Le Son confus

Date: 61-0415E | La durée est de: 2 hours and 5 minutes | La traduction: Shp
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1 Merci beaucoup, frère. Que Dieu vous bénisse. «Mon enfant Timothée…» C’est très bien. Que Dieu vous bénisse. Vous ne savez pas ce que cela me fait, de voir un jeune homme, d’entendre ces paroles qui sont prononcées comme cela. Cela signifie, frère, que mon travail n’a pas été tout à fait vain. J’avance en âge, et c’est lui qui vient après. Et maintenant, cela me fait beaucoup de bien d’entendre qu’une réunion comme celle-là… ce que cela a produit. Vous ne savez jamais ce que vous faites quand vous semez les semences.

2 Il y a une légende en Norvège selon laquelle… Ils ont beaucoup de belles fleurs en Norvège. Et la légende raconte, comme pour John Apple ici, vous savez, que cet homme-là aimait tellement les fleurs qu’il remplissait ses poches de semences. Et il allait çà et là, semant simplement les semences. Partout où il trouvait un espace, il semait les semences des fleurs, et c’est la raison pour laquelle il y a tant de fleurs, parce que quelqu’un a semé des semences. C’est ça.
Semons la Semence de la Parole de Dieu partout où nous nous trouvons, car nous ne savons pas ce que cela va produire. Et ces quelques semences, ce soir-là, sont tombées dans un sol fertile qui a produit un – un vrai et authentique serviteur de Dieu, qui se tient ici comme une lumière qui brille. L’autre jour, je suis passé près de son église, et je ne me souviens pas de ce jeune homme, bien sûr, cependant il n’est pour moi qu’un enfant. Je doute qu’il soit aussi âgé que mon Billy. Mais, il est… Je me suis tenu là-bas à contempler cette belle et grande église de l’Assemblée de Dieu qui a été construite là-bas. Je me suis arrêté juste un instant, et j’ai dit: «Merci, Père. Garde Ta main sur lui.» Et «en partant, nous laissons derrière nous des empreintes de pas sur le sable du temps».

3 Je vous souhaite certainement un joyeux, un très joyeux anniversaire. Que les bénédictions de Dieu reposent sur vous tous.
Bon, demain c’est dimanche, et nous nous attendons à ce que vous tous les visiteurs, vous alliez demain à l’église de quelqu’un. Ces hommes qui sont ici à l’estrade sont des ministres de la place, et ils représentent ici cet Evangile que vous nous entendez prêcher. Ils croient la même chose que nous, et ils sont assis ici pour représenter cela. Et remplissez leurs églises demain; passez-y de merveilleux moments.
Et ensuite, demain après-midi, nous tiendrons le service de l’après-midi, au lieu d’avoir un service du soir, parce que cela détourne les gens de leur poste du devoir, et nous pouvons avoir cela dans l’après-midi. Nous devrions adorer toute la journée de dimanche. C’est la journée qui a été mise à part pour cela. Ainsi donc, allez quelque part à l’école du dimanche le matin, et restez pour le culte.
Et c’est toujours un péché d’envoyer vos enfants à l’école du dimanche. Vous savez cela. Tout le monde le sait. C’est un péché d’envoyer vos enfants à l’école du dimanche; emmenez-les. C’est donc un… Alors dans ce cas-là, dans ce cas-là vous faites ce qui est juste; mais vous agissez mal en vous contentant de les envoyer.

4 Et puis, demain après-midi, à 14 h 30, si cela vous est possible, soyez ici à temps. Et nous allons prévoir un autre service de guérison pour demain après-midi. Je prie que demain après-midi le Seigneur nous accorde au-delà de toute mesure. Pour un service, c’en était vraiment un!
Si ces… Si ce cuisinier ou ce chef qui a préparé ce déjeuner ce matin ici dans le… Je ne sais pas comment on appelle cet endroit par ici, dites donc, c’était très bon. Franchement, c’est le premier repas bien solide que j’ai pris cette semaine. Et cela… ces biscuits ou plutôt le pain, quoi que c’était, le ris de veau, c’était bon, quoi… Je – j’ai vraiment apprécié cela. J’aimerais avoir cette recette. Soeur Wood, apportez cela chez moi à Meda, et voyez si elle pourrait essayer de préparer cela. C’est une bonne cuisine méthodiste. Ça l’était vraiment, c’était vraiment bon. Nous apprécions cela.
Et si le doyen est présent, nous sommes désolés d’être restés au-delà du temps, nous ne le savions pas. Evidemment, je comprends, frère, monsieur, que – que peut-être vos services… Vous avez tous des services dont la durée est bien déterminée, et vous êtes automatiquement habitués à cela. Mais, je vous assure, frère, ces pentecôtistes ont… ont réellement un jubilé gastronomique, quand ils sont là, et ils restent toute la journée; on est simplement obligé de les faire sortir; c’est tout ce qu’il y a à faire, se débarrasser tout simplement d’eux. Ainsi, ils… Mais nous avons essayé de congédier… Billy a fait signe pour montrer qu’il restait quinze minutes, et je pense que nous avions terminé avant quinze minutes pour vous. Et nous sommes désolés d’avoir interrompu, là, parce que nous ne le savions pas.
Et nous vous remercions certainement du fond de notre coeur de nous avoir offert ce petit-déjeuner. Et à vous, les charmantes dames qui avez servi et que suis-je encore, tous mes remerciements. Que les riches bénédictions de Dieu soient avec vous.

5 Bon, je pensais à… je n’arrive pas à ôter cela de mon esprit… concernant cette conversion de frère Hill. Frère Banks Wood, l’un de mes associés, est assis quelque part ici ce soir. Je pense qu’il n’est pas rentré chez lui aujourd’hui. Mais il a assisté à la réunion de ce matin. C’est là que son fils, juste… la réunion juste avant celle-là, fut guéri. Chaque fois qu’il parlait d’une réunion, je… quelque chose d’extraordinaire. Eh bien, j’aimerais simplement… je ne veux pas m’éloigner de mon texte ici… mais j’aimerais juste raconter un petit incident qui est arrivé, qui m’a vraiment débarrassé des défauts au cours de cette réunion, la même pendant laquelle vous avez été converti.
Je vous assure que c’est facile de s’éloigner du Royaume de Dieu, si vous ne… Ma vieille maman me disait: «Chéri, réfléchis toujours deux fois, et ensuite parle une seule fois.» C’est une très très bonne philosophie. C’en est vraiment une.

6 Je restais… (Comme vous le savez, c’était de merveilleuses réunions.) Et nous restions à la campagne. Il y avait alors un tas de clinquants dans la réunion; cela s’est assez calmé depuis lors, car, oh, Oral Roberts et beaucoup d’autres sont entrés dans le champ missionnaire, ainsi ils… C’est… le réveil en Amérique est presque terminé, vous le savez. Nous sommes juste en train de glaner maintenant, juste là où c’est presque terminé maintenant.
Et je pense… C’est la raison pour laquelle je lance de tout mon coeur un avertissement, disant: «Après ceci vient le jugement, aussi sûr que le monde existe.» Il n’y a jamais eu – jamais eu un temps [pareil] dans l’histoire où le jugement n’a pas suivi. Et après ceci viendra le jugement.
Et le réveil de guérison est presque terminé en Amérique maintenant. Et mon coeur désire ardemment aller outre-mer; en effet, dans quelques mois peut-être, je pourrais passer mon… le reste de mon séjour, le reste de ma vie, dans les champs de mission à l’étranger.

7 Eh bien, ainsi, pendant cette série de réunions, je devais donc loger à la campagne. Et j’étais dans un petit motel. (Le frère pourrait le connaître, s’il vient de ce coin-là de la campagne). Et il y avait une petite… Je crois que c’était un restaurant mennonite de l’autre côté de la – la route, et ils étaient… Eh bien, les mennonites sont des gens très aimables. En passant aujourd’hui, j’ai vu ici dans la ville un hôpital mennonite. Si je me fracturais le bras et que je devrais aller à l’hôpital, j’espère qu’on m’amènerait à l’hôpital mennonite, car je – j’aime ces gens; ils sont très gentils. Et ils vous font constamment gagner, je crois que c’est un… Gene, une livre [453,5 g – N.D.T.] fait combien d’onces [28,3 g]? Seize onces, n’est-ce pas? Ils vous font gagner dix-sept onces. Voyez-vous? Et ainsi… Et ce sont des gens très gentils.
Et j’étais au restaurant. Et les petites dames étaient très bien habillées, elles étaient très propres, et leur cuisine était propre. Et c’était des dames soignées, gentilles, en tout point de vraies dames chrétiennes. Et j’ai vraiment aimé manger là. Ils ont une bonne nourriture. Et je suis donc allé là-bas pour manger.

8 Eh bien, le dimanche je n’avais pas mangé depuis peut-être deux jours, je me préparais pour le grand service de l’après-midi (C’est peut-être à ce moment-là que ce jeune garçon a été converti ou amené à Christ). Et ainsi… Monsieur Baxter prêchait à ma place, si vous vous souvenez, pendant les services de l’après-midi, pendant les – pendant les préliminaires. Et alors je – j’ai eu faim. Et je savais que j’allais prêcher cet après-midi-là; je n’allais pas tenir un service de guérison. Ainsi je me suis plutôt dit: «Eh bien, ça ne me ferait pas de mal de prendre un sandwich.» J’ai dit: «Je – je prêche souvent très durement, me suis-je dit, et très longtemps, au point que tout sera digéré avant la tombée de la nuit pour le service de guérison.»
Alors j’ai dit… je suis allé là, mais le petit restaurant mennonite avait fermé. Ils étaient allés à l’église, et le restaurant avait fermé. Je suis donc allé de l’autre côté de la rue, à une petite cafétéria américaine ordinaire, où on vendait des sandwiches et des boissons fraîches.

9 Je déteste dire ceci. Cela me fait mal, parce qu’il s’agit de notre propre nation, mais de la voir se dégrader à ce point… Quand je suis entré dans cet endroit, tout d’abord un policier se tenait là et il avait le bras autour d’une femme à un mauvais endroit, jouant à une machine à sou. Or, jouer à l’argent est illicite dans l’Ohio. Beaucoup d’entre vous, originaires de l’Ohio, vous le savez. Et puis un policier, qui est censé faire respecter la loi, se tenait là, en train de violer la loi; et un homme de mon âge (qui avait peut-être des enfants et une femme à la maison) se tenait là, le bras autour d’une femme. J’ai regardé, et je me suis dit: «Oh! mon Dieu!»
J’ai entendu quelqu’un rire, et j’ai regardé derrière moi, vers le fond, et un groupe de ces garçons qu’on a ici… Comment les appelez-vous? Des hippies, ou quoi que ce soit…? Ils ont les cheveux coupés ras au-dessus, et courts plaqués vers l’arrière ou quelque chose comme ça, en blousons, et leurs pantalons étaient très rabaissés comme ceci. Mes enfants, soyez des hommes. Vous avez mieux à faire que cela. Oh! la la! ils étaient donc assis là derrière, et une jeune fille qui n’avait pas plus de dix-sept ou dix-huit ans… et cette jeune fille, la manière dont ils se comportaient, s’agitaient sur elle, c’était une honte. Et je me suis dit: «Eh bien, qu’en est-il de ça?»

10 J’ai entendu quelqu’un dire: «Penses-tu que la pluie abîmera la rhubarbe?» Et j’ai regardé de ce côté, et là était assise une femme… Eh bien, je dis… Et je – je ne – je ne crois pas que ceci soit un endroit où plaisanter. Ceci est un endroit où l’on doit être honnête et véridique.
Et là se trouvait une femme qui pouvait avoir l’âge de ma grand-mère. Elle était assise là, vêtue de ces tout petits vêtements immoraux. Et cette femme avait les ongles des orteils peints en violet. Eh bien, l’ongle de mon orteil était devenu violet, mais après que je l’avais écrasé ou quelque chose comme ça. Mais c’étaient des ongles peints en violet, et ses lèvres étaient peintes en violet, vous savez, et – et – et elle avait de petites taches sur le visage. Et la petite – la dame avait des cheveux coupés très courts et teints en bleu.

11 Eh bien, je – je… cela… Eh bien, cette dame a le droit de faire tout ce qu’elle désire (Voyez-vous?); ça m’importe peu (Voyez-vous?), mais je – je ne crois pas que le Seigneur ait jamais créé quelqu’un avec des cheveux bleus. Je – je… C’était très étrange. Et la pauvre vieille âgée… Et… ou la chair de ses bras était molle et pendante, vous savez, comme cela. Et je l’ai donc regardée.
Et il y avait un vieil homme, et c’était… Je crains que ce ne fût l’été, à la fin du printemps, vers mai ou juin. Et le vieil homme était assis là, vêtu d’un pardessus de l’armée, et il portait une grosse écharpe autour du cou; ils étaient deux, et ils étaient ivres. Ils étaient assis là et buvaient. Ils se sont donc excusés et ils sont sortis et l’ont laissée seule.

12 Je me suis tenu là et j’ai dit: «Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, je viens du sommet d’une montagne pour me retrouver dans un repaire des rats.» Et j’ai dit: «Comment peux-Tu, Toi qui es saint, et je sais que Tu l’es, regarder une telle scène et laisser cela continuer? Pourquoi n’envoies-Tu pas tout simplement un tremblement de terre pour engloutir le tout?» J’ai dit: «Est-ce pour dire que ma petite Sara et ma petite Rébecca devront grandir sous l’influence de telles histoires? Et devoir, comme cette jeune fille là-derrière, regarder ici ces femmes, et ici, et ces hommes agissant comme ils le font? Et les lois de notre pays qui sont pourries et corrompues, et – et… Les lois sont bonnes, mais ceux qui essaient de les faire respecter, et de telles choses…» Je me suis dit…

13 [Quelqu’un parle en langues, et un autre interprète: «Oui, que veux-tu avoir en dehors de l’amour de Dieu? Oui, Je te le dis ce soir, Mon peuple: Réveille-toi. Oui, car Je suis Dieu, et Je ne supporterai pas cela. Oui, ils ne supporteront pas, dit Dieu. Ne le ferai-Je pas comme il le dit? Oui, mon prophète ne t’annoncera-t-il pas le futur?
Oui, et ne dois-Je pas te parler pour te dire que tu périras certainement, si tu n’es pas enraciné? Oui, Je le dis, c’est à Moi de dire ce qui devra être fait. Oui, et Je déclare que c’est Moi Dieu qui serai pris. Oui, c’est Moi Dieu qui te serai donné. Oui, et Je dis: Accepte ce soir. Je le répète: Accepte Celui qui ordonne toutes choses.» – N.D.E.]

14 Gloire au Seigneur! Eh bien, je ne connais pas cette dame, et je ne connais pas la personne qui a donné l’interprétation. Je ne connais pas cet homme. Mais maintenant, si vous avez un quelconque doute, quant à savoir si c’est vrai ou pas, attendez que je termine mon histoire.
J’ai voulu que Dieu la frappe de mort, qu’Il raye le tout. Et j’ai eu une sensation très étrange. Je me suis retiré derrière la porte (Ecoutez ce qu’Il a dit: «C’est Moi Dieu qui ai été donné», voyez-vous.). Et je me suis retiré derrière la porte. Maintenant, ceci c’est pour vous, étudiants méthodistes, qui êtes dans la salle; écoutez ceci. Et Dieu est mon Juge. Je me suis retiré derrière la porte, et j’ai dit… Il se passait quelque chose.
Et j’ai regardé, et une vision se déroulait. Et j’ai vu la terre, et il y avait comme un – un cercle ou plutôt du brouillard rouge, qui tournoyait autour de la terre. Et je… c’est comme si mes yeux étaient fixés sur moi-même sur la terre, je commettais des choses coupables que je ne devrais pas faire.
Et chaque fois que je me mettais à faire quelque chose de mal, je remarquais que cela montait devant Dieu. Et n’eût été ce brouillard de sang, je serais mort. Mais le Sang de Jésus agissait comme le pare-chocs d’une voiture. Et chaque fois que mon péché atteignait Dieu, devant le Trône de Dieu, c’est comme si cela frappait Jésus avant de frapper le Trône. Et Il secouait la tête et les larmes coulaient sur Ses joues, puis Il disait: «Père, pardonne-le; il ne sait pas ce qu’il fait.»
Ensuite, je faisais encore quelque chose de mal, et on dirait qu’Il jouait comme le rôle d’un pare-chocs entre moi et la mort, parce que Dieu avait déjà déclaré ma mort le jour où j’avais péché. C’était ce jour-là que je suis mort. Et puis, je n’arrivais pas à comprendre pourquoi ce brouillard autour de la terre.

15 Et j’ai levé les yeux là, et mon – mon livre était ouvert. Eh bien, ça c’est une vision, exactement comme ce que je vois ici dans la salle, excepté que celles-ci c’est vous qui les provoquez. Celle-là, c’était une vision donnée par Dieu. Et j’ai remarqué que mon nom était inscrit dans un livre, et toutes sortes de péchés étaient écrits à ma charge dans ce livre.
Et j’ai dit: «Seigneur, mes péchés t’ont-ils fait souffrir comme cela?» Et Il pleurait; il y avait des larmes sur Son visage; et – et Il avait l’air si fatigué, avec Ses pauvres yeux baissés. Et j’ai compris que ce sont mes péchés qui L’avaient fait souffrir. J’ai dit: «Seigneur Jésus, je suis navré. Je suis navré que mes péchés T’aient causé tant de peine pour moi. Veux-Tu bien me pardonner? Je promets que je – je serai correct, et que je ferai tout mon possible, si seulement Tu me pardonnes.»
Et de Sa main, Il a touché Son côté. Et Il a écrit en travers de ce livre: «Pardonné», Il l’a précipité derrière Lui dans la mer de l’oubli, pour ne plus s’en souvenir contre moi. Et je suis tombé à genoux, et j’ai dit: «Ô Seigneur, je ne pourrais jamais vivre assez longtemps pour T’exprimer ma gratitude pour avoir pardonné mes péchés.»
Il a dit: «Eh bien, Je te pardonne gratuitement tout ce que tu as fait, mais toi, tu veux la détruire.»

16 Cela m’a donné une leçon. Quand la vision m’a quitté… Faites donc attention à cette interprétation: «Dieu fut donné pour nous.» Comprenez-vous cela? C’est parfaitement en accord avec les paroles que… Avant que je raconte cela. (Il y a des gens assis ici venant de mon église et tout, qui m’ont entendu raconter cette histoire auparavant, et qui savent que c’est la vérité. C’est exact. Voyez-vous?) Cela montre combien cet Esprit de Dieu est parfait, en parlant là dans des langues inconnues et en interprétant cela sans qu’aucun d’eux ne me connaisse ni rien…

17 [Quelqu’un parle en langues, un autre interprète: «Oui, pourrais-Je envoyer Mon prophète en larmes? Oui, pourrais-Je l’envoyer chercher, si ce n’est toi? Oui, Je te le dis ce soir, Mon peuple; c’est Moi Dieu qui me tiens devant toi. Oui, ne veux-tu pas Me suivre? Oui, n’est-ce pas Moi qui – qui t’ai aimé? Oui, n’est-ce pas Moi qui ai porté tes iniquités? Oui, n’est-ce pas Moi qui ai souffert? Oui, veux-tu Me faire crier? Oui, veux-tu Me faire pleurer à cause de toi? Oui, Je te le déclare ce soir: ne crains point, car Je suis là. Oui, Je suis là, prêt à recevoir. Veux-tu venir, dit l’Eternel.» – N.D.E.]

18 Gloire au Seigneur. Ecoutez cela. Juste un instant. «Jusqu’à quand clocherez-vous des deux côtés?»
Savez-vous ce que j’ai fait? Maintenant, écoutez la suite de l’histoire telle qu’elle continue. Je me suis avancé vers la femme, je me suis tenu là. J’ai dit: «Père, pardonne-moi!» Je me suis avancé vers elle; j’ai dit: «Puis-je m’asseoir?»
Elle a dit: «Oh! salut!» Elle a dit: «Je – j’ai de la compagnie.»
J’ai dit: «Madame, je ne parle pas dans ce sens-là.» J’ai dit: «J’aimerais m’asseoir ici juste un instant, jusqu’à ce que vos amis reviennent.» J’ai vu qu’elle buvait.
Elle a dit: «Très bien.» Et je lui ai raconté l’histoire qui m’avait été racontée par la vision. Elle a dit: «Je sais qui vous êtes!» Elle a dit: «Vous êtes ce M. Branham qui est par ici dans ce dépôt d’armes.»
Et j’ai dit: «Oui, madame; effectivement.»
Elle a dit: «Je suis passé lorsque vous étiez en réunion l’autre soir. Je n’ai pas pu entrer.» Elle a dit: «Monsieur Branham, je suis désespérée.» Elle a dit: «Mon père était un prédicateur méthodiste. J’ai deux filles qui sont des monitrices de l’école du dimanche chez les méthodistes.»
J’ai dit: «Qu’est-il arrivé?»
Elle m’a raconté l’histoire. Elle a dit: «Il n’y a pas d’espoir pour moi.»
Et j’ai dit: «Madame, s’il n’y a plus d’espoir pour vous, alors pourquoi Dieu m’a-t-Il montré cette vision?» Et là, avec ma main dans les siennes, je l’ai conduite juste là au milieu de la salle, et à genoux là, nous avons eu une réunion de prière, et je l’ai ramenée à Dieu…?...

19 Il se pourrait qu’il y ait quelqu’un ici ce soir-là – ce soir, dans cette condition-là. La grâce de Dieu est répandue dans nos coeurs par le Saint-Esprit. Voyez-vous?
Je me souviens bien de cette série de réunions, fiston. Cela me rappelle ceci: peu importe ce qu’a fait la personne, aimez-la, et c’est ce qui la gagnera.

20 Demain après-midi, eh bien, n’oubliez pas les services. Le Seigneur voulant, nous aimerions prier pour les malades.
Et je voudrais faire cette déclaration avant de prendre mon texte: hier soir, quand l’onction du Saint-Esprit… en fait, je n’avais nullement l’intention de tenir ce genre de service. Cela était entièrement hors de ma pensée. J’avais l’intention de prendre mes frères et de descendre parmi ces gens qui étaient ici dans des lits de camp, des civières, mourants, dans des fauteuils roulants et ainsi de suite, et me tenir là en bas. Et… et j’ai dit à frère Hearn de se tenir à mes côtés, lorsque j’enverrais mes frères par ici. Je voulais qu’ils… J’ai tout simplement senti après avoir prié (et j’ai mangé à peine pendant toute la semaine, pour…) que quelque chose allait arriver ici qui ferait que les gens se réveillent.

21 Dieu ne peut opérer que là où il y a la foi. Et je pensais qu’une prédication dure et ainsi de suite amènerait certainement les gens à un certain point, et que la confirmation de la Présence du Saint-Esprit serait si parfaite que les gens ne pourraient pas douter. Et ainsi, je me suis tenu comme cela, croyant de tout mon coeur que Dieu ferait quelque chose de cette manière-là. Et alors, l’onction est descendue. Cela a commencé là dans cette salle, saisissant ces gens qui se mouraient là, qui étaient malades. Et cela est venu ici, cela a suivi cette ligne, guérissant ces gens juste là dans ces lits de camp et dans ces civières, nettoyant à fond le groupe en passant.
La dernière chose dont je me souviens, c’était là quelque part, et les gens se levaient de leurs fauteuils roulants, de leurs lits de camp et de leurs civières, et ils étaient guéris. C’est la dernière chose dont je me souviens. C’était une si glorieuse effusion du Saint-Esprit. Je ne sais pas si quelqu’un peut se tenir sous une telle onction, et ensuite se tourner et dire: «Non. Je – je ne…» Je crois que ce serait plutôt difficile pour vous d’être guéri. Si – si vous ne pouviez pas – si vous ne pouviez pas recevoir cela sous cette onction, je – je ne pense pas qu’il serait possible d’y entrer encore (Voyez-vous?), sous une telle onction. Eh bien, c’était un moment merveilleux.

22 Bon, pour être honnête, depuis que j’ai quitté, je suis constamment dans des réveils, depuis décembre. Et j’ai donc été à des endroits qui étaient bondés de gens, à de plus grandes réunions et tout, mais je n’ai jamais connu un moment où le Saint-Esprit ait oint à ce point pour la guérison comme c’était le cas juste ici hier soir. C’est juste. Et j’en suis très reconnaissant.
Et, n’oubliez pas, il y a des gens qui étaient ici hier soir, dont vous aurez des nouvelles. Ils sont – ils sont guéris et ils ne le savent pas. Voyez-vous? Les gens – les gens s’attendent tout simplement à ce que quelque chose leur arrive tout spontanément. Cela ne doit pas forcément venir comme cela. Aussi longtemps qu’il y a quelque chose là à l’intérieur qui dit: «Oui», ça règle la question, peu importe le temps que ça prend. Ainsi, vous ministres, rappelez-vous, vous verrez dans vos églises des gens venir et dire: «Eh bien, vous savez, je – je – je ne souffre plus de cela.» Voyez-vous?
Et puis, mon fils me disait qu’une dame est venue (Il se peut qu’elle soit ici maintenant), elle a dit: «Regardez les yeux de mon enfant.» Elle a enlevé les lunettes; il louchait si affreusement. Elle a ôté les lunettes… Et Billy a dit que les yeux étaient plus droits que les siens. Ainsi, il y a juste… C’est juste, c’est ce qu’il en est. Voyez-vous, personne ne l’a touché. Voyez-vous, ce que j’essaie de faire comprendre aux gens, c’est qu’il n’est pas question que nous, nous vous touchions ou pas; il est question que vous Le touchiez, Lui. Voyez-vous? C’est votre foi qui vous guérit.

23 Bon, ce soir, inclinons la tête juste un instant, alors que nous allons tourner les pages de la Bible. Et puis, pour… Tenez-vous calmes. Seigneur Jésus, nous nous approchons de nouveau de Ton Trône de miséricorde, et demandons ce soir la conduite divine, afin que Tu nous diriges dans nos pensées et nos… Sachant que ce soir nos coeurs sont plus qu’heureux, comme David autrefois l’a dit: «Ma coupe déborde…»
Et à ce que nous sachions, après une réunion comme celle d’hier soir, en principe, Seigneur, toute cette ville devrait être embrasée. Mais où sont les gens? Seigneur, vraiment, comment pourrions-nous ne pas croire que Tu les as ordonnés à la Vie par Ta prescience, que Tu savais qui Te recevrait et qui ne le ferait pas? Comment un homme peut-il venir, puisque… si Dieu ne l’a pas appelé ou ne l’a pas ordonné à la Vie? Nous comprenons donc que de même qu’il en était pendant les âges, il en est de même aujourd’hui où des êtres humains pauvres, misérables, aveugles… Cependant il y a beaucoup de personnes aimables, gentilles, qui mènent une vie juste et droite, côté moralité, mais qui sont pourtant entièrement perdues, fichues, sans espoir, sans Dieu, sans miséricorde, dans cette sombre et dernière heure.

24 Ô Père, mon coeur saigne et implore. Je ne sais rien faire d’autre que de continuer à offrir ma voix, afin qu’en ce jour-là, elle soit sur bande magnétique dans la gloire.
Et je Te prie de continuer d’être avec nous et de nous aider. Bénis les services de demain, alors que mes frères dans le ministère serviront çà et là dans leurs églises. Oh! que le feu venant du Ciel soit sur chaque autel. Accorde-le, Seigneur. Qu’il y ait de grandes réunions à travers la contrée et partout dans le pays demain, et sauve tous ceux qui peuvent être sauvés. Ô Seigneur, bénis les services de ce soir et ces quelques paroles qui ont été lues cet après-midi ici dans les Saintes Ecritures, que j’ai choisies pour dire quelques mots ce soir. Qu’il en soit ainsi afin que plusieurs reçoivent la foi et croient en Jésus, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

25 [Quelqu’un parle en langue. – N.D.E.]
Le Saint-Esprit pourrait… Généralement, trois messages sont apportés. Il ne peut y avoir plus de trois messages à la fois, selon les Ecritures. Mais ça, c’est le troisième message, et il est possible que le Saint-Esprit cherche à le faire comprendre à quelqu’un; ainsi, que tout le monde soit très respectueux. [L’interprétation est donnée: «Oui, que celui qui a des oreilles pour entendre, entende ce que les Ecritures ont à dire. Et J’ai dit à Mes disciples, quand Je me suis approché d’eux sur le chemin d’Emmaüs, que si seulement ils croyaient, comme ils avaient ouvert leurs coeurs aux Ecritures, Je leur ai apporté les Paroles de la Vie, et leurs coeurs brûlaient au-dedans d’eux. Si seulement vous ouvriez vos yeux pour qu’ils voient, vos oreilles pour qu’elles entendent, vous croirez et vous recevrez la gloire de Dieu.» – N.D.E.]

26 Amen. Merci, Seigneur. Je vais tirer quelque chose de cela, afin que les gens soient comme… que Jésus… Voici la prière que je Lui adresse en rapport avec ces messages: Ô Dieu, que ce soir, quand Tu nous enfermeras à l’intérieur, comme Tu l’avais fait avec ceux qui revenaient d’Emmaüs… Et puissions-nous Te voir faire quelque chose parmi nous ce soir, comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion, afin que le monde ou plutôt l’église qui est ici ce soir, sache que Tu es ressuscité des morts.
Puisse-t-Il… Comment ont-ils su qu’Il était le même Jésus? C’est parce qu’Il a fait les mêmes choses qu’Il avait faites. Maintenant, je vous prie de rester chacun à votre place, et soyez très respectueux; je vous le demande au Nom de Jésus. Restez assis, soyez très respectueux et écoutez.

27 Eh bien, le Saint-Esprit a parlé au travers d’un certain type de don, celui des langues et de l’interprétation. Il n’y avait aucune chose là-dedans que je rejetterai, je crois au contraire que cela est venu de Dieu. Et maintenant, c’est venu avant que je ne lise les Ecritures. Ce n’est pas censé être apporté pendant que l’on prêche: l’Esprit des prophètes est soumis aux prophètes. Et c’est donc venu dans l’ordre. Très bien. Et maintenant, c’est comme si cela essaye d’insister sur le fait que Dieu va faire quelque chose. Cependant, je n’ai pas distribué de cartes de prière pour un service de guérison, mais quelque chose pourrait se produire. Je ne sais pas.
Mais avez-vous remarqué ce que c’était? C’est que Jésus, quand Il… Les gens pensaient qu’Il avait été crucifié et que c’en était fini de Lui, mais Il leur a parlé pendant toute la journée, et eux ne L’avaient pas reconnu. Et ensuite, ce soir-là, Il les a fait entrer dans la pièce et a fermé la porte, quand Il était dans l’auberge. Et puis, Il a fait quelque chose, exactement comme Il le faisait (Personne d’autre ne le faisait comme cela). Et Il l’a fait exactement tel qu’Il l’avait fait avant Sa crucifixion. Et eux… Et après, qu’a-t-Il fait? Il a disparu dans le noir. Et ils sont retournés en courant jusqu’auprès des leurs, et ont dit que Jésus était réellement ressuscité des morts. Ils en étaient certains, parce qu’ils avaient reconnu qu’Il avait fait quelque chose exactement comme Il avait fait avant Sa crucifixion; c’était une preuve que c’était le même Jésus ressuscité des morts. Puisse-t-Il faire la même chose.
Et quand nous quitterons ce lieu ce soir, pour rentrer à nos domiciles respectifs, puissions-nous être en mesure de dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu’Il nous parlait en chemin?»

28 I Corinthiens, chapitre 14, verset 8: Et si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat? Je désire parler sur le sujet: Le Son confus. Eh bien, Paul parlait ici (N’est-ce pas étrange?) de la même chose, au sujet des parlers en langues et des interprétations: Le Son confus.

29 Eh bien, nous vivons dans un jour d’incertitude. Nous vivons dans le jour où presque tout ce sur quoi nous pouvons mettre la main, dans le naturel, est incertain. Il y a tant d’incertitude au point que les nations tremblent. Notre sécurité nationale est incertaine. Il n’y a plus une seule nation qui soit en sécurité.
Nous pourrions soit être les – les victimes de la Russie cette nuit à minuit, soit nous retrouver en miettes. Cela dépend de ce que la Russie veut faire à ce sujet.
Nous parlons de nos hommes de science… Ils ont des hommes qu’ils peuvent placer à deux cents miles dans l’espace [321 km – N.D.T.], dans un petit engin qui viendra juste au-dessus de vous. Ils le placeront juste au-dessus de cette nation et enverront un message en bas, disant: «Rendez-vous sinon nous tirons un levier, et tout sera fini.» Ils ne sont pas obligés d’attendre demain pour le faire; ils peuvent le faire maintenant même.

30 Si nous sommes raisonnables, que ferions-nous? Que ferait le – le Pentagone, que ferait la – la – la nation? Elle se rendrait. Forcément. Ensuite qu’arriverait-il? Des vagues et des vagues de soldats russes déferleraient ici dans notre pays, violeraient nos femmes, s’empareraient de vos maisons, vous foutraient dehors dans la rue, puis ils vous tireraient dessus et tueraient vos enfants devant vous, et s’empareraient de la nation. Alors nous saurions ce que le péché… Comment nous avons été… Ce que cela signifie de se moquer (en face) d’un service religieux et de traiter ces gens de saints exaltés ou… Rappelez-vous, c’est en route.
Il n’y a pas de sécurité nationale. Nous – nous sommes – nous sommes au – nous sommes au – nous sommes de nouveau au festin de Belchatsar. Ils pensaient que parce qu’ils étaient à l’intérieur de ces grandes murailles, avec les meilleurs hommes de science, les meilleurs chars… Ils pouvaient faire courir trois ou quatre chars côte à côte sur la muraille de Babylone et – et sans bouger un… perdre un cheval ou un char. Et ces énormes portails dont la moitié avait probablement une largeur de 40 à 50 pieds [12 à 15 m – N.D.T.] comme ça... Aucune nation ne pouvait les atteindre, ni rien d’autre; ainsi, ils vivaient bonnement dans le péché, comme ils le voulaient. Mais Dieu peut voir par-dessus la muraille.

31 Et un soir, ils ont eu une – une grande réception habituelle de thé ou plutôt une grande beuverie, c’était cela, quelque chose comme nos programmes modernes de télévision, où les gens… Après qu’ils se sont tous bien soûlés, ils se sont dit qu’ils pouvaient faire quelques plaisanteries au sujet du prédicateur chauve, ou quelque chose comme cela. Et qu’est-il arrivé? Ils sont allés prendre les vases de l’Eternel et y ont bu du vin pour s’en moquer. Et ce soir-là, c’était… Rappelez-vous, c’était le commencement du royaume des Gentils.
J’aimerais vous demander quelque chose qui pourrait être un peu une critique. Quiconque connaît la Bible sait que Dieu commence… a traité avec les Juifs jusqu’au roi Nebucadnetsar. La tête d’or, c’était le commencement de l’empire des Gentils. Cela se termine par les pieds, et c’est Rome. Est-ce juste, frères, vous étudiants de la Bible? Observez ce qui se passe. Qu’a-t-Il fait à la fin de ce royaume? Une main apparut, écrivant en langues inconnues sur la muraille. Personne n’était capable d’interpréter cela. Mais il y avait là un homme qui avait le don d’interprétation. Il est donc venu et a lu l’écriture qui était sur la muraille.

32 Et cela a encore été lu ici ce soir par le même genre d’Esprit, qui a été donné par le même Dieu. L’écriture est sur la muraille. Tout ce temps que nous dépensons notre argent et faisons des plaisanteries et tout… Nous sommes devenus une grande bande de faiseurs de blagues qui se moquent de la religion, qui la tournent en dérision. Et sans cesse la Russie, qui est bien plus avancée que nous, place des engins dans l’espace, si bien qu’elle a des années et des années d’avance sur nous.
Rappelez-vous, les Medo-perses attendaient à la porte, quand ces choses se sont produites; mais eux n’en savaient rien.

33 Il n’y a plus de sécurité nationale. Quand les gens vous disent que nous sommes en sécurité, que nous sommes capables de faire ceci ou cela, ils se trompent. «Creusez un trou dans le sol» (certains de ces trucs de la défense nationale par ici), «et allez vite au sous-sol.» Pourtant, en explosant, cette bombe fera dans le sol une excavation de cent cinquante pieds [45 m – N.D.T.] de profondeur, et de cent miles carrés [106,9 km²]. Eh bien, même si vous étiez à cinq mille pieds [1524 m] sous terre, vous seriez dans la lave. Et même si vous étiez à cinq mille pieds sous terre, le choc briserait chaque os de votre corps.
Vous ne pourrez donc pas creuser et y échapper. Il n’y a pas moyen d’y échapper. Il n’y – il n’y a qu’un seul Abri sous lequel vous puissiez vous tenir, et cet Abri n’est pas fait d’acier; il est fait de plumes: c’est sous Ses ailes…?... C’est le seul Abri. Montez au-dessus de cela, l’Enlèvement vient…

34 Eh bien, il y a une paix instable. Point n’est besoin de penser à de très grandes nations comme la Russie. De toutes petites nations peuvent faire cela. Nous sommes tout simplement au bout du chemin.
Et alors, que font-ils? Un… Nous vendons tout un tas d’histoires à une nation, cherchant à acheter l’amitié avec notre argent. Et l’Indien même à qui nous avons arraché l’argent, ou plutôt à qui nous avons arraché le pays, meurt de faim là-bas dans la prairie. Et on lui arrache sa brebis et on le laisse vivre là dans une tente avec la tuberculose et tout le reste. Et ensuite, nous envoyons de l’argent outre-mer, là-bas, appelant cela la défense nationale, pour essayer d’acheter l’amitié. L’amitié ne s’achète pas.
Et l’on dépense des millions de dollars chaque année pour le whisky et la bière; et nos missionnaires dans les champs meurent de faim. Oh! c’en est certainement fini de nous. C’en est fini de la nation. C’en est fini des toutes les nations. Pas seulement cette nation-ci. Je pense que celle-ci est la reine des nations. C’est la vérité. C’est la dernière grande civilisation que nous avons, mais elle est fichue; c’est terminé.
Nous sommes prêts pour la Venue du Seigneur. C’est juste. L’Eglise se prépare. Quand j’aurai terminé demain après-midi, le Seigneur voulant, vous verrez si ce n’est pas juste. Eh bien, à l’aide de la – à l’aide de la Parole du Seigneur, voyez si ce n’est pas vrai.

35 Eh bien, souvenez-vous que nous ne pouvons plus placer confiance en un quelconque lieu de sécurité parmi les nations. Si nous allons en Russie, c’est un… être… nous allons les faire sauter. Si les gens disent que c’est ici, eux vont nous faire sauter. Si nous allons au Japon, nous subirons tout simplement le même sort; elle est prête à voler en éclats maintenant même. Et il est impossible d’arrêter cela, parce que les gens ont négligé de faire exactement ce que Dieu leur a dit de faire. Au lieu de prêcher l’Evangile, ils ont construit des bâtiments, et ils ont eu une érudition et une instruction raffinées. Ils ont utilisé leurs propres idées pour instruire les gens.
Et cet homme, cet Allemand qui passe en jugement maintenant… un géant intellectuel, habile et intelligent, … Et considérez cet Eichmann qui a fait mourir ces gens de froid, et qui a ensuite jeté de l’eau chaude sur eux et qui a tué des millions et… Quand j’étais en Allemagne, là à ces endroits où on les a amenés, là, et où on leur a injecté des bulles dans les veines (Hitler), et on les a envoyés là-bas… Et des hommes de science habiles, instruits, bien au delà… Eh bien, nous étions… La guerre était à moitié terminée avant que nous ayons un fusil qui pouvait rivaliser avec leur calibre 88. Qu’en est-il de vous soldats qui avez affronté cela? Vous savez que c’est juste. La raison pour laquelle nous… Ils étaient de loin plus avancés que nous dans la science, ils étaient habiles et tout comme cela – et on se retourne pour faire une telle chose, c’est de la folie.
Et toute jeune personne qui peut se tenir dans une salle, les mains levées avec tout ce comportement bizarre en rapport avec le rock-and-roll et des histoires, et les hippies, c’est de la folie. C’est dangereux. C’en est fini d’eux; les facultés mentales sont détraquées. Rappelez-vous, l’arbre de la connaissance arrive seulement jusqu’à un niveau, puis il se recourbe.

36 Ainsi, nous n’avons pas – pas le moindre sécurité dans la défense nationale. Nos emplois, nous n’avons aucune sécurité dans nos – nos emplois. Tout est incertain. Qu’un homme dépasse trente-cinq ans, on le limoge. Ils prendront un jeune homme pour éviter l’obligation de vous retraiter. Et après que vous avez dépassé quarante ans, essayez d’obtenir un emploi, même s’il s’agit de creuser des fossés; il vous faut avoir un diplôme de fin d’études secondaires avant de pouvoir le faire. Et ils ont un petit bouton sur lequel ils peuvent appuyer, pour s’en occuper donc de toute façon. Vos emplois… Vous n’avez aucune sécurité dans vos emplois. Je ne sais pas à quel point c’est vrai, mais j’ai appris que maintenant même il y a plus de gens au chômage qu’il y en avait à l’époque de la crise économique, sous le président Hoover, parce que la population a augmenté. Quel est le problème? On en est tout simplement à un point où il n’y a aucune certitude dans ces choses. Vous n’êtes pas certain de votre emploi. Quelqu’un peut prendre votre place le matin.

37 La politique… Parlons-en un peu ce soir. Aujourd’hui, c’est samedi soir. La politique – malhonnête? Les deux camps sont tout aussi malhonnêtes que possible. La chose a été démontrée lors de ces dernières élections, quand le FBI a étalé cela au grand jour, qu’ils avaient des machines telles que chaque fois que les gens votaient pour l’un, pour M. Nixon, ils votaient en même temps pour Kennedy, et le FBI a prouvé cela. Et qu’ont-ils fait à ce sujet? Rien. Eh bien, je ne suis ni démocrate ni républicain, ni l’un ni l’autre; je suis un chrétien. La marmite ne peut pas se moquer du chaudron. L’un est aussi noir que l’autre, tout aussi sale que l’autre.
Mais quel est le problème? C’est parce qu’il n’y a pas de sécurité dans ces choses. Cela a fait son temps. La grande Chambre des Communes de l’Angleterre a dit une fois au sujet de la démocratie, elle a dit: «La démocratie, c’est toutes voiles mais sans ancre.» Elle a dit: «Il arrivera que les politiciens se tiendront sur une tribune de fortune et tiendront les élections en Amérique… et ils donneront de l’argent pour…» C’est tout à fait juste, mais ils ne s’imaginaient pas que leur très belle Chambre des Lords ferait la même chose. Cela montre donc que toutes ces choses sont pourries et sont en déclin, car il vient un Royaume dont le Fondateur… une Cité dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. Ces choses doivent céder la place.

38 La politique est complètement… Je crois à la démocratie, certainement; je suis un Américain, et je crois dans la démocratie, sauf, oh! la la! aux choses pourries qui sont dans la démocratie. Voilà!
Cela montre donc que toutes ces idées terrestres et humaines doivent céder la place à un Royaume qui vient. J’ai eu le privilège de me tenir en Egypte sur le terrain où les pharaons se tenaient et tuaient les gens, là où les gladiateurs et ainsi de suite… Vous devriez creuser jusqu’à vingt pieds [6 m – N.D.T.] sous la terre pour atteindre leur royaume, là où il se trouve. Je me suis tenu là où se tenaient les pharaons. Je suis resté là où les… Et les – les grands Colisées et – et les – les différents endroits à – à Rome, et les – et dans les… les pharaons et ainsi de suite… Et leurs royaumes sont tombés. Et au lieu de regarder juste ici pour les voir, vous devez creuser pour en retrouver les ruines. Cela montre que chaque royaume humain, chaque système humain doit céder la place.
Vous voyez donc, peu m’importe le genre de démocratie, et le nombre d’ONU que nous établissons, le nombre de Ligues des Nations ou quoi que ce soit que nous avons, tout cela tombe en décadence. Le temps est plein de rapides transitions,
Rien sur terre n’est immuable;
Bâtis tes espoirs sur des choses éternelles,
Tiens la main immuable de Dieu. Quand ce voyage sera terminé,
Et que tu auras été fidèle à Dieu,
Ton âme enlevée verra
Ta belle et éclatante demeure dans la gloire.

39 Peu m’importe combien d’argent vous pouvez gagner, ou le nombre de bâtiments que vous pourriez bâtir, ou que vous puissiez devenir président d’une quelconque compagnie, cela tombera, s’écroulera.
Il me vient maintenant à l’esprit ce message du troisième ange qui fut proclamé. Martin Luther, John Wesley et l’ange suivant. Que disait le message du dernier ange, quand il a traversé, les trois anges? «Elle est tombée, elle est tombée, Babylone! Elle est devenue une habitation de tout esprit impur.» C’est exactement là qu’elle en est. Nous n’avons assurément aucune sécurité dans notre nation.
Partout c’est incertain, l’incertitude. Il y a de l’incertitude dans votre emploi, de l’incertitude dans la politique, de l’incertitude dans le parti démocrate, de l’incertitude dans le – le parti républicain, de l’incertitude dans tous les partis.

40 Et dans l’église, c’est aussi de l’incertitude. Comment peut-on avoir neuf cents différentes organisations et toutes différentes les unes des autres, et se disputant les unes avec les autres? Comment les pauvres laïcs sauront-ils ce qu’il faut faire? Comment les gens sauront-ils où se tenir? L’un dit: «C’est nous qui avons la chose ici.» Et un autre dit: «C’est nous qui avons la chose ici.» Et un autre dit: «C’est nous qui avons la chose ici.» Comment les gens sauront ce qu’il faut faire? C’est incertain. L’église donne un son confus.
La politique donne un son confus. La nation donne un son confus. L’emploi donne un son confus. Oh! je pourrais citer une centaine de choses qui sont incertaines: il n’y a aucune certitude là-dedans. L’Eglise méthodiste dit: «Nous avons la chose.»
L’Eglise baptiste dit: «Vous mentez, c’est nous qui avons la chose.»
L’Eglise presbytérienne dit: «Tous deux, vous mentez, c’est nous qui avons la chose.»
Les pentecôtistes disent: «C’est nous qui l’avons.» Voyez comment nous nous divisons, et nous nous disputons et nous nous mettons dans tous nos états. Cela montre que nous n’avons pas la chose. C’est tout à fait juste. C’est donc un son confus.

41 Le son confus, vous ne pouvez pas… Vous dites: «Eh bien, nous allons entrer dans un trou et nous allons creuser dans le sol pour la sécurité de notre nation.» Essayez une fois, et vous verrez ce qui arrive.
«J’ai un emploi, frère; j’ai reçu une promesse.» Qu’ils changent une fois de patron.
La vie du foyer est incertaine. Un homme peut épouser une gentille petite femme. Il la prend de la campagne par ici, où elle n’est pas souillée, et l’amène dans une maison où il installe une télévision; et bien vite, vous rentrez chez vous, elle se comporte comme une de ces vedettes du cinéma. De l’incertitude dans la vie du foyer. Elle laisse ses enfants courir dans la rue, le visage sale, et jouer dehors dans la rue. Et elle tient un petit chien morveux dans les bras et lui voue l’amour dû à un enfant; elle amène un pauvre petit chien en promenade à bord d’une voiture, et pratique le contrôle des naissances. Honte aux femmes américaines! C’est affreux de dire ça. Je ne sais pas, mais voici une occasion où vous allez l’entendre de toute façon, si vous voulez bien vous tenir tranquilles et ne pas continuer – continuer à sortir. (Quelqu’un peut en supporter autant, et ensuite, il doit exploser et s’en aller, mais – mais…) Mais, écoutez. C’est vrai. C’est la vérité. Quelqu’un doit crier contre cette chose.

42 Et il y a beaucoup de bons frères prédicateurs qui se tiennent à la chaire et qui savent que c’est la vérité. Mais qu’est-ce que leur chaire représente? Pour eux c’est un gagne-pain. Je préférerais être couché à plat ventre, boire de l’eau plate et manger du pain sec, et prêcher la vérité, plutôt que d’avoir du poulet frit trois fois par jour et faire des compromis avec la Parole de Dieu. Dites la vérité, car vous devrez rendre compte de cela au jour du Jugement.
Certainement, il y a une incertitude – incertitude. Oh! nous voyons… Et puis vous dites: «Frère Branham, vous nous mettez là dans une position délicate.» C’est juste, pour que vous sachiez où vous en êtes.
Et puis vous dites: «Frère Branham, y a-t-il quelque chose qui donne un son clair?» Absolument. Il y a une chose qui a un son clair et parfait. Quelle est cette chose? C’est la Parole de Dieu. C’est un son clair: c’est parfait. C’est un son éternel.
«En êtes-vous sûr?»
Jésus-Christ a dit dans Matthieu, chapitre 24, verset 35, Il a dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera pas.» Mon espoir ne se fonde sur rien d’autre
Que sur le sang et la justice de Jésus.
Quand tout s’effondre autour de moi,
Alors Il est toute mon espérance et tout mon soutien.
Car sur Christ, ce Roc solide, je me tiens.
Tout autre terrain est sable mouvant,
Tout autre terrain est sable mouvant.

43 Eh bien, la Parole de Dieu, Ses promesses sont vraies. Eh bien, il n’y a qu’une seule chose pour approcher toute chose. Par exemple, Israël – Israël était un type parfait de cette nation. Israël était un peuple qui craignait Dieu et qui était sous la servitude d’un – des Egyptiens. Et ils ont quitté ce pays de la servitude, et ils ont fait un pèlerinage. (Ecoutez maintenant. Ne manquez pas de saisir ceci. Puisse Dieu ouvrir votre entendement.) Ils ont quitté le pays de leur pèlerinage et sont allés dans le pays qui leur avait été promis, et ils ont repoussé les occupants et ont habité le pays. Est-ce juste?
Nous avons fait la même chose. Nous étions sous le catholicisme et la servitude de… Et nous voulions être un peuple qui craint Dieu, qui aime Dieu et jouit de la liberté de religion, et nous sommes venus dans cette nation, et nous avons repoussé les occupants et avons possédé le pays.
Aussi longtemps que… Quand Israël est sorti, il avait des conducteurs qui craignaient Dieu: David, Salomon. Ils ont inspiré le respect; eh bien, Israël était connu dans le monde entier, de toutes les nations, et tous le respectaient. Cela montrait ce que Dieu pouvait faire avec un groupe d’hommes et de femmes qui Le craignaient et qui menaient une vie pieuse devant Lui.

44 Comme je l’ai prêché il y a quelques soirées, même la reine du midi a traversé tout le désert du Sahara, pendant trois mois à dos de chameau, pour entendre la sagesse de Salomon. Le monde entier avait le regard tourné vers eux.
Et quand cette nation fut fondée, nous avions des hommes pieux qui l’ont fondée: Georges Washington, Abraham Lincoln. Valley Forge, quand … ce leader pria toute la nuit et le jour suivant des balles traversèrent son manteau sans manquer – sans l’atteindre. Abraham Lincoln, un homme craignant Dieu…
Qu’avons-nous fait il y a quelques jours? Nous avons fait la même chose qu’Israël: on a élu Achab à la – à la Maison-Blanche. Eh bien, Achab était un genre de gars très bon. Il voulait se repentir. Mais comme il avait épousé Jézabel, il ne pouvait pas le faire. Elle était le cou qui faisait tourner la tête. Et nous avons fait la même chose: on a placé là un homme qui est marié à ce système de Jézabel que nous avions fui pour devenir une nation libre. Oh! vous politiciens, qui avez vendu votre droit d’aînesse du christianisme… Je vais m’arrêter là-dessus. Retournons en arrière. Dieu a promis cela. Dieu a dit que cela arriverait, Apocalypse 13, il n’y a donc pas moyen de contourner cela. Je veux simplement que vous sachiez où vous en êtes et ce que vous avez fait.

45 Et certains de mes précieux frères de couleur qui ont voté en faveur d’un tel programme, eh bien, vous avez déshonoré le sang d’Abraham Lincoln qui a débarrassé vos pères des ceintures d’esclave. C’est tout à fait juste. Je n’imaginais pas que vous feriez cela. Oh! la la! Ne comprenez-vous pas ce que vous avez fait? Pourquoi vous êtes-vous vendus pour quelques dollars de plus, au dieu du ventre, plutôt qu’au Dieu du coeur? C’est ce que la nation a suivi, quelques dollars de plus.
Voilà le problème qu’avait Achab. Mais, frère, il y avait là un vieux prophète qui n’avait pas fait de compromis avec eux. Il les a réprimandés. Chaque organisation l’avait chassé. Elles le détestaient, mais il leur disait certainement ce qui était juste. Et quand il eut fini de réprimander cette vieille Jézabel fardée à propos de ces femmes, à cause de la façon dont elles se comportaient, elles le haïrent toutes. Mais un jour, Dieu a dit: «Tu as prêché suffisamment longtemps. Va là-bas dans le désert. Maintenant, Je vais envoyer le jugement.» Et c’est arrivé. Il l’a fait.
Oh! dans cette heure où nous vivons, les amis… Mais une chose est certaine, une chose est certaine. Alors que nous voyons notre nation finie, nous voyons le monde fini, une chose est éternellement certaine, et c’est la Parole de Dieu. Ce que Dieu a dit, Dieu tiendra Sa Parole.

46 Considérons quelques personnages que j’ai notés ici sur un bout de papier, et dont je voudrais parler; quelques personnages qui étaient sûrs. Et vous pouvez être sûr.
Vous ne pouvez pas être sûr de la Parole de Dieu si vous L’avez simplement lue; Dieu doit vous parler au travers de la Parole.
Eh bien, Noé… Noé était aussi sûr que possible qu’il allait pleuvoir. Il en était certain. Il n’y avait pas de son confus quand Dieu a dit: «Noé, construis une maison – une arche pour préparer le salut de ta famille.» Ce n’était pas un son confus. Cela semblait incertain pour les gens qu’un homme sans instruction, un fermier, ait eu la folle idée dans sa tête de construire une arche; et il n’avait jamais plu, et la rosée n’était jamais tombée du ciel, ni rien d’autre.
Je peux entendre les critiqueurs dire: «Dites donc, Monsieur Noé, dites-moi, d’où – d’où viendra la pluie?»
Eh bien, il est possible que Noé ait dit quelque chose du genre: «Je suis certain que c’était la voix du Dieu Tout-Puissant.»
«Eh bien, comment la pluie va-t-elle venir?»
«Si c’est la voix de Dieu qui a dit qu’elle va venir, Dieu est capable de la mettre là-haut pour qu’elle tombe.» Il était certain qu’il pleuvrait, car la Parole de Dieu l’avait dit et la chose était certaine. Et il savait que c’était certain.

47 Quand je me suis mis à parler ce matin... quand j’ai été interrompu du fait que je devais partir… Moïse était un grand militaire, nous apprennent les historiens. Et il essayait en lui-même… tout en sachant qu’il avait été appelé au ministère. Eh bien, frères, ceci est une leçon pour nous tous. Il savait qu’il avait un appel au ministère. Nous le savons nous-mêmes, mais faisons attention à ce que nous en faisons. Moïse savait, sa mère lui avait enseigné qu’il serait le libérateur. Il était né un bel enfant, et il fut allaité par sa mère, et il a grandi sous le toit même de Pharaon, et il avait pratiquement son pied sur le trône. Il savait qu’il serait le libérateur de Dieu, mais il a cherché à le faire selon son propre système.
Et nous savons que nous sommes des ministres, que Dieu nous a appelés, mais ne cherchons pas à le faire en considérant le nombre que nous avons dans notre organisation. Si nous le faisons, nous allons commettre la même erreur qu’ils avaient commise. Suivons l’Esprit. Marchons avec Dieu.

48 Moïse n’avait peut-être jamais entendu la voix de Dieu, mais il savait par l’intellect, il savait, d’après ce qu’il ressentait au-dedans de lui, qu’il était le libérateur. Et il a essayé d’agir comme tel mais il a échoué, il a alors dit: «Peut-être que j’ai commis une erreur.»
Il est possible que des prédicateurs soient assis ici, étant dans la même situation, et qui se sont dit qu’ils ont commis une erreur, quand ils se sont rendu compte de leur échec. Vous n’avez tout simplement pas attendu assez longtemps. La Bible dit: «Ceux qui se confient en l’Eternel renouvellent leur force… ils prennent le vol comme l’aigle.»
Moïse pensait qu’il avait peut-être manqué son appel. Mais un jour, quand Dieu lui a parlé face à face et qu’il a entendu la Parole de Dieu, oh! la la! l’Ange lui a parlé et cela co-… concorde avec la Parole… Quand il s’est rendu compte que la voix qui lui avait parlé s’accordait avec ce que la Parole avait promis, il eut alors la foi, et il était certain qu’il irait là-bas; il était certain qu’Israël allait sortir de la servitude, parce que Dieu avait fait la promesse. C’était une promesse scripturaire. Et la voix parla à Moïse et dit: «J’ai entendu les cris de Mon peuple, et Je me suis souvenu de Mon alliance que J’ai faite avec Abraham, Isaac et Jacob, et Je t’envoie pour les délivrer.»

49 Vous savez, quand un homme suit réellement la Parole de Dieu, parfois aux yeux du monde, il agit de façon ridicule. Pourriez-vous vous imaginer un vieil homme construisant une arche, se tenant là, et construisant une arche? C’était ridicule aux yeux du monde. Et comme je l’ai dit, un vieil homme qui a maintenant là quatre-vingts ans… En principe, si Dieu allait l’utiliser, Il l’aurait utilisé quand il était un jeune garçon aux cheveux bouclés ou quand il avait atteint le niveau le plus élevé dans son instruction.
Il a fallu à Dieu quarante ans pour ôter cela de lui afin qu’Il puisse l’utiliser. Cela prit quarante ans pour ôter de lui ce que Pharaon et son instruction avaient mis en lui.
Cela prit trois ans à Dieu pour ôter cela de Paul, là en Arabie, pour le ramener à Dieu. Il le ramena à la Parole, de toute – en le débarrassant de toute la brillante théologie (aussi bonne fût-elle) qu’il avait apprise de Gamaliel.
Et aussi appréciable que fût la théologie qu’il… que Moïse avait apprise de Pharaon, cela prit cependant quarante ans à Dieu pour ôter tout cela de lui.

50 Un matin, quand Dieu lui a parlé, le lendemain matin il est devenu fou pour les gens. Que Dieu parle à quelqu’un, et aux yeux du monde il devient fou. Je ne veux pas dire un – un fanatique. Je veux dire un homme ou une femme posée qui vient à Dieu, Dieu ôte de lui ou d’elle le fanatisme.
Eh bien, nous voyons ce Moïse le lendemain matin, le voilà avec sa femme assise sur un mulet, qui porte sur sa hanche son petit garçon, Guerschom; et il avait en main un vieux bâton courbé. Et le voilà qui descend la route vers l’Egypte pour conquérir. Comme je l’ai dit: «Une invasion par un seul homme qui descend pour conquérir.»
«Où vas-tu Moïse?»
«Je vais en Egypte.»
«Que vas-tu y faire?»
«Conquérir.»
«Avec quoi vas-tu le faire?»
«Ce bâton.»
«Qui l’a dit?»
«C’est Dieu qui l’a dit.» Amen. Ça règle la question. Il en était aussi sûr qu’il pouvait l’être… avec ce vieux bâton sec. Ce vieux bâton sec entre les mains de Dieu représente plus que chaque mitrailleuse qui pourrait être braquée sur…?... Oui. Un jeune garçon ignorant, illettré, là-bas entre les mains de Dieu, sans assez d’instruction pour connaître son ABC peut faire venir du Ciel plus de puissance de Dieu que ne l’ont fait tous les docteurs en théologie qu’il y a dans ces Etats-Unis…?...

51 [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… en oubliant toute sa théologie. Il n’avait rien à raffiner… et…?... Dieu. Et il était certain que c’était Dieu. Il était certain qu’Il allait les délivrer. Comment allait-il nourrir deux millions et demi de personnes sans rien à manger? Un groupe d’esclaves là-bas dans le désert, comment allait-il le faire? Il était certain que Dieu ferait quelque chose à ce sujet.
«Frère Branham, quand vous prêchez la guérison divine, il y a des gens qui ont des troubles cardiaques et ce… Comment allez-vous – comment allez-vous faire agir cela?» Ce n’est pas moi qui le ferai; ce n’est pas mon affaire de faire agir cela. C’est à Dieu de le faire. Mais tout aussi certain que je sais que Sa Parole est la vérité, Il a envoyé cet Ange et l’a dit. Et quelque part ici quelqu’un va être guéri. Je suis tout aussi certain de cela que je me tiens ici. Quelque chose va apparaître parce qu’Il l’a dit. Je ne sais pas de qui il s’agit, ni le lieu, mais cela va arriver. De qui s’agit-il? Je ne sais pas; ce n’est pas mon affaire de savoir de qui il s’agit.

52 Quelqu’un sera sauvé. «Comment le savez-vous?» Dieu l’a dit. J’en suis certain. J’en suis sûr. «Frère Branham, vous avez eu une lutte terrible; je croyais que vous aviez dit que le Seigneur vous a conduit par ici.» Effectivement.
«Que pensez-vous? En sortira-t-il quelque chose de bon?» Je ne sais pas, mais je suis certain qu’Il m’a envoyé ici. Je suis certain qu’Il est en train de faire quelque chose. Je ne sais pas de quoi il s’agit, mais je suis certain qu’Il est en train de le faire, car c’est Sa Parole. Il n’y a pas de supposition, je sais que c’est vrai.

53 Quand Abraham, un homme de soixante-quinze ans, et sa femme de soixante-cinq ans… Dieu l’a rencontré un jour et a dit: «Abraham, Je vais te donner un – un bébé par ta femme, Sara.» Elle était stérile et lui aussi, je pense. Ils étaient là, après toutes ces années. Eh bien, si Dieu… Eh bien, Abraham était tout aussi sûr qu’il allait avoir ce bébé que deux et deux font quatre.
Je peux l’imaginer dire: «Sara, tricote une bonne quantité de petits chaussons et procure-toi des langes et des épingles pour couche, et mettons-nous-y. Préparons-nous. Nous allons l’avoir.» Eh bien, cela avait l’air ridicule.
Que serait-il arrivé s’il était allé chez le médecin et avait dit: «Docteur, mon épouse et moi, nous sommes – voulons prendre des dispositions à l’hôpital pour avoir un bébé.»
Oh! le médecin aurait dit: «Oh! oh! certainement, Monsieur Abraham. Absolument. Oui, oui.» Le médecin aurait dit: «Dis donc, voudriez-vous aller… voudriez-vous appeler un psychiatre ou le service de psychopathie, quelque part? Ce vieil homme a perdu la tête.» Mais il était certain que Dieu allait le faire.

54 Les vingt-huit premiers jours passèrent: «Comment te sens-tu, chérie?»
«Pas de changement.»
«Gloire à Dieu, je suis tout aussi certain que je l’étais au début…?...»
Cinq années passèrent. «Comment te sens-tu, chérie?»
«Pas le moindre changement. Maintenant j’ai soixante-dix ans.»
Oui, et Abraham en avait quatre-vingts, ce qui fait… «Cela va arriver, j’en suis tout aussi sûr que deux et deux font quatre.»
Vingt-cinq ans passèrent. Maintenant elle a quatre-vingt-dix ans et lui en a cent. «Comment te sens-tu, chérie?»
«Pas de changement.»
«Gloire à Dieu, nous allons l’avoir de toute façon.» Pourquoi? Il était certain que Dieu tient Sa Parole. Il était pleinement persuadé que Dieu était capable d’accomplir ce qu’Il avait promis. Certain, vous êtes certain quand Dieu vous révèle la chose.

55 Si Dieu révélait à cette jeune fille qui est assise là qu’elle allait marcher, je parie que le diable pourrait envoyer tous les démons qu’il a en enfer, cela n’empêchera pas la chose. Cet homme assis là dans un fauteuil roulant, qui que vous soyez, cela ne l’arrêterait pas. Non, rien ne peut l’arrêter: Dieu l’a dit. Cela a réglé la question.
Là en Finlande, quand ce petit garçon gisait là par terre, mort, là… J’ai des pièces justificatives signées de cela… déclaré mort. On est allé chercher la mère et le père, avant que l’entrepreneur des pompes funèbres ne puisse l’emporter. Il était étendu là, et je suis venu. J’ai dit: « C’est ce petit garçon que j’ai vu il y a deux ans en Amérique.»
Environ cinq cents personnes se tenaient là, dont le maire de la ville. J’ai dit à Mme Isaacs: «Interprétez ceci.» Elle l’a fait. J’ai dit: «Si cet enfant ne ressuscite pas des morts…» Il gisait là, mort: tous les os de son corps étaient brisés. Il avait été soulevé comme cela et avait été projeté. Même ses – ses petits pieds et tout ressortaient de ses chaussettes et il n’avait plus ses souliers et tout.» Si cet enfant ne se tient pas debout dans cinq minutes, je suis un faux prophète et un menteur, et expulsez-moi de ce pays.» Pourquoi? J’étais certain que c’est Dieu qui m’avait montré la vision. Cela devait s’accomplir, rien ne pouvait donc empêcher cela. Amen.

56 Ce soir-là, en Inde, devant tous ces gens, quand les rajahs étaient assis sur leurs oreillers et les hommes consacrés étaient assis tout autour, et j’avais été dans le temple des sikhs et des jains ce jour-là, et ils se moquaient du christianisme. Ils ont dit: «Quelle idée que celle… ont-ils dit, de Christ mourant!», alors qu’ils ne peuvent même pas tuer une mouche, ils balaient minutieusement le sol en marchant pour éviter d’écraser une fourmi, craignant que… Ils croient à la réincarnation; ils pensent que ça pourrait être un membre de leur famille. Comment pourriez-vous leur prêcher un sacrifice sanglant?
J’ai dit: «Que Dieu parle, cela revient à Dieu. L’un de nous doit être dans l’erreur.» J’ai pris le Coran dans une main, la Bible dans l’autre, et j’ai dit: «Quelque chose est faux quelque part. Que le Dieu qui est le vrai Dieu parle.» Alléluia!
A peu près à ce moment-là, ils ont amené là sur l’estrade un aveugle. J’ai dit: «Je ne peux pas guérir cet homme, bien sûr que non.» J’ai dit: «Son nom s’écrit R-a-j-a-p-h-e-w, comme cela.»
«C’est juste.»
J’ai dit: «C’est un mendiant. Son épouse est une femme très mince. Il a deux garçons. L’un a six ans et l’autre huit.»
«C’est correct.»

57 Je me tenais là avec cette onction, ces rajahs étaient assis là, et ces hommes consacrés ont dit: «Il est en train de lire leurs pensées.» Je me suis dit: «Oh! ces hypocrites!»
Puis j’ai regardé là en arrière; j’ai pensé: «Ô Dieu, si seulement Tu faisais quelque chose…» J’ai regardé en arrière, voilà une vision. Il se tenait là, regardant tout autour, dans la vision. Oh! frère. «Maintenant, maintenant que quelque se produise.» J’ai dit: «Je défie chaque prêtre mahométan ici présent, chaque prêtre de Bouddha, vous les sikhs et les jains qui vous êtes moqués du christianisme, venez ici et faites recouvrer la vue à cet homme. Certainement le Dieu qui l’a créé, si vous…»

58 L’homme a dit: «Je servirai le Dieu qui me redonnera la vue.»
J’ai dit: «Oh! certainement, vous direz qu’il est dans l’erreur; il est un adorateur du soleil. Certainement, il adore la création au lieu du Créateur.» J’ai dit: «Vous… Que feriez-vous, vous les jains? Vous feriez tout simplement du prosélytisme pour faire de lui un jain. Que feriez-vous, vous les mahométans? Vous feriez la même chose. Que feriez-vous, vous les bouddhistes? La même chose; ce n’est que de la psychologie.»
On a la même chose en Amérique. J’ai dit: «Tous les méthodistes veulent faire de tous les baptistes des méthodistes; et les pentecôtistes veulent faire de tous les méthodistes des pentecôtistes. C’est – c’est juste – c’est juste de la psychologie. C’est tout.»
Mais j’ai dit: «Sûrement, le Dieu qui l’a créé, (alléluia!), le Dieu qui l’a créé devrait faire quelque chose à ce sujet.»
Eh bien, pensez-vous que j’aurais dit cela? Nullement, si je n’avais pas eu cette vision. Je savais où il… ce qui allait arriver ensuite. Le diable ne pouvait donc rien faire à ce sujet.
S’Il montrait dans une vision que Georges Washington ressusciterait des morts le matin, j’inviterais le monde entier à se tenir là pour voir la chose s’accomplir, parce que c’est la Parole de Dieu. J’ai ces visions depuis cinquante-deux ans, et pas une seule n’a jamais failli de ma vie. C’est Dieu. Il n’y a rien d’incertain à ce sujet, c’est certain.

59 J’ai dit: «Maintenant, vous mahométans qui dites que vous êtes la religion prédominante, venez lui redonner la vue et je deviendrai votre disciple. Vous les bouddhistes, venez lui redonner la vue, et je deviendrai votre disciple. Vous les hommes consacrés, venez lui redonner la vue.» (Des millions et des millions étaient étendus là sur ce grand terrain comme cela… Le maire de la ville était assis là. J’ai son nom et son adresse, si vous voulez lui écrire pour le lui demander.)
Alors ils ont dit – j’ai dit: «Pourquoi ne…» J’ai dit: «Vous êtes une foule trop calme. Qu’est-ce qui vous arrive? Vous me disiez aujourd’hui combien le christianisme était insignifiant et combien votre religion était importante.» J’ai dit: «Observez vos gens là-bas. Observez vos prêtres. Qu’est-ce qui leur arrive? Ils m’ont traité de fanatique, d’un re-… vendeur américain sur une tribune de fortune, vendant la religion comme si je me tenais sur une tribune de fortune, parce que j’agitais les bras quand le Saint-Esprit était sur moi.» J’ai dit: «Qu’ils approchent donc, et qu’ils redonnent à cet homme la vue.» Alléluia!

60 Tout en regardant cette vision, j’ai dit: «Pourquoi ne venez-vous pas? C’est parce que vous ne le pouvez pas? Et moi non plus je ne le peux pas. Mais le Dieu du Ciel qui a ressuscité Son Fils Jésus-Christ, qui m’a donné la vision à l’instant, dans laquelle j’ai vu cet homme se tenant ici, ayant recouvré la vue… Je l’ai vu dans une vision. S’Il ne lui redonne pas la vue, alors je suis un faux prophète et expulsez-moi de l’Inde. S’Il lui redonne la vue, combien d’entre vous mahométans, bouddhistes, vous tous, recevrez Christ comme votre Sauveur?» C’étaient des mains noires jusqu’à perte de vue.
J’ai dit: «Amenez-le ici.» J’ai posé mes mains sur lui, j’ai dit: «Seigneur Jésus…» A peine avais-je dit cela, il s’est mis à crier, quelque chose comme cela. Il voyait aussi bien que moi. Il a couru et il a saisi le maire de la ville, il courait comme cela dans tous les sens. Qu’était-ce? C’est le même Dieu. La Parole de Dieu est tout aussi réelle ce soir qu’Elle l’a toujours été. Il a même donné son témoignage au président.

61 En octobre prochain, ils ont un amphithéâtre qui peut recevoir un million de personnes, à New Delhi, où ils tiendront leur convention et ils désirent que j’y aille.
Certainement, Il est toujours Dieu. Mais vous avez – vous ne pouvez tout simplement pas le dire juste parce que vous pensez cela dans votre esprit; vous devez être sûr de cela. Vous devez être sûr. Il faut que la Parole vienne à vous. Vous devez être sûr que c’est la vérité.

62 Ce jour-là, quand le vieil Elie a pris tout ces… sacrifice et a dit: «Prouvons qui est Dieu.» Il a dit… (Voyez s’il était certain à ce sujet). Il a dit: «Vous – vous, allez-y les premiers.» Il a dit: «Vous… Vous êtes tout un groupe… Vous êtes quatre cents prêtres ici.» Il a dit: «Faites un sacrifice, et que le Dieu qui répondra par le feu, que Celui-là soit Dieu.»
Ils étaient sincères. Ce n’était pas des hypocrites. Ils ont donc découpé le sacrifice et ils sont montés sur l’autel. Et Elie faisait les cents pas et disait: «Dites donc, peut-être qu’il est occupé. Il se pourrait qu’il soit en train de faire la sieste.» Quel était le problème? Il était certain, frère. Il avait eu une vision. C’est ce qu’il a dit. Et quand il prit l’eau et la répandit toute sur l’autel, il dit: «Eternel Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël (son nom de prince, pas le – pas son nom de trompeur), Abraham, Isaac et d’Israël, que l’on sache aujourd’hui que Tu es Dieu et que je suis Ton prophète, et que j’ai fait tout ceci sur Ton ordre.» Amen. Alléluia.

63 Quand vous remplissez les conditions de Dieu, appelez le feu et il tombera. Que l’Eglise pentecôtiste oublie ses différends dénominationnels, organisationnels. Que ces gens se jettent en larmes autour de l’autel et que ces gens viennent en un seul lieu étant d’un même accord et qu’ils commencent à implorer Dieu, et qu’ils mettent les choses en ordre, une autre Pentecôte se produira et la puissance de Dieu secouera la nation.
Vous devez le faire sur Son ordre. Vous ne pouvez pas le faire aussi longtemps que vous dites: «Eh bien, maintenant je sais que je – je suis censé croire ceci, mais… La Bible dit effectivement ceci, mais je…» Non, non. Elle est… Vous – vous êtes déjà vaincu dès le départ. Voyez-vous, voyez-vous? «Eh bien, je sais que notre église déclare que les jours des miracles sont passés, mais en fait, je crois qu’ils ne le sont pas.» Voyez-vous? Vous êtes vaincu; vous n’irez jamais nulle part comme cela. C’est un son confus; vous ne savez pas ce qu’il faut faire.

64 Soyez certain. La Parole de qui est certaine? Celle de Dieu. Si votre église déclare que les jours des miracles sont passés, la Bible dit: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» «Que toute parole d’homme soit un mensonge est la Mienne la vérité», a dit Dieu.
Ce son est confus: «Serrez la main au prédicateur, donnez-lui la main d’association, puis venez faire une confession.» Le diable a fait la même chose. Il croyait que Jésus-Christ était le Fils de Dieu. Absolument.
Caïn a bâti un autel et il a adoré tout autant que n’importe quel croyant, il a offert un sacrifice et il a fait un grand… Il a placé son argent et ses biens sur l’autel, et – et il les a déposés avec sincérité, puis il a levé les mains vers Dieu et il a adoré. Dieu l’a refusé carrément. C’est juste. Vous devez être certains, frères. Vous devez être sûrs que c’est Dieu qui a parlé. Lui a fait cela selon sa propre conception; Abel l’a fait par une révélation divine de Dieu, il a écouté la Parole de Dieu.

65 Mais quand tout était en ordre… David était certain. Un jour, il s’est avancé là, et ce grand et vieux Goliath se tenait là, disant: «Les jours des miracles sont passés. C’est complètement fini.» …?... Oh! quand le diable pense avoir l’avantage sur vous, frère, il peut se vanter et gonfler. Oui, il le peut. Il s’est tenu là et il a dit: «Je vous le dis. Que l’un de vous autres là-bas, l’un de vous théologiens, vienne se battre avec moi. Voyez-vous, je vais vous dire ce que je vais faire», vous savez.
Mais un jour, il l’a dit au mauvais moment. Il y avait un petit gars rougeaud, il était cagneux, un tout petit gars, vêtu d’une petite peau de mouton, enveloppé là-dedans, peut-être environ – pesant environ cent dix livres [environ 50 kg – N.D.T.], les cheveux lui tombant dans les yeux… Il a dit: «Qui est celui-là qui défie l’armée de... de la Parole du Dieu vivant? Qui est celui-là qui dit cela?»
«Oh! c’est Goliath.»
Il a dit: «Allez-vous vous tenir là et laisser cette dénomination incirconcise déclarer que les jours des miracles sont passés, alors que notre Dieu a dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement?» Oh! cela est parvenu à une personne qu’il ne fallait pas. Absolument. Les gens peuvent faire des compromis, mais lui a dit: «Pas moi.»

66 On l’a amené devant l’évêque Saül. Ce dernier a dit: «Eh bien, je vais te dire ce que tu dois faire, fiston. Avant d’entrer dans le ministère, tu vas devoir passer quatre ans de formation à l’université. Il faudra que tu obtiennes un doctorat en théologie et un doctorat en droit.» Et il a dit: «Après que je t’aurais fait porter tout ceci…» Et on a fait porter cela à ce pauvre petit gars; il était si maigre qu’il ne pouvait pas porter cela. C’est de cette façon-là que nous y allons.
Il a dit: «Débarrassez-moi de ce truc.» Saül s’est aussitôt rendu compte que son gilet ecclésiastique n’allait pas à un homme de Dieu. Ce dogme fait de main d’homme… il n’allait pas s’incliner devant cela. Pas du tout.
Il a dit: «Laissez-moi aller avec ce en quoi j’ai confiance.» Il a dit: «Attends une minute, Saül, je désire te parler. Je sais que ceci n’est qu’une fronde. Je ne connais rien sur ce vieux… comment on est censé se tenir et dire: ‘Aaaaamen’, et comment on est censé faire tout ceci et… Je n’en sais rien.» Il a dit – il a dit: «Ecoutez, je sais ce – ce dont je parle.» Il a dit: «Un jour, je faisais paître les brebis de mon père (Amen), et a-t-il dit, un ours est venu et s’est emparé d’une d’elles, et je l’ai poursuivi avec cette fronde et j’ai ramené la brebis.» Il a dit: «Ensuite un lion est venu et il s’est emparé d’un agneau et l’a emporté.» Il a dit: «J’ai pris cette fronde et je suis allé l’assommer. Quand il s’est relevé, je l’ai tué. Et j’ai ramené la brebis.» Il a dit: «Si Dieu a livré ce lion et cet ours entre mes mains, à combien plus forte raison va-t-Il…?... livrera-t-Il cet incirconcis de Philistin entre mes mains.» Il était certain qu’il savait de quoi il parlait.

67 Ecoutez. C’est vrai: Moi, je dis mes hit et hain’t et tote, fetch et carry [Termes argotiques du Kentucky qui signifient : «tabasser», «j’suis, t’es pas», «trimbaler», «fouiner», «coltiner» – N.D.T.] et peut-être que plusieurs ici, ainsi que votre pasteur, pourraient ne pas avoir un doctorat, un doctorat en droit, un Q.U.R.S.D., toutes sortes d’affaires, attachées à son nom, mais nous savons de quoi nous parlons. C’est juste. On pourrait nous traiter de saints exaltés, de fous, de gens tout excités et tout le reste, mais nous savons de quoi nous parlons. Amen. Laissez-moi vous le dire. Le diable…
Peu m’importe combien les gens prêchent contre la guérison divine, combien ils disent que les jours des miracles sont passés; moi, je pais les brebis de mon Père. Un cancer en a pris une et s’est enfui. Moi, je n’ai pas de doctorat, mais j’ai la F-o-i, c’est pourquoi je suis allé après lui. Je vais ramener cet agneau avec l’aide de Dieu…?...

68 Observez ce qu’il a fait. Il a ramassé cinq pierres, le chiffre de la grâce, J-é-s-u-s. Il a mis cela dans sa main, la f-o-i [F-a-i-t-h en Anglais]. F-o-i en J-é-s-u-s. Le voilà qui vient. Oh! petite brebis malade, vous que le diable a emportée quelque part, et il déclare que vous devez remplir prématurément une tombe, je viens après vous. Je vais vous ramener aux verts pâturages, aux eaux paisibles, pour que vous mangiez avec le reste du troupeau.
Oh! oui, il savait de quoi il parlait. Il était certain de Dieu. Il était certain. Il n’y avait aucune incertitude là-dessus. Il a dit: «A combien plus forte raison Dieu le livrera-t-il entre mes mains!» (Oh! frères, excusez-moi. Je pensais qu’il était dix-neuf heures trente. Accordez-moi encore dix minutes, je vous prie. Je vais y veiller; je vais régler l’alarme de ma montre, s’il le faut, si seulement vous… J’ai une alarme ici de toute façon, mais j’ai honte de la régler.) Mais, frère, soeur, c’est vrai. Si la trompette rend un son confus…

69 Remarquez, quand… Prenons rapidement quelqu’un d’autre: Siméon. Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. C’était un homme réputé. Il avait un doctorat, un doctorat en droit, un Q-R-S-T aussi. Mais le Saint-Esprit se révéla à lui. Et il n’eut pas honte. Il alla partout en parler à tout le monde. Un vieillard de plus de quatre-vingts ans; les gens se sont moqués de lui et ont dit: «Le vieil homme, qui a un pied dans la tombe et qui glisse de l’autre, déclare qu’il va voir le Christ.» Mais il avait – il était certain. Il avait le droit de donner son témoignage, il a dit: «Car le Saint-Esprit l’en avait divinement averti.» Amen. Il s’est tenu là, et il L’a vu aussi.

70 Quand Jésus était sur terre, Il était certain de la Parole du Père. Il a dit: «Détruisez ce temple, et en trois jours Je le relèverai.» Non pas: «Je vais essayer, peut-être que ça se fera, peut-être que ça marchera.» Il était certain.
Pourquoi? David l’avait dit: «Je ne permettrai pas que Mon bien-aimé voie la corruption et Je ne laisserai pas Son âme au séjour des morts.» Il savait que la corruption s’installe en trois jours; quelque part dans l’espace de trois jours, Il ressusciterait. Il croyait dans la Parole du Père. «Détruisez ce temple et, en trois jours Je le relèverai.» «Je le relèverai»; pas «J’essayerai».

71 Quand Marthe vint à Lui et dit – dit: «Notre – notre frère Lazare, Seigneur, si Tu avais été là, il ne serait pas mort. Mais même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera.»
Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie, dit Dieu. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»
Elle a dit: «Oui, Seigneur.» Haaa! «Je – je – je le pense, Seigneur. Je – je suis vraiment certaine de ce que les gens me disent que Tu n’es qu’un Béelzébul. Ils me disent que Tu lis les pensées des gens.» Non, non, cela ne se serait pas produit. «Oui, Seigneur, je crois. (Gloire à Dieu!) Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.» Oh! oh! quelque chose doit se produire. Ecoutez, c’est certain. C’est certain. Quand deux véritables omnipotents se rencontrent, quelque chose doit arriver. Oh! oui. Oh! certainement. Elle a dit: «Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.»
Que lui a dit Jésus? Qu’a-t-Il dit? «Eh bien, Je te dis ce que… Où l’avez-vous enseveli? Je vais essayer de voir ce que Je peux faire à ce sujet.» Non, non. «Je vais demander au Père pour voir ce qu’Il fera.» Oh! non. Non non, Il n’a pas dit cela. Il a dit: «Je vais aller le réveiller.» Il n’y a rien d’incertain là-dessus. «Je vais aller le réveiller.» «Je vais» pas «Je vais essayer». «Je vais». Il savait exactement ce que Dieu lui avait montré, et Il savait que cela allait arriver.» Je vais aller le réveiller.» Il n’y avait pas un son confus là-dedans (pas du tout), pas la moindre incertitude là-dessus.

72 Oh! «Détruisez ce corps, et en trois jours Je le relèverai.» Jésus a dit: «Si Je – si vous êtes en Moi, et que Ma Parole est en vous, demandez ce que vous voulez, et cela vous sera accordé.» «Cela – cela – peut-être que cela vous sera accordé»? Non, non, il n’y a aucune incertitude à ce sujet. «Je vais. Cela sera fait. Cela sera fait.» Est-ce juste?
Quand Il a regardé ce figuier et l’a maudit, vingt-quatre heures plus tard, Il est passé par là et le figuier avait séché. Pierre a dit: «Regarde, l’arbre sèche déjà.»
Jésus a dit: «Ayez foi en Dieu. Car, en vérité, en vérité, Je vous le dis, si vous (non pas Moi, mais vous… Amen, frères) – si vous dites à cette montagne… (non pas si Moi Je dis, mais si vous dites à cette montagne): ‘Ôte-toi de là, déracine-toi et jette-toi dans la mer’; et si vous ne doutez pas, mais croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous le verrez s’accomplir.» Amen. Non pas «peut-être que vous le verrez s’accomplir», non pas «peut-être que vous le verrez s’accomplir»; mais vous le verrez s’accomplir.

73 Homme pécheur (J’ai dépeint ce tableau sombre ici au début de mon sermon, à propos de l’heure à laquelle nous sommes), permettez-moi de vous citer une Parole. Pensez-y. Saint Jean 5.24 – 5, une poignée, deux douzaines d’oeufs. Lisez cela quand vous rentrerez chez vous. «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé…» (Même si votre nation se disloque, même si votre foyer se disloque, même si vos nerfs craquent, même si votre santé se détériore, même si vos espoirs s’effondrent, et que tout s’effondre), mais Jésus-Christ a dit ceci: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Alléluia. Non pas: «Il pourrait…», «il va, il est», «Il le pourra» dans le futur, mais il l’est maintenant. «Il est passé de la mort à la Vie», et Il est vivant maintenant même.
Ouf! j’aurais souhaité avoir deux fois ma taille; peut-être que je me sentirais aussi deux fois bien. Il me faudrait avoir deux fois ma taille pour y arriver. Ô Dieu, comment puis-je donc Te remercier!

74 Certain… Elle n’a jamais changé au cours des âges, cette vieille petite église qui croyait que cette Parole de Dieu s’est frayé carrément le chemin à travers chaque persécution. Les gens ont essayé de L’exterminer, de La détruire par le feu, par la persécution, par les tueries, par la noyade; mais Elle continue à avancer.
Il y a quelque temps, je me tenais à l’intérieur de la Statue de la Liberté, et quelques moineaux gisaient là morts. J’ai dit: «Qu’est-il arrivé?»
On a dit: «Il y a eu une tempête hier soir, et cette puissante lampe brillait, et ces petits oiseaux s’étaient perdus. Si seulement ils avaient su se servir de cette lumière, ils auraient pu continuer jusqu’en lieu sûr. Mais, a-t-il dit…, qu’ont-ils essayé de faire? Ils se sont précipités ici et ont essayé d’éteindre la lumière.» Il a dit: «Qu’ont-ils fait? Ils se sont fracassé la cervelle en essayant d’éteindre la lumière – la lumière qui pouvait les aider.»
Vous, pentecôtistes froids et formalistes; vous méthodistes froids et formalistes; vous baptistes froids et formalistes; vous incroyants qui essayez de chasser Christ hors de cette nation, qui essayez d’établir l’instruction et la science à la place du Saint-Esprit; vous allez vous fracasser la cervelle et la Lumière continuera à briller sans cesse. Il aura une Eglise remplie du Saint-Esprit pour laquelle Il viendra, et Il y vivra et y régnera. Vous ne pourrez jamais l’anéantir. Vous êtes tout simplement en train de vous fracasser la cervelle, en étudiant toutes sortes de livres et de dogmes conçus par l’homme. Prenez la Parole de Dieu et lisez-La et dites qu’Elle est la vérité et acceptez-La. Assurément.

75 «Celui qui croit en Moi (Saint Jean 14.7) – celui qui croit en Moi fera peut-être aussi les oeuvres que Je fais.» Ça, ce serait vraiment incertain, n’est-ce pas? Mais, «il fera… il fera les mêmes oeuvres que Je fais. Et il en fera davantage, parce que Je M’en vais au Père». Il n’y a rien d’incertain là-dedans. C’est sûr.
Vous dites: «Mais, Frère Branham, je – j’ai adhéré à toutes les églises.»
Le jour de la Pentecôte, comme je l’ai dit hier soir au sujet du docteur Simon Pierre, Pierre a dit: «Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Non pas «peut-être que vous Le recevrez, vous Le recevrez probablement»; mais «vous recevrez le don du Saint-Esprit car la promesse est pour cette génération et c’est tout». Oh! non. «Pour vous, et vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Non pas «peut-être»; mais «en aussi grand nombre que le Seigneur Dieu les appelle, vous recevrez le Saint-Esprit».

76 Le problème est que vous voulez une poignée de main et une aspersion au lieu de vous repentir et d’être baptisé. Se repentir signifie «faire demi-tour», laisser votre incrédulité derrière vous. Se mettre en route en croyant en Dieu, en direction du Calvaire. Faire demi-tour. Mettez-vous en route, et vous recevrez le baptême du Saint-Esprit. Vous Le recevrez.
Est-ce juste, frère? Je n’ai pas mal cité cette Ecriture, n’est-ce pas? Je L’ai reprise juste tel qu’Elle est écrite. «Vous recevrez le Saint-Esprit.» «Vous recevrez», non pas «peut-être; vous Le recevrez probablement; vous devriez Le recevoir»; mais «vous Le recevrez». «Eh bien, la promesse est pour vous, et pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» C’est certain.
Eh bien, ne vous avancez pas simplement pour dire: «Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu», en gardant ma tête relevée, et avec une salière, on asperge quelques gouttes d’eau sur moi. Je rentre et je dis: «Maintenant, je suis un membre à part entière. J’ai reçu la main d’association.» Vous ne recevrez jamais le Saint-Esprit. Vous ne recevrez qu’un tas de confusion. C’est juste.

77 Vous tirez la langue, vous recevez une petite gaufrette qu’un homme a fabriquée et le prêtre boit le vin et vous dites: «J’ai pris la sainte communion», la sainte eucharistie, ce qui veut dire le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit n’est pas venu par une gaufrette; Il est venu du ciel comme un bruit, comme un vent impétueux qui a rempli toute la maison où ils étaient assis. C’est juste. Voyez-vous? C’est incertain. Je ne lis pas cela dans la Bible. Mais quand j’apprends que cela est venu du ciel comme un vent impétueux, c’est cela. C’est…
Jésus a dit: «Attendez donc là-haut à Jérusalem. Ne vous mettez pas à prêcher et ne… Peu m’importe l’expérience que vous avez et le nombre de séminaires que vous avez fréquentés, et le nombre de vos diplômes, attendez là-haut jusqu’à ce que…»
«Jusqu’à ce que quoi? Jusqu’à ce que nous recevions notre licence en lettres?»
«Pas du tout. Attendez jusqu’à ce que…»
«Deux jours?»
«Jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut. Et alors (et pas avant), vous serez Mes témoins à Jérusalem, en Judée, à Bloomington, dans l’Illinois.» Partout – aux extrémités de la terre. Voilà l’Evangile.

78 Et alors, ils ont dit: «Eh bien, nous irons voir si l’évêque arrive.» C’est ce que nous faisons aujourd’hui. «Oh! nous allons voir si le prêtre nous donne – nous confirme.» Ça, c’était un son confus. Je ne connais rien de cela. Je suis comme David: «Débarrassez-moi de cette vieille armure.»
«Eh bien, si tu vas à l’école pour apprendre…»
Je – je ne sais rien non plus à ce sujet. Voyez-vous, je ne sais rien à ce sujet. La Bible ne dit rien à ce sujet. Je ne vois rien dans la Bible à ce sujet.
«Eh bien, maintenant écoutez. Si vous confessez de votre bouche que Jésus est le Christ et que vous L’acceptez, vous avez reçu le Saint-Esprit, car à la minute où vous croyez que Jésus est le Christ, vous avez le Saint-Esprit.» Ça, c’est un son confus. C’est juste.
Paul a dit, après avoir vu que les gens qui étaient sauvés criaient et sautillaient, il a dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit, depuis que vous avez cru?» Actes 19.5. Oh! oui, c’est ce qu’il a dit. Et il a dit: «Quand un ange venu du ciel (ne parlons pas d’un prédicateur), quand un ange du ciel vous annoncerait un autre Evangile que celui que je vous ai déjà apporté, qu’il soit anathème.» Il n’y a point de son confus là-dedans. C’est la Bible. Certainement.

79 Et lorsqu’ils étaient tous ensemble là haut dans le même lieu, tout à coup vint – pas un son confus, non – vint plutôt un son clair qui remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues séparées se posèrent sur eux pour accomplir la prophétie d’Esaïe 28.19; en effet, le Saint-Esprit se posa sur eux, et ils se mirent tous à parler en langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.
Juste un instant. Hébreux 13.8 dit: «Jésus Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»
«Il est partiellement le même hier, aujourd’hui et éternellement…» Il est le même: il n’y a rien de confus à ce sujet.
En terminant, je pourrais dire ceci: (Je vous garde trop longtemps, je le sais) mais, oh! vous, pauvres gens somnolents qui devez sortir et… Alors que les autres priaient toute la nuit et… Maintenant, c’est difficile. Je vous prie de ne pas penser que je vous fais du tort; je ne fais que suivre ce qu’Il me dit... En effet, je ne sais pas ce qu’il faut dire. Je n’ai pas assez de bon sens pour le dire, mais j’ai assez de bon sens pour dire ce qu’Il dit de dire. Cela dépend de vous. Voyez-vous?

80 Suivez, combien ont déjà entendu parler de Paul Rader? L’homme qui a composé ce fameux cantique Crois seulement. Paul était un merveilleux frère. Je l’ai connu. C’était un homme des bois, il coupait le bois.
Et il a dit qu’une fois, lorsqu’il était dans le champ missionnaire, il est tombé malade. Je pense qu’il avait attrapé la fièvre bilieuse hémoglobinurique ou quelque chose de ce genre. Lui et son épouse se trouvaient dans les îles, et ils étaient très loin des médecins et tout. Et Paul… Quiconque connaissait Paul savait que c’était un croyant dans la guérison divine. Ainsi donc…
Je vais prêcher dans son tabernacle juste après la semaine prochaine. A propos, je vais prêcher la semaine proch-… après la semaine prochaine, dans la banlieue de – de Bloomington, la banlieue, à Chicago, voyez-vous, de Bloomington, venez donc. Voyez-vous? Et ainsi donc… Souvenez-vous, cependant ne dites pas ça aux gens de Chicago. Je ne sais pas si oui ou non ils soutiennent cela, mais de toute façon, je serai là-bas, le Seigneur voulant.

81 Et ainsi, Paul Rader a dit qu’il est tombé gravement malade. Son état allait continuellement de mal en pis. Et il commençait à faire sombre dans la chambre. Il a dit: «Mon épouse, approche.» Il a dit: «Chérie, il se peut que je sois en train de partir.» Il a dit: «Tiens-toi à mon chevet. Prie pour moi.» Il ne cessait de faire de plus en plus sombre. Il continuait à confesser: «Ô Dieu, Tu es mon Guérisseur.» Il faisait plus sombre, plus sombre, plus sombre, plus sombre, plus sombre, plus sombre. Cela continua. Au bout d’un moment, il a perdu totalement connaissance.
Et il a eu un songe. Il a dit qu’il pensait qu’il était retourné… (Il venait de l’Oregon, vous savez.) Il a dit qu’il pensait qu’il y était retourné et qu’il était en train de couper du bois. Et son patron était dans le bois et a dit: «Paul, monte et abats un certain arbre de 18 pouces [45,7 cm – N.D.T.] (ou plutôt 14 pouces [35,5 cm] ou quelque chose comme cela), amène-le ici.»
Il a dit: «D’accord.» Il a dit qu’il a gravi la colline, en humant l’odeur de ces merveilleuses aiguilles de pins, et en passant vraiment un temps glorieux. Il a dit qu’il a pris… «Vous pouviez sentir cette vieille hache à double tranchant s’enfoncer dans ce bois tendre, vous savez.» Plus vous allez vers le nord, plus il fait froid, plus le bois est tendre. Plus il fait chaud, eh bien, plus le bois est dur… la même matière.

82 Ainsi donc, il a dit qu’il a abattu l’arbre, il l’a aussitôt coupé. Il a dit qu’il y a planté sa hache, et, oh! la la! il voulait soulever cet arbre… Vous savez, Paul était un homme fort, il pesait plus – il pesait plus de deux cents livres [90,7 kg ].
Il s’est donc baissé, il a joint ses genoux… Et les muscles de l’homme se trouvent dans le dos, dans les jambes et ainsi de suite; il s’est donc baissé pour pouvoir le soulever.
Et quand il l’a tenu, il a tiré, tiré et tiré encore; mais il n’arrivait pas à le soulever. Il était bloqué. Et il a dit: «J’ai perdu ma force. Je n’arrive pas à soulever ce rondin. Eh bien, j’en ai transporté qui était deux fois plus gros.» Et il a encore essayé, il a lutté, lutté, lutté, au point qu’il était vraiment exténué. Voyez-vous, c’était cette – cette fièvre. Il a dit qu’il était si épuisé qu’il s’est simplement assis contre un arbre et a dit: «Je ne peux simplement pas aller plus loin. Je suis foutu. Je ne peux pas aller plus loin.»

83 Et il a dit qu’il a entendu directement sa voix – son patron – la voix de son Patron: «Paul.»
Il a dit: «Oui, patron.»
Il a dit: «Cela n’a-t-il pas l’air très doux?» Il a dit: «Pourquoi te débats-tu avec cela?»
Il s’est alors retourné. Il a dit que ce n’était pas son patron; c’était son vrai Patron.
Il a dit: «Paul, tu ne fais que te débattre, te débattre, te débattre avec cela, a-t-il dit.» Il a dit: «Vois-tu ce courant d’eau qui est juste là?»
Il a dit: «Oui.»
Il a dit: «Ce courant d’eau descend tout droit jusqu’au camp.» Il a dit: «Pourquoi ne le jettes-tu pas tout simplement dans la rivière et ne sautes-tu pas dessus pour chevaucher jusqu’au camp?»
«Oh! a-t-il dit, je n’y avais pas pensé.» Il a dit qu’il l’a simplement poussé dans l’eau et a sauté dessus. Il a dit qu’il est passé au-dessus des ondulations et qu’il a passé un bon moment en pataugeant dans l’eau, en disant: «Je chevauche dessus. Je chevauche dessus.» Et quand il est revenu à lui, il était debout en plein milieu de la pièce, criant à tue-tête (complètement guéri), disant: «Je chevauche dessus. Je chevauche dessus. Je chevauche dessus.»

84 La Bible dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Je chevauche dessus.» Le Saint-Esprit est pour quiconque veut.» Je chevauche dessus. Je crois que Jésus-Christ est ressuscité des morts. Nous vivons dans les derniers jours. Et Jésus a dit: «Les oeuvres que Je fais, celui qui croit en Moi les fera aussi.» Et Il a promis que dans ces derniers jours ce signe messianique retournerait dans l’Eglise.
Théologiens, soyez en désaccord, si vous voulez, mais je vous indiquerai «l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Soirée après soirée, j’ai fait cela. Qu’en est-il de cela? Je chevauche dessus, la Parole de Dieu. Amen. Hum! J’ai envie de crier. Je chevauche dessus, la Parole de Dieu. Je crois que c’est pour «quiconque veut, qu’il vienne.»
Je crois qu’Il est ici même maintenant. Je crois que jamais je ne… Je ne peux pas… Ces Paroles, si vous êtes en désaccord avec Elles, Elles viennent de Dieu. Je chevauche dessus. Je chevauche dessus depuis trente et un an, et aussi longtemps que le Seigneur me préserve la vie et toute ma raison, par Sa grâce, je chevaucherai dessus jusqu’à ce que j’arrive au fleuve Jourdain. Je La jetterai dedans, et je chevaucherai dessus jusque de l’autre côté…?... Je crois que c’est la Parole éternelle de Dieu, et que les cieux et la terre passeront mais que Sa Parole ne passera pas. Amen. Je chevauche dessus.

85 Je crois que c’est le Saint-Esprit qui est ici maintenant. Je crois que c’est Jésus-Christ. Je crois que c’est le même qui – qui leur est apparu ce soir-là, comme l’a dit le parler en langues ce soir, ou plutôt l’interprétation. Après qu’ils s’étaient enfermés à l’intérieur, Il se révéla comme étant vivant.
Est-ce… Je ne… Billy n’a pas distribué les cartes de prière, je crois, une seule fois cette semaine, je crois que c’est ce qu’il a dit. Je doute qu’il y en ait ici. Ce n’est même pas nécessaire qu’il y en ait. On n’a pas besoin de cartes de prière. La carte de prière n’est juste qu’un numéro pour vous faire monter à l’estrade. Vous n’avez pas besoin de monter à l’estrade pour trouver Christ. Il est là où vous Le rencontrerez: juste là où vous êtes maintenant. Je vous demande d’accepter la Parole de Dieu et de chevaucher dessus pour voir si Elle est véridique. Le croyez-vous?

86 Combien n’ont pas de cartes de prière? Levez la main. Qui sont malades? Eh bien, je pense que c’est général, partout.
Père céleste, oh! ma façon rude, Seigneur, je – je n’ai pas eu la chance [d’apprendre] à parler à… comme les ministres parlent en ces derniers jours, ô Dieu. Je ne sais pas pourquoi Tu ne m’as pas laissé avoir cela, mais… J’aurais souhaité pouvoir faire que ce qui est dans mon coeur – juste le dire de telle façon que les gens le comprennent. Je Te prie, Seigneur, de me permettre par la miséricorde de Dieu dans mon coeur de leur prouver de toute façon que la chose que j’essaie de leur dire est la vérité, Père. Je Te prie de le faire encore une fois.
Je – je Te demande de le faire, Seigneur, afin que les gens sachent que si c’est Toi qui l’as dit, c’est la vérité, ô Dieu. Ça doit être la vérité. Et ce n’est pas un son confus. Si Tu es ressuscité, Tu as dit que Ton Eglise Te verrait, que Tu serais avec eux et ferais… Que la – que l’Eglise ferait la même chose que Tu as faite, et Tu serais toujours avec eux, même jusqu’à la fin du monde. Ô Dieu, je me tiens là-dessus. Tu l’as prouvé. Tu as dit que Tu étais avec eux et je sais que Tu es ici ce soir.

87 Ainsi, ô Dieu, pardonne ma surexcitation, mon émotion, ma nervosité. Et je Te prie, Père, de nous pardonner nos péchés, notre incrédulité et de nous établir sous la puissance du Saint-Esprit. Et que les hommes et les femmes, quelqu’un ici ce soir, Seigneur, aient suffisamment de foi pour T’appeler à descendre de la gloire. Et que leurs maladies et tout soient tel que… Que ça soit grave ou pas, Tu es Dieu, Tu connais toutes choses.
Tu as guéri un homme qui souffrait d’un – d’une sorte de maladie chronique et Tu as laissé des centaines de personnes aux membres tordus, des paralytiques et des aveugles qui se trouvaient là. Et puis, Tu es venu là et Tu as guéri des personnes aux membres tordus, des paralytiques et des aveugles. Tu es tout simplement Dieu. Tu fais ce que Tu veux.

88 Je suis Ton serviteur, Seigneur, et ceux-ci qui sont assis ici sont Tes serviteurs. Afin que cela puisse encourager l’église, que l’on sache cela ce soir, Seigneur. Permets que… nous allons fermer les portes à – à toute incrédulité et Te faire entrer dans notre coeur, comme Cléopas et l’autre qui revenaient d’Emmaüs. Tu as parlé à plusieurs de ces personnes – ces braves méthodistes, baptistes, catholiques, presbytériens et pentecôtistes. Peut-être qu’ils n’ont pas reconnu que c’était Toi. Ainsi, Père, je Te prie ce soir de faire quelque chose exactement comme Tu l’avais fait là-bas, exactement les choses que Tu as faites avant que Tu ne fusses crucifié, afin qu’ils sachent que Tu es le Seigneur ressuscité, que Tu n’es pas mort; Tu es ici, Tu es vivant.
Ils ont tant entendu cela, Seigneur, au point que cela est devenu ordinaire pour eux. Mais je prie, ô Dieu, que ce soir ce soit nouveau pour eux, pour qu’ils sachent que ce Jésus qui est vivant et qui vient bientôt est ici au milieu de nous. Ne veux-Tu pas le faire, Père? Je le demande pour la gloire de Dieu et pour l’édification de Ton église, au Nom de Jésus. Amen.

89 Considérez-moi comme Son serviteur. Croyez de tout votre coeur, vous les malades. N’ayez pas de doute dans votre esprit, mais croyez de tout votre coeur, et voyez s’Il demeure, si Jésus-Christ est vivant.
Je lève solennellement mes mains devant Dieu pour montrer que les seules personnes que je connaisse et que je pourrais identifier dans cette salle (et je ne leur parlerai pas), c’est mon ami ici présent, frère Gene Goad, et frère Skaggs de Chicago qui travaille à la Compagnie Winchester et qui est le – qui a un endroit où on pratique du sport… ce sont mes amis personnels. Je ne suis pas sûr que ces deux ou trois jeunes femmes assises ici sont mes amies de Chicago. Ces deux fillettes assises ici, dont une aux cheveux roux et l’autre aux cheveux noirs, si (je ne suis pas certain) ce sont les filles de frère Welch Evans. Est-ce juste? En dehors de cela…
Oui, voici où les… hommes d’Affaires Chrétiens de Chicago, votre nom m’échappe; votre fils est le secrétaire. Juste ici. Votre nom m’échappe. Oui, vous êtes ensemble vous deux. Je – je vous ai vus assis là.
Quand on prêche sous cette onction… Maintenant, Elle – Elle est ici. Je l’ai senti. Je sais que cela vous aveugle pratiquement (Voyez-vous?), au point où vous n’êtes plus vous-même. En dehors de cela, je ne connais personne, personne.

90 Ayez foi en Dieu. Croyez. Dites: «Seigneur Jésus, je sais que la Bible déclare que Tu es le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Et je sais que Tu es toujours ce Souverain Sacrificateur.» Dites-vous «amen»? Si donc Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, croyez-vous cela? Etes-vous disposé à faire chevaucher votre âme là-dessus d’ici jusque dans l’éternité, sur le fait qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Si donc Il est le même, comment agira-t-Il? De la même façon qu’Il a agi autrefois. Est-ce juste?
La Bible déclare-t-Elle que Jésus est la Parole de Dieu? Croyons-nous cela? Et la Bible dit que la Parole de Dieu discerne les pensées du coeur. Est-ce juste? Alors priez. N’est-ce pas un défi?

91 Maintenant, vous qui doutez, si vous voulez venir ici à ce microphone, vous les critiqueurs, si vous voulez prendre ce microphone et faire la même chose, je vous le cède. Venez prendre ma place. Et si vous ne le pouvez pas, alors taisez-vous pour toujours. Evêque, doyen, docteur, qui que vous soyez, venez et faites-le. Croyez alors en Jésus-Christ. Prions, vous les chrétiens.
Vous dites: «Vous avez peur, Frère Branham?» Je suis certain. Je suis sûr que cet Ange qui m’a parlé cette nuit-là m’a annoncé la Parole de Dieu. Je n’ai pas peur. Il va le faire. Il l’a promis.

92 Eh bien, je ne peux pas vous guérir. Quiconque croit cela, vous êtes – vous êtes – vous êtes – vous n’êtes même pas… Si vous – vous êtes – vous avez cela dans votre tête, vous – vous ne serez jamais appelé. Mettez-vous dans la tête que Jésus-Christ a déjà fait cela pour vous. Ayez donc la foi.
J’attends tout simplement. Je – je ne peux pas… S’Il ne me parle pas, je ne peux rien dire. Frère, voudriez-vous bien… à ce piano. Crois seulement, juste un instant comme chant. J’ai prêché très durement. Juste Crois seulement, très doucement. Imaginons-Le qui vient là. Vous diriez: «Seigneur, je suis très malade aujourd’hui. Veux-Tu bien avoir pitié de moi?»
«Je le peux si tu crois, car tout est possible à celui qui croit.»
«J’ai appris que Ta Parole déclare telle et telle chose… que Tu serais dans Ton Eglise et Te révélerais comme Tu l’avais fait. Je l’ai entendu dire cela pendant toute la semaine. Je… Cet homme est obligé de me dire la vérité, car je rentre directement chez moi pour lire cela dans la Bible. C’est une promesse. Peut-être qu’on ne m’a pas enseigné cela, mais je sais que c’est la vérité. Je crois en Toi. Je crois en Toi, Seigneur. Viens au secours de mon incrédulité.»

93 Bon, voilà, voilà. Au Nom de Jésus-Christ, je prends chaque esprit là-bas dans cette salle sous mon contrôle.
Ici, levez la tête. La petite dame aux cheveux gris assise là… je dois… juste ici, la – cette petite dame juste ici… Cette petite dame juste ici, ici devant. Ne pouvez-vous pas voir cette Lumière? Regardez ici. La Lumière ambre comme Celle que vous voyez sur la photo… La voilà juste au-dessus de la dame. Elle se déplace. Excusez-moi, si je vous demande cela. Celle-ci est une autre dimension. Je me rends compte que je suis dans un auditoire. Et je me rends compte que je regarde une femme, elle est en train de prier, je l’observe. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais je peux… Si je vous dis par le Saint-Esprit l’objet de votre prière, vous saurez si c’est vrai ou pas. Vous priez au sujet d’une hernie. C’est juste. Egalement au sujet des troubles, des complications intestinales. Si c’est juste, levez la main comme ceci. Si je vous suis inconnu, levez l’autre main.
Voilà un signe certain de Sa résurrection. Elle a touché quelque chose. Est-ce juste?

94 Qu’en est-il de vous tous? Croyez-vous? Un problème de colonne vertébrale. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Vous souffrez de la colonne vertébrale. Et si Dieu me disait qui vous êtes, croiriez-vous que je suis Son prophète? Mlle Hollanbach. C’est juste.
Cela a aidé votre amie qui est assise à côté de vous. Je ne vous connais pas non plus, mais Dieu vous connaît. Et vous ne priez pas pour vous-même; vous priez pour quelqu’un d’autre. Si je vous dis de quoi il s’agit, croirez-vous que je suis Son prophète? Vous priez pour un neveu qui est alcoolique. C’est juste. Levez la main.
Je vous demande de croire. Cet homme assis ici, qui a la tête inclinée et qui pleure en priant, assis ici sur les marches. Vous avez des troubles gastriques, n’est-ce pas, monsieur? Vous m’êtes inconnu. Vous ne pouvez rester qu’un petit moment. Vous devez rentrer chez vous. Vous venez de Des Moines. C’est juste. Votre épouse a un problème de glandes, n’est-ce pas? Votre petit garçon, le petit enfant, souffre de l’asthme. Si c’est juste, levez la main. Posez votre main sur tous les deux. Croyez, rentrez chez vous et portez-vous bien.

95 Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas, monsieur? Vous avez simplement cru cela, est-ce juste? Si nous sommes des inconnus l’un à l’autre, levez la main. Nous ne nous connaissons pas, vous – vous et moi; nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Ayez la foi.
Soyez en prière. J’ai vu quelque chose arriver; je ne sais pas très bien où c’était. Croyez. Soyez respectueux. Il s’agit d’un homme. Levez la tête, juste ici. Vous souffrez de troubles de la vésicule biliaire. Vous étiez en train de prier, disant: «Ô Dieu, que ce soit moi, ce soir.» Est-ce juste, monsieur? Sommes-nous des inconnus l’un à l’autre? Levez la main si nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Ne pouvez-vous pas…? Je sais que vous ne pouvez pas voir Cela – cette Lumière au-dessus de lui. Vous ne venez pas juste d’ici. Vous venez d’une ville qui s’appelle Canton. C’est juste. Vous vous appelez M. Elk. C’est vrai, n’est-ce pas? Levez la main. C’est juste.

96 Voici une dame juste en dessous de vous, assise en bas par ici, les mains sur la bouche, en train de prier. Elle souffre de la gastrite. Vous souffrez aussi de la bronchite, dans votre gorge. Nous sommes inconnus l’un de l’autre. Dites donc, vous êtes aussi de Canton. C’est tout à fait juste. Vous vous appelez Mlle Effland, E-f-f-l-a-n-d. Si c’est juste, levez la main, ou levez-vous pour que les gens puissent voir que c’est la vérité. Maintenant, si nous sommes des inconnus, levez la main. Me croyez-vous? Alors je vous renvoie chez vous pour que vous soyez bien portante au Nom de Jésus-Christ.
Je chevauche là-dessus. Cela ne peut faillir. C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu, ressuscité des morts, faisant la même chose que le Saint-Esprit a interprété pour cet homme ce soir et a dit: «Comme il en était avec ceux qui revenaient d’Emmaüs…» Vous êtes enfermé avec Dieu. Croyez-vous cela de tout votre coeur?

97 Maintenant, pendant que je ne vois plus bien… Combien de pécheurs ici sont… que chacun de vous vienne ici et se tienne à côté de moi juste un instant. Voulez-vous aller dans la gloire en chevauchant Sa Parole? Venez ici et tenez-vous ici juste un instant. Quelqu’un d’autre, descendez du balcon. Levez-vous. Que tous les pécheurs, jeunes et vieux, viennent ici juste une minute. Voilà comment il faut venir. Venez directement; c’est très bien. Quelle conviction, et des hommes tombent les uns sur les autres! Venez. Venez.
Pourquoi vous confiez-vous dans quelque chose d’incertain, dans une théologie d’église? Venez naître du Saint-Esprit, sinon vous êtes perdu. Votre église ne vous sauvera jamais, aussi bonne qu’elle puisse être. Si vous êtes juste un membre d’église, vous êtes perdu jusqu’à ce que vous naissiez de nouveau. Venez, Dieu a donné la Parole comme un son clair. Il confirme cela avec un son clair, et c’est parfaitement en ordre. Venez, «chaque âme oppressée par le péché…», venez, croyez dans le Seigneur. Je vous invite à venir. Il n’y a aucune incertitude à ce propos; Dieu l’a dit. Dieu confirme la Parole.
Et vous entendez cela pour l’une des dernières fois, car je quitte la contrée; et il n’y aura personne d’autre dans le champ jusqu’à ce que je sois parti. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il n’y en a pas eu et il n’y en aura pas. Venez pendant que vous le pouvez.

98 Souvenez-vous, je vous rencontrerai au Jugement. Vous direz: «Vous devriez chanter un chant pathétique.» Vous devriez vous lever de votre siège et venir sur base d’une conviction, pas d’un chant pathétique, mais de la Parole de Dieu et du témoignage du Saint-Esprit. Fuyez la colère de Dieu à venir. Fuyez les flammes de l’enfer qui sont derrière vous. Venez, alors que vous avez l’occasion de venir. Souvenez-vous, je le dis au Nom de Jésus-Christ, je ne serai pas responsable de vos péchés au jour du Jugement, si vous ne venez pas maintenant même pour recevoir Christ.
Vous qui n’avez pas le Saint-Esprit, vous qui n’êtes pas sûr d’être un véritable chrétien, venez. Je vous le demande; je vous appelle; je vous persuade au Nom de Jésus-Christ de venir. Vous pensez qu’à partir du balcon c’est trop loin? Ce sera une distance plus longue que celle-ci, quand vous parcourrez cette route qui mène à l’enfer éternel où vous brûlerez…?...

99 Ô Seigneur, le reste relève de Toi. Je ne peux rien faire de plus. L’heure est avancée. La patience de Dieu s’amenuise. Ceci pourrait être la dernière fois où vous recevrez un appel dans votre coeur. Vous feriez mieux de venir. Vous pourriez réclamer cet appel un soir, quand vous serez étendu là sur l’autoroute, le sang giclant de vos veines, coincé sous un véhicule; étendu là-bas sur le lit et les médecins disant que c’en est fini de vous. Vous pourriez désirer que ce sentiment vienne dans votre coeur. Cela ne viendra pas. Il se moquera de vous. Vous feriez mieux de venir maintenant. Souvenez-vous, je vous le dis au Nom du Seigneur.
Croyez… Je ne me suis pas appelé Son prophète. C’est vous qui m’avez appelé ainsi. Je sais donc que la Parole du Seigneur est la Vérité. Il L’a confirmée. Que chaque âme vienne, venez. C’est juste, venez, venez maintenant, pendant que vous le pouvez. Fuyez la colère qui vient après ceci. Sauveur, Sauveur, (Très bien, les ouvriers indépendants) Ecoute mon humble cri;
Quand aux autres Tu répondras,
(Pécheur, venez avec eux)
Ne m’oublie pas. Vous dites que vous avez peur de manquer un peu de sommeil? Qu’en est-il de votre vie? Sauveur, Sauveur,
Ecoute mon humble cri;
Quand aux autres Tu répondras,
Ne m’oublie pas. Sauveur, Sauveur,
Ecoute mon humble cri;
Quand aux autres Tu répondras,
Ne m’oublie pas.

100 Juste un instant. Vous, étudiants méthodistes qui êtes ici, j’aimerais vous parler juste un instant. Il y a ici un prédicateur méthodiste à genoux devant moi. Son frère est l’un des grands hommes d’Asbury. Il est encore un méthodiste, mais il est rempli du Saint-Esprit. La puissance de Dieu est dans sa vie. Frère Collins, voudriez-vous vous lever une minute? Un prédicateur méthodiste, voici toute sa famille méthodiste; il est passé par l’université et les écoles méthodistes, et tout. Il a des diplômes universitaires et tout, et le voici. Il a entendu la voix de Dieu et il est venu, il a reçu le baptême du Saint-Esprit. Est-ce vrai, Frère Collins? A vous les étudiants méthodistes. Venez vous tous. «Il y a une fontaine remplie de Sang tiré des veines d’Emmanuel.» Venez. Oh! écoute mon humble cri;
Quand aux autres Tu répondras,
Ne m’oublie pas.

101 Maintenant, inclinons tous la tête, partout. Méthodistes, priez tel que vous le faites dans votre Eglise méthodiste. Baptistes, faites de même. Presbytériens, faites de même. Pentecôtistes, faites de même. Vous qui êtes ici à genoux, je vous offre à Jésus-Christ comme les trophées de Sa Parole.
Notre Père céleste, je T’offre ce soir ce groupe de gens comme des trophées de Ton message, de Ton Saint-Esprit, le son clair qui se fait entendre et qui prouve que Tu n’es pas mort, mais que Tu es le Christ vivant qui vis dans Ton Eglise, qui vis dans Ton peuple. C’est cela qui leur donne le Saint-Esprit et invite...?... à venir; à tous ceux qui veulent venir, peu importe leur affiliation, et le système dont ils pourraient être membres.
Tu es Dieu, Tu ne changes pas. Tu as prouvé que Tu es Dieu. Tu connais le coeur de chaque homme. Tu connais le nom de chaque homme. Tu connais leur position et leur appel. Tu connais toutes choses, ô Dieu, car Tu es le Dieu omniprésent, omnipotent, infini.
Je Te prie de les sauver, Seigneur, par Ta grâce. Remplis-les du Saint-Esprit. Envoie l’Esprit de Dieu sur tout cet auditoire, Seigneur, et fais que chaque coeur soit saturé. Que les croyants soient oints maintenant du Saint-Esprit, afin qu’ils soient reconnaissants envers Dieu du fait d’avoir été sauvés en ces jours-ci. Accorde-le, Seigneur. Que tout celui qui est opprimé par le péché...?... les ministres...?... se tenir auprès...?... Très bien, frères. Je suis fatigué et épuisé. Voulez-vous bien prendre le service? Que Dieu vous bénisse...?... Descendez ici maintenant même, c’est maintenant l’heure. Amen. Levez-vous, vous tous, pour recevoir le Saint-Esprit.

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