Qu’est-ce qu’une vision?

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Date: 56-0408A | La durée est de: 1 heure et 18 minutes | La traduction: SHP
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Chicago, Illinois, USA
E-1 Merci beaucoup. Prions. Notre Père céleste, nous Te remercions pour toute Ta bonté envers nous. Ô Dieu, nous nous sentons vraiment indignes de regarder cette assistance aujourd’hui et voir ce gâteau d’anniversaire posé ici... Je regrette, Père; pardonne-moi. Je ne peux simplement pas parler, mais je prie, ô Dieu, que d’une façon ou d’une autre, d’une façon ou d’une autre, ce flot de l’amour divin aide chacun. Bénis ces gens qui ont fait cette grande chose, Père, et je demande que Tes bénédictions soient vraiment avec nous en abondance aujourd’hui, au point que toute la pièce sera inondée de Ta gloire. Et–et je me souviens du temps même où? quand on regardait les sourds-muets passer pour aller de l’autre côté... oh! je prie, ô Dieu, que d’une façon ou d’une autre, Tu fasses quelque chose d’une façon remarquable pour nous aujourd’hui. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

E-2 Que les bénédictions de Dieu reposent sur Buchman. Je prie que Dieu vous bénisse, mes chers amis. C’est la chose la plus jolie, je pense... Avez-vous montré cela au public? L’ont-ils fait? C’est beau, n’est-ce pas? J’aimerais prendre ce temps pour vous remercier. Il n’y a aucun moyen au monde pour moi de vous récompenser de quelque manière que ce soit pour vos gentilles bénédictions. Et je vois les cadeaux qui m’ont été offerts, et aussi les petits cadeaux dans des enveloppes, les cartes, et autres. Merveilleux! Je me sens, avec ça, poussé à prendre rendez-vous pour revenir l’année prochaine pour mon anniversaire [L’assemblée applaudit.–N.D.E.]. Tous mes remerciements. Oh! la la! C’est merveilleux. J’ai promené le regard et je ne savais pas ce que c’était. C’est assurément joli, tous vos dons...

E-3 Il n’y a qu’une seule chose que je peux dire, et ce n’est pas exactement... Eh bien, c’est dire dans un état de prière: «Que Dieu vous bénisse.» Et si jamais je ne peux, et.-.et.-.et que Dieu ne me laisse jamais faire cela, dans cette vie, vous montrer mon appréciation pour tous ces dons qui proviennent de tout le monde...

(4) Même une petite fille tenait une–une petite enveloppe; à l’intérieur, il y avait ses dîmes, environ huit cents, je pense. Elle m’a envoyé cela comme un cadeau d’anniversaire: ses dîmes. De cela à ces grands présents ici... Oh! Que Dieu vous récompense richement, mes bien-aimés frères et soeurs. Donc, je–je ne pensais pas que vous aviez tant de considération pour moi. Je ne le pensais vraiment pas. J’apprécie certainement cela.

E-4 (5) Aujourd’hui, c’est–c’est... Nous avons pris cela comme un entretien coeur à coeur, je pense, aujourd’hui. Au lieu donc de prêcher, on va juste parler et peut-être expliquer certaines choses qui peuvent vous paraître trop mystérieuses dans des réunions (de nature à couper le souffle, je ne m’attendais pas à un autre anniversaire aujourd’hui.)

E-5 (6) Et juste quand je franchissais la porte, j’ai rencontré mon cher ami ici, Art Wilson. Je pense que tous les hommes d’affaires chrétiens le connaissent. Votre–votre maison est à Oregon, n’est-ce pas? Ou Reno, Nevada. Frère Art Wilson, à ma droite; le suivant, c’est frère Wood, monsieur Banks Wood, c’est mon ami et mon voisin.

Monsieur Wood voyage avec moi, beaucoup parmi vous le connaissent, il vend des livres dans des réunions. Cet homme était un entrepreneur très prospère. Et un jour, pendant que j’étais à Louisville, dans le Kentucky, en train de tenir une série de réunions (c’est un ancien témoin de Jéhovah; sa femme, une ancienne méthodiste), et ils avaient entendu parler des réunions, alors ils sont venus voir si c’était vrai.

E-6 (7) Ce soir-là, il y avait une fille paralysée, elle était restée étendue pendant plusieurs mois, elle ne pouvait même pas bouger l’articulation au niveau de ses hanches, une jeune fille d’environ, oh! une demoiselle d’environ quinze ans, elle s’est directement relevée de son brancard après avoir été amenée à l’estrade, elle a marché partout. Le jour suivant, elle est simplement allée de l’avant, elle est rentrée à l’école quelques jours après, bien portante, normale. Encore et beaucoup de choses que le Seigneur avait accomplies.

Alors, monsieur Wood avait quelque chose à faire (une maison à terminer, ou quelque chose qu’il était en train de faire), il a dû se dépêcher, il a complètement terminé cela, il est allé à Houston, au Texas, à ma réunion suivante. Là, il se tenait dans la salle ce soir-là quand l’Ange du Seigneur était apparu et que les–les appareils photos avaient pris la photo de l’Ange, et c’est la photo que vous avez vue vous-mêmes ici.

E-7 (8) Alors, il avait un... l’un de ses grands choix, il avait un petit garçon estropié, sa jambe était recroquevillée sous lui. Alors, monsieur Wood, à mon retour... (J’étais parti outre-mer, là en Suède, et j’étais revenu.) Et alors, on avait dressé une tente, je pense, à Cleveland, ou... Cleveland, dans l’Ohio.

Et monsieur Wood cependant, évidemment, était dans la foule en train de suivre comme beaucoup parmi vous aujourd’hui, mais il était déterminé à rester jusqu’à ce que ça soit terminé. C’est comme cela; c’est comme ça qu’il faut s’y prendre. Il a mis son travail de côté, il a amené le petit garçon à Cleveland.

E-8 (9) Quelques soirées après, c’était dans la réunion (Evidemment, je ne me rappelle pas, si ce n’est simplement au moyen des bandes), il était assis au fond, dans la salle, là tout au fond, sa femme et lui; alors, le Saint-Esprit est descendu et a dit: «La dame assise là derrière à côté de son mari, un entrepreneur, a-t-Il dit, elle-même souffre d’une tumeur, et son petit garçon est estropié, mais AINSI DIT LE SEIGNEUR... guéri.» Elle a soulevé le petit garçon, il est un jeune homme, il a une jambe redressée depuis cette heure même, tout aussi normal que n’importe quel autre jeune garçon.

Monsieur Wood a cessé d’être un entrepreneur, il erre avec moi. Alors, son fils et mon fils sont de grands copains, il est tout aussi normal et bien portant que n’importe quel garçon. (Il s’attendait à aller dans l’armée très bientôt.) Le Seigneur est donc bon, n’est-ce pas, et plein de miséricorde. Et que de grandes choses Il a accomplies parmi nous!

E-9 (10) Maintenant, aujourd’hui... Eh bien, ce soir, je pense, nous allons commencer un peu tôt... (Je dois me trouver à Louisville dans le Kentucky, à un rendez-vous, à huit heures du matin, et il nous faut conduire sur tout le chemin ce soir, ce qui fait à peu près huit ou dix heures de route; nous arriverons donc là pratiquement à temps pour répondre à ce rendez-vous. D’ici, nous irons directement à–à Louisville... et en voiture.) Et puis, nous avons l’intention de commencer des réunions juste un peu plus tôt ce soir, et nous apprécierons que vous veniez un peu plus tôt, s’il vous plaît.

E-10 (11) On m’a dit que je pourrais être à la chaire... «Les cartes seront distribuées à dix-huit heures», a dit frère Joseph. Et nous étions donc... l’armée peut très bientôt prendre Billy, alors monsieur Wood distribuera les cartes de prière, et Billy le rôde.

Je–j’ai dit: «Comment vous y prenez-vous, monsieur Wood?»

Il a dit: «Dites donc, a-t-il dit, c’est bien, mais, a-t-il dit, il m’est arrivé d’avoir deux cartes et six personnes qui en voulaient.» Alors, je... Il a dit: «Que faites-vous dans pareil cas?»

J’ai dit: «Juste ce que vous avez fait.» J’ai dit: «Eh bien...» Il... Et hier soir, quand il... comme il était très heureux, il a dit: «De voir les gens à qui.-.à qui il avait donné des cartes, à l’estrade et le.... Dieu les a guéris et les a rétablis. Et il en était très heureux.»

E-11 (12) Maintenant, ce soir on doit distribuer à dix-huit heures, parce que je suis... je pense que je suis censé être à la chaire à vingt heures quart (je pense que c’est en ordre.) Ainsi donc, nous pourrons congédier un peu plus tôt à cause de ce long et fatigant déplacement en voiture de ce soir.

Je vous remercie donc d’être venus cet après-midi, et en cet après-midi froid où il vente, vous êtes néanmoins venus. Cela montre que vous n’êtes point venus pour être vus. Vous êtes venus pour le bien que vous pourrez tirer de la réunion, de la part de Dieu. Et je prie qu’Il vous bénisse abondamment. Maintenant, surtout cela ne veut pas dire que les gens doivent être ici à dix-huit heures, c’est seulement vous qui avez besoin des cartes de prière.

Et maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à tout notre rassemblement. Et je–j’espère un jour, le Seigneur voulant, revenir bientôt à Chicago une fois de plus pour servir le Seigneur.

E-12 (13) La Bible dit ici:

Lorsqu’il y en aura parmi vous un qui est spirituel ou un prophète, c’est par une vision que Moi l’Eternel je me révélerai à lui.

Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole.

Maintenant, juste un entretien de coeur à coeur, je vais... Joseph ne sait pas ceci, mais je vais simplement lui demander de bien vouloir donc... n’importe quand qu’il aimerait m’interrompre pendant que je parle et dire n’importe quoi...

Nous avons eu une interview ou quelque chose comme cela, ce matin à la radio. Avez-vous tous suivi l’émission? C’est... et alors donc, aujourd’hui, je pensais peut-être percevoir l’atmosphère parmi les gens afin qu’on puisse voir l’opération du surnaturel, et juste vous accorder un entretien de coeur à coeur, les uns avec les autres, vous laisser avoir un aperçu de ce qui se passe à l’intérieur autant que je peux l’aborder. Et je n’ai jamais... beaucoup de ces choses à dire que j’ai à coeur, jamais de ma vie je n’ai dit cela à une assistance auparavant; qu’Il accorde donc Ses bénédictions à ce que nous disons.

E-13 (14) La première chose dont nous aimerions parler, c’est: Qu’est-ce qu’une vision? Qu’est-ce que ça peut être? Certains... beaucoup de gens... Je ne dis pas comme notre frère Billy Graham l’a dit, en répondant à mes critiqueurs. Je suis très reconnaissant d’avoir très peu de critiqueurs. Pratiquement tout le monde... Certains d’entre eux qui n’ont jamais été aux réunions, ils peuvent dire: «Oh! Eh bien, il n’y a rien à cela.» Mais une fois arrivé aux réunions, cela est toujours pratiquement réglé. Quand Jésus s’empare de leur coeur, ils voient alors que c’est–que c’est vrai.

E-14 (15) Une vision, c’est un... c’est donc... Beaucoup de gens me demandent: «Frère Branham, est-ce que cela est matériel, ce que vous voyez ou est-ce quelque chose qui marque votre esprit, ou quoi est-ce?» Non, c’est matériel. C’est tout aussi réel que je regarde maintenant même. Et maintenant, comment cela arrive? Ça se fait par la grâce souveraine de Dieu. Et quand j’étais un bébé, quand je suis né, tout au début, ma mère m’a dit que cette Lumière était entrée et Elle s’était suspendue au-dessus du petit lit où–où j’étais né; et depuis lors, je peux me rappeler les choses qui sont arrivées devant moi.

E-15 (16) Donc, cela–cela se dévoile donc. Cela semble donc comme (Il n’y a vraiment pas moyen pour moi de l’expliquer, mais juste le faire au mieux de mes capacités.) Je m’abandonne simplement au Saint-Esprit, et cela commence donc, et cela se trouve là devant vous. Vous êtes conscient que vous vous tenez ici, et pourtant vous êtes à quarante ans dans le passé, dans la vie de quelqu’un, en train d’observer ce qu’il faisait. Et puis, tout ce que je dis, c’est juste ce que je vois; et puis, quand je reviens à moi-même, je sais que j’ai dit quelque chose, mais souvent je ne sais pas ce que j’ai dit. Et le moyen pour moi de le savoir, c’est par ces jeunes gens qui sont assis ici avec ces magnétophones; ils rejouent cela pour moi, et c’est ainsi que je saisis cela. Ce n’est donc pas du tout par moi-même. Et puis, cela–cela a été donné dans un–dans un seul but.

E-16 (17) Or, je pense (Et je dis ceci du fond de mon coeur) que la forme la plus élevée et la plus glorieuse qu’il y a pour Dieu d’apporter Son Message à Son peuple, c’est que les gens croient Sa Parole. C’est vrai. La forme la plus élevée: la prédication de l’Evangile...?... c’est la forme la plus élevée. Ensuite, si vous remarquez bien, la Bible le présente comme ça. Premièrement, les apôtres; deuxièmement, les prophètes et ainsi de suite; puis, ça continue, ça continue, jusqu’aux neuf dons spirituels qui opèrent dans le... dans chaque corps local.

E-17 (18) Maintenant, mes réunions en Amérique n’ont pas été très fameuses, comme elles devraient l’être en Amérique. Mes réunions ont plus d’effets pour le Seigneur outre-mer. Ils soutiennent mieux cela. Eh bien, je ne sais pas pourquoi. Or, je ne parle pas de vous. Non, je parle du public en général (Voyez?), partout, comme à Chicago et partout, dirions-nous, ou–ou à Durban, en Afrique du Sud, partout (Voyez?), quelque chose comme cela, ou à Mexico City, et tout. Eh bien, ils réagiront à cela à quatre-vingt pour cent plus qu’on ne le fera en Amérique.

E-18 Eh bien, ce à quoi les Américains réagissent le mieux, c’est aux services de guérison, à mon avis, eh bien, ceux de frère Oral Roberts. Or, frère Oral Roberts est un orateur puissant, un vrai prédicateur, et un bon frère qui craint Dieu, frère Oral Roberts, et un ami intime à moi, un aimable frè–frère. Et j’ai un très grand et profond respect pour frère Roberts. Et le Seigneur est avec lui et Il le bénit abondamment. Et ses réunions ici en Amérique...

Voyez, nous pouvons tous deux entrer dans une ville, lui commence la réunion et moi, je commence la mienne. Ses auditoires dépasseraient les miennes de loin, rien qu’avec une petite annonce, parce que son ministère a un impact plus grand ici en Amérique, car il est un orateur très influent. Il est un... Il sait–il sait s’y prendre. Il est intelligent, instruit, il connaît la Bible, il peut La présenter de telle manière que les gens instruits écoutent cela, car c’est au niveau de leur–de leur vie.

E-19 Mais on nous prend... Quand nous sommes allés en Afrique, eh bien, il n’y avait pas du tout de comparaison. Voyez? Et les gens qui ne sont pas instruits, et tout, attendent le surnaturel, parce qu’ils n’ont pas la–l’instruction et la... n’ont pas été enseignés à l’école comme ces gens ici. Ainsi donc, le... c’est une chose que le Seigneur m’a donnée pour gagner les gens.

E-20 Maintenant, je ne veux pas dire que beaucoup de gens instruits, intelligents, perspicaces, de haut niveau, même les rois, les potentats, les monarques, certainement, ils croient cela et reçoivent cela; mais en général, nos églises en Amérique, ça fait longtemps depuis que nous avons eu un réveil, depuis ce temps-là, depuis l’âge de Wesley.

Les vieilles générations sont mortes, quand on chassait à coups de pied les gens de Wesley les traitant de saints exaltés et des «gens qui se secouent», parce qu’ils secouaient leurs têtes et–et se couchaient sur la–sur l’estrade, et partout dans les allées. On leur déversait de l’eau. On les éventait quand le Saint-Esprit était sur eux. Eh bien, ce jour-là est passé il y a longtemps. Nous sommes tout établis, oh! si orthodoxes. C’est la raison pour laquelle ils ne peuvent pas... les gens aujourd’hui sont enseignés... Eh bien, un–un orateur qui peut présenter cela d’une façon magistrale, eh bien, c’est tout à fait en ordre; c’est tout chouette. Et tant que vous recevez Christ, c’est le–c’est l’essentiel, tant que vous recevez Christ.

E-21 Eh bien, nous remarquons que notre frère Roberts... Vous avez peut-être suivi son émission ce matin. Et je lisais les articles dans un journal, on m’en avait réservée une primeur, comment cela, là en Australie, quelle chose horrible, ces moqueurs, on l’a traité d’imposteur et tout, on l’a chassé comme cela, là où peut-être le... ce type de ministère secouerait toute la chose tout de suite. Voyez? Voyez-vous? Ça serait différent.

Et... Mais frère Roberts... cependant, Dieu lui a donné un moyen de travailler avec les gens que moi, je ne peux pas atteindre, peut-être que je travaille avec les gens que lui ne peut pas atteindre. Mais ensemble, nous sommes frères, cherchant à faire ce que nous pouvons pour le Royaume de Dieu. Voyez-vous?

E-22 Et les visions, c’est juste une partie de l’Evangile qui est prêché. Eh bien, vous voyez, si j’avais acquis une instruction et que probablement j’avais une bonne voix, et tout, que je pouvais présenter l’Evangile comme... j’aurais probablement été un–un prédicateur de ce genre-là. Mais Dieu, sachant que je ne serais pas instruit, Il m’a donné autre chose pour travailler pour... avec. Voyez? C’est ce qu’Il a fait. C’est tout ce que je sais.

E-23 Eh bien, vous pouvez vous demander ce qui se passe à l’estrade quand un–un–un patient... ou je ne dirais pas cela comme ça; ça serait trop en des termes médicaux. Puis-je le dire, quand un ami se tient devant moi, ayant besoin d’assistance, voici ce qui se passe. Le... Je n’ai rien à faire avec cela, rien. C’est ce patient-là lui-même qui fait opérer ce don divin. Je n’ai rien du tout à faire avec cela. Je continue simplement à m’abandonner, m’abandonner, jusqu’à ce que son esprit et l’Esprit qui est–qui est sur moi, quand je me suis abandonné à... au point que le Saint-Esprit... (Je peux L’appeler comme ça, expliquer plutôt cela comme ceci, afin que vous compreniez.) Voici, le Saint-Esprit est ici en haut, et alors, je continue simplement à m’abandonner moi-même à Lui jusqu’à ce que je sois sûr qu’Il est–qu’Il est là. Alors, je parle à la personne jusqu’à ce que je puisse attirer son attention. Avant cela, je ne sais rien d’autre; et le Saint-Esprit, par mon esprit qui est abandonné, me montre sa vie. Et quand cela se passe, cela édifie la foi du patient à un niveau comme ceci; et souvent, après, je me mets à dire autre chose; et cela m’arrêtera. Alors, je dis: «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Eh bien, observez cela. C’est parfait à chaque coup. Cela ne faillit jamais. Cela lui dira juste exactement ce qui est sur le point d’arriver, et ça sera comme ça. Notez-le et voyez si ce n’est pas comme ça. Eh bien, c’est–c’est le patient qui fait cela.

E-24 Eh bien, je peux présenter cela sous une petite forme amateur afin que vous compreniez. Disons qu’il y a–il y a un immense... Nous sommes tous de petits garçons et de petites filles, nous sommes ici au... dans notre tendre enfance, et il y a un immense mur de clôture, et il se déroule un carnaval à l’intérieur. Et il se fait que je–je–je suis un peu plus élancé que vous. Peut-être que vous, vous êtes plus fort que moi, mais moi, je suis plus élancé. Voyez, Dieu crée des gens de différentes façons pour différentes oeuvres. Eh bien alors, là-haut, ici, juste par où je peux regarder, il y a un trou au mur. Eh bien, maintenant, je peux tenir au sommet, parce que je suis un peu plus élancé, je peux me tirer sur mes doigts, et regarder au travers de ce trou; je peux redescendre et vous dire ce que j’ai vu. Avez-vous une idée? Maintenant, me suivez-vous?

E-25 Maintenant, eh bien, peut-être que l’homme à côté, il est plus fort, mais il ne peut pas du tout voir à cette hauteur-là. Alors, il dit: «Frère Branham, que voyez-vous?»

Je dirais: «Juste un instant», et je sauterais plus haut; de mes doigts, je saisirais le bout, je me tirerais très haut, et je dirais: «Je–je–je vois un éléphant», et je redescendrais. Voyez? C’est épuisant, parce que je me soulève. Je dis ceci sous forme de parabole afin que vous compreniez certainement.

Eh bien, quand je redescends: «Qu’avez-vous vu?»

«Un éléphant.» Voyez?

Très bien, maintenant, c’est comme un homme qui se tient à l’estrade en train d’utiliser le don divin. Comme c’est éprouvant, car l’homme lui-même est en train de faire opérer ce don-là. Il n’est pas conscient de ce don, cela, mais c’est lui qui fait opérer ce don-là lui-même.

E-26 Or, hier soir, je disais qu’un homme était à l’estrade (Frère Joseph m’a dit après qu’il m’a rencontré.), que cet homme était... je... Pour commencer, quand il est monté, je pensais qu’il était sourd-muet. J’ai dit: «Bonsoir, monsieur.» Quelque chose de ce genre. (Je ne peux pas répéter cela exactement. Je parle de ce qu’on m’a rapporté. Je n’ai point encore entendu la bande.) Et il a dit que l’homme est resté simplement là debout, et j’ai dit: «Eh bien, peut-être qu’il est sourd-muet.»

Et maintenant, observez la grâce souveraine. Voyez? C’est comme le fou à l’estrade. C’est comme le sorcier en Afrique qui se tient là avec les os entre les doigts pour vous lancer un défi. Voyez-vous? La grâce de Dieu s’en est alors emparée. Vous n’avez pas à vous inquiéter...?... Il n’y a pas de quoi se soucier. La grâce s’en occupe.

E-27 Dieu s’en empare au point où vous, vous ne le pouvez pas. Et alors, pendant que l’homme se tenait là, avant que je... J’ai dit: «Eh bien, peut-être qu’il est sourd-muet.» Et tout d’un coup, une vision est apparue devant moi [La sonnette d’une alarme retentit.–N.D.E.] Donc... Eh bien, excusez-moi pour cette alarme. Et c’était prendre... ça s’est fait par ici, ça a commencé. Alors, j’ai su que vous avez pris cela là-dessus. On m’a donné une montre là qui a une alarme, ce n’est donc pas pourtant le temps d’arrêter, j’espère. Donc, dans le... J’écouterais cela. Ne vous en faites pas.

Ainsi donc, l’homme était là debout, la vision, rapidement, peut-être que j’ai vu la Finlande ou quelque chose comme cela. Je ne me rappelle pas, mais maintenant, quoi que cela fût, on a dit que je lui avais dit qu’il était un Finlandais. Et il...?... [Frère Branham a imité le son qui avait été émis par un Finlandais.–N.D.E.] ou quelque chose de ce genre, qu’il était un Finlandais. Eh bien, Joseph ici a dit qu’il ne pouvait pas... que c’était pour lui extraordinaire, comment Il avait su la nationalité de cet homme. Dieu par Sa grâce a montré cela.

E-28 [Ci-dessous un dialogue entre frère Branham et frère Mattson Boze entre crochets.–N.D.E.]

[«Ce–c’était–c’était ceci, vous n’avez pas dit un mot à cet homme.»]

Oui, oui.

[«Ainsi donc, vous avez dit: ‘Je pensais que vous étiez sourd-muet’, avez-vous dit. Mais vous avez dit: ‘Non, vous n’êtes pas sourd-muet. Vous ne comprenez simplement pas l’anglais.’»]

C’est ça. C’était ça.

[«C’était ça.»]

C’était ça.

[«Et je–je n’arrivais pas à voir cela, comment vous ne compreniez pas ça.»]

Je ne le peux pas non plus, et je ne l’avais pas aperçu. Mais après, Il m’a dit qu’il avait, je pense, que c’était [«Le coeur»] une affection de foie ou quelque chose comme cela...

[«Oui, oui...»] [Quelqu’un d’autre dit: «Le coeur.»–N.D.E.]

Maladie du coeur... le coeur...

[«Vous lui avez dit qu’il était un Finlandais, qu’il était un prédicateur, qu’il souffrait du coeur.»]

Je me demande si par hasard cet homme serait dans la salle aujourd’hui, et si quelqu’un est assis à côté de lui, qui aurait assez de gentillesse... Si vous pouvez parler finlandais, voudriez-vous voir...

Si c’est vrai, voudriez-vous lever la main? Si cet homme est dans la salle aujourd’hui, le Finlandais qui était ici hier soir, qui était... de qui nous parlons, qui était à l’estrade. Je voulais donc... je voulais...

[«Je–je connaissais cet homme.»]

Oh! Vous connaissez l’homme.

[«Oui, je connais l’homme, je sais donc que c’était correct.»]

Oh! Je pensais peut-être qu’il était venu de Finlande pour qu’on prie pour lui ou quelque chose comme cela.

[«Il–il–il est ici, ça fait un–un ou deux ans, mais il n’était pas jeune quand il était arrivé, il n’a donc point appris l’anglais.»]

Oh! Est-ce–est-ce ça?

[«Il tient des réunions en finlandais là à Waukegan, dans l’Illinois.»]

Eh bien, c’est... je pense qu’il est retourné peut-être à la maison.

E-29 Eh bien, maintenant, quand Jésus était ici sur terre, et le... Il était le Porte-parole oint de Dieu. Croyez-vous cela? Il était le–le Fils unique engendré de Dieu, et Dieu était en Christ, sans mesure, réconciliant le monde avec Lui-même. Croyez-vous cela, vous les étudiants de la Bible? Il était Emmanuel. Il n’y a personne parmi nous qui peut donc atteindre ce niveau-là. Non, non. Il était le Saint Fils unique, né de la vierge, et nous ne le serons jamais. Et nous ne serons jamais à mesure de faire des choses que... comme cela, car Il était comme ça. Eh bien, maintenant, Il a promis que nous ferons aussi les oeuvres qu’Il a faites, car nous deviendrons des fils de Dieu adoptés par Lui. Est-ce vrai? Maintenant, ce n’est pas... c’est pour chacun de nous. Chaque croyant devient fils et fille de Dieu. Est-ce vrai?

E-30 Maintenant, quand la femme à la perte de sang toucha Son vêtement, c’était juste jeter un coup d’oeil à travers le trou. Voyez? Il a senti la vertu sortir de Lui. Il a connu–Il a connu qu’Il était devenu faible, mais Il ne savait pas ce qui était arrivé. Quelqu’un L’avait touché avec foi. Il a demandé qui c’était, tout le monde avait nié cela. Et alors, ce qui était arrivé après qu’Il a fait cela, eh bien, Il a promené le regard jusqu’à ce qu’Il eût repéré... Eh bien, il y a un... Comment l’avait-Il reconnue? C’est ça la question que j’aimerais vous poser. Comment l’avait-Il reconnue?

E-31 Maintenant, permettez-moi d’essayer avec, comme un frère explique cela, comment Il l’avait reconnue. En effet, quand quelqu’un a fait cela... Je peux dire à partir des réunions ici, à partir de la façon dont le Saint-Esprit opère, quand quelqu’un est béni, on dirait quelque chose tire sur vous, comme cela (Voyez?), et vous atteignez la personne. Et puis, juste au-dessus de la personne, vous voyez cela, c’est ce qui lui est arrivé, ce qui cloche chez lui; et puis, vous regardez, vous voyez que c’est la même personne. Il y a juste comme une–une avenue ou un canal qui fonctionne entre vous et la personne.

C’est ainsi que je pense... (Il n’a jamais expliqué cela.) C’est ainsi que je pense qu’Il avait su cela, car le Saint-Esprit opère de même ... C’est ainsi que ça se fait connaître.

E-32 C’est comme nous disons, parfois, vous dites: «La femme assise là en chapeau vert», ou quelque chose comme cela, «vous souffrez de telle ou telle chose. Vous venez de telle ville.» Vous écoutez cela. Voyez, on est juste en vision, on observe ce qui se passe; et puis, peut-être, vous la voyez se redresser et tout est clair autour d’elle et tout, eh bien, alors, vous dites: «Bien, elle est guérie. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Voyez? Le Seigneur, qui montre la vision, est juste... Votre foi en Lui m’utilise comme porte-parole pour vous dire ce que vous désirez qu’Il vous dise. Voyez-vous ce que je veux dire?

E-33 Maintenant, mais quand c’est de l’autre... Eh bien, ça, c’est juste une voie permissive par laquelle Dieu opère. Je dis ceci avec respect: «L’heure est proche, tout près, où je... après que je vous aurais dis la vision que le Seigneur m’a montrée, ceci finira par régresser, céder la place à quelque chose qui le dépasse de loin. C’est ce que j’aimerais aborder cet après-midi.

E-34 Eh bien, c’est la personne qui fait cela qui va–qui va... si elle croit cela, elle sera bénie et sera guérie. Eh bien, ce n’est pas qu’elle est guérie, mais sa foi a touché Dieu et elle a accepté sa guérison qui avait déjà été acquise pour elle il y a mille neuf cents ans. Voyez? Ce n’est pas que cela ait eu quoi que ce soit à faire avec sa guérison; c’était simplement un porte-parole pour parler.

E-35 Comment... Y a-t-il un passage quelconque dans la Bible... Nous ne sommes pas... Je ne me compare pas moi-même à un prophète. Absolument pas; non, je suis un pauvre pécheur sauvé par la grâce, mais le don que le Seigneur avait donné aux prophètes, ce qui faisait d’eux des prophètes, c’est qu’ils étaient des porte-paroles de Dieu. Ils avaient la Parole du Seigneur, et aucun prophète n’a jamais fait quoi que ce soit par son propre désir. Il le faisait, pour commencer, après que Dieu le lui eut dit. C’est vrai. Et c’est ainsi que le Fils de Dieu, quand Il est venu, Il était le Dieu des prophètes. Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre de faire.» C’est vrai. Cela venait uniquement par des puissances divines pour se révéler au travers de la chair, Christ était le Porte-parole de Dieu sur terre. Est-ce que tout le monde comprend cela?

E-36 Maintenant, par exemple, parfois je suis chez moi à la maison. (Gene, Léo, et les autres, je parlais de cela hier soir, on était assis ici; frère Beeler et beaucoup d’autres, et ceux qui me connaissent...) Chez moi, je parcours la maison sans penser à quoi que ce soit; peut-être que je suis assis dans une chambre, une vision apparaîtra. Peut-être que cela restera tranquille un bon petit moment. Cela dira... Il dira: «Maintenant, il va y avoir un coup de téléphone dans quelques instants et tu iras dans telle ville. Et quand tu arriveras dans cette ville-là, tu iras à tel endroit. Ça sera comme ceci. Tu entreras dans une pièce, tu déposeras ton chapeau, ou une dame déposera son chapeau sur le lit, mais ce n’est pas là qu’il est censé être déposé. Il est censé être déposé sur la table, une autre dame entrera de ce côté ici.» Tu verras tout cela se passer exactement tel que cela est censé se passer; et si je manque sur l’une de ces choses, cela n’arrivera pas. Ça doit être tout à fait au moment, au temps, tout, côté position, de même, car c’est une vision. Cela–cela doit se matérialiser parfaitement. Et alors, une fois, cela en place, ça doit arriver. Cela n’a jamais failli.

E-37 Eh bien, c’est alors que Dieu utilise Son don. Cela ne m’affaiblit pas. Cela ne me dérange pas. Eh bien, quand Jésus avait ressuscité Lazare de la tombe, c’était de loin plus un miracle par rapport à la femme qui avait touché Son vêtement et qui avait été guérie de la perte de sang. Acceptez-vous cela? Il n’a jamais dit un seul mot au sujet de s’affaiblir ou que la vertu était sortie de Lui, parce que c’était Dieu qui utilisait Son don. Voyez? C’est ce genre de visions. C’est ce genre de visions. Mais quand les gens utilisent le don de Dieu... et ce qui m’affaiblit et tout à l’estrade, c’est vous, vous-mêmes. C’est ce qui fait cela. C’est vous-mêmes qui faites le travail, vous faites opérer. C’est la raison pour laquelle ça tire. C’est soit vous qui utilisez le don, soit Dieu qui utilise Son don.
(38) Maintenant, à titre de comparaison, j’aimerais dire... Si vous me demandez: «Qu’est-ce qui se passe à l’intérieur?»

«Eh bien, il y a une–une girafe.»

«Quoi d’autre avez-vous vu?»

«Qu’est-ce? On est fatigué.» Voyez? Il y a quelque chose d’autre que vous voyez.

Mais maintenant, quand Dieu veut vous faire savoir ce qui se passe, et... Il vous soulève simplement, vous élève au-dessus de toute la chose et Il dit: «Voici tout le cirque. (Voyez?) Voici tout le tableau. Vous allez faire ceci, et faire ceci, et faire ceci, et cela», et Il vous fait redescendre. C’est Lui qui vous a élevé avec Ses bras éternels et Ses ailes, il n’y a rien au monde... Vous redescendez, et vous avez envie de crier victoire, mais c’est cela.

E-38 (39) Or, la plupart des gens pensent que quelqu’un qui a des visions devrait être divin. Non, monsieur, en aucun cas. Non, monsieur. Il n’y a personne de divin, en dehors de Dieu. C’est tout. Il n’y a qu’un seul. Il n’y a pas de différence entre nous tous. Nous sommes tous des pécheurs sauvés par la grâce. Il n’y a personne qui soit au-dessus de l’autre: seulement à l’un il a été donné quelque chose, et il aura à répondre de ce qu’il a fait avec le talent qui lui a été donné. C’est vrai. Chaque personne a à répondre de cela.

E-39 (40) Maintenant, je peux vous raconter une vision qui est arrivée tout récemment, afin que... Frère Joseph m’a demandé de faire cela, afin que les gens qui sont ici dans la salle qui, peut-être, n’ont pas eu le–le numéro de ce magazine, comprennent cela.

E-40 (41) Je faisais... Tout au début, quand j’étais devenu un–un serviteur du Seigneur pour prier pour Ses enfants malades... Vous connaissez l’histoire, comment Il m’avait dit que je suis né pour prier pour les malades. Eh bien, vous dites: «Oh! J’ai entendu cela souvent...?... des autres personnes.» C’est bien. Voyez? Cela... Ils peuvent... Je–je ne peux pas répondre de quelqu’un d’autre. Je dois répondre de moi-même, et vous devez répondre de vous-même.

Eh bien, c’est vrai. Et alors, quand Il m’a dit cela, j’ai su qu’il y avait... dans ce ministère il y aura beaucoup de choses à prendre en considération: l’argent, ça en est une. Eh bien, j’ai fait une promesse à Dieu que je ne prendrai pas l’argent des gens, et je Lui ai demandé... je ne voulais pas de l’argent des gens, mais je savais qu’on me donnerait beaucoup d’argent, et j’aurais à refuser cela. Je Lui ai donc dit que tant que Lui fera prospérer mes voies, alors, je n’aurai pas à mendier de l’argent, et je resterai sur le champ de travail tant qu’Il me fera prospérer. Mais dès qu’Il arrivera qu’Il me fera défaut au point que j’aurai à mendier ou à passer des heures ou tout ce qu’on fait pour prélever des offrandes (comme j’ai vu cela plus d’une fois dans ma propre église dénominationnelle, dont j’étais membre à l’époque), alors j’ai dit que je–que je quitterai le champ de travail.

E-41 (42) Il m’a béni pendant environ neuf ans, mais en Californie, c’est là... mon ministère paraissait commencer à connaître un déclin d’une façon ou d’une autre. Les courriers avaient baissé, on dirait que les gens ne s’intéressaient plus. Eh bien, j’ai dit: «Ô Dieu, tout cela est entre Tes mains.» Alors que d’habitude je recevais environ mille lettres par jour ou quelque chose comme cela, cela a baissé là, c’est arrivé à six cents, puis cinq cents, puis c’est descendu à quatre cents, trois cents; cent, soixante-quinze, ça a atteint un jour quelque chose comme soixante-quinze lettres par jour, peut-être.

Eh bien, je me suis dit: «Bon, je me demande ce qui est arrivé. Je ne sais pas, c’est comme si j’ai fait quelque chose. S’il me fait... pour les gens, eh bien, je suis–je suis désolé.» Evidemment, je me suis dit: «Eh bien, je n’ai pas... je ne vends pas d’articles, tout ce pour quoi les gens m’écrivent, c’est pour avoir des tissus sur lesquels on a prié, et nous ne les vendons pas. Nous les donnons aux gens; ainsi, eh bien, Seigneur, peut-être que Tu es sur le point de changer des choses.»

E-42 (43) Alors, je suis allé en Californie, j’ai eu environ–environ quinze mille dollars de dettes à la réunion. Et cette nuit-là, quand j’ai quitté, j’ai demandé à Billy de m’en parler; et les bien-aimés qui parrainaient cela avaient souscrit de payer cela et c’était très, très bien. Mais ce n’était pas là la promesse. J’avais promis à Dieu ce que je ferais. Et quand un bien-aimé frère m’a ramené à la maison cette nuit-là, à la petite cabane où je restais, je suis allé sur la montagne, seul, vers deux heures du matin, et nous devrions quitter vers quatre heures trente. Alors, j’ai prié. Et la lune brillait fort, je pouvais bien voir cela. C’était l’automne passé.

J’ai dit: «Père céleste, maintenant, je–je quitte le champ de travail. Je rentre chez moi, tout ce que Tu veux que je fasse désormais, révèle-le-moi simplement.»

E-43 (44) Et alors, je ne pouvais pas en parler à Billy et aux autres; je ne voulais pas leur en parler, je ne voulais pas en parler à ma femme, mais, oh! ai-je dit, je leur en parlerai une fois arrivés en Arizona. Eh bien, alors, j’ai dit: «Je vais attendre d’atteindre le grand et vieil Etat de Texas d’où est venue ma mère.» Je disais que je leur en parlerais là-bas; et puis, une fois arrivés là... je leur en ai parlé quand on est arrivé à Jeffersonville, dans l’Indiana.

Eh bien, Billy, il a dit: «Papa, tu ferais mieux de faire attention à ce que tu fais.» Il a dit: «La Bible ne dit-Elle pas: ‘Malheur à moi si je ne prêche pas l’Evangile?’»

J’ai dit: «Je n’ai jamais dit quoi que ce soit au sujet de prêcher l’Evangile, je veux dire le service d’évangélisation.» Et j’ai dit: «Regarde, Billy, ai-je dit, Dieu a des hommes partout sur le champ de travail. Il n’a pas besoin de moi là-bas. Je peux revenir reprendre mon travail et–et faire le pastorat, être pasteur du tabernacle ou quelque chose comme cela. Je peux descendre louer un ancien amphithéâtre là et avoir un rassemblement international un dimanche après-midi, une émission ou quelque chose comme cela.» J’ai dit: «Je ne peux pas arrêter du coup donc maintenant, à cause de mes dépenses qui s’élèvent à environ cent dollars le jour chez moi; alors, je–je ne le peux pas avec mon bureau et tout.» J’ai dit: «Je ne peux simplement pas arrêter cela, tout de suite, parce que je ne peux pas le faire.»

E-44 (45) Et alors ma femme a dit: «Billy, j’espère que tu sais de quoi tu parles.»

J’ai dit: «Eh bien, je–je–je sais une seule chose.»

Je suis une fois arrivé ici à une convention, pour une convention... et vous connaissez l’histoire. En effet, j’avais promis à mon petit ami suédois, ici, frère Boze, que je viendrai prêcher deux jours pour lui dans l’Eglise de Philadelphie après la convention; et on m’a dit que si je ne le faisais pas... si je le faisais, je ne pourrais pas être un prédicateur. Je pouvais faire mon choix. J’ai dit: «Je m’en tiendrai à ma parole.» Je suis allé chez frère Joseph, exact, parce que je devais encore faire cela.

Un homme qui ne tient pas sa parole ne vaut vraiment pas la peine. C’est ainsi que je reçois Dieu. Il donne la Parole, et je crois chaque Parole de Cela, et s’Il ne tient pas Cela, pour moi, ça ne serait pas Dieu. Je... Il doit tenir Sa Parole; je le crois. Et Il fera cela. Et je sais qu’Il le fera.

E-45 (46) Eh bien, alors, je... cette nuit-là, je suis allé au lit quand nous sommes rentrés à la maison. Ma femme pleurait; elle a dit: «Billy, je crains que tu commettes une erreur.» Elle disait: «Tu sais, j’aimerais que tu restes à la maison avec les enfants et moi, mais, a-t-elle dit, Bill, regarde ce qui a été fait. Cela a déclenché un réveil à travers le monde, et je n’arrive pas à voir comment Dieu te retirerait du champ de travail.»

Et j’ai dit: «Eh bien, je le Lui avais promis.»

Elle a dit: «Mais–mais–mais Il ne te l’a jamais dit.»

J’ai dit: «Mais je le Lui avais promis. Voyez? C’est ça. Je le Lui avais promis; je vais tenir ma parole vis-à-vis de Lui. Si je la tiens vis-à-vis de mon frère, je la tiendrai assurément vis-à-vis de mon Sauveur.

E-46 (47) Alors, je suis allé, j’ai dormi très bien toute la nuit. Et le matin suivant vers six heures, nous nous sommes réveillés, et–et je venais à peine de sortir du lit, elle était de l’autre côté. Je me frottais simplement le visage comme ceci; j’ai dit: «Eh bien, je vais appeler le service public aujourd’hui et demander si je peux reprendre mon ancien travail.» Et j’ai dit: «S’Il ne me donne pas mon travail, monsieur Wood est un entrepreneur; je vais simplement l’accompagner; lui et moi, nous irons et nous démolirons des immeubles ou quelque chose comme cela. Je dois travailler parce qu’il me faut travailler.» Et alors, j’ai dit: «Cet argent doit être payé, je suis endetté de quinze mille dollars.» J’ai dit: «Que puis-je alors faire? Je dois rembourser cela. Peu importe que les autres aient souscrit de le payer, je–je dois rembourser cela. C’est exact.»

Et alors, elle a dit: «Tu vas appeler monsieur–monsieur Barr ce matin?»

J’ai dit: «Oui, je vais l’appeler et lui demander si je peux reprendre mon travail, et il... si ce travail-là, quelqu’un l’exécute maintenant, et qu’on ne peut pas lui donner un meilleur travail, ai-je dit, alors, je vais simplement... j’accompagnerai frère Wood, et nous nous occuperons de la construction des maisons ou quelque chose comme cela. Je l’aiderai.» Alors, j’ai dit: «Si je quitte le champ de travail, certainement que cela va l’amener aussi à quitter, et il pourra reprendre son travail d’entrepreneur, et nous pourrons aller travailler.»

E-47 (48) Alors donc, elle a dit: «Eh bien, je–j’espère certainement que tu sais de quoi tu parles, Bill.»

Et j’ai dit: «Eh bien, je...» Alors, j’ai regardé, du plafond descendait, venait... Oh! Je... peut-être qu’ils... Je pourrais ne pas m’attendre à ce que vous compreniez cela, mais quelque chose que... quand nous nous rencontrerons face à face avec Jésus, vous... on saura alors.

Quelque chose est apparu là. J’ai vu deux petits enfants au visage sombre descendre, en tirant un petit wagon; j’ai dit: «Chérie, regarde-les passer ici.» Et j’étais alors déjà parti.

Et elle a dit: «De quoi parles-tu?»

Je pouvais l’entendre, mais je ne pouvais pas lui répondre. Alors ces petits enfants se dirigeaient vers moi, petits, avec des cheveux longs on dirait, des yeux noirs, le visage brun, se dirigeant vers moi. Et je–j’ai alors vu ... Je commençais à dépasser les enfants, et j’ai vu monsieur Arganbright, mon frère, il m’a accompagné outre-mer plusieurs fois, je l’ai vu se tenir là, me regardant. Je me suis avancé vers lui. Eh bien, je pouvais toujours entendre ma femme marcher dans la chambre. Je le dirais comme ceci afin que vous le compreniez. Cela peut ne pas être les paroles exactes, mais afin que vous compreniez. Cette dimension dans laquelle j’étais, je suis alors entré dans une autre dimension. Je ne pouvais plus l’entendre marcher. C’était fini.

E-48 (49) Et j’ai vu monsieur Arganbright, il était... ses petites manières particulières, la manière dont il se tient la tête et sourit gentiment en me regardant, il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, nous avons distribué des cartes partout, et nous avons frayé une voie pour que vous entriez et sortiez, et tout est prêt.»

J’ai dit: «D’accord, Frère Arganbright; par où vais-je passer?»

Il a dit: «Continue simplement.»

J’ai continué, j’ai dépassé quelques ministres. Et puis, j’ai parcouru une petite distance, et je suis arrivé dans un grand panorama, toutes sortes de, on dirait, des milliers de gens assis. Et tout d’un coup, j’ai entendu quelqu’un dire: «On a congédié l’assistance.»

«Eh bien, ai-je dit, qui l’a congédiée? Comment est-on arrivé à la congédier?» Et cela m’a écoeuré, j’ai dit: «Pourquoi l’a-t-on congédiée? Que s’est-il passé?»

Et il pleuvinait, Quelque Chose m’a dit: «A ceci tu reconnaîtras.»

E-49 (50) Et alors, j’ai dit: «Eh bien, je ne...» Alors, je suis allé plus loin dans la vision; et alors, je me tenais avec un, vous savez, un soulier d’un petit enfant d’environ un an, vous savez, avec de petits oeillets. Ce n’est pas un chausson, mais un–un soulier. Et j’avais un lacet en main, je cherchais à lacer ce petit trou d’un huitième de pouce, faire passer le lacet dans cet oeillet d’environ un demi- pouce, travaillant avec ferveur, essayant de faire passer ce lacet d’un demi-pouce par un oeillet d’un huitième de pouce. Et j’ai défait les fils du lacet pendant que j’essayais de faire passer cela comme cela, et ça ne marchait simplement pas. Et le lacet était tout défait jusqu’au bout.

Alors, juste à ce moment-là, j’ai entendu quelqu’un dire derrière moi: «Ne comprends-tu pas que tu ne peux pas enseigner des choses surnaturelles aux enfants?» Je me suis retourné, et c’était derrière moi. J’ai reconnu cette Voix là. Il a dit: «Tu utilises le mauvais bout du lacet.» J’ai regardé en bas au bout de ce lacet qui était là par terre, il y avait un grand tas de fils, c’était entrelacé à un bon huitième de pouce, cela pouvait donc passer par le trou. J’ai dit: «Je comprends.» Et quand j’ai tendu la main pour prendre le lacet, j’ai été encore emporté.

E-50 (51) Maintenant, notez ceci. Voyez ceci s’accomplir. Voyez? Et quand je–quand je tendais la main, j’ai été encore emporté. Alors, quand je suis revenu, j’étais au bord d’un beau lac, quelque chose comme votre lac ici en été, quand il fait très beau et que c’est vert. Et là, il y avait des pêcheurs autour du lac, ils pêchaient. Mais ils attrapaient de petits poissons.

Et j’ai regardé dans le lac, il y avait cette grosse belle truie aux couleurs d’arc-en-ciel là, et j’ai dit: «Je sais que ceci est une vision. Mais je n’arrive pas à comprendre cette truie-là.» Mais j’ai dit: «Vous savez, je crois du fond de mon coeur, je peux les attraper.» Alors, j’ai pris le lacet, au lieu que ça soit un lacet, c’était une canne de pêche; et juste à ce moment-là, Celui qui était derrière moi a dit: «Maintenant, Je vais t’enseigner comment pêcher, comment attraper ces poissons-là.»

E-51 (52) Et alors, Il a pris... Il a dit: «Attache l’appât», et j’ai attaché l’appât dessus. Il a dit: «Maintenant, jette cela (Maintenant, écoutez attentivement), là dans la profondeur.»

Et Il a dit: «Quand tu l’auras fait, eh bien, laisse l’appât descendre d’abord, et puis, a-t-Il dit, tire cela lentement.» Eh bien, c’est effectivement la technique des pêcheurs.

Alors, je–je... Il a dit: «Alors, quand tu l’auras fait, eh bien, tu y sentiras quelques petites touches... à cela, mais ne dis à personne ce que tu fais. Garde ça pour toi-même.» Et Il a dit: «Alors, quand tu–quand tu sentiras cela mordre encore, a-t-Il dit, tire juste un peu, un tout petit peu, mais pas trop fort.» Il a dit: «Et alors, cela éloignera les petits poissons, et quand ils se disperseront, cela attirera l’attention du grand poisson, et il mordra ça.» Et Il a dit: «C’est ainsi que tu attraperas cela.» Il a dit: «Alors, quand il aura mordu pour la troisième fois, ajuste bien ton hameçon pour le–pour l’attraper.»

Et j’ai dit: «Je comprends.»

Il a dit: «Mais tiens-toi tranquille. N’en parle à personne. Tiens-toi tranquille.»

Et j’ai dit: «Très bien.»

E-52 (53) J’avais l’appât en main, tous ces pêcheurs étaient devenus des prédicateurs, ils sont tous venus autour et ont demandé: «Frère Branham, je sais que tu peux attraper le poisson.» Oh! Evidemment, cela m’avait beaucoup réjoui; j’ai dit: «Oh! Oui, je suis un pêcheur; je peux attraper le poisson.» Et il a dit... J’ai dit: «Maintenant, voici comment on s’y prend.» J’ai dit: «Tu jettes cela loin», et je suis allé loin dans les–les eaux profondes, et j’ai dit: «Eh bien, ces petits poissons sont bien, frères, mais nous voulons aussi de gros poissons.» Et j’étais... j’ai dit: «Voyez, quand cela descend... Eh bien, voyez, ça y est; juste là où ça devrait être. Eh bien, voyez, il y a... Voyez, cela... il y a ces petits poissons.» J’ai dit: «Eh bien, quand cela s’est étiré de nouveau, je vais lui donner une très forte secousse.» Et alors, j’ai fait sortir tout l’appât de l’eau. Et quand j’ai fait cela, j’ai attrapé un poisson. Mais je me suis demandé comment il avait donc avalé l’appât dans la bouche, car il était si mince qu’il collait à l’appât, c’était à peu près la même taille que l’appât.

Et je me suis dit: «Oh! la la!»

E-53 (54) Et à ce moment-là, Celui qui parlait derrière moi est passé devant moi. C’était Lui, l’Ange de l’Eternel. Il avait les mains croisées. Il m’a regardé, Il a dit: «C’est juste ce que Je t’ai dit de ne pas faire.»

Et j’ai dit: «Oui, c’est vrai.»

Il a dit: «Tu vois, ce premier pull, c’était quand tu posais tes mains sur les gens et que tu leur disais ce qu’étaient leurs maladies.» Il a dit: «Le deuxième pull, c’était quand tu connaissais les secrets du coeur comme Je te les disais.» Il a dit: «Au lieu de garder cela pour toi-même, tu as cherché à expliquer tout cela et à en parler aux gens, et alors, a-t-Il dit, tu ne savais rien à ce sujet toi-même, et comment pouvais-tu l’expliquer? Et tu as causé un immense tas d’imitations char–charnelles, et tu vois ce que tu as fait.» Et j’ai dit: «Seigneur, je suis désolé.» Et je–j’ai dit: «Oh! Je–je suis vraiment désolé. Je ne sais quoi faire.»

E-54 (55) Et je tirais la ligne comme ceci, j’essayais de redresser la ligne, Il m’a regardé; Il a dit: «Maintenant, n’emmêle pas ta ligne en pareil temps.»

Et je me suis dit: «Peut-être qu’Il m’accordera une autre occasion.» Et j’étais... j’ai dit: «Je ferai certainement attention», et j’étais en train d’enrouler ma ligne, j’ai vu cela se redresser correctement; et alors, quand Il a dit cela, alors je me suis senti moi-même monter plus haut, très haut. Et quand j’ai été déposé par terre, j’étais là derrière, je me tenais là-haut dans une grande tente; je n’avais jamais vu une telle tente. Et je faisais un appel à l’autel, on dirait, là à l’autel, et quand j’étais là, j’ai regardé, il y avait des centaines de gens à l’autel en train de pleurer; en effet, ils avaient accepté le Seigneur Jésus. Ils pleuraient donc à haute voix. Et j’ai dit: «Oh! C’est plus que comme cela», comme ceci.

E-55 (56) Et un véritable gentleman s’est avancé à l’estrade, il a dit: «Pendant que frère Branham se repose juste quelques instants, a-t-il dit, nous allons former la ligne de prière.» Il a dit: «Que tous ceux qui ont des cartes commençant par tel numéro, se tiennent à droite.»

Eh bien, j’ai observé la ligne de prière, on dirait que ça contournait la tente dehors et ça allait dans la rue, une longue ligne de prière.

Alors, j’ai regardé (C’était donc à ma gauche, et cela passait vers ma droite si je me tenais à l’estrade, ça serait de ce côté-là), il y avait une toile étendue là, et là de–derrière cette toile il y avait une petite construction carrée d’environ douze pieds [3,65 m] de large et douze pieds [3,65 m] de long, quelque chose comme cela. Eh bien, je me tenais là, regardant cela.

E-56 (57) Je les ai vus amener une dame sur un brancard, il y avait une dame qui prélevait le nom et autres sur un–sur un–sur–un papier. Et alors, il y avait un... quelqu’un qui est arrivé, il l’a prise, il l’a poussée là. Et l’homme suivant est passé, il était sur des béquilles. Je l’ai vu passer par cette petite construction, et la femme est sortie en criant à tue-tête, repoussant ce brancard. Et le... et alors, il y avait une autre dame de l’autre côté, on dirait une femme aux cheveux noirs, elle a dit: «Que s’est-il passé?»

Elle a dit: «Je ne sais simplement pas.» Elle a dit: «Je ne peux pas vous dire ce qui est arrivé.» Elle a dit: «J’étais paralysée vingt ans durant, et regardez, je–j’ai l’impression de n’avoir jamais été malade.»

Et à ce moment-là, un homme est apparu, sautillant avec ses–avec ses béquilles en main. Et je–j’ai regardé cela.

E-57 (58) Et à ce moment-là... Eh bien, voici quelque chose. Suivez attentivement. Il y a une différence entre l’Ange du Seigneur et la Lumière, car j’ai entendu quelque chose se mouvoir, comme ça se passe quand Il vient ici à l’estrade la nuit, comme un... [Frère Branham produit un son: Whoouush.–N.D.E.] et comme du feu tournoyant... des langues de feu. Et cela m’a quitté, c’est allé droit au-dessus de cette assistance, c’est parti et ça s’est tenu au-dessus de cette petite construction, Et alors, ça s’est posé au-dessus de cela. Et alors, Celui qui était à côté de moi, derrière moi, la même Voix, la Voix de l’Ange, Il a dit: «Je te rencontrerai là, et ça sera le troisième pull, mais personne ne saura rien à ce sujet.»

J’ai dit: «Eh bien, je ne comprends pas pourquoi là-dedans. Pourquoi là?»

Il a dit: «Ça ne sera pas une démonstration publique cette fois-ci.»

Et j’ai dit: «Je ne comprends pas le fait d’entrer dans cette pièce, comme cela.»

Et Il a dit: «N’est-il pas écrit que notre Seigneur a dit: ‘Quand tu pries, ne sois pas comme des hypocrites qui aiment être entendus devant les hommes, mais entre dans le lieu secret et prie le Père qui voit dans le secret, et Lui qui voit dans le secret te le rendra?’» C’est parfaitement scripturaire; et cela l’est chaque fois.

Et j’ai dit: «Je comprends.»

Alors, Il m’a amené à cet endroit-là et m’a fait asseoir dans cette pièce où j’étais, et puis Il m’a dit ce que je dois faire pour la troisième fois. Maintenant, amis chrétiens, cela va... quand j’aurai quitté cette terre, cela restera toujours dans mon sein. Quand je... Mais notez mes paroles, ce qui aura lieu quand ce...

E-58 (59) Cela s’est passé il y a cinq mois (six mois maintenant), et nous n’avions aucune idée d’aller donc à–à... là à Mexico. Mais je me proposais d’aller à Phoenix. Et notre cher ami et frère qui prie pour les malades, monsieur Allen, il y est allé, il a dit «Non, je vais rester ici, je ne vais donc pas quitter pendant cette partie du mois...»

Eh bien, je ne voulais alors pas y aller pendant que mon frère y était. Je ne voulais simplement pas faire cela. Je ne connais donc pas frère Allen, mais cependant, il était là dans l’oeuvre du Seigneur, alors je... Ils ont dit: «Non, il va rester.»

E-59 (60) J’ai dit: «Eh bien, les frères m’ont appelé, la–l’association là, le groupe des prédicateurs», j’étais censé prendre la place de frère Roberts pendant qu’il était parti en Australie. J’ai dit: «Eh bien, c’est en ordre si on a quelqu’un là, frère Allen, priant pour les malades.» Je n’irai pas. Ça ne serait pas fraternel. Alors, j’ai dit: «C’est en ordre.»

Et frère Arganbright m’a appelé quelques jours après et a dit: «Frère Branham, j’ai parlé au... à frère Moore. Pourquoi ne pas aller à Mexico?»

J’ai dit: «Oh! Baron Von Blomberg et tous les autres ont essayé de m’amener à Mexico. Ça m’importe peu d’y aller.» J’ai dit: «Tenons une réunion quelque part en Amérique.» Et j’ai dit que je voulais dresser cette tente là pour la première fois.

Et il a dit: «Eh bien, pourquoi ne pas aller à Mexico?»

J’ai dit: «Eh bien, c’est en ordre, je vais... Voyez cela.»

E-60 (61) Il y eut alors un autre homme là-bas qui a rappelé, disant: «Toutes les réunions sont programmées pour ces mêmes dates.» Il a dit: «Nous les tiendrons dans un immense auditorium là-bas.»

Et ce soir-là, j’étais chez monsieur Wood et je me suis dit: «Vous savez, c’est vrai. Les petits enfants au visage sombre, semblable aux Indiens, c’est ça la vision.» Et puis, j’ai dit: «Mais la chose étrange, cela était censé être dans un panorama, quelque chose au sujet de congédier.» Alors, quand nous...

Deux–deux jours plus tard, monsieur Arganbright a téléphoné et a dit: «Frère Branham, nous avons eu une grande arène de taureaux, et le gouvernement mexicain vous fait venir pour la première fois dans l’histoire du Mexique, qu’un non catholique ait jamais été reçu par le gouvernement.»

Alors, j’ai dit: «C’est merveilleux.» J’ai donc dit: «Eh bien, quelque chose est sur le point d’arriver.»

Mais j’ai dit: «Des ennuis nous attendent.»

Et vous savez, quand nous sommes arrivés à Mexico, nous nous sommes apprêtés, et nous sommes allés à l’arène des taureaux, quelqu’un... il pleuvait sur la route vers là, quelqu’un avait congédié ces réunions-là, et on ne sait pas qui avait donc fait cela. C’est vrai. C’est tout à fait vrai.

E-61 (62) Alors, je suis revenu à la maison, j’ai pris un avion retour le deuxième jour. Nous ne pouvions même pas... Frère Moore a dit: «Frère Branham, je vais–je vais me renseigner, nous ne pouvions même pas trouver un ministre, nulle part.» Et personne ne savait rien à ce sujet. Et frère Moore a dit: «Si je... Frère Branham, si jamais je ne vous avais cru depuis que je vous ai suivi, jusqu’à présent, je vous crois cette fois-ci à coup sûr.»

Et j’ai dit: «C’est vrai.»

E-62 (63) Nous sommes donc revenus, et alors, j’ai appris que monsieur Arganbright était en route pour me voir. J’étais allé prier dans ma caverne et demander au Seigneur ce que... Il m’avait montré une autre vision. Il a dit: «Le poisson mort (Voyez?) était étendu par terre», et Il m’a dit ce que c’était. Il a dit: «Rentre, mais ça ne sera pas en fait le moment, mais Je bénirai cela.»

Je suis retourné là quelque part et il y avait environ quarante, cinquante mille personnes qui étaient venues à Christ. Un enfant mort a été ressuscité d’entre les morts, de grandes oeuvres ont été accomplies.

Maintenant, j’attends depuis une heure. Vous pouvez vous imaginer combien insignifiant cela peut paraître maintenant que ces choses se passent, de grandes choses qui se sont déjà accomplies.

E-63 (64) L’autre soir, moi, sans savoir... combien ont été à l’Eglise Philadelphie et m’ont entendu dire à une certaine personne: «Maudite soit la personne qui lèvera les yeux pendant que je prie pour cette femme aveugle»? C’est ce que je faisais. Voyez?

Le Seigneur est sur le point de visiter Son peuple avec quelque chose de grandiose, de merveilleux, amis. Et je pourrais... ça doit rester un secret dans mon propre coeur; mais comme vous me connaissez, et vous me croyez, vous m’aimez, vous me respectez en tant que serviteur de Dieu, souvenez-vous donc, je vous le dis: une bénédiction est en route. C’est vrai. Ça vient. Et il n’y aura plus d’affaiblissement; cela ne m’affaiblira plus jamais; ça sera de loin plus que tout ce qui soit jamais arrivé ici ou n’importe quand. C’est juste quelque chose que le Seigneur a donné. Et j’aimerais... cela fera de moi un–un croyant par la grâce après que je l’aurai fait, et des choses que j’ai déjà faites, la manière dont j’avais agi et j’ai été condamné devant Dieu, et pourtant, quand Dieu dit quelque chose et que cela fait un... Il va de toute façon le faire. Amen.

E-64 (65) Moïse a une fois tué un homme, mais Dieu était déterminé. Il l’a gardé là derrière, derrière le désert pendant quarante ans. Mais Il a amené Israël vers la Terre promise. N’est-Il pas merveilleux?

Il est le même Dieu aujourd’hui qu’Il était autrefois. Et, amis, je vous dis ceci, chacun de vous croyants chrétiens, sans tenir compte de l’église que vous fréquentez... Là dans les studios, l’autre jour, il y avait un homme à qui je parlais, un homme très bien, et sa femme (là où frère Boze et moi, nous faisions des enregistrements pour une émission) et il me serrait la main et me parlait, et j’ai dit... Il–il aimait beaucoup frère Joseph. Et j’ai dit: «Etes–êtes-vous... Fréquentez-vous son église?»

Et il a dit: «Non, je suis méthodiste.»

J’ai dit: «Eh bien, vous pouvez en être excusé.» Et alors, je le taquinais comme cela. Et j’ai dit: «Je vous taquinais simplement.» J’ai dit: «Regardez, frère, j’ai autrefois monté le cheval, mon père était un cavalier.» J’ai dit: «Là dans la foret Arapaho, nous faisions paître le bétail, ai-je dit, on... il n’y avait que le Hereford pur-sang qui pouvait entrer dans ces pâturages-là. Et le... Absolument, le garde forestier se tient à une clôture démontable et ne laisse passer que l’authentique Hereford enregistré.» Et j’ai dit: «Certains y entrent, portant la marque Lazy J, d’autres, le Bar W, d’autres, un Cercle R, d’autres portant la marque Tripod; ils portaient différentes marques, mais c’étaient tous des Hereford pur-sang.» C’est vrai.

E-65 (66) C’est ce qui se passe. Nous pouvons être méthodistes, baptistes, ceci ou cela, ou autre, mais tant que vous êtes un chrétien authentique par la puissance du Saint-Esprit, c’est tout ce qui peut entrer dans le pâturage, dans la bergerie. Car nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul corps, nous sommes devenus un seul peuple, une seule église, avec une seule conception, un seul motif: glorifier Jésus-Christ pendant que nous sommes ici sur terre. Un seul Ciel, est-ce vrai? Et nous en sommes très reconnaissants.

E-66 (67) Maintenant, j’ai dépassé mon temps de vous parler; en effet, vous devez vous dépêcher pour rentrer d’ici peu. Mais combien apprécient un entretien coeur à coeur? C’est comme si–vous–vous comprenez cela. On peut parler des heures et des heures. Et maintenant, c’est... Dire: «Frère Branham, pouvez-vous m’expliquer cela?»

Je ne le peux pas; j’aurais bien voulu pouvoir le faire, mais je ne le peux pas. C’est impossible. Vous ne pouvez pas expliquer les choses surnaturelles. Et quand vous essayez de le faire, c’est juste comme Il m’a dit, vous suscitez des imitations charnelles. Voyez, c’est ce que vous faites. C’est juste réel, cela se fera, et c’est un–c’est un obstacle pour le Corps de Christ. Savez-vous ce que je veux dire? Cela–cela–cela suscite un conflit.

E-67 (68) Eh bien, la chose à faire, c’est être sincère dans votre coeur; aimez le Seigneur de tout votre coeur, et soyez simplement reconnaissant de ce que Dieu marche avec nous: le Seigneur Jésus-Christ ressuscité.

Et je dis ceci et je fais une prédiction. Je ne le dis donc pas au Nom du Seigneur. Je le dis en tant que votre frère. Je prédis ceci. (Ecoutez attentivement.) Je prédis que cette année les Etats-Unis d’Amérique, cette année, soit ils recevront Christ, soit ils vont commencer à tomber. A partir de cette année. Oui.

C’est maintenant le temps pour l’Amérique de se repentir, et si cela ne... j’ai prédit cela, je pense, vers le quinze ou le seize janvier de cette année, je m’étais simplement conduit à le dire, et c’est... Cela m’est resté accroché, et je vois les roues tourner.

E-68 (69) Je vois le très célèbre évangéliste Billy Graham; il est revenu d’outre-mer, et il a organisé ses réunions à New York et dans ces grandes villes, pour atteindre les centres névralgiques mêmes et autres. Je vois que frère Roberts a été chassé de l’étranger.

Monsieur Arganbright voulait qu’après juin, moi et les autres allions en Allemagne, qu’on retourne en Afrique du Sud, et partout là, mais quelque chose me retient en Amérique. Ça semble être pareil pour tous les autres, pour eux, et je crois que l’Amérique va recevoir son dernier appel cette année-ci. C’est vrai. Je n’oserai pas être... Regardez les bandes ici en bas. On peut les jouer dans vingt ans.

E-69 (70) Voyez, on doit faire attention à ce dont on parle, faire attention à ce qu’on dit, mais je crois cela. Maintenant, ce n’est pas le Seigneur qui me l’a dit, mais je crois cela, que l’Amérique va soit recevoir Christ, soit Le rejeter carrément cette année-ci, et je prédis qu’ils Le rejetteront. Je le prédis.

E-70 (71) Regardez ce qu’ils font là en Floride à Jack Coe. Regardez ce qu’ils font partout. Comment peuvent-ils donc... c’est même inconstitutionnel de chasser un homme d’un Etat. Nous avons la liberté d’expression; certainement. Mais pour commencer, vous savez, ils essayeront d’arrêter tout ceci. Le... Ils essayeront d’arrêter la prière pour les malades, ils interdiront cela. Et rappelez-vous donc, quand la persécution commencera, l’église atteindra alors son apogée. Elle sera en sa meilleure forme. Oui, oui, et Dieu fait concourir tout cela. [Une personne interrompt en louant Dieu.–N.D.E.]

E-71 (72) Gloire à Dieu qui nous donne la victoire. [Beaucoup parlent en langues dans l’assistance.–N.D.E] Cherchez donc l’interprétation; voyez ce qu’Il nous a dit. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... ce soir... il y a une interprétation qui suit cela. Maintenant, que tout le monde reste respectueux. Et la dame qui a parlé, qui que ce soit... écoutez très attentivement, et que ceux qui savent donc...?... [L’interprétation est donnée.–N.D.E.]

Maintenant, avec vos têtes inclinées... vous avez suivi cette interprétation. Combien ici aimeraient recevoir Christ comme leur Sauveur personnel, aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière? Qu’ils lèvent la main très haut maintenant même, très haut, afin que nous voyions qui vous êtes; très haut.

E-72 (73) Pouvons-nous avoir un petit accord à l’orgue, s’il vous plaît, pendant quelques instants? Pendant que vous avez vos têtes inclinées maintenant et que vous croyez de tout votre coeur; pendant que cette voix a dit que ceci était la vérité, si jamais vous devez venir, venez maintenant.

E-73 (74) Notre Père céleste, nous prions qu’au Nom de Jésus-Christ, alors que Ton Esprit est en train de se mouvoir dans cette salle maintenant, et que la voix a proclamé que c’était le temps, que c’est maintenant l’heure, je prie, Père céleste, voyant toutes ces mains qui ont été levées, quelques-unes, peut-être trente mains ou plus qui ont été levées en l’air maintenant même pour recevoir Christ comme leur Sauveur personnel, ayant entendu le message, sachant que nous sommes au temps de la fin... et ces feux du réveil sur chaque colline, Dieu a promis que dans les derniers jours Il susciterait ces choses pour prouver qu’Il est Dieu et qu’Il est au milieu de nous, accomplissant ce qui est juste, accomplissant de grands signes et de grands prodiges parmi les gens, que les aveugles verraient, les sourds entendraient, que de grands ministères surnaturels seraient suscités. Et aujourd’hui, Seigneur, nous vivons pour voir cela; je prie, Père céleste, que tous ces pauvres enfants bien-aimés qui ont levé la main maintenant même, qui voulaient Te recevoir comme leur Sauveur personnel, que Tu les sauves du péché. Accorde-le, Seigneur.

E-74 (75) Et je prie aussi, pendant que nous sommes dans ce grand mouvement maintenant même, que le Saint-Esprit remplisse chaque coeur de nouveau. Allume un nouveau feu, Seigneur, dans leurs âmes. Qu’ils sortent avec zèle après avoir entendu, aussitôt que cette Parole avait été proclamée, que notre nation bien-aimée rejetterait l’offre.

Ô Dieu, de grands royaumes doivent tomber. Tout ce qui est mortel doit céder à l’immortalité. Ô Dieu, alors que nous voyons ceci, nous nous sommes tenus là sur les anciennes ruines de Rome, nous voyons là où autrefois il y avait cette grande–grande monarchie, comme le lieu florissant du monde, le lieu le plus brillant du monde. Aujourd’hui, on creuse à vingt pieds [6 m] sous terre pour retrouver les ruines de ce grand empire. Là où autrefois se trouvait le temple est érigée la mosquée d’Omar. Beaucoup de grands rois, de grandes nations, Alexandre le grand, la Grèce, beaucoup d’autres pays, oh! que des royaumes sont tombés!

E-75 (76) Ô Dieu, nous voyons le fondement de notre nation s’écrouler parce qu’on a rejeté l’Evangile. Alors que de grands hommes ont parcouru ce pays-ci, passant au peigne fin chaque ville, les messages de l’Evangile ont été proclamés, l’Esprit comme celui de Jean-Baptiste, qui n’accomplit pas de miracles ou ne dit rien au sujet des miracles, mais il a parcouru le pays, ensuite la puissance de Jésus qui opère des miracles a suivi Cela comme cela avait suivi Jean. Et cette nation a toujours des whiskies, des tabacs, des boîtes de nuit, le péché entassé de tout côté, notre grande civilisation s’écroule, s’écroule. Et tout doit céder. Tous ces royaumes doivent tomber afin que le Royaume de Dieu apparaisse, dans son éclat, et que le glorieux Millénium commence.

E-76 (77) J’a vu un vieil arbre qui, autrefois, il y a quelques années, quand j’étais un petit garçon, était là avec de très grandes branches imposantes... je pensais que cet arbre resterait là des centaines d’années, et aujourd’hui, c’est une souche, on sait que tout ce qui est mortel doit céder...

Moi aussi, Seigneur, je me suis vu jeune homme, je me vois maintenant céder, je traverse le sommet de la frontière là pour voir le coucher du soleil. Aujourd’hui, beaucoup de têtes grisonnantes sont inclinées dans cette salle, alors qu’autrefois, c’étaient des jeunes gens beaux et forts. Beaucoup de femmes ont des visages inclinés, avec des rides, avec des larmes coulant maintenant dans le fossé de ces rides sur leurs visages, alors qu’autrefois c’étaient de belles jeunes femmes aimables.

E-77 (78) Ô Dieu, toute chair est comme l’herbe. La fin est proche... Ô Christ de Dieu, reçois ces pauvres gens dans Ton Royaume. Un jour, je dois me tenir là au–au Trône de Dieu et rendre compte de mon ministère, rendre compte de ces choses que Tu m’as permis de faire, Seigneur, parmi les gens, pour manifester la résurrection du Seigneur Jésus. Ô Dieu, je dois en répondre. Ô Dieu, attise le zèle de mon coeur de plus en plus, et de la sagesse afin que je sache comment conduire les gens vers le Seigneur Jésus.

E-78 (79) Et aujourd’hui, Père, Tu as promis dans Ta Sainte Parole: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

Beaucoup de mains par ici ont été levées, Seigneur, beaucoup de pauvres gens perdus, beaucoup de rétrogrades et d’égarés. Ô Dieu, accorde qu’en cette minute même le Saint-Esprit témoigne que ces choses sont vraies, que nous sommes au temps de la fin, et que les gens sachent qu’un jour, ils doivent passer. Qu’ils reçoivent Christ maintenant même.

E-79 (80) Pendant que nous avons nos têtes inclinées, y a-t-il quelqu’un ici présent maintenant, qui n’a point levé la main au premier appel? Voudriez-vous lever la main maintenant pour dire: «Je veux recevoir Christ en ce moment même comme mon Sauveur»? Voudriez-vous le faire? Quelqu’un d’autre qui jamais... Avez-vous remarqué comment le feu a frappé la salle quand cette Parole a été proclamée? Voyez? Je crois, ami... Que Dieu vous bénisse, mon jeune ami, jeune homme avec la main levée. Ô Dieu, accorde cela. Mon frère, vous avez la Vie Eternelle en croyant au Seigneur Jésus.

Je me demande si quelque part au balcon ... si nous voyons que Dieu a promis ces choses... Nous sommes ici pour voir cela s’accomplir. Nous savons que Dieu a promis cela; et tout ce que Dieu promet, Dieu est tenu de l’accomplir.

Y aurait-il quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, madame; je vois votre main. Y aurait-il quelqu’un d’autre qui lève la main? Que Dieu vous bénisse, madame, je vois votre main. Que Dieu vous bénisse, jeune dame; je vois votre main. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, madame; je vois votre main.

E-80 (81) Quelqu’un au balcon, j’aimerais voir quelqu’un là-haut au balcon, qui n’est pas un chrétien, qui aimerait dire... Que Dieu vous bénisse. Je savais bien que vous étiez là, fils. Quelqu’un donc, car le Saint-Esprit semblait me conduire au balcon. Je ne sais pas pourquoi. Je ne suis pas un fanatique; si je le suis, je ne veux pas l’être. Mais il semblait y avoir quelqu’un au balcon. Que Dieu vous bénisse, fils. Puissiez-vous, si c’est votre femme là à côté de vous, puissiez-vous servir le Seigneur Jésus de tout votre coeur. Que cela change votre vie, votre foyer; ça le fera. Puissiez-vous devenir Son serviteur.

E-81 (82) Y a-t-il quelqu’un d’autre, juste avant que nous terminions maintenant, avant que je remette le service à frère Boze? Les jeunes gens devront venir d’ici quelques minutes pour se mettre à distribuer des cartes de prière. Voudriez-vous juste encore une fois lever la main quelque part dans la salle (Frère Joseph...), veuillez simplement lever la main. Juste un instant, j’aimerais prier encore pour vous. Oui, que Dieu vous bénisse; je vous vois là en bas. Merci, gentil monsieur. Que Dieu vous bénisse vous, là, jeune homme; c’est très bien.

E-82 (83) Maintenant, ceci peut sembler un peu étrange à certains parmi vous, comment une seule Parole peut briser quelque chose comme cela, et le feu se répandre. Voyez, c’est parce que c’est la vérité et la–la clé de voûte du message (Vous voyez?), que nous sommes au temps de la fin. Que Dieu vous bénisse, monsieur; je vois votre main. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Je vais vous dire, amis, il y en a beaucoup qui sont assis ici, je crois, qui subiront une horrible persécution à cause de leur foi avant qu’elle soit scellée.

Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre qui lève la main? Que Dieu vous bénisse là au fin fond. Je vois votre main, monsieur. Quelqu’un d’autre? Maintenant, que quelqu’un d’autre lève la main très vite pendant que nous attendons la prière pour être congédiés, veuillez lever la main. Que Dieu vous bénisse, fils; que Dieu vous bénisse, fils; que Dieu vous bénisse; que Dieu vous bénisse; je vois votre main là, l’homme là-haut. Oui, que Dieu vous bénisse, frère.

E-83 (84) Je vois... C’est merveilleux. Acceptez simplement Christ... vous... quand vous levez la main, Dieu écrit cela dans le Livre de Vie. A la minute même où vous croyez, vous passez de la mort à la Vie, quand vous levez la main. Comment avez-vous levé la main? «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement.» C’est ça. Dieu est ici en train d’attirer, vous levez les mains. L’Ange est en train d’écrire votre nom dans le Livre de la Vie; c’est réglé. Maintenant, vous allez recevoir le Saint-Esprit, si seulement vous croyez. Maintenant, avec nos têtes inclinées encore...

E-84 (85) Notre Père céleste, envoie Tes bénédictions, et je Te remercie, Père, pour ce grand groupe de gens qui vient de recevoir Christ. Et je Te remercie d’avoir confirmé Ton Message, Seigneur, en donnant cela, et d’avoir fait des choses que Tu as faites pour nous aujourd’hui. Ces gens seront heureux tous les jours de leur vie. Tu leur as donné la Vie Eternelle maintenant même, car ils ont cru au Seigneur Jésus. Et, Père, quand cet appel à l’autel se fera tout à l’heure pour qu’ils s’avancent ici et se tiennent personnellement à l’autel ou dans l’allée, et qu’ils Te prient et qu’ils rendent des actions de grâces pour leur salut, je prie que chaque main qui a été levée se tienne dans l’allée quelque part Te prie et rende des actions de grâces pour avoir été reçue dans... ou pour avoir été reçue dans Ton Royaume. Accorde-le, Seigneur. Que Tes bénédictions éternelles reposent sur eux.

Et avec nos têtes inclinées, frère Joseph continuera la prière.

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