Témoiganges
Chapitre 6
« Rendez gloire au nom de l’Éternel! »
I Chroniques 16.29
Ce chapitre contient une centaine des premiers témoignages parvenus directement à Frère Branham et à moi-même. Nous comprenons bien que la majorité des témoignages ont été envoyés aux présidents locaux, mais nous n’avons pu nous les procurer, le temps nous ayant manqué.
Comme je n’ai pas pris le temps de leur demander leur accord, je n’ai pas mentionné le nom complet des personnes après leur témoignage. Toutefois, ces témoignages ont été classés, et les noms et adresses complets peuvent être obtenus. Nous avons condensé la plupart d’entre eux pour ne donner que les faits les plus importants.
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Enseignante guérie de polyarthrite rhumatoïde et de varices
Il y a environ trois ans et demi, j’ai dû interrompre mon travail d’enseignante, pour cause de polyarthrite rhumatoïde et de varices qui me faisaient beaucoup souffrir. Mes problèmes ont commencé il y a environ onze ans. Rien ne semblait pouvoir beaucoup m’aider. Le six octobre, je suis allée au parc Maranatha et je suis restée debout pendant trois heures. Comme la salle était pleine, il me fut difficile d’entrer. Finalement, on m’accepta à l’intérieur, et je suis restée debout contre le mur sur la gauche.
Frère Branham venait d’arriver de l’aéroport, et il était visiblement très fatigué après son voyage en provenance des États-Unis. Il a proposé de faire une prière collective pour tous les affligés. Il leur a demandé de s’imposer les mains les uns aux autres. Puis il a montré du doigt le côté de la salle où je me tenais, en disant qu’il y avait là une femme qui avait de l’arthrite. J’étais la seule femme debout contre le mur. Or, personne dans cette foule immense ne savait que j’avais de l’arthrite, à part Soeur Quinn qui, elle, ne savait pas que j’étais là. Mais elle et beaucoup d’autres ont entendu Frère Branham dire : « Il y a là une femme qui a de l’arthrite. » Gloire! Alléluia! À partir de ce moment-là, je me suis sentie beaucoup mieux. J’ai assisté aux réunions suivantes, et j’ai été témoin de nombreuses guérisons, y compris un autre cas d’arthrite encore pire que le mien. Une dame est venue en ambulance, et après qu’on a prié pour elle, elle a pu se lever et marcher. Il y a aussi le cas de la jeune fille qui s’était cassé la colonne vertébrale, et qui, en réponse à la demande de Frère Branham, s’est levée, parfaitement rétablie.
Que Dieu bénisse Frère Branham, et tous ses associés pour ces réunions qui ont rendu possibles toutes ces guérisons, incluant la mienne.
E. S.
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Sa colonne vertébrale malade redevient normale, pendant qu’elle rend grâces à Dieu de ce qu’Il a fait pour d’autres
Après une longue maladie de dix-huit mois, je suis restée avec une colonne vertébrale malade et ne pouvais marcher sans m’aider d’une canne. Certains jours, la douleur était supportable, d’autres jours atroce; impossible de l’expliquer par des mots. Quand j’essayais de marcher, ma colonne se disloquait en faisant un bruit sec, ce qui produisait une douleur très vive. J’ai eu aussi des problèmes veineux pendant vingt-cinq ans, avec des caillots dans le sang. Les quatre dernières années, j’étais obligée de me bander les jambes, sinon je n’aurais pas pu me tenir sur elles.
Le 7 octobre 1951, ma soeur, Mme Scott, m’emmena aux réunions de William Branham au parc Maranatha, où j’ai été témoin de cinquante-six cas de guérison Divine touchant diverses maladies. Ce fut une merveilleuse manifestation de la puissance de Dieu pour la délivrance de pauvres gens qui souffraient. J’étais tellement ravie de les voir délivrés que j’en pleurais, et pleurais, de joie. Après le service, j’étais assise dans la voiture en train de méditer sur les prodiges que j’avais vus, et je me suis complètement oubliée moi-même, alors que je louais Dieu pour tout ce que je L’avais vu faire pour les autres. Tout à coup, j’ai senti la puissance de Dieu agir sur ma colonne. J’ai été tirée debout sur mes pieds par la puissance de Dieu. Sur-le-champ, notre cher Seigneur a ajusté ma colonne, et aussitôt, toute douleur a disparu. Je suis rentrée à la maison en louant Dieu et en témoignant à tous ceux que je rencontrais. La première chose que j’ai faite à la maison, c’est d’enlever les bandes de mes jambes; par la grâce de Dieu, je ne les ai plus jamais mises. Je peux faire tous mes travaux domestiques. Je n’ai plus eu de douleurs depuis ce moment-là, et je n’ai pas besoin de canne. Actuellement, mes genoux sont un peu faibles, mais pas douloureux. Je me confie en Dieu pour tout ce qui n’est pas tout à fait fort. C’est Lui qui commence et qui achève toute bonne œuvre. À Lui je donne toute la louange et la gloire.
A. C. G.
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Elle confirme la guérison de sa soeur et raconte la sienne
Je viens appuyer le témoignage de ma soeur, Mme A. C. Gribble. Je loue Dieu de ce qu’Il a fait pour elle. On l’a amenée chez moi très, très malade. Frère Hugo peut le confirmer. Je l’ai soignée pendant dix-huit mois.
Le même soir, pendant la prière collective, j’ai été guérie d’une entorse à la cheville et d’une faiblesse à l’estomac. Nous donnons toute la gloire à Dieu.
M. M. S.
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Guérie dans l’auditoire
Je remercie Dieu de m’avoir guérie d’une douleur persistante. Je ne me trouvais pas dans la ligne de prière, mais j’étais simplement quelqu’un dans l’auditoire qui a cru Dieu quand Frère Branham a prié pour nous tous. Je loue le Seigneur de ce que je sois guérie de cette douleur lancinante. Quand j’ai entendu la prédication de Frère Branham et la manière dont il priait pour les malades, je me suis mise à penser à notre Seigneur Jésus-Christ, quand Il a dit à Marthe : « Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. »
H. K. M.
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Guérie d’une fracture à la colonne
Je joins deux certificats de mes médecins, qui m’ont traitée pour mon dos avant que je reçoive la guérison Divine, au service que Frère Branham a tenu au parc Maranatha. Ces médecins m’ont examinée après la merveilleuse guérison de Dieu et ont été très surpris de me voir totalement guérie. Nous nous étions préparés pour une opération dangereuse de la colonne.
J’ai reçu ma guérison le onze octobre mil neuf cent cinquante et un. J’étais malade depuis exactement une année, et j’avais été soignée de nombreuses manières. J’étais sûre que j’étais guérie peu de temps après que Frère Branham m’a parlé. Frère Branham m’a dit que je m’étais blessée une année auparavant et il m’a dit exactement comment je me sentais. Il m’a dit qu’il savait que j’avais une foi robuste et que Dieu me guérirait. J’ai été guérie instantanément.
Une année avant de recevoir ma guérison, j’ai glissé dans notre cuisine sur un sol en ciment ciré et très lisse, et je me suis fracturé un petit os dans le bas de la colonne vertébrale. Le résultat, c’est qu’après avoir été assise ou couchée, je ne pouvais me mettre debout qu’avec de grandes difficultés. J’avais une forte douleur dans le dos la plupart du temps, et c’était peu commode à l’école, parce que je ne pouvais rester longtemps assise ni debout. Ma guérison a fortifié ma foi. Ma famille est reconnaissante et parle sans cesse de la merveilleuse puissance de Dieu.
J’ai des radiographies qui montrent l’os fracturé, et je me ferai un plaisir de vous les envoyer si vous le désirez.
H. J. N.
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Délivré du cancer dans l’auditoire
Je souhaiterais simplement donner brièvement mon témoignage. Jésus m’a touché d’une manière merveilleuse. Je souffrais du cancer, et les médecins ont fait ce qu’ils pouvaient. On m’a opéré et, malgré cela, mon état a empiré, c’est devenu interne. J’ai passé des nuits blanches à invoquer Dieu, en sachant que c’était vain de chercher de l’aide auprès d’un bras de chair.
Dieu m’a parlé, et j’ai étendu ma main de la foi, en remerciant le Seigneur. Il m’a entendu et m’a exaucé immédiatement, là sur ma chaise. J’ai loué le Seigneur, et tous les gens étaient très étonnés de ce que Jésus avait fait.
Dieu soit remercié pour le merveilleux Sauveur que nous avons. Ce soir-là, Jésus est apparu devant moi sur la croix, et une voix douce m’a parlé : « Jésus n’est pas mort sur la croix uniquement pour tes péchés, mais aussi pour tes infirmités. »
Merci Jésus, Il a ôté immédiatement toutes mes infirmités, comme Il l’a fait pour mes péchés.
J. K.
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Le cancer a disparu
Je désire témoigner ici de la merveilleuse puissance qu’il y a dans le sang de notre précieux Seigneur Jésus-Christ. À Lui soient à jamais toute la louange et l’honneur!
Jésus m’a guéri d’un cancer grâce au ministère de notre Frère Branham.
Vous pouvez venir voir. J’ai en ma possession les clichés qui ont été pris et aussi le rapport du médecin.
Gloire à Son Nom!
N. J. O.
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Plus de douleurs à l’estomac
Le dimanche après-midi, quand Frère Branham était à Olando, j’ai reçu ma guérison. Pendant de nombreuses années, j’ai eu de vives douleurs à l’estomac. À la fin du service, Frère Branham nous a dit de nous imposer les mains les uns aux autres et de croire pour la guérison. C’est ce que j’ai fait et, gloire à Dieu, j’ai été guéri. Depuis ce moment-là, et cela fait maintenant presque trois mois, je n’ai plus jamais ressenti de douleurs à l’estomac. Gloire au Seigneur!
R. P.
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Le côté gauche du visage était totalement paralysé
J’écris ceci afin de témoigner comment Dieu a guéri mon visage d’une paralysie totale d’un côté. Je ne pouvais pas faire bouger un seul muscle sur le côté droit de mon visage et sur mon cou. Ça s’appelle la paralysie de Bell.
Trois semaines avant votre arrivée prévue en Afrique du Sud, j’ai vu un médecin. Comme je travaille dans les services municipaux, j’ai dû prendre un congé de maladie, et on m’a envoyé à l’hôpital pour des séances quotidiennes de massage et de traitement électrique. Ceci a duré deux semaines, sans résultat positif. Ensuite on m’a donné une certaine sorte de capsules, qui ont produit de bons résultats dans d’autres cas, car on pense maintenant que cette paralysie serait d’origine virale.
Ceci s’est passé juste avant le début de votre campagne de guérison au parc Maranatha. Comme je m’attendais à ce que le Seigneur me guérisse, je n’ai pas pris ces capsules. J’ai demandé au Seigneur de bien vouloir me toucher, étant donné que, quatre jours plus tard, je devais donner à l’hôpital des nouvelles de l’effet de ces capsules, que je ne prenais pas. On était jeudi. Le vendredi, nous sommes allés aux deux réunions, et aussi le samedi. Samedi soir, je me suis senti mieux intérieurement, mais le visage était toujours paralysé. Dimanche, j’ai rappelé au Seigneur que, le lundi, je devais donner à l’hôpital des nouvelles à propos de ces capsules, que je ne prenais pas. Beaucoup de mes amis priaient aussi. Le dimanche, nous avons assisté à toutes les réunions, et chaque fois qu’une prière était faite pour toute l’assemblée, j’acceptais ma guérison de la part du Seigneur. Dimanche soir, j’ai pu sourire avec les deux côtés de mon visage, et les autres muscles ont commencé à aller mieux. Le lundi matin, j’ai pu téléphoner à l’hôpital pour leur dire que le Seigneur m’avait touché, et que je ne suivrais plus aucun traitement, mais que j’irais les voir aussitôt les réunions terminées. C’est ce que j’ai fait, et là-bas les médecins et les infirmières furent tous très surpris de me voir – et on me déclara guéri.
J. P. P.
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Des vomissements continuels et un goitre
J’ai souffert pendant cinq mois de terribles vomissements. Les deux derniers mois, je ne pouvais prendre que très peu d’eau et de nourriture. J’ai eu quatre très grosses opérations abdominales. Plusieurs spécialistes s’occupaient de moi. J’ai eu deux très grosses opérations en l’espace de six mois à Kroonstadt, l’une après l’autre. Finalement, le docteur Dykman a refusé de faire davantage pour moi. Plusieurs fois, je suis allée à l’hôpital Kensington, à Johannesburg, pour être suivie par des spécialistes. J’avais aussi un goitre, que le Seigneur a guéri complètement.
Après ma guérison, je suis allée chez le médecin, qui m’a donné une attestation, en me disant que je pouvais aussi en obtenir une des spécialistes.
W. J. G.
Mme J. G. a été ma patiente pendant plusieurs années. Elle a eu quatre opérations abdominales en rapport avec sa vésicule biliaire et ses organes pubiens. De plus, elle avait un goitre. Pendant environ cinq mois, elle a souffert de vomissements continuels. Elle était suivie par plusieurs spécialistes à Johannesburg. Apparemment, elle est maintenant parfaitement rétablie.
Dr H. J.
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Un pasteur nous annonce quatre guérisons
Nous avons bien apprécié les réunions Branham envoyées par Dieu, avec leurs sermons inspirés prêchés par les différents membres de l’équipe. Mais, en ce qui concerne le ministère personnel de notre bien cher Frère Branham, nous n’avons pas de mots pour exprimer notre gratitude envers notre Père Céleste, qui a eu la bonté de nous l’envoyer. Il est impossible de dire tout ce que nous avons reçu. Ma femme et moi, ainsi que notre église en général, avons été tellement impressionnés et divinement inspirés, que beaucoup ont reçu leur guérison en se contentant simplement de regarder. Soeur Fourie (ma femme) a souffert pendant plus de neuf mois après la naissance de notre petit bébé, qui est avec Dieu maintenant; mais en entendant le message divin de la guérison, elle a accepté la vérité de ce sujet et a été guérie instantanément. Ceci est arrivé à Klerksdorp.
Frère Ben Meyer, de notre assemblée, souffrait d’une très forte enflure du nez, et son œil, qui était aussi touché, s’est injecté de sang, et finalement, au bout de trois mois, il était en si mauvais état qu’il était évident, pour tous ceux qui connaissent le cancer, que ce frère allait mourir d’une mort des plus atroces. J’ai encouragé ce frère à aller aux réunions à Kimberley et je lui ai raconté ce que notre soeur avait vécu dans la ville précédente. Il s’est décidé à y aller et a été guéri exactement de la même manière, en écoutant Frère Branham dire aux autres de croire. Lui aussi l’a accepté pour lui personnellement et, ce soir-là, après avoir parcouru plus de cent trente kilomètres pour rentrer à la maison, l’enflure de son nez avait disparu et son œil était redevenu comme avant.
Alors qu’elle traversait notre village pour se rendre à Kimberley, l’équipe fut conduite par Dieu à s’arrêter à notre presbytère. Nous avions prié Dieu de nous envoyer le frère, avec un message personnel, et aussi de l’utiliser pour la guérison de notre petite Betty (de cinq ans), qui souffrait, dans tout l’abdomen, de douleurs aiguës suivies de spasmes, et qui présentait également un certain signe qui nous inquiétait beaucoup. En entrant dans notre salon, Frère Branham l’a remarquée et lui a parlé avec tant de gentillesse et d’amour, que j’ai pensé que c’était ce qui était le plus proche de la manière dont le Seigneur Jésus l’aurait Lui-même fait. Il a fait allusion à sa chère Becky à lui et, à ce moment-là, je n’ai pas pu me retenir, j’ai dit : « Betty a toujours dit que si oncle Branham priait pour elle, elle serait guérie. » Alors il a dit : « Je vais prier pour elle », et, posant ses mains sur elle, il a ému le Ciel par son humble prière fervente. Puis, se tournant vers la soeur, il a dit : « Soeur, ne vous faites plus de souci, elle est complètement guérie. » Il nous a aussi dit exactement de quoi elle souffrait, et que c’était la fin de ses souffrances. Elle est complètement guérie, que le Dieu tout-puissant soit loué! Le signe aussi a disparu. Je suis si reconnaissant de dire qu’ils sont tous encore guéris. En partant, ce jour-là, le frère a ajouté : « Soeur, le Seigneur Jésus vous donne le désir de votre cœur. » Comme nous sommes heureux de savoir que Dieu répond toujours aux prières.
Mme Wessels, qui habite rue Robyn, à Christiana, fut désignée du doigt par Frère Branham, à la réunion du samedi (20 octobre 1951). Celui-ci lui a dit qu’elle souffrait des reins, mais qu’elle était guérie, et il en fut ainsi. Elle est toujours guérie. Il y a quelques sceptiques en ville, mais la grande majorité croit que Frère Branham est un homme envoyé de Dieu. Concernant nos propres membres, nous savons tous cela et nous l’avons accepté de tout notre cœur. Ma propre expérience, c’est que je me suis rapproché de Dieu plus que jamais auparavant. Je suis une personne complètement changée, et Dieu bénit mon ministère plus que jamais.
Que la plus riche bénédiction de Dieu demeure sur votre ministère.
D. P. F., pasteur
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Marche maintenant parfaitement normalement
En courant, je me suis déchiré des tendons de la hanche. Je devais subir une grave opération de la hanche. Après être sorti de l’hôpital, je boitais toujours, mais, hier soir, j’ai senti que le Seigneur m’avait touché pendant que Frère Branham priait pour tout le monde.
Je remercie le Seigneur du plus profond de mon cœur, car je marche tout à fait normalement.
J. B.
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Une lecture concernant le ministère de Frère Branham
l'inspira à avoir la foi pour sa propre guérison
Pendant dix ans, j’ai souffert d’un grave problème cardiaque. Les médecins, qui avaient abandonné tout espoir, ont déclaré que je devais accepter mon état et me contenter de mener la vie que mon cœur me permettait de mener. J’ai eu de fréquentes crises cardiaques. On m’a aussi amenée d’urgence à l’hôpital pour y recevoir de l’oxygène. Les enfants de Dieu priaient, mais je me sentais décliner lentement. Aucun espoir, aucun espoir, jusqu’à ce que, enfin, nous recevions la bonne nouvelle de la venue de Frère Branham en Afrique du Sud.
Immédiatement, mon mari, par télégramme urgent, a commandé le livre de Frère Branham à Durban, et me l’a donné à lire, en sachant qu’en lisant le livre, ma foi en Dieu augmenterait. En lisant le livre, ma foi en Dieu s’est affermie de plus en plus, si bien que j’ai eu l’assurance de pouvoir faire confiance à Dieu pour ma guérison. Sachant que Frère Branham venait en Afrique du Sud, j’étais bien consciente que des milliers de personnes viendraient pour la prière, et alors, comment pouvais-je espérer passer dans la ligne de prière? J’ai immédiatement commencé à jeûner et à prier, demandant à Dieu de me mettre dans la première ligne de prière, afin que Frère Branham puisse me parler personnellement.
Dieu a exaucé ma prière. Le 17 octobre 1951, le premier soir de la campagne de Frère Branham à Kimberley, Billy Branham m’a donné une carte portant le numéro trois. On a appelé les numéros un à quinze pour former la ligne de prière et, gloire à Dieu, j’étais la deuxième à recevoir la prière. Frère Branham a dit : « Bonsoir, soeur, vous êtes une croyante. Vous souffriez d’une maladie de cœur. Vous avez été guérie à une table de communion, il y a quelques mois. Vous avez jeûné et prié dans votre chambre à coucher, demandant à Dieu de vous mettre dans la première ligne, et voilà pourquoi vous êtes ici dans la première ligne de prière. Soeur, allez, maintenant Dieu vous a guérie complètement. »
Dieu soit loué, j’ai reçu ma guérison instantanément et, aussitôt, j’ai eu l’assurance que Dieu m’avait guérie. Des louanges et des alléluias ont rempli la salle municipale, lorsque Frère Branham m’a déclarée guérie. Tous ceux qui me connaissaient savaient combien j’avais souffert pendant dix ans, et maintenant ils louaient tous Dieu avec moi pour ma guérison.
Frère Branham a mentionné que j’avais été guérie à une table de communion. C’est vrai. Un dimanche matin, le pasteur de l’Église de Dieu du Plein Évangile de Kimberley et mon mari ont prié pour moi. J’étais dans un état critique. Je désirais avoir la communion ce matin-là. Sachant que j’étais très faible, le pasteur ne pensait pas que ce soit possible. Comme j’insistais, le pasteur m’a emmenée à l’église. C’était le matin où avait lieu la consécration de ceux qui remplissaient des fonctions. On a demandé à tous les membres du conseil de l’église de s’avancer avec leurs épouses. Après la consécration, nous avons eu la communion. Je me suis tenue à côté de mon mari, qui me soutenait. J’étais très faible et je respirais à grand-peine. L’assemblée avait les yeux sur moi, ne sachant pas ce qui allait arriver. On a servi la communion, et au moment où j’ai pris le Pain (le corps de Jésus), Dieu m’a guérie, et j’ai quitté l’église sans aide, mon cœur était normal. Gloire à Dieu!
Après que Frère Branham a prié pour moi, j’ai demandé au médecin de m’examiner, et il m’a dit : « Allez et réjouissez-vous, et ne pensez plus jamais que vous avez souffert d’une maladie de cœur. » Dieu m’a donné un nouveau cœur, et maintenant je vais bien et je suis forte, je témoigne partout où je vais, racontant aux gens comment Dieu m’a guérie.
Eh bien, vous me demanderez quel effet ma guérison a eu sur ma vie spirituelle. Premièrement, je loue Dieu de m’avoir guérie, mais les mots que Frère Branham a prononcés : « Vous êtes une croyante », comptent encore plus pour moi. J’ai toujours su que je pouvais aller au ciel avec un corps malade, mais pas avec une âme malade. Voilà pourquoi ces paroles, c’est tout ce qui compte pour moi. Deuxièmement, les gens sont étonnés quand ils me regardent, d’autres encore disent : « Vous êtes un miracle! » Mon mari et moi entrons maintenant dans le ministère à plein temps pour apporter à d’autres ce glorieux Évangile du salut et de la guérison. Encore une fois, dites avec moi : « Gloire au Seigneur! » Répétons-le : « Gloire au Seigneur! »
V. O. N.
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Délivrance progressive de douleurs à l’abdomen
Je souffrais de douleurs au côté droit et à l’abdomen. Après que Frère Branham a prié pour moi à Kimberley, mon état s’est amélioré progressivement, si bien que, maintenant, je me sens comme une nouvelle personne. Le médecin est surpris de voir à quel point mon état s’est amélioré. Merci, car tout est possible à Dieu.
E. J.
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Complètement libérée de divers maux
Pendant vingt-trois ans, j’ai souffert et j’ai été soignée pour l’arthrite, le cancer, l’hypertension et une plaie qui ne voulait pas se refermer après une opération. Le vingt et un octobre, à Kimberley, Frère Branham m’a parlé. Il m’a dit que j’avais un cancer et d’autres maux, et que Dieu seul pouvait me délivrer de la tombe. Après avoir prié pour moi, il a dit que je pouvais rentrer à la maison, car j’étais guérie.
Ma guérison s’est faite progressivement, mais moins de trois semaines après, toute douleur avait disparu, et j’étais complètement libérée. Mon pasteur, de l’Église réformée hollandaise, a été heureux d’apprendre cela et, après des examens, mon médecin m’a donné un certificat attestant qu’il n’y avait ni cancer, ni arthrite dans mon corps. Gloire à Dieu, cela a rendu le Seigneur réel pour moi.
W. J. B.
Passé médical de W. J. B., Andalusia, cinquante-quatre ans
A subi l’ablation de la vésicule biliaire et, plus tard, une autre opération pour des adhérences. Onguent pour le cancer appliqué pour une grosseur au bras droit pendant plus de quinze ans. Onguent appliqué aussi sur le sein gauche, pour grosseur interne. Elle souffrait aussi de maux de dos. Maintenant, après examen, je constate qu’elle a l’air d’être une femme en bonne santé, quoiqu’un peu corpulente. Aucune pâleur ni jaunisse. Grandes cicatrices sur le bras droit et sur le sein gauche, toutes deux bien refermées. Aucune grosseur au sein. Aucune hypertrophie des ganglions de l’aisselle, du cou ou autres. Cicatrices abdominales bien refermées. Foie normal; bronches, poumons et cœur normaux. Elle se sent bien et ne présente aucun symptôme.
Dr R. N.
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L’enflure au visage a disparu
Je peux témoigner que Dieu a toujours la puissance de guérir. Pendant la visite du révérend Branham à Kimberley, j’ai été guérie instantanément, le 21 octobre 1951. Le même soir, quand je suis arrivée à la maison, j’ai regardé dans mon miroir et j’ai pu voir la preuve du miracle que Dieu avait accompli.
Pendant trois mois et demi, j’avais souffert d’une enflure sur le côté gauche de mon nez; de ce fait, ma narine de ce côté-là était bouchée pratiquement tout le temps. Je craignais que cela ne soit devenu cancéreux. Mon seul espoir, c’était de contacter le prophète de Dieu, afin que moi, en tant qu’enfant de Dieu, je puisse être guéri. Gloire à Dieu, ma guérison est complète et durable.
B. P. M.
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Guéri d’un problème d’estomac
Je désire louer le Seigneur, parce qu’Il m’a guéri de problèmes d’estomac dont j’ai été affecté toute ma vie. De même, pendant près de vingt ans, j’ai souffert à cause d’un foie malade. J’ai dépensé la quasi-totalité de mon revenu en soins médicaux, qui ne m’ont apporté qu’une aide temporaire. J’ai reçu la guérison immédiate de mes problèmes d’estomac, mais mon foie s’est amélioré progressivement, jusqu’à ce que, maintenant, il soit parfait. Aujourd’hui je suis un homme en bonne santé, et je loue le Seigneur, parce qu’Il a fait de moi une nouvelle personne.
N. W.
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Il souffrait d’un problème du foie
C’est pendant que l’équipe Branham tenait des réunions de guérison Divine à Kimberley que j’ai reçu ma guérison immédiatement. Cela faisait deux ans que je souffrais d’un problème du foie. Plus de six semaines se sont maintenant écoulées depuis la fin des réunions, et cette expérience a fortifié ma foi et m’a rapproché de Dieu.
R. S.
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Délivré de la bronchite et d’un caillot sanguin
Je veux remercier Dieu pour la guérison que j’ai reçue à Kimberley, après avoir souffert pendant plus de vingt ans de bronchite et d’un caillot sanguin. J’étais assis, à la réunion, très conscient de la présence du Saint-Esprit. Ni Frère Branham ni quelqu’un d’autre ne m’a parlé ou n’a prié pour moi, mais par la foi, j’ai tendu la main pour saisir cela, et Dieu m’a guéri. Cela fait maintenant un mois de cela, et il n’y a toujours pas de signe de l’affliction.
B. A. J.
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Il marche de nouveau
Pendant quatre ans, j’avais été incapable de marcher. Frère Branham m’a dit de me lever et de marcher, et me voilà complètement guéri.
Je donne à Dieu toute la louange, l’honneur et la gloire.
J. J.
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Une autre personne marche de nouveau
Il y a quelque temps, j’ai eu une attaque qui a paralysé tout le côté gauche de mon corps. Ma tête n’allait plus très bien non plus. J’étais complètement invalide depuis environ cinq mois.
Un soir, Frère Branham a dit que ceux qui croyaient seraient guéris, et il a dit à tous ceux qui avaient la foi pour leur guérison de se lever et de marcher. Je me suis levée et j’ai marché.
Mme N.
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État du sang maintenant normal
Ma fille était malade depuis l’âge de huit ans. Pour commencer, on lui a enlevé l’appendice, et ensuite son état s’est aggravé de plus en plus, si bien que le médecin de Kimberley l’a envoyée à Johannesburg, où on l’a gardée pendant treize semaines à la clinique Norman. Elle avait trois sortes de piqûres toutes les trois heures, jour et nuit, mais elle devenait toujours plus maigre, alors finalement j’ai décidé de la ramener à la maison par avion, car elle n’aurait pas pu supporter le voyage en train.
Ensuite, j’ai simplement fait confiance à Dieu. Plus tard (en 1950), Marlène a subi une ablation de la rate, et sa circulation sanguine s’est modifiée (sa rate était quinze fois plus longue que la normale). Les hémorragies ont commencé. Après l’opération, elle a continué à vomir du sang. Elle avait mauvaise haleine, provenant, d’après le médecin, de l’état de son sang. Elle a subi de nombreuses transfusions sanguines, et devait recevoir un demi-litre de sang en novembre, mais maintenant ce n’est plus nécessaire.
Nous avons écrit à Frère Branham avant qu’il vienne en Afrique du Sud, et Frère Bosworth lui a envoyé un mouchoir oint, qu’elle porte maintenant. Nous sommes venues chaque soir, et nous pouvons vraiment remercier Dieu, car elle est complètement guérie, et je suis certaine que Dieu a même mis en elle une nouvelle rate.
M. W.
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Tumeur fibreuse
Frère Branham a prié pour moi mercredi soir et m’a dit que j’avais une tumeur fibreuse sur l’ovaire et que, dans les soixante-douze heures, je recevrais ma guérison.
Samedi soir, pendant que j’étais assise dans l’auditoire et que Frère Branham, le prophète, assistait les malades, environ soixante-douze heures après qu’il avait prié pour moi, le Seigneur m’a montré en vision une croix sur une petite butte. Ce qui m’a frappée le plus, c’est que c’était tout sombre autour de la croix. Tout à côté de la croix, comme suspendu dans l’air, est apparu quelque chose que je peux seulement décrire comme étant une grosseur fibreuse. Je loue le Seigneur de m’avoir guérie.
N. M. C.
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Tumeur
Avant que nous soyons appelés à venir dans la ligne de prière, je sentais déjà que quelque chose s’était passé. Je peux seulement témoigner que je sais que je suis guérie et que le Seigneur a fait le travail. Je souffrais d’une tumeur dans mes organes féminins depuis un an et quatre mois.
H. Van E.
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Rhumatisme cardiaque pendant vingt ans
J’avais trois ans quand j’ai été atteint de rhumatisme articulaire aigu, ce qui a provoqué un rhumatisme cardiaque, dont je souffrais depuis vingt ans. Je suis venu à Frère Branham, il a prié pour moi, et j’ai été guéri. Mes amis et mes parents étaient très contents de me voir guéri.
Ma langue est trop limitée pour remercier et louer le Seigneur de m’avoir guéri.
J. L. O.
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L’arthrite a disparu
Je souffrais de terribles douleurs dans mon corps. Depuis juin, où j’ai été pris d’une crise cardiaque, le médecin m’a dit de rester très tranquille. Tout le long de ces réunions j’ai senti que Dieu allait me guérir. Hier soir, en quittant la salle, j’ai reçu une guérison instantanée. Avant hier soir, je ne pouvais pas bouger le bras gauche. J’avais de l’arthrite dans les deux mains, mais maintenant je peux les bouger. Je remercie Dieu de ce qu’Il a fait pour moi et je promets de rester fidèle jusqu’à ce qu’Il m’emmène à la maison dans un Pays meilleur.
W. M.
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La douleur au sein et à l’épaule a disparu
J’éprouvais depuis deux ans une douleur au sein droit, et mon épaule droite me faisait aussi beaucoup souffrir. Les médecins m’ont opérée il y a trois ans, sans succès. J’ai consulté le docteur K. de Petersburg, et il m’a dit que si cela continuait, cela deviendrait bientôt cancéreux. J’ai décidé de faire confiance au Seigneur.
La campagne de guérison de Frère Branham a commencé le 24 octobre 1951, à Bloemfontein, et, le premier soir, j’ai reçu une carte de Billy, le fils de Frère Branham. On m’a appelée à venir sur l’estrade pour recevoir la prière. Comme je me tenais devant Frère Branham, il m’a regardée et m’a dit : « Vous êtes une enfant de Dieu. On vous a opérée. » J’ai répondu : « Oui. » Il a dit ensuite : « Quelque chose est en train de sortir maintenant de votre sein, et le Seigneur vous a guérie. Rentrez chez vous. » Il ne m’a pas touchée et n’a pas non plus prié pour moi, il m’a simplement parlé. Depuis cette heure-là, je suis guérie.
Quand je me suis tenue près de Frère Branham, une atmosphère de sainteté m’a envahie, et j’ai eu des frissons. Frère Branham est un vrai serviteur de Dieu, un homme qui me fait penser à Jésus.
Je me sens comme une nouvelle personne. Ma vie spirituelle est édifiée. Je prie plus, et j’ai envie de témoigner pour mon Seigneur partout où je vais. Ma coupe déborde de joie. J’ai envie de vivre entièrement pour mon Jésus, parce qu’Il a tant fait pour moi. Je n’ai plus de douleur au sein ni à l’épaule droite. Je loue Son Nom pour cela.
S. S.
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Elle souffrait d’une hernie
Avec le Psalmiste dans le Psaume 103, nous pouvons nous exclamer : « Mon âme, bénis l’Éternel! Que tout ce qui est en moi bénisse Son saint Nom! »
Mon cœur déborde de gratitude envers le Seigneur pour ce qu’Il a fait pour moi. Il connaissait toutes mes difficultés, et mes vingt-sept ans de souffrances à cause d’une hernie. Je souffrais atrocement, mais je continuais à me confier en Dieu pour la guérison. J’avais lu dans “Le Consolateur” que les réunions à Bloemfontein commenceraient le vingt-quatre octobre, et j’ai décidé d’y aller.
En faisant ce que Frère Branham m’avait dit, je me suis sentie comme si j’avais été déchargée d’un grand poids. Je l’ai remarqué particulièrement en marchant; j’avais l’estomac tellement léger.
Je n’avais jamais pu dormir autrement qu’avec ma main gauche soutenant la hernie. Maintenant ce n’est plus nécessaire. Mes fardeaux et mes soucis se sont maintenant tous envolés. Je ne peux que dire : « L’amour de Jésus est merveilleux, merveilleux », et je donne toute la gloire à Dieu.
J. M. H.
Contresigné par le pasteur : J. J. G.
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Problème rénal et cardiaque
Je veux témoigner pour mon amie qui a douze ans. Cette enfant a été malade pendant sept ans. Elle a été atteinte de rhumatisme articulaire aigu à l’âge de cinq ans et, à cause de problèmes cardiaques, elle était fréquemment alitée. Nous sommes venues avec une grande foi à ces réunions, croyant que Frère Branham allait pouvoir prier et que Jésus allait la guérir complètement. Elle a reçu une carte de prière mais n’a pas été appelée dans la ligne de prière, et elle était déçue, je le sais. Mais il l’a désignée directement dans l’auditoire. Alors qu’il mentionnait son problème rénal, j’ai pensé : « Oh! il ne va pas prier pour son problème cardiaque. » Mais il l’a fait. Il l’a aussi vu. Jésus a montré qu’elle avait aussi un problème cardiaque, et elle est guérie des deux. Alléluia! Gloire au Seigneur.
S. R.
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Problèmes d’estomac et hernie
Je souhaite simplement témoigner que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, qu’Il accomplit toujours des prodiges et des miracles. Il est immuable.
J’ai souffert pendant quatre ans de l’estomac. J’ai eu de nombreuses nuits agitées. Le médecin a prescrit des poudres, mais elles n’ont pas beaucoup aidé. Pendant que Frère Branham était à Bloemfontein, nous avons décidé d’y aller et de recevoir la prière. Pendant qu’il priait pour tous les malades, le Seigneur m’a touché et guéri. Le même soir, ma femme aussi a été guérie d’une hernie. Que Dieu soit loué pour Sa miséricorde!
H. C. H.
Contresigné par le pasteur : J. J. G.
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Problèmes cardiaques
J’ai souffert de problèmes cardiaques pendant de nombreuses années. Je ne pouvais pas faire le moindre effort sans en ressentir les effets, mais, Dieu soit loué, j’ai été guéri! Pendant que j’assistais aux réunions à East London, le dix-huit novembre, j’ai accepté ma guérison de la part du Seigneur. Par le ministère de Frère Branham, le Seigneur m’a touché et m’a complètement guéri. Pendant les réunions qui ont suivi ma guérison, j’ai aidé à transporter les patients malades dans les escaliers, sans sentir de réaction. C’est quelque chose que je n’aurais pas pu faire si Dieu ne m’avait guéri.
J. H. P.
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Il souffrait d’angine de poitrine
Ceci est le moment le plus merveilleux de ma vie. Mercredi matin, je n’aurais pas pu marcher d’un bon pas toute la longueur du terrain de football sans avoir des palpitations, le souffle court et une forte douleur dans le bras, que connaissent tous ceux qui ont souffert d’angine de poitrine. Quand on ne peut pas marcher et que, en plus, on ne peut pas se baisser pour faire un peu de jardinage, qu’on n’ose pas prendre un arrosoir ou ramasser quelques fleurs, alors c’est que cela ne va pas très bien. Donc, mercredi, je suis venu à la réunion avec la foi que j’allais y trouver Dieu dans Sa pleine bénédiction.
Frère Branham a commencé son allocution et s’est exprimé avec une foi d’une intensité très vive. Cette merveilleuse édification s’est répandue dans tout mon corps comme de l’électricité pour ressortir par mes mains. J’ai su alors que j’étais guéri, sans pourtant oser le dire. J’ai pensé attendre au lendemain, mais je savais avant d’arriver à la maison que mon corps allait mieux, parce que la marche jusqu’à ma voiture semblait si facile. Le lendemain matin, j’ai marché sur la plage de l’Est avec ma femme aller et retour, contre un fort vent. J’ai fait un peu de jardinage et de sarclage, et aujourd’hui j’ai marché pour faire disparaître la raideur, parce que je n’ai jamais pris autant plaisir à marcher de toute ma vie. Gloire au Seigneur!
S. C. H.
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Adolescent guéri de terribles maux de tête
Après avoir été malade et soigné pendant cinq ans, j’ai reçu ma guérison à Bloemfontein, le vingt-quatre octobre. Frère Branham m’a dit que je souffrais de maux de tête des plus terribles, ce qui était la vérité, mais j’ai été guéri instantanément, après qu’il m’a dit que Jésus m’avait guéri et que je pouvais maintenant me réjouir de la guérison qui m’appartenait. J’ai quatorze ans, et à cause de ce que Jésus-Christ a fait pour moi, je Lui ai abandonné ma vie.
A. S.
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Paralysie infantile et cancer
J’ai souffert de paralysie infantile pendant plus de vingt-sept ans. Récemment j’ai eu un cancer interne, mais j’ai été guérie instantanément, après la prière collective du vingt-quatre octobre, à Bloemfontein.
Mon médecin dit que c’est un vrai miracle et il est très content que je sois guérie. Ma guérison a amené mon mari et mes enfants au Seigneur. Loué soit Son saint Nom!
G. E. D.
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Trois membres d’une famille reçoivent leur guérison le même soir
C’est un grand privilège pour moi de pouvoir témoigner de la bénédiction et de la guérison reçues pendant la campagne Branham à Bloemfontein. J’ai reçu ma guérison le vingt-sept octobre à Bloemfontein, et je ne saurais assez remercier le Seigneur pour ma délivrance. Cinq ans durant j’ai souffert de crises de rhumatisme articulaire aigu chaque année, et la sixième année, en passant le cap de mes dix ans, mes nerfs ont lâché. J’ai passé six mois à l’hôpital Général, à Bethlehem. À l’âge de douze ans, mon genou gauche a commencé à enfler. Les deux ou trois premières années, ce n’était pas si terrible, mais, plus tard, l’état a empiré. Récemment, quand je m’aventurais à marcher un kilomètre et demi, après cela ma jambe devenait si douloureuse que, pendant cinq ou six jours, je ne pouvais plus marcher.
J’ai consulté douze médecins différents. Nous sommes même allés jusqu’à consulter des sorciers guérisseurs, mais aucun n’a pu faire quelque chose pour m’aider.
Les médecins et les spécialistes de Bloemfontein ont dit à mes parents qu’ils ne pouvaient pas non plus faire quoi que ce soit, ni poser un diagnostic approprié.
Le docteur Visser de Bloemfontein a déclaré que j’avais eu un problème du genou, et que cela se règlerait quand j’aurais environ vingt-quatre ou vingt-cinq ans. Seulement une semaine avant cela, le docteur Scheepers de Johannesburg avait diagnostiqué un cartilage déchiré, qui pourrait être réparé par une opération.
Parce que nous étions domiciliés dans l’État libre d’Orange, l’opération devait se faire à Bloemfontein. La semaine suivante, les spécialistes à Bloemfontein ont refusé d’opérer, et c’est très découragée et déçue que je suis rentrée à la maison le même soir.
Mon état s’est aggravé, et maintenant non seulement mon genou était enflé, mais ma jambe entière, ma cheville et mon pied l’étaient aussi. On m’a fait une autre sorte de piqûre, comme le médecin pensait que j’étais atteint d’hydropisie. Une deuxième nuit sans sommeil. Le lendemain, nous avons consulté un autre médecin. Le docteur Kellerman et le docteur Jordaan m’ont très bien examinée, et ils ont cru que les muscles au-dessus de la rotule étaient devenus trop faibles pour maintenir en place la rotule suffisamment haute, ce qui provoquait un épanchement d’eau.
Le docteur Kellerman a prescrit que je devrais rester une semaine au lit et faire certains exercices pour le genou. Le jeudi de la semaine suivante, ma main et mon bras droits ont commencé aussi à enfler. J’ai dormi pendant trois jours et trois nuits, et le médecin a craint que j’aie peut-être attrapé la maladie du sommeil. Quand nous avons entendu parler de l’homme qui avait été envoyé par Dieu pour guérir les malades par la prière, mes parents ont immédiatement décidé de m’amener vers lui pour recevoir la guérison.
C’était merveilleux d’observer les estropiés se lever de leur lits et de leur brancards et de voir les ambulances repartir à vide des réunions.
Deux des sœurs de mon père et moi avons reçu notre guérison le jeudi soir. Depuis ce jour-là je n’ai plus de douleur dans ma jambe ni dans ma main, et j’ai pu faire des travaux de broderie avec cette main, et marcher où je voulais sans conséquences négatives.
J’étais membre de l’Église réformée hollandaise de Bethlehem. Moi et mes parents, et toute la famille, nous sommes reconnaissants envers le Seigneur pour la guérison qu’Il m’a accordée, après que j’ai souffert pendant près de douze ans.
J. D.
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Maladie des reins et hypertension
Depuis l’âge de deux ans, j’ai souffert d’une maladie des reins. Ces dernières années, mes mains et mes pieds étaient enflés, et je faisais de l’hypertension. Pendant les réunions à Bloemfontein, Frère Branham m’a désignée en me disant que je souffrais à cause d’une maladie des reins. Il m’a demandé si c’était exact, et j’ai acquiescé d’un signe de tête. Puis il m’a demandé si je croyais en Dieu et si je croyais que Dieu me guérirait, ce à quoi j’ai de nouveau répondu par l’affirmative. Il a ajouté que Dieu m’avait déjà guérie. Le lendemain matin, toute l’enflure avait disparu, la pression sanguine était normale, et mes reins ne m’ont plus donné aucun souci depuis le vingt-quatre octobre, jour où Frère Branham m’a parlé. Je veux remercier Dieu pour cette expérience, parce qu’elle m’a rapprochée de Jésus et de mes parents, et j’en suis très heureuse.
A. P.
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Paralysie infantile, appendicite et problème d’estomac
Je souffrais depuis ma naissance. J’ai treize ans. J’ai souffert de paralysie infantile. Je ne pouvais rien manger sans me mettre à vomir. J’étais enflée sous le sein, et j’avais des douleurs à l’estomac après les repas. Je suis allée d’un médecin à l’autre, mais sans succès. J’ai pris toutes sortes de médicaments, mais rien n’a aidé. Je suis très maigre et petite pour mon âge, et j’ai l’apparence d’une enfant de huit ans. Le vingt-six octobre, j’ai été appelée sur l’estrade pour recevoir la prière. Je me suis tenue devant Frère Branham. Il m’a dit : « Ma chérie, est-ce que tu crois? » J’ai répondu : « Oui. » Il a dit : « Tu souffres d’une appendicite et d’un grave problème d’estomac. » Il m’a imposé les mains et a prié pour moi. J’ai senti comme si j’étais soulevée de terre, et un frisson a parcouru mon corps. J’ai su dès ce moment-là que j’étais guérie. Maintenant, je peux manger, sauter, courir et faire tout ce que je ne pouvais pas faire avant. Le cher Seigneur a tant fait pour moi.
V. S.
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Un mari et sa femme délivrés tous les deux
Dieu soit loué, mon mari et moi avons reçu tous les deux notre guérison le même soir. Frère Branham s’est tourné vers moi et m’a dit : « Vous, sur le dernier brancard, vous êtes une femme à l’article de la mort et, si vous ne vous levez pas de votre lit, vous ne vous rétablirez jamais. Il s’agit de votre foie, n’est-ce pas? Vous êtes guérie. » Je me suis levée immédiatement, et, depuis ce moment-là, ça n’a fait qu’aller de mieux en mieux pour moi. Gloire au Seigneur! J’étais alitée depuis cinq mois à cause d’un abcès au foie, mais depuis ce soir-là, je suis parfaitement rétablie.
G. K.
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Sinusite
J’ai reçu ma guérison au Cap. J’avais de la sinusite, mais moins d’une semaine après qu’on a prié pour moi, il n’y en avait plus aucune trace. Dieu soit loué, j’ai été délivrée.
R. J. K.
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Sourd d’une oreille depuis la naissance
J’ai reçu ma guérison le quatre novembre au Cap. J’étais sourd de l’oreille gauche depuis la naissance, mais l’oreille droite était bonne. Frère Bosworth a prié pour moi, et j’ai recouvré l’ouïe de l’oreille gauche instantanément. Grâces soient rendues à Dieu. Bien à vous,
G. A.
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L’asthme et la bronchite ont disparu
Depuis l’âge d’environ un mois, je souffrais de crises d’asthme et de bronchite, et, il y a environ deux mois, j’étais alité à cause d’une pneumonie. Après avoir reçu la permission du médecin de me lever, il me restait une très forte douleur dans les poumons.
C’est vraiment par une coïncidence que j’ai pu assister à votre deuxième réunion, le 11 novembre 1951. Mme Van Dar Westhuizen m’avait demandé si je pouvais trouver le temps de venir la chercher à la fin de la réunion, vers vingt-deux heures ce soir-là. C’est ce que j’ai fait, je suis arrivé à Wingfield vers vingt et une heures quarante. Je suis arrivé juste à temps pour entendre la fin de la réunion. Il me semblait en retirer quelque chose, mais quoi, je ne savais pas exactement, alors j’ai décidé d’assister à toute la réunion le lendemain soir.
J’avais été fasciné par le service, parce que ma foi en Jésus avait grandi pendant toute la réunion. Avant même de quitter les lieux, j’ai senti que la douleur dans ma poitrine avait commencé à diminuer et, deux à trois jours plus tard, la douleur avait disparu, à part un petit élancement de temps à autre. Depuis ce moment-là, j’ai ôté les vêtements supplémentaires que je portais, considérant qu’ils n’étaient plus nécessaires. Je ne les ai pas reportés depuis, et je n’ai plus eu de difficulté à respirer.
L. W. H.
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Fuite valvulaire cardiaque et violents maux de tête
J’ai été guérie le 31 octobre 1951, au Cap. Depuis mon enfance je devais toujours prendre des toniques à cause de ma grande faiblesse. Quand j’ai eu seize ans, mes parents m’ont emmenée chez un médecin, qui a déclaré que j’avais une fuite valvulaire cardiaque. Je me sentais toujours épuisée. Puis, à l’âge de dix-sept ans, j’ai été atteinte de rhumatisme articulaire aigu, ce qui a aussi affecté mon cœur. Alors que je devenais plus âgée, mon cœur s’affaiblissait. Quelques semaines avant l’arrivée de Frère Branham, je me sentais décliner de plus en plus. Tout ce que je demandais en prière, c’était de vivre jusqu’à l’arrivée de Frère Branham, car j’étais certaine qu’alors Jésus me guérirait.
Le premier soir des réunions de Frère Branham, après qu’il a prié pour les malades sur l’estrade, il nous a dit à tous de croire, et j’ai été guérie instantanément. Je me suis sentie comme une nouvelle personne à partir de ce moment précis.
Je souffrais également de violents maux de tête d’origine nerveuse. Je ne pouvais jamais me trouver au milieu d’une foule. Après de grandes réunions, ma tête était généralement dans un état tel que je ne pouvais pas ouvrir les yeux. Le vendredi soir (deux novembre), pendant la réunion, tout à coup cela m’a frappée : le Seigneur m’avait aussi guérie de cela. Je n’ai plus jamais eu de maux de tête depuis ce mercredi-là.
Je loue et remercie Jésus de m’avoir guérie grâce au ministère de Frère Branham. Cela fera trois semaines demain. Je ne peux pas m’empêcher de parler à tous de la puissance de guérison qu’il y a dans le sang de Jésus. Gloire à Son Nom!
E. S.
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Guérie d’asthme bronchique
Oh, alléluia! Gloire à Dieu, car aujourd’hui le soleil brille dans mon âme. Jésus est venu habiter dans ma vie, changeant les ténèbres en lumière et la tristesse en joie. Oh, quels miracles Jésus accomplit!
Pendant quinze ans j’ai souffert d’asthme bronchique. Au moment où Frère Branham et son équipe tenaient une campagne de guérison à Wingfield, au Cap, en Afrique du Sud, j’ai demandé au Seigneur de ne pas passer près de moi sans guérir mon corps. Chaque matin, je quittais la maison avant dix heures afin d’être certaine de trouver un siège pour la réunion du soir. Le 1er novembre 1951, pendant que Billy distribuait les cartes de prière, il a passé près de ma place sans m’en donner une. Mais ensuite Billy Paul est revenu vers ma place et m’a donné une carte de prière. Dans mon cœur, j’ai rendu grâces à mon cher Seigneur, car je savais qu’Il avait exaucé ma prière et qu’Il allait me guérir. Quand on a appelé la ligne de prière ce soir-là, Frère Branham a dit : « Que seules les personnes qui ont les cartes portant les numéros F-50 à F-60 viennent sur l’estrade. » J’ai regardé au dos de ma carte, c’était F-54. Oh, combien j’ai remercié mon cher Seigneur d’avoir répondu à ma prière. Pendant que j’étais en bas de l’estrade, mon corps a commencé à trembler. J’ai eu de la peine à inscrire mon nom et mon adresse au dos de la carte. Quand je me suis avancée vers Frère Branham, il m’a regardée et m’a dit : « Ma soeur, vous êtes guérie de votre asthme; vous avez été guérie pendant que vous étiez encore en bas de l’estrade. » Oh, combien je loue mon Seigneur de m’avoir guérie.
M. H.
Certificats médicaux
1945-10-24
Je déclare que Mme M. H. souffre d’asthme bronchique.
Signé : Dr R.
1951-11-08
Je certifie que j’ai examiné Mme M. H. et que je ne peux actuellement trouver aucun signe clinique d’asthme.
Signé : Dr I. J. W.
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Un cœur redevient solide
Le 4 novembre 1951, dans la ville de Port Elizabeth, j’ai reçu ma guérison d’une faiblesse cardiaque. Frère Branham m’a désignée du doigt et m’a dit que j’étais guérie et que je pouvais rentrer à la maison. J’en ai reçu l’assurance quelques jours plus tard, en remarquant une nette amélioration de l’état de mon cœur. Gloire à Dieu!
M. M.
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Grave problème de nervosité
J’aimerais louer le Seigneur pour la guérison que j’ai reçue à Port Elizabeth. Depuis la naissance de mon dernier bébé, il y a six ans de cela, j’ai souffert des nerfs, et cela a affecté mon cœur. Le mois dernier, j’ai aussi souffert de terribles douleurs aux pieds, et ne pouvais que très peu marcher. J’ai vu plusieurs médecins, mais aucun n’a pu vraiment aider. L’après-midi où j’ai reçu ma guérison, toute douleur a disparu de mes pieds. Je peux maintenant manger de tout, ce que je n’ai jamais pu faire quand je souffrais des nerfs. J’ai pris sept kilos pendant les trois semaines qui ont suivi le passage de l’équipe Branham à Port Elizabeth. Je remercie Dieu de ce qu’Il a fait pour moi, et je serais très contente si vous pouviez prier Dieu de faire de moi une lumière qui brille, car je sais que je devrais le faire, mais je suis trop faible pour le faire par moi-même. Avec mes meilleurs vœux.
D. M. P.
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Création d’un nouveau tympan
J’aimerais témoigner que le Seigneur m’a complètement guéri. En 1932, j’ai subi une mastoïdectomie à une oreille, mais, gloire à Dieu, quand Frère Bosworth a prié pour moi, le Seigneur m’a donné une toute nouvelle oreille, et maintenant j’entends parfaitement. Gloire au Seigneur!
C. A. D.
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Débarrassée d’un cancer et de troubles gynécologiques
J’aimerais témoigner ici que Dieu m’a guérie pendant la visite de Frère Branham à Port Elizabeth, le mercredi 7 novembre 1951.
Je souffrais de mes organes féminins depuis neuf ans. Je suis allée d’un médecin à l’autre, mais sans résultat. Au début de l’année, une grosseur est apparue sur mon cou. Le médecin m’a conseillé de la faire enlever, mais cela n’a fait qu’aggraver la situation. Trois mois après cette opération, j’ai décidé d’aller voir un cancérologue, parce que la démangeaison et la brûlure étaient insupportables. Le diagnostic du médecin était que j’avais un cancer. Il a enlevé le cancer, qui était alors plus grand qu’une pièce d’une demi-couronne, mais les glandes étaient déjà atteintes.
Il y avait une grosseur sur le côté droit de mon cou, et la douleur et la sensation de brûlure étaient terribles. Je me sentais toujours fatiguée et j’avais continuellement mal à la tête. J’ai souffert pendant quatre mois, et la situation ne faisait qu’empirer. En octobre, j’ai consulté un spécialiste, qui m’a conseillé de subir une radiumthérapie. Je devais aller à l’hôpital le vingt-quatre octobre, mais j’ai décidé de me confier en Dieu pour ma guérison. J’ai prié en croyant que Dieu exaucerait ma supplication.
Le sept novembre, la première réunion de la série devant se tenir à Port Elizabeth a commencé. La douleur était atroce, mais je suis allée à la réunion en croyant que Dieu me guérirait. On ne m’a même pas donné de carte, mais cette voix douce m’a dit : « Ce n’est pas le fait d’avoir une carte qui te guérira. » Alors, soudain, je me suis imaginé le Seigneur Jésus suspendu à la croix, et j’ai compris que ce n’était pas seulement pour nos péchés qu’Il était mort, mais aussi pour nos maladies.
Pendant que Frère Branham priait pour nous tous collectivement, tout à coup il a dit : « Il y a une mère ici devant moi », et j’ai prié avec ferveur : « Seigneur, fais que ce soit moi. » Frère Branham a poursuivi : « C’est une mère qui souffre du cancer et de ses organes féminins. Guéris-la, Seigneur. »
Quand il a dit « cancer », c’est comme si un couteau s’enfonçait dans cette boule dure, et j’ai prié que Dieu Lui-même fasse l’opération. Instantanément la douleur a disparu, et la raideur au côté était partie.
Pendant que je rentrais à la maison ce soir-là, je me suis mise à vomir des choses dures et, tout à coup, je me suis sentie très bien. Au matin, mon mari et ma parenté ont été surpris en voyant ma bonne mine. Je loue Dieu et Lui donne toute la gloire. Je témoigne à tous ceux que je rencontre. Certains se réjouissent avec moi, mais d’autres ne me croient pas. Je suis si reconnaissante à Dieu pour le miracle qu’Il a accompli.
H. K.
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Surdité totale d’une oreille pendant quarante-cinq ans
J’ai perdu le tympan de l’une de mes oreilles suite à une explosion qui s’est produite quand j’étais un garçon de dix ans. Il y a quarante-cinq ans de cela, et depuis, j’étais complètement sourd de cette oreille.
Pendant que Frère Bosworth priait pour elle, mon ouïe a été restaurée parfaitement. Gloire au Seigneur!
D. J. D.
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Strabisme corrigé
Quelque chose de merveilleux s’est passé au sein de notre foyer. Notre petite indigène de douze ans, qui est chez nous, à notre service depuis quelques mois, louchait affreusement. Elle louchait tellement qu’on voyait à peine qu’elle avait des yeux. Ses yeux semblaient regarder en bas vers son nez et être à moitié cachés dans les coins. Les gens la regardaient quand elle était présente dans la pièce et, quand elle s’en allait, ils disaient : « Ne vous sentez-vous pas terriblement malchanceux d’avoir une fille comme ça qui travaille chez vous? Je me sens horriblement mal chaque fois que je la regarde. » Nous, nous prenions sa défense et nous la protégions en disant que ce serait vraiment très méchant de notre part si nous lui donnions son congé juste parce qu’elle louchait. En fait, Dieu nous avait bénis de bien des manières depuis qu’elle était entrée dans notre foyer.
Nous avons alors appris que Frère Branham venait à Port Elizabeth. On nous avait parlé des nombreuses guérisons merveilleuses qui s’étaient produites dans ses réunions. Nous nous sommes dit : « Si Frère Branham peut prier pour d’autres personnes et qu’elles peuvent être guéries par ses prières, alors pourquoi ne pourrait-il pas prier pour les yeux de notre petite indigène? » Nous lui avons parlé de sa venue et elle a cru que, si elle avait la foi, elle serait guérie. Tôt, dimanche matin dernier, elle est allée à la salle Feather Market où la réunion devait avoir lieu. D’abord elle a été très déçue de n’avoir pas été choisie pour aller dans la ligne de prière. Mais vers la fin de la réunion, Frère Branham a dit à tous ceux qui désiraient être guéris de se lever pendant qu’il ferait une prière pour eux tous. Elle a été l’une des nombreuses personnes qui se sont levées.
Elle est rentrée à la maison et a été déçue de constater qu’elle louchait toujours, mais elle a décidé de continuer à croire, malgré ce qu’elle voyait.
Imaginez notre grande joie quand, deux jours plus tard, nous avons vu que son œil gauche était bien droit et parfait, et, gloire à Dieu, deux jours plus tard, l’autre œil aussi était bien droit et parfait. Gloire au Seigneur! Avant, quand elle regardait les choses, le monde semblait sens dessus dessous, mais, maintenant, elle voit parfaitement. Gloire au Seigneur!
D. G.
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De l’asthme pendant quinze ans
Je suis content de vous envoyer mon témoignage pour vous dire comment Jésus m’a guéri par Sa grande puissance de guérison Divine. Gloire au Seigneur!
Depuis que je suis revenu de la campagne de guérison, je me sens très bien. Auparavant, je ne faisais jamais de gros travaux, car cela se répercutait sur mes voies respiratoires, étant donné que je souffrais d’asthme depuis quinze ans. Je peux maintenant faire n’importe travail sans crainte. Je remercie Jésus de m’avoir guéri.
D. M.
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Guéri d’une hernie
Je remercie Dieu de m’avoir guéri! Le soir du 9 novembre 1951, à Port Elizabeth, Dieu m’a guéri instantanément pendant que j’assistais à l’une des réunions de Frère Branham. Je n’ai pas été appelé pour la prière, mais Frère Branham a dit : « Tout est possible à ceux qui croient. » J’ai cru que Dieu me guérirait, et Il l’a fait.
J’ai souffert pendant huit ans, après avoir été opéré d’une appendicite qui, plus tard, a provoqué une hernie. Je ne pouvais jamais attacher mes souliers ni même me courber, mais, je remercie Dieu, le soir même, j’ai été guéri. J’ai pu me courber et faire tout ce que je faisais il y a huit ans. Je donne toute la louange au Seigneur.
A. J. R.
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Guérie d’une hernie de la grosseur d’un ballon de football
En 1926, après la naissance de mon fils, je me suis retrouvée avec une hernie ombilicale de la grosseur d’un ballon de football. Les médecins ont opéré, mais n’ont pas réussi.
Le même soir, Frère Branham a désigné mon mari du doigt en lui disant de quoi il souffrait et qu’il était guéri, et moi aussi j’ai été désignée. Frère Branham m’a dit de me lever. Après m’avoir parlé de mon hernie, il m’a aussi dit d’accepter ma guérison. Que Dieu soit béni! Immédiatement la hernie a disparu de mon corps, et il ne reste plus la moindre trace de cette hernie qui était de la grosseur d’un ballon de football. Grâces soient rendues à Dieu, parce qu’Il a guéri et a touché mon corps.
M. G.
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Un poumon desséché pendant trente-quatre ans fonctionne normalement
Au cours de la Première Guerre mondiale, j’ai été gazé sur le champ des Flandres et, pendant plus de trente-quatre ans, je n’ai pu utiliser qu’un seul poumon, comme l’autre était complètement desséché. Mon cœur aussi était en très mauvais état. Les médecins m’avaient condamné, estimant que mon cas était désespéré et qu’il ne me restait plus beaucoup de temps à vivre.
Le 7 novembre 1951, je suis allé à la salle Feather Market, dans l’attente certaine que le Seigneur me guérirait. Quand Frère Branham a désigné mon épouse, qui était assise à côté de moi, et lui a dit : « Vous êtes guérie », j’ai dit : « Seigneur, moi aussi; ne m’abandonne pas, s’il Te plaît, Seigneur. » C’est alors que Fère Branham m’a dit : « Levez-vous! » Il m’a dit ce qui n’allait pas, diagnostiquant parfaitement mes maux, et a ajouté que j’étais guéri. Immédiatement j’ai commencé à respirer plus librement, et je peux louer Dieu de ce que je suis complètement guéri. Je n’ai plus eu aucune trace de l’effet des gaz depuis les réunions à Port Elizabeth.
F. G.
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Sourd pendant treize ans
Pendant treize ans je n’entendais pas du tout, mais je loue vraiment le Seigneur de m’avoir guéri complètement. À présent j’entends même le chuchotement le plus léger. Dieu soit loué pour Sa merveilleuse intervention.
G. F.
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Douleurs au dos et descente de matrice
Je veux envoyer mes remerciements pleins de reconnaissance pour la guérison que j’ai reçue à la réunion du jeudi huit. Je souffrais depuis des années de douleurs au dos et d’une descente de matrice. Pendant que j’assistais à la réunion, j’ai reçu une guérison instantanée, pour laquelle je remercie notre Père Céleste.
E. C. H.
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Tumeur au cerveau
Je suis heureux de pouvoir témoigner de ce que le Seigneur a fait pour moi. Il y a deux ans et demi, j’ai commencé à souffrir d’une tumeur au cerveau. Au cours de l’année 1950, j’ai séjourné trois fois à l’hôpital de Johannesburg, où j’ai été traité par un éminent docteur. Il n’a rien pu faire et m’a chargé de revenir dans les douze mois pour voir comment cela s’était développé. Tout ce qu’il a pu faire à ce moment-là, c’était de me prescrire un traitement au radium. Je n’en ai reçu qu’un, après quoi les médecins ont déclaré qu’ils ne pouvaient plus rien faire pour moi. La tumeur me faisait terriblement souffrir et affectait aussi ma vision. Quand une personne se tenait devant moi, je ne pouvais que discerner le visage, mais rien de plus.
Le premier soir où je me suis trouvé là, j’ai pris place dans le secteur réservé aux malades. Je croyais et je savais que je pouvais être guéri. Après que Frère Branham a prié pour environ cinq personnes, il a regardé dans ma direction et m’a parlé. À ce moment-là, j’ai senti quelque chose se produire en moi, et l’obscurité devant mes yeux a disparu. Quand il m’a parlé, je n’étais pas en train de le regarder, mais, immédiatement, j’ai tourné mon visage vers lui et j’ai pu le voir, et la douleur avait aussi disparu.
Cela fait maintenant trois jours, et je n’ai plus ressenti aucune douleur et je vois très distinctement. Je vis et je dors maintenant sans médicaments, et je sais que c’est le résultat de ce que le Seigneur a fait pour moi. Je ne cesserai jamais de Le remercier.
N. P.
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Nervosité et problème d’estomac
Toute ma vie j’ai souffert de nervosité et d’une descente de l’estomac. Dieu a été bon envers ma femme et moi en nous permettant d’aller dans la ligne de prière. Quand je me suis avancé vers Frère Branham, il m’a dit : « Vous êtes partiellement sourd, nerveux et vous souffrez d’une descente de l’estomac. Tout est guéri maintenant. » Un grand calme m’a envahi, et j’ai arrêté de prendre les pilules pour mon estomac. Depuis lors, il fonctionne normalement. Mon ouïe s’est aussi améliorée.
J’ai toujours vécu près de mon Créateur, mais c’est merveilleux de penser qu’Il est venu et m’a touché. Je n’ai jamais cessé de remercier Jésus de m’avoir guéri. Un de mes amis m’a prêté un livre intitulé « Christ le Guérisseur », et quelle joie pour moi d’apprendre que la mort de notre Seigneur sur la croix était aussi pour la guérison corporelle, comme pour le salut de l’âme.
A. L.
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Jupe trop grande après avoir été délivrée d’un foie hypertrophié
J’ai été alitée pendant cinq ans et neuf mois. Mon cœur et mon foie étaient hypertrophiés, le foie de vingt-neuf centimètres. Pendant une réunion de l’après-midi, je demandais à Dieu de me guérir et, discrètement dans mon cœur, j’ai simplement continué à croire. Quand je me suis levée pour rentrer à la maison, j’ai senti ma jupe glisser de mes hanches. Avant de venir à la réunion, comme je n’arrivais pas à fermer l’ouverture latérale, j’avais dû mettre des épingles. Il y avait maintenant un tel rétrécissement de ma taille que les épingles laissaient un trop grand espace. Une fois arrivée à la maison, il n’y avait plus d’enflure du tout. Je loue le Seigneur pour ma guérison.
H. R.
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Patient en fauteuil roulant délivré de nombreux maux
J’ai été guéri dans la ville de Grahamstown le 13 novembre 1951, après avoir souffert d’asthme pendant quinze ans. Je n’oublierai jamais ce jour de joie et de bonheur. J’ai dépensé des centaines de livres en honoraires de médecins et en médicaments. Cela ne m’a fait aucun bien et, finalement, mon cœur a lâché. Mon médecin a suggéré des injections de recosin pour fortifier les muscles de mon cœur, mais ça n’a que peu aidé.
Quand j’ai appris que Frère Branham venait à Grahamstown, j’ai décidé que je devais à tout prix assister à la seule et unique réunion qui se tenait là-bas. Pendant quinze jours je suis resté alité, à compter les jours et les heures. À certains moments, j’étais si malade que je pensais que j’allais mourir avant le treize. J’étais si faible qu’on a dû me pousser à l’intérieur dans un fauteuil roulant. Nous sommes arrivés à la salle à dix heures et nous sommes restés là jusqu’à vingt-trois heures.
Frère Branham est venu calmement sur l’estrade vers vingt et une heures. Il a prié pour plusieurs personnes qui sont venues sur l’estrade et aussi pour quelques personnes dans l’auditoire. Vers vingt et une heures trente, il m’a désigné du doigt, en disant : « Vous, dans ce fauteuil roulant, avec votre asthme, une faiblesse cardiaque et beaucoup d’autres maux, vous êtes guéri. » Dieu soit loué, mes amis, seuls ceux qui ont souffert comme moi peuvent se représenter la joie et la gratitude de mon cœur. À partir de ce moment-là, j’ai commencé à aller mieux. Malgré la faiblesse de mon corps et de mes jambes, je suis ressorti de la salle en marchant. Je remercie Dieu de Sa miséricorde et de la délivrance de ma souffrance, et je Le loue d’avoir envoyé Frère Branham à seize mille kilomètres en réponse à mes prières pour la guérison. Ce soir-là, je suis allé au lit et j’ai enlevé la montagne d’oreillers, n’en laissant que trois. D’habitude il m’en fallait au moins une douzaine. J’ai eu un sommeil des plus reposant et des plus paisible jusqu’à six heures trente le lendemain matin.
La nouvelle s’est répandue que j’avais été guéri à la réunion de Frère Branham. Des amis sont venus me voir, le pasteur aussi, mais il leur était difficile de croire au changement qu’ils voyaient en moi, d’un homme tout pâle étendu dans un lit en un homme avec un meilleur teint, qui marchait. Le médecin m’a fait une visite surprise, il a pris mon pouls et m’a dit : « Ça alors, quel homme différent! Cela me fait vraiment plaisir de trouver votre cœur en si bon état! » Un autre médecin est venu me voir. Il s’était occupé de moi pendant plus de trois ans, mais avait renoncé à cause de mon cœur. Il avait dit que l’asthme l’avait abîmé, et que j’étais incurable. Comme il avait entendu parler de ma guérison, il est venu me demander si j’avais été vers le « guérisseur par la foi ». J’ai répondu : « Gloire à Dieu, je suis guéri! » Lui aussi a remarqué que j’avais bonne mine.
Cette guérison a affecté spirituellement ma famille et moi aussi. J’ai toujours dit que, si j’étais en santé, je pourrais beaucoup mieux travailler à l’œuvre de Dieu. Cela a été un appel pour nous tous. Nous sommes allés dans plusieurs réunions pour témoigner de ma guérison.
P. E. H.
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Atteinte d’épilepsie pendant quinze ans
Je ne pourrais jamais cesser de louer et de remercier Dieu pour la merveilleuse guérison que j’ai reçue à la salle municipale de Grahamstown, le 13 novembre 1951. J’ai reçu à la fois une guérison spirituelle et une guérison physique, gloire au Seigneur! Il n’y a pas un jour qui passe sans que je raconte à quelqu’un ma merveilleuse guérison, et certains de mes amis sont allés, depuis, aux réunions à East London et ont aussi reçu leur guérison. Demain, mon frère et sa petite fille partent pour Johannesburg, afin d’assister à la réunion du cinq décembre, comme ils veulent aussi être guéris, et je sais qu’ils le seront s’ils croient.
Cela faisait quinze ans que je souffrais d’épilepsie. J’avais consulté des spécialistes. Finalement, on m’a envoyée à Port Alfred pour que je sois sur la côte. De plus, je ne restais jamais sans comprimés, que je devais prendre régulièrement. J’avais toujours peur de m’évanouir dans la rue ou au travail, ce qui arrivait assez souvent, et je craignais qu’on me laisse toute seule.
Environ deux semaines avant l’arrivée de Frère Branham à Grahamstown, j’ai commencé à avoir de terribles douleurs derrière la tête. Rien ne m’aidait, et à chaque instant j’avais peur de faire une crise. Quelque chose me poussait sans arrêt à aller aux réunions, ce que j’ai fait. Alors que j’étais assise parmi des centaines de personnes, Frère Branham m’a désignée du doigt, et j’ai senti comme si un aimant m’attirait. C’était un sentiment merveilleux, et j’aurais juste voulu sauter et crier : « Gloire au Seigneur! », car j’ai su immédiatement que j’étais guérie. Quand Frère Branham a dit : « La dame avec le chapeau blanc, une ombre noire vient sur vous, vous souffrez d’épilepsie. » J’ai acquiescé d’un signe de tête et j’ai levé la main; il a dit : « Gloire au Seigneur, vous êtes guérie! » Oh, quel sentiment merveilleux! Je pourrais simplement continuer et continuer encore à dire à tous ceux que je rencontre de croire et d’avoir la foi, et qu’eux aussi recevront la guérison.
T. V.
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De l’asthme pendant vingt-quatre ans
J’aimerais louer le Seigneur pour Sa merveilleuse puissance de guérison, qui s’est opérée à la campagne Branham à East London, le quinze novembre. J’avais souffert d’asthme pendant vingt-quatre ans, depuis l’âge de trois ans. Mais je loue et remercie le Seigneur de ce qu’Il ne m’a pas seulement guéri physiquement, mais aussi spirituellement.
Ma guérison s’est opérée le premier soir de la visite de Frère Branham. Ma foi était tellement fortifiée, que j’ai été guéri sans que le frère prie pour moi. L’Esprit du Seigneur était si puissant parmi nous qu’il m’a suffi de demander.
Le dernier soir de la campagne Branham, j’ai demandé au Seigneur de faire en sorte que Frère Branham me dise quelque chose. Il l’a fait. Il a dit que j’avais souffert d’asthme et que le Seigneur m’avait guéri. Je me réjouis maintenant dans le Seigneur et je promets de Le servir jusqu’à la fin.
G. R.
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Un cancer disparaît
Il y a environ seize ans, je suis tombé gravement malade, et on a fait venir un médecin. Après m’avoir examiné, il m’a dit de passer à son cabinet pour un examen interne. Il m’a examiné à son cabinet et m’a dit que j’avais une tumeur interne qui minait mes forces, que mon sang ne circulait pas correctement, et que j’allais devoir subir une opération pour enlever cette tumeur. La tumeur s’est finalement mise à apparaître en surface, et, pendant les six derniers mois, je pouvais à peine m’asseoir et les douleurs les plus atroces se faisaient continuellement sentir à travers la partie inférieure de l’abdomen et de ma structure osseuse jusqu’au dos.
Le deuxième soir de la campagne Branham à East London, le 15 novembre 1951, j’étais assis dans le secteur réservé aux malades, priant pour que je reçoive une carte de prière. Quand Billy Branham a passé près de moi, il m’en a donné une et, quand les numéros ont été appelés, j’étais le deuxième dans la ligne. Comme j’arrivais sur l’estrade, Frère Branham m’a dit : « Je vois que vous êtes Chrétien. Vous avez une tumeur qui produit des cellules et qui grossit toujours plus. C’est un cancer. Certains jours, il y a un nuage noir au-dessus de vous et vous vous sentez accablé. Vous êtes guéri de votre cancer. » Dès qu’il a dit cela, j’ai eu le sentiment que j’étais guéri et, quand j’ai regagné mon siège, j’ai senti que la tumeur était partie. Une fois à la maison, je me suis examiné et, gloire au Seigneur, la tumeur avait disparu.
J’éprouve un sentiment spirituel des plus merveilleux et je me sens si différent vis-à-vis des autres gens. J’ai une vision tellement différente et je ne peux pas cesser d’être reconnaissant au Seigneur Jésus-Christ pour cette guérison des plus merveilleuse.
E. M.
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Cas d’un homme qui se mourait, et résultat de la foi en Dieu
pendant quatre mois malgré les symptômes
J’aimerais vous donner le témoignage de deux personnes ici à East London. L’homme se mourait avec des sondes sur tout le corps. Frère Branham lui a dit qu’il y avait des ténèbres derrière lui, mais ensuite il a vu l’ange du Seigneur et il a dit à ce frère que Dieu avait entendu sa prière et qu’il devait rentrer chez lui, car il était guéri. Il s’est levé immédiatement, il a arraché toutes les sondes de son corps, et il est rentré chez lui. Alléluia! Il est maintenant en bonne santé.
Une femme pour qui Frère Branham avait prié a vu son état empirer de plus en plus, mais elle a fait confiance à Dieu et, après quatre mois de souffrances atroces, un matin elle s’est levée délivrée de la malédiction du cancer.
A. G.
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Hémorroïdes internes et troubles gynécologiques
Je désire remercier Dieu d’avoir envoyé Son prophète, Frère William Branham, visiter l’Afrique du Sud pour apporter le message de la guérison Divine, et d’avoir permis qu’il prie pour moi.
J’ai reçu ma guérison à East London, le soir du 15 novembre 1951. J’étais malade depuis la naissance de mon fils, et parfois je souffrais terriblement. On m’a soignée, une fois, quand j’étais très malade et que j’avais des douleurs, mais cela ne m’a apporté qu’une guérison temporaire, après quoi j’ai souffert encore plus.
Après le soir où on a prié pour moi, j’ai reçu progressivement l’assurance que j’avais été guérie, parce que la maladie n’est jamais revenue. Ce même soir, Frère Branham m’a parlé et m’a dit : « Rentrez à la maison et soyez guérie, et n’oubliez pas votre promesse à Dieu de vivre toute votre vie pour Lui. » Ce dont je souffrais, c’était d’hémorroïdes internes et de troubles gynécologiques. Maintenant, je n’ai plus de douleurs et plus de problèmes d’hémorroïdes. Mon pasteur et tous les autres, ainsi que ma famille, sont reconnaissants de ma guérison.
Je suis aussi contente de témoigner que je suis une enfant de Dieu et que je veux Le servir toute ma vie, parce que je ne pourrais jamais trouver d’ami meilleur et plus fidèle que Jésus, qui comprend toujours mon besoin et qui m’aide sur la route rocailleuse de la vie.
J’ai témoigné à mes amis, et à mon mari qui n’est pas sauvé, et puisse Dieu permettre qu’au moins une âme, grâce à mon témoignage, trouve le chemin du Calvaire.
Que Dieu vous bénisse, Frère Branham.
M. C.
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Dos déformé maintenant normal
Je suis l’un des malades qui ont reçu la guérison à travers l’œuvre de Jésus-Christ. Je loue le Seigneur de m’avoir lavé de mes péchés. J’ai reçu ma guérison à East Bank Location. C’était le dix-huit novembre, et cela faisait dix-sept ans que j’étais malade. Depuis l’âge de trois ans, j’avais le dos déformé, mais maintenant il est normal. Pendant que Frère Branham priait pour tous les gens, il leur a dit de poser leur main sur la partie malade de leur corps. J’ai mis ma main sur mon dos. Pendant la prière, j’ai senti quelque chose courber mon dos en arrière. J’ai demandé à mon frère, qui était près de moi, de regarder mon dos. Il a été surpris en le touchant, et il m’a dit que j’étais guéri. Mon dos était droit, comme il l’est d’ailleurs encore aujourd’hui. J’ai été guéri instantanément, avant que Frère Branham termine sa prière. Mon pasteur, N. Bengu, était content, parce qu’il avait prié bien des fois pour moi. Les gens de mon église se réjouissent avec moi, parce que Jésus a été merveilleux pour moi. Bien à vous,
E. M.
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Sourde comme un pot et autres maux
Quand j’ai appris que Frère Branham venait en Afrique du Sud, j’ai décidé d’aller à East London y recevoir la prière, parce que j’étais misérablement malade et sourde comme un pot. Je n’ai pas eu l’occasion de recevoir une prière personnelle de Frère Branham, mais j’ai quand même reçu ma guérison. Le premier soir où j’étais là, j’ai vu des gens s’avancer. Étant sourde, je n’ai pas entendu qui avait été appelé, je me suis donc avancée avec eux. L’un des ministres m’a demandé ce que je voulais, ou quelque chose du genre. Je lui ai dit que j’étais sourde et, n’ayant pas entendu ce qui avait été dit, je lui ai demandé d’écrire ce qu’il disait. Il a écrit pour me dire que mon numéro n’avait pas été appelé, et que je devrais trouver un endroit où m’asseoir. Imaginez ma vive déception. J’ai vraiment pleuré, quand je suis retournée à ma place. Lorsque Frère Branham a prié pour les malades, moi aussi j’ai prié avec ferveur que Dieu me guérisse. Eh bien, il ne s’est rien produit, mais j’ai senti l’intervention Divine, alors que des frissons froids et chauds traversaient mon corps et que mon cœur battait rapidement.
Dimanche matin, j’étais vraiment malade, étant donné que je souffrais depuis sept ans de mauvais poumons, d’arthrite dans les jambes et d’un problème de vésicule biliaire. J’étais dans un état lamentable et j’ai dit à ma famille que je préférais rentrer à la maison, plutôt que de rester pour essayer d’aller dans la ligne de prière. Ma fille m’a suppliée de rester jusqu’à lundi. Après le repas de midi, j’ai perçu du bruit dans mes oreilles, alors j’ai juste dit : « Merci, ô Dieu. Je sais et je crois que Tu me guéris. » Je n’ai rien dit à ce sujet à mes enfants. Pendant que nous allions au service, j’ai entendu ma fille aînée dire à sa soeur que, si maman avait la foi, elle pourrait être guérie. J’ai répondu en lui disant que j’avais la foi et que j’étais guérie. Elles étaient très surprises d’apprendre que j’avais entendu leur conversation. J’ai dit : « Oui, gloire à Dieu, je suis guérie et j’ai entendu ce que vous avez dit. » J’ai reçu ma guérison instantanément, par contre j’ai reçu la délivrance de l’arthrite et des autres maux progressivement. Maintenant, que Dieu en soit remercié, je me sens parfaitement bien. Mon pasteur était content et a loué Dieu avec moi de ce que Dieu avait guéri mon corps. Cela nous a tous rapprochés du Seigneur. Je remercie Dieu pour Frère Branham et son ministère.
M. M. N.
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Atteinte d’épilepsie pendant quatre ans
Ma petite fille a reçu sa guérison à East London, lorsque Frère Branham a prié pour elle, le dix-huit novembre. Elle avait souffert d’épilepsie pendant plus de quatre ans. Nous l’avions fait examiner par plusieurs médecins. Deux chiropraticiens l’avaient aussi traitée. Aucun n’a réussi à guérir l’enfant. En janvier dernier, pendant qu’elle était à Johannesburg, elle a été prise de trois crises en l’espace de trois heures. Nous avons fait appel à un médecin ce jour-là, qui l’a envoyée en observation dans une clinique pédiatrique. Le médecin a contacté un spécialiste. Nous avons fait radiographier sa tête, mais aucune fracture n’a été décelée suite à des chutes. Elle a dû aussi subir d’autres examens à l’hôpital Général. Après trois semaines, ils m’ont dit que c’était incurable, et que nous devions simplement continuer à lui donner ses médicaments.
Nous avons lu le récit de la vie de Frère Branham, avant son arrivée dans notre ville. J’étais tout à fait certaine que Dieu guérirait notre enfant par l’entremise de Frère Branham. Nous désirions vivement le voir.
Le dimanche, lors de la dernière réunion, nous sommes allées dans la ligne de prière. Frère Branham a dit : « Mère, êtes-vous prête à croire? Je sais de quoi souffre votre enfant. » J’ai répondu : « Oui, je suis prête. » Il a dit : « Elle est atteinte d’épilepsie. » J’ai levé la main droite. J’avais tellement envie de pleurer. Frère Branham a prié avec une telle ferveur. Ma fille et moi, nous nous sommes senties tellement remplies de gratitude envers Dieu, notre Père, et envers Frère Branham, Son prophète. Alors Frère Branham a dit : « Mère, croyez-vous que votre enfant est guérie? » J’ai répondu : « De tout mon cœur. » Il m’a alors serré la main, en me disant : « Elle va se rétablir, rentrez chez vous et ne vous inquiétez pas. » Nous sommes retournées à nos places dans la salle, et nous avons prié et remercié Dieu.
Je me suis rendu compte pendant la campagne Branham que j’avais prié de la mauvaise manière. J’avais toujours cru en Dieu et cru à la prière, mais je demandais en implorant, sans accepter la promesse que Dieu avait donnée comme étant déjà réalisée. Ces merveilleuses réunions nous ont enseigné à tous quelque chose que nous n’avions pas appris auparavant.
P. B.
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Guérie de la tuberculose
J’ai de la peine à donner ce témoignage avec une plume et de l’encre. J’ai été admise à l’hôpital de quarantaine le vingt août, pour cause de tuberculose. Mon pasteur m’a apporté la communion à l’hôpital. Je lui ai demandé si je pouvais me rendre à votre réunion. Il a accepté avec joie et il a dit que nous devrions pratiquer davantage l’imposition des mains. Il m’a raconté qu’il avait imposé les mains à un enfant très maigre et proche de la mort, et que ce petit être avait été complètement guéri de la tuberculose. Le médecin m’a donné la permission et m’a souhaité bonne chance.
Quand vous, Frère Branham, êtes venu sur l’estrade, j’ai prié si fort pour que vous fassiez quelque chose pour nous, les patients alités. J’avais le sentiment que mes prières allaient vous conduire à faire quelque chose. Vous avez alors dit : « Imposez-vous les mains les uns aux autres. » C’est ce que nous avons fait avec joie, et vous avez prié si merveilleusement bien. Puis vous avez dit : « Vous pouvez repartir guéris. » J’ai senti comme si un courant électrique traversait tout mon corps. J’éprouvais un grand sentiment de paix, et je suis retournée à l’hôpital en louant Dieu. J’ai attendu jusqu’à ce que je reçoive ma radiographie, et le médecin m’a montré que c’était une réussite. Je pouvais voir la différence en comparant l’ancienne radio avec la nouvelle. Je loue Dieu pour ceci. Le médecin a dit que je pouvais rentrer à la maison et reprendre contact avec lui dans deux mois.
S. S. K.
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Membres de la parenté sauvés suite à une guérison
Je ne sais que dire, car les mots me manquent pour trouver un langage approprié pour louer Dieu.
Cela fait vingt-cinq ans que je suis une croyante née de nouveau, et Dieu m’a bénie de bien des manières. Pendant cinq ans j’ai souffert d’une maladie interne résultant d’une blessure lors d’un accouchement. C’est devenu chronique, et mon système est devenu si infecté et si empoisonné que mon médecin de Port Shepstone m’a conseillé l’opération. Il est parti pour l’Angleterre, et je suis allée à l’hôpital Addington, où on m’a opérée au début de 1950. L’opération a réussi, mais mon système était rempli de toxines et de poisons.
Pendant mon séjour à l’hôpital, neuf jours après l’opération, mon état s’est aggravé. J’ai fini par quitter l’hôpital, et je suis arrivée à la maison physiquement faible et pas du tout bien. Environ un mois plus tard, je suis devenue paralysée à partir des hanches et au-dessus, y compris une partie de ma jambe gauche. Tous les jours, j’avais de fortes palpitations, certaines duraient une heure. J’avais de la difficulté à respirer et à manger, et je suis devenue si épuisée que j’ai eu l’impression que j’allais mourir. Je suis restée clouée au lit pendant environ neuf mois, devenant très maigre et faible.
Après être restée des semaines dans cet état-là, et deux médecins de Port Shepstone étant incapables de comprendre mon cas, je me suis mise à rechercher Dieu dans une prière fervente. Je savais dans mon âme que Dieu pouvait agir au-delà des limites humaines. J’ai donc prié Dieu de s’en charger pour moi. Du mieux que j’ai pu, j’ai prié pour le pardon, la purification, la guérison et la foi. J’avais déjà lu quelques fois le livre de Frère Branham et je recevais aussi d’Amérique sa revue sur la guérison. Après que tout avait échoué, Dieu, dans Sa miséricorde, m’a envoyé une femme indigène, que je ne connaissais pas et que je n’ai jamais revue depuis, pour qu’elle prie pour moi et, immédiatement, j’ai commencé à me sentir mieux. Le lendemain, la paralysie était partie et elle n’est jamais revenue. J’avais reçu une guérison partielle. Dans un état de très grande faiblesse, escortée par deux dames, je suis retournée à Durban pour y recevoir un traitement par l’électricité et des massages. Le traitement a commencé le 24 octobre 1950 et a duré jusqu’à la deuxième semaine d’avril 1951. Il était donné par un masseur bien connu sur la route Umbilo, à Durban. Il m’avait dit que j’étais l’un des pires cas d’aponévrite qu’il ait jamais traités. Cet homme est descendu à Port Shepstone pour me voir, quand j’étais au plus mal. Après cinq mois et demi de traitement, j’ai commencé à reprendre des forces et j’ai reçu la permission de rentrer à la maison. Cependant, j’ai continué à avoir de violents maux de tête et des palpitations, également des douleurs provenant de l’aponévrite. Je me demandais pourquoi Dieu ne m’avait pas donné une guérison complète.
À Durban, sous l’effet des enseignements puissants de l’équipe Branham, l’Esprit m’a convaincue que tout n’était pas droit dans ma vie. Humblement mais avec joie, j’ai immédiatement abandonné toute ma volonté propre au Seigneur et, le jeudi 22 novembre 1951, alors que j’étais assise tout en haut dans les tribunes de l’hippodrome de Greyville à Durban, j’ai senti la main guérissante de Dieu me toucher et j’ai su que j’avais reçu la guérison. J’ai ressenti une chaleur et un picotement qui traversaient mon corps, et j’ai su que c’était Dieu qui me donnait ma guérison. Je me sens maintenant en forme et bien, et j’ai recommencé à conduire notre voiture, ce que je n’avais pas fait depuis deux ans.
Mon cœur tout entier et mon âme sont remués en profondeur, et je suis remplie d’un grand respect, tandis que je m’émerveille devant l’amour et la patience de Dieu envers l’homme pécheur. Je ne peux plus jamais douter d’aucune des promesses de Dieu. Puisse-t-Il me dévoiler chacune d’elles. « Seigneur, je crois. »
Pendant la campagne Branham, Dieu m’a donné la joie de voir mes deux frères, leurs femmes et leurs enfants être reçus dans la famille de Dieu, après des années de prière pour eux. Alléluia! Dieu soit loué pour le salut! Dieu soit loué pour la guérison!
A. D. C. J.
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Une catholique délivrée du diabète et de raideurs dans les jambes
Je veux remercier le Seigneur parce qu’Il m’a guérie de mes maux. Alors que j’assistais à l’une de vos réunions, j’étais assise et j’écoutais, parce que je voulais recevoir tout ce que Dieu avait pour moi. Je ne suis pas protestante. J’ai été élevée dans la foi catholique. Par contre, vous nous avez assurés que c’est par la foi que nous étions guéris, et je croyais Dieu.
Je souffrais de raideurs dans les genoux et dans les jambes et, pendant cinq ans, j’ai pris de l’insuline pour le diabète. J’ai reçu les premières indications que Dieu écoutait ma prière et honorait ma foi, au moment où l’assemblée s’est levée pour chanter le cantique « Debout sur les promesses de Dieu ». Moi aussi, je me suis levée, mais j’ai été prise de vertiges et j’ai laissé tomber mes lunettes. Il me semble, en regardant maintenant en arrière, que j’ai été dans un genre de coma pendant une bonne partie du service, à cause de la manière dont je me sentais, et je ne me souviens de rien. Mais, en me levant pour rentrer à la maison après le service, j’ai remarqué que toute raideur dans les jambes et les genoux avait disparu. Je n’avais plus besoin de canne. Je suis rentrée chez moi si réjouie que j’en ai complètement oublié mon diabète.
Le lendemain matin j’ai fait un test et j’ai constaté qu’il n’y avait pas de sucre. Il n’y avait plus besoin de prendre de l’insuline. J’ai refait le même test plusieurs fois durant la journée, sans aucune trace de sucre. Le lendemain, je suis allée chez le médecin et il m’a dit qu’il avait aussi entendu d’autres témoignages, mais que je devais faire attention et continuer à faire les tests pour le diabète. Que Dieu soit loué, il n’y a aucune trace de diabète dans mon corps, et la raideur dans mes genoux, dont je souffrais depuis de nombreuses années, est disparue. Grâces soient rendues à Dieu, Il a exaucé ma prière.
Mme B.
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Débarrassé d’une maladie de cœur
À Dieu soit toute la gloire pour m’avoir guéri d’une maladie de cœur. J’ai senti la main guérissante de Dieu me toucher, au moment où notre cher Frère Branham me demandait de me lever, après que l’ange a attiré son attention sur moi. Alors qu’avant, mes bras, mes jambes et tout mon corps me semblaient liés, maintenant je me sens libre.
L. E. H.
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Guérie de troubles gynécologiques
J’ai été guérie à Durban le 22 novembre 1951. Cela faisait une année que j’étais malade. J’ai consulté de nombreux médecins, j’ai même passé un bon nombre de jours à l’hôpital, mais cela n’a amené aucune amélioration de mon état. Grâce à l’aide de notre Seigneur Jésus, j’ai été guérie. Frère Branham m’a demandé si je le connaissais. J’ai dit : « Non », et il a dit qu’il ne me connaissait pas. Il a ajouté : « Dieu vous connaît. » Alors Frère Branham a dit aux gens qu’il voulait me parler sans le micro. Chaque mot que Frère Branham m’a dit était la vérité. Il l’a fait avec l’aide de Dieu. J’ai eu l’assurance de ma guérison en quittant l’estrade. La guérison a été instantanée. Je souffrais de troubles gynécologiques. Ma guérison a eu pour effet de me conduire vers une véritable vie chrétienne.
S. C.
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Guérie d’un cancer
« Salutations dans le Nom de notre Seigneur Jésus. À Dieu soit la gloire, Il a fait de grandes choses. »
C’est avec une grande joie que j’écris mon témoignage de guérison d’un cancer. J’ai reçu ma guérison à la salle municipale de Durban, le 21 novembre 1951.
J’ai eu des problèmes de matrice ces quatre dernières années et j’ai été soignée par des médecins et dans des hôpitaux. Durant les deux dernières années, j’ai été très malade, j’ai subi quatre opérations et j’ai eu trois violentes hémorragies, plus un certain nombre d’hémorragies légères.
Il y a environ sept mois, le médecin m’a conseillé de subir une autre opération pour enlever le cancer. Cela faisait exactement un an que je me doutais que j’avais le cancer, et deux médecins à qui j’avais posé la question séparément m’avaient répondu que c’est ce qu’ils craignaient.
J’ai reçu l’assurance de ma guérison, le soir même où Frère Branham a réprimé le démon du cancer et l’a chassé de moi. J’ai senti mon abdomen monter vers ma poitrine à deux reprises et, la troisième fois, j’ai senti du vent qui sortait directement de ma bouche. Ensuite, j’ai pu à nouveau respirer librement. Frère Branham m’a dit que je souffrais du cancer, que j’avais eu des opérations et que j’étais une mère souffrante. Tout ce qu’il m’a dit était vrai. J’ai senti une grande puissance surnaturelle autour de moi, et il m’a semblé être à moitié en transe. Mes amis et parents m’ont dit ensuite ou m’ont rappelé certaines des choses que je n’avais pas entendues. Frère Branham a aussi dit que je serais malade pendant soixante-douze heures. Ce soir-là, quand je suis allée au lit, j’ai fait une hémorragie. Après soixante-douze heures, elle s’est arrêtée et j’ai été bien jusqu’à cette minute même. J’avais parfois de terribles douleurs à la matrice, au dos et de ma colonne jusqu’à la tête. Ces attaques de douleur à la tête étaient des migraines, et j’avais été obligée de me faire faire une paire de lunettes, que j’ai portées les dix derniers mois. Mais je les ai enlevées après avoir quitté l’estrade de la salle municipale, et je ne n’ai plus eu aucune de ces attaques cruelles, exaspérantes. Amen! Je suis une nouvelle créature.
J’ai eu un entretien avec mon médecin, il y a une semaine, et il a dit que quelques mois auparavant, j’étais une femme très malade, et qu’il y avait eu un net et grand changement depuis. Il était très content du changement. Mes amis ont tous remarqué un grand changement dans mon apparence. Ma famille se réjouit dans le Seigneur. Mes voisins sont très impressionnés et ils attendent avec impatience le retour du pasteur Branham.
Je remercie Dieu pour les plus grandes réunions de réveil que Durban ait jamais connues.
F. H. G.
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Plus de problèmes de la colonne vertébrale
Je veux louer Dieu pour Ses œuvres merveilleuses. Hier soir, dans ma chambre, j’ai reçu la guérison de mon dos. Je souffrais depuis longtemps de problèmes de la colonne vertébrale, soit depuis la naissance de mon bébé. Je loue Dieu maintenant de ce que j’ai senti hier soir la puissance de Dieu toucher ma colonne sur toute sa longueur, et, depuis ce moment-là, je n’ai plus eu la moindre douleur. Je loue Dieu et Le remercie de cela.
W. M.
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Délivrée d’ulcères et d’un mauvais esprit
J’ai reçu ma guérison à l’hippodrome de Greyville, à Durban, le 22 novembre 1951. J’étais malade depuis les deux dernières années. Je suis allée chez le médecin et j’ai passé ces cinq dernières semaines à l’hôpital. J’ai reçu l’assurance de ma guérison aussitôt que Frère Branham m’a touchée et m’a bénie au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ. Frère Branham m’a dit que j’avais des ulcères et un mauvais esprit qui me dérangeait la nuit. Il m’a dit de rentrer chez moi et de manger tout ce que je voulais. La guérison a été instantanée.
Il y a quelque temps, tout à coup, j’avais constaté que je ne pouvais plus du tout manger. Et quand j’essayais de me forcer à manger, je ressentais une douleur aiguë dans la poitrine et je me mettais à vomir. J’ai perdu onze kilos pendant les deux premières semaines, et puis encore dix kilos. Je ne pouvais pas me tenir en équilibre sur mes jambes et, si je devais prendre du lait, cela me faisait vomir.
Tous mes amis et parents ont dit que le Seigneur Jésus-Christ avait vraiment exaucé mes prières et qu’Il m’avait guérie et m’avait donné une nouvelle vie à cause de ma foi en Lui. Ils ne s’attendaient pas à ce que je vive, quand ils ont vu combien j’étais gravement malade à l’hôpital. J’ai été guérie dans le Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, et il n’y a plus rien qui ne va pas chez moi. La douleur et les vomissements ont entièrement disparu. Voir des choses bizarres pendant la nuit, des choses mauvaises, c’est complètement fini. Je remercie le Seigneur Jésus-Christ de m’avoir guérie et donné une nouvelle vie.
B. R.
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Maintenant il peut lire
Jeudi soir dernier, je suis venu à la réunion qui se tenait à l’hippodrome, à Durban. J’avais besoin de guérison pour mes yeux. Après la merveilleuse réunion au cours de laquelle Frère Branham a prié pour nous tous, je ne me suis pas du tout senti guéri, mais j’étais convaincu que je devais faire le pas de la foi et faire confiance au Seigneur pour ma guérison.
Le vendredi soir, je suis allé à la réunion à la salle municipale, mais je suis rentré à la maison en me sentant très abattu. Dimanche, j’ai acheté une photo-souvenir de Frère Branham et, pendant que j’attendais que la réunion commence, j’ai tourné la feuille pour regarder la description à l’intérieur. Je n’avais pas encore mis mes lunettes. À mon étonnement et à ma grande joie, j’ai constaté que je pouvais lire distinctement les caractères. J’ai continué à lire et, quand je suis arrivé à la reproduction de la lettre confirmant l’authenticité du négatif, j’ai même réussi à lire les tout petits caractères. Par pure joie, je ne voulais plus m’arrêter de lire.
J. M.
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Nervosité gastrique pendant vingt et un ans
J’ai souffert pendant vingt et un ans et, dernièrement, mes nerfs ont lâché. Mon estomac est devenu si faible et en si mauvais état que je ne pouvais pas manger. Le vingt-quatre novembre, dans la salle municipale de Durban, Frère Branham a prié pour moi et, immédiatement, j’ai commencé à aller mieux. Je suis allé à la maison et j’ai constaté que je pouvais manger de tout sans régurgiter. Je suis maintenant en parfaite santé.
S. R.
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Malade du cœur pendant vingt-sept ans
J’ai reçu ma guérison à Durban, le 23 novembre 1951. Pendant vingt-sept ans, j’étais très malade du cœur. Cela empirait toujours plus et, finalement, mon médecin m’a dit qu’il ne pouvait plus rien faire pour moi. Je ne pouvais pas me courber. J’étais tellement malade que, pendant que j’étais assise là à écouter le ministère de William Branham, j’aurais voulu mourir.
Frère Branham a désigné certaines personnes à leur place et leur a parlé. Finalement, il s’est tourné vers moi, la dame qui portait la robe noire et blanche, et il a dit que l’ange était au-dessus de moi. « Vous avez souffert à cause d’une maladie de cœur, mais maintenant vous êtes guérie », a dit Frère Branham. Je pouvais sentir le changement envahir mon être. Je me suis levée et j’ai loué le Seigneur. Je suis reconnaissante de la guérison que le Seigneur m’a donnée.
H. B.
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Plus besoin d’insuline
J’aimerais louer le Seigneur pour la guérison que j’ai reçue pendant la réunion tenue à Durban. Durant ces trois dernières années, j’ai souffert du diabète et je prenais quarante-cinq unités par jour. J’ai accepté ma guérison par la foi, quand Frère Branham m’a désignée du doigt en disant : « Soeur, croyez-vous que je suis un prophète de Dieu? Rentrez chez vous et soyez guérie. » Depuis ce moment-là, je n’ai plus eu besoin de prendre de l’insuline. J’ai consulté mon médecin, et lui non plus n’a pu trouver aucune trace de sucre. Je loue Dieu de ce qu’Il a fait pour moi.
L. L.
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Un médecin confirme que le cœur est normal
J’ai le plaisir de vous informer que je suis complètement rétabli des graves problèmes cardiaques dont je souffrais. Un mois après que vous avez prié pour moi, je suis allé chez mon médecin. Il était surpris de voir que j’étais resté si longtemps sans traitement médical. Je lui ai répondu que, par la miséricorde du Dieu tout-puissant, je me sens beaucoup mieux.
Après m’avoir examiné, le médecin m’a dit que je n’étais pas seulement mieux, mais complètement guéri. Alléluia!
R. S.
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Une oreille sourde devient normale
Je veux témoigner que j’ai été sourd de l’oreille gauche pendant six ans, jusqu’au moment où j’ai été guéri, à Pretoria. Quand Frère Bosworth a demandé aux gens complètement sourds d’une oreille, mais qui avaient une bonne oreille, de s’avancer, j’ai été la troisième personne à me lever. Après avoir prié, Frère Bosworth a parlé dans mon oreille gauche et a compté de un à dix. Il m’a demandé si oui ou non j’entendais. J’ai répondu : « Oui. » Puis il a compté jusqu’à cinq et m’a demandé de répéter les chiffres. C’est ce que j’ai fait. Pendant tout ce temps, je devais boucher la bonne oreille le mieux possible. J’étais très heureux. Une fois chez moi, j’ai pris le téléphone et j’ai appelé mon beau-frère et ma soeur pour leur dire que, maintenant, j’entendais. J’écoutais avec l’oreille qui avait été sourde.
M. J. S. de B.
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Douleurs au côté droit
Mon âme a été bénie d’avoir pu assister à la campagne de guérison à Lady Selbourne à Pretoria, le2 décembre 1951.
Je souffrais d’une douleur au côté droit depuis décembre 1947. J’ai consulté des médecins, mais n’en ai reçu que des soulagements de courte durée. L’année dernière en mai, j’ai été radiographiée, mais il n’y a pas eu de diagnostic satisfaisant.
Le 2 décembre 1951, l’après-midi où vous avez prié pour les malades, j’ai senti une terrible douleur au côté. J’ai mis la main sur l’endroit douloureux quand vous avez prié. Je remercie Dieu, car, depuis ce moment-là, je ne sens plus aucune douleur au côté. Gloire à Dieu! J’ai pu vaquer à mes occupations journalières sans difficulté. En vérité, Jésus est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Alléluia!
J’avais emmené ma fille de douze ans avec moi. Elle souffrait de crispations nerveuses après tout exercice physique épuisant, mais je remercie Dieu, depuis notre retour, elle peut faire facilement les exercices et dort profondément. Comme nous aimerions que vous reveniez bientôt.
W. G.
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Fuite valvulaire cardiaque, saignements de nez et douleur au dos
Je souffrais d’une fuite valvulaire cardiaque, de saignements de nez qui étaient souvent très difficiles à arrêter et d’une forte douleur au dos. Je crois que j’ai été guérie quand Frère Branham a prié pour tous les gens à la fin du service du samedi soir. Le dimanche soir, Frère Branham m’a parlé et m’a dit que j’avais une fuite valvulaire cardiaque et que je souffrais de forts saignements de nez. Il m’a dit que j’étais membre de l’église presbytérienne. Tout ce qu’il m’a dit était la vérité. Depuis les réunions, je n’ai plus jamais eu de saignement de nez ni de douleur au dos. Gloire à Dieu! Cela a aussi produit un grand effet sur ma mère.
M. C.
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De mauvais yeux deviennent parfaits
Il y a plus de trois ans, ma fille unique est morte le jour de son mariage. Dieu merci, elle était sauvée. Le choc a affecté ma vision à tel point que je ne pouvais plus lire un seul mot, même en plein soleil, et que je ne pouvais plus écrire de lettre.
Ce dimanche soir inoubliable à Johannesburg, quand j’ai vu les malades guéris à leur place, j’ai décidé que c’était ma chance. J’ai dit : « Seigneur, c’est maintenant le moment. J’accepte la guérison sur la base de Ta Parole. » Je me suis endormie ce soir-là en croyant que quelque chose allait arriver.
Pendant que je dormais, j’ai senti quelque chose comme un choc traverser mes deux yeux, et je me suis réveillée avec un cri de louange et de victoire. Le lendemain matin, je pouvais lire sans lunettes. Je ne les ai plus jamais portées et je peux tout faire : lire, écrire et coudre, et mes yeux se fortifient de plus en plus. Je donne toute la gloire à Dieu!
J. H. G.
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Rien n’est trop difficile pour Dieu
Cela fait maintenant deux semaines que l’équipe Branham a quitté notre pays, mais les bénédictions résultant des réunions s’accumulent chaque jour, et nous ne saurions assez remercier notre Seigneur Jésus d’avoir envoyé l’équipe Branham en Afrique du Sud. Nous attendons maintenant que l’équipe revienne un jour.
Jamais auparavant l’Union sud-africaine n’a été autant secouée par la religion. Elle vit un nouveau réveil à la réalité de la religion de Dieu.
Dans notre famille, chaque jour nous rendons encore grâces à Dieu d’avoir envoyé Frère Branham en Afrique du Sud, parce que, s’Il ne l’avait pas fait, je suis sûr que mon père ne serait pas en vie aujourd’hui. Le 24 août 1951, mon père est soudainement tombé gravement malade et a sombré dans l’inconscience jusqu’au dimanche. Pendant ces trois jours, deux médecins locaux n’ont pas réussi à diagnostiquer la maladie subite de mon père. On a fait venir un spécialiste, qui a déclaré que les voies biliaires avaient éclaté et qu’une opération d’urgence était nécessaire le soir même. Pendant les quatre jours qui ont suivi, son système étant très affaibli, sa vie ne tenait plus qu’à un fil.
Enfin, la phase critique étant passée, la deuxième semaine de septembre, mon père a eu la permission de rentrer à la maison. Pendant une semaine, il allait de mieux en mieux. Nous étions si heureux, et c’est alors que le désastre a frappé. Subitement, il est retombé malade. On l’a transporté d’urgence à l’hôpital et, à cause de la gravité de son état, les médecins ont décidé de ne pas opérer avant le mardi suivant.
De nouveau, sa vie était en danger. En une semaine, il a subi deux opérations, et le médecin a dit à ma mère qu’il ne vivrait plus que quelques jours. Malgré tout, nous n’avons pas perdu l’espoir. Nous avons continué à prier. Les nuages étaient noirs, et il semblait qu’il n’y avait plus d’espoir. Nous avons prié Dieu avec ferveur de donner au révérend Branham une vision, pour qu’il puisse prier pour mon père et qu’il soit guéri.
Le lundi soir huit octobre, le médecin a dit que la fin était arrivée. Mais nous l’avons quand même amené au parc Maranatha. Le lendemain soir, nous l’y avons amené à nouveau. Quand les ambulanciers l’ont transporté dans le Tabernacle, il souffrait de péritonite aiguë. C’est mourant qu’on l’a transporté à l’intérieur.
Tout au long de la réunion, les enfants de Dieu ont prié pour lui, car il était un pasteur bien connu. Nous avons senti qu’il recevrait sa guérison ce soir-là. « Crois seulement, tout est possible, crois seulement. »
Pendant le service, Frère Branham s’est tourné vers l’auditoire et ses yeux se sont posés sur mon père. Il a dit : « Vous avez subi une opération, deux opérations, non, trois opérations. » Alléluia! Nous avions prié que Frère Branham parle à mon père, et Dieu avait exaucé notre prière. Frère Branham a prié pour mon père et lui a dit de se lever. Il l’a fait, pour la première fois en cinq semaines. Avec des larmes qui coulaient sur son visage, il s’est mis à louer Dieu. Ce soir-là, Dieu a manifesté Sa puissance par des prodiges merveilleux, et beaucoup ont reçu leur guérison.
Après le service, mon père est retourné à l’ambulance en marchant tout seul. Dieu soit loué! Le lendemain, il se sentait beaucoup mieux et n’a reçu aucune injection contre la douleur. Le jour précédent, il avait reçu vingt injections pour supprimer la douleur. Le samedi suivant, il est sorti de l’hôpital et est rentré à la maison. Il va de mieux en mieux chaque jour.
V. R.
« Il est bon de célébrer l’Éternel... »
Psaume 92.2
Oui, cher lecteur, il est bon de célébrer l’Éternel. L’Éternel aime être loué. Ces témoignages que vous avez lus ne représentent qu’une infime partie des milliers de personnes qui ont été guéries pendant la campagne d’Afrique du Sud. Après avoir lu le récit de ce que Christ a fait pour d’autres, puissiez-vous, à votre tour, croire Dieu pour votre propre besoin. Et rappelez-vous, vous avez le droit, en tant qu’enfant de Dieu, de revendiquer la guérison qui vous appartient en vertu de l’Expiation. Nous sommes toujours contents de recevoir vos témoignages, et peut-être que ceux-ci inspireront d’autres personnes à croire Dieu, elles aussi.
Dans Actes 19.11-12, nous lisons : « Et Dieu faisait des miracles extraordinaires par les mains de Paul, au point qu’on appliquait sur les malades des linges ou des mouchoirs qui avaient touché son corps, et les maladies les quittaient, et les esprits malins sortaient. »
Ceux d’entre vous qui désirent recevoir un linge sur lequel le révérend Branham a prié, conformément au passage de l’Écriture ci-dessus, pourront l’obtenir en écrivant à :
Voice Of God Recordings
P.O. Box 950, Jeffersonville, Indiana 47131 U. S. A.