idée de ce dont la femme a besoin. Il se peut qu’elle ait des problèmes financiers. Il se peut qu’elle ait des problèmes de ménage. Il se peut qu’elle soit malade.
Eh bien, qu’arriverait-il si j’allais vers elle et disais : « Madame, alléluia ! vous êtes ici sur l’estrade. Alléluia ! » Voyez-vous, ça c’est très bien. « Vous êtes malade. Alléluia ! Je vais vous imposer les mains. Alléluia ! Vous allez vous rétablir. » C’est très bien. Assurément. Elle pourrait s’en aller et croire cela. Je – je crois que si elle était malade, elle se rétablirait, parce qu’elle est venue avec révérence à ce qu’elle pense être juste. Elle vient pour recevoir quelque chose.
Or, je ne la connais pas. Mais si Dieu veut bien me parler et me dire quelque chose comme Il l’a fait pour – pour la femme au puits, c’est un autre tableau, un homme et une femme qui ne se sont jamais rencontrés auparavant, comme dans Saint Jean 4, avec la femme au puits... Ou, s’Il disait quelque chose comme Il l’avait dit à Philippe, ou à Pierre, ou à l’un d’eux, à l’époque, ou s’Il lui disait quelque chose qui est dans sa vie, quelque chose qu’elle a fait, quelque chose qui ne va pas en elle, quelque chose qu’elle désire, des problèmes qu’elle connaît, ou quelque chose qu’elle sait être vrai... Si Dieu sait ce qui a été, vous pouvez certainement accepter Sa Parole pour ce qui sera, s’Il peut révéler ce qui a été. Est-ce juste ?

56 Prions. Maintenant, Seigneur, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, je me remets maintenant entre Tes mains, ô Seigneur. Prends tout mon être, ma pensée, mon esprit, ma force, et tout ce qui est en moi, ô Seigneur, ça ne vaut rien. C’est une chose vraiment minable à Te soumettre. Mais si Tu cherches ce soir des mains saintes et des yeux saints, on ne les trouvera pas sur cette terre. Mais Tu prends les choses corruptibles du monde, Tu les purifies par Ton Esprit et les utilises pour Ta gloire, prenant les choses folles du monde pour confondre les sages et les puissants. Qu’il soit connu ce soir, Seigneur, que j’ai dit la vérité, que Tu es Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’il y a du Baume en Galaad, et qu’il y a également un Médecin. Que cela soit connu ce soir, Seigneur, et parle à ces précieuses personnes, celles qui ont des cartes de prière et celles qui n’en ont pas, afin qu’elles puissent croire que Tu es ressuscité des morts et que la Venue de Ton glorieux Etre saint est tout proche, et que ces choses reflètent seulement, à travers Ton serviteur, la véritable Venue du vrai Messie. Accorde-le, Seigneur, au Nom de Jésus. Amen.

57 Maintenant, restez tranquilles. Et au Nom de Jésus-Christ, je prends sous le contrôle du Saint-Esprit chaque âme qui est ici.
Etant donné que je suis un étranger pour vous, que je ne vous connais pas et ne vous vois pas, si le Saint-Esprit me révèle à votre sujet quelque chose que vous êtes certain que j’ignore, accepterez-vous alors que cela vient de Christ ? Eh bien, vous devrez dire que cela doit venir du surnaturel. Cela doit venir... Cela doit être soit la puissance du diable, soit la puissance de Dieu. Cela ne peut pas être naturel ; Cela doit être surnaturel. Si vous croyez que c’est la puissance de l’ennemi, alors vous recevrez sa récompense. Si vous recevez cela comme étant la puissance de Dieu, alors vous recevrez la récompense de Dieu.
Jésus... Ceux qui ont dit... Quand il fut dit à Nathanaël où il était avant de venir à la réunion, il a dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »
Et Il a dit : « Tu es heureux. Parce que Je t’ai dit ces choses, tu crois. Tu verras de plus grandes choses que celle-ci. »
Mais pour les pharisiens qui ont traité cela des oeuvres du diable, d’un genre de spiritisme, ou – ou de télépathie, ou quelque chose de ce genre… Ils ont dit : « Il est Béelzébul. » Où pensez-vous qu’ils se trouvent ce soir ? Où pensez-vous que Philippe se trouve ? Maintenant, cela dépend de vous. Je ne peux agir que suivant ce qu’Il me dit. Mais si le Seigneur me révèle votre cause, votre problème, croirez-vous ?
Combien dans cette église croiront ? Combien là-bas croiront ?

58 Voici cette femme et moi, c’est la première fois que nous nous rencontrons, nous ne sommes jamais vus dans la vie. Mais le Saint-Esprit est ici.
La femme souffre d’une maladie nerveuse. C’est pour cela qu’elle veut qu’on prie pour elle ; il s’agit d’une très grande nervosité. Cette maladie nerveuse est mentale, des pensées, des pensées étranges vous viennent, et tout, vous devenez très nerveuse. C’est juste. Satan vous dit même que vous allez perdre la raison, et tout comme cela. Mais c’est un mensonge. Je vous dirai ceci. Vous pourriez...
Combien croient maintenant ? Demandez à cette femme. Etait-ce juste, une maladie nerveuse ? Levez la main si c’est juste. Maintenant, combien croient ? Vous dites : « Frère Branham, peut-être que vous avez deviné cela. » Très bien, nous allons voir si nous l’avons deviné. Que le Saint-Esprit parle. Voyez si c’était deviné. Et ma prière est qu’Il l’accorde. Je ne dis pas qu’Il l’accordera. Puisse-t-Il le faire.
Oui, je la vois se déplacer. La femme semble s’éloigner de moi. Oui, elle est venue ici ; elle... Oui, elle n’est pas de cette ville ; elle vient de l’extérieur. Vous venez d’une autre grande ville, Chattanooga. C’est juste. C’est juste. Croyez-vous que Dieu sait qui vous êtes ? Vous vous appelez Cleo. Votre nom de famille est Dugan, Mlle Cleo Dugan. C’est vrai. Vous avez quelque chose sur le coeur, pour lequel vous priez. Il s’agit de votre soeur, et elle est à l’hôpital psychiatrique de Knoxville. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Croyez-vous maintenant que c’est l’Esprit de Dieu qui se trouve quelque part ici, qui révèle ceci ? Croyez-vous cela ? Ainsi, vous recevrez selon que vous avez cru. Allez, et que la paix de Dieu soit sur vous.

59 Là dans l’auditoire, croyez-vous de tout votre coeur ? Maintenant, ayez foi en Dieu. Si ce n’est pas le même Saint-Esprit de la Bible, alors, je ne connais pas la Bible. Maintenant, vous qui n’avez pas de cartes de prière, commencez à prier.
Nous sommes des étrangers l’un à l’autre. Est-ce notre première rencontre ? Très bien. Dieu nous connaît tous deux, n’est-ce pas ? Si Dieu me révèle votre problème, croirez-vous que je suis Son serviteur ? Je ne peux pas guérir ; je ne suis qu’un homme. Mais à ma naissance, je suis né avec un don. Toute ma vie, j’ai eu des visions. Pas une seule fois cela n’a failli. Vous souffrez également de la nervosité. C’est juste. Et vous avez un problème de dos. C’est juste. Si c’est juste, agitez la main. C’est votre mal de dos qui vous rend nerveuse. Vous vous appelez Mlle Wells. Vous êtes d’ici même à Cleveland. C’est juste. Continuez votre chemin en vous réjouissant ; c’est terminé maintenant. Soyez guérie. Ayez foi en Dieu.

60 Approchez, madame. Eh bien, croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre maladie ? Croyez-vous que c’est l’Esprit de Christ ? Vous croyez. Vous avez fait une chute, vous vous êtes blessée aux épaules ; et vous êtes ici pour qu’on prie pour cela. Vous n’êtes pas de cette ville, ni de cet Etat non plus. Vous êtes du Missouri. C’est juste. Continuez votre chemin et retournez dans le Missouri ; vous êtes guérie. Jésus-Christ vous rétablit. Dieu est Dieu.
La dame qui est assise juste ici, juste au bout de la ligne, en train de prier, souffre du coeur. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit, petite dame ? Croyez-vous cela ? Vous qui souffrez du coeur, qui êtes assise juste là, en train de me regarder, croyez-vous que Dieu va vous rétablir ? Oui ? Le croyez-vous ? Si vous croyez, acceptez cela. Rentrez chez vous et portez-vous bien.
La dame qui est assise juste derrière, la deuxième, là, souffre de la gastrite. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit ? Très bien. Alors rentrez chez vous, recevez votre guérison. Jésus-Christ vous rétablit. Avez-vous une carte de prière, madame ? Vous n’en avez pas ? Vous n’en avez pas besoin. Vous êtes déjà guérie. Dieu vous rétablit. Maintenant, continuez votre chemin.

61 Qu’a-t-elle touché ? Qu’a-t-elle touché ? Le Souverain Sacrificateur, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.
Je demande à cet auditoire au Nom de Jésus-Christ de croire que c’est la vérité, et de voir ce que le Saint-Esprit va faire pour nous. Ayez foi en Dieu ; ne doutez pas.
Cette dame-ci, sommes-nous des inconnus l’un pour l’autre ? Si c’est juste, levez la main. Nous ne nous sommes jamais rencontrés. Si Dieu me révèle votre problème, croirez-vous que je suis prophète de Dieu, ou plutôt Son serviteur ? Croyez-vous que l’Esprit de Dieu, que maintenant vous... Croyez-vous que cet Esprit de Dieu est en train de se mouvoir au-dessus de vous ?
Entre moi et cette dame s’installe cette Lumière. Combien En ont vu la photo qu’ils ont à Washington ? Elle se tient ici, juste entre moi et cette femme. Ne voyez-vous pas Cela en train de se mouvoir vers cette femme ? La voilà !
La dame n’est pas ici pour elle-même. Elle est ici pour quelqu’un d’autre ; c’est votre belle-fille. C’est juste. Et elle ne vit pas ici non plus. Elle est de la Géorgie ; et elle a des troubles nerveux qui rendent son parler… l’empêchent de parler et ainsi de suite. Et je vois aussi qu’elle est couverte d’une ombre. Elle est une pécheresse. Elle n’a pas reçu Christ comme son Sauveur personnel. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai, n’est-ce pas ? Partez trouver la chose telle que vous l’avez crue. Et que Dieu soit avec vous.

62 Croyez-vous, madame, vous qui êtes ici ? Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre problème, vous révéler cela comme Il l’a fait pour les autres, et comme Il l’avait fait aux temps bibliques ? Croyez-vous cela ?
Maintenant, quelqu’un a fait quelque chose. Le – le vieil homme qui est assis... L’homme qui est assis juste ici derrière et qui me regarde, qui a un problème à la jambe, vous allez subir une opération, monsieur. Avez-vous une carte de prière, monsieur ? Vous n’avez pas de carte de prière. Mais vous étiez assis là en croyant, est-ce juste ? Vous étiez assis là en croyant, n’est-ce pas ? Si c’est juste, levez-vous. Levez-vous. Est-ce la vérité ? Levez la main. Très bien, rentrez chez vous. Jésus-Christ vous rétablit. Vous avez touché le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Ayez foi en Dieu ; ne doutez pas.

63 Qu’est-ce que cet homme a touché ? Qu’était-ce ? Il priait. Il a vu arriver quelque chose. Il priait pour lui-même. Il savait qu’il ne pouvait pas entrer dans la ligne ; il n’avait pas de carte de prière. Mais il a touché Quelque Chose, et le Saint-Esprit tourne tout autour. Et Il était là, cet Ange se tenait là au-dessus de lui, cette Lumière qui se meut tout autour de lui. Et j’ai vu qu’il y a quelque chose sur sa jambe par ici, que les médecins veulent opérer. C’est l’exacte vérité. Si vous croyez de tout votre coeur, vous n’aurez jamais à subir une opération.
Croyez-vous que Dieu est ici ? Le Saint-Esprit ? Le Grand Souverain...?... croyez cela ? Assurément, Il est Dieu. Il est toujours Dieu. Si jamais Il était Dieu, Il est toujours Dieu, et Il sera toujours Dieu. Il ne peut pas changer ; Il est infini.

64 Est-ce la dame qui est la suivante ? Madame, si Dieu me révèle quelque chose dans votre vie, ou ce qui ne va pas en vous, allez-vous croire ? Ces choses, ces visions, vous tuent presque. Vous avez peur du cancer. C’est juste. Vous avez subi une opération au sein, et vous avez peur que cela ne revienne encore. Maintenant, c’est la vérité. Est-ce juste ? Agitez les mains vers les gens, si c’est juste. Eh bien, n’ayez pas peur. Il y a du Baume en Galaad, et il y a également un Médecin qui peut opérer sans bistouri, qui a effectué la première opération dans le jardin d’Eden et a retiré la maman Eve de la côte d’Adam. Croyez-vous que c’est Lui qui est ici ? Croyez-vous que c’est Lui qui vous connaît ? Alors, partez et croyez en Lui, et vous n’aurez plus jamais à subir cette opération, et le cancer vous quittera. Au Nom du Seigneur, qu’il en soit ainsi.
Je continue de sentir qu’un – un esprit pense que je lis les pensées de ces gens. Je n’arrive pas à localiser cela. Et si j’y arrive, je vais vous dire qui c’est.
Vous qui êtes assis juste là, souffrant de la tuberculose, le petit monsieur, avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas ? Mais vous souffrez de la tuberculose. Le grand Médecin se tient près de vous. Qu’avez-vous touché, monsieur ? Vous allez mourir si vous restez là. Acceptez-Le ; croyez cela. Tenez-vous debout et croyez, et vous serez guéri de cette tuberculose. Au Nom de Jésus-Christ, croyez cela.

65 Ici. Que cet homme vienne ici juste un instant, celui qui est malade. Ici, vous, placez votre main sur la mienne. Je vous suis étranger. Si Dieu me révèle votre problème, m’accepterez-vous comme Son serviteur et croirez-vous que Jésus-Christ est Son Fils ? Allez-vous le faire ? Eh bien, cet asthme vous quittera alors. Je ne le regardais pas.
Regardez ici. Venez ici. Croyez-vous que ces troubles cardiaques vont vous quitter ? Eh bien, alors, continuez votre chemin en vous réjouissant, en disant : «Merci. »
Vous souffrez aussi de l’asthme. Très bien, partez, ne – ne doutez pas, et vous guérirez de cela et serez en bonne santé.
Croyez-vous de tout votre coeur ? Et si je ne vous disais rien, croirez-vous cela ? Au Nom du Seigneur Jésus, partez et soyez en bonne santé, afin que les autres comprennent et voient.
Très bien. Maintenant, allez prendre votre souper. Cette nervosité et cette gastrite vous ont quitté. Vous pouvez donc poursuivre votre chemin en vous réjouissant, et dites : « Merci, Seigneur, de m’avoir guéri. » Amen. Ayez une foi efficace comme cela.
Croyez-vous que l’arthrite va vous quitter, et que vous serez en forme ? Très bien, continuez votre chemin et dites : «Merci Seigneur. »

66 Il vous faudra subir une opération de cette tumeur, si Dieu n’ôte pas cela de vous. Croyez-vous qu’Il le fera ? Très bien, levez la main et recevez le Seigneur Jésus comme votre Guérisseur et partez en croyant.
Croyez-vous que ce mal de dos va vous quitter ? Très bien. Mettez-vous simplement en route, en vous réjouissant.
Croyez-vous, là-bas ? Etes-vous convaincu que Jésus-Christ, le Fils de Dieu... ?
Votre mal de dos vous a aussi quitté, vous pouvez donc poursuivre votre route en vous réjouissant, et – et soyez heureux, et croyez.
Des troubles cardiaques, la nervosité ; allez simplement de l’avant en disant : « Merci, Seigneur, de m’avoir rétabli. »
Croyez-vous de tout votre coeur ? Combien croient ? Combien là-bas ? Y a-t-il du Baume en Galaad ? Y a-t-il également un Médecin ici ? Il est le grand Médecin, le Fils de Dieu.

67 Certains d’entre vous qui êtes affligés... Qu’en est-il de vous qui êtes sur le petit lit, la civière, peu importe ce que c’est. C’est la seule que je vois en ce moment. Croyez-vous que ce que vous voyez c’est Dieu ? Croyez-vous ? Si je pouvais vous guérir, madame, et vous faire quitter cette civière, je le ferais. Mais je n’en suis pas capable ; je suis un homme. Mais croyez-vous que Jésus-Christ peut le faire ? S’Il me révèle par Son Saint-Esprit la raison pour laquelle vous êtes couchée là et quel est votre problème, croirez-vous en Lui ? Puisse-t-Il accorder cela. Regardez-moi. Je le dis non pas comme Pierre et Jean ; mais détournez votre attention des autres pour nous regarder. Elie a dit : « Si je n’avais d’égard à Josaphat, je ne ferais aucune attention à toi. » Vous êtes couverte de l’ombre de la mort. Il s’agit des troubles cardiaques, un caillot de sang au coeur. C’est vrai. Les médecins ne peuvent rien faire à ce sujet. Dieu le peut. Croyez-vous cela ? Acceptez-vous votre guérison ? Alors, levez-vous au Nom de Jésus-Christ, prenez votre lit, rentrez chez vous, et soyez en bonne santé. Croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu et que je suis Son prophète ? Et n’ayez pas la moindre ombre de doute, levez-vous, prenez votre lit et rentrez chez vous. Faites cela et ne doutez pas, et vous serez... Oh ! vous pouvez vous lever. Sortez de là. Au Nom de Jésus-Christ, croyez cela. La voilà qui se lève.

68 Combien d’entre vous autres croient de tous leurs coeurs ? Levez la main. Tenez-vous debout, peu importe ce qui ne va pas en vous. Si vous êtes malade, aveugle, sourd, muet, ça ne dérange pas. Tenez-vous debout. C’est ça. Levez-vous. Peu importe qui ne se tient pas debout. Que les malades, les gens pieux se...?... Qu’y a-t-il ? C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Maintenant, pri-… prions ensemble.
Ô Seigneur, Créateur du ciel et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, envoie Ton Esprit sur ces gens. Il y a du Baume en Galaad. Il y a un Médecin. Ô Seigneur, comme cette femme qui était couchée sur le petit lit s’est levée en Te louant et en Te glorifiant, permets aussi que cette femme estropiée se lève, d’autres... C’est Ta puissance, Seigneur.
Satan, tu as perdu la bataille. Jésus-Christ t’a vaincu. Tu es un séducteur. Tu n’as pas de droit légal. Tu es un bluffeur, et nous te dévoilons. Et au Nom de Jésus-Christ, sors de ces gens ! Et toi, esprit de maladies, d’afflictions et d’affections, va-t’en maintenant ! Sors ! Et que ces gens soient en bonne santé.
La dame se tient debout. Cette dame estropiée est debout ; d’autres sont debout. Dieu vous a guéris si vous – si vous croyez cela. Si vous croyez, levez les mains. Louez-Le. Allez-y, au Nom du Seigneur, et soyez guéris.

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