William Branham 
Un Prophète 
visite l'Afrique du Sud

William Branham
Un Prophète
visite l'Afrique du Sud

Julius Stadsklev

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Une reunion typique

Chapitre 4



Bonsoir, mes amis. Que la grande miséricorde de Dieu et Sa paix soient avec vous tous. Mon séjour ici, dans votre ville, est court, mais j’en apprécie chaque heure. Dans mon cœur, je ressens que ce ne sera pas mon dernier voyage en Afrique du Sud. Si Dieu le permet, nous reviendrons volontiers. Sans doute qu’à ce moment-là, vous aurez encore plus de foi, à cause de ce que vous avez vu, et de ce que vous verrez ce soir. Je sais que, dans l’auditoire ce soir, il y a un grand nombre de personnes qui sont déjà guéries. Vous ne vous en rendez peut-être pas compte en ce moment, mais notez bien ce que je vous dis. Au cours des semaines à venir, vous verrez des gens qui étaient malades aller voir leur pasteur et leurs amis, pour leur dire : « Mes problèmes d’estomac ont disparu »; « Le cancer, je ne l’ai plus »; « Regardez mon bras : je peux m’en servir », et beaucoup d’autres choses de ce genre. Vous verrez que je vous ai dit la vérité.

J’aimerais beaucoup voir un réveil dans toutes les églises de l’Afrique du Sud. Nous sommes tous un en Christ. Nous sommes un seul Esprit, unis dans un seul corps. N’est-ce pas que ce sera merveilleux de voir les murs des dénominations s’écrouler, pour que nous agissions comme n’étant qu’un en Jésus-Christ? C’est ce qui produira le réveil.

Maintenant je voudrais juste lire un passage de l’Écriture, car je pense qu’aucune réunion n’est complète sans la lecture de la Parole. Mes paroles à moi failliront, comme celles de tout homme, mais la Parole de Dieu ne faillira jamais. Souvenez-vous, la Parole de Dieu vaincra Satan n’importe où, n’importe quand et en toute circonstance. Quand Jésus était ici, le Père était en Lui, et Il était égal au Père. Cependant, quand Il a rencontré Satan, Il n’a utilisé aucun de Ses dons. Il s’est contenté de dire : « Il est écrit. » Chaque fois que Jésus disait : « Il est écrit », Il remportait la victoire sur Satan. Vous avez la promesse dans la Parole de Dieu, et chaque fois que vous utilisez la Parole avec foi, Satan vous laisse. Ceci est la Parole de Dieu, et si ce que je dis ne correspond pas à celle-ci, alors mes paroles ne valent rien. Par contre, si mes paroles correspondent à la Parole de Dieu, Dieu les respectera, et c’est ce qu’Il a fait, déjà, au cours des réunions que nous avons eues.

Je voudrais maintenant lire dans le deuxième chapitre de l’Évangile de Luc, à partir du verset vingt-cinq :

« Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit-Saint était sur lui. Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi, il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit : Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut, salut que tu as préparé devant tous les peuples, lumière pour éclairer les nations, et gloire d’Israël, ton peuple. Son père et sa mère étaient dans l’admiration des choses qu’on disait de lui. Siméon les bénit, et dit à Marie, sa mère : Voici, cet enfant est destiné à amener la chute et le relèvement de plusieurs en Israël, et à devenir un signe qui provoquera la contradiction, et à toi-même une épée te transpercera l’âme, afin que les pensées de beaucoup de cœurs soient dévoilées. Il y avait aussi une prophétesse, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était fort avancée en âge, et elle avait vécu sept ans avec son mari depuis sa virginité. Restée veuve, et âgée de quatre-vingt-quatre ans, elle ne quittait pas le temple, et elle servait Dieu nuit et jour dans le jeûne et dans la prière. Étant arrivée, elle aussi, à cette même heure, elle louait Dieu, et elle parlait de Jésus à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. »

Que le Seigneur Jésus ajoute Sa bénédiction à la lecture de la Parole.

Je voudrais parler des attentes, pendant quelques instants. Généralement, on obtient ce à quoi on s’attend. Ainsi, si vous venez à une réunion dans le seul but de critiquer, à coup sûr Satan vous montrera quelque chose à critiquer. Si vous venez pour être béni, Dieu veillera à ce que vous soyez béni, car vous recevrez ce que vous attendez.

Je vais vous donner un exemple de ce que je veux dire. Une fois, ma mère m’a envoyé à une fête, et elle m’a dit que j’y rencontrerais sa soeur. Elle me l’a décrite comme étant petite, avec des traits plutôt anguleux, un front haut, les cheveux peignés vers l’arrière, enroulés en chignon. Je me suis mis à sa recherche, en ayant une certaine idée de l’air qu’elle aurait.

Or, si vous venez pour la guérison Divine, vous devez avoir une certaine idée de ce que Dieu est. Croyez-vous cela? Eh bien, Dieu est un Esprit, mais on peut observer Sa manière d’agir. Jésus a dit qu’Il nous enverrait le Saint-Esprit, et que c’est Lui qui rendrait témoignage de Christ et nous rappellerait les choses que Jésus avait dites. Il nous montrerait aussi les choses à venir. Il a dit : « Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père. » Il a aussi dit qu’Il ne pouvait rien faire tant que le Père ne le Lui avait pas montré; ensuite, quand le Père Lui donnait une vision, Il l’exécutait. Or, Jésus est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Nous devrions donc avoir dans nos réunions le même genre de manifestations que celles qu’avait Jésus à Son époque.

Vous avez souvent entendu les gens dire : « Voir, c’est croire. » Vous avez entendu ce dicton. Je vais vous prouver qu’il n’est que partiellement vrai. Ici, je vois un homme à côté de moi, qui porte un costume sombre. Il a une cravate blanche à pois rouges. Combien croient que c’est vrai? C’est sûr : vous le voyez, donc vous savez qu’il est ici. Maintenant je me tourne pour regarder dans la direction opposée. Je ne vois pas cet homme, mais il est là quand même. Comment est-ce que je le sais? C’est que j’ai un autre sens. Le corps humain a cinq sens : la vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. Ils sont distincts l’un de l’autre. D’abord, j’ai su qu’il est ici au moyen du sens de la vue. En m’étant retourné, je ne le vois plus, mais je sais qu’il est ici, parce que je le touche de la main. Mon sens de la vue est donc inactif, mais mon sens du toucher est actif. Quand je me tourne de nouveau vers lui et que j’enlève ma main de lui, le toucher ne m’informe plus de sa présence, mais c’est la vue qui le fait. Vous avez un autre sens. Écoutez : j’entends de la musique. Combien pensent que j’ai raison? Est-ce que vous l’avez vue? Touchée? Sentie? Goûtée? Non. Mais vous avez le sens de l’ouïe. Alors, voir n’équivaut pas à croire; dans ce cas, c’est entendre qui équivaut à croire. Il y a donc cinq sens.

Dieu a fait l’homme à Son image : un homme esprit. Ensuite, Il a placé en lui cinq sens pour lui permettre d’entrer en contact avec son domaine terrestre. Ceux-ci n’ont rien à voir avec Dieu. Les cinq sens ont été donnés pour entrer en contact avec le domaine terrestre. Mais l’âme de l’homme, l’esprit, a aussi un sens, c’est la foi. C’est au moyen de la foi que l’homme entre en contact avec son Créateur. Les cinq sens n’ont rien à voir avec cela. Ils contactent le domaine terrestre, alors que votre esprit, lui, contacte le domaine céleste. Mon sens du toucher, comme quand je touche cet homme, est donc une réalité pour le corps. La vue est une réalité pour le corps. Elle est une réalité. Mais la foi est une réalité plus grande encore pour votre âme. Maintenant, écoutez : la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, qu’on ne goûte pas, qu’on ne touche pas, qu’on ne sent pas et qu’on n’entend pas. Et, pourtant, elle est tout aussi réelle, même plus réelle encore, que les cinq autres sens.

Qu’en serait-il si personne n’avait jamais vu, et que tout à coup, quelqu’un reçoive des yeux et voie? Nous penserions que cette personne est folle, si elle nous annonçait qu’elle peut voir des choses, des objets, l’éclat du soleil, etc. Si nous ne possédions que quatre sens, nous la prendrions pour folle. Mais pour elle, c’est réel. Eh bien, la foi, c’est pareil. Diriez-vous que cette chemise est blanche? Combien croient que cette chemise est blanche? C’est la preuve que vous voyez. Maintenant, si votre foi vous dit que vous allez être guéri, et que c’est une réalité pour vous, autant que votre vue qui vous dit que cette chemise est blanche, alors vous êtes guéri. La foi le déclare. C’est parfait.

Reportons-nous maintenant à notre texte un instant. Siméon était un vieillard, qui vivait dans le temple. Les théologiens nous disent qu’il était octogénaire. Un jour, il avait reçu la promesse, par le Saint-Esprit, qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Il disait à tous : « Je ne mourrai pas avant d’avoir vu le Christ. » On le traitait de fou. Les gens disaient : « David et tous les prophètes s’attendaient à voir Christ, et maintenant, regardez-moi cet homme-là, vieux comme il est, et il pense qu’il va voir le Christ! » Il était en droit de le croire, car le Saint-Esprit ne peut pas mentir. Or, remarquez qu’il n’avait pas honte. Il ne regardait pas à son prestige, au milieu dont il était issu ou encore à sa respectabilité. Il avait reçu une promesse du Saint-Esprit, comme quoi il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Il n’avait pas honte d’en témoigner, parce que le Saint-Esprit lui avait dit qu’il en serait ainsi.

Or, ce même Saint-Esprit qui était avec Siméon est ici ce soir. Combien croient à la guérison Divine? Eh bien, si vous y croyez, souvenez-vous, David a dit : « Quand la profondeur appelle la profondeur. » Autrement dit, s’il y a une profondeur ici, à l’intérieur, qui appelle, alors il y a une profondeur là-bas pour y répondre. C’est comme ceci : avant qu’il y ait une nageoire sur le dos du poisson, il fallait qu’il y ait de l’eau où il puisse nager. Sinon, il n’aurait pas eu de nageoire. Avant qu’il y ait un arbre qui pousse sur la terre, il devait d’abord y avoir une terre, sans quoi il n’y aurait pas eu d’arbre pour y pousser. Vous voyez ce que je veux dire?

Eh bien, il y a longtemps, j’ai lu un article de journal où il était question d’un petit enfant qui rongeait la pédale en caoutchouc d’une bicyclette et la gomme des crayons. On l’avait emmené chez le docteur, qui l’avait examiné et avait dit que ce petit gars avait une carence en soufre. Comme le caoutchouc contient du soufre, il mangeait le caoutchouc pour y trouver du soufre. Si quelque chose en vous réclame du soufre, il doit forcément y avoir du soufre quelque part pour répondre à ce besoin. Quand il y a une création dans un cœur humain, il faut qu’il y ait un Créateur pour créer cette création.

Si vous priez pour avoir plus de Dieu, il y a forcément plus de Dieu à recevoir. Quand vous étiez pécheur, votre âme réclamait Dieu. Les païens réclament Dieu. Il y a quelque chose en eux qui ressent le besoin d’adorer. Comme ils ne savent pas quoi adorer, ils se sont fait une statue et l’ont adorée. C’est parce qu’ils ne connaissent pas Dieu, mais cela montre qu’il y avait quelque chose qui réclamait Dieu, qui ressentait le besoin d’adorer. Il fallait qu’il y ait un Dieu quelque part pour créer cette création, sans quoi il n’y aurait pas eu ce désir en eux. Vous, maintenant, qui avez levé la main pour dire que vous croyez à la guérison Divine, et que vous la désirez, il doit y avoir une source de guérison disponible quelque part, sans quoi vous n’auriez pas ce désir. Vous voyez, c’est la profondeur qui appelle la profondeur.

Siméon avait reçu la promesse qu’il verrait le Christ. Disons que c’est un lundi matin que Jésus est né. Il n’y avait pas de journaux ni de radios comme on en a aujourd’hui, mais le seul moyen d’envoyer un message, c’était le bouche à oreille. Quelques astronomes sont venus et L’ont reconnu d’après certains signes. Les anges sont descendus proclamer Sa naissance. Quelques bergers étaient venus L’adorer, mais peu de personnes étaient au courant. Il y avait à l’époque quelque deux millions d’habitants en Israël; probablement qu’en une nuit, bien des enfants naissaient. Selon la coutume juive, le huitième jour, la mère devait venir offrir un sacrifice de purification et faire circoncire l’enfant. Imaginez un peu cette foule grouillante qu’il y avait au temple ce matin-là. Une longue file de mères se tenaient là avec leurs bébés; parmi elles, plus loin dans la rue, il y avait une petite vierge, un voile sur le visage, qui tenait deux tourterelles comme offrande de purification. Les enfants riches pouvaient offrir un agneau, mais là c’était une offrande de pauvre campagnard : une paire de petites colombes, ou deux jeunes pigeons. Et puis, le petit bébé était enveloppé de langes.

Marie avait mauvaise réputation, au départ. Les gens lui disaient que c’était l’enfant de Joseph, que Joseph en était le père. Je vois ces femmes faire un pas en arrière, alors qu’elle s’avance avec son enfant né hors du mariage. Mais, dans son cœur, cette petite vierge savait que c’était le Fils de Dieu, même s’Il était enveloppé de langes. C’était Lui, Emmanuel, dans un tabernacle de chair. Elle berçait son bébé, tandis que tout le monde s’écartait d’elle.

Là-bas, dans le temple, Siméon était assis, en train d’écrire. Il avait reçu la promesse qu’il verrait le Christ. Je peux voir le Saint-Esprit descendre lui dire : « Siméon, lève-toi. Sors, Siméon. » Il ne savait pas où il allait, mais il est sorti du temple. Il a longé cette file de mères et s’est arrêté devant celle qui avait une mauvaise réputation. Les larmes coulant le long de sa barbe, il a pris le bébé dans ses bras. Il a prié ainsi : « Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta Parole. Car mes yeux ont vu ton salut... »

Tout au fond, dans un coin, il y avait une femme âgée, qui priait. Depuis des années, elle attendait la consolation d’Israël. Elle était aveugle et elle était prophétesse. Au même moment, le Saint-Esprit lui a dit : « Anne, lève-toi. » Et elle s’est avancée, aveugle, se frayant un chemin entre les gens, conduite par le Saint-Esprit. Elle s’est approchée de Marie, elle a pris le bébé dans ses bras et elle a béni Dieu.

Et ce même Saint-Esprit qui a conduit Anne, cette femme aveugle, vers le Sauveur, est ici ce soir pour vous conduire vers le Sauveur, le Christ de Dieu, Celui qui est mort sur le Calvaire et qui a envoyé le Saint-Esprit. Et trouverez-vous étrange que je vous dise, à vous qui êtes avides de recevoir de Dieu la guérison, que ce désir est créé dans votre cœur par le Saint-Esprit? Tout comme Il a conduit Siméon et Anne autrefois, de même Il vous a conduits ici ce soir. C’est ce que vous attendiez. Maintenant c’est ici, pour vous. En effet, il y a une source remplie du sang qui coule du flanc d’Emmanuel; en se plongeant dans ce flot, chacun peut faire disparaître ses taches de culpabilité, et chaque malade peut être débarrassé de sa maladie.

« Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. » Chacun de nous. Et vous, chers amis, vous qui croyez qu’il y a une source quelque part : la voici – elle est ouverte devant vous, c’est gratuit. Que celui qui veut vienne et qu’il reçoive sa guérison. Le même Saint-Esprit qui a donné la promesse à Siméon vous donne, à vous, la promesse. Le même Saint-Esprit qui a conduit Siméon vers le Christ vous a conduits à la source de guérison. Il est le même Esprit, hier, aujourd’hui, et éternellement. Crois-tu cela? C’est vrai. Ceux qui sont fils et filles de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu. Croyez-vous cela?

Je ne suis qu’un homme, mais je suis né prophète, fait pour avoir des visions. Il y a environ cinq ans, un ange m’est apparu. Il était vêtu de blanc, et il y avait au-dessus de lui une lumière vive. Il pesait environ quatre-vingt-dix kilos, il n’avait ni barbe ni moustache, il était nu-pieds, ses cheveux lui allaient jusqu’aux épaules. Il s’est avancé vers moi et m’a dit que j’étais né dans ce monde pour prier pour les malades. Il m’a dit qu’il était envoyé par le Dieu Tout-Puissant pour me dire cela. Il m’a dit : « Si tu es sincère, et que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière, pas même le cancer. » Je lui ai alors dit que je ne pouvais pas aller faire ces choses, à cause de mon manque d’instruction. Il m’a dit que, de même qu’il avait été donné au prophète Moïse deux signes, de même moi, j’allais recevoir deux signes qui rendraient témoignage de ce que je vous dis. Je prendrais la personne par la main, et alors il me parlerait pour me révéler ce qui n’allait pas chez cette personne. Beaucoup de choses allaient s’accomplir, et j’allais avoir des visions. J’allais connaître les secrets du cœur des gens, je pourrais comprendre leur passé et aussi connaître des choses concernant leur avenir.

Avant qu’il parte, je lui ai demandé comment ces choses étaient possibles. Il m’a dit que, quand Jésus était ici, Il ne pouvait jamais rien faire de Lui-même, mais seulement ce que le Père Lui avait montré. Combien d’entre vous savent que c’est vrai? Que dit la Bible? « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. » S’Il est aujourd’hui le même qu’Il était à l’époque, alors Il guérira aujourd’hui, comme Il le faisait à l’époque. « Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus; mais vous, vous me verrez... » N’est-ce pas vrai?

Maintenant, il me reste encore un instant pour vous donner un témoignage, avant que nous commencions à prier pour les malades. Une fois, en Amérique, pendant que je voyageais en train vers le sud, pour aller rencontrer Frère Bosworth, j’ai eu une vision. Je voyais un petit garçon qui gisait sur le sol, les vêtements tout déchirés. Je voyais des rochers et des arbres. C’était un pays inconnu. Son petit corps avait de nombreuses fractures; il gisait là, mort. Ce soir-là, à la réunion, j’ai raconté cette vision aux gens. Je leur ai dit : « Notez-la dans votre Bible, et vous verrez si cela ne va pas se produire. »

Quelques jours plus tard, on m’a emmené voir un petit garçon qui s’était noyé dans un canal d’irrigation. Mais ce n’était pas le garçon que j’avais vu dans la vision, lequel avait environ huit ou dix ans et avait été tué dans un accident. Le garçon qui s’était noyé, c’était un bambin aux cheveux noirs, bien habillé. Ce n’était pas lui. D’un bout à l’autre des États-Unis et du Canada, j’en ai témoigné en disant : « Notez-le dans votre Bible. » Cela a été noté dans des milliers de Bibles. Je leur ai dit que, quand la vision s’accomplirait et que le garçon reviendrait à la vie, cela paraîtrait dans La Voix de la guérison.

En avril 1950, quand nous étions en Finlande, nous avons quitté Helsinki pour monter à Kuopio. Quelques-uns d’entre nous étaient montés dans une tour d’observation d’où on pouvait voir le territoire russe. J’avais beaucoup jeûné, et j’ai dit à mes organisateurs : « Il va se produire quelque chose. » En reprenant la route, nous sommes arrivés sur les lieux d’un accident. Une voiture venait de heurter deux garçons. L’un d’eux avait été touché au côté et projeté contre un arbre. Cela lui avait écrasé la tête et les côtes. La voiture, qui roulait à environ cent dix kilomètres à l’heure, avait heurté l’autre garçon de plein fouet, était passée sur lui et l’avait projeté en l’air derrière la roue arrière. Nous sommes arrivés une vingtaine de minutes plus tard. Il y avait beaucoup de gens autour. On l’avait étendu là et recouvert son visage de son manteau.

M. Lindsay et les autres sont allés le regarder, mais moi, je ne le pouvais pas : je pensais à mon propre fils et j’étais triste. Ils ont fini par demander : « Pourquoi n’y allez-vous pas? » Alors, j’y suis allé. Quand j’ai regardé le petit garçon, – on avait retiré le manteau de son visage, – le cœur a failli me manquer. Je pensais à mon petit Billy Paul, qui était à des milliers de kilomètres de moi. Tout le monde pleurait. Au moment où je faisais demi-tour, j’ai senti une main sur moi. J’ai dit : « Je ne comprends pas ça. » (Certaines personnes qui se tenaient là disaient : « Voilà le faiseur de miracles américain. Voyons un peu ce qu’il va faire. » Vous voyez l’incompréhension des gens.) Je me suis retourné et j’ai dit : « Il me semble avoir déjà vu ce garçon quelque part. Regardons encore une fois. » Ils ont de nouveau retiré son manteau. J’ai dit : « J’ai déjà vu ce garçon. » J’étais si bouleversé qu’au départ, je ne l’avais pas reconnu. J’ai demandé aux prédicateurs : « Est-il membre de l’une de vos églises? » « Non », ont-ils répondu. Alors j’ai compris que c’était lui, le garçon que j’avais vu en vision, là-bas en Amérique, environ un an et demi plus tôt.

Vous ne pourrez jamais savoir comment je me suis senti. Il n’y avait pas assez de démons dans les tourments pour retenir cet enfant. J’ai dit : « Mettez-vous tout autour, et vous verrez la gloire du Seigneur. » Je me suis agenouillé exactement tel que cela m’avait été montré dans la vision, et j’ai prié : « Dieu Tout-Puissant, dans ma patrie, il y a environ un an et demi, Tu m’as montré ce garçon et Tu m’as dit qu’il allait ressusciter. » Il gisait là, son corps avait de nombreuses fractures, j’ai dit : « Oh, Seigneur, écoute la prière de Ton serviteur. Et maintenant, mort, tu ne peux plus le retenir, car Jésus-Christ a promis que ce garçon vivrait. » Le garçon s’est levé, vivant et tout à fait normal. Il y avait là des hommes d’affaires et des notables de la ville. J’ai leurs déclarations pour confirmer ceci, authentifiées par un notaire.

Je pourrais continuer pendant des heures à vous donner des témoignages de guérisons miraculeuses que Dieu a opérées, mais nous ne pouvons pas prendre plus de temps; en effet, il faut commencer le service de guérison. J’aimerais pouvoir prier pour chacun de vous individuellement, mais c’est impossible. Je ferai une prière pour l’auditoire tout entier, et tous, vous pouvez être guéris – tout comme un pécheur qui accepte la Parole et la croit peut devenir une nouvelle créature. Je dois vous amener à croire. Vous obtiendrez votre guérison au moyen de la même foi qui sauve ou qui guérit votre âme.

Ce soir encore, comme d’habitude, nous allons faire monter sur l’estrade de dix à quinze personnes de l’auditoire, qui ont des cartes de prière. Ceci n’est pas le service de guérison proprement dit, mais une démonstration de ce qui peut vous arriver à vous, dans l’auditoire. Mon fils Billy a distribué des cartes de prière en début de soirée. Billy Paul, quels sont les numéros que tu as distribués ce soir? « L-50 à L-100. » Bon, il a distribué cinquante cartes ce soir, et je pense que nous allons faire venir les quinze premiers numéros, de L-50 à L-65. Regardez le numéro qui est au dos de votre carte, et voyez si vous avez un numéro compris entre L-50 et L-65. Si c’est le cas, montez ici aussi rapidement que possible, pour que nous puissions former la ligne et commencer le service de prière.

Ne pensez pas que, parce que vous n’avez pas reçu de carte de prière, vous n’allez pas être guéri. Je veux que vous compreniez que cela n’a rien à voir avec les cartes de prière. J’appelle quelques personnes à venir ici, pour que vous puissiez voir le Don à l’œuvre, et qu’ainsi vous croyiez. Et puis, cela aide à faire venir l’Onction sur moi.

Pendant qu’on prépare la ligne de prière, je tiens à vous dire, chers amis Chrétiens, que je ne viens pas à vous comme un guérisseur divin. Je viens comme votre frère. Je ne viens pas pour remplacer votre médecin. Je viens pour prier pour vous, selon une révélation Divine, une décision Divine de Dieu. Les dons et les appels de Dieu sont sans repentance. Les médecins sont des serviteurs de Dieu, et ils font tout ce qu’ils peuvent pour nous. Mais leur pouvoir et leur connaissance sont limités. Le pouvoir de Dieu, lui, n’est pas limité. Si les médecins et les infirmières ne répondaient pas à un besoin, ils ne seraient pas là. Ils nous sont d’un grand secours. J’apprécie vraiment ce qu’ont fait les infirmières pour les malades et les personnes affaiblies, au cours de ces réunions. Que Dieu vous bénisse tous, les médecins comme les infirmières. Ma petite fille, que j’ai laissée chez moi pour venir vers vous, veut devenir infirmière, et si mon fils ne devient pas prédicateur, je souhaite qu’il devienne médecin.

Beaucoup de gens savent, disent-ils, que Dieu peut le faire, mais ils se demandent : est-ce qu’Il le veut? Dans le Psaume 103, la guérison des maladies est classée dans la même catégorie que le pardon des iniquités ou des péchés. Donc, si c’est la volonté de Dieu de pardonner le péché, c’est aussi Sa volonté de guérir les maladies.

Je veux prier sur ces mouchoirs. Il y a ici des centaines de lettres. Chaque mois, je reçois des milliers de lettres, provenant de partout dans le monde; de grandes choses se sont produites. C’est conforme à la Bible, à Actes 19. Paul savait que Dieu était en lui, et vous aussi, si seulement vous pouviez prendre conscience que Dieu est en vous. Maintenant soyez respectueux, pendant que je prie.

Père miséricordieux, ces mouchoirs posés ici dans des cartons et sur les chaises, je Te demande, au Nom de Ton Fils Jésus, de les bénir. Loin d’ici, d’un bout à l’autre du pays, il y a des mères, des pères, des enfants, qui attendent le retour de ces mouchoirs. Beaucoup sont gravement malades, et je prie pour eux, Père bien-aimé. Il y a un pauvre père aveugle assis dans une maison, une mère affligée étendue sur un lit, ils attendent que ces mouchoirs leur reviennent. Il est écrit dans les Écritures qu’en appliquant des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps oint de saint Paul, les maladies et les esprits impurs sortaient des gens. Père, nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais Tu es toujours le même Jésus qui était avec saint Paul et avec tout Ton peuple. Ô Dieu, fais-le à nouveau pour eux, afin que les gens sachent que Tu es Jésus, le Fils de Dieu, le même hier, aujourd’hui, et éternellement.

Tu as été si bon envers nous, Père Céleste, et le temps s’écoule si facilement quand nous parlons de Jésus, que nous parlons de Ses œuvres merveilleuses. Quand Il était ici sur terre, Il a dit : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. » Mais le monde ne comprend pas. Ils sont aveuglés par le dieu de ce monde, ils marchent dans les ténèbres, selon leur propre voie et les convoitises de leurs péchés. Mais nous Te remercions de ce que Tu as dit que Tu serais avec nous, et même en nous, jusqu’à la fin du monde.

Ce soir, là où Tu trouveras un cœur sincère, Tu le conduiras par Ton Esprit. Ô Dieu, en ce samedi soir, alors que beaucoup de gens font leurs achats, que beaucoup sont dans des boîtes de nuit et dans des lieux mal famés, que des jeunes hommes sont étendus sur le sol des bars, que des jeunes filles sont sur une mauvaise voie, se frayant en dansant un chemin vers une tombe sans Christ, ô Maître, conduis ces gens, d’une façon ou d’une autre. Ce soir, parle-leur, et qu’ils trouvent une place au bon vieil autel, et qu’ils deviennent Tes serviteurs, Seigneur.

Il y a beaucoup de gens ici ce soir, Seigneur, qui sont malades et dans le besoin. Je sens Ton Esprit maintenant, et nous savons tous que Tu es ici. Tu as dit : « Là où deux ou trois sont assemblés, Je serai au milieu d’eux. » Nous Te sentons, littéralement, par le toucher spirituel, et nous savons que Tu es ici.

Et maintenant, Père, que j’ai témoigné à ces gens de Ton don Divin, si Tu ne parles pas, ils n’auront que ma parole à moi, Seigneur. Mais je sais que Tu vas parler, confirmer, témoigner – que toute la louange et la gloire Te reviennent à Toi, merveilleux Fils de Dieu. Tu es si merveilleux de nous racheter, nous pauvres pécheurs perdus, qui méritons la mort et la séparation, qui méritons l’enfer, mais Toi, Tu nous as rachetés. Oh, comme mon cœur tressaille quand je pense que je suis racheté, et que, aussi sûr que Tu es sorti de la tombe, un jour nous en sortirons avec un nouveau corps, et nous ne serons plus jamais malades ni souffrants.

Maintenant, Dieu bien-aimé, bénis ceux qui sont ici ce soir. Que le Saint-Esprit agisse sur cet auditoire maintenant. Que dans la douceur ils T’acceptent, et qu’ils soient sauvés et guéris ce soir, car nous le demandons au Nom de Ton Fils Jésus. Amen.

Amenez-moi le premier patient.

Bonsoir, madame. Maintenant, soeur, croyez-vous de tout votre cœur que Dieu m’a envoyé pour vous aider? Je n’ai rien avec quoi guérir. Si j’étais médecin, je vous donnerais des médicaments. Je suis le serviteur de Dieu et, de ce fait, je peux seulement inspirer votre foi, pour que Dieu, Lui, puisse vous aider. Je ne peux pas faire ce que Dieu a déjà fait. Je suis un prophète et je peux seulement vous dire ce qui ne va pas chez vous, au moyen d’une vision. Si je peux maintenant vous dire ce que vous avez, croirez-vous que Dieu m’a envoyé?

Avant de venir à la réunion ce soir, vous étiez en prière. N’est-ce pas? Vous avez prié pour que, ce soir, on vous appelle à venir sur l’estrade. Vous souffrez depuis longtemps de violents maux de tête. Croyez-vous de tout votre cœur? Alors, rentrez chez vous et acceptez votre guérison.

Viens, jeune homme. Est-ce que tu aimes Jésus? L’Esprit de Dieu est déjà sur cet enfant. Si Jésus se tenait sur cette estrade, et qu’Il te disait, mon garçon, que tu as telle et telle chose, est-ce que tu Le croirais? Maintenant, si c’est moi qui te le dis, est-ce que tu croiras que Dieu m’a envoyé? Je ne suis que l’instrument de Dieu. J’ai une vision de ce jeune garçon devant moi. Tu souffres d’ulcères dans la bouche. N’est-ce pas? Si c’est vrai, lève la main. Rentre à la maison et réjouis-toi, parce que Dieu t’a guéri.

Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre cœur? Vous avez une petite fille vraiment très mignonne. J’ai une petite fille à la maison, qui est juste un peu plus petite que toi. Elle s’appelle Rébecca. Mais il m’a fallu quitter la petite Rébecca pour venir ici prier pour toi.

Si Jésus, le Fils de Dieu, était ici, – tu sais qu’Il aime beaucoup les petits enfants, – Il les prendrait dans Ses bras et Il les bénirait. Il a dit : « Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent. » Si Jésus était ici ce soir, Il te bénirait. Il poserait Ses mains sur toi, et Il saurait ce qui ne va pas. Est-ce que tu le crois? Tu crois que Jésus peut montrer à Frère Branham ce qui ne va pas? Je trouve que tu es une mignonne petite fille.

Mère, votre jeune enfant est née avec cette maladie. C’est une maladie nerveuse. C’est ce qui fait que votre petite est faible et fatiguée. Son état général est très mauvais. Il ne s’agit pas tellement de difficultés organiques, mais plutôt d’un délabrement de l’état général de cette enfant. Cette fillette est apathique, elle ne mange pas bien et ne cesse d’attraper de très mauvais rhumes, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai?

Or, vous savez que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Je voudrais vous demander quelque chose. Cette fillette est plus précieuse pour vous que votre propre vie. Voulez-vous promettre que, si Dieu permet que cette enfant soit guérie et en bonne santé, vous l’élèverez, non pas comme une fille moderne, mais vous l’élèverez à la gloire de Dieu, pour que Dieu tienne sa vie entre Ses mains? Allez-vous l’instruire dans cette voie, en vivant vous aussi de cette manière, pour être devant elle l’exemple d’une vraie croyante, remplie de l’Esprit de Dieu? Allez-vous le faire? Ce que je vous ai dit au sujet de l’enfant, est-ce vrai? Eh bien, je crois qu’il y a de l’espoir pour cette enfant. Dieu parle dans votre foyer. Vous comprenez ce que je veux dire, n’est-ce pas? Avant même que je le dise, vous le saviez. J’ai senti par votre réaction que c’était compris, je n’ai donc pas besoin de le dire. Allez, et servez Dieu votre vie durant. Je veux bénir votre petite enfant. Viens, ma chérie. Mets tes bras autour de moi.

Dieu Tout-Puissant, Auteur de la vie, Donateur de tout ce qui est bon, cette pauvre petite fille aux yeux bleu clair qui me regarde, me rappelle ma petite Rébecca à moi, à bien des milliers de kilomètres au-delà des mers.

Ô Dieu, sois miséricordieux envers cette petite enfant. Écoute la prière de Ton serviteur, Père. Tu as entendu la promesse de celle qui l’aime. Tu as donné une vision, et Tu connais toutes choses. Et alors qu’elle est ici ce soir, blottie contre moi, qu’il en soit comme à l’époque d’Élie, quand il a mis son corps sur l’enfant mort, et que ce dernier est revenu à la vie. Que la santé et la force viennent en cette petite fille. Que les rhumes et la maladie cessent dans le corps de cette enfant, et qu’elle n’oublie jamais cette soirée. Que cette date marque un tournant à partir duquel les bénédictions de Dieu seront sur cette enfant. Qu’elle Te serve tous les jours de sa vie, et ses bien-aimés également. En tant que Ton prophète, je bénis cette petite enfant, au Nom de Ton Fils béni, Jésus-Christ notre Seigneur. Amen.

Mon petit chou, n’aie pas peur. Tu vas être en bonne santé. Ces rhumes et tout cela vont s’arrêter. Que Dieu te bénisse, ma chérie.

Voici une dame de qui je ne sais rien, mais mon Père la connaît, et Il peut partager avec moi une partie de Sa connaissance. Croyez de tout votre cœur, et vous êtes guérie. Jésus est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.

(Frère Branham se tourne vers l’auditoire.) Je vois là un homme qui souffre. Je vois ce que vous avez, mais moi, je ne peux pas vous guérir, monsieur. Croyez-vous que Jésus-Christ peut vous rétablir? Si je peux dire ce que vous avez, alors vous devriez croire. Pas vrai? Vous souffrez d’une double hernie. Si c’est vrai, levez simplement la main. Maintenant, si vous croyez, vous pouvez rentrer chez vous et vous rétablir. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi en Dieu. Croyez en Lui de tout votre cœur.

C’est merveilleux de voir d’ici comment notre Seigneur agit d’un endroit à l’autre de cet auditoire. Il y a un autre homme qui a une hernie. Lui aussi voudrait bien être guéri. N’est-ce pas, monsieur? Si vous croyez, vous pouvez être rétabli. Ayez simplement foi en Dieu. Continuez à croire. Il peut vous guérir.

C’est votre femme qui est assise à côté de vous; cette dame, là. Croyez-vous que je peux vous dire ce que vous avez, madame? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Vous le croyez? Eh bien, vous souffrez d’hypertension, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Si vous croyez de tout votre cœur, vous pouvez rentrer chez vous et être rétablie. Que Dieu vous bénisse.

(Il se retourne vers les gens dans la ligne de prière.) Très bien, madame, venez. Croyez-vous de tout votre cœur? Croyez-vous que Jésus-Christ est ici pour vous rétablir? Je vois ce que vous avez; cette chose-là, j’aurais souhaité qu’elle n’ait jamais existé. Mais c’est la première chose que Dieu a promis de guérir : la tuberculose. C’est vrai, n’est-ce pas? Venez ici un instant. Cette horrible maladie, il y a une quinzaine d’années, a fait quitter cette terre à la mère de Billy. C’était avant que ce don m’ait été manifesté. J’ai toujours détesté la tuberculose. Puisse Dieu me donner ce soir le pouvoir de vous en délivrer.

Ô Père! sois miséricordieux, ô Dieu. Père, si je sais comment être sincère, alors je le suis maintenant. Père, je Te le demande de tout mon cœur, écoute ma prière et donne-moi la foi, alors que je pénètre dans ce canal, pour affronter ce démon qui, sinon, enverra cette pauvre femme prématurément dans la tombe. Aie pitié, ô Dieu, et chasse-le loin d’elle. Donne à Ton serviteur le pouvoir, la grâce et la foi maintenant même, alors que je vais affronter cet affreux ennemi.

Maintenant, démon appelé tuberculose, je m’avance dans ce duel de foi, et face à ce défi, en faisant valoir un don de guérison Divine qui m’a été conféré par un ange. Tu es au courant de cela. Sors de cette femme. Quitte-la au Nom de Jésus-Christ. Sors d’elle pour qu’elle puisse vivre.

Ma soeur, je vous suis inconnu, mais faites ce que je vais vous dire. Vous le ferez? Un jour, une lettre me parviendra d’outre-mer et me dira : « Frère Branham, je suis maintenant débarrassée de la tuberculose. » Repartez d’ici heureuse, dans la joie, mangez tout ce que vous pouvez, et vous commencerez à reprendre du poids et à vous rétablir. Que Dieu vous bénisse. Écrivez-moi en Amérique, pour me raconter votre témoignage.

Le patient suivant, s’il vous plaît.

Il y a un ange du Seigneur qui est ici avec nous. Satan va essayer de vous empêcher de croire, mais l’ange du Seigneur veut que vous croyiez. Votre façon d’aborder ce problème dépendra de votre attitude. Continuez à croire.

Vous vous préparez à subir une opération. On doit vous opérer sous peu. Il s’agit de votre estomac, d’une tumeur qu’on doit vous enlever. Est-ce que j’ai raison? Alors, levez la main. Croyez-vous que vous allez vous rétablir? Que Dieu vous bénisse. Allez, et réjouissez-vous, votre foi vous a guéri. Loué soit l’Éternel!

Cette dame souffre de la même chose. Vous croyez de tout votre cœur. Dieu vous a guérie. Allez, maintenant. C’est comme ça qu’il faut croire.

Vous, vous avez des ulcères d’estomac. Pas vrai? Vous pouvez rentrer chez vous, vous allez vous rétablir.

Si Dieu me parle et me dit ce que vous avez, accepterez-vous votre guérison? C’est le diabète. Pas vrai? Alors, qu’est ce que vous avez fait? Vous avez accepté votre guérison, n’est-ce pas? Que Dieu vous bénisse. Disons : Loué soit l’Éternel! Maintenant, frère, allez, vous continuerez d’aller chez votre médecin, et au bout d’un certain temps, il vous dira que ce n’est plus nécessaire. Vous pourrez nous envoyer votre témoignage par écrit. Que Dieu vous bénisse.

Bonsoir, monsieur. Croyez-vous que vous êtes guéri, maintenant? Vous le croyez? Certainement, rentrez chez vous et mangez ce que vous voulez; vos problèmes d’estomac sont partis. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous et mangez. Cela fait bien longtemps que vous n’avez pas pu manger ce que vous vouliez.

(Il se tourne de nouveau vers l’auditoire.) Je vois quelque chose qui se déplace, de ce côté-là. Je n’arrive pas à savoir ce que c’est. Croyez maintenant de tout votre cœur. Oh, ce qui pourrait arriver si tous nous croyions!

La dame assise là, vous aviez un problème gynécologique; c’est parti. Disons : Loué soit l’Éternel!

Vous aimeriez être débarrassée de ce kyste, n’est-ce pas, soeur? Rentrez chez vous et soyez en bonne santé. Que Dieu vous bénisse. Oh, n’est-Il pas merveilleux?

Je suis certain que vous pouvez apprécier ceci, parce qu’il y a environ cinq mille âmes qui essaient de tirer pour bénéficier du Don. C’est comme des rames qui tirent d’un côté puis de l’autre. J’arrive à peine à distinguer ce que c’est, mais je sais que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici pour vous redonner la santé. Croyez de tout votre cœur!

Jeune homme, vous, là-bas près du mur, croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Croyez-vous que nous nous tenons en Sa présence maintenant? Je ne lis pas dans vos pensées. Vous savez ce que vous avez : vous régurgitez constamment votre nourriture. Vous devenez très las, vous arrivez à peine à tenir debout. Vous avez une soif dans votre cœur. Vous voulez servir Dieu. Vous ne L’avez jamais servi comme vous l’auriez voulu. N’est-ce pas vrai? Acceptez-Le maintenant comme votre Sauveur, soyez baptisé du Saint-Esprit, et soyez guéri.

Vous, là, dans ce fauteuil roulant. Dieu vous a guéri de votre infirmité. Rentrez chez vous en croyant et en confessant ce que Christ a fait pour vous, et vous serez entièrement guéri. Vous jouirez d’une parfaite santé.

Très bien, faites venir le patient suivant.

Venez, madame. Croyez-vous de tout votre cœur? Elle ne comprend pas l’anglais. Dites-lui simplement qu’elle est guérie. Elle avait des problèmes cardiaques. Dites-lui de rentrer chez elle et de se réjouir. Elle ne sait pas parler l’anglais, mais elle sait vraiment avoir la foi.

Avancez par ici, monsieur. Accepterez-vous de m’obéir, en ma qualité de prophète de Dieu? Bon. Vous avez de l’arthrite depuis longtemps, n’est-ce pas? Levez les mains; faites bouger vos pieds vers le haut et vers le bas. Descendez de l’estrade. Jésus-Christ vous a guéri. Que Dieu vous bénisse. Disons : Loué soit l’Éternel!

Oui, soeur, vous vous inquiétez pour votre dos, n’est-ce pas? Très bien; levez-vous. Bougez votre dos dans tous les sens, penchez-vous. Jésus vous a guérie de ce mal de dos. Vous ne l’avez plus. Amen!

C’est pour le bébé?

Ô Dieu, au Nom du Seigneur Jésus, je Te demande cette guérison. Que ses petits yeux soient normaux. Quitte-le, Satan. Je t’adjure de quitter cet enfant.

Depuis combien de temps louchait-il? Eh bien, il ne louche plus maintenant. Les yeux sont parfaitement droits et normaux. Vous pouvez maintenant rentrer chez vous dans la joie, monsieur. Le bébé est parfaitement rétabli. Disons : Grâces soient rendues à Dieu! Regardez le petit bébé : ses yeux sont parfaitement droits. Dites : Loué soit l’Éternel!

(Il se tourne vers l’auditoire.) Je veux que vous croyiez de tout votre cœur et que vous regardiez par ici. Dieu veut vous guérir; il vous suffit de l’accepter, de le croire, et Dieu est tenu de l’accomplir. Voyez-vous comme c’est simple?

Je vois un homme, là, qui a un cancer de l’estomac. Croyez de tout votre cœur. Croyez seulement.

Regardez tous par ici, et croyez de tout votre cœur. Jésus-Christ est ici pour vous guérir. Ayez seulement la foi. Oui, soeur, vous qui êtes assise là, dans le coin. C’est les nerfs, n’est-ce pas, vous êtes névrosée, architendue, n’est-ce pas vrai? Levez-vous. Jésus-Christ vous a guérie. Amen! Alléluia!

Votre bébé va mieux, n’est-ce pas, frère? Il a déjà un comportement différent, ne trouvez-vous pas? Jésus l’a guéri ce soir pendant la réunion. Disons : « Loué soit l’Éternel! »

Est-ce que tout le monde entend bien, au fond? Quelquefois, quand l’Onction descend sur moi, j’ai l’impression d’avoir le visage tout engourdi. Ne pensez pas que c’est un signe de nervosité, quand je me frotte le visage, mais je me sens comme si mes lèvres étaient toutes gonflées. C’est vraiment une sensation sacrée. Je ne peux pas l’expliquer. Je L’aime; ça, je le sais. Je L’aime de tout mon cœur.

Il y a une dame assise là, en train de prier, elle fait de son mieux. Vous, soeur, qui portez un manteau foncé. Regardez par ici et croyez-moi de tout votre cœur. Vous croyez? M’acceptez-vous comme le prophète de Dieu? Bien, voici quel est votre problème, soeur, je le vois maintenant. En fait, il n’y a pas grand-chose qui ne va pas chez vous. Vous êtes oppressée par un démon, voilà ce qui ne va pas. Est-ce juste? Vous prenez peur, et devenez abattue. Vous êtes architendue. Si c’est exact, levez la main. Dieu a entendu votre prière. Satan ne peut pas vous retenir. Maintenant, gardez la main levée bien haut pendant que je prie.

Seigneur Dieu, en voyant son problème et en sachant que cette pauvre femme est liée, que Satan essaie de lui dire qu’elle a échoué, je viens implorer Ta miséricorde. Depuis quelques minutes, elle fait beaucoup d’efforts pour entrer en contact avec Toi. Maintenant, Père, je demande à cet esprit de quitter cette femme, au Nom de Jésus-Christ. Qu’elle reparte d’ici dans la joie et heureuse, ayant retrouvé la santé, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Voilà, soeur, vous en avez fini avec cela. Vous êtes libre maintenant. Ayez simplement la foi et croyez de tout votre cœur.

Maintenant, voulez-vous être guéris, vous tous qui êtes là? Croyez-vous de tout votre cœur? Mes amis, j’aimerais rester ici une heure de plus, mais mes forces diminuent rapidement. C’est à cause des visions; je ne peux pas l’expliquer. Croyez-moi maintenant, s’il vous plaît. Si vous faites ce que je vous demande, vous rentrerez chez vous guéris ce soir. Si je vous prenais l’un après l’autre, ce serait pareil. Assurément, mes amis, vous savez que j’ai dit la vérité, et Dieu a attesté que j’ai dit la vérité. Jésus-Christ a guéri chacun, il y a environ mille neuf cents ans.

Combien d’entre vous ont maintenant la foi pour L’accepter comme votre Guérisseur? Levez la main. C’est cela; vous sur les civières, dans vos fauteuils, et autres, vous pouvez être guéris. J’ai fait ce que l’ange m’a dit de faire. Il m’a dit d’accomplir les signes comme le faisait le prophète Moïse. Ensuite, de demander, d’être sincère en priant, et que rien ne résisterait à ma prière. Croyez-vous cela? Alors, courbez la tête un instant.

Notre Père Céleste, j’implore Ta miséricorde en cette heure; Ta miséricorde envers toute l’humanité, et en particulier envers ces gens qui sont étendus ici. J’ai témoigné de Toi, ô grand Jéhovah, de Ton Fils plein d’amour, Jésus, et le Saint-Esprit a attesté que mon témoignage est vrai. Et maintenant, Père, je leur ai dit que Ton Fils est mort pour leur guérison, et que l’ange du Seigneur m’a rencontré, et a oint Ton serviteur pour aller porter ce message. Agis maintenant sur cet auditoire. Que la vertu guérissante provenant du Calvaire, provenant du sang du sacrifice, du corps et de la mort de notre Seigneur Jésus, atteigne chaque personne souffrante qui entend ma voix. Père bien-aimé, bénis tous ceux qui sont en prière en ce moment, tous ceux qui croient le message. Accorde-le, Seigneur. Écoute cet humble cri que je T’adresse. Veuille exaucer ma prière.

Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je réprime tout esprit de maladie, toute puissance démoniaque, toute puissance qui maintient les gens liés, infirmes, les fait loucher, les rend aveugles et souffrants. Satan, tu es démasqué. Tu ne peux pas retenir ces gens. Tes pouvoirs sont brisés. Jésus-Christ a triomphé de toi au Calvaire. Je Le représente maintenant, par un don divin, et tu es démasqué et sommé de sortir. Je t’adjure par le Nom de mon Seigneur Jésus-Christ, à qui tu dois obéir car, dans le respect et la sainteté, j’invoque Son Nom sur ces malades. Alors sors d’eux, pour qu’ils soient rétablis, par Jésus-Christ, le bien-aimé Fils de Dieu. Amen.

Maintenant, pendant que vous avez la tête inclinée, je veux que vous croyiez simplement, alors que je prononce ces paroles. Je sais ce qu’il faut pour vaincre Satan, et je vais prononcer ces paroles. Je veux qu’en même temps que moi, vous les disiez dans une prière du cœur. Que les malades, partout dans l’auditoire, répètent maintenant ces mots, dans une prière du cœur.

Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la vie éternelle, Donateur de tout ce qui est bon, envoie Ta bénédiction de guérison sur moi, pauvre mortel souffrant. J’accepte maintenant la mort au Calvaire de Ton Fils, lequel est mort pour ma guérison. Par Ta grâce, Seigneur, à partir de ce soir, je témoignerai de ma guérison. Il est écrit que Tu es le Souverain Sacrificateur de ma confession, aussi je confesserai ma guérison jusqu’à ce que je sois complètement rétabli. Exauce-moi, ô Seigneur, car je m’en remets à Toi pour la guérison de mon corps, afin de Te donner la louange, au Nom de Ton saint Fils, Jésus-Christ. Amen.



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