Témoignage de William Branham

Autres traductions de ce sermon: La Révélation qui m’a été donnée - MS
Date: 60-0210 | La durée est de: 1 hour and 39 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le texte français seulement Voir le texte anglais seulement

1 ...?... Bonjour. Mes salutations chrétiennes! Que la paix de Dieu soit avec vous! C’est un grand privilège pour moi, ce matin, de me tenir devant ce groupe de ministres, pour expliquer l’espérance de la vie qui est en moi. Bien des fois, quand je viens au...
Autrefois, quand je suis venu sur l’île, j’étais un orateur de l’Association Internationale des Hommes d’Affaires Chrétiens du Plein Evangile. Je viens d’être introduit en tant qu’orateur, mais j’ai toujours été d’avis qu’une campagne devrait être menée sous les auspices d’une association de ministres; en effet, ç’a toujours été mon avis et mon intention d’utiliser les dons de Dieu comme la Bible le prévoit . C’est pour le – unir des croyants, susciter la communion entre les croyants. Je crois qu’il y a des saints de Dieu dans toutes les églises chrétiennes. Je ne crois pas que nous devrions être divisés. Je ne crois pas non plus que c’est le plan de Christ que nous soyons divisés. Nous devons être un. Jésus a dit : «A ceci, tous connaîtront que vous êtes Mes disciples, si vous avez l’amour les uns pour les autres.»

2 En ce qui concerne la guérison divine, je ne sais pas ce qu’il en est sur cette île, mais pour parler du reste du monde où j’ai voyagé, le corps malade de Christ a plus besoin de la guérison divine que tous nos corps malades réunis. (Vous voyez? Le – le corps malade de Christ étant démembré, vous savez, par des divisions, est... la guérison de ce Corps est plus importante que la guérison de nos corps physiques.) [Frère Branham parle avec l’interprète. – N.D.E.] En effet, unis, nous tenons bon, mais divisés, nous tombons. C’est comme le cantique que l’on chantait quand je suis entré: «En avant soldats chrétiens, nous ne sommes pas divisés; tous, nous formons un seul corps.» Et c’est ainsi que nous devrions être.
Le ministère que le Seigneur m’a donné est très inhabituel (étrange) pour ce jour, car nous avons eu deux mille ans d’enseignements intellectuels des Ecritures, mais le temps de la Venue du Seigneur approche. Les promesses de Dieu doivent être accomplies. Et je voudrais essayer de vous l’expliquer, à vous les ministres qui êtes des bergers du troupeau, afin que vous compreniez que ce n’est pas un faux-semblant; c’est une promesse de Dieu qui doit s’accomplir.

3 Je crois donc que c’est un grand privilège ce matin d’avoir cette occasion de me tenir en ce lieu, pour essayer de vous apporter, à ma manière simple, la révélation qui m’a été donnée. Je vais commencer avec ceci : Romains, au chapitre 12, il est écrit : «Les dons et les appels sont sans repentir.»
Ils sont donnés à D-... par Dieu, selon Sa connaissance; c’est donc le seul moyen pour moi de pouvoir expliquer ce don. Si nous remarquons bien, les Ecritures enseignent que Jésus était le Fils de Dieu, immolé avant la fondation du monde. Dieu, par prescience, savait tout ce qui serait; c’est pourquoi, par Sa grande connaissance, Il pouvait prédestiner et prédire ce qui arriverait. Depuis le jardin d’Eden, Jésus était annoncé comme la Semence de la femme qui devait écraser la tête du serpent.

4 Moïse était né prophète, pas par sa propre bonté, ni par sa volonté, mais par la sagesse de Dieu et la prescience de Dieu. Il avait dit à Abraham que sa postérité séjournerait (séjournerait) dans un pays étranger.
Dites donc, je crois que tout le monde comprend quand même l’anglais, à ce qu’il paraît. Y a-t-il quelqu’un ici qui ne comprend pas l’anglais? Bien. Je pourrais le faire pour certains d’entre vous, mais... [L’interprète dit: «Vous donnez des phrases plus longues...» – N.D.E.] Oh! oh! Je vois. C’est juste.

5 Esaïe le prophète a vu Jean Baptiste 712 ans avant sa naissance. Il était impossible à Jean de le savoir, par lui-même, sa naissance était particulière; donc, Dieu savait qu’il viendrait.
Le prophète Jérémie, Dieu a dit qu’Il l’avait connu avant même qu’il fût conçu dans le sein de sa mère, et qu’Il l’avait consacré et établi prophète des nations. Avant qu’il fût né... Vous voyez, les dons et les appels sont sans repentir.

6 Ma famille – ma famille n’était pas religieuse. Nous sommes d’origine irlandaise, nous étions donc de souche catholique. Mais mon père et ma mère ne fréquentaient aucune église du tout. Je suis né là dans une cabane des montagnes, dans les montagnes du Kentucky. Nous étions très pauvres.
Et le matin de ma naissance, selon ce que ma mère me raconte, elle a ouvert une petite porte, sans vitre, c’était juste comme une fenêtre, bien que ce fût une porte; elle l’a ouverte, c’est mon père qui l’a ouverte, pour qu’elle puisse me voir quand je... un... quand j’étais... il m’a placé dans les bras de ma mère. C’était tôt le matin, vers cinq heures. Le soleil ne s’était pas encore levé, alors lorsqu’ils ont ouvert la fenêtre, une Lumière en forme d’un... comme un seau ou plutôt un oreiller est entrée par la fenêtre et S’est tenue au-dessus du petit lit où j’étais né. C’est la photo qu’on a à Washington D.C. aujourd’hui, et partout dans le monde on a la même photo. Eh bien, cela a étonné mes parents; ils ne savaient rien de la religion, ils ne savaient donc pas ce que c’était.

7 Quand j’avais environ deux ans, la première vision que je me rappelle avoir eue... Je jouais dans le jardin de derrière avec mon petit frère qui ne marchait qu’à quatre pattes. Et une voix vint d’un buisson et dit: «Tu habiteras près d’une ville appelée New Albany.» Cela... J’ai eu très peur, et j’ai couru à la maison le dire à ma mère. Elle ne savait pas ce que cela signifiait. Mais trois ans plus tard, nous sommes allés près d’une ville appelée New Albany, dans l’Indiana.
Et ensuite, à l’âge de sept ans, je transportais de l’eau dans un petit seau de la grange à la maison. Et c’était l’arrière-saison (en automne). Et je me suis assis sous un arbre pour me reposer juste un petit instant, avec les seaux en mains. Mon père était un très grand buveur. Et j’ai entendu le vent souffler. Et il y avait un très calme partout, et je me suis demandé d’où venait ce bruit. J’étais assis sous un grand arbre. J’ai fait un pas en arrière pour chercher tout autour d’où provenait ce vent. Et à peu près à mi-hauteur sur l’arbre, ayant à peu près la grosseur d’un tonneau, les feuilles tournoyaient sans arrêt, tourbillonnaient dans l’arbre. Et une Voix provint de là, disant: «Ne fume jamais, ne bois jamais, ni ne souille ton corps d’aucune manière; tu auras une oeuvre à accomplir quand tu seras grand. (Tu auras une oeuvre à accomplir.)», cela m’a effrayé. J’ai laissé tom-... tomber mes petits seaux, j’ai très vite couru à la maison, j’ai sauté dans les bras de ma mère en criant.
J’ai dit : «Il y a un homme là dans cet arbre.» Et je... elle était très agitée. Elle est allée près de l’arbre et a regardé tout autour pour voir s’il y avait quelqu’un là. Et j’avais très peur. Elle a appelé le médecin, et le médecin a dit : «Il est simplement agité.»

8 Puis, deux... environ deux semaines plus tard, je jouais aux billes avec mon frère, et Quelque chose est venu sur moi, et j’ai regardé vers la rivière. Et j’ai vu un grand pont enjamber la rivière, et j’ai vu seize hommes en tomber et mourir. Quand Cela m’a quitté, j’ai couru auprès de ma mère et je le lui ai dit. «Oh! a-t-elle dit, chéri, tu rêvais.» Mais je ne rêvais pas. Mais elle en a pris bonne note. Et vingt-deux ans plus tard, le pont municipal a enjambé la rivière au même endroit, et seize hommes ont perdu la vie dessus.
Cela arrivait toujours tout le temps, comme cela. Plus tard, je me suis converti. Tout ce qu’Il avait fait... tout ce que le – le Saint-Esprit a fait constituerait beaucoup, beaucoup de livres. Je vais donc devoir en toucher juste quelques points maintenant, pour que vous compre-... afin que vous compreniez.
Ensuite, quand je me suis converti, j’ai adhéré à l’Eglise baptiste, j’ai directement commencé à prêcher l’Evangile. Le Seigneur a beaucoup béni, et j’ai tenu mon premier réveil, un réveil de deux semaines, cinq cents personnes sont venues au Seigneur. Je les ai amenées à la rivière pour les baptiser. Et pendant qu’environ dix mille personnes se tenaient sur la rive, observant... Le temps était très sec, il n’avait pas plu depuis deux ou trois semaines. Les gens priaient pour qu’il pleuve. Et pendant que je baptisais la dix-septième personne qui s’était convertie, j’ai entendu une Voix dire: «Lève les yeux.» Cela m’a effrayé. Je n’étais qu’un jeune garçon.
La fille que j’ai épousée plus tard prenait des photos sur la rive. J’ai encore entendu Cela dire : «Lève les yeux.» Et j’ai eu peur de lever les yeux. Tout le monde sur la rive se demandait pourquoi j’hésitais. Tous... Beaucoup de gens sur la rive de la rivière... Des reporters de journaux... Et Elle a alors redit : «Lève les yeux.» Et j’ai levé les yeux, et comme je levais les yeux, voici venir cette Lumière qui descendait. Les gens ont commencé à s’évanouir, à tomber, et une Voix a retenti, ébranlant tous les alentours de l’endroit, disant: «De même que Jean Baptiste fut envoyé pour être le précurseur de la première Venue de Christ, le Message qui t’a été confié sera le précurseur de la seconde Venue de Christ.» Pas que je serais un précurseur, mais que le Message était le précurseur. Je ne connais pas plus que quiconque d’autre. C’est de Christ que nous parlons. Ensuite, je... ces visions ont commencé à m’apparaître plus que jamais auparavant.

9 Alors, ce journal a été envoyé à l’Associated Press. Cela est allé jusqu’au Canada et partout dans... Nous en avons encore des coupures de presse. Il était dit: «Une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un ministre baptiste local pendant...»
Et alors, quand ces visions ont commencé à venir, je pense que j’en ai vues des dizaines de milliers. Mais pas une seule fois cela a été faux. C’est toujours vrai. Vous pouvez aller dans ma contrée ou écrire à la ville où j’habite, aux officiels ou au maire de la ville, à l’association des ministres, pas une seule fois une vision a été fausse, c’est toujours parfait. Mais j’avais peur d’en parler aux gens.
Maintenant, voici quelque chose que j’aimerais d’abord vous demander : Combien ici sont remplis de l’Esprit? Levez la main. Je vous le dis pour que vous compreniez à coup sûr, ce qui était étrange là-dedans, c’est que lorsque j’approchais... Ou bien – ou bien, je vais prendre un soir où je traversais un terrain de carnaval, vous connaissez, une foire. Il y avait une jeune dame à côté d’une tente, une diseuse de bonne aventure. Et ma mère me disait tout le temps que les diseurs de bonne aventure, les spirites, étaient du diable. Et elle a raison.
Et cette petite diseuse de bonne aventure, une jeune dame de dix-sept ou dix-huit ans, a dit: «Dis donc, toi, viens ici.» Et je me suis approché d’elle. Elle a dit: «Sais-tu que tu es né sous un signe?»
Cela m’a effrayé. J’ai dit : «Je ne veux rien avoir affaire avec cela!» Et je m’en suis allé.

10 Plus tard, je suis devenu un garde-chasse de l’Etat de l’Indiana. (Un agent de la conservation de la nature.) Et un jour que j’étais dans un... que je montais dans un bus, il y avait beaucoup de monde, et j’avais... nous avons dû rester debout. Et j’éprouvais une drôle de sensation. J’étais toujours sensible aux esprits, particulièrement quand je rencontrais l’un de ces gens-là. Je sentais cette sensation très drôle. Et j’ai commencé à sentir cela, et j’ai regardé tout autour; et il y avait une femme corpulente qui regardait droit vers moi. Elle a dit : «Je voudrais te parler.»
J’ai dit : «Que voulez-vous?» Je n’aimais pas les femmes, mais pas – pas vous, soeurs, je – je veux dire, Il m’a dit de ne pas me souiller. Et cela m’a amené à avoir un complexe.
Et il en était donc ainsi parce qu’à l’époque, tous ceux que je fréquentais étaient des pécheurs. Et il y a une belle histoire que je pourrais raconter. Alors que l’on m’offrait du whisky, et c’est immoral, comment le Saint-Esprit est descendu et m’a fait reculer. Ce n’était pas moi. Vous voyez? Je l’aurais fait. C’était Dieu qui prenait soin de ce don. Cela doit se manifester.

11 Un jour, j’ai entrepris de me suicider, mais le coup de fusil ne partait même pas. Je l’ai ensuite dirigé ailleurs et j’ai tiré un coup. C’était Dieu qui prenait soin du don. Quand il... Tout comme Moïse, il ne pouvait pas fuir cela; Dieu mettra la main sur vous. Où que vous soyez, Il mettra la main sur vous.
Alors, cette femme... J’ai demandé : «Que voulez-vous?»
Elle a dit: «Monsieur, sais-tu que tu es né sous un – un signe?»
Aussitôt, cela m’a fait peur. J’ai dit : «Je n’en sais rien, et je ne voudrais rien en savoir.»
Elle a demandé : «N’as-tu jamais parlé aux prédicateurs?»
J’ai dit : «Je n’ai pas besoin d’eux. Je – je ne fréquente pas leurs milieux.» J’ai dit : «Je ne veux pas blesser vos sentiments, mais je n’ai pas envie d’entendre quoi que ce soit que vous ayez à dire.»
Elle a dit : «Monsieur, ce n’est pas gentleman.»
Et je me suis de nouveau retourné vers elle, j’ai dit : «Comment l’avez-vous su?»
Elle a répondu: «Quand tu es monté dans le bus, j’ai vu cela.» Elle a dit: «Je travaille à la Maison-Blanche.» Elle a dit: «Je suis maintenant en route vers Chicago pour voir mon fils qui est prédicateur.» Elle a dit: «Je suis une astronome.» Elle a dit: «Sais-tu qui... chaque fois que Dieu fait quelque chose, la première chose qu’Il fait, c’est de le déclarer dans les cieux, avant de le manifester sur la terre?»
J’ai dit: «Je n’en sais rien.» Et je me suis de nouveau retourné. Cela m’a un peu mis mal à l’aise, car il y avait beaucoup de gens dans le bus, et moi j’étais un agent de l’Etat. Et je me suis donc dit que ça n’avait pas l’air gentleman. Elle m’a donc appelé... a donc continué à m’appeler. Et je me suis de nouveau retourné; j’ai dit: «Quel rapport cela a-t-il avec moi?»
Alors elle a dit : «Quand Jésus-Christ était né, ou avant Sa naissance, des mages sont venus de l’Orient.» Elle a dit : «Qu’est-ce qu’un mage?»
J’ai dit : «Je n’ai aucune idée.»
Elle a dit : «Ce sont des astronomes, ils observent les cieux, et avant que Dieu fasse quoi que ce soit sur terre, Il le déclare dans les cieux.»
Et elle a dit... Je – j’ai dit : «Je ne sais rien à ce sujet.»
Elle a dit : «Mais quand Dieu donne un don, Il le déclare dans les cieux.»
Je – j’ai dit : «Je n’en sais rien.»
Et elle a dit: «Tu es né sous un signe.» Et elle a dit: «Et si je te disais quand tu es né, me croiras-tu?»
J’ai dit : «Madame, vous ne pouvez pas lire ma pensée. Je ne croirai pas cela.»
Et elle a dit: «Tu es né le 6 avril 1909, à cinq heures du matin.» Elle a dit: «C’est quand certaines étoiles, a-t-elle dit, se sont croisées», ou quelque chose comme ça (ou de l’astronomie).
Et j’ai dit : «Je n’en sais rien, et ça m’est égal.»
Elle a donc dit : «Tu peux négliger cela, mais, a-t-elle dit, si tu y accordes de l’attention, cela pourrait secouer le monde.»
J’ai dit : «Dites à ce jeune marin-ci quand il est né.»
Elle a dit : «Je ne pourrais pas le faire.»
Alors j’étais donc presque arrivé là où je devais descendre. Dans ma juste indignation, le visage tout rouge, tremblant, effrayé, j’étais heureux de descendre de ce bus.

12 Plus tard, quand je suis devenu prédicateur et que j’ai commencé à... alors ces visions étaient plus fréquentes que jamais. Elles annonçaient beaucoup de choses. Alors, mes frères baptistes me disaient , quand on se rencontrait dans une convention comme celle-ci, et que je leur expliquais cela, ils me disaient : «Billy, ne prête pas attention à ça. C’est du diable. C’est le diable qui essaye de t’avoir.»
Oh! la la! Ça m’a fait trembler. Je – j’étais effrayé. Je ne veux rien avoir à faire avec le diable. Un soir donc ou plutôt un après-midi, je venais de rentrer du travail. Je faisais le tour de la maison en ôtant ma ceinture, la ceinture du revolver, pour – pour pouvoir me laver les mains pour mon repas. Je devais rentrer pour libérer des poissons pour – pour la conservation de la nature. Ma femme avait apprêté le dîner, et pendant que je me mettais à faire le tour de la maison, tout à coup, voilà la chose revenir. Et j’ai dit à ma femme : «Va téléphoner au bureau, et dis-leur que je ne travaillerai pas cet après-midi, ou que je ne vais pas... je ne sais pas quand je vais encore travailler.» J’ai dit : «Chérie, je ne peux pas continuer la vie comme ça. Je suis un esclave. Si ces frères ont raison... Si ces frères ont raison, les prédicateurs, c’est que le diable cherche à m’ôter la vie. Mais je suis un prédicateur, pasteur de ce Tabernacle, et puis le diable est à mes trousses. Je dois m’en débarrasser. Et je ne vais plus prêcher encore ni monter en chaire jusqu’à ce que je parvienne à me débarrasser de cela.»

13 Je suis donc allé dans une petite cabane, là où je pêche, en pleine région sauvage, et j’ai prié tout l’après-midi. Je lisais cette même Bible... Et j’étais allé à... Quand la nuit est tombée... Je me rendais là-bas bien des fois et priais des journées entières. Et je me suis agenouillé à la tombée de la nuit, et quand je n’arrivais plus à lire, car la petite cabane est en pleines montagnes. C’était une cabane de trappeurs, vous savez, des fourrures.
Alors, quand j’ai prié... J’ai prié assez longtemps, jusque vers deux heures du matin. Et je me suis assis sur une chaise, sur quelque chose comme ceci. Et j’avais la tête baissée, quand j’ai eu une sensation bien drôle. Et je... étais... le visage était vraiment... à force de pleurer, et j’ai levé les mains; j’ai dit : «Ô Seigneur, ne laisse pas cela se reproduire. Je T’aime. Jésus est mon Sauveur. Je L’aime. Ne laisse aucun mal prendre le dessus.» J’ai dit : «Comment y puis-je quelque chose, Seigneur? Il faut Ta puissance pour ôter cela de moi. Je ne veux rien avoir à faire avec le diable. J’aime Jésus, et je veux Le servir.»
Juste à ce moment-là, une Lumière est apparue sur le plancher. J’ai regardé la Lumière. Elle a commencé à s’étendre, et j’ai levé les yeux, et voilà que cette Lumière tournoyait. A peu près de cette dimension, comme d’un vert jaunâtre, de couleur émeraude, et c’était comme le ...?... Elle devenait de plus en plus grande. J’ai entendu les pas de Quelqu’un approchant de mon côté, à ma droite, un Homme s’approchait en marchant. Il était vêtu d’une robe blanche, Il était pieds nus, Il était de teint un peu sombre, Il avait de longs cheveux qui tombaient, un Homme imposant, Il avait de très grands bras, croisés comme ceci. Et Il s’est dirigé vers moi. J’étais très effrayé, je – je me mordais les doigts, me mordais les doigts. Je pensais que je m’étais endormi.

14 Bon, il se peut que vous pensiez que cela pourrait vous faire sourire, mais si vous vous teniez une fois là, vous ressentiriez la même chose. Ce n’était pas une vision. Certainement, je sais ce qu’est une vision. Ce n’était pas une vision. L’Homme Se tenait là, juste comme je me tiens ici. Et Il me regardait. Maintenant, Il ne pouvait pas... ne... toute mon église ...?... Il a regardé derrière, puis Il a regardé droit vers moi, et Il a dit : «N’aie pas peur.» Et dès qu’Il a dit cela, j’ai reconnu que c’était la même Voix qui m’avait parlé depuis que j’étais un petit garçon. Je ne L’avais jamais vu auparavant, mais c’était Sa Voix. Elle était profonde, et Il a dit : «N’aie pas peur, J’ai été envoyé de Dieu pour te dire que ta naissance et ta vie particulière...»
Personne ne me comprenait. Mes frères prédicateurs ne me comprenaient pas. Mon père et ma mère ne me comprenaient pas. Mes amies et mes amis... Ils ne me comprennent pas encore. Moi-même non plus, je ne me comprends pas. Je n’arrive pas à comprendre cela. Je ne veux pas être particulier. Je veux être comme les autres. Mais vous ne pouvez être que ce que Dieu fait de vous. Il est le Potier; nous, nous sommes l’argile.

15 Et je – je L’ai écouté. Et Il a dit : «Tout ceci, c’était pour montrer que tu es né pour prier pour les malades.» Eh bien, qu’est-ce que j’en savais, prier pour les malades? Je n’étais qu’un pasteur baptiste local. Et je L’ai de nouveau regardé; Il était très gentil. On dirait que la peur commençait à quitter, et j’ai dit : «Monsieur, je suis sans instruction, et je ne saurai pas faire des choses comme celles que vous m’avez demand-... ou plutôt que vous m’avez dit de faire.»
En effet, Il venait de dire : «Tu iras dans le monde entier, et tu prieras pour des rois, des potentats et des monarques.» Et comment pourrais-je faire cela, alors que je n’avais qu’une instruction d’école primaire. Vous voyez? Je n’avais pas encore reçu le Saint-Esprit. J’étais un pasteur baptiste local. Ces choses sont étranges pour moi. Et je n’en savais rien.
J’ai donc encore levé les yeux – levé les yeux pour Lui parler, et j’ai dit : «Monsieur, je – je ne saurai pas le faire.»
Et Il a dit : «De même que Moïse fut envoyé avec deux dons pour prouver aux gens, pour confirmer qu’il était envoyé de Dieu, deux dons te sont donnés.»
Et je – j’ai dit : «Monsieur, je – je ne pourrais pas aller. Moïse avait un signe dans sa main.» Oui.
Il a dit : «Eh bien, tu feras le... Tu imposeras la main aux gens. Ne pense pas à ce que tu vas dire, et Cela déclarera ce qu’ils ont. Alors, si tu – tu es vraiment respectueux, vraiment humble (c’est pour cette raison que je ne prends ni argent ni de grandes choses), a-t-Il dit, il arrivera que tu connaîtras les secrets mêmes des coeurs des gens.» Et Il a alors dit : «S’ils ne croient pas le premier signe, ils croiront le second. Et il arrivera que si tu es sincère, cela ne cessera de devenir de plus en plus grand.»

16 C’était donc étrange pour moi, et j’ai dit : «Monsieur, je suis ici parce que lorsque je vais parmi mes frères, je vois ces visions. Et mes frères prédicateurs me disent que c’est du diable, et je suis ici afin que Dieu ne laisse plus jamais cela m’arriver.»
Il s’est aussitôt avancé et s’est tenu en face de moi, et m’a demandé de me lever. Et je me suis levé, et Il m’a dit : «Ne connais-tu pas les Ecritures?»
Et j’ai dit : «Eh bien, les prédicateurs ne savent pas... ne – n’acceptent ceci. Si c’est... cela est de Dieu, pourquoi eux n’ont-ils pas cela?»
Il a dit : «C’est maintenant le jour pour ceci, c’est l’heure.»
J’ai dit : «Comment expliquer que les – les – les puissances démoniaques du spiritisme ont reconnu cela?»
Alors Il a dit : «Au temps de notre Seigneur...» C’est ainsi que j’ai su que ce n’était pas le Seigneur, car Il a dit : «Notre Seigneur.» (Notre Seigneur.) Il a considéré notre Seigneur comme son Seigneur. C’était un Ange, un Homme, un Messager. Et il a dit : «A l’époque de notre Seigneur, alors que les prédicateurs, les sacrificateurs étaient au temple, discutant sur les types de vêtements qu’ils devaient porter, au même moment, ce... les mages, des astronomes étaient en route pour aller adorer le Seigneur. Ils L’ont reconnu, mais le clergé ne L’a pas reconnu.» Il a dit : «C’est le diable (le diable) qui disait : ‘Nous Te connaissons, Qui Tu es, le Saint de Dieu.’ Mais les sacrificateurs disaient : ‘Il est du diable.’ Le diable a dit : ‘Il est le Fils de Dieu.’ Les prédicateurs disaient : ‘Il est du diable.’»

17 Alors la peur a commencé à me quitter. Ceux qui doutaient de Paul, de Paul et Silas, quand ils étaient à un endroit et prêchaient, les – les sacrificateurs ont dit : «Ces hommes bouleversent le monde, ce sont des bons à rien.»
Mais une petite diseuse de bonne aventure a dit : «Ce sont des hommes de Dieu qui nous annoncent la voie de la Vie.» Qui avait – qui avait raison?
C’est vraiment ainsi aujourd’hui, et c’est vrai. La Bible est alors devenue un nouveau Livre. Je pouvais – j’ai pu comprendre la chose.
Aujourd’hui, nous sommes si intellectuels en ce qui concerne notre dénomination et tellement pour nos petits groupes que nous passons par-dessus une grande... spirituelle. Mais une personne possédée du démon ...?... , ils sont en contact avec des esprits. Bien des fois, ils ne peuvent pas... ils voient cela avant l’intellectuel, parce que celui-ci rejette tout ce qui est spirituel. Je ne parle pas de vous, prédicateurs. Grâces soient rendues à Dieu de ce qu’il y en a qui peuvent croire et voir. Bénis soient vos yeux qui voient et vos oreilles qui entendent, car c’est Dieu qui a fait cela. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, à moins que Mon Père ne l’attire premièrement. Mes brebis entendent Ma voix; elles ne suivront pas un étranger.»

18 Bon, plus tard... Je vais me dépêcher. Ce fut juste à ce moment-là que j’ai été envoyé pour prier pour les malades. Avons – avons-nous encore du temps? Juste – juste ...?... Je vais juste vous donner la première chose qui est arrivée après. Ils... Je vais alors me dépêcher. Ensuite, je... (Vous n’avez pas dit cela.) [Frère Branham rit. – N.D.E.] Très bien. Environ deux jours après, on m’a téléphoné pour un cas de maladie, à Saint-Louis, dans le Missouri. Je n’avais pas de pardessus à porter. Quelqu’un m’a donné un pardessus pour porter. Et je suis allé chez un homme dont la fillette avait la danse de Saint-Guy [maladie nerveuse – N.D.T.]. Tous les méd-... tous... un... Saint-Louis est le siège de l’association des médecins. Et ils... et beaucoup de médecins avaient tenté de soigner cette enfant. C’était la fille d’un prédicateur bien connu. Comment avait-il été au courant de ceci, jusqu’à ce jour, je ne le sais toujours pas.
Je me suis rendu à cette maison. La fillette ressemblait à un animal, elle s’écorchait le visage, elle se mordait la langue, elle était toute tremblante. Je suis donc entré, je me suis agenouillé avec plusieurs autres chrétiens, j’ai offert une prière, je suis sorti, et le Saint-Esprit a dit : «Attends ici jusqu’à ce que tu aies reçu des ordres.» Oh! Dieu soit loué. «Attends ici.»
J’ai demandé au révérend s’il voudrait bien permettre... nous permettre d’aller à son église. Nous sommes allés à son église, nous avons prié, puis nous sommes retournés à la maison. Toute la journée est passée, toute la nuit.

19 Le jour suivant, j’attendais et j’étais assis dans sa voiture. Et pendant que je regardais le capot de la voiture, j’ai vu venir une vision. J’ai attendu pour voir ce qu’Il dirait. Après que j’ai eu la vision, je suis sorti de la voiture, je suis allé dans la maison et j’ai dit au brave... au prédicateur : «Monsieur, j’ai le AINSI DIT LE SEIGNEUR, faites entrer votre père.» Et nous nous sommes dirigés vers le lit, j’ai dit à la dame, à la femme du prédicateur : «Il y a deux jours, vous étiez en ville, vous avez acheté un petit récipient blanc.» (Une petite cruche ou un récipient, vous savez, quelque chose comme un petit seau.) «On n’y a jamais mis de l’eau. Cela se trouve dans votre garde-manger, sous le lavabo. (Lavabo)»
Elle a dit : «C’est vrai.»
– Allez le prendre. Mettez-y de l’eau, prenez une étoffe blanche et amenez cela ici, et ne demandez rien. Faites juste ce que je dis.
Et j’ai dit au prédicateur de se tenir avec moi aux pieds du lit, le prédicateur à droite, son père à gauche, la mère se tenait à côté de l’enfant. La petite amie ne pouvait plus faire même pas le moindre bruit; elle était si faible. J’ai dit : «Prenez l’étoffe, essorez-la. Et quand je me mettrai à faire la prière modèle ‘Notre Père qui es aux cieux’, passez l’étoffe sur son visage. Que votre main ne quitte pas son visage. Quand je serai arrivé au milieu de la prière, à ceci : ‘Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien’, que le mouchoir soit à peu près à la taille de l’enfant. Et quand je dirai : ‘Amen’, que la main passe sur les pieds.» Et nous avons commencé. C’était exactement ce que j’avais vu dans la vision. Et elle a commencé à faire descendre l’étoffe, et quand j’ai dit : «Amen», elle a alors retiré sa main. J’ai dit : «Grand Dieu du Ciel, Toi qui m’as rencontré là-bas dans cette cabane, qui a envoyé Ton Ange pour annoncer ceci, je plaide pour la vie de cette enfant; que l’enfant vive.»
Et la fillette a sauté sur le plancher. Je l’ai prise par la main, le médecin était dans la pièce suivante, nous sommes sortis de la maison et nous sommes allés jusqu’au café et nous avons pris du lait malté ensemble. Trois nuits plus tard, le Keel Auditorium qui a dix-neuf mille places assises était bondé de gens. De là, la chose s’est répandue dans le monde entier.

20 Bon, on pourrait écrire des livres, mais je voudrais apporter ceci, pour terminer maintenant.
Mes frères prédicateurs, concitoyens du Royaume de Dieu, avec qui nous sommes tous co-ouvriers en Jésus-Christ, je voudrais vous parler en tant que croyants et bergers du troupeau. Si j’ai dit quoi que ce soit qui a donné... vous a impressionné, qui vous a fait croire que c’est quelque chose pour faire de moi quelqu’un, veuillez me pardonner. Je l’ai fait sans le savoir.
Nous sommes au temps de la fin, et Jésus a promis ces choses pour le temps de la fin.
Maintenant, permettez-moi de vous parler juste d’un seul passage, que j’ai étudié dans les Ecritures... J’ai étudié les ...?... Il y a beaucoup de passages auxquels je pourrais me référer. Nous savons que Jésus a dit : «Toute Ecriture doit S’accomplir.» C’est vrai. Aucune d’Elles ne peut faillir. «Les cieux et la terre failliront, mais Ma Parole ne faillira jamais.»

21 Ecoutez ceci, dans Luc : «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme.» Vous voyez? A l’avènement du Fils de l’homme... Maintenant, suivons attentivement ...?...
Abraham... Il y a toujours eu trois catégories de gens sur la terre : les croyants, les soi-disant croyants et les incroyants. Maintenant, observons-les. «Ce qui arriva du temps de Sodome...» Eh bien, il y avait une nation incroyante appelée Sodome, qui était très pe-... très méchante. Mais il y avait là-bas des croyants, l’église naturelle, Lot et les siens.

22 Or, Abraham désigne – désigne, représente l’église spirituelle. Il s’était séparé des incroyants et des soi-disant croyants, une très belle image de l’église d’aujourd’hui. Le mot église signifie appelé hors de. C’est ce qu’est l’église aujourd’hui : appelée hors de.
Eh bien , le temps de la fin était arrivé, il y eut alors trois hommes qui sont venus voir Abraham. Deux... Tous les trois hommes étaient... Deux d’entre eux étaient des anges, mais ils étaient comme des hommes, ils avaient de la poussière sur leurs vêtements, de la saleté aux pieds. Abraham a dit : «Venez, asseyez-vous sous le chêne. Lavez-vous les pieds. Je vais vous apporter un morceau de pain, vous pourrez ensuite poursuivre votre chemin.» Vous voyez? Abraham attendait quelque chose. C’est ce que l’église, le croyant, fait aujourd’hui, elle attend – attend quelque chose. Il savait que le temps approchait.
Tout comme Noé observait Hénoc. Quand Hénoc est monté, Noé a su que la tempête était imminente.

23 Et quand Abraham les a invités à s’asseoir, il est allé à la tente et a dit : «Sara, pétris du pain et fais des gâteaux.» Il est sorti et il a pris un veau et l’a fait abattre. Et il est revenu, il a amené la viande. De la viande, du pain et du lait, et il a déposé cela devant eux; ils ont mangé.
Pouvez-vous vous imaginer, l’Un d’eux, c’était Dieu! Maintenant, je sais que vous êtes en dés-... pourriez être en désaccord avec cela. J’aimerais vous poser une question, frères, Abraham ne L’a-t-il pas appelé Elohim? C’est-à-dire le Dieu tout-puissant.
Il n’y a pas longtemps, quelqu’un m’a dit, quand je disais cela, vous avez dit... il a dit : «Frère Branham, croyez-vous que c’était Dieu?»
J’ai répondu : «Oui, monsieur. La Bible le dit.»
Il a dit : «Comment Dieu est-Il entré dans cette chair?»
Le corps humain est constitué de seize éléments de la terre, à savoir: le pétrole, la lumière cosmique, le calcium et... Dieu, le Créateur, a tout simplement pris une poignée de cela, a soufflé dessus et a dit : «Viens ici, Gabriel! Entre dedans.» Il en a pris une autre. [Frère Branham souffle. – N.D.E.] «Viens ici, Michaël.» Et Il a pris une poignée et y est entré Lui-même. Il est le Créateur. Il peut faire tout ce qu’Il veut.

24 L’autre jour, ma femme me disait : «Billy...» Il y a quelque temps, je – je me faisais coiffer, et le barbier a mis du phénol sur mes cheveux, et ils sont tous tombés. Et elle a dit : «Billy, tu es pratiquement chauve.»
Mais j’ai dit : «Je n’en ai pas perdu un seul.»
Elle a dit : «Où sont-ils?»
J’ai dit : «Dis-moi où ils étaient avant que je ne les aie.» Où... Ils n’étaient rien d’autre que du pétrole, de la lumière cosmique, et ils sont ensuite devenus miens ...?... Où qu’ils aient été avant que je les aie, c’est là qu’ils m’attendent.
Jésus a dit : «Les cheveux de votre tête sont comptés. Je les ressusciterai dans les derniers jours. Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi, et Je les ressusciterai aux derniers jours.»

25 Je suis très heureux que nous connaissions un Dieu qui, quand bien même je me noierais dans l’océan, quand bien même mon corps tomberait en pourriture... néanmoins, mon Dieu connaît chaque élément qui se trouve ici dedans. Il parlera un jour [Frère Branham souffle. – N.D.E.], et j’apparaîtrai. Alléluia!

26 C’est ce qu’Il a fait là. Il Se tenait là; Il a mangé de la viande de veau, Il a bu du lait de vache, Il a mangé du pain. Ensuite, les deux prédicateurs, les anges, Billy Graham et Oral Roberts modernes, des prédicateurs... Ils avaient un message pour le monde. Ils ont donc regardé vers Sodome. Ils y sont descendus, ils n’ont pas opéré beaucoup de miracles, mais ils ont aveuglé les gens. La prédication de l’Evangile aveugle effectivement les gens. C’est ce que dit la Bible.
Considérons Celui qui était envoyé à l’Eglise appelée hors de, aux élus, à l’Eglise d’Abraham. Il a dit à Abraham... Maintenant, souvenez-vous, Il était un étranger : «Abraham, où est ta femme, Sara?» Comment a-t-Il su qu’il avait une femme? Comment a-t-Il su qu’elle s’appelait Sara?
Eh bien, remarquez ce que disent les Ecritures. Les Ecritures disent: «Elle est dans la tente derrière Toi.»
Et Il a dit : «Je ne cacherai rien à Abraham. Je vais te visiter au temps de la vie.»
Et Sara, elle a ri en elle-même, elle a dit : «Moi qui suis âgée, et – et mon seigneur, Abraham, qui l’est aussi, avoir encore du plaisir ensemble?»
Or, l’Ange, cet Homme, était dans la chair, Il a dit : «Pourquoi Sara a-t-elle ri? Pourquoi a-t-elle ri?»
Jésus a dit : «Ce qui arriva du temps de Noé – du temps de Sodome arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme.» L’Evangile sera prêché aux intellectuels par un Billy Graham moderne et ainsi de suite. Mais l’Eglise spirituelle recevra un Messager, l’Ange du Seigneur, et Il fera les mêmes choses qu’avant Sodome. Pourquoi? Cette fois-ci, le monde doit être brûlé. Sodome a brûlé. Quand Il a parlé de Noé, avez – avez-vous remarqué ce qu’Il a dit? «Ce qui est arrivé là : manger, boire, se marier...» La – la moralité du monde... Mais le signe spirituel pour le monde était là. Observez quand Jésus est venu, comment S’est-Il fait connaître comme étant le Messie? Il pouvait discerner les pensées de leurs coeurs. Eh bien, hommes frères, n’est-ce pas vrai? N’est-ce pas scripturaire?

27 Comment... Quand Il a dit à Pierre, à Simon : «Tu t’appelles Simon, et ton père, c’est Jonas»... Ils attendaient que les – les Ecritures S’accomplissent. Cela, dans... Quand le Messie viendra, Il sera un Prophète de Dieu. Or, les Juifs s’étaient éloignés du spirituel comme l’ont fait aujourd’hui beaucoup d’entre nous. Ils s’attendaient à ce qu’une personne importante vienne, qu’elle descende des cieux, qu’elle dirige le monde entier, et ils ont manqué de voir la chose.
Jésus avait vu Nathanaël sous l’arbre à quinze milles [environ 24 km – N.D.T.] de distance. Quand les gens ont appelé Jésus Béelzébul, ils ne l’ont pas prononcé de leur bouche. La – la Bible dit : «Il connaissait leurs pensées.» Il connaissait... Connaissant leurs pensées... Il a dit à la femme au puits : «Va chercher ton mari. Viens ici.»
Elle a dit : «Je n’en ai point.»
Il a dit : «Tu en as eu cinq.»
Eh bien, elle ne L’a pas traité de démon. Elle a dit : «Seigneur, nous, les Samaritains, nous savons...» Vous voyez, là où... Nous savons que lorsque le Messie viendra, c’est ce qu’Il fera.» Vous voyez? Elle était bien enseignée. «Tu dois donc être Son Prophète.»
Il a dit : «Je Le suis.»
Considérez le message qu’elle a apporté à la ville. «Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites. N’est-ce pas le signe du prophète, n’est-ce pas le signe du Messie? N’est-ce pas le Messie Lui-même?» Vous comprenez?
Jésus a dit... [Espace non enregistré sur la bande. – N.D.E.] «... ne Me connaîtra plus – ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je (‘Je’ est un pronom personnel)... Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»
La Bible dit : «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

28 Maintenant, encore juste un instant. Maintenant, suivez très attentivement. Nous savons tous que l’Ange qui était apparu à Moïse, c’était Christ. C’était l’Ange de l’alliance. Croyez-vous cela? L’Ange de l’alliance. Il suivait Israël dans une Colonne de Feu. Et ensuite, quand Jésus était sur la terre, Il a dit : «Avant...» On Lui a dit... Les gens étaient fâchés contre Lui parce qu’Il avait dit qu’Il avait vu le jour d’Abraham. Jésus a dit : «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» C’était la même Colonne de Feu qui était dans le buisson, «JE SUIS».
Or, Il a dit (Jésus) : «Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu.» Croyez-vous cela? Les Ecritures disent-Elles cela? Après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, la persécution s’est abattue sur l’Eglise.
Paul, sur son chemin vers Damas, ayant des ordres en poche d’arrêter tous les pentecôtistes, sur son chemin une Lumière l’a frappé, et il est tombé par terre. Et il a levé les yeux, et la Colonne de Feu était devant lui, une forte Lumière, qui dit : «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»
Il a demandé : «Qui es-Tu?»
Et vous me rendrez témoignage ...?... Paul était un puissant prédicateur instruit, formé sous Gamaliel, un puissant homme, mais ce n’est pas cela qui compte. Il a regardé cet Ange, cette Lumière, cette Colonne de Feu : «Qui es-Tu, Seigneur?»
Il a dit : «Je suis Jésus.» Il était retourné à Dieu. «Je suis venu de Dieu; Je retourne à Dieu.»

29 Bon, je voudrais vous demander quelque chose, si vous alliez là cueillir des fruits sur un oranger, l’oranger portera des oranges. Le papayer portera des papayes. Pourquoi? La vie qui est dans cet arbre produira des fruits exactement pareils à la vie qui est dedans. Est-ce juste?
Maintenant, écoutons. Cet Ange du Seigneur, on En a pris des photos bien, bien des fois. (Bien des fois.) Et cela est exposé sous un copyright à Washington, dans le hall des arts religieux, comme le seul Être surnaturel qui ait jamais été photographié. A Houston, au Texas (Houston, au Texas.), un de mes frères baptistes s’est levé et a voulu discuter avec moi sur la guérison divine. Je n’ai tout simplement pas fait cas de cela. Dieu ne m’a jamais envoyé pour me disputer... prier pour Ses enfants...
Et ensuite, le jour suivant, il a publié un grand article dans le journal, et il a dit : «Cela révèle de quoi il est fait; il a peur d’affronter la Parole.»
Le docteur Bosworth qui était l’un – l’un de mes associés, avait alors quatre-vingts ans. Beaucoup – beaucoup d’entre vous ont entendu parler du docteur Bosworth, un homme très pieux. Il est venu, il a passé son bras autour de moi, et il a dit : «Frère Branham, allez-vous tolérer cela?»
J’ai dit : «Frère Bosworth, peu importe ce que vous pouvez faire, Jésus a dit : ‘Nul ne peut venir à Moi avant que Mon Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que Mon Père M’a donnés, viendront à Moi.’ N’est-il pas dit dans les Ecritures : ‘Ils ne pouvaient pas croire. Ils avaient des yeux, mais ne voyaient pas, des oreilles, mais n’entendaient pas’? Bien que Jésus ait accompli de nombreux miracles... Je suis sûr que vous comprenez.»
Et il a dit : «Mais, Frère Branham, en tant que des hommes d’honneur, en tant que des prédicateurs, nous sommes dans l’obligation vis-à-vis du public de défendre cette Parole.»
J’ai dit : «Vous, vous pouvez être dans cette obligation. Moi, je suis dans l’obligation vis-à-vis de Dieu de remplir une commission.»
Il a dit : «Me permettrez-vous de le faire?»
J’ai dit : «Ça ne fera qu’engendrer une dispute.»
Il a dit : «Je vous en prie, permettez-moi de le faire.»
Je l’ai regardé, un homme de quatre-vingts ans. Il m’a rappelé Caleb qui montait prendre possession de la ville. J’ai dit : «Si vous me promettez de ne pas vous disputer...»
Il a dit : «Je le promets.»

30 Oh! la la! C’est ce que cherchait le journal, les manchettes disaient: «Il y aura du grabuge ecclésiastique!»
Ainsi, ensuite, le jour suivant, ils ont tenu le débat au Sam Houston Coliseum. Trente mille personnes s’étaient rassemblées.
Ecoutez, il se peut que nous soyons divisés aujourd’hui. Mais écoutez ceci, un de ces jours, nous serons un. Dieu veillera à cela, même si le communisme... C’est quelque chose qui doit nous contraindre à nous rassembler.
Les églises se battaient là, les différentes églises. Mais quand cela a paru dans le journal (dans le journal), nous – nous avions alors tout en commun. Des trains venaient, chargés de ceux qui croyaient à la guérison divine. Des avions arrivaient. Ils venaient de partout. Pourquoi? Pour un principe, ce que nous croyions tous était en jeu.
Ce soir-là, je ne voulais pas y aller. Je suis resté à l’hôtel. Tout à coup, quelque chose a dit : «Vas-y.»
J’ai enfilé mon pardessus, et quatre policiers, comme nous tenions de grandes réunions, se sont placés devant et derrière moi. Et je suis entré avec le col de mon manteau relevé, et suis allé comme au balcon 30.

31 Et pendant que j’étais assis là au-dessus, tous les prédicateurs qui étaient environ à cinq cents, tout autour... Et alors, le docteur Best, qui était le contradicteur a dit : «Que Monsieur Bosworth commence!»
Monsieur Bosworth a dit, il a dit : «J’ai six cents références concernant l’attitude de Christ envers les malades. Je vais donner celles-ci à l’intention de M. Best. S’il peut en prendre une et en démontrer la fausseté à l’aide de la Parole de Dieu, je vais lui rendre la parole.» Il a refusé de le faire. Il a dit : «Alors, je vais demander à M. Best (M. Best), le prédicateur baptiste, je vais lui poser une question. S’il me répond par oui ou non, je vais alors lui en rendre le reste.»
Monsieur Best a dit : «Posez-la.»
Le modérateur lui en a donné la permission. Il a dit : «Les Noms rédempteurs de Jéhovah, les sept Noms composés rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils oui ou non à Jésus?» Cela réglait la question. Eh bien, a-t-on saisi cela? [Un frère dans l’assemblée demande à frère Branham d’expliquer encore cela. – N.D.E.] Saisissez-vous cela? Voyez-vous? Oui, vous voyez? Que – que je reprenne cela. Il veut que je répète cela pour qu’ils soient sûrs. Je – je ne sais pas qui est ici.
«Les Noms rédempteurs, les sept – les sept Noms composés rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils oui ou non à Jésus? Répondez par oui ou non.» Il ne savait pas le dire. S’il disait : «Oui», Il était Jéhovah-Jiré, le Seigneur qui a pourvu à un sacrifice; et s’Il était Jéhovah-Jiré, alors Il était aussi – aussi Jéhovah-Rapha.
Maintenant, suivez, je voudrais que ces prédicateurs saisissent ceci. Comprenez-vous ce que je veux dire? Vous voyez? Jéhovah-Jiré. (Vous voyez, vous savez, il a dit...) Jéhovah-Jiré, Jéhovah-Rapha... Un seul... Très bien ...?... vous connaissez cela. OK.

32 Or, s’il disait qu’Il n’était pas Jéhovah-Jiré, s’Il n’était pas Jéhovah-Jiré, alors aussi Il... S’Il n’était pas... S’Il était Jéhovah-Jiré, Il devait alors être Jéhovah-Rapha. Vous ne pouvez pas les séparer (Voyez?), vous ne pouvez pas les séparer. Si donc Il n’est pas Jéhovah notre Guérisseur, Il n’est pas Jéhovah notre Sauveur. Cela réglait la question. Il ne pouvait pas répondre. Ils ne pouvaient pas répondre à cela. (Saisissez-vous cela? Très bien. Eh bien, vous voyez qu’il ne pouvait pas renier l’un et accepter l’autre, car ils sont inséparables. Si donc Il est toujours Jéhovah le Sauveur, Il était alors le Fils de Dieu, et s’Il l’est, alors Il est Jéhovah le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et éternellement.)
Oh! Il s’est fâché, le prédicateur baptiste. Et il ne cessait de trépigner, et il disait : «Laissez-moi monter là.» Et il a prêché sur la résurrection. Il ne croyait pas aux miracles que Jésus a opérés. Il faisait... renvoyait cela dans le Millénium. Et il a prêché un sermon Campbellite. Je suis un baptiste. Je connais la foi baptiste. Mais il était dans un tel pétrin qu’il ne savait pas s’en sortir. Il – il... Il n’y avait rien à redire. Alors, il ne cessait de dire... Il s’est approché d’un prédicateur et l’a frappé de la main, sur la bouche, et on a dû l’arracher du prédicateur.

33 Et ensuite, quand il a fait cela, on a craint qu’il y ait une émeute, aussi la police s’est donc avancée. Et alors – et alors il a dit ceci : «Laissez-moi voir ce guérisseur à l’oeuvre. Faites venir le guérisseur. Laissez-moi le voir faire.»
Frère Bosworth a dit : «Frère Branham ne prétend pas guérir les gens.» Il a dit...
Frère Bosworth m’avait aperçu. Il a dit : «Je sais qu’il est ici, mais il ne voulait pas engager discussion avec les gens.» Mais il a dit : «Si – si – s’il veut bien venir congédier l’assistance, c’est très bien.» Il a dit... En effet, M. Best avait déjà perdu le débat, les modérateurs lui avaient déjà retiré la parole à cent pour cent et l’avaient rendue au... M. Best – M. Best – M. Bosworth. Il ne pouvait pas répondre à ses questions. Et ces hommes ne prenaient parti pour aucune, aucune religion. Ils avaient fait un serment.

34 Ainsi, donc, j’ai dit à... A ce moment-là, mon frère Howard était assis à côté de moi, ainsi que ma femme. (Mon frère Howard ainsi que ma femme.) Et – et je me levais donc déjà, et mon frère Howard a dit : «Assieds-toi.»
J’ai dit : «Je m’assieds.»
Et juste à ce moment-là, j’ai entendu quelque chose, juste comme ces feuilles de l’autre jour dans cet arbre, produire un bruit qui faisait : «Fiou! Fiou!» [Frère Branham produit un son comme celui du vent. – N.D.E.] et j’ai levé les yeux, et Il était là. Il a dit : «Lève-toi.»
Dieu est puissant dans la bataille. Vous devriez Le voir. Vous devriez Le voir en Afrique, en Inde, partout où un défi Lui a été lancé pour une confrontation. Je L’ai vu faire terrasser et paralyser des sorciers qui sont restés là, incapables de bouger. Il est Dieu.
Je – je me suis donc levé. Et ma femme a dit à mon frère : «Regarde son visage. Laisse-le tranquille.»
Beaucoup d’huissiers avaient fait une ligne jusqu’en bas. Ces pauvres gens, des mères avec de petits enfants qui essayent de vous toucher. C’était à en mourir, cela faisait mal... Moi aussi j’ai des enfants. Ils croyaient que cela pourrait les aider.

35 Je suis allé à l’estrade. Je me suis approché de M. Best, je lui ai serré la main. J’ai dit : «Bonjour, Monsieur Best.»
Il a dit : «Monsieur Branham, en tant qu’un homme – en tant qu’un – en tant qu’un homme, je vous admire. Mais pour ce qui est de la doctrine, je ne crois pas que vous ayez raison.»
J’ai dit : «C’est ce que je sens aussi.» Ainsi, alors j’ai dit : «Je suis surpris, Frère Best, que vous ayez fait la remarque que vous avez faite, quand vous avez dit : ‘Que le guérisseur vienne et se mette à l’oeuvre! Qu’il fasse quelque chose, que je voie cela.’» J’ai dit : «Frère Best, ne comprenez-vous pas que c’est le même esprit qui était sur les pharisiens? ‘Si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix.’ Ils ont mis un chiffon sur Sa tête – sur Son visage, Jésus, et ils L’ont frappé sur la tête avec un bâton, et ils ont dit : ‘Si Tu es le... un prophète, dis-nous qui T’a frappé?’ Ne voyez-vous pas, Frère Best que c’est l’esprit du diable? N’est-ce pas le diable qui a dit à Jésus : ‘Si Tu es le Fils de Dieu, transforme ces pierres en pains? Fais un miracle, fais-moi voir.’ Dieu ne fait pas de telles choses. Il ne prête pas attention au diable.» Et j’ai dit : «Vous essayez de retirer le seul espoir...»
Et il a dit : «Les baptistes ne croient pas à de telles histoires.» Il a ajouté : «Il n’y a qu’une seule catégorie de gens qui y croient, et c’est une bande d’exaltés.»

36 J’ai dit : «Dr Best, excusez-moi. Je suis moi-même un baptiste.» Et j’ai dit : «J’aimerais vous montrer quelque chose.» J’ai dit : «Il y a au moins trois cents prédicateurs baptistes, pasteurs de cette ville; je vais demander aux gens de cette ville, aux membres de ces églises baptistes, qui peuvent prouver attestation médicale à l’appui qu’ils ont été guéris par Jésus-Christ pendant ces huit derniers jours où j’ai été ici, et qui peuvent venir ici à cette estrade accompagnés de leur médecin, pour témoigner de leur guérison, qu’ils se lèvent.» Et trois cents se sont levés. J’ai dit : «Le problème, ce n’est pas le peuple, ce sont les conducteurs aveugles.» J’ai dit : «Monsieur...»
Il a dit...
J’ai dit : «Monsieur, je ne peux pas guérir les gens.» J’ai dit : «Croyez-vous que votre ministère est inspiré?»
Et il a répondu : «Oui.»
J’ai dit : «Ceci est inspiré.» J’ai dit : «Je – je – je ne guéris pas les gens, mais si ce que mon – si ce que j’ai dit est remis en question, au sujet du Saint-Esprit, qu’Il est le Guérisseur, ai-je dit, je ne saurais vous affronter. Vous sortez de l’université et vous êtes intelligent. Mais moi, je n’ai aucune instruction, mais il y a Quelqu’un qui confirme ce que je dis.» J’ai dit : «Si ma parole est remise en question, ai-je alors dit, c’est que la Parole de Dieu est remise en question, car je ne dis que ce qu’Il a promis.» Dieu soit loué, car Il prend soin de Sa propre Parole.
Et à ce moment-là, Le voilà qui vient, descendant en tournoyant. Les gens ont commencé à s’évanouir, et on a interdit que les gens prennent des photographies pendant que je prie. Et le... M. Best avait un reporter à son service, qui devrait lui prendre six photos .

37 Maintenant, voici la remarque qu’il a faite : «Je vais aller là-bas prendre ce vieil homme, ce vieil homme de Bosworth, et je vais l’écorcher et prendre sa peau, et je vais l’épingler à la porte de mon bureau en commémoration de la guérison divine aujourd’hui.»
Eh bien, juste là, cela a montré que l’homme n’était pas droit dans son coeur. Et juste après, nous... avant la réunion, il a retourné M. Bosworth comme ceci, et il a mis son poing sous son nez, il a dit : «Maintenant, prenez ma photo.» Et ensuite, il a mis ses mains comme ceci, et il a dit : «Maintenant, prenez ma photo.» Et ils ont pris six de ces photos juste comme cela, pour son... pour montrer son débat dans son magazine.
Frère Bosworth s’est tenu là humblement, il l’a laissé prendre les photos.

38 Et alors, quand cet Ange est descendu, ce reporter avait installé ce gros appareil, et il a pris la photo. Et quand Il est descendu, les gens criaient, j’ai dit : «Je vais devoir ne plus parler. Il va parler à ma place.» Je suis sorti. Le policier m’a aidé à gagner la voiture.
Les reporters qui prenaient les photos sont allés... L’un d’eux était un juif; l’autre était catholique, les deux reporters travaillaient pour les studios Douglas de Houston, au Texas. Et ils sont membres de l’association, et ils sont allés – ils sont allés au studio, et ils ont dit : «Nous ferions mieux de faire sortir ces photos sur papier glacé pour M. Best; il les veut demain.»
Le Juif, M. Ayers est monté se coucher. Et l’autre homme est entré et a plongé les photos dans l’acide, il est revenu fumant une cigarette, et s’est mis à réfléchir, il s’est dit : «Tu sais, si seulement cet homme était un catholique, il pourrait avoir raison.» Il s’est dit : «Peut-être qu’il a raison.» Il s’est dit : «En effet, ses ancêtres (mes parents) étaient des catholiques, et cet homme pourrait avoir raison. Mais il ne peut pas avoir raison et être un protestant.» Il entre... Et le jour précédent, il avait écrit sur moi un article épouvantable qu’il avait mis dans le journal. Ensuite il est entré et a fait sortir les photos de l’acide. Une, deux, trois, quatre, cinq, six, aucune d’elles n’avait réussi. Dieu n’aurait pas permis qu’une photo soit prise quand il agitait son poing sous le nez de ce saint vieil homme. Et il a fait sortir la septième, voilà l’Ange du Seigneur sur la photo. Il a eu une crise cardiaque et est tombé.

39 Deux ou trois jours plus tard, le négatif a été envoyé par avion à Washington cette nuit-là, à vingt-trois heures, puis il a été ramené. Et George J. Lacy, le responsable du F.B.I. pour les empreintes digitales et les documents a été amené là par avion pour procéder à un test de cette photo, pour voir si c’était quelque chose qui avait été peint dessus, une surimpression, ou quelque chose de faux. Trois jours après, il nous a fait venir. Il y avait environ deux cents personnes, des rédacteurs de magazines, différents journaux, et il s’est levé et il a dit : «Qui s’appelle Branham?»
J’ai dit : «C’est moi.»
Il a dit : «Venez ici.» Il est un peu roux ...?... cheveux sur le visage, et il a dit : «Tenez-vous ici.»
J’ai dit : «Oui, monsieur.»
Il a dit : «Monsieur Branham, j’étais l’un de ceux qui vous critiquaient. Je disais que c’était de la psychologie, mais écoutez, Révérend Branham, l’oeil mécanique de cet appareil photo ne prendra pas de la psychologie. La Lumière a frappé l’objectif.» Il a dit : «Vous allez...» Il a dit : «La Lumière a frappé l’objectif.» Il a dit : «Un jour, cette photo sera vendue dans les bazars (vous savez).» Mais il a dit : «Pas de votre vivant, car Dieu ne permettra pas cela.» Mais il a dit : «Après votre départ, l’église se rendra compte du jour qu’elle a traversé.» Il a dit : «Ça a toujours été ainsi.» Il a dit : «Moi-même, je suis catholique.» Il a dit : «Mais je me souviens de l’histoire de Jeanne d’Arc, comment les gens... elle voyait des visions, et mon église l’a brûlée sur le bûcher comme une sorcière. Mais longtemps après sa mort, nous avons découvert que sa... qu’elle était une sainte. C’était trop tard.» Il a dit : «C’était la même situation dans les Ecritures.» Il a dit : «Un jour, vous mourrez.»
J’ai dit : «Dieu soit loué, je suis prêt.»
Et il a dit : «Pardonnez-moi de vous avoir critiqué», et il m’a tendu le négatif.
J’ai dit : «Cela ne m’appartient pas. Cela appartient au studio.»
Il a dit : «Monsieur Branham, ce – ce négatif vaut des dizaines de milliers de dollars.» Il a dit : «C’est la seule fois qu’un Être surnaturel ait jamais été photographié par la science.»
Eh bien, j’ai dit : «Je refuse de le prendre. Sur base de votre déclaration, si Jésus m’a assez aimé pour descendre et Se faire photographier avec moi pour la première fois dans toute l’histoire du monde, qui suis–je pour vendre Sa photo et gagner de l’argent avec cela?»
Mais dans le copyright, pour que personne ne puisse vendre cela, sans une déposition de votre part... Il a dit : «Je rédigerai avec plaisir ma déposition.» Et il l’a rédigée, il l’a signée. Le studio Douglas l’a prise.

40 Frères et soeurs, nous sommes des hommes et des femmes, nous devons mourir, mais l’Esprit de Dieu qui est parmi nous est le même Dieu qui a rencontré Moïse dans le désert, qui était en Jésus-Christ quand Il était sur terre, car la Vie de Cela prouve que c’est le même Esprit. Il fait la même chose. C’est une promesse de Christ. Qu-... oh! Comment... Il n’y a tout simplement pas d’endroit où s’arrêter.
Ecoutez, il y avait deux... Il n’y a que trois na-... nationalités de peuples dans le monde, trois groupes (Ecoutez attentivement, et je vais terminer) : Cham, Sem et Japhet. Toute la race humaine, de ce côté-ci du déluge, est issue d’eux. Croyez-vous cela? Les pays où nous vivons ont changé nos couleurs en noir, blanc, jaune, quelle que soit la couleur. Cela n’a rien à voir avec cela. Nous sommes issus de ces trois enfants. Ce sont les Juifs, les Gentils et les Samaritains.
Avez-vous remarqué que Pierre avait les clés du Royaume? Le jour de la Pentecôte, il L’a ouvert pour les Juifs. Philippe a prêché aux Samaritains. Seulement, le Saint-Esprit n’était pas encore venu sur eux. Il a fait venir Pierre qui leur a imposé les mains, le Saint-Esprit est venu. Chez Corneille, le Gentil, comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit est tombé sur eux. Et c’était parti. Les trois peuples, les trois races... Il y avait deux... Les – les Samaritains, vous connaissez l’histoire, ils sont moitié – moitié juifs et moitié gentils.

41 Or, alors que les Samaritains et les Juifs attendaient un Messie, pas les Gentils, nous étions des païens, nous n’attendions pas... Nous n’attendions pas de Messie. Mais quand Il est venu à la fin de leur dispensation, voyez comment Il S’est fait connaître. «Tu es Simon, ton Père est Jonas.» Je... percevant leurs pensées... Philippe, Natha-... Nathanaël : «Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre.»
– Tu es le Fils de Dieu.
L’éminent Juif, le sacrificateur disait : «C’est un diseur de bonne aventure.»
Jésus a dit : «Je vous pardonnerai cela. Parlez en mal du Fils de l’homme, mais là dans l’âge des Gentils, quand le Saint-Esprit viendra faire la même chose, un seul mot contre Lui ne sera jamais pardonné, ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.»
Ne voyez-vous pas le rejet de Christ? C’est pour cette raison qu’une bombe atomique attend là-bas, attend pour détruire le monde. Ils rejettent Christ, tout comme les Juifs l’ont fait.

42 Maintenant écoutez, Il est ensuite allé chez les Samaritains; Il a dit : «Je dois passer par la Samarie.» Pourquoi? Ils attendaient un Messie, un Messie. Il S’est manifesté chez les Samaritains de la même manière que chez les Juifs. Ils ont cru en Lui.
Or, le prophète a dit : «Il y aura un jour qui ne sera ni nuit ni jour, mais au temps du soir, la lumière paraîtra.»
Nous... Le soleil a brillé sur les peuples orientaux. Il se lève à l’est. Puis il traverse la terre géographiquement parlant. Le même – le même – le même soleil qui se lève à l’est se couche à l’ouest. Les peuples orientaux ont vu cela, ont cru cela, certains ont condamné cela, à l’est, les Juifs. La civilisation a voyagé vers l’ouest. Maintenant l’est et l’ouest se sont rencontrés. Nous avons eu un jour, un jour comme celui-ci, sombre, où il y a peu de Lumière, juste assez pour faire une organisation, inscrire son nom dans un registre, et croire en Christ comme son Sauveur. C’est tout ce qu’il y avait comme Lumière. Mais le prophète a dit : «Au temps du soir, la Lumière paraîtra.»
Le même Fils, le même Saint-Esprit qui est entré en Christ et qui a fait la même chose que vous voyez faire maintenant. Hommes et frères, sondez les Ecritures. Sondez votre histoire. Cela ne s’est jamais fait depuis ce temps-là jusqu’à ce jour. Nous sommes au temps du soir. Combien savent que la Venue du Seigneur est proche? Et Dieu révèle aux Gentils que Son Messie vit toujours, qu’Il est le même. Il a la même nature, Il accomplit les mêmes oeuvres, Il prouve qu’Il est le même ...?... On ne L’a pas tué pour le mettre dans une tombe. Il est ressuscité, et Il vit pour toujours, pas le J’ETAIS, le JE SUIS, Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

E-1 ...?... Good morning. Christian greetings. God's peace on you. This a grand privilege for me this morning, to be before this group of ministers, to explain, for the hope of life that lays within me. Many times coming on to the...
Past times coming on the island, I have been a speaker for the Full Gospel Christian Businessmen's Fellowship International. I was just brought in as a speaker, but I've always thought that a campaign should be conducted under the auspices of the ministerial association, because it's my thoughts, and my intentions to use the gifts of God, according to the way the Bible predicts for us to use them. It is for the--the uniting together, the believers, bring the fellowship of Christians together. I believe that all Christian churches have saints of God in them. I do not believe we should be divided. Neither do I believe it was Christ's plans for us to be divided. We are to be one. Jesus said, "This will all men know you're My disciples, when you have love one for the other."

E-2 Speaking of Divine healing, I do not know how it is in this island, but speaking for the rest of the world that I have traveled, Divine healing is needed more for the sick body of Christ, than all our sick bodies put together. (See? The--the sick body of Christ being separated, you know, in divisions, is--the healing of that body is more essential than healing our physical bodies.) [Brother Branham has a conversation with the translator--Ed.] For together we stand, but divided we'll fall. As the song was being sang when I came in, "Onward Christian Soldiers, we are not divided, all one body are we." And that's the way we should stand.
The ministry that the Lord gave me is very odd (Strange.), and for this day, because we have had two thousand years of intellectual teachings of the Scriptures, but the time is drawing close to the coming of the Lord. The promises of God must be fulfilled. And I would like to--to try to explain to you ministers, who are shepherds of the flock, that you might see that it is not something just make-believe; it is a promise of God that must be fulfilled.

E-3 So I think this a great privilege this morning, to have this opportunity to set in this place, to try to bring to you in my own simple way, the revelation that was given to me. I will begin with this: Romans about the 12th chapter it is written: "Gifts and callings are without repentance."
They are given to Go--by God by His knowledge; it's therefore, that's the only way that I can explain this gift. If we will notice, the Scripture teaches Jesus was the Son of God, slain before the foundation of the world. God, by foreknowledge, knew all that ever would be; so therefore, by His great knowledge He could predestinate, and foretell, things that would come. From the garden of Eden, Jesus was the seed of the woman that was to crush the serpent's head.

E-4 Moses was borned a prophet, not by his own goodness, nor by his desire, but by the wisdom of God, and the foreknowledge of God. He had told Abraham, his seed, would sojourn (would sojourn) in a strange land.
Say, I believe all understand English anyhow looks like. Is there anyone here that cannot understand English? Good. I'd go to some of you, but... [The interpreter says, "Put the sentence longer... "--Ed.] Oh, oh. I see. That's right.

E-5 John the Baptist was seen by Isaiah the prophet, seven hundred and twelve years before he was born. John had no way of hisself knowing this, his birth being odd; therefore God knew that he would come.
Jeremiah the prophet, God said He knew him before he was ever conceived in his mother's wombs, and sanctified him, and ordained him a prophet to the nations. Before he was born... See, gifts and callings are without repentance.

E-6 My people--my people were not religious. Formerly, we were Irish, so we were Catholic in the background. But my father and mother went to no church at all. I was borned up in the mountain cabin, in the mountains of Kentucky. We were very poor.
And the morning when I was born, so my mother tells me, she opened a little door, that didn't have glass, it was just like a window, although it was a door, she opened it back, father did, so that she could see me when I--a--when I was--he put me in her arms. It was early in the morning about five o'clock. The sun had never come up yet, so when they opened up the window, a Light in the form of a--like a bucket or a pillow, come in the window and stood over the little bed where I was born. That is the picture they have in Washington, D. C. today, and all over the world of that same picture. Now, that astonished my people; they knowed nothing about religion, so they didn't know what it was.

E-7 When I was just about two years old, the first vision I ever remember seeing... I was playing in the backyard with my little brother, who could just crawl. And there was a voice came from a bush and said, "You will live near a city called New Albany." It... I was very much frightened, and ran into the house to tell my mother. She didn't know what it meant. But three years later, we moved near a city called New Albany, Indiana.
And then at the age of seven, I was packing water from the barn in a little bucket up to the house. And it was in the fall of the year. (Autumn.) And I set down under the tree to rest just a little while with the buckets in my hand. My father was a very heavy drinker. And I heard a wind blowing. And it was real still everywhere, and I wondered where that sound was coming from. It was a tall tree I was setting under. I stepped back to look around to see where that wind was coming from. And about halfway up the tree, of about the size of a barrel, the leaves were going around, around, around, milling in the tree. And a Voice came from there saying, "Don't you never smoke, or drink, or defile your body in any way; there'll be a work for you to do when you get older. (There'll be a work for you to do.)" It scared me. I dro--dropped my little buckets, ran home real quick, jumped into my mother's arms, screaming.
I said, "There's a man up in that tree." And I--she was very much excited. She went down around the tree, and looked all around to see if there was anybody there. And I was so scared. She called the doctor, and the doctor said, "He's just excited."

E-8 Then two--about two weeks from then, I was playing marbles with my brother, and Something come upon me, and I looked down at the river. And I saw a great bridge span the river, and I watched sixteen men drop off of it and lose their lives. When It left me, I ran in to my mother and I told her. "Oh," she said, "honey, you was dreaming." But I wasn't. But she wrote it down. And twenty-two years from that day, the Municipal Bridge spanned the river at the same place, and sixteen men lost their life on it.
It just kept coming all the time, like that. Later, I become converted. What all that He had did--all the--the Holy Spirit has done would make many, many books. So I'll just have to touch the spots now, that you'd under--so that you'll understand.
Then when I was converted, I joined the Baptist church, started preaching the Gospel, right away. The Lord blessed greatly, and I had my first revival, a two weeks revival, five hundred came to the Lord. I taken them down at the river to baptize them. And while they was around ten thousand on the bank, watching... It was real dry, no rain for two or three weeks. People were praying for rain. And when I was baptizing the seventeenth convert, I heard a voice, said, "Look up." It scared me. I was just a young boy.
The girl that I later married, was taking pictures on the bank. I heard It again; said, "Look up." And I was afraid to look up. Everyone on the bank was wondering what I was hesitating about. All--many peoples up and down the banks of the river... Newspaper photographers... And then It said again, "Look up." And I looked up, and as I looked up, here come that Light coming down. People begin fainting, falling, and a Voice came that shook all around the place there, said, "As John, the Baptist, was sent to forerun the first coming of Christ, the message that is given you will be a forerunning of the second coming of Christ." Not that I would be a forerunner, but the message was the forerunning. I know no more than anyone else. It's the Christ we're speaking of. Then I--them visions started coming to me more than ever.

E-9 Now, that newspaper went on to Associated Press. It went all the way into Canada, and all through... We have the clippings of it yet. Said, "A mystic Light appears over a local Baptist minister while..."
And then, when those visions begin to come, I guess I've seen tens of thousands. But not one time has it ever been wrong. It's always right. You could go to my country, or write to the city where I live, among the--the--the officers or mayor of the city, to the ministerial association, never one time has it the vision ever been wrong, just perfect each time. But I was afraid to tell the people.
Now, here's something I want to ask first: How many in here is spirit filled people? Raise up your hand. I can tell you so that you'll understand, surely, the strange thing about it, that when I would come near... Or--or I'll take one night when I was going through a carnival ground, you know, a show. There was a young lady by a tent, a fortune-teller. And my mother had always told me that fortune-tellers, spiritualists, was of the devil. And she's right.
And this little fortune-teller, a young lady, seventeen or eighteen years old. She said, "Say, you, come here." And I walked over to her. She said, "Did you know you were borned under a sign?"
It scared me. I said, "I want nothing to do with that." and walked away.

E-10 Later, I become the state game warden of Indiana. (Conservation officer.) And one day on a--going up on the bus, there was a great crowd, and I had--we had to stand up. And I felt a strange feeling. I was always sensitive to spirits, especially when I'd meet one of those people. I'd feel that real funny feeling. And I begin to feel that, and I looked around; and there was a strong woman looking right at me. She said, "I'd like to speak to you."
I said, "What do you want?" I never did like women, but not--not you sisters, I--I mean, He told me not to defile myself. And it made me have a complex.
And so then, because all my associates would be sinners in that day. And there's a great story there that I could tell. Being offered whiskey, and immoral, and how the Holy Spirit come down, makes me stand back from it. It wasn't me. See? I would have did it. It was God taking care of that gift. It must go forth.

E-11 One day, I started to take my own life, and the gun wouldn't even go off. Then I turned it and shot it. It was God taking care of the gift. When he'd... Just like Moses, he couldn't run away from it; God will find you. Wherever you are, He will find you.
So this woman--I said, "What would you want?"
She said, "Sir, did you know you were borned under a--a sign?"
Quickly, that scared me. I said, "I don't know nothing about that, and I don't want to know nothing about it."
She said, "Haven't you never talked to preachers?"
I said, "I have no use for them. I--I don't go around where any of that's at." I said, "I don't want to hurt your feelings, but I don't want to hear anything you have to say."
She said, "Sir, that's not a gentleman."
And I turned to her again, I said, "How did you know that?"
She said, "When you got on the bus, I seen it." She said, "I work in the White House." She said, "I'm on my way now to Chicago to see my son, who is a minister." She said, "I'm an astronomer." She said, "Did you know who... When God does anything, the first thing He does is to declare it in heaven, before He declares it on the earth?"
I said, "I know nothing about it." And I turned around again. It kindy made me feel bad, because there's many people on the bus, and me an officer. And so I thought that wasn't gentleman like. So she called me--kept calling me. And I turned around again; I said, "What's that got to do with me?"
And she said, "When Jesus Christ was born, or before he was born, wise men came from the east." She said, "What is a wise man?"
I said, "I have no idea."
She said, "They're astronomers that watch the heavens, and before God does anything on earth, He declares it in the heavens."
And she said... I--I said, "I don't know nothing of it."
She said, "But when God gives a gift, He declares it in the heavens."
I--I said, "I know nothing about it."
And she said, "You were borned under that sign." And she said, "What if I tell you when you were born, would--would you believe me?"
I said, "Lady, you can't read my mind. I won't believe it."
And she said, "You were born on April the 6th, 1909, at five o'clock in the morning." She said, "That's when certain stars," she said, "crossed or something." (Or astronomy.)
And I said, "I don't know nothing about it, and care less."
So she said, "You may pass it by," but said, "if you would respect it, it would shake the world."
I said, "Tell this young sailor here, when he was born."
She said, "I couldn't do it."
So then I was almost to my place where I was going to get off. My righteous indignation all up, my face all red, shaking, scared, I was glad to get off that bus.

E-12 Later on, when I became a minister, and I begin to--them visions was more than ever then. Many things that it said. Then my Baptist brethren, they told me, when we met in conferences like this, and I explained it to them. They said to me, "Billy, don't listen to that. That's of the devil. That's the devil trying to get you."
Oh, my, it'd make me shake. I--I was scared. I don't want nothing to do with the devil. So one night--or one afternoon, I just coming in from work. I was going around the house a taking off my belt, gun belt, so--so I could wash my hands for my lunch. I was going back to turn some fish loose for--for the conservation. Wife had dinner ready, and as I started around the house, all of a sudden, here that came again. And I said to my wife, "Go, call the office, and tell them that I will not be working this afternoon, or I won't--I don't know when I'll work again." I said, "Honey, I can't go through life like this. I'm a slave. If them brethren are right... If those brethren are right, the ministers, the devil is trying to take my life. And I'm a minister, pastor of this Tabernacle, and then the devil is after me. I've got to get rid of it. And I will never preach again or neither will I ever go to the pulpit until I can get rid of that."

E-13 So I went to a little cabin, where I fish, way in the wilderness, and I prayed all afternoon. Reading this same Bible... And I'd went to... When it got dark... Many times, I'd go there and pray for days at a time. And I'd got down on my knees when it gotten dark, and I couldn't read no more, because the little cabin's way back in the mountains. Used to be a trapper's cabin, you know, furs things.
Then when I prayed... I prayed quite a long time till about two o'clock in the night. And I'd sit down in a chair, something like this. And I had my head down, and I felt real strange. And I--was--face was real from crying, and I raised up my hands; I said, "Oh Lord, never let that happen again. I love You. Jesus is my Saviour. I love Him. Let no evil can take be over." I said, "How can I help it, Lord. It'll take Your power to take it away from me. I want to have nothing to do with the devil. I love Jesus, and Him I want to serve."
Just then, a Light come on the floor. I looked at the Light. It begin to spread out, and I looked up above, and here was this Light milling around. Just about this big around, kind of a yellowish green, emerald, and it was like the...?... It growed wider and wider. I heard Someone walking; coming up from my side, to my right side, came a Man walking. He had on a white garment, bare-footed, kind of dark complected, hair down long, huge Man, great big arms, folded like this. And he started walking to me. I was so scared, I--I was biting my finger, biting my finger. I thought I had went to sleep.

E-14 Now, you might think that would make you laugh, but you stand in that place once, you'd feel the same way. That was not a vision. Surely, I know what a vision is. This was no vision. The Man was there, just the same as I'm here. And He was looking at me. Now, couldn't--didn't back all my church...?... Looking back, and He looked right down at me, and He said, "Do not fear." And as soon he said that, I knew it was the same Voice that had spoke to me since I was a little boy. I never seen Him before, but it was His Voice. It was deep, and He said, "Do not fear, I have been sent from God to tell you that you're peculiar birth and life..."
No one understood me. My ministerial brothers didn't understand me. My father and mother didn't understand me. My girlfriends, my boyfriends... They don't yet. Neither do I understand myself. I can't make it out. I don't want to be different. I want to be like someone else. But you can only be what God makes you. He's the Potter; we're the clay.

E-15 And I--I listened to Him. And He said, "This was all to indicate that you were born to pray for sick people." Well, what did I know about praying for sick people? I was just a local Baptist pastor. And I looked at Him again; He was very kind. Seemed like the fear begin to leave, and I said, "Sir, I am uneducated, and I could not do such things as You have ask--or You have told me to do."
Because He had just said, "That you'll go to all the world, and you'll be praying for kings, potentates, monarchs." And how could I do that, when I was just a grammar school education. See? I had never received the Holy Ghost as yet. I was a local Baptist pastor. These things are strange to me. And I knowed nothing about them.
Then I looked--I looked up again to speak to Him, and I said, "Sir, I--I could not do that."
And He said, "As Moses was sent with two gifts to prove to the people to a vindicate that he had been sent of God, you are given two gifts."
And I--I said, "Sir, I--I could not go. Moses had one sign with his hand." Yeah.
He said, "Now, you'll do the--you take your hand and lay it onto the people. Don't think of what you're going to say, and It'll call what they have. Then if you--if you'll be real reverent, humble, (That's the reason I don't take money, or get anything big.)" He said, "it'll come to pass that you'll know the very secret of the people's heart." And said then, "If they won't believe the first sign, they will believe the second. And it'll come to pass, if you'll be sincere, it'll keep growing greater and greater."

E-16 So it was strange to me, and I said, "Sir, I am here because that when I go among my brethren, I see those visions. And my ministerial brethren tells me that that's of the devil, and I'm here that God will never let it happen to me again."
Quickly, He walked in front of me, asked me to stand up. And I stood up, and He said to me, "Knowest thou not the Scriptures?"
And I said, "Well, the ministers doesn't know--doesn't--doesn't agree with this. If this is--would be of God, why wouldn't they have it?"
He said, "It is the day now for this, this is the hour."
I said, "Why was it that the--the--the--the demon powers of spiritualism knowed it."
Then He said, "In the days of our Lord..." That's the reason I knew that that wasn't the Lord because He said, "Our Lord." (Our Lord.) He regarded our Lord as His Lord. He was an Angel, a Man, a Messenger. And He said, "When in the days of our Lord, when the ministers, the priest were in the temple, arguing what kind of clothes they should wear, at the same time, this--the Magis, astronomers, was on their way worshipping the Lord Jesus. They knew him, and the clergy didn't know Him." He said, "It was the devil (the devil) that said, 'We know You, Who You are, the Holy One of God.' But the priest said, 'He is the devil.' The devil said, 'He's the Son of God.' The ministers said, 'He's the devil.'"

E-17 Then the scare begin to leave me. What doubted Paul, Paul and Silas, when they were at a place preaching, the--the priest said, "These men turn the world up-side-down, they're no good."
But a little fortune-teller said, "These are men of God, that tell us the way of life." Who was--who was right?
It's a great deal that way today, and that is true. Then the Bible become a new Book. I could--I could see it.
Today, we are so intellectual upon our denominational and so much for our little groups, we pass over a great Spiritual... But a devil possessed person...?..., they are in contact with spirits. Many times they cannot--they can see it before the intellectual can see it, because he turns away all spiritual things. I'm not talking of you ministers. Thank God, that there's some that can believe and see. Blessed are your eyes who can see, and ears that can hear, for God has did this. Jesus said, "No man can come to Me, unless My Father draws him first. My sheep hear My voice; strangers they will not follow."

E-18 Now, later on... I will hurry. It just then, I was sent out praying for the sick. Have--have we got time? Just--just...?... I will just give you the first thing taken place afterwards. They--then I'll hurry. Then I... (You didn't say that.) [Brother Branham laughs--Ed.] All right. I was called on a sick case about two days later in St. Louis, Missouri. I didn't have a coat to wear. Someone gave me a coat to wear over. And I went over to a man that had a little girl that had Saint Vitus' Dance. All the doc--all--a--St. Louis is the head of medical association. And they--and many doctors had been trying to cure this child. She was the daughter of a famous minister. How he ever knowed about this, I don't know yet today.
I went to the home. The little girl was like an animal, scratching her face, chewing on her tongue, shaking all over. So I went in, knelt down with many other Christians, offered prayer, started out, and the Holy Spirit said, "Wait here until you have orders." Oh, praise the Lord. "Wait, here."
I ask the reverend if he would let... Let's go down to his church. We'll go for his church, had prayer, go back to the house. All day passed, all night.

E-19 The next day, I was waiting, and I was setting in his car. And as I looked across the hood of the car, I saw a vision coming in. I waited to see what He would say. After I had the vision, I got out of the car, went to the house, and I said to the old--to the minister, "Sir, I have THUS SAITH THE LORD, bring in your father. And we went to the bed, I said to the lady, the minister's wife, "Two days ago, you were down in the city, you bought a little white vessel." (Little crock, or a vessel, you know, like a little bucket.) "It has never had water in it. It's located in your pantry beneath the sink. (Sink)"
She said, "That is true."
"Go get it. Put water in it, get a white cloth and bring it here, and ask nothing. Just do as I say."
And I told the minister to stand with me, at the foot of the bed, the minister on the right, his father on the left, the mother standing by the side of the child. The little fellow couldn't even make hardly noise any more; it was so far gone. I said, "Take the little rag, squeeze the water from it. And when I start with a model prayer, 'Our Father Who art in heaven,' wipe the rag across its face. Don't let your hand leave its face. When I get to the middle of prayer, this--'give us the day, our daily bread,' let the handkerchief be about the middle of the child. And when I say, 'Amen,' let the hand go across the feet. And we started. That was exactly what I'd seen in the vision. And she started with the rag coming down, and when I said, 'Amen,' then she took here hand off. I said, 'Great God of heaven, Who met me out there in the cabin, sent His Angel to declare this, I speak for that child's life; let the child live."
And the little girl jumped up in the floor. I took her by the hand, with the doctor standing in the next room, we walked out of the house down to the soda fountain, and had a malted milk together. Three nights later the Keel Auditorium that seats nineteen thousand, was packed out. It went from there around the world.

E-20 Now, books could be written, but I want to bring this, close now.
My minister brethren, fellow citizens of the Kingdom of God, co-workers together in Christ Jesus, I want to speak to you, as believers and as shepherds of the flock. If I have said anything that would give-- would impress you, that would cause you to believe that this was something to make something out of me, please forgive me. I did it, not knowing.
We're at the end time, and Jesus promised these things at the end time.
Now, let me just speak one Scripture to you, which studying it through the Scriptures... I have studied through the...?... There is many places I could refer to. We know that Jesus said, "All Scripture must be fulfilled." That is true. None of it can fail. "Heavens and earth will fail, but My Word shall never fail."

E-21 Listen to this in Luke, "As it was in the days of Sodom, so shall it be at the coming of the Son of man." See? At the coming of the Son of Man... Now, let's watch close...?...
Abraham... There's always three classes of people on earth: believers, make-believers, and unbelievers. Now, watch him. "As it was in the days of Sodom..." Now, there was a unbelieving nation called, Sodom, very si--very bad. And they had some believers down there, the church natural, Lot, his people.

E-22 Now, Abraham represents--represents, means, church spiritual. He had separated himself from the unbelievers, and the make-believers, a very beautiful picture of the church today. The word "church" means "the called out." That's what the church is today: a called out.
Now, it come time for the end time, then there was three Men came and met Abraham. Two--all three of them were--two of them were Angels, but they looked like men, dust on their clothes, dirt on their feet. Abraham said, "Come, set under the oak. Wash Your feet. I'll bring You a piece of bread, then You may go on." See? Abraham was looking for something. That's what the church, the believer, is today, watching--watching for something. He knew the time was growing close.
Just like Noah, watching Enoch. When Enoch went up, Noah knowed that the storm was close.

E-23 And when Abraham set Them down, he went around to the tent, and said, "Sarah, knead some bread and make some cakes on the hearth." He went out and got a calf and had it slain. And he come back out, brought the meat. Meat, bread, and milk, and set it before them; They eat.
Could you imagine, One of them was God. Now I know you di--might disagree with that. I'd like to ask you brothers, did not Abraham call Him Elohim? That's the Almighty God.
Someone said to me not long ago, when I was speaking that, you said--he said, "Brother Branham, do you believe that that was God?"
I said, "Yes, sir. The Bible said so."
He said, "How did God come in that flesh?"
The human body is made of sixteen elements of the earth: That's petroleum, cosmic light, calcium and... God, the Creator, just grabbed a handful of it, breathed into it, said, "Come here, Gabriel." Step into it.' Got another one, [Brother Branham blows--Ed.] "Come here, Michael." And grabbed a handful, stepped into it Himself. He's the Creator. He can do anything He wants to."

E-24 My wife said to me the other day, "Billy..." I--I'd got a haircut here sometime ago, and a barber put carbolic acid on my hair, and it all come out. And she said, "Billy, you're almost bald-headed."
But I said, "I haven't lost a one of them."
She said, "Where are they at?"
I said, "You tell me where they was 'fore I got them." Where--they was nothing just petroleum, and cosmic lights, and then they were mine...?... And wherever they was before I got them, they're there waiting for me.
Jesus said, "Hairs of your head is numbered. I'll raise them up in the last days. All the Father's given Me, will come to Me, and I'll raise him up the last days."

E-25 I'm so glad that we know a God, though I drown in this ocean, though my body rots away, yet my God knows every element that's in here. He will speak someday [Brother Branham makes a blowing sound.--Ed.], and I'll appear. Hallelujah.

E-26 That's what He did there. He was standing there; He eat the flesh of a calf, drank the milk from the cow, eat bread. Then the two preachers, the Angels, modern Billy Graham, Oral Roberts. Preachers... They had a message for the world. So they looked toward Sodom. They went down there, not much miracles done, but they blinded the people. Preaching the Gospel does blind the people. That's what the Bible says.
Let's look at this one that was sent to the church called out, the elect, Abraham's church. He said to Abraham... Now remember, He was a Stranger, "Abraham, where is your wife, Sarah?" How did He know he had a wife? How'd He know her name was Sarah?
Now, watch what the Scripture says. The Scripture said, "She is in the tent behind You."
And He said, "I will not keep a secret from Abraham. I'm going to visit you according to time of life."
And Sarah, she smiled in herself, say, "Me being old, and--and my lord, Abraham, being old too, have pleasures together again?"
Now, the Angel, this Man was in flesh, He said, "Why did Sarah laugh? Why did she laugh?"
Jesus said, "As it was in the days of Noah--in days of Sodom, so shall it be at the coming of the Son of man." The Gospel will be preached to the intellects, with a modern Billy Graham and so forth. But the Church spiritual, will receive a Messenger, the Angel of the Lord, and will do the same things as it was before Sodom. Why? The world's to burn this time. Sodom burned. When He referred to Noah, did--did you notice what He said? "As it was there, eating, drinking, marrying..." The--the morals of the world... But here was the spiritual sign to the world. Watch when Jesus came, how did He make Hisself known to be Messiah? He could discern the thoughts of their hearts. Now, men and brethren, isn't that true? Isn't that the Scripture?

E-27 How did... When He told Peter, Simon, "Your name is Simon, and your father is Jonas."... They were looking for the--the Scriptures to be fulfilled. That in... When the Messiah come, He'd be a God Prophet. Now, the Jews had got away from that spiritual part, like too many of us has done today. They were looking for a great one to come, go riding down out of the heavens, rule all the world, and they failed to see it.
Nathanael was seen under the tree, fifteen miles away, by Jesus. When they called Jesus, Beelzebub, they never said it with their lips. The--the Bible said, "He perceived their thoughts." Knew... Knowing their thoughts... He told the woman at the well, "Go get your husband. Come here."
Said, "I have none."
Said, "You've had five."
Now, she didn't call Him a devil. She said, "Sir, we, the Samaritans, we know..." See, where... "We know that when the Messiah cometh, He will do these things." See? She was trained right. "So You must be His Prophet."
He said, "I am He."
Watch her message to the city. "Come, see a Man that told me the things that I done. Isn't this the sign of the prophet, isn't this the sign of the Messiah? Isn't this the very Messiah?" You understand?
Jesus said... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... "will know Me no more--will see Me no more. But ye shall see Me, for I ('I' is a personal pronoun), I'll be with you, even in you, to the end of the world."
The Bible said, "He's the same yesterday, today, and forever."

E-28 Now, just one more moment. Now, listen real close. All of us know that the Angel that appeared to Moses, was Christ. It was the Angel of the covenant. You believe that? The Angel of the covenant. He followed Israel in a Pillar of Fire. And then when Jesus was on earth, He said, "Before..." They told Him... They was angry with Him because He said He saw Abraham's day. Jesus said, "Before Abraham was, I AM." That was that same Pillar of Fire that was in the bush, "I AM."
Now, He's said, Jesus, "I come from God, and I'll return to God." Do you believe that? Scripture says that? After His death, burial, and resurrection, persecution set upon the church.
Paul, on his road to Damascus with orders in his pocket to arrest all the Pentecostal people, and on his road down a Light smote him, and he fell to the ground. And he looked up, and the Pillar of Fire was before him, a great Light, saying, "Saul, Saul, why persecutest thou Me?"
He said, "Who are You?"
And you'll bear me record...?... Paul was a powerful, intellectual preacher, set under Gamaliel, a mighty man, but that isn't what counts. He looked at this Angel, this Light, this Pillar of Fire, "Who are You, Lord?"
He said, "I'm Jesus." He had returned back to God. "I came from God; I go to God."

E-29 Now, I want to ask you, if you went out here to take fruit off of a orange tree, the orange tree will bear oranges. Papaya tree will bear papayas. Why? The life that's in that tree, will bring forth the fruits, just like the life that's in it. Is that right?
Now, let us look. This Angel of the Lord, they took the picture of It many, many times. (Many times.) And it hangs in Washington, D. C. under a copyright in the religious hall of art, as the only supernatural Being was ever photographed. At Houston, Texas (Houston, Texas), one of my Baptist brethren raised up and wanted to debate with me about Divine healing. I just ignored it. God never sent me to fuss... pray for His children...
And then, the next day he put a big piece in the paper, and he said, "It shows what he's made out of; he's afraid to face the Word."
Doctor Bosworth, which was one--one of my associates, eighty years old then. Many--many of you's heard of Doctor Bosworth, a very godly man. He come put his arm around me, and he said, "Brother Branham, would you stand for that?"
I said, "Brother Bosworth, no matter what you would do, Jesus said, 'No man can come to Me, until My Father draws him first. And all My Father has given Me, will come to Me.' Did not they say in the Scripture, 'They could not believe. They had eyes, couldn't see, ears and couldn't hear.' Though Jesus had done many miracles... I'm sure you understand."
And he said, "But Brother Branham, we are obligated to the public as men of honor, as ministers, to defend that Word."
I said, "You may be obligated. I'm obligated to God to carry a commission."
He said, "Would you let me do it?"
I said, "It would only make an argument."
He said, "Please, let me do it."
I looked at him, eighty years old. He reminded me of Caleb to go up to take the city. I said, "If you promise me that you won't argue..."
He said, "I promise."

E-30 Oh, my. That's just what the paper wanted: great big headlines, Ecclesiastical Fur Will Fly."
So then, the next day they set the debate in the Sam Houston Coliseum. Thirty thousand people gathered.
Listen, we may be divided today. But listen to this, one of these days we'll be one. God will see to that, if communism... It's something that has to force us together.
The churches was at one another's throats there, the different churches. But when that come in the paper (in the paper), we--we had everything in common then. Them that believed in Divine healing, train loads come in. Planes flew in. They come from everywhere. Why? A principle, what we all believed in was standing at stake.
That night, I would not go down. I stayed in the hotel. All at once, something said, "Go down."
I put on my overcoat, four policemen, 'cause we was having great meetings, they got from the front of me, and back of me. And I walked in with my coat up, like way in balcony 30.

E-31 And while I was setting up there, all the ministers, about five hundred, all around... And then, the Dr. Best, which was the debator, he said, "Let Mr. Bosworth have first."
Mr. Bosworth said; he said, "I have six hundred statements concerning Christ's attitude towards the sick. I will place these to Mr. Best. If he can take one of them and disprove it by the Word of God, I'll turn the debate to him." He wouldn't do it. He said, "Then I'll ask Mr. Best (Mr. Best), the Baptist preacher, I'll ask him one question. If he will answer me, yes or no, just say, 'yes or no,' then I'll turn the rest of it over to him."
Mr. Best said, "Ask on."
The moderator give him release. He said, "Was the redemptive Names of Jehovah, the seven compound redemptive Names of Jehovah applied to Jesus, yes or no?" That settled it. Now, did they get that? [Brother in congregation ask Brother Branham to explain it again--Ed.] You get that? See? Yeah, see? Let--let me get it. He wants me to get it again, so they'd be sure. I--I don't know whose here.
"Was the redemptive Names, the--the seven compound redemptive Names of Jehovah applied to Jesus, yes or no?" Say, "Yes or no." He couldn't say it. If he said, "Yes." He was Jehovah-jireh, the Lord's provided Sacrifice. And if He was Jehovah-jireh, then He also--also Jehovah-rapha.
Now, listen, I want these ministers to catch this. You understand what I mean? See? Jehovah-jireh. (You see, you know, he said.) Jehovah-jireh, Jehovah-rapha... One... All right...?... you know it. Okay.

E-32 Now, if he said, that He wasn't Jehovah-jireh, if He wasn't Jehovah-jireh, then He also... If He wasn't... If He was Jehovah-jireh, then He had to be Jehovah-rapha. You can't separate them (See?), can't separate them. So if He isn't Jehovah our Healer, He isn't Jehovah our Saviour. That settled it. He couldn't answer. They could not answer it. (Get it? All right. Now, you see he could not deny one, and accept the other, because they're inseparable. So if He's still Jehovah the Saviour, then He was the Son of God, and if He is, then He's Jehovah the Healer, the same yesterday, today, and forever.)
Oh, he become angry, the Baptist minister. And he kept jumping up-and-down, and he said, "Let me up there." And he preached on the resurrection. He didn't believe the miracles that Jesus performed. He played--put it off in a millennium. And he preached a Campbellite sermon. I'm a Baptist. I know what Baptist believe. But he was in such a fix, he couldn't get out of it. He--he--There was nothing could be said. Then he kept saying... He walked over to a minister and smacked him with his hand, in his mouth, and they had to pull him off of the minister.

E-33 And then when they did that, they was afraid of a riot, so then the police moved up. And then--and then he said this: "Let me see that healer perform. Bring forth the healer. Let me see him do it."
Brother Bosworth said, "Brother Branham don't claim to heal people." He said...
Brother Bosworth had spotted me. He said, "I know he's here, but he wouldn't argue with people." But he said, "If--if--if he wants to come and dismiss the audience, all right." Said... Because Mr. Best, had already lost the debate, the moderators had taken the debate from him, a hundred percent and give it over to the--Mr. Best--Mr. Best--Mr. Bosworth. He couldn't answer his questions. And these were men was not interested in no one, no certain religion. They were swore under oath.

E-34 So then, I said to... Then my brother Howard was setting near me and my wife. (My brother Howard, and my wife.) And--and so I started to raise up, and Howard, my brother, he said, "Set down."
I said, "I'm setting down."
And just a moment I heard something, just like those leaves that day in that tree, making a noise going whew, whew [Brother Branham makes a noise like wind blowing--Ed.] and I looked up, and He was there. Said, "Stand on your feet."
God's great in battle. You should see Him. You ought to see Him in Africa, India, wherever He's challenged to a showdown. Seen Him drop and paralyzed, and witch doctors stand and couldn't move. He's God.
So I--I got up. And my wife said to my brother, "Look at his face. Let him alone."
Many ushers put a line all the way down. The poor people, mothers with little babies trying to touch you. Killed, it hurt... I have children too. They thought that maybe that would help them.

E-35 I come to the platform. I walked over to Mr. Best, shook his hand. I said, "How do you do, Mr. Best."
He said, "Mr. Branham, as a man--as a--as a man, I admire you. But as doctrine, I don't believe you're right."
I said, "That's just the way I feel too." So then, I said, "I'm surprised, Brother Best, that you would make the remark that you did, when you said, 'Let the healer come forth and perform. Let--let him do something, let me see it.'" I said, "Brother Best, don't you understand, that's the same spirit was on the Pharisees? 'If Thou be the Son of God, come down off the cross.' They put a rag around His head--around His face, Jesus, and hit Him on the head with stick, and said, 'If you be the--a prophet, tell us who hit you?' Don't you see, Brother Best, that's the spirit of the devil? Was not it the devil, that said to Jesus, 'If Thou be the Son of God, make bread out of these stones? Perform a miracle, let me see.' God don't do things like that. He doesn't mind the devil." And I said, "You trying take the only hope..."
And he said, "Baptist don't believe such stuff as that." Said, "There's only one class of people that believe that, and that's a bunch of holy-rollers."

E-36 I said, "Dr. Best, I beg your pardon. I'm a Baptist myself." And I said, "I would like to show you something." I said, "There's at least three hundred Baptist ministers, pastors of this city; I'm going to ask that people in this city, members of them Baptist churches can show by a doctor's statement, that they've been healed by Jesus Christ in these last eight days that I've been here, and can come here at this platform, bringing their doctor to prove their healing, stand on your feet." And three hundred stood up. I said, "It isn't the people; it's blind leaders." I said, "Sir..."
He said...
I said, "Sir, I cannot heal people." I said, "Do you believe your ministry's inspired?"
And he said, "Yes."
I said, "This is inspired." I said, "I--I--I do not heal people, but if what my--if what I have said is in question, about the Holy Spirit, Him being the Healer," I said, "I will not be able to come against you. You're just out of college and smart. And I have no education, but I have Someone that's confirming what I say." I said, "If my word's in question," then I said, "it's God's Word in question. For I'm just saying what He promised." Thank God that God will take care of His own Word.
And about that time, here He come, circling down. People begin fainting, and they won't let them take pictures while I'm in prayer. And the--Mr. Best had hired a photographer to take six pictures of him.

E-37 Now, here's the remark he made: "I'm going over there and take that old man, old man Bosworth, and I'm going to skin him, and take his hide, and tack it on my study door for a commemoration of Divine healing in this day."
Now, right there showed the man wasn't right in his heart. And we just after--before the meeting, he turned Mr. Bosworth like this, and he took his fist and put it under his nose, said, "Now, take my picture." And then he took his hands like this, and said, "Now, take my picture." And they got six of those pictures just like it, for his--to show his debate in his magazine.
Brother Bosworth just stood humbly, let him take the pictures.

E-38 And then when this Angel came down, that photographer had that great machine set, and he shot the picture. And when He come down, people screaming, I said, "I will have to speak no more. He speaks in my place." I went out. The policeman helped me to the car.
The photographers taking the pictures, and went over... One of them was a Jew; the other one was Catholic, the two photographers working for the Douglas Studios in Houston, Texas. And they're a member of the association, and they went in--they went into the studio, and they said, "We'd better get these glossies out for Mr. Best; he wants them tomorrow."
The Jew, Mr. Ayers, went upstairs and laid down. And the other man went in and put the pictures in the acids, come back was smoking a cigarette, and he begin to think, he said, "You know, if that man was only Catholic, he could be true." Said, "Maybe he is." Says, "Because his parents behind him (my people before me) were Catholic, and that man could have been right. But he can't be right and be a protestant." He goes in... And the day before he'd wrote an awful article in the paper about me, and then he went in and pulled the pictures out of the acid. One, two, three, four, five, six, none of them took. God wouldn't permit a picture to be taken of him shaking his fist under that sainted old man's face. And he pulled out the seventh, and there was the Angel on the picture. He had a heart attack and fell.

E-39 Two or three days later, the negative was flown to Washington D. C. that night, at eleven o'clock, and brought back. And George J. Lacy, the head of the FBI on fingerprint and documents was flown there to take a test of this picture, to see if it was something had been painted on there, a double exposure, or something wrong. After three days he called us in. There was about two hundred people, writers of magazines, different papers, and he stood up, and he said, "Whose name is Branham?"
I said, "Mine."
Said, "Come here." He's kind of red-headed...?... hair on his face, and he said, "Stand here."
Said, "Yes, sir."
He said, "Mr. Branham, I've been one of your critics. I've said that that was psychology, but listen Reverend Branham, the mechanical eye of that camera won't take psychology. The Light struck the lens." He said, "You're going to... He said, "The light struck the lens." He said, "Someday, this picture will be sold on the ten cent stores (you know). But said, "Not while you're living, because God wouldn't permit that." But said, "After you're gone, the church will realize the day that they passed through." Said, "It's always been that way." He said, "Myself, I'm Catholic." He said, "But I remember the history of Joan of Arc, how that they--she saw visions, and my church burnt her to a stake as a witch. But after she was dead a long time, we found out that her--she was a saint. It was too late." He said, "It was the same thing down through the Scriptures." He said, "Someday you'll die."
I said, "Praise God, I'm ready."
And he said, "Forgive me for being your critic," and he handed me the negative.
I said, "It's not mine. It belongs to the studio."
He said, "Mr. Branham, that--that negative is worth tens of thousands of dollars." Said, "It's the only time that a supernatural Being was ever scientifically photographed."
Now, I said, "I would not take it. Upon your statement, if Jesus loved me enough to come down and have His picture taken with me for the first time in all the world's history, who am I to sell His picture to make money from it?"
But in the copyright so that no one can sell it, without your statement... He said, "I'll gladly write my statement." And he wrote it, signed it. The Douglas Studio's taken it.

E-40 Brethren and sisters, we're men and women, got to die, but the Spirit of God that's among us, is the same God that met Moses in the wilderness, was in Jesus Christ on earth, because the life of It proves It's the same Spirit. It's doing the same thing. It's a promise of Christ. Wha--oh, how... There's just no place to stop.
Look, there was two... There's only three na--nationalities of people in the world, three classes (Listen close, and I'll close.): Ham, Shem, and Japheth. The whole human race, this side of the flood, came from them. You believe that? The countries we lived in changed our colors, black, white, brown, yellow, whatever color. That has nothing to do with it. We come from them three children. That's Jew, Gentile, and Samaritans.
Did you notice Peter had the keys to the Kingdom? On the day of Pentecost he opened it to the Jews. Philip preached to the Samaritans. Only the Holy Ghost had come on none of them. He sent up and got Peter, laid his hands on them, the Holy Ghost came. At the house of Cornelius, the Gentile, Peter, while he yet spake these words, the Holy Ghost fell on them. And there It went. The three people, three races... There was two... The--the Samaritan, you know the history, they're half--half Jew and Gentile.

E-41 Now, when the Samaritans and the Jews was looking for a Messiah, not the Gentile. We were heathen, not looking... We wasn't looking for any Messiah. But when He come at the close of their dispensation, see how He made Hisself know? "You are Simon. Your father is Jonas." I--perceiving their thoughts... Philip, Natha--Nathanael, "I saw you when you were under the tree."
"Thou art the Son of God."
The big Jew, priest, "He's a fortune-teller."
Jesus said, "I'll forgive you for that. You speak against the Son of man, but over in the age of the Gentile, when the Holy Ghost comes to do the same thing, one word against It will never be forgiven in this world or the world to come."
Don't you see the rejection of Christ? That's the reason there's an atomic bomb waiting yonder, waiting to destroy the world. They're rejecting Christ, just like the Jews did.

E-42 Now look, then He went to the Samaritans; He said, "I have need to go by Samaria." Why? They were looking for a Messiah, a Messiah. He manifested Himself the same way to the Samaritans that He did to the Jews. They believed Him.
Now, the prophet said, "There'll be a day, that it'll neither be night or day. But in the evening it shall be light."
We... The sun shined on the Eastern people. It rises on the East. Then geographically it crosses the earth. Same--the same--the same sun that rises in the east, sets in the west. The Eastern people saw it, believed it, some condemned it, in the east, the Jews. Civilization has moved westward. Now, the east and west is together. We've had a day, a day like this, dismal, a little Light, enough to make a organization, put your name on a book, and to believe Christ as your Saviour. There's been that much Light. But the prophet said, "In the evening it shall be Light."
The same Son, the same Holy Spirit, that come into Christ, and done the same thing that you see doing now. People and brother, search the Scriptures. Search your history. It's never been from that day until this day. We're in the evening time. How many know the Lord is at hand? And God is revealing to the Gentiles, that his Messiah still lives, the same. It's got the same nature, doing the same work, prove that He's the same...?... They didn't kill Him and put Him in the grave. He rose again, and He lives forevermore, not the I was, the I AM, Jesus Christ, the same yesterday, today, and forever.

Up