Jehovah-Jiré

Date: 56-0429 | La durée est de: 1 heure et 40 minutes | La traduction: SHP
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Charlotte, NC, USA
E-1 Merci beaucoup. Vous pouvez vous asseoir. Je suis désolé d’avoir une voix si enrouée aujourd’hui. Mais ça fait quatre mois d’affilée qu’on est dans des réunions. Et maintenant, on dirait qu’on ne fait qu’aller d’une réunion à une autre. Je me demande si vous arrivez à m’entendre. M’entendez-vous très bien? M’entendez-vous là au balcon? Ça va.

Je suis... Je pense que mon zèle ronge ma sagesse. Et je prêche beaucoup, puis, je prie toutes les heures; et puis, autre chose, c’est que j’ai très facilement chaud et... lorsque je parle, et...

Comme je le disais hier soir concernant mes cheveux qui se coupent, ce n’est pas naturel. C’était un accident. C’est un coiffeur qui a causé cela. Il allait m’appliquer un produit aux cheveux pour enlever les pellicules. C’était fabriqué à base de l’acide carbonique. Donc, le produit est bon, mais il vous faut connaître celui qui vous l’administre. Une seule dose a tué mon père. Ainsi... Et un traitement m’avait beaucoup arrangé. Donc, juste savoir qui l’administre.

C’est ce que je pense du salut. J’aimerais savoir d’où ça vient. J’aimerais savoir, si quelqu’un en parle, s’il a l’expérience de ce dont il parle. C’est ce qui rend la chose si réelle, lorsque Jésus devient si réel pour nous.

E-2 Je–je me tiens probablement un peu trop près de ceci. [Frère Branham tousse.–N.D.E.]... un peu plus conscient de ma voix enrouée que je ne le devrais, je pense. Mais à ce que je sache, je ne suis pas enrhumé. C’est juste le fait d’avoir prêché, prêché pendant quatre mois d’affilée depuis les régions gelées du nord jusque dans les jungles du sud. Et on ne fait que changer, un jour on est en un lieu et quelques jours, ailleurs. Et c’est ce qui est à la base de ça. Je parle constamment dehors par toutes sortes de temps.

Nous sommes donc contents d’être ici, content d’être en Caroline. Ça a été effectivement pour moi un moment très fascinant de visiter les Carolines. Et comme je le disais l’autre soir, je pense, comme pour le vin aux noces, on a tous gardé le meilleur pour la fin. Je ne dis pas cela par manque d’égards pour les autres Etats. Ils ont tous été très aimables. Et le reste du monde entier, que j’ai visité, c’était bien. Mais j’ai certainement... Les gens de Caroline occupent dans mon coeur une place chaleureuse, qui subsistera là jusqu’à ce que je les rencontre dans l’Enlèvement.

Ce petit pasteur ici, frère Jeffery, quel merveilleux petit personnage! Le frère et lui, je pense, Parson, frère Bigsby et lui, les trois pasteurs que j’ai rencontrés dans l’association que... dans ces réveils. Combien ils ont été merveilleux à mon égard! Combien je les apprécie tous! Je suis très content que Caroline ait de tels prédicateurs.

E-3 Il y a quelques instants, je venais d’avoir l’occasion de serrer la main à certains membres du clergé qui sont derrière moi. Une bonne poignée de main chaude, j’aime ça comme ça, pas vous? Nous–nous oublions cela. J’espère que ma femme me le pardonnera. Elle est assise là derrière. Je pourrais la faire venir ici, mais elle s’évanouirait. Elle est très timide. Elle est comme moi. Ainsi...

Autrefois, j’étais très timide, mais j’ai dû m’en débarrasser pour le Seigneur. Ainsi... Mais elle est très timide. Et une fois, je l’ai fait venir à l’estrade... Elle m’a vu plusieurs fois avoir des visions à la maison. Elle sortait simplement de la chambre.

Mais la première fois qu’elle a été à l’estrade, il y a de cela quelques mois, c’est monsieur Moore qui l’avait fait venir par astuce à l’estrade lorsque l’onction était déjà là. Elle a dit: «Je–je ne désire plus être là.»

E-4 Ainsi donc... Mais s’il y a un quelconque mérite qui revient à la famille Branham, que cela lui soit attribué. C’est elle qui le mérite. Elle se tient entre le public et moi. Elle est âgée de trente-sept ans, elle a la tête pratiquement toute blanche, c’est une véritable mère, une femme douce.

J’espère que vous tous, jeunes gens, lorsque vous vous marierez, vous aurez une femme comme celle que Dieu m’a donnée. Et je suis très content d’elle et de mes enfants: Billy Paul, la petite Rebecca, Sara et le petit enfant Joseph. Nous vous saluons tous. Et nous vous remercions pour votre gentillesse.

Il y a quelques instants, ils... je pense qu’on a prélevé une offrande d’amour pour moi. Je n’avais pas... Ils n’avaient pas à le faire, cela ne leur a pas été demandé, c’est juste de la courtoisie. Je pouvais devenir un multimillionnaire, vous le savez, si seulement j’avais reçu ce qui m’était donné. Une offrande, un chèque de 1.500.000 dollars avait été établi de plus. J’ai refusé de le regarder, quand les agents de la police me l’avaient apporté. Je ne cherche donc pas l’argent des gens. J’ai besoin de leur confiance. Je peux les gagner à Christ.

E-5 Je préférerais avoir... Vous avez de belles maisons par ici. J’ai parcouru votre ville en voiture, certaines belles places. Mais vous savez, je préférerais... Eh bien, je–j’apprécie ça. Oh! Vous ne savez pas combien je suis content de voir Dieu faire prospérer quelqu’un. J’aime ça. Mais le Seigneur vient de me donner une maison. C’est le presbytère. Elle appartient à l’église dont j’étais pasteur. J’occupe simplement.

Mais je–je vous assure, je préférerais trouver faveur auprès de Dieu plutôt que d’avoir n’importe quoi que je connaisse. Et je ne peux pas trouver faveur auprès de Dieu sans trouver faveur auprès de vous tous. C’est vous tous qui travaillez avec moi en Christ. Si vous ne croyiez pas en moi cet après-midi, il n’y aurait personne ici. A quoi aurait servi mon Message pour les gens s’il n’y avait personne ici pour Le recevoir? A quoi aurait-Il servi s’Il tombait dans des coeurs de pierre qui ne Le croyaient pas? Voyez? Vous êtes tout autant impliqués que moi ou les autres. Tous ensemble, nous sommes co-ouvriers en Christ Jésus.

E-6 Comme je le disais concernant ma femme il y a quelques instants... Je me disais premièrement que je laisserais passer cela, mais c’est tout simplement trop bon. Elle m’en parlera sur le chemin de retour cet après-midi. Vous savez quoi? Je–je... J’aime les choses à l’ancienne mode. C’est pourquoi j’aime l’Evangile à l’ancienne mode. Je pense que lorsque vous vous donnez une poignée de main, ce n’est pas juste tendre la main. J’aimerais l’un de ces très bons vieux moments d’autrefois, voyez, comme nous en avions autrefois. L’amour semble disparaître dans notre génération.

Il y a quelque temps, j’étais en ville avec ma femme, et une dame a dit: «Salut, Soeur Branham.»

J’ai vu ma femme se retourner. Je l’ai regardée. J’ai dit: «Chérie, cette femme-là s’est adressée à toi.»

Elle a dit: «Je lui ai répondu.»

J’ai dit: «Moi, je n’ai pas entendu cela.»

Elle a dit: «Je lui ai souri.»

«Oh! ai.-.je dit, chérie, ce n’est pas un... l’un de ces faux sourires à l’opossum, ce n’est pas ça un bonjour.» J’ai dit: «Je–j’aime entendre quelqu’un s’écrier: ‘Salut.’ J’aime... pour vous parler réellement, et utiliser l’ancienne manière.»

E-7 Je me souviens de frère Bosworth, docteur F. F. Bosworth. Si jamais il vient ici, saluez-le. C’est un frère aimable. Et il a pris la retraite. Il n’a pas pris de retraite, il a simplement abandonné. Il pensait que son ministère était terminé, il y a de cela sept ou huit ans environ. Et maintenant, il est l’un de mes organisateurs.

Alors, nous étions donc là... Nous tenions une campagne en Floride. Et il y avait une espèce de duchesse ou quelque chose comme cela qui nous avait permis d’avoir sa concession. Alors, un après-midi, alors que j’avais déjà commencé, on m’a dit: «Frère Branham, la duchesse est là derrière.»

E-8 Eh bien, amis, je ne savais pas alors ce que c’est une duchesse. Je ne le sais pas non plus aujourd’hui. Je ne sais pas ce qu’en est une. Mais c’était une espèce de femme, là derrière, et elle était habillée... Oh! la la! Ouf! Elle avait assez de bijoux au bras pour envoyer une douzaine de missionnaires deux fois à travers le monde. C’est inutile. Elle avait une paire de lunettes sur un bâton, elle les tendait là, loin d’elle. Or, vous savez que personne ne peut voir à l’aide des lunettes qui sont si éloignées d’elle. Et elle regardait comme ça. Et elle a dit: «Est-ce vous, docteur Branham?»

J’ai dit: «Non, madame. Ce n’est pas moi–moi.» J’ai dit: «Les frères m’appellent frère Bill.»

Elle a dit...elle avait la main comme ceci; elle a dit: «Je suis ravie de faire votre connaissance.»...?... elle a simplement fait avancer sa main. Je l’ai fait descendre. J’ai dit: «Eh bien, soeur, faites-la descendre afin que je vous reconnaisse prochainement.»

E-9 Vous savez, je me demande bien comment les gens ont des manières affectées comme cela... Après tout, vous n’êtes qu’une motte de terre de six pieds [1,82 m].

J’étais là au musée Biggett, il y a quelque temps. J’aime l’art, la musique. Et dans ce musée, il y avait deux jeunes gens qui regardaient une évaluation qui avait été faite du corps humain, d’un homme de 185 livres [83,9 kg]. Savez-vous combien vous valez si vous pesez 150 livres [68 kg]? Vous valez 84 cents. Vous avez à peine assez de chaux pour asperger le nid d’une poule, juste un peu de calcium et autres, cela ne vaut que 84 cents. Pensez-y, soeur, vous qui portez un manteau de vison de 1.000 dollars, qui levez le nez et, s’il pleuvait, vous vous noieriez. Et vous pensez être quelqu’un alors que vous ne valez que 84 cents.

Ce corps prend... Ce jeune garçon-là a dit: «Eh bien...» L’un a regardé l’autre et a dit: «John, nous ne valons pas grand-chose après tout, n’est-ce pas?»

Je me suis dit que cela m’offrait une occasion. Je l’ai tapoté au dos en disant: «C’est vrai, mes jeunes gens. Mais vous avez une âme qui vaut dix mille mondes.» C’est vrai. «Prenez-en soin et laissez passer ces 84 cents. Veuillez sur cette âme, car elle vivra éternellement.» Et c’est vrai, amis.

E-10 Maintenant, avec ceci à l’esprit... Et je–j’ai honte de me mettre même à lire ce même texte une fois de plus. Je l’ai abordé deux fois, je ne suis jamais arrivé à l’aborder. Vous êtes une si merveilleuse assistance, je pense que je pourrais passer six mois sur ce même texte.

Je me rappelle une fois dans mon église, chez nous, j’ai prêché pratiquement un an sur Job. Et je l’avais amené sur le tas de cendres là derrière pendant environ quatre mois. Une gentille soeur, très diplomate (elle était trop gentille pour venir me parler), m’a écrit une gentille petite lettre, disant: «Révérend Branham, je–j’apprécie assurément chacun de ces messages. Mais quand allez-vous relever Job de ce tas de cendres?»

Eh bien, j’attendais l’apogée. J’ai amené plusieurs âmes à l’autel quand Job a quitté le tas de cendres. J’aime vraiment l’Ancien Testament. Il y a des pépites. Et chacune d’elles pointe vers Christ Jésus au Calvaire.

E-11 Maintenant, amis, s’il y a une quelconque bénédiction ou n’importe quoi en notre temps, nous ne savons pas avant d’être amenés à ces endroits. Et je sais que ça a été une bénédiction pour nous. Non seulement vous avez été bénis, mais nous avons été bénis en venant ici. Et maintenant, je fais confiance en Dieu que ces réunions représenteront beaucoup pour vous et que vous, qui avez été sauvés, vous adhérerez à une bonne église remplie de l’Esprit. Et tous ces pasteurs, ma prière est que leurs ministères soient bénis abondamment, au-delà de toute mesure. Que vous tous, vous prospériez en bonne santé.

Que Dieu vous bénisse tous jusqu’à ce que je vous revoie. Priez pour moi. Et si je dois partir avant de vous revoir, j’aimerais que vous m’accordiez une faveur. Si je pars et que mon corps peut être enseveli, lorsqu’on me fera descendre dans la tombe, on va chanter Crois seulement. Et si vous apprenez à la radio, ou des nouvelles, ou quelque part, que je suis parti, arrêtez-vous quelques instants et fredonnez Crois seulement. Je crois qu’un jour je sortirai d’entre les morts.

E-12 Presque tous les Branham, une fois vieux... Certains vivent longtemps. Ma grand-mère a eu cent dix ans. Mon grand-père est mort à quatre-vingt-dix-sept ans. Ma grand-mère maternelle est morte jeune à...?... Mais elle était métisse, elle était Indienne Cherokee. Et mon grand-père maternel est mort il y a environ quatre ans dans les quatre-vingt-dix ans. Mon père s’en est allé à cinquante-deux ans. Je ne sais pas quand ça viendra.

Mais généralement, une fois vieux, les Branham... C’est juste une nature, comme Isaac était devenu aveugle, Jacob était devenu aveugle, tous deux prophètes et autres. Ça semble être dans le sang de la famille.

E-13 Les Branham, une fois vieux, attrapent la paralysie tremblante. Je m’attends, si je vis, à ce qu’un jour je prêche mon dernier sermon, je prie pour le dernier malade. J’espère que je serai un vieil homme, lorsqu’Il en aura tout fini avec moi, si Jésus tarde. J’aurai parcouru chaque carré de ronces sur le chemin, chaque place rude. J’arriverai à la rivière, je pourrai sentir ses vagues venir, l’écume en provenir, je saurai alors que mon temps est arrivé.

Je me tiendrai là, avec mes cheveux grisonnants pendant sur les épaules, tremblotant avec une canne en main. J’aimerais ôter mon casque, le déposer par terre, remettre cette vieille épée dans le fourreau de l’Eternité et m’écrier: «Père, envoie le bateau de sauvetage. Je traverse ce matin.»

Il sera là. Je ne m’en soucie pas. Cela a été réglé il y a vingt-cinq ans. C’est réglé aujourd’hui dans mon coeur plus que cela ne l’était autrefois. Je sais en qui je crois. Je suis persuadé qu’Il est capable de garder ce que je Lui ai confié pour ce jour-là. J’espère vous voir là.

E-14 Et, avant ce jour-là, j’ai un voyage pour l’Afrique et pour beaucoup d’autres endroits. Lorsque les vents souffleront fort, qu’il y aura des brises chaudes à travers le pays et que je serai là à relever le défi des sorciers et autres, voudriez-vous me promettre que vous serez en train de prier pour moi? Allez-vous le faire? Je prierai pour vous. Maintenant, parlons-Lui.

Notre Père céleste, nous Te remercions aujourd’hui pour Jésus, Ton Fils. En clôturant ce réveil... Non pas clôturer cela, Seigneur, puisse cela en être bien le commencement. Que l’influence de Ta visitation sur nous ne quitte jamais ces gens jusqu’à la Venue de Jésus. Déclenche donc un réveil à l’ancienne mode dans la ville et dans l’Etat, dans chaque église, chez tous les gens du Plein Evangile, les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les nazaréens, quoi qu’ils soient, Père. Envoie un grand réveil dans cette ville.

E-15 Bénis ces mouchoirs qui sont ici devant nous. Ô Eternel Dieu, que Ton Esprit vienne sur chacun d’eux et les bénisse, afin que les gens soient guéris lorsque ces mouchoirs arriveront à leur destination. Et lorsqu’ils seront posés sur les malades auxquels ils sont destinés, que les maladies quittent les corps des gens.

Bénis cette aimable assistance, Seigneur. Bénis frère Jeffery. Ô Dieu, sois avec ces autres pasteurs. Sois avec tous ces membres de leurs églises partout et tous les pasteurs de la ville, et partout dans la région. Accorde-nous ces choses, Père. Accorde-nous juste un peu de voix, pour proclamer un grand service de guérison. Puissent plusieurs trouver leur voie vers Christ et plusieurs être guéris. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

E-16 Le même texte, Genèse 22. Satan dit qu’on ne peut pas l’épuiser. Moi, je ne le peux pas, mais Dieu le peut.

Nous avons pris Abraham depuis le temps où il a été appelé par Dieu et nous l’avons amené là, là où il avait reçu la promesse sous forme de type. Hier soir, nous l’avons laissé quand El-Shaddaï, Dieu, lui parlait. Puis, nous sommes allés là où Dieu avait donné la promesse à Abraham et à Sara, et qu’Il avait montré le signe de ce qu’Il allait faire pour tous Ses enfants.

Combien étaient ici hier soir? Faites voir la main. Croyez-vous cela? Dites amen. Alors, notre espoir ne repose sur rien d’autreQue sur le Sang de Jésus et Sa justice;

Quand tout cède autour de mon âme,

Il est tout mon Espoir et mon Appui,

Sur Christ, le Roc solide, nous nous tenons;

Tout autre terrain, c’est du sable mouvant.

La science faillit;

Tout le reste faillit;

La Parole de Dieu ne peut pas faillir.

E-17 Il n’y a pas longtemps, j’étais avec un grand docteur, un docteur en science. Il avait décerné un–un diplôme à un jeune homme, un jeune homme, un ami à moi. Et alors qu’il l’embrassait pour avoir décroché son diplôme en science (il venait de Washington), il l’a alors embrassé et lui a collé quelque chose. Et il lui a dit: «Fils, après toutes ces années d’études en science», a-t-il dit... A Washington ou quelque part, dans une salle de science, j’oublie combien de livres ont été écrits sur la toute dernière science.

Il a dit: «Cela te prendra au moins deux ans, si tu les lis jour et nuit, pour tout parcourir. Et quand tu les auras terminés, tu devras alors laisser tomber tout ce que tu as appris; ça évolue si vite que ces choses qui sont scientifiquement établies comme vraies aujourd’hui seront scientifiquement établies comme fausses.

E-18 Je me suis tenu là et j’ai attendu. Ce soir-là, ce même homme était à ma réunion à Shreveport, à Louisiane. Je l’avais vu. J’ai dit: «Eh bien, je suis content d’avoir le docteur ici parmi nous ce soir.» J’ai entendu son commentaire, ce qu’il a dit.

Lorsque ce jeune étudiant qui est ici avec nous, celui qui a conduit la musique ici ce soir, à l’estrade, le docteur a dit que si toutefois ce jeune étudiant consacrait deux ans, la science aurait absolument prouvé que les choses qui avaient autrefois été établies comme étant vraies, étaient fausses. Lorsque je fréquentais l’école, on me disait que le soleil était tout à fait immobile et que c’est la terre qui tournait. C’est scientifiquement prouvé comme étant une erreur aujourd’hui. Le soleil aussi tourne. C’est vrai. Voyez?

Je suppose donc que Josué n’était pas si ignorant, après tout, lorsqu’il a prié Dieu d’arrêter le soleil. Voyez? Cela se rallie toujours au Livre.

Il y a quelque temps, la science disait (Oh! la la! N’est-ce pas horrible?) que cette Bible dit que Dieu a dit: «L’homme est comme les pensées de son âme.» Il n’y a pas dans l’âme des facultés mentales avec lesquelles penser.»

Mais vous savez quoi? L’année dernière, on a découvert que Dieu avait raison. L’âme se trouve dans le coeur et non dans l’esprit. C’est vrai. Dieu avait donc raison. «L’homme est comme les pensées de son âme.» Pas ce que lui ont présenté ses facultés intellectuelles, mais ce que son âme lui dit. Cela ne peut pas faillir là.

E-19 Eh bien, j’ai donc dit à cet homme de science, j’ai dit: «Monsieur, ces livres failliront, et ils failliront toujours. Mais je peux vous dire qu’il y a un Livre dont vous n’aurez jamais à retrancher ce qu’Il dit. Cela s’est toujours avéré vrai. C’est la Parole de Dieu.» «Les cieux et la terre passeront, a dit Jésus, mais Ma Parole ne passera point.» J’aime ça.

Abraham croyait la Parole de Dieu. Aujourd’hui, nous sommes des enfants d’Abraham, parce que nous croyons la Parole de Dieu. Nous croyons, peu importe ce que disent les gens, ce que disent les théologiens et les instructeurs, ce que dit la science. Si c’est contraire à la Parole, que toute parole d’homme soit reconnue comme un mensonge, et Celle de Dieu comme la Vérité. C’est ce que je crois. Et peu importe combien cela paraît étrange, je crois que c’est vrai, de toute façon.

E-20 Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez bien, Abraham... Maintenant, nous allons terminer le texte juste dans quelques minutes avant de commencer la ligne de prière.

Pouvez-vous vous représenter ce petit garçon, Isaac, étant né? Abraham et Sara... Eh bien, Sara avait environ cent quinze ans, et Abraham, cent vingt-cinq ans. De loin... L’enfant promis était là, ce petit et beau garçon d’environ seize ans, sa petite chevelure lui pendait sur les épaules; un beau petit garçon. Il aimait son père et sa mère, il était tout aussi obéissant.

Vous savez, enfants, c’est ce que vous devez être envers votre père et votre mère. Je pense que c’est horrible lorsqu’on entend les jeunes gens dire: «Mon vieil homme et ma vieille femme.»

E-21 Je ne pense pas que vous, en Caroline, vous les petits enfants, vous dites cela. Mais là loin, dans le pays du nord, d’où je viens, c’est ce qu’ils disent. Voyez? C’est vraiment dommage qu’ils disent donc cela.

Ecoutez. Ce n’est pas le vieil homme et la vieille femme. Un jour, alors que le plancher craquera en se fendant sous le poids du cercueil qui s’avance, vous regarderez et vous verrez une personne grisonnante couchée là, ce ne sera pas alors un vieil homme. Ce sera votre papa. Ce sera votre maman. Honorez-les maintenant. C’est le premier commandement avec promesse: «Honore ton père et ta mère afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Eternel te donne.»

Donc, le petit Isaac était très sou–soumis–soumis à son père et à sa mère; en effet, il était un type de Christ, qui fut parfaitement soumis au Père. Et il s’occupait de son père et de sa mère.

E-22 Un jour, Dieu a dit: «Maintenant, Abraham, tu sais que plus tard, dans des années à venir, il y aura un peuple, il y aura toutes sortes de choses scientifiques, les gens essayeront d’infirmer Ma Parole. Mais J’aimerais confirmer deux fois Ma Parole. Après que J’eus juré que Je La tiendrai, Je vais te laisser vivre pour voir ce jour. Lorsque tu avais cent ans, Je t’ai rendu un jeune homme d’environ vingt-cinq ans, trente-cinq ans, Sara et toi... Et vous avez eu cet enfant. Vois-tu Ma main?»

«Maintenant, Je vais présenter un modèle aux gens de Charlotte aujourd’hui, et à ceux d’ailleurs, comment Je tiendrai Ma Parole. Eh bien, Je te dis ce que Je veux faire, Abraham. J’aimerais que tu prennes ton petit garçon et que tu ailles avec lui sur une certaine montagne que Je t’indiquerai. Et J’aimerais que tu l’amènes là, que tu le déposes sur un autel, et que tu l’offres en sacrifice. J’aimerais que tu l’immoles, Abraham, car, par lui, Je bénirai le monde entier.»

E-23 Ça sonne bizarre, n’est-ce pas? Comment était ce jeune garçon... Comment était Abraham donc après avoir attendu tout... cent ans pour recevoir cet enfant, et l’enfant est né. C’était leur cadet. Sara n’en a plus jamais eu d’autres. C’était tout. Et comment cela se ferait-il donc après qu’il eut attendu tout ce temps, et ici le jeune homme a seize ans? «Maintenant, amène-le, détruis l’unique espoir que tu as de voir Ma promesse s’accomplir.» Je souhaiterais juste avoir un peu plus de voix. J’aurais bien voulu vous montrer quelque chose ici. Voyez?

Parfois, Dieu ôte tout. Il laisse le médecin vous dire que vous allez mourir. C’est vrai. C’est établi. On vous démontre scientifiquement que vous allez mourir. C’est juste pour vous témoigner Sa miséricorde. Le médecin dit que c’est le cancer: «Nous n’avons rien à faire avec cela.»

Vous savez, l’autre jour j’ai suivi à la radio qu’on n’a jamais réussi une intervention chirurgicale pour le cancer. C’est vrai. Nous n’avons rien à faire contre cela. Nous n’en avons pas en médecine. Dieu en a dans Sa Science.

E-24 Moïse a fait traverser aux enfants d’Israël tout le pays d’Egypte. Et lorsqu’ils sont sortis de l’Egypte, avec ces deux millions de gens... Et après avoir quitté l’Egypte, il n’y avait personne de faible parmi eux. Comment avait-il combattu le cancer et la tuberculose pendant quarante ans? Combien d’enfants naissaient en une nuit? Combien de maisons Moïse devait-il visiter? Combien de bras fracturés et là, dans ce désert, aller çà et là? Combien de pneumonie... Combien de cas de malarias? Ils buvaient à des étangs et tout ce qu’ils pouvaient trouver. Combien de bactéries, de germes et tout attrapaient-ils dans l’eau?

Dites donc, docteur, ne voudriez-vous pas regarder dans la trousse de Moïse pour découvrir ce qui gardait ces gens en bonne santé? Et même leurs habits n’étaient pas usés. Ne voudriez-vous pas... Combien aimeraient regarder dans la trousse du docteur Moïse? Aimeriez-vous voir cela? Je sais où ça se trouve dans la Bible. Aimeriez-vous entendre cela? Levez la main si vous le voulez. Juste un instant. Je vais vous montrer juste exactement où ça se trouve. Nous verrons là où docteur Moïse a dit...

E-25 Docteur Moïse avait une seule prescription. C’est avec cela qu’Il les avait gardés tous en bonne santé: «Je suis l’Eternel qui te guérit de toutes tes maladies.» C’est l’unique prescription qu’il utilisait. Et cela a marché dans chaque cas.

Dites donc, c’est un bon produit qu’un médecin doit porter dans sa trousse, n’est-ce pas? «Je suis l’Eternel qui te guérit de toutes tes maladies.» C’est ce que Moïse appliquait. Et cela a gardé les gens en vie pendant quarante ans, et il n’y avait personne de faible parmi eux. C’est merveilleux, n’est-ce pas? En effet, il... appliquez la Parole de Dieu. Vous ne pouvez pas être en erreur tant que vous appliquez la Parole. Restez accroché à la Parole.

E-26 Alors, Dieu dit à Abraham: «Prends ton petit garçon là. Je t’indiquerai une montagne. Et va l’immoler sur cette montagne.»

Eh bien, et si Abraham avait dit: «Eh bien, un instant! Cette vision était-elle vraie? Laissez-moi donc méditer cela. Cette vision était-elle vraie? Eh bien, Dieu m’a dit de prendre mon garçon et de l’immoler. Bon, comment deviendrai-je donc le père des nations alors que celle-ci est ma postérité, et c’est la postérité promise? Eh bien, comment deviendrai-je donc le père des nations alors que Dieu détruit l’unique espoir que j’ai ici? Est-ce mon unique espoir? Non, j’ai toujours Sa Parole. Il a promis de revenir là, qu’Il le fera; et que, par Isaac, le monde entier serait béni.»

Alors, Il a dit: «Je...» Ecoutez donc Abraham. «Je l’ai reçu comme venant d’entre les morts. Je suis convaincu que Dieu est capable de le ressusciter d’entre les morts.» Oh! la la! Même avec une voix enrouée, je me sens religieux. Assurément. Abraham a dit: «Si je l’ai reçu comme venant d’entre les morts...» Quoi?

E-27 A cent ans, la semence dans son propre corps était morte. Le sein de Sara était mort, tous les deux étaient stériles pour commencer. Et alors, si Dieu a accompli un miracle en plaçant la semence de vie, qu’Il l’a reçu d’entre les morts, comme un mort, alors Dieu était capable de le ressusciter d’entre les morts: C’est un type parfait du Seigneur Jésus-Christ. Alléluia! Oh! la la! Si cela ne fait pas pousser des cris aux presbytériens! Pensez-y donc. Certainement. Abraham ne douta point, par incrédulité, au sujet des promesses de Dieu, mais il fut fortifié, donnant gloire à Son Nom.

E-28 Je peux me le représenter. C’était un dimanche après-midi, peut-être, que Dieu lui a parlé. Comment va-t-il s’y prendre le lundi matin? Le pauvre petit Isaac, il le regarde. Oh! Il l’aime. «Mais je ne peux pas regarder à ça. Je dois penser à obéir à Dieu.» Il ne pouvait donc pas en parler à Sara. En effet, vous savez, les femmes sont les vases les plus faibles. Vous devez donc parfois faire attention. «Je–je ne peux donc pas le dire à Sara, parce qu’elle ne comprendrait pas.»

Sara n’était après tout pas forte dans la foi. En effet, elle avait failli, elle avait douté de la promesse. Mais Abraham la soutenait, car l’homme et la femme sont un. La femme ne pouvait être sauvée dans l’Ancien Testament que par l’homme, parce qu’il avait la circoncision. Elle devait être unie à son mari pour recevoir cela. Mais dans les derniers jours, Dieu a déversé Son Esprit, et les femmes sont circoncises dans leurs coeurs tout comme les hommes.

E-29 Eh bien... mais elle croyait son mari, elle l’appelait seigneur. Alors, Il a dit: «Maintenant, je ne peux pas, je–je ne peux pas le dire à Sara.» Alors, il... Peut-être qu’il a dit: «Sara, nous allons, Isaac et moi, effectuer un petit déplacement. Nous reviendrons.» «Comment allons-nous revenir? Dieu est capable. S’Il l’a dit, Il nous ramènera.» C’est vrai.

Alors, le lendemain matin, il a fait sceller le mulet. Il a fait couper du bois et l’a déposé sur le dos du mulet. Il est allé au désert.

Et, écoutez donc. Il a fait trois jours de marche. Et au bout de trois jours, il a levé les yeux et a vu de loin la montagne que Dieu lui avait montrée en vision.

E-30 Maintenant, suivez. Un homme ordinaire marche en principe vingt-cinq miles [40 km] par jour. Lorsque je faisais la patrouille, pendant cinq ans, je parcourais trente-cinq miles [56 km] par jour dans le désert, pendant dix heures, année après année. Et aujourd’hui, eh bien, l’homme a des pieds à essence, pratiquement, et il peut le faire. Que pouvait faire un homme en ces jours-là où le seul moyen de transport était pratiquement soit d’avoir un petit mulet lent, qu’il pouvait pratiquement dépasser à la marche.

Ainsi, l’unique moyen qu’il avait, c’était de se déplacer à pied. Et alors, Abraham, disons qu’il a parcouru vingt-cinq miles [40 km] par jour. Et il avait parcouru 75 miles [120,7 km] là-bas. Puis, il a levé les yeux, et peut-être qu’il y avait peut-être encore vingt-cinq [40 km] ou trente miles [48 km], il a vu la montagne. Il a dit: «Oui. C’est ce que Dieu m’a montré en vision.»

E-31 Eh bien, il a dit aux serviteurs, aux jeunes gens qui l’accompagnaient (suivez donc ceci), il leur a dit: «Restez tous ici pendant que le jeune homme et moi, nous allons là adorer. Le jeune homme et moi, nous reviendrons.»

Oh! la la! Quoi? Avec un couteau à la ceinture et, dans son coeur, la résolution d’accomplir la volonté de Dieu, il allait immoler son propre fils. «Attendez ici. Le jeune homme et moi, nous allons là adorer. Le jeune homme et moi, nous reviendrons.» Comment? Il savait que Dieu tiendrait Sa Parole d’une façon ou d’une autre.

Ils ont gravi jusqu’au sommet de la montagne. Suivez donc. Lorsqu’il est arrivé à la montagne, il a pris tous ces bois, les a déposés sur le dos d’Isaac.

Vous demandez-vous pourquoi il a fait toutes ces choses? C’est parce qu’il était un type de Christ. Isaac portait du bois en gravissant la colline, il était lui-même le sacrifice qui allait être placé sur ce bois. En gravissant la colline, Christ portait la croix sur laquelle Lui, le Sacrifice, allait être placé. Abraham représentait Dieu le Père offrant Son Fils unique pour nos péchés. Abraham livrait son fils unique par obéissance à Dieu.

E-32 Remarquez donc. Alors qu’ils gravissaient la colline, Abraham portait le feu. Et quand ils sont arrivés là, Isaac a dit: «Papa.»

Abraham a dit: «Me voici.»

Isaac a dit: «Voici le bois. Et voici le feu. Voici l’autel. Mais où est l’agneau pour le sacrifice?»

Oh! Pouvez-vous vous représenter le coeur de ce père battre fort? Son fils unique... «Où est le sacrifice?»

Abraham retint ses larmes. Pensez à vous mêmes. Retenant des larmes, fixant le ciel d’un regard sévère, il a dit: «Mon fils, Dieu se pourvoira d’un agneau pour le sacrifice.»

E-33 Je ne suis pas très émotif, mais ça, ça m’a bien eu: «Dieu se pourvoira d’un sacrifice, ou d’un agneau pour le sacrifice.» Il a dit: «Retourne-toi, Isaac, tourne-moi le dos, fils.»

Isaac l’a fait. Il se demandait: «C’est quoi ça? Ce sont les cordes en cuir qui me lient les mains. Assurément, le père comprend ce qu’il fait.» D’autres cordes aux pieds ont lié ceux-ci ensemble. Il a regardé.

Abraham l’a regardé, il a écarté les cheveux de ses yeux, il l’a embrassé sur la joue: «Que Dieu soit avec toi, mon fils.» Il l’a déposé sur l’autel, a regardé en arrière, a retenu ses larmes. Le petit Isaac était obéissant jusqu’à la mort, sans poser des questions.

Abraham a fait sortir un gros couteau de son... le fourreau du... le couteau du fourreau, il a écarté les cheveux de sa petite nuque, il a levé les yeux vers Dieu et il allait ôter la vie à son propre fils. Aussitôt qu’il a levé la main, le Saint-Esprit l’a retenue, Il a dit: «Abraham, arrête ta main, car Je sais maintenant que tu M’aimes et que tu n’as même pas refusé ton propre fils.»

E-34 Et à ce moment-là.... Ô Dieu! Un–un sacrifice a bêlé, un petit bélier, pas une femelle, pas une agnelle, un bélier retenu par les cornes dans le désert. Qu’était-ce? Jéhovah-Jiré avait pourvu à un agneau.

D’où venait cet agneau? D’où venait cet agneau, amis? Savez-vous ce que c’était? Eh bien, il était à cent miles [160,9 km] de la civilisation. D’où cela venait-il? A part cela, il était là loin au sommet de la montagne, là où il n’y a pas d’eau. D’où venait-il? Ce n’était pas une vision, là.

Il a pris le bélier, il a détaché Isaac, son fils, il a soulevé le bélier, il lui a coupé la gorge et le sang en a jailli. C’était un agneau réel, pas un mythe, ni une vision. C’était un agneau réel. Qu’était-ce? Le Dieu dont je parlais l’autre soir, disant qu’Il s’était fait chair, avait amené un agneau là. Jéhovah-Jiré s’était pourvu d’un bélier pour le sacrifice.

E-35 Je vous dis cet après-midi, mon ami chrétien, que Jéhovah-Jiré existe toujours. Et cet agneau-là, qui était le type du Seigneur Jésus-Christ qui est descendu de la Gloire et qui s’est rendu pour un temps inférieur aux anges afin d’endurer la mort pour tous, a pourvu à tout ce dont vous avez besoin cet après-midi. Il a pourvu à votre salut. Il a pourvu à votre guérison. Et à part cela, Il a dit: «Je ne vous délaisserai pas. Je prierai le Père, et Il vous enverra un autre Consolateur, le Saint-Esprit. Il demeurera avec vous éternellement. Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père.»

Jéhovah-Jiré a pourvu à un Sacrifice cet après-midi pour vos péchés. Jéhovah-Jiré a pourvu au même Agneau cet après-midi pour votre maladie. Pouvez-vous croire cela? Et allez-vous croire cela?

E-36 Quand Jésus était ici sur terre, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, parce que Je viens de Dieu (Esprit), et maintenant, Je suis dans le monde pour un peu de temps. Et maintenant, Je retourne à Dieu. Puis, Je reviendrai et Je serai avec vous,» sous forme du Saint-Esprit, «en vous jusqu’à la fin du monde. Et celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.»

Maintenant, Il est ici. Dieu a pourvu à une voie pour vous. Dieu a pourvu à un sacrifice. Il est Jéhovah-Jiré qui avait pourvu pour Abraham, qui l’avait amené au bout.

Et vous êtes la postérité d’Abraham. Et tant que vous êtes en Christ Jésus, vous êtes la postérité d’Abraham et vous êtes héritiers de la même promesse qui a été donnée par le même Dieu, seulement, c’est beaucoup plus sûr aujourd’hui que ça l’était pour Abraham.

E-37 Vous avez environ deux mille huit cents ans d’expérience, pour voir ce qu’Il a fait avec les autres. Et si l’Ancien Testament a pourvu à cela, à combien plus forte raison le ferait le Nouveau Testament, la meilleure chose. Car nous, sans eux, nous ne pouvons pas être rendus parfaits... ou plutôt, eux sans nous, ne peuvent pas être rendus parfaits. Dieu a pourvu. J’espère que vous le croirez de tout votre coeur alors que nous prions.

Maintenant, Père, nous Te remercions de ce que Tu es Jéhovah-Jiré, le Sacrifice auquel le Seigneur a pourvu. Maintenant, je Te demande aujourd’hui, Seigneur Jésus, d’accorder abondamment de Ta grâce à tous ceux qui sont ici. Et qu’ils sachent que Tu as pourvu à la résurrection là en type pour Isaac, qui était arrivé au bout de son chemin. Mais Tu as pourvu à un moyen pour Lui.

Et Tu as pourvu à la voie de la résurrection pour le Seigneur Jésus, et Tu as pourvu au Saint-Esprit, sachant que l’heure viendrait où les gens chercheraient à nier tout le surnaturel de Ta Parole. Mais Tu as pourvu au Saint-Esprit pour continuer Ton oeuvre, faire la même chose que Tu faisais lorsque Tu étais ici dans un corps physique.

Et je Te prie aujourd’hui de bénir abondamment, de guérir les malades et de sauver les perdus. Accorde-le, Seigneur, car nous le demandons au Nom de Christ.

E-38 Et, avec nos têtes inclinées, je me demande bien s’il y aurait par hasard ici aujourd’hui un ami pécheur aujourd’hui, qui n’a jamais accepté ce Sacrifice auquel il a été pourvu, et aimerait juste lever la main vers Dieu.

Que Dieu vous bénisse, mon frère. «J’accepte maintenant Christ.» Que Dieu vous bénisse. «Je veux maintenant...» Que Dieu vous bénisse. «Je veux accepter maintenant au Nom de Christ, devant Dieu, que je suis un pécheur, et je veux Sa miséricorde sur moi cette fois-ci. Et je ne lève pas ma main vers vous, Frère Branham, mais je la lève vers Dieu pour dire: ‘Je crois que ce récit est la vérité, parce qu’elle vient de la Bible. Et je crois que tout ce que la Bible dit est vrai. Et je veux que Dieu soit miséricordieux envers moi, pécheur, maintenant même.’»

Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Je vois votre main, madame. Que Dieu vous bénisse, jeune homme; je vois votre main. Y aurait-il d’autres là au balcon, quelqu’un qui aimerait dire... lever la main vers Jéhovah? Que Dieu vous bénisse, jeune dame. Je vous vois là.

E-39 Quelqu’un d’autre? Maintenant même, maintenant même, Seigneur Dieu. Qu’est-ce qui pousse l’homme à se frayer une voie? Qu’est-ce qui les amène à aller droit au... sonder leur vie par la prédication de l’Evangile? Qu’est-ce qui amène un chrétien à se tenir là et à affronter la mort sans sourciller? C’est Jéhovah-Jiré. Il a pourvu à un moyen, à une issue. En voulez-vous? Que Dieu vous bénisse, monsieur.

Vous avez peut-être posé beaucoup de bons actes. Je n’en disconviens pas du tout. Celui-là est le plus important que vous ayez jamais posé dans votre vie, lorsque vous avez levé la main vers votre Créateur et que vous avez dit: «Maintenant, je crois.»

Quelqu’un d’autre? Je voyais un papa tout à l’heure lever la main. Je pense à mon propre papa. Il a déjà traversé de l’autre côté. Quand ses cheveux me sont tombés sur le bras, après qu’un médecin lui eut administré une dose de médicament qui l’avait tué, une surdose de la strychnine, et cela l’a tué; il a simplement levé les yeux vers moi, ses petits yeux d’Irlandais... Je souhaiterais le voir parcourir ces allées aujourd’hui.

Mais il y a ici le papa de quelqu’un d’autre. Voulez-vous accepter cela, frère? Croyez-vous au Seigneur? Très bien.

E-40 Y a-t-il donc un rétrograde qui aimerait lever la main pour dire: «Ô Dieu, je veux revenir. Je me sens condamné aujourd’hui. Je–j’aimerais revenir à Christ. Veux-Tu me ramener?» Voudriez-vous lever la main?

Un? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre? Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici. Quelqu’un sans le baptême du Saint-Esprit et qui désire être baptisé dans le corps des croyants par le Saint-Esprit? Il n’y a qu’un seul baptême. C’est le baptême du Saint-Esprit. L’eau n’est qu’un type. Voudriez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse. Merveilleux. Des douzaines de mains ont été levées.

E-41 Maintenant, Père céleste, je Te les confie. Tu as dit dans Ta divine Parole: «Celui qui écoute Ma Parole et qui croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle.»

Regarde ceux qui ont levé la main et vois le changement de l’expression de leur visage. Assurément. Vous ne pouvez pas poser un acte, exécuter un ordre de Dieu sans que quelque chose arrive. Combien nous Te remercions, Père, de ce qu’ils ont maintenant la Vie Eternelle. Ils ne périront jamais ou ils ne passeront jamais en jugement. C’est ce que Tu as dit. Je crois en Toi.

Et ceux qui ont erré loin de Dieu, parle à leur coeur maintenant même. Oh! la voie du perfide est rude! Il n’y a que des ennuis sur leur voie, la lassitude, l’effroi. Ô Dieu, puisses-Tu maintenant même les débarrasser de toute peur. Entoure-les de Tes bras, en disant: «Reviens à la bergerie, Mon enfant. C’est Moi qui te parle. C’est Ma voix, ce murmure doux et léger.»

Dieu sait qui a besoin du baptême du Saint-Esprit. Je prie que la gloire de Dieu frappe cette salle cet après-midi et que tout le monde ici reçoive le baptême du Saint-Esprit. Accorde-le, Père.

E-42 Que cette petite église croisse et prospère. Je Te les confie maintenant, croyant Ta Parole et m’accrochant à Ta Parole, Seigneur. Certains d’entre eux, je ne les reverrai plus jamais jusqu’à ce que je voie Ton visage. Alors, je les verrais. Et ils n’oublieront jamais ce jour-ci. Ils ne peuvent pas lever la main et T’accepter sans avoir la Vie Eternelle. Tu l’as dit, Seigneur.

Si sous cette main se trouve un fondement d’un coeur sincère et véridique, c’est que quelque chose s’est passé. C’est Toi qui as dit: «Ils ne périront jamais, ils ne passeront jamais en jugement, mais ils sont passés de la mort à la Vie, parce qu’ils croient.» Maintenant, ils sont Tiens, Père. Nous Te les confions au Nom de Jésus. Amen.

E-43 J’ai du mal à vous quitter. Que Dieu vous bénisse, Caroline, en tout. Je vais donc vous dire au revoir maintenant, car si–si le Seigneur Jésus vient en fait avec une puissante onction, je–je ne saurai pas quand on me retirera. L’unique moyen pour moi de le savoir, c’est que frère Wood, ou l’un d’eux vient ici me tapoter sur le côté. Je sais que je dois arrêter de prier en ce moment-là même. Voyez?

Je n’aimerais pas partir. Lorsque je suis là-haut, je me sens comme un géant. Lorsque je suis ici en bas, je suis très bien. Mais sortez-en donc une fois!

Combien savaient que les poètes et les prophètes ont toujours été considérés comme des gens un peu fous ou quelque chose comme cela, des névrosés? Assurément. Combien ont déjà entendu parler de Stephen Foster? Absolument. Il a composé les meilleures chansons populaires pour l’Amérique: Old Black Joe, Old Folks at Home, et Suwannee River, Old Kentucky Home. Savez-vous que chaque fois qu’il recevait une inspiration et qu’il composait ces chansons, il se saoulait après? Vous savez, finalement, après avoir composé une célèbre chanson, il a appelé un domestique, il a pris une lame de rasoir et s’est suicidé.

E-44 Combien ont déjà entendu parler de William Cowper? Faites voir la main. Il a composé... Combien ont déjà entendu ce cantique: «Il y a une fontaine remplie de sang tiré des veines d’Emmanuel, les pécheurs plongés sous ce flot perdent toutes les taches de leur culpabilité»? C’est William Cowper qui en est le compositeur.

Je me suis tenu à sa tombe il n’y a pas longtemps, il y a deux ou trois ans, à Londres, en Angleterre. J’ai dû verser une larme. Il était considéré comme un peu fou. Vous savez, après avoir composé ce cantique... Avez-vous déjà lu cette histoire? Il a pris un taxi, il a cherché à atteindre la rivière Seine pour se suicider. L’inspiration l’avait quitté. Voyez? Il ne savait où il se trouvait.

E-45 Considérez Jonas, le prophète. Après que Dieu l’eut gardé vivant trois jours dans le ventre du gros poisson, il en sortit, donna sa prophétie de telle manière qu’une ville de l’importance de Saint Louis, dans le Missouri, se repentit et couvrit les bêtes de sacs; et puis, il gravit une colline après que l’inspiration l’eut quitté... Un petit vers sortit et rongea un ricin, Jonas demanda à Dieu de lui ôter la vie (voyez?); juste un névrosé, on dirait.

Considérez Elie qui avait ordonné qu’il n’y ait pas de pluie et il n’y eut pas de pluie pendant trois ans et six mois. Ensuite, il fit descendre des cieux la pluie, et puis, il fit descendre du ciel le feu le même jour. Et quand le Saint-Esprit l’a quitté, et que la vision a été accomplie, le Seigneur l’a nourri des gâteaux, l’a endormi, l’a réveillé une heure ou deux après environ, Il l’a encore nourri, et il était tellement inconscient qu’il a erré dans le désert quarante jours et quarante nuits. Et lorsque Dieu l’a retrouvé... Combien savent où Il l’a retrouvé? Il était en retrait dans une petite caverne. Est-ce vrai? Il ne savait pas où il était, il errait çà et là. Voyez?

Qu’est-ce que cela veut dire? Il y a un pays au-delà de la rivière. C’est vrai. Ça ne sert à rien de l’expliquer. On ne le peut pas. Si les prophètes et les autres ne pouvaient pas l’expliquer, comment le pouvons-nous? C’est tout simplement vrai. C’est tout.

E-46 Maintenant, combien sont ici pour la première fois? Faites voir la main. Regardez simplement ces mains. Que Dieu vous bénisse. Je suis content de vous avoir. Je–je ne peux pas faire justice, ami, dans si peu de temps comme ceci, pour vous l’expliquer. J’aimerais simplement vous poser une question. Et je suis sûr que vous qui êtes ici pour la deuxième fois, vous me supporterez un instant.

Voici ce que je soutiens: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement; c’est ce que dit la Bible. Les nouveaux venus croient-ils cela? Dites: «Amen.» La Bible... Jésus, quand Il était ici sur terre, affirmait qu’Il retournerait auprès du Père une fois de plus sous forme de l’Esprit, mais qu’Il viendrait sous forme du Saint-Esprit et demeurerait avec nous éternellement. Et que les oeuvres mêmes qu’Il avait faites jadis, Il les ferait par Son Eglise jusqu’à ce qu’Il revienne. Combien savent que c’est vrai? Qu’ils disent: «Amen.» Voyez? Il l’a promis.

Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde (Or, le monde, c’est quoi? Ceux qui ont l’esprit mondain, voyez, ceux qui ont l’esprit du monde, les membres d’églises et les autres) ne Me verra plus.»

Est-ce que les membres d’églises L’avaient réellement vu en ce jour-là? Absolument pas. Ils ne L’ont jamais vu Tel qu’Il était. Ils ont vu Son corps physique, parce qu’ils avaient le sens de la vue, eux voyaient. Ceux qui ne voyaient pas, Il leur a fait recouvrer la vue, afin qu’ils voient. Il leur a dit: «Ça aurait été mieux pour vous de naître aveugles, alors vous n’auriez pas su cela.» Voyez?

E-47 Mais, regardez. Ils L’ont vu juste comme un être humain. Mais ils ne L’ont pas vu comme le Fils de Dieu. En effet, ils disaient qu’Il était un démon, un liseur de pensées, Béelzébul, le chef des diseurs de bonne aventure. Mais il y en a eu alors qui croyaient en Lui. Est-ce vrai? Ils étaient taxés de gens du peuple.

Eh bien, qu’avait fait Jésus? Qu’est-ce qui Le distinguait de tout autre homme? Eh bien, si nous pouvons découvrir ce qu’Il était en ce moment-là, Il est le même aujourd’hui. S’Il est le même, s’Il est ressuscité d’entre les morts, que tous ceux qui croient qu’Il l’est, qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est vivant aujourd’hui, disent: «Amen.» Ce qui veut dire: «Ainsi soit-il.»

E-48 Maintenant, j’aimerais juste attirer votre attention. Remarquez donc. Si donc cet homme... Si ce livre tombait par terre et que je le remplaçais par celui-ci, ce n’est pas la résurrection. Ça, c’est le remplacement. Si celui-ci tombait et qu’il ressuscitait, il reviendrait ici, ce sera le même livre.

Donc, Jésus, lors de la résurrection, pour prouver que ce n’était pas quelqu’un d’autre, ni quoi que ce soit d’autre, Il doit être le même. Or, Il n’était pas un grand théologien. Il n’était pas un érudit. Il n’avait jamais fréquenté un séminaire. Il n’avait jamais décroché de diplôme. Il n’est nulle part mentionné qu’il aurait même fréquenté des écoles ou quoi que ce soit de semblable. Mais les meilleurs érudits venaient auprès de Lui pour recevoir la sagesse.

Ses disciples étaient des gens du peuple sans instruction, dit la Bible. Tous, sauf Paul. Et Paul a dit: «J’ai dû oublier tout ce que j’avais appris afin de connaître Jésus-Christ.» C’est ce qu’il nous faut parfois faire aussi: Oublier ce qu’on a appris afin de pouvoir apprendre Christ.

E-49 Mais alors, qu’avait-Il fait? Quel était cet Homme? Pourquoi un petit Homme comme Lui, sans beauté pour attirer nos regards, probablement avec des épaules voûtées... Il n’avait que trente ans, mais les gens disaient qu’Il paraissait en avoir cinquante. Eh bien, ils disaient: «Toi, un Homme de pas plus de... pas plus de cinquante ans, et Tu dis avoir vu Abraham.»

Il n’avait que trente ans. Son ministère avait dû exercer une forte tension sur Lui, probablement que Sa barbe était un peu grisonnante, Ses cheveux aussi. «Et Tu dis avoir vu Abraham?»

Il a dit: «Eh bien, avant qu’Abraham fût, Je suis.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

E-50 Ils ont reconnu qui leur parlait par ces lèvres. C’était Dieu qui parlait par ces lèvres-là.

Et comme je l’ai dit il n’y a pas longtemps, une femme m’avait dit que j’accordais trop d’importance à Jésus, en Le rendant divin. Il était Dieu. Et Il est toujours Dieu. Vous qui aimerez croire en Lui qu’Il n’était qu’un prophète, honte à vous. S’Il n’est qu’un prophète, nous sommes perdus. C’est vrai. S’Il n’était pas le Dieu Tout-Puissant, nous sommes perdus. C’est vrai. Cette femme m’avait dit: «Monsieur Branham, si je peux vous prouver, par la Bible, que Jésus-Christ n’était qu’un mortel et qu’Il n’était pas Dieu, allez-vous croire cela?»

J’ai dit: «Si c’est la Bible qui le dit, oui, car c’est Sa Parole.»

Elle a dit: «Je vais vous le prouver.» Elle a dit: «Lorsqu’Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, Saint Jean 11, a-t-elle dit, la Bible dit qu’Il avait pleuré. Et s’Il était Dieu, Il ne pouvait pas pleurer.»

J’ai dit: «Madame, cela montre combien légère sont vos pensées.» J’ai dit: «Il était un Homme, mais Il était Dieu-Homme. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.»

E-51 C’est ce qui embrouillait les Juifs. Ils voyaient un Homme, ils disaient: «Eh bien, regardez ça. Ecoutez ce genre de langage qu’Il utilise. Eh bien, la–la grammaire, combien elle est mauvaise.» Il parlait comme les gens du peuple. En effet, c’étaient eux qui L’écoutaient. «Regardez Son habillement. Eh bien, cette vieille robe, elle a été lavée plusieurs fois, elle est usée.» C’était sans couture. C’étaient Marthe et Marie qui l’avaient confectionnée pour Lui.

«Regardez cet Homme, voulez-vous me dire qu’Il connaît plus à ce sujet que nos érudits, nos rabbins, et les sacrificateurs, le souverain sacrificateur et les autres qui ont appris toute leur vie? Qui est-Il? Regardez, Il est né là-bas avec une mauvaise réputation pour commencer, que c’est un Enfant illégitime. Qui es-Tu pour nous enseigner la sagesse?», demandaient-ils. «De quelle école es-Tu sorti? Où as-Tu appris ces choses?» Oh! la la! ce blasphème!

J’ai dit: «Oui, madame. Il avait effectivement pleuré lorsqu’Il se dirigeait vers la tombe de Lazare. C’était un Homme parmi les hommes. Mais lorsqu’Il s’est tenu là, Ses petites épaules redressées, et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors!’ et qu’un homme mort depuis quatre jours s’est tenu debout et a une fois de plus vécu, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu.»

E-52 Il était un Homme lorsqu’Il descendait de la montagne cette nuit-là, affamé, cherchant quelque chose à manger; Il était un Homme lorsqu’Il ne pouvait rien trouver à manger dans ce figuier. C’était un Homme qui allait, affamé. Mais lorsqu’Il a pris cinq petits pains et deux petits poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, là, c’était plus qu’un homme. Assurément.

Il était un Homme cette nuit-là, à bord de cette petite barque sur cette mer houleuse, sous l’orage. Dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Et cette petite barque tanguait comme un bouchon de liège. C’était un Homme qui était couché là, tellement fatigué et épuisé que même les vagues ne L’avaient pas réveillé. Mais lorsqu’Il s’est réveillé et qu’Il a mis Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et qu’Il a dit: «Silence, tais-toi», et que les vents et les vagues Lui ont obéi, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu. Franchement, Il avait imploré la miséricorde à la croix. Il avait pleuré comme un Homme en mourant. Mais lorsqu’Il est ressuscité le matin de Pâques, Il a prouvé qu’Il était Dieu. Amen. Il est le Ressuscité. Il est Dieu-Homme. Dieu était en Christ.

E-53 Il a dit: «Car Mon...» C’est pourquoi les gens ne pouvaient pas Le comprendre. Parfois, c’était Christ qui parlait... ou c’était le Fils qui parlait. D’autres fois, c’était le Père qui parlait. C’était une personne double. C’était un Homme, le Fils. Dieu était en Lui; Il tabernaclait en fait en Lui. Mais qu’a-t-il fait? Allait-Il çà et là en disant: «Je suis le Guérisseur»? Bien au contraire, Il disait: «Ce n’est pas Moi qui guéris.» Il disait: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi.»

Et dans Saint Jean, chapitre 19, lorsqu’Il a été interrogé pour avoir dépassé tout un groupe de gens: estropiés, boiteux, des gens aux membres atrophiés, des infirmes, des aveugles, et n’avoir guéri qu’une seule personne qui était là sur un grabat, la personne que le Père Lui avait montrée, auprès de qui Il était parti et qu’Il avait guérie, Il s’est éloigné, laissant les autres couchés là, et Il a été interrogé. Un homme portant son lit le jour de sabbat. Ecoutez ce qu’Il a dit. Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis: le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce ce qu’Il avait dit? «Je ne fais que ce que le Père me montre premièrement en vision.»

E-54 Retournez un peu dans Sa vie, au début de Son ministère, juste quelques passages à l’intention des nouveaux venus, et ensuite, nous allons clôturer. Regardez lorsque Philipe s’est converti, il est allé trouver Nathanaël, Il a dit: «Viens voir qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

Nathanaël priait sous un arbre. Il a demandé: «Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

Il a dit: «Viens, et vois.» C’est le meilleur moyen de découvrir. «Viens, et vois.»

Il s’est avancé et s’est tenu dans la ligne de prière, peut-être là où était Jésus, ou plutôt dans l’assistance où... Aussitôt que Jésus l’a vu... Il ne l’avait jamais vu de Sa vie, Il se tenait là, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, écoutez attentivement maintenant. Il a dit: «Dis donc, Rabbi (Révérend, Docteur), quand m’as-Tu connu? Comment me connais-Tu? Tu ne m’as jamais vu de Ta vie; comment me connais-Tu?»

Il a dit: «Avant que Philipe t’appelât, à quinze miles [24 km] de l’autre côté de la montagne, lorsque Tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

E-55 Là se tenaient les sacrificateurs, les rabbins, les docteurs, les docteurs en théologie, les docteurs en droit, ils ont dit: «Savez-vous qui Il est? C’est un liseur de pensées. Il est Béelzébul, le chef des démons. Eh bien, tout pouvoir, tous les liseurs des pensées, Il est leur chef.»

Jésus s’est retourné et a dit: «Cela vous sera pardonné. Vous parlez contre le Fils de l’homme, cela vous sera pardonné; mais un jour, le Saint-Esprit viendra (Alléluia!), après que Mon Sang aura été versé là pour vous, vous les athées assoiffés du sang.» Il a dit: «Vous avez pour père le diable.» Il a dit: «Après que ce Sang aura été versé et que le Saint-Esprit sera venu faire la même oeuvre que Je fais, si vous prononcez un seul mot contre Cela, cela ne vous sera jamais pardonné, ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir.» Combien savent que c’est l’Ecriture?

Faites donc attention. Juste un seul mot, c’est tout ce qu’il vous faut pour sortir de la ligne. Voyez-vous donc où je me tiens ici aujourd’hui? Qui suis-je pour me tenir ici avec ce genre de choses? Voyez?

E-56 Maintenant, qu’a fait cet homme sur qui le miracle avait été accompli... Vous direz: «Un miracle? Il n’était pas guéri.» Un homme ne voit pas en la guérison un miracle. Il y a toutes sortes de miracles. Assurément. C’était un miracle qu’Il ait su qui était sous l’arbre. C’était un miracle qu’Il ait su qui il était. C’était un miracle qu’Il ait connu leurs noms.

Alors, il a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»

Il a dit: «Parce que je t’ai dit cela, tu crois? Tu verras des choses plus grandes que celle-ci.» C’était Son signe. C’était le signe pour les Juifs, qu’Il était le Fils de Dieu, parce qu’Il pouvait faire cela.

E-57 Une femme toucha Son vêtement, s’enfuit dans l’assistance... Ceci est pour les nouveaux venus. Elle s’enfuit dans l’assistance, car elle se disait dans le coeur: «Si je peux Le toucher, je pourrais être guérie.» Alors, quand elle a fait cela, elle était convaincue qu’elle serait guérie.

Jésus a dit: «Qui M’a touché?» «Eh bien, ont-ils dit, Te toucher?»

La femme et eux tous ont dit: «Non, pas moi.» Tout le monde avait nié, dit la Bible.

Eh bien, Il a dit: «Quelqu’un M’a touché, parce que Je me suis senti faible.» Voyez? C’est ce qui affaiblit ici. C’est votre foi. Voyez?

Et Il a dit: «Je me suis senti faible. La vertu est sortie de Moi, ou la force M’a quitté.» La vertu, c’est la force. Il a dit: «La force m’a quitté; Je me suis senti faible.» Alors, Il a continué à promener Son regard jusqu’à repérer la petite femme. Ses yeux se sont posés sur elle. Elle avait une perte de sang. Il a dit: «Ta foi...» «Ta foi, pas une vision que J’ai eue, mais Ta foi t’a sauvée.» Est-ce vrai? «Ta foi...»

Il ne savait même pas qui elle était, ni rien à son sujet. Il n’y avait pas de vision. Il n’y avait que la foi de cette femme qui L’avait touché. Il a dit: «Ta foi t’a guérie.» Si c’est ce que Jésus avait fait en ce jour-là, Il doit le faire aujourd’hui, s’Il est ressuscité d’entre les morts.

E-58 La Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur et qu’Il peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Eh bien, Il est ici sous forme de l’Esprit. Vous pouvez Le toucher avec votre maladie.

Maintenant, pour terminer... Et que le Seigneur vous aide à croire cela. Si Jésus-Christ revient... Or, Il–Il ne peut pas venir ici dans Son corps physique. Quand Son corps physique quittera la Gloire, tout oeil Le verra, tout genou fléchira, chaque langue confessera. Est-ce vrai?

Eh bien, tous ces ismes vont çà et là. Mes pauvres petits enfants, faites attention alors que vous attendez. En effet, il y a tout dans le monde... Rappelez-vous, quand tout... Dans les derniers jours, dit la Bible, le diable va errer comme un lion rugissant, avec des prodiges mensongers, décevant. Est-ce vrai? Et quand tout l’enfer sera ouvert, rappelez-vous, tout le Ciel aussi sera ouvert. Voyez?

E-59 Et la Bible dit que Jannès et Jambrès se lèveront dans les derniers jours et séduiront pratiquement même les élus. Faites attention, frère, et restez en plein dans la Parole de Dieu. Ne quittez pas là. Beaucoup de choses qui se passent aujourd’hui ne viennent pas de cette Parole. Et laissez cela de côté. Accrochez-vous à la Bible. En effet, la Bible dit que cela séduirait même les élus, s’il était possible. Mais, si votre nom est inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde, vous reconnaîtrez Sa Voix. Vous ne suivrez pas un étranger.

Peu m’importe que les huiles coulent des mains, des pieds, et tout le reste, vous reconnaîtrez que cela ne vient pas de la Bible. Vous vous attacherez à Dieu. Eh bien, faites donc attention. Toutes sortes de prodiges.

E-60 Eh bien, rappelez-vous, si Jésus est ressuscité d’entre les morts, c’est qu’Il est vivant. Et Il agit par Son Eglise. Il a placé certains dans l’Eglise comme quoi? Premièrement, des missionnaires ou des apôtres (les deux signifient la même chose: un envoyé), deuxièmement, des prophètes, des docteurs, des évangélistes et des pasteurs. Est-ce ce que dit la Bible? Il a placé cinq offices dans l’Eglise. Les missionnaires, les prophètes, les docteurs, les évangélistes, les pasteurs, pour le perfectionnement de l’Eglise.

Puis, il y a neuf dons spirituels qui opèrent dans le co-... dans le corps. Eh bien, l’un d’eux, c’est le don de la connaissance, le don de sagesse, le don des langues, le don d’interprétation, toutes ces choses, le don de prophétie.

Eh bien, il y a une grande différence entre le don de prophétie et un prophète. Un don de prophétie va d’une personne à une autre. Et avant que l’église puisse même recevoir cela, il doit être jugé par trois juges spirituels. Et si la chose ne s’accomplit pas, c’est donc faux. Vous avez un mauvais esprit parmi vous.

C’est comme le parler en langues et l’interprétation... C’est là que vous, les pentecôtistes, vous êtes tombés. Je ne suis pas votre juge, mais c’est la Parole. C’est vrai. Vous avez fini en queue de poisson là-dessus. Vous feriez mieux de faire attention à ces choses afin que ça se passe absolument de façon convenable et en ordre; et lorsque le message est proclamé, suivez-le.

E-61 Venez une fois au tabernacle. Observez comment nous faisons cela, là. Ces choses doivent être absolument vraies, sinon, cette personne ira à l’autel se débarrasser de ce mauvais esprit. Dieu ne ment pas. Dieu dit la vérité. Voyez? Vous avez alors l’église en ordre.

C’est ce que nous enseignerons une fois que nous aurons la tente. Nous pourrons alors avoir une grande église et voir si Dieu peut permettre de mettre cela ensemble. Tous ces dons opèrent dans l’église, mais les gens les prennent et vont avec dans tous les sens. Comme Paul l’a dit: «Les gens disent que vous êtes fous.» C’est ce qui fait mal à l’Eglise pentecôtiste. Certainement. Vous avez eu des dons, mais vous... votre pasteur a failli de... Excusez-moi, frères. Je ne voulais pas dire cela. Je... Eh bien, je.... Oui, c’est aussi ce que je voulais dire. Je ne retirerai pas cela... Je ne voulais pas vous blesser. C’est ce que je voulais dire. Voyez? Mais, écoutez. Cela a manqué de mettre l’église dans un bon ordre. C’est vrai. C’est ce dont l’église a besoin aujourd’hui. Que cette église soit mise en ordre, observez alors tout l’enfer se mettre en débandade. Oui, oui. Elle se rassemblera.

E-62 Vous savez, c’était le premier... de Salomon... Le temple de Dieu avait été taillé dans le monde entier, mais lors du rassemblement, chaque pierre occupait sa place. Voyez? La Pierre principale de l’angle, Celle qui avait été rejetée, était devenue la Pierre de l’angle. Or, tous ces dons spirituels... Eh bien, un don de prophétie... On naît prophète. Un don de prophétie est sur une personne, et puis sur une autre, sur l’une et puis sur l’autre. C’est tout... C’est simplement dans l’église. Tous les neufs dons spirituels devraient opérer dans chaque corps local. Oui, et il devrait y avoir des juges là et autres, l’église devrait être en ordre et marcher correctement.

E-63 Mais alors, un prophète... Ecoutez donc. Jérémie... Eh bien, nous... beaucoup. Nous prenons Moïse, il est né prophète. Elie, Jean-Baptiste sont allés directement au désert. Voyez? Un prophète... Il y a...?... Zacharie.

Dieu a parlé à Zacharie, disant: «Avant que Je t’eusse formé dans le ventre de ta mère, Je te connaissais, Je t’avais consacré et Je t’avais établi prophète des nations. Est-ce vrai? Tout le temps, ils avaient l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, non pas... Il n’y avait pas des juges qui se tenaient devant eux. Ils avaient la Parole de Dieu. C’est vrai.

Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers jours, nous a parlé par Son Fils, Jésus-Christ, le Ressuscité. Eh bien, s’Il se tient ici avec ces dons prophétiques et toutes sortes de dons qui opèrent dans l’église, il vous faudra croire en Lui. Allez-vous le faire?

E-64 Maintenant, Père céleste, puisses-Tu accorder cet après-midi ces bénédictions à ces gens, alors que nous attendons davantage de Ton Esprit pour nous bénir. Nous le demandons au Nom de Christ. Amen.

Maintenant, nous tous, alors que je me suis écarté de mon enseignement, là, tous ensemble, chantons Crois seulement. Alors, voudriez-vous bien reprendre encore une fois maintenant? Je me demande, pendant que nous chantons ce... Si Jésus apparaît ici cet après-midi, Jésus ressuscité, s’Il apparaît ici cet après-midi, dans Son corps devant les gens, et qu’Il fait les mêmes choses qu’Il avait faites jadis lorsqu’Il était sur terre, croirez-vous cela?

Ecoutez donc. Cléopas et l’autre, après la résurrection, ils pensaient que Jésus était mort. Il marchait en compagnie de ceux qui L’aimaient. Et beaucoup parmi vous aiment le Seigneur. Mais vous manquez de reconnaître qu’Il est avec vous tout le temps.

C’est ça le problème pour votre guérison aujourd’hui. Vous manquez de reconnaître qu’Il est juste à côté de vous. Oh! je souhaiterais pouvoir vous faire comprendre cela. Oh! la la! Je souhaiterais pouvoir enfoncer profondément cela de ce côté-là, vers la cinquième côte. Voyez? Si seulement vous pouvez reconnaître...

E-65 Regardez–regardez Cloé–Clapas et l’autre. Ils marchaient, en disant: «Eh bien, je pense que tout est fini. Il est mort. Nous L’avons vu être tué. Nous avons vu la lance percer Son coeur et Il est mort avant hier. Et, eh bien, il nous faut retourner chez nous. C’est tout. Oui, on a entendu une histoire là que ces femmes affirmaient L’avoir vu. Mais, évidemment, nous en avons entendu des nouvelles. Les Juifs étaient venus Le voler et ils L’ont emporté. Je me demande ce qui est arrivé.»

Un Etranger s’est présenté là et a dit: «Bonjour, frères.»

«Bonjour, Monsieur.»

Il a dit: «Pourquoi êtes-vous si tristes?»

Ils lui ont répondu: «Es-Tu le seul qui, séjournant à Jérusalem, ne connaisse pas Jésus de Nazareth? Nous espérions que ce serait Lui qui deviendrait le Roi d’Israël, Il est mort. Voici le troisième jour, et autre, et...»

«Eh bien, a-t-Il dit, ô hommes sans intelligence et lents à comprendre.» Suivez. D’abord, Il est directement allé aux Ecritures. C’est là que Jésus nous amène toujours. Dès que vous voyez un homme s’écarter de ces Ecritures, éloignez-vous de lui. Voyez? Attachez-vous bien aux Ecritures.

E-66 Il est directement allé aux Ecritures, Il a commencé par les prophètes, Il a commencé à expliquer dans l’Ancien Testament ce que Dieu était censé faire, ressusciter Christ, comment Il mourrait, ressusciterait le troisième jour et tout. Et ils ne reconnaissaient pas que c’était Lui. Ils ont marché avec Lui toute la journée.

Et lorsqu’ils sont arrivés à destination, à un village, Jésus parut vouloir les dépasser. Vous savez, c’est ce qu’Il fait souvent. Vous pensez qu’Il va vous dépasser. Il ne le fera pas. Ne vous en faites pas, Il ne va pas vous dépasser.

Il fait donc comme s’Il allait dépasser. «Oh! ont-ils dit, Tu dois venir rester avec nous. Le jour est fort avancé. Tu dois...» Ils L’ont contraint à entrer.

Il a dit: «D’accord.» Il répond à l’invitation. Ils sont donc entrés, ils ont fermé la porte. La petite servante est venue et a demandé: «Que voulez-vous, gentils hommes?» Ils ont commandé du pain et autres. Et alors, elle est rentrée, elle en a ramené et a dressé la table. Ils ont rendu des actions de grâces. Et alors, Jésus a fait quelque chose comme Il en avait l’habitude. Alors, Cléopas a regardé son ami, et celui-ci l’a regardé à son tour: «Eh bien, a-t-il dit, c’est–c’est exactement, c’est exactement ce que–ce que Jésus faisait quand...» Il a encore regardé et Jésus avait disparu.

Vous voyez. Ils ne sont pas très vite rentrés pour discuter de leur religion. Ils sont rentrés en courant pour dire: «Le Seigneur est effectivement ressuscité.»

E-67 Eh bien, nous ne sommes pas ici pour discuter la théologie de quelqu’un. Qu’ils soient méthodistes, baptistes ou presbytériens, qu’ils baptisent de telle manière ou de telle autre, qu’ils aspergent, c’est... ne faites pas cas de cela.

Je suis ici pour proclamer que Christ est ressuscité d’entre les morts. C’est ça l’essentiel. Et j’espère que ce n’est pas en vain. Et j’essaie d’assister les malades avec cela, de leur faire savoir qu’Il est mort pour les guérir, de même qu’Il est mort pour les sauver. Puisse-t-Il venir faire cela, voilà ma prière.

Croyez seulement. Tout est possible, si seulement tu crois. «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» J’ai demandé au Père, au Nom de Jésus, que Son Fils vienne. Et nous... Abandonnez-vous vous-même à Lui. Je vais m’abandonner à Lui. Il nous parlera cet après-midi. Que le Seigneur vous bénisse. Très bien.

E-68 Où sont les cartes de prière? Avez-vous distribué quel... De quel numéro à quel autre? Ont-elles été distribuées? La série E? Voyons A... A, B, C, D, E. C’est bien. La série E. Oh! la la! Voyons. Nous avons appelé de 1 à 50 et... Appelons alors ce soir à partir d’un autre numéro. Appelons à partir de 75 aujourd’hui.

Qui a la carte de prière E-75? C’est un petit bout de papier comme ceci, une petite carte blanche qui porte un numéro et une lettre. E-75? Voudriez-vous lever la main? Peut-être que je me trompe... Etait-ce la série E? Oh! je suis désolé, soeur. Venez ici. Ici même au bout des marches. E-75, 76, 77, 78, 79. 79? D’accord. 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100.

E-69 Eh bien, soyez vraiment respectueux. Je ne serai pas responsable des critiqueurs ou de ce qui leur arrive. Et j’espère vous revoir l’année prochaine ou n’importe quand que nous pourrons avoir la tente. J’aimerais remercier les Hommes d’Affaires Chrétiens pour leur précieuse collaboration; les pasteurs pour leur précieuse collaboration, les concierges ici, et que sais-je encore, et les huissiers. Ils ont fait du bon travail; la soeur ici, l’organiste, la pianiste. Chacun de vous qui faites des enregistrements, pour votre assistance, votre soutien et pour tout. Que Dieu vous bénisse richement, c’est ma prière. Et je prie qu’Il vous récompense au centuple.

Rappelez-vous, lorsque vous... Si je peux trouver faveur auprès de vous, écrivez-moi. La nuit ne sera pas trop sombre, et la pluie ne tombera pas trop abondamment, pour m’empêcher de prier pour vous. C’est vrai.

Pendant qu’on cherche à les aligner ici, ceux qui ont des cartes de prière, commençons la ligne de prière pour gagner du temps. Voudriez-vous, frères, avancer et... Très bien, faites venir certaines personnes ici.

E-70 Combien ici n’ont pas de cartes de prière et aimeraient que Jésus les guérisse? Faites voir la main. (Excusez-moi.) Que Dieu vous bénisse.

Mes chers amis, mes plus braves, vous rendez-vous compte de ce que vous avez fait il y a quelques instants en contribuant pour cette offrande? Savez-vous ce que vous avez fait? Vous m’aidez à nourrir mes enfants. S’il en reste quelque chose que je ne... Mes dépenses à la maison s’élèvent à environ cent dollars par jour, mon bureau et tout. L’expédition des tissus oints, tout est gratuit.

Et j’aimerais vous rassurer, frère, soeur, que pas un seul cent ne sera affecté à une mauvaise chose. Au mieux de ma connaissance, ce sera affecté aux champs missionnaires là et ça m’aidera à prêcher l’Evangile à ceux qui ne sont pas sauvés et aux païens dans le pays. Et puis, pas encore... L’intendant de cette... Cela n’est pas entre vos mains. C’est entre mes mains, maintenant. Peut-être que c’est cent dollars, peut-être, trois cents dollars. Je ne sais pas combien c’était; si c’est mille dollars. Je ne sais pas combien c’était. Mais quel que soit le montant, maintenant ça relève de moi. J’en répondrai après ça. Et j’aimerais être un bon intendant devant Dieu. J’utiliserai cela au mieux de ma connaissance pour Sa gloire. Je vous remercie, et que Dieu vous bénisse.

E-71 Et maintenant, je me demande si vous connaissez très bien Reste avec nous, sans musique. Ce cantique Reste avec nous. Juste un peu plus fort, s’il vous plaît, afin que la foule puisse venir... C’est bien, soeur.

Si vous voulez venir... J’aime ce cantique. Détendons-nous. On est dans l’Eglise. Reste avec nous.

Ô Dieu. Si vous demeurez en Moi et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voulez et cela vous sera accordé. Reste avec nous.

Maintenant, Père céleste, sois avec nous, Seigneur. Nous savons que l’opposition est proche. Satan fait rage. L’incrédulité cherche à s’établir sur les gens. Pourtant, les anges ont pris position. Ils sont prêts. Même les drapeaux noirs seront agités, ou plutôt les drapeaux blancs du Ciel vont être agités dans la victoire.

Ô Dieu, nous le demandons au Nom de Jésus pour la victoire. Viens-nous en aide maintenant. Pardonne-nous nos péchés. Puissions-nous tous nous rencontrer un jour en paix chez Toi. Avant ce jour-là, viens-nous en aide alors que nous allons encourager les autres à croire. Car nous le demandons au Nom de Christ, le Fils de Dieu. Amen.

E-72 Maintenant, si le–si le technicien veut bien veiller à ma voix. Tout doucement, s’il vous plaît. [Frère Branham parle à l’organiste.–N.D.E.]

Maintenant, la dame ici. D’abord, tous ces gens, je ne les connais pas, vous le savez. Je suis un étranger. Je vous suis inconnu, je suppose. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue, mais cependant Dieu vous connaît.

Mais si le Seigneur Jésus me révèle quelque chose dont vous avez besoin, juste comme ça, pour les nouveaux venus... Ça me vient à l’esprit. Voici un tableau typique maintenant. Je m’adresse aux nouveaux qui sont ici pour la première fois. Voici une fois de plus aujourd’hui un tableau, du temps biblique.

E-73 Le Seigneur Jésus allait, Il allait çà et là, Il était le Prophète de Galilée, et on... Il disait qu’Il ne pouvait rien faire de Lui-même, mais Il ne faisait que ce qu’Il voyait faire au Père. Alors, un jour, Il allait en Samarie, Il devait passer par Jéricho, Il a gravi la montagne. Je me demande pourquoi. Il a dit que le Père L’avait envoyé là-bas, évidemment.

Il s’est assis à un puits, et une femme est sortie puiser de l’eau. Et Il a dit... Avant cela, Il avait renvoyé Ses disciples chercher de la nourriture. Et Il a dit à cette femme: «Donne-Moi à boire.» Pourquoi avait-Il fait cela? «Donne-Moi à boire.» Peut-être qu’Il n’avait pas soif.

Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains.» Elle a dit: «Il n’y a pas de relations entre nous.»

«C’est vrai.» Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurait demandé à boire. Et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.»

Elle a dit: «Le puits est profond, et Tu n’as rien avec quoi puiser.»

Il a dit: «Mais l’eau que Je te donnerai, ce sera la Vie qui bouillonnera.»

«Eh bien, elle a dit, nos pères ont adoré sur cette montagne et vous, vous dites que c’est à Jérusalem qu’il faut adorer.»

Il a dit: «Femme, le salut vient des Juifs. Nous le savons. Nous adorons... Nous savons ce que nous adorons. Le salut vient des Juifs. Mais l’heure vient où le Père ne... ne sera pas adoré sur cette montagne ni à Jérusalem, mais en Esprit et en Vérité. Et c’est ce genre d’adorateurs que le Père cherche.» Est-ce scripturaire? Et que faisait-Il donc? Il a poursuivi cette conversation avec la femme, Il contactait son esprit.

E-74 Le Père Lui avait dit: «Va là.» C’est tout ce qu’Il savait faire. Le Père m’a dit de venir ici. C’est tout ce que je savais faire. Voici une femme. Je ne sais rien à son sujet. Mais qu’est-ce que je fais? Je contacte son esprit, c’est la même chose que Jésus avait faite.

Eh bien, Jésus a dit à la femme: «Va appeler ton mari.» Il avait découvert son problème. Est-ce vrai? Il a dit: «Va appeler ton mari.»

Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

Il a dit: «Tu as dit vrai. Tu en as eu cinq.» Qu’avaient dit ces Juifs quand Jésus avait dit à Nathanaël où il était.

Il a dit: «Ceci est le signe du Messie. Tu es le Christ, le Roi d’Israël.» Observez cette Samaritaine cette fois-ci. Qu’allez-vous dire? Eh bien, elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Je sais que lorsque le Messie... Nous savons (les Samaritains), nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

Il a dit: «Je le suis, Moi qui te parle.»

E-75 De quoi cela était-il le signe? Aux nouveaux venus? Du Messie. Est-ce vrai? C’était le signe du Messie pour les Juifs. C’était le signe du Messie pour les Samaritains. C’était la même chose pour les Gentils, lorsque Pierre est allé là. Jésus avait été envoyé seulement aux brebis perdues d’Israël.

Or, si le Messie n’est pas dans la tombe, mais qu’Il est vivant aujourd’hui dans Son Eglise, cela demeure toujours le signe du Messie. Est-ce vrai? Chez Corneille, lorsque Pierre y est arrivé et leur a présenté la vision qu’il avait eue sur le toit de la maison... il avait vu Corneille et les autres. Il les avait vus. C’était le signe du Messie, la résurrection.

Pendant que Pierre prononçait ces paroles, le Saint-Esprit descendit sur tous ceux qui écoutaient. N’est-ce pas vraiment dommage aujourd’hui que nos coeurs soient devenus si pierreux? Ne pouvons-nous pas nous attendrir davantage? Savez-vous pourquoi? J’ai vu quelque chose juste comme... Si le Seigneur fait... Cela est arrivé une fois en Inde, des milliers.

Une fois, à Durban, en Afrique du Sud, j’ai vu vingt mille purs autochtones venir à Christ en une fois. J’ai vu vingt-cinq mille personnes être guéries en une fois. Ils ont transporté sept (c’était publié par les journaux), sept camions, sept grands camions pleins de béquilles, de fauteuils roulants et autres ramassés sur place après une seule prière.

E-76 Mais, oh! nous avons trop de doctrines. «Docteur John dit que c’est de la télépathie mentale comme les Juifs le disaient.» L’autre dit que c’est du diable. «N’ayez rien à faire avec.» Pauvres gens, nous sommes les...

Nous avons besoin des missionnaires en Amérique plus que n’en a besoin le monde entier réuni. Il est beaucoup plus difficile de traiter avec un païen instruit qu’avec un non instruit. Un païen, c’est un incroyant.

Eh bien, madame... Soeur, évidemment, je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Il devrait y avoir un moyen quelconque pour moi... Si Dieu me dit ce pour quoi vous êtes ici ou quelque chose comme cela qu’Il a fait par Jésus pour cette femme, allez-vous L’accepter? Est-ce que l’audience re... l’acceptera de tout son coeur? Croyez-vous que vous L’accepterez? Si le... Observez ceci. La dame jure, on dirait (Nous ne croyons pas dans le fait de jurer), elle a levé la main. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, est-ce vrai, madame? Nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Juste... Avez-vous été dans mes réunions? Mais vous–vous savez que je ne vous connais pas. C’est ce que je veux dire. Voyez-vous? Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Est-ce notre première rencontre? D’accord. Alors, si quelque chose est révélé, cela devra venir par Dieu.

E-77 Eh bien, vous pouvez dire que c’est de la télépathie, vous pouvez dire que c’est du diable. Eh bien, cela déterminera ce que vous en tirerez.

Vous connaissez la femme qui avait touché Son vêtement, elle avait tiré de la vertu. Mais l’homme qui avait mis un lambeau autour de Sa tête, ce soldat romain, les soldats qui L’avaient critiqué, L’avaient frappé sur la tête avec un bâton et ont dit: «Dis-nous qui T’a frappé, nous croirons alors en Toi», ils n’ont pas ressenti de vertu. Ils n’avaient rien reçu. Ils ont été condamnés et ils sont allés en enfer pour cela, puisqu’ils ne s’étaient pas repentis. C’est absolument donc la vérité. Ce n’est pas vrai.

Maintenant, si Dieu me dit ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous que je suis Son serviteur, le serviteur du Seigneur Jésus-Christ? Mais c’est Son Esprit qui fait la même chose qu’Il avait faite dans la Bible. Rappelez-vous que toute l’audience a affirmé qu’Il le fera. Maintenant, soyez-en juge. Voyez si c’est vrai ou pas. Soyez-en juge.

E-78 Maintenant, la première chose, cette dame... Je la vois toute bouleversée au sujet de quelque chose. Premièrement... Oui, elle est nerveuse. Je vois cela. Elle est extrêmement nerveuse. Evidemment, c’est dû à la période de la vie qu’elle traverse en ce moment. C’est dû à son âge. Autre chose, elle souffre d’une grosseur, une grosseur au dos (c’est vrai.), et une autre au pied aussi. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous?

Maintenant, puis-je ôter cette grosseur? Non, Jésus l’a déjà fait au Calvaire. Croyez-vous cela? Vous connaissez d’autres ennuis aussi, n’est-ce pas? Il s’agit de votre parent. Oui. Ce sont des problèmes de foyer, on dirait. C’est au sujet du mariage et du divorce et tout. C’est pour votre neveu. Est-ce vrai? Maintenant, me croyez-vous? Très bien. Allez recevoir ce que vous demandez. Le Seigneur Jésus vous rend...

E-79 Grâces soient rendues à Dieu! Maintenant, Il est ici. Je ne sais comment vous jugez cela. Ça dépend de vous. Christ... J’ai prêché Sa Parole. Christ est ici pour confirmer Sa Parole, pour accomplir Sa Parole. Maintenant, tout dépend de ce qu’il y a dans votre coeur. Je vais continuer avec la ligne de prière.

Bonsoir, madame. Je ne vous connais pas, madame. Vous le savez. Dieu seul vous connaît, en ce qui me–en ce me concerne. Il se peut que beaucoup de gens vous connaissent, mais pas moi. Mais si Dieu me révèle ce qu’est votre problème, croirez-vous que c’est Christ et non votre frère ici qui le fait? Croirez-vous?

Vous souffrez d’une espèce de maladie qui vous rend raide: L’arthrite. C’est vrai. Vous souffrez de l’arthrite. Si c’est vrai, levez la main. Vous avez aussi une grosseur. Et cette grosseur se trouve à la gorge. C’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous maintenant? Alors, quittez l’estrade comme une jeune dame. L’arthrite vous a quittée. Allez-y, allez prendre votre souper et faites tout ce que vous voulez. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!»

E-80 Bonsoir, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose, monsieur. Vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose, n’est-ce pas? Oui, oui. L’assistance peut voir l’expression sur le visage des gens quand ils s’approchent.

Combien ont vu cette photo de l’Ange du Seigneur? Faites voir la main. C’est Ce qui est ici même à côté de ce frère maintenant. C’est vrai. Etes-vous conscient qu’il se passe quelque chose? Voyons... Cela se tient entre nous en ce moment-ci, monsieur. Nous nous tiendrons devant Cela un jour pour le jugement.

Je ne peux pas vous guérir, si vous êtes malade. Vous–vous savez que Jésus l’a fait. Ce qu’Il a fait, Il a déjà payé le prix pour cela. Il nous faut simplement croire cela, accepter cela et avoir foi en cela. Croyez que c’est ce que Dieu veut pour nous. Ce qu’Il a fait.

Mais vous souffrez de... Je vois, ça ressemble au sang ou quelque chose comme cela. C’est, on dirait... c’est le diabète, le diabète sucré. C’est vrai. N’est-ce pas, monsieur? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous cela, assistance?

Regardez-moi juste un instant, monsieur. Vous avez un bon, un très bon esprit. J’apprécie cela. Je ne vous ai jamais vu. Voici ce que je dis, vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez d’une centaine de kilomètres d’ici, d’une ville appelée King ou quelque chose comme cela. C’est vrai. Et vos initiales, c’est W. C. comme Ceracy. C’est vrai. C’est vrai. C’est vrai. C’est vrai. Croyez-vous donc que je suis prophète de Dieu? Alors, allez et soyez guéri. Jésus-Christ vous guérit.

E-81 Croyez-vous? Ne doutez pas. Ayez foi. Si tu peux croire, tout est possible.

Croyez-vous, madame? Je crois que vous dites la vérité. D’accord. Puisse le Seigneur vous bénir et vous venir en aide.

Maintenant, la première chose, c’est que vous souffrez des maux de tête, d’une espèce de lésions de nerfs. Vous avez aussi une affection de vésicule, cela vous dérange, n’est-ce pas? C’est ce que votre médecin vous a dit après tout. C’est vrai. Croyez-vous que vous êtes guérie? Allez donc et croyez cela de tout votre coeur. Puisse le Seigneur vous bénir. Que Dieu vous bénisse. Amen. Gloire au Seigneur!

Oh! Si cela ne m’affaiblissait pas tellement... Ayez simplement foi. Assistance, êtes-vous conscient qu’il se passe quelque chose? Etes-vous conscient que quelque part, dans une dimension surnaturelle, se tient Christ le Ressuscité? Il est aussi là dans l’assistance. Croyez-vous cela? Regardez dans cette direction et dites-Lui que vous croyez. N’importe où dans la salle, regardez simplement et dites: «Ô Dieu, je crois cela.»

E-82 Pourquoi priez-vous, petite dame assise là au bout de ... Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous aimeriez guérir de cette crise des nerfs dont vous souffrez, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez-vous. La petite dame juste là au bout de... Cette petite dame avancée en âge ici debout. C’est bien. Vous étiez assise là, priant à cause de la maladie des nerfs dont vous souffriez, n’est-ce pas? Ce sont des troubles nerveux. Vous êtes toujours dérangée, n’est-ce pas? Si c’est vrai, faites signe de la main comme ça. Maintenant, maintenant même, vous ne sentez plus cela, n’est-ce pas? Ça vous a quittée. Vous êtes guérie. Votre foi vous a guérie. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous une femme rétablie, en glorifiant Dieu.

E-83 Ecoutez, soeur. Ne pleurez pas; croyez. Croyez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur? Je ne peux pas vous guérir, vous le savez, s’il me le fallait. Mais si Dieu me révèle votre maladie, allez-vous–allez-vous accepter cela? Votre maladie, c’est que vous êtes très faible. C’est vrai. Vous avez perdu beaucoup de poids. Je vous vois une femme plus grande que vous l’êtes réellement maintenant. Pourquoi? Vous venez de sortir d’un hôpital. Vous avez eu une expérience dans cet hôpital, et vous êtes si faible que vous ne pouvez vous tenir debout. C’est vrai, n’est-ce pas? AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si c’est vrai, levez-vous.

Maintenant, la faiblesse vous quitte. Vous pouvez rentrer chez vous et être une femme bien portante. Votre foi vous a guérie. Amen. Ayez foi en Dieu. Si tu peux croire...

E-84 Est-ce vous le patient ou la personne? Croyez-vous? Croyez-vous ce que j’ai prêché, que Jésus-Christ est le Fils de Dieu? Est-ce vrai, madame? Vous êtes une croyante. Comment le sais-je? Vous pouviez être une critiqueuse, mais votre esprit est accueillant. Vous êtes une croyante. Je suis juste votre frère. Je ne vous ai jamais vue de ma vie.

Mais maintenant, si vous avez besoin de la guérison, je ne peux pas vous l’accorder; vous le savez. Si vous avez besoin du pardon pour quelque chose, à moins d’avoir péché contre moi... Je peux vous pardonner si vous avez péché contre moi, mais c’est à Dieu de vous pardonner. Mais votre vie, vous ne pouvez pas la cacher maintenant, car vous êtes déjà en contact. Amen. C’est merveilleux. Vous êtes quelqu’un de nerveux aussi, vraiment très agité, épuisé. En outre, vous souffrez d’une–d’une hernie aussi. C’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous avez plus d’ennuis que ça, soeur. Vous priez au sujet d’un fils. Ce fils est un retardé mental, votre garçon. Et vous priez pour lui. Vous n’êtes pas d’ici non plus. Vous venez d’une ville appelée Green Mill. C’est vrai, n’est-ce pas? Prenez ce mouchoir avec lequel vous vous essuyez les larmes, posez-le sur l’enfant. Il sera libre.

E-85 Oui, soeur, vous qui avez ces gants noirs et les mains comme ça. Redressez-vous, regardez dans cette direction, vers moi. Si je ne vous répète pas votre prière, celle que vous offriez et que j’ai entendue dans une autre dimension, dans un autre monde, vous dire ce pour quoi vous priiez, allez-vous croire que Jésus vous a exaucée? Et Son... Celle-ci est Son onction? Qui exauce la prière? Christ.

Vous priiez pour l’affection de vésicule. Et vous priiez pour une affection de colon, vous demandiez que Dieu m’amène à vous parler. Est-ce vrai? Si c’est vrai, j’aimerais que vous vous leviez juste un instant afin que les gens le sachent. Tournez-vous vers l’assistance.

Croyez-vous? N’ayez pas peur, soeur. Vous allez vous rétablir. Pourquoi dis-je cela? Ça devient blanc, ça devient clair autour de vous. Premièrement, il y avait une ombre noire. Ensuite, cette Lumière est descendue et vous L’avez acceptée. Ce même ange qui était là est parti. Maintenant, allez en croyant. Ne doutez pas, car il cherchera à revenir. Et votre dernière condition sera sept fois pire. Mais vous croyez ce qui vous a été dit. S’il connaît votre passé, assurément qu’Il connaît votre avenir.

Et écoutez. Autre chose, cette marche intime avec Dieu que vous recherchez (C’est vrai. C’est vrai), vous allez la recevoir maintenant. Amen. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, je vous dis seulement votre désir et ce qu’est votre prière.

E-86 Bonsoir, madame. Que pensez-vous de tout cela? Croyez-vous que c’est le Fils de Dieu, que ce n’est pas votre frère? Vous le savez. Oh! la la! comment pourrais-je faire ces choses? Je n’ai pas...

Soeur, ayez foi. Eh bien, je ne peux pas vous guérir, mais croyez. Vous vous êtes levée il y a quelques instants, vous vous êtes trompée de personne. Il s’agissait d’une petite dame qui est assise ici devant. Mais vous vouliez... Vous étiez nerveuse; c’est ce qui en était toujours à la base. Mais vos ennuis proviennent du dos, c’est vrai, n’est-ce pas, chérie? La petite fille là, lève la main si c’est vrai. Tu vois? Approche-toi, juste un peu. C’est très bien. J’ai vu ce qui n’allait pas avec toi. Impose la main à cette dame à côté de toi, car elle souffre de l’arthrite. Elle veut qu’on prie pour elle. N’est-ce pas vrai, madame?

La dame âgée, levez la main. Croyez-vous maintenant que je suis Son serviteur? Ayez foi et croyez. Je vous vois avec quelque chose autour de votre bras. Oh! C’est quelque chose pour la tension sanguine. On dit que vous avez l’hypotension. C’est vrai, n’est-ce pas?

Permettez-moi de vous dire autre chose afin de vous encourager. L’hypotension est pire que l’hypertension. Nous le savons, surtout avec votre poids. Mais je voudrais vous demander une chose. Permettez-moi de vous dire quelque chose afin que vous sachiez que Jésus-Christ est ici. Vous avez quelqu’un d’autre pour qui vous priiez. C’est votre papa. Il n’est pas ici. Mais il a un mal de hanche. C’est vrai, n’est-ce pas? Maintenant, allez, prenez ce mouchoir avec lequel vous vous essuyiez les larmes, recevez ce que vous demandez.

E-87 Venez, madame. Vous savez que Dieu peut guérir le diabète, croyez-vous cela? Très bien, allez le Lui dire, remerciez-Le. Dites-lui: «Merci, Seigneur!» Croyez maintenant en Lui. Venez, madame. Me croyez-vous, soeur? Vous êtes trop jeune pour souffrir de ce genre de maladie. C’est une maladie gynécologique, des troubles féminins. C’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il vous guérit? Vous sentez maintenant quelque chose que vous n’avez jamais senti auparavant. N’est-ce pas vrai? Maintenant, allez en croyant. Cela arrivera. Si tu peux croire... Soeur, Dieu... Vous avez l’une des pires maladies qu’il y a: la maladie du coeur. Dieu peut guérir la maladie du coeur, n’est-ce pas? Croyez-vous cela? Croyez-vous cela? D’accord. Alors, allez et recevez cela, soyez guérie de tout votre coeur.

Bonsoir, madame. Ecoutez donc, l’arthrite, c’est une mauvaise chose. Les médecins n’ont rien contre cela, mais Jésus en a. Acceptez-vous cela? Allez, quittez l’estrade; recevez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus.

E-88 Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Jésus-Christ est ici pour vous rétablir? Très bien. La maladie gynécologique vous a quittée. J’aimerais vous dire quelque chose. Ça cause aussi un drainage, n’est-ce pas? Très bien. Allez en vous réjouissant, étant heureuse, remerciant le Seigneur pour Son...?... Que Dieu vous bénisse. Je vous ai vu tomber là. Satan cherchait à vous troubler. Mais savez-vous ce qui en est à la base? C’était juste un petit quelque chose d’un peu étrange. En effet, la femme qui venait de passer par ici a été guérie de la maladie du coeur, la même maladie dont vous souffriez et dont vous avez été guérie. C’est ce qui a causé, c’est ce qui a fait qu’il a cherché à vous faire tomber et vous faire mal. Mais il a échoué. Vous êtes guéri. C’est vrai.

Vous souffrez d’une maladie gynécologique. La chose principale, c’est que vous êtes nerveuse. Avec une maladie gynécologique, des troubles féminins en sont à la base. Croyez-vous que vous en êtes–que vous en êtes guérie? Partez donc et recevez-Le, au Nom du Seigneur Jésus.

E-89 Ayez foi. Madame, qu’est-ce que l’affection des reins ou les maux de dos aux yeux de Dieu? Croyez-vous qu’Il va vous rétablir? Allez donc recevoir cela au Nom de Jésus. Croyez-vous? Hein? Un instant. Croyez-vous? Qu’en est-il là dans l’assistance? Est-Il ressuscité d’entre les morts?

Croyez-vous que votre fille têtue reviendra à la maison et sera sauvée, madame? Vous priez pour votre fille, n’est-ce pas? Oui. Imposez la main à cette enfant qui est à côté de vous, elle souffre de bronchite, dans les tubes bronchiques. C’est vrai, n’est-ce pas, madame?

Ayez foi en Dieu. Qu’en est-il de vous juste derrière elle? Vous souffrez de la colonne vertébrale, n’est-ce pas, madame? La petite... Levez-vous, vous là, un peu pâle. Imposez la main à cette dame à côté de vous. Elle souffre de l’arthrite, elle veut être guérie. Levez-vous. Croyez. C’est tout. Tout est fini maintenant. Vous êtes guérie. Et vous autres? Croyez-vous? Croyez-vous qu’Il est ici? Est-Il ressuscité d’entre les morts? Voulez-vous le Saint-Esprit? C’est Lui ici. Vous pouvez Le recevoir. Levez-vous et rendez-Lui gloire et vous recevrez tout...

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