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Un homme ou une femme réellement née de nouveau, qui a le discernement du Saint-Esprit, trouvera sa place dans l’église, en adorant, en criant et en faisant tout ce qu’il y a dans sa vie pour essayer d’y amener les pécheurs. Certainement.
Et si c’est Dieu, nous allons… Vous devriez y mettre votre coeur, si vous avez le discernement. Travaillez, n’allez pas dire : «Oui, je crois cela. C’est la vérité. C’est bon. Amen.», et vous rentrez chez vous.

Allez travailler!

Vous avez le discernement. Travaillez pendant que la lumière est là, car la nuit vient où personne ne peut travailler. Travaillez pendant que nous avons une porte ouverte. Travaillons pendant que nous pouvons tenir des réunions comme celle-ci. Faisons entrer nos bien-aimés. Amenons-les dans l’Evangile. Prenons nos amis, nos voisins. Dieu est mort pour ces gens, et nous devrions nous préoccuper assez d’eux pour travailler jusqu’à ce que nos mains saignent. Nous viendrons mains vides si nous ne le faisons pas.

C’est comme la petite fille, là au Kentucky, qui est morte récemment sur les collines, très loin là-bas. Il y avait environ huit enfants. Une petite fille qui était presque au milieu d’eux, une petite fille d’environ douze ans, ses soeurs et ses frères étaient si paresseux et ne voulaient rien faire, et sa mère était couchée là souffrant de cette maladie terrible de la tuberculose. Et cette petite fille, c’est elle qui faisait le nettoyage à l’eau, elle préparait, elle lavait les vêtements, elle prenait soin de sa mère, pendant que tous les autres fainéantaient, jouaient et allaient nager.

Finalement sa mère est morte, et alors la petite fille devait continuer ainsi, parce qu’aucun d’eux ne voulait travailler. Et elle a travaillé, travaillé sans relâche jusqu’à ce que finalement elle a contracté cette maladie redoutée, la malnutrition, n’ayant pas assez de quoi manger, et ainsi de suite, et le corps de la petite créature a fini par se détériorer. Elle était mourante.
Un moniteur de l’école du dimanche est venu chez elle et lui a dit : «Es-tu une chrétienne?»
Elle a répondu : «Oui.»
Il a demandé : «De quelle dénomination es-tu membre?»
Elle a répondu : «Je ne suis membre d’aucune dénomination.»

Il a demandé : «Alors dis-moi, comment vas-tu donc rencontrer Jésus ? Que vas-tu Lui montrer ? De quelle église es-tu membre ?»
Elle a répondu : «Je Lui montrerai mes mains. Il comprendra.»

Eh bien, je pense que c’est ce qu’Il va regarder chez nous tous, lorsque nous voyons des réunions comme celles qui se déroulent ici. Il va regarder nos mains et verra ce que nous en avons fait : le discernement spirituel, le manque du discernement du Corps du Seigneur.

Prions. Si ces mains devraient être au travail, et vous savez qu’elles devraient l’être, ne voudriez-vous pas les lever vers Dieu et Lui demander de les sanctifier pour Son service pendant que nous prions ? Levez les mains.

Seigneur, regarde ces mains et les miennes aussi, Seigneur. J’aimerais venir comme un soldat aux mains calleuses. Je n’aimerais pas venir mains vides. J’aimerais prêcher jusqu’à ce que je meure. J’aimerais tirer, implorer, jeûner et prier, car je sais que les ombres de la nuit tombent, et bientôt l’heure sera là. Seigneur, ouvre mes yeux afin de voir plus de signes de Ta Venue. Enflamme les coeurs de ces gens ce soir avec les grands signes que Tu as promis.

William Branham, Prédication "Discerner le corps du seigneur"
https://branham.fr/sermons/895-Discerning_The_Body_Of_The_Lord?show=split

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